400 – Changer de lieu, programme, activité

Visuels et textuels >>  

.

Changer, c’est énergie de vie

Changer de ci, changer pour ça :

Mobilité   professionnelle, familiale

Pour   poursuivre, ou, recommencer !

.

Changer pour revenir   est parenthèse,

Changer  pour quitter  est  hypothèse,

D’un meilleur sort ou très différent

Limites, avantages précédents.

.

Ça procure …  vies multiples,

Certaines, doubles, triples,

Certaines, gens se perdront

Et  d’autres  se retrouveront.

.

Changer de lieux, programmes, activités,

De temps à autre, il faut se débrancher,

Être quelque autre  ailleurs un temps,

Équilibrer  ses rêves,  ses tourments.

.

Partir, pour ne plus jamais revenir,

Partir pour souffler, mieux devenir,

Partir sans savoir ce qui va…  venir,

Partir pour éclater d’envies d’en rire.

.

Autant de raisons et autant de façons,

De rompre avec son quotidien  ronron,

Prendre recul nécessaire… pour de bon,

Avant d’en arriver à péter  …  les plombs.

.

Partir seul, couple en famille, en amis,

Partir avec d’autres  inconnus, ennemis,

Partir droit devant à l’instinct, l’aventure,

Partir pour se réfugier  en   sauvage nature.

       .

Juge de paix qu’un court qu’un long séjour,

Qui mettrait en une balance, tous nos amours,

Avec des alternances entre retour et non-retour,

Et nombre plaidoyers de jamais contre toujours.

    .

Et  puis,  un  beau  matin,  en  pleine  lumière,

Un destin nous ferait signe pour nous avertir

De rester, aller plus loin et voire de revenir.

Aujourd’hui n’est  pas demain, et fini hier

.

C’est ainsi que liberté choisie, conquiert

Une vie, pour la rendre plus attachante

À nos yeux aux yeux  de  tous  et  fier

D’elle nous  serons comme amante.

.


.

Extensions

.

La routine est le pire des pièges

Car elle nous enferme bien  dans

La répétition toujours du même

Et sans pouvoir la maîtriser.

.

Rompre la routine permet

De  prendre  du  recul

Par   rapport  à   elle,

Par rapport à soi-même,

À sa dépendance aux autres

Et  à  ses  propres  obsessions.

Partir ailleurs, faire autre chose,

Avec d’autres gens ou seul fait partie

D’une bonne hygiène de vie et de l’esprit ?

.

Partir crée une rupture dans le ronronnement

Du quotidien et laisse des souvenirs, des marques

Sur le calendrier, d’un avant et d’un après.

S’évader est  nécessité, serait-ce que pour respirer,

Se ressourcer : « va-t’en ailleurs prendre l’air,

Ça te fera du bien » et l’on rajoute ; « à moi aussi !»

.

Je ne suis pas pour le changement pour le changement

Sinon ce ne serait rien d’autre qu’une pure fuite en avant

Qui se terminerait par un retour en arrière en l’économie,

Sans compter de cultures diversifiées ou pire, d’humanité.

Le changement est nécessaire et bénéfique, s’il a été pensé

Sinon ce n’est autre que  de l’énergie, argent mal dépensé.

Avant de changer pensez-y et faites-le,  le monde a bougé

Avec ou bien sans vous et il ne vous aura guère attendu,

Rien qu’à le regarder, sans rien faire, vous serez déçus.

.

La vie n’est pas que mouvement

Elle est tout autant changement

Changement de lieu et de temps,

Changement relations, d’amant !

.

Changer pour changer ne fait rien,

Pour quelque chose faisant du bien,

Pour quelque chose vers nouveautés,

Pour s’adapter au monde déstabilisé.

.

Changer est plus facile à dire qu’à faire

Il y a des choses, dont il faut  se défaire :

Si on a le restant de sa vie  pour se refaire,

Il reste que notre vie se doit nous satisfaire.

.

.

400 – Calligramme   

 .

Changer, c’est énergie de vie

Changer de ci, changer pour ça :

Mobilité   professionnelle, familiale

Pour   poursuivre, ou, recommencer !

Changer pour revenir   est parenthèse,

Changer  pour quitter  est  hypothèse,

D’un meilleur sort ou très différent

Limites, avantages précédents :

Ça  procure …  vies multiples,

Certaines,  doubles,  triples,

Certaines, gens se perdront

Et, d’autres, se trouveront.

