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Visuels suggestion de scénario
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Le mystère de la religion
comme une foi en Dieu.
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Le mystère de la Science
comme hypothèse valide.
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Le mystère de notre mort,
comme tunnel lumineux.
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Textuels calligramme / extensions
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- £ Dans toute affaire, pénales, civiles ou d’Etat, il subsiste des zones d’ombre, des zones de flou, empêchant de juger en toute clarté, toute évidence. Et pourtant les faits sont bien là, avérés, certifiés mais on ne peut ni les relier ni les interpréter, cela ressemble à un puzzle incomplet. Le mystère peut durer dix, vingt ans : soudain, quelqu’un, quelque chose en fournit la clé et ainsi va la vie. Vous ne saurai jamais si : là est toute la question ! Nulle réponse ni solution, et le mystère ne s’éclaircit. Est-il coupable ou bien pas, s’est-il suicidé dans prison ! Est-elle enceinte ou pas, ou secret de contraception ! Savoir est une pure curiosité lorsqu’il s’agit de vie privée, savoir préside à une destinée à laquelle l’on sera associée. J’aurais bien aimé savoir si pour cela il faut être souris et être présent sans être vu, pour voir, de vérité, l’aperçu. Si je ne suis ni dans l’action, ni dans la tête, ni dans la confidence, toute hypothèse mise en balance, fournira fausses interprétations. Savoir n’est ni inférer, déduire : info, preuve, aveu, témoignage, sont les seuls à pouvoir induire la piste, pour de vrais lignages. En vrai, vous ne saurez jamais si ce message aura quel qu’intérêt pour vous, si vous ne l’avez… lu, pour dire après : «si j’avais su » ! Le mystère peut durer vingt ans puis, quelqu’un, quelque chose, en fournira la clé : ainsi va la vie, ainsi vont les vérités, ainsi vont les roses.
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- + Quand on parle de mystère, on parle plus souvent de religion, voire de magie ou de phénomène inexpliqué mais parfois aussi d’un crime non élucidé : ce ne sont pas les hypothèses qui font défaut, l’imagination est au pouvoir, mais les preuves tangibles, les actions avérées, les témoignages, déclarations, les aveux. Selon le Larousse : « ce qui est inaccessible à la raison humaine, d’ordre du surnaturel, obscur, caché, inconnu, incompréhensible. Événement inexplicable, aventure énigmatique » Y a de quoi se pencher, sans fin, sur la question, sauf à en détenir la clé, elle- même en possession d’un personnage mystérieux. Écrivains, policiers, journalistes, juges, à vos plumes pour tirer tout cela au clair. À défaut de preuves suffisantes et témoignages étayés, le juge aura prononcé la relaxe, un non-lieu, un acquittement, un renvoi. Ce qui est certain, c’est que quelqu’un de mort emporte avec lui une part de son mystère et à jamais.
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- & La religion a coutume de trancher net entre deux vérités ; la science argumente le pour et le contre et le démontre ; la mort, elle, tranche, et définitivement, et sans explication. Dans ces trois domaines, une part de mystère, demeure, mais personne ne pourra jamais la réduire totalement. Foi du charbonnier… affaire classée… mort déclarée : qui peut dire que toute la lumière a été faite sur ceci ou cela ?
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# On parle plus souvent de part d’ombre, d’informations cachées, voire erronées, que de mystères, qui nous échapperait et pourtant on en crée volontairement. Que serait un auteur auréolé de mystère ! Roman Gary a tenté pour le prix Goncourt, avec son second, d’Émile Ajar : provocation ! Le mystère a fait flop sur sa vraie identité. Dans les crimes non élucidés, et il y en a, le mystère tombe parfois en détail révélé. En matière de miracle, nombre d’entre eux auront donné lieu à explication plausible.
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Textuels symboliques et corrélations
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Trancher
- Symbolique de forme : Symboliques de la justice : Les yeux bandés ; La balance constitue le symbole le plus ancien de la fonction de juger. Elle est représentée dans des mythologies antiques comme moyen de peser les âmes après la mort pour la valeur d’un individu. Le glaive, symbole de puissance, rappelle quant à lui que la justice n’est rien sans la force qui permet de la faire appliquer tant juger ne consiste pas seulement à examiner, peser, équilibrer, mais bien encore à trancher et à sanctionner. Source : Wikipédia justice
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Alea jacta est
- Liens fond/forme : locution latine signifiant « le sort en est jeté », ou « les dés sont jetés », que Jules César aurait prononcé 49 av. J.-C. Avant le passage du fleuve Rubicon. Ce qui peut signifier que l’individu s’en remet à la chance, aux événements sur lesquels il n’aurait aucune emprise, n’ayant plus la possibilité de revenir sur ce qui a été commis. fr.wikipedia.org/wiki/Alea_jacta_est
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Mystère :
- Liens fond/forme : Trancher : c’est dur, coupant, définitif, et lors parfois injuste mais comment faire autrement, en l’absence de preuves tangibles, et il en serait de même de la justice que pour religion, science et éternité, tant qu’ils garderont toujours une part de mystère qui, au four et à mesure, qu’on le dévoile, s’éloignera d’autant jusqu’à rester aussi inatteignable ! Quand on dira : « alea jacta est », on n‘attend pas que tout s’éclaire.
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