692 – Gens prennent conscience lors événement

Visuels et textuels >>

.

Fragile et fragilité que de sentir déstabilisé

À en perdre ses repères à pleurer après sa mère.

Il faut événement tragique  et douter certitude

D’être invincible  inatteignable, lors, parfois,

Un grain  de sable suffirait pour ressentir :

.

Finitude

Mé-lan

Colique

Devenu.

.

Gens prennent conscience,

Lors tragique  événement

De leur fragilité d’être,

De  leurs déficiences,

De limites physiques,

Se remettent à douter,

Et à ce point de changer,

Capables, enfin, de se décider.

.

S’octroient une pause pour méditer

Révolution et prendre des résolutions,

Comme pour faire régime amaigrissant.

.

Ça dure un peu  et jamais très longtemps,

Temps d’être repris, happé par… l’activité

Qui laisse très peu  de place à la réflexion.

.

Et ce sont les amis qui vous le rappellent

Mais, je croyais que, tu, vous, interpelle,

Vous trouvez alors un argument béton,

Pour vous excuser,  mais, pas le bon !

.

Et puis voilà qu’autres événements

Un sursaut de votre tempérament

Vous surprendra  à vous rejuger,

À vous voir en menteur dévoyé.

.

C’est alors que de l’intérieur

S’éclaire, en vous, lueur,

Et prenez  le fou pari

De réussir  tout ce qui

N’aurait jamais marché,

Jusqu’à présent, pour vous.

.

.

Extensions

 .

En maxime « Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Sans effort, motivation, persévérance :

Rien ne peut changer, d’évidence.

Il faut faire un travail sur soi

Et non demander aux autres

De faire  ce  travail  à  sa place :

Ça ne marcherait pas  et pour cause !

.

Limites physiques, limites psychologiques,

Limites intellectuelles : si les trois se cumulent,

C’est injouable ou presque de changer d’attitudes,

D’habitudes, de latitudes : les régimes amaigrissants

Se font en dents de scie et les temps de sommeil se font

Élastiques et les déplacements de plus en plus erratiques.

En bref, changer demanderait une force de caractère innée.

.

Stabilisé, déstabilisé, fragile, fragilisé, primé, déprimé

L’humain est très fort en principe, très faible en réalité

Et il est loin d’être le plus fort d’animaux mammifères.

S’il se battait contre une panthère : ce serait sa chair !

Il est malin, pour sûr mais il a un « talon d’Achille » !

.

Pour sûr, la mort d’un proche, d’un ami,

Fait prendre conscience de sa vulnérabilité

Tout comme d’apprendre qu’on a un cancer.

.

Lors tout va bien : événements nous coulent

Sur la peau  tout comme l’eau d’un ruisseau,

Paradoxalement on dit ils ne nous touchent.

.

Notre fragilité nous fait comparer au roseau

Tant à vouloir être un chêne, indéracinable,

On tombe d’un coup nous dit La Fontaine.

.

.

692 – Calligramme  

 .

                                                                 Fragile et fragilité que    G  de sentir déstabilisé

                                                                   À en perdre ses repères E   à pleurer après sa mère.

                                                                    Il faut événement    N  tragique et douter certitude

                                                                    D’être invincible  S       inatteignable lors, parfois

                                                                 Un grain  de sable suffirait pour ressentir

                                             Finitude

                                      Mé-lan

                                 Colique

                             Devenu.

Gens prennent   P  conscience,

Lors tragique   R    événement

De leur fra   E   gilité d’être,

De  leurs   N   déficiences,

De limites   N    physiques,

Se remettent   E   à douter,

Et à ce point de    changer,

Capables, enfin, de   T se décider.

.

S’octroient  C  une pause pour méditer

Révolution   O   et prendre des résolutions,

Comme pour   N    faire régime amaigrissant.

Ça dure un peu      S   et jamais très longtemps,

Temps d’être repris    C       happé par… l’activité

Qui laisse très peu de       I       place à la réflexion.

Et ce sont les amis qui        E       vous le rappellent

Mais je croyais que tu,         N           vous interpelle,

Vous trouvez alors un         C          argument béton,

Pour vous excuser,           E           mais pas le bon !

Et puis voilà qu’           *            autres événements

Un sursaut de          É            votre tempérament

Vous surpren        V             dra  à vous rejuger,

À vous voir          É                 menteur dévoyé.

C’est alors           N                que d’intérieur,

S’éclaire en         E                    vous lueur,

Et prenez            M                le fou pari

De réussir           E                    ce qui

N’a jamais          N            marché,

Jusqu’à présent  T     pour vous.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

692 4

.

Un vase sinon une bouteille

Pour y mettre une fleur

Simple et solitaire 

Jolie puis fanée !

.

Une fleur fanée se sera en aucun cas

un événement majeur, à bien noter,

normal, elle est coupée, mis en vase,

lors la forme ses distingue du fond.

.

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

.

Symbolique 

 .

Fleurs sont l’attribut de Flore

Mais parfois aussi de l’Aurore

Ainsi que figures allégoriques

Du Printemps,  de la Logique,

De l’Espérance, et, de  l’odorat.

.

Logique, un des sept arts libéraux,

Porte parfois  un  bouquet  de  fleurs.

L’Espérance détient  aussi cet attribut :

Fleur  annonce  future  naissance  du  fruit.

.

Au niveau mythique, Zéphyr, le vent du printemps,

S’étant épris de Flore, l’enlève et s’unit en mariage :

En gage de son amour, il lui offre de régner sur

Tous les champs et tous les jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Fond

 

Évocation 

.

Manque illustration ici

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Symbolique

 .

Rêve positif

De réalisation des possibles.

Fleurs représentent également

Le symbole de l’âme et indiquent

Le bon avancement de votre processus

D’individuation mais rêver de fleurs fanées

Ou de fleurs coupées a une toute autre signification.

.

Cela peut signifier une rupture ou une cassure

Telle la fin d’une relation amoureuse.

Cela signifie également rupture,

Arrêt processus psychiques.

doctissimo.fr/psychologie

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les fleurs coupées, comme chacun sait,

Se fanent plus vite que les fleurs en terre

Il en serait de même pour les êtres humains,

Couper  les  de leurs  racines, et, ils s’étioleront,

On ne peut vivre longtemps heureux loin des siens

Le bouquet de la mariée est un symbole fort de durée

Moins vite il se fanera, plus longtemps, union durera !

  .

.

Fragile, résistante.

.

Scénario

.

 Inquiet, sensible, fragile, insécurisé, inconstant,

un rien peut briser son union, pourtant passionnée,

et son manque d’expérience ne l’aide pas à se stabiliser !

 .

Visuels et textuels >>

691 – Le choix d’être vraiment ce que l’on est !

Visuels et textuels  >>

.

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

.

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

.

On reconnait bien là les hyperactifs,

Qui n’ont que  le temps de réfléchir

À ce qu’ils ont fait,  font  et  feront,

Pour s’éviter  d’avoir   à  faire front

À ce qu’ils ont été,  sont  ou seront !

.

Ont-ils, vraiment, choisi d’être ainsi :

On est en droit de se poser la question.

Nous sommes conditionnés, déterminés

Par  notre corps  aux capacités  limitées ;

Nous sommes dotés caractère particulier,

Et par un périmètre, relationnel, délimité !

.

On vit bien en observant normes et usages,

Sans se poser ni le pourquoi ni le comment,

C’est ainsi qu’on ne peut devenir autrement

Choisir  d’être, ce que l’on est, et l’assumer,

Est bien plus qu’une question de capacités

Et bien plus que  de  saisir  opportunités.

.

C’est tracer chemin  qui  nous  convient,

Pour le trouver, faut se connaitre, bien,

Douter de soi, et douter même des lois.

.

Cette lumière ne nous est pas donnée,

Au jour même de notre …  naissance,

Elle  s’exprime, au fil des ans, passés

À travers   nombre de  renaissances.

.

Ce  que   l’on   veut parmi  possibles,

Se  transforme  parfois  en  probable

Devient  même,   un jour,  accessible

Et  nous   permet   de faire son  choix.

.

Combien peuvent dire : j’ai  choisi,  moi,

Et personne d’autre n’a fixé mon objectif !

.

.

Extensions

 .

Oui mais voilà, qui est ce moi qui dit je :

Fruit de mon éducation, fruit de la société !

.

Comment faire  la distinction, la part du feu !

Rien n’est affaire de  psychologie,  philosophie,

Quand, sur soi, l’on s’obstine  à fermer ses yeux,

Chacun voit ce qu’il veut en lui et autour de lui.

.

L’important est de n’en pas faire une religion,

Et de proférer des vérités étant invérifiables.

.

Ce que je suis : qui peut le dire, je ne suis que le reflet

De ce que perçoivent, de ce que pensent autres de moi.

Comment sera-t-il possible, devenir plus grand que soi,

Si déjà, je ne sais pas à quelle hauteur je suis sur l’échelle

Des valeurs, l’échelle des bonheurs,  des cœurs,  rancœurs !

Je n’ai donc qu’à me contenter de ne n’être que ce que je suis,

Au point que je ne connaîtrai jamais ce que…  j’aurais pu être !

.

En matière de valeurs,

Qui décident des bonnes :

C’est que moi, évidemment.

J’ai le choix en des centaines.

J’ai donné ma vie, à mon pays,

Et mon cerveau, à la Science,

Mon cœur, au plus offrant,

Mon corps par accident.

C’est bien trop béni,

Je le sais, mais c’est ainsi,

J’ai voulu l’être, et je le suis,

Et je ne regrette pas mon pari

Maintenant que la fin approche

Je fouillerai encore mes poches

Pour donner à mes proches

Le fruit de  ma caboche.

.

.

691 – Calligramme  

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

*****************

********************

       On reconnait bien là les hyperactifs,

       Qui n’ont que  le temps de réfléchir

      À ce qu’ils ont fait, font  et feront,

        Pour s’éviter  d’avoir   à faire front

             À ce qu’ils ont été, sont L   ou seront !

                  Ont-ils vraiment choi  E   si d’être ainsi !

                     On est en droit de se   *   poser la question.

                         Nous sommes condi   C   tionnés, déterminés

                           Par notre corps aux   H      capacités limitées ;

                              Nous sommes dotés   O     caractère particulier,

                               Et par un périmètre,   I      relationnel, délimité !

                                On vit bien en obser   X    vant normes et usages,

                                 Sans se poser ni le      *  pourquoi ni le comment,

                                  C’est ainsi qu’on ne    D  peut devenir, autrement,

                              Choisir d’être, ce que  ‘      l’on est, et l’assumer,

                             Est bien plus qu’une  Ê  question de capacités

                              Et bien plus que de    T      saisir opportunités.

                           C’est tracer chemin   R   qui  nous convient,

                          Pour le trouver, faut  E   se connaitre bien,

                        Douter de soi,  et  douter  même  des lois.

                      ***********************************

                     **********************************

                      Cette lumière ne  C  nous est pas donnée,

                     Au jour même de  E   notre …  naissance,

                    Elle s’exprime, au   *    fil des ans, passés

                    À travers  nombre   O    de  renaissances.

                      Ce  que   l’on   veut    N    parmi  possibles,

                       Se  transforme  par     *     fois  en probable

                       Devient  même,   un     E     jour,  accessible

                        Et  nous   permet   de    S      faire son  choix.

                         Combien peuvent dire    T       j’ai  choisi,  moi,

                       Personne autre n’a fixé    *      mon …  objectif !

.

.

Forme

Réduction

.

Évocation

.

691 4

.

Ours qui se balance, déhanché,

Forme torturée, approximative,

Ou une  silhouette   d’un homme

Plutôt gras, par alimentation

.

On pourrait bien croire à un ours

mais c’est juste  un homme gras,

par suite d’une alimentation  qui

fait que sa forme évoque le fond.

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique 

.

Le gras sert à nous protéger du froid,

Il est aussi moyen de séduction, d’affirmer

Son côté maternel et sa capacité à enfanter.

Il marque la protection où me sens en danger,

Où ma vie me fait peur, me sens en difficulté.

.

Le gras stocke des réserves et des énergies

Potentielle et qui n’ont pas encore trouvé

Leur assouvissement et leur réalisation.

La partie inférieure du corps représente

La terre,  qui est la propre incarnation.

Le ventre est notre cerveau émotionnel,

Intestins, lieu des «émotions viscérales».

chemindevie.net/corps-et-rondeurs-symbolique-du-corps

.

Descriptif

 .

691 – Le choix d’être vraiment ce qu’on est !  

  Alignement central    /   Titre  droit   /   Thème  apparence

Formes anthropo / Rimes variées  / Fond approché de forme

Symbole de forme : gras /  Symbole de fond : alimentation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

691 6

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique de fond

.

Bien que le comportement

Alimentaire soit régulé par

Des facteurs physiologiques,

Via des signaux internes

Faim et le rassasiement.

.

Il dépendrait  également

De signaux perturbateurs,

Tels, l’environnement social,

Ou le stress, et voire le sommeil.

.

L’alimentation, source de plaisir,

Peut être recherchée pour sa dimension

Symbolique affective dans des cas de déficit

Persistant des vecteurs habituels d’affectivité,

D’éloignement familial, sentiment de solitude.

sucre.com/pro-de-sante/dimension-symbolique-

de-lalimentation-relation-lobesite

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il s’agit en gros de la part de l’inné

Du milieu et de l’acquis personnel :

Santé, nous avons tous un terrain,

Et que l’on appelle aussi l’hérédité.

.

Nous avons tous une communauté

Appelée,  famille, amis, collègues,

Enfin un élan, projet, désir  d’être

C’est le tout qui ferait ce que nous

Sommes  et ce que nous devenons.

.

Il peut y avoir quelque … accident

Qui nous mette en état dépendance

Nous faisant grossir ou bien maigrir

Mais ce sont nos capacités de résilience

Qui rétabliront sorte d’équilibre antérieur

Sommes responsable de ce que nous sommes.

 .

.

Plus de peut-être : choix binaire.

.

Scénario

 .

Je suis presque tout ce que je crois …  être,

l’important est d’être plus  grand que soi en tout,

et s’assurer d’éviter de tomber  en désespoir trop bas !

 .

Visuels et textuels  >>

690 – La haine, qu’on dit l’inverse de l’amour

Visuels et textuels  >>

.

Haine, amour

Se décline bien.

Haine,  plus   un,

Dira mathématicien

Haine est une revanche,

Dira un amant abandonné.

.

Et la haine est la ven-geance

Vous dira votre ennemi juré

Haine en haut de la cuisse

Dit coquin, et c’est bien.

.

Si  tant vrai  que la

Haine     appelle,

À plus  encore

De  haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure et  court et court toujours,

Tandis que nos amours vont  et viennent

Sans relâche, haine, en chemin, de traine.

.

Deux êtres qui s’aiment ou qui se haïssent

Restent longtemps attachés  ou pâtissent

De continuer, l’un pour l’autre, d’exister,

Jusqu’à ce que, l’un meurt, pour oublier.

.

La haine n’entame ni regret ni remords,

Personne ne sait qui a raison ou bien tort

Et, si personne  ne recule, ni ne s’esquive,

Son ennemi intime, voire sa douleur vive,

Nourriront trop d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que la vengeance, s’ensuive.

.

«Je hais l’amour» iront déclarer les déçus :

À force de tomber  voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait» clameront après, cocus,

Par l’un ou l’autre se sentiront bien déchus.

.

La haine, que l’on dit  l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son fantôme, son faux-jour,

Tant c’est bien dans l’ombre  de face cachée

Qu’il vient vous prendre, si ce n’est… habiter,

De pouvoir résister tant à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des conflits, pour toujours !

.

.

Extensions

 .

La haine, que l’on dit

De l’amour, est une énergie

Négative  pour  le  même  objet

Que l’énergie positive de l’amour :

C’est une question de phase,

Difficile d’haïr quelqu’un

Si on n’est jaloux  de lui,

Pour des raisons variées.

.

La haine est-elle un poison caché, versé en amour,

L’amour est-il élixir constituant l’antidote de haine

Questions qui se répondent  mais ne se confondent.

Si le premier vous rendrait, entièrement, coupable,

Le second vous perdrait en le perdant, par honte !

Je hais l’amour ou l’amour me hait : allons donc :

Vous n’avez pas ce pouvoir ni autre quelconque.

.

Sentiment très fort et durable d’aversion

Et d’hostilité envers quelqu’un  ou (une)

Qui peut conduire à un comportement

Violent, méprisant, déshumanisant !

.

Synonymes : dégoût, répulsion,

Lors sa seule pensée, dérange,

Sa présence ne nous arrange

Réactivant toutes aversions.

.

Pour autant, haïr ferait vivre

L’autre, n’étant pas indifférent,

À son sort d’un pseudo méchant,

Et d’une colère capable d’être ivre.

.

.

690 – Calligramme   

.

Haine   avec    amour

Se    décline   bien.

Haine        *   plus un,

Dit mathé      L      maticien

Haine est plus      A            revanche,

Dira un amant         *             abandonné

Et la haine  est           H               ven-geance

Vous dira votre          A             ennemi juré

Haine  en haut         I             de la cuisse

Dit coquin et         N            c’est bien.

Si tant vrai        E              que la

Haine,           *       appelle,

À plus      *   encore

De    haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure, et  court  et  court toujours,

Tandis que nos   Q   amours vont et viennent

Sans relâche haine   U    en chemin, de traine.

Deux êtres qui s’aiment      ‘      qui se haïssent,

Restent longtemps attachés     O    ou pâtissent

De continuer l’un pour l’autre       N    d’exister,

Jusqu’à ce que l’un meurt pour        *    oublier.

                                            D

La haine n’entame ni regret ni       I   remords,

Personne ne sait qui a raison    T   ou bien tort

Et si personne ne recule       *    ni ne s’esquive,

Son ennemi intime     I        ou sa douleur vive,

Nourriront trop      N  d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que       V    la vengeance, s’ensuive.

E ……….

«Je hais l’amour»   R   iront déclarer les déçus :

À force de tomber   S   voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait»  E  clameront après les cocus

Par l’un ou l’autre    * se sentiront tant  déchus.

D …….

La haine, qu’on dit    ‘        l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son   A    fantôme son faux-jour,

Tant c’est bien dans  M    l’ombre de face cachée

Qu’il vient vous pren   O     dre, si ce n’est habiter,

De pouvoir résister tant  U      à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des   R    conflits,   pour toujours !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

690 4

.

Un grand vase  en haut

Et un petit tabouret en bas

Ou  une  lampe  à  pétrole 

À même de susciter incendie.

.

Lampe à pétrole, incendie s’accordent

pour ce qui est d’un véritable danger

mais rien à voir avec amour et haine

et lors la forme ne soutient le fond !

.

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

.

Symbolique 

.

La lampe symbolise

L’entendement   dans

La confusion  mentale,

Ou encore la révélation

De savoir enfoui, caché.

Et d’ailleurs, l’expression

« Éclairer sa lanterne« ,

Qui  signifie  clarifier

Une  chose, exprime

Bien   cette   notion

De savoir dévoilé.

1001 symboles

.

Descriptif

 .

690 – La haine, qu’on dit inverse d’amour 

  Alignement central    /    Titre  serpente   /   Thème  haine

Formes ronde droite / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe /  Symbole de fond : incendie

.

Fond

.

Évocation 

 .

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

.

Symbolique 

 .

Le feu incendiaire est

Une image de destruction.

Rêver d’incendie est un message d’alerte.

.

Le rêveur et la rêveuse doivent faire attention

À ne pas tout détruire par leurs actions ou leurs positions.

L’incendie est un symbole d’une passion dévorante.

Il ne laisse plus rien debout derrière son passage.

.

C’est un moyen radical de faire table rase.

Se brûler représente un rêveur, rêveuse

Qui ne se rend pas assez compte

Du danger que représente fait

De poursuivre son désir actuel.

elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-

des-reves/Rever-d-incendie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La haine est sentiment négatif défiance

Mais, contrairement, à l’indifférence,

Elle vous prend beaucoup d’énergie

Restant présent dans votre esprit

Suscitant colère en sa présence

Si ce n’est, aversion, mépris,

À moins qu’on ne l’utilise, 

Comme figure de style :

Va, je ne te hais point

Appelée une litote !

Dans tous les cas

N + 1 et n – un

S’équivalent.

 .

.

L’amour finit par triompher

.

Scénario

.

Toute  haine est un poison perfide, et des fois,  mortel,

qui fait qu’on le trouve en toutes formes de contenants

et que l’on hébergera en soi, par cette simple formule !

 .

Visuels et textuels  >>

689 – Je me sens parfois comme étalon qui doute !

Visuels et textuels  >>

.

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre, brûlante, d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont, en retour, toutes

Lettres mortes  et de plus, et  tout au fil des jours.

.

À me demander : aurais-je fait … fausse route,

De tenter, par de la poésie, de faire  une cour

Assidue ardente à une belle femme qui joute

 En tanguerant ses pas pour tanguero secours.

.

Et des muscles, autant  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gonflette,  je  n’en  ai  cure,

Car je ne mélange pas culture avec confiture

 Je fais régime quand, le cœur gros, désabusé.

.

Pour sûr, je n’ai, qu’à m’en prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de trame, j’avais cru déceler,

Comme  appel : prête-moi ta plume, ta voix.

 .

Et comment peut-on toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela que mon  corps saigne,

Et, rougisse de mon  sang, son   lit de reine.

.

Je me sens comme  un étalon  qui redoute

Que le temps joue contre lui en sentiment

Et que sa passion  pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus d’un virtuel  amant.

.

.

Extensions

 .

Je me sens comme un étalon

Qui s’arc-boute  à l’idée  fixe

De te conquérir en dépit de

Tous les obstacles sur ma

Route tant ton image,

Projetée ….. en moi,

Chaque jour m’envoute.

.

Jusqu’ici, tu tournes les talons,

Sans saisir  pourquoi  ou que  j’aie

Le temps de m’adresser à toi pour faire

Comprendre que je ne suis pas qu’étalon !

.

Étalons nous sur l’herbe d’un pré, d’un jardin,

D’un parc, l’un à côté de l’autre, sans nous toucher,

Nous embrasser et roulons dans la pente qui nous

Mènera là où on s’aimera. Je me sens comme

Un étalon qui déroute son panache de

Conquérant, pied tendu en avant,

Pour t’inviter à chevaucher par-delà

Les forêts et plaines, les monts et vallons.

.

C’est quoi un homme étalon, demandez-le donc à une femme.

Elle vous répondra qu’elle en rêve mais qu’elle n’en trouve pas !

Pourtant elle s’est dévouée, corps et âme, dans la danse du tango

Connue à l’origine pour machisme dominant sans être dominateur

Je dirais même que, leurs dénominateurs, ce sont leurs partenaires,

Qui les poussent, dans leurs derniers retranchements à les satisfaire

Dans un guidage des plus habiles où langage passe par les épaules.

 On appellera cela « faire danser, jusqu’à la transe, voire l’extase »

Mais ce n’est pas un maître chanteur centaure qui la fait céder.

.

Un étalon serait comme une

Référence  dans un domaine,

Avec  des  notes   maximales,

Permettant de créer l’échelle,

Pour toutes les autres valeurs

.

En matière  de reproduction,

On connait, maitrise, la bête,

Lors en matière de séduction,

L’on restera souvent en quête

Jusqu’à trouver son bonheur !

.

Contrairement à ce qu’on croit,

Étalon n’est pas le meilleur choix

S’il se limite à sa matière de sexe :

L’amour est un tout plus complexe,

Qui fait que l’on s’accordera ou non !

.

.

689Calligramme

 .

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre,  brûlante,  d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont en retour  M  toutes

Lettres mortes  et de plus, et tout au fil   E   des jours.

                                              *

À me demander : aurais-je fait       S    fausse route,

De tenter, par de la poésie, de    E    faire une cour

Assidue, ardente à une belle   N  femme qui joute

 En tanguerant ses pas, pour  S  tanguero secours.

             *

Et des muscles, autant     P  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gon     A  flette, je n’en ai cure,

Car je ne mélange pas  R  culture avec confiture

 Je fais régime  quand  F  le cœur gros désabusé

 

 Pour sûr, je n’ai, qu’à   I m’en  prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité   S pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de tra    *      me j’avais cru déceler

Comme appel : prête      É     moi ta plume, ta voix.

T

Et comment  peut-on          A      toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les          L        l larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela             O         que mon  corps saigne,

Et rougisse de mon               N          sang, son   lit de reine.

*

Je me sens comme               D         un étalon   qui redoute

Que le temps joue               O       contre lui en sentiment

Et que sa passion               U         pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus            T           d’un virtuel  amant.

E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

689 4

.

Silhouette homme

Bien trapu et musclé

Comme  un bel étalon

Sur le point d’étreindre

.

Un étalon qui étreint jument,

l’enfourche et puis  l’enfourne,

je vous fais  cadeau  du fond :

faut qu’il soir en bonne forme.

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais étalon de qui,  étalon  de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscle, sans cœur,

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

.

Homme sexuellement attirant

Ou sexuellement très actif.

« Tu veilleras en faction

Devant la porte des bals

Où tes officiers vendent

Aux enchères, leurs

Grâces d’étalons,

Où ces hommes entretenus,

Débattent le tarif de leurs charmes

À travers les musiques langoureuses

Et les tièdes parfums ». (L. Tailhade)

Source : wiktionary.org/wiki/étalon

.

Descriptif

 .

689Je me sens parfois étalon qui doute !

  Alignement central    /    Titre  serpente    /   Thème  identité

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : étalon /  Symbole de fond : étreinte

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

689 6

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais, étalon de qui,  étalon de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscles, sans cœur

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

 .

Pas besoin de s’escrimer

D’ajouter flatulence verbale à l’acte :

Tant  quand le corps sexuel parle, il place

Le sujet hors langage et le langage hors sujet.

.

C’est ça « le miracle de l’amour » qui s’exprime

Dans le corps à corps. Moment de l’étreinte :

Serrer dans ses bras l’autre aimé crée

L’illusion – ici et maintenant réalisée –

De surmonter la division des êtres parlants.

.

La sexualité est une réponse, elle n’en a cure

De la parole devenant simple redondance.

Toute phrase n’est, dans la sexualité,

Que la paraphrase de l’acte.

cairn.info/revue-dialogue-

2011-3-page-25.htm

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Tous les poulains ont vocation à devenir étalons

Étalon en quoi : pas forcément de reproduction,

D’intelligence, culture, élégance, d’imagination, 

Autres peuvent se rhabiller, tourner les talons !

.

Oui mais voilà toutes ces qualités ou ces vertus

ne se passent nullement en étreinte ou en lit :

seulement au salon, rue,  ou voir au travail

femmes le savent et hommes en doutent !

 .

.

Suivre l’étalon, prendre les talons

.

Scénario

.

À danser le cha-cha-cha ou le charleston,

 si ce n’est le tango argentin avec un pur abrazo,

je me vois en étalon sauvage avec jument sauvageonne.

.

Visuels et textuels  >>

688 – Je ne saurais dire ni comment ni pourquoi ?

Visuels et textuels  >>

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

 .

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

 .

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

.

Extensions

 .

Je ne sais, je ne saurais dire

Ni comment ni pourquoi

J’aime ou je n’aime pas :

L’amour recèlera une part

De mystère que je ne parviens

À dévoiler ni en moi ni en l’autre.

.

«Je  l’aime  parce  que  c’était  lui,

Parce que c’était moi» Montaigne

Au sujet de son bel ami,  La Boétie !

D’accord, mais l’on reste sur sa faim

Alors qu’on voulait être  sur finalité.

.