.

Changer de lieux, programmes, activités,

De temps à autre, il faut se débrancher,

Être quelque autre  ailleurs un temps,

Équilibrer  ses rêves,  ses tourments.

.

Partir, pour ne plus jamais revenir,

Partir pour souffler, mieux devenir,

Partir sans savoir ce qui va…  venir,

Partir pour éclater d’envies d’en rire.

.

Autant de raisons et autant de façons,

De rompre avec son quotidien  ronron,

Prendre recul nécessaire… pour de bon,

Avant d’en arriver à péter  …  les plombs.

.

Partir seul, couple *       P en famille, en amis,

Partir avec d’autres  *      R  inconnus, ennemis,

Partir droit devant à  *      O l’instinct, l’aventure,

Partir pour se réfugier  *     G  en   sauvage nature.

        C     R

Juge de paix qu’un court   H      A      qu’un long séjour,

Qui mettrait en une balan   A       M   ce, tous nos amours,

Avec des alternances entre  N        M   retour et non-retour,

Et nombre plaidoyers de     G          E jamais contre toujours.

    E             *

Et puis, un beau ma         R                A    tin  en  pleine lumière,

Un destin nous ferait      *                   C    signe pour nous avertir

De rester, aller plus       D                     T     loin et voire de revenir.

Aujourd’hui n’est        E                         I    pas demain, et fini hier

*…….                    V    ….

C’est ainsi que         L                               I    liberté choisie, conquiert

Une vie, pour         I                                  T    la rendre plus attachante

À nos yeux            E                                   É   aux yeux  de  tous  et  fier

D’elle nous            U                                   S  serons comme …. amante.

.

.

Forme

Réduction

..

Évocation

.

400 4

.

Une tour ou phare maritime

Ou un moulin à sel ou à poivre

Ou une silhouette d’un marcheur

Change en mobilité géographique

.

Changer, c’est se mettre

En mouvement, en mobilité

Lors pour différentes raisons,

Ou simplement pour changer !

.

Symbolique

 .

Depuis plusieurs années,

Le concept «Génération Y»

Fait couler beaucoup d’encre.

Cette génération, récemment

Arrivée sur le marché du travail.

.

Parfois décrite cauchemar des RH

Voire  des managers, semble être

Le symbole des changements

Du monde de l’entreprise.

.

C’est le point de vue

De B. Chaminade,

Qui préfère parler

De  « Culture  Y  »

Plutôt que se focaliser

Sur un débat générationnel.

blog-emploi.com/la-generation-y

-symbole-du-changement-en-entreprise

.

Descriptif

.

400 – Changer de lieu, programme, activités   

 Alignement central   /  Titre analogue   /  Thème  mobilité

Forme anthropo /Rimes égales /Fond approché de à forme

Symbole de forme : changement / Symbole de fond : mobilité

.

.

Fond

.

Évocation 

.

400 6

.

.

Changer,  c’est  se  mettre

En mouvement, en mobilité

Lors  pour différentes raisons,

Ou simplement pour changer !

 .

Symbolique 

La mobilité est souvent dépeinte

Comme symbole d’ouverture

Vers l’autre, vers le monde,

D’inclusion sociale,  tandis

Qu’immobilité est associée à

Exclusion, fixité, ancrage, immobilisme.

.

Les mobilités et immobilités

Dans l’espace géographique

Apparaissent ainsi associées,

Dans les représentations et les imaginaires,

À mobilités ou immobilités en l’espace social.

.

Les  déplacements  géographiques

Ont alors l’image  d’être, également,

Des mouvements sociaux, d’ouverture,

D’intégration, voire changement social.

journals.openedition.org/sociologies/La mobilité

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La mobilité contre l’immobilité,

Espace physique/espace social,

Lutter contre une psychorigidité

Qui nous empêche  d’être normal

Qui fait,  peu à peu, perdre  pied,

Qui fait vouloir au monde entier.

 .

.

Deux mots tout est dit !

.

Scénario

.

Se changer d’abord soi-même et profondément,

avant de vouloir changer les autres tout bousculer,

et aussi savoir attendre le bon moment pour changer.

 .

