724 – Mon corps qu’un bel amour subordonne

Visuels et textuels  >>

.

 C’est sûr : l’état amoureux

Conditionne notre corps

Par plein d’hormones

Encore … et encore

Et plein de choses

Vont  se modifier.

Déjà … l’appétit

Puis  le sommeil

Fatigue   et  stress,

Plus vite disparaissent

Bonne humeur, humour

Plus vite … apparaissent.

.

C’est mon corps qu’un bel

Amour en moi subordonne

Mon corps qui  … se repose,

Qui lutte et qui s’abandonne

Qui s’active,  souffre  et jouit,

Toujours, en  donnant, de lui,

Sa part  belle, des plus actives.

L’amour,  de quoi,  ou, de qui ?

.

D’abord, et, avant tout : de lui !

Mais de l’estime d’autres, aussi.

Il donne en aucun cas, le change

Duran  son plus intime  échange,

De fait si mon esprit parti ailleurs

Mon âme deviendra hors bonheur

.

Je   demeurerai fatigué comme lui

Si ce n’est même très fatigué de lui,

Même si pour tout il  me  supporte,

Même quand je   frappe, à sa porte,

Toujours il m’aide  il me transporte

Mon  corps, beau, pour lui, est laid

Pour d’autres, du moins, commun,

Est seul  que  j’ai, et  qui  lui plait.

.

Il n’a, pourtant, rien  de  si divin.

Pour qu’on  le prenne  en main

Lové  en ce creux où il se met,

Se met  à bouger   et à jouir,

Jusqu’à  n’en  plus dormir,

Jusqu’au dernier soupir,

Qu’il  laisse  s’alanguir.

.

Et je remplis ma nuit

De ma folle  pensée,

De recommencer,

Et, aujourd’hui,

À me reposer,

À  réactiver,

Mon désir

Incarné.

.

.

Extensions

 .

Corps qu’un bel amour subordonne,

Qu’un tendre baiser déboutonne,

Relâchant de tous ses muscles

Lors les caresses le parcourent, du haut en bas.

Il vibre, à fond, à l’intérieur, rempli de joies et d’hormones

Et, à l’extérieur, en sa peau, pétrie de pores  qui  frissonnent,

Le tout montant jusqu’au cerveau, ou des pieds jusqu’à la tête.

.

Le matin, il se lève d’un bon pied, prêt à affronter la journée

Émaillée de mille et une péripéties mais qui le rendront

Des plus aguerris. On le croit, fatigué, lassé, exténué,

Mais en un lit, il retrouve un fond secret d’énergie

Qu’il a préservé pour faire honneur à sa chérie.

.

Le corps trouve de l’énergie… insoupçonnée

Par l’intermédiaire de l’amour… physique,

Le corps de l’homme sera constitué ainsi

Qu’il est presque toujours prêt à emploi.

Celui de la femme est soumis à des lois

Qui la mettent en condition ou pas,

Si ce n’est prétexte, ne veut pas !

.

Mon corps est mon apparence, identité,

Mon corps est ma corpulence et agilité,

Mon corps est résonnance émotionnée,

Mon corps apporte énergies d’activités.

.

Et en deçà, au-delà, de lui, de tout cela,

Mon corps, par amour, est subordonné,

N’est autre que véhicule de mes pensées,

Ressent, en lui, comme frisson d’éternité.

.

Il faiblit, vieillit, parfois même en maladie

Mais il reste fidèle à l’amour que j’ai de lui,

Et que je distribue, à tout alentour, çà et là,

Dont je réserve, la majeure partie, pour toi !

.

.

724 – Calligramme 

 .

C’est sûr : l’état amoureux

Conditionne notre corps

Par plein d’hormones

Encore … et encore

Et plein de choses

Vont  se modifier.

  Déjà   M     l’appétit

 Puis le  O      sommeil

Fatigue   N       et stress,

Plus vite    * disparaissent.

Bonne hu     C   meur, humour

Plus   vite        O        apparaissent.

C’est mon           R        corps qu’un bel

Amour en             P        moi subordonne

Mon corps             S               qui se repose

Qui lutte et             *           qui s’abandonne

Qui s’active,            Q            souffre, et jouit,

Toujours, en            U            donnant, de lui,

Sa part belle,             ‘             des plus actives.

L’amour,  de             A         quoi,  ou, de qui ?

D’abord, et,              M      avant  tout : de lui !

