827 – On aura beau dire et on aura beau faire (I)

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Visuels scénario

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Souvent, il me faudra contourner

des obstacles pour bien avancer,

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sans parler de ce qui n’est pas sur

ma check list, j’en fais quoi alors,

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j’en donne une partie à la Nation

ce n’est pas garantie de solution !

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Textuel calligramme

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  • Le Monde bouge, c’est sûr : rien n’est immuable, rien n’est inébranlable et ça ne me rassure pas ! Certains croient, qu’en masquant la réalité aux gens, personne ne s’en apercevra ! Et c’est ainsi qu’on dit que c’est toujours pareil : que les pauvres s’appauvrissent lorsque les riches s’enrichissent ! Qui fait quoi pour qu’il en soit autrement : en tous cas, hélas, ou tant mieux, pas moi !  On aura beau dire et on aura beau faire, notre monde sera toujours le même, à se faire ou faire ou défaire ou surfaire : seules les apparences des choses changent, très rarement, leurs fonds, dans leurs réalités ! Si changement il y a, il sera d’abord individuel tant que la démarche réflexive permettra de se modifier, sinon l’on va droit dans le mur !  On ne peut continuer à se voiler la face devant un problème qui reste tenace quand une prise de conscience collective reste la seule efficace. L’on aura beau dire et l’on aura beau faire, la réalité résiste, elle revient dans ses ornières et, même si l’on est fatigué de ses misères, on finit par s’en accommoder, les accepter alors qu’il pourrait en être tout autrement, si l’on s’y penchait vraiment, prenait le temps de les examiner, solutionner, pour débuter une nouvelle ère.

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Textuel extension

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  • Une ère basée davantage sur les connaissances que sur les finances, sur la subsistance que sur l’aisance. Hélas, en dépit d’un assistanat d’État, entraide Bénévolat pour pallier au pire, le monde continue à prôner, système libéral, le « chacun pour soi »  lors les riches, de dire : «faites comme moi » et même plus, à certains «regardez-moi, je suis parti de rien et j’en suis là.» oubliant c’est que certains ont tout, n’en font rien,  que certains avaient toutes les cartes en main ont détruit des centaines, milliers d’emplois. Si nouvelle ère  consiste à ce que richesses changent de main, où est le progrès social. Après le chacun pour soi, le slogan serait  «À mon tour, mais pas différemment pour les autres, et la planète Terre »  jusqu’à la fin humaine non des temps ! Pour la fin des temps, nous avons encore l’éternité devant nous mais pas en ce qui nous concerne.  C’est quand même, un peu, comme un aveu d’impuissance,  comme que de jeter le bébé avec l’eau du bain, inconscience. Et si le monde vient de plus en plus complexe, indéchiffrable, il ne s’est pas construit en un jour et nous n’en avons qu’un ! Alors, plutôt que de vouloir, faire table rase et repartir à zéro, il vaut mieux réenchanter le monde partout là où c’est possible. Comme on ne fait pas d’omelettes sans… il faut bien du courage.  L’on aura beau dire et l’on aura beau faire : attention à ne pas rester sur constat d’échec, il faudra se battre toute sa vie pour avancer : le monde ne bouge vite, en bonne direction. En matière de social, il est rare qu’on puisse,  changer les choses en les attaquant, de front : la plupart du temps, il faut phase négociation sinon d’amendement voire de contournement. Il en est de même au plan de gestion personnel, on a beau lister problèmes probables, potentiels, d’autres, imprévus, apparaissent en plein projet, au point, parfois, qu’on ne voit plus de solutions. Les obstacles stimulent notre énergie  à vaincre, une fois franchis, ils nous permettent d’avancer, arrive aussi que dernière ligne droite nous tue : on n’a jamais gagné avant d’avoir tout signé.

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Textuel épilogue

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  • Que ce soit par déni, aveuglement, égoïsme, ou, tout simplement, constat d’impuissance, Terre devient, autant que nous, en déchéance. Nous l’exploitons, nous la polluons, abimons et nous la maltraitons à travers nos prismes, lors bientôt, elle et nous, toucherons le fond.  Certains pensent qu’il s’agit du cycle naturel et que notre climat se rétablira de lui-même, qu’il est urgent de ne rien faire, rien modifier ou qu’il faut, au contraire, en tirer tout le sel mais que fera-ton des situations à l’extrême où des gens mourront de faim, voire brulés.  L’on aura beau dire et l’on aura beau faire, année chasse l’autre, on remet à demain ce qu’il est urgent d’acter aujourd’hui. On descend encore au fond du puits, puits de ressource, puits de misère : ce monde ancien touche à sa fin. Quand on aura devant un mur, il ne s’agira plus de murmures mais bien d’entrer dans le dur, au prix de sacrifices, pressure, ne me dites pas : pas de futur, tant cette fatalité est à exclure. La solution clé en main qui l’aura, elle viendra par le haut, par le bas, chaque petit geste, vrai… comptera,  sauf si nos gouvernants ne le font pas, préférant être pyromane que pompier : à nous de les destituer et les remplacer.

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Textuels symboliques 

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Chaudron

  • Symbolique de forme : Celtes, le chaudron dispense une nourriture  inépuisable, il symbolise l’abondance. Par  analogie, il représente la    connaissance sans fin. Plus précisément, chez les Celtes : le chaudron du Dagda (dieu-druide) contient assez de nourriture pour rassasier tous les hommes, et les connaissances du monde. Modifié, source : 1001 symboles

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Potion magique

  • Symbolique de fond   : Potion magique est breuvage imaginaire qui donne une force surhumaine à quiconque la boit dans l’univers d’Astérix,  série de bande dessinée créée par René Goscinny, Albert Uderzo. C’est aussi le nom donné dans le langage populaire aux produits dopants  utilisés par  les sportifs.  Wikipédia. Connaître les vertus médicinales des plantes, était, de tout temps, et chez tous les peuples, de disposer d’un pouvoir totalement inaccessible au commun des mortels. L’imaginaire collectif a eu tôt fait d’assimiler aux sorciers qui possédait ce savoir ancestral, est capable de préparer tisanes, préparations préventives, curatives, purifiantes. gerbeaud.com/jardin/decouverte/plantes-magiques-sorcellerie

 

Corrélations > vertus plantes ne seraient pas que médicinales

  • Liens fond/forme : Le monde est comme un chaudron en lequel on essaie potions magiques, pour qu’il devienne encore plus humain et rien ne s’y opposera avec nos moyens, mais la potion ne marche pas, est amère, lors la forme n’épouse totalement le fond parce que chacun y a mis ses  problèmes et chacun espère ses propres solutions. Les vertus accordées aux plantes ne seraient donc pas que médicinales : aphrodisiaques, divinatoires, purificatrices, défensives, apaisantes, porte-chance, punitives, ou encore favorable à la réussite, à la fortune, l’amour, l’affection, la fécondité, le relationnel… La superstition attribue aux plantes innombrables propriétés, susceptibles d’avoir un effet dans des domaines aussi étendus que variés. Savoir « médical » empirique bien mystérieux, hérité d’époque où la science n’avait pas apporté son éclairage, on aurait associé bien des pouvoirs des potions magiques à des croyances, légendes ou phénomènes surnaturels : alchimie, diable, fantômes, esprits, fées, monstres, totems…

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