Visuels et textuels >>

1054 – A quoi bon la vie rime si toujours l’on trime

Visuels et textuels  >>

.

À quoi bon ceci,

À quoi bon … cela !

Mais combien de fois

Entend-t-on  telle  voix !

.

Et l’on passe tout en revue

Y a rien qui va,  qui avance :

Pertes de temps,   d’évidence :

Pas même  un peu … reconnu !

.

Tout est bouché, tout est bâclé

Impossible,  avoir vie sereine

Bien que sans   ne ménager,

Ni son énergie ni sa peine.

.

À quoi bon la vie rime

Si, toujours, l’on trime,

En ces temps, d’abîmes,

Qui vous sous-estiment.

.

À quoi bon… un enfant,

Si … devenu adolescent,

Lutte contre les parents

Pour se sentir existant.

.

À quoi bon… conjoint,

Si l’on ne se … rejoint,

Que sur peu de points,

Et de moins en moins.

.

À quoi bon une maison

Si elle coûte  déraisons,

Vous enferme  au salon,

Loin, voyages,  passions.

.

À quoi bon, soleil … pluie,

Si, en sa vie,  l’on s’ennuie,

L’on est dedans, dehors, ici,

Trop rarement avec les amis.

.

À quoi bon …  une profession,

Dans un Monde aussi abscons,

N’offrant que  lointain horizon,

Autant aux filles qu’aux garçons.

.

À quoi bon se donner la  …    peine,

De se construire une vie   …   sereine,

Quand, trop vite, la coupe est … pleine,

Au point on dirait : manque de … veine !

.

.

Extensions

 .

À quoi bon : on pose la question,

La réponse penche vers la négative.

On baisse les bras, arrête de chercher

Des solutions, et  y compris  transitoires.

Découragement prend énergie constructive.

Il absout aussi l’échec  comme détermination

À ne pouvoir réussir et défaite par anticipation,

Participe de ce « A quoi bon », l’autre est déclaré

Comme étant plus fort que soi lors d’autres diront

«Tant que  la  partie  n’est pas jouée : pas gagnée !».

Optimistes et pessimistes   se partagent le monde

De l’espoir et du désespoir,  courage et lassitude.

Le monde appartient, clairement, aux premiers

Qui font montre d’une motivation sans relâche

Même quand ils savent pertinemment qu’ils

Vont perdre : au moins, ils l’auront essayé

Auront appris quelque chose de l’échec,

Pour une éventuelle prochaine fois.

Cette attitude rejaillit sur tous les autres

Domaines et comportements devant un problème,

Quel qu’il soit. On appelle cela la théorie du renforcement :

La réussite appelle la réussite donnant plus de confiance en soi.

Mais parfois elle en donne de trop et l’échec en devient alors

D’autant cinglant qu’il n’aura pas été, du tout, anticipé.

.

À quoi  la vie  rime : a-t-elle  besoin de rimer

Avec quelque chose  qui nous ferait vibrer ?

Certainement: pas forcément tout le temps

Dans nombre d’emplois, c’est pas souvent.

Dire  à quoi bon, c’est déjà baisser les bras

S’avouer que c’est inutile, on y arrivera pas

Pensez il faut raccourcir, mettre fin, arrêter,

Alors qu’il y aurait tant d’autres choses à faire,

Et qui feraient que tout cela rime avec imprime.

 .

Le travail est une occupation dite contrainte

Nous permettant d’assurer  notre autonomie.

.

On pourra y trouver  comme réalisation de soi,

Dans la mesure où  son intérêt nous … convient.

.

Mais parfois, bien que confortable physiquement

Il nous fatiguera nerveusement, jusqu’au burn-out.

.

Et c’est là que le bât blesse, d’avoir troqué une fatigue

Physique contre épuisement devenu moral  et nerveux !

 .

Au final, si l’on trime  toute sa vie,  en y laissant sa santé :

Peut-on encore parler de progrès humain pour la conserver.

.

.

1054 – Calligramme

 .

À QUOI LA VIE

À quoi bon ceci,

 À quoi bon … cela !

Mais combien de fois

Entend-t-on  telle  voix !

Et l’on passe tout en revue

Y a rien qui va,  qui avance :

Pertes de temps,   d’évidence :

Pas même  un peu … reconnu !

