552 – Quand sa belle… s’est endormie !

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Visuels  scénario

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Toute nue, lascive, au lit, forcément

elle est belle à croquer jusqu’à,

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552 2

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comment faire pour résister à telle

tentation de l’aimer, et ce, jusqu’à

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552 3

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se marier avec elle, et, si ce n’est pour

 la vie, tenter du moins jusqu’à.

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Textuel calligramme 

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  • Viol conjugal, marital, banal ou le droit de l’époux exercé sans consentement demandé, est un comportement animal. De quoi, à qui, plainte porter, accuser son mari de l’honorer, prétendre c’est pervers, tendre : discours peuvent s’entendre. Il n’est point question de mœurs, ni de moralité, sexualité : seulement du respect pour l’autre qui accepte ou pas une telle chose. Certains l’aiment chaud, brutal ; d’autres préfèrent les préliminaires. Ce qui se pratique avant d’être marié, peut varier après. Le couple est juge de ses pratiques ; le sexe n’est ni viol ni gymnastique. Une paire de fesse n’est pas lieu pour se permettre tout, au pieu. Quand sa belle s’est endormie, ses fesses à l’air, bien en rebond, voilà que son mari s’est permis de les visiter, et au plus profond. Sa belle est réveillée par son dard mais pour s’en défaire, il est trop tard. Le corps étranger mais mobile, éjacule et, en zones érogènes, tout en elle, macule. Cela ne lui aura pris qu’une minute, le temps pour la forcer, la pénétrer, en sa pulsion comme en vraie lutte, sans chercher à se faire désirer d’elle. Le voilà qui s’en va, qui s’en revient, visiblement, ça lui a fait grand bien. Il soutient qu’il n’a pas pu lui résister, s’avoue «prêt à payer» pour la sauter sans sa permission, ni consentement mutuel : est-ce un abus sexuel pour autant ! Quasi-viol : elle pourrait le poursuivre si ce n’était l’homme avec qui elle a choisi de vivre : le viol devient lot quotidien de nuitée parsemée de rêve virant au cauchemar. Même pensée, action, hasard, a tantôt droit de cité, tantôt perversité ! Jusqu’où, en elle, ne pas aller trop loin dans de telles postures, dite soumises, quand de telles possessions paraissent de mise à justifier mal pour un bien ! Dans le noir des divagations nocturnes, femmes, hommes, juste mariés, lors lune de miel s’adorent, se dévorent et pas une position ne leur échappe. Cent burnes en cent vases en ce mois de fleurs, leur procurent mille mêmes bonheurs !

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Textuel extension

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  • Faut-il croire pour autant qu’entre conjoints, tout est permis. En principe, oui, mais avec un consentement mutuel sinon c’est un abus sexuel. Souvent c’est le contraire qui se produit : l’homme tient en estime tellement sa femme qu’il n’ose lui faire part de ses fantasmes et encore moins les lui faire subir, voir infliger et se trouve une maîtresse de l’art.  La femme, dans l’acte sexuel, est dite passive et l’homme actif, ou le contraire ou les deux le sont tout autant ou tour à tour : il n’y a de loi ni de code de bonne conduite, régissant rapports ! Ce n’est pas le mari honorant sa femme rien que pour son désir, ce n’est pas la femme qui se tient à son service, pour son plaisir ! Pratiques, limites du sexe demeurent à fixer qu’au sein du couple car, qui peut en être le juge, au nom de quelle morale, religiosité : consentement reste la seule règle, intangible, de volonté et liberté.  Ce fantasme de la femme passive est révolu, tout comme celle de la culasse et du piston : ce ne sont là que propos de mâle ignorant, pour dominer la femme,  la rendre frigide. Cela n’empêche pas la variété en sexualité, bien au contraire, il s’agit juste d’échanger les rôles et les positions voire les équilibrer : ce n’est pas la mer à boire, pas sorcier.

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Textuels symboliques 

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Nudité

  • Symbolique de forme : La nudité désigne un corps qui n’est pas recouvert, symbolise: vérité, innocence, exhibition, grâce, érotisme. Cependant le sens de la nudité aura évolué au fil des siècles. Durant l’antiquité grecque, la nudité masculine est valorisée chez sportifs. Au Moyen Age, en Europe, elle était marqueur social positif chez les personnes de statut social élevé : le roi se montrait nu. Au XIXe siècle, la tendance commence à s’inverser : la nudité est considérée comme une infamie paysanne par les classes bourgeoises. Enfin, avec la libération des mœurs, notamment  depuis mai 1968, la nudité a commencé à être valorisée et mise en valeur par bronzage et bikinis. 1001symboles.net/symbole /sens-de-nudite-ou-nu

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Fantasme (union)

  • Symbolique de fond : La puissance du fantasme d’union amoureuse est telle qu’elle nous parait sans limites, l’homme étant représenté parfois comme un poulpe qui prendrait possession de l’autre, en sommeil ! Il ne s’agit pas d’un abus, d’un viol : on reste dans le domaine conjugal ou du consentement réciproque et c’est là toute la différence. Et même si cela se produit, pour moitié à son insu, car dans le cas contraire, il s’agit ni plus ni moins que d’un viol conjugal.

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Corrélations > Consentement,  viol conjugal,, liberté du couple

  • Liens fond/forme : Mis à part s’il s’agit d’un viol conjugal, c’est-à-dire  sans consentement marital, la pratique rapport sexuel dans une liberté  couple, ne regarde que lui-même, et personne d’autre. Cela ne voudrait pas dire que tout est permis, mais qu’il n’y aurait, a priori, aucun interdit ! Tous les fantasmes d’union sont dans la nature ; l’’érotisme en invente pour pigmenter le couple.

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