679 – Comment conter fleurette à une… alouette !

Visuels et textuels  >>

.

C’est  belle expression

Ancienne, romantique

D’avant   la   évolution

Moderne   et  sexuelle,

Reprise    aujourd’hui,

Pour tenter sa chance

Près d’une  inconnue.

.

Auprès d’une alouette

Et qui passait   par là

Qui se trouvait seule

Perçue    en    proie.

.

Facile,   disponible

Libre de s’éloigner

Monter très haut,

Être inaccessible.

.

Raconter sans filet sans procès, regret,

Écrire ces mots  sans apprêt, sans effet,

Finir comme cela, hasard vite bien fait,

Histoire de voir s’ils sont bien parfaits.

.

Parfaits pour vous en conter, fleurette,

Heure étant dédiée  au plaisir  et  fête,

De vous raconter  la  belle  amourette,

Vous plaisant à vous mettre  en quête

D’un amour fou  qui vous  consolera,

De tous  prétendants  qui,  à tout va,

N’ont que sexe, en tête,  sur vos pas.

.

Croient que, votre cœur leur cédera,

Or votre cœur est comme forteresse

Qu’on ouvre  que  par  des caresses,

De votre âme, ou par ruse,  finesse,

D’un écrit qui aura trouvé adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul  parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,  trois en lit.

.

Vous, lui, l’amour qui  vous  réunit,

La place sera prise, voilà qui réjouit

Un amour déçu qui n’attendait plus

De la vie que  temps de survie vécue

En l’ombre  d’un destin, entraperçu,

Tardant à  venir, ne serait pas venu.

.

Eh bien non, l’on recommence tout,

L’amour n’est pas ainsi, est partout,

Celui-là, autre, il faut   qu’il soit fou,

Pour vous aimer, malgré lui et vous.

.

Voilà j’ai fini ma chanson, sœurette,

À quoi vous servirait d’être coquette,

Si vous ne l’apprenez,  restez muette,

Alors qu’autour, amour  vous guette,

Sans filets, sans procès, sans regrets.

.

.

Extensions

 .

Faire la cour, ou bien conter fleurette,

On n’emploie plus ces expressions

Aujourd’hui, devenues désuètes

Après  la révolution  sexuelle,

Bien que le souci et besoin

D’être désirée demeure.

On  parle  de « flirts »

Pour   des   caresses,

Et des embrassades,

On parle de « passe »

Relation sexuelle tarifée,

Et  on parle  de « plan Q »

Pour une envie  de conquête

Le soir même, dans son au lit :

Tout cela n’aura rien d’engageant,

Ressemble passe-temps ou gâterie.

.

Amour, amourette … confusion des émotions, des sentiments ?

Allez savoir, allez comprendre, allez moraliser

Y- a-t-il tromperie intention, objet, marchandage, marchandise

Et le sait-on plus qu’avant, que pendant, après

Toujours est-il que, consentants, qu’y aurait-il de grave à redire !

.

 Aventure, badinage, caprice, idylle,

 Intrigue, liaison, passade, béguin,

 Flirt, tocade, voire  toquade, etc.

Sont synonymes d’amourette.

.

L’amourette serait éphémère

Sans suite ni conséquences,

Une sorte de banc d’essais,

Pour savoir qui nous plait

.

Lors à ce qu’il nous évoque,

Si consentement, réciproque,

Il n’y a rien en cela qui choque :

Qu’un faux amour qu’on convoque.

.

.

679 – Calligramme 

 .

C’est l’expression………..……

Ancienne et romantique…….……

       D’avant   V     la révolution…………..……

    Moderne      A   et …… sexuelle…….………

     Et reprise        *          aujourd’hui…….………

Et pour tenter  D        sa chance…….……

Près d’une          O       inconnue…………

Auprès d’une     N     alouette…………

   Et qui passait    C       par là…………

 Qui se trouvait *   seule………

Perçue  en   proie…………

       Facile, disponible…………

            Libre de s’éloigner…………

             Monter   très haut…………

                Etre inaccessible. …………

.

Raconter sans filet  C    sans procès, regrets,

Écrire ces mots       O    sans apprêt sans effet

Finir comme cela    N   au hasard vite bien fait

Et, histoire de voir   T     s’ils sont bien parfaits.

Parfaits pour vous    E         en conter, fleurette,

Heure étant dédiée    R           au plaisir  et  fête,

De vous raconter la     *           belle  amourette,

Vous plaisant à vous    F          mettre en quête

D’un amour fou qui       L       vous consolera,

De tous  prétendants       E      qui, à tout va,

N’ont que sexe en tête,     U      sur vos pas,

Croient que, votre cœur     R   leur cédera,

Or votre cœur est comme    E   forteresse.

Que l’on ouvre que par des  T   caresses,

De votre âme, ou par ruse   T      finesse

D’un écrit qui aura trouvé  E   adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,    trois en lit.

.

 Vous, lui, l’amour       À  qui vous réunit,

La place sera prise    *   et voilà qui réjouit

  Un amour déçu,     U      qui n’attendait  plus

    De la vie que        N         temps de survie vécue

         En l’ombre         E             d’un destin, entraperçu,

          Tardant à            *             venir, ne serait pas venu.

           Eh bien non,       A                 l’on recommence tout,

            L’amour n’est      M                pas ainsi, est partout :

            Celui-là, autre,       O                il faut   qu’il soit fou,

            Pour vous aimer,     U                  malgré lui et vous.

             Voilà j’ai fini ma        R                chanson, sœurette

            À quoi vous servirait   E                 d’être coquette,

           Si vous ne l’apprenez,   T                restez muette,

      Alors qu’autour, amour  T              vous guette,

      Sans filets, sans procès   E              sans regrets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

679 4

.

Silhouette d’amourette  

Jeune,  et belle,  de profil,

Habillée avec  frous-frous 

Pour dessous de caractère

.

Pour sûr, amourette, caractère

amoureux et très vite emballé

vont de pair et vers impair,

ainsi forme évoque fond.

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

 .

Attachement passager,

Généralement exempt de passion,

Volontiers frivole, pour une personne.

C’est  un  homme  qui  aurait toujours,

Quelque amourette (Ac. 1835-1932);

Ses  amourettes  lui  feront du tort,

Dans  le monde  (Ac. 1835-1932)

Synonyme : caprice, fredaine,

Flirt,  séduction  éphémère…

www.cnrtl.fr/definition/amourette

.

Descriptif

 .

679 – Va donc conter fleurette à une amourette 

  Alignement central     /    Titre  oblique     / Thème    illusion

Formes anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : amourette / Symbole de fond : caractère

.

Fond

 .

Évocation 

.

679 6

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

.

Les femmes à fort caractère

Sont des femmes sûres d’elles

Du moins d’après apparences.

Volontaires, parfois elles sont

Très organisées dans leur vie

Professionnelle comme privée.

.

Elles ont une personnalité forte,

Savent ce qu’elles veulent et vont

«Droit au but » : dans leur séduction

Elles  adoptent  une position  active

Elles choisissent leur bon partenaire.

En couple, elles prennent des initiatives

Aiment imposer leur rythme au partenaire.

love-intelligence.fr/La-femme-a-fort-caractere-en-amour

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Amour passager et sans conséquence

Amour courtois et avec bienséance

Amour sur l’instant, platonique

Autant d’éphémères idylles,

Et qui n’engagent à rien

Autant dire qu’elles

N’ont d’existence

En conscience

Voire, sexe !

 .

.

Marmonne et marmotte

.

Scénario

.

Vision peintre cherchant à séduire la femme au naturel en alouette.

Vieillard cherchant à séduire jeune soubrette, en pièce de théâtre.

Comme une alouette : pas aussi facile qu’il y parait, à séduire !

 .

Visuels et textuels  >>

678 – Folie de croire que quelqu’une puisse m’aimer

Visuels et textuels >> 

.

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusquement,

La folie ne dure

Que court instant,

Et fait, de vous, un pur

Un tendre, un merveilleux,

Amant et ce, jusqu’aux cieux

Dont  on tombe   lors, advient

Rupture si elle aura  bien lieu !

.

J’aimerais bien  connaitre état

Quel qu’en soit le prix à payer,

Quel que soit tel amour raté

Je pourrais  m’en féliciter,

Au cas contraire c’est seul

Avec moi-même resterai

Pour un temps éternité

Si ma vie s’était passée

Sans   pouvoir  aimer.

.

Je me dis, que c’est folie, de croire

Qu’on peut vivre amour sans histoire,

Souvent, et avant même de commencer,

On entame un procès en non-réciprocité,

Suivi, d’un autre, plus fort,  en non-égalité,

Pour terminer  sur le dernier en non-fidélité.

.

Sans projet  commun, les liens dans  la durée,

Peinent à se renforcer, commencent à s’étioler

Lors l’on se retrouve, l’un dans l’autre, coincés,

Par amour n’ayant que sexe en rapport penser.

.

Amour serai un attachement plus que fidélité,

Attachement  permanent, sans en discuter,

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

.

Extensions

 .

Le sexe est un aboutissement

D’un concert comportements,

Rapprochements deux esprits,

Et cœurs, inspirant une union.

.

C’est une folie que de m’aimer :

Ce n’est pas tant que je le mérite,

Folie est par définition subjective,

Socialement  non soumise à raison.

.

Pourquoi moi plus qu’autre, question

J’admets  qu’on   m’aime, comme  cela

En passant,  pour  essayer,  en  profiter,

Mais intensité, durée, sont inexplicables.

.

S’il est vrai qu’on se présentera, à l’autre,

Sous son meilleur jour en trichant un peu

Pour que colle prenne, qu’on se soutienne

Sa tenue durant toute l’année à venir

N’est pas garantie, reste à tester !

.

Deux cœurs indifférents, plutôt gris et froids, sur du sable : instabilité.

Deux cœurs qui se rapprochent, croient en amitié possible : attractivité ;

Deux cœurs faut-il croire que paix entre eux soit souhaitable, raisonnable

La question n’est pas qu’on s’aime, qu’on s’aime pas : comment et pourquoi

Et là la réponse, qui l’aura, ce n’est que longtemps après, on comprendra

Qu’on est pas sur même longueur d’onde : ça ne peut marcher, durer,

C’est folie de croire qu’autre changera de même manière que moi.

.

Du moment que par une mère l’on ait été aimé,

Autre femme, aussi inspirante peut vous aimer :

C’est le modèle premier, le socle de votre altérité.

.

Si on en a pas, comment étant adulte, l’imaginer.

Il est bien tard pour oser croire en une telle folie :

On ne peut donner, échanger que ce qu’on a reçu.

.

Du sexe, c’est sûr, l’on peut en trouver… en abuser

Mais de l’amour réciproque et à ce point très fort :

Si on n’a pas stocker son sentiment : laisse tomber.

.

.

678 – Calligramme

 .

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

****************************

***********************

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusque  F ment,

La folie     O     dure

Que court    L   instant,

Et, fait, de      I     vous, pur

Un tendre, un    E    merveilleux,

Amant et ce, jus   *      qu’aux cieux

Dont on tombe       D         lors, advient

Rupture  si elle       E          a  bien lieu !

J’aimerais bien     *       connaitre état

Quel qu’en soit   C    le prix à payer,

Quel que soit   R   un amour raté

Je pourrais    O   m’en féliciter,

Au cas cont  I  raire, c’est seul

Avec  moi  R même resterai

Pour un   E temps éternité

Si ma vie     s’était passée

Sans     pouvoir    aimer.

.

Je me dis,  *  que c’est folie, P  de croire

Qu’on peut   Q  vivre amour   E  sans histoire,

Souvent, et avant  U     même   U   de commencer,

On entame un procès  E       en        T   non-réciprocité,

Suivi, d’un autre,     L        plus fort,     *     en non-égalité,

Pour terminer      Q     sur le dernier en      M    non-fidélité.

Sans projet     U     commun, les liens dans    ‘       la durée,

Peinent à      ‘     se renforcer, commencent à   A    s’étioler

Et, l’on       U    se retrouve, l’un dans l’autre   I   coincés,

Par amour  N n’ayant que sexe en rapport M   penser.

Amour est  *    attachement plus que    E    fidélité.

Attachement  *  permanent sans    R    discuter.

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

678 4

.

Trois formes superposées

Propos éclairé et éclairant

 À la lumière d’une lampe,

Qui le sait voire qui le saura ?

.

Lampe et lumière vont ensemble

éclaire conscience, il me semble

empêche folie de nous gagner,

lors sa forme évoque le fond.

.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse de lampe

À huile, à pétrole ou d’une

Lampe moderne, électrique,

Elle  symbolise  l’énergie  que

Nous contrôlons, maîtrisons.

C’est la lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Une connaissance

Étant transmise

Par l’environnement,

Celle que chacun reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

En certains rêves symbolisme

Est proche de celui de la bougie.

Tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

 .

678 – Folie de croire quelqu’un peut m’aimer

  Alignement central  / Titre  courbe cercle / Thème matière

Formes en rond / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

678 6

.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Les frontières restent indécises

Entre la lumière   symbole

Et  la lumière  métaphore.

La lumière demeure mise

En relation avec obscurité.

.

La lumière succède aux ténèbres.

Si la lumière solaire meurt chaque soir,

Elle renaît chaque matin, assimilant  le destin

De l’homme à sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, et analystes,

Auraient observé qu’à l’ascension

Sont liées, des  images  lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, des images sombres,

Accompagnées par des sentiments de crainte.

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Folie, et euphorie, et dépit

Sont proches phonétiquement

Lumière provoque l’euphorie

L’ombre provoque le dépit

C’est la vie, c’est ainsi.

Lampe est aussi énergie

Avec réservoir quasi infini

Et qui éclaire toute notre vie

De sa lumière d’un amour béni.

 .

.

Fol amour, bien raisonnable

.

Scénario

.

Un gros cœur à côté d’un petit : ma foi, c’est plutôt raté !

Qu’est-ce qui te fait croire que tu pourrais être un ami.

 Désolée, mais tes mots n’ont pas ce sens-là pour moi !

 .

Visuels et textuels >> 

677 – Femmes : on vous adore plus qu’on vous hait

Visuels et textuels  >>  

.

Femme, l’on vous adore

Bien plus qu’on ne vous hait

Au singulier  …  tout d’abord,

Et au pluriel  si l’on vous plait.

En  femmes, forcément  ténors,

Dans notre monde  trop  surfait,

Si boussole  aura  perdu le Nord,

En intentions qui vous attraient.

En  femmes,  on   vous  honore,

En vos alcôves, en vos secrets,

Que volontiers nous confiez

Comme à un grand benêt.

.

Oh femme, l’on vous adore,

Lorsque vous vous fâchez,

À finir de rire de vos torts,

Lors, trop  nous chicanez.

Femmes, on  vous dévore

Des yeux, mains  et dents.

.

On  est  quelqu’un,  en or,

Nous traiterez, en amant :

Femmes, à raison ou tort,

Nous privez  de notre cap,

Lors pulsion nous attrape,

Nous confinerez votre port.

.

En  femme,  on   vous  adore

Bien que sachant qui vous êtes

Et en femmes, l’on  vous  dévore

Vos rencontres  égalent nos fêtes !

.

Avec vous, y a autant de jouissances

Que de souffrances et de renaissances,

Quand on frise perversion …  indécence

Vite, à notre  place vous  nous  remettez ;

Comptant nos jours de présence, absence,

Vous manque, un peu, mais pas trop, assez.

Femmes,  qu’on vous adore ou vous abhorre

En bateau, tout mâle restera capitaine à bord.

 .

Adorer, aimer, détester, haïr

À en pleurer ou  à  en  jouir

Jeux de mots ou de mains,

À en être gentil  ou vilain

On ne peut s’en passer,

De vous,  malgré tout

Ce que  l’on endure,

À vous aimer/haïr

Car pour en finir

Votre souvenir

Nous  hante

À tel point

Qu’on se

Soumet à

Vos volontés.

.

.

Extensions

 .

Femmes on vous …….adore,

Femmes, on vous abhorre :

Un glissement phonétique,

Qui sépare  ces deux mots

Comme si, l’un et l’autre,

Étaient si proches qu’on

Pourrait  les  confondre

Ou ne pas  les dissocie !

Cela dit,  les  misogynes

Recherchent,   rarement,

La compagnie des femmes

En tous cas ne leur confient

Pas leurs secrets  d’intimités

Sans, pour autant, les ignorer

Totalement, voire les mépriser !

.

La femme, de tous temps, était, est, et restera, multiple et courtisée,

Homme la veut confinée à fins procréatives, utilitaires, contrastées :

Amante et mère d’un côté, pute et ventrière de l’autre, aux extrêmes.

L’hommage à une femme, en tant que déesse, parce trouvé trop belle

Après trois ans de passion, chute de piédestal, est transformée réelle,

 Son image devient blême alors qu’elle avait été, un temps … suprême.

Femme, on l’adore avant qu’on ne la hait, parce que… plus nous plait.

.

On hait ce qu’on a adoré … plus que l’inverse

Même si cela s’est déjà produit, jusque marié :

L’adoration naitrait d’une très haute estimation

La haine naitrait d’une tromperie ou déception.

.

Si l’amour vous fait souhaiter bien des bonheurs

À celui ou ceux que vous aimez le plus au monde,

La haine fait espérer  tous les malheurs possibles

À ceux que vous détestez  comme des toxiques !

.

Ne pas haïr quelqu’un ne suffit pas à l’aimer

Tant de gens nous sont plutôt indifférents

 Haine évoquerait l’ennemi, l’haine-mie

Celui-là dont l’existence, l’on nie.

.

.

677 – Calligramme  

.

   F

Femme, l’on     E        vous adore

Bien plus qu’   M   on ne vous hait

Au singulier    M          tout d’abord,

Et au pluriel   E     si l’on vous plait.

En femmes     *     forcément ténors,

Dans notre   O  monde trop surfait,

Si boussole  N  aura perdu le nord,

En intenti    *   on qui vous attrait.

En femmes  V      on vous  honore,

En vos alcô O  ves, en vos secrets

Que volon   U  tiers nous confiez

Comme à    S    un grand benêt.

      * …………..

    Oh femme    A    l’on vous adore,

  Lorsque       D       vous fâchez,

   À finir de ri O   re de vos torts,

    Lors, trop  R  nous chicanez.

       Femmes    E   on vous dévore

        Des yeux   *    mains  et dents

         On est quel   P     qu’un,  en or,

            Nous traite   L   rez, en amant :

            Femmes, à   U   raison ou tort,

            Nous privez  S     de notre cap,

            Lors pulsion  *     nous attrape,

          Nous confine Q rez votre port.

       U

          En femme            on  vous adore

           Bien qu’on sa  O  che qui vous êtes

           Et en femmes   N     l’on vous dévore

            Vos rencontres    *    égalent nos fêtes !

         Avec vous, y a au  N tant de jouissances

          Que de souffrances E    et de renaissances,

       Quand on frise per   *    version, indécence

         Vite, à notre  place    V vous  nous  remettez ;

      Comptant nos jours   O     présence, absence,

       Vous manque un peu  U     mais pas trop assez.

       Femmes,  qu’on vous a  S    dore ou vous abhorre

     En bateau, tout mâle res  *   tera capitaine à bord.

    H

Adorer, aimer,    A  détester, haïr

À en pleurer      I   ou à en jouir

Jeux de mots  T ou de mains

À en être gentil  ou vilain

On ne peut s’en passer,

De vous,  malgré tout

Ce que  l’on endure,

À vous aimer/haïr,

Car pour en finir

Votre souvenir

Nous  hante

À tel point

Qu’on se

Soumet à

Vos volontés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

La silhouette d’u

vocation 

.

677 4

.

La silhouette d’une femme,

Déhanchée, vue de dos, élégante 

Sinon quoi d’autre, œuvre torturée

Au point  d’être  une  métaphore.

.

La femme comme métaphore :

on peut trouver cela un peu fort

mais elle reste d’un tel transport,

qu’on peut confondre forme fond.

.

Une belle femme, séduisante et fine,

Comme on l’imagine :

Mais elle est peut-être superficielle

Et quelque peu métaphorique.

.

Symbolique

.

La femme a

Une symbolique

Très riche et qui a évolué

Au fil du temps et des cultures.

Toutefois, elle aura toujours évoqué

La fécondité, la pureté, et aussi le vice.

.

Début XXe siècle mouvements féministes

Sont apparus  pour tenter de rétablir

Un équilibre  hommes et femmes,

Et affirmer droits de femmes.

Modifié, source ; 1001 symboles

.

Descriptif

.

 676 – Charme, grâce, ne sont-ils que chimie !

  Alignement central   /   Titre absent    /   Thème matière

Formes en ovale / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : conscience

.

.

Fond

.

Évocation 

.

677 6

.

Une belle femme, séduisante et fine,

Comme on l’imagine :

Mais elle est peut-être superficielle

Et quelque peu métaphorique.

.

Symbolique 

.

« D’où s’attrape la structure ? »

Questionne Lacan dans « Radiophonie ».

La tournure qu’il utilise motive notre lecture :

« Du point où le symbolique prend corps ».

Le « corps  du   symbolique », écrit-il,

« Il faut l’entendre comme métaphore ».

.

« À preuve  que rien que lui  n’isole  le corps,

À prendre au sens naïf,  soit celui dont l’être

Qui s’en soutient ne sait pas que c’est le langage

Qui le lui décerne, au point qu’il n’y serait pas,

Faute d’en pouvoir parler. »

.

« Le premier corps fait le second de s’y incorporer. »

« D’où l’incorporel qui reste marquer le premier,

Du temps d’après son incorporation ».

cairn.info/l-insistance-du-reel

-9782749205687-page-201

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

L’on dit qu’on hait mieux

Ce qu’on a d’abord adoré,

Mouvement de balancier :

Plus haut, l’on sera monté,

Plus fort, l’on s’est trompé,

Plus dure  serait  la chute,

Lors faisant belle culbute,

Sans moindre parachute

Je vous aurai …prévenu.

 .

.

Aime, hait, en boucle

.

Scénario

.

Femme en maillot de bain, vue de dos, bras en croix, sur un ponton ;

la même, au cours d’une de ses nombreuses pérégrinations, en ville :

la même, dans un en face à face privé, tout sourire  et attentionnée !

.

Visuels et textuels  >>  

676 – Si grâce admet que tout est chimie en amour

Visuels et textuels  >>

.

La grâce est-elle quelque chose

De plus  que l’action chimique,

Ou bien de pure cristallisation,

De celle-ci  et pour sa visibilité.

Et charme est-il  quelque chose

De différent d’action  chimique,

Ou, de complémentaire, de l’air,

Qu’elle dégage,  en l’atmosphère.

.

La grâce et charme ont forcément

Un substrat charnel et émotionnel,

Et en deviennent leurs harmoniques

Qui nous feront leurs effets magiques.

.

Et si tout ne s’explique pas par l’attrait

Il nous  faudra admettre  quelque secret,

Qui  nous  échappe, et, qui nous subsume :

La grâce n’est pas  une force  qu’on résume !

..

Si grâce admet  que tout est chimie en amour

Ses fantasmes … comment les mettre au jour ;

Si aucune grâce ne se décrète …  de l’intérieur,

Ne peut  se mesurer, sur sa simple apparence,

Son appréciation ne peut être que subjective,

Dépendante pour partie de son état et objet

Auquel  on voue  son regard, contemplatif.

.

Le charme, si on le définit, par l’attrait,

Somme des traits ne sont pas charme

On dira c’est une chose impalpable

Comme le parfum comme l’aura

Constituée par mille éléments

Et par aucun, en particulier.

.

Et  l’envoutement, comment

Le qualifier de déraisonnable,

Comme un instrument du diable

Pour mettre quelqu’un à sa merci,

Or, il ne serait que fausse perception

De  l’objet, même irréel,  de sa passion.

.

Ces trois qualificatifs    s’appliquent de fait,

D’un point de vue commun  à peu de personnes

Qui dégageront un supplément d’âme, intemporel,

Sublimant présence, silhouette, séduction, charnelles.

.

Et ils deviennent des mythes, tels que Marilyn Monroe,

Ou  autres stars, ayant traversé écrans de projections,

S’ancrant en mémoire  comme  obscure possession

Par leur grâce, leur charme, leur envoutement.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi faudrait-il

Plaindre ceux ou celles

Qui n’en ont pas, de grâce,

N’en dégagent ou lors survient,

L’on ne percevra que son extérieur.

Beauté intérieure demande du temps,

De l’énergie, patience pour être révélée,

Afin qu’avant de retomber sur ses pieds,

Qu’on soit  le seul être, à en être gratifié !

Subtil, fugace : grâce n’est jamais tactile ;

Aérien et fragile, le charme est troublant ;

Tenace, et voire  attachant, l’envoutement

Est toujours pesant en s’en débarrassant.

Les trois ne font qu’un quand l’amour

Sera victime d’un coup de foudre.

.

Chimie, alchimie, boulimie, monogamie, antinomie,

Des mots qui, en substances,  attirent ou repoussent :

S’il suffisait de boire un philtre magique pour l’amour,

Cela se saurait, en dépit de chamanes qui le pratiquent.

Qu’aura à voir un amour cérébral avec un amour animal !

Dans les deux cas, il est question d’aura, mais de quel aura :

Celui de l’attrait naturel comme don ou du charisme sociétal ?

.

Une part de chimie, une part de mystère :

L’amour équilibre entre le corps et l’esprit,

Nombre attirances, entre deux partenaires,

Qui se croisent le jour, se retrouvent la nuit.

.

Lors l’altérité et la chimie vont bien ensemble

On nous invoquera alors une sorte d’alchimie,

Combinant les sens  et l’essence, qui les réunit,

Jusqu’à ce que leurs deux corps  s’assemblent !

.

Si la grâce ne suffit pas au lit, chimie non plus,

Il faut trouver, sinon, créer supplément d’âme,

Qui fait qu’on désire sans cesse recommencer,

Jusqu’à plus soif et voire jusqu’à plus de fin !

.

.

676 – Calligramme

 .

 C H A R M E   ET  G R Â C E,

La grâce est-elle quelque chose

De plus  que l’action chimique,

Ou bien de pure cristallisation,

De celle-ci  et pour sa visibilité.

Et charme est-il  quelque chose

De différent d’action  chimique,

Ou, de complémentaire, de l’air,

Qu’elle dégage,  en l’atmosphère.

.

La grâce et charme ont forcément

Un substrat charnel et émotionnel,

Et en deviennent leurs harmoniques

Qui nous feront leurs effets magiques

Et si tout ne s’explique pas par l’attrait

Il nous  faudra admettre  quelque secret,

Qui  nous  échappe, et, qui nous subsume :

La grâce n’est pas  une force  qu’on résume !

Si grâce admet  que tout est chimie en amour

Ses fantasmes … comment les mettre au jour ;

Si aucune grâce ne se décrète …  de l’intérieur,

Ne peut  se mesurer, sur sa simple apparence,

Son appréciation ne peut être que subjective,

Dépendante pour partie de son état et objet

Auquel  on voue  son regard, contemplatif.

.

N E  S O N T-I L S   QUE  C H I M I E 

Le charme, si on le définit, par l’attrait,

Somme des traits ne sont pas charme

On dira c’est une chose impalpable

Comme le parfum comme l’aura

Constituée par mille éléments

Et par aucun, en particulier.

.

Et  l’envoutement, comment

Le qualifier de déraisonnable,

Comme un instrument du diable

Pour mettre quelqu’un à sa merci,

Or, il ne serait que fausse perception

De  l’objet, même irréel,  de sa passion.

.

Ces trois qualificatifs    s’appliquent de fait,

D’un point de vue commun  à peu de personnes

Qui dégageront un supplément d’âme, intemporel,

Sublimant présence, silhouette, séduction, charnelles,

Et ils deviennent des mythes,  tels que Marilyn Monroe ;

Ou autres stars ayant       traversé      écrans de projection,

S’ancrant en mémoire       comme           obscure possession

Par leur grâce, leur            charme,           leur envoutement.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

676 4

.

