1199 – Mort dans l’âme, vie chevillée au corps !

Voir prose et illustrations

.

On sait que l’âme, même si elle ne dépend

Pas entièrement du corps, y est attachée,

Sans savoir si elle survit après sa mort.

Lors, si la vie  est chevillée  au corps,

Et si l’âme est chevillée à la mort,

Chacun  tire  fort  de  son  côté.

Le corps lutte pour  la vie ;

L’âme lutte pour partir

Et ne plus revenir,

En autre corps.

 .

Avec la mort dans l’âme,

La vie chevillée au corps

Notre sort serait infâme

Jusqu’à perdre  le nord.

 .

Le corps, face à  la mort,

Résiste  encore  et encore,

De peur de perdre son âme

En je ne sais  quelle flamme

 .

Mort dans l’âme : fin  espoir,

Vie chevillée  au corps : poire,

Pour la faim, pour la soif à venir

Si l’on s’acharne  à ne pas mourir.

 .

Contraire : mort  chevillée en l’âme

Résonne comme non-sens pour finir,

Notre âme n’est pas faite  pour mourir

Elle ne subit pas d’un corps, son drame.

 .

Notre vie, chevillée, en âme d’un corps,

Nous rappelle tout le temps notre sort

Qui nous échappe,  folie ou raison,

Nous rachète de  contrefaçon.

 .

Contrefaçon d’une image

Innocente d’enfant sage

Alors  que  l’on  enrage

D’être  en   plein  nuage

Pour  comprendre  la  vie

Que nous menons sur terre,

Pleine de délires, de mystères,

Que jamais on assouvit, souscrit.

 .

Croyant notre âme autour de nous,

Avons-nous tout faux ou pas du tout,

Elle se sera construite  avec des liens,

Nous reliant tous sur notre prochain !

Et  quand la mort  un jour … survient,

Ces liens disparait ront,  et,  à jamais,

Sauf en forme spirituelle désormais

La seule à vrai dire  qui  nous tient

De croire, mort est la fin de tout

Monde où l’on vivait à genoux,

Car vie dans l’âme compense

La mort chevillée  corps.

.

.

Extension

 .

La mort est un combat,

Dernier pour celui qui meurt

D’une maladie ou de mort naturelle

Tant lutte pour rester en vie, ne serait-

Ce que par un simple réflexe de survie.

.

La mort est douce pour celui qui s’en va,

Endormi en son sommeil et n’a pas

Conscience de sa fin, a simplement oublié

De respirer, et  voilà  qu’un moment,

Il est passé de l’autre côté, sans la moindre

Frayeur ni douleur. Nous ne sommes

Pas égaux, ni devant la vie, ni la mort !

 .

On ne saurait si c’est la vie qui s’en va

En même temps, avant ou après l’âme

Si elle reste au-dessus du corps, mort,

Planant comme  dans pure lévitation

Certains en auront fait l’expérience

De  cette  sortie  extracorporelle

Dont ils sont revenus sonnés.

.

Que restera-t-il de moi lors mort :

Un corps ou une urne des cendres,

Et descendance qui se souviendra,

Voire mon âme qui se réincarnera

.

Réincarnation contre résurrection

Mon âme ne voudrait pas mourir,

Mon âme ne pourrait pas mourir,

Mon âme serait Adn de mémoire.

.

On a tant dit sur existence d’âme

Sans pouvoir le vérifier nulle part

Certains prétendent l’avoir vendu

Au Diable : double imagination !

.

.

1199 – Calligramme    

 .

On sait que l’âme, même si elle ne dépend

Pas entièrement du corps, y est attachée,

Sans savoir si elle survit après sa mort.

Lors, si la vie  est chevillée  au corps,

Et si l’âme est chevillée à la mort,

 Chacun  tire  fort  de  son  côté.

Le corps lutte pour  la vie ;

L’âme lutte pour partir

Et ne plus revenir, 

En autre corps.

******************

*********************

Avec la mort … dans l’âme,

La vie che L villée au corps

Notre sort  A  serait infâme

Jusqu’à per   *   dre  le nord.

Le corps, face   M  à  la mort,

Résiste  encore    O et encore,

De peur de perdre   R  son âme

En je ne sais quelle    T flamme.

Mort  dans l’âme : fin   *    espoir,

Vie chevillée  au corps :   D   poire,

Pour la faim, pour la soif   A  à venir

Si l’on s’acharne  à ne pas  N  mourir.

Contraire : mort  chevillée  S   en l’âme

Résonne comme non-sens,  *   pour finir,

Notre âme n’est pas faite   L  pour mourir

Elle ne subit pas d’un cor  ‘  ps, son drame.

Notre vie, chevillée en     âme d’un corps,

Nous rappelle tout le  M temps notre sort

Qui nous échappe,   E  folie ou raison,

Nous rachète de  *   contrefaçon.

.

Contrefaçon  V   d’une image

Innocente    I   enfant sage

Alors  que    E   l’on  enrage

D’être  en     *     plein nuage

Pour comp    C    rendre  la vie

Que nous me  H    nons sur terre,

Pleine de déli   E   res, de mystères,

Que jamais on   V   assouvit, souscrit.

Croyant notre â   I   me autour de nous,

Avons-nous tout   L   faux ou pas du tout,

Elle se sera const   L   ruite  avec des liens,

Nous reliant tous   É   sur notre prochain !

Et  quand la mort   E     un jour … survient,

Ces liens disparait  *     ront,  et,  à jamais,

Sauf en forme spi  C     rituelle désormais

La seule à vrai di  O   re  qui  nous tient

De croire, mort   R    est la fin de tout

Monde où l’on   P   vivait à genoux,

Car vie dans l’  S   âme compense

La mort che   *   villée  corps.

.

.

Forme

 .

 Réduction

.

.

Évocation

.

1199 4

.

L’âme, figurée en haut,

 Avec le corps, lui, réel,

Bien  réel,  et en bas,

Comme dédoublée.

 .

(S : forme stylisée = : rimes égales

Y : le fond s’approche ici de forme)

 .

L’âme est par nature immatérielle,

elle aurait même à voir avec le ciel

si on ne la trouve au fond d’un vase

elle est évoquée en forme et en fond.

 .

Notre âme serait prisonnière

Ou bien alors héritière d’un corps

La mort les séparera, lorsqu’elle 

Les dissocie, définitivement !

.

Symbolique    

 .

Qui croit encore à l’âme?

Lidée quil existerait une entité

Séparée du corps, sublime, immortelle,

Nous paraît aujourdhui des plus démodées.

 .

Les progrès des sciences et de la médecine,

Lessor de la société de consommation

Ont vu triompher le corps.

Soigné, entretenu, dévoilé,

Désiré,  glorifié,  il occupe

Désormais toute la place.

Source : philomag.com/les-idees

/dossiers/lame-et-le-corps-3673

.

 .

Fond

 .

Évocation

.

1199 6

.

L’âme, figurée en haut,

 Avec le corps, lui, réel,

Bien  réel,  et en bas,

Comme dédoublée.

.

Symbolique

 .

Le mot âme évoque

Un pouvoir invisible :

Être distinct, partie d’un vivant,

Principe de vie, d’organisation, d’action.

Par son pouvoir mystérieux, elle suggère

Une force supranaturelle, un esprit,

Un centre énergétique. Affirmée

Par la religion, rejetée par

La science (l’âme est imposture :

Aucune ’âme au bout d’un scalpel),

Elle est acceptée comme évocatrice

D’une invisible puissance et provocatrice

D’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

L’âme n’existerait pas, mais sa sœur existe

La preuve est que je me mets à sa recherche

Que je finis  même, des fois, par la trouver !

De trouver la mienne, çà je n’y compte pas,

Et pourtant je suis prêt ç donner la mienne

À la femme de ma vie, adorée, toute nue 

Et jusqu’à me damner au diable d’enfer,

Pour revoir Eurydice la dernière fois.

 .

.

Mort sous lame d’une faux !

 .

Scénario

 .

Mort dans l’âme de quelqu’un à qui on annonce maladie incurable,

et se mettre à vivre en joie, luttant contre et ce jusqu’au dernier jour,

jusqu’à : « comme endormie, ayant cessé de respirer simplement »

.

Voir prose et illustrations

1135 – Que sont la philosophie et la psychologie !

Voir prose et illustrations 

Ce n’est pas à moi de les définir,

Ils le sont, l’ont été bien avant moi !

Etymologiquement, philo pour…aimer,

Sophie pour sagesse, psycho pour … âme

Et logie pour parole, philo pour principes,

Valeurs et morales, et psycho pour actes,

Comportements : la philo  est  illustrée

Par Rodin, la psycho par mécanisme

D’échanges et des langages.

.

La philosophie est art du paradoxe :

Se battre contre tout en gant de boxe

La psychologie  est art du compromis

De se mettre à la place de l’autre aussi.

.

De même quand  cerveau, s’échauffant,

S’agite sans but en tous sens et librement,

Se repose en plein amour paradoxalement

On aime ce que l’on hait et réciproquement !

.

Voilà  bien des mystères, des comportements,

L’on ne sait pourquoi  et l’on ne sait comment :

L’on arrive à dire une chose et faire le contraire

Au point que notre attitude devienne arbitraire.

.

Pourquoi vouloir chercher à tout expliquer :

Savant nous taxerait de rationalité limitée,

Le médecin, de personnalité dupliquée,

Le poète, oxymoron alambiqué.

.

Cohérence est dans la durée

En accident de  parcours

Comme l’ultime recours

Des   cœurs  con-tra-riés,

Par  ennuis,  des  journées.

Eh bon sang  lors  je  me bats

Pour garder  retrouver  le calme

Mes émotions volent de haut en bas

Et, subitement, je  me trouve  bien las.

.

Sommeil, comportement, désir,  amour,

Fonctionnent au même rythme toujours,

Serait-ce alors    moi qui ne les suivrais pas,

En prenant les  libertés qui ne me vont pas.

.

Mon cerveau   trompé, se vengerait de moi

Me donnant idée blanche, noire à la fois,

S’il dit  je mens, il ne ment pas et moi :

Je ne le sais pas, reste perdu, sans foi.

.

De paradoxes en …   contradictions,

De délires, en mentales confusions,

Aurais-je explosé …  pour de bon

Et mélanger sentiment, raison,

Les prenant pour … passions

Inverses, et non adverses,

Là j’arrête pour de bon. 

.

.

Extension

  .

La philosophie

Parle plutôt de l’Homme

Avec un grand H tandis que

La psychologie parlera plutôt

D’homme avec un …  petit h !

.

C’est ce qui ferait la différence

Et qui fait même leur nécessité

Psychologie dérive de philosophie

Et médecine, entre autres, empruntant

Aussi à la biologie, pédagogie, sociologie.

 

La philosophie traitera des grands principes

Qui régissent l’Univers, les choses, les êtres !

Mais de toutes manières les deux s’avèrent

Très complémentaires et ce bien que

Très différentes et diversifiées.

 .

La psycho est issue de la philo.

La psycho ne vise pas la sagesse :

Elle s’adresse plus à toute détresse,

De névrose en psychose, autre maux.

Le cœur a même raison que le cerveau.

Psycho s’adresse à homme en particulier

Et philo s’adresse à l’homme… en général !

.

Bon nombre de sciences humaines,

Théoriques, appliquées, enseignées,

Cherchent à se valoriser et protéger,

Par diplômes décernées Universités,

.

L’expérience en la matière ne suffit pas

Tout le monde peut se dire psychologue

En allant du coaching au charlatanisme

Mais Société/État ne le reconnaitra pas.

.

Exerçant  comme  psychologue praticien,

Il est recommandé sinon exigé d’être suivi

Par un,  si ce n’est plusieurs,  de ses pairs,

Pour éviter des dérives, pertes objectivité.

 

.

1135 – Calligramme

.

Ce n’est pas à moi  Q   de les définir,

Ils le sont, l’ont été  U  bien avant moi !

Étymologiquement,  E philo pour…aimer,

Sophie pour sagesse  *   psycho pour … âme

Et logie pour parole,  S philo pour principes,

Valeurs et morales,  O et psycho pour actes,

Comportements : N  la philo  est illustrée

    Par Rodin, la     T psycho par mécanisme

D’échanges       *      et   des  langages.

La philosophie   L  est art du paradoxe :

Se battre contre   A    tout en gant de boxe

La psychologie      *   est art du compromis

De se mettre à la  P    place de l’autre aussi.

De même quand    H     cerveau, s’échauffant,

S’agite sans but en  I      tous sens et librement,

Se repose en plein    L     amour paradoxalement

On aime ce que l’on    O     hait et réciproquement !

Voilà  bien des mystè    S      res, des comportements,

L’on ne sait pourquoi    O      et l’on ne sait comment,

L’on arrive à dire une     P   chose et faire le contraire

Au point que notre atti  H  tude devienne arbitraire.

Pourquoi vouloir cher   I     cher à tout expliquer :

Savant nous taxerait   E   de rationalité limitée,

Le médecin, de per       sonnalité dupliquée,

Le poète, oxymo     P       ron alambiqué.

Cohérence est      S       dans la durée

En accident       Y     de   parcours

Comme l’ul      C    time recours

Des   cœurs     H     con-tra-riés,

Par ennuis       O     des  journées.

Eh bon sang    L    lors  je  me bats

Pour garder    O    retrouver le calme

Mes émotions   G   volent de haut en bas

Et, subitement  I   je  me trouve  bien las !

Sommeil, com  E  portement, désir, amour,

Fonctionnent    *  au même rythme toujours,

Serait-ce alors    moi qui ne les suivrais pas,

En prenant les  libertés qui ne me vont pas.

Mon cerveau   trompé, se vengerait de moi

Me donnant idée blanche, noire à la fois,

S’il dit  je mens, il ne ment pas et moi :

Je ne le sais pas, reste perdu, sans foi.

De paradoxes en …   contradictions,

De délires, en mentales confusions,

Aurais-je explosé …  pour de bon

Et mélanger sentiment, raison,

Les prenant pour … passions

Inverses, et non adverses,

Là j’arrête pour de bon. 

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

1135 4

.

 

Une forme … étrange

Mais qui ressemble fort

À une tondeuse à barbe 

Bien plus  qu’à un rasoir ?

.

(P : forme pleine, = : rimes égales

X : le fond s’éloigne de la forme)

.

La philosophie et la psychologie

Ne sont pas rasoirs, loin s’en faut,

Ni au sens propre, prophète à barbe,

Ni figuré, qui serait fort ennuyeux.

.

Symbolique  

 .

