900 – Nous avons tous énergie à dépenser

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Énergie pour

Énergie contre,

Et  l’homéostasie,

Ne dépensant rien.

Un peu quand même

Dépenses conséquentes

Courant,  ou  combattant,

Mais dépenses plus faibles,

Pensant,  écrivant,  parlant !

 .

Un conflit est  consommateur

D’énergie, face stress, produit,

Fonction  de son affrontement,

Ou, fonction de ses résolutions.

Débauche d’énergie, pour rien,

Contre économie pour le bien,

Le bénévolat est  une énergie,

Mentale, sociale et gratuite !

 .

Énergie    à    dépenser,

Mais   on ne la dépense

Que parce qu’on le veut

Bien et pour ce que l’on

Voit bien  et, comme on

Le vaut bien, et, il  n’y a

Que l’enfant … qui le fait

De manière …   gratuite !

 .

Il y a l’énergie  …dépensée

Etant vécue comme positive

Et l’énergie dépensée contre,

Qui est perçue comme négatif.

 .

Problème : si l’énergie  négative

De l’un vécue positive par l’autre,

Les débats amorceront les combats

Qui seront consommateur d’énergie !

 .

Vrai, certains préfèrent l’affrontement

À toute discussion  mais c’est leur droit,

Lors autres disent  ne pas avoir  le choix :

Au final, c’est l’efficacité  seule  qui compte.

 .

Le conflit  n’est pas en cause  en ce processus,

Il est normal, il est même sain, c’est  son origine

Et la manière de le traiter qui peuvent donner lieu

A des dérives, pouvant aller jusqu’à l’affrontement !

 .

L’affrontement génère souvent  une énergie négative

Et elle aboutit toujours à se poser la même question :

Et comment donc avons-nous fait   pour  en arriver là.

N’y avait-il donc, nulle part, ailleurs, d’autres solutions

Pour arriver à concocter, amender, un bel accord final.

 .

La dépense, ou la débauche d’énergie, pour un résultat

Ne se mesurent qu’à l’aune  des bénéfices escomptés !

Il n’y aura que le bénévolat qui échappe à cette règle :

Bénéfice est moral, social, non pratique, économique

Je me dépense, sans compter, mais pour une cause

Que j’estime noble, solidaire, ou … que sais-je !

.

Extensions 

 .

Indépendamment d’énergie externe, nous avons la nôtre, bonne,

L’enfant la dépense en pure perte, mais le vieillard, en économe.

Et notre énergie humaine n’est pas liée qu’au travail, à l’argent

Elle est, tout autant, liée à notre motivation et à notre temps.

Car, si on enlevait le bénévolat, notre société s’effondrerait

Faute de lien et tissu social, interstitiel  mais essentiel !

 .

Tout, dans la vie est affaire d’énergie à trouver,

Et ensuite  à dépenser, à penser, à compenser,

Certains la dépenseront  pour une seule chose,

D’autres se disperserons à travers mille et une.

 .

Fortuitement, la nature humaine étant bien faite,

Nous pouvons, parfois, en puiser dans nos réserves

Lors elles seront épuisées, notre corps en fabriquera

Quelle merveilleuse machine qui … s’auto alimentera.

.

Et puis, génétiquement, ajouté à l’exercice, et le moral,

Nous ne sommes pas égaux pour dépenser notre énergie

Regardez ces exploits des sportifs, en course, longue durée,

Allant jusqu’au bout de leurs forces, si ce n’est même au-delà.

.

Fragments

.

Notre énergie à dépenser qui demeure en nous

Vient de l’aimantation, digestion, oxygénation,

Quotidienne et fonction sommeil récupérateur,

Nous consommons entre 1200 et 1500 calories

.

Moyenne qui peut varier de 200 à 300 kcal,

Selon âge, poids, taille et activité physique !

En dessous d’un seuil, une fatigue excessive

Apparait tout comme une «hypoglycémie».

.

Et parfois, il peut être demandé de puiser

Dans ses réserves pour terminer sa rando

Ou tout autre sport, et  surtout extrême,

Dépense  est alors  volontaire, assumée.

.

Dans d’autres cas, il s’agira de survie,

On n’a pas d’autres choix, alternative

Que de puiser en réserves biologique

En cas de jeune prolongé, ça suffit !

.

L’énergie est dite nature explosive

Pour un cent mètres,  en  vitesse,

Marathonienne dite  anaérobie :

Les deux s’opposent totalement.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Énergie pour

Énergie contre,

Et  l’homéostasie,

Ne dépensant rien.

Un peu quand même

Dépenses conséquentes

Courant,  ou  combattant,

Mais dépenses plus faibles,

Pensant,  écrivant,  parlant !

Un conflit est  consommateur

D’énergie, face stress, produit,

Fonction  de son affrontement,

Ou, fonction de ses résolutions.

Débauche d’énergie, pour rien,

Contre économie pour le bien,

Le bénévolat est  une énergie,

Mentale, sociale et gratuite !

NOUS AVONS

Énergie    à    dépenser,

Mais   on ne la dépense

Que parce qu’on le veut

Bien et pour ce que l’on

Voit bien  et, comme on

Le vaut bien, et, il  n’y a

Que l’enfant … qui le fait

De manière …   gratuite !

TOUS DE

Il y a l’énergie  …dépensée

Etant vécue comme positive

Et l’énergie dépensée contre,

Qui est perçue comme négatif.

Problème : si l’énergie  négative

De l’un vécue positive par l’autre,

Les débats amorceront les combats

Qui seront consommateur d’énergie !

L’ÉNERGIE

Vrai, certains préfèrent l’affrontement

À toute discussion  mais c’est leur droit,

Lors autres disent  ne pas avoir  le choix :

Au final, c’est l’efficacité  seule  qui compte.

Le conflit  n’est pas en cause  en ce processus,

Il est normal, il est même sain, c’est  son origine

Et la manière de le traiter qui peuvent donner lieu

A des dérives, pouvant aller jusqu’à l’affrontement !

À DÉPENSER

L’affrontement génère souvent  une énergie négative

Et elle aboutit toujours à se poser la même question :

Et comment donc avons-nous fait   pour  en arriver là.

N’y avait-il donc, nulle part, ailleurs, d’autres solutions

Pour arriver à concocter, amender, un bel accord final.

La dépense, ou la débauche d’énergie, pour un résultat

Ne se mesurent qu’à l’aune  des bénéfices escomptés !

Il n’y aura que le bénévolat qui échappe à cette règle :

Bénéfice est moral, social, non pratique, économique

Je me dépense, sans compter, mais pour une cause

Que j’estime noble, solidaire, ou … que sais-je !

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Ça peut être une bouée marine

Aussi bien qu’un flacon de parfum

Ou une source, réservoir d’énergie

Qui nous procure de beaux élans !

.

900 4

.

Notre énergie demeure stockée

 Dans l’ensemble de notre corps,

Elle est comme flacon réserve

Disponible et à renouveler !

 .

Symbolique

 .

Flacon

 Représente

Une   partie

Essentielle

D’un parfum.

Or, même s’il s’est

Beaucoup démocratisé 

Ces   dernières décennies,

Le parfum est produit de luxe.

Sa bouteille doit être à son image.

Chaque détail des flacons serait ainsi

Travaillé avec une   … extrême minutie.

Tant en matière de flaconnage, rien n’est

Laissé au hasard : c’est ainsi que naissent

Parfois de véritables …..  oeuvres d’art.

tendance-parfums.com/parfum-femme

 .

.

Fond

.

Évocation

.

 900 6

.

Notre énergie reste stockée

 Dans l’ensemble de notre corps

Elle est comme flacon réserve

Disponible et à renouveler !

 .

Symbolique 

 .

L’être

Humain trouve

L’énergie pour vivre

Dans leurs nourritures ;

Nos aliments sont  comme

Notre  carburant !

   Cette énergie se répartit en corps,

      Et notamment dans nos muscles.

        Pendant  longtemps, l’Humanité

           S’est développée à la seule force

            Des muscles: ceux des femmes,

               Des hommes, et des animaux.

             Énergie servant se déplacer,

            Ou à transporte  des choses,

         À fabriquer et transformer

       Des objets et  à manipuler

    Des  outils, et, à  nombre

D’autres choses encore.

  explorateurs-energie.com

 .

.

Fond/forme 

 .

Nous ne sommes pas égaux en matière de provisions

Consommation, conservation, économie d’énergie,

Certains en ont besoin de beaucoup pour faire peu,

Autres ses contente de peu pour en faire beaucoup

Astronautes, en apesanteur, consomme minimum

Adolescents, en pleine croissance, un maximum

Le tout est de savoir la réguler fonction besoin.

.

’énergie en général dont on dispose en sa vie

Est souvent couplé à une bougie,  temps à sablier

Mais ici c’est au contenu d’un flacon qui diminue

Tant et si bien qu’elle rimera de manière mixte

Avec son lot de contraintes et quelques libertés

On ne peut réduire son énergie à une quantité

Ce serait faire fi énergie mentale, spirituelle.

.

Textuels et illustrations  >>

899 – Qui dépense l’énergie en pure perte ?

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Énergie

En humain

Chacun  le sait,

Elle se renouvelle

Sans cesse mais il y a

Manières de la stocker,

Manières de la dépenser,

Manières de la restaurer !

Mais si l’enfant la gaspille,

Pire, un vieux la grappille.

.

Qui dépense son énergie en pure perte :

Les enfants d’abord, les enfants, d’accord.

En ce domaine,  ils  établissent vrai record,

Remuant toujours et sans  cesse, en  alerte.

.

Il  leur arrive, toutefois, de  se  concentrer,

Un temps donné,  pour l’énergie consacrée

À ce qu’ils font, que ce soit jeu,  ou,  leçon,

Et c’est le commencent de leurs attentions.

.

Les ados, leurs études  les épuisent, à demi,

Mais ont encore de l’énergie pour twitter,

Ou se lancer, de nuit  dans  un jeu vidéo

Qui les ferait dormir  au lieu d’écouter.

 .

Les adultes, énergie souvent canalisée,

Vers un but, une action,  une utilité,

Mille et une choses à entreprendre,

Autant à finir avant de reprendre.

.

Un repos mérité pour  recharger

Batterie vide de trop en abuser,

Mais, pour autant  ambitieux

Pas de projet trop prodigieux

Notre énergie puits sans fond

À renouveler  comme source

Nous échappe alors  bourse,

Qu’on remplit : vide abscons.

.

Vaut-il mieux  avoir  consacré

Son temps,  labeur     énergie :

Faire mille    choses,   en sa vie,

Ou deux ou trois, bien choisies.

.

Personne ne pourra y répondre,

Chacun, aux siennes,  s’y résout,

Affaire de temps  affaire de sous,

À soi, elles  doivent  correspondre.

.

Mon énergie ou ce qu’il  m’en  reste,

Je peux la dépenser à n’importe quoi,

De toute façon, cela  ne fera pas de moi

Ni un dieu, un  roi, me gardera modeste.

.

Extensions 

 .

De l’énergie, on en a plus qu’on ne le croit :

Tant motivation choisir, réussir,

De guérir, de servir, nous habite, et gouverne.

Il est vrai quand le succès se dérobe,

Face à la débauche intense ou longue d’énergie,

La déception entraine un arrêt brutal,

Et,  parfois,  total,  d’investissement   personnel.

Rare sont les enfants qui persistent après

Une série d’échecs scolaires, et, rares aussi, sont

Les hommes qui se relèvent d’une défaite

De carrière voire d’un mandat d’élu, bien raté.

Les échecs  amoureux  consomment bien

Plus d’énergies que leurs réussites, à moins

D’en faire des dénis de réalité, ses dires

Que ce n’était pas quelqu’un quelqu’une

Pour soi, sans se remettre en cause.

.

Une bombe, pensez donc : ce concentré d’énergie brute, explosive

On en a tous envie, on en a tous besoin pour entrer en lévitation

En défiant les lois de la physique, notamment de la gravitation

Reculer nos limites en matière d’exploration confins extrêmes

Comme si  c’était  une solution future  à tous nos  problèmes !

.

Énergie physique, intellectuelle, spirituelle

Il n’y a pas que notre corps qui en consomme

Notre cerveau en prend, pour sa part, la moitié,

D’autant qu’il poursuit son travail en plein sommeil.

.

Les enfants demeurent les champions, toutes catégories,

De consommation d’énergie en pure perte tant ils bougent

Et bougent et bougent, sans cesse, et en toutes occasions,

Au point parfois de ne plus pouvoir fixer son attention !

.

En vieillissant, on s’économise, l’énergie est moindre,

En plus, elle se renouvelle beaucoup plus lentement :

Combien de mouvements, de déplacements inutiles,

Sont évités, voire proscrits, en vue de rester en vie.

.

Fragments

.

Qui dépense son énergie en pure perte,

Les enfants, petits, d’abord,  d’accord,

Mais pas que : bien des sportifs, aussi,

Sans parler ceux qui en feront de trop.

.

Qui dépense son énergie, à l’économie :

Les gens d’un certain âge, d’âge certain.

Ils se déplacent  comme des escargots :

Un pas de plus mais pas un … de trop.

.

Qu’est-ce qui contient le plus d’énergie :

Une fusée, une bombe … tout explosif,

Qui en une seconde l’aura fait éclater,

L’obstacle qui renâcle, s’avère, de trop.

.

L’amour serait un cas, tout à fait, à part,

Bien que certains parlent de bombe sexuelle.

L’énergie, il est vrai, en acte, ne fait pas défaut,

Sa passion amoureuse n’en requiert jamais de trop.

.

Ce qui est vrai de l’amour l’est de la passion

En général  et cela quelle  qu’elle soit et dure :

Il faut de  l’énergie pour créer, pour  être original,

Pour un résultat final décevant : parfois, c’est trop !

 .

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Énergie

En humain

Chacun   le sait,

Elle se    renouvelle

Sans cesse     mais il y a

Manières   de   la     stocker,

Manières de la        … dépenser,

Manières de la …       … restaurer !

Mais si l’enfant ……       …. la gaspille,

Pire, un vieux …….…      ….. la grappille.

Qui dépense   son énergie     en pure perte

Les enfants, d’abord,   les enfants, d’accord.

En ce domaine,    ils  établissent  vrai  record

Remuant,  toujours,  et,  sans  cesse, en  alerte.

.

Il leur arrive, toutefois       *      de  se concentrer,

Un temps donné, pour       *      l’énergie consacrée

À ce qu’ils font, que ce      Q         soit jeu, ou, leçon,

Et c’est le commencent     U        de leurs attentions.

Les ados, leurs études      I       les épuisent, à demi,

Mais ont encore de l’       *      énergie pour twitter,

Ou se lancer, de nuit     D           dans un jeu vidéo

Qui les ferait dormir    É            au lieu d’écouter.

Les adultes, énergie    P          souvent canalisée,

Vers un but, une        E         action, une utilité,

Mille et une cho       N        ses,  entreprendre,

Et autant à finir      S         avant  reprendre.

Un repos mérité    E          pour  recharger

Batterie vide de    *          trop en abuser,

Mais, pour au     *       tant  ambitieux

Pas de projets    *     trop prodigieux

Notre énergie    *     puits sans fond

À renouveler      *      comme source

Nous échappe    *       alors  bourse,

Qu’on emplit     *        vide abscons.

Vaut-il mieux S  avoir E   consacré

Son temps,   O labeur  N    énergie,

Faire mille   N  choses,  *   en sa vie,

Ou deux ou  *     trois    P     choisies.