Deux étages d’une fusée lunaire,

Ou objet d’art des plus décoratifs

Lampe  à huile … probablement,

 Lampe à huile, en conscience

.

La lampe éclaire à la fois corps, esprit

elle met tout en lumière, en conscience,

même si elle génère une part d’ombre,

sa forme évoquera toujours son fond.

.

Pour voir clair, nous avons besoin de

 Lampe à huile, allumée :

Peut-elle diffuser senteurs d’hormones

Augmentant la conscience

.

Symbolique de fond

.

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, dans tous les contextes

Mythologiques, symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe représente

Particulièrement le conscient.

.

Qui est entre les mains et sous le contrôle

De l’être humain, par contraste avec

La lumière du soleil, de nature

Divine et cosmique.

.

Descriptif

 .

676 – Charme, grâce, ne sont-ils que chimie !

  Alignement central   /   Titre absent    /   Thème matière

Formes en ovale / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : conscience

.

.

Fond

 .

Évocation

.

676 6

.

Pour voir clair, nous avons besoin de

 Lampe à huile allumée :

Peut-elle diffuser senteurs d’hormones

Augmentant la conscience

.

Symbolique 

.

Le Symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez  Grimm, la lumière  chasse

L’amant  caché  de  l’héroïne.

La lumière, en mythologie,

Symbolise  la  conscience.

.

La  lumière  d’une   lampe

Représente particulièrement

Le conscient qui est entre mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature terrestre, divine et cosmique !

.

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

La Lampe d’Aladin possède bien des pouvoirs

Fruit d’un pacte avec un personnage de l’histoire

Ici ce n’est pas que la chimie qui agit : l’alchimie !

Il est question en effet de magie, de transmutation

Tout se passe dans la conscience d’un rêveur agité

Qui trouve ce subterfuge pour échapper à la mort.

.

Mais il le conduira de péripéties en péripéties,

En conte appelée « des milles et une nuits »

La grâce ne se travaille pas, elle existe

ou pas, c’est un don naturel du ciel,

on sent quand elle est artificielle

si toute sa vie elle persiste.

 .

.

Chimie de l’amour !

.

Scénario

.

L’alchimie du cœur dans une simple éprouvette !

L’alchimie de la grâce  dans un tableau de maître !

La chimie des sensations  dans enveloppe corporelle !

 .

Visuels et textuels  >>

675 – Femme en grâce et charme : envoûtement !

Visuels et textuels  >>

.

Grâce et charme vous envoûtent

Comme brillances  d’un diamant ;

Et comment leur résister vraiment,

Leur dire  non, une fois pour toutes.

Nombre, j’en ai croisé, sur  ma route

Qui ont mis,  en mon esprit, le doute,

Lors je m’en serais bien fait l’amant

En  les accompagnant, galamment.

Envoûtement  est  mot magique,

Tournant, parfois, au tragique,

Quand ce n’est pas comique

Séance désenvoûtement.

^

Grâce,

Charme,

Envoûtement

Grâce soit rendue,

Au charme des femmes,

À leur éternel  envoûtement !

La grâce est avant tout mouvement

Qui déplace  un être   marchant dansant

Avec gestes  dessinant  des arabesques folles,

Et tout en vous  décrivant   de belles paraboles !

Le charme est,  avant tout, dans une belle posture

Qui vous séduit,  vous surprend,  vous convoque

Où en vous, cette image,  pleine d’équivoques

Qui fait d’un corps musclé une imposture.

L’envoûtement est, d’abord, en regard

Vous transperce met sous sa coupe

Par aveuglement tête à croupe

D’un ange ou un démon,

Ou bien son avatar

Jour, soir

.

ENVOÛTEMENT

Car si la grâce est déliée

Et si le charme est figé,

L’envoûtement assuré,

Le seront-ils, au-delà,

En deçà, voire à côté,

De  toutes  beautés !

Qui le sait, le saura

Mais yeux fermés

Voient,   cachés,

Avatar mourir

Qui se retire,

Sur pointe

De pied

Joint

V

.

.

Extensions

 .

Grâce …  charme …  envoutement :

Voilà une trilogie de mots qui leur va

Comme un gant tant qu’elles conservent

Et pratiquent, l’art et la vertu de plaire

Car la beauté ne durera qu’un temps.

.

Diaphane et profane, le corps des femmes

S’expose à votre vue, œuvre fragile, provisoire,

Parfum au goût éphémère autant que doux-amer.

.

Est-ce  à dire  que la femme  de cinquante ans

N’en aura plus : détrompez-vous : certaines

Ont gardé leur fraicheur à travers les ans

Et rayonnent comme fleurs épanouies.

.

Se projetant en elle, on se demande si

Elles sont conscientes de leur séduction,

Elles en profitent, altruiste ou narcissique.

.

Si la beauté est due à des artifices chimiques,

La grâce et le charme tiennent plutôt de l’alchimie

Et du regard d’autrui par courant d’onde qui les relie.

.

Naturel, spirituel, sexuel : le diamant est tout cela à la fois

Malgré sa dureté, il pourra se faire doux, dans des bras

Aimants, sacrifiant part conséquente de son argent

Pour se le procurer et encore plus pour l’offrir.

Après divorce, impensable de le réclamer.

À l’inverse de toutes les traditions,

Je n’ai pas offert de diamant

À ma propre… dulcinée

Parce que c’est elle

Le diamant !

.

La grâce, le charme, l’envoutement,

Restent mystérieux, indéfinissables

Comme parfum qui nous subjugue

Sans en bien comprendre la cause.

.

Ce qui semblerait presque évident :

Grâce, charme : spirituel, peu sexuel,

Alors qu’envoutement serait attirance,

Physique, manipulation ordre magique.

.

Rien de plus naturel,  pour tout homme,

Qu’être envouté par grâce d’une femme

Auprès de qui, il vantera ses charmes,

Pour jusqu’à les croquer, se damne.

.

.

675 – Calligramme   

.

Grâce et charme vous envoûtent

Comme brillances  F   d’un diamant ;

Et comment leur  E  résister vraiment,

Leur dire  non,  M  une fois pour toutes.

Nombre, j’en   M ai croisé, sur ma route

Qui ont mis,  E  en mon esprit, le doute,

Lors je m’en  * serais bien fait l’amant

En  les  accompagnant, galamment.

Envoûtement  est  mot magique,

Tournant, parfois, au tragique,

Quand ce n’est pas comique

Séance désenvoûtement.

^

Grâce,

Charme,

Envoûtement

Grâce soit rendue,

Au charme des femmes,

À leur éternel  envoûtement !

La grâce est avant tout mouvement

Qui déplace  un être   marchant dansant

Avec gestes    * dessinant   C  arabesques folles,

Tout en vous    G    décrivant   H   belles paraboles !

Le charme est,   R       avant  tout,    A   dans une posture

Qui vous séduit         vous surprend   R       vous convoque

En vous, cette   C       image, pleine   M      d’équivoques

Qui fait d’un    E    corps musclé  E      l’imposture.

L’envoûtement *  est d’abord  * dans un regard

Qui vous transperce,   met sous sa coupe

Par aveuglement de tête à croupe

D’un ange ou d’un démon,

Ou bien son avatar

Jour, soir

V

ENVOÛTEMENT

Car si la grâce est déliée

Et si le charme est figé,

L’envoûtement assuré,

Le seront-ils, au-delà,

En deçà, voire à côté,

De  toutes  beautés !

Qui le sait, le saura

Mais yeux fermés

Voient,   cachés,

Avatar mourir

Qui se retire,

Sur pointe

De pied

Joint

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

675 4

.

Trois beaux diamants 

Superposés sur pendentif

Dont un servant d’attache

Montée sur des bagues !

  .

La femme serait-elle un diamant,

 Brillant de ses mille feux :

Pour celui qui l’aime, en tous les cas,

Son œil la verrait ainsi !

.

Symbolique 

 .

Le diamant demeure la pierre

La plus symbolique, qualifiée

De tous les superlatifs.

S’il est l’un des plus

Beaux gemmes

Qui        existe,

L’on   aime     le

Comparer  à     la

Perfection et pureté,

Le soleil et voire la vie.

Et, les noces de diamant,

Sont celles  qui célèbreront

Soixante années de mariage,

Par peu de couples aujourd’hui.

Sa symbolique comme son origine

Varient selon les cultures et les pays.

En France, le diamant  reste  la  pierre

De la réconciliation, écarterait  la colère.

On prétend qu’il symboliserait la constance.

guideachat.portaildubijou.com/pierres-metaux/diamant

.

Descriptif

.

675 – Femme : grâce, charme, envoûtement 

  Alignement central  /  Titre cercle   / Thème apparence

Formes triangles / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : diamant / Symbole de fond : bagues

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

675 6

.

Femme est-elle diamant,

 Brillant  de ses  mille feux :

Pour celui qui l’aime, son œil

La verrait ainsi  avec bague !

 .

Symbolique 

.

Les bagues actuelles avec un brillant

Ne sont comparables aux bagues du passé.

Au cours des années, facettes du diamant

Ont été modifiées et optimisées, pour

Nouveaux modèles brillent plus.

Même si le brillant est forme

De diamant classique,

Il offre nombre de

Possibilités

VVV

V

 Forme s’adapte parfaitement aux modèles

Uniques, mais peut aussi, être entourée

D’auréole personnalisée, il existe

Autres façons lui conférer

Une touche moderne

Plus brillante

Qu’avant

V

baunat.com/fr/le-symbolisme-

des-bagues-avec-un-brillant

.


.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Parmi nombre de bijoux portés

Par des femmes, le plus attirant

Est sans aucun doute, le diamant

Loin devant bagues d’or, d’argent

Pourtant ces trois brillent autant

Mais leur coût sera très différent,

Pour gros diamant faut se ruiner

Pour de l’or, il faudra emprunter

Pour de l’argent : faut compter !

Lors tout s’achète et tout se vend

Diamant l’emporte évidemment

.

.

Envoutement occupe l’esprit

.

Scénario

.

La grâce, au naturel,

Le charme, au spirituel,

L’envoûtement, au sexuel !

.

Visuels et textuels  >>

674 – Amour de la nature, nature de l’amour

Visuels et textuels >>

.

L’amour de la nature préfigure

La nature de l’amour humain

Par sa beauté et générosité :

Don de dieu d’un hasard.

.

De la Nature  on ne se lasse

En amour  humain, on  s’enlace,

Les deux, des fois,  s’entrelacent,

Or nature, toujours nous délasse.

.

Couleur, senteur, toucher,  bruit,

Tous nos sens sont mis en éveil,

Convergeant  vers l’harmonie

Qui en ferait la merveille.

.

Romantique me direz-vous,

N’est-ce pas, un peu, désuet !

Écologique serait l’amour fou

Que, seule, Nature restituerait !

.

Amour de la nature et nature de l’amour,

Seraient-ils une seule, une même chose,

À ce point que l’une entrainerait l’autre

Sans que l’on en soit conscient, ni ose.

.

Nature  se donne à vous entièrement

Comme un amant comme l’amante

Tout aussi vibrante et aussi vivante,

Ne manquant ni d’espace  ni temps.

.

Avec couleurs tantôt tendres  ou vives,

Avec senteurs tantôt …. légère,  lascives,

Avec des bruits tantôt  directs, complexes,

Avec  touchers  tantôt … concaves  convexes,

.

Nous évoquent l’amour de ceux qu’on aime

En ce qu’il a  de plus beau, de plus naturel

Sans être romantique,  confondre  en elle,

Les deux étant : sujet, et objet et poème.

.

En poème qui s’invite au fond  de l’âme

En une conjonction homme-femme

Et pour y brûler leurs flammes

Et à ce qu’ils se damnent.

.

.

Extensions

 .

Les  arbres  qui  s’enlacent

Ou qui en donne l’impression

Ont souvent fasciné les amants

Peintres, poètes, et  ce,  d’autant

Qu’ils sont rares  et cela  ne serait

Pas dû qu’à  la proximité physique

Mais à un phénomène  très curieux

De la nature et qui n’aura rien à voir

Avec l’amour,  en tous cas, l’humain !

.

Il y a ceux qui mélangent les racines,

Il y a ceux qui vrillent  leurs troncs,

Ceux qui  croisent  leurs branches.

C’est  le  pouvoir  d’attraction  qui

Émerveille  l’œil, mâle  ou  femelle :

Pourquoi ces deux-là et pas les autres :

Qu’ont-ils de spécial pour pousser ainsi.

.

Ce n’est pas le cas des lierres, ou lianes,

Qui ne sont que des plantes parasites

Ni orchidées productrices de vanille

Qui s’en servent comme des tuteurs

Bien plus encore des arbres greffés

Peuvent porter  plusieurs variétés

De bons fruits  ou  de belles fleurs,

Sans compter de feuilles et couleurs.

Amour de la nature, nature de l’amour !

.

Amour et nature, nature et amour : inversion de toujours :

Si la nature est en nous, c’est aussi parce que sommes en elle,

C’est partout et souvent, surtout chez les poètes, une ritournelle

Et c’est celle qui nous console et compense tout manque d’amour.

Il n’y a rien de plus naturel, rien de plus universel  que la sexualité,

N’était-ce que nécessité absolue, inscrite en gènes, de reproduction.

Après, est-il possible d’aimer un arbre ou animal comme un humain

À chacun de répondre à la question en fonction de pulsion, déception

L’un n’empêche pas l’autre, fonctions de degrés ou complémentarités.

.

Rien de plus naturel que l’amour,

Rien de plus amoureux que l’humain,

Pour autant, nature n’aimera l’humain,

Quand bien même on l’invoque toujours !

.

Est-ce qu’humain serait supérieur à nature :

Dès lors il en est intégré,  pas de suprématie :

De statut d’objet, la nature peut devenir sujet,

De sujet, l’amour pourra devenir simple objet.

.

.

Épilogue

.

L’on peut aimer la Nature, ou non,

Elle s’offre à vous, sans résistance,

Mais elle, ne tiendra à vous aimer,

Nature n’a aucune intentionnalité.

***

Or, comme en miroir, nous renvoie

Un reflet de la  nature  de  l’amour :

Sans doute est-ce dû  à ses beautés,

Qu’on ne se lassera de contempler !

***

Une fois qu’on a dit cela … on a tout

Dit et rien : les poètes s’en chargent,

De cet invisible, et, indicible  amour,

S’en feront le chantre, pour toujours.

***

La Nature est bien  notre mère  à tous,

Au sens propre par nos gènes et figuré

Par l’idée qu’on s’en fait, nous nourrit,

Bien que là il ne s’agira que de l’esprit.

***

Je suis né  dans  la campagne profonde,

Près d’une forêt et  de garrigue, marais,

Belle compagne j’ai eu jusqu’à neuf ans,

D’où mon amour pour elle, et, femmes !

.

.

674 – Calligramme 

 .

L’amour de la nature préfigure

La nature de l’amour humain

Par sa beauté et générosité :

Don de dieu      A    d’un hasard.

De la Nature    M       E   on ne se lasse

En amour    O    humain, on    R     s’enlace,

Les deux,     U    des fois s’entre    U        lacent,

Or nature     R    toujours     nous      T      délasse.

Couleurs,       *      senteur, toucher    A         bruits,

Tous nos        D    sens seront mis    N       en éveil,

Convergeant       E                        *         harmonie

Qui en ferait            L          A        la merveille.

Romantique                          me direz-vous,

N’est-ce pas                  un peu désuet !

Écologique          serait l’amour fou

Que, seule, Nature restituerait !

.

********************************

********************************

.

Amour de la nature et… nature de l’amour,

Seraient-ils une seule et une même chose,

À ce point que l’une entrainerait l’autre

Sans que l’on en soit conscient, ni ose.

Nature  se donne à      vous entièrement

Comme un amant      E     comme l’amante

Tout aussi vibrante  T   et     *     aussi vivante,

Ne manquant ni    *  d’espace       R        ni temps.

Avec couleurs     N   tantôt tendres      U       ou vives,

Avec senteurs     A     tantôt …. légères     O        lascives,

Avec des bruits   T      tantôt …… directs     M   complexes,

Avec  touchers    U      tantôt … concaves    A       convexes,

Nous évoquent    R      l’amour  de ceux     ‘     qu’on aime

En ce qu’il a de      E     plus beau, de    L   plus naturel

Sans être romantique   D      E    confondre en elle,

Les deux étant autant : sujet, qu’objet, poème.

En poème, qui s’invite  au fond  de l’âme

En une conjonction homme-femme

Et pour y brûler leurs flammes

Et à ce qu’ils se damnent.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.674 4

.

Deux poteries  différentes

Superposées, tout comme

Un homme, une femme,

De forme et fond !

.

L’amour et la nature ont, tous deux,

de belles formes avec de bons fonds :

peu les sépare, parfois on les confond

aussi la forme épouse bien ici le fond.

.

Poterie avec dessin nature où,  à l’intérieur,

L’on trouverait de l’amour :

C’est ainsi que forme et fond, se fondent, et se

Confondent, et à volonté !

.

Symbolique 

.

Une poterie est un récipient

À ouverture large, sans anses,

Initialement destiné à contenir

Ou à conserver de la nourriture.

.

Aujourd’hui de  simple forme type

De poterie tournée, ou un récipient

En diverses matières telles que grès

Céramiques, faïences, métalliques,

Destiné à recevoir  divers liquides

Plus ou moins visqueux à chaud.

Modifié, source Wikipédia

.

Descriptif

.

674 – Amour de la nature, nature de l’amour 

  Alignement central  /  Titre cercles   /   Thème  nature

Formes rondes / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : poterie / Symbole de fond : forme-fond

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

674 6

.

Poterie avec dessin nature où,  à l’intérieur,

L’on trouverait de l’amour :

C’est ainsi que forme et fond, se fondent,

Et se confondent, à volonté !

.

Symbolique

.

La séparation

Du fond et de la forme

Consiste à séparer le message

D’un document de sa présentation.

On définira d’un côté le corps du document,

, et de l’autre côté la forme, comme la

Présentation titres et paragraphes.

.

Avec l’avènement du numérique

Dans la création documentaire,

Les pratiques d’écriture ont changé.

.

L’informatique apporte une couche abstraite

Supplémentaire à l’écriture et à

La forme documentaire et change

La définition de ce que nous pouvons

Appeler communément un document.

.

Ce domaine propose des techniques clés qui

Montrent que les auteurs sont amenés

À changer leurs pratiques.

fr.wikipedia.org/wiki/Séparation

_du_fond_et_de_la_forme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Une poterie si elle n’est rien dans le fond

Aura toujours une forme, quel qu’elle soit,

Toutefois un contenant suppose un contenu

Amour est rempli de nature, et  inversement.

.

La forme de l’amour implique un fond spécial

Car s’il est platonique, il ne sera pas extatique,

Et s’il est poétique, il ne sera pas pragmatique

Et s’il est authentique, il ne sera pas plastique

Toutes les formes et fonds sont en la nature.

 .

.

Polysémie en contextes

.

Scénario  

.

Un amour poétique, voire lyrique, de nature sauvage,  authentique,

demeure en une fusion totale avec le tronc de l’arbre et le végétal,

et dès lors, la nature de l’amour restera simple comme bonjour.

 .

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673 – Des femmes, qui ont tout… à mon goût

Visuels et textuels  >>

.

Femmes ayant tout,

Je n’en ai trouvé aucune,

Lors même avec une fortune,

Elles auraient, toutes, un défaut,

Tant tout ce qui est à mon gout

N’est en rien celui  des autres

Là où une seule me  suffit

Et le reste, m’en fous,

.

Mais, les meilleures  sont  prises

D’assaut voire bien vite mariées

Quand   la  vertu  est  de  mise,

Il y aurait tout à bien gagner.

.

Mais moi je n’ai rien à perdre

À attendre celle qui convient,

À mon goût et si c’est le sien

Je tiendrai l’affaire en main

Pour  mon plus grand bien.

Femmes, ayant  mon goût,

J’en ai rencontré, partout.

 .

Femmes à vous rendre fou,

À  leurs genoux,

J’en ai croisé, et de bon goût,

À  en être jaloux.

 .

Intelligence, charme et beauté :

Que vouloir de plus,

Mais elles étaient déjà mariées,

Et fidèles, en plus.

 .

Souriantes, douces et aimantes,

Et par le dessus,

Et, bien qu’elles soient galantes :

L’amour  retenu.

 .

La mienne aussi, sinon pourquoi

L’aurais-je choisi :

Cela je le constate, à chaque fois,

Et je m’en ……. réjouis !

 .

Être disponible pour autres aussi

Je me contente souvent d’être ami,

Est-ce que c’est pareil aujourd’hui !

.

Difficile de répondre par non ou oui,

Si je me limite, à ce qui m’est permis,

Je ne serais qu’un  bel  imbécile…ravi.

.

Je sais ce qu’on perd et ce qu’on gagne

À  changer sa vie  et voire  sa compagne

On trouve mieux ailleurs et souvent pire.

.

Lors amante vers l’épouse… vous aspire

Dans la femme,  l’on voit l’aventurière,

Bien qu’on la choisisse amie et mère.

.

.

Extensions

 .

Des femmes, à mon goût,

J’en ai rencontré beaucoup,

Mais je n’en avais pas autant

Pour elles, et même, souvent,

Quelques-unes, pas du tout !

C’est ainsi, mais c’est la vie.

.

Il suffit d’une pour les remplacer toutes,

Même si d’apparence, de métier, caractère,

Elles sont toutes, naturellement, différentes.

Elles auront au moins une chose commune

Celle d’être une femme ou de faire genre.

.

Avoir tout ne vient pas dire grand-chose et ne mène à rien.

« La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a »

Citation issue des «Maximes et Pensées» de Nicolas Chamfort.

Il existe une multitude de femmes candidates à union maritale,

Et pourtant il n’y en aura qu’une qui satisfera tous les critères

Non par un rejet des autres mais par l’obligation d’un choix

Se satisfaisant de celle qu’on a en dépit d’autres possibles.

.

On dit parfois d’une femme qu’elle a tout

Mais qu’est-ce que cela voudra bien dire :

Pour plaire, pour vivre, pour réussir sa vie.

Aucun être au monde ne pourra tout avoir !

.

Et à supposer qu’elle ait tout, trouverait-elle

Quelqu’un pour se marier, vivre, digne d’elle,

Le mari aurait de quoi se faire des complexes

Tant elle, le trouverait quelque peu simplexe.

.

.

673 – Calligramme 

.

Femmes ayant tout,

Je n’en ai trouvé aucune,

Lors même avec une fortune,

Elles ont Ô              Ô un défaut,

Tant, tout ce qui est à mon gout

N’est celui  ===  des autres

Là où une seule suffit

Lors le reste,

 Je m’en fous,

               F

Oui, mais, les meilleu  E  res sont prises

D’assaut voire bien    M    vite mariées

Quand   la  vertu      M     est de mise,

Il y aurait  tout à     E    bien gagner.

Mais moi je n’ai    S   rien à perdre

À attendre celle   *   qui convient,

À mon goût  Q    et si c’est le sien

Je tiendrai  U   l’affaire en main

Pour mon  I   plus grand bien.

Femmes,   *   ayant mon goût,

J’en ai rencon O  tré,  partout.

N

T

Femmes à vous rendre fou

À  leurs genoux,

     J’en ai croisé, et de bon goût,

      À  en être jaloux.

          Intelligence, charme et beauté :

          Que vouloir de plus,

         Mais elles étaient déjà mariées,

          Et fidèles, en plus.

          Souriantes, douces et aimantes,

    Et par le dessus,

          Et, bien qu’elles soient galantes :

L’amour  retenu.

        La mienne, aussi, sinon pourquoi

L’aurais-je choisi :

      Cela je le constate, et, à chaque fois

Et je m’en ……. réjouis !

T

Être disponible   O  pour autres aussi

Je me contente   U    souvent être ami.

Est-ce que c’est   T    pareil aujourd’hui !

Difficile de répon *     dre  par  non  ou oui

Si je me limite,    À      à ce qui m’est permis

   Je ne serais qu’     *      un  bel  imbécile  ravi….

Je sais ce qu’on    M     perd et ce qu’on gagne..

À  changer sa vie   O        et voire sa compagne…..

On trouve mieux     N         ailleurs et souvent pire….

Lors amante vers       *          l’épouse vous aspire……….

Dans la femme,            G           l’on voit l’aventurière…………

Bien qu’on la                    O           choisisse amie et mère………….

Û ……………..

T …………………

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

673 4

.

Silhouette d’une femme

Avec toutes ses parures

Et  ses atours,  féminins,

Pour séduire, ou topless!

.

Avoir tout serait difficile à dire,

À trouver, question parure :

La moitié serait déjà beaucoup :

Voire le contraire, topless

.

Symbolique 

.

Ainsi que l’a montré

Nicole Loraux, pour les Grecs,

Depuis Hésiode, la femme

Serait formée d’« un corps, réduit

Essentiellement au ventre,

Une parure, qui est souvent un voile.

.

Le ventre est une “chiennerie interne”,

Qui sert à dire la lubricité

Dans le langage d’’appétit alimentaire,

.

Mais il est, aussi, ce qui met au monde

Les enfants des hommes.

La parure sera, dans la Théogonie,

Ce qui constitue la femme comme

Un atour, un beau dehors»

Florence Gherchanoc www.cairn.info/

revue-historique-2003-4-page-739.

.

Descriptif

.

673 – Des femmes qui ont tout, à mon goût 

  Alignement central  / Titre serpente   / Thème  apparence

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : parure/ Symbole de fond : topless

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

673 6

.

Avoir tout serait difficile à dire,

À trouver, question parure :

La moitié serait déjà beaucoup :

Voire le contraire, topless

.

Symbolique 

 .

En 1964, le styliste américain

Rudi Gernreich dessine le monokini.

Un maillot de bain qui laisse les seins nus

Et va aller de pair avec la démocratisation

Du topless sur les plages lors en France.

.

Cette tendance divise la société :

Les seins nus sont naturels pour

Certains, indécents, à d’autres.

.

Une opposition qui reflète une

Ambiguïté historique dans

La représentation du sein nu.

.

Dans certaines cultures du Pacifique,

D’Afrique ou des Amériques, les femmes

Vivent seins nus et ce en toute quiétude.

.

Et cela s’explique par le fait que le sein

y est moins sexualisé qu’en Occident.

franceculture.fr/societe/a-lorigine-du-topless

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

Des femmes qui ont tout, c’est l’idéal

Mais, elles sont impossibles à trouver,

La plus belle femme du monde, proverbe,

Chamfort, ne peut donner que ce qu’elle a.

.

Voilà  qui clôt  le débat  avant de l’entamer

Bien que des femmes, à qui on prête  tout, 

Il en existerait, il est certain … beaucoup

Faut dire en matière projection d’idéal

Illusion et imagination sont reines.

 .

.

Ode à la beauté !

.

Scénario

.

Tout pour être naturelle, attentionnée,

tout pour vous séduire, pour vous plaire,

tout pour dispenser  leur part de mystère !

 .

Visuels et textuels  >>

672 – Mots pour exprimer ce que ressens pour toi

Visuels et textuels  >> 

.

 

Un mot, deux mots, des mots :

Rien que des mots, selon Dalida,

Lors pourtant sans eux et à propos

De l’amour, rien ne les remplacera !

Une image, dit-on, vaut cent mots

Et un geste, une salve de mots,

Un regard, écrit un chapitre

Un baiser, roman entier.

.

Je ne trouve pas les mots

Prétendait le prétendant

Mot amour ne s’apprend

Pas  en les livres : beaux.

Mots amours, sont justes

Mots d’amours, humbles

Mots  d’amours   simples

Et à deux   se   dégustent.

.

Quels mots pour exprimer

Ce que je ressens, pour toi,

Échappant,  pour qualifier

Ce que  je ressens, avec toi !

.

Mes mots  sont trop pauvres,

Pour  quelqu’un  d’aussi riche,

Mes mots sont trop guimauves

Pour quelqu’un, d’aussi chiche.

.