Un rasoir est

Appareil destiné

À couper  les poils :

Barbe, cheveux, pubis,

Jambes, et les aisselles,

Tant  chez  les  hommes

Que  chez  les …  femmes.

 .

On appelle « rasoirs humides »

Ceux nécessitant l’usage lubrifiant

Huile d’amande douce, savon à barbe,

Mousse à raser, ou encore gel de rasage

Comme le rasoir droit, rasoir de sécurité.

Par opposition, le « rasoir sec »,

Comme le rasoir électrique,

S’utilise à même la peau.

fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1135 6

.

Philosophie et psychologie

Ne sont pas rasoirs, loin s’en faut :

Ni au sens propre, prophète à barbe,

Ni figuré, qui serait fort ennuyeux.

.

Symbolique    

 

La barbe est

Symbole de divinité,

Du savoir et de la virilité.

Peut aussi évoquer négligence.

En France, et, en Europe, la barbe

A été adoptée (courante XVIe siècle)

Puis  disparait au siècle suivant, pour

Réapparaître au XIXe siècle.

 

Et après être passée  de mode,

Pendant   décennies, elle revient

En force en ce début de XXIe siècle

Mais elle est  davantage considérée

Comme un accessoire esthétique que

Comme un objet  de sens symbolique.

1001symboles.net/symbole/sens-de-barbe.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quantité de philosophes barbus, imberbes,

Ce n’est pas parce qu’on attribue une qualité

À un aspect d’une personne, qu’elle la possède.

Les chauves sont ceci, les frisés sont comme cela

Qu’elle soit ou non objet de séduction, affirmation !

Pourquoi pas, selon les gens, les modes, interactions

Ce n’est qu’une légende, tant on change de registre

Lors on passe des apparences à  la profondeur

Puis à l’intimité, puis à l’âme de l’Homme

Qui nous échappe de l’extérieur.

 .

.

Psychologie hauteur, profondeur

.

Scénario

.

Le Penseur de Rodin, une des figures de la philosophie.

Les sept voies voire sept piliers de la sagesse dont la vôtre.

Nos pensées et nos émotions : cerveau et cœur à l’équilibre !

.

Voir prose et illustrations 

 

740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

Visuels t textuels >>

.

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop  cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps,

S’accorderont sur le  la,

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime  suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

Sortie, de  ses  entrailles

Lors  notre  voix  déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons ferraillent,

Lors nos écarts se font jour :

On n’entendrait plus qu’eux,

Finis, sont finis nos amours,

Chacun joue son propre jeu.

.

.

Extensions

 .

La tonalité et le tempo, d’un air, d’une chanson

Sont des fondamentaux de l’harmonie et du rythme.

Une mauvaise clé, une mauvaise cadence, et, les corps

S’accordent mal, ne s’accordent plus, il en est de même

Pour faire l’amour : certains sont si pressés de conclure,

Que l’autre n’a pas fini  d’accorder son violon, c’est fini,

Et d’autres retardent, ralentissent la montée suprême

Au point de la faire capoter : c’est un pic, d’un côté,

À escalader, c’est une grotte de l’autre, à explorer.

.

Le lapin magique d’Alice au pays des merveilles,

Tient l’horloge, compte les temps, sonne la fin

Des festivités : un soupir par ci, un autre par là,

Un dernier cri pour finir, langoureux point d’orgue.

Et puis un jour, voilà les instruments se désaccordent,

Grincements, cacophonies, couacs, canards et compagnie.

.

La musique s’en va, les chœurs se taisent, cors s’essoufflent,

Il faudra revoir ses partitions, réaccorder ses instruments,

Sur une note et une fréquence commune, or, cela prendra

Du temps, énergie, retrouvailles du plaisir sont à ce prix.

.

Et puis quand l’enchantement renait, la magie des sons

Crée nouvelle caisse de résonnance où amour se refait

En harmonie et en cadence, tant et si bien qu’on ne

Souhaite que rejouer la partition jusqu’à ce qu’il

Faudra changer d’air, de chanson, partenaire !

.

 «Trop, c’est trop» de toute façon, et en toutes situations,

Et «du pareil au même» quand ce n’est pas «pas assez»

Quant à être trop bas, trop haut, faire  vite ou trop lent,

Quand on est en avance, trop tôt et en retard, trop tard.

.

De quoi s’agirait-il, ici, au juste :

D’un parfait accord de deux corps

Ou au contraire : parfait désaccord !

.

Ressentir intensément l’instant présent

Et décupler une sensation de jouissance :

En bref, de  ressentir l’autre  en soi-même.

.

Mais la fusion  des deux corps, qui s’aiment,

Ne se résumerait pas en rapport à l’orgasme :

Sexe, corps, cœur, esprit, âme forment un tout.

.

La beauté d’un rapport se trouverait … avant tout,

Dans l’émotion, dans le partage dans l’écoute de soi,

De l’autre et non la finalité d’une fusion la plus totale.

.

.

Épilogue

.

De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

***

Cette strophe écrite par Paul Verlaine

Parlant de mots, de rimes en fredaines

S’applique autant aux ébats amoureux,

Tantôt fortissimo et tantôt langoureux !

***

Personne ne vous apprend à faire l’amour

Cela s’avère une expérience au long cours,

Or avec autant de reculs que … d’avancées,

Patiemment, on finira toujours par arriver.

***

Certains pensent qu’il s’agit de performance

En tout, en longueurs, postures, endurances

Alors qu’il  n’en est rien, rien  de mécanique,

L’amour est autant psychique  que physique.

***

Trop haut … trop bas … trop vite …  trop lent :

On dit quelqu’un : viser dans le mille, voulant,

Et puis s’acharnant… le bon rythme, à trouver,

Ce qui ne rime à rien, il suffit de tout partager.

.

.

740 – Calligramme  

 .

TROP HAUT,

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

TROP BAS

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps

S’accorderont sur le la

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

TROP VITE,

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

TROP LENT 

Sortie, de ses entrailles

Lors notre voix déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons … ferraillent

Quand nos écarts se feront jour :

On n’entend guère plus qu’eux

Finis sont finis nos amours

Chacun joue son jeu.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

740 4

.

Un capteur quelconque,

Pour le niveau d’émotion

Pour variation d’humeur

Ou pour la température.

.

L’amour sexuel, chacun le sait

fait grimper toute température

celle des corps, en premier lieu,

sensations environnement après

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique

 .

Selon la culture,

La température

Chaleur d’environnement,

D’un habitat,  de vêtements,

D’objets voire de la nourriture

Évoquerait différentes choses et

Favorise comportements sociaux.

.

Les mots «chaleureux» ou «froid»

Entre en des expressions telles que

«À mains froides   …    cœur chaud »

Montrent l’importance sous-jacente

De chaleur en interactions humaines.

.

Descriptif

 .

740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

  Alignement central   /  Titre  analogue  /   Thème  tempo

Forme courbe  /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : température / Symbole de fond : anthropo

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

740 6

.

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique

 .

Être frileux, ou avoir chaud, ou avoir de la fièvre.

Que signifie la notion de chaleur pour le corps ?

Régulation de la  température dite ressentie

De sensation de chaleur ou encore frilosité

Pointe, souvent, un conflit  de séparation,

Et voire de manque de chaleur humaine.

.

Si on estime  qu’on mérite  cette chaleur,

On la produira  nous-même, et, à l’excès.

Si au contraire, on ne s’en sent pas digne,

On ne produit chaleur manquante, on a froid.

santenatureetcie.com/temperature-du-corps-symbolique

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre température intérieure se maintient

À 37 degrés par mécanisme de régulation :

Chaleur excessive sera évacuée par sudation

Mais quand il s’agit d’assouvir désir sensuel,

Le désir élève le corps  en température haute.

.

Lors  on utilise, d’ailleurs, l’adjectif : « chaud »,

Pour désigner quelqu’un d’addict quant au sexe.

L’acte sexuel requiert un certain nombre d’efforts

Procure chaleur peau contre peau, sexe contre sexe

Jusqu’au plateau commun atteint lors de l’orgasme.

 .

.

Idem le temps avant et après

.

Scénario

.

Pour bien s’accorder, il faut déjà trouver le lieu d’un trésor caché,

et pénétrer ensuite l’entrée secrète qui conduit à un Graal d’Amour,

le lapin d’Alice nous fait savoir  que vous êtes en retard … trop tard !

 .

Visuels t textuels >>

739 – Yeux, fenêtres de l’âme, métaphoriquement

Visuels et textuels  >>

.

On se fait image de l’âme

À travers émission de lumière

Or, si l’œil en reflète sur son iris,

Il n’en produit pas, il fera illusion !

.

Pourtant regard lumineux, perçant,

Des uns, contraste, avec celui, terne

Des autres comme éteint,  ombrant

Loin  d’un phare,  simple lanterne.

.

L’on sourit, aussi, avec les yeux,

Le regard ne ment pas ou peu

Nos yeux  sont bien fenêtres

Sur le Monde, certes oui :

De nous, métaphorique

Autres existent, aussi.

 .

Yeux, fenêtres âmes, métaphoriquement,

Pourquoi pas autres sens tout simplement.

La bouche est porte du ventre et goulument,

Et le nez celle de la respiration, en soupirant,

.

Et l’oreille, le pavillon musical, en résonnant,

La main, masseur  émotions, étonnamment

Tant vrai  qu’ils  ont contribué  tout autant

À bien façonner toutes âmes toutes gens.

.

Lors nos bouches  profèrent des mots

Qui vont bien  chatouiller  notre ego

Nos nez vont  ressentir  le parfum,

L’odeur de notre bon  plat  divin.

Nos  oreilles  restant  très  fines,

Nous murmurent belles ondines.

.

Et  mains se font  comme caresses

En grands tourbillons  de tendresse,

L’association  des  deux et voire trois

Sens  sont relais,  parfaits, des  élans,

Et augmentent d’autant le sentiment

De se livrer totalement à nos émois.

.

Quand  son âme, se reflète, se dilate,

Elle pourrait se contracter pulsations

Harmoniques qui, soudain,  s’éclatent

En un corps, en un cœur, en un esprit

Qui fondent en  seul  cocon  spirituel

Émotions, actions bien corporelles.

.

Nos yeux ne seraient pas nos fenêtres,

Ne seraient que  sortes de  «peut-être»

Parce que  c’est l’ensemble de nos sens,

Qui sublime  une pure, noble, essence.

.

.

Extensions

 .

Qui dit fenêtre,

Dit ouverture, intérieur, extérieur,

Du monde, du corps ;

 .

Qui dit verre,

Dit reflet d’une image spéculaire

Et pourquoi pas de l’âme ;

 .

Qui dit vision,

Dit perception d’une pensée ou

Objet interne ou externe ;

 .

Qui dit projection,

Dit interprétation de ce qu’on

L’on voit, fonction de ce qu’on a vu.

.

Fenêtre est un objet vitré et transparent comme l’œil

Qui laisse pénétrer la lumière et la voir, à l’extérieur,

Mais l’œil n’est qu’un appareil photo, sans le cerveau

Qui interprètera et en permanence tous ses signaux.

L’âme fait aller bien plus loin que l’esprit en lumière

Elle métaphorise toute réalité pour lui donner sens !

Ce que je vois est aussi  ce que j’imagine en pensées.

.

Forme, fonction, transparence, symbolique,

L’œil est fenêtre de l’Homme sur le Monde,

Ainsi que fenêtre du Monde sur l’Homme.

.

Ses pensées, caractères, qualités, défauts,

Ses sensations, émotions  et sentiments,

Connaissances, croyances, expériences.

.

La palette des sentiments, que reflète,

Transmet les regards, reste très vaste,

Lors emprunte l’éventail des possibles.

.

Tout autant amour, charme, séduction,

Que la haine, colère, indignation, conflit,

Détermination et ce jusqu’à l’impuissance.

.

.

739 – Calligramme   

.

On se fait image de l’âme

À travers émission de lumière

Or, si l’œil en reflète sur son iris,

Il n’en produit pas, il fera illusion !

Pourtant regard lumineux, perçant,

Des uns, contraste, avec celui, terne

Des autres comme éteint,  ombrant

Loin  d’un phare,  simple lanterne.

.

********************************

*******************************

.

L’on sourit, aussi, avec les yeux,

Le regard ne ment pas ou peu

Nos yeux  sont bien fenêtres

Sur le Monde, certes oui :

De nous, métaphorique

Autres existent, aussi.

 .

Yeux, fenêtres de l’âme : métaphoriquement !

Pourquoi pas  N   autres sens tout *    simplement.

La bouche est  O     porte du ventre     M     goulument,

Et le nez celle   S     de  la  respiration     É  en soupirant,

  Et l’oreille        *     le pavillon   musical    T   en résonnant,

  La main          Y     masseur  d’émotions    A étonnamment

    Tant vrai       E      qu’ils  ont   contribué    P  et tout autant

  À bien           U    façonner    toute âme    H   toutes gens.

Lors nos      X    bouches    profèrent     O    des mots

Qui vont    *    bien    chatouiller      R  notre ego

Nos nez     F     vont  ressentir      E  le parfum

L’odeur de   E       notre bon     *    plat divin.

Nos oreilles     N      étant      *        très fines

Nous murmurent    Ê             belles ondines.

Et  mains se font        T          comme caresse

En tourbillons             R        L   de tendresse.

L’association de     E   deux,   U     voire trois

Sens sont relais     *    parfaits   M    des élans,

Et augmentent   D    d’autant le   I   sentiment

De se livrer       E    totalement à   N  nos émois.

Quand son       *     âme se reflète   O     se dilate,

Elle pourrait   L     se  contracter     P   pulsations

Harmoniques        qui, soudain       H      s’éclatent

En un corps,         en un cœur,     O    en un esprit

Qui fondent    M        en  seul       R  cocon spirituel

Émotions         E        actions    E bien corporelles.

Nos yeux ne  seraient   pas    nos seules fenêtres,

Ne seraient que     des sortes   de  «peut-être»

Parce que  c’est     l’ensemble      de nos sens,

Qui sublimera  leur pure, et noble, essence.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

739 4

 .

On dirait un objet avec des yeux 

Or c’est juste un flacon de parfum,

Oui mais combien se ressemblent,

Au point de tous les confondre ?

.

Un objet, quel qu’il soit, peut être

ne ressemblera jamais à d’un œil

y compris un œil factice en verre,

si bien que forme diffère du fond.

.

N’importe quel objet peut être muni

 D’yeux mais sans d’âme :

C’est l’imaginaire du regard humain

 Qui l’anthropomorphise.

.

Symbolique de forme

 .

