143 – De San Miguel à San Sebastian de La Gomera

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

De Tenerife à La Gomera

Bien que le moteur donne

Parfois, quelques … signes,

De mauvais fonctionnement.

Fiable : seule façon d’être fixé,

Est de naviguer, réparer en mer.

.

C’est proche de sport de haut vol

Tout bouge, vacille, est instable

Bateau dérive comme bouchon

Déjà que d’aborder un ponton

Rien  qu’à la voile, seulement

Nous paraissait bien difficile

Et voici que le vent qui forcit

Et ne nous épargnera, en rien.

.

Les dieux  étaient  avec nous

Lors de notre approche, port

Lors au vent, à mer, à bateau

On leur aura confié notre sort

Partis du port  de  San Miguel

Suite à panne  refroidissement

Stoppés à l’entrée pour réparer

Pas un souffle de vent…moteur.

.

À un moins d’un mile  de la cote,

On maintient, tant bien que mal

Le bateau, stationnaire en houle,

Tandis que   le capitaine   plonge

Dans les entrailles de son moteur

Pour réparer encore …  la  pompe,

Qui nous a déjà fait le même coup

À l’entrée avec un sac papier aspiré.

 .

Après une heure, repartis  au moteur,

Ça marche, mais pourvu que ça tienne !

Ah ces gens qui jettent leurs sacs à la mer !

Ça tient, on fonce de nouveau, à cinq nœuds.

Durant trois bonnes heures, le vent … oscillera

À trente et trente-cinq,  pointe quarante nœuds,

On ne peut pas encore parler d’une vraie tempête

Mais, avec les vagues, en travers avant, du bateau,

Gerbes eau frappent franc-bord,  arrosent la capote.

Est-ce début  tempête,  effet de foëne, ou, de venturi ?

Ça secoue, ça grince, ça vibre et ça remue, de partout,

On enfile la tenue complète du marin, lors de tempête,

Et l’on s’attache avec les sangles de sécurité, au bateau.

Le bateau cogne  contre une plus grosse vague, et saute,

S’aplatit sur l’eau, fait vibrer sa coque : impressionnant.

Enfin, le calme revient, peu à peu, et en longeant la côte.

.

Extensions 

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Tant pis pour l’avarie,

Tempête pour la croisette,

Certains  jours, tout va bien,

D’autres  où  rien  ne  convient.

.

Naviguer est prendre du bon temps,

Du plaisir, de la passion mais aussi

 Se payer parfois avarie moteur

Soit par manque de vent

Ou un début de tempête,

Voire par absence de météo.

.

Ainsi va la vie, ainsi vont les choses

Il faut se rendre prêt à parer au pire,

Pour profiter, esprit zen, du meilleur.

.

Une petite journée de navigation

Bien que plutôt mal… commencée,

Nous permet de rejoindre  cette ile,

La Gomera, comme ….  prometteuse

De belles et longues …… randonnées.

Voilà que le vent adonne, à l’arrivée.

L’heure de la tempête  vient sonner

L’équipage tout autant que voilier

Nous jeter en port pour s’abriter.

.

Il  existe, entre  toutes  iles, des  courriers,

Déversant flots  de touristes, à la journée.

Notre moyen  de transport est différent,

Très certainement  moins performant,

Mais dans tous les cas, plus plaisant,

De notre point de vue, évidemment.

.

Mis à part  le problème du moteur,

Le reste était au niveau du bonheur,

Pas de quoi s’ennuyer, vents tournant,

Prise de ris, obligée, de temps en temps

Lors tout le monde se met à la manœuvre

On se croit presque prêt à traverser l’océan.

.

Fragments

.

Oui, encore une nouvelle traversée,

Quatrième pour archipel canaries,

De Lanzarote pour Fuerteventura

Puis Grand-Canaria puis tenerife

.

Plus courte  mais  plus stressante,

Celle de Tenerife pour La Gomera,

Et qui nous laissera, en son sillage,

Un souvenir d’une mer, capricieuse

.

Notre sillage justement lors à la voile

Se fait discret, presque imperceptible

La proue fend la houle puis l’absorbe,

Coque glisse, sur elle, comme radeau.

.

Dès qu’on met le moteur : tourbillons,

 On le pousse peu à peu, tremblements,

Le sillage se voit comme creusements,

Puis disparait au loin, comme illusion

.

 L’approche lors atterrissage en arrivée

Est assez musclée, plutôt  bien agitée,

Mais dès qu’on rentre à l’abri du port

On retrouve vite, à nouveau, confort !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

                                           .                                             

                   De Tenerife  D   à La Gomera

             Bien que le  E  moteur donne

       Parfois quel   *     ques signes,

     De mauvais   S   fonctionnement.

Fiable : seule  A   façon d’être fixé…

Est de navi    N guer, réparer en mer….

C’est proche    *   de sport de haut vol……..

Tout bouge,    M   vacille, est instable……..……

Bateau dérive  I       comme bouchon…………..….

Déjà que d’a    G   border un ponton…….……………

Rien qu’à la    U   voile seulement….…………………..

Nous parais    E sait bien difficile……………………….

Voici que le    L  vent qui forcit…………..……………..

Ne nous épar  *   gnera, en rien…………..…………… .

Les dieux  éta À  ient  avec nous..…..…..…………….

Lors de notre   *  approche, port………………………

 Lors au vent,  S  à mer, à bateau……….….………..

  On leur aura  A  confié notre sort……….………….

    Partis du port N  de San Miguel……….………….

     Suite à panne  *  refroidissement…….…………

         Stoppés à l’en  S  trée pour réparer…………….

          Pas un souffle E  de vent, ni moteur…………

          À un moins d’  B  un mile de la cote….….

             On maintient,   A  tant bien que mal……

               Le bateau sta   S  tionnaire en houle…

                    Tandis que le  T  capitaine ..… plonge

                        Dans les ent    I    railles d’un moteur

                              Pour réparer   A   encore … la pompe,

                                   Qui nous a dé  N   jà fait même coup

                                      À l’entrée avec  *   sac papier aspiré.

.

                         L  A        G  O  M  E  R   A

 .

Après une heure, repartis  au moteur,

Ça marche, mais pourvu que ça tienne !

  Ah ces gens qui jettent leurs sacs à la mer !

Ça tient, on fonce de nouveau, à cinq nœuds.

Durant trois bonnes heures, le vent … oscillera

À trente et trente-cinq, pointe quarante nœuds,

On ne peut pas encore parler d’une vraie tempête

Mais, avec les vagues, en travers avant, du bateau,

Gerbes eau frappent franc-bord, arrosent la capote.

Est-ce début tempête, effet de foëne, ou, de venturi ?

Ça secoue, ça grince, ça vibre et ça remue, de partout,

On enfile la tenue complète du marin, lors de tempête,

Et l’on s’attache avec les sangles de sécurité, au bateau.

Le bateau cogne  contre une plus grosse vague, et saute,

S’aplatit sur l’eau, fait vibrer sa coque, impressionnant !

Enfin, le calme revient, peu à peu, et en longeant la côte

 Rejoignons le port, au moteur, en appui de grande voile,

Et sommes tous les trois heureux d’y être à cette heure.

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Forme

.

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Évocation

 .

Un piédestal  pour  un trophée,

Une sculpture des plus modernes

En haut, le sillage de la croisière,

En accéléré, en bas le môle du port.

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143 4

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Chaque navigation laisse un sillage

 Éphémère, sur la surface  de la mer,

Mais qui laisse parfois sa trace,

En mémoire qui se souvient.

Sillage est un révélateur d’un passage

Si petit soit-il, il laisse sa trace et s’évase

Finit par se perdre dans le flot de l’océan !

C’est pourquoi fond et forme correspondent.

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Symbolique 

 .

                       Le sillage est la trace

                       Qui marquera le passage

                       D’un bateau dans un liquide

                      Ou  d’un avion  dans  les airs.

                        En milieu incompressible d’eaux

                            Les molécules du liquide s’écartent

                                À l’avant du bateau, et elles forment

                                   Une vague qui prend une forme de V,

                                         Et dont l’amplitude décroitra toujours,

                                              Au  fur  et  à  mesure  qu’elle  s’écartera.

                                                    Ces vagues  pourraient être destructrices

                                                          Dans des milieux avec des berges fragiles.

                                                              L’angle formé par le sillage est  égal à 39°.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Chaque navigation laisse un sillage

 Éphémère, sur la surface  de la mer,

Mais qui laisse parfois sa trace,

En mémoire qui se souvient.

.

Symbolique 

.

J’ai comme un trou noir……………

       Au fond  de ma mémoire…………..

          Qui  cache traces sillage ………

           Sous-jacent que je me suis …..

             Employé à oublier, ou non  ….

           Le pire est que lors je veux …

          Les  remettre  en  lumière, …..

        Un  trou  noir  persiste  et …….

      Pour moi, c’est troublant ………..

   Suis certain  de l’avoir vécu ………..

Tout de même mais où, quand …………….

Et  avec  quoi et  pourquoi : cela …………………..

Demeure comme un mystère voilé …………………………..

 .

.

Fond/forme 

.

Sillage fait penser à voyage:

Pour le moins,   un déplacement,

Laissant une trace visible et durable

Mais pas forcément physique, matière

Comme les fragrances d’un fin parfum !

Il devient parfois un synonyme  de voie

À suivre : il les entraine en son sillage.

.

Selon article paru revue Science et Avenir

Une  équipe  française  remettrait  en  cause

La théorie sur le sillage laissé par les bateaux,

En démontrant qu’il ressemblerait à l’onde de choc

D’un avion supersonique franchissant mur du son.

.

Les objets se déplaçant à la surface d’un liquide,

Comme les bateaux ou bien comme les canards

Créent un sillage de vagues formant un « V ».

Un sillage est toujours une trace fragile

Et qui disparait au bout d’un temps

Comme un nuage, un arc-en-ciel. 

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142 – Visite San Cristóbal de la Laguna, Tenerife

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Originaux : poème,  extensions, fragments

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Poème

.

Avec un nom aussi musical que celui-là,

Typé espagnol, difficile de renier

Ses origines, sa localisation,

Bien au sud,

Chargés de soleil, et d’histoire,

D’architecture.

Cette ville bien conservée en état

Depuis  un  siècle,

Habitée depuis, sans rien changer,

Aimée par habitants,

Mérite bien plus que simple détour,

Une journée pleine,

Afin de faire le tour, de ses charmes

Et de ses beautés.

On pourrait y tourner bien des films

En technicolor,

Avec cowboys, croque-mort, et bandits,

En saloons !

.

En plein milieu d’un après-midi, un samedi,

Nous nous rendons en plein cœur de Santa Cruz.

Et prenons le tram, jusqu’au terminus de La Laguna,

Une demi-heure  de  transport et  voilà, nous  y sommes.

Curieusement une ville ancienne et lors prétendue musée,

Pourtant, classée récemment au Patrimoine de l’Humanité,

Est bien déserte, elle semble inhabitée, de touristes, oubliée.

.

L’an passé à la même heure, rues étaient bondées de monde.

Ça nous donne  loisir  d’admirer  les   façades  authentiques,

Marron, jaune et beaux balcons maisons qui les composent

Ayant pas plus d’un étage  sans  aucun étalage modernité.

Point de vue architecture, une  merveille, style  espagnol,

XVIII, XIXème et trois églises, cathédrale majestueuse,

Un peu sobre et sombre mais  âme  bien   hispanique.

.

Impression déjà vu, parcouru, visité, nous aura saisi,

Au point nous sommes assis à la terrasse  d’un café,

À se ré-imprégner  d’atmosphère émotion palpable

Bien que celle  découverte  de ce lieu,  ait disparu.