Cyrano apporte une autre réponse :

Celle d’un idéal rendu  inaccessible

Mais dont on ne peut se détacher

Et pour lequel on est prêt à tout

Sacrifier, sans moindre retour.

.

Don Juan et puis Don Quichotte

Se profilent aussi  en notre horizon,

Le premier, inassouvissable, quête nouveauté,

Le second inconsolable de ne pas trouver sa dulcinée.

.

Pourquoi j’aime comme j’aime,

Cela reste en partie mystérieux,

Mais ce ne sera pas grand Dieu

Qui vient résoudre tel problème

Tout amour, d’origine…  divine

N’a rien à voir avec… l’humain,

Dieu n’a pas d’héros, d’héroïne.

Dieu est amour, est acte de foi :

Une croyance, paradis demain,

Ça dit rien de l’amour pour toi.

.

Pourquoi tu m’aimes ?

Je sais pas … parce que !

Oui d’accord, mais encore ?

J’aime tout en toi, point final.

.

On croirait interrogation d’enfant

Qui n’attend pas de réponse précise

Juste que sa question  soit comprise,

Parce qu’il devient grand maintenant.

.

À vouloir formuler quelques arguments

On quittera vite domaine des sentiments

D’un garçon, à sa mère, de fille à son père

Alors qu’on n’en sait trop rien, un mystère.

.

.

Épilogue

.

C’est histoire d’un renoncement,

Parce qu’impossible, improbable :

Une barrière invisible    les séparant

Et lors aucun ne s’en sentait capable !

 ***

Mais l’explication  ne les satisfaisait pas :

Faudrait savoir  le comment du pourquoi :

Explorer peut-être refoulement inconscient,

Écouter et puis analyser ses rêves récurrents.

 ***

Toujours est-il que le temps, les années, passant

Chances, de devenir amant, s’en vont diminuant :

Un jour viendra où le rideau tombera de lui-même

Et chacun se retrouvera dans une absence extrême.

 ***

Le lot  d’amours  secrets, jamais, vraiment, avoués :

Ils resteront dans le flou qui jamais, ne sera dissipé,

Ce n’est que silhouette plus qu’une réalité incarnée,

 Qui s’estompe en la nuit au lieu de brillante clarté.

 ***

J’ai aimé un fantôme qui est demeuré en au-delà

Des réalités tangibles que l’on se plait à toucher

Et peut-être même, à caresser, voire pénétrer

Mais ce n’est que de mon fait si j’en suis là.

.

.

688 – Calligramme  

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

.

JE NE SAURAIS

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

.

DIRE COMMENT

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

NI POURQUOI ?  

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

688 4

.

Un bâtonnet de marc à cils

Pour magnifier  son regard,

La silhouette,  toute droite,

Longiligne et floue de femme.

.

Une silhouette bien nette ou très floue

n’aboutit pas aux mêmes identifications

et lors on constate le nombre d’erreurs,

on se dit que forme et fond disjoignent.

.

Si l’on ne sait pas assez bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Si sa silhouette devient floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

.

Symbolique 

.

Ce que nous voyons de nous,

Ce que  nous donnons  à voir,

Notre aspect, notre silhouette :

Que  nous  pensons  logique, normal,

.

Ce que la majorité des personnes veulent,

C’est-à-dire une silhouette parfaite, plutôt mince,

Est loin d’être évident pour notre cerveau-ordinateur.

.

Le seul régime qui marche vraiment à long terme :

L’amour inconditionnel que nous nous donnons.

Plus nous nous acceptons, plus nous aurons

Le poids qui nous convient et la silhouette

Que nous devons, cherchons à avoir.

Source : Ladv.biz/la-silhouette-en-décodage

.

Descriptif

 .

688 – Je ne saurais dire comment ni pourquoi ?

  Alignement central    /    Titre  intercalé    /   Thème  voyage

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : silhouette /  Symbole de fond : floue

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si l’on ne sait pas assez bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Si  sa silhouette  devient  floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

 .

Symbolique

.

Si par essence,

Le flou constitue une

Opposition au concept

Même de netteté,

Il ne peut en être dissocié.

.

La notion de frontière revêt ici

Une importance fondamentale

Pour penser le flou, constituant

Une limite au continuum qualifier

De flou-net, profondeur, apparence,

Par rapport à la profondeur de champ.

D’avantage qu’absence, le flou devient sens.

.

Si notre culture visuelle a évolué, la perception

Que nous avons du flou a radicalement changé,

Notamment avec l’arrivée de l’image numérique

Et de la haute définition. Le sujet est donc

Particulièrement d’actualité.

panayotispapadimitropoulos.blogspot.

com/2013/03/les-frontieres-du-flou

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Une silhouette et d’autant si elle est floue,

Donnera peu de signes de reconnaissance :

Ça peut être n’importe quelle femme en tout,

Aucun détail, aucun  indice ne la caractérise.

On en restera alors à de vagues suppositions

Que l’on souvent à nombre recoupements

Un travail d’enquête, d’identification

Qui produit souvent des erreurs.

 .

.

Vague souvenir d’elle

.

Scénario

.

Je ne saurais dire

ni comment, pas plus que quoi,

ni pourquoi, ni même rien d’autre d’ailleurs ?

 .

Visuels et textuels  >>

687 – Sa première femme avait un cœur grand

Visuels et textuels  >> 

.

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’effleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré, abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec  sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était une femme mûre, mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mélange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naïveté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mélange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagination, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, lunatique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère, prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

 .

Extensions

 .

L’expérience n’apporte pas toujours

La sagesse lors on passe d’une erreur

À l’autre, bien différente, et, gênante.

.

Ici, l’accent  est mis, comme pour Ève

Au Paradis  Terrestre, sur la  curiosité

Malsaine  de la femme, et sur  sa faute

De vouloir savoir le secret du mystère.

.

Et l’interdiction absolue, et mortifère,

De Barbe Bleue a de quoi surprendre,

Puisque s’il voulait cacher ses crimes

Pour  garder  son  épouse, pourquoi

Lui donner quel qu’indice à moins

Qu’il nait été un mari … pervers !

.

La légende est toujours plus forte et résistante que la réalité

Charles n’aura pas inventé Barbe-Bleue à partir de son imaginaire,

Il s’est inspiré  d’Henri VIII (1491-1547) étant alors le roi d’Angleterre

6 épouses : certaines moururent naturellement, d’autres divorcèrent

Mais les dernières eurent la tête coupée.

Toute ressemblance avec un personnage

Imaginaire reste donc loin d’être fortuite.

.

La curiosité de la femme semble sans limite,

Quel qu’en soit le prix à payer, elle s’exécute :

Il n’y aura aucune porte secrète qui la rebute,

Bien qu’à l’intérieur, y a un cœur qui palpite !

.

Ce n’est ni la première, ni la dernière, fouillant

Les poches de son mari  comme femme jalouse,

Mais, une fois découvert, une maitresse cachée,

Elle ne finirait pas pour autant, la tête tranchée.

.

.

687 – Calligramme

 .

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’ef     S   fleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait   E       des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré,      S    abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était      *     une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec        N   sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était          E   une femme mure mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait         U     en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mé       F     lange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naï      *       veté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mé          F      lange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagi       E           nation, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, luna           M      tique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait                M    doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était              E         comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère,                  S      prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

687 4

.

Jeune femme avec

Une    longue   robe

Comme une mariée

Bientôt sacrifiée !

.

 Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique 

 .

Au début, la robe servait

À tout cacher du corps de femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur,

Plus les tissus sont élaborés, plus  beauté

Peut s’exprimer.

.

Après la Renaissance, le nu … magnifié,

S’entoure de prestige mais au quotidien,

Des parties du corps seront considérées

Comme vulgaires.

.

Il devient indispensable de les cacher.

Or, en les dissimulant, l’on construit

Une projection imaginaire autour

De leur réalité cachée

Comme un mystère

À se révéler.

.

Descriptif

 

687 – Ses neuf femmes ont eu l’esprit curieux

  Alignement central    /    Titre  droit    /   Thème  robe

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : robe /  Symbole de fond : neuf femmes

.

Fond

 .

Évocation 

.

687 6

.

Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique

.

La polygamie, de cœur ou de fait,

Montre que l’homme est encore chevillé

À la problématique du pouvoir sur l’autre

Pour dire son pouvoir  ou de perfection

De soi pour accepter l’autre.

.

Il n’est pas sûr de lui,

Vit angoisse de castration

Organique, fonctionnelle.

Il reste dans la dichotomie

Du « tout ou rien » ou du

« Trop » ou du « pas assez ».

Il reste dans l’idéalisation !

.

Il n’a pas compris la richesse

De la nuance, comment aider

Membres du groupe à vivre

La nuance, et  la tolérance,

Le non-jugement d’autre ?

cairn.info/revue-du-mauss-

2012-1-page-329=La polygamie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Sans doute que neuf, c’est beaucoup

Mais comme on ne prête qu’aux riches

Les séries ont tendance à l’augmentation

C’est une dénonciation du pouvoir absolu

Des seigneurs régnant sur tout,  maitres

Avec le droit de vie et mort sur sujets,

Il y a aussi le secret comme le test

De tentation et  de confiance.

 .

.

Pot de fer et pot de terre

.

Scénario

.

Le seigneur Gille de Rais et sa première femme,

qu’il a trainée  par les cheveux, sans aucune pitié,

et exécuté avec huit autres et depuis : Barbe bleue !

 .

Visuels et textuels  >> 

686 – Vie, loin de France, quand j’y pense

Visuels et textuels  >>

.

Exquise, puis surprise

Sont mots qui te décrivent

Et au mieux, selon mes yeux,

Selon mes sentiments ardents,

Ou,  selon  mon  cœur  d’amant,

Dès lors que mon esprit t’évoque

Dès lors  que le corps  provoque

Dès lors sexes s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin de France,

Souvent, quand j’y pense,

Je vois ou  j’entrevois tes formes.

Formes et silhouette te déhanchant,

Font flotter tes vêtements, sous des vents,

M’inspire  un violent désir amant, touchant.

Touchant par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,  te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer  que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes, et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge  ou jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes toutes en contradictions.

Contradiction  de norme,  contradiction  énorme,

Un gouffre  nous sépare, me rend  non-conforme,

À  ton attente, ton désir, pourtant,  protéiformes.

Protéiforme aussi corps, cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre la bien plus grande fête

Pour regards de muette, non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette pour lui faire la cour

Or, il  pense  trop  sexe,  pas  assez  l’amour.

L’amour  te personnifie, l’amour, tu  l e vis,

Chaque jour, en l’attendant tout à l’envie,

Et quand ta silhouette flottante s’arrête.

S’arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me vois,

Écoute te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi je n’ose

Et attends que tu proposes

La dernière des choses,

Choses qu’on ne dit

Mais que l’on fait

Que l’on croyait

Bien interdit,

Interdit laissant,

Comme ce bel amant

D’un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

.

Extensions

 .

Loin de France, loin du pays

Ou pourquoi pas du prénom,

Allez savoir : loin des deux,

Dans tous les cas, loin de

Revenir sur mes pas.

.

Est-ce une fuite où

Une escapade pour mieux

Revenir après avoir fait le point,

Sans moindre tyrannie des émotions,

Pulsions, sentiments, évènements !

.

Vision de loin ou vision de près :

Il faut les deux pour ajuster

Correctement, ses vues !

.

Allez donc savoir, de qui il s’agit, quelle est cette muse,

Qui a inspiré ce poème, qui m’a troublé, si je ne m’abuse.

Je ne vous le dirai pas : c’est tout le monde et … personne.

Quand bien même, à quoi bon, elle ne se reconnaîtrait pas,

Et pourtant ce visage est encore en moi, intact et si nature.

 .

Quand un visage, un corps, s’imposent à vous,

Tous nos sens se mettent en éveil, sans écueil,

Virtuellement présente, des images s’animent

Elles se produiront en forme holographique !

.

Quand l’on veut, non pas l’effacer,  la ranger :

Elle revient en force, occupe fond de pensées.

C’est peut-être ou en partie, dû à la distance,

Loin des yeux, près du cœur, pour cette fois !

 .

Ça prouve qu’attachement n’est pas vain mot,

On dit lors que quelqu’un vous colle à la peau,

À la peau c’est une métaphore, mais aux yeux,

C’est bien une image sur des zones rétiniennes.

.

.

686 – Calligramme 

 .

Exquise,                     M                puis surprise

Sont mots                  O           qui te décrivent

Et au mieux,             I          selon mes yeux,

Selon mes sen        *       timents ardents,

Ou, selon mon     *        cœur d’amant,

Dès lors que mon     esprit t’évoque,

Dès lors  que le    corps provoque

Dès lors sexes  s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin   L   de France,

Souvent,  O   quand j’y pense,

Je vois ou   I  j’entrevois tes formes.

Formes et    N     silhouette te déhanchant,

Font flotter   *   tes vêtements, sous des vents,

M‘inspire    D   un violent désir amant, touchant.

Touchant      E   par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,    *     te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer    *       que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes,    F       et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge   R     voire jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes      A      toutes en contradictions.

Contradiction de norme      N           contradiction énorme,

Un gouffre nous sépare       C         me rend non-conforme,

À ton attente et ton désir    E         pourtant, protéiformes.

Protéiformes aussi corps,    *        cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre     *       la bien plus grande fête

Pour regards de muette,    Q      non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq   U     paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette   A      pour lui faire la cour

Or, il pense  trop  sexe,     N    pas  assez  l’amour.

L‘amour te personnifie,    D    l’amour tu le vis,

Chaque jour, en l’attendant,  toute  à l’envie,

Et quand ta silhouette, flottante, s’arrête.

S‘arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me  vois,

Écoute  te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi   J  je n’ose

Et attends que tu   ‘    proposes

La dernière    Y   des choses,

Choses      *     qu’on ne dit

Mais      P      que l’on fait

Que        E      l’on croyait

Bien        N         interdit,

Interdit      S      laissant,

Comme ce  E  bel amant

D‘un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

686 4

.

Un flacon de parfum

Avec un gros bouchon

Comme un diffuseur, 

En pleine mémoire.

.

Un parfum de femme, s’il n’est pas banal

Ou s’il est original :

Ça ne s’oublie pas comme ça, la mémoire

Le conserve, retrouve.

 .

Symbolique 

 .

La subtilité

Du  parfum

Est insaisissable

Et pourtant l’apparence

Est réelle symboliquement

À une présence spirituelle

Et à la nature de l’âme.

Tant la persistance  du

Parfum  d’une  personne

Après le départ de celle-ci,

Évoquera une idée de durée

Et parfois même de souvenir.

.

Parfum symbolise  la mémoire

Et c’est en ce sens  qu’on l’utilise

Dans  les cérémonies  funéraires.

Les parfums facilitent l’apparition

D’images et de scènes significatives.

.

Descriptif

 .

686 – Moi, loin de France, quand j’y pense 

  Alignement central  / Titre  serpente / Thème  départ

Formes ovale / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : parfum / Symbole de fond : mémoire

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

686 6

.

Un parfum de femme, s’il n’est pas banal

Ou s’il est original :

Ça ne s’oublie pas comme ça, la mémoire

Le conserve, retrouve.

 .

Symbolique 

 .

L’oubli est un processus

Qui fait partie de la mémoire.

On ne peut pas réfléchir sur l’oubli

Sans le référer au champ de la mémoire.

L’oubli a plusieurs valeurs.

.

Y a oubli inexorable par effacement de la trace.

C’est quelque chose contre quoi nous luttons tous.

Se souvenir, c’est alors s’opposer  à cet effacement

De la trace qui correspond à une mort symbolique.

.

D’autre part, il y a l’oubli de réserve,

L’oubli remède contre la résurgence

De traces dont on se passerait bien.

En fait, dans  cet  oubli-là, la trace

N’est pas effacée et dans certaines,

Conditions, on peut se remémorer.

cairn.info/exil-et-violence-

politique-les-paradoxes-

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un parfum est un marqueur d’odeur

Qui se fixe en notre cerveau primaire

Et qui refait surface, instantanément,

On croira l’avoir oublié, eh bien non !

Et partout où il resurgira au hasard

Un objet, un lieu, visage, projettera

Jusqu’à le reconnaitre entre mille.

 .

.

Loin de toi, de France !

.

Scénario

.

Qui es-tu, toi dont je ne perçois que l’ombre,

mais qui se dévoile de plus en plus séduisante,

jusqu’à imprimer ton visage dans mes pensées !

 .

Visuels et textuels  >>

685 – Lors je t’ai quittée pour une terre portugaise

Visuels et textuels  >>

.

Portugal/Espagne/Maroc

Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

Et je  te  le  jure  que … c’est toi,

À n’en  pas   croire …..  mes yeux,

Car je te superpose  à toutes celles

Qui te ressemblent,  plus ou moins,

De tête, de silhouette et de charme.

.

À quoi bon aller chercher ailleurs

Celle qu’on a, près de chez soi.

Puis quand le voile

Tombera d’amour

Alors tu ne t’en

Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  retrouver bien aise,

De regarder autour de  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve sans me soucier de toi.

.

C’était sans compter  ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,  plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus belle encore, attirante,

À tel point  d’exciter  humeurs  changeantes.

.

Quand je t’ai quittée pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais  danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas salsas valses, tangos,

Je pensais, même, à toi, en  partenaire  disco.

 .

Je rêvais  d’enfourcher  tes monts,  tes vallons,

Et de caresser tes seins leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul bien plus que de raison

Tant j’éprouve, pour toi  beaux gestes passion.

.

Quand je t’ai quittée pour terre … marocaine,

Femmes mal fagotées en plus à demi voilées,

N’avaient yeux  pour   mieux   me dévisager,

Aucune ne me tente  comme  être  fredaine.

.

Le regard  ne  se cache  se prend,  se donne,

Il s’échange, vouloir le posséder, maldonne

Sur une terre  berbère leur regard étranger

A confié : difficile, ici, pour toi,  t’installer.

 .

Ton regard au-delà de tes plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien  lors rendu un vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel amour quitté en France.

.

.

Extensions

.

Fantasmes,  illusions, produits de ma fiction

Que toutes les images de toi que j’ai réveillées !

Peut-être mais pourquoi persistent-elles autant,

À envahir  toutes mes pensées,  tandis qu’à visiter

Monuments portugais, intéressants,  je m’emploie.

À vrai dire, je ne comprends pas, c’est à croire que

Ton visage s’est imprimé, câblé, dans ma mémoire

Et que je ne pourrais m’en départir, un seul soir.

Pardonne-moi de te voir nue toute déshabillée.

.

Quand on voyage, en Europe, on finit, toujours,

Par trouver quelqu’un, quelqu’une, ressemblant

À la seule qu’on aime qu’on a quitté un moment

Elle a des faux airs d’elle, mais  ce n’est pas elle !

.

Voilà une belle qui la rappelle un peu, beaucoup,

Pour autant, ce ne sera qu’apparence trompeuse,

Dès lors que j’échange avec elle, un voile apparait

Qui dissoudra son image au lieu de la superposer.

.

Il me faut bien m’avouer  que je suis très troublé,

Me dis pour corps semblable : âme dissemblable,

Et c’est peut-être surement même ce qui compte,

Une histoire commune et non fantôme de brune.

.

.

685 – Calligramme 

.

Portugal/Espagne/Maroc

 Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

    Et je  te  le  jure  que …..  c’est toi,

 À n’en  pas  croire …..  mes yeux,

    Car je te superpose  à toutes celles

      Qui te ressemblent,  plus ou moins,

        De tête, de silhouette et de charme.

        À quoi bon aller chercher ailleurs

         Celle qu’on a, près de chez soi.

              Puis quand le voile

              Tombera d’amour

         Alors tu ne t’en

      Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour  T  terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  ’  retrouver bien aise,

De regarder autour de  A  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve   I  sans me soucier de toi !

C’était sans compter        *    ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,          Q       plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus          U         belle encore, attirante,

À tel  point  d’exciter             I           humeurs changeantes.

Quand je  t’ai quittée            T       pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais        T          danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas     É           salsas valses, tangos,

Je pensais même à toi       E           en partenaire disco.

 .

Je rêvais d’enfourcher      P      tes monts, tes vallons,

Et de caresser tes seins   O   leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul,   U bien plus que de raison,

Tant j’éprouve pour toi  R     beaux gestes passion.

Quand je t’ai quittée  pour  une terre   marocaine,

Femmes, mal fagotées   T  en plus à demi voilées,

N’avaient yeux pour       E   mieux  me dévisager,

Aucune ne me tente       R   comme être fredaine.

Le regard  ne se cache         se prend, se donne,

Il s’échange, vouloir le     *      posséder, maldonne

Sur une terre  berbère        leur regard étranger

A confié : difficile ici         O       pour toi, t’installer.

      R

Ton regard au-delà de tes   T     plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et   U     jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me  G      surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien     A        lors rendu vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc   I    un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel     S    amour quitté en France.

      E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

685 4

.

Une statue de femme,

 jeune, mais statufiée,  

avec la tête de profil

avec un air pensif

.

Une statue peut-elle avoir l’air pensif,

demandez-le donc à Auguste Rodin

avec sa célèbre statue du penseur

aussi la forme épouse le fond.

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

.

Symbolique

.

Prolongeant rêve pureté des romantiques,

Les symbolistes auront donné aux femmes

Une allure virginale mais qu’elles n’ont pas.

.

La femme aura une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps, toutefois,

Elle a toujours évoqué la fécondité,

La pureté, mais  aussi  le vice.

.

Nombre   de   mythologies

Attribuaient une valeur

Sexuelle   aux   déesses,

Qui incarnaient souvent

Le désir et le plaisir charnel.

Source : poetes.com  et  1001 symboles

.

Descriptif

 

685 – Je t’ai quittée pour terre portugaise 

  Alignement central    /   Titre  droit   /   Thème  départ

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : triangle / Symbole de fond : cercle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

685 6

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

.

Symbolique 

 .

Au sens large, la pensée

Est une activité psychique,

Consciente en son ensemble,

Et qui recouvre les processus

Par lesquels  seront  élaborés,

Les réponses aux perceptions

Venues des sens, des images,

Des sensations, des concepts

Que l’humain associe pour

Apprendre, créer et agir.

fr.wikipedia.org/wiki/Pensée

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Arrive qu’on quitte quelqu’un quelqu’une

En voyageant dans un tout autre pays,

Et qu’on continue à le ou la rechercher

Comme en musique, belle ritournelle

Et qui vous occupe tout votre esprit.

.

On s’attend à le ou là voir surgir

À tous les coins de rue, sentiers

Et l’on projette, sur ses clones,

Son visage des plus familiers.

.

Or la ou les copies, ne sont

Ne valent pas, l’original :

Ce serait  un cas fréquent

Dans les décès et divorces

Impossibilité de retrouver

Situation, être, antérieurs.

 .

.

Quitter, partir en voyage 

.

Scénario

.

Tu es demeurée présente dans ma pensée,

quel que soit l’endroit et le monument visité,

jusqu’à imaginer vivre avec toi, en ce château !

 .

Visuels et textuels  >>

684 – Et, si le bonheur c’était tout simplement !

Visuels et textuels >> 

.

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  sans être conquérant,

Même sans aucun projet à construire,

Voire sans aucun artifice à séduire.

Mais là, je rêve :  est-ce possible,

Être  dans des bras sensibles,

Et de sentir comme un flot

Émotions  vous envahir

De la tête aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur, c’était tout simplement,

De penser à toi  chaque jour, moment !

Et  si le bonheur  c’était, plus souvent,

D’être, avec toi,  téléphoniquement !

Et si le bonheur,  c’était, réellement,

D’être, contre toi,  sensuellement !

Et  si le bonheur,  c’était l’instant

D’être avec toi à s’aimer jouant !

Et si le bonheur, c’était, venant

D’être en toi, en si bon allant !

Et si le bonheur, c’était… en

Devenant de vrais amants.

Toi parti, bonheur  étant

Coupant   ou   blessant,

Ton amour  occupant

Ton esprit pensant,

En le multipliant

Chaque  instant

Et en prenant

Le     temps

D’exister,

Pendant

Avant,

Sans

En

V

.

.

Extensions

 .

Et si  le bonheur,  c’était ceci,

Et  si  le  bonheur … c’était  cela :

Chacun y va de sa définition propre,

Tellement il contient de valeur relative

Sans compter d’appréciation subjective.

Fortunément, le bonheur ne se limitera pas

À l’amour entre deux amants, entre deux amis,

Entre deux parents, envahit toutes sphères de vie,

De la Nature à la Culture en passant par le métier,

La cuisine, sans oublier toutes sortes de hobbies.

.

Quand on a frôlé la mort de justesse,

Le bonheur premier consiste à se

Sentir vivant en relativisant

Les petits problèmes de

L’existence pour ne plus

Voir que le bon côté des choses.

Une  échelle  du  bonheur, comme

De l’intelligence : vous  n’y pensez-pas !

.

Nombre petits bonheurs, qui sont grands, inversement,

Dépendent d’où on vient, où on en est, à quoi on s’attend.

La réussite au baccalauréat  suscite un immense bonheur,

Mais, postérieurement, on s’aperçoit qu’il n’est rien, en soi,

Qu’une porte d’entrée pour les uns, de sortie pour les autres.

Et pourtant, l’avoir eu ou pas, change complètement la donne,

Pour l’avenir et le permis de conduire, produirait le même effet,

Le premier job stable, autant, la première rencontre amoureuse.

Certaines personnes sont considérées  étant inaptes au bonheur.

Avant, j’avais de la peine à le croire, mais, l’expérience de la vie

M’a ouvert les yeux : impossibilité est dramatique pour tous !

.

Et si ceci, si cela, ritournelle bien connue, stérile,

Dès lors qu’elle est imprécise ou en conditionnelle

Si le bonheur, c’était ceci et pas cela, on le saurait,

Mais il y a des bonheurs divers et un pour chacun.

Si moi je suis heureux, en écrivant sur … l’amour,

D’autres ne le sont pas, n’y voient que des peurs.

J’avouerai que, de jouer sur le mot du bonheur

Me donne un peu le blues plus que de raison,

Mais que voulez-vous, bonheur est passion.

.

Le bonheur se pointe quand il veut,

Le bonheur nous quitte quand il peut,

Pour certains, c’est, déjà, quand il pleut,

D’autres, un peu à manger, rend heureux.

Autant dire qu’il est des plus susceptibles

Qu’il est parfois des plus imperceptibles

Qu’il n’aime pas qu’on soit irascible,

Et qu’il rate très souvent sa cible.

.

.

Épilogue

.

Chacun aurait ….. ses propres représentations

Du bonheur, basées sur ses expérimentations

Personnelles et son propre niveau d’attente.

 

***

 

Quoiqu’il en fût, en soit, en sera,  plus tard,

Bonheur n’est éphémère comme le plaisir,

Qui passe, qu’on recherchera de nouveau.

 

***

 

Plus de sensation inquiétude, souffrance

Une satisfaction de soi agréable partout

Bien-être : soi, couple, famille, société !

 

***

 

De bonnes relations interpersonnelles

Avec  situation économique … stable,

Et le but qu’on poursuit  dans sa vie.

 

***

 

L’on y voit un triangle du bonheur,

Lors d’autres y verraient un cercle

Selon qu’on est Occident/ Orient.

 

***

 

Occident est en dualité / Trinité,

Tandis qu’extrême Orient serait

Équilibre  du Ying  et du Yang !

 

***

 

Le bonheur est chanson douce

Que me chantait  ma maman,

Selon un vrai poète bonheur.

.

.

684 – Calligramme 

 .

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  B sans être conquérant,

Même sans aucun  O projet à construire,

Voire sans aucun  N artifice à séduire.