Mais de l’est              O      ime  d’autres, aussi.

Il donne, en               U     aucun cas, le change

Durant   son              R     plus intime échange,

De fait si mon            *     esprit, parti, ailleurs

Mon  âme  devi         S      endra hors bonheur

Je   demeurerai        U        fatigué comme lui

Si ce n’est même      B        très fatigué de lui,

Même si en tout      O          il  me  supporte,

Même quand je      R         frappe, sa porte,

Toujours il aide     D        il me transporte

Mon corps, beau   O        pour lui est laid

Pour d’autres       N       sinon commun,

Est seul que j’ai  N      et qui lui plait.

Il n’a pourtant   E    rien de si divin.

Pour qu’on le      prenne en main

Lové dans le creux où il se met

Se met  à bouger   et à jouir,

Jusqu’à n’en  plus dormir,

Jusqu’au dernier soupir,

Qu’il  laisse  s’alanguir.

Et je remplis ma nuit

De ma folle  pensée,

De recommencer,

Et, aujourd’hui,

À me reposer,

 À  réactiver,

Mon désir

Incarné.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

724 4

.

Un beau corps est

 Aussi  une  belle

Métaphore,

Amphore.

.

Amphore comme métaphore du corps

aucune ne pourrait bien lui ressembler

mais la forme, l’évoquera comme fond

.

L’amour en devenant très fort se renferme

En son amphore

Où les deux corps n’en feront plus qu’un :

Belle métaphore !

.

Symbolique 

 .

La  symbolique de l’amphore

Est connectée avec l’origine de la vie

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

La   métaphore est, toujours, celle

De la femme  comme  conteneur

Comme dispensatrice de la vie

De même que Le graal étant

Lui-même un conteneur,

Il possède aussi  cette

Image  du  vase  en

Symbole créé

Divin.

.

Descriptif

.

724 – Mon corps qu’amour subordonne 

  Alignement central    /   Titre  droit    /   Thème corps

Forme en ovale /Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : amphore  /  Symbole de fond : métaphore

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

724 6

.

L’amour en devenant très fort se renferme

En son amphore

Où les deux corps n’en feront plus qu’un :

Belle métaphore !

 .

Symbolique 

.

Une métaphore

Figure de style consistant

À désigner une idée ou chose

En employant un autre mot

Que  celui  qui  conviendrait.

.

Il est  lié  à la chose  que l’on

Veut  désigner   par  rapport

De ressemblance approchée.

Elle est  régie   par l’analogie,

Constituée de deux éléments,

Le comparé et le comparant,

Premier  est  l’objet, personne

Ou la chose  que l’on compare

Second ce à quoi on rapproche.

.

Lors par exemple, si l’on dit ceci :

«Cette femme est une véritable déesse»,

« Femme» est bien évidemment le comparé

Et « Déesse» bien évidemment le comparant !

Source : Alanguefrancaise.com/litterature/metaphore

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La tête, le corps, la jambe, le pied

L’amphore a un peu de tout cela

À l’intérieur, contenu est subtil

L’amour est sujet d’hormones,

L’amour est sujet d’émotions,

L’amour est affaire de cœur

 Et autant de l’inconscient :

Tout amour subordonne !

 .

.

Mariage : subordination ?

.

Scénario

.

Mon corps qu’un bel amour déshabille,

mon corps qu’un bel amour écarquille,

 mon corps qu’un bel amour banderille.

 .

Visuels et textuels  >>

676 – Si grâce admet que tout est chimie en amour

Visuels et textuels  >>

.

La grâce est-elle quelque chose

De plus  que l’action chimique,

Ou bien de pure cristallisation,

De celle-ci  et pour sa visibilité.

Et charme est-il  quelque chose

De différent d’action  chimique,

Ou, de complémentaire, de l’air,

Qu’elle dégage,  en l’atmosphère.

.

La grâce et charme ont forcément

Un substrat charnel et émotionnel,

Et en deviennent leurs harmoniques

Qui nous feront leurs effets magiques.

.

Et si tout ne s’explique pas par l’attrait

Il nous  faudra admettre  quelque secret,

Qui  nous  échappe, et, qui nous subsume :

La grâce n’est pas  une force  qu’on résume !

..

Si grâce admet  que tout est chimie en amour

Ses fantasmes … comment les mettre au jour ;

Si aucune grâce ne se décrète …  de l’intérieur,

Ne peut  se mesurer, sur sa simple apparence,

Son appréciation ne peut être que subjective,

Dépendante pour partie de son état et objet

Auquel  on voue  son regard, contemplatif.