Rechercherait-on  même  animations, émotions

Difficile à dire tant le fort appétit d’approfondir

Leur connaissance s’est trouvée, partie frustrée

Par répétition de même parcours  qu’an passé.

.

Venir et revenir ont chacun leur désir, plaisir,

Qui sont  différents  et tout  aussi  plaisants,

Si l’on a su garder une âme pure, d’enfant.

San Cristobal de   La Laguna Santa Cruz,

Nous cacherait encore bien des mystères

À découvrir : la visitant, une autre fois.

.

.

Extensions

.

Que dire de plus sinon qu’il faut aller visiter

Cette ville dont le cœur est un vrai musée,

Et à l’atmosphère des plus surannées

Et qui respire de l’âme d’un passé

Où la joie de vivre était actée.

Par ses couleurs chatoyantes

Sous des lumières éblouissantes

Et des parterres de fleurs odorantes

Faisant de cette ville, une étape épatante.

.

San Cristobal de la Laguna :

Ce nom sonne, déjà, à l’oreille

Comme promesse de caractère,

Voire qui plus est, d’authenticité

Et l’on n’y aura guère  été trompé,

En empruntant le tram qui la relie

Directement du centre Santa Cruz

.

Là, ce qui nous aura le plus frappé

Est une architecture harmonieuse,

Jointe à palette  couleurs soyeuses.

L’on remonte le temps d’un siècle :

La ville est restée  comme elle était

Son histoire même, nous stupéfait,

On ne peut trouver cadre plus vrai.

.

.

Fragments 

.

C’est toute la magie d’un tel lieu :

Nous sommes des touristes curieux

De tout ce qui touche à l’architecture

À l’aménagement, de nature urbaniste.

 .

***

 .

Partout, dans le Monde  entier, il existe

Villages, sinon villes entières, préservées

Du temps, comme dans un siècle, figées

Qui émerveillent, émotions suscitent !

.

***

.

Il y a des villages, primés premier,

Comme en France, chaque année,

D’autres seront carrément cités,

Patrimoine mondial UNESCO.

.

***

.

Il existe aussi des concours

De villages, villes, fleuries,

Si ce n’est aménagements

Sportifs et voire culturels.

.

***

.

Mon ile, à moi, fait partie,

Des plus chers et plus belles

Tant à mes yeux et mon cœur,

Demeurant des plus naturelles !

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

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Avec un nom aussi musical que celui-là,

Typé espagnol, difficile de renier

Ses origines, sa localisation,

Bien au sud,

Chargés de soleil, et d’histoire,

D’architecture.

Cette ville bien conservée en état

Depuis  un  siècle,

Habitée depuis, sans rien changer,

Aimée par habitants,

Mérite bien plus que simple détour,

Une journée pleine,

Afin de faire le tour, de ses charmes

Et de ses beautés.

On pourrait y tourner bien des films

En technicolor,

Avec cowboys, croque-mort, et bandits,

En saloons !

.

En plein milieu d’un après-midi, un samedi,

Nous nous rendons en plein   S     cœur de Santa Cruz.

Et prenons le tram, jusqu’au     A  terminus de La Laguna,

Une demi-heure  de  transport      N    et  voilà, nous  y sommes.

Curieusement une ville ancienne     *    et lors,  prétendue   musée,

Pourtant, classée récemment au      C     Patrimoine de l’Humanité,

Est bien déserte, elle semble inha    R     bitée, de touristes, oubliée.

L’an passé à la même heure, rues     I      étaient bondées de monde.

Ça nous donne  loisir  d’admirer      S      les   façades  authentiques,

Marron, jaune, et beaux balcons     T     maisons qui les composent

Ayant pas plus d’un étage  sans      O      aucun étalage modernité.

Point de vue architecture, une      B      merveille, style espagnol,

XVIII, XIXème et trois églises     A     cathédrale majestueuse,

Un peu sobre et sombre mais     L     âme  bien   hispanique.

.

Impression déjà vu, parcouru   D    déjà visité, nous a saisi,

Au point nous sommes assis    E    à la terrasse  d’un café,

À se ré-imprégner  d’atmos         phère émotion palpable

Bien que celle  découverte      L   de ce lieu,  ait disparu.

Rechercherait-on  mêmes     A   animations, émotions

Difficile à dire tant fort         *     appétit d’approfondir

Leur connaissance s’est      L   trouvée, partie frustrée

Par répétition de même    A   parcours   qu’an passé.

Venir et revenir ont cha   G    cun leur désir, plaisir,

Qui sont  différents  et    U    tout  aussi  plaisants,

Si l’on a su garder une  N    âme pure, d’enfant.

San Cristobal de La    A  Laguna Santa Cruz,

Nous cacherait encore bien des mystères

À découvrir : la visitant, une autre fois.

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Forme

.

Évocation

.

Un vase sans fleurs.

Une bouteille, carafe,

Un flacon  de parfum

Ou un verre à l’envers

.

142 4

.

Belle forme de vase, s’il en est,

Peu de résonnances avec le fond :

Vrai que forme se suffit à elle-même.

Le contenant et le contenu, parfois,

Converge, et parfois, divergent,

C’est le cas, ici, et ce, en dépit

D’un beau vase à  fleurs.

.

 Symbolique

 .

Le vase est un contenant :

La boîte, le sac, l’armoire,

Le vase et symbole féminin.

Dans le vase,   on met de l’eau,

Symbole de la vie, de la terre aussi,

Une plante qui pourra s’y développer.

Les alchimistes appelaient  aussi vase

Le creuset  dans lequel ils projetaient

Leurs  transformations, intérieures.

Ce lieu clos, reste propice à l’image

De renfermement sur soi le temps

D’élévation  niveau  conscience,

Lors processus individuation.

.

Fond

.

Évocation 

.

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.

Le contenant et le contenu, parfois,

Converge, parfois, divergent,

C’est le cas, ici, d’un vase

Convergeant fleurs.

 .

Symbolique 

.

Le vase est un symbole féminin.

Le creux du vase évoque celui de l’utérus,

Ventre féminin, contenant des fluides vitaux.

Par la grâce de ses courbes et sa fonction

De réceptacle de fleurs, le vase évoque

Le corps féminin. Les fleurs en sont

Le principe vivant et l’expression

De beauté intérieure rêveuse.

L’eau qu’il contient nourrit

Les fleurs est fluide vital

En énergie bénéfique

Et nourricière.

L’éclat des fleurs est

Le témoin de la bonne

Circulation du fluide vital.

psychologies.com/Therapies/

Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Vase

.

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Fond/forme 

.

Un vase est à la fois un objet

Des plus communs et utiles

Et, des plus artistiques,

Comme tant d’autres !

C’est ce qui fait son intérêt

Il pourra être  creux ou plein

Et ce dans tous les sens du terme

Lors il parait naturel qu’on en fasse

Un  symbole féminin  des  contenances

Autant que fermentation/transformation

De quelque liquide ou matière que ce soit.

On peut même le rapprocher de l’utérus

Comme des creusets des alchimistes !

Ce qui est sûr, c’est qu’on en trouve

Partout dans toutes civilisations

Ce depuis origine d’humanité.

.

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141 – Croisière Las Palmas à Santa Cruz, Tenerife

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Croisière

 En   voilier,

D’ile à autre,

Journée entière

Lui est consacrée,

Des vents irréguliers,

Et courants changeants.

.

C’est un plaisir, de tenir,

Notre voilier,   bien calé,

Sur son cap, et sa route,

Galopant sur une houle,

Comme un fier destrier,

En laissant, derrière lui,

Un blanc sillage d’écume.

.

Hier couchés minuit pour terminer préparatifs,

Réveil à cinq heures pour départ de Las Palmas à six

Il y a beaucoup de choses  à ranger dans notre bateau 

Dont les voiles, et nos trois  vélos pliants, entre autres,

.

Sortis du port, on met les voiles, pour aider le moteur,

Un peu vent, dans le nez, mais on fait avec : ça remue.

.

Miles succèdent aux miles après deux heures au près,

Contournons  pointe Gran Canaria, cap sur Tenerife,

Avec vent de travers et avec un petit temps couvert,

Et nous lanceront nos trois lignes de pêche en mer.

.

Nous retrouvons tous  automatismes de l’an passé,

Et le plaisir d’être au large  au milieu de nulle part

Sauf parfois des cargos, qui en franchissent le rail.

.

Aux quarts, tandis que  l’un veille, l’autre récupère.

Les cargos ne se manifestent guère à part un gazier

Qui nous passe devant,  mais les poissons, non plus.

Nous qui espérons manger ou bonite ou coryphène,

Ce soir c’est plutôt le grand calme plat de ce côté-là.

Mais, jusqu’à notre arrivée, il nous faudra  y veiller,

Tant une mauvaise croisée est parfois si vite arrivée.

.

Nous arrivons en soirée, après douze heures de voile,

Sans encombre à l’entrée du premier port fréquenté,

Qui a rejeté, l’an passé, sous prétexte qu’il était plein.

.

Direction Santa Cruz en espérant qu’il nous acceptera

L’équipière est  aux manœuvres, elle s’en tire très bien

Aux commandes, subira moins de contre-mouvements,

Et en outre une telle  occupation l’empêche de s’ennuyer.

.

Ponton trois, panne nord  une VHF nous fixera notre sort,

Le maitre de port nous attend, sommes parés à la manœuvre,

Nous y sommes, enfin, nous y voilà et c’est pas trop tard, en fin.

.

Extensions

.

Nous poursuivons en direction de Santa Cruz.

L’équipière est aux manœuvres, elle s’en tire bien.

Aux commandes elle subit moins le mouvement

Du bateau, l’occupation l’empêche d’y penser

Notre appel à VHF  nous a fixé notre sort,

Au ponton trois et à la panne nord :

Nous y attendra, maitre de port.

Lors, parés à la manœuvre.

Nous y serons, sommes.

Nous y voilà enfin

Repos comme !

.

Une croisière, qu’elle soit courte ou longue,

Est souvent sujette à nombre d’événements,

Dont les uns, prévisibles et autres, imprévus,

Comme des rencontres avec cargos ou ferries.

Le départ est comme un envol vers un horizon

Lors l’arrivée est un nouveau point de fixation,

Parfois refuge après tempêtes, vents contraires.

S’il nous est arrivé  de faire des ….  faux départs,

Nous avons eu aussi, des arrivées, très en retard.

.

Toute traversée, d’une ile à l’autre,

Est souvent un moment particulier,

On ne sait ce qui peut nous arriver :

Vrai que voilier  est des plus sécure,

En mer, coup de vent pourra casser

Un hauban, une drisse, ou un boot,

Voire déchirer une voile ou capote,

Dérègler notre pilote automatique,

Ou mettre en panne notre moteur.

.

Mais nous ne sommes pas perdus

En l’océan au milieu de nulle part

D’autres bateaux traversent aussi,

Et peuvent dès lors porter secours.

Ce serait vraiment dernier recours

Que d’appeler sur la VHF sécurité

En vingt ans, nous ne l’auront fait

Ce n’est pas aujourd’hui détresse,

C’est classique et bon, en vitesse.

.

Fragments

 .

Une croisière, disons plutôt traversée,

Est moment de joie et d’appréhension :

Non pas tant peur de sombrer, se noyer

Que de subir quelques ennuis, tensions.

.

Première précaution : consulter météo,

Pas qu’au départ, pour toute la journée,

La houle comme la brume peut se lever,

Et des hauts et des bas… de bas en haut.

.

Marin aguerri connait bien son bateau,

Il est paré à tout, quel que soit vent, eau,

Ses réflexes, habitudes, seront en fonction,

Attention à confondre vitesse, précipitation.

.

