710 – Leçons, numéro un, deux… vingt et un !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre  la   main,

Et  le reste suivra,

Comme il se  doit.

.

Emmenez-le moi :

Comme il  se doigt,

Au meilleur  endroit,

Celui qu’on    fourvoie,

Esprits, sens, plein éveil

Représentant… merveilles

Et s’il caresse vos deux seins

C’est qu’ils les méritent bien :

Ils ne sont pas ronds pour rien,

Enfants les savent bien, coquins.

.

Si plus bas, votre  ventre se creuse

De votre appétit  à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure  le simple appareil

Au milieu  d’une  cicatrice trompeuse

Très    profonde,   pour ovaire, utérus,

Mais pour y avoir accès, que de ruses,

Pour la pénétrer, à l’endroit à l’envers,

.

Comme  une cathédrale, gelée, l’hiver.

Chacun, chacune nous avons séjourné

Neuf mois, du  monde entier, abrité

Pour se forger corps sexe, identité,

Avant franchir le col de sa réalité !

.

Combien de femmes pensent encore

Dans la perfusion de leur jeune corps

Quand   orgasmes seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre ou lors enfant sort !

.

Prenez une femme et qui se donne à vous

 Elle  vous prendra  ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui   devient en plein envol

Un nouveau cerveau  sexe, ou symbole !

.

Extensions

 .

Des seins à demi voilés,

Des jambes bien galbées,

Postures   de  laisser-aller,

Et voilà que le tour est joué,

L’homme pourra être séduit.

Chaque leçon profite aux deux

Tant lors on prend, on apprend

À combiner plaisir, être heureux

Jusqu’à ce qu’on se dise content,

D’être amants des plus chanceux.

.

Pour apprendre ce que c’est que le sexe

L’acte sexuel, voire cycle menstruel, etc.

Leçons d’anatomie, biologie, physiologie

Sont utiles et d’une évidence hygiénique

Et pour ce qui est de l’amour, séduction,

On plonge dans un abîme de subjectivité

Si vous entendez  vous dire un truc fatal,

Qui marche à tous les coups, méfiez vous

Du râteau, gifle, que vous allez  prendre !

.

Sûr qu’érotisme et lingerie  sont armes,

Vous vont droit au cœur, vous désarme

Si ça marche pour un soir  en faiblesse,

Le lendemain, dégrisé, la tête est lucide

Cela dépendra de ce que vous cherchez :

Le plan cul qui rencontre un plan cœur,

Ne fera d’aucun des deux, son bonheur

 Les leçons remettent pendules à l’heure.

.

Fragments

.

Drôle d’idées que d’associer

Amour et prendre des leçons,

Ne s’agit pas de  nager, danser,

Mais d’approche et de séduction.

.

Pour bon nombre de jeunes garçons

Information enseignée cours biologie

Si ce n’est sur internet, pornographie ;

Pour la pratique, la copine ou le boxon

.

Si tout tournait autour d’une initiation,

Il faudrait organiser une orgie libertaire

Où nous ne serions plus : sœurs et frères

Que des mâles et femelles en jubilations.

.

Voilà c’est direct et de plus sans leçons :

Bouteille de champagne, une invitation,

Deux verres et voilà le bel emballement,

On va faire mousser les bons moments !

.

La plupart du temps, rien n’est si simple :

On ne sait s’y prendre, on commet impairs,

Le verre est vide et pas d’amour, atmosphère

Et même les sexes ne grimpent pas en épingle.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

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Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre   la   main,

Et  le reste  suivra,

Comme  il  se  doit,

Emmenez –le – moi :

Comme il    *    se doigt,

Au meilleur  L      endroit,

Celui qu’on    E      fourvoie,

Esprits, sens    Ç      plein éveil

Représentant     O       merveilles.

Et s’il caresse       N       deux   seins

C’est que vous              le valez bien,

Ils ne sont pas           *    ronds pour rien.

Enfants les savent     U          bien, coquins,

Si plus bas, votre        N        ventre se creuse

De votre appétit           *      à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure        D      le simple appareil

Au milieu  d’une           E    cicatrice trompeuse

Très    profonde,           U     pour ovaire, utérus

Et, pour y avoir             X    accès, que de ruses,

Pour pénétrer à             *      l’endroit à l’envers,

Une telle cathé              T      drale, gelée, l’hiver.

Chacun,  cune               R    nous avons séjourné

Neuf mois, du               O   monde entier, abrité

Pour se forger               I     corps sexe, identité,

Avant franchir              S      le col de sa réalité !

Combien de fem           *     mes pensent encore

Dans la perfusion         *       de leur jeune corps

Quand   orgasmes        V      seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre      I     ou lors enfant sort !

Prenez une femme      N et qui se donne à vous

 Elle vous prendra       G ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui        T  devient en plein envol

Un nouveau cerveau  *         sexe, ou symbole !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une des meilleures  bouteilles,

Probablement :

De champagne, certainement

Avec ou sans lingerie.

.

710 4

.

On apprend plus de l’amour

En  buvant  du  champagne

Qu’en  feuilletant n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique 

.

Naissances,

Ou mariages,

Nouvelle année.

Le champagne

Serait de toutes les

Grandes occasions !

On l’apprécie     dans le

Monde entier,    légèreté

Des bulles,   goût unique

De ce vin,        né à Reims

Au  IXe        siècle : 2005,

Plus de         307  millions

De bou        teilles  ont été

Vendues,           les  ventes

De Cham          pagne ont

Bondi  de             20 % en

Chine et             au Japon

Annonçant             record

De  consom           mation

Pour  l’année          2006.

Source : linternaute.com/actualite/savoir/

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On apprend plus de l’amour

En buvant du bon champagne

Qu’en  feuilletant  n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique

.

La lingerie un simple vêtement

Hygiénique pour  certaines tandis que

Pour d’autres, est  un accessoire  sensuel.

La couleur  de la  lingerie  reste aussi un

L’élément essentiel  dans  notre  choix.

 

Le noir chic amincissant est aussi

Symbole du raffinement mystère.

Le blanc  est  considéré comme la

Couleur de la pureté, d’innocence.

 

Valeur sûre, intemporelle et indémodable,

Le rouge est souvent porté par des femmes

Passionnées,    énergiques,  et      sensuelles.

C’est    une  couleur   liée  à  la   séduction,

L’excitation,   au  pouvoir  et au désir :

Celle préférée vitrine Saint Valentin.

passeportsante.net/fr/Actualites/

Dossiers/DossierComplex

 .

.

Fond/forme 

Le champagne reste autant

Symbole de fête, événement

Qu’un bon vin bien pétillant,

De fines bulles, avec mousse,

En laquelle est recommandé.

De faire un vœu pour l’année.

Qu’importe  s’il se  ne réalisera

Pas dès  toute  première gorgée

À force d’en boire cela finira bien

Par arriver et par être bien arrosé,

De nouvelle bouteille de champagne.

.

Textuels et illustrations  >>

709 – Pour le sexe, on dit, même fort bien établi

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et, l’âge venant,

Mâle est moins performant.

.

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

.

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour,  faiblit,

Compétence,  l’on dit,

Jour après jour grandit.

.

Or l’amour dans  son lit,

N’est pas tout,  en sa vie,

Une fois, effusions  finies,

Le désir du sexe est parti.

.

Dialogue à quatre   mains,

Réclame temps  et entrain,

Pour que l’accord soit plein

Ressenti toucher, soit divin

Aussi pénétrant et opportun

Qu’un sexe qui  va  qui vient

Son impression, son parfum

Vous faisant un  grand bien.

Notes s’égrènent, sur la peau

Comme  touches    d’un piano

Dans la multitude   des échos,

Qu’on ne saurait  le plus beau.

Le sexe  laisse   peu  de temps,

À vraie montée   du sentiment,

Faut conclure au  bon moment,

Ressentiment après, en dépend.

Faut garder, en soi,  ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

Extensions

 

Pour certains, le sexe, est tout :

C’est le vrai but à atteindre, lors

Le reste ne serait que de surcroit.

Oui mais que donnera-t-on  de soi

Dans un acte sexuel : un  désir  qui

Se promène ou corps qui se démène

Pour finir, un orgasme qui entraine,

Toujours et encore à recommencer.

.

On en vient  à penser  que : l’amour

C’est  comme  une  cigarette  tandis

Qu’est  rencontre  entre  deux êtres

Pour échanger plus profond d’eux

Et en toute confiance, et  non que

De se donner du plaisir, mutuel.

.

Discours sur le sexe y en aurait

Des centaines et dont certains

Le prônent  comme  trophée.

Une  séparation  du  sexe  et

Du  sentiment  n’aurait plus

Rien d’humain, elle se réduit

À une  gymnastique  qui vise  à

Performance plus qu’à compétence.

Le sentiment sans sexe ne vaut guère mieux :

Les amours platoniques se transforment vite en amitiés.

.

Sensibilité, sensualité, sexualité, sexe alité, sexué,

Cette  gamme de mots vient à l’esprit, et en bouche,

Pour vivre l’amour  comme sous une chaude douche,

Où le plaisir l’emportera sur toute autre considération

Et qui fera monter et descendre toutes fébriles tensions.

.

Les troubles de dysfonction sexuelle

Ou de la déficience sont, pour la majorité :

 Troubles du désir sexuel, troubles de l’excitation

Troubles de l’orgasme, troubles sexuels avec douleur.

.

Autrement dit, en langage commun,  voire vulgaire :

On n’en a pas envie, et voire on n’y pense même pas,

On arrive pas ou plus à s’exciter pas même à bander

On ne parvient à l’orgasme ou alors il est très faible.