Tout est bouché, tout est bâclé

Impossible,  avoir vie sereine

Bien que sans   ne ménager,

Ni son énergie ni sa peine.

RIME SI

À quoi bon la vie rime

Si, toujours, l’on trime,

En ces temps, d’abîmes,

Qui vous sous-estiment.

.

À quoi bon… un enfant,

Si … devenu adolescent,

Lutte contre les parents

Pour se sentir existant.

.

À quoi bon… conjoint,

Si l’on ne se … rejoint,

Que sur peu de points,

Et de moins en moins.

TOUJOURS

À quoi bon une maison

Si elle coûte  déraisons,

Vous enferme  au salon,

Loin, voyages,  passions.

.

À quoi bon, soleil … pluie,

Si, en sa vie,  l’on s’ennuie,

L’on est dedans, dehors, ici,

Trop rarement avec les amis.

ON TRIME

À quoi bon …  une profession,

Dans un Monde aussi abscons,

N’offrant que  lointain horizon,

Autant aux filles qu’aux garçons.

.

À quoi bon se donner la  …    peine,

De se construire une vie   …   sereine,

Quand, trop vite, la coupe est … pleine,

Au point on dirait : manque de … veine !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1054 4

.

Instrument de musique

À vent,  du genre  flûte 

Mais on dirait un pipeau,

Pour des interjections ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Le travail et la flute son à l’opposé

car le travail fatigue, la flute repose,

c’est le seul lien  que je vois entre eux :

si fait que la forme se distingue du fond.

.

Sa chanson se joue avec un instrument flûte,

Non imposé :

Sinon on le jouera  à contrecœur, sans plaisir :

Flûte alors !

.

Symbolique 

.

Le langage musical est,

Pour une part, une certaine

Représentation de la réalité :

Tant  les timbres d’instruments

Se substituent à l’animal, son cri.

Le langage  musical  aurait-il

Aussi des vertus magiques ?

.

La musique proposerait-elle

Des  sortes  d’enchantements

Du monde comme avec la flûte ?

Sans doute, si l’on considère que

L’une de ses fonctions est d’être

Aussi un langage … poétique.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1054 6

.

Sa chanson se joue avec un instrument flûte,

Non imposé :

Sinon on le jouera  à contrecœur, interjection:

Flûte alors !

.

Symbolique de fond

 .

Une interjection est

Une catégorie de mot invariable,

Qui permettrait à un sujet parlant,

D’exprimer une émotion spontanée

Joie, colère, surprise, tristesse,

Admiration, douleur, etc.

.

D’adresser un message

Au destinataire (acquiescement,

Dénégation, salutation, ordre, etc.),

Ou encore de réaliser une image sonore

D’un événement (cri d’animal, explosion,

Bruit quelconque, etc.)

.

L’interjection peut consister

En une petite phrase de type

Exclamatif ou interrogatif.

wikipedia.org/wiki/Interjection

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Les airs de flûte auront toujours eu

Ce petit côté magique … enchanteur,

Adressant autant le corps que l’âme,

Avec de douces, contraires, émotions,

Qui nous mettent en des états seconds

Nous berçant de leurs hallucinations !

Tout l’inverse de la réalité d’un travail,

Qui nous occupe et nous distrait du sens

Qu’on pourrait, devrait, donner à la vie.

 .

.

Une femme multitâche !

.

Scénario

 .

Sacrifier heures de loisirs pour son travail, entreprise, communauté.

Le travail c’est la santé : ne rien faire c’est la conserver, dit chanson !

L’égalité homme-femme, celle des travaux manuels pas que services. 

 .

.Visuels et textuels  >>

1050 – Qu’importe qui l’on est ou ce que l’on fait !

Visuels et textuels >>

.

Qu’importe ceci, cela :

Essentiel est avant tout

De savoir  …  qui on est

Ce qu’on fait, et le reste,

Ça vaut, ou  rien du tout.

Ce qui fait  notre identité,

C’est notre fidèle mémoire,

C’est notre familiale histoire,

Dont on ne peut se débarrasser

Sans aussitôt se dépersonnaliser.

.

Qu’importe qui l’on est,

Qu’importe ce que l’on fait,

L’essentiel est d’être heureux,

Dès lors que la vie n’est que jeu.