D’une ile à l’autre, dans ce genre de traversée,

Nous ne sommes pas les seuls, et loin s’en faut,

On croise ou on se fait par des navettes, doubler,

Quand ce n’est pas en traversier, tankers et cargos

.

Sans voiles et sans moteur, notre voilier, à la dérive

Ressemblerait à lampe pigeon sans verre protecteur,

La sortir, au vent, même léger, soufflerait sa flamme,

Si elle s’éteint, de nuit, ca pourrait devenir un drame.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

.

Croisière

 En   voilier,

D’ile à autre,

Journée entière

Lui est consacrée.

Des vents irréguliers,

Et courants changeants.

C’est un plaisir, de tenir,

Notre voilier,  bien calé,

Sur son cap, et sa route,

Galopant sur une houle,

Comme un fier destrier,

En laissant, derrière lui,

Un blanc sillage d’écume.

.

Hier couchés minuit pour termi     C    ner préparatifs,

Réveil à cinq heures pour départ    R de Las Palmas à six

Il y a beaucoup de choses  à ran  O  ger dans notre bateau 

Dont les voiles, et nos trois    I     vélos pliants entre autres.

Sortis du port, on met les  S    voiles, pour aider le moteur,

Un peu vent, dans le    I   nez, mais on fait avec : ça remue.

Miles succèdent    È   aux miles après deux heures au près,

Contournons     R    pointe Gran Canaria, cap sur Tenerife,

Avec vent de       E   travers et avec un petit temps couvert,

Et nous lanceront      *      nos trois lignes de pêche en mer.

Nous retrouvons tous      L      automatismes de l’an passé,

Et le plaisir d’être au large       A      au milieu de nulle part

Sauf parfois des cargos qui en       S       franchissent le rail

Aux quarts tandis que l’un veille,       *      l’autre récupère.

Les cargos ne se manifestent guère à     P     part un gazier

Qui nous passe devant mais les poissons     A       non plus.

Nous qui espérons manger une bonite ou    L   coryphène,

Ce soir c’est plutôt le grand calme plat     M   de ce côté-là.

Mais jusqu’à notre arrivée, il nous    A       faudra y veiller,

Tant une mauvaise croisée est    S    parfois si vite arrivée.

Nous arrivons en soirée     *    après douze heures de voile

Sans encombre à    S   l’entrée du premier port fréquenté,

L’an passé qui     A   nous rejette, sous prétexte, est plein.

Direction Santa  N  Cruz en espérant qu’il nous acceptera

L’équipière est    T     aux manœuvres et s’en tire très bien

Aux commandes   A   elle subit moins contre-mouvements,

Et en outre une telle    *  occupation, l’empêche de s’ennuyer.

Ponton trois, panne nord   C    une VHF nous fixera notre sort,

Le maitre de port nous attend  R   sommes parés à la manœuvre,

Nous y sommes, enfin, nous y voilà   U   et c’est pas trop tard, en fin.

                       Z

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une tourelle marine

Indiquant une  cardinale

Voire une lampe pigeon, 

Ampoule, verre de lampe

.

141 4

.

Dernier recours en cas de casse

Répétée   lampes  tempête  à leds :

Temps passé, petite lampe pigeon  

Éclairant avec son verre bombé.

Une lampe à pétrole et une traversée

Ont en général peu de points communs :

Même si la forme correspond bien à l’objet.

Elle ne nous éclaire en rien sur notre devenir.

.

Symbolique

 .

Lampe Pigeon,  star

Brûlant de tous ses feux

Et  en termes  de sécurité,

Et de coût,  elle a représenté

Un progrès assez considérable.

L’usage  du   pétrole  s’est  répandu

De plus en plus en éclairage domestique

Pour se substituer presque complètement

À celui des bougies en cire, ou des huiles.

C’est le pétrole qui reste, de nos jours,

Le   plus   communément  répandu.

Il est souvent employé par le riche

Plus fréquemment par le bourgeois,

Et presque totalement par le pauvre.

lampe-a-petrole.com/A-propos/La-lampe-Pigeon

.

 

.

.

Fond

.

Évocation

.

141 6

.

Dernier recours en cas de casse

Répétée   lampes  tempête  à leds :

Temps passé, petite lampe pigeon  

Éclairant avec son verre bombé.

.

Symbolique 

.

Le verre,

Au sens commun,

Est   matériau  fragile.

Les        verres       silicatés,

Comme   verres   d’oxydes

Ou de chalcogénures,

Sont plutôt fragiles

Température ambiante

Dans le sens où ils peuvent

Être  brisés   sans  générer

La  moindre   déformation

Non  un  matériau   ductile

Comme  le  sera  le  plomb,

Qu’on peut déformer,

Ou plier, avant de le casser.

Wikipédia /Verre /Résistance

 mécanique/ fragilité

.

.

Fond/forme 

 .

La lampe à pétrole est un vestige

D’un temps passé… d’un temps dépassé

Qui bien que ne manquant pas de charme

Éclairait peu, et  provoquait  des incendies.

L’électron et l’électronique en remplacement

Ont mis fin à son usage, sauf cas de coupure

De coupure de courant, cela va sans dire !

.

Textuels et illustrations  >> 

140 – Chants danses canariennes à Pueblo Canario

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

 .

Du chant,

 Et de la danse

Font un spectacle

Animé, joyeux, coloré

Où on se trouve entrainé

Malgré soi,   dans le cercle !

.

Ce n’est pas notre tasse de thé

Spectacles danses folkloriques

Des Canaries,    de l’Espagne,

De Bretagne,    ou d’ailleurs.

Sauf excepté pour cette fois,

En ce dimanche, désœuvrés,

Nous avons fini  par  trouver

Une exhibition près du port,

Pueblo Canario, authentique,

Musée de Nestor de La Torre.

.

Le cadre  se prête  plutôt bien

À la fois  ancien, architectural,

Et cela, pour  entendre  chanter,

Autant que pour    voir … danser,

Sans compter jouer d’instrument.

Musiciens s’accordant, à merveille,

Avec les danseurs feront un spectacle

Réjouissant  autant la vue que l’oreille.

Pour une bonne heure de chants, danses,

Entrecoupée d’une pause d’une demi-heure

Histoire de nous vendre  leurs Cds, souvenirs.

.

Cela dit, c’est plaisant  à voir autant à entendre,

Les voix d’hommes sont plus justement timbrées

Que celles des femmes,   pourtant couples assortis.

En plus, la cour du Pueblo  Canario nous a gratifiés

D’architecture espagnole  et du plus bel agencement,

Signature d’architecte et frère de Nestor de La Torre.

Entre divers danses, soit lentes  ou voire  troublantes,

Des chansons mélancoliques, ou avec des rythmiques,

Font participer des  gens   autour  et qui applaudissent

Opportunité nous offre de parler entre français esseulé

Un voisin de table que  l’on a fini par inviter à déjeuner.

.

Navigue sur Kirk, Maramu quinze ans, puis  à la retraite,

Il sillonne comme nous, les iles, attend sa femme demain.

On s’est reconnu dans son programme de vie et de  voyage

Lors nous avons passé  bons moments à échanger avec lui.

Vie de ponton pourrait constituer un vrai, sujet d’un récit.

Il y a  tant de  choses à raconter, nul besoin  d’en inventer.

Pour finir , l’après-midi nous a gratifiés  d’un  soleil plomb

Et sommes  promenés à Coloradoria, l’Isletta  front de mer.

Le monde  fou ce jour-là sur la plage couverte  de parasols,

Châteaux de sable, art éphémère : spécialité de Las Palmas.

.

Extensions 

.

Nous  nous  sommes  promenés  à Coloradoria

Sur la Isletta puis ensuite sur le front de mer.

Il y avait du monde, ce jour-là, sur la plage,

Couverte de parasols, et même un concours

De réalisation érections châteaux de sable,

Art éphémère et spécialités de Las Palmas !

.

Beautés éphémères : c’est bien cette impression

Qui m’est restée en contemplant ces chefs-d’œuvre

De sculptures qui ont demandé une journée ou presque

De travail et se trouveront engloutis par la marée suivante.

Elles sont, quelque peu, à notre image, soit dit en passant !

.

Danse, danse, danse… trois temps,

Le corps toujours en mouvement,

Au son rythmé des instruments,

Qui font bouger le corps vivant,

Qui font vibrer le cœur amant

Tourner la tête, embrassant,

Et les pieds, bien en avant,

Lors parfois en chantant,

Une âme, en s’ouvrant.

.

Chants et danses et musiques

Folkloriques, ou traditionnelles

Sont souvent exécutés en public,

En couple ou en groupe, non solo,

Les costumes locaux seront portés,

Les spectateurs feront cercle autour.

.

On nous a parfois parlé démonstrations

Rien que pour attirer, séduire les touristes

Costumes sont trop neufs ; pas, trop assurés :

Ici, rien de tout cela, comme la fête de quartier

Pour un peu on entrerait en danse, contredanse,

Comme pour les encourager, pour les remercier.

.

Fragments

.

Les danses, chants, musiques,

 Lors  en  costumes folkloriques,

Y vont tous de leurs rythmiques

Sans oublier mélopée mélodique

.

Il y a une part un peu …  artistique

 À l’intention d’un usage touristique,

Une autre, à suivre pour tout public

Où chacun dansera, parfois, oblique.

.

L’ensemble n’aura rien de fantastique

On dirait séquence de vie domestique,

Quartier, communauté, sympathique :

Y a pas esprit de clocher, pas de clique

.

On passe des sévillanas aux flamencos,

Aux valses, aux salsas puis aux tangos,

C’est toujours spectacle des plus beaux

De voir une foule bouger comme l’eau.

.

En plus de danser ambiance populaire

Comme un parfum convivial dans l’air,

On fait des rencontres extraordinaires,

Et l’on garde, en son âme, son mystère.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Du chant,

 Et de la danse

Font un spectacle

Animé, joyeux, coloré

Où on se trouve entrainé

Malgré soi,   dans le cercle !

.

Ce n’est pas notre       C            tasse de thé

Spectacles danses     H          folkloriques

Des Canaries,        A     de l’Espagne,

De Bretagne,        N    ou d’ailleurs.

Sauf excepté       T   en cette fois,

Ce dimanche      *      désœuvrés,

Nous avons fini  D     par trouver

Une exhibition   A  près du port,

Pueblo Canario, N  authentique,

Musée de Nestor S   de La Torre.

Le cadre se prête E    plutôt bien

À la fois ancien   * architectural,

Et cela, pour  entendre  chanter,

Autant que pour    voir … danser,

Sans compter jouer d’instrument.

Musiciens s’accordant, à merveille,

Avec les danseurs feront un spectacle

Réjouissant  autant la vue que l’oreille.

Pour une bonne heure de chants, danses,

Entrecoupée d’une pause d’une demi-heure

Histoire de nous vendre  leurs Cds, souvenirs.

Cela dit : c’est plaisant  à voir autant à entendre,

Les voix d’hommes sont  *  plus justement timbrées

Que celles des femmes,    *    pourtant couples assortis.

En plus, la cour du Pueblo  *      Canario nous a gratifiés

D’architecture espagnole   *  et   *   du plus bel agencement,

Signature d’architecte  C    et frère,  P  de Nestor de La Torre.

Entre divers danses,    A     soit lentes  U      ou soit troublantes,

Des chansons mélan   N     coliques, ou,  E   avec des rythmiques,

Font participer des    A      gens     autour   B   et qui applaudissent

Opportunité nous     R      offre de parler en   L   tre français esseulé

Un voisin de table     I        que  l’on a fini  par   O     inviter à déjeuner.

Navigue sur Kirk,     E        Maramu quinze ans,   *       puis  à la retraite,

Il sillonne comme         nous, les iles et attend    C    sa femme, demain.