.

Le charme, si on le définit, par l’attrait,

Somme des traits ne sont pas charme

On dira c’est une chose impalpable

Comme le parfum comme l’aura

Constituée par mille éléments

Et par aucun, en particulier.

.

Et  l’envoutement, comment

Le qualifier de déraisonnable,

Comme un instrument du diable

Pour mettre quelqu’un à sa merci,

Or, il ne serait que fausse perception

De  l’objet, même irréel,  de sa passion.

.

Ces trois qualificatifs    s’appliquent de fait,

D’un point de vue commun  à peu de personnes

Qui dégageront un supplément d’âme, intemporel,

Sublimant présence, silhouette, séduction, charnelles.

.

Et ils deviennent des mythes, tels que Marilyn Monroe,

Ou  autres stars, ayant traversé écrans de projections,

S’ancrant en mémoire  comme  obscure possession

Par leur grâce, leur charme, leur envoutement.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi faudrait-il

Plaindre ceux ou celles

Qui n’en ont pas, de grâce,

N’en dégagent ou lors survient,

L’on ne percevra que son extérieur.

Beauté intérieure demande du temps,

De l’énergie, patience pour être révélée,

Afin qu’avant de retomber sur ses pieds,

Qu’on soit  le seul être, à en être gratifié !

Subtil, fugace : grâce n’est jamais tactile ;

Aérien et fragile, le charme est troublant ;

Tenace, et voire  attachant, l’envoutement

Est toujours pesant en s’en débarrassant.

Les trois ne font qu’un quand l’amour

Sera victime d’un coup de foudre.

.

Chimie, alchimie, boulimie, monogamie, antinomie,

Des mots qui, en substances,  attirent ou repoussent :

S’il suffisait de boire un philtre magique pour l’amour,

Cela se saurait, en dépit de chamanes qui le pratiquent.

Qu’aura à voir un amour cérébral avec un amour animal !

Dans les deux cas, il est question d’aura, mais de quel aura :

Celui de l’attrait naturel comme don ou du charisme sociétal ?

.

Une part de chimie, une part de mystère :

L’amour équilibre entre le corps et l’esprit,

Nombre attirances, entre deux partenaires,

Qui se croisent le jour, se retrouvent la nuit.

.

Lors l’altérité et la chimie vont bien ensemble

On nous invoquera alors une sorte d’alchimie,

Combinant les sens  et l’essence, qui les réunit,

Jusqu’à ce que leurs deux corps  s’assemblent !

.

Si la grâce ne suffit pas au lit, chimie non plus,

Il faut trouver, sinon, créer supplément d’âme,

Qui fait qu’on désire sans cesse recommencer,

Jusqu’à plus soif et voire jusqu’à plus de fin !

.

.

676 – Calligramme

 .

 C H A R M E   ET  G R Â C E,

La grâce est-elle quelque chose

De plus  que l’action chimique,

Ou bien de pure cristallisation,

De celle-ci  et pour sa visibilité.

Et charme est-il  quelque chose

De différent d’action  chimique,

Ou, de complémentaire, de l’air,

Qu’elle dégage,  en l’atmosphère.

.

La grâce et charme ont forcément

Un substrat charnel et émotionnel,

Et en deviennent leurs harmoniques

Qui nous feront leurs effets magiques

Et si tout ne s’explique pas par l’attrait

Il nous  faudra admettre  quelque secret,

Qui  nous  échappe, et, qui nous subsume :

La grâce n’est pas  une force  qu’on résume !

Si grâce admet  que tout est chimie en amour

Ses fantasmes … comment les mettre au jour ;

Si aucune grâce ne se décrète …  de l’intérieur,

Ne peut  se mesurer, sur sa simple apparence,

Son appréciation ne peut être que subjective,

Dépendante pour partie de son état et objet

Auquel  on voue  son regard, contemplatif.

.

N E  S O N T-I L S   QUE  C H I M I E 

Le charme, si on le définit, par l’attrait,

Somme des traits ne sont pas charme

On dira c’est une chose impalpable

Comme le parfum comme l’aura

Constituée par mille éléments

Et par aucun, en particulier.

.

