Visuels et textuels >>
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Poème
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Encore à cette heure
C’est tout à leur honneur
Habit n’est pas que protecteur,
Habit peut être aussi un vecteur
De personnalité, et de l’humeur.
Des matières, formes, couleurs,
Sont là pour mettre en valeur
Corps donnant un frisson
Et cela à chaque saison,
Mois, jour, heure !
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Femme change, souvent, de parures,
Entre nuisette, robe, jeans fourrure
Elle alterne envies d’apparitions
Elle accorde atours, émotions.
Elle s’harmonise, au mieux,
Elle se dépareille, en pire,
Elle rend homme envieux,
S’il se retourne … soupire.
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S’habiller avec matières,
De formes et de couleurs,
Habillée en noir ou blanc,
Parfois, froideur, chaleur.
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Pour l’un, je serai ceci,
Mais pour l’autre, cela :
En pantalon ou chemise,
En bermuda ou en polo,
Combinaison de travail.
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Des matières, des habits,
Mis en formes, et investis
Donnent autre apparence
Délivrent autre attirance.
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Matières changent le fond
Lors en guenilles pas bon,
En laine, juste un prénom,
En soie, j’acquiers un nom.
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Hommes changent de tenues
Pour bien s’accorder au statut,
Femmes changeront de tenues
Pour bien s’accorder à sa vertu.
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Parfois elles se retrouvent nues,
Lors en face de regards ingénus,
Bien des différences diminuent,
En perdant leurs airs, convenus.
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Aime-ton hommes, ou costumes !
Aime-t-on femmes, ou bien plumes !
Lors, l’habit prévaut sur la personne :
Toutes matières déshabillées détonnent.
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Habillées de matières, de formes, couleurs,
Des femmes attireront l’attention, sur elles,
Leurs charmes, répandant trainées d’odeurs,
Vous laisseront leurs empreintes… bien réelles.
Quoi qu’il en soit, quoi qu’il fût, habit, bien fait, bien porté,
Ne passera jamais inaperçu mais suffira-t-il pour être aimé !
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Calligramme
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Encore à cette heure
C’est tout à leur honneur,
Habit : pas que protecteur,
Habit peut Ô être Ô vecteur
De personna // lité, de l’humeur.
Des matières // formes, couleurs,
Sont là pour === mettre valeur
À un corps qui donne le frisson
Et à chaque saison,
Mois, jour, heure !
Femme change, souvent, de * parures,
Entre nuisette, robe, jeans * S * fourrure
Elle alterne envies d’ap ** ‘ ** paritions
Elle accorde atours **** H **** émotion.
Elle s’harmonise ***** A ***** au mieux,
Elle se dépareille **** B ******** en pire,
Elle rend hom **** I ****** me envieux,
S’il se retourne **** L **** et s’il soupire !
S’habiller ********* L ********* de matières,
De formes ******** E ********* et de couleurs,
Habillée en ******* R ********** noir ou blanc,
Parfois froi ******* * ********* deur, chaleur.
Pour l’un ******** D ********** je serai ceci,
Mais pour ******** E ********* l’autre, cela !
En pantalon******** * ********* ou chemise,
En bermuda ******* M ********* ou en polo,
Combinaison ****** A ********* de travail
Des matières ****** T ******* des habits,
Mis en formes ***** I ******** et investis
Donnent autres **** È *******apparences
Délivrent autre **** R ****** attirance,
Matières changent ** E ****** tout fond
Lors, en guenilles ** S ****** pas bon,
En laine, juste un *** * **** prénom…
En soie, j’acquiers ** F ** un nom…..
Hommes changeront O de tenues……..
Pour s’accorder à un R statut………..
Femmes changent de M tenues…………
Pour s’accorder à leur E vertu……………
Parfois elles se retrouvent S nues……..…….
Lors en face de regards * ingénus………….
Bien des différences * diminuent………….