Par les siens, sa société, le monde,

Un acte est jugé digne ou immonde,

Mais à la fin de vie, dernière seconde,

On efface tout et personne qui réponde

En termes de, honte, mépris, culpabilité.

Il n’y a que la mémoire qui peut entacher

La vie des enfants, ou, celle des  familiers.

On appartient à, sa famille, communauté,

Qu’importe qui on est, ou, ce que l’on fait,

A moins de, faire cavalier seul,  les renier.

J’ai le sentiment d’engager  plus que moi,

En tout ce que suis en tout ce que je fais,

Je peux être n’importe qui, en faux nom,

Et alors, je ne suis plus moi, qui suis-je !

Votre vie qui donne, comme un vertige,

À ne rien assumer, en tout se cacher.

C’est en fait question  de tolérance,

Membre n’est que représentant

De la famille mais pas entière

Aujourd’hui, demain et hier !

Qu’importe ce qu’on fait,

Qu’importe qui l’on est :

À une seule condition,

Celle d’en être fier.

.

On croit parfois on engage que soi

Lors on décide de se loger, se marier

Et on laisse nombre d’autres, de côté,

Prenant de la distance, temporalité,

À reconfigurer réseaux d’amitiés.

.

.

Extensions

 .

Qu’importe qui l’on est et ce que l’on fait :

C’est vrai et c’est faux, vrai, si l’on s’en fout

Et qu’on poursuit son chemin, seul, en dépit

Des obstacles et en se projetant loin devant.

C’est faux si l’on tient beaucoup à être utile

Et reconnu, intégré, totalement, dans une

Société qui avance sans voir  lendemain.

Le regard et le jugement des autres

Sur soi-même est un véritable

Baromètre de son niveau de

Socialisation et de moralisation.

Les rumeurs fondées in infondées,

Sont largement plus désastreuses que

Les faits eux-mêmes qui, bien que démentis,

Chacun  sait que l’on retient l’accusation face

À la relaxe ou au classement sans suite :

Injuste, certes, c’est comme ça !

.

Être, faire : qui on est, qu’est-ce qu’on fait, comment, pourquoi

Autant de questions et qui nous taraudent, de temps en temps.

Il faut bien être quelqu’un et bien faire quelque chose de sa vie

Et faire ce que l’on désire est aussi important que de s’intégrer

Dans  une  communauté, une activité, une société, mondialité :

L’adéquation entre soi et le monde dépend de son adaptabilité

Comme la société est constituée de majorité de gens  inconnus

La célébrité ne sera pas un gage de réussite  ni même d’utilité.

Etre efficient en  réseau, là où il faut, est notre nouveau credo.

.

On connait beaucoup mieux ce qu’on fait

Que qui on est : miroir, mon beau miroir

C’est l’entourage qui définit notre image,

Et pas toujours exacte, à notre avantage.

.

De là, à dire qu’on est que ce que l’on fait

Et cela au moins, chacun peut le vérifier,

Est des plus trompeur, sinon  réducteur :

On peut être passionné de… plus du tout.

.

L’identité serait un puzzle  ou mosaïque,

Résumant notre parcours, notre histoire,

Parfois, nous-même ayons peine à croire,

Tellement nous aurons, souvent … évolué.

.

.

Épilogue

 .

Ce que l’on est, ce que l’on fait,

Détermine part de notre identité

Entre notre personnalité et société,

Dressant, pour autres, notre portrait.

***

Alors de dire, qu’importe,  ferait-il sens :

N‘est-ce pas un contresens, voire non-sens

À vrai dire, non : le Monde est vaste, varié :

Chacun occupe une place utile, ou attribuée.

***

L’essentiel n’est pas d’être ceci plutôt que cela :

Essentiel est d’être heureux, qui qu’on soit, fasse,

Y a pas de sot métier, pas plus que de sottes gens :

On peut être heureux de rien, malheureux avec tout.

***

L’on peut affirmer qu’on est que produit de son milieu,

C’est en grande partie crédible mais exceptions existent,

C’est dû pour partie  à sa motivation ; partie, opportunité

La chance passe parfois, on ne la saisit, on nous l’interdit !

***

Si on s’interroge sur l’avenir,  on le fait autant sur son passé,

Si on ne définit pas une trajectoire qu’on ne va jusqu’au bout.

Il n’y aura pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va :

De dire qu’on a réussi mais qu’on est là par hasard, on croit pas.