Et  l’envoutement, comment

Le qualifier de déraisonnable,

Comme un instrument du diable

Pour mettre quelqu’un à sa merci,

Or, il ne serait que fausse perception

De  l’objet, même irréel,  de sa passion.

.

Ces trois qualificatifs    s’appliquent de fait,

D’un point de vue commun  à peu de personnes

Qui dégageront un supplément d’âme, intemporel,

Sublimant présence, silhouette, séduction, charnelles,

Et ils deviennent des mythes,  tels que Marilyn Monroe ;

Ou autres stars ayant       traversé      écrans de projection,

S’ancrant en mémoire       comme           obscure possession

Par leur grâce, leur            charme,           leur envoutement.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

676 4

.

Deux étages d’une fusée lunaire,

Ou objet d’art des plus décoratifs

Lampe  à huile … probablement,

 Lampe à huile, en conscience

.

La lampe éclaire à la fois corps, esprit

elle met tout en lumière, en conscience,

même si elle génère une part d’ombre,

sa forme évoquera toujours son fond.

.

Pour voir clair, nous avons besoin de

 Lampe à huile, allumée :

Peut-elle diffuser senteurs d’hormones

Augmentant la conscience

.

Symbolique de fond

.

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, dans tous les contextes

Mythologiques, symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe représente

Particulièrement le conscient.

.

Qui est entre les mains et sous le contrôle

De l’être humain, par contraste avec

La lumière du soleil, de nature

Divine et cosmique.

.

Descriptif

 .

676 – Charme, grâce, ne sont-ils que chimie !

  Alignement central   /   Titre absent    /   Thème matière

Formes en ovale / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : conscience

.

.

Fond

 .

Évocation

.

676 6

.

Pour voir clair, nous avons besoin de

 Lampe à huile allumée :

Peut-elle diffuser senteurs d’hormones

Augmentant la conscience

.

Symbolique 

.

Le Symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez  Grimm, la lumière  chasse

L’amant  caché  de  l’héroïne.

La lumière, en mythologie,

Symbolise  la  conscience.

.

La  lumière  d’une   lampe

Représente particulièrement

Le conscient qui est entre mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature terrestre, divine et cosmique !

.

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

La Lampe d’Aladin possède bien des pouvoirs

Fruit d’un pacte avec un personnage de l’histoire

Ici ce n’est pas que la chimie qui agit : l’alchimie !

Il est question en effet de magie, de transmutation

Tout se passe dans la conscience d’un rêveur agité

Qui trouve ce subterfuge pour échapper à la mort.

.

Mais il le conduira de péripéties en péripéties,

En conte appelée « des milles et une nuits »

La grâce ne se travaille pas, elle existe

ou pas, c’est un don naturel du ciel,

on sent quand elle est artificielle

si toute sa vie elle persiste.

 .

.

Chimie de l’amour !

.

Scénario

.

L’alchimie du cœur dans une simple éprouvette !

L’alchimie de la grâce  dans un tableau de maître !

La chimie des sensations  dans enveloppe corporelle !

 .

Visuels et textuels  >>

477 – Vibrations voix, mots, qui envoûtent


Visuels et textuels >>

.

La voix, les mots, les vibrations,

Les résonnances, les consonances,

Tout cela crée une petite musique,

Qui s’orchestre, s’amplifie, en tête.

.

Et l’envoutement par voix est fatal

Quand ce ne sont plus  les paroles,

Que l’on  entend  mais  des  sons,

Nous charmant  par leurs tons.

.

On repère mots par ci,  par-là,

Prenant sens qu’on ordonne

Que colimaçon coordonne,

Lors donnant son tempo.

.

Ta voix, mots m’envoutent,

Ôtent, de ma bouche, doute,

Parfum de toilette de violette,

Me fait toujours tourner la tête,

Ton regard plongé dans mon âme,

De son essence  en  moi s’enflamme.

.

Ta peau douce au toucher de pêche,

Que pas un grain malin n’empêche

De presser et de caresser à loisir,

Jusqu’au paroxysme

D’un désir

.

Impressionne tous mes neurones

Tellement, elle  est belle,  est bonne.

Déliés ronds de ta courbe conjuguent

Des grammaires en perte de tous sens,

En périphrases  ou en phrases denses,

Mouvements lascifs qui subjuguent

Nos corps communicant amour

Début de nuit jusqu’à

La fin du jour.

.