Mais là, je rêve    H  est-ce possible,

Être dans des   E  bras sensibles,

Et de sentir  U comme un flot

Émotions R  vous envahir

De  la tête  aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur,      C    c’était tout simplement,

De penser à toi        ‘     chaque jour, moment !

Et si le bonheur      É      c’était, plus souvent,

D’être, avec toi       T     téléphoniquement !

Et  si le bonheur,    A       était, réellement,

D’être, contre toi    I       sensuellement !

Et  si le bonheur,    T     c’était l’instant

D’être avec toi à     *  s’aimer jouant !

Et si, le bonheur    S  c’était, venant

D’être en toi, en    I  si bon allant !

Et si le bonheur    c’était… en

Devenant vrais   P       amants.

Toi parti bon    L  heur étant

Coupant  ou   E    blessant,

Ton amour  M  occupant

Ton esprit  E  pensant,

En le mul N  tipliant

Chaque  T  instant

Et en  * prenant

Le    *  temps

D’ex-is-ter

Pendant

Avant,

Sans

En

V

 

.

Forme

Réduction

.

Évocation

.

684 4

Deux triangles, superposés,

 L’un étant tout en rondeur,

L’autre étant en pointe

Et pour indiquer.

.

Sachant que le bonheur pourra prendre

toutes les formes  sans modifier le fond,

les poètes ronds  et  les matheux carrés,

n’envieront pas les marchands pointus.

.

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

.

Symbolique

.

^

Le triangle 

Est un symbole féminin,

Lorsque sa pointe se dirige vers le bas,

Il représente fécondité naissance, instabilité ;

Masculin avec pointe vers le haut, symbole de virilité

Il a été beaucoup utilisé dans la finance qui est un domaine

Majoritairement masculin, ou bien par certains francs-maçons

Qui  le  nommaient « Delta lumineux »  ou  encore « Triangle sublime »).

Il est le symbole du pouvoir et feu, deux constellations portent son nom.

Source : www.structurenomade.com/2016/07/10/la-symbolique-du-triangle

.

Descriptif

.

684 – Et si le bonheur, c’était, simplement !

  Alignement central  / Titre  courbe  / Thème  bonheur

Formes triangle / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : triangle    /   Symbole de fond : cercle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

684 6

.

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

.

Symbolique 

 .

Le rond est d’abord un symbole

D’unité, l’alliance ou encore le yin et le yang

Étant de très bons exemples. C’est aussi le symbole de

L’infini, divinité, l’harmonie, du naturel et de la perfection.

.

Dans le rond il est possible de distinguer deux éléments :

Le point, formant le centre, et la circonférence.

Ces deux éléments sont liés, pourtant leur

Signification diffère.

.

Le centre symbolise le point de départ,

C’est-à-dire d’où l’on vient, ou le point d’arrivée,

Et est synonyme de stabilité et d’éternité.

À l’inverse, la circonférence d’un cercle évoque

Le mouvement et le changement.

graphiste.com/blog/symbolique-forme-logo-rond

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

.

On a coutume de voir un carré dans un rond

Si ce n’est l’inverse mais triangle en un rond

C’est moins commun, ça déborde davantage

Ce sont trois formes de base qu’on distingue

Facilement et cela, dès notre plus jeune âge.

.

Quant à savoir si l’homme est plutôt carré,

Si la femme est ronde, je ne m’aventurerai

Pas sur ce terrain sauf si elle est enceinte.

Le bonheur, lui, s’accommodera de tout,

Tant, vrai que de sa forme, il s’en fout.

 .

.

Et si le bonheur, c’était ça !

.

Scénario

.

L’espérance fait patienter des mois, des années, parfois,

mais si, au final, c’est le bon choix et pour longtemps,

on ne peut que demeurer heureux, tout simplement.

 .

Visuels et textuels >> 

683 – Le meilleur bonheur de l’amour n’est-il pas !

Visuels et textuels >>

.

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de l’amour

Ne serait pas celui que  l’on croit

Où plus intime  acte  de  l’amour

Ne serait plus celui  que l’on voit.

 .

Sera  moins lié  à nos  deux corps,

Qu’à nos  deux âmes, rapprochées,

Où fusions intimes de deux entités

Flotteront  au-delà   d’aura, encore.

Ce ne sont pas des mots qu’on partage

Mais un plein  silence loin des tapages

Pas plus que les gestes que l’on flirtage

Mais  nos belles intentions, survoltages.

.

D’état de normalité à celui de passionné,

Par l’idée que l’on se fait de l’union sacrée

Où pudeur, retenue, ne sont plus de mises,

En âmes confondues par l’humeur exquise.

.

Le seul fait de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire en fond de lit comme prétention.

 .

Chacun sait bien que meilleur moment du jour

Est celui où l’on monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en  paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  en isme  ou asme.

.

.

Extensions

 .

Le meilleur bonheur de l’amour,

N’est pas pendant, mais avant,

Dans l’enthousiasme du désir

Ou bien parfois, alors après,

En épicurisme d’un souvenir.

.

Mais balivernes que tout cela,

Pour ceux pour qui, il n’y aurait

Rien en dehors de l’acte, lui-même :

Que fantasmes minant moral, cerveau.

Pénétration, fin en soi, reste, préliminaires.

.

Possible que distinction entre plaisir et bonheur

Ne soit pas évidente à faire pour celui n’ayant jamais

Connu le dernier : en ramenant l’inconnu au connu,

On aura tendance à réduire le bonheur au plaisir

Et à son immédiateté, à sa tangibilité.

.

L’excitation nait dans le cerveau

Bien plus que dans le sexe,

Qui lui, fonctionnerait de

Manière presque réflexe.

.

Le meilleur bonheur d’amour  selon moi, est aucun doute,

Le moment où mon aimée monte l’escalier, et que je la suis

Je vois bien ses formes se déhancher, marche après marche,

 Et je me dis en moi-même que l’heure de … va bientôt sonner.

Après, on prend le temps de discuter, rien ne presse, à présent.

Au bout d’un temps, il se fait bien tard, il va bientôt  faire… nuit,

Elle décide de ne pas prolonger, descend du perchoir par escalier.

.

Le meilleur moment de l’amour sera différent

Pour chacun : certains, avant ; d’autres après,

Et le plus souvent, pendant, comme il se doigt.

.

Il peut être éphémère,  le temps d’un orgasme,

Comme il peut se poursuivre, un long moment,

Il y a ceux qui s’impatientent de recommencer.

.

Y a ceux qui préfèrent attendre autre occasion :

Différer plaisir leur procure un surcroit de désir,

Qu’ils gardent en tête comme précieux souvenir !

.

.

683 – Calligramme  

 .

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de   B l’amour

Ne serait pas celui que  O  l’on croit

Où plus intime acte     N    de l’amour

Ne serait plus celui   H       que l’on voit.

E   

Sera moins            U       lié à nos deux corps,

Qu’à nos           R  deux âmes, rapprochées,

Où fusions      *      intimes de deux entités

Flotteront          D     au-delà d’aura encore.

Ce ne sont pas des mots    A   que l’on partage

Mais un plein  silence loin   M        des tapages

Pas plus que les gestes que     O       l’on flirtage

Mais nos belles intentions     U       en survoltage

              R

D’état de normalité               *   à celui de passionné

Par l’idée que l’on              N    se fait d’union sacrée

Où pudeur, retenue,       E       ne sont plus  de mises,

En âmes confondues    *       par une humeur exquise.

S ……………….

Le seul fait            E    de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient        R       bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera      A     rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire   I     en fond de lit comme prétention.

T ………………………..

Chacun sait bien    que meilleur moment  du jour

Est celui où l’on   I   monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en   L   paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  ?  en isme  ou asme.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

683 4

Une forme de sapin

 Pro-ba-ble-ment :

Forme de sapin,

Assurément !

.

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …  aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant  l’amour.

.

Symbolique 

 .

Le

Sapin

Surgit dans

Les dessins d’enfants,

Il est une image vivante

De la verticalité ascendante,

De l’élévation spirituelle qui invite

À la conquête du ciel. Il appelle aussi

Des associations maussades… telles que :

Froid, neige, nuit, sur fond de lune, ciel étoilé.

Il est autant symbole  d’immortalité, en Russie

Le sapin entre dans divers rites et superstitions

Prouvant les

Vertus   de

Protection

Qu’on lui

 Accorde.

lepetitjournal.com/munich

.

Descriptif

 

683 – Meilleur bonheur d’amour ne serait-il !  

  Alignement central  / Titre  serpente  / Thème  bonheur

Formes conique / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : sapin    /   Symbole de fond : amour

.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

683 6

.

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …  aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant l’amour.

.

Symbolique 

 .

L’amour

Relève symbolique

De l’union des opposés.

Il est la pulsion fondamentale

De l’être, la libido qui pousse chacun

À se réaliser dans l’action : ce passage à l’acte

Ne se produit que par le contact charnel avec l’autre,

Autant par suite d’échanges matériels, sensibles, spirituels

Qui sont autant de chocs. L’amour tend à surmonter

Ces antagonismes, à assimiler des choses différentes,

À les intégrer dans une même unité.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Amour, sapin, n’ont rien en commun

À moins de faire l’amour à son pied,

Croquer la pomme, pomme de pin,

Ce pour atteindre bonheur divin !

L’on pourra grimper un escalier

Et voire grimper aux rideaux,

Et les plus sportifs, au sapin.

Chacun fait comme il veut !

L’essentiel ne serait-il pas,

Qu’amour soit le meilleur,

Que l’on puisse souhaiter.

 .

.

Jusqu’où grimperont-ils !

.

Scénario

.

Monter l’escalier, c’est espérer passer un moment des plus délicieux,

après quoi, on peut prendre l’air, parler, bien habillé, sur le balcon,

 et descendre l’escalier, c’est retrouver un peu réalité quotidienne.

 .

.Visuels et textuels >>

682 – Trouver son âme sœur : ça veut dire quoi !

Visuels et textuels  >>

.

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

.

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

.

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

.

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

.

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

.

Extensions

 .

Une « âme sœur » fait penser d’abord à conjoint

Mais pas que : ce peut être un ami ou une amie,

L’âme ne concernant pas directement le sexe

Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’en a pas :

Tout ce qui est humain est sexué, par nature

Et l’on ne pourra s’en détacher, ni s’en abstraire.

.

Âme sœur c’est comme reflet de soi-même en miroir,

Quelque chose située entre la gémellité et le clonage,

Psychiquement parlant car il n’y a pas forcément

De ressemblance physique, plutôt le caractère,

La manière d’être, de réfléchir, et d’éprouver

Les mêmes émotions pour la même chose

Tout le monde en rêve, d’un tel double

Qui nous comprend, de l’intérieur,

Par empathie ou par télépathie.

.

En réalité, le fait est assez rare

Et le plus surprenant, pas de début,

D’histoire commune pour l’expliquer :

Comme parenthèse dans l’espace-temps,

Superposition, inattendue, de consciences.

On ne peut pas dire la même chose d’un frère

Ou d’une sœur qui ont pourtant partagé une

Grande partie de votre vécu, par définition.

.

L’âme sœur est étrangère, elle vient d’ailleurs

Nulle part, on la rencontre ou la rencontre pas,

Amants, même s’ils sont et demeurent fusionnels,

Ne sont pas des « âmes sœurs » sinon ils n’auraient

Pas besoin de se dévoiler, de se faire connaitre.

Les amants peuvent être plusieurs,

L’âme sœur demeure unique !

.

Ame sœur, pourquoi pas cœur frère, esprit arbitraire :

Rien de corporel, ni de sensuel, ni de sexuel la dedans

Rien que de l’intention, de la conscience, de la quête

De quelque chose d’invisible et pourtant palpable

Pour peu qu’on la reconnaisse, bien aimable !

Si les corps ne peuvent fusionner totalement

Qu’en est-il au sujet des esprits et des âmes

Devra-t-on convoquer ici la métaphysique

Ou quelque chose d’autre d’aussi magique

Tant, si quelqu’un possède la clé des songes

De l’autre, réciproquement : c’est âme sœur.

.

.

Épilogue

.

L’âme sœur peut être illustrée

Par image de serrure  et de clé,

Et autant, chaussure à son pied,

Habit vous allant comme un gant

Mais ici, c’est aussi cœur et esprit

Une projection subtile et intuitive !

***

Le sexe, l’âge,  et l’apparence, jouent

Un rôle évident dans cette rencontre,

Mais dans l’absolu, y a pas de limites,

Lors il s’agit d’âmes, tout est possible :

Âmes jumelles ont autres pertinences !

***

Comme l’intuition  d’avoir  une histoire,

Une personnalité  et  un destin commun,

Que l’autre serait  une moitié manquante

De soi-même à former tout indissociable.

***

Il arrive que l’on se trompe, pari stupide,

Ou que l’âme convoitée soit déjà mariée :

Une question de tempo, ou attendu trop.

***

Si l’on divorce d’une âme, perçue sœur,

Qui vous dit que prochaine est la vraie.

***

Je n’y crois pas … mais pourquoi pas !

.

.

682 – Calligramme

 .

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

TROUVER

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

 .

SON ÂME-SOEUR

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

 .

VEUT DIRE

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

 .

QUOI 

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

 .

AU JUSTE 

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

682 4

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

.

Difficile de visualiser une âme

et plus encore connaitre sa clé,

mais pas impossible en l’amour

tant ici la forme évoque le fond.

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

 Symbolique

 .

Ame sœur demeure un concept

Qui évoque compatibilité amoureuse

Qui serait parfaite entre deux individus.

L’expression passée en le langage courant,

A définitions variables, ramenant toutes

Idée selon laquelle individus ont pour

Destin de constituer un couple.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

 

682 – Trouver son âme sœur, veut dire quoi ! 

  Alignement central    /  Titre  absent   /  Thème    rencontre

Formes escalier / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : âme    /   Symbole de fond : clef

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

682 6

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la clef

          Est en relation avec son double

              Rôle d’ouverture et de fermeture.

            C’est à la fois un rôle d’initiation

     Et parfois  de discrimination

  Dans les contes et légendes

   Trois clefs sont mentionnées

                     Pour ouvrir trois chambres secrètes :

                        Clef d’argent ; clé d’or, clé de diamant.

                                     La clef est alors symbole du mystère à percer,

                 De l’énigme laborieuse à résoudre,

                  De l’action difficile à entreprendre,

           Bref, des étapes qui conduisent

              À l’illumination et la découverte.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’âme de quelqu’un ou de quelqu’une

Demeure difficile à ouvrir sans sa clé,

Comme mot de passe, amour ne suffit.

Il faudra chercher, trouver, la solution

En sa propre ouverture et son intimité.

.

On pensera au sexe mais c’est du cœur

Et de l’esprit qu’il s’agit, en leur secret

L’âme-sœur détient une clé identique

Lors âmes fusionnent avant corps

Et débordent de tous les bords.

 .

Scénario

 .

Une moitié, plus une autre moitié, donnerait un cœur entier !

Un doigt plus un autre doigt, donnerait deux doigts amoureux.

Un homme, plus une femme, donnerait un couple … heureux !

 .

.

Rencontre âmes sœurs ?

Scénario

 .

Une moitié, plus une autre moitié, donnerait un cœur entier !

Un doigt plus un autre doigt, donnerait deux doigts amoureux.

Un homme, plus une femme, donnerait un couple … heureux !

.

Visuels et textuels  >>

681 – Descente d’avion, l’émotion monte d’un ton

Visuels et textuels  >>

.

Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

.

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

.

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

.

Extensions

 .

Émotion brute et forte, s’il en est,

L’attente de quelqu’un d’important,

Représente chose essentiel, à ses yeux.

Tant ce ne sera pas tant d’arriver vivant.

Il n’est plus le temps où c’était l’aventure,

Que d’être pressé qu’il ou elle soit là, enfin

Et qu’on puisse faire des choses ensemble,

Profiter de l’air du temps  qui passe, sans

Se soucier de tout et de rien, lendemain.

.

Tout d’un coup, on l’aperçoit, du moins

Dans  les  petits aéroports, par la vitre,

Descendre l’escalier à l’avant de l’avion

Et marcher sur le tarmac, vers un hall.

Il lui reste encore à récupérer sa valise,

Ce qui peut prendre  un certain  temps,

Voire un temps certain, après la douane,

La voici, rayonnante, cherchant des yeux,

Qui, son compagnon, un ami … un parent.

C’est, toujours, un bon moment d’émotion.

.

Les voyageurs se dispersent, vous voilà seuls,

En un sas vous ramenant à la réalité du terrain

Il faut prendre un bus, ou un taxi, faire la queue,

Mais à présent que vous êtes deux, temps d’attente,

Ne compte plus car vous êtes certain d’y être, arrivés,

Il arrive que l’avion ait du retard, qu’il soit détourné,

Par suite  de  vent violent, d’orage, ou de brouillard,

Parfois  même  faire demi-tour : il n’y a qu’une fois

Qu’avion a touché le sol de piste, qu’on peut dire

Qu’on est arrivé, au bon endroit, bon horaire.

.

L’avion est connu comme le transport le plus rapide, sûr.

On peut le constater après son atterrissage mais pas avant

C’est quitte ou double, ou presque : on a vu des sauvetages !

Mais quoiqu’il en soit, l’équipière qu’on attendait est bien là,

C’est cela l’important, l’essentiel, pour nous, derrière  la vitre

Et ce n’est pas n’importe qui, c’est ma moitié tout de même

Et si elle vient me rejoindre cela signifie qu’elle… m’aime.

.

Les aéroports sont lieux d’envols, atterrissages,

Tout autant de stress, plaisir, émotion, passage.

Si l’on est souvent  accompagné, pour le départ,

L’on sera encore plus attendu lors d’une arrivée.

.

Les embrassades et signes d’adieu sont courants

D’autant qu’avion a du retard, suite intempéries.

On a beau dire que c’est le transport le plus sûr :

Il suffit d’une fois, c’est la faute à pas de chance.

.

.

Épilogue

*

Il resterait toujours, et quelque soient

La fréquence et la sureté des voyages :

Fond d’inquiétude, parfois d’angoisse,

Et bien plus encore en trajet en avion.

**

Lorsque l’annonce arrivée  imminente,

Vient de se faire, en attente  quelqu’un,

On est grandement soulagé d’un doute,

On va pouvoir souffler de le rencontrer.

***

Et voilà qu’elle se présente  sur l’escalier

De descente, avec ses bagages… au pied.

C’est bien elle, c’est sûr : l’on croit rêver,

Et l’on sent son cœur  battre la chamade

****

Elle ne sait pas  que  quelqu’un  est venu,

Pour  la  chercher,  aussi,  au moment  de

Commander un taxi,  se montre surprise,

Que quelqu’un l’appelle par  son prénom.

****

Elle fond dans ses bras,    elle l’embrasse,

Touchée par cette délicate   …  attention.

C’est la moindre des choses, diriez-vous,

Bientôt serez de la famille … après tout.

.

.

681 – Calligramme

.

Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

À   SA   DESCENTE   D’AVION,

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

L’ÉMOTION   MONTE

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

681 4

.

Ça peut être une pointe

De lance ou de flèche,

Ou encore une toupie

Descente d’avion ?

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de sa sortie,

Par un escalier mécanique !

 .

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de sa sortie,

Par un escalier mécanique !

.

Symbolique de forme

.

L’avion est en relation avec

 L’élément air,  le monde mental.

Puisqu’il est plus lourd  que l’air,

Il a besoin  d’un moteur  puissant

Pour décoller, pour  voler, et cela

Qui  se traduit, symboliquement,

Par  une  grande  volonté  pour

S’élever dans monde pensées.

.

Voyager en avion  consiste,

En situation  concrète,

D’aller  en  pensées

Pour se diriger

Vers nouvelle

Région  de

Consci

Ence

V.

source : ucm.ca/fr/symbole-avion

.

Descriptif

 .

680 – Demain résonne comme coup de tambour 

  Alignement central    /  Titre  absent   /  Thème    émotion

Formes en pointe/ Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : avion / Symbole de fond : escalier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de  sa  sortie,

Par un escalier mécanique !

 .

Symbolique 

 .

En général, la présence

Dans le rêve des escaliers

Qui sont descendus, représente

Une sorte de changement de vie.

Les descendre en monte la facilité

À l’inverse de monter des escaliers.

.

L’escalier peut aussi représenter un

Moment de changement  au  niveau

Spirituel, transformation intérieure

Qui, en tant que tel, peut être  vécu

Avec une certaine appréhension.

.

Dans ce dernier cas, le rêve

Peut être lu comme un besoin

De repenser son chemin de vie.

le-temple-du-sommeil.fr/blogs

blog/rever-descendre-escalier

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

 .

S’il n’y a pas d’escalier dans l’avion

Il y en a parfois un pour la descente

Des passagers et des fois même deux

 Un pour ceux de l’arrière et de l’avant

Quand on voit sa femme  l’emprunter,

Son cœur se met à battre, fébrilement,

On est sûr au moins qu’elle est arrivée,

Que c’est juste une question de moment

Pour la serrer dans ses bras d’amant !

 .

 .

Attente impatiente suite retard

.

Scénario

.

Atterrissage en bout de piste  avant roulage vers le parking.

Descente de l’escalier  mécanique  sur une sortie  avant.

Marche dans les couloirs pour prendre les bagages.

 .

Visuels et textuels  >>

680 – Demain résonne comme coup de tambour

Visuels et textuels  >>

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

 .

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

 .

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre  en elle ou lui,

À moins  que  l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

 .

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Extensions

 .

Ah, demain,

Encore demain,

Toujours demain,

Comme  si  demain

Était puits sans fond,

Un puits sans fin pour

L’espoir de devenir ce

Qu’on a rêvé d’être !

Coup de théâtre,

Coup de tambour,

Le destin ou je ne sais

Qui ni quoi aura décidé

Qu’il en serait  autrement

Et tant pis pour ma pomme

À moins  qu’autre   occasion

Similaire se présente à moi

Un autre jour et ailleurs !

.

Le bruit du tambour évoque, souvent, une guerre

Ou exécution capitale en place publique, naguère.

C’est une bien pale imitation du tonnerre sur terre

Mais elle ferait son office, comme colère de Jupiter

Qui décide de punir les humains pour leur conduite.

.

Coups de tambour et coups de théâtre

Vont ensemble, sonnez les trois coups.

Il y en a qui les cherchent et attendent

Lors autres les craignent ou détestent.

.

Il faut dire aussi qu’il y a des bonnes,

Et des mauvaises surprises, tambour

Battant, qui arrivent à tout moment

Et qui perturbent emploi du temps !

.

Coup de foudre  comme  de tambour,

Demain devient comme nouveau jour

Il résonne, en tête, comme un amour,

Dont souvenir marque pour toujours.

.

.

680 – Calligramme

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon  sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

.

DEMAIN RÉSONNE 

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

.

COMME UN COUP

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre en elle ou lui,

À moins que l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

.

DE TAMBOUR 

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

680 4

.

Une fontaine

Avec des jets d’eau

Coulant    tout autour,

Ou tambours superposés

.

Les formes et les fond divergeront

entre un tambour et une fontaine,

en outre sont différents leurs sons

lors forme et fond ne s’accordent.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique

.

La fontaine

Symbole de l’immortalité,

De la purification et de la régénérescence.

La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit.

.

Ainsi, elle guérit toutes les maladies

Et les chagrins et par ce fait rend immortel

Plusieurs mythes font références à cette fontaine.

.

Par exemple, dans la mythologie

Romaine, Jupiter transforme la nymphe

Jouvence en une fontaine qui a la vertu de rajeunir.

Source : 1001 symboles

.

Descriptif

.

680 – Demain résonne comme coup de tambour 

  Alignement central    /  Titre  intercalé   /  Thème    force

Formes courbes / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : fontaine / Symbole de fond : tambour

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique 

 .

Le tambour

Est instrument de

Musique à percussion.

Le battement du tambour

Évoque  les rythmes  de la vie.

Il symbolise battements du cœur

Ainsi que battement de la terre.

Régularité de son battement

Agit comme un vecteur

D’ondes  permettant

Chamans d’entrer

État de transe.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-tambour.html

 .

.

 Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

La fontaine est un symbole universel

Du fait de source, écoulement perpétuel

Et autant du fait  que  l’eau qu’elle recèle,

Nourrit, guérit, adoucit douleurs réelles,

Et de là, à rajeunir, il n’y a qu’un mythe.

.

Elle n’aura rien à voir avec un tambour

C’est tout le contraire, tout en fluidité,

Le tambour tonne, la fontaine coule :

Contraste temps fort et temps mort.

 .

.

Vrai qu’il suffit d’attendre

.

Scénario

.

Un premier tambour, mais sans support

puis un deuxième tambour, sur son support,

et un troisième : trois formes et sons différents !

 .

Visuels et textuels  >>

1039 – Les peuples heureux n’ont pas d’histoires !

Visuels et textuels  >>

.

Heureux voudrait-il dire sans histoire :

Mot pris au pluriel, c’est un peu vrai

Au singulier c’est moins vraisemblable :

Individu, peuple, en a forcément une.

Au minimum, il y a les histoires de famille,

Bonnes, mauvaises, mariage, drame

Ceux qui n’en font pas n’en sont pas victimes,

N’ont de raison inventer histoire.

Belle histoire d’amour, se passent à la mairie,

Mauvaises finissent au tribunal

Pour savoir si un peuple vit sans histoire,

Il suffit de compter les tribunaux.

.

Les peuples heureux, dit-on,

N’ont pas d’histoires,

Les amours heureux, on dira,

N’en ont guère plus.

Cela veut-il dire sans luttes,

Point, en aucun cas,

Disputes ne sont   pas publiques

Elles n’exis tent pas.

.

Affaire privée : d’amour,  d’argent,

En devenant publique,

Prend une toute autre dimension

Car elle s’inscrit dans

Le jugement d’une désocialisation

Ou un tiers prend parti.

.

Des milliards  d’histoires  d’amour

Voient le jour,

Sans rapporter la  moindre histoire

Au moindre jour :

C’est  à se demander  s’ils existent,

S’ils s’aiment vraiment.

.

Certains  n’en parlent  à personne,

Sauf quelques amis,

Témoins seuls, invités au mariage,

Point de fête familiale,

Est-ce à dire  qu’on a droit s’aimer

Sans le déclarer.

.

Entre ceux qui ne font aucun bruit,

S’aiment en silence

Et ceux qui font de grands tapages,

En grande cérémonie.

Faites vos pronostics … sur la durée

Vous aurez  surprises.

.

Le mariage est institution publique,

L’amour, élection privée,

Les divorces se passent au tribunal ;

Désamour est rejet public.

Est-ce raison pour ne pas se marier

 Faire l’amour en cachette.

.

Que d’hypocrisie pour cette chose

Aussi naturelle et simple :

Amour qui reste don sans histoire

Et jamais possession.

.

.

Extensions

.

Histoire au singulier et histoires au pluriel

Ne signifient guère les mêmes sémantiques :

Au singulier, c’est la grande, celle d’un peuple ;

Au pluriel, c’est  celles de gens  qui le composent !

Lors, dire qu’un peuple heureux n’a pas d’Histoire,

Ne peut être que vrai parce qu’on ne la rapporte pas,

Faux parce qu’en creusant, elle est remplie d’histoires !

.

Que les peuples heureux n’aient pas d’histoires

Tant mieux, ça équilibre un peu avec les autres

Mais  que leur bonheur soit tombé dans l’oubli,

Est quelque peu dramatique : ça n’a pas existé.

.

L’histoire des guerres sous toutes leurs coutures

Nous est relaté par les historiens et pas des paix,

Faut-il en déduire que, pour laisser traces après,

Un dictateur génocidaire effacerait un pacifiste.

