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Textuels
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Textuel poème
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- La raison et l’affection ne font pas bon ménage. Si la raison et l’affection confondent le partage, ils feront que l’on est sous la terre ou sur nuage, tour à tour, si ce n’est, simultanément. Jusqu’au point de rupture voire de déconfiture faisant blessure à son moi par ces maux. Manque d’affection, point question ; de nourriture, confiture, d’accord, mais d’amour, trop fort, car il n’y a ni manque ni raison. Lors l’affection est consensuelle, on l’apprécie, ne la mesure que par rapport à une passion naturelle qui, bien des fois, nous parait irréelle. Trop d’affection affecte raison : tout devient subjectif, devient sélectif. Trop de raison affecte l’affection : tout devient calculé … maitrisé ! Arrive que l’un aille avec l’autre, et c’est parfait, mais, parfois l’un va sans l’autre, et c’est mal fait, quand ce n’est pas, l’un contre l’autre, et c’est mauvais. Manque d’affection et abus de raison produiront autant de folies d’émotions que de manques d’actions et leurs contraires. Abus d’affection et manques de raison conduirons à un amour des plus déraisonnables, jusqu’à en perdre l’appétit. L’affection manquera parfois de raisons, il est vrai, ou, en tous cas, explicites, voire avouées. La raison manquera toujours d’affections, l’amour n’est pas, pour elle, une valeur à prendre à son compte en dépit de son facteur additionnel, voire multiplicatif. J’aime la raison : pour autant ai-je raison de délaisser mon affection, fruit de ma déraison ! Voilà une déclinaison qui me laisse sans voix, sans nom, sans renom : abscons ! Nous avons mille raisons d’aimer, la plus instinctive est quelle est dans notre nature animale et la plus réflexive est qu’elle est dans notre élévation divine. Nous avons autant de raisons de ne pas céder à toute amitié qui a tendance à nous dominer puis à nous enfermer jusqu’à nous spolier. Le manque et le trop plein : états où on s’asphyxie, malheureux.
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Textuels extensions
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- Ne pas pouvoir retrouver équilibre comme s’il ne dépend pas de nous. Mon affection occulte ma raison et ma raison occultera mon affection. Il n’y a pas de contradiction, d’opposition entre elles : une simple différence de point de vue entre tête et cœur, logique et sentiment. Raisonner son affection ne signifie pas affecter sa raison. Le manque est un état de privation quand il s’agit de nourritures ou de boissons. Le manque est un état différent de « mal-être » lors s’agit de relation. Le manque est u état d’ignorance pour connaissances ou information. Insuffisance, défaut, lacune, imaginez lors on soufre des trois à la fois. Il n’y a de raison d’éprouver moindre affection pour quoi que ce soit. Il n’y a d’affection à se situer, et au plus près, de la moindre raison ! L’on dira : j’ai manqué à tous mes devoirs, et à tous mes droits ! S’aime-t-on pour une bonne ou mauvaise raison : comment accorder la raison avec l’affection ? Si l’on met l’affection en avant, pour la justifier, on se trouvera, on se créera, de bonnes raisons. Si on met la raison en premier, on ne trouve d’affection, problème reste insoluble. Si l’on veut se marier, mieux vaut manquer de raison que manquer d’affection. Les deux ne sont pas incompatibles, même se renforcent, se mutualisent : le pire est de manquer des deux : grande solitude ! L’on dit que l’affection nous fait perdre la raison: « le cœur a ses raison que le raison ne connait pas », reste un dicton. Il en est d’affection comme de notre raison de vivre, c’est un choix personnel.
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Textuel fragments
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- «Le cœur a ses raisons que la raison ignore» nous a dit Blaise Pascal : incompréhension mutuelle, paradoxe ou contradiction ? Allez savoir ce qui se passe vraiment dans la complexité intime de certains choix, particulièrement d’un partenaire amoureux. Tout va bien si les deux s’alignent, se conjuguent, tout va mal si l’un, fortement sur l’autre, se subjugue. L’affection est établie comme étant du domaine du cœur, tandis que la raison, du domaine du cerveau, de l’esprit. Lors si l’on peut alors s’aimer jusqu’à en perdre la raison, on peut, tout autant, rompre pour de bonnes raisons ! Est-ce que tu m’aimes est suivi souvent du pourquoi ? Si l’amour est folie, le pourquoi n’aura de sens. Il faut en trouver un pour échapper à un caprice, qui ne peut que le dissoudre en se satisfaisant. Si un son de cloche représente ce qu’on entend, une coiffe, ce que l’on voit, un parfum, on sent, le tout permet de savoir si l’autre ment ! Auquel cas, l’affection tombe en raison de ne pas poursuivre son sentiment, tant rien ne peut combler manque.
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Illustrations
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Visuels
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Amour supposerait que chacun
ait une bonne, une vraie raison,
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mais il peut se laisser déborder
par une affection … croissante,
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qui pourrait le pousser à délirer à
en perdre la raison … et la santé,
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qui, lors d’une rupture très brutale,
mettra moral dans les chaussettes.
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Textuels symboliques
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Cloche
- Symbolique de forme : La cloche symbolise l’ouïe et le son, elle est donc liée à l’oreille et à la bouche. Lors la bouche émet le son, tandis que l’oreille le réceptionne sous forme de vibrations qu’elle transforme en signaux électriques, bien déchiffrables par tous les cerveaux. La cloche vibre, sonne, tinte, résonne. Elle avertit. Le timbre de la cloche, de la sonnette, ou de la clochette, consiste en une note de musique. dictionnairedessymboles.com/2017/08/le-symbolisme-de-la-cloche
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Coiffe
- Symbolique de fond : La coiffe est une forme de couvre-chef et réalisé en tissu, et porté par les femmes. Autrefois destinée au double usage de la dissimulation du visage, chevelure, et de petite protection de la tête, la coiffe est devenue, dans le civil, un véritable accessoire de mode. On en recense dans nombre de provinces. La coiffe est désormais un élément du costume folklorique, et du costume de certains ordres, églises religieuses.
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Cloche > buts : signaler, ponctuer, attirer l’attention, décoder
- Liens fond/forme : Cloche et clochette ont les mêmes buts : de signaler, ponctuer, attirer l’attention sur un évènement connu message et facile à décoder. Leur utilisation serait considérée universelle, on en trouve même sur certains bateaux. Une fée lui a emprunté nom, apparence, on l’imagine tintinnabuler dans les airs mais ce n’est autre qu’un beau conte de fée. Tête de femme, surmontée de coiffe haute. Ca rime avec identité, autant personnalité, faut dire, elle fait tout de même imposante, autant arrimée et voyante ! L’usage des coiffes est problématique sur raisons différenciations.
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