.
Visuels suggestion de scénario
.
.
D’abord savoir de quoi
on est capable, compétent
.
.
ensuite, toujours
développer une estime de soi,
.
.
enfin, savoir de qui on tient
et où est-ce qu’on va !
.
.
Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Ami-ami avec soi-même, c’est être bien dans sa peau, c’est être bien avec les autres, c’est positiver chose, événement. Si l’on est ami-ennemi avec soi-même, cela révèle un conflit, latent, intérieur, qui ne se résout qu’en trouvant la paix, et en la faisant avec les siens et Monde. L’ennemi ne serait pas celui qu’on croit quand on projette, sur lui, sa mauvaise foi alors qu’on ne la doit qu’à soi-même au point d’en être la victime extrême. Si l’on tient à faire «ami-ami» avec soi-même, il vaut mieux connaitre ses joies, ses peines, sinon c’est un combat sans fin, à perdre haleine où on finit par tout haïr, même ceux qu’on aime. L’ennemi est intime quand on a peur de soi-même et que l’on se prend pour un autre, d’identité un peu bohème. L’ennemi est intime quand on envisage, déjà, son refus : la honte suprême pour lui avoir montré à quel point on l’aime. Comment faire la guerre ou la paix avec l’intime, comment être simple tout en voulant être sublime ! Ces deux défis ne manquent ni de piquant ni de sel, pour ne pas se compromettre auprès de lui ou d’elle. Mon ennemi caché, ennemi, juré, est très intime, ce n’est pas souvent l’autre qui l’est, c’est moi-même. C’est difficile de se déclarer en être la victime, quand on est soi-même son propre bourreau à l’extrême. Des ennemis, on en a tous quelque part au sein de sa famille ou de son travail ou de son voisinage. Ils ne le sont pas devenus par hasard et il est impossible de plaire à tout le monde, où que l’on aille.
.
- + Si l’on tient à faire «ami-ami» avec soi-même, il faut déjà s’aimer soi-même, s’apprécier tel qu’on est. « Je ne vaux rien, je ne suis rien, je me hais ». Toute négation de soi abolit toute possibilité de retrouver toute confiance en soi, et donc, par ricochet, dans les autres. Dans une guerre intestine, sans pitié, entre soi et soi, on est certain qu’il n’y aura que des perdants. Pour sûr, dans la vie on n’est pas toujours gagnant mais dans l’échec, il ne faut pas se tromper d’ennemi ! « Je n’aime que moi » est aussi mortifère que « je n’aime que les autres ». S’aimer soi-même, dans une juste mesure, n’est pas enlever un peu, voire beaucoup aux autres : l’estime et le respect sont deux valeurs qui se partagent, se répandent, dès lors qu’on les pratique déjà pour soi : ne pas faire aux autres ce qu’on ne ferait pas pour soi !
.
- & Pour être ami avec tout autre, il faut l’être d’abord avec soi : cela s’appelle «l’estime de soi». De soi, en être, comme en apôtre. Si l’on est son propre ennemi, amitié sincère … non permis : on dénoncerait les compromis. Faire ami-ami, avec soi-même, sera plus dur qu’avec tout autre : car ne vous séparerez pas de vous.
.
- # Faire ami-ami avec soi-même, c’est avoir de la considération, du respect, de l’estime pour soi, juste une question de confiance ! Ça parait simple, évident, naturel, au final, ça ne l’est pas tant que cela : tant de gens douteraient d’eux-mêmes avant même de douter de tous les autres. A contrario, il y a des gens ne doutant de rien et surtout pas d’eux-mêmes, dira-t-on des gens n’ayant peur de rien, respectant pas grand-chose, se sentant, se disant, supérieurs en tout aux autres.
.
.
Textuels symboliques et corrélations
.
.
Ours (animal)
- Symbolique de forme : L’ours animal fut considéré comme le double de l’homme, un ancêtre tutélaire, symbole de puissance, de renouveau, du passage des saisons, même royauté puisqu’il fut symboliquement le roi des animaux en Europe. L’ours fut également un symbole de protection très prisé en Chine. L’ours est le symbole de la transition entre pulsion animale, et maîtrise humaine. L’ours est donc le symbole de la maîtrise des instincts et voire de la bestialité. guillaumedoucere.canalblog.com/archives
.
Ours (peluche)
- Symbolique de fond : Époque moderne, l’ours est associé aux enfants par l’ours peluche, devenu l’un des jouets les plus populaires de tous les temps dans le Monde. Ainsi sont apparus les «ours mignons» qui consolent les enfants et en particulier dans de nombreux films, nombreuses séries, ainsi que les confiseries en forme d’ours. Le lien symbolique entre l’ours et l’enfant est purement affectif, voire émotionnel et l’animal familièrement surnommé « Nounours » ou « Teddy bear ». Wikipedia : Teddy bear
.
Ami > ami, ours, enfant, soi-même, tout le monde
- Liens fond/forme : Ami, ami avec un ours peluche, allez donc le faire avec un vrai. Il faudra innocence d’un enfant pour croire à la douceur d’ours. Cet objet, fétiche, parfois doudou, le rattache à lui-même, et à vous, simule amour autre que parents être unique parmi tout le monde qu’il jetterait s’il était immonde.
.