.

.

1050 – Calligramme

 .

QU’IMPORTE

Qu’importe ceci, cela :

Essentiel est avant tout

De savoir  …  qui on est

Ce qu’on fait, et le reste,

Ça vaut, ou  rien du tout.

Ce qui fait  notre identité,

C’est notre fidèle mémoire,

C’est notre familiale histoire,

Dont on ne peut se débarrasser

Sans aussitôt se dépersonnaliser.

QUI ON EST

Qu’importe qui l’on est,

Qu’importe ce que l’on fait,

L’essentiel est d’être heureux,

Dès lors que la vie n’est que jeu.

Par les siens, sa société, le monde,

Un acte est jugé digne ou immonde,

Mais à la fin de vie, dernière seconde,

On efface tout et personne qui réponde

En termes de, honte, mépris, culpabilité.

Il n’y a que la mémoire qui peut entacher

La vie des enfants, ou, celle des  familiers.

On appartient à, sa famille, communauté,

Qu’importe qui on est, ou, ce que l’on fait,

A moins de, faire cavalier seul,  les renier.

J’ai le sentiment d’engager  plus que moi,

En tout ce que suis en tout ce que je fais,

Je peux être n’importe qui, en faux nom,

Et alors, je ne suis plus moi, qui suis-je !

Votre vie qui donne, comme un vertige,

À ne rien assumer,    en tout se cacher.

C’est en fait ques     tion  de tolérance,

Membre n’est          que représentant

De la famille           mais pas entière

Aujourd’hui          demain et hier !

Qu’importe               ce qu’on fait,

Qu’importe             qui l’on est :

À une seule              condition,

Celle d’en                  être fier.

ET CE QU’ON FAIT !  

On croit parfois on engage que soi

Lors on décide de se loger, se marier

Et on laisse nombre d’autres, de côté,

Prenant de la distance, temporalité,

À reconfigurer réseaux d’amitiés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1050 4

.

Une  identité  de  roman,

Inventé par quel qu’auteur

Pour le moins  énigmatique,

Pour le moins interrogatif ?  

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Il est vrai : identité interrogative

on a  pratiquement aucun  indice,

ça peut être : vous ou moi ou autre,

si fait  que la forme adresse le fond !

 .

Identité : le sait-on soi-même,

 Ou ce ne seraient que… les autres.

Un peu les deux, oui mais, jamais

 Complètement : on s’interroge ?

.

Symbolique 

.

L’identité de l’individu 

est,  en psychologie sociale,

Reconnaissance de ce qu’il est,

Par lui-même ou par les autres.

.

Notion d’identité est au croisement

De la sociologie  et  la psychologie,

Mais intéresse, aussi, la biologie,

La philosophie et la géographie.

.

En psychanalyse cette notion

Se retrouve dans le moi et

Dans  l’identification,

En philosophie elle

Se retrouvera dans

L’identité personnelle.

Wikipédia : identite

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

1050 6

.

Qui on est : le sait-on soi-même,

 Ou ce ne seraient que les  autres.

Un peu les deux oui mais, jamais

 Complètement : on s’interroge ?

.

Symbolique 

.

Interroger:   questionner,

Sonder,    fouiller,    scruter,

Tester, inspecter ,  examiner,

Comparer, délibérer, évaluer,

Collationner,          approfondir,

Consulter,    discuter,     surveiller,

Sonder,     questionner,      consulter.

S’interroger : s’informer,  se renseigner,

S’enquérir, se demander, se tâter, atermoyer,

Se documenter,  enquêter,  déterminer, procéder

À un interrogatoire, soumettre à un interrogatoire.

Source : Dictionnaire Français Synonyme

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Dans la vie, on ne fait que s’interroger

Sur qui on est, on  était, on deviendra,

Sur ce que l’on veut,  l’on ne veut pas :

C’est notre moindre qualité : curiosité

Et jusqu’au dernier souffle, continuer,

Cette recherche ne peut être terminée.

.

Alors qu’en réalité, on est ce qu’on est,

rien de plus, rien de moins, en devenir

entourage, relations, donnent identité

à laquelle, on adhèrera plus ou moins

en se surestimant ou en sous-estimant

jusqu’à ce qu’on se dise : qu’importe !

 .

.