Personne ne E   peut y  U    répondre,

Chacun aux  N   sienne   R    s’y résout,

Affaire de     E     temps  E   ou  de sous,

À soi, elles    R    doivent  * correspondre.

Mon énergie  G  ou ce qu’  P   il  m’en  reste,

Je peux la dé   I   penser à   E  n’importe quoi,

De toute façon,  E   cela  ne    R     fera pas de moi

Ni un dieu, un     *   roi, me      T   gardera modeste.

                   E

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ça pourrait être une fusée

Je pencherais pour une bombe

On ne sait si nucléaire ou classique

Mais qui provoquera de gros dégâts ?

.

899 4

.

Bombe contient un maximum d’énergie 

Comme enfant hyperactif

Elle est censée faire le maximum de dégâts,

Parfois, inutilement !

 .

Symbolique

 .

Une

 Bombe 

Est un engin 

Explosif consistant

Habituellement en contenant

Empli de matériel explosif ayant

Pour but de causer une destruction

Lorsque celle-ci elle est déclenchée.

À partir du xxe siècle, le mot est

Surtout utilisé pour désigner

Des  engins  explosifs

Lancés d’avion 

En bombardements

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

899 6

.

 

Une bombe est un engin explosif

Consistant habituellement en contenant

Empli de matériel explosif ayant pour but de

Causer une destruction lorsque déclenchée.

 .

À partir du xxe siècle, le mot est surtout

Utilisé pour désigner engins explosifs

Lancés d’avion en bombardements

      Modifié, source : Wikipédia

 .

 Symbolique 

 .

On parle plutôt de bombe sexuelle

Que  de  concentré  explosif  d’énergie ;

Mais on sait que l’on           disposerait tous,

D’une réserve au cas                 où on en peut plus

Qu’on a un détonateur                qui  nous  la  fournit

Au  bon  moment lors                    il faudra   se dépasser

Demandez-leur    aux                      sportifs  ce qu’il en est.

Une bombe, c’est fort                         comme image d’énergie

Lors explosif sur com                         mande,  ou par accident,

L’enfant rime avec dé                          bauche gratuite d’énergie

Le vieillard  rime, lui,                           avec  économie   d’énergie

Le premier se rechar                             gerait en un rien de temps

Le second  aura plus                               besoin temps récupération

Mais aucun ne se dira                            avoir une  forme de bombe

 .

.

Fond/forme 

 .

On parle plutôt de bombe sexuelle

Que de concentré explosif d’énergie ;

Mais on sait que l’on disposerait tous,

D’une réserve au cas où on en peut plus

Qu’on a un détonateur qui nous la fournit

Au bon moment lors il faudra se dépasser,

Demandez-leur aux sportifs ce qu’il en est !

.

Une bombe, c’est fort comme image d’énergie

Lors explosif sur commande,  ou par accident,

L’enfant rime avec débauche gratuite d’énergie

Le vieillard rime, lui, avec économie d’énergie

Le premier se recharge en un rien de temps

Le second a plus besoin de récupération,

Aucun ne se dira être forme de bombe

.

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898 – On naît, on vit, on meurt : seul, isolé

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

 .

Terrible

Constatation,

Que cette conclusion,

Que l’on aimerait  fausse,

Tellement lourde…à porter.

C’est pas vrai, sommes deux,

En couple, et trois, en famille,

Et la parenté

 Four-mi-lle,

D’être seul,

Pas l’enjeu.

.

Tout cela parce que être fusionnel,

N’est pas possible demeurons frustré

Par notre incomplétude, notre solitude,

Et, bien plus encore par notre finitude.

.

Seul, l’on nait, l’on vit, l’on meurt isolé,

Même si l’on nait et meurt, bien entouré,

On est bien  accueilli, on est bien regretté,

Notre esprit, en corps mortel  est incarné.

.

Vrai, qu’à deux, cela ira bien mieux,

Moi  et  maman, ou papa, frère, sœur,

Autant de dyades, comblant bonheurs

Où les liens sont très  forts et délicieux.

.

En couple, en union, on se complait,

Puis  premier enfant qui nait, parait,

À trois, l’on n’a plus de temps pour soi

Mais on s’arrange pour être seul parfois.

.

En famille c’est autant la foire d’empoigne

Chacun critique chacun, tous en témoignent

On n’est pas seul mais dur de communiquer

Ce que l’on est vraiment sans se démarquer

.

Au travail, des collègues  vous   tiendront  compagnie,

Y compris  en  soirée, et, parfois, bien plus, si affinités,

Des couples se feront, puis, se défont, bon gré, mal gré,

Il faut mettre  son impression  de vivre, isolé, de côté !

.

Les communautés  se diversifient : clubs, associations,

Qui pratiquent la même passion et comme à l’unisson.

Lors cela vous  donne  l’illusion que l’on vous apprécie

Mais, quand, vous vous quitterez : au revoir et merci !

.

Les retraités  déambulent, finissent  comme électrons,

Ils recherchent à quels jeux de groupes, se raccrocher,

Il faut plaire, il faut distraire, sinon vous serez rejetés,

Comme dans la cour d’école : «haro» sur les poltrons.

.

Les chômeurs font la queue à la porte de Pôle Emploi

Qui s’écroule sous les nombre et la charge et le poids

Bientôt travail devient, non, droit mais récompense,

Et, ce temps  n’est pas si loin, que l’on ne le pense.

.

Huit situations n’épuisent pas toutes rencontres,

 On peut les vivre l’une après l’autre ou contre.

.

Extensions 

 .

Être seul, toute sa vie, quel programme, y a de quoi se suicider.

Certains se proposeront même de vous y conduire, de vous aider.

Ce n’est pas mon intention, ni mon propos, tant le monde est beau

Il mérite qu’on l’explore, l’admire, l’enchante et même s’y attache :

On n’est pas seul dans le Monde, dans la nature : qu’avec soi-même

Il est vrai qu’on nait seul, qu’on meurt seul : personne à notre place

Mais entre les deux, il y a tant à faire, tant à découvrir, tant à aimer

Qu’on n’aura pas assez d’une vie, pour y parvenir, et, jusqu’à satiété,

Alors d’être pessimiste en tous points ne nous mènera jamais à rien.

.

On a l’impression d’être entouré toute sa vie

Pourtant un sentiment de solitude nous envahit

Personne ne nait, ne vit, ne meurt, à notre place,

Nous ne sommes pas seuls en famille et pourtant :

.

On apparait, on se plait, on se complait, on se distrait

Et en vieillissant, en se courbant, en se tassant vers sol,

Et peu à peu on disparait, transparait comme fantôme,

Les cimetières sont remplis de gens seuls, isolés, oubliés.

.

Il est vrai que dans un vieux couple, le premier qui meurt

Laisse l’autre seul, face à lui-même, parfois définitivement

Il n’est de pire solitude que celle du deuil, de la disparition

Certains vont jusqu’à dire qu’ils aimeraient ne pas être né.

.

Fragments

.

On nait, on vit, on meurt seul, isolé

Attendez, c’est triste … à en pleurer !

À quoi sert alors la famille, la société :

Toute sa vie, impression d’être entouré.

.

Attention à ne pas confondre, seul et isolé

On peut être seul un moment et être deux !

.

Isolé veut dire, on ne voit personne, journée,

Mis à part, parfois, notre téléphone qui sonne

.

Un flacon de parfum isole aussi  une fragrance,

Qui, lors on l’ouvre, donne impression présence.

.

Mais nombre de comparaisons s’arrêteraient là :

Aucun substitut ne peut remplacer contact humain

.

Quant à naitre seul, c’est plutôt rare, on a tous mère

Père, frère et sœur, amis célébrant venue au monde.

.

Par contre, notre mort est enterrement des relations,

Tout  tombeau est un endroit d’une infinie… solitude.

.

Il n’y a pas de solitude avant la naissance, pendant

Il peut y en avoir, si, de suite, manque d’affection.

.

C’est une question de point de vue sur question

Si on décide ou si on subit la solitude ou non !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Terrible

Constatation,

Que cette conclusion,

Que l’on aimerait  fausse,

Tellement lourde…à porter.

C’est pas vrai, sommes deux,

En couple, et trois, en famille,

Et la parenté

 Four-mi-lle,

D’être seul,

Pas l’enjeu.

ON NAIT

Tout cela parce que                 être fusionnel,

N’est pas possible              demeurons frustré

Par notre incom         plétude, notre solitude,

Et, bien plus            encore par notre finitude.

ON VIT

Seul, l’on nait, l’on              vit, l’on meurt isolé,

Même si l’on nait et            meurt, bien entouré,

On est bien  accueilli,           on est bien regretté,

Notre esprit, en corps            mortel  est incarné.

ON MEURT :

Vrai, qu’à deux,           cela              ira bien mieux,

Moi  et  maman,            ou           papa, frère, sœur,

Autant de dyades         vous         comblant bonheur

Où les liens sont           très             forts et délicieux.

SEUL,

En couple, en                 union               on se complait,

Puis  premier                 enfant              qui nait, parait,

À trois, l’on n’a              plus de               temps pour soi

Mais on s’arrange           pour               être seul parfois.

ISOLÉ

En famille c’est             autant           la foire d’empoigne

Chacun critique           chacun,          tous en témoignent

On n’est pas seul          mais dur            de communiquer

Ce que l’on est              vraiment         sans se démarquer

.

Au travail, des collègues  vous   tiendront  compagnie,

Y compris  en  soirée, et, parfois, bien plus, si affinités,

Des couples se feront, puis, se défont, bon gré, mal gré,

Il faut mettre  son impression  de vivre, isolé, de côté !

Les communautés  se diversifient : clubs, associations,

Qui pratiquent la même passion et comme à l’unisson.

Lors cela vous  donne  l’illusion que l’on vous apprécie

Mais, quand, vous vous quitterez : au revoir et merci !

Les retraités  déambulent, finissent  comme électrons,

Ils recherchent à quels jeux de groupes, se raccrocher,

Il faut plaire, il faut distraire, sinon vous serez rejetés,

Comme dans la cour d’école : «haro» sur les poltrons.

Les chômeurs font la queue à la porte de Pôle Emploi

Qui s’écroule sous les nombre et la charge et le poids

Bientôt travail devient, non, droit mais récompense,

Et, ce temps  n’est pas si loin, que l’on ne le pense.

Huit situations n’épuisent pas toutes rencontres,

 On peut les vivre l’une après l’autre ou contre.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une canette, une bouteille,

Ou un flacon  des parfums

De vies, ou bien de morts, 

Ou d’isolement contant ?

.

898 4

.

Un flacon dans lequel on peut y mettre

Toutes ses espérances :

Y compris d’une autre vie après la mort

Mais dans l’isolement !

 .

Symbolique   

 .

Le flacon

 Représente une

Partie essentielle

D’un parfum.

Or même s’il s’est considérablement

Démocratisé  ces  dernières décennies,

Le parfum restera  un produit de luxe.

Sa bouteille doit donc être à son image

Chaque détail  des flacons  serait ainsi

Travaillé avec une extrême minutie.

Tant en matière de flaconnage,

Rien n’est laissé au hasard.

C’est ainsi   que naissent

Parfois de véritables

Œuvres     d’art.

tendance-parfums.

com/parfum-femme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

898 6

.

Un flacon dans lequel on peut y mettre

Toutes ses espérances :

Y compris d’une autre vie après la mort

Mais dans l’isolement !

Symbolique 

.

L’isolement …………………..

   Est le constat………………..

D’une situation……..

Dans laquelle

Individu est séparé

De gré ou de force  du reste

De l’environnement habituel.

Des formes d’isolement vont

Être  à la source   d’un   état

Pathologique    de   solitude

Qui  est l’état …     ponctuel

Ou durable, d’    un individu

Seul qui n’est      engagé dans

Aucun rapport       avec autrui.

Elle peut être     choisie ou subie.

Modifié, source : Wikipédia

 .

.

Fond/forme 

.

Certains ont ou resteront seuls, comme en isolement

Toute leur vie, prisonniers à l’intérieur… d’eux-mêmes

Incapable de se lier, de tisser nouer un réseau de liens

Familiaux, amicaux, sociaux ou simplement humains.

.

Autant solitude peut être état choisi momentanément

Autant l’isolement demeure un état subi, permanent.

Parfois c’est juste une question : inapte au bonheur

Parfois c’est un rejet complet par la communauté,

Parfois marginalement soudaine ou progressive.

.

Seul, à deux, en couple, en famille, au travail

En communauté, retraite, chômage, tout ou y est

Ou presque, en tout cas, bien rimé, et bien rythmé !

Or en dépit de toutes ces potentialités bien présentes

On nait et on meurt seul, isolé, de toutes ententes !

Le flacon a pourtant l’air d’un bébé nouveau-né

Tout autant qu’un autre déjà vieux mort-né !

.

Textuels et illustrations  >> 

897 – La vie des uns n’est pas celle des autres

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Les parcours personnels,

Familiaux, professionnels,

Des uns et autres, différent.

.

Lors il faut de tout pour faire

Un monde, comme dit adage,

Personne sur le même nuage !

.

Si certains franchissent étapes

D’autres traineront  des pieds,

Ou se retrouveront, en décalé.

.

Départ, même chance, moyens

Mais autre réussite, à l’arrivée.

Encore faut-il définir la réussite

Humaine, financière, ou sociale.

.

Hasard existe-t-il ou le force-t-on,

Joignant compétence, opportunité,

À chacun  d’y songer,  de  s’activer !

.

Vie des uns : pas celle d’autres,

Même si, parfois, et au premier abord,

Elle paraitrait  jumelle ressembler en tout.

Chacun des parcours  humain est constitué

Du mélange unique,  original fait multitude

De destins, hasards croisés tels qu’être né

Exactement en même  jour et endroit

En telle année,  être positionné, en

Une fratrie resserrée ou étalée,

Qui s’accorde bien ou pas.

.

Mon père et ma mère, divorcés

L’un ou l’autre, m’ayant abandonné,

S’est occupé de moi jusqu’à ma majorité

Après quoi mon destin a volé ou a sombré.

Car l’on ne peut pas réussir sa vie tout seul,

Tandis que certains,  auront voulu prendre,

Quelques raccourcis  pour    devenir adulte,

D’autres    se sont bloqués,       adolescents,

Ne  savent     plus    comment    s’en sortir,

Et lors   tous  deux    voudraient     revenir

À l’enfance et, à nouveau, recommencer !

.

Oui, mais, la vie  ne repasserait  les plats,

Ne les passe qu’une fois, et pas les mêmes

Pour tous et jamais aux mêmes moments.

Si certaines  sont enceintes   à quinze ans.

D’autres ne le sont pas encore à quarante.

Deux générations les séparent… pourtant

Elles vivent la même expérience, unique.

.

Deux hommes ont le même diplôme

L’un  stagnera, en bas  de l’échelle,

Tandis  que,  l’autre,  la  grimpera.

Est-ce le destin ou bien le hasard,

Ou la motivation ou l’opportunité

Qui les distingue,  alors  que tout

Aurait été fait pour les…égaliser.

.

Extensions 

.

Quand on ne peut pas décider soi-même

Et mettre en œuvre et seul, son propre avenir,

On est mort, sinon physiquement : socialement !

Non que sa carrière s’arrête par manque d’énergie

Pour changer de point de vue  sur sa vie, pour faire

Ce qui nous plait, là, ou ici : vie des uns n’étant pas

Celle des autres, cela est certain, et c’est bien ainsi.