Je persiste, et, signe, à te le dire,

Je m’applique à bien  te faire rire

Je persiste,  et signe,  à te le dire :

Je te parle d’amour …  pas de rire.

.

Je me mets  à ta place, je les reçois,

Comme autant d’appels, désespérés,

Je me mets à ta place et je le perçois

Comme cris d’amour et, les derniers.

.

Ce ne sont pas  les  mots  qui révèlent

Le fond  de ma pensée, mes émotions

Ce sont eux pourtant, qui ensorcèlent

Mon corps et mon âme…de passions.

.

Si je reçois, faibles, les tiens : dis-toi,

Que je ne suis pas… bonne réception

Si je reçois, forts, les tiens : dis-toi,

C’est pour amorcer un pas vers toi

 

Ainsi vont les choses, et, les roses,

Elles écoutent, parfois… le mâle,

Quand elles le font, se ferment,

À tous autres,   à tous cœurs

Ainsi font les choses roses

S’ouvrant parfois mal

Elles s’enferment

Intérieur

.

.

Extensions

.

Mots, et mots, émotions, émoticons, émotionnables

Mots simples ou plus  complexes ou même à rallonge

Constituent, pour une  grande part, notre vocabulaire,

Quand nous évoquons ou nous parlons de nos émotions

Il faut se méfiez des mots et leurs emplois à double sens,

Un mot doux  peut devenir aigre, selon les circonstances,

Et même selon le ton où il est proféré trop fort ou faible.

Mots des jeux amoureux et amoureux des jeux de mots

Ne se marient pas bien, ne s’accordent pas toujours.

.

Les mots sont faits pour d’abord communiquer ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on voit ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on sait ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on fait !

.

Cela dit il n’est pas toujours aussi facile que cela

De livrer le fin fond de sa pensée ni son émotion,

Soit on n’en trouve pas, on ne sait trop quoi dire

Soit ils ne sont pas adaptés, ne sont appropriés !

.

«Je t’aime, moi non plus» ou l’incompréhension

Je voulais te dire et voilà que j’ai dit le contraire

De mon ressenti, je ne parviens pas à m’extraire

Pour te parler de ton attirance, extraordinaire !

.

.

672 – Calligramme

 .

MES MOTS EXPRIMANT

Un mot, deux mots, des mots :

Rien que des mots, selon Dalida,

Lors pourtant sans eux et à propos

De l’amour, rien ne les remplacera !

Une image, dit-on, vaut cent mots

Et un geste, une salve de mots,

Un regard, écrit un chapitre

Un baiser, roman entier.

.

Je ne trouve pas les mots

Prétendait le prétendant

Mot amour ne s’apprend

Pas  en les livres : beaux.

Mots amours, sont justes

Mots d’amours, humbles

Mots  d’amours   simples

Et à deux   se   dégustent.

.

Quels mots pour exprimer

Ce que je ressens, pour toi,

Échappant,  pour qualifier

Ce que  je ressens, avec toi !

.

Mes mots  sont trop pauvres,

Pour  quelqu’un  d’aussi riche,

Mes mots sont trop guimauves

Pour quelqu’un, d’aussi chiche.

.

Je persiste, et, signe, à te le dire,

Je m’applique à bien  te faire rire

Je persiste,  et signe,  à te le dire :

Je te parle d’amour …  pas de rire.

.

Je me mets  à ta place, je les reçois,

Comme autant d’appels, désespérés,

Je me mets à ta place et je le perçois

Comme cris d’amour et, les derniers.

 .

CE QUE JE RESSENS POUR TOI 

Ce ne sont pas  les  mots  qui révèlent

Le fond  de ma pensée, mes émotions

Ce sont eux pourtant, qui ensorcèlent

Mon corps et mon âme…de passions.

.

Si je reçois, faibles, les tiens : dis-toi,

Que je ne suis pas… bonne réception

Si je reçois, forts, les tiens : dis-toi,

C’est pour amorcer un pas vers toi

.

Ainsi vont les choses, et, les roses,

Elles écoutent, parfois… le mâle,

Quand elles le font, se ferment,

À tous autres,   à tous cœurs

Ainsi font les choses roses

S’ouvrant parfois mal

Elles s’enferment

Intérieur

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

672 4

.

Ben oui, quoi, une chaussette,

Un bas de laine pou économies

Voire une batte pour jeu cricket

Mais aussi bien une cravate ?

.

Le mot cravate, symbolisera l’attention,

Le respect, la noblesse :

Pour preuve : j’en ai bien mis une le jour

De mon propre mariage

.

Symbolique

.

Loin d’être un objet anodin,

La cravate est vue par certains

Comme un lieu de pouvoirs,

Ou un symbole phallique.

.

La cravate avait à l’origine

Une utilité physique :

Permet de maintenir

Le col, de mieux se tenir.

.

Avec le temps, c’est surtout

La fonction symbolique qu’on lui

Prête qui a socialement pris le dessus.

Dans l’entreprise, en politique, elle sert

À montrer une identité de groupe.

.

Si la cravate est objet de pouvoir,

La tomber ne signifierait pas pour autant

À s’affranchir de diktats mode en entreprise.

franceculture.fr/societe/la-cravate-objet-de-pouvoirs

.

Descriptif

.

671 – Ne cesse de partir pour mieux te revenir 

  Alignement central  / Titre analogue   / Thème  langue

Forme losange / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : cravate/ Symbole de fond : cravate

.

.

Fond

.

Évocation 

.

672 6

.

Le mot cravate, symbolisera l’attention,

Le respect, la noblesse :

Pour preuve : j’en ai bien mis une le jour

De mon propre mariage

 .

Symbolique 

.

Symbole d’autorité,

Contrainte    ridicule

Pourquoi  la  cravate

N’est plus dans le coup.

Longtemps   considérée

Comme   un  accessoire

Indispensable dans de

Nombreux      secteurs

Professionnels      afin

D’incarner  le sérieux

Et voire,   l’élégance,

Toute cravate  est de

Plus  en plus  laissée

Au fond de placard

Raison  principale,

Un abandon de  la

Contrainte choix

Plus     l’image

Vi-eil-lot-te

Qui  soit.

francetvinfo.fr/économie/

tendances/symbole-d-autorité-

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le dictionnaire Larousse  n’en dénombre

Pas moins de sept définitions pour cravate

Soit en étoffe, en cuir, en tissu, en fourrure,

En cordage pour ne citer que quelques-unes.

Le tout entre soutien, ornement, distinction !

.

On s’active à s’en mettre  derrière la cravate

Lors d’un repas de famille par trop arrosé !

Mon père disait que sans porter la cravate

Je ne trouverais pas d’emploi respectable

À vrai dire je ne l’ai jamais cru et lui ai

Répondu qu’’habit ne fait pas moine.

 .

.

Ressentir sans mots

.

Scénario

.

Des mots, des mots doux, voire des mots tout doux,

glissés à l’oreille tous bas, comme un secret à garder,

sont-ils pour autant plus sincères, plus authentiques ?

 .

Visuels et textuels  >> 

671 – En ma vie, ne cesse de partir pour te revenir

Visuels et textuels >>

.

Partir et puis revenir,

Pour aimer à mourir

Va et vient, convient,

Va et vient … soutient

Mon âme,  vagabonde,

Allant, de par le Monde,

En quête d’amour renoué

Avec toi  puis sous ton toit,

Comme physique, élastique,

La reine, ré-épousant le roi,

En un lit de première nuit

Comblé par ce charme

In-dé-fi-nis-sable,

In-sai-sis-sable

Inal-térable

Instable

Able

V

.

En ma vie, je ne cesse de partir

Mais c’est pour mieux te revenir.

Que de fois, je me serai senti perdu,

Loin de toi  et de tout, pauvre et nu.

.

Lors j’imaginais être  seul à en jouir,

À  n’en plus pouvoir  de  me contenir

Voilà que fantasmes, surgis du néant,

Reprennent avec toi pieds de géants.

.

Retiens-moi…ne me fais pas flipper,

Dis-le que tu ne vas pas me quitter,

Je suis corps et âme  qui transpire

De tes regards  et  de tes soupirs.

.

Je m’en vais, loin,  l’esprit plein

De la peur  et de tout, de rien,

Crains  le pire, pour demain,

Sauf s’il n’est pas commun.

 .

Garde ta main en la mienne

Afin  qu’elle  me  retienne,

Qu’en chassant ma peine

Feu d’amour revienne.

.

.

Extensions

 .

Partir pour marquer une distance,

Plus ou moins grande, définitive

Ou pour ressourcer son couple

En faisant autres expériences

N’ont rien à voir en définitive :

En premier cas, le lien est rompu

En second, il est seulement distendu.

Le manque de l’autre se ferait plus sentir

Quand on est loin  que quand on est proche,

La parenthèse peut renouveler panne du désir,

Pour peu que l’autre prenne l’absence en patience.

.

Un mois, deux mois, jusqu’à un an, après, c’est différent,

L’ennui s’installe, le manque est patent et les quelques rares

Occasions de se revoir peuvent ne pas le combler suffisamment.

Le temps passe, la vie tourne l’on n’entrevoit plus de solution…

Que de refaire sa vie, avec un autre, ayant le mérite d’être là.

Peu de couples, solides, résistent à la pression du temps.

Travail de deuil se met en marche souterrainement

Et le besoin de se faire aider quotidiennement

L’emporte sur les voyages et les amants.

Un père pour ses enfants est un père présent,

Sinon un père de substitution fera mieux l’affaire.

.

S’attacher, se détacher, se  souvenir, se départir

Autant de mots  aux  significations contraires

Qui donneront à penser, et puis à réfléchir,

À ce qui compte pour soi plus qu’en l’air

Et à mieux voir ce qui va des travers

Il y a des fleurs extraordinaires

Comme des fleurs ordinaires

Coquelicot unit les deux

Beauté éphémère

Rustique.

V

.

Tout va-et-vient nous fait du bien,

Pour nous décaler, nous ressourcer

Sans pour autant, vraiment quitter

Les êtres qu’on aime, à qui on tient.

.

Au début, la découverte  de libertés,

L’emporte sur mon attache affective

Avec toi  mais,  vite,  au fil du temps,

Je me resitue en mon cœur d’amant !

.

Et lors je ne penserai qu’à une chose :

De te retrouver au plus tôt en tes bras

Ce n’est que  lorsque j’y suis, j’y serai,

Que le souvenir de liberté me tanne.

.

.

Épilogue

.

Cela pourrait être … cela devrait être,

Une sorte de message, lettre d’amour,

Adressée comme supplique de revenir

Où la vie n’a plus de sens, importance.

***

Je ne sais  si je m’en vais, ou  bien elle :

Je peux rester  en place  et être ailleurs,

Si  l’un revient  quand l’autre … s’en va,

Il est certain que  l’on ne se retrouvera !

***

Dès que ce va-et-vient, est trop fréquent,

La confiance s’en ira et elle ne reviendra.

Partir, revenir, ne sont pas  des caprices,

Ni des manipulations  ni  des chantages !

***

Tout a un sens  dans tout ce que l’on fait,

Même si on n’en a conscience ni lucidité.

Partir  pour mieux te revenir est un choix

Qu’il faut assumer seul : risques et périls.

***

Offrir des roses rouges  est signe d’amour,

Et partir  pour se mettre au vert, de doute.

Aucune relation n’est stable pour toujours,

Faudra juste expliquer ce que l’on redoute.

.

.

671 – Calligramme 

.

Partir et puis revenir,

Pour aimer à mourir

Va et vient, convient,

Va et vient … soutient

Mon âme,  vagabonde,

Allant, de par le Monde,

En quête d’amour renoué

Avec toi  puis sous ton toit,

Comme physique, élastique,

La reine, ré-épousant le roi,

En un lit de première nuit

Comblé d’un charme

.

*****************

**************

.

Indéfinissable,

Insaisissable

Inaltérable

Instable

Able

V

.

En ma vie, je ne cesse     N   P   de partir

Mais c’est pour mieux    E     O   te revenir.

Que de fois, je me serai   *       U   senti perdu,

Loin de toi et de tout,    C         R   pauvre et nu.

Lors j’imaginais être     E           *  seul à en jouir,

À n’en plus pouvoir      S            M de me contenir

Voilà que fantasmes    S             I   surgis du néant

 Reprennent avec toi   E              E  pieds de géants.

Retiens-moi, ne me    *              U  fait pas flipper,

Dis-le que tu ne vas  D              X  pas me quitter,

Je suis corps et âme E              *   qui transpirent

Pour tes regards et  *              T   de tes soupirs.

Je m’en vais loin   P              E    l’esprit plein

De la peur et de   A             *    tout, de rien

Crains  le pire    R           R  pour demain

 Sauf s’il n’est    T         E pas commun.

   I       V

Garde ta main  R   E  en la mienne

Afin qu’elle        * N  me retienne,

Qu’en chassant  I        ma peine

Feu d’amour  R      revienne.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

671 4

.

Un pot en terre

Pousse de plante

D’intérieur … jeune,

Fleur couleur rouge 

.

Plante et couleur vont bien ensemble

mais par avec départ  ni avec retour

aucune plante ne peut voyager seule

aussi la forme se distingue du fond.

  .

Plantes en pot voyagent

 Plus facilement  qu’en terre 

C’est  une   grande  différence

Entre sédentaire, d’intérieur !

.

Symbolique 

 .

Diverses cultures folkloriques

Et traditions attribuent des

Significations symboliques

Aux  différentes  plantes.

.

Bien que celles-ci  ne soient

Plus communément comprises

Par des peuples  qui sont de plus

En plus séparés  de leurs anciennes

Traditions rurales, certaines survivent.

.

En outre, des allusions à ces significations

Sont faites anciennes images, chansons, textes.

De  nouveaux  symboles ont, également, émergés :

L’un des plus connus au Royaume-Uni est le coquelicot

Comme symbole commémoration des victimes de  guerre.

Modifié,  source : wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_plantes

.

Descriptif

 .

671 – Ne cesse de partir pour mieux te revenir 

  Alignement central  / Titre analogue   / Thème  départ

Forme  en ovale / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : plante/ Symbole de fond : couleur-rouge

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

671 6

.

Plantes en pot voyagent

 Plus facilement  qu’en terre, 

ici c’est une plante d’intérieur 

avec une fleur de couleur rouge

.

Symbolique 

 .

Soit pour la couleur rouge

Prépondérante  chez les espèces,

Légende de jeune fille brûlée dans le feu,

L’anturium est une plante symbole de l’amour.

Appelée aussi : la fleur flamante, ses couleurs

Passant du rose par le rouge au violet foncé.

.

En effet, la légende raconte qu’une jolie fille

A été ravie par souverain des plus cruels

Lorsqu’au jour du mariage, on a allumé

Un grand feu, la jeune fille, en robe

De mariée rouge, s’est jetée dans le brasier.

Alors Dieu, touché par sa beauté  et  sa fidélité,

L’a dotée de jolie fleur rouge, symbole de l’amour.

freshidees.com/fetes/saint-valentin/plante-symbole-de-l-amour

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Dans «Le Petit prince» de Saint Exupéry

Le renard qu’il rencontre dans le désert

 Lui confie une rose qu’il faut arroser

Tous les jours, et sans exception

Pour qu’elle ne meure pas !

.

C’est sûr qu’il peut s’en aller

De ci  ou de la, pour voyager,

Mais revenir est une promesse

Qu’il devra tenir coûte que coûte.

.

Tout est dit en ce conte d’enfant là :

Si on aime, ce n’est pas qu’on part pas,

C’est juste que de revenir, on n’oublie pas.

 .

.

Sac à dos : prêt !

.

Scénario

 .

Échapper à, s’échapper de : une fonction primordiale

 comme des oiseaux migrateurs qui reviennent toujours

ou des électrons libres qui se détachent, se rattachent.

.

Visuels et textuels >>

670 – Si j’étais un poisson, que tu étais papillon !

Visuels et textuels>> 

.

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi  poisson

Qui cherchent

Un oiseau  rare,

Mi-homme-lion !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Extensions

 .

Un poisson peut avoir des ailes,

Un papillon ne peut avoir de nageoires :

L’évolution est faite ainsi qu’il n’y a pas de

Retour en arrière mais la légèreté du papillon

L’emportera toujours sur celle du poisson.

.

Visiblement ces deux-là ne sont pas faits

Pour se rencontrer mais pourquoi pas :

Ils sont faits de même matière vivante,

Ce  ne sont que  leurs développements,

Leurs environnements, leurs fonctions

Qui les  séparent, phylogénétiquement !

.

On cite l’exemple de la carpe et du lapin,

Sans qu’on sache très bien ce que ça signifie

On voit bien que ça ne peut pas coller entre eux :

Ces deux êtres sont incompatibles et bien opposés

Et ne seront donc jamais en harmonie entre eux.

.

Chacun vit dans son monde en ignorant tout

De  l’autre, jusque, parfois, son  existence,

L’harmonie des contraires reste possible

Dans un couple mais de même espèce

 Les apparences changent, mais

Pas les fondamentaux.

.

Combien d’analogies, de métaphores et de chimères

Peuplent nos écrits  et envahissent nos imaginaires,

Et ce n’est pas vous qui prétendriez le …  contraire,

Tant la chair est faible, en un esprit fort, primaire.

Il arrive qu’on parle aussi de la carpe et du lapin.

La femme serait poisson, l’homme, mammifère.

  À l’origine : mariage d’un noble avec roturière !

.

Il était une fois un poisson

Qui aimait un beau papillon

Et il voulait comme lui, voler

Dans l’air, dans l’atmosphère.

.

Et le papillon lui rendait visite

Une fois par heure sauf la nuit

Mais il ne pouvait s’approcher

Sans risquer se noyer en l’eau.

.

Désir était simple : j’aimerais

Bien te connaitre davantage,

Oui mais je vole et tu nages

On ne se mariera jamais.

.

.

670 – Calligramme   

.

SI J’ÉTAIS POISSON,

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi poisson

Qui cherchent

Un oiseau rare,

Mi-homme-lion.

TOI PAPILLON !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

670 4

.

Le corps d’un papillon,

Ça ressemblerait à ça,

Et d’un poisson, non

Un poisson-papillon

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

  .

Symbolique 

.

Le papillon n’est pas recensé dans les

Dictionnaires de mythologie égyptienne

Alors que,  dans  la mythologie  grecque,

Le papillon est  symbole  d’immortalité.  »

.

C’est «l’âme humaine»  comme le souligne

L’étymologie : « psyché » en  grec  désigne

À la fois, l’âme de quelqu’un  et  le papillon.

Symbolisme  Amérindien, le papillon  est le

Symbole de métamorphose et changement.

.

Il nous enseigne qu’il faut laisser les désirs

Se réaliser, de changer nos vies,  de créer

De nouvelles situations  pour améliorer

Notre quotidien pour être plus éthéré.

Source : blogggcollection.wordpress.com/

2014/05/papillon-symbolemetamorphose

.

Descriptif

 .

670 – Si j’étais poisson, et toi… papillon !   

  Alignement central / Titre intercalé  / Thème  rencontre

Forme  losange / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : papillon  / Symbole de fond : poisson

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

.

Symbolique 

.

Le poisson reste l’emblème de l’eau,

Élément avec lequel il partagera

Son aspect le plus symbolique.

Il est symbole de fécondité

Mais tout autant de sagesse.

.

Il est occulte dans les

Profondeurs des eaux,

Domaine d’une force sacrée

De l’abîme dont il est pénétré.

.

Cet espace aquatique

D’une profondeur

Insondable est

Associé aux mystères

De l’inconscient humain,

Aux pulsions les plus cachées de l’esprit.

Source : les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un poisson pour sûr, ne vole pas

Et papillon, pour sûr, ne nage pas

L’un aura pour milieu naturel, l’eau,

L’autre aura pour milieu naturel, l’air.

Ils sont donc aux antipodes, ne peuvent

Communiquer d’aucune manière efficace,

Tout comme la carpe et le lapin, populaires

Quand on les marie entre eux, ils divorcent !

Ce ne sont là que de purs symboles gratuits.

 .

.

Formes des poissons

.

Scénario

.

Mi poisson en bas, mi femme, en haut, ressemble à une chimère.

Vaut-il mieux  être  un poisson, comme celui-ci : multicolore.

Une femme nue comme ici voulant devenir un papillon !

 .

Visuels et textuels>> 

669 – Pouvoir tous se rencontrer : en principe, oui

Visuels et textuels  >>

.

Cela reste toujours possible,

En réalité, fort peu probable,

Vu le nombre  de potentialités.

Nous  ne  sommes, en rien, égaux,

Certains sont timides…voire réservés

Lors d’autres sont proactifs et sociaux.

Le tri s’opère selon filtre de ce qui a plu,

Les fréquentations  sont plus éclectiques

Que les amis, les partenaires, et les élus

Quand peut-on dire avoir rencontré,

Quelqu’un, quelqu’une vraiment.

Est-ce une question…de durée,

Ou d’intensité, de comment !

Et tous  nous  rencontrer !

En principe  …  c’est oui

Mais en fait, c’est non !

Lors rien n’est garanti

Entre filles,  garçons.

À cause des couleurs,

À cause des couleurs,

Par  dégout, pudeur,

De  l’état   de nature,

Jeune, beau  et fort ;

De  l’état  de culture :

Métier,  diplôme d’or.

À cause  des humeurs :

Caractère  incompatible

Des émotions, des cœurs

Plus ou  moins  sensibles.

Et puis, il  y  a  la  famille,

Les origines, ou  le milieu,

Les âges et les générations,

Les apparences les dictions.

Finalement, quand  on  trie :

Il ne  restera  que  bien peu :

Ceux  ressemblant  le  mieux,

À ceux  avec  lesquels, l’on vit.

En suite acceptation alter-ego

Celui, ou  celle  que …   j’aime,

Car, c’est  moi  qui  le barème,

Différences : mais   pas  trop !

Chacun, en cercle ou errance,

Couple, famille, préférences,

Vous protègent ou coupent

D’une nouvelle rencontre

Sauf à aller à l’encontre

En coupant racines,

Tant familiales

Qu’amicales

À jamais

Seul.

.

.

Extensions

 .

Pouvoir tous se rencontrer !

En théorie, oui, en réalité, non,

Tant la division des statuts, et profils,

Est inhérente  à l’humain, à des civilisations.

Et puis il y a les filles « bien comme il faut »,

«Bonnes à marier» et puis les autres,

Tout comme  il y a  les bons et

Les  vrais  mauvais  garçons.

.

Ceux qui se prennent pour des

Demi-dieux sur Terre, et celles

Que l’on ne pourrait approcher,

Qu’elles soient stars ou starlettes.

.

Au final je ne peux guère rencontrer

Que des gens qui me ressemblent voire

En plus ou en moins mais en tous cas qui

Ne me sont pas opposés, encore que l’on dit,

Que des fois, bien des contraires s’attireraient,

Se rejoindraient, quand ils ne s’épouseraient pas,

Durent ensemble, donnant tort à toutes prédictions.

.

Quelqu’un  qui me ressemble, quelqu’un  de différent :

Voilà bien le dilemme et pas toujours simple à résoudre.

.

Sur le plan quantitatif, la chose est strictement impossible

Qualitatif, elle l’est de même et de fait par âge, sexe, métier,

Affectif, le choix est  encore  plus restreint : électif ou imposé

N’en demeure pas moins que  les réseaux  sociaux, numérisés

Sont une tentative  courageuse, mais  illusoire  et désespérée,

De remettre des places publiques  en contacts, sinon privées.

En principe on peut tous se rencontrer mais en réalité, non.

Quand on se marie, l’on ne séduirait plus personne d’autre

Quand on se sépare, c’est pire, tous les amis se retirent.

.

On peut rencontrer beaucoup de gens

Surtout si on est en campagne élective :

Ce ne seront que  d’éphémères fantômes,

Qui n’auront de contacts suivis avec vous.

.

S’il s’agit trouver partenaire pour se marier,

Le choix n’a plus rien de politique : que privé.

De ce fait, il devient restreint fonction critères :

Âge, sexe, apparence, métier, milieu … passions.

.

Les rencontres sont favorisées par les interactions,

Les opportunités diverses et variées, disponibilités.

Faut-il encore, lors établies, les nourrir, entretenir,

On ne pourra guère tabler que sur quelques-unes.

.

.

669 – Calligramme

.

P O U V O I R   T O U S

Cela reste toujours possible,

En réalité, fort peu probable,

Vu le nombre  de potentialités.

 Nous  ne  sommes, en rien, égaux,

Certains sont timides…voire réservés

Lors d’autres sont proactifs et sociaux.

Le tri s’opère selon filtre de ce qui a plu,

Les fréquentations  sont plus éclectiques

Que les amis, les partenaires, et les élus

Quand peut-on dire avoir rencontré,

Quelqu’un, quelqu’une, vraiment.

S E       R E N C O N T R E R 

Est-ce une question…de durée,

Ou d’intensité, de comment !

Et tous  nous  rencontrer !

En principe  …  c’est oui

Mais en fait, c’est non !

Lors rien n’est garanti

Entre filles,  garçons.

À cause des couleurs,

À cause des couleurs,

Par  dégout, pudeur,

De  l’état   de nature,

Jeune, beau  et fort ;

De  l’état  de culture :

Métier,  diplôme d’or.

À cause  des humeurs :

Caractère  incompatible

Des émotions, des cœurs

Plus ou  moins  sensibles.

Et puis, il  y  a  la  famille,

Les origines, ou  le milieu,

Les âges et les générations,

Les apparences les dictions.

Finalement, quand  on  trie :

Il ne  restera  que  bien peu :

Ceux  ressemblant  le  mieux,

À ceux  avec  lesquels, l’on vit.

En suite acceptation alter-ego

Celui, ou  celle  que …   j’aime,

Car, c’est  moi  qui  le barème,

Différences : mais   pas  trop !

EN FAIT,  OUI  ET  NON !

Chacun, en cercle ou errance,

Couple, famille, préférences,

Vous protègent ou coupent

D’une nouvelle rencontre

Sauf à aller à l’encontre

En coupant racines,

Tant   familiales

Qu’amicales

À jamais

Seul.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

669 4

.

Comme un clou ou une vis,

Qui  s’enfonce  ou  qui  glisse,

Ou simplement belle cravate,

Marquant différence de classe

.

La cravate a longtemps été un signe

De distinction entre classes

Entre ceux qui la portent  (les cadres)

Et les autres (les employés)

.

Symbolique 

.

Cravate est objet

N’ayant  aucun intérêt

Vestimentaire particulier,

Servant seulement d’apparat,

Qui s’impose, durant le xxe siècle,

Comme un standard vestimentaire,

Le plus souvent est associé à la tenue

D’un costume,  chez  les hommes aisés

Ou les hommes ayant fonction, emploi,

Les mettant en visibilité face au public,

Le port de la cravate est, autant, perçu

Comme un signe de distinction sociale

Que comme une contrainte sociale,

Quasiment toujours abandonnée

Hors de contexte professionnel.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

668 – Peu de gens veulent vivre seuls ! 

  Alignement central / Titre absent   / Thème  rencontre

Forme  losange / Rimes égales /  Fond approché de  forme

Symbole de forme : cravate  / Symbole de fond : classes

.

.

Fond

 .

Évocation

.

669 6

.

La cravate a longtemps été un signe

De distinction entre classes

Entre ceux qui la portent  (les cadres)

Et les autres (les employés)

.

Symbolique 

 .

Avant de traiter ce qui importait

Le plus à l’auteur de La Distinction,

Les classes sociales comme dimension

Des luttes symboliques de classements,

Pierre Bourdieu  s’est  d’abord intéressé

Moins aux propriétés  de classes, en tant

Que  signes  de distinctions, sous la forme

De capital  symbolique, capable  d’assurer

Ce qu’il appelait  une «rente de distinction»,

Qu’à ce que les classes devaient aux relations

Qu’elles entretenaient, avec les autres classes,

Dans l’espace social, dès ses premiers travaux

Il critique, en effet, l’appréhension « réaliste »

Des classes sociales.

cairn.info/revue-societes-et-

representations-2004-1-page-385

 .