.

Douleur au lieu de plaisir, le dernier est particulier,

C’est le moins qu’on puisse dire, il faudra consulter.

La panne passagère,  y aurait rien de spécial à faire,

Nombre hommes l’ont connu sans raison, ordinaire.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et l’âge venant

Mâle est moins performant

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe.

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

********************************

*********************************

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour  S    faiblit,

Compétence,     E   l’on dit,

Jour après jour,   X  grandit.

Or l’amour dans     E    son lit,

N’est pas tout en      *     sa vie,

Une fois, effusions,    M     finies,

Le désir du sexe est     Ê       parti.

Dialogue à quatre       M       mains,

Réclame temps et      E      entrains,

Pour  qu’accord        *         soit plein

Ressenti toucher     F           soit divin

Aussi pénétrant     O        et opportun

Qu’un sexe qui      R         va qui vient

Son impression     T        son parfum,

Vous faisant un      *        grand bien.

Notes s’égrènent    É        sur la peau

Comme touche        T       d’un piano

Dans multitude       A        des échos

Qu’on ne sait le      B        plus beau.

Le sexe  laisse       L  peu de temps,

À vraie montée   I   du sentiment :

Faut conclure au *   bon moment,

Ressentiment, après,  en dépend.

Faut garder,  en soi,   ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

 

Un verre à pied en haut,

 Une chope de bière en bas,

Qui trinquent entre eux,

Pour le sexe appeal !

.

709 4

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour dépend du sex-appeal

 .

Symbolique 

 .

Le verre, la coupe,

Le gobelet, la tasse,

Ne seront, en réalité,

Qu’un   seul  et   même

Objet  à variantes près.

Comme  tout  réceptacle,

C’est un symbole féminin,

C’est pourquoi, le verre vu

En songe, peut figurer  une

Femme  qui   joue   un   rôle

Déterminant  dans  sa  vie.

Compte tenu transparence

Prévient éclaircissements

Permet une clarification

Des affaires obscures.

wikireve.fr/dir/211-verre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

709 6

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour : trop ou pas assez.

 .

Symbolique 

 .

Une chope signifie

Grand verre à bière

Est un récipient, un 

Gobelet cylindrique,

Muni d’une anse où

 On boit de la bière.

Peut  être  en  bois,

 En     terre      cuite,

Grès,   métal,    por

Celaine,   ou   émail,

Et on la trouve souvent

 En verre chope un type

De verre à bière.

source : wikipedia.org/wiki/Chope.

.

 .

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre un sexe masculin et un verre,

Cela va sans dire même si le verre sert d’étalon

 .

Croyance que plus il est grand plus il est fort,

N’a aucun fondement empirique, statistique.

 .

La performance n’est pas une compétence

Pour satisfaire toutes les femmes au lit

 .

Demandez-leur  si  un plus long sexe,

Leur procure un plus long orgasme.

 .

C’est lors dialogue que ça se passe.

 .

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708 – Imaginez-vous amant excité, sexe devant

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Partie majeure de toutes les postures

Liées à toutes sortes accouplements

Entres les humains, positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que la femme,

Serait réceptacle,

Plus passive :

.

Est-ce  en  la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

.

Toujours est-il,

Que   l’homme,

S’en  satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

.

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas impossible à forcer.

Impossible de la manipuler,  la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

Extensions

 .

Porte,  fenêtre, pour la métaphore,

Soupirail, trappe, vasistas, lucarne

Ouvertures  évoquent   emboitures

En mur, en dur, aveugle  à lumière

Extérieure, du soleil, ou  d’ailleurs.

.

Une fois  son seuil franchi, la porte

Peut rester ouverte  et voire offerte

Et elle pourra se refermer sur vous,

Pour vous transformer  prisonnier.

.

Pour vous jeter dehors et se fermer

Pour vous, et, jusqu’à  double tour.

La pousser n’a donc  rien d’un acte

Gratuit  ni d’innocent  ni de futile !

.

Renversés, couchés au sol, imbriqués l’une dans l’autre

Toutes attitudes et postures en deviennent renversantes.

Le fait accompli, le repos mérité  comme de bons apôtres,

Les postures  se  transformeront  en « statues dormantes »

C’est ainsi que cela, se profile, et se passe, quand  on tente

Le diable, le tirant par la queue, assouvissant son plaisir.

.

L’homme actif, la femme passive,

Vieux cliché qui n’a jamais existé,

Dans le secret d’alcôves d’intimité,

La force de désir de femme est vive

.

Et dieu merci la libération sexuelle

Est passée par la et elle aura libéré

La parole de la femme … éternelle,

Qui est pour l’homme…  à égalité.

.

Je ne saurais en dire plus pour

Ne pas m’attirer les foudres

Des uns  ou   des autres

Ne pensant pas cela.

.

Fragments

.

«Cachez-moi ce sein que je ne saurais voir !»

Clame Tartufe en pièce de théâtre de Molière.

.

Cachez-moi ce sexe, que je ne saurais … voir,

Qui me crée des fantasmes à ne plus surseoir.

.

Mais la nature de l’homme est ainsi faite, que

L’homme, sans sa queue, ne serait autre… que

.

Qu’incapable de bander devant un être désiré,

Quand le membre représente amant en entier.

.

Verre à l’endroit, verre trinqué, verre renversé

Bien rempli, on le boira d’un seul jet…déversé

.

Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse,

Quitte à le trouver au fond de paires de fesses.

.

On en ferait, volontiers, un beau calligramme,

Si l’on pouvait le conformer vertu de son âme.

.

S’imaginez amant excité, avec sexe mythique,

Peut être romantique autant pornographique.

.

Renversant ou renversé, ça dépend du versant,

Il faut voir l’être comme il est en sexe puissant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

.

Une   partie   majeure    de   toutes   les   postures

Liées  à    toutes  sortes   d’accouplements

Entres les humains,     positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que femme,

Réceptacle,

Passive.

Est-ce en la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

Toujours est-il,

Que l’homme,

S’en satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

IMAGINEZ-VOUS :

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port.

AMANT EXCITÉ,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

SEXE DEVANT 

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

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Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas : impossible à forcer !

Impossible  de  la manipuler, de la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Flacon de parfum

Avec bouchon

Ou un verre à pied

Renversé après trinqué.

.

708 4

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

  .

Symbolique 

 .

Parmi les synonymes,

Expressions  équivalentes

De   « renverser  un  verre ».

 

On trouve : faire tomber,   répandre un liquide,

Mettre le haut en bas et le bas en haut,   inverser,

Incliner en arrière, au sens figuré ou pour corps

Plonger dans l’étonnement, démolir, saper

Se renverser    s’incliner en arrière,

Tomber, chavirer,  voire verser.

 

Pas besoin de faire un dessin

Pour imaginer à quoi tout

Ça peut bien s’appliquer.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

708 6

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

.

Symbolique 

.

Des sources      font remonter

La pratique      de trinquer

 Son verre          à l’antiquité

 La  coutu           me  de boire

 À  la  santé          des   vivants

Provient pro       ba-ble-ment

 Du rite anti          que de boire

En l’honneur        des dieux et

Des morts : Eu     rope, trinque

Avec un verre à    pied  d’alcool

De bière, vin, ci  dre, vodka, etc.,

Mais on pourrait le faire avec un

Verre non alcoolisé, lors avec qui,

Quoi et pourquoi trinquez-vous ?

 .

.

Fond/forme 

.

Un calligramme est un poème

Dont la disposition graphique,

Sur la page formera un dessin,

 .

Souvent en rapport avec le sujet du texte,

Mais il arrive parfois que la forme apporte

Un sens qui s’oppose au texte.

 .

Lors   cela  permet  d’allier

l’imagination  type visuelle

 À celle portée  par les mots. 

 .

Il s’agit parfois  d’une dérive

Parfois bifurcation complète,

Ouvrant  vers d‘autre univers,

On pourrait ainsi, par rebonds,

Aboutir à des liens très éloignés.

.

 Textuels et illustrations  >>

707 – En écrin de lumière mon vaisseau avancé

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Belle

Métaphore,

Que      l’écrin

De lu        mière,

Pour          imager

Creux          profond    

Du vrai         mystère

Qu’est              l’amour

Partagé              à deux,

En une              posture,

Sur nue                litière.

Une autre           et belle

Métaphore          en est

Serait  le      vaisseau

Qui le       parcourt

Même       espace

.

Pour re chercher

Un  tré sor  jugé

In-esti-ma-ble :

Mais  que, seule,

Une vraie lumière,

Viendrait lui révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

.

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

..

Extensions

 .

Branché sur l’être tout entier

Qui produit sa lumière en toute intimité :

On imagine comme aura entourant les amants,

Les protégeant de distraction de leur environnement.

Il ne s’agit pas, pour autant, d’une totale fusion mais

De la recherche d’une parfaite connexion des corps,

Des cœurs, des esprits, qui sait, parfois, des âmes.

Ce n’est pas pour autant de l’amour sublimé,

Mais c’est souvent de l’amour consommé.

.

Dans le sexe pour le sexe, il y a comme

Une dimension comique ; dans le sexe

Pour l’amour, une dimension cosmique.

Ce « s » que l’on rajoute, fait la différence.

De la fusion physique à communion Nature,

Le même acte, en apparence, change de valeur

L’un procure le plaisir, mais l’autre, le bonheur.

.

Cela dit, chacun fait l’amour     comme il l’entend

Et comme il le sent et le sentiment qu’il en ressent

Souvent, et impressions qu’il en retire, demeurent,

Pour  une large partie, des moins  intransmissibles.

