1104 – Mystères que l’amour, l’art, la religion !

Visuels et textuels  >>

.

Amour, art, religion : triptyque,

Trois mystiques ou passions selon

L’importance qu’on leur accordera,

Avec sa foi, ou raison : mais l’amour

A besoin de croyances : il est naturel.

L’art, de vrai réalisme : il est culturel.

La religion, ni de preuve  ni de raison,

Elle est avant tout, surtout spirituelle.

 .

Trois choses, dans ma vie, demeurent mystérieuses :

Le sexe, l’art et la religion,

Bien que je les découvre, entreprenne, pratique : étrange,

Je ne vois pas d’explication

Aux choses irrationnelles en mon désir mais bien humaines,

Comme toutes mes passions.

 .

L’amour d’abord : attrait physiologique et besoin hygiénique,

Prenant, produisant énergie

Capable de déclencher en moi, pour l’autre sexe, pour toujours,

L’amour  de toute une … vie,

Bien plus : concevoir l’enfant de ma confusion et de mes fusions,

Pour  m’assurer  ma… survie.

 .

L’art ensuite, un plaisir symbolique, un besoin de cristallisation,

De mes rêves d’interprétation,

Capable de sublimer en moi, pour d’autres regards, un talent fou

Pour exprimer ma jubilation

De concevoir, partager, d’inexprimables, admirables attractions

Pour  mes  contemplations.

 .

La religion enfin : désir lointain, qui m’a fait, chrétien, croyant,

Pour enterrer mes morts,

Pour donner comme semblant de sens à mon existence, aimant

Mon  créateur  de  sorts

D’avoir conçu un au-delà de vie, bien meilleur, bien différent :

Qui  a  raison  ou  tort !

 .

Face à tout cela, la Science avance hypothèses, supputations

Par bribes et preuves :

Sommes différents d’autres animaux vivants en évolution,

Nous faisons peau neuve

À chaque civilisation démontrant le contraire en action,

Guerres, misères, veuves,

 .

À ne savoir qu’en faire de notre bilan extraordinaire,

Traces de nous sur Terre,

N’avons rien à faire qu’enfants pour nous refaire,

Qu’arts pour nous parfaire.

.

Des religions, comment s’en défaire !

C’est sûr que cela me parait énorme

C’est pourtant ce qui me forme,

C’est ce qui me transforme,

Qui fait de moi, homme.

.

.

Extensions

 .

L’amour, l’art et la religion

Font partie des comportements

Spirituels voire rituels qui distinguent

L’homme des animaux, même supérieurs.

Ils auraient comme points communs,

De développer, s’appuyer sur,

Un tas de croyances qui

Nous subliment.

.

L’amour n’existe pas par lui-même,

Il doit être incarné, pour se dévoiler.

L’art est une interprétation sublimée

De ce qui nous entoure,  de la réalité !

La religion est  une certaine croyance,

Pas pour autant une croyance certaine

Le tout est puzzle d’Éclats d’existences.

.

Trois attachements pour trois sublimations,

Qu’amour, art et religion, qu’on peut cumuler

Mais que l’on pourra, parfois, même confondre

Quand on dit que l’amour est toute ma vie, etc…

Lors en fait tout cela tient d’une part de mystère.

.

Quoiqu’il en fût, et quoiqu’il en soit, l’homme

Ne peut se passer des trois : en témoignera

L’art pariétal des cavernes  et des grottes ;

La religion comme croyance en l’au-delà ;

L’amour comme soubassement du couple.

.

.

1104 – Calligramme

 .

MYSTÈRES

Amour, art, religion : triptyque,

Trois mystiques ou passions selon

L’importance qu’on leur accordera,

Avec sa foi, ou raison : mais l’amour

A besoin de croyances : il est naturel.

L’art, de vrai réalisme : il est culturel.

L’AMOUR,

La religion, ni de preuve ni de raison,

Elle est spirituelle.

Trois choses, dans ma vie, demeurent mystérieuses :

Le sexe, l’art et la religion,

Bien que je les découvre, entreprenne, pratique : étrange,

Je ne vois pas d’explication

Aux choses irrationnelles en mon désir mais bien humaines,

Comme toutes mes passions.

