425 – Si ce poème, que je t’adresse, devient pour toi

<< Calligramme et symboliques 

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Visuels scénario

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Poème ne serait pas simple à lire

mais belle expression graphique,

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écrit à la main, de là à en faire

un recueil entier inspiré de lui,

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peut être plus simple, simpliste,

bien que complexe à déchiffrer.

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Textuel calligramme

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  • Adresser un poème à quelqu’un est comme se mettre à nu devant lui : chaque mot, chaque rime, chaque sonorité, fondra en émotions, confondra ses sentiments. C’est aussi prendre le risque de devenir incompris par un style, une langue, un propos, qui divertit mais ne s’adresse pas au cœur, qu’à l’esprit lors les hormones font leur effet garanti. Derrière un poème sinon à l’intérieur, il y a aussi un regard, une voix, qui peuvent alimenter un rêve qu’un beau jour achève. Au sein d’un poème, précis ou bohème, il y a l’intention d’une émotion suivie par une action. Si ce poème que je t’adresse, devient, pour toi, une caresse, celle de tes mains qui m’aiment, revient, en moi, comme un poème. Si ce regard qui te dévisage, devient, pour toi, un subtil nectar, celui en réponse, qui m’envisage, revient, en moi, comme un regard. Si cette voix, berçant tes oreilles, devient, pour toi, silence d’éveil, celle de ton cœur, tout à sa joie, revient, en moi, comme divine voix. Si ces pensées abreuvent tes rêves, durant des jours et des nuits sans trêves, il te faudra croire que quelqu’un bien aimé, habite, harasse, hante, harcèle, ta pensée. Si, pour toi, ce poème épouse ton regard qui te plonge en sa voix, d’un délice rare, dont les pensées te portent en fonts baptismaux, c’est sûr que tu sortiras guérie de tous tes maux.  Mais ce qu’il faudra lire dans ce poème, ce n’est pas tant les phrases, les mots, que les silences, les musiques, les images, qu’il véhicule pour toi seule, ou en partage.

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Textuel extension

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  • Les messages et pensées entre les mots, les lignes de textes, sont comme les silences, les soupirs entre les notes, portées musicales, sont comme les couleurs cachées, ou rajoutées,  entre les coups de crayons, pinceaux d’un tableau.  En cela, ce poème, exprime bien moins que la réalité, bien en deçà, autant que bien plus, en tous cas, au-delà.  Lecteurs, transcrivant les mots de l’auteur dans les siens, s’accordent avec sa pensée, son intention, ou s’en sert  comme prétexte pour y superposer son propre texte,  tenant compte de son propre contexte ou autre. C’est la différence entre ce que l’on a ressenti, le lisant, et ce qu’a voulu exprimer l’auteur. Mis à part un commentaire circonstancié et explicite de l’auteur, comment analyser un poème sans savoir pourquoi il a été écrit.  Ce poème, écrit en forme de toupie, peut vous donner le tournis, et ce d’autant qu’il dérive vers autres propositions d’inspirations. Lors associant des formes et illustrations qui l’anime ou prolonge, si certains adhèrent au format et contenu, d’autres s’en indiffèrent, mais il suffira qu’il en rende un heureux pour que le but soit atteint !  Des contenus de poèmes, il y en a cent et mille, des formes, moins, tout de même des dizaines, certaines sont versifiées, codifiées, de partout tandis que d’autres sont libres,  au fil de l’eau. Contenus, formes des miens sont divers, variés, adoptent des présentations  évoquant, soit un objet, soit une personne, une silhouette, personnage et qui illustre une symbolique qui s’y rattache. Qu’on l’appelle poésie graphique ou narrative, n’a pas grande importance, j’ignore catégorie, l’essentiel est le ressenti personnel, l’émotion que l’on en retirerait en plus de l’information. Tu peux te sentir concerné, comme interpellé ou demeurer centré sur le contenu informatif, sachant qu’il n’y a pas une seule façon de lire : quatre autres visions sont autant expressions. Deux symboliques, s’adressant à l’imaginaire, viennent dériver, compléter les formes poétiques, l’une concernant la forme et l’autre plus le fond, offrant nouvelle palette culturelle d’expressions !

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Textuel épilogue

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  • Entre un mot, un billet, un texte, adressé à celui, celle, qu’on aime, et un poème de quatre, cent vers : différences sur le fond, la forme ! Texte linéaire est suite de mots, phrases, paragraphes ou textos, il suit le fil direct d’une pensée, il peut être amendé, à volonté. Poème est comme jaillissement, mise en forme, le fond, influant, s’il se compose aussi, à la volée, il a ses règles propres, imposées. Le texte est plus propice au récit, à la personnification et la raison ; le poème vise avant tout l’émotion, le style est essentiel dans ce qui est dit. Certains préfèrent improviser un toast, au cours d’anniversaire, cours de fête, d’autres liront un texte voire un poème : tous s’adressent à l’auditoire, au public.  Écrire un poème rien que pour un aimé, sera renforcer un lien d’un ordre privé : lui seul en a l’accès, lecture, ressenti, se verra à répondre plus que merci. On est en droit de détester poésie, surtout étant écrite de travers : la vie ne se conte pas en vers, quelques mots suffisent : on a saisi !

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Textuels symboliques 

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Poésie

  • Symbolique de forme : Le symbolisme est un mouvement littéraire de  la fin du XIXe siècle en réaction contre le Naturalisme et Poésie parnassienne.  Ils utilisent la suggestion en vue d’établir des liens et des correspondances pour donner une vision symbolique, spirituelle, du Monde et ils jouent également avec la musicalité des mots. schoolmouv.fr › …› Mouvements littéraires

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Poésie narrative 

  • Symbolique de fond : La poésie narrative est un courant de la poésie qui, sans renoncer à sa dimension expérimentale ou à une certaine forme  de lyrisme, exploite  des matériaux divers en usant des images, et formes, ou en incluant des fragments discursifs, s’appuie sur le rythme et l’oralité, non pour cacher le sens mais pour le révéler selon le site Web Wikipédia. En serait-t-il ainsi pour mes  Éclats d’existence : je n’ose y souscrire et lors,  je vous laisse en juger par vous-même !

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Corrélations >contenu poésie, lien avec formes, diversifier

  • Liens fond/forme : Un poème dédié, adressé à une personne, réelle, ne peut tout à fait être pareil qu’à tout un chacun,  en second cas, on sera dans une écriture virtuelle n’attendant ni d’impression, ni retour, immédiats mais le personnel n’atteindra plus lors l’universel. Et une poésie, qu’est-ce c’est d’autres qu’un texte composé d’une suite de mots dans un contexte, qui, pour une cause ou autre sert de prétexte à des vers rimés, libres, ou mixtes : connexes ! À l’image de la toupie, une poésie tourne un temps restreint, trace un trait, s’épuise, impressionne ou non un spectateur, tout comme cette forme, un lecteur voyant ou non rapport entre eux. Le contenu d’une poésie reste lié, quoiqu’on fasse, quoiqu’on dise, à ses formes et il y en beaucoup, et que je m’efforce de diversifier.

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