On s’est reconnu,    N         dans son programme de    A      vie, et  de  voyage

Lors nous avons    E           passé de bons moments à     N    échanger avec lui.

Vie de ponton       S           pourrait constituer un vrai,     A        sujet d’un récit.

Il y a  tant de        *           choses à raconter, nul besoin       R          d’en inventer.

Pour finir            D          après-midi nous a gratifiés d’un       I            soleil plomb

Et sommes        E         promenés à Coloradoria, l’Isletta           O        front de mer.

Le monde         *           fou ce jour-là sur la plage couverte          *            de parasols,

Châteaux         *         de sable, art éphémère : spécialité de          *           Las Palmas.

.

.

Forme

.

.

Évocation

 

Un couple de danseurs,

Pour quelle danse, flamenco,

On peut penser à un tango

Tout autant qu’un slow.

.

140 4

.

Il faut voir quelques  danses espagnoles

Telles le flamenco voire les sévillanas

Mais aussi typiquement locales,

 Et en couples, folkloriques.

Un couple de danseurs, très collés-serrés,

Si près qu’on ne distingue qu’une seule tête :

On les imagine, en sorte de valse tournoyante,

Ou enchainant moult danses, rythmes endiablés.

 .

 Symbolique 

 .

Symbole

De l’Espagne

Et en particulier

De l’Andalousie,

Le flamenco re    présente l’aspect

Le plus typique de      la culture ibérique

Reste le faire-valoir          culture espagnole

À travers  le Monde  et           au même titre  que

Ses spécialités culinaires.         La musique flamenco

Dont découlent la danse et         chant tient ses origines

Musique grecque, romaine,          indienne, juives, maure.

Elle est moyen d’expression                 des  peuples opprimés.

Le flamenco est le reflet                         de la richesse culturelle

Due à un mélange civil                            lisations  dont l’Espagne

A fait l’objet de repères                           pendant plusieurs siècles.

vraiesecolesdelangues.com/blog/culture-espagnole/le-flamenco

.

.

Fond

.

Évocation

.

140 6

.

Il faut voir quelques danses espagnoles

telles le flamenco voire les sévillanas

mais aussi typiquement locales,

 et en couples, folkloriques.

 .

Symbolique

 .

Danser est le symbole

Du mouvement,

Le mouvement des corps

Et  celui  de  la  vie

En   perpétuels   changements.

Danser est une forme d’expression

Qui permet de traduire

Nos émotions, libérer nos sentiments

Et d’avoir une certaine

Conscience  de notre corps …  qui exulte.

Danser, c’est  être vivant, animé, et  joyeux,

Libre, dynamique, plein d’énergie.

D’avoir, d’acquérir mentalité positive, optimiste

Qui rejaillit sur notre humeur, santé

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-reve/danse/

 .

.

Fond/forme

.

Il n’y a pas que la valse des corps et des mouvements

Il n’y a pas que leur concordance, à deux, en tournant,

Il y a comme un élan partagé par deux êtres dansants,

Qui ne cherchent qu’à le consommer, en ce même instant,

Mais il existe aussi la danse d’autres formes en nos yeux

Telles ces sculptures qui, bien que figées, nous parlent

Avec des mots qui trottent en nos têtes, nos bouches

Et qui finissent par nous inspirés, image, poésie.

.

Textuels et illustrations  >>

139 – Ambiance repas voisins de ponton au bateau

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Les voici qui arrivent, et par hasard, les uns après les autres.

Qui, avec une bouteille, avec un plat d’entrée,  avec un dessert.

Histoire juste, y a aucun doute, de ne pas venir les mains vides.

.

Le premier couple  possède un bateau asiatique, un Shpountz,

Il s’agit d’une goélette  de seize mètres, avec rien que du bois,

Et qu’ils auront fait construire en Malaisie, pour eux-mêmes

.

Le deuxième  couple, dispose d’un grand  voilier, américain,

Qu’ils ont acheté aux USA,  pour seulement  35 000 dollars,

Et qu’ils auront fait réaménager, entièrement, à leur goût !

.

Le troisième couple est propriétaire d’un très beau feeling

Qui a cassé son mat, en manœuvrant, percutant un cargo,

Au départ d’une croisière sortant du port de Las Palmas.

Nous sommes tous confortablement installés en cockpit,

.

Chacun nous parle  de ses occupations, ou, de la météo,

Du programme de navigations, passé, présent, à venir.

.

Nous avons tous bourlingué partant du Nord au Sud.

Punch se succèdent, et langue naturellement se délie

Difficile toutefois de savoir ce qu’ils font réellement,

Ou on fait précédemment chaque couple, en sa vie.

.

Un termine son année sabbatique vers la fin août,

Un autre se dit en circumnavigation ; autre etc.

On serait bien resté, toute la nuit à palabrer,

Tant, au contact, s’est établie, convivialité.

 .

Ce n’est que tard dans la nuit

Que l’on se quitte :

Faut dire que, nous ne sommes

Pas loin de la cuite.

Rentrant : faut faire attention

A ne pas tomber à l’eau !

 .

Finalement, après verres rhum, whisky,

Ils sont rentrés, chez eux, l’air très satisfaits

Quant à nous, le challenge, nous l’avons atteint,

Nous sommes invités à visiter le Shpountz, demain.

 .

Extensions 

.

Les parcours des uns et des autres,

Des plus courants aux plus originaux,

Sont les fonds d’échanges sur un bateau,

Chacun, de la mer, est son meilleur apôtre !

.

Chacun y va de son histoire, ou de ses exploits

Personnels, qui, après  quelques verres, arrosés,

Prennent des accents de plus en plus émotionnels.

.

Voilà comment, quatre couples, et, quatre voiliers,

Bien que tous très différents, tous propriétaires,

Réunis, pour un soir, sur un cockpit arrière,

Se livrent à plaisirs culinaires gourmets.

.

Ils prônent comme seule valeur,

La convivialité unissant les marins

Qui  traverseront, sans peur, la mer !

.

L’ambiance est faite la plupart du temps

Des principaux  ingrédients  suivants :

Pour un ciel clair… une bonne météo,

Des boissons diverses pour l’apéro,

Des petits plats dans des grands,

Des conversations à l’avenant,

Par des convives distingués

Prêts à séduire… moitiés

Ce jusqu’à fin soirée.

.

Peu courant, chez soi, d’inviter des inconnus

Mais un plaisancier comme soi, ne  le sera plus

Tout à fait, on trouvera de quoi échanger surplus

Les bateaux, les navigations : sujets  inépuisables,

S’il en est, avec tant et tant  d’histoires, à raconter,

Qu’on y passerait des jours sans compter des nuits.

.

C’est le pays de la surenchère où chacun se sera mis

Un jour ou l’autre de travers lors épuisante croisière

Et des conseils pour tout éviter, et voire tout réparer.

Chacun, échangeant,  comparant,  appréciant  trajets

Et trajectoires, se dit que le voilier est comme l’espoir,

Profiter temps qui passe en toute liberté, sans surseoir.

.

Fragments

.

Les festifs et les conviviaux repas,

Laissent des souvenirs nombreux,

Tous et tous, on ne retiendra pas,

On sait qu’on avait été  heureux !

.

Plus que  ce que l’on  a dit, a fait,

C’est l’ambiance  qui compterait,

Visages réjouis en sont un signe :

On a laissé timidité à la consigne.

.

Des gens qu’on ne fréquentait pas

Auparavant, vu pour première fois

Deviennent complices, en intimité

Un miracle, aidé par non sobriété.

.

On se dit souvent qu’on se reverra

L’évènement ne passe qu’une fois,

C’est mieux ainsi, je ne le sais pas,

Naviguer est une aventure, ma foi.

.

D’un endroit, d’un ponton à l’autre

C’est un peu comme tirage au sort :

Parfois, cela grouille, parfois, désert,

Ça dépendra autant de quelle météo !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

.

Les voici qui arrivent, et par hasard, les uns après les autres.

Qui avec une bouteille,  avec un plat d’entrée,  avec un dessert.

Histoire juste, y a aucun doute, de ne pas venir les mains vides.

.

Le premier couple  possède un bateau asiatique, un Shpountz,

Il s’agit d’une goélette  de seize mètres, avec rien que du bois,

Et qu’ils auront fait construire en Malaisie, pour eux-mêmes

.

Le deuxième  couple, dispose d’un grand  voilier, américain,

Qu’ils ont acheté aux USA,  pour seulement  35 000 dollars,

Et qu’ils auront fait réaménager, entièrement, à leur goût !

.

Le troisième couple est propriétaire d’un très beau feeling

Qui a cassé son mat, en manœuvrant, percutant un cargo,

Au départ d’une croisière sortant du port de Las Palmas.

Nous sommes tous confortablement installés en cockpit,

.

Chacun nous parle  de ses occupations, ou, de la météo,

Du programme de navigations, passé, présent, à venir.

 

Nous avons tous bourlingué partant du Nord au Sud.

Punch se succèdent, et langue naturellement se délie

Difficile toutefois de savoir ce qu’ils font réellement,

Ou on fait précédemment chaque couple, en sa vie.

.

Un termine son année sabbatique vers la fin août,

Un autre se dit en circumnavigation ; autre etc.

On serait bien resté, toute la nuit à palabrer,

Tant, au contact, s’est établie, convivialité.

AMBIANCE REPAS

Ce n’est que tard dans la nuit

Que l’on se quitte :

Faut dire que, nous ne sommes

Pas loin de la cuite.

Rentrant : faut faire attention

A ne pas tomber à l’eau !

VOISINS  DE PONTON

Finalement, après verres rhum, whisky,

Ils sont rentrés, chez eux, l’air très satisfaits

Quant à nous, le challenge, nous l’avons atteint,

Nous sommes invités à visiter le Shpountz, demain.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un grand  coquetier

Ou coupe pour apéro,

Suivi de verres de vin

À eau, avec un pied.

.

139 4

.

Après la coupe d’apéro

Verre  de vin  blanc, rouge,

Déliant les langues, les palais,

Les cerveaux, bonnes humeurs !

Il n’y a pas sur bateau comme à la maison

Cinq ou six sortes de verres, selon boissons

En mer, les verres à pieds, le perdrait vite,

Il vaut mieux utiliser des verres culbuto !

 .

Symbolique

 .

Apéritif est pour beaucoup

D’entre nous, un  synonyme de

Plaisir, de gaieté, de convivialité.

Est, souvent, associé  à un moment

Festif  ou   voire  même  symbolique,

Occasion de trinquer, porter un toast,

Voire  faire  annonces  plus solennelles.

Et certaines personnes auront d’ailleurs

Toujours du bon «champagne» au frais

Comme prêtes à «fêter» quelque chose.

Et force est de constater que, souvent,

L’alcool aidant et puis la nourriture

À profusion et exposée aux 5 sens

Étant un sujet de conversation

Inépuisable, l’atmosphère

Se fait assez rapidement

Chaleureuse et bien décontractée.

cuisine-therapie.com/cest-lheure-de-lapero

.

.

 

Fond

.

Évocation 

.

139 6

.

Après la coupe apéritive :

Verre de vin blanc, rouge,

Déliant les langues, les palais,

Les cerveaux, bonnes humeurs !

 .

Symbolique 

 .

Vin demeure pour tous à la fois

Source de plaisir  et de convivialité,

Désir d’initiation,  chez les adolescents.

 .

Recherche d’une vérité que nous tenterons

De libérer  par  le vin, au risque d’en devenir

Dépendants au point de devenir un alcoolique.

 .

Associé, de façon générale, à une fête de famille,

Aspect ouverture vers la vérité qui est recherché.