Vibrations de ta voix douce

Jointes à  une belle frimousse,

Captivent chacune  mes attentions

À en attiser au plus haut ma passion,

Me poussant à   franchir  le Rubicond,

D’un fleuve  qui a, amour  pour nom.

Ta voix,  tes mots qui m’envoutent,

Sont loin de ce que je redoute,

 Confiante, tu me rassures

Sur route prise

Avec toi.

.

Tes gestes, tes mouvements, souples,

Sont autant d’arabesques qui dessinent

Des danses où la pesanteur est… absente,

Où la grâce et charme sont constantes,

À tel point que je te repère de loin

Dans mon champ de vision.

.

.

Extension

.

Tes vibrations orales,

Vibrations hormonales sont capitales :

Tout en toi vibre d’ondes n’étant pas captées

Que par moi en ventres, nœuds, phases,

En superpositions quasi totales.

.

Tes vibrations de voix, en mots,

Qui m’envoutent par ses tons, accords,

Harmoniques, interprètent en mon cerveau

Une symphonie diatonique et qui tire

Et pousse vers un hymne lyrique.

.

Quand je suis point, tu es contrepoint,

Quand je suis basse tu es un grande soprane,

Quand je suis contrebasse, tu es picolo,

Quand je suis dièse, tu es bémol.

.

Quand  finira-t-on sur point d’orgue commun.

Que tu cries fort ou que tu murmures,

Les sons de ta voix me parviennent

Comme un chant qui résonne à mes oreilles

Comme des incantations me mettant

Aussitôt dans un état second, où l’amour,

Produit sortes de réverbérations.

.

Dire que notre voix est une  signature sonore est comme évidence

Elle est constituée d’un fondamental, harmoniques, résonances !

Et pas deux ne se superposent totalement, sauf en chant choral.

Mots Zic  et Musiques s’associent, se confondent, se répondent,

Et ce doux mélange nous attirent et envoutent de leur mélodie

Et quand la chanteuse, à voix suave, se lance, seule, à capella,

Des frissons se mettent à parcourir votre corps, votre peau !

.

Un seul mot sorti de sa bouche lors d’une danse

Peut parfois stopper bel élan vers l’attrait sensuel

Tout semblait si parfait tant qu’il ou elle ne parlait

Et voilà que le seul son de sa voix, écorce l’oreille.

.

Il y a ce que l’on dit et la manière dont on le dit

Le charme d’une voix peut créer sorte de musique

On ne sait ce qu’il a dit que déjà d’accord avec lui

Tout comme si c’était des harmoniques de sons.

.

On dit qu’on est sur la même longueur d’ondes

Et on sait que des ondes inverses se contrarient

D’où vient cette harmonie ou bien cacophonie :

De la bouche, du palais ou de gorge profonde !

.

.

Épilogue

.

Voix des sirènes, sont, parait-il, envoutantes,

Voix célestes d’oiseaux de proie dans les airs,

Voix lointaine des profondeurs d’océan d’eau,

On ne peut leur résister et d’aucune manière.

.

On sait que la voix suave chuchotée à l’oreille,

Quelque part en notre esprit, l’amour réveille,

Comme si un ange, en nous, soudain, pénètre,

Utilisant son timbre de voix en notre fenêtre !

.

Son onde se superpose sur la même longueur,

Nous plongeant dans une humeur de langueur,

Qui se répandra en antichambre d’un bonheur,

Qui ne peut que m’être bénéfique à cette heure.

.

J’arrête là mon délire d’un monologue intérieur

Sinon l’on va me rappeler que j’entends des voix

Mais mes yeux ne me trompent, tu es sur scène,

Et j’écoute ta chanson qui me berce les tympans.

.

.

477 – Calligramme

.

La voix, les mots V   les vibrations,

Les résonnances     I   les consonances,

Tout cela crée            B       petite musique,

Qui s’orchestre               R        s’amplifie en tête.

Et l’envoutement              A             par voix est fatal

Quand ce ne sont                T                 plus les paroles,

Que l’on entend                I                 mais des sons,

Nous charmant            O             par leurs tons.

On repère mots        N         par ci,  par-là,

Prenant le sens   S    qu’on ordonne

Que colimaçon coordonne,

Donnant le tempo

Ta voix, mots, m’envoutent,

Otent, de ma bouche, tout doute,

Parfum de toi       E        lette violette,

Me fait toujours       N         tourner la tête,

Ton regard plongé        *              dans mon âme,

De son essence  en           V              moi s’enflamme.