La symbolique de l’automobile

N’échappe à personne, surtout pas

À ceux qui l’utilisent tous les jours.

.

C’est dans la relation entre le

Conducteur et l’automobile

Que celle-ci prendra vie

Et deviendra voiture.

.

La  portée  symbolique

De cet objet peut s’appréhender

Autour de deux pôles que seraient

L’aspect identitaire et  émotionnel.

.

«L’évolution  des valeurs  automobiles

A contribué  à déplacer  l’investissement

De l’extérieur  vers l’intérieur  des voitures,

Lui conférant statut d’espace plus que d’objet »

carfree.fr/index.php/2010/09/24/la-voiture-un-objet-symbole

.

.

Fond

 .

Évocation

.

739 6

.

N’importe quel objet peut être muni

 D’yeux mais sans d’âme :

C’est l’imaginaire du regard humain

 Qui l’anthropomorphise.

.

Symbolique 

.

Pendant deux siècles, la pensée rationnelle l’a snobé :

L’anthropomorphisme appartenait décidément

À un passé des plus obscurs de l’humanité.

.

La révolution numérique conduit pourtant

Des chercheurs à lui porter un regard neuf :

Et si  personnifier  les animaux, ou, les objets,

Nous aidait à mieux définir nos relations avec eux ?

.

C’était,  car on ne s’en débarrasse pas aussi facilement :

Boursicoteurs s’inquiètent d’entendre le marché est « fébrile » ;

Tel designer sera sûr de convaincre son patron en lui montrant

Combien ce nouveau modèle de voiture est « souriant »…

lejournal.cnrs.fr/articles/la-revanche-de-lanthropomorphisme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le mot «objet» fera l’objet de  pas loin,

De quinze définitions au dico Larousse,

Voilà ce qu’on appelle : «un vrai sujet»

Que l’on épuisera, je le crois,  jamais !

.

Fenêtre et œil seront bien deux objets

Mais en quoi faudrait-il les associer

Sinon par analogie, ou métaphore,

L’œil est actif et la fenêtre passive

Par une fenêtre,  l’on ne peut voir

Que partie fixe d’environnement

Or plus, s’y penchant vraiment.

 .

.

Œil de Caïn, de Wells ou mien

.

Scénario

.

L’œil est à la fois le reflet de soi-même et du monde environnant :

il arrive qu’il se cachera, derrière sa fenêtre, pour mieux observer,

sans lumière ni fenêtre ni œil, notre âme ne pourrait rien capter !

 .

Visuels et textuels  >>

738 – De perdre mon âme, à force de la chercher !

Visuel et textuels  >>

.

De perdre mon âme,

Ça, je ne  risque  pas !

Du moins avant la mort

Elle est prédestinée à ça !

.

À défaut,  je peux la ternir,

À défaut, je peux la maudire

Ou encore, ne pas l’entretenir,

Ou la chercher où elle n’est pas.

.

La sensibilité est une qualité d’âme

Qu’on accorde volontiers à la femme,

Celle de l’homme, de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle entièrement surfaite.

.

Danger perdre mon âme à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception  à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’être pas comme  demi-dieu.

    .

Semi-animal plus demi-dieu, ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,  et Dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coincés en plein milieu d’un gué

Avec personne pour nous dire : en quelle direction, aller !

.

De ce fait j’aurai perdu mon âme  à force de la chercher,

L’âme est fenètrable tandis que le corps est pénétrable,

Qui plus est, j’aurais confondu un Dieu avec un Diable

   Et personne  pour me croire,  pour me le pardonner.

.

Mis à part vous fidèles lecteurs bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement cette fable.

Soyez rassurés, indulgents, un tel brame,

Ne pourrait conquérir cœur de dame.

.

L’âme damnée du poète maudit

Seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas réussi,

Ni pour elle, ni avec lui

.

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que  l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

.

Extensions

 .

Le danger de perdre mon âme

À force de la chercher devient aussi

Celui de se plonger en une introspection

Trop poussée, trop fouillée ou isolée

Des réalités qui nous entourent.

.

Une perception extracorporelle

Ou lévitation d’une forme consciente

Juste au-dessus  de  notre  propre  corps,

Reste encore un phénomène des plus

Étranges et des plus troublants.

.

À  notre mort, notre âme  revêt

Plusieurs formes, celle de lumière,

D’un oiseau, d’un souffle, d’une énergie,

Ou râle, que sais-je encore comme

Si quelque chose s’en échappait.

.

Comment peut-on perdre quelque chose de virtuel :

L’âme étant connue pour n’avoir de réalité tangible,

Elle ne peut être le sujet, d’une recherche… éligible :

Il faut se persuader qu’elle existe pour croire en elle

Mais ce ne sera pas parce que je ne la trouverai pas

Qu’elle se perd à tout jamais en les limbes de l’oubli

Dans mon âme, tout ce que j’ai vécu, je l’aurai mis !

.

Chercher ce qui n’existe pas

Faudrait pas y passer sa vie

Pas vu d’âme sous bistouris

A proclamé mon chirurgien

.

Y a mieux à faire, poursuit-il

Déjà assurer sa propre santé,

Réfléchir au monde où on vit,

Reste sera donné par surcroit

.

Un supplément d’âme, on dit,

Que la science ou la technique,

Ne peut jamais nous apporter :

Qu’art, poésie, musique, culture.

.

Et c’est bien ce que j’ai pressenti,

En me lançant dans des écritures :

À force de chercher en elles, un âme

Je finirai bien par me la … façonner !

.

.

738 – Calligramme 

 .

Perdre   P     son  âme,

Ça, je ne  E  risque  pas !

Du moins  R  avant la mort

Elle est pré  D  destinée à ça !

R ….

À défaut, je    E    peux la ternir,

À défaut, je     *   peux la maudire

Ou encore, ne    S   pas l’entretenir,

Ou la chercher    O    où elle n’est pas.

  N …

La sensibilité est    *   une qualité d’âme

Qu’on accorde vol     Â   ontiers à la femme,

Celle de l’homme,       M de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle      E  entièrement surfaite.

  *

Danger perdre mon âme       à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon  *     pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire   F   aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception    O   à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’êt   R  re pas comme  demi-dieu.

     C

Semi-animal plus demi-dieu    E   ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,     *   et  dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coin     L   cés, plein milieu d’un gué,

Avec personne pour nous dire     A   en quelle direction, aller !

De ce fait j’aurai perdu  l’âme      *    à force  de  la  chercher,

L’âme est fenètrable : seul le        C     corps   est pénétrable,

Qui plus est, aurai confondu       H     Dieu avec un Diable

   Et personne pour me croire        E    et me le pardonner.

                        R

Mis à part vous fidèles lecteurs    C  bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement   H  cette fable.

Soyez  rassurés, indulgents, un tel  E brame,

Ne pourrait conquérir cœur dame   R …

Car l’âme damnée du poète maudit

Est seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas  réussi,

Ni pour elle, ni avec lui,

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

738 4

.

Forme possible

Parmi   d’autres

Pour représenter

L’âme en lumière

.

L’âme : substance immatérielle,

comme lumière faite de photons,

qu’on ne peut saisir manuellement

et ainsi la forme épouserait le fond

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

 .

Lumière, symbole de la vérité,

De  la  révélation  et  du  savoir.

Elle est indissociable de l’ombre.

.

Ainsi alors que l’ombre symbolise

À  la  fois  les ténèbres  et  la  mort,

La lumière évoque la clarté et la vie

Par   analogie,  l’ombre  symbolisera

L’ignorance,  tandis  que  la   lumière

Représentera  la  lucidité  et  le savoir.

.

«Avoir besoin des lumières de quelqu’un»

Illustre bien l’idée d’une telle connaissance.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-lumiere.

.

Descriptif

 .

738 – Perdre son âme, à force de la chercher 

  Alignement central  /  Titre  oblique  / Thème  âme

Forme conique / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : lumière / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

738 6

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

.

Expression d’une puissance supérieure,

Issue d’un centre, d’une source primordiale,

La lumière  crée, éclaire, ordonne, clarifie.

Mais sa force peut devenir très  aveuglante.

.

À l’inverse, peut, en certains cas,  s’éclipser,

Ou rencontrer des obstacles qui empêchent

La dissolution des ténèbres plus profondes.

.

En son sens le plus profond,  la lumière est

L’intuition et de la conscience  qui  s’ouvre

Par un chemin  qui mène  à l’illumination,

C’est l’accès à la connaissance, à la vérité,

C’est l’entrée dans une vie plus  véritable !

https://www.jepense.org/symbolisme-de-la-lumiere

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Savons-nous seulement si notre âme

Est dans l’ombre, ou dans la lumière,

Du côté conscient  ou bien inconscient,

Si elle nous est personnelle ou commune

C’est-à-dire antérieure à notre existence

Nous la revivons, complétons, assumons.

.

Il semble que l’âme dépasse entendement

Humain, et sans, pour autant, être divine

Si fait que chacun se définirait la sienne,

Y compris sa source, devenir en religion

 .

.

Les couleurs de mon âme

.

Scénario

.

La vue de dos, de mon apparence, qui s’envole au ciel, accompagnée.

La vue de face de mon apparence, extraite d’un enfer  vers un … ciel.

D’accord mais finalement, mon âme en telle majesté, sera étrangère.

 .

Visuel et textuels  >>

737 – La traversée du miroir sans le fendre à cœur !

Visuels et textuels  >> 

.

Narcisse se penche

Pour deviner approcher

Son image et  puis il tombe

La brisant puis  la dénaturant.

L’image   spéculaire  est  fidèle

Tant qu’il n’est pas   déformé,

Portrait sera comme  voix,

On  ne la  reconnait  pas.

Miroir   de  la  marâtre

Dans  Blanche  Neige

Lui renvoie  un jour

Son image  qu’elle

Ne supporte pas.

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même spectaculaire

Ce n’est que  diffractions  d’un air,

Plaisant  ou   pas,   révélant votre âge.

 .

Nous la voyons comme étant impossible,

Parfois elle  nous est pourtant profitable,

Bien  qu’il  n’ait  aucun  retour  probable,

À ce point de nous la rendre  souhaitable.

 .

Se regarder dans son miroir aura mystère

Narcisse s’y noie en approchant trop près.

Concave, convexe, nous déforme,  exprès,

À ce point que notre image  nous atterre,

Diffusée, alternée, en autant  d’esquisses,

Deux miroirs, en face à face, se renvoient

Les images multipliées lors indéfiniment.

 .

En fuite en des points d’horizons finissent

Par converger  en une image authentique

Composée   par   des    faisceaux photons

Qui nous semble  être  une unique façon,

Pouvoir   traverser  un  miroir  magique.

 .

Magique car d’une seule image pratique,

On fait plusieurs des illusions d’optiques,

À croire que nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler les idées à foison.

 .

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents  et  amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

 .

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas !

 .

Beau miroir, dis-moi : je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

.

Extensions

 .

La traversée du miroir

Est un des thèmes classiques

Pour passer d’un monde à l’autre

De manière métaphorique ou pour

Communiquer d’avec son double.

.

Peut refléter une autre réalité,

Sans fard et sans tain, une fois

Traversé mais attention au retour

Car il n’est pas sans danger, comme

En la lévitation, sortir de son corps

Physiologique et ne plus pouvoir

Y retourner : de toute façon.

.

Devant le miroir, il n’y a que son reflet

Et  derrière, il n’y a que soi, en rapport

Avec sa face cachée qui peut être mort !

.

Miroir, miroir, les miroirs réfléchissent trop

Ils renversent, prétentieusement, les images,

Et se croient profond, nous dit Jean Cocteau

Quant à vouloir le traverser, dans la réalité,

Serait s’exposer à des déconvenues, blessé.

.

Traverser le miroir signifiera se confronter

À une certaine intimité de son psychisme,

L’opportunité de visiter  son inconscient !

Consciemment et voire inconsciemment

L’on se regarde comme dans un miroir

 Pour ajuster comportement social :

On tente de percevoir son image

Dans le regard  des autres !

.

Ce qui se passe réellement

Quand on se voit dans l’iris,

D’autre : on se voit regardant

L’autre comme dans un miroir,

Or ce n’est qu’artefact physique !

.

.

737 – Calligramme

.

           T

Narcisse se    R   penche

Pour deviner    A   approcher

Son image et     V    puis il tombe

La brisant puis   E    la dénaturant.

L’image  spécu    R     laire  est fidèle

Tant qu’il n’est    S       pas   déformé,

 Portrait sera      E     comme    voix,

On ne la re        *      connait pas.

Miroir  de        M    la marâtre

Dans  Blan     I   che  Neige

Lui renvoie   R    un jour

Son image   O   qu’elle

Ne supporte  I  pas.

                   R

**************

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même  spectaculaire

Ce n’est  que  diffractions   d’un     air,

Plaisant  ou    pas,         révélant  votre   âge !

Nous la voyons,   *        S      *     comme impossible,

Parfois elle  nous    *           A      *    est pourtant profitable,

   Bien qu’il  n’               *           N      *     ait aucun retour probable,

À ce point de                  *           S      *    nous la rendre souhaitable.

Se regarder dans                *          *     *          son miroir, aura mystère :

Narcisse s’y noie                         F   *   R                en approchant trop près.

Concave, convexe,                  E                    U                  nous déforme exprès

À ce point que notre               N                       E                   image nous…atterre.

Diffusée, alternée, en              D                       O                       autant d’esquisses,

Deux miroirs, en face                R                   C                         à face, se renvoient

Les images multipliées                  E   *   À                             lors,  indéfiniment.

En fuite en des points           *                       *     *                d’horizons finissent

Par converger  en une       *      *        *         *         *           image authentique

Composée   par   des     *      *           *              *          *    faisceaux photons

Qui nous semble être      *              *                  *         une unique façon,

Pouvoir traverser un  *                *                    *      miroir magique.

Magique car d’une        *           *           *   seule image pratique,

On fait plusieurs,         *       *    * des illusions d’optiques,

À croire que                nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler des idées à foison.

.

**************************************

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents et amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas.

Beau miroir, dis-moi, je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

La silhouette d’un arbre

En un miroir convexe,

Concave, mais  souvent

Des plus narcissiques.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Le miroir,

Surface réfléchissante,

Couvre symbolisme riche

Complexe   et   ambivalent.

« Symbole   du    symbolisme »,

Et  passerelle  entre   le  monde

Du connaître  et le monde de l’être

Le miroir fascine mais aussi dérange.

Le miroir renvoie  notre propre image :

Elle peut être, fidèle, illusoire,  inattendue.