Le verre fait lier connaissance plus facilement.

 .

Il facilitera la cohésion,

Arrondit difficultés.

Il permet de fêter

Comme de  célébrer

Les événements de notre vie

Et même, pour certains, d’être œnologue.

lessymboles.com/la-symbolique-du-vin

 .

.

Fond/forme 

 .

Le verre signifie, à la fois, un contenant

Et un contenu, quel qu’il soit, mais à boire

De préférence et pas d’un poison ou purge

Figure de style que l’on appelle métonymie

On pourrait boire directement à la bouteille

Mais cela ne serait ni pratique ni hygiénique

Puis comment faire alors pour bien trinquer !

Le vin permet, à chacun, de se libérer du souci

De paraitre, dans son monde, trop fermé, isolé.

.

Textuels et illustrations   >>

138 – Invitation repas voisins de ponton au bateau

Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De s’inviter, et mutuellement,

Entre  voisins de … pontons,

C’est  souvent,  bonne  idée,

Toujours saine occupation.

Que ce soit, pour  l’apéritif,

Pour le thé ou pour le repas,

Après trois verres … réceptifs,

Ça crée liens, souvenirs, des tas.

C’est tant vrai que nombre voileux

Forment une communauté solidaire

Désireuse de communiquer entre eux,

Du fait  de leurs navigations, solitaires !

Ils vous parleront, tous…de leur profonde

Motivation de partir en mer, pour naviguer,

Pour  se retrouver  de nouveau, seuls, esseulés

Tant ils adorent se faire bercer par eaux ondes.

Certes ils ne disposent pas de confort de cuisine,

Comme chez eux, vu les espaces, moyens, limités,

Mais ils feront appel à la débrouille, la tambouille,

Vivront avec impressions d’avoir toujours vécu là !

.

Lors d’un tel repas du soir avec apéritif,

Et tutti quanti, pour neuf  à dix  personnes,

Y a toujours, un avant un pendant et un après.

Pour  commencer faut faire le menu :

Chou chinois porc au soja, en plat  principal

En entrée, tapas variés dessert,  salade  de fruits

Sans   parler  préparation  d’apéritif

Un punch,   avec des petits fours de bateau,

Pain avec fromage local des courses  du  marché !

 Et nos invités forment trois  couples

Autour de la quarantaine, et, bons vivants

Pas compliqués  ni fiers intarissables  sur  bateau.

Une cuisine est petite sur voilier.

Faire la vaisselle et être aux feux à deux,

Cela déjà demande de la souplesse  d’organisation.

On hume, on touche, voit, goûte,

L’un après l’autre, chacun donne son avis :

Il manque ceci, et, ce serait encore mieux avec cela.

À six heures, petit brin de toilette,

Nettoyage extérieur et intérieur du bateau,

Douche bienvenue après courses dernière minute.

.

Pour finir, nous nous payons luxe

D’une heure de repos où chacun pourra vaquer

À ce qui lui plait, attendre que les invités se pointent.

Ce  matin, il  est vrai  que l’on a paniqué, tous,  un peu,

Mais déjà, dès le midi, on s’est senti  beaucoup  mieux,

L’après-midi se sera vite passée à la cuisine, aux feux,

Le soir l’esprit libre et léger, on pouvait être heureux.

.

Extensions

 .

En cuisine, comme en amour,

Le premier vrai plaisir est dans

La préparation, allant crescendo

Vers la sublimation de soi et gestes

Ou la désolation d’avoir raté l’objectif,

Par manque concentration, disponibilité.

En ces deux situations, il s’agit de partage

Autant que d’un don et d’une réception.

Cela prélude à une atmosphère qui

Conditionne l’ambiance pour

Toute la suite de la soirée.

.

Les repas peuvent être des plus simples au plus sophistiqués !

C’est juste une question de temps de préparation, de moyens

Sans parler bien sûr de l’art de les cuire et de les présenter.

Les repas peuvent être pris  à l’intérieur ou à l’extérieur,

 Fonction de la météo, navigation, nombre convives.

Au ponton, c’est facile de traiter légumes frais

En mer, fruits de mer sont à déconseiller.

.

Les coffres étant situés fond de cale sont

Réservés aux boissons de toutes sortes :

Vins, bières, apéro, digestifs,  d’un côté,

Eaux plates, gazeuses et laits, de l’autre,

Victuailles, conserve, réserve : équipets,

Légumes  et fruits, en resserre  ou frigo.

.

L’apéro, voire le repas quand il fait beau

Souvent en cockpit sur table traversière,

On peut s’asseoir à huit, voire davantage

Sans se gêner : boire un verre,  grignoter

Enfin pas besoin de passer l’aspi ou balai

Coup de jet d’eau, tout propre à nouveau.

.

Fragments

 .

Bouteille  pour un repas, c’est sûr,

Naturellement creuse et en plastique

Avec eau pétillante  qui rime avec soif,

Et qui alternera avec des bières ou vins.

.

On se figure, souvent, que sur un voilier

Il n’y aurait pas de possibilités d’inviter

Dix à douze convives comme à la maison

Où l’on dispose de 30 à 40 mètres carrés.

.

Dans notre carré, à cinq ça va ; six, tassés,

Dès lors, à 12, c’est le cockpit, au grand air,

Ça ne posera aucun problème aux Canaries,

Du soleil garanti et pas de vent pour gâcher.

.

Première chose à se préoccuper : que boit-on,

On regarde contenu soute, achète complément,

Un repas pour douze requiert une organisation,

Nous sommes quatre en cuisine avec huit invités.

.

Mais c’est, toujours, un peu, une sorte de miracle,

De parvenir à ne rien casser,  à tout bien préparer :

Lendemain je ne vous dit pas la vaisselle, rangement

On ne pourrait pas faire tous les jours, un restaurant.

.

Question, boisson, il y avait le choix pour tous les goûts

De l’eau plate, gazeuse, jus de fruits, cocktails puis vins

Pour garder les bouteilles au frais, en seaux, dans l’eau,

La température extérieure avoisinant les trente degrés.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

De s’inviter, et mutuellement,

Entre  voisins de … pontons,

C’est  souvent,  bonne  idée,

Toujours saine occupation.

Que ce soit, pour  l’apéritif,

Pour le thé ou pour le repas,

Après trois verres … réceptifs,

Ça crée liens, souvenirs, des tas.

C’est tant vrai que nombre voileux

Forment une communauté solidaire

Désireuse de communiquer entre eux,

Du fait  de leurs navigations, solitaires !

Ils vous parleront, tous…de leur profonde

Motivation de partir en mer, pour naviguer,

Pour  se retrouver  de nouveau, seuls, esseulés

Tant ils adorent se faire bercer par eaux ondes.

Certes ils ne disposent pas de confort de cuisine,

Comme chez eux, vu les espaces, moyens, limités,

Mais ils feront appel à la débrouille, la tambouille,

Vivront avec impressions d’avoir toujours vécu là !

.

I N V I T A T I O N

Lors d’un tel repas         *          du soir avec apéritif,

Et tutti quanti, pour        R         neuf  à dix  personnes,

Y a toujours, un avant       E         un pendant et un après.

Pour  commencer       P         faut faire le menu :

Chou chinois porc au      A         soja, en plat  principal

En entrée, tapas variés       S         dessert,  salade  de fruits

Sans   parler  pré       *         paration  d’apéritif

Un punch,   avec des       V         petits fours de bateau,

Pain avec fromage local     O        des courses  du  marché !

 Et nos invités for      I         ment trois  couples

Autour de la quaran      S        taine, et, bons vivants

Pas compliqués  ni fiers     I       intarissables  sur  bateau.

Une cuisine est     N      petite sur voilier.

Faire la vaisselle et   S     être aux feux à deux,

Cela déjà demande de la   *     souplesse  d’organisation.

On hume, on        *  touche, voit, goûte,

L’un après l’autre, chacun donne son avis :

Il manque ceci, et, ce serait encore mieux avec cela.

À six heures, petit brin de toilette,

Nettoyage extérieur et intérieur du bateau,

Douche bienvenue après courses dernière minute.

.

D E     P O N T O N

Pour finir, nous nous payons luxe

D’une heure de repos où chacun pourra vaquer

À ce qui lui plait, attendre que les invités se pointent.

Ce  matin, il  est vrai  que l’on a paniqué, tous,  un peu,

Mais déjà, dès le midi, on s’est senti  beaucoup  mieux,

L’après-midi se sera vite passée à la cuisine, aux feux,

Le soir l’esprit libre et léger, on pouvait être heureux.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une forme de bouteille

Oui mais encore en quoi,

En verre ou en plastique 

Pour de l’eau ou du vin ?

.

138 4

.

Pas de repas, en bateau, sans bouteille,

Sans apéritif, bon vin :

La boisson, c’est simple ; un plat cuisiné,

C’est plus … compliqué.

 .

 Symbolique

 .

Boire un

Liquide est

Absorber la

Connaissance,

Lors boire à la bouteille

Signifierait que ton inconscient

A compris ces  infos  et  il  a  bien

Reçu le message  et  il est en train

De  t’aider  à  changer  tes  défauts

Traits  de caractère  ne  te  plaisant

Pas chez toi à moins que la bouteille

Ne contienne de l’alcool lors le sens

Est très  différent  dans  ce  cas-là. 

Source : dictionnaire-des-symboles-de-reve

.

Fond

.

Évocation 

.

138 6

.

.

Pas de repas, en bateau, sans bouteille,

Sans apéritif, bon vin :

La boisson, c’est simple ; un plat cuisiné,

C’est plus … compliqué.

 .

Symbolique

 .

La boisson

Est le symbole

De la connaissance,

Boire les paroles de quelqu’un

C’est un enseignement spirituel

De la culture, ou voire  un désir

D’apprendre   nouvelles  choses.

Et celui qui servira cette boisson

Ferait une référence  à un guide,

Un professeur, ou un thérapeute,

Un membre de la famille plus âgé

Ou un ami qui nous apprendrait

Des choses  qui sont bénéfiques

Pour  toutes   nos  évolutions.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/boisson

.

Textuels et illustrations   >>  

 

137 – Deux jours, toilette complète, pour le bateau

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Avant le plaisir

De bien naviguer,

La contrainte reste

De bien  tout réparer,

Afin  de pouvoir  mettre

Notre voilier bien  à niveau

Ce qui est vérifié-réparé à terre

Fonctionnera bien mieux  en mer.

C’est ainsi  que l’on se fait  nettoyeur,

Et que l’on enlève la couche extérieure,

C’est ainsi que l’on se fait peinturlureur,

Et   jusqu’à  remettre  tout   en  couleurs.

L’on   manie  les  raclots,  lors  carénage,

Puis le pinceau,   pour  anti-accrochage,

Lors levage  et mise sur ber  du bateau,

Pour accéder aux surfaces,  sous eaux.

Notre chantier… fourmille d’activités

Ne cessant que soir, pour la nuitée.

Nous ne sommes plus des marins

Sommes devenus des ouvriers.

Si ce n’était pas notre voilier,

Sûr, on  laisserait  tomber.

L’entretien et le nettoyage annuel d’Ar-Kilé

Requiert trois jours de travail intense à deux

Pour  lui  redonner, sinon l’éclat du … neuf,

Bateau de belle apparence, bonne santé.

Nous sommes    en  fond d’un bassin

Où le lift est ve  nu lever le bateau

Le poser, terre-plein du chantier.

L’heure de nettoyage  au karcher

À, déjà, enlever bien des salissures

Algues, coques, accrochés à sa carène,

La blancheur du dessous refait …surface

Bien que plus terne et par endroits, tâchée.

Une année au contact  de l’eau de mer, ports,

Vous imaginez nombre des  microorganismes

Qui tentent, parfois parviennent à s’accrocher.