.

.

1039 – Calligramme

.

Heureux voudrait-il dire sans histoire : mot pris au pluriel, c’est un peu vrai

Au singulier c’est moins vraisemblable : individu, peuple, en a forcément une.

Au minimum, il y a les histoires de famille, bonnes, mauvaises, mariage, drame

Ceux qui n’en font pas n’en sont pas victimes, n’ont de raison inventer histoire.

Belle histoire d’amour, se passent à la mairie, mauvaises finissent au tribunal

Pour savoir si un peuple vit sans histoire, il suffit de compter les tribunaux.

.

Les peuples heureux, dit-on,

N’ont pas d’histoires,

Les amours heureux, on dira,

N’en ont guère plus.

Cela veut-il dire sans luttes,

Point, en aucun cas,

Disputes ne sont   pas publiques

Elles n’exis tent pas.

Affaire privée : d’amour,  d’argent,

En devenant  P        publique,

Prend une toute     E     autre dimension

Car elle s’in    U        scrit dans

Le jugement d’une  P         désocialisation

Ou un tiers    L   prend parti.

Des milliards  d’hi   E       stoires  d’amour

Voient     S     le jour,

Sans rapporter la     *      moindre histoire

Au moin    H   dre jour :

C’est  à se deman     E      der  s’ils existent,

S’ils s’aiment   U          vraiment.

Certains  n’en par    R       lent  à personne,

Sauf quel      E     ques amis,

Témoins seuls, in     U      vités au mariage,

Point de fête   X         familiale,

Est-ce à dire  qu’      *     on a droit s’aimer

Sans   le     N     déclarer.

Entre ceux qui ne      ‘      font aucun bruit,

S’aiment     O     en silence

Et ceux qui font        N    de grands tapages,

En grande    T     cérémonie.

Faites vos pronos     *     tics … sur la durée

Vous aurez    D       surprises.

Le mariage est ins     ‘     titution publique,

L’amour, élec   H       tion privée,

Les divorces se pas   I       sent au tribunal ;

Désamour est   S       rejet public.

Est-ce raison pour     T        ne pas se marier

 Faire l’amour      O          en cachette.

Que d’hypocrisie         I          pour cette chose

Aussi naturel         R          le et simple :

Amour qui reste           E          don sans histoire

Et jamais               *              possession.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1039 4

.

La silhouette d’un « T »

Une potence pour pendu,

Ou un foret de charpentier,

Ou un simple tire-bouchon

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Il n’y a pas besoin de tire-bouchon

Pour extraire quelque histoire

Là où il n’y en a pas lorsque le peuple

 Est heureux lors sans histoires.

 .

Symbolique 

.

Tire-bouchon

Vient du verbe tirer

Et du nom « bouchon »,

En latin donne « bucco ».

C’est,  en   quelque sorte,

.

L’outil qui sert à extirper

De son logement, parcelle

De  matière,  faite  de  liège

Qui, d’un côté est au contact

Du liquide et de l’autre côté

Est à proximité de celui qui

Qui  fait  l’action  de tirer.

.

On  situe  mal  l’invention

Du tire-bouchon, mais on l’attribuerait

À   l’observation  de   certains   animaux

Proches du porc, qui, de par leur partie

Caudale, évoquerait la spirale connue

Modifié, source : ledifice.net

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1039 6

.

Il n’y a pas besoin de tire-bouchon

Pour extraire quelque histoire

Là où il n’y en a pas lorsque le peuple

 Est heureux lors sans histoires.

.

Symbolique 

.

On peut distinguer plusieurs

Types de philosophie de l’histoire.

La première peut être dite fataliste.

Le destin de l’humanité s’explique

Avant tout par les édits arbitraires

D’une puissance supérieure.

.

La seconde est de type cyclique.

On la retrouve en philosophies orientales,

Et plus particulièrement dans le bouddhisme.

Elle est présente chez les Aztèques considérant

Que plusieurs mondes avaient précédé le nôtre

Et que plusieurs autres le suivraient.

.

La troisième est de type progressiste.

L’histoire de l’humanité tendrait

Vers un progrès ininterrompu.

Une quatrième école dénie tout sens

À l’histoire humaine. Il ne s’agirait que

D’une succession hasardeuse d’actions !

Fr.wikipedia.org/wiki/Histoire

#Sens_et_philosophie_de_l’histoire

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Des tire-bouchons il y en a des centaines,

Tous différents, tous efficaces, pratiques,

C’est un exemple même d’une créativité

Sans borne quand on sait qu’il n’aura

Qu’une seule fonction : déboucher !

Les peuples heureux lui ressemble

En ce qu’ils seront très variés

Chacun  d’eux, à sa façon

A trouvé son équilibre

Lors  quelques  soient

Difficultés, problèmes

Cherchent une solution

Lors d’autres envahissent

Les territoires des  voisins,

Pour masquer  les bouchons,

Qui leur pourrissent leurs vins.

 .

.

Gens, histoires

.

Scénario

.

Peuples heureux ne pensent et ne vivent qu’en, et,  par solidarité.

Les rassemblements entre tribus ont vocation d’échanges amicaux.

Les autres en ont une, apparemment, s’en font l’écho dans le Monde.

.

Visuels et textuels  >>

635 – Nos amours sont bénis, puis ne le sont plus

Visuels et textuels  >>

.

Apparition

Installation,

Cristallisation

Ou…disparition.

De quoi, ou de qui,

S’agit-il, là, au juste :

D’amour  ou  de relation

D’attraction ou révélation.

.

J’étais seul, nous voilà deux,

Et, nous semblions heureux,

Pour ne pas dire, chanceux,

Mais, ne voilà-t-il pas que,

Je me retrouve … boiteux

De ne plus marcher que

D’un pied  sur deux !

.

Comment l’amour,

Se sera soudain envolé

Sans m’en rendre compte,

Sans me donner une raison

Que je ne le méritais guère

Si ce n’est le contraire :

Choix est arbitraire,

Bonheur/misère.

.

 Nos amours sont bénis, puis ne le sont plus

Sans savoir pourquoi et sans l’avoir voulu :

Légères  impressions  qu’amour   a disparu,

En perdant ses traces en un sable moulu.

.

Lors je me retrouve seul, pauvre et nu,

À supporter ces états des plus incongrus,

Qui me redonneront ma liberté à ma vertu

Et dont je ne sais que faire pris à l’imprévu.

.

Mais  de quoi  ou  de qui  s’agit-il : veux-tu,

Bien nous le dire  et  nous le  partagerais-tu !

Nous ne sommes pas, pour toi, des inconnus,

Alors accouches, on te dira si : bien, malvenu.

.

Malvenu n’est pas le mot : en vrai, j’avais cru,

Qu’il m’aimait autant qu’aimais, si j’avais su,

Il m’a fait faux bond et   je m’en suis aperçu

Avec l’autre, en me narguant  par-dessus.

.

Si  tu en es sûre : laisse  tomber, foutu.

Sinon, dispute beaucoup hurluberlu,

Dis-lui il aura fait  exprès d’être vu

Pour retester une jalousie vécue.

.

.

Extension

 .

Dis-toi que tu

N’auras  rien  perdu,

Que  ça n’aurait pas tenu,

Et qu’il n’est plus le bienvenu,

De t’être servi de toi comme appât

Pour une proie que tu n’aimes pas,

Et que tu regardes déjà en victime

Et en attendant, déjà, la suivante.

.

Bénis, finis, oubliés : nos amours sont éphémères, inconstants,

Qui n’en a fait l’expérience, amère, en croyant vaincre le temps.

Dieu sait combien notre passion nouvelle nous unissait, amants

Comme si un mauvais génie s’acharnait  sur nos amours bénis !

Un rien nous unit, un rien nous détruit…et notre bonheur, avec.

Faut-il dès lors croire à l’amour encore, ou  n’est-ce qu’illusion :

C’est à chacun de décider en son cœur, en son âme, conscience.

.

On maudit d’autant mieux quelqu’un,

Qu’on l’a beaucoup adoré, choyé, béni.

.

La haine se nourrit d’un amour trompé,

Comme toute trahison : impardonnable.

.

Tous les couples ont des conflits, disputes,

Scènes de ménages, autres coups de putes.

.

Partir, avec un ou une autre, n’est pas  facile

L’autre à l’impression d’un rejet puis abandon.

.

La résilience peut parfois permettre de renouer

Si ce n’est des liens bénis, du mains pas maudits.

.

Et j’ajouterais même bien volontiers que le pardon

Peut être solution pour revenir à la paix du ménage.

.

.

635 – Calligramme

 .

Apparition

Installation,

Cristallisation

Ou…disparition.

De quoi, ou de qui,

S’agit-il, là, au juste :

D’amour  ou  de relation

D’attraction ou révélation.

 .

J’étais seul, nous voilà deux,

Et, nous semblions heureux,

Pour ne pas dire, chanceux,

Mais, ne voilà-t-il pas que,

Je me retrouve … boiteux

De ne plus marcher que

D’un pied  sur deux !

 .

Comment l’amour,

Se sera soudain envolé

Sans m’en rendre compte,

Sans me donner une raison

Que je ne le méritais guère

Si ce n’est le contraire :

Choix est arbitraire,

Bonheur/misère.

.

**************************

******************************

.

 Nos amours sont bénis, puis ne le sont plus

Sans savoir pourquoi et sans l’avoir voulu :

Légères  impressions  qu’amour   a disparu,

En perdant ses traces en un  A     E sable moulu.

Lors je me retrouve seul, pau  M        T    vre et nu,

À supporter ces états des plus   O          *   incongrus,

Qui me redonneront ma liberté  U            N  à  ma vertu

Et dont je ne sais que faire, pris   R              E   à l’imprévu.

Mais de quoi ou de qui s’agit-il    S                *           veux-tu

Bien nous le dire  et nous le par    *                L     tagerais-tu :

Nous ne sommes pas pour toi     S                E    des inconnus,

Alors accouches, on te dira si   O                *   bien, malvenu.

Malvenu n’est pas le mot en   N              S   vrai, j’avais cru,

Qu’il m’aimait autant l’ai    T             O  mais si j’avais su,

Il m’a fait faux bond et   *           N je m’en suis aperçu

Avec l’autre, en me    B          T narguant par-dessus.

Si tu en es sûre     É         *  laisse  tomber, foutu.

Sinon, dispute   N       P beaucoup hurluberlu,

Dis-lui il aura   I        L  fait  exprès d’être vu

Pour retester    S       U    une jalousie vécue.

S

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

635 4

.

Un pot en terre d’extérieur

Avec une belle plante verte,

Ou une poubelle de table,

Objet  jeté à la poubelle !

.

Amours bénis sont gardés, choyés

Amours maudits sont jetés, oubliés,

comme des objets dans une poubelle.

et c’est ainsi que forme rejoint le fond.

.

Amour, jeté à la poubelle comme fané,

 Comme amour objet :

Ça n’a à voir avec un bénitier servant

À nous sanctifier, déifier.

 .

 Symbolique 

 .

La poubelle n’a

Pas de sens …  caché,

C’est le symbole de vouloir

Se débarrasser  de  quelqu’un

Ou  quelque  chose : tout   dépend

Ce que  nous jetons  dans la poubelle.

Elle peut aussi représenter le désir de se

Délester d’habitudes, d’attitudes mentales

Qui ne nous plaisaient pas, dans ce cas-là,

C’est un symbole de désir de changement.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/poubelle

.

Descriptif

 .

635 – Amours sont bénis, et ne le sont plus 

Alignement central / Titre analogue / Thème  amour

Forme ronde  /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : poubelle  /   Symbole de fond : objet

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

635 6

Amour, jeté à la poubelle comme fané,

 Comme amour objet :

Ça n’a à voir avec un bénitier servant

À nous sanctifier, déifier.

 .

Symbolique 

.

Au croisement

Entre      l’amour

Et  le désir : l’objet.

Un objet tout à la fois

Privilégié  puis  valorisé

Dans  un   amour  passion

Étant  ravalé  dans  le désir,

Ceci en raison de  sa proximité

Avec l’objet de la pulsion sexuelle.

.

Pour Freud,  comme  pour  Lacan,

L’être aimé reste toujours un sujet,

Alors que celui qui est désiré passe

Au statut  d’objet. L’objet du désir

Désir en rapport avec la pulsion

Devient un objet quelconque.

.

Il peut être changé, rejeté,

Et même partagé : il s’agit souvent

D’un leurre ou d’un objet… dévalué !

cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie

-clinique-2008-2-page-165.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Encore, de nos jours, lettres, mots, d’amour,

Adressés à quelqu’un qui n’est pas amoureux,

Reviennent, retour expéditeur s’ils ne sont pas

Directement jetés à la poubelle et sans lecture.

.

L’on appellera cela  «une fin de non-recevoir»

Tout  le  contraire  «d’une faim  de se revoir»

Suffit  donc, en cas  de  non réponse rapide,

De faire sa poubelle pour avoir cœur net !

.

Ce que personne ne fait sauf un détective

Et à quoi bon, personne ne va en prison

Pour un amour, renvoyé, déchiré, jeté.

 .

.

Plus belle … poubelle

.

Scénario

.

Nos amours sont bénis par un ange du Saint-Esprit qui les unit.

Nos amours sont maudits par un ange démoniaque qui les rompt.

Nos amours sont finis par une mort irrémédiable qui les dissout.

.

Visuels et textuels  >>

1018 – Chute en spirales du bonheur, accélération

Visuels et textuels  >>

.

Une chute en spirales

On en ressent quelques effets

Quand l’on tombe dans cauchemar

Juste avant de se réveiller en sursaut

Sursaut de vie, évitement,  injonction

De son cerveau en émotion trop forte

Qui le sait qui le saura, qui le dira,

Mais bonheur, on n’y croit pas.

.

Chute en spirale dans un trou

Noir ou blanc ou en couleurs

Dont  on ne voit  pas le fond

Pour pouvoir enfin rebondir

Et retrouver le vrai bonheur

Chute en spirale  du bonheur,

Son accélération et sa hauteur,

Avant de m’affaisser, en évanoui,

En une chute qui jamais n’en finit.

.

Emotion jusqu’à la peur du trou noir

Reste ce qu’il y a de plus…troublant,

Que  l’on soit, l’ami, ou …  l’amant,

Quand l’on frôle tant,  désespoir,

Après s’être déclaré puis rejeté

Pire encore par autre ignoré.

Sur le versant du malheur :

.

Quand l’on en touche le fond,

Rien d’autre ne peut nous arriver,

Car tout nous est égal… à cette heure !

De l’un à l’autre, en dents de scie, râteau,

Voir des gens des plus laids aux plus beaux

Une spirale se transforme en cercle normal,

Où l’on maintient carré  …  d’envies vitales,

Comme  en un sanctuaire … impénétrable

Où le précieux espoir parait … désirable.

.

De toi, à moi, il n’y a que  flux d’ondes

Négatives ou positives qui s’échange

Perçu tantôt démon et tantôt ange

Fonction d’imagination  féconde,

Je suis, ou non … un réceptacle,

De ton amour   en ton cénacle.

.

Si je pouvais  changer de peau

Ou jeter très loin, mes oripeaux

Et, redevenir bien jeune et beau,

Je revendrais mon âme au diable,

Pour que tu puisses la lui racheter.

.

Car l’amour miracle, a souvent fait,

Ou vaincu, à  jamais, l’irrémédiable,

Mais mon âme  n’est pas à … vendre,

Et la tienne, pas davantage à prendre,

Car elle est juste très douce à entendre

Quand elle parvient mon cœur, fendre.

.

.

Extensions

 .

En la spirale d’un tel, vrai,

Bonheur, je ne crains plus rien,

Que le vertige d’une telle… hauteur.

Peut-être est-ce une chute en parachute

Dont  je le délecte, à ravir, en contemplant

Le paysage qui s’ouvre devant moi, tombant

À pleine vitesse, du ciel.

.

La spirale, comme chacun sait, évoque la chute potentielle :

Avions de combats tombaient en faisant des spirales en ciel

Aujourd’hui ils ne le font plus, pour autant il n’y a pas que

Les escaliers qu’on peut réaliser, voir, monter, en spirale.

Il y a les idées noires dans son cerveau fatigué, délirant

Et bien sûr, nos rêves de chutes, la nuit, en dormant !

Il y a aussi la spirale de la chance, plaisir, bonheur.

.

Chute brutale, en spirale, en douceur :

 Le bonheur s’en va, peu importe l’heure,

Il nous quitte à sa manière sans prévenir

Et, il pourra mettre longtemps, à revenir !

.

Si on regarde bien une spirale, on observera

Qu’une partie de la courbe semble s’approcher

D’un point fixe, tout en tournant autour  de lui,

Alors que l’autre extrémité semble s’en éloigner !

.

 Spirale infernale de mes pensées reste ma création

 Poétique se nourrissant de réalités et d’imagination,

Tournant sur elle-même, elle explore par ses lumières

Les contours réels de notre société, et de ses chimères !

.

.

1018 – Calligramme

 .

LA CHUTE

Une chute en spirales

On en ressent quelques effets

Quand l’on tombe dans cauchemar

Juste avant de se réveiller en sursaut

Sursaut de vie, évitement,  injonction

De son cerveau en émotion trop forte

Qui le sait qui le saura, qui le dira,

Mais bonheur, on n’y croit pas.

Chute en spirale dans un trou

 Noir ou blanc ou en couleurs

Dont  on ne voit  pas le fond

Pour pouvoir enfin rebondir

Et retrouver le vrai bonheur

Chute en spirale  du bonheur,

Son accélération et sa hauteur,

Avant de m’affaisser, en évanoui,

En une chute qui jamais n’en finit.

Emotion jusqu’à la peur du trou noir

Reste ce qu’il y a de plus…troublant,

Que  l’on soit, l’ami, ou …  l’amant,

Quand l’on frôle tant,  désespoir,

Après s’être déclaré puis rejeté

Pire encore par autre ignoré.

Sur le versant du malheur :

EN SPIRALE

Quand l’on en touche le fond,

Rien d’autre ne peut nous arriver,

Car tout nous est égal… à cette heure !

De l’un à l’autre, en dents de scie, râteau,

Voir des gens des plus laids aux plus beaux

Une spirale se transforme en cercle normal,

Où l’on maintient carré  …  d’envies vitales,

Comme  en un sanctuaire … impénétrable

Où le précieux espoir parait … désirable.

De toi, à moi, il n’y a que  flux d’ondes

Négatives ou positives qui s’échange

Perçu tantôt démon et tantôt ange

Fonction d’imagination  féconde,

Je suis, ou non … un réceptacle,

De ton amour   en ton cénacle.

Si je pouvais  changer de peau

Ou jeter très loin, mes oripeaux

Et, redevenir bien jeune et beau,

Je revendrais mon âme au diable,

Pour que tu puisses la lui racheter,

Car l’amour miracle, a souvent fait,

Ou vaincu, à  jamais, l’irrémédiable,

Mais mon âme  n’est pas à … vendre,

Et la tienne, pas davantage à prendre,

Car elle est juste très douce à entendre

Quand elle parvient  mon cœur, fendre.

DE N’IMPORTE QUEL BONHEUR. 

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

1018 4

.

Colonne de soutènement d’église

Ou tronc d’arbre un peu spiralé

Ou  pied de table en bois tourné

Ou lampadaire en fer forgé ?

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Lampadaire forment images

Spirale, volute, courbe, sculpture  

Pour indiquer que le bonheur

Pourrait devenir plus tourmenté.

.

Symbolique 

 .

Un lampadaire extérieur

Est un dispositif d’éclairage

Placé en périphérie de voie

De circulations publiques

Et qui s’allumera le soir.

.

L’usage   des  réverbères

Date de fin du XVIII siècle,

Avant utilisation de l’électricité.

.

En 1776, les premiers  d’entre  eux

Viennent remplacer, pour  Paris, les

Lanternes éclairées par des chandelles.

L’effet réverbère, parabole de l’ivrogne

Cherchant ses clés, la nuit, en la rue.

Il sait les avoir perdues ailleurs,

Il les recherche  pourtant sous

Le réverbère car c’est le seul

Endroit éclairé de la rue.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1018 6

..

Lampadaire forment images

Spirale, volute, courbe, sculpture 

Pour indiquer que le bonheur

Pourrait devenir plus tourmenté.

.

Symbolique 

 .

La spirale, dont

La  formation  naturelle

Est très fréquente dans le règne végétal

(vigne, volubilis) et animal (escargot, coquillage)

Évoque l’évolution d’une force, d’un état.

.

C’est un motif  ouvert  et  optimiste :

Rien n’est plus facile, lorsque l’on

Est  parti  d’une  extrémité,  que

D’atteindre l’autre, hélicoïdale,

En double volute et avec cornes.

.

La double spirale c’est l’enroulement

Des serpents autour du caducée des médecins.

La spirale est symbole de fécondité aquatique et lunaire.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Lampadaire, réverbère … luminaire

Vous étiez dans la lumière et le noir

Vous a gagné, surpris … agrippé !

Vous avez  recherché le bonheur,

Là où il n’était pas,  n’était plus,

Ou là où il ne pouvait plus être !

Comme pour descente aux enfers

Vous êtes tombés tout  en  travers

Et la porte s’est refermée sur vous,

Vous abandonnant en pleine misère.

 .

.

La spirale de bonheur ?

.

Scénario

.

Comme dans un escalier, en colimaçon, mais qui n’en finit pas,

en ma propre tête, tout est circulaire et tout tourne en rond,

mon corps tombe plus vite, la nuit, comme en apesanteur !

 .

Visuels et textuels  >>

1016 – Son bonheur : on ne le saurait qu’après !

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.

D’être heureux

Et ne pas le savoir,

Et enfin s’en apercevoir,

Lors on ne l’est plus du tout

Est le lot de nombre d’humains,

Croyant que le bonheur est que divin

.

Alors qu’il peut être des plus quotidiens

Qu’il peut être fait d’un tout, ou d’un rien.

Aujourd’hui plus que hier, moins que demain

Qu’en savons-nous si demain, il se tire, et bien !

 .

Bien étrange constat, bien mystérieux plat,

À consommer, qu’un tel bonheur qui ne dit

De nom qu’après être parti loin en catimini

Au point que certains ne le connaissent pas,

 .

Alors qu’il était sur le pas de porte, fantasmé,

Voilà qu’une fois entré,  redevenu pure réalité,

Il perd toute substance si ce n’est toute essence,

En se retournant, nous claque la porte aux sens.

.

Le monde devient terne après avoir été enflammé

De désirs que ne l’on ne pouvait sursoir à son côté,

Il en est ainsi  d’amour consommation/possession

Tant de choses, d’êtres  échappant  à nos passions.

.

Vaut-il mieux continuer à bruler qu’être consumé,

À chacun de décider s’il préfère envier  ou  goûter,

Chose, représentée, plus attractive   que sa réalité,

Et comment se satisfaire  d’un tel bonheur frustré.

.

Tel est bien le paradoxe  de l’amour  des humains

Relatif  mais à condition de ne jamais  le toucher,

Hier plus qu’aujourd’hui bien moins que demain,

Certain mais à condition de ne jamais le coucher.

.

.

Extensions

 .

Son bonheur : on ne le saurait qu’après

Qu’il soit passé comme un mot laissé

Par le facteur en la boite aux lettres

Ou sur notre porte comme quoi

Un message nous attend au bureau

Avec prière d’aller le quérir au plus tôt !

.

Gens sont dits, se prétendent eux-mêmes

Inaptes au bonheur et ne le recherchent même

Plus comme s’il ne les intéressait plus, ne s’en

Jugeait plus digne ou en avait été victime !

.

Ceux qui ont perdu un enfant en bas âge,

Leur conjoint, leurs parents, tout ce qui

Touche à l’affectif, à l’intime, l’émotion,

Imprime marque indélébile au bonheur.

.

Savoir  qu’on a été,   qu’on est, que l’on va

Encore bientôt être heureux est ce qui forme

Le fondement de l’espoir, même s’il s’agit d’un

Bonheur trivial, familial qui nous guérit du mal.

.

La nostalgie du bonheur est une maladie qui nous ronge le cœur,

Un supplice de Tantale et qui vous dévore le foi et la foi en l’autre.

Laissez-lui, toujours, la porte ouverte,

Il s’immiscera en vous à tout moment,

Laissez-le partir pour mieux… revenir,

Il aura besoin de prendre l’air et le bon,

Pour ne pas se sentir prisonnier d’un bon nombre de vos illusions

Qui fait que recherche forcée ferait, de vous, être le plus abscons !

.

Mon bonheur n’est plus,

Mon bonheur n’est pas,

Il s’en est allé  là-bas :

Il ne reviendra plus.

.

Est-ce moi qui l’ai fait partir

Ou lui qui s’est lassé de moi,

Je n’aurais pas su  le retenir,

 Négligence l’a mis aux abois !

.

Je fais tout pour qu’il revienne

Je fais tout pour qu’il comprenne

Qu’il pourra rester tant qu’il voudra

Sans lui je ne suis que moitié de moi !

.

Mais de regretter le bonheur que l’on avait

À rien ne servirait, bonheur dont on se gavait,

Il n’y a rien d’autre à faire qu’attendre le suivant

Accueilli comme un cadeau du ciel : bien différent.

.

.

1016 – Calligramme

 

D’être     S  heureux

Et ne pas    O     le savoir,

Et enfin s’en     N       apercevoir,

Lors on ne l’est     *          plus du tout

Est le lot de nom      B         bre d’humains,

Croyant que le bon      O       heur est que divin

Alors qu’il peut être        N        des plus quotidiens

Qu’il peut être fait d’        H       un tout, ou d’un rien.

Aujourd’hui plus que         E    hier, moins que demain

Qu’en savons-nous si           U  demain, il se tire, et bien !

R

Bien étrange constat              *            bien mystérieux plat,

À consommer, qu’un             O           tel bonheur qui ne dit

De nom qu’après être            N            parti loin en catimini

Au point que certains            *            ne le connaissent pas,

N

Alors qu’il était sur le            E         pas de porte, fantasmé,

Voilà qu’une fois entré                 redevenu   pure   réalité,

Il perd toute substance         L        si ce n’est toute essence,

En se retournant, nous          E        claque la porte aux sens.

*

Le monde devient terne         S       après avoir été enflammé

De désirs que ne l’on ne         A     pouvait sursoir à son côté.

Il en est ainsi   d’amour          I     consommation/possession

Tant de choses, d’êtres           T      échappant à nos passions.

*

Vaut-il mieux continuer         Q       à bruler  qu’être consumé

À chacun de décider s’il          U        préfère envier  ou goûter,

Chose, représentée, plus           ‘          attractive  que sa réalité,

Et comment se satisfaire         A         d’un tel  bonheur frustré.

P

Tel est bien le paradoxe           R          de l’amour  des humains

Relatif  mais à condition          È          de ne jamais  le toucher.

Hier plus qu’aujourd’hui          S           bien moins que demain,

Certain mais à condition          !            de ne jamais le coucher.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

1016 4

.

Deux personnes très fusionnelles,

Pignon, cheminée, d’une maison,

Deux piles d’objets avec couvercle

Ou alors une porte avec arrondi.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le bonheur entre par une porte

et il sort, parfois, par une autre,

en ce cas, il la forme derrière lui,

la forme  se confond avec le fond.

.

Le bonheur est parfois évoqué comme

La  porte  qui se  fermerait  soudain

Et  lors, on le reconnaitra au bruit

Qu’il fait en la claquant très sec.

.

Symbolique 

 .

Les portes sont  un  symbole

D’ouverture  et de passage.