Le miroir n’est pas qu’un objet ; il est autant

Une parole, une comparaison, une métaphore,

Ou une parabole peuvent jouer le rôle de miroir.

Un journal, une caricature, une œuvre d’art

Sont aussi des miroirs.

jepense.org/symbolisme-du-miroir

.

Descriptif

 .

737 – Traverse miroir sans fendre à cœur

  Alignement central  /  Titre  cercle  / Thème  miroir

Forme courbe / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : miroir / Symbole de fond : narcisse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Pour européens, terme de « narcissisme »

Est très couramment employé pour

Désigner   cette   part  de   libido

Étant tournée vers soi-même,

Constitutive, et, essentielle,

.

Mais  il  est  aussi  porteur

De négativité, de pathologie,

Puisqu’il prend comme référence

Narcisse, être mythique destin tragique.

.

Il n’a visiblement pas réussi à se reconnaître

Dans l’image en miroir que lui renvoyait l’eau.

.

Il ne peut quitter du regard ce reflet

De lui-même, symbolique ou réel,

Qu’il prend pour quelqu’un d’autre

Sous peine de se sentir disparaître.

cairn.info/revue-cahiers-jungiens-

de-psychanalyse-2009-1-page-43

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qu’il soit droit, concave ou convexe

Miroir ne réfléchit pas de lui-même

Il vous envoie toujours votre image

Sans savoir qu’il s’agit de la vôtre !

S’il est fendu, cassé, il peut diviser

Ou bien multiplier votre image !

 .

.

Mythe de Narcisse

.

Scénario

.

Traverser un miroir, sans le fendre, serait de la pure magie,

et derrière le miroir, on ne trouverait que son propre reflet,

des morceaux de glace, fragmentés, et colorés par son sang.

 .

Visuels et textuels  >>

736 – Âme humaine est des plus impénétrables !

Visuels et textuels >>

.

^^^^^^^

La belle âme

Im-péné-trable,

Âme insaisissable,

Âme inconnaissable,

Âme …indémontrable.

.

Tout cela  est vrai  et faux,

Âme ne se définit  par mots,

On y associe le bien et le beau,

Elle est au creux à fleur de peau.

.

Impossible de la voir,  de la toucher,

À peine si on peut la sentir, la deviner,

Quant à la sonder, quant à en faire le tour

On a beau s’y atteler : l’on y serait toujours.

.

Parait que l’âme  humaine

Serait des plus impénétrables,

Passe encore   celle du prochain,

Mienne est bien  trop misérable.

.

Elle serait bien cachée,  à l’intérieur,

Comme une intruse, venue  d’ailleurs,

Je ne la discernerais, reconnaitrais pas

Sa vue, sur elle, ne m’appartiendrait pas.

.

Notre âme serait principe de vie animation.

Il est vrai que vu sous cette basique définition

Quand le souffle de vie, s’arrête, elle s’évanouit,

 Nul ne sait en quel enfer, purgatoire ou paradis.

.

Si on l’examine microscopique, côté  biologique

L’esprit n’en fait pas partie même   très logique,

Si on l’examine, macroscopique,  côté  spirituel,

Mon corps ne serait plus que véhicule de pensée.

.

C’est ainsi on dit âme humaine est impénétrable,

Même des plus indiscernables incompréhensibles

Et c’est pourtant d’elle dont parle si bien l’amour,

Qui fait le sel non pas d’un jour mais de toujours.

 .

Au-delà    des sexes,

Corps       des cœurs,

Esprits  nous relient :

Le plus  puissant  lien

Et le plus inconscient

Qui puisse, ici, exister

..

Extensions

.

Insaisissable, impénétrable, inexprimable…  impubliable :

Seuls mots dont les dictionnaires sont capables d’un souffle

De nous définir l’âme en la confondant avec l’esprit, pensée

On a coutume d’attribuer son origine et sa destinée au ciel

Mais duquel s’agit-il, celui qu’on voit ou qu’on pressent ?

Notre âme est spirituelle, virtuelle, vue comme irréelle

À l’intérieur de notre corps et à l’extérieur en l’aura.

.

L’âme est, à la fois, un principe vital,

 Spirituel, immanent ou transcendant,

Qui animera le corps d’un être vivant

Selon une définition dans Wikipédia.

.

Bien des gens  qui prétendent définir

L’âme lui ajouteront plus de mystère.

.

Âme blanche, âme grise, âme noire :

Ce qu’on ne voit aurait des couleurs !

.

On peut le renier, on peut la vendre :

Achetons sa nouvelle âme innocente.

.

J’ai bleu à l’âme dites-vous : docteur,

Dites-moi où l’on trouve l’infirmerie. !

.

Impénétrable,  avez-vous dit, comme

Les desseins d’un Dieu à notre sujet !

.

.

736 – Calligramme  

 .

^^^^^

Belle âme

 Impénétrable,

Âme insaisissable

Âme inconnaissable,

Âme …indémontrable.

Tout cela  est vrai et faux,

Âme ne se définit  par mots,

On y associe le bien et le beau,

Elle est au creux, à fleur de peau.

Impossible de la voir, de la toucher.

À peine  si on peut la sentir, la deviner,

Quant à la sonder, quant à en faire le tour

On a beau s’y atteler : l’on y serait toujours !

 ……………………….….

Parait M  que  l’âme  humaine

Serait des    E   plus impénétrables,

Passe encore       *    celle du prochain,

Mienne est bien         H      trop misérable.

Elle serait bien cachée,      U        à l’intérieur,

Comme une intruse, venue       M          d’ailleurs,

Je ne la discernerais, reconnai-        A          trais pas :

Sa vue sur elle ne m’appartien-             I           drait pas.

Notre âme serait principe de vie               N        animation.

Il est vrai que vu sous cette basique             E          définition,

                                              *

Quand le souffle de vie s’arrête, elle       I   s’évanouit,

Nul ne sait en quel enfer, purgatoire     M   ou paradis.

Si on l’examine microscopique, côté      P       biologique

L’esprit n’en fait pas partie même          É       très logique,

Si on l’examine, macroscopique            N        côté  spirituel,

Mon corps ne serait plus qu’un            É         véhicule pensée.

C’est ainsi on dit âme humaine           T        reste impénétrable,

Même des plus indiscernables           R            incompréhensibles,

Et c’est pourtant d’elle dont              A              parle si bien l’amour

Qui fait le sel non pas d’un              B                jour mais de toujours.

L

Au-delà    E   des sexes,

Corps       *   des cœurs,

Esprits     *    nous relie

Le plus  puissant    lien

Et  le plus   inconscient

Qui puisse         exister.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

736 4

.

Un sapin probablement,

Certainement … sinon

Quelle autre réalité

Aussi conique

.

Qu’est-ce qu’un sapin aurait-il à voir avec

Notre âme humaine :

Sans doute du fait de ses formes coniques,

 Pointées vers le ciel.

.

Symbolique

 .

Pont entre ciel et terre.

Sapin exprime fluidité lien

Qui  relie  le  haut  et  le bas,

Le spirituel   et le matériel,

L’esprit et puis la matière.

.

Et  depuis  les Celtes  c’est

Le  symbole   de   l’espoir

Renouvelé  des forces  de

Lumière sur les ténèbres,

Puis de la vie sur la mort.

.

De nos jours, au solstice d’hiver,

Le sapin de Noël est devenu symbole

De don et générosité : toujours vert il est

Un messager qui nous encourage à poursuivre

Notre chemin, à supporter les problèmes

De l’existence comme ses branches

Supportent poids de la neige.

lecameleon.wifeo.com/sapin

.

Descriptif

 .

736 – L’âme humaine est impénétrable  

  Alignement central  /  Titre  courbe  / Thème  âme

Forme conique / Rimes égales /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : sapin / Symbole de fond : cône

.

.

Fond

Évocation 

.

736 6

.

Qu’est-ce qu’un sapin aurait-il à voir avec

Notre âme humaine :

Sans doute du fait de ses formes coniques,

 Pointées vers le ciel.

.

Symbolique de fond

 .

Le cône   demeure

Figure géométrique

Comme  symbolisme

Du cercle et triangle.

.

Son symbolisme  a été

Rapproché   également

De celui de la pyramide.

On pourrait bien évoquer

Celui de la tour et ziggurat.

.

Ce  seront  des  constructions

Mésopotamiennes inspirantes

La tour de Babel,  porte du ciel.

.

Suivant la tradition babylonienne

Elle-même, attribue  aux  ziggurats

La valeur  symbolique    de  l’échelle :

.

Ces    gigantesques     tours      devaient

Faciliter    la     descente    des   …   dieux

Sur terre, montée des hommes vers le ciel

asdstewart.free.fr/Representer le lieu du recit

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Rien de plus commun que le sapin

Il y en a partout en Europe et ailleurs

Et lors c’est grâce à la fête de Noël

À laquelle il sera toujours associé

Qu’il a trouvé quelques couleurs,

Car il n’a pas la valeur du chêne

Imposant, centenaire, légendaire

Surtout chez les druides, les celtes

Et qui en auront fait leur emblème !

Le sapin a pour lui, d’être toujours vert

Et pourtant l’on dira que : ça sent le sapin

Quand on est vieux, malade, près de mourir.

 .

.

Ame : regard mystique 

.

Scénario

.

Socrate n’aurait pas dit le contraire.

Napoléon n’aurait rien pu y faire.

L’âme vient du ciel et y revient.

 .

Visuels et textuels >>

735- Perdre son âme pour mieux la retrouver !

Visuels et textuels  >>

.

Me perdre en toi pour me retrouver

Est seul risque que je vais tenter

Lors, perdre mon âme en toi,

N’est  ni l’étouffer, noyer.

.

Je plonge … en confiance,

Remonte… sans souffrance,

Ma vie, mise, entre tes mains,

L’espoir, me parait mieux plein !

.

Perdre son âme n’est pas la vendre,

Gagner une âme n’est pas la prendre

C’est l’ouvrir à l’autre,  lui faire place,

Pour l’accueillir comme en un palace !

.

Sang coule  en  mes  veines,

Nourrissant âme en peine,

Larme coule de mes  yeux,

Calmant  chagrin  anxieux,

De  te  perdre  en mon cœur,

Lors mes envies errent ailleurs,

Mes sourires  ont formé, pour toi,

Leur trame de mystères  et d’émois.

 .

Ce sont ces liens qui me tiennent droit

Quand tout va de travers … de guingois

La vie et sentiments, ne seront linéaires,

Les hauts et bas,  font des courants d’air,

Quelle que soit distance  qui nous  sépare,

.

Nous nous retrouvons toujours quelque part

Lors, en ma  mémoire,  l’empreinte indélébile,

De ton être  me  donne  la confiance  tranquille

De ne jamais couper les  ponts, qui nous relient,

Quand bien même  l’on  passe  d’amant  à l’ami.

 .

En attendant  le retour  de nouveau  cœur  épris,

Je me suis perdu en toi, et me suis  retrouver ici.

Ici, ce n’est point l’enfer c’est proche du paradis,

 Que l’on atteint jamais, car il n’est point permis

 D’être deux en un même lit même s’il est béni,

  De se prendre pour  anges ayant désobéi.

.

   Se perdre en toi pour me retrouver

C’est la seule chose à gagner

Et, réciproquement,

Comme amants

Pa-ten-tés,

À oser

Être

V

.

.

Extensions

 .

Perdre son âme, pour mieux la retrouver :

Quand on a confié son âme, à quelqu’un,

Quelqu’une, nous n’aurons plus jamais

Rien d’aussi précieux à lui donner.

.

Bague ou diamant, pour sceller une alliance,

Y compris hors mariage, qu’affaire d’argent

Qui n’empêchera pas l’élu de la rendre,

N’importe quand, n’importe où.

.

De donner son âme à un diable,

À diable, diablesse, c’est prendre le risque

De sa faiblesse, vulnérabilité face à une

Force et une volonté manipulatrice

Qui vous la détruira … à jamais.

.

Toupie or not to be : quel vilain jeu de mots

Et, qui profite d’une confusion phonétique,

Entre deux langues et deux significations !

Perdre son âme serait comme… la vendre

Au plus offrant, voire pour presque rien

Et comment la retrouver si l’on ne sait

Si elle existe et de quoi elle est faite !

Perdre son âme ici est la fusionner

En autre, la retrouver commune.

.

L’âme perdue, en mythologie, est

La substance d’esprit désincarné,

Condamné  à errer, éternellement

À la suite d’une perte inaccessible,

Ou d’un sentiment  de  culpabilité,

Qui ne disparaît pas : des esprits !

.

L’âme perdue, en psychologie, est

Cet état, dans lequel une personne

Peine à reconnaître ce  qu’elle est.

Elle ne sait plus ce qu’elle ressent

Ce qu’elle veut : sa perte renforce

Toute sa tristesse, toute anxiété !

.

Pour la religion l’âme équivaut à

Substance immatérielle en corps

Lors dans le langage populaire :

Référence au monde intérieur.

.

.

735 – Calligramme 

.

Me perdre en toi pour me retrouver

Est seul risque que je vais tenter

Lors, perdre mon âme en toi,

N’est  ni l’étouffer, noyer.

Je plonge … en confiance,

Remonte… sans souffrance,

Ma vie, mise, entre tes mains,

L’espoir, me parait mieux plein !

Perdre son âme n’est pas la vendre,

Gagner une âme n’est pas la prendre

C’est l’ouvrir à l’autre,  lui faire place,

Pour l’accueillir … comme en palace !

.

****************************************

***********************************

.

Sang coule en P     mes veines,

Nourrissant    E  âme en peine,

Larme  coule    R  de   mes  yeux,

Calmant  cha     D   grin   anxieux,

De  te  perdre      R     en mon cœur,

Lors mes envies   E     errent ailleurs,

Mes sourires  ont   *     formé, pour toi,

Leur trame de mys     tères  et d’émois.

M

Ce sont ces liens qui  E      me tiennent droit

Quand tout va de tra  *       vers… de guingois

La vie et sentiments    P      ne seront linéaires

Les hauts et bas, font   O       des courants d’air,

Quelle que soit distan   U       ce qui nous sépare,

R

Nous nous retrouvons     *     toujours quelque part

Lors, en ma  mémoire,     L    l’empreinte indélébile,

De ton être  me donne      A     la confiance tranquille

De ne jamais couper les    *    ponts, qui nous relient,

Quand bien même  l’on    R      passe d’amant à l’ami.

E

En attendant le retour      T     de nouveau cœur épris,

Je me suis perdu, en toi,   R   et me suis  retrouver ici.