Dès lors qu’il faudra de tout  pour faire un monde,

L’important  est  de ne pas envier  celle des autres

Pas davantage, regretter, pour  autant, la sienne :

Ni craintes, ni regrets, ni remords, ni désespoirs.

Qu’aurait été ma vie, né ailleurs, en autre temps

Famille, cultivée et riche, ou illettrée et pauvre,

Je n’en sais rien et je n’en saurai, jamais, rien

Bien que je puisse faire l’effort de l’imaginer,

Aujourd’hui même encore, en rêver.

Rêver vie meilleure : qui ne l’a fait,

Ne le ferait avec peur que celle-ci,

Arrivée à son apogée, ne dégénère.

.

On connait mieux la vie de certains personnages fictifs,

Que celle de ses voisins et même que celle de ses cousins

Les héros appartiendraient à tout le monde, et à chacun

Leur vie change, s’arrête, reprend, au gré  des scénarios,

Qu’on leur choisit, qu’on leur impose comme leur destin.

On en vient à cette conclusion que, des êtres imaginaires

 Sauf exception, ont une vie plus trépidante que la sienne,

Jusqu’au jour où leurs biographes nous révèlent l’envers.

.

Ma vie ne ressemblerait à aucune autre,

Mon histoire étant totalement personnelle

Et pourtant elle a bien  des points communs :

Naissance, enfance, études, métier, famille, mort.

.

Cela dit, certains auraient une vie comme au rabais

Tous les jours, ou presque, la répétition du même,

Tandis que d’autres vivraient par… procuration

Dans une sorte de rêve d’être un personnage !

.

Il y a des héros, des figures, des personnes

À qui tous voudraient un peu ressembler

Mais ce ne seraient là que des repères,

Notre vie ne peut en rien être la leur.

.

Fragments 

.

Ma vie vaut bien mieux que la tienne,

Dit-on, à son voisin, et réciproquement

L’on procède toujours par comparaisons

Pour se situer sur l’échelle  du  bien être !

.

J’échangerais bien ma vie contre la tienne

Dit un handicapé dans son fauteuil roulant,

Et l’aveugle, le sourd muet, autre infirmité :

On se plaint de ce qu’on a pas, qu’autres ont.

.

D’une manière macroscopique… toute société,

Est faite de choses et d’autres, toutes fort utiles

De manière microscopique… de cas particuliers,

Et la politique doit ménager la chèvre et le chou.

.

Cela dit, chacun a un parcours personnel, collectif,

Certains ont plus de motivation à s’élever, collaborer

D’autres, par erreur d’orientation, échec, malchance,

Se retrouvent en assistés, en dépendants, sans emploi.

.

Si la vie des uns n’est certainement pas celles des autres,

Ces derniers influe sur votre d’une manière ou d’un autre,

Ceux qui en sont pas connus, ne font partie d’aucun réseau,

Auront moins de chance, occasions, pour sortir tête de l’eau.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Les parcours personnels,

Familiaux, professionnels,

Des uns et autres, différent.

Lors il faut de tout pour faire

Un monde, comme dit adage,

Personne sur le même nuage !

Si certains franchissent étapes

D’autres traineront  des pieds,

Ou se retrouveront, en décalé.

Départ, même chance, moyens

Mais autre réussite, à l’arrivée.

Encore faut-il définir la réussite

Humaine, financière, ou sociale.

Hasard existe-t-il ou le force-t-on,

Joignant compétence, opportunité,

À chacun  d’y songer,  de  s’activer !

.

***********************************************

***********************************************

.

 Vie des uns : pas celle d’autres,

Même si, parfois, et au premier abord,

Elle paraitrait /  jumelle \       / ressembler  \   en tout.

Chacun des  /  parcours   \    /  humain est   \ constitué

    Du mélange  ­\   unique,   /    \  original fait  /    multitude

    De destins   \  hasards /      \ croisés tels / qu’être né

Exactement  en même  jour  même  endroit

En telle année, et être positionné, en

Une fratrie resserrée ou étalée,

Qui s’accorde bien ou pas.

LA VIE DES UNS

Mon père et ma mère, divorcés

L’un ou l’autre, m’ayant abandonné,

S’est occupé de moi jusqu’à ma majorité

Après quoi mon destin a volé ou a sombré.

Car l’on ne peut pas réussir sa vie tout seul,

Tandis que certains,  auront voulu prendre,

Quelques raccourcis  pour    devenir adulte,

D’autres    se sont bloqués,       adolescents,

Ne  savent     plus    comment    s’en sortir,

Et lors   tous  deux    voudraient     revenir

À l’enfance et, à nouveau, recommencer !

N’EST PAS CELLE

Oui, mais, la vie  ne repasserait  les plats,

Ne les passe qu’une fois, et pas les mêmes

Pour tous et jamais aux mêmes moments.

Si certaines  sont enceintes   à quinze ans.

D’autres ne le sont pas encore à quarante.

Deux générations les séparent… pourtant

Elles vivent la même expérience, unique.

DES AUTRES 

Deux hommes,        ont le même diplôme

L’un stagnera,              en bas de l’échelle,

Tandis que, l’                 autre, la grimpera.

Est-ce le destin                  ou bien le hasard,

Ou la motivation                     ou l’opportunité

Qui les distingue,                          alors que tout

Aurait été fait pour                           les…égaliser.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un personnage pour le moins

Excentrique, ou  voire original,

Et qui  s’afficherait  comme tel,

Pour se faire  bien  remarquer !

.

897 4

.

Je ne suis pas certain de vouloir

Vivre la vie de ce personnage :

Faut dire qu’il est un petit peu

Excentrique, même hilarant.

 .

Symbolique    

 .

 

Le symbolisme

Est une partie essentielle  

D’un récit en vue de  déployer

Chez les lecteurs,  des  myriades

D’émotions, moyen de réveiller

Intuitions, représentations

Bien  choisies

Bien étudiées.

Et si moi je trouve le symbolisme

Fascinant,   c’est parce que cela

Me permet de    lier des scènes

Entre     elles,   d’approfondir

Les  relations     entre     mes

Personnages      sans avoir

À les dire  très       explicitement,

Rien qu’avec un        jeu de symboles. 

leahendersen-auteur.fr/les-symboles-dans-la-fiction

.

.

Fond

.

Évocation 

.

897 6

.

Je ne suis pas certain de vouloir

Vivre la vie de ce personnage :

Il faut dire qu’il est un petit peu

Excentrique, même hilarant.

 . 

Symbolique 

L’excentricité,

Le simple manifeste

De quel qu’apparence ?

Non !  Réputés   pour leur

Extravagance vestimentaire

Dandys et  punks seront  bien

Apparus,  dans  notre  société,

À  des  moments   de   ruptures

Dont ils ont été les catalyseurs.

D’une   manière   superficielle :

On connaît la force du symbole.

Modifié, source : psychologies.com

.

.

Fond/forme 

 .

Une forme animée d’homme assez excentrique

Qui a été, de plus, affublé d’un  énorme chapeau

Son allure rime avec : moitié contrainte, liberté,

C’est tantôt le fou du roi et tantôt son conseiller !

.

On pourrait croire un dessin d’enfant de six ans

De son père ou homme, en général, pas sérieux

Le fond s’éloigne alors totalement de la forme.

.

Textuels et illustrations  >> 

896 – Demander à l’autre qui il aimerait être !

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Être, et  avoir été,

Et puis vouloir être :

   Projet normal d’homme

 En devenir, en évolution

Entre  savoir  et   pouvoir

 Res-sem-bler  à  quelqu’un

De très connu voire célèbre

Qu’on apprécie  et beaucoup

Est  une   envie des humains :

On en rencontre  quelques-uns

Ne ressemblant qu’à eux-mêmes

Qui se sont construits repères

Sans projection, transfert.

.

Demandez… à quelqu’un,

Qui il aimerait bien être

Sinon, à qui, il souhaite

  Le  plus, lui  ressembler.

.

    Il y a, toujours, un  artiste

 Un comédien, présentateur

Un journaliste,  un chanteur

Un écrivain, voire un sportif

Homme politique, humaniste

Qui se profile  et se détache.

.

L’on vit ainsi, bonne partie

De sa vie par procuration :

Par père  et mère, d’abord,

Puis par maitre, professeur,

Par son guide ou la référence,

Mis en évidence en psychanalyse.

.

Quel est votre panthéon littérature,

En sport, en politique demande-t-on

À des invités sur les plateaux de télé

Ou par qui avez-vous été influencé,

Et à qui voulez-vous ressembler !

.

Mais que faire des autodidactes,

Qui existent, se construisent seuls

Qui ne font référence, à personne,

Contre autres empruntant à d’autres

Tout fond de leur pensée, personnelle.

.

Car nous sommes  un peu  mal à l’aise,

Si on s’appuie sur dieux vivants, morts,

Que pour les désacraliser, ou remplacer,

Bien que sachant  que  l’on sera démodé,

À notre tour, lors être dieu  jusqu’à oubli.

.

Freud appelle cela «mise à mort  du père»

Pour exister : faut le supprimer, au figuré.

Pas de place pour  deux : lion mange cerf.

Chez tout homme Œdipe n’est pas mort.

.

Extensions

 .

En réalité, il y aurait deux types de … « Pères » :

Ceux qui deviennent contestables ou déboulonables,

Ceux qui ne le deviennent pas, restent dans l’Histoire.

Tout le monde voudra ressembler à Mozart, Einstein,

Picasso, Hugo, Napoléon, oui, mais, il n’y a que peu

De génies par siècle, donc peu de place pour nous.

Dans  notre  Monde, ultra médiatisé,  les guides,

Idoles, maitres, références …ne manquent pas.

Le problème, ils changent au gré des modes

Et humeurs du peuple : adorés, détestés !

.

Nous avons tous en notre tête, des modèles à qui ressembler,

Certains même se disent prêts à tout sacrifier pour y arriver,

À qui la faute, s’ils n’y parviennent pas, et jamais :

Qu’a de plus notre modèle, à ce qu’on en connait !

De la chance, mais avec leur travail, qui promet !

.

On demande, parfois, aux enfants, voir adultes,

Quel animal il aurait être dans une seconde vie,

Ce n’est là que fiction, jeu, préférence, affection

Voire comme humain, libre de toute contrainte

.

Les stéréotypes et clichés sortent chez les enfants :

Médecin, avocat, pompier, instituteur, aventurier !

Personne ne songe à être éboueur, femme de ménage

Des métiers service pour filles, technique pour garçons

.

Tout ce qui concerne les métiers en dit long sur la société

Mais sur soi, sa façon d’être, et voire son but dans la vie,

Rien, comme si cela n’était qu’un supplément optionnel

Alors que la question du sens de sa vie est l’essentiel !

.

Fragments

.

 «Qu’est-ce que tu feras … plus tard,

Quand tu seras grand»

Demande-t-on à un enfant de 5 ans

Qui n’a d’idée que jeux.

.

Selon le sexe, mais c’est moins vrai

Le garçon, pompier,

La fille, infirmière, sinon maitresse,

Peu répondent militaire.

.

Lors à quinze ans, si ce n’est à vingt

Rare encore sont décidés

À embrasser une «grande carrière»

Sinon pour la vie, un bail.

.

Le choix se fait la plupart du temps

Par identification proche

Dans la parenté ou dans la scolarité

Choix restant, par défaut ?

.

Une fois adulte, intégré en un métier :

Si tu avais autre choix ?

Et là les yeux roulent vers l’imaginaire

Parfois choix contraire !

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Être,     et     avoir    été,

Et puis vou  D     *  E    loir    être

   Projet nor   E                     R   mal homme

 En devenir,   M                          T  en évolution

Entre savoir   A                              U     et pouvoir

 Res-sem-bler  N                           A    à quelqu’un

De très connu   D                       *  voire célèbre

Qu’on apprécie    E            À   et  beaucoup

Est  une   envie        *        des humains

Or l’on  en  rencontre quelques-uns

Ne ressemblant qu’à eux-mêmes

Qui se sont construits repères

Sans projection, transfert.

.

Demandez… à quelqu’un,

Qui il aimerait bien être

Sinon,   à qui,  il souhaite

      Le plus,   lui  ressembler………..

    Il y a, toujours, un artiste ………

 Un comédien, présentateur……

Un journaliste,  un chanteur…..

Un écrivain, voire un sportif …

Homme politique, humaniste

Qui se profile  et se détache :

L’on vit ainsi, bonne partie

De sa vie par procuration :

Par père  et mère, d’abord,

Puis par maitre, professeur,

Par son guide ou la référence,

Mis en évidence en psychanalyse.

 Q

Quel est votre pan U   théon littérature,

En sport, en politi  I   que demande-t-on

À des invités sur     *   les plateaux de télé

Ou par qui avez-     I     vous été influencé,

Et à qui voulez-       L       vous ressembler !

Mais que faire          *        des autodidactes,

Qui existent, se         A        construisent seuls

Qui ne font réfé          I         rence, à personne,

Contre autres em        M      pruntant à d’autres

Tout fond de leur         E       pensée, personnelle.

Car nous sommes         R       un peu  mal à l’aise,

Si on s’appuie sur         A      dieux vivants, morts,

Que pour les désa           I       craliser ou remplacer

Bien que sachant            T       que l’on sera démodé,

À notre tour lors               *      être dieu jusqu’à oubli.

Freud appelle cela            Ê      «mise à mort  du père»

Pour exister : faut             T      le supprimer, au figuré.

Pas de place pour               R        deux : lion mange cerf.

Chez tout homme                E          Œdipe n’est pas mort.

.

Forme

.

.

Évocation

.

J’aimerais être comme figurine

Comme celle-là, en  projection !

.

896 4

.

Évocation

 .

Une figurine peu originale

Très penchée sur elle-même,

Symbolique    

Au royaume du jeu symbolique..………………

    Figurines seront incontournables,………..

      Personnages réalistes ou merveilleux……

   Animaux connus extraordinaires

       Décor prêt emploi improvisé

   Rares sont les enfants

  Pouvant s’en passer.

Avec les figurines au gré des sources

D’inspiration, enfants reproduisent  

Situations de la vie quotidienne,

Rejouent  des  scènes vues sur

Les albums    et    les écrans,

Laissant  leur  imagination  

Comme étant en  roue libre.

Derrière ces choix : mêmes

 Lois psycho              logiques :

Reproduire        évènements

 Vécus par               l’enfant,

Rendre           visible son

Monde           intérieur,

Attribuer            propres

 Sentiments        à autrui,

Révéler conflits      psychiques,

  Apprivoiser           ses émotions.

Lesprosdelapetiteenfance.fr/eveil-

activites/jouer-pour-grandir

.

.

Fond

.

Évocation 

.

896 6

.

J’aimerais bien  être comme une figurine

Comme celle-là, projection :

Certains iront jusqu’à l’identification ;

Autres, jusqu’au transfert.

Symbolique

 .

L’identi

Fication est le

Processus par lequel

Personne se transforme,

De façon provisoire

Ou permanente,

 En assimilant un trait ou un attribut,

Partiel ou total, d’une autre personne,

Connue,  inconnue. Un processus de la

 Formation  de  sa  personnalité, pa r un

Attachement primaire à autre personne.

Dès l’enfance, lors le petit garçon idéalise

Son père, souhaite être comme lui, être lui

Faire tout comme lui, afin de le remplacer.

Modifié, source : Wikipédia

 .

.

