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Visuels suggestion de scénario
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On pourrait l’acquérir par soi-même
pendant des années de jeunesse,
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à chaque enterrement, célébration
pour nouveau mort élu pour le ciel,
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chez certains ayant esprit curieux, critique,
scientifique : églises chambouleraient tout.
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Le sacré n’est pas seulement en pensées, il est aussi en actes, en pratiques qui utilisent nombre de rituels, comme pour exorciser sa foi en lui à laquelle ne pas déroger et ce depuis… la nuit des temps. Il n’y a qu’à voir nos enterrements avec rassemblement pour inhumer. Les bougies, les hosties, homélies, les lumières, les prières, bréviaires, sous une forme ou sous quel qu’autre font de nous, du sacré, bons apôtres ! Pour survivre en ce monde, perdurer, le vide, le néant, l’inutilité ne peuvent nous aider, il nous faut un but, une finalité que nous croyons, œuvrons, en somme, une religion. Je vous arrête de suite, un athée, un incroyant, un agnostique n’a de de religion : il ne croit pas en un dieu, rien qu’en lui-même et trouve insensé de déléguer sa propre finalité à religion. On ne résout pas un problème insoluble, on se contente de le déplacer : les idoles de païens sont devenus un dieu unique, devenu de nouvelles idoles virtualisées par le cybernet en un cyberespace, une cyber-pensée. Si je comprends, nous ne pouvons y échapper sans être taxé de bestial, de bestialité mais chacun peut mettre le « sacré » là où il l’entend, l’amour, la liberté, la santé, plaisir, enfant, argent. Non parce que le sacré suppose une réalité extérieure qui nous dépasse, nous élève en même temps : l’art s’en approche par un coté sublimation de soi ou l’humanisme par son côté don de soi. Don de soi et sublimation n’ont rien de sacré pour moi, ce sont des choix de vie, valeurs auxquelles on croit et que l’on défend, que l’on pratique : il n’y a ni messe ni de prophète.
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- + De prophète pour sauver le monde ni annoncer la fin des temps, la délivrance de l’humanité du fardeau qui est le sien pour l’accueillir en terre promise, racheter son âme égaré, ressusciter. Je crois entendre une synthèse des religions monothéistes. Je ne suis pas prêt à renoncer à ma liberté de penser, de rêver qui sont sacrées. Voilà bien deux croyances qui te tienne éveillée mais qui ne te donne pas un sens à ta vie, elles t’aident juste à la supporter. Le sacré est un sentiment qui fascine et terrifie, quelque chose de surnaturel mais qui ne se manifeste pas dans notre vie réelle. Est sacré tout ce qui se donne pour tel aux yeux d’un croyant qui pense être dans le vrai et cherche à l’imposer aux autres.
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- & Notre sens du sacré nous viendrait de ce rite, établi pour enterrer nos morts, que les animaux n’ont pas. Naissance, mariage, enterrement en sont les témoins et ce quel que soit la religion, et même chez les athées ! Il s’agit de quelque chose d’humain qui se projette divin. Sens sacré, suite à cela, aura pris deux voies divergentes en relation avec Dieu et avec ce à quoi nul ne peut toucher. Ainsi on parle de sanctuaire à propos de la défense de l’Etat comme si c’était un dieu qui gardait le trésor royal inviolable.
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- # Tout d’abord, qu’est-ce que la sacré : qui appartient au domaine séparé, intangible, inviolable du religieux, doit inspirer crainte et respect. Lors on l’opposera à profane qui désigne toute réalité n’étant pas consacrée ; personne non initiée et voire ignorante.
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Textuels symboliques et corrélations
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Momie
- Symbolique de forme : Momie est également une machine. En effet, pour les Égyptiens, la mort est la dissociation entre le contenant, appelé son enveloppe charnelle et le contenu impalpable, son âme. Pour assurer l’Éternité de la vie, il faut alors conserver également le contenant : le corps. Une véritable machine à traverser le passage vie-mort» sans encombre. Selon le point de vue de l’embaumeur, la momie est un produit et résulte d’une activité, d’un long procédé de fabrication, mettant lui-même en jeu, d’autres objets et outils, et un vrai savoir-faire du technicien. fr.wikipedia.org/wiki/Momificationen_Egypte_antique
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Sarcophage
- Symbolique de fond : Le sarcophage est un coffre qui est destiné à recueillir le défunt. Il est associé à la mort : dans l’Antiquité, les Égyptiens utilisaient nombre de sarcophages pour préserver la momie qui se trouvait à l’intérieur. Il représentait la demeure du défunt dans l’au-delà. Le décor du couvercle représentait le Ciel, tandis que le fond de la cuve : la Terre ! 1001symboles.net/symbole/sens-de-sarcophage
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Sens/sacré >
- Liens fond/forme : Tant que nous sommes vivants, l’on représente un être animé, et quand nous sommes morts : un objet, une chose, inanimés. Pourquoi alors vouloir durer, dans un sarcophage, cercueil, en une tombe, en un cimetière, sinon pour croire en une résurrection ! Pas sous la même forme, sûr, mais un autre principe de vie qui lui ne serait plus soumis à une mort bien trop charnelle.
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