En perdant leurs airs, * convenus !………
Aime-ton hommes, ou C costumes !……
Aime-t-on femmes, ou bien O plumes !…
Lors, l’habit prévaut sur la U personne :
Toutes matières déshabillées, L détonnent
Habillée de matières, de formes, E couleurs,
Des femmes attireront l’attention, U sur elles,
Leurs charmes, répandant trainées R d’odeurs,
Vous laisseront leurs empreintes S bien réelles.
Quoi qu’il en soit, quoi qu’il fût, habit, bien fait, bien porté,
Ne passera jamais inaperçu : suffira-t-il pour être aimé !
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Forme
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Évocation
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Personnage, fantôme bande dessinée
Aucune forme ne se distingue d’autre,
Sauf femme, ici, de vêtement, drapée.
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Vêtement de couleur, frangé, multicolore,
Dans lequel une belle femme s’enroulera :
Tant il suffit, parfois, à une belle femme,
En vue de se parer, attirer avec ses atours.
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Symbolique
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Il est difficile de décrire
La beauté d’une femme.
Chacun ayant ses critères,
Et une belle femme peut ne
Pas plaire à tout le monde.
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Malgré tout, au-delà de
La beauté physique,
Femme a une beauté
Intérieure sur laquelle
Il y a souvent consensus.
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Une femme, belle, serait,
À mes yeux, cette femme,
Qui mélange avec harmonie
Grâce, intellect, présence, charme.
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C’est cette femme chez laquelle
Il est agréable de se perdre
Dans son regard…
fr.answers.yahoo.com/question
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Descriptif
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427 – S’habiller de matières, formes, couleurs
Alignement central / Titre courbe / Thème apparence
Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme
Symbole forme : femme / Symbole fond : vétement
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Fond
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Évocation
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Parmi vêtements portés par hommes, femmes,
Certains ressembleront à des tableaux
Qui leur font attribuer le titre d’une œuvre d’art
Tant autres paraissent peu sophistiqués
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Symbolique
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Un vêtement est
Un d’habillement
Servant à couvrir
Un corps … humain.
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Le plus souvent en tissu
Mais les matériaux utilisés
Pour sa fabrication, tendent
À diversifier au fil des siècles.
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La raison d’être d’un vêtement
Varie fortement selon cultures
Et les périodes de l’histoire :
Pratique (ex : la protection),
Symbolique (posture morale)
Ou sociale (afficher un statut).
Source : Wikipédia
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Fond/forme
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Si parures de femmes les distinguent, honorent
Il ne faut pas confondre l’apparence et la réalité.
Chaque type de femme se doit de trouver le style
La forme, le maintien, la matière, la coupe, etc.
Qui lui convient, fait ressortir qualité caractère.
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Un vêtement est à la fois protection et parure
Si ce n’est pour cacher voire dénoncer sa vertu
Bon nombre de drapés riment avec célébrités :
Parfois fond et forme conjuguent personnalité,
Parfois s’en éloignent, personnage d’emprunt !
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La forme correspondra, ici, plutôt bien, au fond
Sans chercher à se draper dans une posture figée.
Il existe tant de formes de femmes, de vêtements,
Qu’un seul recueil n’arriverait à les représenter !
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L’habit ne fait pas le moine, proclame un dicton,
Mais on le jugerait comme tel … de toute façon.
Que vaut quelqu’un(e) sans belle présentation.
Être victime de la mode est comme aliénation.
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Visuel
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Pour chat, ce sera même matière,
sans couleur, en plusieurs formes ;
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pour une poupée, ce sera une robe
de telle forme en une seule couleur ;
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pour vous, ce sera choix plusieurs
formes et… en plusieurs couleurs.
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tant l’expression cyclique de la mode
se démultiplierait pour mieux plaire.