Fond/forme 

 .

Avant de

 Pouvoir se voir

Comme étant soi-même

Son propre modèle, il faut

Bien sacrifier maintes fois,

À  identification, transfert,

À  projection,

Successives.

La première étant bien sûr celle d’un des deux parents

Remplacée, à l’adolescence, par personnes étrangères

Qui peu à peu concrétisent leurs valeurs à l’intérieur

Je veux être comme lui, je fais tout pour, je suis lui.

On atteint la limite de l’identification prisonnière,

Lors distance entre soi et le modèle est grande,

Au point de ne jamais pouvoir… l’approcher !

Figurine plastique l’air penchée sur son identité,

Et dont je ne me reconnais pas lors identification.

.

 Textuels et illustrations  >> 

895 – Les vues des uns : pas celles des autres

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La vue, bonne vue,

Une excellente … vue,

Est une chose importante,

À conserver, au long de sa vie

Et non seulement  pour sa santé,

Voire pour sa sécurité,  mais aussi,

Pour  ses  perceptions  des choses,

Des informations, aussi des gens.

La vue de l’un  n’est pas d’autre,

Physiologiquement… d’abord,

Psychologiquement ensuite,

Et socialement, pour finir.

 .

Physiologiquement,

L’on ne perçoit

Que ce qu’on voit

Et dans ce qu’on voit,

Que ce que l’on connaît,

Dans ce que l’on connaît,

Ce que l’on sait nommer

De manière précise.

 .

Psychologiquement,

L’on ne voit pas

Et l’on ne porte pas

D’intérêt mêmes choses

Selon ses états de conscience

Ou ses manques ou déficiences,

Exemple, si j’ai très faim, je verrai

Enseigne de restaurant, non banque.

 .

Socialement enfin, on ne voit pas

La vie, de  la même  façon :

Certains vivent pour eux,

Et, pour  leurs  plaisirs.

Ils n’ont  d’intérêt  que

Si cela  leur apportera,

Quelque chose  de plus,

Et, de leur point de vue !

.

Voir flou, déformé, à moitié, c’est perdre

Une part du contrôle de soi, environnement

Il faut bien plus de temps pour bien  décoder

Avec le risque  de  se tromper, sinon  d’hésiter.

Converger, diverger, et sur des bases communes

Voilà ce qui occupe  la majorité  des démocrates !

.

Extensions 

.

La reconnaissance des visages est primordiale

Pour bien vivre en société de manière agréable,

Parfois, on ne les reconnaît pas physiquement,

Traits flous, parfois, psychologiquement, si on

Ne peut mettre un nom, un contexte, un lien,

Sur le visage que l’on voit bien en face de soi.

Voir, reconnaitre, mémoriser et se souvenir

Précisément de quelqu’un, être capable de

Le décrire, le dessiner est une compétence

Relationnelle et informationnelle qui permet

De bien gérer toutes relations et connaissances,

Parfois des années après l’avoir vu la dernière fois.

Voir en quelqu’un, lire dans ses attitudes, dans ses yeux,

Dans ses pensées, être capable d’anticiper ses dires, actions,

Intentions est une compétence psychologique qui permet

D’aller droit au but et à l’essentiel sans se tromper tout

En surprenant l’autre. Voir à l’intérieur de soi-même

Par mécanisme d’autoréflexion pour se décentrer

De sa vision subjective, compétence plus rare

Et produit de l’autodérision et de l’humour.

À chacun son point de vue sur la vision

Des choses, des êtres et du monde.

C’est leur multiplicité qui en fait

Leur richesse car un seul point de vue

Ne peut embrasser la totalité d’une réalité.

.

Différence de vision, sur la même chose,

Différence de vision, sur différentes choses

Et différences de vision sur toutes les choses,

Se côtoient, se combattent, voire se détruisent

Avant  d’abattre  un arbre,  près  d’une maison,

Il vaut mieux en débattre pour le pas l’écraser,

Reprocher à d’autres de ne pas l’avoir signalé.

.

Pour avoir une bonne vision des choses

Il ne faut pas se contenter d’une seule source

Celle-ci peut être orientée d’un côté tandis que

D’autres se trouveront d’un autre ou bien neutre

.

Ce qui intéresse les gens,  bien au-delà des faits,

Est leurs causes  et surtout leurs interprétations

C’est ce qui fait  le sel et le poivre  des actualités

Sinon toutes raconteraient … les mêmes choses.

.

Ce qui se passe au niveau international national

Reste valable autant au niveau local, communal.

Mon voisin  qui ne serait pas d’accord avec moi,

Verrait vérité, raison, de son côté, pas du mien.

.

Fragments 

.

Il y a bon nombre de gens qui

Défendent des vues étranges :

Intégristes, voire  anarchistes,

Totalitaristes, ou complotistes,

.

Et ce, pour ne citer qu’eux qui

Fonctionnent comme une secte

En considérant tous les autres

Comme déviants voire aliénés.

.

Chacun voit  midi  à sa porte,

Dit un proverbe bien-pensant

Il est probable  que  de suivre

 Avec totale,  extrême,  rigueur,

.

Doctrine qu’elle soit religieuse,

Philosophique, voire  politique,

N’aide pas du tout à se concilier

Les vues de modérés ou tolérants.

.

Le libéralisme et fragmentation

De toute société démocratique

Conduit à tolérer personnages

En provocations, en ruptures

.

Qui vont pratiquer saccages

Pour monter qu’ils existent

Qu’il faut compter sur eux,

Sans être des terroristes !

.

Soit les vues  convergent,

Par dialogue diplomatie,

Soit les vues…  divergent

Par un rapport de force :

.

Dans les deux cas, écorce

N’atteint pas  cœur, fruit,

De leurs histoires établies,

Constituant leur civilisation.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

La vue, bonne vue,

Une excellente … vue,

Est une chose importante,

À conserver, au long de sa vie

Et non seulement  pour sa santé,

 Voire pour sa sécurité,  mais aussi,

Pour  ses  perceptions  des choses,

Des informations, aussi des gens.

La vue de l’un  n’est pas d’autre,

Physiologiquement… d’abord,

Psychologiquement ensuite,

Et socialement, pour finir.

VUES DES UNS

Physiologiquement,

L’on ne perçoit

Que ce qu’on voit

Et dans ce qu’on voit,

Que ce que l’on connaît,

Dans ce que l’on connaît,

Ce que l’on sait nommer

De manière précise.

NE SONT PAS

Psychologiquement,

L’on ne voit pas

Et l’on ne porte pas

D’intérêt mêmes choses

Selon ses états de conscience

Ou ses manques ou déficiences,

Exemple, si j’ai très faim, je verrai

Enseigne de restaurant, non banque.

CELLES DES AUTRES 

Socialement enfin, on ne voit pas

La vie, de  la même  façon :

Certains vivent pour eux,

Et, pour  leurs  plaisirs.

Ils n’ont  d’intérêt  que

Si cela  leur apportera,

Quelque chose  de plus,

Et, de leur point de vue !

.

Voir flou, déformé, à moitié, c’est perdre

Une part du contrôle de soi, environnement

Il faut bien plus de temps pour bien  décoder

Avec le risque  de  se tromper, sinon  d’hésiter.

Converger, diverger, et sur des bases communes

Voilà ce qui occupe  la majorité  des démocrates !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Je ne suis pas certain de croiser

Ce curieux personnage, un jour…

Mais, de toute façon, sa vision de la vie

Aurait  plus de versatilité que la mienne.

.

895 4

.

 

On peut se dire : qu’est ce personnage

Qu’aura voulu transmettre son créateur

Il y aurait des personnages si authentiques

Qu’on les confond avec personnes vivantes !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme

Est partie essentielle

D’un récit   pour  déployer  

Une   myriade   d’émotions

Chez le lecteur, moyen  de 

  Réveiller des intuitions,

Représentations

Soigneusement

 Choisies et étudiées.

Je trouve le symbolisme fascinant,

C’est  parce  que  cela  me  permet  

De  lier  des  scènes, approfondir  

Les  relations entre

Personnages sans avoir à

Les dire explicitement :

Simplement avec un

Jeu de symboles.

leahendersen-auteur.fr/

les-symboles-dans-la-fiction

 

.

Fond

.

Évocation 

.

895 6

.

.

Je ne suis pas certain de vouloir croiser

Ce genre de curieux personnage un jour.

Mais de toute façon, sa vision de la vie

Aura plus de versatilité que la mienne.

 .

 Symbolique 

 .

Parfois, changer ses habitudes

N’est pas la solution aux problèmes.

Il faut réfléchir auparavant afin de savoir

Si le mieux ne serait pas de …changer votre

Façon de voir, agir en la vie  tant il y a ceux

Qui ne se font pas de bile, qui sont méfiants

Et ceux qui voient les choses du bon côté !

Si chacun a sa propre vision de la vie

Il faudra bien, malgré cela, en avoir

Une, quelque peu commune,

Sinon comment échanger

 Inspiration personnelle sur le site

.

.

Fond/forme 

 .

Une forme animée, portrait de femme originale

Sa vision de la vie ne semblera pas universelle

Et voire peut-être même à personne, de célèbre :

Rime avec fantaisiste et rythme avec autoritaire,

Ce qui lui donne caractère, pour le moins, mixte :

Physiologiquement, psychiquement, socialement

Elle ne me ressemble, sur le fond, à rien du tout !

.

Textuels et illustrations  >>

894 – Chacun vit en son monde, son histoire

Textuels et illustrations  >>   

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Autant d’individus

Sur notre planète Terre

Et autant  d’individualités,

Même  quand  ils seront frères !

Si personne ne prétend le contraire,

Que faire de tentation communautaire

Mais, si l’on parle des  races  humaines :

Il y en a qu’une, une seule …  et à jamais !

Des préférences sont fréquentes  du genre :

Nous, on est bien ; les autres, des étrangers.

.

Au plan génétique :

Y a aucune différence,

Bien que voie culturelle,

De nombreuses divergences

Quand on enlève les apparences

Sommes bien uniques et mêmes !

.

Nous avons une histoire personnelle

Qui ne peut être vraiment substituable

A aucune autre pour sa propre identité

Que l’on ne pourra, jamais, nous enlever.

 .

Chacun vit dans son monde, et son histoire,

Il n’y a  pas  deux humains, même  jumeaux,

Qui ont  tout  en  commun : physique,  mental,

En partageant leur seule, et unique, trajectoire !

.

Autant de milliards individus autant individualités

Et, pourtant, tous semblables  sur le plan génétique,

Mis à part un dysfonctionnement, dans  leurs copies,

Qui fait, déjà, qu’inégalité  prend ses marques  sur vie.

.

Si l’on cartographiait le réseau de neurones ou génome

De tout le monde, et que l’on parvenait à les superposer,

Il y aurait des zones de vide, zones d’ombres, saturations

Mais pas aux mêmes endroits, pas au même âge, actions.

 .

Cela demeure un profond mystère, une étrange révélation

Nous sommes tous semblables  et sommes tous, différents

Et comment voulez-vous, à la suite d’une telle découverte,

Que l’humain  ne penche plus  vers son individualisation !

.

Si sur le plan santé, thérapeutique, on ne doit pas traiter

Tous ceux ayant la même maladie, par même molécule,

Que dire des conflits et dysfonctionnement psychiques

Basés, en partie, sur histoire personnelle de chacun.

.

Extensions 

.

Chacun a

Un fond commun

Et un autre plus particulier :

Génotype, phénotype sont noms

Scientifiques  procurés  à  cet effet.

Si l’on connait l’histoire de quelqu’un

Plus encore son ascendant héréditaire,

On pourra presque faire une prédiction

Quant à la maladie qu’il est susceptible

De contracter durant sa vie …  maladie

Car nous avons tous,  dans notre corps,

Des points faibles sur un terrain fertile

Pour  en développer    certaines  plutôt

Que d’autres  mais cela…ne jouera pas

Sur notre comportement, et jumeaux

Peuvent avoir  des destins  différents,

Voire contraires et sans explications,

Avérées : chacun vit dans son monde

Et avec son histoire, lui sera propre:

C’est clair et c’est très facile à voir !

.

Le Monde, à un instant T, un jour donné, est synchronique :

Tout se passe en même temps à différents endroits du globe

Le monde, dans la durée, dans l’histoire, est diachronique !

En un seul regard, on me donne à tout percevoir, j’englobe,

Comme qui trop embrasse, mal étreint, je ne sens plus rien

J’oublie l’histoire pour ne garder que le fait et son résultat

Comme une phrase extraite du discours qui la commente.

Nous sommes  des atomes, dans des réseaux de neurones,

De plus en plus grands qui ne sont contrôlés par personne.

.

Chacun a son réseau propre,

Chacun a son histoire propre,

Chacun vit dans son … monde.

Si je ne suis pas  le seul à penser,

Que tout va mal que rien ne va bien,

Je fréquente gens pensant comme moi.

.

Quoique, sur le plan physiologique, pourtant

Je suis assez proche de mon voisin australien,

Sur le plan psychologique, je fonctionne de même

Il n’y a que sur le plan social, économique, éthique,

Que les choses différent et parfois même grandement

Les grands se voient faire partie du grand monde !

.

Le grand monde possède la majorité des médias

Qui ont, bien sûr, pour but, de nous informer

Mais ils en profiteront pour nous formater,

Ainsi notre monde devient comme leurre.

Or le leur n’est pas le mien ni ne le sera

Jamais : on ne vit pas dans le même !

.

Fragments 

 .

Je suis et je reste de plus en plus étonné,

Par le nombre de mondes qui cohabitent !

.

Il y a comme un fractionnement de la société :

Chacun cultive, promeut, défend son individualité

.

Tandis que le gouvernement instaure une commission

Plaignants se rejoignent pour se créer une association.

.

Autant on pourra le comprendre lors il s’agit de victime,

Autant, il paraitra choquant quand il s’agit de privilèges.

.

C’est ainsi que les mondes des riches, protégés, des nantis,

Ne côtoient pas ou que peu celui des pauvres, des anéantis.

.

Chacun  a sa pomme de pin personnelle  à prévoir sa météo,

Ce n’est jamais la même pour tout le monde, perçue pareille.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Autant d’individus

Sur notre planète Terre

Et autant  d’individualités, 

Même  quand  ils seront frères !

Si personne ne prétend le contraire,

Que faire de tentation communautaire

Mais, si l’on parle des  races  humaines :

Il y en a qu’une, une seule …  et à jamais !

Des préférences sont fréquentes  du genre :

Nous, on est bien ; les autres, des étrangers.

.

Au plan génétique :

Y a aucune   C   différence,

Bien que voie   H    culturelle,

De nombreuses    A divergences

Quand on enlève les   C apparences

Sommes bien uniques    U   les mêmes

Nous avons une histoire    N  personnelle

Qui ne peut être vraiment    *   substituable

A aucune autre pour sa pro   V    pre identité

Que l’on ne pourra, jamais,     I    nous enlever.

                                   T

Chacun vit dans son monde,    *     et son histoire,

Il n’y a  pas  deux humains,      D   même  jumeaux,

Qui ont  tout  en  commun :      A   physique,  mental,

En partageant leur seule, et       N  unique, trajectoire !

               S

Autant de milliards individus    *     autant individualités

Et, pourtant, tous semblables    S       sur le plan génétique,

Mis à part un dysfonctionne     O    ment, dans  leurs copies,

Qui fait, déjà, qu’inégalité       N   prend ses marques  sur vie.