Couche peinture voiles d’anti-attachant, blanc

Sous coque, laque bleue  en partie immergée,

Époxy blanc sur la jupe en aluminium brut,

N’ayant jamais été peinte jusqu’à présent,

Se plier en deux, pour passer le rouleau

Sous le bateau, retouches au pinceau.

Pour finir la douche et repas vite fait,

Voilà déjà que le sommeil nous gagne :

La nuit il n’y a pas un chat,  pas un bruit,

Mais dès le matin, les bruits recommencent.

Parvenons finir notre programme en les temps

Ar-Kilé est fin prêt  à retrouver l’élément naturel,

Paré de sa nouvelle peinture, que personne ne verra,

Sous l’eau, mais que nous savons, nous, blanche et pure.

.

Extension

.

Les poissons apprécieront, gagnerons

Au moins, un quart  de  mille, à l’heure,

Rien que par cet effet de glisse  dans l’eau,

Facilité par une coque des plus lisses qui soit,

Mis à part celles de la coupe de …  l’America,

Nous n’en sommes pas là, n’y serons jamais.

.

Avant chaque saison, comme pour maison de location, vacances

Il faut consacrer un peu de temps à l’entretien, toilette du voilier :

Nettoyer la coque et la repeindre pour qu’elle glisse mieux dans l’eau.

.

Faut tester les haubans, voiles, éventuellement les laver, les faire réparer,

Contrôler le niveau des batteries et tous les instruments de bord et cuisine,

Faire la vidange du moteur, le plein de gasoil et de gaz… que sais-je encore.

.

Faire tout cela en deux jours n’est pas sinécure en  journée de douze heures.

Mais quand on le fait soi-même, pour soi-même, le cœur et l’humeur y sont,

C’est ainsi qu’on tient le programme, qu’il est prêt pour nouvelle navigation.

.

Armement, carénage, nettoyage,  gréement

Quatre tâches pour deux jours bien remplis

Et du lever du soleil jusque presque minuit.

.

Rassurez-vous on fait longues pauses repas,

On met la musique, du cœur et de l’humeur.

.

Tant et si bien qu’on se sent le temps passer,

L’on voit le bateau qui respire et qui soupire,

Comme un être vivant et qui déploie ses ailes.

.

S’il n’est le plus beau, reste propre à souhait,

Chaque chose à sa place, l’on retrouvera tout.

.

Fragments

.

Comme tout autre moyen de transport

Un voilier requiert nettoyage, entretien,

Un entretien léger, qu’on dira quotidien,

Nettoyage annuel assimilé grand ménage

.

Un voilier n’est pas une voiture en garage

Il faut le sortir de l’eau, pour un carénage,

Lift soulève, c’est délicat, impressionnant,

Et il le posera sur un ber  ou sur madriers.

.

Skipper et moi, on retrousse nos manches :

On se répartit tâches fonction compétences

Skipper pour tous bricolages et réparations

Ma pomme, pour nettoyages et peinturages

.

Nettoyé, toiletté, briqué, lustré, notre voilier

Reprend des couleurs au sens propre, figuré,

Au point que  nous sommes  très fiers, de lui,

Comme compagnon en nom breton : Ar-Kilé.

.

Nous avons vu  des vieux bateaux,  en rafiots,

Dont on se demande : comment vivre  à bord,

Mais le plus embêtant est : comment naviguer

Tellement tout va de guingois, brinqueballant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Avant

Le plaisir

De naviguer,

La contrainte est

De tout ….. réparer,

Afin de pouvoir  mettre

Notre voilier bien  à niveau

Ce qui est vérifié-réparé à terre

Fonctionnera bien mieux en mer.

C’est ainsi  que l’on se fait  nettoyeur,

Et que l’on enlève la couche extérieure,

C’est ainsi que l’on se fait peinturlureur,

Et   jusqu’à  remettre  tout  en  couleurs !

L’on   manie  les  raclots,  lors  carénage,

Puis le pinceau,   pour  anti-accrochage,

Lors levage  et mise sur ber  du bateau,

Pour accéder aux surfaces,  sous eaux.

Notre chantier… fourmille d’activités

Ne cessant que soir, pour la nuitée.

Nous ne sommes plus des marins

Sommes devenus des ouvriers.

Si ce n’était pas notre voilier,

Sûr, on  laisserait  tomber.

************************

L’entretien plus le nettoyage annuel d’Ar-Kilé

Requiert trois jours  T  de travail intense à deux

Pour  lui  redonner  O  sinon l’éclat du … neuf,

Bateau de belle ap  I   parence, bonne santé.

Nous sommes      L        fond d’un bassin

Où le lift est ve   E    nu lever le bateau

Le poser, terre  T  plein du chantier.

L’heure de net   T  toyage au karcher

À déjà enlever    E bien des salissures

Algues, coques, ac   *  crochés à sa carène,

La blancheur du des  C   sous refait …surface

Bien que  plus terne     O    par endroits, tâchée.

Une année au contact   M   de l’eau de mer, ports,

Vous imaginez nombre   P     des  microorganismes

Qui tentent, parfois par    L   viennent à s’accrocher.

Couche peinture voiles    È  d’anti-attachant, blanc

Sous coque, laque bleue  T      en partie immergée,

Époxy blanc sur la jupe  E    en aluminium brut,

N’ayant jamais été pei  *  nte jusqu’à présent,

Se plier en deux pour  D     passer le rouleau

Sous le bateau, retou  U     ches au pinceau.

Pour finir la douche    *         repas vite fait,

Voilà déjà que le som  B   meil nous gagne :

La nuit il n’y a pas un   A   chat, pas un bruit.

Dès le matin, les bruits  T          recommencent.

Parvenons finir notre pro  E   gramme en les temps

Ar-Kilé, fin prêt à retrou      A     ver l’élément naturel,

Paré de sa nouvelle peinture U   que personne ne verra,

Sous l’eau, mais que nous savons, nous, blanche et pure.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un beau et grand coquetier

Avec son œuf,  juste au-dessus.

En haut, un voilier,  sa coque;

En bas, des voiles à laver et hisser.

.

137 4

.

Un voilier, pour sa coque,

A besoin d’être parfois toiletté

Mais  ici, il s’agit  de  tout vider,

Et de nettoyer de fond en comble.

 .

 Symbolique

 .

Le

Voilier

Est un bateau,

Symbole plus général

Et aussi complémentaire.

Mettre les voiles, expression

Qui illustre le mieux le symbole.

La voile se gonfle avec le besoin

De partir,  elle est   le  reflet du

Départ imaginé.    Invitation

À quitter ?  Peut-être   mais

En se rappelant  que  l’on

Ne  quitte  pas   le   port

Sur  un  coup   de  tête,

Tant nouveau voyage

Se préparera avant.

Signification-reves.fr/

Voilier-voile

.

.

Fond

.

Évocation 

.

137 6

.

Un voilier, pour sa coque,

A besoin d’être parfois toiletté

Mais  ici, il s’agit  de  tout vider,

Et de nettoyer de fond en comble.

 .

Symbolique 

 .

Le   flotteur   a

Caractéristique

D’être plus léger

 Que la masse eau

Qui    correspond

 À    son    volume,

Afin   que  la pous

Sée    d’Archimède

Lui permette ainsi

  De    bien    flotter !

 

 La coque prend plusieurs formes : de simples rondins de bois

Assemblés  ensemble  afin de constituer  un radeau

Comme coques des voiliers  de  compétition.

S’il y a une seule coque : monocoque

Il y en a deux : catamaran ;

Lors trois : trimaran.

Wikipédia  Conception d’un bateau

 .

.

Fond/forme 

 .

Toilette extérieure, du pont, du cockpit, du roof

Avec des seaux, de la lessive, balai, eau, sueur

Sans parler des voiles, étalées sur les quais

Ni du carénage sous la coque et peinture

En s’attaquant après à tout l’intérieur

Avec brossage, aération et séchage;

.

Enfin sinon remettre bateau neuf

Du moins  le rendre  agréable,

Et plus glissant, dans l’eau.

Et ici nul besoin de rimer,

Juste besoin de… trimer,

Et voilier nous remercie

 .

Textuels et illustrations   >>

136 – Voisins des pontons à Las Palmas, Canaries

Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

La

Philosophie

De tous les pontons

Ressemble aux  discussions

Du café du commerce mis à part

Qu’il n’est question, presque totalité,

Que de bateaux et des travaux, à faire.

Un port reste un univers des plus clos

Même s’il est bien ouvert sur la mer,

Lors un bateau reste micro univers

Se suffisant à lui-même sur l’eau.

.

Nous sommes mis entre un espagnol et un polonais,

Déjà là, l’an passé, et qui ne bougent presque jamais,

L’espagnol est seul, et, il n’habite pas  en son bateau,

Il le visite, en semaine, pour faire tourner le moteur,

Et le polonais, lui, vit sur son bateau avec sa femme,

Forts sympathiques, mais échangent peu avec nous.

En face ou presque, un beau bateau de type anglais,

.

Répondant à  Suzanne abrite un belge

Avec jeune, jolie femme,  nigérienne.

Ils nous parlent  de leur navigation :

Bon nombre  de soucis d’entretiens,

Comme fréquemment entre marins.

Autre couple de français, naviguent,

Et vivent à bord  de leur  Shpountz :

Une sorte de goélette … en réduction

Poupe à l’ancienne,  du plus bel effet.

Manœuvre difficile, accostage au port

Mais, agréable, une fois en pleine mer.

.

Les pontons  sont, souvent fermés à clef,

Difficile, pour passants, de s’y promener :

L’on est donc en petite communauté, close,

Communiquant, au mieux … pour se causer.

Et plupart ont réalisé le rêve qu’ils ont caressé

D’acheter un voilier, d’une douzaine de mètres,

L’équiper, pour y vivre, et naviguer, en sécurité,

Et faire escale, dans des ports, si pas trop chers !

.

Il nous arrive d’être invité à  …   prendre un verre,

Parfois même manger, par des français du ponton,

Ou de pontons voisins, et nous, d’en faire de même.

Ce qui ne se produit guère entre voisins de quartier,

Est facilité, ici, par un partage  d’une même passion,

D’un même projet, par la distance avec la métropole.

.

Extensions

 .

Son bateau

Reste la marque

De ses propres moyens,

Programme de navigation,

Voire même de son identité.

Les petits se rencontrent,

Les grands s’ignorent :

Différence au port.

.

Sur de rares pontons visiteurs,

On croise des espagnols non-résidents

Et bon nombre d’étrangers dont,

Parmi eux, quelques français.

.

Les voisins ne sont pas nombreux sur les pontons du coin

Mais sur celui des visiteurs, forcément, ils sont là, aux soins

De leur bateau, leur équipage ou de leur provisions au marché

L’important est d’être fin prêt, let dès e lendemain à renaviguer !

Certains vous saluent bien mais passent leur chemin sur le ponton

D’autres s’intéressent, à votre bateau, programme, équipage, météo,

Et rares sont ceux qui fraternisent au point de vous inviter à l’apéro !

.

On apprend beaucoup sur gens de bateau

Sur ponton visiteur, et ce à toutes heures,

Petits et grands se retrouvent côte à côte,

Lors port d’attache, sur pontons réservés

Dieu merci, l’esprit marin sera de sortie,

En autre  lieu, contrainte, cohabitation !

.

Certains ports, été, manqueront de place

Le plus petit sur plus gros, on s’accouple,

Y a même trois, parfois sans être trouple

Règle est de ne pas passer par le cockpit,

Pour préserver  un minimum d’intimité,

Problème si le premier part tôt le matin.

.