Ta peau douce au         O         toucher de pêche,

Que pas un grain     I     malin n’empêche

De presser et de   X  caresser à loisir,

Jusqu’au paroxysme

D’un désir

Impressionne tous mes neurones

Tellement, elle     D  est belle,  bonne.

Déliés ronds de              E     ta courbe conjuguent

Des grammaires                  *           en perte de tous sens,

En périphrases                 M            en phrases denses,

Mouvements las          O      cifs qui subjuguent

Nos corps com        T    municant amour

Début de       S   nuit jusqu’à

La fin du jour.

Vibrations de ta voix douce

Jointes  Q  à  une belle E  frimousse,

Captivent  U   chacune  mes  N   attentions

À en attiser   I   au plus haut ma      V     passion,

Me poussant     *        à   franchir  le       O      Rubicond,

D’un fleuve     S        qui a, amour     U     pour nom.

Ta voix,  tes   O       mots, qui    T   m’envoutent,

Sont loin de   N      ce que   A    je redoute

 Confiance  T      toi   N  me rassure

Sur route   T    prise

Avec    S      toi.

Tes gestes, tes mouvements, souples,

Sont autant d’arabesques qui dessinent

Des danses où la pesanteur est… absente,

Où la grâce et charme sont constantes,

À tel point que je te repère de loin

Dans mon champ de vision.

.

.

Forme

.

.

477 4

.

Évocation

 .

En haut une bouche

En train   de  chanter

Une longe onde de vie,

Musicale voire cérébrale.

 .

L’onde de vie, surtout celle des voix,

 Peut devenir magique ;

Dès lors qu’elle ébranle les circonvolutions

Du cerveau limbique !

.

Symbolique    

 .

Les  vibrations  sont

Un tout dans l’univers,

Un monde  de basses  et

De hautes .… fréquences,

Une création de chaque instant

Où se vit la vérité ou bien l’illusion.

 .

Chacun  a  accès à  ces  ondes de vie,

Qui ont des vibrations à chaque instant

Car elles sont créées par vos pensées,

Par vos paroles  et  par vos actions.

 .

Chaque être sera pourvu d’un peu

De la toute-puissance de l’univers

Et doit, aujourd’hui, connaître

La portée de ses ..… créations.

 .

L’onde de vie est forte, puissante.

Elle définit la puissance des énergies

Afin que vienne la guérison en chacun….

audeladesmots.org/?tag=londe-de-vie

.

Descriptif

.

477 – Vibrations en voix de mots qui envoûtent

Alignement central /  Titre droit cercle / Thème  ondes

Forme losange /  Rimes égales   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : onde-vie / Symbole de fond : cerveau

.

.

Fond

.

Évocation 

.

477 6

.

L’onde cérébrale provient du dedans, du cerveau

Alpha, bêta,  gamma, etc.

On n’en a peu conscience mais elle a son importance

Pour créer des harmoniques.

 .

Symbolique 

 .

Existe 5 types d’ondes cérébrales

Qui  fonctionnent, presque, comme

Des notes  de musiques …  calibrées.

Certaines agissent à basse fréquence,

D’autres à une fréquence plus élevée.

.

Ensemble, elles sont capables de

Constituer une harmonie où

Nos pensées, nos émotions

Et nos sensations peuvent

Atteindre un équilibre parfait,

De sorte que nous nous sentirons

Plus attentifs, réceptifs à ce qui entoure.

Source : nospensees.fr/types-dondes

  .

.

  Corrélations

Fond/forme 

.

L’onde est par nature, sinusoïdale, impulsionnelle

En se propageant, rime et rythme avec elle-même

En finissant par se dissoudre en distance à l’infini

Et tant et si bien que forme se conjugue avec fond

Sans prendre en compte contenus sémantiques,

Simplement ses creux et bosses en musiques,

Parvenant, sympathiques, antipathiques,

Comme voix murmurante, tonitruante

Nous charmant l’oreille, l’écorchant.

 .

Visuel

.

 .

 Envoutement par la voix

.

Visuels et textuels >>

476 – Couleurs de cheveux, de peaux

Visuels et textuels >>  

.

Les blondes, brunes  et  rousses,

Ont toutes de belles frimousses,

Et, surtout  en jeunes, pousses

Nous attirent ou repoussent.

.