*

Si l’on cartographiait le ré    M    seau de neurones ou génome

De tout le monde, et que     O   l’on parvenait à les superposer,

Il y aurait des zones de    N   vide, zones d’ombres, saturations

Mais pas aux mêmes    D  endroits, pas au même âge, actions.

E …………………….

Cela demeure un pro   *   fond mystère, une étrange révélation

Nous sommes tous sem  H  blables  et sommes tous, différents

Et comment voulez-vous,   I   à la suite d’une telle découverte,

Que l’humain ne penche plus   S    vers son individualisation !

             T

Si sur le plan santé, thérapeutique  O  on ne doit pas traiter

Tous ceux ayant la même maladie, par   I   même molécule,

Que dire des conflits et dysfonctionnement  R  psychiques

Basés, en partie, sur histoire personnelle de   E  chacun.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Pomme de pin fermée sur elle-même

Et en indice  afin de prévoir la météo ?

Ou encore une silhouette napoléonienne

Ou encore un champignon  type bolet. 

.

894 4

.

Toute pomme de pin resterait

Sensible aux conditions météo :

Elle s’ouvrira au soleil, se fermera

S’il y a trop de vent  ou d’humidité.

Pomme, pomme, pomme, pomme… de pin

Un monde est représenté par une sphère

La pomme tient plutôt forme conique.

 .

Symbolique

 .

La pomme

De pin symbolise

L’immortalité de la vie

Végétative,  puis animale,

Exaltation de puissance vitale

Et la glorification de la fécondité.

Le pin maritime est, généralement,

Un symbole connu de d’immortalité,

Grâce à la persistance d’un feuillage,

Résineux ayant des aiguilles pérennes,

Et incorruptibilité de la résine de pin :

Ce fruit de puissance vitale et labile.

Est toujours signe de bon augure.

Modifié, source : bmirgain.skyrock.com

 

 .

Fond

.

Évocation 

.

894 6

.

Toute pomme de pin resterait

Sensible aux conditions météo,

Elle s’ouvrira au soleil, se fermera

S’il y a trop de vent ou d’humidité.

 . 

Symbolique 

 .

Le barbule et la hampe  —->

De vent sont des symboles —->

Pour indiquer           la force —->

Et la direction              du vent —->

Sur une carte  météorologique. —->

 

La hampe est  courte ligne droite —->

Dont une extrémité touche le cercle —->

De toutes stations  météorologiques —->

Et  elle  représentera  la  direction —->

D’où  souffle  le vent   tandis  que. —->

 

Les  barbules  seront  des traits —->

Ou des fanions qui sont placés —->

Sur la hampe afin de décrire —->

En météo la force du vent. —->

 .

.

Fond/forme 

 .

Je suis comme une pomme de pin, je veux bien

Je m’ouvre et je me ferme au gré de ma… météo,

C’est ainsi je rime de façon mixte, libre, contraint

Et quand je trouve mon bon rythme, je le retiens.

.

Si j’étais, si je vivais dans les terres du grand sud

Je me serais comparé à un bel ananas bien fruité

Comme quoi cette forme cache beaucoup du fond.

.

Textuels et illustrations  >>   

893 – Suis première personne qui m’intéresse !

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

 Je suis la

Première  des  personnes

Qui s’intéresse  autant à moi :

C’est mon fait, et c’est mon droit.

Or à vivre cela, ne me  suffit  pas !

Tant  suis  entouré d’un tas de gens,

Comptant  sur moi ou bien pour moi

Or sûr que  si je ne  les  intéresse pas,

Iront ailleurs, idem  si m’intéresse pas

À eux en partenaire  ou comme égaux.

Moi seule personne qui   m’intéresse,

J’en  ai  l’envie,  le  devoir   et   le   droit,

Mais qu’est-ce « ce moi » qui m’occupe

Un souci d’intégrité  de liberté, d’unicité,

Un mode et un contenu d’actes  et pensées

Dits tempérament, caractère, personnalité.

.

Se trouve entouré de plusieurs autres personnes

Ayant des ressemblances, des différences  avec moi.

Je leur suis tantôt redevable  et tantôt ce sont eux

Qui adhèrent, participent,  partagent actions.

 .

Ce «moi je», compose, ose, impose son égo,

Prétextant, prouvant nous ne  sommes pas égaux ;

Son parcours est fait, d’autant de succès, qu’échecs :

Succès scolaires,  échecs  amoureux, ou  succès  en  affaires.

Bon an, mal an, il poursuit  un chemin de gloire et de misère.

 .

Il faut-dire  aussi, qu’il est, très  souvent, seul, avec lui-même,

Fatigué, stressé, malade, parfois rendu au bout du rouleau,

Il va se tuer au travail  et se laisser en vacances, aller

En d’autres lieux d’autres cieux, au farnienté.

 .

Ce « moi » sexe qui baise amours et sentiments,

Il ne verrait l’autre qu’en faire-valoir, égoïstement,

Accumule connaissance  compétences  et expériences,

Pour faire son trou dans sa vie avec, aux dépens de gens.

 .

Ce qu’il fera, de sa vie,  dépendra, en grande  partie, de lui,

Mais, ce qu’il sera, à la fin : l’aura-il, pour  autant, choisi :

Car c’est en cette contradiction même qu’on le reconnaît,

Toujours fidèle à lui-même, toujours prêt à changer.

 .

Ce « moi » squelette plusieurs formes, silhouettes

Amours très stables,  volages comme alouettes,

Amitiés, sans  failles  trahisons,  en  cascades,

Métier permanent ou  mille boulots, passades

Ses goûts et couleurs  sont à rire, ou à pleurer,

Qui le font paraître à la mode, ou traditionnel.

.

Il investit et en tout ou il conserve presque tout,

Vit moment présent ou se projette, tout le temps.

Ce «moi» pour finir, n’est que la somme d’un tout,

Un composé  d’actes, de raison, d’émotion, d’un fou,

Qui apparaît un jour naissant puis disparaît mourant,

Dont on ne souviendra de rien, ou presque, en l’oubliant !

.

Extensions

 .

Moi, par-ci ; moi, par-là ; moi partout, puis moi d’abord,

Est litanie des égos qui grossissent comme des baudruches

Et ne laisse pas de place  ni grand-chose, intérêt, aux autres.

«Je suis bien d’accord avec toi, oui mais moi je suis comme ça»

Tout est dit, d’avoir un statut particulier  et besoins différenciés

Alors même  qu’ils n’ont pas  lieu  d’être, exagérés, voire  usurpés

Et  ce, jusqu’à la négation des autres, si l’on doit faire  un choix !

.

Moi, moi, moi, on croirait un gamin de 3 ans

Hélas non, s’agit d’un adulte presque vieillissant

Qui n’a pas compris qu’il n’était pas seul  sur Terre

Ou que les autres n’existaient là que pour son service

.

Il est vrai que  le système  capitaliste, sa compétition,

Pousse à l’individualisme  et suprématie  par l’argent,

Pour autant, une vraie société se doit d’être  solidaire,

Sinon elle est la possession de quelques sanguinaires !

.

On reconnait vrais égoïstes à leur manque d’altruisme

Certes mais surtout à leurs manques de compassions,

Envers les malheurs des autres, comme des fatalités,

Ce sont des sous-citoyens, sous-hommes en somme.

.

Fragments

.

Moi, d’accord, moi d’abord,

Les autres font ce qu’ils veulent,

Ils sont peut-être content mais moi

J’ai des besoins spéciaux et personnels

Et j’y tiens beaucoup qu’on les satisfasse,

Parce que les autres, vous comprenez bien

Ce n’est pas moi, et donc alors, je m’en fous

Je dois faire face à plusieurs «moi » en moi,

Si je me mets à m’occuper de celui des autres,

Ai plus le temps de m’occuper de ma personne,

Vous me dites, vous me considérez, en «égoïste»

Pas plus que vous : vous ne vivez pas  à ma place,

Vous ne prendrez non plus  ma place au cimetière,

Alors oui, je m’intéresse, beaucoup, à moi, d’abord,

L’énergie restante, la consacre aux autres, d’accord,

Si je gagnais plus, avais plusieurs vies, je donnerais,

Mais je gagne peu et je n’ai qu’une courte  vie, alors,

Et qui êtes-vous pour me juger ainsi, regardez-vous,

Avec votre grosse bagnole, votre grand train de vie :

Moi ce que j’ai gagné, c’est rien qu’avec mes mains

Moi, comme étant seule personne qui m’intéresse

C’est pas que l’air du temps, c’est dans le système

On est dedans, pour nombre de gens, moi dehors,

Je vous ai assez vu, assez parlé … foutez le camp !

Un tel monologue est-il courant sera-t-il crédible,

C’est à vous de me le dire, je n’en dirais pas tant !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

 Je suis la

Première  des  personnes

Qui s’intéresse   S     *     E  autant à moi :

C’est mon fait, et  U                        N   c’est mon droit.

Or à vivre cela, ne  I                                N    me  suffit  pas !

Tant  suis  entouré  S                                     O    d’un tas de gens,

Comptant  sur moi  *                                           S   ou bien pour moi

Or sûr que  si je ne   L                                              R     les  intéresse pas,

Iront ailleurs, idem    A                                              E     si m’intéresse pas

À eux en partenaire   *                                             P    ou comme  égaux

Moi seule personne   P                                           *     qui   m’intéresse,

    J’en  ai  l’envie,  le     R                                    E      devoir  et le droit,

Mais qu’est-ce ce       E                           R  moi qui m’occupe

Un souci d’intégrité   M     I     È   de liberté, d’unicité

Un mode  et un contenu       d’actes  et de pensées

Dits tempérament, caractère, personnalité.

Il se trouvera entouré de plusieurs autres personnes

Ayant des ressemblances,     des différences  avec moi.

Je leur suis tantôt redevable     *     et tantôt ce sont eux

Qui adhèrent, participent,        Q         partagent actions.

Ce «moi je», compose, ose,        U              impose son égo,

Prétextant, prouvant nous ne             sommes pas égaux ;

Son parcours est fait, d’autant     *      de succès, qu’échecs :

Succès scolaires,  échecs  amoureux, ou  succès  en  affaires !

Bon an, mal an, il poursuit  un chemin de gloire et de misère.

Il faut-dire  aussi, qu’il est, très  souvent, seul, avec lui-même,

Fatigué, stressé, malade et, parfois, rendu au bout du rouleau,

Il va se tuer au travail         o        et se laisser en vacances, aller

En d’autres lieux           o         o      d’autres cieux, au farnienté.

Ce « moi » sexe qui      o     o      o   baise amours et sentiments,

Il ne verrait l’autre qu’  o          o    en faire-valoir, égoïstement,

Accumule connaissance     o         compétences  et expériences,

Pour faire son trou  dans sa vie avec, ou, aux dépens  de gens.

Ce qu’il fera, de sa vie,   dépendra,  en grande  partie, de lui,

Mais, ce qu’il sera,  à la fin : l’aura-il, pour  autant,  choisi :

Car, c’est en cette contradiction même  qu’on le reconnaît,

Toujours fidèle à lui-    *   même, toujours prêt à changer.

Ce « moi » squelette       M   plusieurs formes silhouettes

Amours très stables         ‘        volages comme alouettes,

Amitiés, sans failles         I          trahisons, en cascades,

Métier permanent ou      N        mille boulots, passades

Ses goûts et couleurs      T      sont à rire, ou à pleurer,

Qui le font paraître à       É      la mode, ou traditionnel,

Il investit et en tout ou    R      il conserve presque tout,

Vit moment présent ou    E     se projette, tout le temps.

Ce «moi» pour finir, n’     S  est que la somme d’un tout,

Un composé d’actes, de      S   raison, d’émotion, d’un fou,

Qui apparaît un jour nais    S   sant puis disparaît mourant,

Dont on ne souviendra de       !     rien ou presque en l’oubliant.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une personne d’importance

Avec une grosse tête, joviale :

Mais je crois bien que c’est moi

Je m’interroge sur qui d’autre !

.

893 4

.

Moi, moi, moi… il n’y aurait que moi

Sur Terre, et puis rien d’autre :

Je m’interroge : parlez-moi de moi…

 Il n’y a que moi qui m’intéresse.

Une tête en forme de nombril du monde

Une manière stylisée pour l’importance

Parfois on dit ; attraper la grosse tête.

 .

Symbolique

 .

« Le soi est un

Terme    qui   désigne

La personnalité toute entière.

Mais …   la  personnalité entière

De  l’Homme  reste  indescriptible.

J’entends par  «moi»  un complexe

De représentations  formant pour

Moi-même,  le centre du champ

Conscientiel et me paraissant

Posséder un très haut degré

De continuité

Et d’identité

Avec. Lui-même. »

Karl Jung  philo5.com/concepts

.

.

Fond

.

Évocation 

.

893 6

.

Moi, moi, moi… il n’y aurait que moi

Sur Terre, et puis rien d’autre :

Je m’interroge : parlez-moi de moi…

 Il n’y a que moi qui m’intéresse.

 .

Symbolique 

 .

L’inscription

 Du « moi » en symbolique

Ne conduit à disparition structure

Imaginaire, tension entre imaginaire

 Et symbolique et tout en étant pris dans

 Le registre  du symbolique, l’imaginaire

Peut intervenir   comme une résistance

Du symbolique,   lors cette intériorité,

Extériorité simultanée d’imaginaire

Rendues possibles, double fonction

De la parole comme parole vide 

Ou bien comme

Parole pleine.

psychanalyse.lu/articles

/SimonelliMoiCure.

.

Fond/forme 

«Le  moi est

 Haïssable» nous clame

Blaise Pascal. Ce ne sera pas

 Ce que  reprend  Sigmund  Freud,

Qui ne nous dit s’il est bon ou mauvais

Juste qu’il est  entre le «ça» et le «surmoi»

Et qu’il est le seul intégrateur entre les deux

Y compris lorsqu’il s’agit d’motion, d’émois

Je suis la seule personne qui m’intéresse

Monstre d’égoïsme tant peu altruiste

Au moins, j’annonce

La couleur …  moi !

 .

La forme du personnage moi est bien celle du poème

Et en plus j’ai la grosse tête pour ne penser qu’à moi !

 .

Je ne me connais pas et ne me fais aucune contrainte

Alors, vous pensez bien, versifier, ça ne peut être moi.

 .

Mais bon, si je me retrouve un peu, dans cette forme,

J’oserai dire que mon fond vaut bien mieux que cela,

Il est quand même un peu simple, ce bonhomme-là !

.

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892 – Je ne sais pas si vous mais moi : dit quoi !

 Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

«Je ne sais pas vous» …………………………….

 Est comme un appel ……………………………

  A penser comme soi………………………………

    Ou à agir comme soi………………………………

.

        C’est comme si …  l’on……………………..

               Entrevoyait et clairement………………………

             L’effet du comportement……………………..

                Qu’on s’apprête à adopter………………………

.

    Un conseil reste un conseil,

          Précieux, et à nul autre pareil,

             Pour savoir il faut expérimenter

               C’est ainsi qu’expérience est née.

.

                            Le doute, la réflexion, le conseil :

                             Trois piliers d’une mure décision,

                             Qui n’engagera, ensuite, que vous

                               Mais, êtes-vous prêt  à l’assumer !

 .

    Je ne sais pas si vous, mais moi : ……………………………….

Qu’entend-ton par cette phrase-là,………………………….

 D’exprimer, assumer, son opinion, ………………………..

            De vous prendre à témoin, raison !………………………………

.