La plupart mettent leur avant sur panne

Si l’on met, l’arrière, on verra l’intérieur

Vrai que jupe facilite l’accès au cockpit

Sinon, faut monter par flanc, défense !

.

Fragments

.

Radio ponton visiteur de Las Palmas

Une centaine de bateaux bien amarrés,

Venus, ici, de nombreux pays européens

Dont on voit flotter pavillons courtoisies.

.

Les croisant tous, on ne les rencontre pas

Ça se fait comme ça ou ça ne se fait pas :

Les atomes crochus s’amarreront mieux

Avons fait connaissance d’une dizaine.

.

Parmi quelques français : un couple,

Sur un Shpountz, voiler à l’ancienne,

Et trois autres couples sans enfants :

Un espagnol, un polonais,  un belge.

.

Lanterne  en bout  du long ponton,

Comme un petit phare  de marina,

Guide les marins, arrivant de nuit,

Tant port de Las Palmas est grand.

.

Rencontrer est important pour nous

Cela crée de suite, une communauté

Et voire une convivialité si affinités,

Que l’on aura jamais eu à regretter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

.

La

Philosophie

De tous les pontons

Ressemble aux  V  discussions

Du café du commer   O   ce mis à part

Lors il ne sera question   I     quasi-totalité

Que de bateaux et leurs     S travaux à faire.

Un port reste un univers     I   des plus clos

Même s’il est bien ouvert    N sur la mer,

Lors un bateau reste micro  S   univers

Se suffisant à lui-même sur  * l’eau.

.

Nous sommes mis entre un espagnol  P et un polonais,

Déjà là, l’an passé, et qui ne bougent  O  presque jamais,

L’espagnol est seul, et, il n’habite     N   pas en son bateau

Le visite, en semaine, pour faire    T    tourner  le moteur,

Et le polonais, lui, vit sur son   O  bateau avec sa femme,

Forts sympathiques, mais N  échangent peu, avec nous.

En face ou presque, un  * beau bateau de type anglais,

.

Répondant à  À   Suzanne abrite un belge

Avec jeune,      *  jolie femme nigérienne.

Ils nous parlent  L    de leur navigation :

Bon nombre  de sou  A  cis d’entretiens,

Comme fréquemment   S entre marins.

Autre couple de français  *    naviguent,

Et vivent à bord  de leur  P   Shpountz :

Une sorte de goélette    A   en réduction

Poupe à l’ancienne    L  du plus bel effet.

Manœuvre difficile  M  accostage au port

Mais agréable, une  A   fois en pleine mer.

S

Les pontons  sont,     * souvent fermés à clef,

Difficile pour passants    C     de s’y promener :

On est donc en petite com   A     munauté, close,

Communiquant, au mieux     N     pour se causer.

La plupart ont réalisé un rêve   A     ils ont caressé

D’acheter un voilier d’une douzai  R   ne de mètres,

L’équiper, pour y vivre, et naviguer  I    en sécurité,

Et faire escale, dans des ports, si pas  E  trop chers !

                                               S

Il nous arrive d’être invité à  …       prendre un verre,

Parfois même manger,   par des français du ponton,

Ou de pontons voisins,  et nous,  d’en faire de même.

Ce qui ne se produit guère  entre voisins de quartier,

Est facilité, ici, par un partage  d’une même passion,

D’un même projet, par la distance avec la métropole.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une tour,

Une plateforme

Et une lanterne :

Comme petit phare 

.

.136 4

Entrée de marina, petit phare

Avec sa lanterne de signalement :

Nos voisins de ponton le reconnaissent

 Bien, s’y réfère comme nous assez souvent.

Y a parfois un feu monté sur un pilier

En début de marin ou bout d’un ponton

Sachant que marina est éclairé de nuit.

 .

 Symbolique 

Les phares

Et leur fréquente

Situation isolée ont inspiré

De nombreux imaginaires.

Ils sont présents dans la

Culture picturale et en

Imaginaire littéraire

Cinématographique.

Les phares maritimes

Ont été premier moyen

Pour navires de repérer

Toutes zones dangereuses

Et   les  ports.  Aujourd’hui,

Avec le système GPS moderne,

L’utilisation va  en se raréfiant !

Wikipédia : phare

.

.

Fond

.

Évocation 

.

136 6

 .

Entrée de marina, petit phare

Avec sa lanterne de signalement :

Nos voisins de ponton le reconnaissent

 Bien, s’y réfère comme nous assez souvent.

  .

Symbolique 

 .

La lanterne est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Éclairant le Monde  des humains.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

 

La lanterne contient la lumière

Individuelle qui peut se transmettre.

Elle nous guide et peut guider les autres.

 

Et lorsque nous rêverons d’une lanterne,

Elle représente l’intelligence lumineuse

D’une personne qui sera précise.

Sa pensée nous éclaire.

http://tristan-moir.fr/lanterne

 .

.

Fond/forme 

 .

À chacun sa lanterne et à chacun

De s’éclairer avec et celle des voisins !

Il y aura des tas d’indices  qui indiquent

La présence,  caractéristique,  pertinence,

De chacun d’eux mais attention aux erreurs

Il y a les petits bateaux avec grand cerveau,

Et les grand bateaux, avec une culture zéro. 

.

Textuels et illustrations   >>  

135 – Retrouvailles bateau Ar-Kilé aux Canaries

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Chaque nouvelle retrouvaille

Avec notre voilier, bel Ar-Kilé,

Gardera toujours un vrai statut

D’événement,   fort émotionné.

Comment le retrouverons-nous,

Après son très long hivernage.

Car c’est bien dans notre tête

Que l’on se  sera  construit

Un scénario  catastrophe,

Où l’on s’est déjà imaginé

Trois jours   à  le réparer.

Menu dégât ici et puis là,

En peinture  en cassures,

Sans parler réarmement,

Et procéder au carénage.

Mais  cela  est  toujours

Plaisir que de le revoir

Ce coursier des mers

Le dénommé :

Ar-Kilé,

V

Nous venons juste d’arriver à la ville de Las Palmas,

Belle capitale  de l’Ile de Grand Canaria … en avion,

Nous avons pris le taxi qui nous dépose au ponton

Où se trouve bateau Ar-Kilé de trente-sept pieds

Qui nous attend au port de plaisance de la Luz

Depuis mars dernier, lors  nous avions fait,

Aux Canaries, séjour de trois semaines,

Pour nos vacances d’hiver au soleil.

.

Première surprise : un temps couvert  sous nuages,

Avec risque de pluies et vents en fin de journée,

Nous voici accueillis par le climat breton

Frisant les vingt degrés, et demain,

Cette même météo… annoncée.

.

Deuxième surprise : bonne odeur fraiche à l’intérieur

Pas de cafard ni bestiole dont personne ne raffole,

Housses de matelas, draps, couettes et oreillers

Sont propres et nous les installons de suite

Chacun dans notre cabine respective,

Puis nous déballons nos affaires

Nous rangeons nos bagages.

.

Troisième surprise : voilà qu’au réveil, il refait beau

Le ciel s’ouvre à nouveau, en fond des plus bleus.

Alors allons faire nos courses au…Superdyno,

En ville, à dix minutes à pied, du bateau,

Et retrouver Las Palmas, son charme,

Nos repères, en ses rues, magasins.

.

Extensions 

.

Au retour, notre repas est rapidement  préparé:

Gaspacho, fromages divers, chips artisanaux

Et pains bateau comme plats de résistance.

Nous allons nous coucher pour une nuit

Complète et ce depuis trois jours.

.

Avant de décoller  de Charleroi,

Avons fait halte chez les beaux-parents

Et ainsi, la veille, on s’était couché très tard.

.

Nos rêves nous enchanteront les deux mois à venir,

Grand Canaria, Ténériffe, La Gomera La Palma,

Et retour à Ténériffe pour hiverner le bateau

Vers la mi-septembre.

.

Les retrouvailles sont toujours un moment de forte émotion :

Notre voilier n’est pas qu’un simple moyen de locomotion ;

C’est aussi un lieu de vie autant qu’un objet, lieu de rêve

Même si, dans l’année, son utilisation est assez brève

Au point que l‘on a pris l’avion pour le rejoindre,

Lors allons-nous le retrouver sain ou abimé

Surtout en état de rapidement naviguer.

.

Un bateau, à moins qu’il ne soit tout neuf

Requiert travaux de réparation, entretien,

En croisière y a souvent quelqu’acastillage

Ou autres éléments de sécurité ou confort,

Qui s’use, se dérègle se casse, sinon se tord

.

On peut considérer  comme une contrainte

Le fait d’avoir à sacrifier jours de toilettage

Au lieu d’être en mer, comme sur un nuage,

À siroter boissons avec lesquels l’on se pinte

Ou se dorer la pilule sur pont, sans maillot !

.

Autant investissement affectif que financier

Pour voilier de douze mètres, en aluminium

Âgé de vingt ans, de bons et loyaux services.

On ne sait s’il a une âme mais du caractère,

Parmi tous les voiliers, celui qu’on préfère !

.

Fragments

 .

Le mot, l’idée, la réalité des retrouvailles,

Est toujours  un grand plaisir  qui vaille,

La peine d’être vécu, voilier ou personne,

Dès que rencontre est actée, nous sonne.

.

Or ce qui est des surprises : nombreuses

Le temps maussade, à l’arrivée canaries :

Dieu, ce serait-on trompé de destination,

Mauvaise fortune mais humeur heureuse.

.

Seconde surprise, bonne odeur intérieure,

Le carré sent, parfois, humidité, renfermé,

Après une longue période … d’hivernation,

Des cafards, autres bestioles l’envahissant.

.

Troisième surprise, un beau soleil au réveil

Nous permet de tout sortir dehors, cockpit

Nous avons temps, pas besoin de faire vite

Lors, on va faire les courses au Superdyno.

.

Nettoyage de la coque jusqu’au raz de l’eau

Coque ayant été salie, en ligne de flottaison,

Puis du pont, puis du carré, puis couchette,

Puis remplissage des soutes et des placards.

.

Enfin, on déplie le génois  et la grande voile,

On les installe sur un hauban, mât et bôme,

On les dresse, les monte … elles se gonflent,

On teste le moteur : parés pour naviguer !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

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 Calligramme

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R E T R O U V A I L L E S

Chaque nouvelle retrouvaille

Avec notre voilier, bel Ar-Kilé,

Gardera toujours un vrai statut

D’événement,  R  fort émotionné.

Comment le re  E trouverons-nous,

Après son très   T  *    long hivernage.

Car c’est, bien  R       C  dans notre tête

Que l’on se     O             A  sera construit

Un scénario  U                 N  catastrophes,

Où l’on s’est V                   A  déjà imaginé

Trois jours   A                    R  à  le réparer.

Menu dégât I                    I  ici et puis là,

En peinture  L              E    en cassures,

Sans parler   L         S  réarmement,

Et procéder   E    *   au carénage.

Mais cela      S    est toujours

Plaisir que     de le revoir,

Ce coursier des mers

Le dénommé :

Ar-Kilé,

V

BATEAU AR-KILÉ

Nous venons juste d’arriver à la ville de Las Palmas,

Belle capitale  de l’Ile de Grand Canaria … en avion,

Nous avons pris le taxi qui nous dépose au ponton

Où se trouve bateau Ar-Kilé de trente-sept pieds

Qui nous attend au port de plaisance de la Luz

Depuis mars dernier, lors  nous avions fait,

Aux Canaries, séjour de trois semaines,

Pour nos vacances d’hiver au soleil.

.

Première surprise : un temps couvert  sous nuages,

Avec risque de pluies et vents en fin de journée,

Nous voici accueillis par le climat breton

Frisant les vingt degrés, et demain,

Cette même météo… annoncée.

.

