Qu’est-ce qu’une belle âme, belle intention !

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Visuels suggestion de scénario

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Une fille à qui on donnerait le bon Dieu

sans moindre confession …

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Des symboles du même Dieu, religions

 monothéistes ennemies.

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Une belle âme ne laisserait entrevoir

que son reflet de lumière.

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Textuels calligramme / extensions

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£  Si Dieu n’existait pas, l’homme l’aurait surement inventé afin de décharger en lui les peines qu’il n’a pas méritées : elles lui sont imposées, hasards, pour sa mise à l’épreuve, même si de paradis, d’enfer, nous n’avons aucune preuve. Il nous faut croire en des choses immatérielles, invisibles, en des promesses, des vérités, en des mystères indicibles, notre vie, notre âme, projet d’amour, étincelle spirituelle, nous sont donnés à la naissance, mais par qui : l’Eternel ! Toujours est-il qu’âme s’accroche et nous nous quitte plus, sauf à notre mort, pour aller où et pourquoi faire ensuite : la religion répond au Paradis, pour qu’enfin elle profite d’un bonheur, qu’elle a perdu sur terre, et qui lui serait dû ! Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est le bon ! On me dit que c’est inscrit dans les écrits, versets, refrains. Chaque religion serine : «lutte contre le mal : suis le bien» ! Ce sont des productions humaines…on connaît la chanson. A qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon. Serons-nous plus avancés d’avoir, sur néant béant, tout misé, rien ne nous est confirmé, personne n’est venu rien prouver. Qu’est-ce que je risque à croire que le pari de Pascal est le bon ! Qu’est-ce qu’une belle âme ! Un être paré des belles intentions, mais l’enfer comme chacun le sait, en est pavé jusqu’au fond. Jugez « en votre âme et conscience » dit-on aux jurés d’assises : rien en ce monde ne ressemble, peu ou prou, à terre promise. Pour les uns, notre âme est cachée, au tréfonds de notre être, pour d’autres, est tapie dans notre regard,  comme en miroir. Pour certains, vous la caresserez, à fleur de peau, peut-être : elle peut se trouver partout, nulle part, ni blanche ni noire. Catholique, islamique, bouddhiste, animique, ou mystifiée : les religions se vaudraient toutes par le principe du sacré, «Sacré Pater» et «Sacré Ave», hommes, femmes, imaginés pour qu’on puisse mieux les représenter, les chérir, adorer. Dieux, religions, ne sont pas vierges de sang sur leur mains : que de guerres, tortures, morts ont été perpétré en leur nom. Pourquoi faut-il se convertir, défendre telle ou telle religion, prophétisant meilleur lendemain en violentant son prochain. Chacun, en définitive, est libre de croire en ce, en qui, il veut, avant tout, l’important n’est-il pas qu’il passe sa vie heureux, et qu’il se cherche son propre chemin de vie, droit, tortueux, pour qu’à la fin il se dise, je le referais encore, nom de Dieu.

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& Une belle âme : qui dit cela de quelqu’un, quelqu’une ?  Personne, mis à part lorsqu’il s’agit du fait religieux ! On dit pourtant que l’âme n’est pas liée à la religion mais bien plutôt an principe de vie, qui nous agit. Serait-elle invention de l’homme pour se sauver de sa condition animale lui collant à la peau, mais pour quelle intention, pour quel paradis ?

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# L’intention dépend plus de la conscience que de l’âme dont on ignore l’existence sinon le contenu et voire les contours, que ce soit en raisons ou en amours. On nous parle d’une hauteur d’âme, quand l’intention est belle, humaine, c’est-à-dire totalement désintéressée comme si, par elle, par le bien, dictée !

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Textuels symboliques et corrélations

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Âme

  • Symbolique de forme : Le mot âme évoque un pouvoir invisible : être distinct, partie d’un vivant, principe de vie, d’organisation, d’action. Par son pouvoir mystérieux, elle suggère une force supranaturelle, un esprit, un centre énergétique. Affirmée par la religion, rejetée par la science, l’âme est une imposture : pas d’âme au bout d’un scalpel. Elle est acceptée  comme  évocatrice d’une invisible puissance et provocatrice, d’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.

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Tête

  • Symbolique de fond : La tête est la partie qui domine le corps, le  siège de  la  pensée et de la communication. Elle symbolise : l’identité, l’émotion, et  l’intelligence, la communication, la volonté, la partie du corps  la plus  sensitive. En effet, elle concentre la vue, l’ouïe, l’odorat  et le goût, partie du corps qui renferme le cerveau, le siège de la pensée, contrôle de l’ensemble des comportements. La tête est donc la partie la plus importante et de loin, la plus complexe de tout le corps, représente l’interface entre le monde extérieur et la réalité intérieure. Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-tete

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Intention >

  • Liens fond/forme : La tête est perçue comme étant le siège de «l’âme» et  organes, processus, facultés,  sans qu’un neurologue n’ait su où la placer : de dire qu’elle est belle si on ne sait pas même ce que c’est où elle est, ni ce qu’elle fait,  nous survit. On ne sait sur l’avant-Big bang. Y a-t-il confusion entre âme et conscience, d’un côté, et entre science  et conscience, de l’autre ! De même que nous avons cerveau gauche, rationnel et  cerveau  droit, poétisée, émotionnel, imaginaire et un corps calleux, au milieu, connectant les deux ! Une vision un peu simpliste, voire mécaniste, s’il en est. C’est un mythe qui perdure, tout comme notre âme comme nous ne pouvons guère nous passer d’eux, nous persistons à les croire voire à les renforcer.

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