Ce qui est plus certain serait qu’ayant connu le vrai,

Le parfait bonheur qu’engendre le véritable l’amour.

.

Le retour à une simple et banale jouissance physique

En devient vite frustrant et lors on peut comprendre

Que l’on ira chercher auprès de quelqu’un d’autre,

Ce même état vécu et désormais paradis perdu.

Pour ceux ou celles qui ne l’ont pas connu,

Ça ne leur manque pas, c’est déjà ça !

.

La femme est-elle un écrin : oui, non… ça craint :

Ne serait-elle pas bien plutôt le bijou qu’il contient

Certains y voient comme une lumière, très attirante,

Lors d’autres comme un piège quand elle vous tente

Vous réclame un bijou pour montrer ses attentes.

.

Un trou  de serrure  mais pour  quelle clef !

Clef mystérieuse, pour porte  aventureuse,

De femme assoiffée de sexe ou amoureuse

Ce n’est souvent qu’après qu’on sera fixé !

Quant à traiter sexe masculin de vaisseau,

Ça dépendra pour qui : affectueux ou sot :

Pour ce dernier, image ne vaut pas ce mot,

On fait l’amour aussi avec un beau cerveau.

Ceci dit la femme ne sera pas qu’un bel écrin

À qui il manquerait un bijou pour la combler

Elle serait  aussi active, réflexive, que le marié,

Qui lui passe la bague au doigt, un beau matin !

.

Fragments

.

En un écrin lumière,

Un esquif s’est avancé,

Nul besoin de l’esquiver

En  sa très belle  rivière !

.

En chambre buissonnière

Réceptacle de nos amours,

Un diamant brut, minière,

Dormait au fond, glamour.

.

Un écrin qui ne craint rien,

Qu’être trompé, abusé, sali,

Il ne s’ouvre  que pour bien

Accueillir  diamant … ami !

.

L’un dans l’autre,  on ne sait

Plus qui est le plus précieux,

Tant les deux seront parfaits

Pour  parvenir … aux cieux !

.

Finalement écrin ne contient

Que des moments d’émotion

Que l’on tient, et l’on retient

Comme élixir de sa passion.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

Belle

Métaphore,

Que  É       E  l’écrin

De lu   C              S    mière,

Pour    R                      Q   imager

Creux    I                           U   profond    

Du vrai  N                               I    mystère

Qu’est      *                                  F    l’amour

Partagé  L                                     *     à deux,

En une    U                                   A    posture,

Sur nue    M                                V       litière.

Une autre  I                              A       et belle

Métaphore È                         N   s’il en est

Serait  le   R                     C   vaisseau

Qui le       E                 É  parcourt

Même           *            espace

Pour re      *     chercher

Un  tré    *   sor  jugé

Inesti     *   mable :

Mais   que,   seule,

Une vraie    lumière,

Viendrait  lui  révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Piédestal avec un trophée,

Ou ses deux mains jointes,

Ou alors  un écrin ouvert,

Mais sans un sexe dedans.

.

707 4

.

Un écrin est quelque chose

Qui  absorbe et  qui protège :

L’allusion  sexe  femme  parait

Évidente  et  parfois  brillante !

Écrin  et sexe vont bien ensemble

Même si des fois, direct et craint,,

On peut y mettre bijou ou caillou,

Ainsi la forme comblera le fond.

.

Symbolique

 .

Définition  mot  écrin

Petit coffret          ou  étui où

L’on met                    des bagues,

Des pier                                 reries et

Des objets                                précieux.

Ensemble                              des joyaux

Contenus                      dans ce coffret.

L’écrin de la            reine : poétique

Contenant, en     tourage, d’une

Chose précieuse, jolie.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

707 6

.

Un écrin est quelque chose

Qui absorbe et qui protège :

L’allusion sexe femme parait

Évidente et parfois brillante !

.

Symbolique 

.

De nos jours, nous employons couramment

Le signe formé de croix surmontée d’un cercle

Pour désigner le sexe  ou encore genre féminin.

 .

À  l’origine, ce symbole est associé

À la déesse romaine

De l’amour et de la beauté : Vénus.

Il représenterait plus

Particulièrement le miroir à un pied,

En  forme  de  croix,

Que Zeus lui aura offert comme

Cadeau de mariage.

 .

Celui-ci aurait renfermé « les grâces, attraits,

Le sourire  engageant, le doux  parler, le soupir

Persuasif, silence expressif, éloquence des yeux ».

 .

Ce symbole représente également la planète Vénus

Et revient, fréquemment, dans d’autres cultures

Avec connotation de féminité, fertilité, ou de vie.

sillonbelge.be/4166/article/2019-05-05/

le-symbole-feminin-dou-ca-vient

 .

 .

Fond/forme

Pour visualiser le sexe féminin,

Certains parleront d’une lumière

Et le sexe masculin : d’une torche,

Lors d’autres  parlent  d’un porche.

.

Avouons que ça fait une différence :

Difficile de faire la lumière sur objets,

Qui ne seront que purs sujets de désirs,

Qui ne demanderont qu’à … s’assouvir !

.

Textuels et illustrations  >>

706 – En un gant huilé, mon doigt s’est enfoncé.

Textuels et illustrations  >>

..

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Une     belle

Mé-ta-phore

S’il  en  est,

Que ce gant,

Bien trempé

Pour   cavité,

Fort avide de

Mouvements,

Pour l’activer,

Jusqu’au  fond

Des    entrailles.

.

En une autre belle

Et pure métaphore

S’il en était, en est,

Que ce    long doigt,

Adroitement dressé,

.

S’il vient  et parvient

En    ces    va-et-vient,

D’humeurs  bien roses

Jusqu’à une apothéose,

Amour, qu’on dit sexuel,

Ou bien encore…charnel.

.

En un gant, fort bien huilé,

Mon doigt  se sera  enfoncé

Et  le caressant,   à le frotter,

Jusqu’à en devenir contracté.

.

Coups  de  piston   s’explosant

En cette chambre d’admission,

La tension  grimpe, au plafond.

.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général,  et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

.

Impossible, de se sauver : panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

.

Cette belle mécanique des fluides,

Symbolise mouvement, plein, vide,

Mais l’intention, énergie sans retour

Seront, rarement, des signes d’amour.

.

Extensions

.

L’amour, il convient de le faire, plus qu’en parler.

Soit ! Mais nous  ne sommes pas  des animaux,

Nous avons la parole, une parole faut l’utiliser.

Celle-ci nous procure maintes représentations,

De ce qu’est l’acte sexuel, symbolique associée.

.

Un acte sexuel totalement étranger au langage

Entre des inconnus peut-il avoir un autre sens

Que de se procurer du plaisir et mutuellement.

L’acte sexuel reste un langage différent de celui

De la parole, une autre manière de dire à l’autre

À quel point on l’aime, tant, dans le cas contraire,

On risque l’interchangeabilité corps, insatiabilité !

.

L’aspect gestuel, mécanique des pratiques sexuelles

Est le même pour tous : ce n’est que sens qui varie.

En ce sens la pornographie singera l’amour alors

Que l’amour n’a rien en lui de pornographique.

Apprendre le sexe, ce n’est pas apprendre

L’amour : il y a un abime entre eux

Qu’il faut combler avec bien plus

Qu’un membre à agiter.

.

On distingue  il y a le doigt, et il y a les doigts :

Le doigt d’une main, les doigts des deux mains,

À faire attention  où  on met le doigt, les doigts,

Pour avoir  mauvaise réaction  comme il se doit.

Le doigt levé d’aujourd’hui  n’est pas de demain ! 

 .

Toute bonne littérature érotique,  regorgera

D’allusions au sexe autant que descriptions,

Portée qu’elle est  entre séduction et action,

Met son doigt pour nous toucher…du doigt.

.

Poésie, littérature  érotique, pornographie :

Ou trois états, visions d’un même acte, fini.

Première vue il peut s’agir de même chose :

C’est selon qu’on l’évoque, le décrit ou l’ose.

.

Une œuvre érotique  peut être  …  poétique,

L’inverse aussi, jamais image pornographie

En la dernière, n’existe pas de sémantiques,

De passer vite à l’action reste son seul souci.

..

Fragments 

 .

N’allez pas croire, ici, ce que je ne dis pas

Votre imagination vous jouerait des tours,

Il ne s’agit que d’un doigt comme il se doit

Qui compte autant que sexe, dans l’amour.

.

Un doigt s’enfile en gant, presque tout seul,

Et bien mieux encore quand on a du doigté,

Il s’agira moins d’enfoncer que de caresser,

Un gant ne ressemble jamais à une gueule.

.

Une loi animale, sous la pression du désir

Ouvre en grand l’entrée du doigt du gant

Et il se produira ce qui doit se produire

Remplissage, et tapissage du dedans !

.

Orgasme ne tient qu’à un doigt près

Le plaisir se donne, à pleine mains,

Se rassasiera en un fond de vagin,

Comme deux doigts coupe-faim.

.

Arrive qu’on soit mal à doigts,

Agisse à l’envers, pas endroit,

Et le gant se fige,  se rétracte

Et  impossible  d’y pénétrer.

.

Érotisme est art consommé,

On  ne le dira, jamais, assez,

Celui qui est trop maladroit,

Ne le fera, la prochaine fois !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

..

 Calligramme

 .

Une   *     belle

Méta      phore

S’il     A   en  est

Que     N   ce gant

Bien     T   trempé

Pour     *      cavité

Fort     H  avide de

Mou     U  vements

Pour      I  l’activer,

Jusqu’   L   au fond

Des ent  É     railles.

.