 Je ne sais pas si vous… mais moi :…………………..

Pensez, faites, ce que vous voulez …………………

        Cela n’aura pas d’incidence ma foi……………………

           Je suis sûr de mon fait, ma vérité !…………………..

.

  Je ne sais pas si vous … mais moi :…………

  Je doute de tout ce que l’on me dit,……….

       Je m’interroge, et je ne crois, pardi………..

       Que ce que je touche, je vis et vois……….

.

  Je ne sais pas si vous …  mais moi :

     Je me sais moins naïf  qu’autrefois,

       Car je ne réfléchissais pas…autant,

           J’obéissais à dieu, au roi … au vent.

.

                Je ne sais pas si vous … mais moi :

                   Etc. on pourrait allonger cette liste

                     Pour une autre, se mettre en piste,

                        Sans qu’on la tarisse, ni atermoie.

.

                                 Je ne sais pas si vous …  mais moi :

                                 J’avais envie de faire…pied de nez

                                     À la demi-phrase qui n’en est pas,

                                          Pour la mettre en couleur poétisée.

.

Extensions 

.

Je ne sais pas, est un aveu d’ignorance.

Et à votre place, est une projection de soi.

Mais les deux peuvent être compatibles s’ils

Sont très proches et totalement inefficaces s’ils

Sont trop distants : romanciers ont cette capacité

À se mettre dans la peau, dans la tête du personnage,

Dans un rôle : cela bien que semblant réaliste, crédible,

Reste un exercice virtuel, imaginaire  car, dans la réalité

Il peut en être tout autrement  et alors  il n’y aurait  pas de

«Deux machina» pour vous tirer de cette  mauvaise  affaire !

.

«S’il faut aider les autres à s’aider eux-mêmes»,

En ce cas, les éclairer pour prendre leur décision

Mais il ne faut pas la forcer, la prendre à sa place :

Pour la bonne, et la seule raison, que l’on y est  pas

Et qu’on ne pourrait l’être et puis la motivation doit

Venir de soi, de l’intérieur, et non pas d’une pression

Externe comme une sorte d’obligation qui vous dirait :

«Que veux-tu, je n’ai pas le choix, c’est prédit, destiné !»

Mais si justement puisque c’est ce que l’on vous propose !

.

Chacun sait que les conseilleurs ne sont pas les payeurs

Et, qu’ils n’auront aucun compte à rendre, à l’heure,

Où les choses tournent mal ou en sens contraire.

Un engagement de méthode, non de résultat

Voilà ce qui les qualifient et les renient.

Et cependant comment s’en passer,

En Monde  des plus  compliqués.

Si j’étais vous, dit le fou du roi,

Le roi le suis ou ne le suis pas.

.

On ne devrait pas donner de conseils directs

Qui ressemblent plus ou moins à injonctions

Que des aides, des exemples, des arguments,

Pour leur permettent d’affiner leur décision.

.

Ce n’est pas facile même pour le bien des gens

Mais quand la décision vient d’ailleurs qu’eux

Une fois sur deux, ils courront  droit  à l’échec,

Par surestimation autant que sous-estimation.

.

La variable personnelle est appelée motivation

On a beau avoir des capacités, sans volonté

Rien ne se passe comme cela devrait

On  ne le pense jamais assez !

.

Fragments

.

Quand chacun y va de son couplet,

Personne n’entonne le même refrain

.

Ou encore chacun voit midi à sa porte,

Personne ne l’ouvre pour tout assumer.

.

Vues des uns ne sont pas celles des autres

Est-ce un vrai mal ou est ce plutôt un bien !

.

Si ce n’était pas ainsi, ou serait la démocratie,

Une seule vue, opinion, tête et c’est la dictature

.

Mêmes escaliers servent à monter et à descendre,

L’escalier social sert à retenir d’autres, d’y monter !

.

Je ne sais pas pour qui vous allez prochainement voter

Mais moi je sais et je vous conseille de voter comme moi

.

Voilà une affirmation qui souvent ne tient sur presque rien

On votera pour une personne sans connaitre son programme

.

Mon opinion, comme citoyen, restera toujours bas de l’échelle :

Je ne sais pas si vous… en matière de politique, j’hésite à monter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

JE NE SAIS PAS BIEN

 «Je ne sais pas vous» …………………………….

 Est comme un appel ……………………………

  A penser comme soi………………………………

    Ou à agir comme soi………………………………

.

        C’est comme si …  l’on……………………..

               Entrevoyait et clairement………………………

             L’effet du comportement……………………..

                Qu’on s’apprête à adopter………………………

.

    Un conseil reste un conseil,

          Précieux, et à nul autre pareil,

             Pour savoir il faut expérimenter

               C’est ainsi qu’expérience est née.

.

                            Le doute, la réflexion, le conseil :

                             Trois piliers d’une mure décision,

                             Qui n’engagera, ensuite, que vous

                               Mais, êtes-vous prêt  à l’assumer !

SI VOUS : MAIS MOI …

    Je ne sais pas si vous, mais moi : ……………………………….

Qu’entend-ton par cette phrase-là,………………………….

 D’exprimer, assumer, son opinion, ………………………..

            De vous prendre à témoin, raison !………………………………

.

 Je ne sais pas si vous… mais moi :…………………..

Pensez, faites, ce que vous voulez …………………

        Cela n’aura pas d’incidence ma foi……………………

           Je suis sûr de mon fait, ma vérité !…………………..

.

  Je ne sais pas si vous … mais moi :…………

  Je doute de tout ce que l’on me dit,……….

       Je m’interroge, et je ne crois, pardi………..

       Que ce que je touche, je vis et vois……….

.

  Je ne sais pas si vous …  mais moi :

     Je me sais moins naïf  qu’autrefois,

       Car je ne réfléchissais pas…autant,

           J’obéissais à dieu, au roi … au vent.

.

                Je ne sais pas si vous … mais moi :

                   Etc. on pourrait allonger cette liste

                     Pour une autre, se mettre en piste,

                        Sans qu’on la tarisse, ni atermoie.

.

                                 Je ne sais pas si vous …  mais moi :

                                 J’avais envie de faire…pied de nez

                                     À la demi-phrase qui n’en est pas,

                                          Pour la mettre en couleur poétisée.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Deux escaliers superposés

Un plus grand et un plus petit

 Avec un palier en vue d’’accéder

 Au  premier étage  ou   grenier ?

.

892 4

.

La pente de l’escalier   est  assez  raide

Pour accéder  à  mon  plus  haut  étage,

À moins que ne ce soit   pour descendre

Et alors jusqu’à mon  plus bas niveau.

 .

Symbolique  

 .

                                      L’escalier est le symbole de la progression vers

                                           Le savoir, de l’ascension  vers  la connaissance,

                                             La lumière, et qui sait, de la transfiguration !

 

                        Il relie ce qui est en haut à ce qui est en bas.

                         Mais  il revêtirait  aussi  un aspect négatif :

                         La descente,  ou la chute et voire le retour

                  À la matérialité, au monde souterrain.

 

Il faut l’emprunter  pour apprendre à ………

           Se connaître, et ce sur tous les plans……………….

                 Nous descendons en nous, accédons…………………..

                        Aux niveaux  conscience supérieure………………………..

           Modifié, source : grandreves1234.blogspot.com

 

.

Fond

.

Évocation 

.

892 6

.

La pente de l’escalier est assez raide

Pour accéder  à  mon  plus  haut  étage,

À moins que ne ce soit pour descendre

Et alors jusqu’à mon  plus bas niveau.

Symbolique

Si la montée est censée

Représenter symboliquement

Les aspirations, et le désir de s’élever,

La descente, elle, représente une

Décompression, une phase

De remises en question

Sans qu’il y ait échec

À la clé.

.

Descendre un escalier :

C’est quitter quelque chose,

La tranche de son histoire,

Est bien déjà derrière soi.

Et soit on repart satisfait

Parce  que l’on a su faire

Le tour d’une question,

Soit  on a  de la peine

À liquider un passé.

wikireve.fr/dir/3408-descendre

 .

.

Fond/forme 

 .

Je ne sais pas si vous mais moi … répété sept fois,

Cela fait autant de marches d’escaliers à monter

Et il en reste pour atteindre son plafond de verre !

Cela rime avec hauteur, avec profondeur, valeur,

Utilise même rime et rythmique à chaque strophe

Pour autant cette forme n’épousera rien du fond

Dans la mesure où je ne suis pas vous mais moi.

.

 Textuels et illustrations   >>   

891 – Etre tourné vers soi, tourné vers les autres

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Égoïsme  ou  altruisme

Ou un mélange des deux.

Un intérêt très personnel,

Peut satisfaire l’universel.

Comme ouvrir entreprise

Pour faire  des bénéfices,

Crée  emplois  nouveaux

Donc,  salariés heureux.

Et, le contraire, autant,

Un intérêt dit  général,

Peut  servir  personnel

Difficile de les opposer

Et  sans… se tromper !

Avant   de   prétendre,

D’être  bien  altruiste,

Peser le pour et contre.

 .

On a coutume d’opposer les gens

Étant tournés vers les autres aux gens

Tournés vers eux-mêmes et ce en désignant

Les premiers en altruistes, et seconds, égoïstes.

Or la réalité est plus simple, plus brutale que cela

Nous sommes tous, humains, égoïstes, point final !

.

Nous défendons point de vue, issu de notre histoire,

Notre intérêt avant toute chose, fruit de l’éducation

Ça peut être une question de degrés, de contextes,

De périodes, de solidarités mais, par définition,

Nous ne nous effacerons pas pour épouser

Entièrement le point de vue de l’autre.

.

Il est certain que ce n’est pas en se

Regardant le nombril et  en permanence

Que l’on va découvrir qui l’on est réellement.

Le point de vue d’autrui est, toujours, prééminent

Sur le sien, qu’on le veuille, ou non, et instamment !

.

Au travers des autres plus qu’à l’intérieur de soi-même,

Que l’on parviendrait à cerner, sa véritable, personnalité.

Socrate dit : «Connais-toi toi-même» en incluant les deux

Tant c’est ce va et vient, et, ce croisement  entre les  deux,

D’intérieur vers l’extérieur  qui permettent de découvrir,

De  compléter, voire affiner, au  mieux,  les   constantes,

Et les dynamiques les plus profondes de notre identité,

S’autoproclamer : poète, philosophe, écrivain, artiste.

.

Il vaut mieux se laisser  nommer » par ses lecteurs

Lors ce sera au travers  des histoires des autres

Que votre fiction gagne  bien plus en réalité,

En véracité sinon voire en vraisemblance.

Aller vers les autres   c’est rechercher,

Trouver ce qui fait  sens commun,

Ce qui ressemble, diffère de nous.

.

Extensions 

 .

Tout porte, dans notre éducation, société, à être individualiste

Et que «les meilleurs gagnent» et si, beaucoup, ce sera mérité !

Avec des contextes, et des arguments de ce type : être altruiste,

Devient une vocation  qui va bien au-delà de l’intention d’aider.

En réalité, la plupart des gens sont entre deux, alternativement,

Ils donnent sous le coup du moment, de l’émotion, de l’actualité

Et le reste du temps, ils capitalisent, et se servent : eux d’abord.

 .

L’idéal serait de trouver l’équilibre

Entre tourné vers soi, vers les autres :

Trop tourné vers soi fait de vous égoïste,

Et trop vers les autres, fatigue de n’être pas.

.

Il en est ainsi dans de nombreuses associations

Le matin pour y contribuer, la faire durer, aimer

L’après-midi pour ses loisirs, passions, hobbys

Mais je m’en tiens là aux inactifs, retraités.

.

Les jeunes aussi donnent de leur temps

Ils n’ont encore ni métier ni enfants

C’est plus dur  pour les parents,

Altruistes pour leurs enfants.

.

Fragments

.

Connais-toi toi-même, dit Socrate

Tant il est vrai  qu’on prétendrait,

Bien connaitre les autres, pas soi,

Monde à l’envers, tout de même,

Comme de ne pas se reconnaitre

En se regardant dans son miroir

Et bien voir, l’autre, derrière soi.

.

Être tourné vers soi n’empêchera

Pas de l’être aussi  vers les autres

Tourner vers soi, pour s’affirmer ;

Tourner vers autres pour les aider

Ou, pour le moins, communiquer,

Son compassion,  compréhension.

.

Coiffe de jeune femme bigoudène,

Pourrait être perçue prétentieuse,

Alors qu’elle simple un couvre-chef

Destinée à se distinguer  des autres,

Pour mieux communiquer avec eux.

.

Dominante en coiffe, dominée par elle

L’on ne s’affirme qu’à travers les autres

Lors certains s’affirment pour les autres

N’être tourné que vers soi or ritournelle.

.

S’affirmer sans les autres, avec, et pour,

Restent trois situations  très différentes,

La troisième, sûre, sera  la plus  aidante.

.

Dans quelle situation, vous situerez-vous,

Un peu les trois sans doute selon humeur.

.

J’aimerais être toujours dans la dernière !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Égoïsme ou altruisme

Ou un mélange des deux.

Un intérêt très personnel,

Peut satisfaire l’universel.

Comme ouvrir entreprise

Pour faire  des bénéfices,

Crée  emplois  nouveaux

Donc,  salariés heureux.

Et, le contraire, autant,

Un intérêt dit  général,

Peut  servir  personnel

Difficile de les opposer

Et  sans… se tromper !

Avant   de   prétendre,

D’être  bien  altruiste,

Peser le pour et contre.

ÊTRE TOURNÉ VERS

On a coutume d’opposer les gens

Étant tournés vers les autres aux gens

Tournés vers eux-mêmes et ce en désignant

Les premiers en altruistes, et seconds, égoïstes.

Or la réalité est plus simple, plus brutale que cela

Nous sommes tous, humains, égoïstes, point final !

Nous défendons point de vue, issu de notre histoire,

Notre intérêt avant toute chose, fruit de l’éducation

Ça peut être une question de degrés, de contextes,

De périodes, de solidarités mais, par définition,

Nous ne nous effacerons pas pour épouser

Entièrement le point de vue de l’autre.

VERS LES AUTRES ?

Il est certain que ce n’est pas en se

Regardant le nombril et  en permanence

Que l’on va découvrir qui l’on est réellement.

Le point de vue d’autrui est, toujours, prééminent

Sur le sien, qu’on le veuille, ou non, et instamment !

Au travers des autres plus qu’à l’intérieur de soi-même,

Que l’on parviendrait à cerner, sa véritable, personnalité.

Socrate dit : «Connais-toi toi-même» en incluant les deux

Tant c’est ce va et vient, et,   ce croisement  entre les  deux,

D’intérieur vers l’extérieur      qui permettent de découvrir,

De compléter, voire affiner       au  mieux,  les    constantes,

Et les dynamiques les plus        profondes de notre identité,

S’autoproclamer : poète          philosophe, écrivain, artiste.

Il vaut mieux se laisser               nommer » par ses lecteurs

Lors ce sera au travers                   des histoires des autres

Que votre fiction gagne                      bien plus en réalité,

En véracité sinon voire                       en vraisemblance.

Aller vers les autres                            c’est rechercher,

Trouver ce qui fait                                sens commun,

Ce qui ressemble                                diffère de nous.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un buste, et une tête féminine,

Surmontée d’une coiffe bigouden: 

Une femme qui voudra s’affirmer

Par ses origines … quimpéroises!

.

891 4

.

Évocation

 .