Ici, ce n’est point l’enfer   O   c’est proche du paradis,

 Que l’on atteint jamais  U  car il n’est point permis

 D’être deux en un mê  V    me lit  même si béni,

  De se prendre pour   E   anges ayant désobéi.

   Se perdre en toi   R  pour me retrouver

C’est la seule    * chose à gagner

Et, réciproquement,

Comme amants

Pa-ten-tés,

À oser

Être

V

.

.

Forme

Réduction

..

.

Évocation

.

735 4

.

En haut, un chapeau ;

Mais en bas, une toupie  

Pour le moins  clownesque,

Si on lui dessine un visage !

.

Aucun lien entre toupie et âme,

ou bien alors que l’on me damne

peut-on lui en donner une, comme

créateur de Pinocchio : est-ce sûr !

.

En simple évocation sur une toupie

Avec des points d’intérêts.

Voici une âme et qui nous parait

Des plus facétieuses :

.

Symbolique 

 .

Monde tourne comme toupie :

Pour certain, la toupie symbolise

L’axe du monde   sur lequel tourne

Le globe terrestre  que nous habitons

Son mouvement rotatif évoque l’équilibre

Dans  un univers  en perpétuel  mouvement.

«Comme  la vie   d’un  Homme, la toupie, lancée,

Cherche son équilibre sur son axe et très rapidement

Tourbillonne avec brio, semble avoir l’éternité devant elle.

Avant de perdre petit à petit de la vitesse, s’épuiser, au final

S’arrêter au sol, terrassée par sa course folle contre les forces

Physiques qui régissent notre Univers»

toupie-shop.com/informations-toupie

.

Descriptif

 

735 – Perdre son âme pour la retrouver ! 

  Alignement central  /    Titre  droit    /   Thème  âme

Forme ovale / Rimes égales /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : toupie / Symbole de fond : toupie

.

Fond

 .

Évocation

.

.

En simple évocation sur une toupie

Avec des points d’intérêts.

Voici une âme et qui nous parait

Des plus facétieuses :

.

Symbolique 

.

La toupie apparaît dans le film Inception

De Christopher Nolan    afin de     symboliser

Le fait que scène se déroule ou non en rêve :

Le film se termine sur une toupie en train

De vaciller sans que le spectateur sache

Si elle finit par s’arrêter. Jouet connu

Depuis  l’Antiquité, c’est encore jeu

Traditionnel populaire de Chine,

Où faire tourner une toupie

Consistera   à   fouetter

Con-tinu-elle-ment

Un objet conique

Pour le faire

Tourner

Sur la

Glace

V

Ou sur un terrain lisse.

fr.wikipedia.org/wiki/Toupie_(jouet)

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Certains représenteraient l’âme,

Qui, en soi, ne peut avoir d’image,

Comme une spirale, un tourbillon,

Pouvant voyager et dans le corps,

Et à l’extérieur avec sa conscience

Autant dire qu’on tourne en rond

On la perdrait pour la retrouver

Une théorie fumeuse, peut-être

Mais quelle preuve  inverse !

 .

.

Air mystique quand même

.

Scénario

.

Parfois elle devient si complexe, voire si compliquée,

qu’on ne  perçoit plus, d’elle, que son ombre, voilée,

mais lors on la retrouve, sa lumière nous illumine.

 .

Visuels et textuels  >>

734 – Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme

Visuels et textuels  >> 

.

Yeux, miroirs vont bien ensemble ;

Miroirs et âmes,  très bien, il  semble ;

Tous trois émettent les reflets de ce qui est

Et on y voit ce que l’on y met, à ce qu’il parait.

Projection de l’autre, de soi  ou mélange des deux

Mais qui fera que l’on soit émoi ou bien très nerveux.

.

Car ce que nos yeux voient,

Le cerveau nous l’interprète,

Et notre  esprit  le complète,

Tandis que notre âme le projette

Voire même, parfois, le rejette.

.

Tant le    regard  ne triche

À  part  si  perçu  éteint

Il  serait  doux, soyeux,

Ou méchant, miséreux.

.

Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme

Et  sont-ils les seuls, et, les plus fidèles,

Lors nos paroles, nos gestes l’évoquent,

.

Tout autant qu’ils ne la révoquent,

Ou que nos cris ne la provoquent

Ou que nos actes  la convoquent.

.

Si miroir n’existe pas réellement

Tout est hormone est vraiment,

Amour  en devient transparent

Et plus besoin des  sentiments.

.

L’âme nous fait souffrir autant

Que notre corps en se blessant

Bien que en devenant mourant,

C’est à elle que l’on tient,  partant.

.

L’âme voit sans yeux de son regard,

Parle sans bouche et entend sans ouïe,

Demeure la même, hier, qu’aujourd’hui.

Blanche, grise, noire  ou pas sans phare.

Phare de notre vie et de notre  destinée,

Personne encore ne l’a jamais cernée

Comme si elle était immatérielle,

En notre aspiration spirituelle.

.

Partager  l’âme  de quelqu’un,

Est parfois considéré  plus fort

Que toutes les intimités du corps

Ou de cœurs, des esprits et encore

Elle nous fait rapprocher  du divin.

.

Divine, l’âme l’est-elle : allez savoir

Si ce n’est  produit de   l’imaginaire

Elle a quelque chose à voir  et revoir

Avec l’au-delà, le noir, et la lumière !

.

Si nos yeux ne voient  plus l’extérieur,

Le monde intérieur continue en miroir,

À exister, pour  nous, comme autre coté

De la face   cachée de notre personnalité.

.

.

Extensions

 .

Nos yeux font partie

Des miroirs de l’âme :

Ces miroirs sont partout

Où il y a sensation, sensation

D’être une conscience innée,

Innée, d’avoir été élu,

D’avoir été sauvé.

.

Fenêtre, porte, miroir : toute surface réfléchissante y compris l’eau,

Pour le Narcisse de la mythologie jusqu’à ses émules d’aujourd’hui

Les yeux ont toujours eu la vertu de révéler, au grand jour, l’âme

De ceux qui savent montrer l’éclat de leur lumière intérieure

Et du mystère qui l’entoure jusqu’à nous en émouvoir.

En majorité des regards, c’est l’iris et la pupille

Qui créent l’illusion d’un monde interne,

Parfois reflètent son vrai miroir.

.

Miroir fenêtre d’âme n’est

Qu’une simple métaphore,

Le principal  problème est

L’âme n’est de son ressort.

.

L’âme nait du simple reflet

De notre vision intérieure :

À  toute autre,  supérieure,

Dès lors, d’invisibles effets.

.

Jumeaux, jumelles n’auront

Besoin miroirs pour se voir,

Regardent l’autre, c’est bon,

En première approximation

.

Et est-ce à dire qu’ils auront

Âme commune et dédoublée

Âme n’est ni génétique, innée

L’autre, faux reflets, trahiront.

.

.

734 – Calligramme    

.

Yeux, miroirs vont bien ensemble ;

Miroirs et âmes,  très bien, il  semble ;

Tous trois émettent les reflets de ce qui est

Et on y voit ce que l’on y met, à ce qu’il parait.

Projection de l’autre, de soi  ou mélange des deux

Mais qui fera que l’on soit émoi ou bien très nerveux.

Car ce que nos yeux voient,

C’est le cerveau qui  l’interprète,

Et notre  Ô  esprit  le   Ô  complète,

Tandis que notre //  âme le projette

Voire même,  //  parfois, le rejette.

Tant le      //      regard ne triche

À part si ==== perçu éteint

Il peut être, doux, soyeux,

Ou méchant, miséreux.

.

Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme,

Mais, sont-ils les seuls, et, les plus fidèles,

Nos paroles, nos gestes      *       l’évoquent,

.

****************************************

****************************************

.

Tout autant qu’ils ne      N       la révoquent,

Ou que nos cris ne       O      la provoquent

Ou que nos actes       S       la convoquent.

Si miroir n’existe     *      pas réellement

Tout est hormone   Y        est vraiment,

Amour en devient   E         transparent

Et plus besoin des    U       sentiments.

L’âme nous fait souf    X      frir autant

Que notre corps, en se    *       blessant :

Bien que en devenant        S      mourant,

C’est à elle que l’on tient,      O     partant !

L’âme voit sans yeux de son     N      regard,

Parle sans bouche, elle entend  T   sans ouïe,

Demeure, la même, hier, qu’     aujourd’hui.

Blanche, grise, noire pas      I  et sans phare.

Phare de notre vie et de   L  notre destinée,

Personne encore ne l’   S  a jamais cernée

Comme si elle était     *      immatérielle,

En notre aspiration   *        spirituelle.

Partager l’âme de        M    quelqu’un,

Est parfois considéré     I      plus fort

Que toutes les intimités  R  du corps

Ou de cœurs, des esprits  O et encore

Elle nous fait approcher    I   du divin.

Divine, l’âme l’est-elle       R  allez savoir

Si ce n’est produit de          S     l’imaginaire

Elle a quelque chose à        *     voir et revoir

Avec l’au-delà, le noir,      D      et la lumière !

Si nos yeux ne voient       ‘        plus l’extérieur,

Le monde intérieur         continue, en miroir,

À exister pour      M   nous comme autre coté

De la face   E  cachée de notre personnalité.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

734 4

.

En haut, visage d’enfant

Et dont  son regard   nous

Paraitra  être  un  miroir

Et en bas… son chemin.

.

Miroir et regard vont bien ensemble :

pour son propre regard, faut un miroir !

ce sont plutôt les autres qui voient regards

mais un miroir évoque bien tous les regards.

.

Ame d’un enfant parait plus simple et

Limpide, dans son regard.

Qu’est-ce que l’âme, comment peut-elle

 Être vue en miroir !

 .

Symbolique 

 .

Et si l’on s’aventurait à penser

Que ce qui se tisse, dès les

Premiers moments de la vie d’un enfant,

Dans un corps à corps  total avec sa mère,

Avait quelque analogie avec ce qui se joue

Dans une classe qu’un enseignant

Aborde pour la première fois ?…

.

Je  veux  parler,  essentiellement,

Des effets du regard, de la voix,

Et de ce qui en émane. Son visage,

Son regard, les accueille au travers

De   toutes   sortes  de   mouvements.

Frémissement, a besoin, pour grandir,

De se sentir vivant, donc  d’être regardé !

cairn.info/revue-enfances-et-psy-2003-4-page-50.htm

.

Descriptif

.

734 – Nos yeux sont-ils miroirs de l’âme ?  

  Alignement central  /Titre  serpente  / Thème  âme

Forme anthropo / Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : regard / Symbole de fond : miroir

.

Fond

 .

Évocation 

.

734 6

.

Ame d’un enfant parait plus simple et

Limpide, dans son regard.

Qu’est-ce que l’âme, comment peut-elle

 Être vue en miroir !

.

Symbolique 

.

Le miroir,

Outre son aspect décoratif

Et sa grande utilité dans les foyers

Aujourd’hui, il possède de nombreuses

Symboliques  selon les religions  et les pays.

.

Il n’est plus un accessoire, il devient objet sacré,

Un symbole important : quel que soit la culture,

Le miroir garde la même fonction, symbolique :

Il  permet  de se voir, et cela, tel que l’on est !

.

Il ne ment pas, il est révélation de la vérité.

On y perçoit traces enfant que l’on a été.

boite-a-design.com/content/

31–la-symbolique-du-miroir

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Cocteau : Les miroirs feraient bien de réfléchir 

Un peu plus avant de renvoyer…  les images.

En déformant un peu cette citation célèbre

Je dirais « renvoyer mon image de moi»

De toute façon,  qui est satisfait de la sienne

Devant sa glace, comme de ses photographies :

.

Il y aurait comme un déficit de projection réaliste

Dans l’autre on se regarde comme dans un miroir

Ils nous renvoient  une image positive ou négative,

Ils perçoivent nos défauts cachés, inconnus de nous

Ce qui ferait que notre perception de nous-mêmes

Et des autres ne se superposent parfois en rien.

.

On se mélange un peu les pinceaux à vouloir

Les comparer, et, voire, les additionner !

Mais si neuf personnes, sur dix, disent

Exactement la même chose sur vous,

Il devrait y avoir un fond…de vrai.

 .

.

Enfant, conscience du miroir

.

Scénario

.

L’âme d’une femme serait clarté, transparence de son regard,

l’âme d’un homme serait  sincérité, authenticité  de son regard,

les deux se regardent, âmes se joignent ou non en un seul visage.

.

Visuels et textuels  >> 

1101 – Qu’est-ce qu’une belle âme, belle intention !

Visuels et textuels >>

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme l’aurait inventé

Afin de pouvoir décharger en lui

Les peines  qu’il n’a pas méritées,

Elles  sont  imposées  par   hasard,

Pour bien  le  remettre  à l’épreuve

Et cela, même si de paradis, enfer,

Nous n’avons moindre de preuves.

Il nous faut croire en des choses

Immatérielles, voire invisibles,

En des promesses des vérités

En des mystères indicibles,

Notre vie avec  notre âme

Est le projet d’amour,

Étincelle  spirituelle

Nous serait donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

Qu’est-ce que je risque à croire que le pari de Pascal est le bon.

Qu’est-ce qu’une belle âme : un être paré des belles intentions,

Mais l’enfer, comme chacun le sait en est pavé, jusqu’au fond,

Jugez «en votre âme et conscience» dit-on aux jurés d’assises,

Rien en ce monde, ne ressemble, peu ou prou, à terre promise.

Pour les uns, notre âme est cachée au tréfonds  de notre être,

Pour d’autres est tapie en notre regard   comme dans miroir,

Pour certains, vous la caresserez, à fleur de peau, peut-être :

Elle peut se trouver partout, nulle part ni blanche ni noire.

.

Catholique, islamique, bouddhiste, animique ou mystifiée,

Les religions se vaudraient toutes par le principe du sacré,

«Sacré Pater» et «Sacré Ave»,  hommes, femmes, imaginés

Pour qu’on puisse mieux les représenter, les chérir, adorer.

Dieux, religions, ne sont pas vierges de sang sur leurs mains

Que de guerres, que de morts ont été perpétré en leur nom,

Pourquoi faut-il  se convertir, défendre telle ou telle religion

Prophétisant bon lendemain, tout en violentant le prochain.

Chacun en définitive, est libre de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre  chemin de vie, droit, tortueux,

Pour qu’à la fin, il se dise, je le   referais encore, nom de Dieu.

.

.

Extensions

.

Une belle âme : qui dit cela de quelqu’un, quelqu’une ?

Personne, mis à part lorsqu’il s’agit du fait religieux !

On dit pourtant que l’âme n’est pas liée à la religion

Mais bien plutôt an principe de vie qui nous agit.