L’amour d’abord : attrait physiologique et besoin hygiénique,

Prenant, produisant énergie

Capable de déclencher en moi, pour l’autre sexe, pour toujours,

L’amour  de toute une … vie,

Bien plus : concevoir l’enfant de ma confusion et de mes fusions,

Pour  m’assurer  ma… survie.

L’art ensuite, un plaisir symbolique, un besoin de cristallisation,

De mes rêves d’interprétation,

Capable de sublimer en moi, pour d’autres regards, un talent fou

Pour exprimer ma jubilation

De concevoir, partager, d’inexprimables, admirables attractions

Pour  mes  contemplations.

La religion enfin : désir lointain, qui m’a fait, chrétien, croyant,

Pour enterrer mes morts,

Pour donner comme semblant de sens à mon existence, aimant

Mon  créateur  de  sorts

D’avoir conçu un au-delà de vie, bien meilleur, bien différent :

Qui  a  raison  ou  tort !

Face à tout cela, la Science avance hypothèses, supputations

Par bribes et preuves :

Sommes différents d’autres animaux vivants en évolution,

Nous faisons peau neuve

À chaque civilisation démontrant le contraire en action,

Guerres, misères, veuves,

À ne savoir qu’en faire de notre bilan extraordinaire,

Traces de nous sur Terre,

N’avons rien à faire qu’enfants pour nous refaire,

Qu’arts pour nous parfaire.

L’ART

Des religions, comment s’en défaire !

C’est sûr que cela me parait énorme

C’est pourtant ce qui me forme,

C’est ce qui me transforme,

Qui fait de moi, homme.

 LA RELIGION

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1104 4

.

Un flacon de parfum stylisé

Insecte du genre coccinelle,

Même voire un coléoptère

tant telle forme : mystère.

 .

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

 .

Coccinelle ou autre coléoptères,

 scarabée, hanneton, charançon,

de loin, on pourra les confondre

si fait que forme diffère du fond.

.

Amour, art et religion n’ont rien à voir

Avec ce coléoptère :

Mais certains insectes demeureront

Pour nous, un mystère.

.

Symbolique

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Creux de l’oreille, devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1104 6

.

Amour, art et religion n’ont rien à voir

Avec ce coléoptère :

Mais certains insectes demeureront

Pour nous, un mystère.

.

Symbolique 

.

La théologie catholique

Distingue les mystères naturels

Dont nous pouvons connaître l’existence

Et le contenu par analogie ; les vérités

Qui ne sont révélées que par Dieu,

Dans l’Histoire du salut ;

Les vérités   inaccessibles.

.

La  Trinité,   l’Incarnation,

La Rédemption : mystères

Selon les dogmes catholiques.

La mystique ou le mysticisme, 

Est ce qui a trait    aux mystères,

Des choses cachées voire  secrètes.

wikipedia.org/wiki/Mystère_(christianisme)

 

.

Corrélations

 

Fond/forme

.

 .

.

Un puzzle sans aucune figure

.

Scénario 

.

Mystère que l’amour entre deux êtres quels qu’ils soient.

Mystère que l’art qui interprète et sublime nos passions.

Mystère que religion qui nous fait à croire en l’invisible.

 .

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1046 – Le mot fin : sa réalité en art et en amour (II)

Visuels et textuels >>

.

Il est vrai que,  la fin d’un amour,

Est, souvent, bien plus rapide,

Que la rupture d’une amitié,

Qui trainerait, à se déliter !

.

Amour  est  plein, ou vide,

Est unique,  chaque jour,

Alors que fla in d’un Art,

Serait la fin  de veine qui

Le sous-tend ou qui part

En passé pour être verni.

.

Mais comment mettre  fin,

Dans  un tout autre  sens,

D’amitié ver  sus  l’amour,

Et  pour une aventure qui,

Pour aucun  des amoureux

N’aurait pas  recommencé.

.

Et comment faire comprendre

À l’autre en cas  non réciprocité

On quitte le navire, au moment

Où l’on était prêt  d’appareiller.

.

Dans ces cas,  un fossé s’établit,

S’élargit à grand pas, entre eux,

À en devenir …. infranchissable

Ou en commet tant l’irréparable

De promesse  étant  non tenue.

.

 «La fin  serait, toujours, le début

D’autre chose »  dit  un  dicton !

Peu rassurant sauf si on adhère,

Vie continue,  apporte soutien

À ses chagrins   en  lui offrant

Autres bonnes  opportunités

Qui    effacent,  et soulagent,

Regret, respect, peur, pleur.