.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

Il y a une distinction à faire,

Entre des rencontres possibles

Rencontres probables et réelles.

Première tient lieu de fantasme ;

Seconde, de proximité physique ;

Dernière, de contacts  prolongés !

.

Faut avoir des choses en commun

Faut vouloir approfondir le sujet,

Ne pas craindre  un  brutal rejet,

Voire aplanir  bien des inégalités

Notamment pour les caractères.

.

.

Se rencontrer tous ou presque

.

Scénario

.

Lieux de rencontres ne manquent pas, pour ceux qui veulent,

Qui pourraient bien se rencontrer dans ce trio amical ou pro,

Quel que soit l’autre : amateur, passionné ou simple curieux !

.

Visuels et textuels  >>

668 – Il y a peu de gens qui veulent vivre tout seul

Visuels et textuels >>

.

La solitude est un pesant fardeau,

Dit monsieur Jean de La Fontaine,

Et  s’il n’est pas seul, loin s’en faut,

Il est de ceux qui donnent la peine.

.

La peine d’être seul avec soi-même

Y compris  en cas de mal extrême,

Sans la compassion de tout autre,

Et qui se ferait, de vous,  l’apôtre.

.

Un cherchera deux mais non zéro

Aucun ami n’est jamais de trop,

Pour calmer le moindre bobo.

.

Il y a peu de gens qui veulent vivre seul,

Tant solitude est froide, comme linceul,

On dit qu’amour nait d’une intention,

De prédispositions à se rencontrer.

.

Tous sentiers mènent à l’autre :

Faut avouer que les sentiers

Se croisent et se séparent

Un peu, par  volonté,

Autant par hasard

Ou   à   l’occasion,

D’un lieu, moment,

Où dialogue s’instaure

Et que notre cœur bat fort

Pour  le  rendez-vous  suivant !

.

Naissent ainsi, nombre de passions,

Mais c’est parfois aussi après cheminant

Sur le même sentier, et, la même direction,

On prend le temps de s’aider ou se confronter

Chercher la formule pour mieux se réinventer.

.

.

Extensions

 .

Il y a peu de gens qui veulent vivre seul :

C’est souvent un choix forcé et non désiré.

« L’homme n’est pas fait pour vivre seul »

Lit-on en la Bible pour cela Dieu a créé

Sa compagne qu’on appelle sa femme.

.

Dit comme ça, c’est décider qu’elle

N’a jamais le droit d’être seule.

Homme et femme se mettent

En couple pour se reproduire :

S’ils ne se reproduisent, dira-t-on,

Ils préfèrent rester seuls, égoïstement !

.

Mais que ferait-on d’une solitude à trois,

Où l’enfant n’est pas aimé, accepté, éduqué,

Il est là, comme fruit du hasard, non désiré !

La solitude est bien un concept universel

Mais  elle se vit au niveau personnel,

Au cas par cas, en situation non originelle.

.

La solitude ne s’invente pas ; le couple, oui

Et pour l’adoucir mais si l’on se sent seul avant,

Que l’on s’aime comme cela, il y a peu de chances,

Qu’à deux, la solitude se transforme : on vivra à côté

De quelqu’un, quelqu’une, bien plus qu’avec.

.

Différents niveaux, différentes situations, de solitudes,

Solitude choisie, assumée et solitude subie, imposée ;

Solitude longue de maladie, de privation de liberté ;

Solitude face à son destin, ou face à sa … finitude !

La solitude  n’est pas l’état naturel   de l’humain,

Ce dernier acquiert ce statut grâce à ses pairs

Et être seul est donc  rester habité par eux

Je suis seul, et rien qu’avec moi-même,

Ne peut donc être que fausse vérité

Y compris au milieu de l’océan.

.

Vivre seul ne veut pas dire, pour autant,

Ne vivre qu’en soi, avec soi, que pour soi.

Il y a des gens vivant seuls tout en faisant

Tout ou presque pour les autres, en émoi !

.

Et par ailleurs, bien qu’étant très entouré,

On peut parfois se sentir des plus esseulés,

Parce que pas sur même longueur d’ondes

Pas compris, intéressé, par leurs facondes.

.

Partager sa solitude est bienfait pour tous,

Vous étouffe souvent que pour soi à garder.

Il faudrait aller vers l’autre pour y échapper

Sachant que vivre seul peut vous rendre fou.

.

.

668 – Calligramme 

 .

La   P  solitude est un pesant  V  fardeau,

Dit  E  ce monsieur Jean de la  I  Fontaine

Et     U   s’il n’est pas seul, loin   V  s’en faut

Il est   *     de ceux qui donnent  R   la peine.

La pei  D     ne d’être seul avec  E soi-même

Y com  E     pris en cas de mal  *  extrême,

Sans    *    la compassion d’  S  un autre,

Qui     G   se fera, de vous  E  l’apôtre.

Un      E    cherche deux U pas zéro

Ami   N  n’est jamais  L  de trop

Pour  S  le moindre S    bobo.

.

*************************

****************************

.

Il y a peu de gens  V   qui veulent vivre seul,

Tant solitude est   E   froide, comme linceul,

On dit qu’amour  U    nait d’une intention,

De prédispositi   L    ons à se rencontrer.

Tous sentiers   E    mènent à l’autre :

Faut avouer  N    que les sentiers

Se croisent  T    et se séparent

Un peu   *  par  volonté,

Autant   par hasard

Ou   à    l’occasion,

D’un lieu, moment,

Où dialogue s’instaure

Et que notre cœur bat fort

Pour  le  rendez-vous  suivant !

Naissent ainsi, nombre de passions,

Mais c’est parfois aussi après cheminant

Sur le même sentier, et, la même direction,

On prend le temps de s’aider ou se confronter

Chercher la formule pour mieux se réinventer.

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

Petit tabouret,

Ou djembé, non,

Plutôt un sablier

Ou une clepsydre.

.

Que ce soit sablier ou clepsydre

La solitude est même pour tous,

Sa durée raccourcit  tout espoir

De se voir accordé à un amour.

 .

Un sablier coule du sable

Pendant  un  temps certain.

Si couple retournerait sablier,

Célibataire garde du même côté

.

Symbolique 

.

Le sablier est un instrument

Servant à mesurer le temps.

Il symbolise: tempérance

L’éternité, prudence,

Recommencement.

Lors il est associé

Au temps   cyclique.

Tant cet instrument peut

Être retourné indéfiniment,

Et c’est donc le même sable qui

S’écoule dans le récipient opposé.

symbolise éternel recommencement.

1001symboles.net/symbole

/sens-de-sablier

.

Descriptif

 .

668 – Peu de gens veulent vivre seuls ! 

  Alignement central / Titre analogue   / Thème  solitude

Forme  conique / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : sablier  / Symbole de fond : clepsydre

.

.

Fond

 .

Évocation

.

668 6

.

Une clepsydre sera comme sablier

Avec deux bols dont un percé,

Et duquel coule un filet d’eau

Comme deux vases communicants !

.

Symbolique 

 .

À l’origine, la clepsydre

Est  un  instrument  à eau

Qui  permettait  de définir

La durée d’un évènement,

Ou la durée d’un discours

On a contraint  la durée

D’évènement au temps

De vidage d’une cuve

Contenant de l’eau

Qui s’écoule par

Un orifice.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quand le temps passe parfois il lasse

Il y a quelque chose qui nous dépasse,

Il y a quelque chose qui nous tracasse,

Temps devient fardeau qui nous peine,

Sans ami, sans couple … communauté,

Le temps n’a plus  d’accroche, ni durée.

.

D’être seul à vieillir autant qu’à mourir

Ne peut que nous faire gémir et souffrir

L’homme n’est pas fait pour vivre seul :

Bien que certains  le souhaitent, veulent

Ils finiraient, un jour, par le regretter !

 .

.

Célibat, marié, divorcé, veuf ?

.

Scénario

.

Vivre seul c’est parfois vraiment être très seul, tout seul,

certains y voient une connexion directe avec le divin,

autres le font pour changer ou fuir le quotidien !

 .

Visuels et textuels >>

Qui veut choisir doit aussi se faire choisir

Visuels et textuels >>

.

Le choix : l’avons-nous !

Le choix, le forçons nous !

Le choix : le rejetons-nous !

Le choix : y  croyons-nous !

.

Réciproque ou non réciproque ;

Pas réciproque au début, plus tard ;

Réciproque au début, pas plus tard ;

Tous cas  seront  dans les possibles.

.

On vous parle caractères, passions,

De sentiments, affinités  électives

Sauf si ce seront les apparences,

Qui importent et qui l’emporte.

.

Qui veut

Choisir, doit

Se  faire  choisir,

Par l’autre, en tous cas.

On peut aimer qui on veut,

Au moins, aimer  qui on peut

Mais s’il parait qu’on se choisit.

.

Qui préside  aux amours consentis :

Le choix se ferait  parmi  des milliers

Il en suffit d’un qui soit en réciprocité

Qu’il soit durable  ou en essai pour voir,

Chacun  ses attentes  et  ses  désespoirs.

.

Affinités électives est porte de la liberté.

Amour devient enjeu où, ne pas tricher

Est se déclarer à l’autre  tel que l’on est,

Laisse un miroir  où  l’on reste  surfait.

.

Place  aux Meetic, Face-book, Twitter

Le choix est grand  et  à  toute  heure

Frissons garantis,  déceptions  aussi,

Passant,  d’affinités  d’amis,   au  lit.

.

Choisis-moi, pour que je te préfère,

Devant ce tel annuaire à la Prévert

Comment savoir  si ça marchera,

Quand  hasard  autant  réussira,

À marier des affinités électives

Le temps  ‘une rencontre vive

Où l’on a rêvé d’avoir trouvé

Son alter-ego pour moitié.

Altérités : je  vous hais !

Affinité : tu me plais !

Je ne sais qui tu es,

Amour m’y mets.

J’y resterai, si,

Toi … aussi

Te réjouis

Esprit.

.

.

Extensions

 .

Choisir, être choisi, cela s’appelle la réciprocité,

Je te plais, tu me plais, on se plait, marions-les.

Facile à faire mais déjà plus difficile à défaire

Et puis s’aime-t-on pour les mêmes raisons

Pas certain mais pour autant le sait-on

Choisir pour un soir et pour la vie

À bon entendeur  …  salut !

Car le dire deux fois

Serait trop

Déjà

V

.

Alors qui choisit qui :

Avec réciprocité, ou non !

Le premier qui rencontrera

L’autre ; premier qui le quitte

Autant de questions, solutions,

Qui tournent en boucles en têtes

Jusqu’à ce qu’union se concrétise.

.

On dit parfois que le choix est biaisé

C’est pas nous, c’est notre inconscient

Qui nous l’impose en dehors de liberté

Parler de choix et de hasard en amour,

Reviendrait alors au même : en baiser !

.

Que penseront les autres de votre choix,

Qu’en savent-ils de construction du nous,

Combien de fausses projections, pour soi,

Renforçant ou  détruisant tant de couples,

Au lieu de les laisser faire, défaire leur nid.

.

.

Épilogue

.

Choisis-moi pour que je te préfère

Comme amant, mari, et non frère,

Tu m’aimes…n’en fais pas mystère

Malheureux, sans toi, sur  la Terre.

***

Voilà une histoire d’amour qui roule

Enfin, dans ta tête et dans tes désirs,

N’en faudra pas plus pour son plaisir

Or en réalité comment cela se déroule

***

En nombre étapes, autant hésitations,

Quand  ce n’est pas refus, en question,

La réciprocité n’est pas chose acquise,

D’emblée : elle se doit d’être conquise.

***

Suffirait-il  de  lui offrir  un pendentif,

Avec une émeraude, ou un cœur en or,

Pour attraper ce dernier comme captif

Offre précieuse mais symbole : dehors.

***

Peut-être  était-ce trop tôt, trop brutal,

Elle l’aura pris comme instinct animal,

De s’offrir sa proie, et au moindre mal,

Montrer il serai le meilleur des mâles !

.

.

667 – Calligramme  

 .

Choix, avons-nous !

Le choix, le forçons nous !

Le choix, le       rejetons-nous !

Le choix   y              croyons-nous !

Réciproque et             non réciproque !

Pas réciproque             début, plus tard !

Réciproque au            début, plus tard ! 

Tous cas seront       dans les possibles !

On vous parle de caractère, passion,

De sentiment, affinités électives

Alors que c’est l’apparence,

Qui l’emporte !

.

Qui veut

Choisir,   doit

Se    faire    choisir,

Par l’autre,      en tous cas.

On peut aimer   Q      D  qui on veut,

Au moins aimer    U      O        qui on peut

Mais s’il parait      I         I   qu’on se choisit.

Qui préside  aux    *           T   amours consentis.

Le choix se ferait   V            *     parmi  des milliers

Il en suffit d’un      E              S      qui soit réciprocité

Qu’il soit durable   U              E   ou en essai pour voir,

Chacun ses atten    T              *    tes  et ses désespoirs.

Affinités électives   *               F  est porte de la liberté.

Amour devient en   C             A   jeu où, ne pas tricher

Et se déclarer  à     H            I    l’autre, tel qu’on est,

Laisse un miroir    O           R    où l’on reste surfait.

Place  aux Meetic  I           E    Face-book, Twitter

Choix est grand     S          *     et  à  toute  heure

Frissons garantis   I        C    déceptions  aussi,

En passant d’affi    R     H    nité, amis au  lit.

Choisis-moi, pour      O  que je te préfère !

  Devant  un tel  an    I   nuaire à la Prévert

Comment savoir  S    si ça marchera,

Quand hasard    I  autant  réussira,

 À marier des R  affinités électives

Le temps  d’une rencontre vive

Où l’on a rêvé d’avoir trouvé

Son alter-ego pour moitié.

Altérités : je  vous hais !

Affinité : tu me plais !

Je ne sais qui tu es,

Amour m’y mets.

J’y resterai, si,

Toi  …  aussi

Te réjouis

Esprit.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

667 4

.

Silhouette d’extra-terrestre

Flacon  de  parfum, bouchon,

Pendentif du genre émeraude

Et anneau d’attache à un collier.

.

Une émeraude devrait suffire,

 Pour attirer l’attention sur … soi :

Lors ce pendentif sera en accord,

Avec soi et avec ses sentiments.

.

Symbolique 

 .

Les émeraudes

Auraient pour vertu

De  renforcer  le  système

Immunitaire et permettraient

Au corps de se défendre contre

Les attaques virales étant type

Grippe ou angine, également

Des capacités en matière de

Purification foie pancréas.

Les vertus de l’émeraude

Seraient    revigorantes

Autant  fortifiantes.

Vert apporterait

Harmonie

Et paix

vuillermoz.fr/

page/emeraude

.

Descriptif

 .

667 – Qui veut choisir doit se faire choisir  

  Alignement central / Titre analogue   / Thème  choix

Forme  en ovale / Rimes égales /  Fond approché de  forme

Symbole de forme : émeraude / Symbole de fond : pendentif

.

.

Fond

.

Évocation 

.

667 6

.

Une émeraude devrait suffire,

 Pour attirer l’attention sur … soi :

Mais aussi autre pendentif, en

 Accord, avec ses sentiments.

.

Symbolique

.

Bijoux,

Pendentifs,

Que nous portons

Contribuent à former

Notre    personnalité.

Certains ne jureront

Que par des colliers

Très fins, discrets,

D’autres par des

Formes larges

Et visibles.

.

Chaque personne

À ses  préférences,

Qui   disent  quelque

Chose de nous, choix.

.

Témoins des histoires

De chacun ou simple

Coup de cœur, les

Pendentifs sont

Comme un

Ornement

Et  livrent

Leur beauté

Naturellement,

Harmonie avec

Celui, ou celle,

Qui les porte.

.

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Nos bijoux se portent comme porte-parole

Surtout quand ils sont mis en pendentifs

Sur poitrine pour mieux les admirer.

Il y en aura des cents et des milles

Certains avec une seule pierre,

Autres avec un assemblage

Aucun choisi au hasard

C’est parfois lui qui

Attire   et   qui

Vous  ira

Bien

V

.

.

De la réciprocité

.

Scénario

 .

Échec est inscrit en rouge lors succès, écrit en vert.

Se faire montrer du doigt : bon ou mauvais exemple ?

Choisir, parfois … s’impose, parfois, aussi, se rationalise !

.

Visuels et textuels >>

425 – Si ce poème que je t’adresse

Visuels et textuels >> 

Adresser poème à quelqu’un

Est comme se  mettre  à  nu, devant lui :

Chaque mot, chaque rime et chaque  sonorité,

Fondra ses émotions, confondra ses sentiments.

 C’est aussi prendre le risque de devenir incompris

Par un style, une langue, un propos qui divertit

Mais ne s’adresse pas au cœur : qu’à l’esprit.

.

Lors les hormones font l’effet garanti.

 Derrière un poème ou à l’intérieur,

Il y aura un regard, ou une  voix,

Qui peuvent alimenter le rêve

Qu’un beau jour s’achève.

.

Au sein d’un tel poème,

Soit précis, bohème,

Y a une intention

D’é-mo-tions

Lors suivi

Action

V

.

Si ce poème,

Que je t’adresse

Devient pour toi,

Comme   caresses,

Celle de tes mains,

Celle  qui  m’aime,

Reviendra  en moi,

Comme  un poème.

.

Et si ce regard,

Qui  te dévisage,

Devient, pour toi

Un subtil  nectar,

Celui,  en réponse,

Et qui  m’envisage,

Reviendra pour moi

Comme     un    poème.

.

Si cette voix berçant l’oreille

Devient pour toi, silence d’éveil,

Celle de ton cœur  tout à ses joies,

Revient, en moi, comme  divine foi.

 Lors si ces pensées abreuvent tes rêves

Durant des jours,  des nuits sans trêves,

Il te faut croire, quelqu’un, de bien aimé,

Habite, harasse, hante, harcèle, ta pensée.

.

Et si pour toi, tel poème épouse ton regard

Qui te plonge, par sa  voix, d’un délice rare,

En pensées portant en fonts baptismaux,

Tu en sortiras guérie de tous tes maux,

Mais ce qu’il faudra lire, en cet écrit

Ne sont ni les phrases, ni mots :

Silences, musiques, images

Évoqués  pour … toi

En  par-ta-ge

De  soi

V

.

.

Extension

.

Les messages  et pensées  entre les mots,

Les lignes de textes sont comme les silences

Les soupirs entre les notes, portées musicales,

Sont comme les couleurs cachées,  ou rajoutées,

Entre les coups de crayons, pinceaux d’un tableau.

.

En cela, ce poème, exprime bien moins que la réalité,

Bien en deçà, autant que bien plus, en tous cas, au-delà.

Lecteurs, transcrivant les mots de l’auteur dans les siens,

S’accordent  avec sa pensée, son intention, ou  s’en sert

Comme prétexte pour y superposer son propre texte,

Tenant compte de son propre contexte… ou autre

C’est la différence  entre  ce que l’on a ressenti,

Le lisant, et ce qu’a voulu exprimer l’auteur.

.

Mis à part  un commentaire  circonstancié

Et explicite de l’auteur, comment analyser

Poème sans savoir pourquoi il a été écrit !

.

Ce poème écrit en forme de toupie, peut vous donner le tournis,

Et ce d’autant qu’il dérive vers autres propositions d’inspirations

Lors associant des formes et illustrations qui l’anime ou prolonge,

Si certains adhèrent au format et contenu, d’autres s’en indiffèrent,

Mais il suffira qu’il en rende un heureux pour que le but soit atteint !

.

Des contenus de poèmes, il y en a cent et mille

Des formes, moins, tout de même des dizaines

Certaines sont versifiées, codifiées, de partout,

Tandis que d’autres  sont libres, au fil de l’eau.

.

Contenus, formes des miens sont divers variés

Adoptent présentations évoquant soit un objet

Soit une personne, une silhouette, personnage,

Et qui illustre une symbolique qui s’y rattache.

.

Qu’on l’appelle poésie graphique ou narrative,

N’a pas grande importance, j’ignore catégorie

L’essentiel est le ressenti personnel, l’émotion

Que l’on en retirerait en plus de l’information.

.

Tu peux te sentir concerné, comme interpellé

Ou demeurer centré sur le contenu informatif

Sachant qu’il n’y a pas une seule façon de lire

Quatre autres visions sont autant expressions

.

Deux symboliques, s’adressant  à l’imaginaire,

Viennent dériver, compléter  formes poétiques

L’une concernant la forme et l’autre plus le fond

Offrant nouvelle palette culturelle d’expressions !

.

.

Épilogue   

.

Entre un mot, un billet, un texte,

Adressé à celui, celle, qu’on aime,

Et un poème de quatre, cent vers,

Différences sur le fond, la forme !

.

Texte linéaire est suite de mots,

Phrases, paragraphes ou textos

Il suit le fil direct d’une pensée,

Il peut être  amendé, à volonté.

 

***

 

Poème est comme jaillissement

Mise en forme, le fond, influant

S’il se compose aussi, à la volée,

Il a ses règles propres, imposées.

.

Le texte est plus propice au récit,

À la personnification et la raison ;

Le poème vise avant tout émotion,

Style est essentiel en ce qui est dit.

 

***

 

Certains préfèrent improviser toast,

Au cours d’anniversaire, cours de fête

D’autres liront un texte voire un poème

Tous s’adressent à l’auditoire, au public

.

Écrire un poème rien que pour un aimé,

Sera renforcer un lien d’un ordre privé,

Lui seul en a l’accès, lecture, ressenti,

Se verra à répondre plus que merci.

.

On est en droit de détester poésie

Surtout étant écrite de travers,

La vie ne se conte pas en vers

Quelques mots : on a saisi !

.

.

425 – Calligramme

.

Adresser    P    poème à quel       T  qu’un

Est comme    O     se  mettre   à  nu, de    ‘   vant lui 

Chaque mot,    È       chaque rime et chaque     A    sonorité,

Fondra en émo  M      tions, confondra ses sen          timents.

 C’est lors pren  E      dre le risque  devenir in       R      compris

Par un style,    *      une langue,   propos  qui         divertit

Mais ne s’a     dresse pas au cœur, qu’à    S      esprit

Lors les     U    hormones font effet ga    S    ranti.

 Derrière  E    un poème ou à l’inté     E  rieur,

Il y aura  *    un regard, et une     *   voix

Qui peu  J    vent alimenter   * rêve,

Qu’un   E    beau  jour * achève.

Au sein  *  d’un *  poème,

Précis       *   bohème

Y a une intention

D’é-mo-tions

Lors suivi

Action

V

 .

Si ce poème,

Que je t’adresse

Devient pour toi,

Comme   caresses,

Celle de tes mains,

Celle  qui  m’aime,

Reviendra  en moi,

Comme  un poème

Et   si   ce    regard,

Qui   te   dévisage,

Devient,  pour toi

Un  subtil  nectar,

Celui,  en réponse,

Et qui  m’envisage,

Reviendra pour moi

Comme     un    poème !

Si cette voix berçant l’oreille

Devient pour toi, silence d’éveil,

Celle d’un cœur    S      tout à ses joies,

Revient, en moi      E   comme divine foi.

 Lors si ces pensées    R    abreuvent tes rêves,

Durant des jours,        A   des nuits sans trêves,

Il te faut croire quel      *        qu’un, de bien aimé,

Habite, harasse, hante   P     ou  harcèle, ta pensée.

Et si pour toi, tel po        O    ème épouse ton regard

Qui te plonge en sa        U    voix,  d’un délice rare,

Dont pensées te por     R  tent fonts baptismaux,

Tu en sortiras gué      *   rie de tous  tes maux,

Mais ce qu’il faut   T   lire dans ce poème

N’est la phra      O     se ni les mots :

Silence, mu   I    sique, image

Évoqués    *    pour… toi

En      par-ta-ge

De      soi

V

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

 

.

Évocation

 .

Formes de toupies, superposées,

Tournant comme poésies graphiques

Coniques, en pointes, ou avec tiges

Ou deux gouttes d’eau à se suivre.

.

Une  poésie, c’est quelque chose

Qui tourne dans sa tête,

Et qui soudain jaillit sur le papier

En flash ou en évidence.

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme est

Un mouvement littéraire

De la fin du XIXe siècle

En réaction contre le

Récit dit  Naturaliste

 En utilisant la suggestion

En vue d’établir des liens

Et des correspondances

En vue  de donner une

Vision … graphique

Spirituelle du monde.

Et ils jouent également

Avec la musicalité des mots.

schoolmouv.fr › …› Mouvements littéraires

.

Descriptif

 .

425 – Poème que je t’adresse, sera pour toi

Alignement central / Titre en ovale / Thème  cadeau

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme 

Symbole forme : graphique / Symbole fond : narratif

.

.

Fond

.

Évocation 

.

425 6

.

Une poésie narrative utilisera, à la fois,

Une forme graphique particulière

Et nombre de variations dans les caractères

Pour passer un second message.

 .

Symbolique 

 .

La poésie narrative est un courant de la poésie

Qui sans renoncer à sa dimension expérimentale,

Ou à une certaine forme  de lyrisme, exploite  des

Matériaux divers en usant des images, et formes,

Ou en incluant des fragments discursifs, s’appuie

Sur le rythme et l’oralité non pour cacher le sens,

Mais pour le révéler selon le site Web Wikipédia.

En serait-t-il ainsi pour mes  Éclats d’existence :

Je n’ose y souscrire lors  je vous laisse en juger !

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un poème dédié, adressé à une personne, réelle,

Ne peut tout à fait être pareil qu’à tout un chacun

En second cas, on sera dans une écriture virtuelle

N’attendant ni d’impression, ni retour, immédiats

Mais le personnel n’atteindra plus lors l’universel.

.

Et une poésie, qu’est-ce c’est d’autres qu’un texte

Composé d’une suite de mots dans un contexte,

Qui, pour une cause ou autre sert de prétexte

À vers rimés, libres, ou mixtes : connexes !

À l’image de la toupie, une poésie tourne

Un temps restreint, trace trait, s’épuise

Impressionne ou non un spectateur.

.

Tout comme cette forme un lecteur

Voyant ou non rapport entre eux.

Le contenu d’une poésie reste lié

Quoiqu’on fasse, quoiqu’on dise,

À ses formes et il y en beaucoup,

Et que je m’efforce de diversifier.

.

Visuel

.

.

Déclaration d’un amour fou 

.

Visuels et textuels >>

424 – Offrande amie : bouquet de fleurs

Visuels et textuels  >> 

Bouquet de fleurs est

Messager  des  bonheurs

À venir pour instant présent

Et, tout autant qu’un cadeau,

À pardonner erreur du passé,

Pour le moins, malentendu.

.

Lors on a perdu les vrais mots

Qu’il faut, on passe par symbole

Qui agit comme généreuse obole,

On ne paie  plus  de  sa  personne,

On achète ses pardons  par le geste

Bien accueilli par bien des femmes.

.

Un tel bouquet  de mots choisis

Et de ma main, sincèrement écrit,

Parviendra-t-il à  bonne persuasion

Auprès de  ton cœur,  âme transie,

Je n’en sais rien mais c’est tout ce

Que je sais faire pour conquérir.

.

Si certains offrent à leur belle amie

Un bouquet de fleurs fort bien choisies

D’autres leur offriront plein de cadeaux

Sous des formes d’objets des plus beaux.

.

Moi, je n’ai rien  à t’offrir  et qui me coûte,

Que bouquet  de mes poésies qui t’écoutent,

Parlant de toi de ton charme qui m’envoute

Et qui balaie, de conscience, moindre doute.

.

Je le sais, tu me diras, je n’ai aucun mérite,

Même que toi, souvent aussi, en profites.

Tant vrai,  qu’en les écrivant, je médite,

Souffre lors de les lire comme un rite.

.

Un rite,  amical, amoureux, festif,

Qui me rendra plus beau, jouissif,

Sur cette terre où tout te désole,

Ces vers, j’espère, te consolent.

.

je pourrais t’habiller d’argent,

Flatterie, mensonge, argument,

J’ai préféré  te vêtir  de  poésies

Et mettre mon cœur en sursis.