Serait-elle invention de l’homme pour se sauver

De sa condition animale lui collant à la peau,

Et pour quelle intention, pour quel paradis.

.

L’intention dépend plus de la conscience

Que de l’âme dont on ignore l’existence,

Sinon le contenu et voire les contours,

Que ce soit en raisons ou en amours.

.

On nous parle d’une hauteur d’âme,

Quand l’intention est belle, humaine,

C’est-à-dire totalement désintéressée,

Comme si, par elle, par le bien, dictée !

.

.

1101 – Calligramme

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme ?    l’aurait inventé

Afin de pouvoir   ?  décharger en lui

Les peines  qu’il n’     ?  a pas méritées,

Elles  sont  imposées      ?     par  hasard,

Pour bien le  remettre         ?     à l’épreuve

Et cela, même si de pa          ?  radis, enfer,

 Nous n’avons moindre          ?    de preuves.

Il nous faut croire en            ?     des choses

Immatérielles, voire           ?      invisibles,

En des promesses            ?     des vérités

En des mystères          ?      indicibles,

Notre vie avec         ?       notre âme

Est le projet      ?        d’amour,

Étincelle     ???   spirituelle

Nous  serait  donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

 D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre, et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

 Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

 À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

  Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

*****************************************************

.

     Qu’est-ce que je risque à croire   Q    que le pari de Pascal est le bon.

   Qu’est-ce qu’une belle âme : un    U   être paré des belles intentions,

  Mais l’enfer, comme chacun le sait  ‘       en est pavé, jusqu’au fond,

 Jugez «en votre âme et conscience»  E   dit-on aux jurés d’assises,

   Rien en ce monde, ne ressemble, peu S    ou prou, à terre promise.

   Pour les uns, notre âme est cachée, au   T  tréfonds de notre être,

     Pour d’autres est tapie en notre regard    *   comme dans miroir,

         Pour certains, vous la caresserez, à fleur  U  de peau, peut-être :

          Elle peut se trouver partout, nulle part    N  ni blanche ni noire.

                                        E

               Catholique, islamique, bouddhiste,     *   animique ou mystifiée,

              Les religions se vaudraient toutes   B   par le principe du sacré,

              «Sacré Pater» et «Sacré Ave»,      E   hommes, femmes, imaginés

              Pour qu’on puisse mieux les      L  représenter, les chérir, adorer.

           Dieux, religions, ne sont pas    L  vierges de sang sur leurs mains

      Que de guerres, que de morts    E     ont été perpétré en leur nom,

   Pourquoi faut-il  se convertir,    *   défendre  telle ou telle religion,

 Prophétisant bon lendemain,        tout en violentant le prochain.

 Chacun en définitive, est libre   M   de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il  E    pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre   ?    chemin de vie, droit, tortueux,

 Pour qu’à la fin, il se dise, je le   *     referais encore, nom de Dieu.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

Une forme avec une tête

Mais  qui voilerait son âme

En haut   et  un corps évoqué

En bas comme d’un fantôme !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Si la tête et l’âme vont bien ensemble

le corps y participe aussi évidemment.

de toute façon âme, point d’interrogation

tant et si bien que la forme épouse le fond.

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

 .

Le mot âme évoque

Un pouvoir invisible :

Être distinct, partie d’un vivant,

Principe de vie, d’organisation, d’action.

.

Par son pouvoir mystérieux, elle suggère

Une force supranaturelle, un esprit,

Un centre énergétique.

Affirmée par la religion,

Rejetée par la science

L’âme est une imposture.

.

Pas d’âme au bout d’un scalpel.

Elle est acceptée  comme  évocatrice

D’une invisible puissance et provocatrice

D’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1101 6

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

.

Tête est la partie

Qui domine le corps,

Le  siège  de  la  pensée

Et de la communication.

Elle symbolise : l’identité,

L’émotion, et  l’intelligence,

La communication, la volonté.

Partie du corps  la plus  sensitive.

En effet, elle concentre la vue, l’ouïe,

L’odorat  et le goût, partie du corps qui

Renferme le cerveau, le siège de la pensée

Contrôle de l’ensemble des comportements.

La tête est donc la partie la plus importante

Et de loin, la plus complexe de tout le corps.

Représente l’interface entre le monde

Extérieur et la réalité intérieure.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

 .


.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

La tête est perçue comme étant le siège de «l’âme»

 Et beaucoup d’autres  organes, processus, facultés,

Et sans qu’aucun neurologue n’ait su où la placer :

De là à dire qu’elle est belle   si on ne sait pas même

Ce que c’est où elle est, ce qu’elle fait,  si nous survit,

C’est comme si on savait tout  sur l’avant-Big bang.

.

Peut-être y a-t-il confusion  entre âme et conscience

D’un côté, et entre science  et conscience, de l’autre !

De même que nous avons cerveau gauche, rationnel

Et  cerveau  droit, poétisée,  émotionnel, imaginaire

Et un corps calleux, au milieu, connectant les deux.

.

Vision un peu simpliste, voire  mécaniste, s’il en est,

C’est un mythe sui perdure, tout comme notre âme

Comme nous ne pouvons guère nous passer d’eux,

Nous persistons à les croire voire à les renforcer.

 .

.

Intention est-elle en clé avec âme 

.

Scénario

.

Fille à qui on donnerait le bon Dieu et sans confession …

Symboles du même Dieu et religions monothéistes ennemies.

Belle âme ne laisserait entrevoir que son reflet de lumière.

 .

Visuels et textuels >>

714 – Ton âme, effarouchée, cœur, tout effrayé

Visuels et textuels  >>

.

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,   effrayé ;

En ton sexe,   frayé :

Et ça y est,   j’y suis :

Et j’y reste,  le temps

Qu’il faut   pour saut

De plein  soubresaut,

En ventre  et sur dos

Et au fond d’un puits,

Des plus satisfaisants

.

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur tout effrayé,

Marguerite  effeuillée,

Peau,  toute  effleurée,

Ta taille,    efflanquée,

Tes ridules,   effacées,

Tes jambes,    effilées,

Ton corps,   efféminé.

 .

Je respire tes essences,

Touffes  efflorescences,

Je bois tes indécences,

Sources effervescentes

De tes désirs  effrénés,

De résistance  effritée,

Quand te gagne  effroi

D’intrusion effrontée !

 .

Tes derniers endroits,

De postures effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

.

.

Extensions

 .

Les derniers endroits, de postures effondrées

Lors des effractions de ton bassin vite franchi,

Jusqu’à ses effacements par membre effarant :

Amours sont insatiables et amour est effraction.

.

L’émotion se rend  à  son  comble, il n’y aura plus

La moindre résistance, le moindre effarouchement,

Sauf peut-être pour l’âme qui ne peut être pénétrée.

.

La pudeur reste  un sentiment  et  un  comportement

Essentiellement féminin, du fait qu’intimité d’homme

Se situe davantage à l’extérieur que celle d’une femme,

Se dévoiler pour une femme, c’est se mettre en danger.

.

Celui d’être conquise et prise pour ce qu’elle n’est pas

Et ne souhaite pas : être un objet plus qu’un sujet,

Être un hochet avant de devenir rejet du fait

Qu’on la jette comme un mouchoir taché.

.

La pudeur est un mécanisme de défense

Naturelle qui fait partie de loi proxémique

À quelques centimètres car pouvant être perçu

Comme un viol de son intimité  par qui que ce soit.

.

La pudeur de l’âme est différente de l’intimité physique

Qui pour les femmes, n’engage à rien ou parfois à tout.

Livrer son âme est fendre l’armure et ne plus avoir

Aucun recours possible pour sa défense.

On comprend que dans ce cas une confiance

En l’autre requise sinon exploitation, trahison !

.

Effarouchée, effrayée, effroi et froid :

Avoir peur de quoi, vouloir cacher quoi :

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme.

Peut-être bien l’ensemble, le tout,  à la fois,

Quand les regards d’un autre me damnent

Ou que, en dépit de tout,  me condamnent

À n’être qu’objet plaisir entre ses mains.

.

De quoi s’agirait-il ici, de pudeur,

De perdre sa vertu ou son honneur

L’on me taxerait de pudibonderie :

Lors, une fois  nue : de moi, l’on rit.

Là où il y a de la gêne, pas de plaisir

Dit un dicton, appuyant tous  désirs,

Il y a femmes nues,   sans complexes,

Et autres semi dénudées,  qu’on vexe.

Ce n’est pas nudité qui pose problème

C’est l’œil qui la regarde,  en lubricité,

Quand l’âme se dissout dans un corps,

Il ne reste plus qu’un objet, fantasmé.

.

.

Épilogue

.

On parle souvent de colliers, pendentifs

De bagues, d’anneaux, boucles d’oreilles

Moins de bracelets fantaisie  ou montre,

Mais que signifiera derniers, pour elles !

***

Bracelet serait  devenu un « mot valise»

Polysémique  pour les poignets et pieds,

Jusqu’à mettre en valeur, montre chère,

Si ce n’est en cuir, en différents métaux.

***

Lors, si elles t’embrassent : en bracelets,

Polysémique aussi, manière phonétique :

Un peu moins drôle bracelet électronique

Mais c’est mieux que collier de prisonnier

***

Le bracelet offert serait un témoin d’amitié,

Lors d’un voyage, séjour pour bien marquer

Le souvenir d’attachement affectif commun,

C’est pour cela qu’elles en portent  plus d’un.

***

Il fut un temps, où, communautés primitives

S’échangeaient des colliers avec des bracelets

Aux époques où l’individuation, n’était actée :

Certains ne pouvaient même plus être enlevés.

.

.

714 – Calligramme 

.

TON ÂME,

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,     effrayé ;

En ton sexe,      frayé :

Et ça y est,       j’y suis :

Et j’y reste,       le temps

Qu’il faut       pour saut,

De plein      soubresaut,

En ventre     et sur dos

Et au fond  d’un puits,

Des plus satisfaisants

EFFAROUCHÉE,

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur  tout effrayé,

Mar    guerite effeuillée,

Peau,      toute effleurée,

Ta taille,        efflanquée,

Tes ridules,       effacées,

Tes jambes,       effilées,

Ton corps,   efféminé.

TON CŒUR,

Je respire tes essences,

Touffes    efflorescences,

Je bois     tes indécences,

Sources      effervescentes

De tes désirs       effrénés,

De résistance      effritée,

Quand te gagne    effroi

D’intrusion effrontée !

EFFRAYÉ !

Tes derniers endroits,

De postures  effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

 

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

714 4

.

Bracelet de montre

Probablement,

Bracelet de montre

 Certainement !

.

Rien de commun entre bracelet et une âme

je n’aurai de bracelet même si je me damne :

bracelet montre pour que temps me condamne

la forme de bracelet ne convient en rien au fond

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

.

Symbolique

.

Un bracelet

Forme tête-de-mort

Exprimera la rébellion,

L’insoumission aux règles.

.

Un shamballa  tête-de-mort,

Une  critique  de la société  de

Consommation et de ses excès.

.

Un  shamballa   de  méditation

A une signification  spirituelle.

Un  bracelet   brésilien  est   un

Symbole  d’amitié,  prospérité.

S’il s’agit de bracelet de  force,

Il évoquera puissance, virilité.

Source bijoux4men.com/blogs/info/

bijoux-homme-que-symbolisent-ils

.

Descriptif

.

714 – Ton âme effarouchée, ton cœur tout effrayé 

  Alignement central   /  Titre intercalé /  Thème  humeur

Forme  droite  /   Rimes égales  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bracelet    /   Symbole de fond : bracelet

.

Fond

 .

Évocation 

.

714 6

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

.

Symbolique 

.

Un bracelet est un cercle,

Une chaîne ou un ornement

Porté au bras ou au poignet

Mais  bon  nombre  des  gens

Ne sont pas conscients de sa

Signification symbolique

Et n’y ont pas réfléchi.

.

Comme tout autre bijou,

Bracelet a  un symbolisme

Et une signification différente

Selon  le  type  de  bracelet  donné

Diverses  sociétés  culturelles  utilisent

Le bracelet pour signifier des symboles liés

À leur société, voire à leur histoire particulière,

Et elles peuvent jouer un rôle énorme dans leur vie.

rochesens.fr/porter-un-bracelet/quelle-signification-offrir-un-bracelet

 

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il existe des centaines de bracelets

Ce depuis l’antiquité, la préhistoire

Aujourd’hui on  parlera de bracelet

Électronique posé sur … la cheville !

.

On parlera aussi  de montre-bracelet

Quand ce dernier  est en métal, acier !

Fut un temps où l’on mettait le bracelet

Aux avant-bras, surtout  pour hommes !

.

Bref, imaginons : bracelet pouvait parler,

Ils nous raconteraient des histoires variées

Bracelets pour embellir, bracelet pour punir

Ou bracelets branchés pour des informations,

Bracelets pour le rythme cardiaque ou diabète,

Et j’en passe … bracelets pour discothèques, etc.

 .

.

Proxémique sociale, privée, publique

.

Scénario

.

Me mettre nue, me mettre à nu, vous êtes fou, n’y pensez pas,

là, maintenant… que j’y suis … mais que vous … n’y êtes pas,

je me dis que c’est mon âme que seule je ne vous cache pas !

 .

Visuels et textuels  >>

682 – Trouver son âme sœur : ça veut dire quoi !

Visuels et textuels  >>

.

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

.

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

.

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

.

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

.

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

.

Extensions

 .

Une « âme sœur » fait penser d’abord à conjoint

Mais pas que : ce peut être un ami ou une amie,

L’âme ne concernant pas directement le sexe

Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’en a pas :

Tout ce qui est humain est sexué, par nature

Et l’on ne pourra s’en détacher, ni s’en abstraire.

.

Âme sœur c’est comme reflet de soi-même en miroir,

Quelque chose située entre la gémellité et le clonage,

Psychiquement parlant car il n’y a pas forcément

De ressemblance physique, plutôt le caractère,

La manière d’être, de réfléchir, et d’éprouver

Les mêmes émotions pour la même chose

Tout le monde en rêve, d’un tel double

Qui nous comprend, de l’intérieur,

Par empathie ou par télépathie.

.

En réalité, le fait est assez rare

Et le plus surprenant, pas de début,

D’histoire commune pour l’expliquer :

Comme parenthèse dans l’espace-temps,

Superposition, inattendue, de consciences.

On ne peut pas dire la même chose d’un frère

Ou d’une sœur qui ont pourtant partagé une

Grande partie de votre vécu, par définition.

.