.

Enfin : on le dit,  à vingt ans,

Moins facilement à soixante

Et que dire, à quatre-vingt,

Lors sentant venir  sa fin !

.

À être trop catégorique

À être trop … sûr de soi

On passerait    d’une fin

À l’autre,   sans jamais

Satisfaire   sa faim.

.


.

Extensions

Ce n’est pas l’autre que l’on

Ne souhaitera revoir,

C’est soi-même en face de lui

Et de ses souvenirs marquants,

De  ses  espoirs,  déçus,

De son statut déchu d’amoureux.

Mot «fin» réalité en art et amour

Est une seule, même chose.

L’amour de l’art, et l’art de l’amour

Seraient les deux faces d’une

Même pièce, partagent même tranche,

Même valeur, même substance,

D’un côté, l’essence, de l’autre l’existence,

Sur la tranche, le corps humain

Et au milieu, l’âme divine ou supposée telle.

.

L’art est un vaste domaine d’activité,  d’explorations, de formes,

Dont le contenu primitif, est transformé pour évoquer l’universel.

Il s’inspire ; le plus souvent ; d’un amour sublimé  par une passion

Dont l’on ne souvient plus, parce qu’inconscient, de sa vraie raison,

Ainsi notre imaginaire se colore de teintes  jusqu’à leur abstraction.

Il en est de même de l’amour lorsqu’il est idéalisé  jusqu’à  l’extrême

Il devient comme une sort d’art de la folie, et ce, jusqu’au suprême !

.

Art de l’amour et amour de l’art

Se rejoignent en leurs sublimations

Sans  parler  de  leurs  cristallisations,

Suscitant autant de désirs que passions.

.

À ceci près que l’amour s’en vient et s’en va,

Tandis que art subsiste, ne connait pas de fin

Le mot fin en amour concerne une personne

En art, à une période, un groupe de fans.

.

L’art du portrait tente de synthétiser

Tente de révéler, tente de styliser,

Défauts et qualités de chacun

Signature en serait la fin.

.

.

1046 – Calligramme (II)

.

Il est vrai que,      L                   la fin d’un amour,

Est, souvent,    E              bien plus rapide,

Que la rup      *       ture d’une amitié,

Qui traine    M    rait, à se déliter !

Amour  est  O     plein, ou vide,

Est unique,  T      chaque jour,

Alors que la  *    fin d’un Art,

Serait la fin  F  de veine qui

Le sous-tend  I  ou qui part

En passé pour N être verni.

.

Mais  comment  mettre  fin,

Dans   un   tout   autre  sens,

D’amitié ver  R  sus  l’amour,

Et  pour une  É  aventure qui,

Pour aucun    A des amoureux

N’aurait pas   L  recommencé.

I.

Et comment fai T   re comprendre

À l’autre en cas  É  non réciprocité

On quitte le navire, au moment

Où l’on était prêt  d’appareiller.

.

Dans ces cas,  un fossé s’établit,

S’élargit à grand pas, entre eux,

À en devenir  A   infranchissable

Ou en commet  R  tant l’irréparable,

De promesse     T   étant  non tenue.

.

 «La fin  serait, toujours, le début

D’autre chose »  dit  un  dicton.

Peu rassurant     * sauf si on adhère.

La vie continue    A  apporte soutien

À ses chagrins    M    en lui offrant

Autres bonnes    O    opportunités

Qui    effacent,   U    et soulagent,

Regret, respect  R  peurs, pleurs.

.

Enfin : on le dit,  à vingt ans,

Moins facilement à soixante

Et que dire, à quatre-vingt,

Lors sentant venir  sa fin !

.

À être trop catégorique

À être trop … sûr de soi

On passerait  d’une fin

À l’autre, sans jamais

Satisfaire   sa  faim.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1046 4

.

Un tube de dentifrice ou autre

Un stick pour le rouge d’à lèvres,

Instrument   de  musique  à  vent,

Symbole d’art autant qu’amour.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

Instrument  de musique  à vent,

Symbole d’art autant que d’amour.

Une bombarde qui égrène ses mélodies

Suscite toutes sortes d’émotions vivantes.

 .

Symbolique

 .

En l’art, l’expression artistique,

Est une forme de sublimation.