.

Et pour faire bonne prestance

Rien ne vaut poème, éléments

Vers lequel   l’amour s’élance

Sauf, à le renier subitement.

.

Cadeau  s’oublie  facilement,

Fleurs se fanent rapidement,

Seule, poésie résiste au temps,

Reste comme sublime présent.

C’est  pourquoi, ce soir,  ce sera

Mon plus beau cadeau pour toi.

.

.

Extension

.

Leurs parfums embaument l’air de mon existence

Et dont les sens perdurent en or de ton royaume

Preuve d’amour pour moi, preuve d’essence,

D’essence dont je me chauffe contre toi

Et qui brûle  en moi, me  régénère,

Chaque fois de tant d’énergies

Que c’en est pas permis.

 .

Entre : un poème,  une lettre,  un mot,  qui vous est adressé,

Un bouquet de fleurs, des  chocolats, un objet  symbolique,

Quel cadeau préférez-vous et  voire lequel offririez-vous ?

Si pour certains ce n’est pas un dilemme, pour autre, si.

La crainte de se tromper, de cibler à côté, souvent existe :

On peut répondre aux attentes tout autant que surprendre,

En tout état de cause, il est rarement question de reprendre !

 .

Chacun sait que les fleurs offertes en pot

Ou bouquet, coupées, délivrent messages

Codés selon une liste établie de symboles,

Et que son choix n’a rien donc d’innocent.

.

Il y en a qui correspondent  parfaitement

À la préférence  et à l’attention de l’aimée

Comme  une sorte  d’intention … dévoilée,

Renforcée par qualité des remerciements.

.

Il y en a  qui sont  comme  des contritions

Pour se faire  pardonner, ou  se  rattraper

D’un oubli, d’une blessure, ou  tromperie :

Vite, un bouquet  sinon elle va me quitter.

.

Moi je ne te quitte pas, je n’ai pas de fleurs

Juste une feuille de papier et un stylo encre

Et si pour sûr, je pourrais t’en dessiner une

Préfère écrire un mot  allant droit au cœur.

.

N’importe quel poème, si court, long soit-il,

Ne coûte rien, juste du temps parfois talent,

Il peut émotionner, ou paraitre trop surfait,

Faudra le lire autant entre les lignes et vers.

.

.

Épilogue

.

 1.

M’offrir un poème,

 Ce serait le bouquet :

Non de roses, ni prose,

Bien en vers qui riment.

 

2.

 

Si on peut cueillir des fleurs

De toutes les formes, couleurs,

À défaut, au fleuriste, les acheter,

Pour un poème : faut le composer !

 

3.

 

Le mieux demeure de le faire en fleur,

Là, faudra être dessinateur, sculpteur.

Si on veut mettre receveur en pleurs :

Un  seul mot  de  travers : malheur !

 

4.

 

Messages fleurs   étant codifiés :

Attention à  ne pas se tromper,

Variété et nombre comptent :

Ils vous sondent,  racontent.

 

5.

 

Que ce soit fleur ou poème

Voire autre cadeau, livre,

Ce n’est que  l’intention

Qui compte : y penser.

 

6.

 

Que dire de plus : Interflora

Vous l’aura livré sans rien dire

Du commanditaire, bel inconnu :

Un peu comme ce poème, s’il est lu.

 

7.

 

Et s’il ne convient ou ne vous plait pas

et bien, je vais le dire, vous savez quoi :

vous n’avez qu’à le mettre à la poubelle,

 c’est là que finirait souvent amour déçu.

.

.

424 – Calligramme

.

Bouquet        *   *  *  *  *  *   *   *   *      de fleurs est

Messager       *     *                *    *    des bonheurs

À venir, pour   *     *          *    *  instant présent

Et tout autant   *   *       *    *     qu’un cadeau,

À pardonner       *      *    *   erreur du passé,

Pour le moins,    *       *     un malentendu.

Lors on perd            *     les   vrais   mots,

Qu’il faut, on pas   *      se par symbole,

Qui agit comme    *   généreuse obole,

On ne paie pas      *    de sa  personne,

 On achète un        *   pardon, un geste

  Bien accueilli       * de toutes femmes.

    Mais bouquet     * *  des mots, choisis,

      Et d’une main,  *   *  sincèrement écrit,

      Parviendra-t-il  *      *   bonne persuasion

    Auprès de  ton    *         *  cœur, âme transie.

    Je n’en sais rien  *            *    mais, c’est tout ce

    Que je sais faire  *  *    *   *   *   pour te conquérir.

    Certains          C        offrent       B      à leur belle amie

    Un bouquet    E       avec fleurs      O     et  bien   choisies

   Lors d’autres  R        leurs offrent      U      plein de cadeaux

  Sous une         T         forme  d’objet      Q     des   plus   beaux

  Moi, je n’ai      A         rien  à  t’offrir      U      qui    me   coûte,

  Que bouquet    I         de  ces  poésies     E      qui     t’écoutent,

Parlant de toi  N       de  ton charme     T      qui   m’envoute

  Et qui balaie   S       de  conscience      *    moindre    doute.

   Je le sais, tu  *       me  diras,   je    D   n’ai aucun mérite

 Et même     O      que   …   toi     E  aussi en profites.

 Tant vrai,       qu’en       les   *  écrivant médite.

 Souffre       F     lors de les   F  lire comme rite.

   Un rite      R    amical     L  amoureux, festif,

     Qui me      E   rendra  E   plus beau jouissif

     Sur cette   N  terre   U   où tout te désole,

     Ces vers      T  j’es  R    père te consolent.

   Je pourrais          S  t’habiller d’argent,

 Flatterie, men   *  songe,   argument,

J’ai préféré te  À  vêtir  de   poésies

Et mettre mon  * cœur   en   sursis.

Et pour faire    L  bonne prestance

Rien ne vaut     E   poème élément

Et vers lequel l’  U  amour s’élance

Sauf, à le renier  R      subitement.

Cadeau s’oublie     *       facilement,

Fleurs se fanent      A    rapidement

Mais poésie résiste   M     au temps,

Reste comme sublime  I        présent.

C’est pourquoi, ce soir,   E         ce sera

Le plus beau cadeau           *      pour toi.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

 .

Une main touchant fleurs de feu,

Ou une fleur rouge dans  un vase

Ou simplement sorte d’amphore !

 .

C’est bien la main qui offre le cadeau, quel qu’il soit

Et il pourra être de nature quasi virtuel ou bien réel

 .

Une fleur tout au bout des doigts

Comme un feu, artifice

Et une main tendue  pour l’offrir

A celui, celle, qui la verra.

 

Symbolique 

 .

La main exprime

Les idées    d’activité,

Et en même temps que

De puissance, domination.

.

La main est parfois comparée

À l’œil : elle voit et c’est une

Interprétation qu’analyse

A retenu : la main dans

Les rêves est comme un œil

«Aveugle aux doigts de lumière»

.

Les gestes impliquant les mains

Sont et demeurent innombrables.

 Dès lors que chacun de ses signes

Permettent de communiquer.

  .

Descriptif

 .

424 – Certains offrent bouquet de fleurs à leur amie

Alignement central / Titre en ovale / Thème  cadeau

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme 

Symbole forme : mains / Symbole fond : fleurs

.

.

Fond

.

Évocation

.

424 6

.

Une forme ambiguë et voire double :

Un bouquet de cinq fleurs en haut :

De femme, en forme de vase, en bas

Ou encore bas résille sur une jambe

 .

Symbolique 

.

Les fleurs sont l’attribut de Flore

Des figures allégoriques du Printemps,

De la Logique, de l’Espérance, de l’odorat.

La Logique, l’un des sept arts libéraux, porte

Parfois bouquet de fleurs, il n’y en a pas qu’une.

 

L’Espérance détient aussi cet attribut car la fleur

Annonce la future naissance du fruit qui va murir :

Si les fleurs transmettent nos sentiments bien mieux

Que des mots, c’est parce qu’elles accompagnent la vie

Des hommes depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, pareil.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La main avec la paume ouverte et un feu jaillissant

Quelle image du pouvoir  presque magique de sort,

Jeté à quelqu’un (une), pour le meilleur ou le pire.

Prête-moi ta main, oui mais pour quoi en faire !

Le geste de tendre la main est plus qu’humain,

Il est comme  une transmission de feu divin

Sinon chaleur qui nous fera  bien du bien.

.

Faire cadeau d’un bouquet de fleurs ou d’un poème

Beau dilemme  tant on ne sait celui qui coûte le plus

Le poème coûtera un certain prix en temps, énergie

Le bouquet de fleurs, un prix certain en économies.

Après ça dépend aussi, voire autant, du receveur.

.

Un véritable  test  de projection  que ce dessin,

De par sa forme et l’ambiguïté du décodage.

Si moi, j’y ai vu des fleurs, c’est par poésie,

Lors  d’autres  peuvent  y  voir  des  yeux,

Et, pourquoi pas  …  deux mains jointes, 

Sur le fond d’une offrande pour la forme.

.

Visuel

.

.

Offrez bouquet fleurs 

.

.

Fleur

.

Production colorée,

Et parfois odorante,

De certains végétaux

.

Les fleurs peuvent être solitaires,

Sinon regroupées en inflorescences.

Très tôt, les fleurs ont attiré l’attention

Des humains qui les utilisent et les cultivent

Pour l’ornementation intérieure (fleurs coupées)

Et extérieure (jardins, plates-bandes, massifs, etc.).

.

Elles sont utilisées en parfumerie, pour leurs fragrances,

Ainsi qu’en teinture, pour leurs pigments et même en cuisine.

Ont inspiré les artistes, peintres, poètes, sculpteurs, décorateurs.

On confectionne fleurs artificielles, en tissu, en papier, en plastique.

.

« En latin, floris désigne la fleur, par analogie, la partie la plus fine, la meilleure de quelque chose. On connaît des fleurs naturelles, artificielles : fleurs de lys (emblème de la royauté), fleur d’oranger (pour les vierges de jadis), fleur bleue (celle des sentimentaux), fleurs de macadam, fleur de farine, de sel, de rhétorique … »

.

Un nénuphar apparaît dans un étang puis deux, puis le double chaque jour jusqu’à couvrir l’ensemble de la surface de l’étang et faire mourir les poissons et autres végétaux. En montagne enneigée au début du printemps, un edelweiss perce-neige apparait au sommet d’un col qu’un promeneur avide de rareté et de pureté s’apprête à cueillir.

 

Si chaque fleur possède un symbole propre, de façon générale elle est du principe passif. Le calice est comme la coupe, réceptacle de la pluie et de la poésie, symbole de l’instabilité des créatures vouée à l’évolution perpétuelle, au caractère fugitif de sa beauté. (Comme » les jeunes filles, en fleur » Associées parfois aux papillons et aux abeilles.

.

Les emplois allégoriques

Des fleurs restent infinis :

Tel que printemps, aurore,

Jeunesse, rhétorique, vertu.

.

La fleur est l’image de la beauté,

De la sensibilité et de la fraîcheur

Lors bouquet coloré nous est offert,

Quelque chose de positif vient à nous,

C’est comme un bouquet de sentiments

Composant un tout des plus harmonieux.

.

Fleurs fanées nous rappellent l’inéluctabilité

Du temps qui passe, comme le côté  éphémère

De toute existence et de notre destinée mortelle.

.

En dépit de quoi, y a des pacifistes, la fleur au fusil.

 

.

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423 – Je ne suis pas homme de bien

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Homme de bien

Ou homme de rien,

Aucun   de   ces   deux :

Seulement   malheureux.

Et lors  de tels sentiments,

De ne pas plaire, pas convenir,

M’animent je suis malchanceux.

.

Mon apparence, émotion, projet

Ne t’attirent   pas  ni   personne

D’autre   d’ailleurs,   problème.

Mais c’est quoi un homme bien,

Est-ce un fond, est-ce une forme,

Est-ce une  exception ou la norme !

.

Je ne suis, en rien, un homme de bien

Bien qu’à toi, je pense à te dire, viens,

En espérant  que pour toi, je conviens

Dis-toi bien  que  rien   ne  te  retient !

Suppose on se lie d’amour en chemin,

Cela nous sortira de notre…quotidien

Ressource amour du temps,  demain,

Agrémentera nos deux vies de chiens.

.

Je ne suis qu’un hibou…je ne suis rien

D’autre que projet fou qu’une chouette,

Épousera et suivra vers destin commun,

Du début au milieu, en attendant la fin.

La fin de quoi : de ce qui reste humain,

Si l’on considère l’amour comme divin.

.

Je ne te parlerai pas, j’espère, en vain,

Ni des soirs ni des nuits ni des matins,

Corps, esprits s’entrouvrent très sereins

Lorsque j’habite au creux de tes reins.

C’est ainsi qu’en un seul tournemain

Amour est devenu sain, sauf, lien.

.

Si je ne suis rien … que ceci ou cela

La somme ne fera pas  grand-chose.

Je rêve de toi,  rêve d’une vie en rose,

Et, tu ne mets, dans les miens, tes pas.

Le jour où j’habiterai ta pensée…à plein,

Je ressusciterai en tant qu’homme de bien.

.

Mais, comment devenir cet homme de bien,

S’il n’est rien,  il ne possède pas grand-chose.

Amour est gratuit mais, s’il n’entretient pas

Un bon  train de vie acceptable qui suffira

À conquérir, longtemps,  cœur de l’aimé,

Très vite, il  va se faner et se dessécher.

.

.

Extension

.

 « Parti de rien,  pour arriver à pas grand-chose »

Qui n’aura jamais entendu ce jugement de valeur là.

On est là sur valeur économique, politique, célébrité

Alors qu’une valeur personnelle, sociale, morale,

Tient autant la corde, ne se remarque pas.

Parti de rien, il s’est occupé des gens

Comme lui et qui n’ont rien,

Qui ne sont rien,

Et ce n’est pas… rien !

.

Comment définir la valeur, et plus encore, la beauté,

De quelqu’un lorsqu’ils ne dépendent que des regards

Bien plus que de toute réalité objective et même innée.

Il suffit d’être bon et beau pour  quelqu’un, quelqu’une,

Pour que le miracle de l’amour s’accomplisse, perdure.

.

Personne ne peut dire de lui-même

Qu’il est un homme de rien, vaurien :

Ce n’est que  par la réflexion,  l’opinion

D’autres qui se répètent et se confortent

.

Pour la grande majorité des gens rencontrés

Je ne suis rien ou presque : normal : inconnu !

Petite partie, salué comme quelqu’un d’apprécié

Pour autant cela ne veut pas dire qu’ils m’aiment.

.

«Un  seul  être  vous  manque  et  tout  est  dépeuplé»

Nous clame  Lamartine, probablement  par son vécu,

Mais il est vrai que nombre de poètes se sentent seuls,

Ils ont besoin d’une muse qui les accompagne, inspire !

.

L’amour sera peut-être comme une fusée à trois étages

Au premier, je te reconnais comme quelqu’un de bien

Au second, je m’approche, je t’aime, me fond en toi,

Au dernier, je suis toujours là, présent à ton côté.

.

J’ai beau porter un haut chapeau et une barbe,

Parfois un beau costume et une belle cravate,

Mon visage, pour toi, te semble quelconque

Alors je me sens comme homme de rien.

.

.

423 – Calligramme

.

Homme de bien

Ou homme de rien,

Aucun   de   ces   deux :

Seulement     malheureux.

  Et lors     de tels senti    ments,

De ne  pas plaire, pas   convenir,

M’animent    je suis   malchanceux.

Mon apparence,         émotion, projet,

Ne t’attirent        pas ni             personne

D’autre             d’ailleurs,          problème.

Mais         c’est quoi un homme         bien,

Est-ce       un fond, est-ce une         forme,

Est-ce une       exception ou la     norme !

.

Je ne suis, en rien, un homme de bien :

Bien qu’à toi, je    N  pense à te dire, viens,

En espérant  que    E      pour toi, je conviens

Dis-toi bien  que      *       rien   ne  te  retient !

Suppose on se lie      S       d’amour, en chemin,

Cela nous sortira     U      de notre…quotidien

Ressource amour    I     du temps,  demain,

Agrémentera nos  S deux vies de chiens.

.

Je    E ne suis qu’un hibou…je ne suis rien

D’autre   N   que projet fou qu’une chouette,

Épousera     *    et suivra vers destin commun,

Du début au      R    milieu, en attendant la fin :

La fin de quoi :       I       de ce qui reste humain,

Si l’on considère         E    l’amour comme divin.

Je ne te parlerai pas,       N       j’espère, en vain,

Ni des soirs ni des nuits     *       ni des matins,

Corps, esprits s’entrouvrent U    très sereins

Lors j’habite au creux de     N  tes reins.

C’est ainsi qu’en un seul tournemain

Amour est devenu sain, sauf, lien.

.

Si je ne suis rien, que ceci,     H cela

La somme ne fera pas grand    O    chose.

Je rêve de toi, rêve d’une       M     vie en rose

Et, tu ne mets, dans les      M      miens, tes pas.

Le jour où j’habiterai     E       ta pensée…à plein,

Je ressusciterai, en     *      tant qu’homme de bien.

Mais, comment      D       devenir cet homme de bien,

S’il n’est rien,      E           ne possède pas grand-chose.

Amour est         *       gratuit mais, s’il n’entretient pas

Un bon               B     train de vie acceptable qui suffira

À conquérir,        I            longtemps,  cœur de l’aimé,

Très vite, il            E         va se faner et se dessécher.

N ……….

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

Une fusée trois étages, capsule,

Peut-être  même  une  chouette 

Ou une bombe conventionnelle !

 .

Bien que la forme de fusée ne représente le fond

Elle fait penser qu’on s’évade du monde humain

 La  forme de la chouette le résumera plus près

En bon philosophe avec sa vision de l’esprit.

Symbolique 

.

Rêve

De fusée

Est  symbole

Qu’on rencontre

En rêves de garçon.

Représente l’énergie qui

Permet  de  s’élever, d’aller

Conquérir  autres  horizons.

.

C’est le symbole du courage,

De la curiosité, de l’action,

De la rapidité, efficacité,

De l’ouverture d’esprit

Et d’un besoin de

Découvrir le monde

Et ce qui nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/fusee

.

Descriptif

.

423 – Je ne suis, en rien, un homme de bien  

Alignement central / Titre serpente / Thème  conscience

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole forme : fusée / Symbole fond : chouette

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

Je ne suis qu’un hibou

Ce qui en soi n’est pas très chouette

Et de plus je préfère

 La nuit au jour : bien plus douillette !

Symbolique 

La chouette, oiseau d’Athéna

Symbolise réflexion dominant ténèbres.

Oiseau  nocturne, en relation  avec la Lune,

Elle ne supporte pas bien la lumière du soleil,

S’oppose à l’aigle qui la reçoit les yeux ouverts.

.

Elle reçoit la lumière par reflet,

D’où… l’attribution d’un don

De clairvoyance à travers

Les signes qu’elle interprète.

.

Corrélations

Fond/forme 

La philosophie en aurait fait son emblème

Voir où autres ne voient rien, un problème

Lors chacun entretient une pensée bohème,

Philo, à la raison, bon sens, nous  ramène.

Il n’y a rien, en elle, de vraiment extrême.

.

Parti de rien, conclut du pareil au même,

La réussite d’une vie, et échec, sont idem

Ne prononce pas sur ermite, anathème

La vie et la mort,  pour elle : tandem !

.

Chouette est  un mot facile à caser,

En oxymore de la nuit et la lucidité

Rimant fort bien avec tout et rien

Évoquant une forme d’oiseau

De Minerve …  à tromper

Son monde en vérité

Lors bien parfois

Rime avec

Rien.

.

Visuels  

.

.

Faites le dire avec des fleurs

.

Visuels et textuels >>

422 – Amour vrai : jamais sans suite !

Visuels et textuels >>

Lors, amour… faux,

Toujours sans suite,

Amitiés, construites

Et amours fortuites.

Où trouver celui qui

Me  com-pren-dra :

Vrai,  il n’est pas né,

Encore ……. celui-là.

.

Je suis ce que tu fuis,

Je fuis lors tu me suis,

Je serais toi, j’éviterais

De fuir  tout  bel amour,

Lors il passe pour de bon.

.

Amour vrai, jamais en fuite,

Amour faux toujours sans suite

Qui sait si mon chemin te croisera

Qui sait si, avec toi, il m’emportera.

.

Cela dit  dans l’un, ou l’autre cas,

L’amitié entre nous, demeurera.

Mais lors l’amitié est construite

Affection   demeurera   fortuite,

Le premier  est mieux, selon toi

Le second  meilleur selon moi.

.

Si  un  jour  l’on   s’accordera,

Confiance sincère s’installera,

Contraire, brisée, elle s’en ira,

Nos ébats, ne feront pas débat.

.

Où mène la  non-estime de soi,

Je me vois, je ne m’accepte pas.

Où me mèneront mes propres pas

Le saurai-je  jamais : qui le saura !

.

Mais, où trouver  qui  me prendra,

Tant il n’est pas encore né, celui-là.

Et de me coller sans cesse contre toi,

M’empêchera de m’évader avec toi.

.

De me coller sans cesse à tes pas,

M’empêche  d’aller libre, ici, là,

Va donc voir si je n’y …  suis pas.

Si tu me retrouves : viens à moi !

.

L’on ne se fuirait que si l’on ne se suivrait,

Inverse, on se suivra que si l’on ne se fuira,

Je suis ce que tu fuis, tu fuis ce que je suis ?

.

Dois-je te fuir  lors tu me suis,

Ou te suivre quand tu me fuis,

Je serais toi, moi …  j’éviterais

De me suivre et fuir à la fois.

.

Si l’on fuit devant l’amour,

Ce  sera lui, qui partira,

Et lors si l’on le suit,

Lui, qui  viendra.

.

.

Extensions

.

Amour « sans suite » et amour « en fuite »

Ne sont pas équivalents lors «sans suite»

Est un état dit d’indifférence, d’absence

«En fuite», d’évitement,  d’éloignement.

Quand l’un poursuit l’autre, en fuite,

Il y a comme un profond … malaise

Qui finirait par un amour sans suite.

.

Mais l’amour, en fuite, peut aussi bien

Concerner soi-même quand on fuit l’amour

Comme étant trop déstabilisant, ou engageant.

Une relation sans suite, est-elle encore une relation :

Une aventure sans lendemain est-elle encore une aventure.

À vous d’en écrire la suite, sinon à vous, d’en assumer sa fuite.

J’ai cessé te revoir, dit femme ; réussi à fuir ta présence, homme.

 .

Le mot «fuite» évoque «poursuite» mais aussi «sans suite»

Il fait penser à échappée, à errance, à sortie et à tout de suite.

Parfois, l’on voudrait fuir, mais l’amour nous retient prisonnier,

Parfois, l’on fuit sans savoir pourquoi, ou par unique peur de soi :

Il y a  mesure  de sauvegarde, en toute fuite : allez savoir   de quoi ?

 .

Pour beaucoup, quand l’on prend peur,

Le salut est dans la fuite, non le combat

Y a jambes qui tremblent, cœur qui bat,

On craint que ne survienne un malheur !

.

Amoureux assis sur le même bac en parc,

Ou l’ignorant  ou se l’étant pas dit encore,

Se rapprochent  ou s’écartent,  peu à peu,

Pour tester l’autre … pour ne pas le gêner.

.

Par je ne sais quel  hasardeux mouvement,

Leurs mains se croisent, doigts se touchent

Voilà qu’au bout d’un temps,  s’approchant

À même le banc, leurs corps … se couchent.
.

Dès lors comme fil qui se trame sur fuseau,

Ils fileront parfait bonheur au fil du temps,

Jusqu’à se passer, au doigt, nuptial anneau

En se promettant de concevoir des enfants.

.

Une histoire banale d’un amour sans fuite,

Ayant pu, aussi bien, être amour sans suite

Qui, progressivement, avec temps d’amant,

A transformé contact fortuit en permanent.

.

Épilogue   

.

Fuseau, fil,  rouet, pelote,

Tout l’art  de transformer

Matière informe et dense

Et issue d’animaux divers

En une ligne longue et fine

Pour vêtement protecteur.

***

Au fil rencontres,

Filant le parfait amour,

Le temps file avec lui, jours

Compte en année contre, pour,

Et renouvelle  tous nos discours,

Sur événements  que l’on encourt.

Pénélope en est gardienne d’espoir

Tricotant le jour, détricotant le soir

De peur qu’à la fin de son ouvrage

La mort la saisisse, ou la ravage

Elle songe à Ulysse, son mari

À Nona,  Décima,  Morta.

Lors  Nona   construit,

Et lors Décima  suit,

Et lors Morta fuit,

Tout se détruit,

Sauf l’espoir

D’amour.

***

Je suis ce que tu fuis

Et tu fuis ce que je suis !

Je ne deviendrai rien d’autre

Qu’une fausse histoire sans suite

Si je continue à te chercher en fuite

L’espoir de te revoir ne mourra jamais.

.

.

422 – Calligramme

.

Lors, amour… faux,

Toujours sans suite,

Amitiés, construites

Et amours fortuites.

Où trouver celui qui

Me  com-pren-dra :

Vrai,  il n’est pas né,

Encore ……. celui-là.

Je suis ce que tu fuis,

Je fuis lors tu me suis,

Je serais toi, j’éviterais

De fuir  tout  bel amour,

Lors il passe pour de bon.

Amour vrai, jamais en fuite,

Amour faux toujours sans suite

Qui sait si mon chemin te croisera

Qui sait si, avec toi, il m’emportera.

Cela dit   *      dans l’un, ou l’autre cas,

L’amitié         *     entre nous, demeurera.

Mais lors      *      *       l’amitié est construite

Affection        A     *     J         demeurera  fortuite,

Le premier    M        *   *      A         est mieux, selon toi

Le second     O            *          *     M        meilleur selon moi.

Si un jour    U           V        N      *     A           l’on   s’accordera,

Confiance   R          R            ‘            *     I      sincère s’installera,

Contraire           A           E          *        *     S    brisée, elle s’en ira,

 Nos ébats,       I           S        *     *        *     *  ne feront pas débat.

Où mène la            T        *    *      *       *     S    non-estime de soi,

Je me vois, je          *             *      *       *     A   ne m’accepte pas.

Où me mèneront                *      *       *     N   mes propres pas

Le saurai-je jamais,         *      *      *     S        qui le saura.

Mais, où trouver qui       *     *      *     *      me prendra,

Tant il n’est pas encore      *       *     S      né celui-là.

  Et de me coller sans cesse     *      U     contre toi,

M’empêchera de m’évader *     I      avec toi.

De me coller sans cesse à     T    tes pas,

M’empêche d’aller libre   E   ici, là,

 Va donc voir si je n’y   suis pas.

Si tu me retrouves : viens à moi !

L’on ne se fuirait que si l’on ne se suivrait,

Inverse, on se suivrait que si l’on ne se fuirait.

Je suis ce que tu fuis et tu fuis ce que je suis

Dois-je te fuir lors tu me suis

Ou te suivre quand tu me fuis,

Je serais toi, moi …  j’éviterais

De me suivre et fuir à la fois.

Si l’on fuit devant l’amour,

Ce  sera lui, qui partira,

Et lors si l’on le suit,

Lui, qui  viendra.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

422 4

.

Évocation

 

Une boule et pointe à chaque bout

Ou  un pelote de  fil  sur  un  fuseau,

Voire élément de rambarde sculpté

 .

Un fuseau représente le fil du temps

Et qui  se bobine et qui  se débobine :

Ici ce sera celui du fuseau d’amour

Qui fait pareil, et à toute vitesse.

Symbolique 

 .

Petit

Bâton

 De bois

Dé-co-ré

D’encoches

Ou  de sculptures

Beaucoup plus  élaborées,

Quenouille disposera les fibres,

De façon ordonnée, ruban peigné.

Elle pourra être plantée dans  le sol

Pour tisser bien assise,  voire passée

Dans  la ceinture,  tant  cela permet

À une fileuse,   de pouvoir travailler

Debout, voire même en marchant.