Qu’on soit président, manant

.

Scénario

.

Tout le monde ne peut être connu, et ce d’une façon ou d’autre :

par multitude de jobs bien que différents et tous élémentaires :

le mien, je l’ai choisi, même si je ne le perçois qu’alimentaire !

 .

Visuels et textuels >>

1030 – Le temps consacré aux tâches domestiques

Visuels et textuels  >>

.

Les tâches domestiques

Constitueraient une occupation

De deux jours  et demi, par semaine

Soit un tiers selon calcul, selon l’Insee.

Il s’agit d’une activité,  en forte majorité

Non rémunérée, comprenant dix catégories,

Qui sont réparties pour une  semaine entière :

.

Gérer le ménage,  jardiner …  faire la vaisselle,

Faire la lessive, et le repassage, bricoler, autre,

Faire les courses et puis, s’occuper des enfants,

Faire le ménage, pour finir, pour tous  cuisiner.

.

Au total, cela fait plus de … trois heures par jour,

Consacrées entièrement aux tâches  domestiques.

Si l’on est célibataire, ou, en couple, sans enfants,

Avec deux enfants, ce temps variera, évidemment

Mais il sera réalisé au deux tiers par des femmes,

Célibataire y consacre entre douze, vingt heures

Par semaine, un couple, avec enfants : double !

.

En supposant que l’on soit rémunéré  au Smic :

Cela représenterait près 292 milliards d’euros

Soit  15%  de  notre  Produit Intérieur Brut,

Équivalent  en valeur, en richesse générée

Par toute une industrie manufacturière

On comprend pourquoi les entreprises

De services à la personne prospèrent.

.

Que faut-il,  en déduire,   conclure :

Méfions-nous    des chiffres bruts,

Sans leurs conditions  de recueils,

Ni d’analyses mais tout de même :

Que fabriquer des objets vendables,

Ou satisfaire des tâches domestiques

Soit équivalent, ça vous laisse pantois !

.

.

Extensions

 .

En  statistiques, on ne tient pas compte

Des maniaques, obsessionnels de la propreté,

De ceux, celles qui utilisent les tâches domestiques

Comme seuls faire-valoir, du bricolage, jardinage,

Générateurs de plaisirs voire de passions.

.

On fait ses courses, rencontre des amis,

Collègues, voisins, avec qui l’on discute !

Pour ma part, bricolage vient en premier,

Faire le ménage en second, les courses après,

Cuisiner après et j’aime bien jardiner pour finir.

Je suis bien plus proche des temps d’un célibataire

Que d’une famille avec quatre enfants partis du nid.

.

Je ne suis pas  dans une moyenne ni dans catégorie,

Dispose de temps libre  pour ce qui me tient à cœur,

Prenant plaisir à satisfaire aux tâches domestiques,

Ce n’est pas une corvée. Faire du feu dans le poêle

De la cheminée et l’entretenir toute la journée,

Me prend, par exemple, une heure par jour,

En hiver  mais ne me pèsera  nullement,

De même que cuisiner  me fait plaisir

Si l’on a plusieurs invités… à diner,

Je n’ai donc pas à m’en plaindre

Et d’ailleurs ne m’en plains pas.

.

L’entretien d’une maison de famille de quatre, est important

Si l’on cumule : le ménage les courses, la cuisine, la vaisselle,

Le lavage, le repassage, le rangement  et que sais-je  encore :

Certaines tâches sont quotidiennes, d’autres hebdomadaires

Il y a des familles, mère au foyer, qui prend  tout en charge,

Et d’autres ou l’on partage les tâches et avec un roulement,

Après, c’est question d’organisation, d’exigence, d’équité !

.

Le temps dépensé aux tâches domestiques,

Reste très différent d’une famille à l’autre,

Tout dépend  de la surface,  la fréquence,

L’exigence de propreté parfaite, ou non.

.

On pourra y prendre, sinon du plaisir,

Un fort sentiment, d’utilité, de santé,

Y a rien qui traine, pas un microbe :

Les toiles d’araignées sont aspirées.

.

L’on a beau faire : tapis, chaussons

Poussière finit toujours par rentrer,

Y compris en  une maison inoccupée,

À en croire, c’est génération spontanée.

.

.

1030 – Calligramme

.

Les tâches domestiques    T   …..……………

Constituent un travail ……… E …..…………..…….