Dans  la  sublimation, il y a

En effet un même transfert

D’intérêt d’un objet à un autre

Qui le représente, se substitue à lui.

.

Mais l’affect lié à l’objet d’origine

Est  transformé, puis  raffiné,

Quand   il  est   attaché  à  la

Représentation symbolique

Et lors son contenu sexuel

Ou agressif,  est modifié.

Source : www.cairn.info/revue

cahiers-jungiens-de-psychanalyse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1046 6

.

Instrument  de musique  à vent,

Symbole d’art autant que d’amour.

Une bombarde qui égrène ses mélodies

Suscite toutes sortes d’émotions vivantes.

 .

Symbolique 

 .

Les premiers instants

De rencontre, premiers émois,

Le sont avec beaucoup d’intensité.

Ils sont importants par la relation future

Lors constituants marqueurs pour jours

Plus communs d’une histoire construite

Pour toute la relation ultérieure.

.

L’amour tient alors plutôt

D’un choix maintenu ou renouvelé

Que de l’intensité de commencement,

Bien que celle-ci puisse se reproduire encore,

Même plusieurs fois en la relation d’amour, renouvelée.

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

L’art est sans fin, par définition

Il se reconstruit et se renouvelle

Sans cesse par toute innovation,

Si ce n’est pas  par sublimation !

.

Et l’art  de commencer par la fin,

N’est pas pour autant  point final.

L’amour de l’art et l’art de l’amour,

Se rejoignent, et, parfois, fusionnent

Et on peut être en panne d’inspiration

Pour les deux, en craignant le mot fin.

 .

.

Autant dire directement : néant

.

Scénario 

.

Couleurs tendres de l’art, blanchissent, s’évaporent  en chœur !

La fin de l’art nous est annoncée: soyons réaliste, pragmatique !

L’art est devenu un jeu d’argent parmi d’autres, coté en Bourse !

 .

Visuels et textuels >>

1045 – Le mot fin et sa réalité en art et en amour (I)

Visuels et textuels  >>

.

L’on  prétend souvent qu’il faut commencer

À construire une  histoire ou une  énigme

Par  la  fin, pour  la rendre plus crédible.

Il faut semer  des petits cailloux  pour

Revenir par chemins divers au début

En art, qui arrive au résultat original

En suivant seulement instinct animal

Il en est de même  en amour  bien sûr,

Pas dont on profite au fur et à mesure.

.

Le mot fin apparaît   ou  apparaissait

Dans  des films et romans en laissant

Le spectateur,  lecteur, sur sa faim.

L’histoire n’allait pas plus loin :

Inutile d’imaginer une suite

Pas même une autre fin.

.

Même si  en l’histoire,

On fait ce qu’on veut,

Dans la vie réelle,

L’on ne  fait que,

Ce que l’on peut.

.

Dans la vie réelle,

Il en va  autrement

À propos  liens actuels

De sentiments partagés,

D’amours,   énamourés.

.

Comment y mettre fin,

De manière normale,

Et presque banale,

À une aventure

Démarrée en trombe

Mais qui s’est effilochée

Et aura fini,  avec le temps,

Par tomber en panne de désir.

.

S’il faut y mettre le mot « fin »

À une histoire sans lendemain,

L’art et la ma nière comptera

Autant sinon bien  plus

Que le fait lui-même.

.

« On se quitte bons amis »

Est une manière de se dire

Que l’aventure continue

Sous une autre forme,

Acceptée des deux,

Ce qui est, entre jeunes,

Le cas car si la séduction,

Est, un art consommé ;

Sa rupture est un plat

Délicat à réussir.

.

.

Extensions

.

Fin est toujours le début de quelque chose

Et parfois de l’abandon d’un espoir, amour,

Qui comme chacun sait ne dure pas toujours:

Tant qu’on joue sa musique, il nous illusionne,

Mais si l’on y renonce, plus rien ne le passsionne

Tout instrument, creux ou plein, se met en pause,

Et l’on passe aussitôt et sans hésiter à autre chose.

.

On applaudit au début de rencontre amoureuse

On applaudit à la fin  d’un concert de musique !

.

On applaudit à un mariage,   exécution virtuose,

Et lors amour et musique, convolent à merveille.

.

La fin de symphonie, se termine en point d’orgue,

La fin d’une relation de couple, en plein désordre !

.

Le début avance  souvent dans un vent de l’espoir:

La fin peut vous conduire à l’échec, au désespoir !