En  une    autre, belle

Et  pure   métaphore,

S’il  en   D    était, est,

Que ce    O   long doigt

 Adroite    I  ment dressé

S’il vient  G   et parvient

En  ces      T  va-et-vient,

D’une hu   *     meur rose

Jusqu’à     E   l’apothéose

D’amour    N    dit  sexuel

Ou  bien     F    dit charnel

En un gant O     bien huilé,

Mon doigt   N  s’est enfoncé

Caressant,    C     à le frotter,

Gant s’est     É   décontracté.

.

Coups  de piston   s’explosant

En cette chambre d’admission

La tension  grimpe, au plafond.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général, et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

Impossible,  de se sauver, panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

Cette belle mécanique des fluides

Symbolise mouvement plein, vide

Mais intention, énergie sans retour

Seront rarement des signes d’amour.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça  ressemble à un doigt,

Probablement,

Ça  ressemble à un désir

Certainement !

.

706 4

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est,  ici,  tangible :

On  n’y verra  alors  qu’un désir,

De force, plaisir, soumission. 

  .

Symbolique

.

Le    doigt 

Est le symbole

De  la  précision

En   mouvements,

Il représente détails

Du  moment présent :

Ce peut être   également

 Parce     que    l’on   ressent

Regret, remords, on se mord

Les doigts, on culpabilise pour

Une situation,    comportement

Que l’on a eu. Lever l’index est

Le  symbole  de  la  force de

Caractère, décisions, l’autorité.

psycho2rue.fr/doigt

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

706 6

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est, ici,  tangible :

On n’y verra  alors qu’un désir

De force, plaisir, soumission. 

.

Symbolique

 .

Il faut dif        férencier

Le besoin     …    du désir :

Le besoin est is     su de pulsions

D’autoconserva   tion, il est associé

À la survie de par      ses besoins vitaux

Tels que : manger,     boire …  dormir,  etc.

 .

Le désir a, pour seul      et  unique  but, le plaisir.

On peut se passer d’un    désir mais pas d’un besoin.

 .

Le besoin nécessite un    objet réel pour être assouvis,

Le désir peut se conten   ter d’un objet fantasmatique.

 .

L’objet n’est cepen    dant pas la cause du désir

Mais son moy      en d’accomplissement.

philippeblazquezpsychanalyste.com/desirs

 .

 .

Fond/forme 

.

Le doigt du désir peut être myope

Et ne désigner, voir que sexe offert

Ou plus lointain, en visant l’amour,

Sinon,  après lui  … court toujours !

.

Faut-il prendre des gants en amour

Très certainement plus…qu’en sexe

Ou un simple  préservatif suffira

À garantir bonne lubrification

En sus de bonne protection.

.

Textuels et illustrations  >>

705 – Consentir sensuellement au profit du sexe

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le sexe n’est pas que … physique,

Le sexe n’est pas que mécanique,

Le sexe  n’est pas  qu’hystérique,

Le sexe n’est pas que  pratique,

Le sexe n’est pas que la nique,

Le sexe n’est pas  que piques.

.

Il peut être métaphysique,

Il peut être  romantique,

Il peut être    mystique,

Il peut être   poétique,

Il peut être  onirique.

.

Il peut être magique,

Il peut être consenti

Au profit des sexes,

Sans être amants :

Jeux   complexes !

.

Regards   partagés,

Regards   échangés,

Regards transpercés.

Regards   énamourés.

.

Amour suffit, une fois,

Amour se rempli de soi,

S’il faut le faire deux fois

C’est qu’il vous       déçoit.

.

Rien de tout cela  en sexe,

C’est   le corps    convexe,

C’est  le même  concave,

On remplit de sa lave.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leurs amours,  partageant,

Leur don de soi,  pratiquant.

.

Le désir devient un prologue,

Lors le sexe, un monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour : dialogue.

.

Extensions

 .

Consentir et sexe sont les deux mots clés

Servant de sésame pour ouvrir les portes

De deux corps enamourés.

Le consentement mutuel  reste une notion

D’acceptation  de contrat  afin que chacun

En tire bénéfice équivalent.

Le consentement forcé est proche d’un viol,

Même si, après, partenaire

S’en trouve finalement, réjoui et le remercie

Entre  volontaire  et  forcé,

Le curseur  se déplace, allant de l’acceptation

Complète  et  bien souhaitée

Au refus total à ce  point de s’en sentir … mal.

Acceptation pour avoir paix,

Est commune  dans les couples, consentement

De réparation avant de passer

À autre chose ou revenir à l’état d’auparavant.

Et c’est parfois pour l’homme,

L’occasion de tester  son pouvoir  de séduction

Ou d’asseoir, une fois de plus,

Son pouvoir de domination : l’enjeu consentir

À l’acte sexuel n’est pas toujours

Identique pour les deux partenaires sans pour

Autant que l’autre le sache, suppose.

 .

Consentir : un mot clé qui ouvre une porte

Consentement mutuel : mots qui emportent

L’espoir d’une jouissance partagée, du moins,

Sur le plan sexuel et plus, si affinité spirituelle.

La femme peut dire non et alors «non c’est non»

Mais l’homme tout autant, s’esquiver, ou refuser.

Comme dit  Gainsbourg« je t’aime, moi non plus »

.

Le sexe n’est pas ceci, cela,

Le sexe peut être : aime cela,

Qui peut prétendre le qualifier

Qui peut prétendre, l’embrasser.

Au-delà plaisir chair, cher plaisir,

Il y aura la finesse et force du corps

Qui prendra le cœur, l’esprit et l’âme,

Comme en tout en sa vision holistique.

.

Consentir au sexe : le maitre mot, lâché,

Dont on ne sait ni le centre ni les contours,

Chacun se croit en son périmètre sémantique

Jusqu’à interpréter un «non» comme un «oui».

Elle a consenti après du seul fait qu’elle aura joui.

Ce qu’on appelle : mettre la charrue avant les bœufs

À moins que ce ne soit prendre ses désirs pour réalité

.

Fragments 

.

Qu’est-ce donner son consentement :

Son accord, assentiment, permission.

Il est curieux, qu’en matière  sexuelle,

On ne parlera pas  de lui : que d’elles !

.

Permission n’inclurait pas soumission,

Soumission ne permettrait  perversion :

Ne faudrait pas verser dans l’exagération

En pleine fouge, sans moindre discussion.

.

Il ne saurait y avoir  de plaisir, forcé, violenté

D’un partenaire ou de l’autre, pas que de genre

Mais cela, il est vrai, on ne le dirait jamais assez,

L’amour à la hussarde est comme lance enfoncée.

.

Elle préfèrera un pendentif qui se balance, un peu

Beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout :

Prenant son temps  et son rythme  jusqu’au bout,

Où tout n’est que plaisir,  où tout n’est que jeux.

.

Pour la femme, non dira non et pas peut-être

Un non qui veut dire oui, n’existent chez elle

Cela deviendra une interprétation abusive,

Qui se rapproche d’un viol non consenti.

.

Or, parfois, en amour, femme varie

Elle a dit oui, et au milieu du gué

Elle vous dit non, c’en est assez,

Le partenaire devra accepter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Le sexe n’est pas        S            que physique,

Le sexe n’est pas       E       que mécanique,

Le sexe n’est pas      N        qu’hystérique,

Le sexe n’est pas     S       que  pratique,

Le sexe n’est pas   U       que la nique,

Le sexe n’est pas  E        que piques.

Il peut être mé    L      taphysique,

Il peut être ro    L       mantique,

Il peut être       E      mystique,

Il peut être     M     poétique,

Il peut être    E    onirique,

Il peut être   N  magique,

Il peut être  T   consenti

.

Au profit    du sexe

Sans être  amants

Jeux complexes.

.

Regards partagés,

Regards    *   échangés,

Regards   C      trans      A   percés.

Regards   O         énam         U     ourés,

Amour     N             suffit           *  une fois,

Amour se  S            remplit           P      de soi,

S’il faut le  E              faire               L   deux fois

C’est qu’il  N             vous              A       déçoit.

Rien        T            de cela          I    en sexe,

C’est      I         le corps     S   convexe,

C’est     R    même    I   concave,

Remplit      R    ses laves.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leur amour  S     partageant,

Don de soi,    E      pratiquant.

Le désir est   X   un prologue,

Lors le sexe  E   monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour,  dialogue.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une décoration d’un ordre

 Militaire,  civil,  ou privé,

Ou encore un pendentif

D’amour par soi-même.

705 4

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

Pendentif et amour,  pendentif d’amour,

L’un ne va pas sans l’autre pour médaillon

Lors, si la forme ne ressemble pas au fond,

Elle l’évoque tout de même plus qu’un peu.

 .

Symbolique 

 .

Courant utilisé depuis l’Antiquité

Pour représenter le centre : organe

Du cœur de l’activité … émotionnelle,

Spirituelle, morale voire intellectuelle.

.

Un cœur rouge sera… principalement

Utilisé comme symbole de l’amour

Il est, parfois, traversé  de  flèche,

Illustrant l’intervention d’Éros,

Ou bien brisé, représentant

Alors une  déconvenue

 Amoureuse.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

705 6

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

.

Symbolique

 .

Les

Pendentifs

Peuvent avoir  diverses  

Utilités  au-delà de leur fonction

Prétendue strictement ornementale,

Le rôle esthétique sera aujourd’hui l’une

Des motivations  du port de tous pendentifs,

Mais Le rôle identitaire restera également une

Une des raison fréquentes du port de pendentifs.

 .

Ceux-ci

Peuvent être

D’origine religieuse

Tels  croix, étoile, talisman

Mais aussi à connotation sexuelle,

Ou, en signe de soutien pour certaines

Mouvances comme les tendances punk.