Fileuses sont taxées de mœurs

Dépravées, sexuelles.

Tant vrai forme allongée du fuseau

De la quenouille laisse peu de doutes

Sur un tel

Symbole

Évoqué

Filant.

.

Descriptif

.

422 – Amour vrai n’est jamais sans suite 

Alignement central / Titre analogue / Thème  conflit

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole forme : pelote fil / Symbole fond : fil du temps

.

.

Fond

.

Évocation

.

422 6

.

Le fil du temps, en s’emmêlant sur lui-même,

A  fini, comme toile d’araignée

Représentant un « cœur » avec tout à sa pointe

Une paire de ciseaux coupant.

.

Symbolique 

 .

Le fil est fortement associé au temps : l’expression

Le fil du temps en est une très bonne illustration.

En mythologie romaine, le fil est associé aux Parques.

.

Trois sœurs, Nona, Decima et Morta détiennent un fil

Mystérieux et qui symbolisera le cours de la vie,

Aussi, leur fonction est-elle de dérouler et

De trancher ce fameux fil du destin.

.

Nona fabrique et tient le fil ;

Lors Decima déroule le fil

Le met sur fuseau ;

Morta coupe

Le fil.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le fuseau est un instrument servant

À filer la quenouille avec de la laine.

Il est associé à la destinée humaine.

Et il en sera aussi ainsi de l’amour,

D’épouse d’Ulysse qui tisse le jour

Et détisse la nuit pendant 20 ans

Attendant retour hypothétique,

Et de la Belle au bois dormant

S’y piquant, sautant 100 ans.

.

Au fil de mes jours, au fil de mes amours,

Peut être le titre, refrain, d’une chanson

Et tout comme le fil de ma pensée, ici,

Construit ce texte en suite du thème

Qui s’appuiera sur  ses mots-clés

Pour élaborer trame et motif.

.

Inspiré mythologie romaine : trois sœurs

Dénommées : Nona, Decima et Morta

 Nona serait celle  qui fabrique le fil,

Decima  le déroule, sur un fuseau

Morta se charge de le couper.

.

Visuel

.

.

Marche avant, marche arrière

.

.

Amour

.

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

.

L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

.

Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

.

 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

.

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

.

Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.  En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

.

L’amour est un concept universel mais multiple

Certains en feront la première valeur de leur vie

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

.

Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

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421 – Un dialogue de réconciliation

Visuels et textuels >> 

Lui : tu me dis que tu es amer,

Et tu me dis que tu as… souffert,

Et tu me dis que tu as besoin d’air

Demain ne pourra être pire qu’hier,

Que tu ne reviendras plus  en arrière,

Et puis, tu me dis que je suis trop fier,

Et enfin tu me dis que c’est trop l’enfer.

.                           

Elle : que se passe-t-il donc, de si fou,

Que se passe-t-il vraiment entre nous.

.

Lui : nous n’arrivons plus à nous parler

Et, encore moins, même, à nous écouter.

 .

Sais-tu, pourtant, que, me  clouer  le bec,

Serait de m’en parler  comme d’un échec.

.

Je préfèrerais  rester  cloitré, en moi-même,

Par peur que je me rende, par trop, extrême.

        .                              

Et si on renouait le fil du dialogue … rompu,

Ne me dis pas que pour toujours c’est foutu.

.

Vrai, je pensais bien que tu m’avais compris,

Vrai, j’attendais que tu me parles… en amie.

Je ne suis pas ton amie, à me traiter en ça,

Voudrait dire qu’au lit, tu ne m’aimes pas.

.

Vrai, je t’ai surpris, en train de m’écouter,

Vrai, je te connais…sans même te parler,

 .

Lors moi, j’écoute tes gestes et sourires,

Si ce n’est regards,  me faisant languir.

.

Faisons un effort puis tendons nos bras

Et je me sauverai en me perdant en toi.

 .

Moi j’attends de toi ici toute en pleurs

Que  tu compatisses  à mes malheurs.

.

Faire renaitre, à nouveau, sentiments,

Referont peut-être, de nous : amants.

.

Un autre homme m’a souillée, trahie,

A perdu ma confiance lors m’a menti.

.

En toi, je la reprendrai si, toi, en moi,

Si on s’isole, lors muet, on se détruira

 

Pardonne-moi d’avoir touché le fond,

Pour rebondir en toi jusqu’au plafond.  

.

.

Extensions

.

La réconciliation serait le bon mot

Servant pour initialiser bon nombre

De dialogues et dans bon nombre

De couples en doute, confusion

Tant que, la communication,

Existe, coexiste, persiste,

L’espoir de comprendre,

Voire de se pardonner,

Serait loin d’être nul,

Compris histoire de cul,

Tant un manque de recul

Nous enfonce, nous annule

Jusqu’au point de se séparer.

Le dialogue est un art majeur

Où le partenaire, s’il a peur,

Ne jouera pas sa partition

Au mieux au rabais.

.

Tout dialogue serait la source de nombre de conflits,

Autant que de solutions, explications, conciliations

Et si les mots ne suffisent pas … il y aura les gestes

Puis le regard puis le sourire et que sais-je encore.

Le dialogue est rompu, non entretenu, tout s’égare

Réconciliation n’est plus suspendue qu’au… hasard,

En bien des cas, il est déjà bien tard, voire trop tard !

 .

Le dialogue prendrait diverses formes :

Il y en a un  qui commence une phrase,

Et l’autre, en plein milieu, la terminera

Ou une série de questions  et  réponses

Longue tirade de l’un, oui/non, d’autre

Ou encore entrecoupé de long silences.

.

Dialogue pourra commencer fort excité

Puis se finir progressivement plus calme

Ou le contraire, ou par séquences, idem,

Être accompagné de gestes et mimiques,

Expressives en accord ou non aux paroles.

.

Dialogue de sourd s’établit  quand les deux

Crient si fort au point qu’ils ne s’entendent

Que l’un n’écoute plus l’autre, restera muet,

Ou qu’il répète  toujours  les mêmes choses.

.

Vrai dialogue, s’il en est un,  est respectueux

De l’autre : questions, réponses,  explications,

Sans préjugé d’avance : bonnes ou mauvaises.

.

En ce cas, d’amoureux, le pardon peut être utile

De n’avoir pas eu  toute l’information nécessaire,

.

Ou, au plan affectif, pardonner l’action de l’autre.

.

.

421 – Calligramme 

.

Lui : tu me dis que tu es amer,

Et tu me dis que tu as… souffert,

Et tu me dis que tu as besoin d’air

Demain ne pourra être pire qu’hier,

Que tu ne reviendras plus  en arrière,

Et puis, tu me dis que je suis trop fier,

Et enfin tu me dis que c’est trop l’enfer.

.

DIALOGUE

                   .                    

                                                Elle : que se passe-t-il donc, de si fou,

                                         Que se passe-t-il vraiment, entre nous.

Lui : nous n’arrivons plus à nous parler

 Et, encore moins, même, à nous écouter.

 .

                                       Sais-tu, pourtant, que, me  clouer le bec,

                                       Serait de m’en parler comme d’un échec.

Je préfèrerais  rester  cloitré, en moi-même,

Par peur que je me rende, par trop, extrême.

                    .                  

Si on renouait le fil du dialogue, rompu,

                                      Ne dis pas que pour toujours c’est foutu.

Vrai, je pensais bien que tu m’avais compris

Vrai, j’attendais que tu me parles…en amie.

.

TEINTÉ DE

 .

                                      Je ne suis pas ton amie, à me traiter en ça,

                                     Voudrait dire qu’au lit, tu ne m’aimes pas.

Vrai, je t’ai surpris, en train de m’écouter,

Vrai, je te connais…sans même te parler,

 .

                                    Lors moi, j’écoute tes gestes et sourires,

                                   Si ce n’est regards,  me faisant languir.

Faisons un effort puis tendons nos bras

 Et je me sauverai en me perdant en toi.

 .

                            Moi j’attends de toi ici toute en pleurs

                             Que  tu compatisses  à mes malheurs.

Faire renaitre, à nouveau, sentiments,

Referont peut-être, de nous : amants.

.

RÉCONCILIATION

 .

                         Un autre homme m’a souillée, trahie,

                           A perdu ma confiance lors m’a menti.

En toi, je la reprendrai si, toi, en moi,

 Si on s’isole, lors muet, on se détruira

 .

                       Pardonne-moi d’avoir touché le fond,

                        Pour rebondir en toi jusqu’au plafond

 .

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.

Dialogue avec esprit d’escalier

Et alors il se montera en épingle,

 .

La forme correspond assez bien ici au fond

Dans la mesure où il y a un dialogue qui monte

Mais qui se termine sur un palier comme escalier,

Où les protagonistes tombent d’accord, dans les bras.

 .

Chassé-croisé en dialogue qui commence mal

Par reproches, interrogations

Mais qui, au fil d’une discussion qui le positive,

Finit par apaiser toute tension.

 .

 Symbolique .

 .

Le dialogue, genre littéraire présentant

Des personnages en train de dialoguer,

D’échanger  par le biais de la parole.

.

Le dialogue polémique met en scène

Des personnages, qui, mis sur un pied

D’égalité, entrent en désaccord sur un point.

.

L’absence de conciliation finale place le lecteur

En position d’arbitre qui doit former son opinion

À partir des arguments ou des sentiments proposés.

wikipedia.org/wiki/Dialogue

 

Descriptif

.

421 – Un dialogue tinté de réconciliation 

Alignement alterné / Titre intercalé / Thème  conflit

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole forme : dialogue / Symbole fond : escalier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

421 4

.

Escalier appelé en colimaçon

Et qui vous fer ait tourner la tête :

Difficile de s’y croiser, encore plus

D’y monter à deux et ensemble.

 .

Symbolique 

 .

Escalier spirale

Attire bien l’attention

Sur développement axial

Et qui pourra être conscience

D’un amour en cours d’ascension

Qui s’appuie, tout entier, sur montée

Autour de laquelle il tourne ses volutes.

Il revêt un aspect négatif dans la descente,

La chute, le retour au réel, monde souterrain :

Résume, le drame verticalité absolue, passionnelle.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 

Le dialogue est nécessaire à toute relation

Et il est indispensable en entente de couple,

Que de conflits, disputes, incompréhensions,

Seraient évités ou résolus en communiquant

C’est simple de l’affirmer, et même évident,

Et plus difficile à pratiquer ,assez souvent.

.

Ce qui est certain, c’est que le ton compte

Autant voire sinon plus que le contenu

Si c’est lui qui monte, les arguments

De plus en plus, en fait, tombent.

.

Escalier évoque escalade, montée

Mais, aussi, désescalade et descente,

Le tout rime avec un dialogue à deux,

Comme si se croiser  en un tel escalier,

Requerrait sorte de respect particulier !

L’escalier n’est pas universel en maisons,

Il y en des quantités qui sont de plain-pied.

.

L’escalier nous fait prendre de la hauteur,

Le plain-pied nous fait  prendre du recul :

Danger plain-pied  est faire du sur place,

Celui de l’escalier : de glisser ou chuter !

Il ne s’agit nullement, ici, d’un dialogue

Qui pourrait aboutir à une séparation

Mais, bien plutôt, de l’ordre d’une

Explication, incompréhension. 

.

Visuel

.

.

Je t’aime … moi non plus

.

Visuels et textuels >> 

420 – Haine : l’inverse de l’amour ?

Visuels et textuels  >>

.

La haine est une énergie négative, voire purgative,

De notre amour trompé, notre amour désabusé.

Forces de répulsions en contrebalancement,

Force d’attraction, aimants repoussant.

 .

S’il est vrai qu’amour s’inverse

Haine serait compréhensible,

Qu’aine s’inverse en amour,

La raison reste inaudible !

«Va  je  ne  te  hais point !»

Célèbre   litote   littéraire

Si  prise  au sens  littéral :

Interdit haine,  fort amour.

 .

Haine sera inverse  de l’amour

Haine tu m’aimes court toujours

Haine souterraine en ma  maison

Haine  aussi aimante destructrice.

 .

Amour connivence, non vengeance.

Amour réciprocité des consciences.

Amour  compensation, récompense.

Amour  parfum  de belle jouissance.

 .

Haine   violence   dans  altercations.

Haine   courant  négatif,  vindicatif !

Haine  cumule   regrets  et remords !

Haine  élan  serait brisé  et définitif !

 .

Amour construction d’une re-la-tion.

Amour  jalousie quand trop possessif.

Amour tromperie, sous l’air subversif.

Amour passion, à en perdre la raison !

 .

Autant de définitions, d’affirmations.

Autant réponses autant de questions.

Autant fictions,  que de réalisations.

 .

Amour ne sait que faire de la justice.

Amour rime avec délice et supplice.

Amour sublime ses maux et vices.

Amour serait  une  connivence

 .

Haine serait inverse de l’amour,

Aines cuisses en antichambre

Quand on y entre, en transe.

 .

Inverse, converse, renverse,

Toutes positions s’exercent.

Dépend de soi ou des deux,

D’en être déçu ou heureux.

 .

Si haine  plus un, égal zéro,

D’avoir  été tout et plus rien,

Provoque une belle humiliation :

Contraire de pur amour : addiction !

.

.

Extensions

.

 « J’ai  la  haine »    autre  expression

Pour bien dire à quel point celle-ci est

Chevillée au corps au point de conduire à

En amour, la raison est parfois bien absente,

Ne parle, n’agit plus, il n’y a plus que la pulsion

De rétablir une vérité, voire de réparer une faute,

Compenser honte qui vous mène, qui vous démène !

Quand la haine  n’est pas  l’inverse de l’amour, elle est

Son ombre noire barrant chemin de paix, du bonheur !

.

Haine plus un, pour N+1 : trop facile comme jeu de mot,

La réalité est tout autre, elle est pleine de mauvais maux

Qui feront que votre souffrance morale, des plus tenaces,

Si ce n’est parfois augmenté par une douleur physique,

Transformera votre regard  en  lanceur de couteaux,

Qui parfois atteignent cible, la tuant, au bas mot.

.

L’amour n’est pas seule valeur universelle,

La haine l’est autant et parfois plus qu’elle.

.

Amour est d’abord, et  aussi, amour de soi,

Et de même haine est, autant, haine de soi.

.

Haine + 1 ou haine – 1, toujours de la haine

Celle qui tient au corps, qui  vous enchaine !

.

L’amour sublime l’objet de notre inclination

Et la haine élimine toute sa part d’humanité.

.

Si l’amour  se transformera, parfois, en haine,

Il est rare que l’inverse se produise : exception.

.

Va, je ne te hais point ; je t’aime, moi non plus,

Sont sujets à interprétation en litote ou morte.

.

Haïr quelqu’un c’est loin de nier son existence

C’est le contraire, elle nous gêne, nous obsède.

.

Une fois  le sujet de sa haine, éloigné, disparu,

Un grand vide prend place : un manque cruel,

.

Lors haine, en son deuil, ressemble  à l’amour,

Leur énergie négative, positive, se conjuguent.

.

.

420 – Calligramme

.

La haine est une énergie négative, voire purgative,

De notre amour trompé, notre amour désabusé.

Forces de répulsions en contrebalancement,

Force d’attraction, aimants repoussant.

 .

*********************

********************

 .

S’il est vrai qu’amour s’inverse

Haine serait compréhensible,

Qu’aine s’inverse en amour,

La raison reste inaudible !

«Va  je  ne  te  hais point !»

Célèbre   litote   littéraire

Si  prise  au sens  littéral :

Interdit haine,  fort amour.

Haine sera inverse de l’amour

Haine tu m’aimes court toujours,

Haine  souterraine dans ma  maison

Haine       aussi aimante des     tructrice.

Amour   L   connivence, non   I   vengeance.

Amour    A   réciprocité des      N  consciences.

Amour     *      compensation       V   récompense.

Amour     H      parfum  belle         E      jouissance.

Haine      A         violences  dans      R    altercations.

Haine       I         courant négatif        S      vindicatif !

Haine      N        cumule  regrets        E   et remords !

Haine      E        élan  serait  brisé       *   et définitif !

Amour     *       construction d’une     D     re-la-tion.

Amour     S      jalousie quand trop    E      possessif.

Amour     E     tromperie, sous l’air    *     subversif.

Amour     R    passion, à en perdre   L    la raison !

Autant    A     de définitions et d’af   ‘  firmations.

Autant    I     réponses autant de    A  questions.

Autant   T     fictions,  que de ré   M alisations.

Amour      ne sait que faire de   O la justice.

Amour   E  rime avec délice et  U supplice.

Amour   L  sublime ses maux  R  et vices.

Amour  L   serait  une  con   *  nivence

Haine  E  serait inverse de R l’amour,

Aines     cuisses en anti    chambre

Quand      on y entre    en transe.

Inverse     converse     renverse,

Toutes      positions    s’exercent

Dépend     de soi ou     des deux,

D’en être    déçu ou        heureux.

Si haine        plus un,       égal zéro,

D’avoir        été tout et        plus rien,

Provoque      une  belle    humiliation :

Contraire  de  pur  amour : l’addiction !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

420 4

.

Évocation

 .

 Momie don on ne sait époque

Ou une bouteille de Coca Cola

Ou un vase pour fleur décorative

 .

Couleur amour est rouge, rose,

De haine, serait  bleue, ou, noire,

On est en haine, bouteille est bleue,

Lors le poison à l’intérieur, est noir !

 .

Symbolique 

 .

La silhouette

D’une bouteille

Se rapproche d’une

Silhouette   humaine

Serait plutôt féminine.

.

Plus qu’un choix, féminité

De la bouteille lui vient de sa

Forme d’une part et son utilité.

.

La bouteille  est  un contenant,

Utilisé pour conserver liquide,

De l’eau, ou du vin, qui arrive

Petit à petit jusqu’à maturité.

.

Lors, la  bouteille  symbolise

Contenant  de notre  esprit,

Notre substance intérieure

Souvent la part féminine

De notre propre personnalité.

signification-reves.fr/Bouteille

.

Descriptif

.

420 – La haine serait-elle l’inverse de l’amour

Alignement central / Titre analogue / Thème  sentiment

Forme courbe / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole forme : bouteille / Symbole fond : haine

.

.

Fond

.

Évocation 

.

420 6

.

Couleur amour est rouge ou rose,

De haine, serait  bleue, ou, noire,

On est en haine, la forme est bleue,

Lors le poison à l’intérieur, est noir.

 .

Symbolique 

 .

La haine est une hostilité très profonde,

Une aversion intense envers quelque chose

Ou quelqu’un, et même, parfois, envers soi.

Haine est souvent confondue avec la rage,

Qui est une réaction vitale à une situation

Éprouvante, découlant des injonctions

De l’entourage ou des obligations

Dictées par l’environnement.

Elle s’oppose à l’amour.

Source : Wikipédia

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Aucune bouteille, et y compris de coca-cola

Ne contiendra jamais ni haine ni poison

Qui n’ait été introduit  par quelqu’un !

La haine rime bien, ici, avec l’amour

Dont elle est le pendant de toujours

Et dans ce face à face intermittent

Crache son venin, elle nous ment !

.

La haine est comme retourner une chaussette

Qu’on aimait bien, et qui nous tenait chaud :

Elle s’accroche à vous et ne vous lâche plus

N’a pas besoin de l’autre, seule sa pensée,

Qui vous obscurcit, vous noircit l’esprit

Avec une idée de projet de vengeance

Pour gratifier tout son amour-propre !

.

Certains prétendent que la haine et l’amour

Sont si proches qu’on pourrait les faire figurer

Sur la même pièce de monnaie de valeur variable

L’amour sur  le côté face, bien sûr, la haine, côté pile.

.

Visuel

.

.

La haine : inverse d’amour

.

Visuels et textuels  >>

419 – Voyelles a, e, i, o, u : I love you

Visuels et textuels >>

.

L’amant,

Épris par une passion pour la femme fatale,

Se prend en ton lit pour un vrai mâle,

Prend tout, n’épargne rien !

 .

L’âme,

Spirituelle, principe de vie, même au-delà,

S’érige en juge du bien et du mal,

Tant, sa vie, ne finira !

 .

L’ami,

Idéal, dit Montaigne : identique, alter ego,

A confiance comme confessionnal,

Constant en bas et hauts !

 .

L’amour,

Cristallisé en sel bien qu’aveugle et sourd

Ange ou démon, il convient bien

Tant au sage qu’au fou !

 .

L’amusette,

Opportune en envie passagère de baiser,

Existe, temps de diner, bacchanale,

Tant qu’elle oublie d’aimer !

 .

Aeiou « I love you » : c’est un  vrai poème

Et cinq caractères,  et cinq  déclinaisons

Et cinq phonèmes   ou cinq « je …t’aime »

Et cinq voyelles voire cinq inclinations

Penchants vers très bien tout aimer :

Soi-même et les autres et les choses

Quand les sentiments l’emportent,

L’émotion sur  le pas de votre porte,

Font tomber, sur vous, pluies de roses.

.

Amant, âme, ami, amour voire amusette,

Qu’importe les formes, y en a des brouettes.

Amant sera celui avec qui, on partage son lit,

L’âme sera celle qui  conduit droit au bonheur,

L’amusette sera celle dont l’on rira des pleurs,

L’ami sera celui avec qui on partagera soucis

L’amour celui avec  qui on partage  sa vie.

.

L’idéal serait de  les vivre tous à la fois,

Ou de  se dépenser entre elles à tour de bras

 Mais, qui  le peut, ou, lors même, le  voudra,

En ne sachant faire qu’une chose … à la fois.

.

.

Extensions

.

Si la voyelle « a » sonne bien comme « amant »,

La voyelle « e », résonne plus fort comme « émotion »,

La voyelle « i » entonne à son tour comme « imagination »

Et « o » cartonne « ostentation », tentation d’aller plus loin

Jusqu’au «u» de «cul» qui plafonne en hululant l’orgasme.

Tout cet enchainement de voyelles entraine l’amour dans

Des mouvements dont on ne maitrise pas toujours

Ni la partition ni la portée, ni le tempo,

La mélodie, le timbre la sonorité.

.

Elle évoque, en soi, comme une folle

Douce musique selon déclinaisons d’amour,

L’amant n’est pas l’ami, l’amusette est sans âme,

Et maitresse ne rimera pas, toujours avec tendresse.

L’amour est voyelle que l’on sonne, lors la consonne

Est acte que l’on consomme, d’une manière autre.

En bref, résumé six voyelles, dont une grecque,

Mais vingt-et-une consonnes, bien latines :

Notre fonds culturel défini en alphabet :

En existe-t-il consacré à l’amour !

.

Diverses manières d’écrire I love You

Du plus long, comme ici, au plus court,

En trois signes, sur un sable, éphémère !

Amour est consonne quand il s’agit de lui,

Amour  serait  voyelle, quand il s’agit d’elle.

Un alphabet tout entier ne suffira à l’épuiser

Et qu’on enlève six voyelles, amour disparait.

Finalement tout caractère garderait un intérêt

Que l’on associera, ou non, avec le verbe aimer !

.

La voyelle “ e” est la plus fréquente

Et la moins, “y”, ici même absente,

“i”  “o” “ u” phonétique : I love you.

.

“a” pour âme,  ami,  amant,  amour,

Et l’on a fait le tour des six voyelles,

Pour autant pas celle de demoiselle.

.

Dont l’on ne sait  que lui dire  pour

Qu’elle vous aime  un tant soit peu,

Qu’un sourire  vous rende heureux.

.

Ah, je vous vois venir, se dira-t-elle

Ce n’est pas mon cœur: c’est  le  cul

Vous attirant au plus “i” au plus “o”

.

Je sais que c’est un vilain jeu de mots

Et je ne suis pas celle que vous croyez:

Passez votre chemin, bifurquer en “y”.

.

.

419 – Calligramme

.

L’amant,

Épris par une passion pour la femme fatale,

Se prend en ton lit pour un vrai mâle,

Prend tout, n’épargne rien !

 .

L’âme,

Spirituelle, principe de vie, même au-delà,

S’érige en juge du bien et du mal,

Tant, sa vie, ne finira !

 .

L’ami,

Idéal, dit Montaigne : identique, alter ego,

A confiance comme confessionnal,

Constant en bas et hauts !

 .

L’amour,

Cristallisé en sel bien qu’aveugle et sourd

Ange ou démon, il convient bien

Tant au sage qu’au fou !

 .

L’amusette,

Opportune en envie passagère de baiser,

Existe, temps de diner, bacchanale,

Tant qu’elle oublie d’aimer !

 .

*****************************************

*********************************************

 .

Aeiou         « I love you » : c’est un     *    vrai poème

Et cinq    O       caractères,  et cinq    S   déclinaisons

Et cinq      Y      phonèmes ou cinq   U    « je…t’aime »

Et cinq        E      voyelles ou cinq    I      inclinations

Penchants        vers très bien     T     tout  aimer :

Soi-même     L       et les autres     E       et les choses

Quand les       E       sentiments     *        l’emportent,

L’émotion        S        sur   pas       I     de votre porte,

Font tomber    *          sur vous        *   pluies de roses.

Amant, âme,     A     ami, amour  voire    L        amusette,

Qu’importe      *     les formes        y en a des   O    brouettes.

Amant sera    E    celui avec       qui on partage  V       son lit,

L’âme sera    *     celle   qui       conduit droit au   E  bonheur,

L’amusette  I     sera celle        dont l’on rira des    *      pleurs,

L’ami sera  *      celui avec       qui on partagera   Y       soucis

L’amour    O    celui avec         qui on partage    O       sa vie.

L’idéal     *      serait de           les vivre tous    U  à la fois,

Ou de    U  se dépenser entre elles à tour  *  de bras

 Mais, qui    le peut, ou, lors même,  le  voudra,

Ne sachant   faire qu’une chose à la fois.

 .

.

Forme

.

Réduction

.

.

419 4

.

Évocation

 .

En bas, tasse à café ou un bol

Sinon  une marmite … magique 

Où un vase pour potion … d’amour

.

Difficile de trouver  quelconque ressemblance

Entre la forme d’une marmite et fond du poème

Même si on utilise recours à une potion magique !

 .

L’amour est comme un produit d’un philtre,

D’une potion… d’amour

 Lorsque ses bulles, sortant d’une marmite,

Seront les cinq voyelles citées.

 

Symbolique 

 .

La marmite comme les

Autres contenants,

Est un symbole féminin.

Sous l’action du feu elle sert

Aux transformations alchimiques

Aujourd’hui, dans l’imagerie collective,

Le chaudron ou la marmite sont associés

À la magie noire et blanche, à la sorcière.

.

C’est un sens de maniement des énergies

Par les feux servant à des fins occultes

Pouvoir qu’il évoque de prime abord.

La casserole est devenue  la version

Moderne du chaudron, le creuset

De nécessaire transformation

Par le feu de l’impur en pur

Pour rendre assimilable

Ce qui ne l’était pas.

tristan-moir.fr/marmite

.

Descriptif

.

419 – Voyelles a, e, i, o, u :  suite I love you 

Alignement central / Titre  dédoublé/ Thème  écriture

Forme courbe / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole forme : marmite / Symbole fond : Potion amour

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

L’amour est comme un produit d’un philtre,

D’une potion… d’amour

 Lorsque ses bulles, sortant du chaudron,

Seront les cinq voyelles citées.

  .

Symbolique 

 .

De tous temps, les femmes auront eu

Recours utilement ou non à la magie,

Aux rituels et plus spécifiquement,

En l’idée d’une potion d’amour.

On étudie la «chimie de l’amour»,

Ou encore la chimie des sentiments.

.

Tant  la dopamine  et l’ocytocine  sont

Deux substances chimiques sur lesquelles,

Selon les neurosciences, prennent appui

Ces phases de la relation amoureuse.

La dopamine, déclenche le désir.

Source : Magazine Viversum

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

On  fait cuire, mijote, des tas de plats, potions,

Dans la marmite  et  parmi ces potions, certains

Prétendent en composer qui favoriseront l’amour,

Mais ce face à face avec la magie, ne rime pas bien.