Elles permettent la bonne

Communication     entre

Nos espaces intérieurs.

Une porte qui s’ouvre

Vers l’extérieur  vous

Met en communication

Avec  le Monde,  la porte

Qui  s’ouvre  vers  l’intérieur

Est un accès à une compréhension

Plus grande de votre nature profonde.

Modifié, source : Catharsis.ch

.

.

Fond

.

Évocation

.

1016 6

.

Porte-bonheur ou porte chance

 Sous la forme d’un fer-à-cheval

Qu’on cloue sur porte d’entrée

Pour attirer bonnes grâces.

.

Symbolique 

                                                                                 Pour plusieurs personnes,

                                                                     Suspendre un fer à cheval

                                                         Au-dessus de la porte d’entrée

                                               De sa maison ou de sa grange

                                      Était  symbole  de  chance  et

                            Signifiait  bonne protection

                    Contre des mauvais esprits

                L’on peut  observer  encore

              Aujourd’hui un fer accroché

             En haut ou près d’une porte

                  D’entrée  nombre  bâtiments.

                     C’est chose certaine, même si

                             Aujourd’hui, il est plutôt rare

                                     De trouver le fer à cheval sur

                                          La route, bijoux  décorations

                                                Mettent tous objet en valeur

                                                          Et lui accordent une chance

                                                                    Comparable  au   trèfle   à

                                                                                 Quatre  feuilles  pareilles

                                                 L-express.ca/porte-bonheur-

                                             la-legende-du-fer-a-cheval

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le bonheur, à venir,

Bonheur  du  moment,

Celui qui vient de passer,

Ne  sont en rien, différents

Mais,  sa reconnaissance, si

Quand on l’a perdu, il manque

Drastiquement et cruellement !

 .

.

Je me souviens jours heureux 

.

Scénario 

.

Lors on est heureux, on ne se rend pas toujours compte en l’instant,

on le vit au présent comme temps presque normal, devenu évident,

après la rupture, on se souvient des jours heureux, sans discorde.

 .

Visuels et textuels  >>

1015 – T’es qui, toi, t’es quoi : fils de manant, roi !

Visuels et textuels  >> 

.

 

Il était une fois, comme dit la chanson

Parole de troubadour en goguette

Eh, là,  t’es qui, toi … tais-toi

Tu es un fils de manant,

Pas  un  fils  de roi.

Et cela  te rend

Triste… bois.

De la noble

Nais-sance,

N’exclut   pas

Pauvre existence

Et si l’on s’en fiche,

On est quitte de jouer

Apparences de potiches.

On est riche chez pauvres

Mais pauvre chez les riches

Tant cela est vraiment relatif

Eh, là, t’es  qui,  toi,  t’es quoi :

Un fils de manant,  ou fils de roi.

.

Tu es triste, lorsque  autour de toi

On s’amuse, on rit, fait la fête quoi.

Tu n’en as pas  le cœur à chaque fois,

Tu ne te sens  aimable : c’est ton droit,

Les autres n’auront pas à subir un choix

Et, le sourire, appelle le sourire,  je crois !

.

T’as peur que bonheur file entre tes doigts,

Comme vent, eau, sable, il ne se retient pas :

Tu sais qu’une fois passé, il ne reviendras pas,

Mais, il en est de nouveaux et qui pointent déjà.

Sûr qu’il y a bien plus heureux au monde que toi.

Encore faut-il s’assurer qu’ils sont vraiment en joie

T’es-tu posé la question : qui est malheureux en soi,

Celui qui n’a qu’espérance, que lendemain, pourvoit.

.

Tout est relatif on peut être un pauvre chez les riches

Et un riche  chez les pauvres, qui n’auront  pas miche,

Qui te feront la manche,  pour manger  leur sandwich,

Et, de penser  à eux, empêcherait  que tu pleurniches !

Mais non, rien n’y fait, car, tu te sens, bête, incompris,

Pour supporter les autres, tu aurais besoin de hachich,

D’anxiolytiques, de psychotropes,  avec qui, tu affiches,

Un air, venu d’ailleurs et qui te fait tourner… derviche.

.

De moi, personnellement, je  sens, que  tu  t’en  fiches !

Je voudrais  t’aider, mais, tu ne  bouges plus : potiche :

Alors que  tu pourrais,  gambader, avec moi : pouliche !

Tu n’y consens pas, alors que  moi, je te disais : chiche !

Je ne sais que te dire, ni te faire, tandis que je pastiche,

Sinon que te faire rire avec mes vilains vers acrostiches,

Pour toi, je voudrais cultiver  une terre, laissée en friche,

Qui produirait fleur authentique, parce qu’elle ne triche.

 .

.

Extensions

 

Je ne suis ni fils de manant, ni fils de roi :

Homme simplement, j’ai la vie devant moi,

Pour garantir, pour chérir  et pour réussir

La tienne, qui sera aussi la mienne, pour

Peu que tu y tiennes et pour peu qu’on

La construise, ensemble, et en dépit

D’évènements nous déconcertant,

Nous séparant pour un instant.

 .

Un fils de manant peut un jour devenir le roi de quelque chose.

Un destin ne sera pas rémanent, de père en fils, tout le temps,

Faut juste avoir du courage  et  de la ténacité  et  sans pause,

Faut saisir les bonnes opportunités, sentir le bon vent passer,

Sinon on risque de passer sa vie à nourrir, soigner les cochons

Ça n’empêche pas être heureux mais ça réduit toute possibilité

D’évoluer, de progresser, de faire autres expériences souhaitées.

Il n’y a pas qu’une différence d’égalités,

Entre riches et pauvres : de possibilités !

.

La possibilité de devenir tout autre chose,

Pour un riche, tient avant tout à son statut

Il a de l’argent, des relations et quand il ose,

Et ne réussit pas, il pourra revenir en arrière.

.

La possibilité pour un pauvre, est très limitée,

Aucune porte  ne lui sera ouverte, sans  appuis,

Il a peu d’argent, de relations  et quand il osera,

S’il se plante, il risquera de se retrouver à la rue.

.

Il a pour honneur que sa réussite tient avant tout

À lui, à son travail,  son efficience et son efficacité.

.

.

1015 – Calligramme

.

T’ES QUI, TOI :

Il était une fois, comme dit la chanson

Parole de troubadour en goguette

Eh, là,  t’es qui, toi … tais-toi

Tu es un fils de manant,

Pas  un  fils  de roi.

Et cela  te rend

Triste… bois.

De la noble

Nais-sance,

N’exclut   pas

Pauvre existence

Et si l’on s’en fiche,

On est quitte de jouer

Apparences de potiches.

On est riche chez pauvres

Mais pauvre chez les riches

Tant cela est vraiment relatif

Eh, là, t’es  qui,  toi,  t’es quoi :

Un fils de manant,  ou fils de roi

Tu es triste, lorsque  autour de toi

On s’amuse, on rit, fait la fête quoi.

Tu n’en as pas  le cœur à chaque fois,

Tu ne te sens  aimable : c’est ton droit,

Les autres n’auront pas à subir un choix

Et, le sourire, appelle le sourire,  je crois !

T’as peur que bonheur file entre tes doigts,

Comme vent, eau, sable, il ne se retient pas :

Tu sais qu’une fois passé, il ne reviendras pas,

Mais, il en est de nouveaux et qui pointent déjà.

Sûr qu’il y a bien plus heureux au monde que toi.

Encore faut-il s’assurer qu’ils sont vraiment en joie

T’es-tu posé la question : qui est malheureux en soi,

Celui qui n’a qu’espérance, que lendemain, pourvoit.

FILS  DE  MANANT 

Tout est relatif on peut être un pauvre chez les riches

Et un riche  chez les pauvres, qui n’auront  pas miche,

Qui te feront la manche,  pour manger  leur sandwich,

Et, de penser  à eux, empêcherait  que tu pleurniches !

Mais non, rien n’y fait, car, tu te sens, bête, incompris,

Pour supporter les autres, tu aurais besoin de hachich,

D’anxiolytiques, de psychotropes,  avec qui, tu affiches,

Un air, venu d’ailleurs et qui te fait tourner… derviche.

OU  FILS  DE  ROI ?  

De moi, personnellement, je  sens, que  tu  t’en  fiches !

Je voudrais  t’aider, mais, tu ne  bouges plus : potiche :

Alors que  tu pourrais,  gambader, avec moi : pouliche !

Tu n’y consens pas, alors que  moi, je te disais : chiche !

Je ne sais que te dire, ni te faire, tandis que je pastiche,

Sinon que te faire rire avec mes vilains vers acrostiches,

Pour toi, je voudrais cultiver  une terre, laissée en friche,

Qui produirait fleur authentique, parce qu’elle ne triche.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1015 4

.

Un verre à l’envers

Et avec un petit pied,

Une cravate très large

Totem pour information

 

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Verre de riche ou de pauvre,

Verre à l’endroit ou à l’envers

Allez savoir … en tous cas, fin

Ou gros, il est toujours fragile !

.

Symbolique

.

Le verre est un des premiers

Matériaux, créé par l’homme.

Il est le symbole de la fragilité,

La finesse et la transparence :

Par  exemple,  la pantoufle  de

Verre   de    Cendrillon   utilisé

Le conte de  Charles Perrault

Dessin  animé   Walt Disney.

Il est  parfois  considéré que

Dans  vrai   conte, original,

La pantoufle  était de vair,

Mais  Perrault  a  écrit  sa

Version de l’histoire  avec

Une pantoufle  de  verre

Dessin  animé reprend

Également cette idée.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

1015 6

.

Verre de riche ou de pauvre,

Verre à l’endroit ou à l’envers

Allez savoir … en tous cas, fin

Ou gros, il est toujours fragile !

.

Symbolique 

 .

Jean-Louis Chrétien écrit :

« Le  verre  forme  le symbole

Le plus courant et le plus banal

De la fragilité, étant cela qu’on

Peut aisément briser» mais  il  ne

Faudrait pas entendre par là, que

Le verre est comme un emblème de

Toutes les choses fragiles, mais  que

«Ce symbolisme  du verre ferait  de lui

Un miroir de notre propre fragilité ».

La description de la fragilité  physique

«Du verre et de l’argile à la bulle de savon»

Trouve son sens en l’évocation de la fragilité.

cairn.info/revue-rue-descartes-2018-2-page-45.htm

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Mon verre n’est pas grand

 Mais je bois dans mon verre,

Nous clame Alfred de Musset,

Mieux vaut être modeste, libre

 Que puissant  et  que dépendant

Ou  un petit,  chez soi,  est mieux

Qu’un plus grand chez les autres.

Ce n’est pas que problème de taille

Ou de quantité mais bien de qualité.

Notre  bonheur ne doit pas  dépendre

Que de bonne volonté, service d’autres.

 .

.

Fils de pauvre et de riche

.

Scénario

.

Un enfant ne tient pas compte du fait qu’il soit pauvre, riche,

il s’amuse de tout, de toutes façons, il a besoin  de  peu de choses,

ce qui n’est pas le cas étant adulte, sans espoir d’une réussite sociale !

 

 

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1014 – Le bonheur est dans l’instant d’être vivant

Visuels et textuels >>

.

Le bonheur se vit

Dans … l’instant,

Bonheur se veut

D’être … vivant,

.

Il faut  savoir le

Prendre, gouter

Quand  il  passe,

Tant, disparaitre,

Tant  il ne saurait,

Des fois …    tarder !

.

Petits, grands bonheurs

Ne durent que moment,

Mais un tel moment peut

Peut durer très longtemps.

.

Le bonheur est en l’instant d’être vivant,

Ne dure que le temps de le sentir passer

Un courant d’air frais en pleine chaleur,

Courant d’air chaud en pleine fraicheur.

.

Avant même de se lever … de bon matin,

L’on projette sa journée, en mal, en bien,

L’heure qu’il est, le temps qu’il fait … fera

Où chaque moment, pour nous comptera.

.

Le bonheur est dans notre passé, souvenir,

Qu’on se remémore, avec émotions, plaisirs,

Ce n’est pas tant qu’on le vit et le reconstruit,

Mais, plutôt, qu’au temps présent, on l’associe.

.

Le bonheur est dans l’espoir  d’un futur meilleur

Qui nous motive à persévérer … aller voir  ailleurs

Si les choses reviennent  comme elles ont déjà, été,

N’ont disparu à jamais par de nouvelles remplacées.

.

Quoiqu’il en soit, qu’ils viennent du passé, ou présent,

Les petits, grands bonheurs, ne durent qu’un moment,

Savoir les détecter, savoir en profiter est art consommé,

Quoi de plus beau et de bon, que de pouvoir les partager.

.

.

Extensions

 

Le bonheur est

Déjà en tout instant

D’être vivant, tant dans un

«Je  suis  heureux  d’être  en  vie»,

Il y a comme un élan vers la seule chose

Qui compte pour nous pour pouvoir encore

En profiter pleinement, en bonne santé, liberté.

Il est en l’instant d’être aiment car dans un

«Je  suis  heureux  d’être  à  tes  côtés»,

Il y a comme une réassurance que

L’autre compte autant sinon plus

Que nous, nous est indispensable

À un bonheur, quotidiennement.

Ce n’est, donc pas tant, le contenu

Du bonheur qui compte que l’impression,

L’émotion qu’il procure être encore en vie,

Être  à côté de, ne sont pas  des  contenus,

Des choses  mais des états  dont on prend

Conscience   qu’ils   peuvent  disparaitre.

Disparaitre,  réapparaitre,  comme cela,

Soudainement voire brutalement, sans

Raison, cause apparente simplement

Dans le flot de l’eau, le flux du vent,

Dans le feu, la terre ou néant !

.

L’instant, le vivant, le bonheur ;

Le bonheur, l’instant,  le vivant ;

Le vivant, le bonheur,  l’instant ;

Et ainsi de suite en les déclinant.

Juste l’instant de vous l’affirmer,

Il est déjà  presque parti, envolé,

L’instant suivant, à le rattraper,

Mais je l’ai senti tellement vivant

Que je n’aurai pas à le regretter !

.

De se sentir, pleinement, vivant,

Et de vouloir arrêter ces instants,

Sont des ingrédients du bonheur,

Faisant passer minute pour heure.

.

Heure pleine surement, non creuse

En  suppléments, éclats d’existence,

En élixir, nectar, de joies, généreuse,

Donnant à sa vie toute son appétence.

.

La fragilité d’un bonheur et sa fugacité,

Ne tient pas d’un mythe mais de réalité :

À vouloir le garder à tout prix, on le perd,

Vernis quelconque  ne saurait le protéger !

.

.

1014 – Calligramme

.

Le bonheur se vit

Dans … l’instant,

Bonheur se veut

D’être … vivant,

Il faut  savoir le

Prendre, gouter

Quand  il  passe,

Tant, disparaitre,

Tant  il ne saurait,

Des fois …     tarder !

Petits, grands bonheurs

Ne durent que moment,

Mais un tel moment peut

Peut durer très longtemps.

LE BONHEUR

Le bonheur est en l’instant d’être vivant,

Ne dure que le temps de le sentir passer

Un courant d’air frais en pleine chaleur,

Courant d’air chaud en pleine fraicheur.

.

Avant même de se lever … de bon matin,

L’on projette sa journée, en mal, en bien,

L’heure qu’il est, le temps qu’il fait … fera

Où chaque moment, pour nous comptera.

EST À L’INSTANT

Le bonheur est dans notre passé, souvenir,

Qu’on se remémore, avec émotions, plaisirs,

Ce n’est pas tant qu’on le vit et le reconstruit,

Mais, plutôt, qu’au temps présent, on l’associe.

.

Le bonheur est dans l’espoir  d’un futur meilleur

Qui nous motive à persévérer … aller voir  ailleurs

Si les choses reviennent  comme elles ont déjà, été,

N’ont disparu à jamais par de nouvelles remplacées.

D’ÊTRE VIVANT  

Quoiqu’il en soit, qu’ils viennent du passé, ou présent,

Les petits, grands bonheurs, ne durent qu’un moment,

Savoir les détecter, savoir en profiter est art consommé,

Quoi de plus beau et de bon, que de pouvoir les partager.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1014 4

.

Une balayette, une pelle

Aussi bien que flacon 

De vernis à ongle 

Pour se les parer.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

C’est une forme classique et répandue

de nombre flacons de vernis à ongles :

si le bonheur lui empreinte son clinquant

sa couleur, c’est qu’il l’évoque quelque peu.

.

Mot vernis, selon définition,

Manquerait   de  …   couleurs,

Or étant heureux, on déclare,

Souvent que l’on est vernis !

 .

Symbolique 

 .

Rapport au vernis

Et à la beauté évolue

Au  cours  des  siècles.

Signe de richesse pour certains

Et autres, simple produit esthétique,

Le vernis a eu différentes significations.

.

Les Chinois utilisaient une laque de couleur

Pour leurs ongles Les Égyptiens, quant à eux,

Teintaient leurs ongles d’une couleur brun-rouge

Obtenue avec du henné. Les couleurs utilisées

Avaient une symbolique très fortes et

Déterminaient le rang social,

Rouge et noir, la royauté.

meanail.com/blog/fr/manucure-

l-histoire-du-vernis-a-ongle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1014 6

.

Mot vernis, selon définition,

Manquerait   de  …   couleurs,

Or étant heureux, on déclare,

Souvent que l’on est vernis !

 .

Symbolique 

 .

Révéler sa personnalité

Par un vernis à ongles ?

Le choix de la couleur  en dira

Long sur nous, sur notre humeur !

.

Fourchette & Bikini vous dit tout sur

Ce que votre vernis raconte de vous.

On ne vous surprendra pas,

Rouge évoque glamour, féminité,

Amour et sensualité. Et le cramoisi,

Synonyme de passion et de sang chaud !

.

Lorsque le vernis à ongles tire vers l’orangé,

Il parle d’impulsivité, d’été, de bonne humeur.

Source : fourchette-et-bikini.fr/beaute/make-up/ongle

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Un vernis est une couche de surface protectrice

Et souvent embellisante qui s’effrite avec l’usage

Pour les ongles, il s’agit de  les mettre en valeur,

En même temps de suivre des modes éphémères

En ce sens il serait comme le bonheur : rutilant

Mais passager tout autant vivant mais fragile

À supposer qu’il ne dure que quelques instants

Faudrait-il  le souhaiter, l’oublier, le snober !

 .

.

Instant bonheur être vivant

.

Scénario

.

On a comme l’impression que cet enfant est heureux à tout instant.

Le fait d’être vivant  participe-t-il pour la recherche d’un bonheur ?

Les gourous vous diront : méditez pour  profiter  de  chaque instant. 

 .

Visuels et textuels >>

1013 – Le bonheur est comme l’œuf sur coquetier

Visuels et textuels >>

.

L’œuf frais,

L’œuf  mollet

Aurait le besoin

D’un bon support

Pour  être  dégusté !

Notre bon heur aussi

Mais ce support n’est

Ni d’or,  ni  d’argent,

Diamant  nullement

Du  regard  brillant

Et de l’être aimant,

Qui nous observe

Sans réserve.

.

Pour peu,

Je leur dirai merci

J’envie tous ceux

Qui ont peu d’esprit

Pauvres, bienheureux

Qui auront bien compris

Qu’il ne faut mettre     œufs

Même panier  même si vernis.

.

N’ayant ni œufs ni paniers pourris

Ils ne sont rien et  ne  sont  que gueux

Qui n’ont que leurs habits enfants chéris

Et, leurs lendemains  seront jours où peureux

Se demanderont si soir, ils seront, encore, en vie.

.

En vie, envie : envie de vivre, un jour de plus, heureux,

Ils trainent leur mort derrière eux, sans moindre préavis,

Quand ici on nourrirait cent, ailleurs on en  nourrit deux,

Pourtant les premiers, toujours à l’envi, à la vie, sourient.

Va comprendre pourquoi riche, argenté est malheureux

De ne pouvoir acheter éternité des pauvres, affranchis

D’accumulations, sans fin, de perpétuels  convoiteux

Qui pensent que, leur seul monde, serait  le paradis.

.

Œuf miroir, œufs sur le plat, ou alors, œuf baveux

Le pauvre avec le blanc, elle en serait bien vernie,

Lors riche, avec le jaune, elle en sera bien servie,

L’œuf dévoré, par quelqu’un de  nanti, ou pas,

Je vous souhaite bon appétit en un tel repas.

.

Le bonheur dans tout cela me direz-vous,

Il ne sera pas dans une coquille pleine

Mais vide de substance, dont tout

Ce qu’elle apporte est sereine.

Le bonheur est dans la tête

Nullement sous les dents,

Encore moins en argent,

Chaque jour est une fête

Le bonheur, faut être bête

Pour  le chercher … ailleurs

Que dans nos amours qui reflètent

Nos pulsions de vie qui ne sont leurres.

.


.

Extensions

 .

Le bonheur est comme

Un œuf sur coquetier :

Il ne tient pas  droit,

Il ne tient pas debout,

Il ne  tient  pas, du tout,

Alors qu’avec son support,

On le maintient ferme et droit.

En bref le bonheur serait toujours

En équilibre, et si on ne le soutient,

Ne  le retient pas, il tombe, il roule,

Il s’en va et puis il disparait au loin

Sans pouvoir le retrouver de sitôt.

Le  bonheur,  c’est  un œuf  qui

A besoin d’amour en support.

.

Trois formes originales de coquetier,

Et situations totalement différentes,

 Au milieu, il est seul avec lui-même,

En haut, il est avec un observateur,

Et en bas ils sont deux à se causer.

Qu’y aurait-il d’autre, à rajouter :

L’histoire de la poule et de l’œuf !

.

La relation entre le bonheur et l’œuf

N’est pas évidente au premier abord,

Tant l’œuf a l’air fermé sur lui-même.

.

L’œuf serait comme un  microcosme,

Avec tous les ingrédients du bonheur,

Son coquetier, c’est vous : réceptacle.

.

Il doit lui-même devenir, rester stable

Car au moindre mouvement d’humeur

Il dérapera et fera chuter son bonheur.

.

.

1013 – Calligramme

 .

BONHEUR

L’œuf frais,

L’œuf    B  mollet

Aurait le O   besoin

D’un bon  N  support

Pour être   H  dégusté !

Notre bon    E heur aussi

Mais ce sup  U    port n’est

Ni d’or,  ni     R    d’argent,

Diamant       *   nullement

Du regard  E      brillant

Et de l’être S    aimant,

Qui nous  T  observe

Sans réserve.

*********

*********

EST

COMME

.

Pour peu,

Je leur dirai merci

J‘envie  *        tous ceux

Qui ont    O   *    C   peu d’esprit

Pauvres,    E      *      O  bienheureux

Qui auront  U         *        Q  bien compris

Qu’il ne faut  F            *       U   mettre     œufs

Même panier  *            *         E   même si  vernis.

N‘ayant ni œufs  S           *       T  ni paniers pourris

Ils ne sont rien et  U         *      I    ne  sont  que gueux

Qui n’ont que leurs   R      *     E    habits enfants chéris

Et, leurs lendemains    *   *    R   seront jours où peureux

Ils se  demanderont  si, le  soir, ils  seront, encore, en vie.

En vie  et envie : envie de vivre, un jour de plus, heureux,

Ils trainent leur mort derrière eux, sans moindre préavis,

Quand ici on nourrirait cent, ailleurs on en  nourrit deux,

Pourtant les premiers, toujours à l’envi, à la vie, sourient.

Va comprendre pourquoi riche, argenté, est malheureux

De ne pouvoir acheter éternité des pauvres, affranchis

D’accumulations sans fin de perpétuels convoiteux

Qui pensent que leur seul monde est le paradis.

Œuf miroir ou œufs sur le plat, ou alors, œuf baveux

Le pauvre, avec le blanc, elle en serait bien vernie,

Lors riche, avec le jaune, elle en sera bien servie,

L’œuf dévoré, par quelqu’un de  nanti, ou pas,

Je vous souhaite bon appétit en un tel repas.

Le bonheur dans tout cela me direz-vous,

Il ne sera pas dans une coquille pleine

Mais vide de substance, dont tout

Ce qu’elle apporte est sereine.

Le bonheur est dans la tête

Nullement sous les dents,

Encore moins en argent,

Chaque jour est une fête

Le bonheur, faut être bête

Pour  le chercher … ailleurs

Que dans nos amours qui reflètent

Nos pulsions de vie qui ne sont leurres.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1013 4

.

Un œuf sur un coquetier,

Surmonté petite cuillère 

Pour mieux le manger

Avec pincée de sel !

.

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Que ce soit un grand ou petit bonheur

on peut toujours le poser sur un cocotier

on ne sait pas ce qu’il contient jusqu’à c

qu’on l’ait brisé et puis mangé, digéré.

.

Tant pour le manger, à la coque

Il faut coquetier, sinon instable 

Le bonheur serait comme un œuf

Qui ne tient pas debout tout seul.

 .

Symbolique 

 .

Amateurs  d’œufs  à  la coque,

Unissons-nous : mouillettes

Sont sacrées  et  méritent

Mieux qu’un coquetier

Tout fadasse, sans âme.

.

Grâce à cette sélection, plus

De risque de voir les fans d’œufs

Brouillés, ces fumistes, s’imposer

Dans tous les brunchs dominicaux.

topito.com/top-coquetiers-originaux

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1013 6

.

Tant pour le manger, à la coque

Il faut coquetier sinon instable !

Le bonheur sera comme un œuf

Qui ne tient pas debout tout seul,

.

Symbolique

 .

L’œuf est le premier stade de la vie.

Il symbolise: la fécondité, la vie,

La renaissance, la protection.

Représente renouvellement

De tout cycle de la nature.

Aussi, certaines traditions

Marquent ce symbolisme.

.

Le cas de l’œuf de Pâques,

Œufs colorés  qu’on trouve

Dans   de  nombreux  pays.

L’œuf et sa coquille évoquent

Le sein de la mère dans lequel

L’enfant se sent mieux protégé.

.

Mais le vivant aspirera à sortir

Le poussin à briser sa coquille

Sécurisante et confortable

Pour trouver la liberté.

1001symboles.net

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’œuf serait un tout monde en soi,

Se développant s’il a été fécondé

Et de manière quasi autonome

Pour  concevoir  un poussin,

Qui survivra bien que seul

Vrai miracle de la nature

Rapport à nous, humain.

Qui  avons encore  besoin  

De parents ou de tuteurs,

Durant de longues années

Et  pour se nourrir, certes,

Mais   aussi  trouver  le sens

De la vie, chemin du bonheur.

 .

.

Instant bonheur : œuf sort du lot

.

Scénario

.

Il faut dire que le bonheur peut surprendre sous une telle forme,

quoi de plus parfait, quoi de plus simple que la forme d’un œuf,

qu’on peut d’ailleurs maquiller, de même, pour son cocotier !

 .

Visuels et textuels >>

1012 – On se lasse de tout, dit un vieux proverbe !

Visuels et textuels  >>

.

Lassé de tout

Comment  cela

Est-il   possible !

.

Quand même d’avoir

Et, de quoi  voir  venir,

Réconfortera son moral.

.

Quand  même  les paysages

Qui sont  si beaux, si plaisant

Réjouissent passage sur Terre.

.

Quand même la famille, enfants

Sans compter les amis et fidèles,

Délassent de  tous  embêtements.

.

Quand même toujours apprendre

Toujours découvrir du nouveau,

Empêche d’éprouver lassitude.

.

On se lasse de tout,

Dit un vieux proverbe

Même actions et verbes

Si  l’on n’en vient  à bout.

.

Que reste-t-il si on oblitère

L’avoir qu’offre notre Terre,

Le savoir offert par humains,

Que reste-t-il pour notre bien.

.