Modifié, source : Wikipédia

 

. 

Fond/forme 

 .

L’amour sous forme de pendentif

Qu’on porte au cou et sur le cœur,

Voilà l’objet symbole d’un bonheur

Si tant est qu’elle reflète sentiment,

.

Il peut représenter tout autre chose

Tout comme tatouage noir ou rose,

Tout comme appartenance à secte

Ou à l’écologie comme les insectes

Le cœur reste d’amour, étendard

.

Textuels et illustrations  >>

704 – Tout va bien, tout est bien en va-et-vient

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

.

Dépendra,  si ce   n’est, quelquefois,

De cette nécessité absolue et ultime,

De rapide r approchement,  intime,

 Comme preuve d’une très bonne foi

D’amour charnel pas que spirituel,

.

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

.

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

.

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

.

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

.

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

.

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

Extensions

 .

Tout va bien … tout est bien :

L’amour sensuel, amour sexuel,

Créent  comme une bulle où, rien

Ne peut plus vous arriver  tant que

Vous êtes à deux en un autre monde,

Autre planète qu’on appelle «paradis»

D’autres « voyage sur un tapis volant »

Enfin,  d’autres,   « cocon  sécurisant »

Plaisir, de la répétition  ferait  le reste,

Fait que  cela dure, encore, et  encore,

Comme un air  de musique, chanson

Qu’on reprend en boucle jusqu’à ce

Que le cercle, enfin, se rompe  et

Comme ressort, devenu cassé,

Se détende et sans solution !

.

Tout va bien pour l’un  et pas

Pour l’autre qui demeure frustré

De n’avoir pas été   jusqu’au bout,

D’avoir été stoppé en chemin : rien

Ne va plus, c’est alors pour les deux,

La magie a soudain disparu, le corps

Reste pesant, mécanique, lors moins

Enthousiasmant, excitant, enivrant.

.

Que dire de plus sinon que,

Le sexe sera d’autant mieux

Que l’on s’entend … heureux,

De faire l’amour  en ces lieux,

Avec  un  partenaire, désireux,

De vous faire monter aux cieux

Pour en descendre tête-à-queue

Retrouver  un  corps voluptueux,

Un  esprit  des plus … savoureux,

Et un amour redoublé, fougueux.

.

Tout va bien, tout est rien, va-et-vient,

Rien n’existe que super concentration

Dès lors que tout ne tient qu’à un fil,

À un pieu assez pointu qu’on enfile.

.

Mais il ne faudra pas se contenter

Des effets mécaniques des fluides

De la tête à la queue tout se passe

Avec eux, autant qu’entre les deux.

.

Avec le temps, le sentiment, le naturel,

L’expérience acquise deviendra exquise,

Si cela ne peut marcher, à tous les coups,

Ce sera toujours plus qu’une fois sur deux.

.

Fragments 

.

Tout va mâle

Et tout va bien,

Comme un animal

Dans ses va-et-vient !

.

Pour approcher l’union

Pour entrer en effusion,

Jusqu’au fond du frisson

Qui conclut pénétration !

.

À quoi tu joues là Bill, eh :

Est-ce toupet  ou bouquet,

Que tu m’offres, ou un jeu,

Qu’on dit pour amoureux !

.

Ça ne marche à tous coups

L’on n’en verra pas le bout

Concentre-toi,  bel amant :

On n’a pas tout son temps.

.

J’ai perdu mon fil, adresse,

Trop attardé sur tendresse,

La plongée entre tes fesses,

Serait devenue maladresse.

.

Lors Éros, en aide, est venu

J’ai senti,  sous ta peau nue,

Un mouvement de hanches,

Me  disant : ça  te  branche !

.

Enfin … tout   est  synchrone,

En  nos  va-et-vient, rythmés,

L’on n’en peut de se détacher,

Après en avoir fait des tonnes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

Dépendra,    si ce      T   *    N   n’est, quelquefois,

De cette nécessité    O               E   absolue et ultime,

De rapide rappro     U                   I   chement,  intime,

 Comme preuve d’     T                B   une très bonne foi

D’amour charnel        V     A       pas que spirituel

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

EST BIEN

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

EN VA-ET-VIENT 

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil  à la patte,

Pour  se  prendre  au  jeu ?

.

704 4

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil  à la patte,

Pour  se  prendre  au  jeu ?

.

Symbolique 

 

L’origine

 Du  jeu  de

Bilboquet

Demeure toujours  assez obscure.

Certaines sources  disent  qu’il serait

Apparu pour première fois en France

En fin XVIe siècle

 Mais les vêtements

Des  plus anciennes

  Gravures     montrant

Joueurs  de  bilboquet

 Sont    du    XVIIe siècle.

Le mot aura étymologie

Contestée. Inventé France,

Au XVIe siècle,  fait mention

Du mot « bille » « boucquet »,

Bouquer, encorner, comme bouc.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Une forme de bilboquet,

Évoquant pur jeu d’adresse :

Mais,  au-delà,  voire  en  deçà,

On peut imaginer d’autres jeux.

 .

Symbolique 

 .

En début de relation,

Le « jeu du chat et de la souris »

Est normal, amusant. Il attise le désir d’amants

Les poussant à chercher la présence de l’autre :

Laisser quelques jours entre appels, messages,

Ne pas accepter toutes les invitations,

Ne pas inviter l’autre à terminer

La nuit chez soi.

 

Toutefois, lors il devient clair que l’on est

Officiellement dans une relation  durable,

Ce jeu peut devenir déstabilisant et usant.

Peu de personnes aiment savoir que

L’autre joue avec notre sensibilité

Jusqu’à la rendre incertaine.

 .

.

Fond/forme 

 .

Vous êtes-vous bien entrainés

À ce jeu, perfide, du bilboquet :

Si la main droite, tremble un peu,

Vous n’avez qu’une chance sur deux

C’est plus dur si l’un tient la partie fixe

Quand l’autre la partie creuse, et mobile.

.

Mais je ne vais pas  vous faire un dessin,

Il ne s’agit pas toujours de deux mains !

Apprenez donc à bien viser souple, droit

Quel que soit la position, celle d’autre.

.

Textuels et illustrations  >>

703 – Arrêtes, tu me chatouilles, mouilles !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Est-il vraisemblable que

Les chatouilles, les papouilles

Histoire d’enfant, pas d’amant.

Nenni, car ce n’est jamais fini,

De se faire rire, mutuellement,

Pour se mettre en condition

De s’aimer tout follement.

.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore  mouillée,

Faut   s’arrêter  de  rire,

Pour    mieux   en    profiter.

Tes joues se remplissent de sang

Et ta bouche s’ouvre en plus  grand,

Écartelée sur le dos  et au milieu du lit,

Tes bras et jambes, s’abandonnent  aussi.

Regards se croisent, s’accrochent,  se fixent,

Pénètrent au plus profond de l’autre, préfixent

Lors effusion  lascive de nos deux corps accordés,

Comme deux serpents s’enlaçant jusqu’ à s’étouffer.

Nos moiteurs chaudes de nos frottements balancés,

En subliment nos odeurs de leurs parfums, saturés,

Tu n’as plus rien, ni à me montrer,  ni à me cacher,

Nos mouvements  un temps, s’arrêteront en bulles

Viendra s’établir autour de nos corps émoustillés,

Lequel, de l’un, ou de l’autre, viendra la craquer.

Et pour finir, cric et cric, crac-crac sur l’oreiller,

Centième fois comme la première, vrai prodige

Tant dans le creux de reins d’une, bien ramée,

Tu sais si bien faire monter ma sève en tige

.

Arrêtes, arrêtes, tu me chatouilles,

Faudrait-il déjà  que tu mouilles,

Et ce bien avant que je te fouille

Je glisse ma main où je parviens

En ton entrecuisse afin que divin

Effet, tu réagisses… t’arc-boutant

À ce qui te dépasse, ce qui te tend.

.

Arrêtes, arrêtes,  tu me chatouilles,

Commences pas à me recommencer,

D’accord si tu veux, pour la papouille,

Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

.

Faut-il opter  pour avoir  le  dos  tourné,

Chacun, de son côté, embrasser l’oreiller,

L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

La tête vide, comme en un néant, tombée.

.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes,

Il n’y a plus rien … qui nous retienne.

.

Extensions

 .

Les chatouilles,

Certains, certaines

En raffolent et d’autres

Les insupportent voire les

Considèrent comme neutres,

Sans aucun effet sur eux, elles.

Cela va sans dire,  qu’il faut que

Ce soit un tiers qui les prodiguent

Car de soi-même, attente, surprise

Sont fortement  compromises  et ne

Donneront de ce fait que peu d’effet.

.

Rires et chatouilles  font bon ménage,

Encore que chatouille, au sens figuré,

Est plutôt  dans le sens d’un divorce :

Et peut-être l’êtes-vous en me lisant,

Tant sur la forme  que sur les fonds.

Bon, ici il s’agit de jeux amoureux,

Et si l’on ne peut se chatouiller soi

Le faire à l’autre sera de bon aloi

Ou pas, y en a qui n’aiment pas.

.

Toutes les postures sont dans la nature,

Le Kamasoutra en présente bon nombre

Quant à se chatouiller on touche serpent

Qui se remue beaucoup pour y échapper.

.

Les jeux amoureux sont un vrai langage,

Chacun des deux partenaires s’engagent

À stimuler l’autre, mettre sur un nuage

Cas contraire : tu m’embêtes, dégage !

.