De deux jours et demi            M        par semaine

Soit un tiers selon calcul          P          selon l’Insee.

Il s’agit d’une activité en           S         forte majorité

Non rémunérée, comprenant      *         dix catégories,

Qui sont réparties pour une         D      semaine entière,

Gérer le ménage, jardiner,             O      faire la vaisselle,

Faire la lessive, et le repassage,       M      bricoler, autre,

Faire les courses et puis, s’occuper    E           des enfants,

Faire le ménage, pour finir, pour tous  S              cuisiner.

Au total, ça fait plus de trois heures      T             par jour,

Consacrées entièrement aux tâches       I     domestiques.

Si l’on est célibataire, ou, en couple,     Q    sans enfants,

Avec deux enfants, ce temps variera,   U    évidemment

Mais il sera réalisé au deux tiers par  E   des femmes.

Célibataire y consacre entre douze,   S  vingt heures

Par semaine,  un couple, avec enfants : le double !

.

En supposant que l’on soit rémunéré  au Smic :

Cela représenterait près 292 milliards d’euros

Soit  15%  de  notre  Produit Intérieur Brut,

Équivalent  en valeur, en richesse générée

Par toute une industrie manufacturière

On comprend pourquoi les entreprises

De services à la personne prospèrent.

.

Que faut-il,  en déduire,   conclure :

Méfions-nous    des chiffres bruts,

Sans leurs conditions  de recueils,

Ni d’analyses mais tout de même :

Que fabriquer des objets vendables,

Ou satisfaire des tâches domestiques

Soit équivalent, ça vous laisse pantois !

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.1030 4

Un vase, une chope

Gant de protection 

Pour la cuisine chaude

Ou gant de ménage.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Que ce soit bricolage, cuisine, ménage

un gant sera toujours utile, bienvenu,

il y en a de toutes sortes, ici, moufle

si fait que la forme rejoint le fond.

.

Gant protection  thermique est un

Symbole de ménage et  de cuisine :

Pour la lessive, la vaisselle, le sol.

Sans  parler gants de mode.

 .

Symbolique

 .

Se protéger du froid ou,

À l’inverse,   de la chaleur

Et des brûlures est nécessité

Exigée  par leur métier   pour

De    nombreux   professionnels.

.

Ceux  qui travaillent en extérieur,

En milieu réfrigéré, ceux également

Susceptibles de manipuler des objets

Et des outils  ou aliments très chauds.

.

Dans toutes ces situations du quotidien

Les mains sont fragilisées par ces

Conditions parfois très extrêmes.

.

Et lors les gants de protection

Sont des équipements de protection

Individuelle répondant aux normes.

protection-des-mains.com/

gants-thermiques-chaleur-froid

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1030 6

.

Gant protection  thermique est un

Symbole de ménage et  de cuisine :

Pour la lessive, la vaisselle, le sol.

Sans  parler gants de mode.

 .

Symbolique 

 .

 Gant de mode, accessoire

Voire un équipement de sport

Si ce n’est un élément de protection,

Un élément d’hygiène recouvrant la main.

Utilisé pour se protéger notamment du froid,

Ou encore pour le prestige (luxe, cérémonies).

L’histoire des gants remonterait à l’antiquité.

Dans l’odyssée  d’Homère, Laerte  est décrit

Marchant, dans son jardin, avec des gants

Pour se prémunir contre mûres sauvages.

Wikipédia : gant

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Je relève le gant  ne signifie pas souvent

Qu’il est tombé par terre et je le ramasse :

Bien plus,  je relève le défi que tu me tends 

Ceci dit, il y aura les gants  de chirurgiens,

De mode, fantaisie, jardin, sport, vélo etc.

.

Quand on dit encore qu’une chose me va,

Comme un gant,  c’est qu’elle est bonne,

Doigts étant le plus difficile à couvrir.

Franchement,  pour  vous  le  dire,

J’ai pris des gants, enfin tenter.

 .

.

Matériel ne manque : les bras !

.

Scénario

.

Pour faire les lits, les chambres le ménage poussière tout entier,

sans compter  laver tous les sols, nettoyer les parquets et meubles,

la vaisselle, linge, rangement, y a de quoi s’occuper un bon moment. 

 .

Visuels et textuels  >>