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Visuels suggestion de scénario
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Vrai, faux : ou les deux à la fois,
quelque chose d’intermédiaire ?
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Une photo, production d’artiste pour
le moins difficile à voir, interpréter.
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Et celle-ci plus moderne est autant
essence de l’art serait être ambiguë.
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Juste milieu, intrication entre deux contradictions : voilà bien sagesse, dite libre, d’un esprit sain de gros calibre. L’homme oscille entre le mal et le bien, en confondant parfois les deux, les mixant : lors, dans un parti-pris, matérialiste, croyant, il se dit juge et arbitre entre l’animal et le divin. Quand on meurt, l’on finit de bouger et de braire, on ne vient plus s’entremêler avec les autres affaires. Nos comédies et tragédies sont finies pour nous : il n’y a plus ni d’âme, ni de mot, ni d’animot ! Tout ce qui tombe en notre escarcelle est toujours autant de pris : c’est un bon parti pris, bien matérialiste, qui donne la part belle à l’argent et aux bien matériels. Où est le mal, où est le bien, si l’on est tout, si l’on est rien, mon libre arbitre, contre le droit, me limite, par nature, dans mes choix : il reste qu’une infinité de possibles m’échoit pour prendre le meilleur par devers moi. Je ne sais pas le meilleur, pour qui ni pour quoi, mais plutôt qu’en être l’esclave, je préfère en être le roi : roi de mon ego, et de ma lignée qui, ma foi, me rend fier de mes acquis, et de mes passions, sans effroi. Peut-on vraiment être juste content d’être et de se dire, qu’à personne on ne me soumet ou encore se balancer entre « c’est sûr » et « peut-être », ou de se voir marcher, dans la rue, de sa fenêtre. L’homme est plein de paradoxes et tout autant de contradictions en dessinant son destin bien qu’en ignorant la fin, et, si nous ne sommes que des animaux, notre mort se résume, alors et au bas mot, à la mort de l’esprit, sans animot !
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- + Le juste milieu est possible à trouver mais difficile à conserver car si l’on ne bouge plus d’un pouce, le monde s’agite autour de nous : impossible de se la couler douce ! Où est le mal, où est le bien : personne n’est garant de l’un ou de l’autre tant ces deux valeurs sont toutes relatives le long d’un curseur qui varie avec les politiques et les événements du moment. Ici, c’est comme cela, ailleurs c’est autrement : « pourquoi ne changez-vous pas ». « Mais nous sommes très bien comme ça ; pourquoi ce ne serait pas à vous de changer ». Voilà qui résume des siècles de colonisation, d’évangélisation, de domination d’un peuple par l’autre.
- & À première vue, on ne voit rien dans une œuvre d’artiste puis on distingue des éléments étranges, mais sans liens, puis l’idée nous traverse que cela peut dire quelque chose et que nous réinventons, pour le mettre à la place de rien. C’est cela la magie de l’art : faire voir pour faire imaginer.
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- # Rien ici
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Textuels symboliques et corrélations
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Parfum
- Symbolique de forme : L’expérience de l’odeur dépend de la bonne transmission de minuscules particules en terminaisons du nerf olfactif. Nous ne pouvons pas le voir et pas les entendre. Pourtant, nous sentons qu’elle est définitivement là. Le parfum est symbole de quelque chose de très subtil, très délicat, quelque chose d’intangible, quelque chose qui est bien définitivement là, qui peut être perçu, qui peut produire certains effets, qui peut nous affecter même à distance.
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Distinction
- Symbolique de fond : L’article s’attachera à montrer la différence sociologique et théorique entre la distinction et la différenciation, entre un modèle de la distinction sociale et un modèle de la différenciation sociale. Pour cela, il examine la conceptualisation qu’élabore P. Bourdieu livre La distinction. Domination, holisme, élitisme et objectivisme forment les quatre caractéristiques de ce que l’on peut désigner comme conception structurale de la distinction. journals.openedition.org/rsa/3838
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Virtuel > arithmétique rien, parfum inexistant, IRM cérébrale
- Liens fond/forme : Rien n’est rien tandis que trois fois rien c’est déjà quelque chose et être moins que rien, c’est n’être pas grand-chose : un raisonnement des plus subtils, s’il en est, comme de sentir un parfum qui n’existe pas mais dont on crée la sensation. Drôle de mécanisme tout de même qu’une absence recrée comme une présence, rien que par la pensée.
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