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Textuel
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L’habit n’est pas que protecteur, l’habit peut
être, aussi, un vecteur de sa personnalité, de
son humeur. Les choix de matières, formes,
couleurs, seront faits pour se mettre en valeur,
à chaque saison, mois, jour, heure ! Une
femme change, souvent, de parures, entre
nuisette, robe, jeans et fourrure, alterne ses
envies d’apparitions, accorde ses atours à ses
émotions ! Parfois elle s’harmonise au mieux,
parfois elle se dépareille en pire, parfois rend
l’homme envieux, s’il se retourne et soupire.
S’habiller de matières, de formes et de
couleurs, habillée en noir ou blanc, parfois de
froideur, de chaleur. Pour l’un je serai ceci,
mais pour l’autre, cela ! En pantalon ou
chemise, en bermuda ou en polo, en
combinaison de travail : matières sur elle,
habits mis en formes et investis, donnent une
autre apparence, délivrent une autre
attirance. Les matières changent tous les
fonds mais, en guenilles, rien de bon ; en
laine, juste un prénom ; en soie, j’acquiers un
nom. Des hommes changeront de tenues pour
s’accorder à un statut. Des femmes changent
de tenues, pour s’accorder à leur vertu.
Parfois elles se retrouvent nues, ingénues :
bien des différences diminuent, perdant air
convenu. Aime-ton homme ou costume !
Aime-t-on femmes ou bien plumes ! Lors
l’habit prévaut sur la personne, toutes
matières, déshabillées, détonnent. Habillée de
matières, de formes, couleurs, des femmes
attireront l’attention, sur elles, leurs charmes,
répandant trainées d’odeurs, vous laisseront
leurs empreintes bien réelles. Quoi qu’il en
soit, quoi qu’il fût, habit, bien fait, bien porté,
ne passera jamais inaperçu : suffira-t-il pour
être aimé !
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Extension
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Empreintes qui vous entêtent, comme ces personnages,
Au sein des tableaux de peintres, qui vous interpellent,
Vous suivent du regard lors passant devant, innocent.
La mode aura produit, au cours des derniers siècles,
Quantités de tenues, idem, vêtements, idem, étoffes,
Dont de nombreuses, sont à présent, synthétiques.
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C’est tout de même impressionnant qu’un simple
Corps de femme, avec différences physiologiques,
Qui ont été l’objet de créativité, sublimation, art,
Il arrive qu’un vêtement, sur simple mannequin,
Dégage comme charme et beauté indéfinissables.
À quel prix, qu’importe, ce ne sont pas les matières
Qui comptent en art : sensations, émotions, séductions.
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Un domaine inépuisable, s’il en est, avec autant de styles singuliers
Sans compter de matières lors usant de formes infinies ou presque,
Des longues, des courtes, des minces, enveloppants, sous-vêtements
Après, il y a les couleurs, l encolures, broderies, les fluides, collants,
Ce qui fait que chaque femme choisit son style qui lui va bien ou non
Mais qui la distingue et qui affiche son choix d’existence en la société.
La femme s’habille pour se plaire, à elle-même, autant qu’à tout autre.
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Une femme : nue, en sous-vêtements, habillée,
Ne sera pas tout à fait la même, chacun le sait :
Les belles plumes magnifient les beaux oiseaux,
Les autres aussi, question de formes et couleurs.
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Une belle femme, bien drapée, par un beau tissu,
Des pieds à la tête, ne laissera rien paraitre d’elle,
Et pourtant sa ligne, son mouvement, son aperçu,
Laisse en nous comme une empreinte d’harmonie
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Après, cent formes produisent différentes visions,
De la même, ce qui fait le charme de toutes modes
Au final : un bout de tissu, bien formé, bien cousu
Peut faire miracle, corps anorexique, boulimique.
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Hommes aussi sont sensibles à leurs habillements,
Non pas que pour plaire mais aussi pour se plaire
La seule vue de belle femme superbement habillée
Provoquerait chez lui comme fantasme d’épousée.