.

La potion d’amour, si tant est  qu’elle puisse  exister

Serait déjà en nous de par nos phéromones, nos ondes

Inutiles donc d’en rajouter, ingurgitant quoique ce soit

Ou par quelque sort jeté, retenant l’autre… prisonnier.

.

Il s’agit là d’une fantaisie poétique… tant sur la forme

Que sur le fond  qui sonne  comme  une déclinaison

De voyelles « i » « o » « u » comme « I love you »

.

Visuel

.

.

Cinq voyelles, graphismes

.

Visuels et textuels >>

418 – A quoi bon te décrire, t’analyser

>> Visuels et textuels 

.

Expression : à quoi bon            Comment te sortir de ta réserve,

Vilain  doute  s’instaure            J’aurai tout fait pour te prouver.

Cela  ne  va plus  si  fort            À quel point je me suis engagé.

Désespère pour de bon.            Ton amour reste  en conserve.

.

Rien  n’y fait,  n’y peut              J’ai jeté  le gant,  et, l’éponge,

Il n’y a ni route, ni pont             Cessé de t’épouser en songe,

À te joindre convaincre              Ton amour  est mensonge

Fait beau si tu ne veux                Est enfer qui me ronge

 

.

À quoi bon  te décrire … t’analyser,

T’habiller avec des mots, te parer

De qualités que l’on n’admire pas

Gommant ta beauté, et  ton aura.

.

À quoi bon  ouvrir le nez … narine,

Sentir ton parfum,  flore marine,

Si son baume, ne t’enivre à fond,

Ne te fais pas perdre … ta raison.

.

À quoi bon,  te parler …   t’écouter,

Faire vibrer corde… harmonisée

Si l’essence,  de mes murmures,

Tu ne la capteras jamais … pure.

.

À quoi bon  mes lèvres… touchent,

Si, ma langue, en ta …. bouche,

Distille humeurs, sur tes pores,

Divins baisers, qui s’évaporent.

.

À quoi bon  mon cœur …  s’affole

Si, même instant, tien batifole,

Pour, autre étreinte,  émotion,

Auxquelles, tu voues  passion.

.

À quoi  bon   espérer …  t’aimer,

Te désarmer, te désarçonner,

Si tant d’espace nous sépare,

Si tu me dis : il est trop tard.

.

Trop tard … il ne l’est jamais,

Tant amour est souffrance

Dès lors on le reconnaît

Et qu’on l’effeuille.

.

Notre amour

D’un  jour

S’en  ira, si

On n’en re tient

Que peau de chagrin

Qui ne  peut  être  sexy.

.

Autant armé  que l’on soit,

D’espoir d’être aimé pour  soi,

À force, un jour,  on n’y croit plus :

Ce ne sont qu’amours naissants foutus.

.

.

Extensions

.

À quoi bon ceci, à quoi bon cela,

Te décrire et t’analyser si tu restes fermée,

Si tu ne viens pas, plus, sur mon terrain de jeux

Faire connaissance, connaissance avec mon altérité

Qui peut combler le manque cruel en toi d’être aimé

Pour ce que tu es, représente, pour ce qui produit,

Dans ton imaginaire, un lien rendu constant

Par une renaissance, reconnaissance.

.

Quand on demande à quelqu’un de décrire quelqu’une

Ce qui lui viendra, en premier est, bien sûr, son visage,

Sa forme, les yeux, la bouche, le nez, joues,  chevelure !

Six ou sept détails, la distinguant de toutes les autres :

Même si l’on est plus proche du dessin que de la réalité

Oui, mais, voilà, l’aura qui s’en dégage : qui le peindra,

Dégageant l’air qui la rend commune, laide ou divine !

.

Décrire, dessiner, photographier :

Sont bien plus proches de la réalité

Que d’’imaginer, évoquer, suggérer.

.

Peinture d’un portrait ajoute l’âme

Sinon du moins, trait de caractère,

Le plus saillant, voire le plus secret.

.

Plus difficile est  qualifier le regard,

Qui vient de l’intérieur, qui projette

Comme un halo de joie  ou de blues.

.

Des visages neutres, ouverts, fermés,

Des visages lisibles comme des livres

Sur lesquelles on projette intentions.

.

Dans tous les cas décoder un visage,

Demande l’expérience  bien au-delà,

Capture et reconnaissance virtuelle.

.

Pour le reste du corps, morphologie

Il y a nombre modèles et catégories,

Pour toute femme, poitrine et fesses.

.

Mais, en toi, je ne vois qu’harmonie,

De la tête aux pieds en ta silhouette,

M’attirant au point me rendre bête.

.

.

418 – Calligramme

.

.

Expression : à quoi bon    A      T   Comment te sortir de ta réserve,

  Vilain  doute  s’instaure     *              E   J’aurai tout fait pour te prouver.

Cela  ne  va plus  si  fort   Q                    *    À quel point je me suis engagé.

Désespère pour de bon.   U                        D    Ton amour reste  en conserve.

 Rien  n’y fait,  n’y peut     O                          É     J’ai jeté  le gant,  et, l’éponge,

 Il n’y a ni route, ni pont   I                          C       Cessé de t’épouser en songe,

  À te joindre convaincre  *                       R   Ton amour  est mensonge……

Fait beau si tu ne veux  B                   I   Est enfer qui me ronge …….

O              R ……

N  *  E …….

.

*****************************************

.

À quoi bon  te décrire … t’analyser,

T’habiller avec des mots, te parer

De qualités que l’on n’admire pas

Gommant ta beauté, et  ton aura.

.

À quoi bon  ouvrir le nez … narine,

Sentir ton parfum,  flore marine,

Si son baume, ne t’enivre à fond,

Ne te fais pas perdre … ta raison.

.

À quoi bon,  te parler …   t’écouter,

Faire vibrer corde… harmonisée

Si l’essence,  de mes murmures,

Tu ne la capteras jamais … pure.

.

À quoi bon  mes lèvres… touchent,

Si, ma langue, en ta …. bouche,

Distille humeurs, sur tes pores,

Divins baisers, qui s’évaporent.

.

À quoi bon  mon cœur …  s’affole

Si, même instant, tien batifole,

Pour, autre étreinte,  émotion,

Auxquelles, tu voues  passion.

.

À quoi  bon   espérer …  t’aimer,

Te désarmer, te désarçonner,

Si tant d’espace nous sépare,

Si tu me dis : il est trop tard.

.

Trop tard … il ne l’est jamais,

Tant amour est souffrance

Dès lors on le reconnaît

Et qu’on l’effeuille.

Notre    amour

D’un    *     jour

S’en  A    *    H   ira, si

On   N   n’en re    A  tient

Que  A  peau de cha   B   grin

Qui   L    ne   peut   être    I   sexy.

Au     Y   tant armé que l’on   L   soit,

D’es   S   poir d’être aimé pour    L     soi,

À for   E   ce, un jour, on n’y croit       E   plus :

Ce ne   R    sont qu’amours naissants      R  foutus.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

418 4

.

Évocation

.

Flute alors en bas, aucun doute,

S’agit bien d’une, de champagne !

 .

La forme s’éloigne quelque peu du fond

Il n’est question que de boire, de festoyer

 .

Flute de champagne célèbre, en général,

Les moments importants :

Quand on en vient à en boire seul souvent,

C’est que l’on aura le blues !

 .

Symbolique 

.

Le champagne à la flute 

symbole glamour et festif

sera parfois antidépressif

Pour lutter  contre  le  blues.

.

C’est  une bouteille  ouverte

Pour célébrer  toutes sortes

D’événements …   heureux :

Mariage, réussite  examen,

Inaugurations  événements.

Pour profiter du moment

De convivialité  un peu

Exceptionnel on reste

Sur cette idée de la

Bouteille de champagne,

Pour la partager à plusieurs.

hadvineo.com/le-champagne-a-la-coupe

.

Descriptif

.

418 – À quoi bon te décrire, analyser, habiller 

Alignement droit / Titre  en ovale / Thème  musique

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné à forme

Symbole forme : flûte / Symbole fond : blues

.

.

Fond

.

Évocation

.

418 6

.

Le blues est une impression de sentiment dépressif

Qui nous tient en un état passif.

Il peut arriver n’importe quand et à n’importe qui

Voire pour n’importe quel motif.

Symbolique

 .

Le blues est apparu dans le sud des États-Unis

Au cours du XIX siècle. Style où le chanteur

Exprime sa tristesse ou ses déboires :

Sujet de  regret, découragement,

Désillusions qu’on éprouve.

.

À quoi bon ! Et puis pourquoi,

Dans quel but, raison valable ?

.

Exemple pourquoi me fatiguer à lui

Écrire une lettre si il ou elle ne la lira pas

Et encore moins, y répondra, et qui sait même

S’il ne la jettera pas au feu avant de prendre soin

De l’ouvrir, en prendre connaissance, s’en détacher !

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Entre flute de musique,  flute de champagne

Aucune confusion n’est probable ni possible,

Seul point  qui le rejoint : effet  sur le moral

Tous deux pourront vous guérir du …  blues

Que vous avez, lors êtes déçu de quelqu’un !

Si fond ne joint que partiellement la forme

Les deux servent autant à fêter votre joie.

.

Le blues est perçu possible, fréquent même en amour

Suite à  grande déception, un refus, rejet, ignorance,

Sachant qu’amour est fait autant de reconnaissance

Que de liens liés à la seule, et unique, connaissance,

Sachant qu’on parle d’amour comme renaissance

Et que le blues est un mal issu du manque cruel

De l’autre, quelque chose  qui  nous chagrine.

.

Le champagne serait bu en signe de succès

Mais aussi  pour soigner une dépression.

Si dans le premier cas, on le partagera,

Dans le second, on restera en sa bulle.

.

Visuel

.

.

Portrait végétal nature 

.

>> Visuels et textuels 

417 – Accroche-toi, un, deux, trois : valse

Visuels et textuels  >>

La valse, c’est trois temps

On repart en tournant.

Amour, c’est pareil,

En  plein …  éveil,

Ou  en  sommeil,

Couple…amants

.

Accroc, faux pas                   Accroche-toi,

Une fausse note :                    Et à cloche pas,

Lors on trébuche,                   L’un, l’autre on va

Vrai, pas, faux pas                      Se tenir … en bras,

Se marche dessus                         Tout  comme  cela,

Lors on  s’arrête                              À danser tourner,

Accroche-moi :                              Au son accordéon

.

Pas que  corps                                       Accroche-toi,

Qui  tournera,                                   J’ai raison, moi,

   La tête aussi,                                   Je sais, danse fort,

  Ému d’aimer,                              Ne dis rien, t’as tort

En  harmonie.                             C’est  mon  choix,

M’enivre de toi                            Bien  maladroit,

Que toi, sauras !                        Ne penche-pas !

.

Accroche-toi,                             Accroche-toi,

Un, deux, trois,                  Prévois d’avance

Valse-hésitation,         Où tu mets ton pied

Ces trois temps         A la moindre erreur

 Croyez-moi,               En sol, tu chuteras.

Tournent la tête         Passion,  raison,

Et, le reste avec !     Folie, pardon !

.

Accroche-toi

Car pour danser,

Faut être deux,

S’accordant,

Valse, à trois,

Fait contretemps

Souvent fâcheux !

.

La valse, c’est trois temps

On repart en tournant.

Amour, c’est pareil,

En  plein …  éveil,

Ou  en  sommeil,

Couple…amants

.

.

Extensions

.

La valse est une danse qui fait tourner

Homme et femme en cadence,

Avec un temps fort pour marquer son pas

Ligne circulaire pour le diriger.

.

Il ne s’agirait pas  tant  de tourner en rond

Qu’avancer ensemble, changeant

De sens ou de direction mais toujours collés

L’un à l’autre en seul, même pivot.

.

Se faire tourner la tête et tout le reste… avec.

La valse trébuchera  si le cavalier

N’est pas en phase, la valse écrasera les pieds

S’ils ne se tiennent pas entre deux,

.

La valse s’arrêtera s’ils n’arrivent plus à tourner

Mais elle peut, aussi, et, carrément

Faire tomber l’autre, lors d’un mauvais équilibre,

Ou  emporter les deux partenaires,

.

Amoureux ou non, dans un pur tourbillon de folie,

Comme s’ils dansaient dans les airs

En s’étant affranchis de toute une gravité terrestre.

Elle évoque les «derviches tourneurs»

.

Qui dansent seuls sur eux-mêmes, en gardant la tête

Dans une direction et dans l’autre pour

Maitriser l’équilibre, ou le rythmer, sinon l’entretenir

Comme toupie qui va dans tous les sens,

.

Elle finit par s’essouffler, par ralentir, et par tomber.

Cette valse, c’est aussi celle de Jacques Brel

Qui a mille temps ou qui a mis le temps qu’il faut

Pour l’imposer aux yeux du Monde.

.

.

Épilogue  

.

La vie comme une valse,

Faut-il y penser, y croire,

Tourner entraine l’espoir

Valse ne rime avec rien !

À tel point de confondre

«Avec rien »   et   «à rien»

Un bon partenaire conte,

Il vous fera tourbillonner !

***

La musique marquera le pas

Elle sait compter jusque trois

Il arrive que l’on soit étourdi,

Au point de s’appuyer sur lui.

***

C’est pas la vie qui tourne

En telle danse qui entête,

Que pieds, corps  et  tête,

Illusion qu’on enfourne !

Violon, piano, bombarde,

Tout instrument s’y prête,

Arrive que l’on se hasarde

À déclarer : c’est une  fête.

***

Imaginer  votre partenaire,

Tomber en faisant faux pas :

Voilà une façon peu cavalière

Et qui ne vous la retiendra pas

Que ce soit une valse, ou  tango,

L’important est d’écouter diriger

Point besoin de paroles, à propos,

Une émotion suffit à vous combler.

.

.

417 – Calligramme

.

Valses des cavaliers et

des cavalières,

 Valses d’intentions,

Ou valse-hésitation,

Un pas en avant, un autre en arrière

Font que cette musique,

Des plus sympathiques,

Vous laisse en plan ou sur le derrière !

Valses des cavaliers et des cavalières,

 Valses d’intentions,

Ou valse-hésitation,

Un pas en avant, un autre en arrière

Font que cette musique,

Des plus sympathiques,

Vous laisse en plan ou sur le derrière !

.

Envie parfois d’envoyer tout valser,

Et vous n’y songer, ne le ferez pas

L’amour est une valse à danser,

Le perdre, serait un faux pas.

.

Car comme joue la musique

Un et deux et trois  c’est magique

Vos pieds vous entrainent, en rond,

Lors dieu sait, qu’à deux, c’est si bon !

.

Si vous m’accordez bien une telle valse

Je vous la ferai à mille temps chante Brel

Tant vrai que d’y songer j’y ai mis le temps

Après quoi, rien ne sera plus comme avant.

.

.

Accroc, faux pas                                                                                     Accroche-toi,

Une fausse note :                                                                                 Et à cloche pas,

Lors ’on trébuche,                                                                           L’un, l’autre on va

Vrai, pas, faux pas                                                                         Se tenir … en bras,

Se marche dessus                                                                          Tout  comme  cela,

Lors on  s’arrête.                                                                              À danser tourner,

Accroche-moi :                                                                              Au son accordéon !

.

.

Pas que  corps                                                                                        Accroche-toi,

Qui  tournera,                                                                                      J’ai raison, moi,

La tête aussi,                                                                               Je sais, je danse fort,

Ému d’aimer,                                                                                Ne dis rien, t’as tort

En  harmonie.                                                                                  C’est  mon  choix,

M’enivre de toi                                                                                    Bien  maladroit,

Que toi, sauras !                                                                                Ne penche-pas !

.

.

Accroche-toi,                                                                                         Accroche-toi,

Un, deux, trois,                                                                                  Prévois d’avance

Valse-hésitation,                                                                         Où tu mets ton pied

Ces trois temps                                                                           A la moindre erreur

Croyez-moi,                                                                                   En sol, tu chuteras.

Tournent la tête                                                                                 Passion, raison,

Et, le reste avec !                                                                                 Folie, pardon !

.

.

Accroche-toi

Car pour danser,

Faut être deux,

S’accordant,

Valse, à trois,

Fait contretemps

Souvent fâcheux !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

Un accordéon  dit musette,

 Ou deux bombardes bretonnes 

 .

 Une valse bretonne bien exécutée

À la bombarde, ça déménage

 Mais à l’accordéon, c’est bien

Lors bien plus populaire!

 .

Symbolique

 .

Dans les années 1970,

L’accordéon  devient populaire

Grâce à l’attrait des musiques traditionnelles 

Et folkloriques qui l’utilisent (musique bretonne,

Slave, musique cadienne…) ; par  l’utilisation  par

Des chanteurs  français (Renaud) qui le remettent

 Au goût du jour ; par l’apparition d’accordéonistes

Majeurs, se détournant du musette, tout comme 

Richard Galliano par son utilisation par des

Groupes de la scène alternative comme

La Mano Negra,  Négresses vertes.

fr.wikipedia.org/wiki/Accordéon

.

Descriptif

 .

417 – Accroche-toi : un/deux/trois, on valse

Alignement droit / Titre droit / Thème  Musique

Forme rectangle / Rimes égales / Fond accordé de forme

Symbole forme : accordéon / Symbole fond : valse

.

.

Fond

.

Évocation 

.

417 6

.

Une valse bretonne exécutée

À la bombarde, ça déménage :

Il y a bien de quoi se mélanger

Les notes, pinceaux, ou pieds !

 .

Symbolique 

 .

La valse a été longtemps considérée

Inconvenante, du fait de se retrouver

En couple fermé, c’est-à-dire l’homme

En face de la femme et non pas à côté

Comme dans les danses bienséantes,

Telles que  la gavotte, ou  le menuet.

La gavotte est une danse  d’origine

Populaire    française,   en   chaîne

Ouverte, à rythme  binaire, gaie

Mouvement modéré, assez vif.

Source : Wikipédia

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La bombarde est un instrument de musique

À vent à anche double de la famille des hautbois,

Pour la musique ancienne et la musique bretonne  

 Le mot «bombarde» proviendrait du latin bombus,

Signifiant «bourdonnement»  ou  «bruit sourd».

Tant  pour ce qui est de faire du bruit très fort

Elle en fait et faut pas manquer de souffle

Pour la faire chanter sans s’arrêter !

.

Une valse est jouée à l’accordéon ou violon

Plus souvent qu’à la bombarde c’est certain

En poésie ce sont les rimes et les rythmes,

Qui imiteront instruments de musiques,

Et la musique bretonne s’y prête bien

Que ce soit de face, ou bien de côté,

Pour trouver cadence de danse.

.

Quoiqu’il en fût, quoiqu’il en soit

Quand on est amoureux on dansera,

L’on dansera pour se rendre amoureux

Je parle d’une danse à deux et collet serré.   

.

Visuel

.

.

 Une valse renversante

.

Visuels et textuels  >>

416 – Je ne suis las de penser à toi !

Visuels et textuels >>

Mais comment se pourrait-il

Que, jamais, je ne me lasse,

De penser,  ni voire rêver,

De faire l’amour avec toi.

.

Me faudrait-il croire que,

Ta vertu peut s’imprimer

Comme encre  indélébile,

Au cœur de mon cerveau !

.

 Lors, ne pas être près de toi

Ne veut pas dire, je suis las,

De toi que tu me crois ou pas,

Rien  ne peut  changer, ma foi.

.

Penses-tu que  je sois las

De vivre ou de penser à toi,

Attiré par des rencontres inédites

Qui m’occupent, ou qui me profitent.

Les jours ont passé, le temps inexorable

A fait œuvre de sape, d’oubli d’ignorance.

.

Je pourrais longtemps rester en déshérence

Lors je suis seul, loin de toi et impalpable.

Mais, tandis que mes souvenirs amorcent

Le manque de jouissance cruelle de toi.

.

Une réelle absence de  toi, renforce

L’aura que je projette sur toi.

Toi, qui es là, même quand

Tu n’y es pas, à côté de moi,

Tu me rends, le cœur vibrant,

Chaque fois me séparant de toi.

.

J’ai bien imaginé pouvoir t’oublier

Privé  encore de toi, loin, longtemps :

C’est le contraire qui s’est produit, vérifié,

Je reviens vers toi,  où mon  ressort se tend.

.

Car dis-toi bien que quand tu n’es pas là,

Pour moi, tu es présente quand même,

Tapie dans le moindre de mes débats,

À l’encontre parfois de moi-même.

.

Et, ce n’est  que pour le rappeler,

Jusqu’où, et en vrai,  je  t’aime,

Que je t’ai écrit un  tel  poème,

En espérant toucher, partout,

Le corps et tout qui me pâme,

Quand même nos âmes nous damnent

Lors grand frisson bout de nuit rend fou.

.

.

Extensions

.

Ivre fou de sensualités

De nos corps et nos âmes,

Des sensations de nos cœurs,

Des sentiments de nos cerveaux,

Des  sentiers  de  nos  chevauchées,

Chevauchées fantastiques, ça va de soi,

Chevauchées oniriques à la prochaine fois.

Le seul fait d’y penser, voire, de le fantasmer,

Suffit à déclencher comme  un ersatz  du plaisir

Qui m’en rend  dépendant  comme drogue, à loisir.

.

Lassitude est le contraire d’enthousiasme, de bien-être,

Là où tous les oui et les non se transforment en peut-être.

Il faut être romantique et non pragmatique, pour rester las.

Écrire est une compensation de l’absence, et de l’incertitude,

Chaque écrit, adressé à quelqu’un, ou à quelqu’une, finitude

Choisir la forme du poème est toujours particulier, insolite,

Dans un monde où sms, chat, tweet, deviennent la norme.

.

Penses-tu que je sois là ou … las

N’importe où, totalement absent

Je te vois, t’imagine par la pensée

Je t’écris, sans jamais rien poster.

.

Voilà autant d’états de conscience,

Venant de rencontre connaissance,

Qui émoustille, inspire, un cerveau

Qui ne fait que brouillonner…mots.

.

Ma lampe de bureau, d’allure retro

S’allume d’elle-même pensant à toi

Suis las de ton absence, d’évidence,

Ne supporte plus de la voir éteinte.

.

.

416 – Calligramme

.

Mais comment       *         se pourrait-il

Que, jamais,          P    je ne me lasse,

De penser,             E       voire rêver,

De faire l’amour   N          avec toi.

Me faudrait-il       S     croire que,

Ta vertu peut       E   s’imprimer

Comme encre      S   indélébile,

Au cœur de mon   –     cerveau !

 Lors, ne pas être    T    près de toi

Ne veut pas dire,    U   je suis las,

De toi que tu me crois   *   ou pas,

Rien  ne peut  changer   *    ma foi.

.

Penses-tu que  je sois        J            las

De vivre ou de penser          E        à toi,

Attiré par des rencontres      *     inédites

Qui m’occupent ou qui me     N    profitent.

Les jours ont passé, le temps   E     inexorable

A fait œuvre de sape, d’oubli     *      d’ignorance.

Je pourrais longtemps rester    S    en déshérence

Lors je suis seul, loin de toi     U    et impalpable.

Mais, tandis que mes souve  I    nirs amorcent

Le manque de jouissance  S    cruelle de toi,

Une réelle absence de   *     toi, renforce

L’aura que je pro    P     jette sur toi.

Toi, qui es là,    A   même quand

Tu n’y es pas,  S    à côté de moi,

.

Tu me rends,        le cœur vibrant,

Chaque fois           me séparant de toi.

.

J’ai bien   L    imaginé     P  pouvoir t’oublier

Privé     A     encore de toi,   E   loin, longtemps :

C’est le    S  contraire qui s’est  N   produit, vérifié,

Je reviens  *  vers toi,  où mon     S    ressort se tend.

Car dis-toi  D  bien que quand    E     tu n’es pas là,

Pour moi,   E   tu es présente   R   quand même,

Tapie dans     le moindre de         mes débats,

À l’encontre    parfois de     moi-même.

.

Et, ce n’est  que   À  pour le rappeler,

Jusqu’où, et en    *    vrai,  je  t’aime,

Que je   t’ai écrit  T    un  tel  poème,

En espérant tou    O    cher, partout,

Le corps et tout      I     qui me pâme,

Quand même nos âmes nous damnent

Lors grand frisson bout de nuit rend fou.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

416 4

.

Évocation

 .

Une lampe à huile   style rétro 

Mais qui resterait comme éteinte

Et allumée aux grandes occasions

.

Une petite lampe à huile, éteinte

Et, sans couleurs, ne  brille guère

 Par sa présence : chaleur, ardeur

N’existant pas… n’excitant plus !

 .

Symbolique

 .

La lumière est symbole

De la connaissance et lors,

On apprend de jour en jour

À bien mieux se connaître,

Et on évoluera grâce à ces

Informations,  ce savoir.

.

Si la lampe est éteinte,

Tensions du moment en sa

Vie familiale, professionnelle.

Dans sa vie de couple, ces tensions

Nous fatiguent, psychologiquement,

Et elles feront ressortir de la colère

Sinon un sentiment de tristesse.

.

Il faut ses rappeler que l’on

Ne peut pas changer ceux qui

Nous entourent, mais que l’on peut

Changer nos réactions par rapport à eux.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-rêve/lampe

.

Descriptif

 .

416 –  Penses-tu : je  ne suis las de penser à toi 

Alignement central / Titre serpente/ Thème  attrait

Forme triangle / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole forme : lampe / Symbole fond : feu éteint

.

.

.

.

Fond

.

Évocation

.

416 6

.

Que le feu soit au vert, à l’orange ou au rouge

C’est bien le signe qu’il fonctionne à trois états

Mais s’il n’y en a aucun, amour est éteint

Et un tel feu rouge ne sert plus à rien.

Symbolique  

La routine s’installera dans notre vie

À tel point que la flamme intérieure

De l’amour s’éteint… lentement

Voire presque… inexorablement.

Comment ne pas  vous laisser

Entraîner  par tel  tourbillon

Infernal d’un vieux couple ?

.

Comment raviver la flamme

Intérieure qui ne souhaitera

Qu’une  seule chose …  briller,

Revivre, sinon mieux, du moins

Autant qu’avant voir différemment.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Forme est proche du fond en lampe éteinte,

Ne pas penser est ne pas être éclairé du tout

Il peut y avoir variations… comme feu rouge.

Le plus fort désir  de l’amour est  de … durer.

Certains pensent qu’il durera plus dans un lit

Que dans la tête, tout au fond de ses pensées !

.

À chacun de voir comment son amour s’éteint.

Pour ce qui est de l’allumer, y a mille bouquins,

Que l’on peut consulter pour bien se renseigner,

Mais ce que la nature a fait, de notre sensualité,

Notre conscience, la société aura tout chamboulé

Au point de faire, de nous : jeux, folies, infidélités.

.

À force de frotter mon corps puis ma pensée, à toi,

J’aurai fini par retrouver un très fort désir … de toi

Voilà  qui rime  avec lampe allumée  et non éteinte,

Me procurant espoir, énergie, d’une future étreinte.

Être las  serait le contraire  d’être là, en présence,

Quoique l’on pourra cumuler les deux à la fois,

Penser qu’on pense à l’autre est redondant.

.

Visuel

.

.

Tant faire ou t’en faire

.

Visuels et textuels >>

415 – Désirs rouges de séduction

Visuels et textuels >>  

Mes désirs rouges de séductions,

Mes désirs  noirs, de possessions

De toi ;  

.                              

Mes désirs blancs, très troublants ;

Mes soupirs bleus faisant semblant

Pour toi !

.                                     

Me font penser à toi et te font exister,

Me font rêver de  toi pour te retrouver

Autrement

 .                                            

Et puis,  faire  l’amour, tout ,simplement

Pour mieux se  connaître après en restant

Amants !                                    

  .    

Lors, si penser à toi, fait aussi que j’existe,

En réciprocité  pour  que  l’amour  persiste

Simplement,  

.                                     