L’âme sœur est étrangère, elle vient d’ailleurs

Nulle part, on la rencontre ou la rencontre pas,

Amants, même s’ils sont et demeurent fusionnels,

Ne sont pas des « âmes sœurs » sinon ils n’auraient

Pas besoin de se dévoiler, de se faire connaitre.

Les amants peuvent être plusieurs,

L’âme sœur demeure unique !

.

Ame sœur, pourquoi pas cœur frère, esprit arbitraire :

Rien de corporel, ni de sensuel, ni de sexuel la dedans

Rien que de l’intention, de la conscience, de la quête

De quelque chose d’invisible et pourtant palpable

Pour peu qu’on la reconnaisse, bien aimable !

Si les corps ne peuvent fusionner totalement

Qu’en est-il au sujet des esprits et des âmes

Devra-t-on convoquer ici la métaphysique

Ou quelque chose d’autre d’aussi magique

Tant, si quelqu’un possède la clé des songes

De l’autre, réciproquement : c’est âme sœur.

.

.

Épilogue

.

L’âme sœur peut être illustrée

Par image de serrure  et de clé,

Et autant, chaussure à son pied,

Habit vous allant comme un gant

Mais ici, c’est aussi cœur et esprit

Une projection subtile et intuitive !

***

Le sexe, l’âge,  et l’apparence, jouent

Un rôle évident dans cette rencontre,

Mais dans l’absolu, y a pas de limites,

Lors il s’agit d’âmes, tout est possible :

Âmes jumelles ont autres pertinences !

***

Comme l’intuition  d’avoir  une histoire,

Une personnalité  et  un destin commun,

Que l’autre serait  une moitié manquante

De soi-même à former tout indissociable.

***

Il arrive que l’on se trompe, pari stupide,

Ou que l’âme convoitée soit déjà mariée :

Une question de tempo, ou attendu trop.

***

Si l’on divorce d’une âme, perçue sœur,

Qui vous dit que prochaine est la vraie.

***

Je n’y crois pas … mais pourquoi pas !

.

.

682 – Calligramme

 .

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

TROUVER

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

 .

SON ÂME-SOEUR

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

 .

VEUT DIRE

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

 .

QUOI 

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

 .

AU JUSTE 

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

682 4

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

.

Difficile de visualiser une âme

et plus encore connaitre sa clé,

mais pas impossible en l’amour

tant ici la forme évoque le fond.

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

 Symbolique

 .

Ame sœur demeure un concept

Qui évoque compatibilité amoureuse

Qui serait parfaite entre deux individus.

L’expression passée en le langage courant,

A définitions variables, ramenant toutes

Idée selon laquelle individus ont pour

Destin de constituer un couple.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

 

682 – Trouver son âme sœur, veut dire quoi ! 

  Alignement central    /  Titre  absent   /  Thème    rencontre

Formes escalier / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : âme    /   Symbole de fond : clef

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

682 6

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la clef

          Est en relation avec son double

              Rôle d’ouverture et de fermeture.

            C’est à la fois un rôle d’initiation

     Et parfois  de discrimination

  Dans les contes et légendes

   Trois clefs sont mentionnées

                     Pour ouvrir trois chambres secrètes :

                        Clef d’argent ; clé d’or, clé de diamant.

                                     La clef est alors symbole du mystère à percer,

                 De l’énigme laborieuse à résoudre,

                  De l’action difficile à entreprendre,

           Bref, des étapes qui conduisent

              À l’illumination et la découverte.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’âme de quelqu’un ou de quelqu’une

Demeure difficile à ouvrir sans sa clé,

Comme mot de passe, amour ne suffit.

Il faudra chercher, trouver, la solution

En sa propre ouverture et son intimité.

.

On pensera au sexe mais c’est du cœur

Et de l’esprit qu’il s’agit, en leur secret

L’âme-sœur détient une clé identique

Lors âmes fusionnent avant corps

Et débordent de tous les bords.

 .

Scénario

 .

Une moitié, plus une autre moitié, donnerait un cœur entier !

Un doigt plus un autre doigt, donnerait deux doigts amoureux.

Un homme, plus une femme, donnerait un couple … heureux !

 .

.

Rencontre âmes sœurs ?

Scénario

 .

Une moitié, plus une autre moitié, donnerait un cœur entier !

Un doigt plus un autre doigt, donnerait deux doigts amoureux.

Un homme, plus une femme, donnerait un couple … heureux !

.

Visuels et textuels  >>

618 – De voir ton image, ton apparence

Visuels et textuels  >>

.

L’image peut être

Fidèle,   brumeuse,

Apparence peut être

Réelle  ou trompeuse,

.

Mais  quoiqu’il en soit,

On y croit,  sans douter

Et dès les première fois,

Avec  le temps : précisé !

.

Sauf à être aveugle sourd,

L’image de son apparence,

Et l’apparence de son image

.

S’éclairerait  et  au grand jour

Devenant même  une évidence,

Entre leurs amours en partages.

.

De voir ton image, en apparence,

Je suis entré  comme  en  évidence,

Qu’il y avait, chez toi, transparence

De l’amour qui me mettra en transe.

.

De voir  tes   yeux  tous en  flammes,

Je suis entré  comme  dans  ton âme

Pour investir  ton regard, qui  clame

De le rejoindre   quand  il se damne.

.

De toucher ton corps,  ses rondeurs,

Je suis entré comme dans ton cœur

Qui m’a mis de suite dans l’humeur

De vaincre  ma timidité,  ma peur.

.

Et de sentir, de ton sexe, ardeur,

Y suis entré comme en chaleur

Jusqu’à me sentir être ailleurs

Ciel même parfait bonheur.

.

De respirer ta joie  à l’infini,

Suis entré en ta compagnie

Pour tisser le fil de nos vies,

Noué par toutes nos envies.

.

.

Extension

 .

Qu’est-ce qu’une image, une apparence,

Par rapport, à la personnalité,  à la réalité.

Quand se rejoignent-elles, se disjoignent-elles

Et comment faire la différence sur seule présence !

.

Quand apparence, transparence, font corps, ensemble,

Leur union n’en sera que plus grande, voire plus attirante.

Lors c’est le contraire, la déception n’en est que plus vexante

L’on ne peut s’en prendre qu’à soi-même : erreur de casting !

.

Le contact physique est souvent révélateur d’une harmonie

Ressentie comme naturelle ou comme une cacophonie

Perçue de manière artificielle, parfois après coup.

L’image et l’apparence prennent soudain  corps,

Passant l’épreuve de réalité et de magie, à la fois,

Partagée, ressentie comme telle d’un côté, l’autre.

.

Quand on se repasse le film, on se dit  alors :

Ah  oui, quand même, ah oui … c’était bien,

Ou de manière plus sournoise, c’était moyen,

Autre fois peut-être, à l’occasion, rien de plus !

.

Une femme dira peu si c’était bien, ou mal, pour elle,

Elle emploiera moyens plus subtils pour faire comprendre :

On arrête là, merci du voyage, moi je vais par ici et toi par-là !

.

Il ne faut pas se fier totalement aux apparences, dit-on !

Mais comment peut-on s’en prémunir, que faut-il en dire :

Toutes les choses, tous les êtres  ont une  ou des apparences,

Et celles des femmes seront plus changeantes que les hommes

Mais s’en plaignent-ils  vraiment et les femmes, en jouent-elles !

On peut gloser à l’infini  sur l’apparence, mais  il faut se rappeler

Que notre propre cerveau corrigerait  les perceptions de la réalité,

Qui ne sont pas  conformes, courantes, acceptables : est-ce piège ?

.

On dit souvent qu’apparence est trompeuse

Qu’il ne faut trop s’y fier : trop mensongère !

.

Tout n’est qu’apparence en première instance

Ce que je vois d’abord, je le vois avec mes yeux.

.

Ce n’est qu’en me référant  à mon interprétation,

Que je constate cohérence ou non avec intériorité.

.

Si les deux  convergent : rassuré, plus en confiance,

Je peux dès lors me livrer davantage sans méfiance !

.

.

Épilogue

.

L’apparence  de quelqu’un, quelqu’une,

Dit beaucoup de choses de lui, ou d’elle,

Mais loin s’en faut, elle ne dira pas tout,

***

Et, parfois, elle oblitère même l’essentiel,

Perdu à travers ses apparences multiples,

À confondre personne, personnage … fou.

***

Lors l’apparence  colle  à son image réelle :

On dit les deux combinent une adéquation

Apparence : transparence et personnalité !

***

Il peut en être  tout autant, de nos amours,

Légers en apparence, et profond en réalité,

Si ce n’est l’inverse, sans reflet, réciprocité.

***

Le sexe, la sexualité, l’attirance, le charme,

Peuvent être basés sur fausses apparences,

Créant l’illusion d’être  ou d’avoir été aimé.

***

D’une rare clarté : rien de tout cela  chez toi,

J’ai cru lire en toi comme en un livre ouvert :

L’expérience, la conclusion me donne raison.

***

S’il se trouve  que  je n’ai pas lu  le mot : «fin»

Est-ce une bonne  ou bien mauvaise aventure :

Je ne peux que croire en elle, pour qu’elle dure.

.

.

618 – Calligramme

 .

L’image peut être

Fidèle,   brumeuse,

Apparence peut être

Réelle  ou trompeuse,

.

Mais quoiqu’il en soit,

On y croit,  sans douter

Et dès les première fois,

Avec le temps : précisé !

.

Sauf à être aveugle sourd,

L’image de son apparence,

Et l’apparence de son image

.

S’éclairerait et au grand jour

Devenant même  une évidence,

Entre leurs amours en partages.

.

De voir ton image  *    en apparence,

Je suis entré   * comme  *   en évidence,

Qu’il y avait    V   chez toi    T  transparence

De l’amour     O  qui me mettra   O   en transe.

De voir tes      I       yeux  tous en        N    flammes,

Je suis entré   R         comme dans          *      ton âme

Pour  investir  *           ton regard              A   qui clame

Le rejoindre    T             quand il                 P  se damne.

De toucher      O           ton corps et              P  rondeurs,

Je suis entré   N         comme dans              A   ton cœur

Qui m’a mis   *         de suite dans            R  l’humeur

De vaincre     I         ma timidité           E  ma peur.

Et de sentir   M      de ton sexe          N    ardeur,

Y suis entré  A      comme en         C    chaleur

Jusqu’à me  G   sentir être      E   ailleurs

Ciel même  E   parfait    !  bonheur.

De respirer ta joie  …   à l’infini,

Je suis entré en ta compagnie

Pour tisser le fil de nos vies,

Noué par toutes nos envies.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

  618 4

.

Une bouteille de vin Chianti

Objet d’art, vintage, d’avant-hier

Ou apparence de femme sous forme

De lampe à huile avec sa lumière.

 .

L’apparence et la transparence sont sœurs

mais la lumière les distingue en tous contextes

si bien qu’une bouteille vide et pleine d’eau pure,

ne se ressemble bien que s’approchant dans le fond.

.

C’est vrai, les yeux embrumés peuvent

Occulter une apparence :

Oui mais, à ce point-là, tout de même,

Je suis loin d’être une lumière !

 .

Symbolique 

 .

Apparence est ensemble de messages

Que je vais émettre ou capter chez l’autre.

.

Superficiels : les vêtements et les modes,

Les voitures et les maisons, les clubs

De sport et les clubs de vie,

Les  bijoux  et  les  parfums,

Les piercings et les tatouages.

.

Profonds : les métiers, les choix

De groupes et opinions, uniformes

Officiels  et les codes vestimentaires

Qui nous rattacheraient à un groupe.

.

Personnels : les gestes  et les attitudes,

Les façons de marcher, le ton de la voix,

Le choix des mots, les positionnements

À l’intérieur d’un groupe.

Source : lessymboles.com/

les-apparences-utilite-et-pieges

.

Descriptif

 .

618 – Voir ton image : ton apparence !

Alignement central   /    Titre analogue /   Thème désir

Forme en ovale / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : apparence  /   Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

C’est vrai, les yeux embrumés peuvent

Occulter une apparence :

Oui mais, à ce point-là, tout de même,

Je suis loin d’être une lumière !

 .

Symbolique 

 .

La lumière est le symbole

De la vérité, la révélation, savoir.

Lumière est indissociable de l’ombre.

Tandis  que l’ombre symbolise les ténèbres

Et la mort, la lumière évoque la clarté et la vie.

.

Par analogie, l’ombre symbolise l’ignorance,

Tandis que la lumière représente la lucidité

Aussi, l’expression Avoir besoin des

Lumières de quelqu’un illustre

Bien idée de connaissance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-lumiere.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

 .

L’apparence est loin d’être une évidence

Et ce n’est pas tant qu’elle soit trompeuse

Qui plus est volontairement faite pour ça,

Qu’elle aura besoin d’être mise en lumière,

Pour nous révéler sa vraie nature/matière.

.

Personne ne pourra échapper à l’attraction

Des apparences qui susciterait des illusions

Mais personne n’en demeurerait prisonnier

S’il s’en méfiera comme d’une part d’ombre.

 .

.

Apparence, apparition

.

Scénario 

.

Dans le flot de mes visions,  de mes envies, imaginaires

je t’ai aperçu, je t’ai reconnu, et je t‘ai longtemps attendu

jusqu’à ce que ton image dépasse, chez moi, ton apparence.

 .

Visuels et textuels  >>

610 – Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Visuels et textuels  >> 

.

Amour charnel, n’est pas, au bas mot,

Qu’une pénétration …   loin s’en faut :

Toutes les périphéries égalent centre

Il n’y a pas que faux lit, d’un ventre,

Qui puisse satisfaire  belle passion,

Où tout se passe … en vibrations.

.

Caresser l’âme est métaphore,

Pour dire que l’on s’aime fort

Et l’orgasme  devient extase,

Prélude à toute  interphase.

.

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Profondes ni d’assouvir quel qu’assaut,

Pour caresser ton âme,  à fleur de peau,

Offerte en cadeau, parmi les plus beaux.

.

Lors pensée monte en rebond

Tout plaisir de la chair se tasse,

Ou alors, elle plane en lévitation,

Jusqu’apogée même de sa passion.

 .

Te voir, te toucher, te humer, te palper,

Et surtout, toutes tes formes, les épouser,

Avec  mains  agiles, douces   pour  manier

La caresse et la tendresse et jusqu’à satiété.

.

Car il ne m’est point besoin en toi d’orgasme

Pour susciter,  multiplier   chairs,  fantasmes

Lors tes membres se mêlent fort aux miens,

Font partie de moi comme   lots très divins.

.