.

.

1045 –Calligramme  (I)

.

L’on   prétend   souvent      L     qu’il faut   commencer

À construire  une  his    E    toire  ou  une  énigme

Par  la  fin, pour  la    *    rendre plus crédible.

Il faut semer des   M    petits cailloux  pour

Revenir par che  O  mins divers au début

En art, qui arri  T  ve au résultat original

En suivant seu  *  lement instinct animal

Il en est de mê  F  me en amour bien sûr,

Pas dont on pro I   fite au fur et à mesure.

Le mot fin appa   N   raît   ou  apparaissait

Dans  des films    *    et romans en laissant

Le spectateur,   *   lecteur, sur sa faim.

L’histoire n’al   R  lait pas plus loin :

Inutile d’ima  É    giner une suite

Pas même    A    une autre fin.

Même si     L    en l’histoire,

On fait ce   I      qu’on veut,

Dans la     T       vie réelle,

L’on ne     É        fait que,

Ce que     *     l’on peut.

Dans la      vie réelle,

Il en va    R  autrement

À propos  T liens actuels

De sentiments partagés,

D’amours,   énamourés.

Comment y mettre fin,

De manière normale,

Et presque banale,

À une aventure

Démarrée en trombe

Mais qui s’est effilochée

Et aura fini,   A   avec le temps,

Par tomber en  M    panne de désir.

S’il faut y met   O  tre le mot « fin »

À une histoire  U   sans lendemain,

L’art et la ma R  nière comptera

Autant sinon bien  plus

Que le fait lui-même.

« On se quitte bons amis »

Est une manière de se dire

Que l’aventure continue

Sous une autre forme,

Acceptée des deux,

Ce qui est, entre jeunes,

Le cas car si la séduction,

Est, un art consommé ;

  Sa rupture est un plat

Délicat à réussir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1045 4

.

Un pied de table en bois tourné

Ou un balustre d’une balustrade,

Instrument  de  musique  à vent,

Nous dirons du genre bombarde.

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

L’art de l’amour et l’amour de l’art

se rejoignent en même célébration,

qui font qu’on aime jouer, ressentir

si fait que la forme évoque le fond.

.

Tout dépendrait de l’instrument :

Entre flute ou bombarde

La musique supporte fausse note :

Trop, ce serait cacophonie.

 .

Symbolique 

.

La bombarde

Est un instrument

De musique à vent

À anche double de la

Famille des hautbois,

Employé dans la musique

Ancienne et la bretonne.

Le mot « bombarde »

Provient du latin bombus,

Signifiant «bourdonnement»

Ou  encore  un  « bruit sourd ».

fr.wikipedia.org/wiki/Bombarde

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1045 6

.

Tout dépendrait de l’instrument :

Entre flute ou bombarde

La musique supporte fausse note :

Trop, ce serait cacophonie.

 .

Symbolique

.

Dans la tradition chrétienne,

Dieu n’est pas lui-même un musicien,

Mais la musique est le mode privilégié

Pour célébrer toutes formes de louange.

.

Ce qui est ici exprimé par la théologie,

Peut aussi être abordé en termes de

Psychologie du développement.

.

Battements du cœur de la mère,

S’ils ne sont pas une mélodie,

Sont certainement du rythme.

.

L’élément de base de la musique

Est imprimé dans l’esprit humain

À l’aube de sa conscience perceptive

Et l’accompagne sans le lâcher

À travers tous les stades

De sa vie incarnée.

cairn.info/revue-cahiers

-jungiens-de-psychanalyse

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

La musique adoucit les mœurs, dit une maxime.

Elle accompagne  les grands moments  de sa vie

Mode majeur  à la naissance, mineur  à sa mort

Qui sait, s’il n’existe pas à l’instar d’une lumière,

Une musique céleste  qui extasierait notre âme.

.

Soit dans la musique, baroque, classique, la fin

Est ponctuée par ce qu’on appelle point d’orgue

Aujourd’hui, arrêt souvent inverse, s’étouffant,

Ou carrément  très soudain, brutal,  inattendu.

.

Il existerait des musiques  qui semblent n’avoir

Ni commencement, ni fin, comme perpétuelles,

Qui finissent par vous envoutez,  faire voyager

Comme si vous étiez dans un tout autre monde

Où les repères du temps, espace, ont disparus !