Ce jusqu’au premier/dernier outrage

Jusqu’à  ce qu’il ne puisse : en nage,

Avoir  force recommencer, courage,

De chatouilles et caresses, partage.

.

Fragments

.

Papouilles et chatouilles

Sont comme des caresses,

Sont pleines de tendresses,

Remèdes contre la brouille !

.

Ça fait partie de préliminaires,

Et qui feront que l’on se mouille

Pour aller plus profond en chair

Si l’on y tient  et que l’on fouille.

.

Rires se propagent, font ravage

On ne tient plus, trop sauvage,

On se plie en deux, crie pouce,

Reprend son souffle en douce.

.

Dos en arrière, seins en avant

Femme comme un arc se tend

Elle se fend, puis s’en défend,

Se laisse aller, elle aime tant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

          Est-il vraisemblable que

           Les chatouilles, les papouilles

         Histoire d’enfant, pas d’amant.

       Nenni, car ce n’est jamais fini,

         De se faire rire, mutuellement,

       Pour se mettre en condition

       De s’aimer tout follement.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore mouillée,

Faut s’arrêter  de rire,

Pour   bien  en   profiter.

Tes joues se remplissent de sang

   Et ta bouche s’ouvre  en plus  grand,

     Écartelée sur le dos    *  et au milieu du lit,

    Tes bras et jambes,  A  s’abandonnent  aussi.

    Regards se croisent, s’ac   R  crochent se fixent,

       Pénètrent au plus profond de   R  l’autre, préfixent

        Lors effusion  lascive de nos deux   Ê   corps accordés,

           Comme deux  serpents s’enlaçant jusqu’   T     à s’étouffer.

             Nos moiteurs    chaudes de nos frottements     E       balancés,

            En subliment     nos odeurs de leurs parfums,    *           saturés,

          Tu n’as plus  ……. rien, ni à me montrer ni à   T        me cacher

        Nos mou …………  vements  un temps, s’arrê  U   tent en bulle

         Viendra ………….  s’établir autour de nos  *  corps émoustillés,

          Lequel ……….…. de l’un, ou, de l’autre, M  viendra la  craquer.

         Et pour……..…….. finir : cric et cric  E crac-crac sur l’oreiller

          Centième ……..…… fois comme  *  la première, vrai prodige

            Tant dans ….….…    le creux de  C  reins d’une bien ramée

                Tu sais si……….bien faire  H monter ma  sève en tige

                                      Arrêtes, arrêtes   A    tu me chatouilles,

                                   Faudrait-il déjà    T   que tu mouilles,

                                 Et ce bien avant    O   que je te fouille

                              Je glisse ma main  U   où je parviens

                            En ton entrecuisse   I   afin que divin

                          Effet, tu réagisses    L   t’arc-boutant

                        À ce qui te dépasse   L  ce qui te tend.

                      Arrêtes, arrêtes, tu  E  me chatouilles,

                     Commences pas, à   S me recommencer,

                  D’accord si tu veux  *  pour la papouille,

              Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

           Faut-il opter pour avoir  le  dos  tourné,

       Et chacun de son côté  embrasse oreiller,

    L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

 À la tête vide, comme  en  néant, tombée.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes

Il n’y a plus rien qui nous retienne.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Belle silhouette

D’une jeune femme,

De profil, le dos cambré

Nue  et offerte aux touchers !

.

703 4

.

 

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

 .

Symbolique 

.

Un profil,

Est, bien sûr,

  Une vue  de côté

        Celui  d’une  femme

              Est  différent  de  celui

                    D’homme quel qu’il soit,

                         Il est plus petit et cambré,

                          Où la femme laissera voir,

                            Sinon  entrevoir,  marquer,

                           La  présence  de  ses  seins,

                       Vers   l’avant : en   somme

              C’est un profil en courbes

     Avec une pointe où bras

Rendus  derrière le dos,

 Long du corps dégagent

     Un vide comme lumière.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

.

Symbolique

 .

Un des sens          est mis en œuvre

Par la main, nous per       met de mieux connaitre

Environnement    peut          pallier à  tous dangers.

 .

La main  est la  partie           la plus mobile du corps,

Touche, palpe, discerne         volume  ou  une matière.

 .

Le toucher implique           une notion de proximité,

De   contact    d’où          vient    l’attouchement.

 .

Au   plan   intéri         eur, le toucher serait

Délicatesse,      tact, raffinement

Et dis         cernement.

ledifice.net

 .

 .

Fond/forme 

 .

De face, de dos, de trois quarts, de profil :

Autant de positions et postures différentes

Qui jouent sur la perception des silhouettes

À chacun de présenter son meilleur profil.

.

Il est certain que de dos, c’est plus délicat,

Ça veut dire que l’autre on ne fait pas cas

Tandis que de face, tout est grand ouvert

On pourra se parler tout en se tortillant.

.

Textuels et illustrations  >>

702 – Allongé, au lit, contre ton dos, une main

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Épouser les formes

D’un corps comme parfait

 Double  féminin de soi-même,

Complément idéal, pour se faire,

Pour se complaire et se satisfaire,

De doux divins  contacts  qu’il lui

Procurerait, et ce,  en tous lieux

Tous temps   comme amants.

Ses courbes    très lascives

S’étalant     sur un lit,

Aban-don-nées,

Aux bons soins

De  son  aimé !

.

Allongé, au lit, contre ton dos,

Ma main arrondissant ton sein,

L’autre, enfouie entre tes jambes

Le ventre, contre belles  hanches,

Je me sens comme lové, nu sur toi.

.

Je me sens comme  un enfant et roi,

Tu dors, tu respires de tout ton corps,

J’écoute les frémissements de ton âme,

Qui rêve d’un amour pur et total encore.

.

En toi, un ange  et un démon, se blâment,

Jusqu’où notre amour demeurera sublime

Comment éviter  qu’il ne tombe en abîme :

Surtout, te réveille pas,  ne te retourne pas,

Si le temps s’arrête, tu ne peux le brusquer.

.

Restons là, collés l’un à l’autre, par pensées,

Ton corps étranger au mien épouse, fatigué,

Si ton sommeil ne m’appartient pas, il est là

Il  inscrit, en l’esprit, nos  profonds  soupirs.

.

Soupirs de plénitudes, loin de toute solitude,

Nous sommes deux à combler notre finitude

Je me sens comme entier, bonheur  premier,

Si je ne dors pas, c’est pour mieux… profiter

.

De cette nuit d’enfer, passée contre ton dos

Brulant mes ailes contre ton feu d’amour

Et si demain ne rime pas avec toujours

La nuit était belle  et ton corps beau.

.

Corps  beau : pardon, encore  belle,

Tant ne marquant le poids des ans,

L’amour serait-il  une  ritournelle,

Contentant amants intermittents.

.

Vie d’artiste est-elle  impromptue

Est-elle un rôle principal, dévolu

À vivre une musique en concert,

Pour des jours avec des zestes 

D’amours, comme desserts.  

 

Extensions

 .

Presque tous les dos nus de femmes

Se ressemblent, de loin,

Mais certains  sont plus évocateurs

 Qu’autres de sensualité.

 .

Lors ce n’est pas même de sexualité.

Plus encore que de face

 Ou de côté, ressemble à un abandon

Ou une offrande, allongée.

 .

Enfin ses courbes sont révélatrices

De grâce naturelle sans

Qu’on puisse réellement s’expliquer

Ni pourquoi ni comment !

 .

Le creux des hanches et de la taille

Souligne les rondeurs ou

Les maigreurs des côtes et cuisses :

Rien n’échappe à la colonne.

 .

Ah, le  dos… ré… mi… fa… sol… la… si… do !

Le dos d’une femme ressemble au dos du violon

Et main de l’amant est l’archet que le fait résonner

Allons, allons, on se calme avec toutes comparaisons,

Photographes et sculpteurs nous ont donné le la du dos,

Poètes et littérateurs n’ont plus grand-chose à … rajouter :

Sculpture, dessin, photo d’art, transfigurent le corps féminin

Que ce soit de face, de profil, voire de dos, une âme transpire

Et quand on les contemple et les admire, la sienne soupire !

.

Lovés l’un sur l’autre : ventre contre dos,

À même de sentir moindre désir de peau,

Le plaisir ne pourra monter que très haut.

.

Formes s’épousent pour former seul corps

Les caresses demandent  encore et encore,

Et les désirs grimpent  de plus en plus fort.

.

Le va et vient instaure comme une musique,

Où la moindre note n’a plus rien de pudique,

Et le tout finit sur point d’orgue orgasmique.

.

Dos contre dos, position d’avant, et d’après,

Position d’éveil de son désir et son sommeil,

En un silence qui respire, soupire, bonheur.

.

Fragments

.

Allongé au lit, contre ton dos :

Je m’y suis lové, en amoureux :

Faut croire qu’amour a bon dos

Jamais je ne serai plus heureux.

.

Que ce soit, de dos, de face, côté,

Toutes les positions, les postures

Seront à prendre, sont à épouser

Augmentent envie, température.

.

Mais un dos n’est rien qu’un dos,

Il ne pratique  aucune ouverture :

On s’y colle s’y frotte sauf froidure,

Mais pour moi, toujours un cadeau.

.

Ce qui a lieu en dos, ne nous est visible,

Son aspect symbolisme est comme tourné

Vers ce qui nous est inconscient et invisible

Pour connaitre son visage, faut le retourner.

.

Pour autant, il n’en reste pas moins désirable

Comment, d’ailleurs pourrait-il être détestable

À défaut de la toucher, il demeurera honorable,

Rien que de l’admirer, je me sentirais coupable.

.

Illustrations : visuels, scénario et fiction

.

Calligramme

.