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Cela dit, ce n’est pas une histoire de robe ou jeans
C’est un ensemble intégrant chaussures, chevelure
Sans compter : maquillage, bagues, ongles soignés
Attention à ne pas trop charger vers superficialité.
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Épilogue
On a et on n’aura jamais fini
De parler de modes, et d’habits,
Du fait que ce qu’on porte sur soi,
Est comme identité société parfois.
***
Vrai que la mode vestimentaire épouse
Tous les clichés, fantasmes… contraires,
Il y en a pour tous les goûts, arbitraires,
L’important est qu’autres vous jalousent.
***
Après, on est genré ou pas : autre combat
L’uniforme pour certains, convient ou pas
Pour ne pas dire unisexe, sans complexe,
Au point de vous laisser parfois perplexe.
***
Entre habit sophistiqué coutant fortune
Et tenue simplifiée, et de seconde main
Le premier portera, sur lui, son statut,
Le second n’en a cure être comme nu.
***
On a beaucoup glosé sur l’étendard,
« Le ramage se rapporte au plumage »
En la fable du corbeau et du renard
L’on s’habille pour tromper son âge.
***
Il n’y a pas de rapport automatisé :
Beauté d’une robe en soi, et portée :
Il est utile de l’essayer, de l’éprouver,
Pour sa propre et unique conformité.
***
Toute mode peut devenir une addiction,
Celle du vêtement n’échappe pas à la règle :
Femme achète des habits qu’elle portera pas,
Juste comme ça, envie, pulsion, coup de cœur.
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Habit
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Ensemble des pièces composant l’habillement :
Affaires, effets, vêtements, fringues, frusques, etc.
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Mettre ses habits, consiste à s’habiller.
Habits de deuil, de travail, du dimanche.
De vieux habits, hardes, en loques, guenilles,
Grotesques, ridicules : accoutrement, défroque.
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Il est souvent en tissu mais les matériaux utilisés
Pour sa fabrication se diversifient au fil des siècles
Et la raison d’être d’un vêtement varie fortement
Selon les cultures et les périodes de l’histoire :
Cela peut être un habit pratique (protection),
Symbolique (signaler une posture morale)
Ou encore social (afficher un statut).
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« Le code vestimentaire de rigueur en universités est très souple : l’attaché-case et le costume trois-pièces sont depuis longtemps dépassés par les sacs à dos et de T-shirts. Quant à l’attaché-case, il a cédé la place au téléphone portable comme signe extérieur de richesse de l’étudiant moyen. » campus-germany.de/french/4.470.1034
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Les habits à travers les âges. De la peau de bête protectrice à la parure de fête en queue de pie et autres habits religieux spécialement confectionné pour les cérémonies. Un bal costumé avec masques vénitien où le thème est les mariés et leurs parents à travers les cinq continents.
L’habit est un symbole extérieur de l’activité, la forme visible de l’homme. Forme détruite par l’uniforme que parfois on lui impose et faisant de lui un mannequin avec une identité d’emprunt. En ce cas, l’habit manifeste une appartenance à une société caractérisée : clergé, armée, marine, magistrature. L’enlever, c’est la renier.
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Propre de l’homme, le vêtement est un des indices
D’une conscience de la nudité, de la conscience morale,
Révélatrice d’influençabilité et désir de plaire par la mode
Ou l’appartenance à un groupe, attribution d’une mission.
Les haillons traduisent une misère physique ou intérieure,
Comme une sorte d’indigence souvent proche de l’angoisse
Lors ils sont fréquemment liés à un complexe d’infériorité.
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Comme chacun sait, l’habit ne fait pas toujours le moine
Tout dépend du job qu’on fait : l’activité professionnelle
Programmeurs, publicitaires font preuve de créativité,
Spontanéité en portant des jeans et un T-shirt coloré.
Banquiers : cravate bicolore déclenche révolution.
De même, on observe que très peu d’étudiants
Se promènent en costumes folkloriques.
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