 .

.

La fin d’un vieux film au cinéma

.

Scénario

.

Une longue lettre de déclaration de fin d’amour.

Là, c’est très court et sans ambiguïté : un peu lâche.

Et là, ce n’était qu’un jeu, et comme en tous jeux : adieu !

 .

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959 – Vous aimez le tango, moi non plus !

Visuels et textuels >> 

.

Vous aimez bien le tango

Et vous avez bien raison

Car comment pourrait-ton,

Ne pas l’aimer et le détester !

Et, vous aimez  danser la salsa,

La valse, le rock voire la rumba.

.

Lors laissez-moi guider vos  pas,

Un  deux   trois,  sinon patatras.

Si vous  aimez  autant poésies

Voire  tout  ce  que  l’on écrit.

Prose n’est pas souvent vert,

 Ou vers seront vers de terre.

.

Vous aimez le tango : moi non plus,

Aimez la salsa,  on vous l’apprendra,

Si la valse se joue à deux, à trois pas,

Être accordés : essentiel, pour ne plus

Jouir seul de votre passion de danser

Au rythme, tempo de votre cavalier.

.

Si la musique ferait des contretemps,

À vous de vous adapter à son temps.

Continuez, ce sont autres dan-seurs

Qui  joueront,  pour vous l’ascenseur

Tant éprouvez du plaisir persévérez

Un jour, vous sentirez  progresser.

.

Vous aimez la poésie, moi non plus,

Aimez la prose, on  vous l’apprendra,

Votre récit ne nous surprendrait pas :

Prenez le vers rimé, compté ou libéré,

Jouir de vos écrits serait, au surplus,

Une compensation de n’être pas lu.

.

L’écriture appelle l’écriture raturée,

Laissez-vous aller à votre inspiration,

Ne faites de critique ni de conspiration,

Écrivez plutôt au tango, l’on vous décrira

Une de ces belles pages  qu’on déclamera,

Lors votre plume,  vous la sentirez  danser.

.

L’on peut  vaquer  ainsi et d’un  art  à l’autre,

Sans en être apôtre  du dit, non-dit ni du médit.

.

.

Extensions

.

Le tango : une danse comme les autres, pour certains ;

Un rite, une célébration, une religion, pour d’autres.

Il a écrit une page d’histoire Afrique/Argentine

Et une page d’art de la danse et de la musique,

Dans  le  Patrimoine  Culturel  de  l’Humanité,

Car les deux sont originaux à tous point de vue :

L’on reconnaitra un morceau de musique de tango

Dès les premières mesures et de danse aux premier pas

Et puis les progrès en la rigueur et souplesse des mouvements

Sont constants ainsi que dialogue, diversité dans les contacts

Si elle n’est pas la plus érotique, et si elle reste à sa frange,

Elle est pleine de sensualité, au sens noble du terme,

C’est-à-dire dans sa retenue, toute intériorisée.

Voir danser le tango et être un des deux

Partenaires en piste n’ont rien de commun

Ou presque tant l’échange reste primordial et

Que la magie du plaisir n’opère que si l’accord

Se joue, se noue dans une véritable harmonie.

.

Tango, Gotan, Piazzola, etc. Tant go,

À chacun son rythme et sa musique,

L’important demeure  le bon abrazo

Avec son partenaire…sympathique,

Qui vous parle avec le bon tempo !

.

Le tango est une danse, une musique, une voix

Avec des violons, des bandonéons, des claviers

Et bien d’autres instruments qui l’ont adoptés

Il faut une tenue ample et chaussures à talons

Pour pouvoir ouvrir la jambe, les décorations.

.

Mais avant tout le tango aura son ame propre

Qui, en mode mineur, égrènerait  complaintes

Plus ou moins langoureuses et voire saccadées,

Passant de temps romantiques aux temps forts.

.

Quant à la danse, on n’en finit pas de la découvrir

Faut des années, la vie entière pour tout maitriser,

Dire qu’aux origines, elle se dansait entre hommes !

.

.

959 – Calligramme

.

Vous aimez   bien le tango

Et vous avez          bien   raison

Car comment              pourrait-ton,

Ne pas l’aimer               et le détester !

Et, vous aimez               danser la salsa,

La valse, le rock            voire la rumba.

Lors laissez-moi           guider vos  pas,

Un  deux   trois,        sinon patatras.