Épouser les formes

D’un corps comme parfait

 Double  féminin de soi-même,

Complément idéal, pour se faire,

Pour se complaire et se satisfaire,

De doux divins  contacts  qu’il lui

Procurerait, et ce,  en tous lieux

Tous temps   comme amants.

Ses courbes    très lascives

S’étalant     sur un lit,

Aban-don-nées,

Aux bons soins

De  son  aimé !

.

Allongé, au lit,   A  contre ton dos,

Ma main arron    L  dissant ton sein,

L’autre, enfouie     L   entre tes jambes

Le ventre, contre    O     belles  hanches,

Je me sens comme   N       lové, nu sur toi.

Je me sens comme    G       un enfant et roi.

Tu dors, tu respires    É      de tout ton corps,

J’écoute les frémisse    *       ments de ton âme

Qui rêve d’un amour    A     pur et total encore,

En toi, un ange et un    U      démon se blâment,

Jusqu’où notre amour   *     demeurera sublime,

Comment éviter qu’il    L     ne tombe en abîme.

Surtout te réveille pas  I       ne te retourne pas

Si temps s’arrête, tu   T      peux le brusquer.

.

Restons là, collés l’un à l’autre, par pensées,

Ton corps étranger au mien épouse, fatigué,

Si ton sommeil ne m’appartient pas, il est là

Il inscrit, en l’esprit   *  nos  profonds soupirs

Soupir de plénitudes   C    loin de toute solitude

Nous sommes deux à     O    combler notre finitude

Je me sens comme en     N     tier, bonheur  premier

Si je ne dors pas c’est      T     pour mieux en profiter

De cette nuit d’enfer,      R      passée contre ton dos

Brulant mes ailes con    E        tre ton feu d’amour

Et si demain ne rime    *           pas avec toujours

La nuit était belle et    *             ton corps beau.

Corps beau, pardon   T                encore belle

Tant ne marquant    O        le poids des ans

L’amour serait-il            la  ritournelle,

Contentant amants *         intermittents.

Vie artiste est-elle  *         impromptue

Est-elle rôle prin  D         cipal dévolu

À vivre musique  O         en concert,

Pour les jours     S          des zestes 

D’amours com   *     me desserts.  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum

Dos de femme nue,

 Jusqu’à  mi-jambes

Bien désirable !

.

702 4

.

Un dos de femme sera différent

De celui d’un homme :

Taille, bassin, jambe, épaule, tout est

Désirable enveloppant.

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme du dos

Rappelle ce qui est caché

Et essentiel dans l’homme

Finalement : c’est  le  sacré.

Notre  expérience  de  l’espace

Implique  ce  fait  incontournable.

Ce qui a lieu en dos ne nous est pas visible,

D’où premier aspect du symbolisme du dos,

Le côté du corps tourné vers le non-visible,

C’est-à-dire l’inconscient, qui échappe à

Notre conscience vigilante habituelle.

Ce qui se passe, derrière notre dos

Représente ce que nous ignorons

De nous-mêmes, notre ombre.

lemondeduyoga.org/la-vie-

du-yoga/le-symbolisme-du-dos

.

.

Fond

 .

Évocation

.

702 6

.

Un dos de femme sera bien différent

De celui d’un homme :

Taille, bassin, jambe, épaule, tout est

Désirable enveloppant.

 .

Symbolique 

 .

Être désirable, c’est quoi ?

C’est, par définition, une femme

À laquelle on ne peut pas résister.

 .

Mais  surtout,  c’est une femme

Qui connait parfaitement ses

Charmes  et  atouts  et  sait

Les utiliser à bon escient…

 .

Et comme en chaque femme

Se cache quelque chose, nous

Avons fait  le tour de ces détails

Qui changent tout,  petits charmes

 .

Sur  lesquels nous pouvons  compter

Et avec lesquels, sûrs, nous pourrions

Contrôler monde, sachant les révéler.

aufeminin.com/vie-de-couple/

charme-femme-s2491718.html

.

.

Fond/forme

.

Dos de femme désirable avec le reste

Aux bons mots s’ajoutera le bon geste

Mais où commence je dos et ou finit-il

De la nuque jusqu’aux  ras des fesses !

Avec ces courbes galbées, à la taille,

Prééminence de colonne vertébrale

Et lors se met à bouger, se lover,

Prend l’allure d’une couleuvre

Dont le soupir est en œuvre.

.

Textuels et illustrations  >> 

701 – Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai à autre

Chose en nouveauté.

.

Ça me stimule moins

Qu’avant, plus excité,

C’était quand même,

Un plaisir et inégalé.

.

Ça restera  souvenir

Des jeunes années :

Je  ne saurais  dire

Comment le désir

S’en    est    allé,

Petit  à  petit

À tomber

Si  plat

Que

V

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous  forcer à séduire

Au corps, au sexe vous réduire.

.

Croisant une belle femme, de jour,

Vous la regardez en esthète glamour,

Elle ne peut  et ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez juste qu’à vous entretenir.

.

Entre vos bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en  demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession de faire de vous surhomme.

.

Faire l’amour n’est pas une des … obligations

Qui vous empêche de vivre dans notre société,

Tout ce temps libre gagné pourra être occupé

 À faire autre chose qui stimule autre passion.

.

Mais le choix définitif entre raison, passion,

Faisant taire le désir vous pousse à mourir

Bien avant l’heure,  il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer qui vous fait exister.

.

Extensions

.

Si vous n’y prenez garde,

Faites comme si cela n’avait

D’importance que celle qu’on

Veut bien lui donner : très peu !

.

Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour

Vous voilà libre comme l’air de faire autre chose

Et vous distraire, amour n’est pas fait que pour ça

Mais autant pour se faire, se construire à deux

Et se soutenir, dans les moments difficiles !

.

Il paraitrait qu’il existe des jeunes gens

Qui se disent, non attirés par le sexe,

Et qui vivent ensemble chastement

Comme frère et sœur et sans que,

La moindre envie, moindre désir

Ne les attire  comme, à l’inverse !

.

Il existe des gens vieux qui se clament

Obsédés par le sexe et qui ne pourraient

S’en passer, quitte à le payer et à dépenser

Tout leur argent, ou presque, pour le pratiquer.

La sagesse suppose quelque vertu mais pas trop.

.

Qui a dit que  faire l’amour  était un désir universel, un devoir

Il faut que cela reste un vrai plaisir et pas que pour procréer.

Bon, si ça n’apporte rien, qu’on a essayé, qu’on n’a pas envie

Ça se comprend très bien mais l’inverse aussi et tout autant.

On ne peut avoir envie tout le temps à moins d’en être addict

Quant à combien de fois  et avec qui : à chacun  d’en décider !

.

Notre désir de faire l’amour,

Si puissant et si varié, soit-il

Peut, un jour, se ternir, finir

Cela pour des tas de raisons

Physiologiques  …  d’abord,

Psychologiques  … Ensuite,

Et sociologiques   … enfin !

.

Physio parce qu’il y a l’âge,

Psycho parce que routine,

Socio parce que par rejets,

Rejet partenaire potentiel,

Voilà la vie du désir sexuel

Escamoté,  presque castré,

À ne plus savoir qu’en faire.

.

Il y a ceux chez qui, le désir amoureux,

Dure et perdure comme au premier jour,

Ils entretiennent la flamme comme si sans

Elle, ils ont l’impression qu’ils vont mourir !

.

Fragments

.

Si pour certains, faire l’amour,

Est un rituel, ou voire un devoir,

Pour la grande majorité, j’espère,

Le sexe est lien à pulsion du désir.

.

On avance chez l’homme : mécanique,

Pas besoin de les rouler devant une fille

Il banderait même rien qu’en y pensant,

Autrement dit, ça marche tout le temps !

.

Ça reste à voir tant avec le temps castrant

La libido décroit mais il n’y a pas que cela

L’alcool, la cigarette, le repas trop copieux

Voilà qu’on bande, difficilement, au pieu !

.

J’ai la faiblesse de penser que désir sexuel,

Dure plus longtemps au-dessus de ceinture

Qu’en dessous, voire que sous tous dessous,

Il se déclencherait et s’entretiendra en tête.

.

Quand la libido fera défaut, le sexe tombera

On passe d’une fois semaine à une fois mois,

Et puis après, en pleine dérive, on s’en passe,

Pourquoi en faire priorité quand on est lassé.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai  à  autre

Chose    U  nouveauté.

Ça me sti  N  mule moins

Qu’avant    *    plus excité,

Mais c’était quand même,

Un plaisir     J  et inégalé.

Ça restera   O    souvenir

De jeunes   U    années :

Je ne sau  R  rais dire

Comment le  désir

S’en   est   allé,

Petit à petit

À tomber

Si plat

Que

V

.

**********************

***********************************

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous    C   forcer à séduire

Au corps, au sexe    E        vous réduire.

Croisant une belle   S     femme, de jour,

Vous la regardez   S   en esthète glamour,

Elle ne peut et     E   ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez    *    juste qu’à vous entretenir !

Entre vos     D    bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un       É   acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en   S       demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession      I     de faire de vous surhomme.

Faire l’amour n’est pas     R      une des… obligations

Qui vous empêche de vivre    *     dans notre société,

Tout ce temps libre gagné   A     pourra être occupé

 À faire autre chose qui      M stimule autre passion.

Mais le choix définitif    O   entre raison, passion,

Faisant taire le désir   U   vous pousse à mourir,

Bien avant l’heure   R     il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer   qui  vous  fait  exister.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

C’est La flamme du désir

Chaudron  des  pulsions :

Quand  ça bout  et de partout,

Faut venir à bout sinon il s’éteint.