Deuxième surprise : bonne odeur fraiche à l’intérieur

Pas de cafard ni bestiole dont personne ne raffole,

Housses de matelas, draps, couettes et oreillers

Sont propres et nous les installons de suite

Chacun dans notre cabine respective,

Puis nous déballons nos affaires

Nous rangeons nos bagages.

.

Troisième surprise : voilà qu’au réveil, il refait beau

Le ciel s’ouvre à nouveau, en fond des plus bleus.

Alors allons faire nos courses au…Superdyno,

En ville, à dix minutes à pied, du bateau,

Et retrouver Las Palmas, son charme,

Nos repères, en ses rues, magasins.

A  U X      C  A  N  A  R  I  E  S

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Forme

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135 4

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Retrouver coque de voilier après huit mois

D’absence, crée toujours

Émotions surtout quand on hisse les voiles

Pour partir en croisière.

Un voilier est une coque habitable

Avec mât et haubans pour le gréement

Des voiles : grande, génois, spi, trinquette

D’où ici les quatre voiles à sortir des coffres.

 .

Symbolique 

La

Coque a

Pour caractéristique

D’être plus légère que la

Masse d’eau correspondant

À son volume, afin que la poussée

D’Archimède lui permette de flotter.

Elle peut prendre plusieurs formes,

Avec  de  simples rondins  de bois

Assemblés ensemble pour faire

Un radeau à coque composite

Des voiliers de compétition.

Il peut y avoir une seule

Coque (monocoque),

Deux (catamaran),

Trois (trimaran)

Wikipédia  Conception d’un bateau

.

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D

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Fond

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Évocation 

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135 6

.

Évocation de fond

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Retrouver coque de voilier après huit mois

D’absence, crée toujours

Émotions surtout quand on hisse les voiles

Pour partir en croisière.

 .

Symbolique 

 .

Le voilier reste un bateau :

Il s’agit de symbole plus général

Mais également complémentaire.

Mettre les voiles, sera l’expression

Qui illustrera, le mieux, le symbole.

Voile se gonfle au besoin de partir,

Elle est reflet du départ imaginé.

Invitation à quitter, peut-être.

Mais  en  se  rappelant  que

L’on ne quitte pas le port

Sur  un  coup  de tête,

Et  qu’un nouveau

Voyage          se

Pré-pa-rera

Tou-jours

Longue

Ment

V

signification-reves.

fr/Voilier-voile

 .

.

Fond/forme 

 .

Retrouvailles est un mot qui enchante

Quand on sait que plaisir nous attend

Que séjour, croisière, voyage, détente

 Est une pure aventure qui nous tente.

Désarmé en hivernage, voilier est nu,

S’agit de lui remettre ses voiles dessus

De vérifier le moteur, et faire le plein,

Non seulement de liquides, de pains !

.

 Textuels et illustrations  >>  

134 – Départ Charleroi, Rayanair vers Canaries

Textuels et illustrations   >>  

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Originaux : poème,  extensions, fragments

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Poème

.

Tout départ,

Serait stressant

Le nôtre en tous cas

L’est bien, aujourd’hui,

Tant, pour les préparatifs

Qu’au cours de notre trajet,

Car c’est tout un programme

Pour démarrer, pour arriver,

Pour ne pas  trop dépenser,

Pour  accomplir   le trajet,

Pour  bénéficier  du  vol,

Le plus direct  possible

Et pour ne pas perdre

Ses bagages en route

Pour ne pas  galérer,

Pour les…récupérer.

L’on ne sera jamais,

À l’abri de surprises,

Retards, annulations,

Majorations ou grèves.

Tout voyage, en un  avion,

Restera et toujours, un défi :

Pour moitié dans organisation,

Pour autre moitié, pour émotion.

Assis dans l’avion, contrat est rempli

Presque, s’agit encore d’arriver vivant,

Si possible en bonne forme à destination

Mais cela ne dépend pas toujours de nous,

En bagages, faut pas dépasser  quinze kilos,

Pour celui de la soute et  dix, dans  la  cabine,

Pas simple pour nous, qui partons  deux mois !

Pour  cette  fois,  nous avons un supplémentaire,

Un bon vélo pliant qui pèse la quinzaine de kilos !

Mais  nous avons droit à vingt, on aura une marge,

À l’aéroport, de  quelques kilos, mais sait-on jamais.

Nous arrivons  à l’aéroport, un peu  avant  six heures.

Avion affiché sans précision de numéro   de comptoir.

Et  la foule  se masse  devant ensemble de ces derniers

Progresse,   très  lentement, vers  leur embarquement

Sept heures : notre avion  a disparu de tous tableaux

Sans qu’il y ait eu mention de délai ni de comptoir.

Lors nous arrivons à atteindre un de ces derniers

On s’entend dire, que l’enregistrement est clos.

C’est incompréhensible c’est problématique

Et pour nous, c’est le seul de la journée !

Renseignement pris par le téléphone

Ce serait le système informatique

Qui aurait pris cette décision,

Le vol serait encore ouvert.

.

Extensions 

.

Notre demande d’information

Suscite un mouvement de foule

Vers un comptoir venant de s’ouvrir

Car nous sommes loin d’être les seuls :

Il concernerait presque moitié de l’avion.

.

Le vol partira avec une heure de retard,

Suite au temps pour passer la douane,

Faire  l’appel et regagner nos sièges,

Affolés d’avoir cru rater l’avion.

.

Tout cela pour une panne informatique

Sur les écrans que les hôtesses ni personne

N’avaient pris soin de constater, d’informer !

.

On ne sait pas pourquoi, au juste,

Le départ pour une ile…lointaine

Est toujours stressant.  Déjà que

Le suivant est que le lendemain

Et la douane est plus tatillonne

Et se sentir perdu ou en retard

Augmente encore battements.

.

Maman … j’ai raté l’avion !

Maman, j’ai encore raté l’avion

Référence à deux films comiques :

Quand c’est un autre : humoristique

Mais si  c’est le sien : c’est la panique !

.

Or prendre l’avion est prendre un risque

Comme pour tout transport, accentué ici

Par le fait qu’il n’y aura pas d’alternative

Et en cas de transfert, tout se complique

Sans compter les valises  qui s’égarent !

.

Un soulagement  quand  on a décollé :

L’on finira par arriver  quelque part :

Problème  et sommes pris en charge,

Dormons donc sur nos deux oreilles

Si tant est qu’on ne nous… réveille.

.

.

Fragments 

Un départ en avion en catastrophe,

Une annulation de dernière minute

Un changement d’horaire, d’avion

Une perte, égarement de bagages

***

Correspondance ratée en retard,

Une place faussement attribuée,

J’en passe, la liste serait longue :

Qui n’aura  connu cela, à voyager.

***

De toute façon, qu’importe moyens

Le fait seul de se déplacer est risquer

De se trouver stressé par contretemps :

Pour être patient,  faut avoir un plan B.

***

Plan A,  ou  plan B,  c’est parfois plan T,

C’est-à-dire passer la nuit dans l’aéroport

Avec ce que l’on imagine, pour son confort :

Chambre de bonne devient des plus désirées.

***

Toujours est-il, cette fois, on s’en est bien tiré

Nous voilà en bon avion  qui va bientôt décollé,

On pousse un ouf de soulagement, relâchement :

Attendons la suite  et profitons moment présent !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Tout départ,

Serait stressant

Le nôtre en tous cas

L’est bien, aujourd’hui,

Tant, pour  D  les préparatifs

Qu’au cours   É  de notre trajet,

Car c’est tout    P un programme

Pour démarrer   A  pour arriver,

Pour ne pas trop R  dépenser,

Pour  accomplir  T le  trajet,

Pour   bénéficier *  du  vol,

Le plus direct D possible

Pour ne pas  E  perdre

Ses bagages en route

Pour ne pas  galérer,

Pour les…récupérer.

L’on ne sera jamais,

À l’abri de surprises,

Retards, annulations,

Majorations  ou grèves.

Tout voyage, en un  avion,

Restera et toujours, un défi :

Pour moitié dans organisation,

Pour autre moitié, pour émotion.

Assis dans l’avion, contrat est rempli

Presque, s’agit  encore   d’arriver vivant,

Si possible en bonne  * forme à destination

Mais cela ne dépend  C  pas toujours de nous,

En bagages, faut pas  H   dépasser  quinze kilos,

Pour celui de la soute  A   et  dix, dans  la  cabine,

Pas simple pour nous,  R   qui partons  deux mois !

Pour  cette  fois,  nous   L  avons un supplémentaire,

Un bon vélo pliant qui    E pèse la quinzaine de kilos !

Mais  nous avons droit à  R  vingt, on aura une marge,

À l’aéroport, de  quelques   O  kilos, mais sait-on jamais.

Nous arrivons  à l’aéroport,  I   un peu  avant  six heures.

Avion affiché sans précision      de numéro   de comptoir.

Et  la foule  se masse  devant  L   ensemble de ces derniers

Progresse,   très  lentement,   E   vers leur embarquement

Sept heures : notre avion  a   S  disparu de tous tableaux

Sans qu’il y ait eu mention    *  de délai ni de comptoir.

Lors nous arrivons à attein  C    dre un de ces derniers

On s’entend dire, que l’en   A   registrement est clos.

C’est incompréhensible     N   c’est problématique

Et pour nous, c’est le      A  seul de la journée.

Renseignement pris     R  par le téléphone

Ce serait le système    I    informatique

Qui aurait pris cet  E  te décision,

Le vol serait enco  S  re ouvert.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une  bouteille,

Flacon de parfum

Tout  autant  qu’une

Quille de bowling ?

.

134 4

.

Quille de bowling ressemblant profil

D’un gros avion de ligne

Sans les ailes, sans queue, sans train

D’atterrissage, bien sûr !

 

Symbolique 

 .

«

«Aujourd’hui,

Je prends la quille !»,

«Aujourd’hui,  

Vivement  la  quille !»

Qui n’a pas entendu  quelqu’un

Prononcer  l’une  de ces expressions,

Pour  signifier   la  liberté, ou  le   fait

Qu’il est  au  point   prendre retraite ?

Apparue  vers    les    années    1930,

L’expression «La quille »viendrait,

Selon des sources encyclopédiques

Du verbe quiller qui signifierait 

Abandonner ou  voire, quitter.

Defense.gouv.fr/actualites/articles

.

.

Fond

.

Évocation 

.

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.

Quille de bowling ressemblant profil

D’un gros avion de ligne

Sans les ailes, sans queue, sans train

D’atterrissage, bien sûr !

 .

Symbolique 

.

Le bowling 

Est  un  sport

Un jeu inventé

Au  XIXe siècle

Aux USA : championnat

A eu lieu à Chicago en 1901.

Le mot est d’origine anglo-saxonne.

Ce jeu consiste à faire tomber des quilles

Avec boule assez lourde. Il y a 10 quilles.

Pour compter les points, cela dépendra

Des quilles restantes qui sont debout.

Le joueur a droit  à deux  lancers.

Le poids de la boule est de 8 kg

Son diamètre 22 cm maxi.

Score parfait maximum

Est de 300 points.

fr.vikidia.org/wiki/Bowling

.

.

Fond/forme 

.

Une quille a beau avoir une forme de fuselage,

D’un avion de ligne, elle n’en aura pas l’usage

Il s’agirait bien là d’une libre interprétation

Plus proche de mise en récit que de poésie.

 

Or la quille veut, tout de même, signifier,

Un départ, au loin, en tous cas, ailleurs,

Sens propre autant qu’au sens figuré.

J’aurai pris, plus de cent fois, l’avion

À chaque fois, pincement au cœur :

Retardé, annulé, secoué, redirigé !

.

Textuels et illustrations   >>