Demeurent, paysages naturels,

Inépuisable source atemporelle,

Par dizaines, centaines, milliers,

Personne  ne se dit las d’admirer.

.

Demeurent, la famille, et  les amis,

Formant notre cercle du sans souci,

Qu’ils soient dix, cent, mille,  réunis,

Seul qualité compte  donne garantie.

.

Demeurent métiers qui auront évolué

En autres savoirs, autres défis, de plus

Qui nous forgeront et forceront, en sus,

À faire de notre vie continuelle montée.

.

Montée vers qui, vers  quoi : vers l’amour

D’un jour, ou promesse de tous les jours,

Où s’enlacent mais jamais ne se lassent

Amants s’aimant lors passion passe.

.

.

Extensions

 .

Las, lassé, lassitude, on sent comme

Une fatigue du désir, et du plaisir :

Une passion s’émousse, disparait

Quand elle ne récompense plus,

Quand elle ne s’auto-stimule plus.

.

Il y a et  dieu merci des choses dont

On se lasserait moins vite que d’autres :

La nature, l’art, le sport, le savoir, l’amour,

Et le métier, la famille, la maison, le voyage.

.

Le zapping continuel, qu’impose, les médias

Ou nous privilégions pour avoir l’impression

De tout connaitre et puis de tout contrôler,

Aboutit à l’effet inverse : il y en a trop dont

On ne sait que faire ne sait où les classer :

Tout devient équivalent et on s’en lasse.

.

Matraquage publicitaire en est l’exemple :

Pourquoi acheter ce produit plutôt qu’autre :

Ils se valent, rien ne les distingue, les privilégie.

.

On se lasse de tout et parfois même de soi,

Que l’on soit valet ou bourgeois ou bien roi :

Quand  on s’ennuie, on s’encroute, rien ne va,

Y a plus qu’à  s’endormir  sur le premier sofa.

Si, malgré moi,  je vous ennuie avec tout cela

C’est que vous avez l’esprit, ailleurs, en deçà

Des mots, images qui vous feraient plaisir.

.

.

1012 – Calligramme

.

Lassé de tout

Comment  cela

Est-il   possible !

 .

Quand même d’avoir

Et, de quoi  voir  venir,

Réconfortera son moral.

 .

Quand  même  les paysages

Qui sont  si beaux, si plaisant

Réjouissent passage sur Terre.

 .

Quand même la famille, enfants

Sans compter les amis et fidèles,

Délassent de  tous  embêtements.

 .

Quand même toujours apprendre

Toujours découvrir du nouveau,

Empêche d’éprouver lassitude.

.

**********************

********************

.

On se lasse de tout,

Dit un vieux proverbe

Même actions et verbes

Si  l’on n’en vient  à bout.

Que reste-t-il  si on oblitère

L’avoir qu’offre  notre  Terre,

Savoir offert   *   par humains,

Que reste-t-il   O   pour notre bien

N …….

Demeurent,   *    paysages naturels,

Inépuisable    S    source atemporelle,

Par dizaines    E       centaines, milliers,

Personne ne      *       se dit las d’admirer.

Demeurent, la     L       famille, et les amis,

Formant notre       A    cercle du sans souci,

Qu’ils soient dix,      S      cent, mille,  réunis,

Seul qualité compte   S          donne garantie.

Demeurent métiers     E       qui auront évolué

En autres savoirs,         *    autres défis de plus

Qui nous forgeront       D  et forceront, en sus,

À faire de notre vie       E  continuelle montée.

    *

Montée vers qui,  vers   T   quoi : vers l’amour

D’un jour, ou promesse   O  de tous les jours,

Où s’enlacent mais jamais  U ne se lassent

Amants s’aimant lors passion  T  passe.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation 

1012 4

.

Deux vases superposés,

Ayant l’air se ressembler

Sur le  fond  et la forme,

Comme deux jumeaux.

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

Voilà un beau vase, bien fleuri,

D’une belle couleur émeraude,

Mais pourtant l’on s’en lasse,

De le voir et tous les jours, là.

.

Symbolique 

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir

Un trésor (Graal) ; briser un vase, c’est

Anéantir tous  trésor qu’il représente.

.

Le vase alchimique vase hermétique

Signifient toujours le lieu en lequel

Toutes merveilles s’opèrent.

C’est  le  sein  maternel,

L’utérus   dans   lequel

Une  nouvelle vie se forme.

D’où cette croyance que,  le vase

Contient le secret des métamorphoses.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1012 6

.

Un beau vase de forme flatteuse

Comme un couple qui s’étreint,

Et pourtant l’on s’en lassera,

Cela même s’il reste blanc pur.

.

Symbolique 

 .

Le blanc n’est pas toujours considéré

Comme couleur, or selon Michel Pastoureau,

« Le blanc est la couleur qui donne leur équilibre,

Leur valeur et leur beauté à toutes les autres ».

.

Dans la nature, le blanc «pur» est rare.

En effet, dès l’instant où le blanc intègre

Des pigments même en très légère quantité,

Blanc cassé, blanc bleuté, coquille d’œuf, écru…

.

Si dans le monde occidental le blanc est assimilé

À la pureté, à la paix et qu’il est le symbole de la sagesse,

L’innocence, la pureté et le Divin, en Asie, il est la couleur du deuil.

marieclaire.fr/maison/le-blanc-sa-symbolique-ses-harmonies

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

 .

.

Lassitude: Isidre Nonell

.

Scénario

.

Je n’en ai plus rien à faire

et moi, encore … bien plus

et moi, alors, totalement !

 .

Visuels et textuels  >>

1011 – Une maison et un jardin afin de s’occuper

Visuels et textuels  >>

.

Tout le monde se doute bien qu’une maison et un jardin,

Cela prend du temps  pour s’occuper : c’est une  banalité.

Ce qui l’est moins : l’ardeur avec  laquelle gens le font.

 .

Certains sont maison, homme ou femme, d’intérieur,

Lors d’autres : jardin tout à l’extérieur au grand air

Certains  font ménage, cuisine, courses, bricolages,

Mais pas le repassage ni  soins aux plantes vertes.

.

Certains feront les pelouses, haies, massifs, bois

Mais, pas les soins, aux légumes, ni aux fleurs.

.

J’en connais qui consacrent la majeure partie

De leur temps, entre le dedans   et  le  dehors,

Et  d’autres, seulement une  heure  par  jour.

 .

Estivants, possédant  maison de vacances

Y consacre, presque, semaine, dès arrivée

Tant il y aurait et réellement de quoi faire.

.

Cela peut être un vrai plaisir,  vraie  corvée

Monotone, ennuyeux sauf si l’on est deux,

À le faire tout en discutant, de tout, un peu.

.

Dans un appartement en ville et bien carré

Où tout est rangé à sa place il y a beaucoup

Moins à faire pour habiter pour entretenir.

 .

Car en campagne,  il y a toujours un grenier

Un garage quand  il n’y pas une cave et tout

Est bien vite encombré.

 .

Ranger, déranger, reranger : c’est travailler,

Et l’on ne compte pas le temps à rechercher

Où on a mis ceci ou cela.

 .

Si on reçoit des hôtes, c’est le grand ménage

Les lits à faire, changer et y consacre à deux

Une bonne demi-journée.

.

Un jardin serait écrin visible de sa maison,

Il est le mini cadre de verdure où il se niche

Parfois endroit  pour  parquer  sa voiture.

.

Il reste étonnant  de  voir  herbes  folles,

Envahir  les  bords ou centre du jardin

Pour l’éviter, il faut lutte permanente.

.

J’envie, presque, qui habite en ville,

Et qui a peu, pas,  de jardin à faire

Fort heureux de s’en satisfaire !

.

.

Extensions

.

Une maison et un jardin

Pour s’occuper et le corps et l’esprit :

Maison petite, grande, voire ombragée

Ou lumineuse, bien décorée, meublée

Avec du style et de la personnalité,

Avec un poêle, feu de cheminée ;

Jardin naturel, jardin culturel,

Jardin discret,  jardin secret,

Bien arboré et fleuri, potager,

Avec ou sans pelouse, terrasse,

Avec puits, tonnelle, et, massifs,

On s’y attache  dès lors qu’ils ont,

Maison et jardin, besoin de soins.

On s’en détachera  dès lors qu’ils

Nous prendrons  trop de temps,

À en être prisonnier, journée !

.

Si je ne suis pas occupé en ma maison :

C’est que je suis au fond  de mon jardin

Ma maison est grande et le jardin aussi

J’écris le matin, je bricole l’après-midi

C’est  la vie de retraité  que j’ai choisi !

Une maison, ça vit, puis, ça se répare,

Il y a toujours des choses  à modifier,

Quant au jardin, mis à part en hiver,

Tondre  la pelouse, planter, récolter.

.

J’ai un ami résident, pas bricoleur

Et qui, en outre, n’aime pas jardiner,

Prétextant avoir deux mains gauches

Et même pas une de ses mains, verte !

.

Il a acheté un appartement… tout neuf,

En se disant tranquille durant vingt ans.

Ce n’est pas mon cas,  j’ai acheté maison

Traditionnelle bretonne pierres/ardoise.

.

Lors depuis quarante ans,  je l’améliore,

L’agrandit et parfois même, la restaure.

Le jardin aura vu de nouvelles plantes,

Sans compter fleurs, arbres fruitiers.

.

.

1011 – Calligramme

.

U

Tout le monde se doute bien     N      qu’une maison et un jardin,

Cela prend du temps  pour s’   E    occuper : c’est une  banalité.

Ce qui l’est moins : l’ardeur    *       avec  laquelle gens le font.

M

Certains sont maison, hom   A    me ou femme, d’intérieur,

Lors d’autres : jardin tout    I     à l’extérieur au grand air

Certains  font ménage, cui  S    sine, courses, bricolages,

Mais pas le repassage ni    O    soins aux plantes vertes.

Certains feront les pelou   N    ses, haies, massifs, bois

Mais, pas les soins, aux    *     légumes, ni aux fleurs.

J’en connais qui consac  U    rent la majeure partie

De leur temps, entre le   N   dedans   et  le  dehors,

Et  d’autres, seulement   *     une  heure  par  jour.

J

Estivants possédant      A      maison de vacances

Y consacre presque       R      semaine dès arrivée

Tant il y aurait et réel   D    lement de quoi faire.

Cela peut être un vrai    I     plaisir,  vraie  corvée

Monotone, ennuyeux    N    sauf si l’on est deux,

À le faire tout en discu  *   tant, de tout, un peu.

Dans un appartement  P     en ville et bien carré

Où tout est rangé à sa  O   place il y a beaucoup

Moins à faire pour ha  U  biter pour entretenir.

R

Car, en campagne,   il y a   toujours un grenier

Un garage  quand  il n’y pas   une cave, le tout

Est bien vite encombré.

Ranger, déranger, reranger : c’est travailler,

Et l’on ne compte pas le temps à rechercher

Où on a mis ceci ou cela.

Si on reçoit des hôtes, c’est le grand ménage

Les lits à faire, changer et y consacre à deux

Une bonne demi-journée.

.

Un jardin serait écrin  S    visible de sa maison,

Il est le mini cadre de   ‘   verdure où il se niche

Parfois endroit pour   O     parquer sa voiture.

Il reste étonnant de    C       voir  herbes folles,

Envahir  les  bords     C    ou centre du jardin

Pour l’éviter, il faut   U    lutte permanente !

J’envierais presque   P    qui habite en ville,

Et qui a peu, pas      E       de jardin à faire

Fort heureux de      R        s’en satisfaire !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1011 4

.

Un vase,  un verre,

Un bocal voire un

Pluviomètre

 En un jardin

 .

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Pluviomètre dans un jardin,

pluviomètre pour un jardin :

rien de plus normal commun,

ainsi la forme évoque le fond !

.

Pluviomètre transparent installé

Quelque part  dans son   jardin :

Ce n’est pas lui qui fait la pluie,

 Beau temps, mais il témoigne.

Symbolique

Le pluviomètre est un instrument

Météorologique destiné à mesurer

Quantité de précipitations, pluies,

Tombée pendant un intervalle de

Temps donné et dans cet endroit.

.

Les relevés d’un seul pluviomètre

Ne sont donc pas caractéristiques

De la pluie qui tombe  en la  région.

.

Les  premières  mesures  des quantités

De pluie connues furent faites par les Grecs

Vers 500 av. JC. Cent ans  plus tard, en Inde,

La population  utilisait des bols, pour recueillir

L’eau de pluie et la mesurer et dans ces deux cas,

La mesure de pluie aidait à estimer le rendement

Futur des cultures.

Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1011 6

.

Pluviomètre transparent installé

Quelque part  dans son   jardin :

Ce n’est pas lui qui fait la pluie,

 Beau temps, mais il témoigne.

.

Symbolique 

 .

Le jardin est un symbole

Du Paradis terrestre, du Cosmos

Dont il est le centre, du Paradis céleste

Dont il est la figure et des états spirituels

Correspondant aux séjours paradisiaques.

.

Il apparaît dans les rêves comme l’expression

D’un désir pur de toute anxiété. Il est le lieu de

La croissance, de la culture des phénomènes

Vitaux et intérieurs et  le déroulement des

Saisons s’y accomplit, le mur maintient

Les  forces  internes  qui fleurissent.

On n’y pénètre par porte étroite.

On la trouve en faisant le tour.

 .

.

 Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Une maison et un jardin,

Une maison dans un jardin,

Un jardin devant ou derrière,

Un jardin intérieur de maison :

Tout cela est fait pour être habité

Et tout cela est fait pour s’occuper

Autant le corps, le cœur, l’esprit,

D’autant si on est propriétaire,

D’autant si on lui donne âme,

D’autant famille s’épanouit.

 .

.

Rêve du citadin en immeuble

.

Scénario

.

Une maison,

avec un jardin :

deux occupations !

 .

Visuels et textuels  >>

1010 – Est-ce une chance d’avoir un mari jaloux !

Visuels et textuels >>

.

La jalousie,  qu’est-ce que c’est :

Une vraie qualité, pour les uns,

Un vilain défaut selon autres.

.

Gage d’amour, possession ;

Au début… c’est plaisant ;

À la fin … c’est méchant,

À se faire  …   interdire,

Tout contact,  ou pire !

.

Se libérer, impossible

En tous cas … délicat

Divorce est faux pas,

Conjoint,  irascible !

.

Est-ce chance d’avoir un mari jaloux

Qui s’occupe de moi,

Qui s’occupe de tout :

Jamais, de lui, je ne viendrai  à bout.

.

Il veille  sur mon corps, cœur et âme,

Comme tendre époux,

Se met à mes genoux,

Lors désire ce que  lui doit  sa femme.

.

Mes paroles, et mes regards, censurés,

Me gênent, des fois,

Me révoltent parfois

Me mettent hors de moi de tant aimer.

.

Où se situent les limites de tout amour,

Entre une possession

Et franche libération,

Jaloux, un peu, mais pas trop, beaucoup.

.

Il voudrait  me garder pour lui, tout seul,

Comme un trésor,

Je ne suis pas d’or,

Et ne suis plus moi-même, qu’une moitié.

.

.

Extensions

 .

Un bonheur jaloux n’est pas un bonheur du tout :

Il repose sur soi-même, absorbe l’autre comme chou.

Dès lors, ce n’est pas une chance d’avoir un mari jaloux,

Au début cela peut ressembler à un doux paradis, mais,

Avec le temps, à la fin, cela devient un véritable enfer

Dont on ne peut en sortir : ce n’est pas tant que

L’on soit prisonnier dans une prison dorée,

C’est le manque de liberté qui vous pèse

À vous étouffer sous sa contrainte

Implacable allant jusqu’à tuer.

Il y a des épouses qui trouvent

Cela grandiose, voire merveilleux

Et d’autres, intolérable et inhumain ;

Et il vaut mieux le savoir avant qu’elles,

Ne leur donnent leur main : tout y passera,

Rien ne restera, sauf les regrets, remords,

Si ce n’est la mort sur un coup de sang,

Un coup du sort d’un mari, jaloux,

Vengeur  d’un honneur, bafoué,

Devenu son propre justicier.

.

La jalousie rend vert, le mari et, rouge, sa femme,

Tandis que le nouvel amant qui devient tout jaune,

D’avoir osé de faire en sorte que sa femme le trompe

En somme, le trio passerait  par toutes les couleurs !

Qui est coupable et qui ne l’est pas : à chacun de voir.

Il est arrivé que, sous  le coup de l’émotion, le surprise

Le mari tue la femme ou  l’amant en  crime passionnel,

Ce n’est pas  qu’il ne sera pas condamné  que pardonné,

Et au final, quelqu’un est bien mort pour faute… d’aimer.

.

La jalousie est un peu  comme le stress :

Un peu ne fera pas de mal  ni de dégâts ;

Trop mènera à homicide au premier cas,

À l’essoufflement, burn-out,  au second !

.

Lors ne pas être jaloux ne veux pas dire

Laisser tout faire,  voire être libertaire :

Simplement être tolérant  à une liberté,

Pour ne pas étouffer  fidélité  de couple.

.

Il n’y aura ni règle ni morale, ni justice,

Sauf à être sou l’emprise d’une religion,

C’est au couple de définir sa ligne rouge

Et de savoir à quoi s’attendre derrière !

.

.

Épilogue

.

Jaloux, moi : pas du tout,

C’est juste, je tiens

À ce que je possède, bien,

Reste, je m’en fous.

***

On dira que je surveille bien

Mon lait sur tous feux,

Je ne veux pas  qu’un voisin,

Y goute un tant soit peu.

***

C’est tout à mon honneur, non

Que d’être jaloux un peu

Et pas trop : ce serait  abscons,

Amour n’est pas que jeu.

***

Jaloux de quelqu’un, est courant

Et ce n’est pas méchant

Il a plus que moi, je veux être lui

Je vois qu’il a plus réussi

***

Mais de sa femme ou de son mari

C’est pas que question de lit

C’est avant tout une affaire de cœur

Aimer autre sera une horreur.

***

Qui n’est jaloux, de perdre, sera risquer

Et à jamais, sa seule bien aimée

Pensez-vous, si vous lui faites confiance

Elle n’aura pas besoin de surveillance.

***

D’ailleurs, où il ne se passera rien du tout,

Ce serait  juste  dans votre tête  à vous

Ou si elle fait un écart, accroc ou tentative,

Elle reviendra pour qu’elle … survive !

.

.

1010 – Calligramme

 .

LA CHANCE

La jalousie,  qu’est-ce que c’est :

Une vraie qualité, pour les uns,

Un vilain défaut selon autres.

Gage d’amour, possession ;

Au début… c’est plaisant ;

À la fin … c’est méchant,

À se faire  …   interdire,

Tout contact,  ou pire !

Se libérer, impossible

En tous cas … délicat

Divorce est faux pas,

Conjoint,  irascible !

D’AVOIR UN

Est-ce chance d’avoir un mari jaloux

Qui s’occupe de moi,

Qui s’occupe de tout :

Jamais, de lui, je ne viendrai  à bout.

Il veille  sur mon corps, cœur et âme,

Comme tendre époux,

Se met à mes genoux,

Lors désire ce que  lui doit  sa femme.

Mes paroles, et mes regards, censurés,

Me gênent, des fois,

Me révoltent parfois

Me mettent hors de moi de tant aimer.

Où se situent les limites de tout amour,

Entre une possession

Et franche libération,

Jaloux, un peu, mais pas trop, beaucoup.

Il voudrait  me garder pour lui, tout seul,

Comme un trésor,

Je ne suis pas d’or,

Et ne suis plus moi-même, qu’une moitié.

MARI JALOUX !  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1010 4

.

La jalousie semble être

Une  vis, qui vous pénètre,

Persistante dans votre tête

Et qui deviendrait  un vice.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Jalousie s’entendrait, parait-il

autant avec une vis qu’un vice,

au point de presque les marier

si fait que forme rejoint fond.

.

En jouant sur le mot, la forme,

L’on dirait qu’un mari jaloux,

Est à la fois «une vis sans fin»

Avec  « un vice … sans fin » !

 .

Symbolique 

 .

Le vice désigne

D’une manière générale

Et non morale ce qui est

Défectueux, le défaut.

.

En morale, c’est un penchant

Devenu habitude que la morale

Réprouve (en matière sexuelle

Mais pas seulement),

Ou un défaut excessif.

.

Parmi défauts   humains,

À savoir l’avarice, l’égoïsme,

L’hypocrisie, l’intempérance, la jalousie,

L’oisiveté, l’orgueil, lparesse, la vanité, etc.,

Qui  peuvent, plus ou moins, recouper  certains

Des sept péchés capitaux de la morale chrétienne

fr.wikipedia.org/wiki/Vice

.

.

Fond

Évocation 

.

1010 6

.

En jouant sur le mot, la forme,

L’on dirait qu’un mari jaloux,

Est à la fois «une vis sans fin»

Avec  « un vice … sans fin » !

 .

Symbolique 

 .

La jalousie est un mélange

D’émotions comme de la colère,

La tristesse, la frustration et dégoût,

Ne doit pas être confondue avec l’envie.

Nombreux proverbes évoquent la jalousie

Et ses conséquences  et à travers les âges.

.

Ainsi,  dans l’Afrique francophone, et plus

Particulièrement  dans  la   Côte  d’Ivoire,

L’expression   « Les jaloux vont maigrir »

Symbolise la force puissance de la jalousie,

Travaillant le jaloux jusque dans ses chairs.

Modifié, source : Wikipédia / jalousie

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 

La jalousie à a longtemps été prônée,

Comme preuve d’attachement, amour,

Jusqu’à ce que violence, meurtre, suicide

Ait été traduit en justice et largement puni

L’homicide sous le coup de colère de l’amant,

Voire d’épouse, des deux ne passe plus du tout.

.

Il faut demeurer, en tout, maitre de ses actes,

Et on ne peut se faire justice par soi-même,

Comme par le passé ou certaine religion

Qui tolère lapidation femme adultère.

 .

.

Jaloux conscient, inconscient ?

.

Scénario

.

Mari jaloux en deviendrait vert en flagrant délit, selon cet artiste.

Miroir à trois faces mais parfois aussi, vrai  miroir aux alouettes.

Ceux étant trop hors d’eux,  pratiqueraient vengeance criminelle.

 .

Visuels et textuels >>

1009 – Comment savoir si quelqu’un est heureux

Visuels et textuels  >>

.

Comment savoir si quelqu’un est heureux ou pas :

Cela doit se voir, s’inscrire en lui, quelque part,

Cela se doit même d’être un peu contagieux.

À quoi cela sert  d’être tout seul, heureux.

.

Y a l’expression, extérieure, d’un regard

Un peu détaché et celle plus intérieure

Du sourire, quelque peu mystérieux.

.

Le bonheur comme chacun le sait,

Est insoutenable à celui qui le vit

Et le partage : il n’est pas classé,

En les états fréquents, normaux,

Bien qu’il soit     des plus désirés !

.

Bonheur d’enfant n’est pas qu’avoir

Parents qu’ils l’aiment réciproquement.

Être heureux sans avoir vécu avec parents,

Pour certains enfants, oui, pour d’autres, non.

C’est l’injustice de ne pouvoir vivre  sans, ni avec.

.

Rebondir  est  ce que  le  bonheur  ferait  de mieux,

Tant il nous faut saisir la balle au premier  bond, non

Au dernier rebond, il sera trop tard pour profiter de son

Énergie devenue beaucoup trop faible, déjà bien atterrée.

.

Je ne sais pas, davantage, qu’un autre, ce qu’est le bonheur,

Je sais, simplement, le voir passer et lui dire : « bonjour, viens

M’habiter le temps que tu voudras … plaira, seconde éternité »

Oui mais voilà, il ne connaît pas le temps  ni l’espace,  n’est pas

Mouvement, il se fige en nous, plus rien et d’autre, n’existe que

L’instant présent qui nous réconforte des vicissitudes de la vie.

.

Le bonheur ne serait pas selon moi l’amour et l’amour comme

L’argent  ne rendrait, jamais, ou à lui tout seul, le bonheur.

Le bonheur parle à l’âme, plus  qu’au corps : il ne servira,

Que de traducteur des états intérieurs, insaisissables.

.

Il est intarissable, il ne l’est pas ou il se fait rare,

Se fait parfois hasard ou  arrive parfois tard

Pour qui qui durant sa vie, s’est déclaré

Inapte à le revoir voire  à le recevoir.

 .

Il fait fuir ceux qui en ont peur que ce soit

Le premier, et le dernier, à la fois, pour vivre

Le reste de leur vie dans un enfer insupportable,

Ils sont exclusifs, prétendent  n’aimer qu’une fois.

.

Faut-il les plaindre, les blâmer   ou les voir dépérir,

À chacun son bonheur, car, c’est   à lui de le forger.

Nul ne peut décider pour lui ce qu’  est le bonheur.

.

.

Extension

 .

Le bonheur a deux versants, comportements :

L’un, des plus extériorisés, voire exhibitionniste,

L’autre, des plus intériorisés, et voire…  intimiste !

C’est pourquoi,  certains  feront  éclater  leurs joies,

Quand d’autres  la tairont, pour mieux  la savourer.

Idée de  la communiquer, de  la partager, n’est pas

Universelle mais il y en a peu qui en sont rebelles

Qu’on le goûte tout seul, à deux ou à plusieurs,

Si l’on en profite sur le moment, il s’en ira.

.

Vivre, longtemps, un bonheur insoutenable,

Sera comme guérir d’une maladie incurable

Plupart du temps, il nous met en rémission

Trop de bonheur peut achever une passion !

.

Ne vous inquiétez pas, de cela, pour autant,

Il y a tant et tant de nos bonheurs différents

Que pour les explorer, vie n’est pas suffisant,

Reste que meilleur est celui des plus aimants.

.

.

1009 – Calligramme

.

Comment savoir si quelqu’un est heureux ou pas :

Cela doit se voir, s’inscrire en lui, quelque part,

Cela se doit même d’être un peu contagieux.

À quoi cela sert  d’être tout seul, heureux.

Y a l’expression, extérieure, d’un regard

Un peu détaché et celle plus intérieure

Du sourire, quelque peu mystérieux.

Le bonheur comme chacun le sait,

Est insoutenable à celui qui le vit

Et le partage : il n’est pas classé,

En les états fréquents, normaux,

Bien qu’il soit     des plus désirés !

Bonheur d’enfant     S  n’est pas qu’avoir

Parents qu’ils l’aiment   A  réciproquement.

Être heureux sans avoir vécu  V   avec parents ?

Pour certains enfants, oui, pour   O  d’autres, non.

C’est l’injustice de ne pouvoir vivre    I  sans, ni avec.

Rebondir est ce que le bonheur ferait      R     de mieux,

Tant il nous faut saisir la balle au premier    *   bond, non

Au dernier rebond : il sera trop tard pour pro  S  fiter de son

Énergie devenue beaucoup trop faible déjà bien  I       atterrée.

Je ne sais pas, davantage, qu’un autre, ce qu’est   *    le bonheur,

Je sais, simplement, le voir passer et lui dire : Q   « bonjour, viens

M’habiter le temps que tu voudras… plaira    U   seconde éternité »

Oui mais voilà, il ne connaît pas le temps   E    ni l’espace, n’est pas

Mouvement, il se fige en nous, plus rien   L      d’autre,  n’existe que

L’instant présent, qui nous réconforte  Q  des vicissitudes de la vie.

Le bonheur ne serait pas selon moi   U  l’amour et l’amour comme

L’argent ne rendrait, jamais, ou     ‘     à lui tout seul, le bonheur.