La coiffe bigouden est un symbole

Connu, pour la Bretagne :

Elle est une manière de se distinguer,

S’affirmer auprès d’autres.

Si la coiffe est bien rendue, par contre

Le corps de la femme est plutôt d’une vieille

Comme on en voit sur les anciens tableaux !

 .

Symbolique

 .

La coiffe est une

Forme de couvre-chef

En tissu porté par les femmes.

Autrefois  destinée  au  double  usage

De dissimulation du visage, de chevelure,

Protection de la tête, la coiffe est devenue

Dans le civil, un accessoire de mode.

.

On recensera dans la plupart des

Provinces françaises des coiffes.

Si lors, certaines  ne concernent

Qu’une seule commune de région.

.

La coiffe est désormais un élément

Du  costume  folklorique, mais  aussi

Du costume de certains ordres religieux.

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

891 6

.

La coiffe bigouden est un symbole

Connu, pour la Bretagne :

Elle est une manière de se distinguer,

S’affirmer auprès d’autres.

 .

Symbolique 

 .

S’affirmer c’est le nouveau courage.

Que ce soit au bureau, entre amis, en famille,

Le besoin de s’affirmer n’a jamais été aussi présent.

Dire oui, non, oser s’engager, sans violence, agressivité,

Relèveraient même d’une nouvelle forme de…  bravoure,

Nous explique clairement le philosophe Michel Lacroix.

Notre sensibilité collective et individuelle, évoluent :

Lors ce qui nous faisait vibrer il y a … trente ans

Ne nous intéresse plus forcément aujourd’hui.

Modifié, source : psuychologie.com

 .

Fond/forme 

 .

S’affirmer

Est   une nécessité

 Dans  le Monde  déjà, pour

Se faire connaitre, et se reconnaitre,

Pour ne pas se faire marcher sur les pieds

S’affirmer, c’est aussi s’assurer et s’assumer.

Il est certain que femmes le font plus qu’hier

Mais ce n’est pas aux dépends de hommes

C’est juste à leur côté et différemment

Je ne vais pas me faire le chantre

Ni du macho ni

De la féministe,

En leur lutte de substitution.

Voilà une jeune femme qui s’affirme… haut et fort

On a connu des hommes en chapeau haut de forme

Elle mixte en fait un peu les deux dans une égalité

Dominante par sa coiffe,  dominée par son voile,

C’est cela même la maitresse femme bretonne !

Cela dit elle correspond pour partie au fond,

Tournée vers elle pour se parer, s’affirmer

Vers les autres pour les aider, diriger !

.

.

Textuels et illustrations  >>  

890 – Si j’étais vous : ne le suis pas, ne peut l’être !

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Si j’étais vous

On peut    le dire

On  peut l’en tendre

Voire le  sous-entendre,

En rien  vous remplacer,

C’est hors  de question

C’est hors de portée,

Ce serait … vous

Téléguider !

 .

Certes on peut

Vivre par procuration

Mais non par substitution.

Chacun est responsable de lui

De ses états, et de ses décisions.

Et cela resterait vrai selon les lois

Qui ne sont  édictées, par choix,

Personnels,   mais consensuels

Pour ne pas vivre par autrui.

 .

Si j’étais… vous,

Je ne le…suis pas

Et ne… puis l’être,

Et …  en aucun cas.

Voilà qui est bien dit

Tant  vivre  à  la  place

De   quelqu’un   d’autre

Est  plus  qu’improbable

 .

Bien que tous, en partie,

L’on s’en …   approche :

Bien que, tous, à demi,

L’on s’en … accroche,

Mis à part questions,

De sexe, d’âges, race,

Laissant leurs traces,

En  profonds  sillons !

 .

Hors toute vie, unique,

Toutes vies sont pratiques,

Sont communes et sexuelles,

Participent aux fonds culturels

Qui nous rendraient fraternels,

À  quelques  différences  près.

Être, parfois, trop sensible,

Être,   parfois, trop   blindé,

Et  si l’on  parle  d’émotions,

Nous aurions tous les mêmes,

Si l’on parle pensées, sentiments,

Sommes entre les deux extrêmes.

.

Extensions

.

Le réservoir, la forme, et l’expression de nos émotions

Ont peu varié depuis apparition, socialisation de l’homme.

Ceci est dû, en grande partie, au fait qu’ils nous… échappent,

On en n’a pas la maitrise, le pouvoir de les contrôler ni diriger.

La pensée et l’émotion sont souvent intimement mélangées

Et si, parfois, ils se prêtent main forte : l’émotion devient

Un accélérateur de pensée, or le contraire existe autant,

Pensée bridée par vague d’émotions, la submergeant !

De dire « si j’étais vous » alors que vous ne l’êtes pas

Dans le même état émotionnel et situation qu’autre

Entrainera, des fois, un rejet bien massif  du genre

«On voit  bien  que  vous n’y êtes  pas, et, que cela

Ne vous fait ni chaud ni froid ne me jugez pas»

L’empathie permet de voir bonheur, ou douleur,

De l’autre mais ce n’est pas un facteur génétique

Tant tout dépend de votre analyse psychologique.

Je me garderai bien de donner un conseil à l’autre

Que je ne m’appliquerais pas si j’étais dans son cas.

Mais parfois, je ne puis l’être, en son cas par exemple

S’il est débile mental ou infirme moteur, voire les deux !

.

Se mettre à la place de quelqu’un, sans l’être, lui ressembler,

On peut le faire, en esprit, en endossant un rôle, un caractère

Un homme peut jouer le rôle d’une femme et réciproquement

Mais rien à voir avec ce qu’il, ou elle, est physiologiquement.

Nombre de femmes envient les hommes,

Sans vouloir le devenir,  complètement !

Il y a une continuité entre les deux sexes,

Et en dépit de ce fait, une vraie différence.

.

Si j’étais vous mais est-il vraiment possible

De se mettre  à la place  d’un autre, sans

Projeter une partie de soi, son histoire

Les conseilleurs ne sont pas payeurs.

.

Dans nombre de situations capitales

La décision n’appartient qu’à celui qui

La prend pour être à même de l’assumer

En cas, d’erreurs, d’échecs, de désillusions.

.

L’on aura tous connu des mariages arrangés,

Dont les divorcés ont porté leur raison sur ceux

Qui avaient servis d’intermédiaires parfois forcés,

Dans un choix libre, on assume mieux, séparation.

.

Si j’étais vous mais en fait, je ne l’aimerais pas trop,

Et puis, j’ai déjà  tellement  à faire … pour moi-même

Donner des pistes  pour ne pas faire les mêmes erreurs,

Pourquoi pas mais en aucun cas, prétendre aller au-delà.

.

Fragments 

.

On ne peut se mettre à la place de l’autre

Même si on le connait, qu’il est familier :

On ne peut que l’écouter  et lui faire part

De notre expérience, des choix possibles.

Ce sera  toujours, et, en dernier recours,

À lui d’en décider, et lui qui l’assumera,

On ne peut qu’aider, pas se substituer !

.

Si j’étais vous, mais … je ne le suis pas,

Aurait  du sens pour choix commercial,

Mais s’il s’agit d’un partenaire, ou mari,

Pas lieu d’interférer, seulement informer

Sinon l’échec vous reviendra en la figure,

En forme : je n’aurais jamais dû t’écouter.

.

C’est souvent plus facile  de trouver solution

À un problème quand on n’est pas en situation

Ou pas la même, exactement, le contexte diffère

Si ce n’est liée à son histoire … très personnelle.

Occupez-vous, non de moi, mais de mes ailes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

Si j’étais vous

On     peut    le …  dire

On   Ô  peut l’en  Ô  tendre

Voire le    //    sous-entendre,

En rien  //   vous remplacer,

C’est hors  === de question

C’est hors de portée,

Ce serait … vous

Téléguider !

SI J’ÉTAIS

Certes on peut

Vivre par procuration

Mais non par substitution.

Chacun est responsable de lui

De ses états, et de ses décisions.

Et cela resterait vrai selon les lois

Qui ne sont  édictées, par choix,

Personnels,   mais consensuels

Pour ne pas vivre par autrui.

VOUS :

Si j’étais… vous,

Je ne le…suis pas

Et ne… puis l’être,

Et …  en aucun cas.

Voilà qui est bien dit

Tant  vivre  à  la  place

De   quelqu’un   d’autre

Est  plus  qu’improbable

NE LE SUIS PAS :

Bien que tous, en partie,

L’on s’en …   approche :

Bien que, tous, à demi,

L’on s’en … accroche,

Mis à part questions,

De sexe, d’âges, race,

Laissant leurs traces,

En  profonds  sillons !

NE PEUT L’ÊTRE !

Hors toute vie, unique,

Toutes vies sont pratiques,

Sont communes et sexuelles,

Participent aux fonds culturels

Qui nous rendraient fraternels,

À  quelques  différences  près.

Être, parfois,       trop sensible,

Être,   parfois,       trop   blindé,

Et  si l’on  parle         d’émotions,

Nous aurions tous        les mêmes,

Si l’on parle pensées,     sentiments,

Sommes entre les deux       extrêmes.

.

Forme

.

.

 

Évocation

 .

La silhouette d’une femme,

 Et voire la vôtre, inconnue :

Qui le sait, si l’on ne voit 

Pas son vrai visage ?

890 4

.

 

Déjà qu’un homme éprouvera

Du mal   à se mettre  à la place

D’une femme  ou  de la sienne :

Que dire de celle de l’inconnue !

 .

Symbolique

 .

Femme

A symbolique

Très  riche  et  qui

Évolue au fil du temps.

Toutefois, a toujours

 Évoqué la fécondité,

La pureté,

Mais aussi, paradoxalement, le vice.

À partir du xxe siècle des mouvements

Féministes sont apparus pour tenter de

Rétablir un équilibre entre les hommes

Et femmes, et de rétablir les droits

De femmes, et, désormais, ces

Mouvements occuperaient

 Une  place   importante

Dans le débat public.

Modifié : 1001 symboles

 

.

Fond

.

Évocation

.

890 6

.

Déjà qu’un homme éprouvera

Du mal   à se mettre  à la place

D’une femme  ou  de la sienne :

Que dire de celle de l’inconnue !

  .

Symbolique 

 .

Des femmes inconnues,

Cheminent, à travers plaintes

 Ou    revendications,  tristesse    ou

 Colère, du doute   à la confiance en soi.

Elles transitent d’une existence fantomale

Où elles n’ont de voix en leur propre histoire

 Jusqu’à   l’affirmation   de  leur  forme de vie.

Le      personnage   est    lui-même    le    nom

D’une       famille       ou    d’une     série    de

Personnages          qui             déclineront

Une     même                 problématique

Selon        plusieurs      versions

Comme     s’il s’agissait

D’un  héritage

Diversement

U-ti-li-sé.

cairn.info/revue-internationale-

de-philosophie-2011-2

 .

.

Fond/forme 

 .

Quand on a dit la femme on a tout dit et rien dit

Et par rapport aux hommes, il n’y aura pas  deux

Qui soient  complétement identique dans sa façon

D’être de s’habiller, de se mouvoir, de s’émouvoir,

Au point que certains les qualifieront fantaisistes.

.

La silhouette,  animée,  d’une  femme, inconnue

Habillée d’une robe longue, chaussée de souliers,

Probablement libre de rimer, rythmer à sa guise

Et semblant esquisser un pas de danse avec vous

Vous êtes bien face à elle, ne vous substituez pas !

.

 Textuels et illustrations  >>  

889 – Fête de la musique : faites de la musique !

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Fête, faites la fête,

Curiosités grammaire

Belle phonétique de fait,

Évoquant toute musique !

La Fête de  la Musique  est

Institution internationale,

À laquelle  tout le monde,

Spontanément participe.

 .

L’on sort  dans  les rues,

Ou  l’on  résonne  en  bars,

En   do   ré  mi   fa   sol   la   si,

Tous debout, voire tous assis,

Tant  tous  les styles  jouent

Leurs  partitions,  et  dont

Certains    sont   dansants

Lors,  d’autres,   planants.

.

Et faites   propre musique

Et même si votre musique

Se répète on aimera autant

Beaucoup, passionnément !

Lors elle se joue dans les rues

Les cafés, ses salles,  podiums,

Ou, sur ici ou là, des planchers,

Afin de se bouger, ou de danser,

Du rock au reggae, jusqu’au rap,

Ou, de la country  aux claquettes,

De la salsa, au tango,  au musette :

Il y a de tout et pour tous les goûts.

.

Des chorales, cadencées,  à tue-tête,

Ajoutent les chants bretons à la fête,

En contrepoints des jeux classiques,

Improvisant mélimélos fantastiques

Où le jazz essaie  de se faire sa place

Discrète, dans les bars,  restaurants,

Tandis qu’airs irlandais  et sonnants

Font danser ceux qui  ne s’enlacent

 .

Depuis  trente ans,  cet art des rues

Hante les villes où anime quartiers,

Où une foule, familiale  ou bigarrée

S’en donne et à cœur joie d’écouter

Ambiance bon enfant, où se mêlent

Amateurs éclairés et professionnels,

Sous soleil parfois, si ce n’est  pluie,

Lors le ciel se met aussi de la partie.

.

On aime  ou ignore  ou  l’on déteste,

Mais c’est convivial  et sans conteste

On est très rarement déçu, ne le reste

Surtout si, pour elle, on  fait un geste.

   Je l’ai, vécu,  ai  senti vibrer chaque fois,

     Avec  des  rencontres  imprévues, parfois,

     Et c’est, aussi, cela,  la  Fête  de la musique,

     De croiser une foule aux  airs  bien mélodiques.

.

Extensions

 .

Faites de la musique, Fête de la musique :

Elle adoucira les mœurs et les cœurs par son plaisir

Partagé, gratuit et qui, à personne, ne nuit,

Même si elle se poursuit encore bonne partie de la nuit.

Une fête que personne ne songe à supprimer

Et à laquelle tout le monde essaye toujours de participer,

Sinon en tant qu’acteur, en tant qu’auditeur.

Ajoutez à cela qu’elle est comme annonciatrice de bel été

Tout proche et que le soleil est, le plus souvent,

Au rendez-vous, favorisant ainsi la musique en plein air.

.

De la musique avant toute chose,  et pour cela préfère l’impair

Professait Paul Verlaine, qui ne connaissait rien de cette fête !

Ici, au podium,  là  à une terrasse de café,

Là au coin aménagé en un café-concert

Quand ce n’est pas un  bout de jardin,

Ou une déambulation dans les rues !

Chacun y va de son instrument préféré, ses couplets, refrain,

Jusqu’à ce que la ville en fête, d’auditeurs, en ait fait le plein.

.

De la musique avant toute chose

Mais, pour cela … pas d’impairs :

Faut répéter à souhait pour la fête,

La rue n’est pas sa chambre d’échos

.

 Il y en a pour tous les styles, auditeurs,

Sur les grandes places, en rues, en cafés,

La ville se transforme en orchestre pluriel,

À défaut d’être symphonique : émotionnel !

.

Boissons coulent à flot … danses s’improvisent,

Certains déambulent comme des saltimbanques

Tard dans la nuit, notes, battements,  résonnent,

Comme tout un cœur de l’Humanité : en chœur.

.

Fragments

.

Musique

Art de combiner des sons d’après des règles

Qui sont variables selon les lieux et les époques,

D’organiser une durée avec des éléments sonores

Et productions de cet art, en sons et en œuvres.

Suite, ensemble de sons rappelant la musique.