Ne  demeurons  pas, seuls,  à deux, égoïstes

Ne cessons pas de continuer à être altruistes.

.

Mes désirs rouges de séductions

Mes désirs noirs de possessions,

De toi :

Comblés : tournerai-je  en  rond,

Ou bien  avancerai-je, à reculons,

Vers toi.

.

Mes désirs blancs,  très troublants,

Mes soupirs bleus,  devenus blancs,

Pour toi,

Me feront-ils   regretter  mes temps,

Autant mes jours   que mes instants,

Avec toi.

.

La vie ne serait-elle qu’éternel destin

Et qui ne serait composé que d’irréel

Moment,

Alimentant mon corps et mon esprit,

De constants, de vivants, ou d’infinis

Tourments.

.

Pour qu’amour dure avec intensité,

Il ne nous suffira pas que de baiser

Sauvagement,

Dans nos viens-ici, et puis va-t’en,

Nos deux corps enfin orgasmants,

Ardemment.

.

Rêver en la durée, consolider instant amour partagé,

Authentiquement qui au-delà de ceci, au-delà de cela,

Fera que l’amour se cristallisera  et  pour  longtemps !

.

.

Extensions

.

Un amour fou

Cristallisera autant

Notre sentiment  d’avoir à

Construire  quelque  chose,

Ensemble nous survivant

Voire nous dépassant.

Il faut être altruiste

Librement pour ne pas

Nous faire pendre à notre

Propre corde, nœuds serrés,

Tout autour de nos deux cous,

Par le mariage supprimant

Tout désir, rouge, noir.

.

Y  a pas à dire : tous appâts attirent des débats,

Autour de l’envie, réciproque, ou non, d’ébats !

Mais  ils ne  demeureront, parfois, que leurres

Quand ces plaisirs ne suscitent de bonheurs !

Ils retombent comme une chaussette, à plat

Car,  jusqu’au prochain,  ne vous sollicitera !

Lors désirs rouges, noirs, de séduction de toi

Ne seront que fantasmes incarnés faux choix !

.

La suite peut être savoureuse peut être finie,

Des fantasmes  qui vous traverseront l’esprit,

Qui vous hantent, vous obsèdent, réjouissent,

Qui soudain, en un clin d’œil, s’évanouissent.

.

Séduction tient autant du sujet aimé présent

Que de sa représentation intérieure d’amant,

Dans le premier cas, émotion est dominante,

Dans le second, imagination est déroutante.

.

La séduction est comme la lampe de chevet

Faible quand je perçois sa lumière, blanche

Moyenne  quand ses couleurs  apparaissent

Forte quand elle reste saturée par rouge vif.

.

.

415 – Calligramme

.

M     Mes désirs …….. rouges ……. de séductions,     P

   E        Mes désirs …..…… noirs …….. de possessions     L

   S                                          De toi ;                                         E

   *        Mes désirs ………..  blancs ……… très troublants ;    I

   D       Mes soupirs ….…….. bleus ………. faisant semblant    N

   É                                           Pour toi !                                             E

  S      Me font ……………… penser à toi …… et te font exister,     *

  I       Me font ……..……….. rêver de  toi ……. pour te retrouver    S

  R                                             Autrement                                                É

  S     Et puis …….……………. faire  l’amour …..…. tout simplement     D

  *     Pour mieux ……………… se  connaître …..…… après en restant     U

 R                                                    Amants !                                                     C

O      Lors, si penser …… ………… à toi, fait …… .…… aussi que j’existe,    T

U      En réciprocité ……… ….…… pour  que …….… …… l’amour persiste     I

G                                                      Simplement,                                                     O

E      Ne demeurons ….….…..……… pas, seuls …….………… à deux, égoïstes     N

S     Ne cessons pas …….…………….de continuer …….…..……à être altruistes.    *

.

Mes désirs rouges de séductions

Mes désirs noirs de possessions,

De toi :

Comblés : tournerai-je  en  rond,

Ou bien  avancerai-je, à reculons,

Vers toi.

.

Mes désirs blancs,  très troublants,

Mes soupirs bleus,  devenus blancs,

Pour toi,

Me feront-ils   regretter  mes temps,

Autant mes jours   que mes instants,

Avec toi.

La vie ne serait-elle qu’éternel destin

Et qui ne serait composé que d’irréel

Moment,

Alimentant mon corps et mon esprit,

De constants, de vivants, ou d’infinis

Tourments.

.

Pour qu’amour dure avec intensité,

Il ne nous suffira pas que de baiser

Sauvagement,

Dans nos viens-ici, et puis va-t’en,

Nos deux corps enfin orgasmants,

Ardemment.

.

Rêver en la durée, consolider instant amour partagé,

Authentiquement qui au-delà de ceci, au-delà de cela,

Fera que l’amour se cristallisera  et  pour  longtemps !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

415 4

.

Évocation

.

Lampe de chevet, ambiance rouge 

Ou encore un grand arbre en une forêt

Voire  un champignon non comestible !

 .

La forme est proche du fond si on voit

Le besoin, le pied ; le désir, l’abat-jour.

.

Lampe rouge est un symbole

De chaleur  et de … séduction :

Tamisée par un bel abat-jour, 

Son pied favorisera ses rêves.

 

Symbolique 

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne, électrique, celle-ci

Symbolisera l’énergie que nous

Contrôlons, celle que nous maîtrisons.

 .

La lumière intérieure,

Rassurante  et   simple,

Connaissance  transmise

Par notre ’environnement

Celle que chacun  reçoit

Lors de sa naissance

Dont on a besoin.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

 .

415 – Mes désirs rouges de pleine séduction   

Alignement central / Titre extérieur/ Thème  attrait

Forme triangle / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole forme : lampe / Symbole fond : séduction

.

.

Fond

.

Évocation   

.

415 6

.

Lumière rouge est un symbole

De chaleur  et de … séduction :

Tamisée par un bel abat-jour, 

Son pied favorisera ses rêves.

 .

Symbolique 

 .

Le rouge a été associé

À la passion… à la séduction

Pensez donc aux fleurs… rouges,

Et de même au rouge à lèvres.

Et Hollywood voit rouge

Pour l’attrait féminin

En nombreux films.

.

Des preuves culturelles,

Des recherches scientifiques

Auront révélé que les hommes

Considèrent les femmes en rouge

Plus attirantes au plan sexuel

Que les autres couleurs.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La séduction, comme on le sait, est heureuse

La séduction comme on le sait est trompeuse :

Là il n’y a  que  du noir ou blanc, elle voit rouge

Lors la sincérité, de l’amour, du moment, bouge,

Séduction passée laissera libre cours à déception.

.

Une chenille en chrysalide  sera devenue papillon,

Le temps de vous passer la corde à nœuds, au cou,

De consommer au pied d’une belle lampe de chevet

Et qui ne laisserait aucun remord ni aucun regret !

.

Le rouge rime avec sang et sentiment

Avec  désir passager, désir d’éternité,

Sa couleur, sa chaleur, son intensité,

Partout, en  moi, l’amour, diffusant,

Conclue que fond/forme face à face

Laisse à jamais, en souvenir, trace

Comme énergie d’émotions de vie,

Qui depuis mois, en moi, ne tarit,

Qui me remplit, qui me séduit !

.

C’est sûr que rouge et séduction vont de pair

Dans les  habits, les sous-vêtements, les objets

Sans compter sur les joues et sur les lèvres !

.

Visuel

.

.

Pose des plus romantiques

.

Visuels et textuels >> 

414 – Par-delà ta cime et plaine

Visuels et textuels >> 

Oui,  je le sais :

Mornes plaines

Hautes     cimes

Amours  haines,

Va-rient,  estime,

Inversant   valeurs

Et espaces ultimes,

Et voire profondeurs

Ses relations in-ti-mes :

Par-delà ceci,  par-delà cela,

On  s’aimera ou ne s’aimera pas.

 

Qui le sait et, pour  de vrai, qui le saura

Tant que notre fusion nouvelle ne serait pas

Consommée et cela, en  toute jouissance, liberté,

Jusqu’à se cristalliser, en  avenir commun  et décidé,

Sauf à graver en contrat écrit pacte ne tenant que sur parole

Que l’on proclame, qu’on crie pour rester en son jeu de rôle.

 

Par-delà tes plaines et cimes,

Je saute, bondis   en ton abîme,

Je  m’engloutis,   en toi,   au fond,

Tombe     en tes bras,     de déraison.

Par-delà      tes démons,     tes crimes,

Parviens à  violer   l’espace,   intime,

Qui m’as conduit droit en prison

Où tu négocieras ta libération.

 

Par-delà tes seins et reins,

Parcours lignes de ta main,

Creux de paume  …  inespéré

Où  tu me convies  à me fixer.

Par-delà, tes vas, et, tes viens,

Je retarde  un tel instant, divin,

D’unions  des deux corps, collés,

Nous laissant… esseulés, damnés.

 

Par-delà ta folie, au-delà ta raison

J’aurai enfin, franchi un Rubicond !

Vrai que cela  en valait bien la peine,

Tant, à présent, tu deviens ma reine.

Par-delà tous les on-dit et les dit-on

Je garderai un espoir que durerons,

Nos amours, et afin qu’il advienne,

Que tous temps, on s’appartienne.

 

Par-delà  ces  paroles,  miennes,

J’avoue t’aimer …  bohémienne,

Mais ne graverai  pas  ton nom,

Sur ce poème trop …  abscons.

Par-delà ceci… par-delà cela,

Que de fois ai-je entendu cela

Sans qu’amour… l’engagera !

 

Amour simulerait-il autant de sincérité que mensonges ou que feintes

Par-delà preuves, gestes, étreintes, trompant soi-même passion éteinte,

Lors graver son nom sur un parchemin sera, d’amour, précipiter sa fin.

.

.

Extensions

.

Complainte répétitive aboutit à incantation

À sublimer l’amour : charnel, sensuel, sexuel,

Le transformer en chant de prière, de lumière,

En gardant  l’espoir que  nos amours  dureront.

Après  la séduction, possession, vient l’angoisse

De séparation, dépossession s’il n’y a plus rien

Alimentant l’amour figé dans écrin mariage.

Et comme toute chose a une fin, peut avoir

Recommencement, si sa liberté  le pressent,

Pour peu que sa liberté renouvelée y consent,

L’union n’est pas un testament, union est juste

Un  «teste-amant»  mais, qu’aucun  parchemin,

Aucun serment, contrat, ne peut jamais garantir !

.

Prise de face, une femme restera, le plus souvent, sujet,

Sur prise, de dos, elle devient objet, si elle se soumet !

S’il n’y a, d’endroits, de courbes, de lignes, de fentes,

Qui ne se valent en une vision holistique de l’amour,

Chacun  en ferait  son affaire, en contres et en pours,

Mis à part le respect que l’on se doit de rester humain

Si l’on donne, reçoit et exploite amour de son prochain.

.

Par-delà ceci, par-delà cela :

On connait  cette  chanson-là,

Nous mettant  sur sol, sur le do,

À deux mis sur si, à cheval sur fa.

.

Et si vous choisissez de la musique,

Durant vos hauts  et très longs ébats,

Réécoutez donc  le «Boléro» de  Ravel,

S’il vous fait monter… au septième ciel.

.

Vrai qu’on n’est pas du tout en terrain plat

Tant il y a de courbes, de bosses, de creux

Qui, à loisir, se forment et se déforment

Jusqu’à se tendre sous un arc boutant

.

Et la lumière de la lampe de chevet

Vacille, varie d’intensité, couleur

Éclairant  corps, âmes et cœurs

De ses rayons et de ses reflets.

.

Par-delà ceci, par-delà cela :

On meurt, un peu, mais pas

On demeure sur le carreau,

Aurait-on perdu cerveaux !

.

414 – Calligramme 

.

Oui je  *  le sais :

Mornes  P   plaines

Hautes     A       cimes

Amours      R       haines,

Va-rient                     estime,

Inversant          D             valeurs

Et espaces           E              ultimes,

Et voire pro            L                fondeurs

Ses relations             *                in-ti-mes :

  Par-delà  ceci              T               par-delà cela,

On  s’aimera ou             A           ne s’aimera pas.

Qui le sait et, pour           *         de vrai, qui le saura

Tant que notre fusion       C       nouvelle ne serait pas

Consommée et cela, en        I      toute jouissance, liberté,

Jusqu’à se cristalliser, en       M    avenir commun  et décidé,

Sauf à graver en contrat écrit   E pacte ne tenant que sur parole

Que l’on proclame, qu’on crie     *     pour rester en son jeu de rôle.

.

Par-delà tes plaines et cimes,

Je saute, bondis   en ton abîme,

Je  m’engloutis,   en toi,   au fond,

Tombe     en tes bras,     de déraison.

Par-delà      tes démons,     tes crimes,

Parviens à  violer   l’espace,   intime,

Qui m’as conduit droit en prison

Où tu négocieras ta libération.

.

Par-delà tes seins et reins,

Parcours lignes de ta main,

Creux de paume  …  inespéré

Où  tu me convies  à me fixer.

Par-delà, tes vas, et, tes viens,

Je retarde  un tel instant, divin,

D’unions  des deux corps, collés,

Nous laissant… esseulés, damnés.

.

Par-delà ta folie, au-delà ta raison

J’aurai enfin, franchi un Rubicond !

Vrai que cela  en valait bien la peine,

Tant, à présent, tu deviens ma reine.

Par-delà tous les on-dit et les dit-on

Je garderai un espoir que durerons,

Nos amours, et afin qu’il advienne,

Que tous temps, on s’appartienne.

.

Par-delà  ces  paroles,  miennes,

J’avoue t’aimer …  bohémienne,

Mais ne graverai  pas  ton nom,

Sur ce poème trop …  abscons.

Par-delà ceci… par-delà cela,

Que de fois ai-je entendu cela

Sans qu’amour… l’engagera !

E T

Amour simulerait-il  P  autant de sincérité que mensonges     I  ou que feintes

Par-delà preuves, gestes, L  étreintes, trompant soi-même   N passion éteinte,

Lors graver son nom sur un  A  parchemin sera d’amour   E    précipiter sa fin.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

414 4

.

Évocation

 .

Beau palmier appelé cocotier

En bas, comme  un bel ananas,

Filtre lumière de lampe chevet,

Ou voire flèche vers  la montagne

 .

L’amour est symbolisé par un abat-jour,

 Sur un pied de lampe ananas:

Et le chapeau sert de filtre pour tamiser

La lumière, que pied allume. 

 .

Symbolique

 .

Constituant un substitut au  soleil,

Ou voire dispositif de mise en valeur,

Les lampes sont l’objet d’appropriations

Symboliques, de coutumes et de rituels.

.

Soigner l’abat-jour est une chose mais

Sans l’élégance du pied de lampe,

Sans son poids, allure, fonction,

L’abat-jour ne serait pas.

.

C’est l’alliance des deux

Qui souligne un style,

Qui  apporte  la pointe

De fantaisie recherchée

Ou, au contraire, se fond

Avec discrétion décoration.

luminaire.ooreka.fr/c

comprendre/pied-de-lampe

.

Descriptif

 .

414 – Par-delà ta cime, par-dela ta plaine

Alignement central / Titre droit/ Thème  recherche

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme 

Symbole forme : lampe / Symbole fond : filtre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

414 6

.

L’amour est symbolisé par un abat-jour,

 Sur un pied de lampe ananas:

Et le chapeau sert de filtre pour tamiser

La lumière, que pied allume. 

 .

Symbolique 

 .

Un filtre est un système qui sépare

Des éléments en un flux d’air ou flux d’eau.

L’action du filtre consiste à retenir, supprimer,

Rediriger, modifier éléments indésirables du flux,

Et à en laisser passer, librement, les éléments utiles.

.

Les psychologues et les analystes ont observé qu’à

L’ascension, sont liées des images lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Et, à la descente, images sombres,

Sentiments de crainte, peur.

Source : Wikipédia

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le corps comme un fruit, l’esprit comme énergie

L’amour  comme un philtre  pour tamiser le désir

Et tout cela rime et tout naturellement avec élixir,

Donc le face à face s’impose les yeux dans les yeux,

Quand le fond prend forme  et s’approche peu à peu

D’une lampe qui, bien que plus moderne celle Aladin

N’en délivre pas moins harmonie entre fond et forme.

.

Par de-là tes plaines et cimes,

Et tes creux et courbes intimes

Tu auras fait de moi la victime,

De ton philtre, et qui me retient,

Près de toi mais qui me convient,

Depuis hier, aujourd’hui, demain

Tant il sublime mon désir sensuel

Au point que mon âme spirituelle,

Aurait besoin de toi, de lui, d’elle !

.

Visuel

.

.

Un arbre entre plaine et cime

.

Visuels et textuels >> 

413 – Par monts et par vaux

Visuels et textuels  >>

Par monts et par vaux est l’expression utilisée par quelqu’un

Qui cherche son âme-sœur partout, toujours, et ailleurs.

Pour régler affaire de cœur, j’irai par-ci, j’irai par-là,

Pour voir, si tu n’y es pas     si tu ne t’y caches pas

Jusqu’au point le plus bas que tu auras trouvé,

Pour me zapper,  ou, tu m’attends, peut-être,

Où l’on se serait croisé   sans se rencontrer !

.

Par monts et par vaux …vais au fond du bois

Prenant, tes sentiers, chemins,  à claire voie

Il arrive que je trébuche, glisse … m’enfonce,

Me blesse contre tes épines sinon tes ronces

.

Jamais je n’y renonce,  bien qu’enfant perdu,

Souvent en ce monde, sans foi ni lois, tordu,

 Au fond de ton bois creux, je me … ressource

Retrouve toujours l’étoile  de ta grande ourse.

.

Je remonte  autant ta pente, que ton sommet,

Je  redescends  autant  ta rivière, que ta vallée,

Et lors  je me retrouve  dans tes flancs d’argiles,

La vie me parait  plus  simple ou moins … fragile.

.

Si un va-et-vient s’en mêle, en creux du bois, oscille,

Des plus énamourés devenu voilà qu’il en elle vacille.

Lors la pluie ajoutera sa brume  avec nos larmes de joie

Nos deux âmes se consument   en un feu qui flamboie !

.

Lors prisonnier de tes charmes en mes élans suprêmes,

Par de nouvelles explorations   que  je  déclare  extrêmes

Creux du bois couru, parcouru  à loisir,  bien que familier,

Me révèle  d’autres nouveaux trésors, enfouis,  inespérés.

.

C’est par monts et vaux  que je poursuis ma route à l’écoute

La cherche en tous lieux, forêts en vallons, coteaux, nul doute

Qu’aucun autre endroit pareil ne m’étonne autant m’émerveille

Lors je grimpe en plateau, atteint le col, en plein sommet d’éveil.

.

Mes sensations s’emballent et en courte montée-descente roulent.

Jaillissements d’images se mêlant  aux fleurs, aux fruits, déboulent,

En ma tête perçant mon corps de matières de nature noble et belle,

Je me sens, partout et nulle part  lors j’implose  en extase mortelle.

.

Revenu à une réalité   de morne plaine,  faisant la trame des jours

Garde trace en moi des odeurs, des bruits de ton jardin d’amour

Je l’imagine ici, là-bas, ailleurs et m’aperçois qu’elle est en moi,

Qu’elle guide mes pensées, mes actions, mes décisions, émois.

.

Car qui suis-je, moi, en dehors, de toi, en dehors de ton bois,

Ton bois de senteur, ton bois  de  saveur, ton bois, primeur,

Quand toute incursion, en toi  procure frisson de bonheur,

Celui-là même du désir me donnant vie quand je te vois.

.

Souvent par monts, par vaux,  c’est toujours à tes côtés,

Que je trouve, en fond du bois : puits à me ressourcer,

La nature est bien en toi, et  elle fleurit en tes amours

Tout autant qu’en ciel de lit ou qu’en lumière du jour.

.

.

Extensions

.

Par mon désir mais qui ne vaut

Que si le tien s’accorde bien avec lui,

Je franchirais les cols, puis, les sommets

De montagne pour me mettre à l’épreuve,

Pour te donner des preuves comme quoi

Mon amour n’est pas vain … qu’il est

Plus qu’humain cela est certain !

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Un amour qui s’adresse à sa tête puis descend vers ses pieds

Le sommet de sa montagne constituant la cime de son désir

Il grimpera,  joyeux et courageux,  tant qu’il ne l’atteindra !

Il ou elle, le vaut bien, que j’escalade des monts

Et que j’explore nombre de vallées, sans fonds

Jusqu’à ce que rencontre annonce la fontaine,

Qui récompensera ses recherches non vaines.

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Par monts et par vaux,

Par bonds  et par mots,

Je le vaux,  tel bon mot,

Lors je ne suis pas veau.

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Fantaisie, que cela,

Par jeu, associations,

Lors tenons-nous en-là,

Sinon tomberons bien bas.

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Que signifie telle expression,

Sinon que passion n’a de limite,

Y aurait comme quête en déraison

De trouver l’âme sœur qu’on sollicite.

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Et voilà, si notre âme sœur s’est évanouie,

Ou qu’on l’aura paré de tant et tant d’atours

Qu’on a aucune chance, de la croiser, un jour,

On finit sa vie en célibat qu’on s’est construit !

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J’irai vers toi à ta recherche par monts, par vaux

Mais au bout d’un certain temps, si je ne te trouve

Je m’octroie nouvelle chance, nouvelle opportunité,

Après tout, c’est peut-être mieux ainsi que de rêver.

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413 – Calligramme

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Par monts et par vaux est l’expression utilisée par quelqu’un

Qui cherche son âme-sœur partout, toujours, et ailleurs.

Pour régler affaire de cœur, j’irai par-ci, j’irai par-là,

¤   Pour voir, si tu n’y es pas     si tu ne t’y caches pas ¤

¤¤    Jusqu’au point le plus bas que tu auras trouvé,   ¤¤

¤¤¤     Pour me zapper,  ou, tu m’attends, peut-être,     ¤¤¤

¤¤¤¤       Où  l’on se serait croisé   sans se rencontrer !       ¤¤¤¤

¤¤¤¤         Par monts par vaux, je vais au fond du bois          ¤¤¤¤

¤¤¤¤          Prenant, tes sentiers, chemins,  à claire voie          ¤¤¤¤

¤¤¤¤            Il arrive que je trébuche, glisse … m’enfonce,          ¤¤¤¤

¤¤¤¤             Me blesse contre tes épines sinon tes ronces            ¤¤¤¤

¤¤¤¤              Jamais je n’y renonce, bien qu’enfant perdu,            ¤¤¤¤

¤¤¤¤              Souvent en ce monde, sans foi ni lois, tordu,            ¤¤¤¤

¤¤¤¤              Au fond de ton bois creux je me … ressource            ¤¤¤¤

¤¤¤¤             Retrouve toujours étoile  de ta grande ourse.            ¤¤¤¤

¤¤¤¤            Je remonte  autant ta pente, que ton sommet,           ¤¤¤¤

¤¤¤¤           Je redescends  autant  ta rivière, que ta vallée,           ¤¤¤¤

¤¤¤¤          Et lors je me retrouve  dans tes flancs d’argiles           ¤¤¤¤

¤¤¤¤        La vie me parait plus simple ou moins … fragile.         ¤¤¤¤

¤¤¤      Si un va-et-vient s’en mêle,  en creux du bois, oscille,     ¤¤¤

¤¤¤  Des plus énamourés devenu   voilà qu’il, en elle, vacille.  ¤¤¤

 ¤¤ Lors la pluie ajoute sa brume          avec nos larmes de joie ¤¤

 ¤ Nos deux âmes se consument           en un feu qui flamboie !¤

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Et prisonnier de tes charmes     PAR             en mes élans suprêmes,

Par une nouvelle exploration            *                  que  je  déclare  extrêmes

Creux du bois couru, parcouru        MONTS              à loisir  bien que familier,

Me révèle, d’autres nouveaux                *                      trésors enfouis,  inespérés.

C’est par monts et vaux, que je            PAR                   poursuis route à ton écoute

   La cherche en tous lieux forêts                *                      en vallons, coteaux, nul doute

   Que, aucun autre endroit pareil          VAUX                ne m’étonne autant, émerveille

   Lors je grimpe en plateau atteint             *                  le col, en plein  sommet  d’éveil.

   Mes sensations s’emballent et en           AU               courte montée-descente roulent.

  Jaillissements d’images se mêlant          *              aux fleurs, aux fruits, déboulent,

  En ma tête perçant mon corps de     FOND       matières de nature noble et belle,

  Je me sens, partout et nulle part          *           lors j’implose en extase mortelle.

 Revenu à une réalité de morne        DU        plaine faisant la trame des jours

Garde trace en moi des odeurs,         *         et bruits de ton jardin d’amour

Je l’imagine ici, là-bas, ailleurs,  BOIS     m’aperçois qu’elle  est  en moi,

Qu’elle guide mes pensées, mes     *      actions, mes décisions, émois.

Car qui suis-je, moi, en dehors,         de toi, en dehors  de ton bois,

Ton bois de senteur, ton bois          de  saveur, ton bois, primeur

Quand toute incursion, en toi      procure frisson de bonheur,

Celui-là même du désir me     donnant vie quand je te vois.

Souvent par monts, par vaux,  c’est toujours à tes côtés,

Que je trouve, en fond du bois : puits à me ressourcer,

La nature est bien en toi, et  elle fleurit en tes amours

Tout autant qu’en ciel de lit ou qu’en lumière du jour.

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Forme

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Réduction

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413 4

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Évocation

 .

Foyer avec sa grande cheminée,

Un grand vase avec ses deux anses

Un flacon rond pour un laboratoire.

 .

Même si on peut comparer femme et vase

On est loin du compte question âme sœur,

Dès lors, forme s’éloigne d’autant du fond

On reste dans le domaine des apparences.

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Les vases se ressemblent beaucoup.

Seule, son âme sœur

Marquée d’une croix, serait le signe

D’une véritable rencontre !

 .

Symbolique 

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer de vase, est conquérir trésor

Briser un vase, c’est anéantir par le mépris,

Le trésor qu’il représente.

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Le vase alchimique, le vase hermétique

Signifient, toujours, le lieu dans lequel

Les merveilles chimiquement s’opèrent

C’est le sein maternel, l’utérus

Dans lequel une nouvelle vie se forme.

D’où cette croyance que le vase

Contient le secret des métamorphoses.

 .

Descriptif

 

413 – Par monts, par vaux, au fond du bois

Alignement oblique / Titre intercalé / Thème  recherche

Forme courbe / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole forme : vase / Symbole fond : âme-sœur

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Fond

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Évocation

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413 6

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Les vases se ressemblent beaucoup.

Seule, son âme sœur

Marquée d’une croix, serait le signe

D’une véritable rencontre !

Symbolique 

L’âme sœur est un très vieux concept

Qui évoque la compatibilité amoureuse,

Qui serait parfaite entre deux individus.

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L’expression, passée en langage courant,

A des définitions variables, qui ramènent

Toutes à l’idée selon laquelle ces individus

Ont pour destin de constituer un couple.

Modifié et mis en forme, source : Wikipédia

 .

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Corrélations

Fond/forme 

 .

Pas de monts ni de vaux dans cette poterie

En dépit de courbes, hanches, creux, bouche

Au point que l’on s’attend à y voir l’âme sœur

Dont la forme animée de jeune femme jumelle

Qui rime avec désir voire qui trime avec soupir

Le face à face n’est que de  surface, d’apparence

Si fonds sont différents : forme est bien la même.

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Traiter son ami, d’âme sœur sera un peu curieux,

Mais il se trouve que l’âme est du genre féminin.

À croire que la femme aurait inoculé part d’âme

Au corps masculin qui en manquait cruellement

On est  aux antipodes  des sciences biologiques,

Qui ne voient en compatibilité, que molécules

Qui n’ont apparence, réalité, que chimiques.

Si le fait est qu’attirance, attraction, désir,

Sont de cet ordre, qu’est-ce qui en amour

Ajouterait ce supplément d’âme sœur !

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Visuel

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Par bonds et par mots

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Visuels et textuels  >>