Le bonheur parle à l’âme, plus   U    qu’au corps : il ne servira,

Que de traducteur des états   N    intérieurs, insaisissables,

Il est intarissable, il ne       * l’est pas ou il se fait rare,

Se fait parfois hasard    E  ou  arrive parfois tard

Pour qui qui durant   S    sa vie, s’est déclaré

Inapte à le revoir         T    voire  à le recevoir.

    *

Il fait fuir ceux qui en    H   ont peur que ce soit

Le premier, et le dernier,  E     à la fois, pour vivre

Le reste de leur vie dans un U  enfer insupportable,

Ils sont exclusifs, prétendent   R  n’aimer qu’une fois.

Faut-il les plaindre, les blâmer   E   ou les voir dépérir,

À chacun son bonheur, car, c’est   U    à lui de le forger.

Nul ne peut décider pour lui ce qu’  X     est le bonheur.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Un vase ancien,

Probablement grec,

Sinon voire étrusque :

Imageant le bonheur ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme

.

Le bonheur n’a rien à voir avec vase

quel qu’il soit et quoiqu’il contienne :

à la limite peut être un porte-bonheur

par le sentiment qu’on lui associerait !

.

.

Forme

.

Évocation 

.

1009 4

.

À une époque le bonheur n’avait

Rien d’une  recherche  plus  égoïste :

Les gens, ou bien  appartenaient   à une

Communauté ou bien ils n’existaient pas.

 .

Symbolique 

 .

Il y a de nombreux

Signes   et   symboles

Venant du Monde entier

Qui  sont  considérés  comme

De véritables porte-bonheur.

.

Et d’autres sont censés apporter

Bonne fortune à qui les possèdent.

Certains croient que ces symboles

Peuvent exaucer certains vœux

Ou même guérir les malades.

.

Il y a de nombreux  symboles

Pour conjurer le mal et les sorts.

Les  points  de  vue  culturels  sur  la

Chance varient depuis fait de percevoir

La chance comme une question de hasard

Aléatoire jusqu’au fait d’attribuer à la chance

Des explications de la foi, ou, de la superstition !

Source : ancient-symbols.com/french/good_luck_symbols

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1009 6

.

À une époque le bonheur n’avait

Rien d’une  recherche  plus égoïste :

Les gens, ou bien  appartenaient   à une

Communauté ou bien ils n’existaient pas.

 .

Symbolique 

 .

La conception de l’homme

Comme un individu calculateur

Qui cherche en toutes circonstances

À « maximiser » la satisfaction

De ses intérêts ou à promouvoir

Ses préférences, constitue le

Paradigme dominant en  sciences

Humaines  dites   contemporaines,

Psychologie, sociologie, économie.

.

Nombre des théories  du lien social

N’admettent-elles  d’autre principe

Qu’affirmation qu’en fin de compte

C’est la satisfaction des intérêts

Égoïstes que nous visons.

Cairn.info/revue-du-mauss-2004-1

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Ce n’est pas un porte-bonheur

Qui nous dira si on est heureux

Ce n’est que gri-gri, objet fétiche

Qui augmenterait notre croyance,

Mais après tout, c’est coup de pouce,

Pour tenir le coup, pour espérer mieux

Pourquoi pas, tous les moyens sont bons

Et les objets, les rituels seront par millions

Le fait de porter des alliances est un symbole

Mais ne suffira pas à créer ni garder bonheur.

 .

.

Serais-je heureuse sans le savoir !

.

Scénario

.

Difficile de le savoir, s’il est seul : lui seul le sait et se le montre

mais déjà à deux, on le partage, on l’exprime, on le sait mieux

quant à plusieurs, en famille comme ici ou entre amis, ravis.

 .

Visuels et textuels  >>

1007 – Météo, qu’il pleuve, qu’il vente ou brille

Visuels t textuels  >>

.

La météo … à l’extérieur,

Influe sur celle, intérieure,

Sauf quand  on  s’en moque

Parce  qu’elle  ne   provoque

Bonne,  mauvaise,  humeur.

Car la météo  des  émotions

Lors  elle est  au  beau fixe,

En aimant,   avec passion,

En joies, se rend prolixe.

 De jour comme de nuit

Un rayon de joie luit

En moi  en Éclats

D’existences,

J’en suis

Ravi

V

.

Et dès lors

Qu’il pleuve, vente, brille

Le cœur en fête, tête  scintille,

De mille éclats de joies, de désirs.

 .

Il  n’a  prise,  sur moi,  lors  respire

Luxe,   calme,  volupté,   intérieures,

Que la vie m’a donné comme cadeau,

Ce n’est pas ciel  mais grand bonheur

Qu’aimer quelqu’un et   au plus haut.

.

Qu’il fasse, jour, obscur   voire, nuit,

Un soleil, en moi,  toujours    reluit,

Éclaire  mon passé, présent  avenir,

Nul  ne saurait me le faire  partir !

.

Cet état de grâce, si ce n’est magie,

Souvent, sur mon humeur, rejaillit

Je ne vis pas  sur  un  petit nuage :

C’est juste  amour, vie, en partage.

.

Que ma vie  soit  rose  ou  morose,

Ma manière de la considérer, pose

Un  regard,  sur  elle,  bienveillant,

Qui me rend,  toujours,   plaisant.

.

.

Extensions

 .

La pluie, le vent, le soleil m’importent peu

Si à l’intérieur de moi-même, je suis et reste heureux.

Combien de gens se disent chagrinés par un mauvais temps

«Encore une journée de foutue, ce n’est que la énième à suivre ».

Ils souhaitent la pluie pour la nature, végétation, fraicheur,

Mais pas pour eux, en tous cas, pas dans la journée

Quand ils ont besoin de s’activer à l’extérieur.

L’amour de la vie et la vie de l’amour

Se rejoignent, plutôt bien, en météo

De nos sentiments et nos humeurs.

Il n’est pas faux qu’un grand soleil

Qui dure plusieurs jours  d’affilée,

Rendrait  les gens  plus détendus,

Moins renfermés  sur eux-mêmes,

Plus disponibles aux autres que pluie

Qui n’en finit pas à rester calfeutrer chez soi

Ou dans son bureau pour ne plus communiquer

Que par téléphone ou messagerie, et voire courrier.

Mais, s’il suffisait de vivre, sous un soleil, permanent,

Pour être heureux, Afrique est continent le plus joyeux

Or il n’en est rien, du moins, à mes yeux  d’Européen.

Météo extérieure, intérieure se renforcent, nuisent.

.

Qu’il  pleuve,  qu’il  vente, ou  qu’il  brille :

Mon cœur, en fête, ma  tête  scintille,

De mille  « éclats d’existences »

Qui me mettent en transe,

Me rendent… joyeux.

Sous …parapluie,

Sous  parasol,

En terrasse

Ou plage.

.

Météo extérieure influencerait, de plus en plus,

Météo propre humeurs dans notre for intérieur :

Le soleil est le bienvenu, la pluie plutôt malvenue,

Sauf pour gens heureux où le soleil est en le cœur.

.

Le mauvais temps conditionne le temps qui passe :

Il n’a ni la même valeur, intensité que beau temps !

Est-ce pour autant qu’en les pays  où il ne pleut pas,

Gens sont, depuis leur naissance, toujours contents :

.

Apparemment non, surtout s’ils sont affamés, pauvres,

Il faut croire que la météo est un facteur parmi d’autre.

Sans doute qu’il est nécessaire mais loin d’être suffisant,

Et il ne peut être compensé par sa créativité tout autant.

.

.

Épilogue

 .

Vent, pluie … soleil,

Un trio de la météo,

Temps est merveille,

Mauvais, vers beau !

*****

Il est un souci majeur

Avec une climatologie

Propre  à  un malheur,

Bien  plus  aujourd’hui

*****

Il influencera l’humeur

Et nos activités, dehors,

On le consulte à l’heure,

Pour connaitre  le sort !

****

La météo de mon cœur,

N’est pas soumise à lui,

Il échappe à mélancolie

Du temps qui fait peur.

****

Pluie, soleil, voire vent,

M’importe peu dès lors

Que je serai ton amant,

Et nos corps, plus forts.

****

Pas le même sur planète

Pays où il vente souvent,

Où il pleut tout le temps,

Où le soleil  reste en fête.

****

J’aime bien changement,

Pas monotonie du temps,

En  Bretagne,  il fait beau,

Plusieurs fois …  par jour !

****

Un vent léger vous caresse

Pluie fine … vous vaporise,

Rayon soleil  est tendresse

Et ensemble,  vous irisent !

****

S’il pleuvra trop longtemps,

S’il ventera … tout le temps,

S’il fera soleil  trop de jours,

C’est pas bon pour l’amour !

.

.

1007 – Calligramme

.

La météo … à l’extérieur,

Influe sur celle, intérieure,

Sauf quand  on  s’en moque

Parce  qu’elle  ne   provoque

Bonne,  mauvaise,  humeur.

Car la météo  des  émotions

Lors  elle est  au  beau fixe,

En aimant,   avec passion,

En joies, se rend prolixe.

 De jour comme de nuit

Un rayon de joie luit

En moi  en Éclats

D’existences,

J’en suis

Ravi

V

***

***

***

Et dès lors

Qu’il pleuve, vente, brille

Le cœur en fête, tête   P  scintille,

De mille éclats de joies,  L    de désirs.

                     U

Il  n’a prise sur moi           I    lors respire

Luxe, calme, volupté        E   intérieures,

Que la vie m’a donné  V    comme cadeau

Ce n’est pas ciel mais   E   grand bonheur

Qu’aimer quelqu’un et   N    au plus haut.

Qu’il fasse, jour, obscur    T    voire, nuit,

Un soleil, en moi, toujours        S   reluit,

Éclaire mon passé, présent      O   avenir,

Nul ne saurait me le faire       L    partir !

Cet état de grâce, si ce n’est  E      magie,

Souvent, sur mon humeur,  I       rejaillit

Je ne vis pas  sur un petit  L          nuage :

C’est juste d’amour, vie   =      en partage.

Que ma vie soit rose     M        ou  morose,

Ma manière de la      É    considérer, pose

Un  regard,  sur      T     elle,  bienveillant,

Qui me rend,       É     toujours,   plaisant.

O ………….

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

1007 4.

Un trophée sportif

Placé sur un piédestal,

Et plutôt du genre massif,

Bien plus qu’un pluviomètre.

 .

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

 .

La météo n’aura rien à voir ni faire avec trophée

même si un pluviomètre en peut prendre la forme,

d’un coté c’est de la sueur et de l’autre que de l’eau

tant et si bien que la forme se distingue du fond.

.

Il est vrai que ce trophée ne craint

Ni le vent ni la pluie ni le soleil.

Et rien à voir avec la météo à moins

Que ce ne soit pluviomètre.

.

Symbolique 

 .

Le trophée est remis au vainqueur

Et des titres symboliques à ses seconds

Lors d’une cérémonie officielle par un membre

Éminent de la discipline ou  instance fédérale.

.

L’objet du trophée pourra être symbolique

Ça peut être une coupe ou une médaille,

Financier (un bon d’achat, un chèque,

Ou un contrat : un contrat d’édition.

.

La cérémonie sera souvent enjolivée

D’un discours, et remise de bouquet

Ou  d’une  couronne,  d’une  montée

Des couleurs drapeau, de l’exécution

D’un  hymne spécifique, voire national.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1007 6

.

Il est vrai que ce trophée ne craint

Ni le vent ni la pluie ni le soleil.

Et rien à voir avec la météo à moins

Que ce ne soit pluviomètre.

.

Symbolique 

 .

Le pluviomètre est

Un instrument météorologique destiné

À mesurer la quantité de précipitations (pluie)

Tombée pendant un intervalle de temps en un endroit.

Les relevés d’un seul pluviomètre ne seront donc pas

Caractéristiques de la pluie qui tombe en région.

.

Les premières mesures des quantités de pluie

Connues furent faites par les Grecs  500 av. JC.

Cent ans plus tard, en Inde, la population utilisait

Des bols pour recueillir l’eau de pluie et la mesurer.

Dans les deux cas, la mesure de pluie aidait

À estimer le rendement futur des cultures.

Wikipédia : pluviomètre

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Un trophée donne grande valeur à son effort consenti

Non pas en soi, mais par rapport autres compétiteurs.

La météo pourra l’augmenter s’il se passe en extérieur

Rarement l’empêcher sauf en cas d’orage ou  tempête.

.

Le pluviomètre n’est autre qu’un réservoir indicateur

D’une quantité de pluie, tombée, en un temps donné

Il objectivera le sentiment  d’un certain inconfort,

Alors qu’il peut être salvateur pour agriculture.

.

.

Qu’il pleuve, vente, brille !

.

Scénario

.

Qu’il pleuve et je sors dehors sous mon grand parapluie bonheur.

Qu’il vente et je prends mon apéritif sur ma terrasse, bien abritée.

Qu’il brille et je vais à ma plage, pour bronzer, papoter et nager !

.

Visuels t textuels  >>

1006 – Ne cherchez pas le bonheur en vous, sûr !

Visuels et textuels  >>

.

Le bonheur,

C’est parfois

C’est  souvent

Quand on rend

L’autre heureux.

C’est aussi … simple

Que cela et pour autant,

Ne vous en contentez-pas,

Pensez au vôtre, également !

.

Ne cherchez pas …. le bonheur

En vous, pour sûr, il n’y est pas,

Il ne sera qu’entre vous et milieu,

Est-ce dire que, pour être heureux,

Qu’il faudrait  toujours être … deux,

Même y compris  à l’intérieur de soi,

Et sans, pour  autant, que l’on en soit

Bien  certain, lorsqu’il est  très fébrile,

De son occiput et jusqu’à son nombril.

.

Ne cherchez pas le bonheur, en l’autre,

Il n’y sera pas,

Ce serait un bonheur de …  procuration,

Non de passion.

Il est  entre le plus, moins, des deux piles

Magnétiques.

Est-ce à dire, qu’aucun autre, sur la Terre,

Durant  sa vie,

Ne peut vous l’offrir, le rendre, l’apporter !

.

Non, que nenni,

Mais il vous faudra faire moitié de chemin,

Vous-même ver lui.

Ne cherchez pas le bonheur  dans la fusion,

Car  il n’y serait pas

Ce serait un bonheur, de très  courte durée,

Trop  interpénétré 

Car, votre, vous ne pourriez pas le détacher,

Sans risque tomber.

.

Est-ce à dire, qu’on ne doit pas consommer

Notre parfait amour

Nous garder des rapprochements de corps

Et bien trop forts !

Point, mais, ne pas prendre  l’acte  sexuel

Pour  consensuel.

.

Le bonheur se vit et surtout se partage

Avec d’autres,

On ne peut rester seul sur son nuage,

Pour qu’il s’engage,

Il faut être à deux sous parapluie

Où aucune pluie ne lui nuit !

.

.

Extensions

 .

Ne cherchez pas le bonheur

Car c’est lui qui vous trouvera.

Et, de l’état d’humeur, où vous êtes,

Il s’en accommoder et il le transformera

En état de grâce ou tout est beau, bon, bien.

.

L’expression même du bonheur par procuration.

Tout en imaginant que l’autre finira être heureux,

On l’est un peu, beaucoup, passionnément, pour lui.

.

Bonheur collectif ne tiendrait-il pas d’une euphorie

Qui, par contagion, gagne même le plus triste,

Mélancolique, retombe quand les autres

Ont disparu, comme après un beau concert !

Comment saurais-je je suis rempli de bonheur !

.

C’est simple, vous vous en souviendrez lors il sera évanoui

Sans savoir  d’où il vient, où il va, qu’il est passé chez vous.

Bonheur, finalement ne se cherche ni ne se trouve, il se vit.

.

Le bonheur, on ne sait pas où, on ne sait pas quand,

Tant, quand on l’espère, on l’anticipe, on l’attend

Il n’est pas au rendez-vous ou il est déjà parti

Sans se faire, pour vous, le moindre souci.

Comme l’amour, un enfant de bohème

Il est là où  on  ne le cherche plus,

Et même, en des cas extrêmes,

Un peu comme en surplus.

.

Le bonheur n’est pas qu’un état intérieur

Que l’on produirait soi-même et à volonté,

N’est pas plus conditionné  par l’extérieur,

Soit par influence d‘autrui,  soit par pilule.

.

Je suis heureux pour vous en est expression

Parfois c’est bien réel mais par procuration

Ce  sera plutôt du domaine de sa projection

Comme une envie jalousie, par procuration.

.

Le bonheur restera quelque chose entre vous,

Comme l’amour n’est ni autonome, personnel.

.

.

1006 – Calligramme

 .

NE

Le bonheur,

C’est parfois

C’est  souvent

Quand on rend

L’autre heureux.

C’est aussi … simple

Que cela et pour autant,

Ne vous en contentez-pas,

Pensez au vôtre, également !

Ne cherchez pas …. le bonheur

En vous, pour sûr, il n’y est pas,

Il ne sera qu’entre vous et milieu,

Est-ce dire que, pour être heureux,

Qu’il faudrait  toujours être … deux,

Même y compris  à l’intérieur de soi,

Et sans, pour  autant, que l’on en soit

Bien  certain, lorsqu’il est  très fébrile,

De son occiput et jusqu’à son nombril.

CHERCHEZ PAS

Ne cherchez pas le bonheur, en l’autre,

Il n’y sera pas,

Ce serait un bonheur de …  procuration,

Non de passion.

Il est  entre le plus, moins, des deux piles

Magnétiques.

Est-ce à dire, qu’aucun autre, sur la Terre,

Durant  sa vie,

Ne peut vous l’offrir, le rendre, l’apporter !

Non, que nenni,

Mais il vous faudra faire moitié de chemin,

Vous-même ver lui.

Ne cherchez pas le bonheur  dans la fusion,

Car  il n’y serait pas

Ce serait un bonheur, de très  courte durée,

Trop  interpénétré 

Car, votre, vous ne pourriez pas le détacher,

Sans risque tomber.

LE BONHEUR

Est-ce à dire, qu’on ne doit pas consommer

Notre parfait amour

Nous garder des rapprochements de corps

Et bien trop forts !

Point, mais, ne pas prendre  l’acte  sexuel

Pour  consensuel.

Le bonheur se vit et surtout se partage

Avec d’autres,

On ne peut rester seul sur son nuage,

Pour qu’il s’engage,

Il faut être à deux sous parapluie

Où aucune pluie ne lui nuit !

EN VOUS !  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1006 4

.

Un vase très fin et long

Un peigne ou  écouvillon,

Ou un flacon  mais  décoré

D’un motif illustrant cheval.

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Le bonheur serait-il comme un cheval

Au galop  sur un flacon,

Pour son seul plaisir, et sans se soucier

Nullement de son entourage.

.

Symbolique 

 .

Méditez sur votre animal totem,

Voir un cheval courir, librement,

Est bien le signe que  votre volonté

Est libre, liberté d’expression, forte.

.

Un cheval sauvage au galop pourrait

Également,  symboliser tout, ou partie,

De votre  personnalité  ou  des  émotions

Qui sont difficiles à gérer  et qui dominent

Vie au lieu que ce soit vous qui les dominez.

.

Comme un animal totem,

Se rapporte à la capacité

De  s’exprimer, librement,

Et   avec   assurance  dans

D’environnements sociaux

Tels que le travail, l’école ou

Les cercles de la famille, amis.

animal-totem.fr/animal-totem-cheval

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1006 6

.

Le bonheur serait-il comme un cheval

Au galop  sur un flacon,

Pour son seul plaisir, sans se soucier

Nullement de son entourage.

.

Symbolique

 .

L’insouciance est

Une forme de plénitude

De sensations et pensées positives

Par  rapport  à  certaines  choses.

Quelqu’un ayant de l’insouciance,

C’est quelqu’un qui ne se prend

Pas la tête avec les problèmes

Et qui pense que tout

Va pour le mieux.

C’est une sorte

D’optimisme.

On dit qu’enfants 

Resteraient insouciants

Car comme ils sont jeunes,

Ils ne seront que peu préoccupés

Par les problèmes de la vie courante.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Dire que le cheval est insouciant de son utilisation

Serait en partie faux : il n’est ni un esclave ni objet :

Il n’y a guère que les enfants, les fous et les vieillards

Qui le sont, chacun à son degré et chacun à sa façon.

.

Cela dit, adulte on peut la cultiver de temps à autre

En pratiquant ce qu’on appelle un « lâcher prise »

Qui nous met en un état de planer sur un nuage

Tout en en aidant les autres à faire de même

Tant sans les autres, le bonheur n’existe !

 .

.

Bonheur se satisfait d’un sourire

.

Scénario

.

On passe plus de temps à attendre le bonheur qu’à en profiter.

Message à l’intention de gens qui se disent inaptes au bonheur :

il est simple, il est fait de petites choses mais qui vont ensemble.

.

Visuels et textuels  >>

1005 – La joie de vivre existe : je l’ai expérimentée

Visuels et  textuels  >>

.

Joie de vivre, je l’ai  connue,

Lors étant enfant, je l’ai reconnu,

Lors adolescent et jusqu’à   présent.

.

La joie est gratuite  spontanée, fortuite,

En enfance elle est en plein mouvement

Intériorisée, lors l’inverse,  vieillissant.

.

Joie de vivre  reste une drogue  douce,

Qui à créer vous  pousse et ce jusqu’à

En devenir ivre  mais non ivre mort,

Ivre vivant, toujours renouvelée.

.

Joie de vivre existe,

Et même, en égoïste,

Maintes fois, désirée

Mais le plus souvent

Elle est contagieuse .

.

Joie sert de stimulant

En journée laborieuse

La joie produit en soi

Un parfum des émois

Qui modifie le temps

Absorbe mouvements.

.

Réenchantez le monde

Et le monde rechantera

En  humeurs  fécondes

Le temps qui  passera.

.

L’œuvre qui réalisera

Votre projet création,

Empreinte de  sa joie,

Fruit de votre passion.

.

Jours, tagués de croix

Inscrits traits   blancs,

Iront en augmentant

Sur l’agenda adéquat.

.

La joie de vivre excite,

La joie de vivre suscite

La joie de vivre profite,

Joie de vivre, se mérite.

.

Se mérite, et, comment,

En jouant,   simplement,

Pas se prendre au sérieux

Et toujours rester curieux.

.

Et  alors, tout irait mieux,

Fin  même   merveilleux :

Inaptes, aux joies, existe,

Si l’on vit en défaitiste.

.

.

Extensions

.

La  joie  de  vivre  existe,

Suffit la cultiver, comment :

Demeurant d’un tempérament

Optimiste  et caractère curieux.

Il y en a qui  ne  parviennent  pas

À gouter  les situations  où tous les

Gens qui les entourent  sont heureux.

Il suffit d’un rien,  un coucher de soleil,

D’un paysage montagneux, chant d’oiseau,

Du passage d’une biche, d’un vol de papillon

Ou de la pose d’une coccinelle sur sa peau.

La joie est l’antichambre du bonheur,

C’est elle qui ouvre la porte pour

Nous inviter à la rejoindre.

Quand la vie devient routinière,

Stressante, pénible, absurde, les souvenirs

Des moments joyeux et l’assurance qu’il y en aura

D’autres prochainement nous aidera à faire le lien,

À prendre le recul nécessaire pour ne pas sombrer

Dans la dépression, la mélancolie et à se réjouir

Par avance des nombreux moments de joie :

Une bonne bière à la terrasse d’un café

Avec des amis, une randonnée

Cadeau d’anniversaire

Est cadeau de vie.

.

Bonheur à la portée de tous,

Pour peu qu’on le veuille simple,

Fait  de  petites  choses, agréables,

Ou  de  sensations, indéfinissables,

Et  pas gourmandes, très humbles,

Mais qui nous rendent un peu fou

Tant en gestes qu’en mouvement

Etre heureux déjà, toute seule,

Etre heureux en compagnie

Etre heureux … à deux.

.

C’est le bonheur que ressent une personne à être en vie,

L’expression de sa confiance en soi, vitalité, optimisme :

Sa créativité et sa réflexion y contribuent… grandement.

.

Pour certains, il en faut beaucoup et pour d’autres, peu,

Or tout dépendra aussi de l’état où on se trouve, se plait

«Carpe diem» est sa devise et optimisme, son crédo !

.

Savoir saisir, pour soi-même ou pour autrui,

Ce qui survient  comme  par une chance,

Hasard heureux serait sa sérendipité !

Entre espérance, action, ouverture

D’esprit, une telle joie de vivre

S’apprend et s’entretient.

.

.

Épilogue

 .

Un bonheur, une joie de vivre, serait comme

L’élégance, faite de nombre détails en somme,

Mais  dont l’addition  ne suffirait, pour autant,

À dire, de quelqu’un, qu’il l’est ou pas, élégant !

 

***

 

Comme pour un texte philosophique ou profond

Il demandera, plus d’une forme d’interprétation :

L’élégance se lit sur les lignes, en plus entre elles !

 

***

Il ne suffit pas d’être beau,  il ne suffit d’être belle,

Faut-il, encore, le dégager, de soi et comme irréel.

 

***

Le bonheur est un parfum de joie qu’on diffusera.

 

***

Il est en soi, il est autour de soi,  il communique,

Et il vous rend, à la fois, élégant et sympathique.

 

***

Quel que soit sa coupe de cheveux, et vêtements,

Son sourire, flamme dans ses yeux les illuminent

Jusque dans ses gestes, grand bonheur  culmine.

 

***

Le bonheur, élégance, ne sont pas qu’apparences,

Tous deux proviennent de l’intérieur, conscience,

Changer de tenues ou se maquiller différemment,

N’étioleront pas lumière brillant en pur diamant.

.

.

1005 – Calligramme

.

Joie de vivre, je      l’ai  connue,

Lors étant enfant              je l’ai reconnu,

Lors adolescent et                      jusqu’à   présent.

La joie est gratuite                         spontanée, fortuite,

En enfance elle est                          en plein mouvement

Intériorisée, lors l’                        inverse,  vieillissant.

Joie de vivre reste                      une  drogue  douce,

Qui à créer vous                pousse et ce jusqu’à

En devenir ivre     mais non ivre mort,

Ivre vivant, toujours renouvelée.

*****************

*****************

¤¤¤ Joie de vivre        J                   existe, ¤¤¤

¤¤¤ Et même, en        O                 égoïste, ¤¤¤

¤¤¤  Maintes fois        I               désirée    ¤¤¤

¤¤¤ Mais le plus         E             souvent    ¤¤¤

¤¤¤ Elle est con         *           tagieuse    ¤¤¤

¤¤¤  Joie sert de       D      stimulant     ¤¤¤

¤¤¤  En journée       E     laborieuse    ¤¤¤

¤¤¤  La joie pro      *    duit en soi     ¤¤¤

¤¤¤  Un parfum      V     des émois    ¤¤¤

¤¤¤  Qui modifie     I      le temps     ¤¤¤

¤¤¤  Absorbe mou  V     vements.    ¤¤¤

¤¤¤  Réenchantez    R   le monde     ¤¤¤

¤¤¤  Et le monde     E  chantera      ¤¤¤

¤¤¤  En humeurs     *    fécondes     ¤¤¤

¤¤¤   Le temps qui   E   passera.     ¤¤¤

¤¤¤   L’œuvre qui    X réalisera     ¤¤¤

¤¤¤   Votre projet    I  création,    ¤¤¤

¤¤¤    Empreinte     S    de joie,   ¤¤¤

¤¤¤   Fruit de votre T   passion   ¤¤¤

¤¤    Jours, tagués  E  de croix    ¤¤

 ¤¤    Inscrits traits  *       blancs,   ¤¤

 ¤¤¤  Iront en aug    J    mentant ¤¤¤

¤¤¤  Sur l’agenda     E    adéquat. ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre  *       excite,  ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre   L       suscite  ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre     ‘        profite,  ¤¤¤

 ¤¤¤  Joie de vivre, se    A         mérite.  ¤¤¤

¤¤¤   Se mérite, et,     I      comment,   ¤¤¤

¤¤¤   En jouant,        *     simplement,   ¤¤¤

¤¤¤   Pas se prendre   V     au sérieux   ¤¤¤

¤¤     Et toujours rester  É     curieux.      ¤¤

¤¤     Et alors, tout ira      C   mieux,       ¤¤

¤¤¤    Fin même merveil    U    leux.     ¤¤¤

¤¤¤   Inapte, aux joies,    E   existe,    ¤¤¤

Si l’on vit          *  défaitiste.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

L’élégance d’une belle femme

Avec belle coupe de cheveux 

Qui lui agrandit toute sa tête

Comme un champignon ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

La joie de vivre tient parfois à un détail

l’élégance due à une coupe de cheveux,

qui fait gonfler le cœur, remuer sangs

si fait que forme accroche sentiment.