.

701 4

.

 

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

Voilà une belle métaphore d’un désir fort

Il suffit se souler le couvercle pour le voir,

Tant et si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Symbolique 

 .

Chacun  sait  que le  chaudron

Est   le   creuset   de   l’alchimiste

À l’intérieur duquel transformation

Et la guérison se produisent et nous

Le   contenons   en  …     nous-mêmes,

Dans   notre    région     abdominale.

Cette alchimie interne était déjà bien

Connue dans toute ancienne Chine

Sous  le  nom  de  Neidan  dont

Le but était d’unir le yin et le

yang, acquérir longévité

et voire immortalité.

sciencetradition.forumactif.com/

t337-le-symbole-du-chaudron

 

.

Fond

 .

Évocation 

.

701 6

.

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

 .

Symbolique 

 .

Souvent la routine

S’installe dans notre vie

 .

À tel point que toute flamme

Intérieure  de  l’amour  s’éteint

Lentement presque inexorablement.

 .

Comment ne pas vous laisser entraîner

Par ce tourbillon infernal de vieux couple

 .

Comment raviver         une flamme intérieure

Qui ne souhaiterait               qu’une seule chose :

 .

Briller, revivre si                      non mieux du moins

Autant qu’avant                           voir différemment.

.

.

Fond/forme 

.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

Tout cela est banal, cela n’a l’air de rien

Et pourtant c’est le désir qu’il renferme

Et la grande énergie qu’il consommera

Qui nous mènera et nous fera avancer

Une fois fini, il éteint mais se rallume

Comme ces bougies d’anniversaires

Qui le font et le refont et sans fin !

.

Textuels et illustrations  >>

608 – J’ai passé ma nuit contre ta peau… nue

Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Épouser formes de ton corps,

En collé  contre ta peau, nue,

J’en rêve, je m’y vois encore.

.

Fantasme, récurent devenu :

En tous points l’ai confondue

Avec la mienne et en continu

.

Bien que, tes pleins, et creux,

Restent différents des miens :

Me demande si notre étreinte

A bien eu lieu, n’est pas feinte.

.

Qu’importe, lors la nuit passée,

Aura   été, pleinement, comblée,

Par grain, grâce, de tes touchers.

.

J’ai passé la nuit contre ta peau nue

Tellement ému à ce point que j’ai cru

Qu’elle devenait mienne et en  continu,

Bien que n’aies pas sa douceur charnue !

.

Ta tête, creux de l’épaule, enfouie,

Respirait un même air  d’endormi,

À ce point que ton  soupir épanoui

Soufflait mêmes  rêves compromis.

.

Tu as, souvent,  changé de position

Mais mon  corps a suivi transition

Jusqu’à épouser sa forme, en rond,

Fœtus, chien  de fusil  ou  en  long.

.

Petit matin, lors tu es enfin réveillée

Ne savais où  était ta main, mon pied

Tant nous étions en corps enchevêtrés

À ne plus pouvoir  d’autre, se détacher.

.

Nulle étreinte, avant pendant, après nuit

Tant nos cœurs étaient satisfaits transis.

D’épouser un corps  de femme…  amie,

Me demande si j’ai touché âme aussi.

.

Extensions

 .

L’âme est intouchable,

Par définition, « incouchable »

Aussi mais il nous restera son aura,

Il restera son mystère, il restera son sourire

Me parlant de ton univers intérieur, imaginaire,

Ta peau nue contre la mienne, rien ne la remplace,

Rien ne me fait davantage exister de manière

Simple, naturelle, comme allant de soi,

Comme si ta peau était en soie

Que son toucher me rendait

Comme électrisé,

Magique en toi.

.

Il y a différentes peaux, différentes formes, différentes odeurs :

Toutes ses sensations se mélangent, sous les touchers d’un cœur,

Qui bat dès qu’il sent la peau nue d’une partenaire, durant l’heure

À laquelle émane d’elle, cette incroyable impression de … douceur.

Réminiscence inconsciente de la peau de sa propre mère, étant bébé

Ou découverte d’une autre et qui procure des sensations renouvelées.

Chaque peau, chaque forme, chaque odeur,  a ses attraits, répulsions,

Sans qu’on soit vraiment maître de leurs élections, leurs persévération

Celui qui n’a pas de nez, de sensibilité du toucher, ne sait  ce qu’il perd !

.

Notre corps serait, en définitive, morcelé

Certaines parties sont du domaine public

Tandis que la majorité, du domaine  privé

On le voit sur les plages sauf des nudistes !

.

Entre voir, entrevoir, approcher, toucher,

Il y a toute la gradation de la proxémique

Qui tient compte des coutumes, des règles

Et voir même parfois d’interdits religieux.

.

Période de Covid, toucher les joues, mains,

N’est pas recommandé, uniquement coudes

On n’empêchera pas amoureux de se toucher

Lors c’est du domaine privé, de la sensualité !

.

Fragments

.

La peau a une odeur, une saveur,

La peau a un toucher, une couleur,

La peau à une forme,  une splendeur,

La peau est protection de son intérieur.

.

Un corps épouse un autre, collé contre lui,

Les deux forment un duo des plus épanouis

En caressant le corps nu, on atteindra aussi

Âme s’y promenant, de jour comme de nuit.

.

L’émotion est à son comble à endroit intime

Lors une main s’en approche en plein estime

En quête de consentements pour belle union,

Mêlant corps amoureux, en pleine confusion.

.

Arrive que le simple contact d’une peau douce,

Peau de pêche, peau lisse, peau souple, parfaite

Réveille des sensations évoquant sa propre mère

Provoquant une profonde émission des chaleurs.

.

Le parfum s’applique, s’imprime, sur toute peau,

Si deux se mélangent, suite aux contacts intimes,

Ils peuvent autant se renforcer que se repousser :

Toute la chimie et alchimie d’amour, concentrée.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Épouser formes de ton corps,

En collé  contre ta peau, nue,

J’en rêve,  je m’y vois encore.

Fantasme, récurent devenu :

En tous points l’ai confondue

Avec la mienne et en continu

.

Bien que, tes pleins, et creux,

Restent différents des miens :

Me demande si notre étreinte

A bien eu lieu, n’est pas feinte.

.

Qu’importe, lors la nuit passée,

Aura  été, pleinement, comblée,

Par grain, grâce, de tes touchers.

.

J’ai passé la nuit contre ta peau nue

Tellement ému à ce point que j’ai cru

Qu’elle devenait mienne et en  continu,

Bien que n’aies pas sa douceur charnue !

.

Ta tête, creux de l’épaule,  J           C    enfouie,

Respirait un même air   ‘              O    d’endormi,

À ce point que ton   A                N   soupir épanoui

Soufflait mêmes    I                  T   rêves compromis.

Tu as souvent    *                   R      changé de position

Mais mon      P                    E   corps a suivi transition

Jusqu’à       A                      *  épouser sa forme en rond

Fœtus          S                      T  chien de fusil ou en long.

Petit matin,   S                    A   lors tu es enfin réveillée

Ne savais où      É                 *  était ta main, mon pied

Tant nous étions   *               P    en corps enchevêtrés

À ne plus pouvoir   N            E   d’autre, se détacher.

Nulle étreinte, avant  U        A  pendant, après nuit

Tant nos cœurs étaient I      U    satisfaits transis.

D’épouser un corps        T    *    de femme amie,

Me demande si j’ai        *    touché âme aussi.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une bouteille, ou un vase,

Ou encore un flacon mais :

Une odeur probablement

Et qui collera à la peau.

.

608 4

.

Chaque peau, comme chacun le sait,

 Aurait sa propre odeur :

Il vaut mieux qu’elles s’accordent

 Dans tous nos actes intimes.

  .

Symbolique 

 .

Les odeurs

S’offrent-elles à notre nez :

Non, il les fabrique en partie,

Sont-elles              détachables

Des objets  qui  les dégagent ?

 

Non,  impossible de convoquer

L’image d’une odeur qui ne soit

L’odeur de           quelque chose.

Se   souvient-on   d’une   odeur ?

 

À proprement         parler,      non,

On se souvient  de l’avoir déjà sentie.

Pouvons-nous     décrire   cette   odeur ?

Non, pas plus qu’expression d’un visage.

 

C’est parce    que nous   avons conscience

D’une odeur    sous  la  seule   forme  de

« L’effet que  cela fait » de la sentir.

journals.openedition.org/terrain/4325

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

608 6

.

Chaque peau, comme chacun le sait,

 Aurait ses propres odeurs :

Et il vaut mieux qu’elles s’accordent

 Dans tous nos actes intimes.

 .

Symbolique 

 .

L’intimité réfère

Au sentiment d’association

Personnelle proche avec autrui.

.

Elle se rapporte à une connexion

Familière et affectivement très étroite

Avec d’autres en résultat à un certain

Nombre  d’expériences  communes.

.

L’intimité  est  véritable  demande

Des échanges,  la transparence,

La réciprocité et incidemment

Une certaine vulnérabilité.

fr.wikipedia.org/wiki/Intimité

 .

.

Fond/forme 

 .

La peau serait-elle la couverture

 De l’âme autant  que corps entier ?

.

On serait en droit de se le demander

Quand l’on entend  dire, de  quelqu’un

Qu’il a émotions, nerfs, à fleur de peau,

Comme si son âme  se mettrait à vibrer !

.

Ce n’est rien d’autre apparence, substance

Nous protégeant de toute agression externe,

En réalité c’est aussi une surface de séduction

Qui, par sa forme et son grain, nous attire !

.

Textuels et illustrations >>