Tel que bruit, harmonie, mélodie, murmure.

Derrière cet art, il y a aussi une science.

.

Les notions  et  les  signes :

Relatifs à la durée des sons ;

Relatifs à l’intensité des sons.

Relatifs à la hauteur  des sons.

.

Poésie : de la musique avant toute chose

Dit Mallarmé, et pour cela, préfère l’impair !

La musique traditionnelle celtique se joue à la harpe et non

avec des instruments à vent qui sont réservés à la guerre

ou la récréation.

Tout harpiste était capable de jouer selon trois modes : sommeil,

sourire,  lamentation.

La musique du rêve est teintée de joie et d’harmonie, accord parfait

entre le corps et l’esprit comme dans une danse. Image de l’unité

dans la diversité.

La musique peut être l’expression d’émotions ou de sentiments

que nous ressentons pour une personne chère avec laquelle

nous avons atteint une rare harmonie ou l’accord profond

que nous éprouvons entre les différentes instances

de notre personnalité.

 .

La pratique d’instrument de musique

En amateur, en loisirs, à temps perdu,

Est différente  de celle professionnelle,

Qui le pratique deux heures par jour !

.

En deux cas, il peut s’agir de passion

Le statut, le public n’est pas le même,

On se dira moins exigeant d’amateur,

Lors on ne payera pas pour l’écouter !

.

Y a pas de début ni de fin en musique,

Un enfant, primitif la pratique autant :

Il suffit d’acquérir rythmes et mélodies,

Après qu’importe sans, avec instrument.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Fête, faites la fête,

Curiosités grammaire

Belle phonétique de fait,

Évoquant toute musique !

La Fête de  la Musique  est

Institution internationale,

À laquelle  tout le monde,

Spontanément participe.

FÊTE DE

L’on sort  dans  les rues,

Ou  l’on  résonne  en  bars,

En   do   ré  mi   fa   sol   la   si,

Tous debout, voire tous assis,

Tant  tous  les styles  jouent

Leurs  partitions,  et  dont

Certains    sont   dansants

Lors,  d’autres,   planants.

LA MUSIQUE 

Et faites   propre musique

Et même si votre musique

Se répète on aimera autant

Beaucoup, passionnément !

Lors elle se joue dans les rues

Les cafés, ses salles,  podiums,

Ou, sur ici ou là, des planchers,

Afin de se bouger, ou de danser,

Du rock au reggae, jusqu’au rap,

Ou, de la country  aux claquettes,

De la salsa, au tango,  au musette :

Il y a de tout et pour tous les goûts.

FAITES DE

Des chorales, cadencées,  à tue-tête,

Ajoutent les chants bretons à la fête,

En contrepoints des jeux classiques,

Improvisant mélimélos fantastiques

Où le jazz essaie  de se faire sa place

Discrète, dans les bars,  restaurants,

Tandis qu’airs irlandais  et sonnants

Font danser ceux qui  ne s’enlacent

LA MUSIQUE 

Depuis  trente ans,  cet art des rues

Hante les villes où anime quartiers,

Où une foule, familiale ou bigarrée

S’en donne et à cœur joie d’écouter

Ambiance bon enfant, où se mêlent

Amateurs éclairés et professionnels,

Sous soleil parfois,  si ce n’est  pluie,

Lors le ciel se met   aussi de la partie.

On aime ou ignore        ou l’on déteste,

Mais c’est convivial        et sans conteste

On est très rarement       déçu,  ne le reste

Surtout si, pour elle,         on  fait un geste.

   Je l’ai, vécu,  ai  senti          vibrer chaque fois,

     Avec  des  rencontres             imprévues, parfois,

     Et c’est, aussi, cela,  la              Fête  de la musique,

     De croiser une foule aux                airs  bien mélodiques.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un instrument de musique,

 Probablement, oui mais lequel 

Je parierai pour une flûte droite

Et faite  en bois  plus  qu’en métal.

.

889 4

.

De la musique   avant toute chose,

Mais de la bonne tant qu’à faire,

Lors la fête de la musique sera

L’occasion pour jouer flûte.

 .

Symbolique

 .

Le langage

Musical est,

Pour une part,

Une représentation

De la réalité : le timbre

Instrument se substitue

À l’animal  et à son cri.

Langage musical a—il

Des vertus magiques ?

La musique proposerait

Une sorte d’enchantement

Du Monde comme avec

La  flûte : sans doute,

Si   l’on   considère  que

L’une  de  ses  fonctions  est

D’être aussi langage poétique.

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

889 6

.

De la musique avant tout chose,

Mais de la bonne tant qu’à faire,

Et la fête de la musique  serait

L’occasion pour jouer de la flûte.

 .

 Symbolique 

 .

La Fête de la musique a lieu à travers le monde

Le 21 juin, le soir et la nuit jusqu’au lendemain matin.

.

Elle est actuellement célébrée dans une centaine de pays.

Divers festivals de musique participent  à la fête populaire.

.

Sous slogan homophone à son nom «Faites de la musique»,

Elle encourage les musiciens amateurs à se produire enfin

Et bénévolement dans les rues, les cafés, espaces publics.

.

De nombreux établissements sont autorisés à rester

Ouverts plus longtemps pour accueillir le public.

Modifié et mis en forme, source : Wikipédia

 .

.

Fond/forme 

De la musique avant toute chose, toutes les musiques,

Des plus douces, lyriques aux plus fortes, dynamiques

Faites et fête de la musique en  homophonie, en rue,

Il n’y a plus de pro ni d’amateur, tous musiciens égaux.

.

Une manif qui réconcilie au lieu de diviser ou fâcher

En plus européenne et en nombreux autres pays

Vous avez droit aux fausses notes et couacs

Si ce n’est sur le sol, ce sera la, sur le do :

Personne n’en tient rigueur, que merci.

.

Flûte alors, la fête de la musique est très gaie

Une fois l’an, toutes les musiques seront de sortie

Mêlant rimes, rythmes, mélodies, chant, chorale

Dans de mêmes et profonds et populaires élans :

Tout va pour le mieux et pour la forme et le fond.

.

Textuels et illustrations  >>  

888 – Laissez-moi vous imaginer, regarder !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Pouvoir deviner

Qui   est  quelqu’un

Rien qu’à le regarder,

Voire  lire  ses  pensées,

Et rien    qu’à     le   fixer,

Est tout un art consommé

D’une   forte   personnalité,

Tant, dans traits  du visage,

Quelques   traces, passages,

D’événements,  marquants,

Y seront à peine esquissées.

 À l’inverse, on devine alors

Que l’attrait n’ira pas  fort,

Comme si le magnétisme

Est d’ordre repoussant,

Assez pour être ami,

Pas  pour  amant,

Ni maintenant

Ni plus tard

Jamais.

 .

Laissez-moi  imaginer

Rien qu’à  vous regarder

Entendre, sentir, toucher

Vous  êtes plutôt ceci

Vous  n’êtes pas  cela

En vous, tout indique,

Vous êtes  sympathique.

Rien n’indique si sommes

Faits  pour nous entendre,

Juste nous écouter défendre

Point de vue femme  homme.

.

Laissez-moi, encore, vous imaginer. 

Dites, que  je ne suis pas  votre  type,

Pas même   son prototype.

Je vous  vois mieux, avec

Un être qui vous inspire,

Vous arrache un… soupir

Prometteur, sans échecs,

Car vous  cherchez  l’élu,

Qui  vous aura tant ému,

Que nul autre remplace,

Tant  vous l’êtes, tenace.

.

Laissez-moi, et toujours, vous  imaginer.

C’est vrai que je vous ennuie de le redire,

Vous allez me contredire,

Ne suis que potentiel ami

Absent vos premiers soucis

Et qui vous préoccupent ici,

Ne suis pas âmesœur, nenni,

Pour vous, ne suis que fantôme

À qui manque juste,  ce petit rien

Qui fait que tout devient de magie

Alors qu’on ne s’est encore rien dit.

.

Extensions

.

Laissez-moi … imaginer : l’on imagine les gens

Avant de les voir et même après les avoir vu !

Il nous est impossible, en tous improbable,

De voir les gens tels qu’ils sont vraiment !

Il y a toujours la comparaison avec ceux

Que l’on a connu auparavant, et parfois

Une projection de quelqu’un de précis,

Ayant trait à sa famille, ou, à ses amis.

L’œil comme appareil photographique

Fait bien sûr la différence, rend unique

Et rendra, identifiable, chaque personne

Que l’on rencontre mais le cerveau rajoute

Soustrait des traits, ramène l’inconnu au connu.

Tous les japonais se ressemblent pour un français ;

Tous les français se ressemblent pour un japonais

Mais peu à peu des différences se font jour et l’on

Reconnait, mieux même notre imagination est

Susceptible de nous jouer encore ses tours.

C’est le même : je ne sais pas alors même

On reconnait sa propre femme, de dos,

Rien qu’à son pas, silhouette, allure.

.

Imaginez quelqu’un, quelqu’une, est projeter sur lui, sur elle,

Des attributs physiques, qualités, que l’on souhaite trouver,

Et dès que l’on rencontrerait un portait qui ressemblerait

On pensera qu’il ou elle correspond à ce qu’on cherche !

Ressembler à ne veut pas dire être tout à fait comme

Celui qui ne ressemble à personne est-il un original,

Ou simplement quelqu’un qui n’est pas un modèle.

.

On peut bien avoir l’air, mais pas  la manière,

Disaient, des gens fortunés, nos grand-mères,

On peut avoir l’air être sûr de soi, de son fait,

Donnant le change, sans moindre argument.

.

Dans un couple, allez savoir qui dominerait

L’autre : pas évident malgré les apparences.

Il faut du temps et beaucoup d’observation,

Pour connaitre au-delà propres projections.

.

Les mimiques et les postures s’avèreront être

Significatives sur tempérament, personnalité

Tant s’il y a contradiction avec ce qu’ils disent

Il faudra se méfier de personnages, trompeurs.

.

Certains se fieront davantage à leurs intuitions :

Celui-là, celle-là, je ne sais pas, je ne le sens pas !

Une onde imperceptible entrerait en résonnance,

Qui, avec lui, avec elle, ne ferait pas consonances !

.

Fragments 

.

On ne fait pas que voir, regarder

L’autre en face de soi, le dévisager

On se projette, on s’identifie à lui,

Et on transfère part d’imaginaire.

.

Différence de perception, jugement

Entre le ou la voir sur média photo

Et en interaction directe avec vous,

Où micro signaux vous renseignent.

.

On peut imaginer l’autre, l’entendant,

C’est le cas, au téléphone ou à la radio

Si on le voit et qu’on ne le connait pas

On est souvent surpris du déphasage !

.

En lisant auteur qui n’est pas célèbre,

On peut aussi l’imaginer et l’incarner :

De là à dire qu’il est grand, fort, jeune,

Il peut être tout autant, petit et vieux !

.

Par ailleurs l’air ne fait pas la chanson,

Belle analogie pour dire : on est surpris.

Parlez-en à ceux qui fréquentent les sites

De rencontres, idéal est souvent menteur.

.

Alors t’imaginer, oui, comme personnage

Comme personne réelle, je m’y risquerai :

Il y aura trop de distorsion entre images :

Celle que tu es et celle que j’ai rêvé de toi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Pouvoir deviner

Qui   est  quelqu’un

Rien qu’à le regarder,

Voire  lire  ses  pensées,

Et rien    qu’à     le   fixer,

Est tout un art consommé

D’une   forte   personnalité,

Tant, dans traits  du visage,

Quelques   traces, passages,

D’événements,  marquants,

Y seront  à peine esquissées.  

 À l’inverse,  on devine alors

Que l’attrait n’ira pas  fort,

Comme si le magnétisme

Est d’ordre repoussant,

Assez, pour être ami,

Pas  pour  amant,

Ni maintenant

Ni plus tard

Jamais..

.

************************

************************

.

Laissez   L moi  imaginer

Rien qu’à  A   vous regarder

Entendre    I   sentir, toucher

Vous            S  êtes plutôt ceci

Vous             S   n’êtes pas cela

En vous         E     tout indique,

Vous êtes        Z    sympathique.

Rien n’indique  –        si sommes

Faits pour nous    M     entendre,

Juste nous écouter  O     défendre

Point de vue femme    I    homme.

Laissez-moi, encore, vous imaginer. 

Dites, que  je ne suis pas  votre  type,

Pas même  *         son prototype.

Je vous     I      vois mieux, avec

Un être  M         qui vous inspire,

Vous   A      arrache un… soupir

Pro    G     metteur, sans échecs,

Car    I        vous cherchez l’élu,

Qui    N       vous aura tant ému,

Que   E        nul autre remplace,

Tant   R         vous l’êtes, tenace.

Laissez-moi, et toujours, vous  imaginer.

C’est vrai que je vous ennuie de le redire,

Et vous allez me  *  contredire,

Ne suis que  R      potentiel ami

Absent vos    E  premiers soucis

Qui vous pré   G       occupent ici,

Ne suis pas âme A     sœur, nenni,

Pour vous, ne suis  R   que fantôme

À qui manque juste,   D  ce petit rien

Qui fait que tout devient   E  de magie

Alors qu’on ne s’est encore   R  rien dit.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une base et puis une tour,

Deux plateformes, lanterne :

C’est la perception du phare 

Qui éclaire mon interprétation !

.

888 4

.

Il  y  a  toujours  une  déformation

 Entre perception et interprétation

De ce point de vue l’on ne saurait si

Ce phare est sur terre ou sur mer.

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme

Du rêve de phare

Est très positif.

Il représente la lumière

Qui guidera les hommes.

.

Tout phare   indique une

Direction, un sens sacré,

Et, à l’instar  de  la  tour,

Il  affirme  sa  verticalité.

.

Cette construction possède

Cependant  un sens opposé

Elle est faite  pour être vue

Alors que la tour  est avant

Tout  faite pour voir au loin.

Le phare est porteur de lumière.

tristan-moir.fr/phare

 

.

Fond

.

Évocation 

.

888 6

.

Il y a toujours une déformation

 Entre perception et interprétation

Ça dépendra de l’émotion, de l’action

Tout autant que de jugement personnel.

  .

Symbolique 

 .

Lors

Toutes nos

 Perceptions

 Du   sens  peuvent

 Comporter   une   part

De projection, ou une part

Distorsion,   dues aux qualités

Et aux limites de celui qui évalue.

L’hypothèse d’’autonomie, régularité,

Voire même d’intentionnalité de l’esprit,

Ne serait pas  qu’une  affaire  intellectuelle,

Car le chercheur ne découvrirait bien souvent

Que ce qu’il croit savoir,     ou voire présuppose !

L’adhésion à ce constat jungien,  ne serait rien sans

L’émotion, qui accompagne toute nouvelle expérience.

Modifié, cairn.info/revue

  .

.

Fond/forme 

 .

Les phares avec deux tourelles sont peu communs

C’est peut-être juste pour tester notre perception

Mais pourquoi leurs modèles seraient-ils contraints

Un peu de liberté, fantaisie, comme en versification:

.

Ajoute de l’intérêt ou nous soustrait de la monotonie

Cela dit, rien à voir entre une personne et un phare,

Regarder quelqu’un c’est le distinguer de tout autre.

.

On ne le voit en tant que tel que si on le connait bien

Et lors on n’a plus besoin de le différencier d’autre

La reconnaissance sera immédiate et sans erreur

Si on ne connait pas il faudra coder différences.

.

Textuels et illustrations  >>