245 – Stéréotypes de Madériens

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Visuels scénario

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On dirait un drapeau flottant sur un bateau

d’exploration  jusqu’aux confins du Monde.

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Leurs  lévadas sont nombreuses, diverses,

 étant plates, peu fatigantes en randonnées.

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Rares maisonnettes, colorées, authentiques,

se sont restaurées pour tradition, tourisme !

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Textuel calligramme 

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  • Ah ces madériens : qu’on les aime bien, sur leur rocher, isolés de tout,  sauf d’amitiés. Leur vie est encore rude, moins qu’au siècle dernier où ils ont dû creuser lévadas pour irriguer leurs… cultures. Habitants entre montagne et mer, de leur madère ils s’en disent fiers, même ils font concurrence au Porto, et font du pain dénommé caco de bolo. Que dire d’autre sinon qu’ils font la fête, qu’ils accueillent les touristes en cousins et non les parquent en des cités fermées leur ile et eux ont pour devise : partage, on peut les voir comme humains sages, ce qui ne se dément lors fréquentation. Un tempérament d’iliens malgré tout, les distinguera de leur Métropole : à la fois dépendant, autonome, pour tourisme et agriculture. Pour les avoir fréquentés, par deux fois, quinzaine, joie de vivre entraine, à y revenir contents : contents d’y être, non de paraitre, tant éloigné de société.

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Textuel extension

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  • L’île de Madère est comme une chaine de montagne en pleine mer, loin de tout, loin du continent. Le climat est changeant et la terre plutôt aride, sauf en quelques endroits ? Dans l’ensemble, c’est très vert, du moins sur le versant ouest et nord car à l’est et au nord, çà l’est nettement moins. En tant que portugais, les résidents sont accueillants et ont le sens de la fête, plus encore que sur le continent : tourisme oblige, mais pas que. Nous avons eu, pendant nos deux séjours, huit jours de pluie, huit jours de beau temps : c’est normal, après tout : le climat est comme le temps : hebdomadaire !  Drapeau  explorateurs, lévadas agriculteurs, maisonnettes de cœurs : trois emblèmes connus mais que ne résume pas l’identité de cette ile où il fait bon vivre, et faire des randonnées, ou bien, faire les marchés. Les fêtes y sont nombreuses durant saison, l’été et surtout sur le port au point qu’on ne dort guère avant minuit, et presque tous les jours !  Pour visiter pays montagneux, volcanique, on est servi : l’aéroport a dû être construit, pour moitié  sur la mer : impressionnant !  Cela dit : pas d’avantage  que leurs  lévadas, sillonnant l’île, à flanc de côtes, d’est en ouest. Les gens restent aussi affables et accueillants que ceux que l’on a fréquentés sur le continent : moins de visiteurs mais encore plus de chaleur. Pour avoir participé aux fêtes et ventes locales, on sait ce que l’autarcie aura signifié, pour eux.

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Textuels symboliques 

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Vin de Madère

  • Symbolique de forme : Le vin de Madère est un vin liquoreux, originaire du Portugal, produit au cœur de l’archipel de Madère. À l’origine, il était enrichi en alcool par mutage (technique pour préserver une partie du sucre dans le vin  afin de supporter de longs voyages dans les soutes chaudes et humides des navires, qui  accélère son processus de  vinification. Un hasard qui poussa les Madériens à mettre au point, dès le XVIème siècle, une technique de maturation permettant d’obtenir ce vin liqueur.      academiedugout.fr/ingrédients/madere_278 

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Cave

  • Symbolique de forme : Comment se fait-il que mon subconscient m’ait envoyé un rêve de cave ? Il veut me dire quelque chose. Des  autorités du  monde  onirique affirment que rêver d’un baril indique que nous serions des personnes patientes, que nous ne perdons pas souvent les nerfs et dès lors que nous visiterons une cave, nous y verrons de nombreux tonneaux, fûts ou barils empilés et renfermant des boissons qui  peuvent  parfois y rester  plus de 20 ans, ce qui Indique tranquillité intérieure. lefrontal.com/fr/signification-des-reves-de-barils-de-tonneaux-ou-de-futs

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Corrélations > habitants, mérite, lévadas, autonomie, touristes  

  • Liens fond/forme : L’ile de Madère, ainsi que celles les Acores, feront partie des iles les plus accueillantes que nous ayons connu en toutes croisières. Leur trait commun : toutes sont portugaises ! De Madère, on ne connait souvent que le vin, or tous les habitants demeurent aussi divins. Il faut dire qu’ils ont eu du travail, du mérite, pour transformer leur rocher en terre fertile, en construisant tous leurs lévadas  pour y survivre durant des siècles en autonomie et, aujourd’hui, accueillir touristes, en amis.

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