Si  vous  aimez     autant poésies

Voire  tout ce que  l’on écrit.

Prose n’est pas souvent vert

 Ou vers seront vers de terre.

V …………..….

Vous aimez le   O    tango : moi non plus ;

Aimez la salsa     U     on vous l’apprendra,

Si la valse se joue   S    à deux, à trois pas,

 Être accordés essen   *    tiel pour ne plus

  Jouir seul de votre      A    passion danser

   Au rythme, tempo de    I    votre cavalier.

                        M

        Si la musique ferait des     E   contretemps,

       À vous de vous adapter à      R   son temps.

         Continuez, ce sont autres       *     dan-seurs

            Qui  joueront,  pour  vous      L     l’ascenseur

           Tant éprouvez du plaisir       E     persévérez

            Un jour, vous sentirez         *       progresser.

                           T

          Vous aimez la poésie      A    moi non plus,

         Aimez la prose, on       N  vous l’apprendra,

       Votre récit ne nous   G  surprendrait pas :

    Prenez le vers rimé  O   compté ou libéré,

 Jouir de vos écrits    :     sera, au surplus,

Une compensation  M      de n’être pas lu.

O

L’écriture appelle     I        l’écriture raturée,

Laissez-vous aller       *         à votre inspiration,

Ne faites de critique      N          ni de conspiration,

Écrivez plutôt au tango    O          et l’on vous décrira

Une de ces belles pages        N             qu’on déclamera,

Lors votre plume, vous la         *                sentirez danser.

L’on peut  vaquer  ainsi et   P  L  U  S    d’un  art  à l’autre,

Sans en être       apôtre  du dit,       non-dit      ni du médit.

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Forme

Réduction   

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Évocation 

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959 4

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On entrevoit bien

 Les deux silhouettes

Des  deux  danseurs

En pleine danse tango.

.

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

.

Il ne manque que mouvement et musique

ici les deux danseurs sont de même taille,

quoiqu’il en soit, la forme épouse le fond !

.

Le tango se danse en couple,

Faut un cours pour le maitriser :

Il en existe deux, très différents :

Le tango argentin et de salon.

 .

 Symbolique 

 .

« Le tango

Est une pensée

Triste qui se danse »,

Écrivait      le     compositeur

Argentin Enrique Santos Discépolo.

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Une analyse assez juste de ce corps à corps

Sensuel, masculin-féminin, exprimant la douleur

Des hommes, venus d’Europe, vivant seuls, et

Cultivant la nostalgie d’un passé lointain.

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Initiez-vous au tango, dans les fameux

Salons dansants appelés «milongas »

Source : le-tango-symbole-de-

l-essence-et-de-la-musicalite

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Fond

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Évocation de fond

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Le tango se danse en couple,

Faut un cours pour le maitriser :

Il en existe deux, très différents :

Le tango argentin et de salon.

 .

Symbolique 

Un bon confort de danse :

Le danseur doit avant tout proposer

Et non forcer sa partenaire à exécuter

Tel pas  ou figure, et, bien entendu,

Instaurer un climat de sécurité

De confiance en étant attentif à elle.

.

Être le plus possible  dans la musique,

Cela suppose de s’abstenir de parler

Durant la danse … sauf nécessité.

Quand on a envie de parler, bavarder

Tranquillement en dehors de la piste.

.

Une milonga ne sera pas un cours.

Les personnes qui vont en milonga

Viennent, avant tout, pour danser.

.

Déplaisant de « donner un cours »

À sa partenaire, même de qualité

milongaophelia.wordpress.com/

le-code-du-tango-argentin-en-milonga

 .

Corrélations

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Fond/forme 

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Le tango est plus qu’une danse

Un vrai dialogue, à deux, deux pas :

Un mauvais guidage entraine faux pas

Voilà que l’harmonie est brisée patatras !

Danser le tango, sauf si c’est « ollé ollé »,

N’aurait rien d’une simple évidence,

Chaque geste, tu peaufineras,

Et  chaque nouveau pas

Tu apprendras.

 .

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Festival 5 jours tango

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Scénario

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Le tango argentin est une danse intériorisée  pratiquant l’abrazo,

il peut parfois s’en libérer pour quelques figures ou des arabesques,

tandis que le tango de salon est très extériorisé et, parfois, sportif.

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Visuels et textuels >>