1012 – On se lasse de tout, dit un vieux proverbe !

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Visuels suggestion de scénario

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Je n’en ai plus rien à faire

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et moi, encore … bien plus

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et moi, alors, totalement !

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Textuels calligramme / extensions

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  • £ Lassé de tout, comment cela est-il possible ! Quand même d’avoir et, de quoi voir venir, réconfortera son moral. Quand même les paysages qui sont si beaux, si plaisants, réjouiront son passage sur Terre ! Quand même la famille, les enfants, sans compter les amis fidèles, délasseront de vos  embêtements. Quand même de toujours apprendre, de toujours découvrir du nouveau, empêchera d’éprouver la moindre lassitude. On se lasse de tout, dit un vieux proverbe, même actions et verbes si l’on n’en vient à bout. Que reste-t-il si on oblitère l’avoir qu’offre notre Terre, savoir qu’offrent les humains, que reste-t-il pour notre bien ! Demeurent, paysages naturels, inépuisable source atemporelle, par dizaines, centaines, milliers, personne ne se dit las d’admirer. Demeurent, la famille et les amis, formant notre cercle du sans souci, qu’ils soient dix, cent, mille, réunis, seul qualité compte, donne garantie. Demeurent, métiers qui auront évolué en autres savoirs, autres défis, de plus, qui nous forgeront, et forceront, en sus, à faire de notre vie continuelle montée. Montée vers qui, vers quoi, vers l’amour d’un jour, promesse de tous les jours, où s’enlacent,  jamais ne se lassent, amants s’aimant quand passions passent.

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  • + Las, lassé, lassitude, on sent comme une fatigue du désir et du plaisir : une passion s’émousse et disparait quand elle ne nous récompense plus, quand elle ne s’auto-stimule plus. Il y a dieu merci des choses dont on se lasse moins vite que d’autres parmi lesquels : la nature, l’art, le sport, le savoir, l’amour, le métier, la famille, la maison, le voyage, sans y mettre une priorité intangible. Le zapping continuel que nous impose les médias ou que nous privilégions pour avoir l’impression de tout connaitre et de tout contrôler, aboutit à l’effet inverse : il y en a trop dont on ne sait que faire ni où les classer : tout devient équivalent e de tout finalement on se lasse. Le matraquage publicitaire en est un bon exemple : pourquoi j’achèterais ce produit plutôt qu’un autre : ils se valent, plus rien ne les distingue, ne les privilégie. Il en est de même pour les rencontres : à force de rencontrer beaucoup de monde et personne, on s’en lasse et on les délaisse alors qu’il en suffirait d’une mais qui nous comble.

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  • & On se lasse de tout et, parfois, même de soi, que l’on soit valet ou bourgeois ou bien roi : quand on s’ennuie, on s’encroute, rien ne va,  y a plus qu’à  s’endormir  sur le premier sofa. Si, malgré moi,  je vous ennuie avec tout cela, c’est que vous avez l’esprit, ailleurs, en deçà des mots, images qui vous feraient plaisir.

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Textuels calligramme / extensions

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£ Lassé de tout, comment cela est-il possible ! Quand même d’avoir et, de quoi voir venir, réconfortera son moral. Quand même les paysages qui sont si beaux, si plaisants, réjouiront son passage sur Terre ! Quand même la famille, les enfants, sans compter les amis fidèles, délasseront de vos  embêtements. Quand même de toujours apprendre, de toujours découvrir du nouveau, empêchera d’éprouver la moindre lassitude. On se lasse de tout, dit un vieux proverbe, même actions et verbes si l’on n’en vient à bout. Que reste-t-il si on oblitère l’avoir qu’offre notre Terre, savoir qu’offrent les humains, que reste-t-il pour notre bien ! Demeurent, paysages naturels, inépuisable source atemporelle, par dizaines, centaines, milliers, personne ne se dit las d’admirer. Demeurent, la famille et les amis, formant notre cercle du sans souci, qu’ils soient dix, cent, mille, réunis, seul qualité compte, donne garantie. Demeurent, métiers qui auront évolué en autres savoirs, autres défis, de plus, qui nous forgeront, et forceront, en sus, à faire de notre vie continuelle montée. Montée vers qui, vers quoi, vers l’amour d’un jour, promesse de tous les jours, où s’enlacent,  jamais ne se lassent, amants s’aimant quand passions passent.

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  • + Las, lassé, lassitude, on sent comme une fatigue du désir et du plaisir : une passion s’émousse et disparait quand elle ne nous récompense plus, quand elle ne s’auto-stimule plus. Il y a dieu merci des choses dont on se lasse moins vite que d’autres parmi lesquels : la nature, l’art, le sport, le savoir, l’amour, le métier, la famille, la maison, le voyage, sans y mettre une priorité intangible. Le zapping continuel que nous impose les médias ou que nous privilégions pour avoir l’impression de tout connaitre et de tout contrôler, aboutit à l’effet inverse : il y en a trop dont on ne sait que faire ni où les classer : tout devient équivalent e de tout finalement on se lasse. Le matraquage publicitaire en est un bon exemple : pourquoi j’achèterais ce produit plutôt qu’un autre : ils se valent, plus rien ne les distingue, ne les privilégie. Il en est de même pour les rencontres : à force de rencontrer beaucoup de monde et personne, on s’en lasse et on les délaisse alors qu’il en suffirait d’une mais qui nous comble.

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  • & On se lasse de tout et, parfois, même de soi, que l’on soit valet ou bourgeois ou bien roi : quand on s’ennuie, on s’encroute, rien ne va,  y a plus qu’à  s’endormir  sur le premier sofa. Si, malgré moi,  je vous ennuie avec tout cela, c’est que vous avez l’esprit, ailleurs, en deçà des mots, images qui vous feraient plaisir.
  • # Rien ici

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Textuels symboliques et corrélations

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Vase

  • Symbolique de forme : Dans la littérature médiévale, le vase possède le sens de trésor. S’emparer d’un vase, est conquérir un trésor (Graal) ; briser un vase, est anéantir tous  trésor qu’il représente. Le vase alchimique, vase hermétique, signifient toujours le lieu en lequel toutes merveilles s’opèrent ; C’est  le  sein  maternel, l’utérus dans lequel une nouvelle vie se forme. D’où cette croyance que le vase contient le secret des métamorphoses.

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Blanc

  • Symbolique de fond : Le blanc n’est pas toujours considéré comme une couleur, or selon Michel Pastoureau : « Le blanc est la couleur qui donne leur équilibre, leur valeur et leur beauté à toutes les autres ». Dans la nature, le blanc « pur » est rare. En effet, dès l’instant où le blanc intègre des pigments, même en très légère quantité, blanc cassé, blanc bleuté, coquille d’œuf, écru… si dans le monde occidental le blanc est assimilé à la pureté, à la paix et qu’il est le symbole de la sagesse, l’innocence, la pureté et le divin, en Asie, il est la couleur du deuil. marieclaire.fr/maison/le-blanc-sa-symbolique-ses-harmonies

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Lassitude >

  • Liens fond/forme : Rien ici

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