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Visuels suggestion de scénario
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D’après la théorie, dite du Big Bang,
il y aurait eu une très forte explosion,
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d’après la théorie de l’Évolution,
il y aura eu un arbre généalogique,
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d’après la théorie dite de l’Expansion
gravitationnelle, l’Univers s’étendrait.
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Quelque chose… plutôt que rien ; quelque chose et qui serait bien ; quelque chose qui n’est rien ! De quoi s’interroger, douter. Curieux, logique, inquiet : ma quête demeure vaine, bien ne ménageant pas ma peine, je n’en suis pas satisfait. Faire l’ange, serait bête ; diable, serait malhonnête : l’humain doit rester lucide, pas question de penser à son suicide ! Pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ; pourquoi y-a-t-il tant d’animaux et un seul, humain ; pourquoi ma vie est-elle réduite à presque rien ; pourquoi l’humanité, l’univers, mystères de chien ! Toutes ces questions sur la Vie, sur la Terre, sur l’Univers me laissent sur ma faim si ce n’est ma soif du divin, et auxquelles aucune réponse ne me vient ni ne me convient. Curieux, logique, autant qu’inquiet, je poursuis ma quête, et même m’entête, tout en la sachant longue, vaine, infinie car de l’origine de l’Univers je ne capte en fait, que des légers bruits de fond du Big Bang, provoquant en moi autant d’incompréhensions. Notre Terre est le royaume de tous les contraires : ici, on tue, assassine, on venge ; là-bas, on sauve, chante, fête ; l’intelligent devient bête ; le démon, parfois ange ! Chacun de braire qu’il a raison de faire et pour de bon.
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- + Notre humanité fait aussi lit de tous les paradoxes : ici, on rit, là-bas on pleure, quand on ne pleure pas de rire ou ne rit pas en pleurs. D’un côté c’est la tête qui commande au corps de rire ou pleurer, de l’autre c’est le corps qui l’impose à la tête par ses automatismes ou ses réflexes. Pourquoi ceci, pourquoi cela, demande l’enfant, auquel le père tente de répondre par des métaphores ou des contes et quand il n’y parvient pas ou plus, est fatigué d’entendre ses questions, lui répond simplement : pourquoi pas ! De là nait notre curiosité, sur nous et sur toutes choses qui nous entourent et nous interpellent : l’enfant croit encore à la magie, souhaite pourtant que le monde ait un sens afin d’acquérir connaissance des plus explicable, raisonnable. Sa magie est une sorte de rite d’initiation à tout ce qui est trop compliqué à expliquer et plus tard, le savoir acquis sert de rite d’introduction à la part de mystère inexplicable. Entre magie, mystère, l’homme se situe à leurs frontières.
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- & Quelque chose plutôt que rien, interrogation mais à la fin, rien plutôt que quelque chose ! En somme on n’en sait pas grand-chose, rien. Alors, que cela nous fasse du mal, ou du bien, ne changera rien à notre condition d’humain.
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- # Rien ici
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Textuels symboliques et corrélations
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Vase peint
- Symbolique de forme : Dessin, sur vase peint est spécifiquement utilisé hors vie quotidienne en familles les plus aisées, voire aristocratiques, dans le cadre du banquet ou de la toilette. Certains étaient aussi choisis pour honorer les dieux ou les morts. Une céramique commune a été utilisée au quotidien. Elle fait l’objet de recherches de plus en plus approfondies et dès lors constituent la part la plus importante des peintures de Grèce antique, actuellement bien conservées. fr.wikipedia.org/wiki/Ceramique_grecque_antique
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Vase creux
- Symbolique de fond : Par sa forme, la grâce de ses courbes et sa fonction de réceptacle, le vase creux est un symbole féminin. Son creux évoquerait celui de l’utérus, le féminin, contenant les fluides vitaux. Dans l’art et les rites funéraires, le vase apparaît parfois en emblème de vie éternelle. Le symbolisme de la coupe (le calice) est, liée à des connotations opposées : l’une positive, signe d’un destin favorable ; l’autre négative comme urne funéraire. heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase
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Vase > symbole contenant contenu, n’être rien, pas grand-chose
- Liens fond/forme : Vase vide ou plein, vase creux ou non, vase lisse ou peint, vase n’est pas rien, vase est un symbole contenant et contenu : il est donc impossible, dès qu’il y aurait matières, de n’être rien, ou pas grand-chose.
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