Dont j’hérite,  et je profite,  et dont j’invite

À communiquer tous pores, avec  ma peau,

Sur terrain charnel de jeux très rapprochés

À communier au plus près de nos intimités.

 .

Au bout d’un prélude,   plus ou moins long,

Sacrifice s’achève, sur un très bel abandon,

 Et, s’il n’est essentiel qu’ainsi,  nous aimons,

Nous aurons au moins franchi … le Rubicon.

.

.

Extension

 .

Aimer plaisir

Et le plaisir d’aimer

Seront complémentaires,

Second peut se passer d’union,

Et se satisferait du rapprochement

Corps, caresse substitue pénétration.

Rubicon est un interdit, danger de se

Bruler les ailes pour tomber en un

Précipice, sans issue, autre une

Solitude à deux, incomprise

De tous, y compris

De sa famille.

.

Tous les corps se ressemblent, plus ou moins

Toutes les âmes sont différentes et uniques

Les corps sont souvent interchangeables

Les âmes sont de nature authentique

Si vous préférer corps aquatique

Allongé, sur  plage  de sable,

Faites-vous vite à l’idée :

On peut le remplacer.

.

Préludes, ou préliminaires amoureux,

Peuvent parfois se suffirent en eux-mêmes

Pour satisfaire deux partenaires à l’extrême,

N’ayant besoin que de cela pour être heureux.

.

Du temps où on se faisait la cour avant baiser,

On appelait cela « un flirt » ou encore relations

Plus ou moins platoniques,  sans conséquences,

Pour assouvir une envie de sensualité passagère.

.

La tension d’aujourd’hui, entre le sexe et orgasme,

Fait que toute phase d’approche est plus raccourcie :

On va droit au but, droit au fait, droit à la pénétration

Ce n’est pas un jugement en soi, juste un fait de société.

.

Où tout doit aller vite, tout doit être efficace, mis en valeur

Prendre le temps est, à certains, un luxe ; autres, un gâchis

Or, sans fantasme, sans projection, sans attente, tout désir

S’émousse et faire l’amour ressemblera alors à un devoir.

.

.

610 – Calligramme 

 .

Amour charnel, n’est pas, au bas mot,

Qu’une pénétration …   loin s’en faut :

Toutes les périphéries égalent centre

Il n’y a pas que faux lit, d’un ventre,

Qui puisse satisfaire  belle passion,

Où tout se passe … en vibrations.

 .

Caresser l’âme est métaphore,

Pour dire que l’on s’aime fort

Et l’orgasme  devient extase,

Prélude à toute  interphase.

.

*************************

*************************

.

IL NE

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Profondes ni d’assouvir quel qu’assaut,

Pour caresser ton âme,  à fleur de peau,

Offerte en cadeau, parmi les plus beaux.

.

Lors pensée monte en rebond

Tout plaisir de la chair se tasse,

Ou alors, elle plane en lévitation,

Jusqu’apogée même de sa passion.

M’EST

Te voir,   P   te toucher, te humer   A   te palper,

Et surtout,  O      toutes tes formes,  L   les épouser,

Avec mains    I        agiles, douces     L     pour manier

La caresse et   N       la tendresse,     E   jusqu’à satiété.

Car il ne m’est    T      point besoin    R  en toi d’orgasme

Pour susciter,      *      multiplier       *   chairs fantasmes

Lors tes membres   B     se mêlent    E     fort aux miens,

Font partie de moi   E     comme     N    lots très divins.

Dont j’hérite, et je     S    profite,     *     et dont j’invite

À communiquer tous  O   pores     E     avec  ma peau,

Sur terrain charnel de  I   jeux   A    très rapprochés

À communier au plus  N près  U  de nos intimités.

          X

Au bout d’un prélude, plus ou moins long,

Sacrifice s’achève, sur un très bel abandon,

 Et, s’il n’est essentiel qu’ainsi,  nous aimons,

Nous aurons au moins franchi … le Rubicon.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

610 4

.

Foyer extérieur avec cheminée,

Un réservoir, un verre, une mèche,

Une lampe à pétrole, c’est bien sûr

D’intensité lumineuse variable.

.

Parler d’eau et l’imager par le feu

une lampe et intensité lumineuse,

peut paraitre décalé ou incongru,

pour autant forme évoque le fond.

.

L’amour fonctionnerait  comme une

Flamme de lampe tempête 

Accroîtra son intensité lumineuse

Jusqu’à éblouir  bien avant  de s’éteindre

.

Symbolique 

.

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile ou bien à pétrole,

Représente toujours lumière

Intérieure, avec une  énergie,

Des capacités, des talents  que

L’on maîtrise … parfaitement.

C’est  l’homme  qui    maîtrise

La lumière avec un certain

Pouvoir pour l’allumer

Et pour d’éteindre.

La lumière est le

Symbole  de  la

Connaissance

Vraie, pure.

.

Descriptif

.

610 – Il ne m’est point besoin d’aller en eaux 

Alignement central / Titre analogue / Thème sexualité

Forme variées / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe  / Symbole de fond : intensité

.

.

Fond

 .

Évocation

.

610 6

.

L’amour fonctionnerait  comme une

Flamme de lampe tempête 

Accroîtra son intensité lumineuse

Jusqu’à éblouir  bien avant  de s’éteindre

 .

Symbolique 

 .

L’intensité lumineuse

Est une grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une source

Ponctuelle de lumière en une direction

Dans  un  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distinguera plus

Les couleurs,  la sensibilité spectrale

Relative est décalée vers le bleu.

On parle de vision scotopique.

Entre les deux domaines de

Luminosité, on parle de

Vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Faut-il quelqu’un pour tenir la chandelle

Si l’on fait l’amour dans le noir complet !

Sûr que non, lumière est dans les esprits

Et qui brille dans les yeux d’il avec elle

Mais, paradoxalement, les amants

Ferment les yeux, lors de baiser.

 .

.

Sublimation des corps

.

Scénario

.

Main dans la main, en confiance, on peut faire du chemin ensemble,

et se jeter à l’eau pour être certain de nager dans le même bain,

pour remplir le cadre de la vie commune et voire mariage !

 .

Visuels et textuels  >> 

607 – Sur lit de métaphores, j’ai jeté mon âme

Visuels et textuels  >>  

.

Sur     un    lit

De métaphores

Où je dors réjoui

Où je rêve encore

J’ai jeté mon âme,

Toute  en flammes,

À tes pieds brûlants,

Comme cœur d’amant

Qui s’est révélé  battant,

À faire monter  sa tension,

Jusqu’au bout de sa passion.

.

Sur un lit

De métaphores,

J’ai jeté mon âme nue,

J’y ai trouvé une amphore

Ayant cueilli ma vertu.

Son phosphore

M’éblouit

De sa lumière

Presque abyssale

Où l’amour s’installe.

 .

Sur un lit

De métaphores,

J’ai rédigé un poème

Avec encre et lettres d’or

Parlant d’une extrême

Sensibilité, câline,

Et que tu tiens

En ton sein

Intime.

 .

Sur un lit

De métaphores,

Juste  à mon  côté,

Je me serais  couché,

En amour, en passion,

Pour  quel qu’échange,

Qui ne soit pas d’ange,

De mots, déraisons,

À s’en rendre

Fous.

 .

Sur un lit

De métaphores

Durant…cette nuit,

Entre la vie et la mort

J’ai poussé … un cri,

Si long, et, si  fort,

Que je l’entends

Encore !

.

.

Extension

 .

Toute une floraison de métaphores, pousse

Spontanément pour exprimer, indirectement

Et de manière imagée, ce que produit, chez nous,

L’amour lors il advient, soudain, avec quelqu’un.

Le cœur lui-même en est une alors qu’il n’est

Qu’un muscle qui ne pourrait pas penser.

La rose, une autre alors qu’elle est végétale,

Le diamant, troisième alors qu’il est minéral !

.

Une bouche à entendre, voire un cœur à prendre,

Un esprit à surprendre, une âme à comprendre,

Pour finir, sexe à fendre en armure tombante

Voilà un autre lot de métaphores dont

Les amoureux raffolent pour meubler

La  conversation,  ou  pour  instituer

Des jeux de miroirs aux cents reflets.

.

Écrire un poème n’est pas indispensable

Pour déclarer son amour, et pas plus qu’un

Bouquet de fleurs ou un anneau de diamants

Mais ils signifient chacun, une part de l’indicible

En la passion irraisonnée qui habite les amoureux.

Sur un lit de métaphores, j’exprime et je sublime

Ce que j’adore  jusqu’à en perdre le sud et nord

Mais dans mon âme nue, il dure encore !

.

Métaphore, symbole, analogie, métonymie, ressemblance, évocation,

Tous ces mots se rejoignent, se renvoient, l’un et l’autre, leurs échos,

Qui dans notre propre vision du monde se percutent en nos cerveaux

Jusqu’à atteindre leurs états de sublimations extrêmes en poétisation

Comme si supplément d’âme parvenait à nous faire vibrer d’émotion.

.

« Les ciseaux et la colle, les fenêtres,

Le bureau, la salle, l’atelier constituent

 Des métaphores familières pour  usagers.

.

 L’auteur s’attache ici à situer la complexité,

 L’ampleur et l’apport réel de ces métaphores

Pour utilisateurs, concepteurs d’interfaces,

Dans les trois domaines de l’informatique,

Des télécommunications et audiovisuel. »

.

Extrait de la quatrième de couverture,

 Du livre  « Métaphore et multimédia »

Poulain : La Documentation française

Collection technique et scientifique des

 Télécommunications, Paru le 05/07/1996

.

Mais on pourrait en faire de même  pour

Les domaines, de l’amour, amitié, famille.

.

.

Épilogue

.

Un lit de métaphores

Ou la métaphore du lit,

Lorsque l’un dans l’autre

Ils se joignent, s’associent

Qu’espérer de mieux encore

Dans lesquels l’on se vautre !

***

Ce sont là jeux de mots, d’esprit,

Croit-on vraiment à ce que l’on dit

La métaphore n’est qu’un transport

Entre sujet  et  reflet, à raison, à tort.

***

Comment une âme, peut-elle être nue :

Ce n’est qu’image et des plus convenues.

Quant au poème, même si ça reste virtuel,

C’est plus réel que n’importe quel spirituel.

***

Et  pour ce qui est  de ton corps, très  sensuel,

Il y a plus qu’une métaphore : tout est charnel.

***

Je pourrais t’enfiler collier entier de métaphores

Celle de ta porte, celle de ta fenêtre mène à un lit.

***

Et même quand tu dors, je te vois en luminophore,

Lors en muse, tu m’inspires,  en  tout ce que j’écris.

***

Sur ton lit de métaphores j’ai jeté, de la vie, mon sort.

.

.

607 –  Calligramme  

.

SUR LIT

Sur     un    lit

De métaphores

Où je dors réjoui

Où je rêve encore

J’ai jeté mon âme,

Toute  en flammes,

À tes pieds brûlants,

Comme cœur d’amant

Qui s’est révélé  battant,

À faire monter  sa tension,

Jusqu’au bout de sa passion.

DE MÉTAPHORES

Sur un lit

De métaphores,

J’ai jeté mon âme nue,

J’y ai trouvé une amphore

Ayant cueilli ma vertu.

Son phosphore

M’éblouit

De sa lumière

Presque abyssale

Où l’amour s’installe.

J’AI JETÉ

Sur un lit

De métaphores,

J’ai rédigé un poème

Avec encre et lettres d’or

Parlant d’une extrême

Sensibilité, câline,

Et que tu tiens

En ton sein

Intime.

MON

Sur un lit

De métaphores,

Juste  à mon  côté,

Je me serais  couché,

En amour, en passion,

Pour  quel qu’échange,

Qui ne soit pas d’ange,

De mots, déraisons,

À s’en rendre

Fous.

ÂME   

Sur un lit

De métaphores

Durant…cette nuit,

Entre la vie et la mort

J’ai poussé … un cri,

Si long, et, si  fort,

Que je l’entends

Encore !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

607 4

.

Un collier ou un chapelet

De métaphores de formes,

Voire de couleurs bien diverses

Qui enchanteront tous nos rêves ?

 .

Collier de métaphores :

Ballon, étoile, balle, carré, cœur,

Où chacune représentera

Une forme d’amour particulière !

 .

Symbolique 

 .

Le collier est un ensemble

De perles ou grains rassemblés à fil.

On le porte autour du cou.

.

Les grains sont de différentes natures,

Petits coquillages percés,

Dents d’animaux sauvages, ou  encore

Des griffes d’ours ou autre.

.

Il  peut  être  une  monnaie  d’échange,

Ou signe distinctif d’un clan, d’un chef.

Il représente le courage et la bravoure

D’un chasseur, ou d’un guerrier.

.

Il est porté comme bijou

Et devient une parure.

Son symbolisme est lié au cercle,

À la couronne, l’anneau,

L’ouroboros ou perle.

Dictionnairedessymboles.com/

2017/08/le-symbolisme-du-collier.

.

Descriptif

.

607 –  Sur lit de métaphores, j’ai jeté mon âme  

Alignement central  / Titre intercalé / Thème  désir

Forme diverses / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : collier  / Symbole de fond : métaphores

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

607 6

.

Collier de métaphores :

Ballon, étoile, balle, carré, cœur,

Où chacune représentera

Une forme d’amour particulière !

 .

Symbolique 

 .

Pour permettre à une personne

De retrouver la voie du sens symbolique,

Il faudra  l’aider, à passer, d’une conscience

Linéaire, logique,  chronologique, temporelle,

À une découverte d’une façon d’être permettant

L’émergence de l’inconscient.

.

Cette forme de pensée serait alors étayée par des

Expressions métaphoriques et images symboliques.

Ces deux termes, de symboles, et, de  métaphores

Font l’objet de nombreuses discussions et théories.

Source : ergopsy.com/symbole-et-metaphore-i102.htm

 .

.

 Corrélations

 Fond/forme

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Pas un lit, un collier non que de perles

Mais de métaphores, fort diversifiées.

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Certes il en faudra, mais pas de trop,

Sinon on ne colle plus à toute réalité.

On devient l’image derrière le miroir,

Et on oublie celle qu’il y avait  devant.

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Cela dit il y a des existences virtuelles,

Qui ne peuvent être évoquées, imagées,

Qu’avec elles, telle que l’âme ou paradis.

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Métaphore d’une âme nue !

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Scénario

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Métaphores d’objets, de sujets évocateurs d’amours passionnés.

Métaphores poétiques, avec ses vers, ses rimes et harmoniques.

Métaphores graphiques osant pauses, dénudées, abandonnées !

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Visuels et textuels  >>