.

On devine un vrai bonheur :

Celui de la jeunesse, de l’insouciance,

De la beauté et de l’élégance

Rien que par une coupe de cheveux.

 

Symbolique de forme

 

Dans la vie sociale, l’élégance est

La qualité de celle  qui présentera une

Certaine grâce harmonieuse caractérisée

Légèreté, aisance en forme et le mouvement.

Dans le domaine du vêtement, de la mode,

Elle est l’un des objectifs  des couturiers.

.

Ce n’est pas  une question de moyens :

Si une tenue vestimentaire indiquera

Un statut social et un état d’esprit.

Une femme, par ses assortiments

Par compléments ou  retouches,

Est indiscutablement élégante.

wikipedia.org/wiki/elegance

.

.

Fond

 

Évocation

.

1005 6

.

On devine un vrai bonheur :

Celui de la jeunesse, de l’insouciance,

De la beauté et de l’élégance

Rien que par une coupe de cheveux

 .

Symbolique 

 .

Le cheveu exprime une 

 Symbolique très  profonde.

Racine portant nos mémoires,

L’antenne  qui nous relie au ciel.

.

Il est  aussi le « fil de notre âme ».

Le  lavage  du  cheveu  purifie  l’âme

Coiffage la forme, la module, la canalise.

.

Coupe de cheveux, quant à elle, structure

L’âme, sa limite, elle représente la coupure

Des racines de l’être, de ses mémoires,

De ses habitudes, de ses croyances,

De ses idées ou de ses pensées,

La taille de sa personnalité.

annie-masfaraud.com

/symbolisme

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

L’élégance serait faite de choses et d’autres :

Habillement, coiffure, maquillage, chaussure

Tout autant que  port de tête, allure, marche,

Un assemblage, une parure allant au visage

Coupe de cheveux mettant le tout en valeur.

Comme la joie de vivre illumine l’ensemble

Et nous donne un air  qui nous ressemble.

 .

.

Le bonheur explose

.

Scénario

.

 C’est sauter en l’air, les bras grands ouverts et dès le soleil levant,

c’est courir dans la nature et traverser des champs d’herbes folles,

c’est savoir aimer dans tous les sens du terme et pouvoir partager.

 .

Visuels et  textuels  >>

1004 – Le bonheur est dans le pré, faut-il encore

Visuels et textuels  >>

.

Le bonheur est dans le pré :

Faudrait-il encore y aller

Si l’on y est pas déjà,

Vrai, il nous suffira

À compenser ennuis

Qui contrarient envies

Qui font le lot quotidien

D’une pauvre vie de chien.

Le bonheur est dans le pré,

Mais ce pré, il est loin,

Faut prendre le train,

Se prendre en main,

Un  peu se fatiguer,

Pour  bien  y arriver,

Avant qu’il s’échappe,

Et nous passe à la trappe.

.

Le bonheur est dans le pré,

Je le sais bien, j’en viens,

Mais je n’ai pu y rester,

Soucis  m’ont rattrapé,

M’ont happé tout entier,

N’ai pu remettre à demain

Tout ce que j’ai programmé,

Bonheur est de courte durée.

.

Le bonheur est dans le pré,

Essayez voir de l’attraper,

Il est comme un papillon

Et vole, autour de vous,

A vous en rendre … fou.

A deux … c’est plus aisé

En filet…pour le ramasser

En roulant sur le sol du pré.

.

Le bonheur est dans le pré,

Le pré quoi : le prélude,

A vos jeux,  innocents,

Vous  faisant  amants,

De la vie, de ses désirs

A deux et de reconquérir,

En l’herbe, votre plénitude :

Il ne vous reste qu’à gamberger.

.

Le bonheur est dans le pré,

Préparation de rencontre,

Préoccupation amour,

Prévision commune,

D’un avenir, radieux,

Vous menant aux cieux

Tout pour et tout… contre

Et ce jusqu’au dernier jour !

.

.

Extensions

.

Le bonheur est dans le pré :

C’est vrai et c’est faux :

Vrai pour les nouveaux amoureux,

Faux pour les vieux couples

Car c’est évident que ce n’est pas le pré

Qui fait le bonheur, un endroit

Comme un autre,  bucolique et romantique

Par essence, en tous cas bien plus

Que tout bouchon d’autoroute ou prison dorée.

Le pré, on n’y vit pas, on n’y reste pas,

C’est simplement un moment, disposition d’esprit

Et corps qui nous pousse naturellement

Vers le bonheur si petit et voire si éphémère soit-il.

Pré peut être remplacé en ville par le parc

Avec ses bancs publics mais aussi avec ses endroits

Plus discrets où amants s’aiment en secret.

En tous cas, il faut y aller, le préparer, le mériter :

Il ne vient pas à vous, par miracle,

Où que vous soyez, ni avec qui vous êtes.

L’enchantement n’en est que plus grand

Quand on a pris le temps de l’espérer.

.

Le bonheur est là où l’on est, y compris dans un pré

Tant il n’a aucun lieu à lui, et  n’en est pas à un près.

Il suffit des fois d’être en joie, lever les yeux aux cieux

Pour que ce petit miracle  se produise, d’être heureux,

De voir des fleurs, des papillons, un couple de chevaux,

De communier avec la nature, comme en faisant partie

En respirant  à  fond, son parfum de toutes les senteurs.

.

Le bonheur est ici, il est là, il est ailleurs

Des fois, bien que cherchant : nulle part.

.

Car le bonheur n’est ni en un lieu, temps

Il est juste en état intérieur, il est en soi.

.

Et puis le bonheur, c’est nous qui savons

S’il existe en nous, et non autres, société.

.

D’autant qu’il n’est pas relié qu’à l’amour,

Il est de toutes passions, de tous les jours.

.

Bonheur d’écrire  en est un, qui ne mange

Pas de pain, fait de nous, démon ou ange.

.

.

1004 – Calligramme

.

LE BONHEUR

Le bonheur est dans le pré :

Faudrait-il encore y aller

Si l’on y est pas déjà,

Vrai, il nous suffira

À compenser ennuis

Qui contrarient envies

Qui font le lot quotidien

D’une pauvre vie de chien.

 .

Le bonheur est dans le pré,

Mais ce pré, il est loin,

Faut prendre le train,

Se prendre en main,

Un  peu se fatiguer,

Pour  bien  y arriver,

Avant qu’il s’échappe,

Et nous passe à la trappe.

.

Le bonheur est dans le pré,

Je le sais bien, j’en viens,

Mais je n’ai pu y rester,

Soucis  m’ont rattrapé,

M’ont happé tout entier,

N’ai pu remettre à demain

Tout ce que j’ai programmé,

Bonheur est de courte durée.

EST DANS LE PRÉ 

Le bonheur est dans le pré,

Essayez voir de l’attraper,

Il est comme un papillon

Et vole, autour de vous,

A vous en rendre … fou.

A deux … c’est plus aisé

En filet…pour le ramasser

En roulant sur le sol du pré.

 .

Le bonheur est dans le pré,

Le pré quoi : le prélude,

A vos jeux,  innocents,

Vous  faisant  amants,

De la vie, de ses désirs

A deux et de reconquérir,

En l’herbe, votre plénitude :

Il ne vous reste qu’à gamberger.

.

Le bonheur est dans le pré,

Préparation de rencontre,

Préoccupation amour,

Prévision commune,

D’un avenir, radieux,

Vous menant aux cieux

 Tout pour et tout… contre

Et ce jusqu’au dernier jour !

LOINTAIN

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1004 4

.

Bijou six anneaux

En forme de bracelet

Saphir bleu au milieu,

Amour vaut bien de l’or.

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Bijoux et amour, si on ne peut les confondre,

on convient qu’ils sont souvent en association

mais que  pour la gent féminine, en majorité,

pour autant, la forme évoque aussi le fond.

.

Le bonheur est souvent évoqué

Par l’achat d’un bijou :

Il étincelle quand il est courant

Dans le pré de l’amour !

 .

Symbolique 

 .

Si le bijou souligne la féminité,

Il ne la décrète pour le moins.

L’habit n’ayant jamais fait le moine,

Le bijou ne fait pas la femme.

.

Valeur symbolique, affective très forte,

Il  est un marqueur existentiel

De notre histoire … la plus personnelle.

.

«Les miens expriment ancrage

Spirituel et lien à la terre », dit Flavia,

S’amusant à mélanger les styles :

« Une bague de fiançailles, une de famille

Semainiers indiens en turquoise. »

Source : psychologies.com/Beaute/Style/

Articles-et-Dossiers/Ce-que-les-bijoux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1004 6

.

Le bonheur est souvent évoqué

Par l’achat d’un bijou :

Il étincelle quand il est courant

Dans le pré de l’amour !

 .

Symbolique 

 .

Le cœur est le symbole

De l’amour par excellence

Rien  n’est caché : l’on affiche

Ses sentiments pour l’être aimé.

La flèche fait référence à Cupidon,

Qui, par sa pointe, rend  amoureux,

Deux personnes  et  pour … toujours.

Alors que la couleur rouge représente

La passion d’un cœur tout enflammé.

Et on assume cet amour flamboyant.

Les ailes représenteraient également

La liberté à deux. Il faut forcément

Une paire d’ailes pour s’envoler.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Premier bijou est souvent une bague

De fiançailles et le suivant, de mariage.

Avec le temps, amour s’en va diminuant

Les bijoux servent alors de compensation

Ou de marquage d’un souvenir émouvant

Et sinon voire de sceller un nouvel élan

À  dix, vingt, trente, quarante ans

De mariage, de vie commune

Dans un pré défraichi

Énormé-ment

De cœur.

 .

.

Ce pré est vachement romantique

.

Scénario

.

Le bonheur serait dans le pré, avec milliers de fleurs, la mer,

où ces deux papillons qui volent, dansent et se posent, de concert,

ou deux chevaux qui, s’ans l’autre, s’ennuierait, et jusqu’à en mourir !

 .

Visuels et textuels  >>

1003 – C’est le cœur heureux et l’esprit joyeux

Visuels et textuels  >>

.

Le cœur joyeux

Fait esprit heureux

Voire réciproquement,

Quand   on   est   aimant,

Quand  on  est  bon  vivant,

Qu’on est communiquant,

Et il suffirait, pour cela,

D’être  bien accordé

À sa compagne

Et ses enfants,

.

À  sa  maison, occupation.

Cœur heureux, esprit, joyeux,

Je vois succéder les jours, les nuits

Ayant fait de ma vie parcours accordé,

 .

Bien accordé à mon destin,

Que j’aurai construit, et bien

Que l’on  m’ait voulu  autre,

Et accordé  à mon  chemin,

En quête de connaissances,

Et ce depuis ma naissance.

.

Accordé… à ma compagne,

Enfants, qu’elle m’a donnés,

Avec amour,  autant félicité,

Accordé à cette … demeure,

Où en retraite, je consomme,

En  simple, honnête homme,

.

Accordé au plaisir… d’écrire,

Occupant  bien des matinées,

Voire plus et dans la journée.

C’est le cœur un peu chagrin,

Que je quitterai  les  humains

Qui m’ont déçu  et …  surpris,

Qui m’ont entouré  et …  ravi,

Mes instants, avec eux, bénis,

Me rappelant ce que je… suis.

Je suis comme  saltimbanque,

Avec peu d’avoirs,  en banque,

Homme, me contentant d’être

Humble plutôt que de paraître

Important sinon indispensable

Un grain parmi grain de sable.

Sable de dune, ou, sable  d’une

Fondation  de mes convictions

Qu’il n’y a,  en  la vie,  au fond,

Qu’une seule et… bonne raison

D’exister et de mourir : aimer.

.

.

Extensions

.

C’est le cœur heureux,

C’est l’esprit joyeux que je

Vous écris ces quelques mots

Qui n’engagent  que moi  et ma

Sollicitude envers vous  pour me

Lire si temps, envie vous le permet.

Il est paradoxalement plus difficile

Mais sans doute aussi plus intime

De bien parler de son bonheur

Que des nombreux malheurs.

Peut-être a-t-on juste peur

Qu’il s’en aille en l’évoquant

Tandis que les autres l’invoquent

Peut-être qu’ils n’aiment pas en parler

Par timidité parce qu’il ne peut se donner

À tout le monde, il faut bien et fort, mériter.

Le bonheur est davantage dans ce que l’on fait

Que dans ce que l’on a, dans ce qu’on partage

Que dans ce qu’on garde, il en est ainsi selon

Le philosophe français Alain et dans ses

Fameux « Propos sur le bonheur».

.

Joyeux, heureux, fougueux, chanceux, chaleureux,

Tous ces qualificatifs sont liés un certain bonheur

Dont fréquentes icones sont le sourire et le cœur

Auxquelles il faut rajouter  un saut en hauteur !

Un débordement incontrôlé crée cette émotion

Qui, n’a d’autre but que monter sa sensation

Et si possible, de la partager  avec proches.

.

«Le cœur a ses raisons que la raison ne connait pas»

Nous dit Pascal pour expliquer phénomène amoureux

.

Si on prend esprit pour raison, il a à la fois tort, raison :

On ne perd rien de son esprit, on le soumet à la question

.

Il n’est pas obligé d’y répondre,  la maintient en suspens,

Ce n’est pas qu’il soit aveugle, seulement plus insouciant.

.

Insouciant pour avenir, comment ne pas l’être en amour

Le cœur heureux, l’esprit joyeux si ce n’est le contraire !

.

.

1003 – Calligramme

.

Le cœur joyeux

Fait esprit heureux

Voire réciproquement,

Quand   on   est   aimant,

Quand  on  est  bon  vivant,

Qu’on est communiquant,

Et il suffirait, pour cela,

D’être  bien accordé

À sa compagne 

Et ses enfants.

.

À  sa  maison, occupation.

Cœur heureux, esprit, joyeux,

Je vois succéder les jours, les nuits

Ayant fait de ma vie parcours accordé,

.

Bien accordé            L          à mon destin,

Que j’aurai con       E         struit, et bien

Que l’on  m’ait       *          voulu  autre,

Et accordé  à         C       mon  chemin,

En quête de          O    connaissances,

Et ce depuis         E     ma naissance.

  U

Accordé à ma        R         compagne,

Enfants, qu’elle     *       m’a donnés,

Avec amour,  au     J     tant félicité,

Accordé à cette        O        demeure,

Où en retraite, je      Y   consomme,

En simple, honnête   E        homme,

                 U

Accordé au plaisir     X      d’écrire,

Occupant  bien des   :   matinées,

Voire plus, dans la    L     journée.

C’est cœur  un  peu   ‘     chagrin,

Que je quitterai les  E   humains

Qui m’ont déçu  et   S    surpris,

Qui m’ont entouré   P    et  ravi,

Instants, avec eux,  R      bénis,

Rappelant ce que    I     je suis.

Je suis vrai  saltim  T   banque,

Avec peu d’avoirs     *    banque,

Homme, me conten  H   tant être

Humble plutôt que de E     paraître

Important sinon indis  U     pensable

Un grain parmi grain     R      de sable.

Sable de dune, voire,      E           d’une

Fondation de mes con   U       victions

Qu’il n’y a,  en  la vie,    X    au fond,

Qu’une seule et bonne  *      raison

D’exister et de mourir  *  aimer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1003 4

.

Une borne à pointe ronde,

Flèche indiquant bonne santé

L’esprit et le cerveau, en haut,

Le cœur  et  le  corps : en bas.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Esprit, cœur, sont faits pour s’entendre

comme un et autre aident à se détendre

si ce n’est, parfois, à mieux se défendre :

la forme ne peut mieux épouser le fond.

.

Un homme debout et en bonne santé,

Et sans souci majeur,

C’est ce qu’on souhaite être : de corps,

 D’esprit, puis de cœur.

.

Symbolique

 .

L’homme utilise le mot parlé ou écrit

Pour transmettre à autrui ce qu’il a à l’esprit.

Mais son langage est rempli d’une foule de symboles.

.

C’est parce que d’innombrables choses se situent au-delà

Des limites  de  notre  esprit humain   que  nous  utilisons

Constamment des termes symboliques pour représenter

Des concepts que nous ne pouvons ni définir ni situer

Ni comprendre pleinement ou au premier abord.

.

C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles

Religions utilisent langage symbolique

S’exprimant par images, y compris

Pour son émotion et sa santé.

adhes.net/l-homme-et-ses-symboles.aspx

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1003 6

.

Un homme debout et en bonne santé,

Et sans souci majeur,

C’est ce qu’on souhaite être : de corps,

 D’esprit, puis de cœur.

.

Symbolique 

 .

Dans toutes les traditions modernes,

Le cœur est devenu   et resté le symbole

De l’amour profane      comme de la charité

En tant qu’amour,        ou amitié ou droiture.

Le cœur, organe            central  de  l’individu,

Correspondrait             à la notion de centre.

L’occident en              aura fait  le siège des

Sentiments            alors  que  toutes  les

Civilisations                traditionnelles

Y   localisent             l’intelligence

Et  une  bonne          intuition.

Dans nombre        cultures

Dites  traditionnelles,

Toute connaissance

N’exclurait pas

Les  valeurs

Affectives

Étant

V.

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

L’esprit aurait, parfois, du cœur,

Le cœur aurait-il aussi  de l’esprit :

En tel étonnant mélange d’influences

Lequel, sur l’autre, l’emporte souvent.

Après tout, l’on dit bien, de quelqu’un,

Qu’il aura tout son cœur sur la main,

Alors même qu’il a l’esprit…ailleurs.

 .

.

Le bonheur en main

.

Scénario

 .

Quand  on  devient  heureux, il parait qu’on saute de joie.

Smiley ne laissant de doute sur son état de fort contentement.

Bon, mais le bonheur, faudrait pas en abuser …  tout de même !

.

Visuels et textuels  >>

1002 – Pour vivre heureux, faut-il vivre caché !

Visuels et textuels >>

.

Si, pour vivre  heureux,

Faut cacher son bonheur,

Serait-il  envieux ou honteux,

Et, ce à tel point qu’on en parle,

Point ou peu. Certains ont  du mal

À se déclarer  heureux,  par une peur

D’être jalousé  par inaptes  au bonheur,

Comme pour l’orgasme on peut le simuler,

On peut le stimuler : de là, à être malheureux,

Jusqu’à s’en cacher, il n’y aurait plus qu’un pas !

.

Tant chacun sait que

Les  peuples  heureux

N’ont pas  d’histoires,

De conte ni de compte

Au singulier, ni pluriel.

.

D’aller ici …  d’aller là ?

De faire ceci, faire cela ?

Penser ceci ou après, cela.

Rencontrer  qui vous voulez

Quel bonheur et quelle liberté,

Si, en même temps, vrai besoin

De reconnaissance ou  célébrité,

Se fait jour en nous pour exister.

.

Paradoxe interne qui nous pousse

À nous soigner  quand l’on tousse,

Pour  paraître  en meilleure santé

Devant les autres,   la maisonnée,

Qui fait  que la forme   l’emporte,

Souvent, sur le fond, ouvre porte,

Du moins l’introduit ou la ferme,

En écoutant des chants attirants.

.

On peut renverser la chaussette,

Vivre caché sans être heureux,

C’est sans aucun doute, le lot

De nombre de gens peureux,

Ou pas très fiers de leur tête,

Ou dominés beaucoup trop.

.

Être heureux à la fois caché,

Être heureux sans être caché,

Être malheureux à s’en cacher,

Être caché, en être malheureux :

Grammaire des cas aussi nombreux

Qu’on ne saurait se placer parmi eux.

.

Je ne m’en cache pas, je suis si heureux,

Tout seul dans ma maison et sous les feux

Cela  dépend  de mon humeur, de mes jeux,

Je cache une partie de moi et j’expose l’autre,

Laquelle est la plus authentique : nul ne sait !

Sauf à me rencontrer un jour et pour de vrai.

.

.

Extensions

.

Pour vivre heureux,

Faudrait-il vivre caché !

Sûr que non, fortunément

Le bonheur, comme l’amour,

Le pain, le vin, se partagent

Et même devient parfois

Contagieux par effet

De proximité, par effet

De disponibilité, d’amitié,

Bonheur, c’est ce qu’on veut

Mais c’est bien mieux à deux.

.

Cacher est tout le contraire de montrer

Sauf si l’on montre quelque chose,

Pour en masquer une autre :

L’arbre qui cache la forêt

Qu’on ne saura voir.

Cacher être enceinte

Est toujours possible,

Mais le bébé : impossible :

C’est pire que se voiler la face !

.

Si la liberté des uns, finissait

 Où commence celle des autres,

Une petite marge de manœuvre,

Subsisterait à peine, pour exister.

.

Si fait que, forts de leur argent, célébrité

Certains forcent trait d’intérêt de leur coté

Leur vie publique leur sert alors à influencer

Ceux qui ne pensent, disent, demandent rien !

.

Toutefois ces derniers, il ne faut pas  les imaginer

Malheureux en pauvres esclaves, toujours exploités,

Ils vivent leur vie tout simplement, ils se débrouillent.

Bien que cachés, voir invisibles, ils continuent à en rire !

.

.

Épilogue

.

On se focalise beaucoup trop, par médias

Sur le bonheur de gens riches ou célèbres

Ou qui détiennent  beaucoup de pouvoirs,

Lors le bonheur n’a, avec eux, rien à voir !

***

Tant c’est  parfois même  tout le contraire,

Richesse, pouvoir, détruisent leur bonheur

Qui était d’arriver  à ce qu’ils sont devenus.

***

Cela est mieux d’être riche  et bien portant,

Que pauvre et malade : question ne se pose.

***

On peut vivre  à l’abri du besoin, sainement

Et ne pas s’en vanter, rester  discret, caché !

***

C’est d’ailleurs lot, nombre de gens heureux,

 Pourtant n’auront gagné au loti aucun d’eux.

***

Pour vivre heureux vivons cachés, le bel adage

Mais qui ne signifiera pas  qu’on s’emprisonne

En une habitation où personne ne vous sonne.

***

Cela veut dire qu’on n’en fait pas de publicités,

Une vie simple et normale, banale, en somme :

Le bonheur est à l’intérieur, de son esprit, âme

Là où on ne pourra l’extraire en aucune façon.

.

.

1002- Calligramme

 .

Si, pour vivre  heureux,

Faut cacher son bonheur,

Serait-il  envieux ou honteux,

Et, ce à tel point qu’on en parle,

Point ou peu. Certains ont  du mal

À se déclarer  heureux,  par une peur

D’être jalousé  par inaptes au bonheur !

Comme pour l’orgasme on peut le simuler,

On peut le stimuler : de là, à être malheureux,

Jusqu’à s’en cacher, il n’y aurait plus qu’un pas !

.

Tant chacun sait que

Les  peuples  heureux

N’ont pas  d’histoires,

De conte  ni  de compte

Au singulier,    ni pluriel.

D’aller ici,     P    d’aller là ?

De faire ceci     O   faire cela ?

Penser ceci ou      U  après, cela.

Rencontrer qui vous  R       voulez

Quel bonheur et quelle   *    liberté,

Si, en même temps vrai  V     besoin

De reconnaissance ou     I    célébrité,

Se fait jour en nous     V   pour exister.

Paradoxe interne     R    qui nous pousse

À nous soigner       E    quand l’on tousse,

Pour paraître          *   en meilleure santé

Devant les autres       H      la maisonnée,

Qui fait que la forme       E      l’emporte,

Souvent sur le fond, ouvre  U       porte,

Du moins l’introduit ou la   R     ferme

En écoutant des chants  E  attirants.

On peut renverser  U  la chaussette,

Vivre caché   X  sans être heureux,

C’est sans     :   aucun doute le lot

De nombre  V   de gens peureux,

Ou pas très   I   fiers de leur tête,

Ou dominés  V   beaucoup trop.

Être heureux  O   à la fois caché,

Être heureux    N  sans être caché

Être malheureux    à s’en cacher,

Être caché, en être *       malheureux :

Grammaire des cas  C   aussi nombreux

Qu’on ne saurait se    A  placer parmi eux.

Je ne m’en cache pas,  C   je suis si heureux,

Tout seul dans ma mai  H son et sous les feux

Cela dépend  de mon hu  É meur, de mes jeux,

Je cache une partie de moi  et j’expose l’autre,

Laquelle est la plus authentique : nul ne sait !

Sauf à me rencontrer un jour et pour de vrai.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1002 4

.

Ça peut être une lampe de chevet

Comme un tire-bouchon bouteille

 Tout comme un flacon de savon

Des plus discrets qui soient ?

.

 (forme creuse, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

On ne peut pas dire qu’un tel flacon

De savon se fait remarquer :

Mais il lui plait d’opérer et d’exister

Dans cette discrétion totale !

.

Symbolique

.

Les nouvelles étiquettes

Comportent de nouveaux

Pictogrammes de danger,

Des indications de danger,

Des mesures de prudence

Ainsi que des mentions

D’avertissement, qui

Donneront   plus

D’informations

À propos de la

Manière  dont

Vous         pouvez

Utiliser ces flacons

De produits dangereux

Sans nuire  à votre santé,

À l’environnement ou encore

Sans   risquer  d’occasionner

Un incendie, une explosion.

Source : symbolesdanger.be/fr

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On ne peut pas dire qu’un tel flacon

De savon se fait remarquer :

Mais il lui plait d’opérer et d’exister

Dans cette discrétion totale !

 .

Symbolique 

 .

Littérature montre qu’un problème

Sera pris en charge dans la mesure où

Il aura été investi  par des entrepreneurs

De cause qui en ont fait un problème public,

Voire médiatique, imposant sa prise en charge

Aux acteurs institutionnels. Ce schéma d’analyse

Serait particulièrement mobilisé dans l’analyse de

L’émergence de risques collectifs problèmes publics

Tels que risques naturels, technologiques, sanitaires.

.

Il s’agit, ici,  de mettre en lumière un lien étroit entre

Le changement d’approche des luttes définitionnelles

Que nous analysons  comme  des luttes  de pouvoir,

Et l’intérêt porté aux espaces discrets, confinés,

Où sont stabilisés des compromis entre acteurs

Avec leurs rapports de force et de faiblesse.

cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2012-1

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Avec la publicité, l’affichage de qualités séduisantes,

Les flacons sont devenus de moins en moins discrets,

On sait tout de leur contenu par le détail, à leur dos !

Il en est de même pour l’information par les média :

Une simple enquête, votre vie privée se voit étalée,

De vivre caché devient de plus en plus illusoire !

 .

.

Covid fait deux fois cachés

.

Scénario

 .

Se cacher dans une foule anonyme pour ne pas se faire remarquer.

Cacher sa tête  pour ne pas être bien reconnu  par tous les autres.

Cacher son ventre de femme enceinte ou au contraire, montrer.

 .

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