62 – San Sebastian de La Gomera

<<  Calligramme et symboliques

 .

Visuel scénario

.

62 1

.

Belle vue aérienne de l’île de La Gomera,

des plus rondes,

.

62 2

.

 et la ville de San Sebastian à La Gomera,

Tenerife au fond

.

62 3

.

et le port et la Marina et le débarcadère

de San Sebastian.

.

.

Textuel calligramme 

.

  •   Chaque ile est de nature très  différente et, certaines sont des plus  aimantes tandis que d’autres, des moins  attirantes. La Gomera est unique, tout comme  La Palma ! Elle est de taille humaine, elle est des plus reposantes pour le corps, le cœur,  l’esprit, pour marcher en différents pas : lors toutes nos virées sur elle, ne seront que pour l’explorer, elles conduisent assurément, vers la plus saine tranquillité. Ses sommets et ses forêts primaires, sont parmi les plus extraordinaires. Sa capitale est un havre de paix : nulle agitation ne vous agresse, à part la tempête qui vous défait, lors sans voix, ni geste, elle vous laisse.  Le port et la ville, ne font qu’un ! Le port est en une anse profonde, abrite les bateaux, les baigneurs, de calme, tranquillité et douceur et tout y est fait, pour le bonheur des touristes, et, tout un monde, qui y débarqueront chaque matin. San Sebastian s’étend sur vallées, bien que montant sur les collines, le centre est tout plat, et, la place de l’église rappelle les temps fugaces des humains comme races vivaces ajoutant  ses couleurs  aux ravines, toutes entourées par des monts pelés. L’atmosphère y régnant, est originale, à plus d’un titre : charme et accueil, silence, loin du stress grandes villes, et de toutes les oppressions mercantiles, qui vous agressent, dans d’autres iles. Venir à La Gomera, est loin d’être un écueil, bien que loin de la capitale régionale. On fait vite le tour, on prend vite ses repères, car la ville est à dimension humaine. On s’y sent bien lors on s’y promène, lors à Las Palmas : l’on s’y perd.

.

.

Textuel extension

.

  • Plus une ile est petite et peu fréquentée, plus elle est nature et belle, plus demeure, en elle, parfum de jeunesse éternelle. La Gomera est l’exemple d’ile à taille humaine ! Une petite cité, capitale, de cinq mille âmes et tout autour quelques bourgs d’un millier à peine ; une route qui en fait le tour ; un parc forestier qui occupe une grande partie du centre. Voilà un descriptif dont on rêve quand on est moitié navigateur et moitié randonneur. Pour y avoir passé presque une semaine en son port pour se réfugier d’une tempête  de mer et essuyer plus forte tempête de terre, La Gomera nous aura donné une image d’elle, sauvage et contrastée. Cette ile rebelle où la végétation est inversée constitue pour nous une curiosité à nulle autre pareille et l’une de nos préférées !  La Gomera est une ile ronde, à l’instar de Gran Canaria, avec très peu de côte plate  tant son relief est volcanique, néanmoins des plus attachantes et des plus authentiques, qui n’aura pas peur des marcheurs, faisant parfois la fiesta ! Sa particularité est qu’elle est verte en son centre et hauteur, et sèche, désertique, rocheuse tout en bas jusque bord de mer. Son port est construit sur la mer, protégé par une longue digue. Son parc naturel, Patrimoine Mondial de l’UNESCO et biosphère, ne manque pas d’airs, grâce à se siffleurs avec leur dialecte Silbo.   Ile de La Gomera : un peu de mon cœur est resté là-bas, si destinée pour grande randonnée que je ne cesserais pas d’en faire le tour sans jamais totalement l’explorer, la connaitre. Un vrai, et un pur, monde à l’envers … s’il en est : complétement sec, tout autour, au pied de la mer ; luxurieusement vert en son centre et ses cratères. Pour être ronde, on ne peut plus, on ne peut guère : on la dirait issue d’un seul volcan écoulant ses laves de tous les côtés, et de manière quasi systématique.  On y trouve des pinsons et des merles siffleurs qui auront fait des émules parmi les bergers, non pour communiquer avec leurs moutons : entre eux de vallée, mont, versant à l’autre, qui perdurent de nos jours, d’actualité.

.

.

Textuels symboliques 

.

.

Fusain

  • Symbolique de forme : La calcination du bois de fusain permet d’obtenir un charbon sec et léger, fusain des dessinateurs ; surnom de Bois à lardoires qui traduit son utilisation pour fabriquer broches, aiguilles, Fuseaux, navettes. Son grain est  très fin, jaune, rappelant celui du buis mais moins dur. Le nom de «fusain» que porte cet arbre lui vient de l’ancien usage de faire des fuseaux avec son bois doux et flexible. Luminessens.org/post/2017/09/07/le-fusain

 .

Mégalithe

  • Symbolique de fond : Les mégalithes sont des constructions utilisant des blocs de pierre de grandes dimensions datant Néolithique Européen des  IIIe   et IIMillénaires  avant. J.-C. Construction de monuments de dizaines  de  tonnes, provenant parfois de plusieurs dizaines de kilomètres, suppose une structure sociale évoluée. Modifié, source : Wikidia

 .

Corrélations > Pierre levée, formes, pérennité, phallique, altière

  • Liens fond/forme : Mégalithe avez-vous dit, appelée, aussi, pierre levée. Il y en a de toutes sortes, toutes origines et de toutes formes. Sa matière, et son côté statique et de pérennité ne correspond pas, ou plus, à  l’agitation de l’ile de La Gomera ni d’aucune autre des Canaries, taillé en roche dont ne verra que les deux tiers, elle n’en est pas moins phallique et altière.

.

<<  Calligramme et symboliques