Les blondes aux yeux bleus,

Les brunes, aux yeux noirs,

Les rousses, aux yeux verts,

Premières, ont la peau claire

Secondes,  ont la peau  hâlée,

Dernières ont peau mouchetée.

.

Qu’importe les cheveux, peaux, yeux,

L’essentiel n’est-il pas reflet harmonie.

J’oublie de parler, des gris et des blancs

Rabougris par le sang voire par le temps.

Ils n’en demeureront, pas moins,  attirants

Même s’ils flottent, et bien moins, aux vents.

.

Certains n’aiment que  les blondes,

Pour eux : la perfection  du  monde,

Autres n’en ont que pour les brunes,

Tant elles les enivreront  en  brumes,

Des plus rares,  préfèrent  les rousses,

Bien que devenant un feu de brousses.

.

Les premières  ont teints  peaux dorées,

Secondes ont des visages les plus halés,

Dernières,  peaux blanches mouchetées,

Premières, elles ont hérité d’yeux bleus,

Les secondes,    de regards  très envieux,

Dernières, d’iris émeraude vert radieux.

.

Qu’importe  peaux, ou yeux ou  cheveux,

L’essentiel serait  le reflet, et l’harmonie,

De leurs sourires qui les font bien pétiller

D’airs de charmes, de  grâces  amabilités,

Imprimant, en eux  leur âme,  qui choisit

Une couleur qui vous  mènera  aux cieux.

.

Entre les trois bon nombre de métissages

Viennent ajouter les fruits  d’un partage :

Noir, jaune, blanc, voire rouge en nuage,

Chacun les voient  un peu  à son image :

L’un changera d’avis,  prenant de l’âge,

L’autre teindra ses cheveux trop  sages.

.

J’oublie de parler des gris, et des blancs,

N’auront-ils donc aucun charme  éclatant,

Seront-ils dégradés ou pimentés hors d’âge,

Rabougris par le sang voire  par le temps,

Ils ne flottent plus jeunesse dans le vent

Pour qu’on les demande en mariage.

.

Si cheveux se ternissent ou se ravivent,

Et les peaux se relâchent s’affermissent,

Du temps,  on veut cacher  les prémisses,

Seuls les yeux échappent  à ses supplices.

Regards pour croque-la-vie,  rajeunissent,

Un jour de toute façon,  faut que  ça finisse.

.

.

Extension

.

Ce discours ci, haut en couleurs,

S’achève sur une note optimiste d’humeur,

En vous prédisant que les teintes du bonheur,

Changeantes et surprenantes de fraicheurs,

Pourront  habiller… toutes vos années,

Vos mois, vos jours et vos heures.

.

Jeunes femmes et bien plus encore coiffeuses et maquilleuses,

Vous diront tout sur l’importance de la couleur des cheveux ;

Les dermatologues, de la peau ; les psychologues, des yeux.

Les romanciers, scénaristes, poètes, de leurs assemblages,

 Publicistes, de les avoir photographiés et photoshoppés !

Viendra le temps ou la génétique aura fait des progrès

Au point de pouvoir choisir : sera-ce un mal ou bien,

Nul ne le sait et d’autant que l’on peut déjà tricher

Jusqu’à un certain point, âge découvrant vérité.

.

Qu’est-ce qu’on voit, en premier, chez l’humain :

Les yeux, les cheveux, la peau et leurs couleurs

Et ensuite  on filtre, on décode, on interprète,

Fonction des stéréotypes et des préférences.

.

Or voilà, on peut tricher, sauf sur la peau,

Les cheveux bruns sont teintés en blond,

Et les yeux bleus ont des lentilles vertes,

Sur la peau, on peut gommer des rides.

.

Se maquiller, respectant âge et naturel,

Exhausse votre beauté, présence, attrait,

Mais quand trop, c’est trop, voire mal fait,

Il y a tromperie volontaire chez lui, chez elle.

.

.

476 – Calligramme 

.

Les blondes, brunes et  rousses,

Ont toutes de belles frimousses,

 Et surtout en  &  jeunes pousses

   Nous attirent C    ou repoussent.

   Les blondes   O  aux yeux bleus,

      Les brunes,   U   aux yeux noirs,

           Les rousses,  L      aux yeux verts,

            Premières,  E ont la peau claire

                    Secondes    U    ont la peau  hâlée,

                             Dernières   R ont la peau mouchetée.

                                    Qu’importe S  les cheveux, peaux, yeux,

                                           L’essentiel  & n’est-il pas reflet harmonie.

                                              J’oublie de  D  parler, des gris, des blancs

                                                   Rabougris   E  par le sang ou par le temps

                                                        Ils n’en demeureront, pas moins … attirants

                                                          Même s’ils flottent, et bien moins, aux vents

                                                           Certains n’aiment que         C       les blondes

                                                          Pour eux : la perfection      H       du monde

                                                          Autres n’en ont que pour    E        les brunes

                                                           Tant elles les enivreront      V        en brumes

                                                          Des plus rares préfèrent      E        les rousses

                                                         Bien que devenant un feu   U      de brousses

                                                        Les premières ont teints     X    peaux dorées

                                                      Secondes, ont des visages    &   les plus halés

                                                    Dernières, peaux blanches   &    mouchetées

                                                    Premières, elles ont hérité   D    d’yeux bleus

                                                    Les secondes,  de regards     E     très envieux

                                                     Dernières, d’iris émeraude    &     vert radieux.

                                                  Qu’importe  peaux, ou yeux   &    ou  cheveux

                                                   L’essentiel serait  le reflet, et   P     l’harmonie,

                                                    De leurs sourires qui les font   E     bien pétiller

                                                  D’airs de charmes, de  grâces   A     amabilités,

                                                 Imprimant en eux  leur âme     U     qui choisit

                                                Une couleur qui vous  mènera   X    aux cieux.

                                                  Entre les trois, bon nombre de   &    métissages

                                                   Viennent ajouter les fruits  d’un  D    par-ta-ge.

                                                   Noir, jaune, blanc, voire rouge      ‘    en nuage,

                                                 Chacun les voient un peu à son     Y    image.

                                                  L’un changera d’avis prenant de     E      l’âge,

                                                  L’autre teindra ses cheveux trop     U    sages.

                                                    J’oublie de parler des gris, et des    X     blancs,

                                                    N’auront-ils donc aucun charme    &    éclatant,

                                                   Seront-ils dégradés ou pimentés   &   hors d’âge.

                                             Rabougris par le sang voire  par  &   le temps,

                                            Ils ne flottent plus jeunesse    &    dans le vent

                                       Pour qu’on les demande     &      en mariage.

                                     Si cheveux se ternissent    &      ou se ravivent,

                                Et les peaux se relâchent    &      s’affermissent.

                         Du temps,  on veut cacher   &      les prémisses

                            Seuls les yeux échappent       &        à ses supplices.

                       Regards pour croque-la-vie     &        rajeunissent,

                     Un jour de toute façon,  il faut  &  que  ça finisse.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

Une chevelure féminine,

Avec une couleur rousse,

Et  avec  des anglaises,

Mais d’un seul côté ?

 .

Nombre de chevelures féminines sont longues, flottantes,

Le plus souvent soit derrière, sinon sur un côté, les deux

Ici, c’est sur un seul, et même, peut-être, par devant !

.

Une chevelure longue, courte, garçonne… bouclée

Autant de choix, de possibilité

Sans compter cheveux additionnels, ou perruques

Tout est langage, tout est symbole.

 .

Symbolique    

.

Les cheveux,

Et notamment la façon

Dont ils sont coiffés,

Reflètent la personnalité.

.

Ils sont également un langage social,

Dont les codes changent constamment,

Au grès de la mode.

.

La chevelure des femmes

A toujours eu connotation érotique.

C’est ainsi que nombreuses religions,

Notamment  le christianisme, l’islam

Interdisaient aux femmes de dévoiler

Leur chevelure car cela était considéré

Comme un manque de pudeur.

Source : 1001 symboles : chevelure

 

Descriptif

.

476Couleurs de cheveux, de peaux, d’yeux

Alignement central /  Titre analogue / Thème  chevelure

Forme courbe /  Rimes égales   / Fond  approché de forme

Symbole de forme : cheveux / Symbole de fond : couleur

 .

.

Fond

.

Évocation 

476 4

.

Couleur des cheveux va souvent avec

Celle de la peau et des yeux :

Une rousse à peau blanche, yeux verts,

 La rendrait merveilleuse !

 .

 Symbolique 

Brune affirmée et entreprenante,

Blonde douce, effacée, rousse pétante

Les stéréotypes liés à couleur de cheveux

Évoluent selon les époques, selon les cultures.

.

À une certaine époque, la couleur symbolisait

La démarcation sociale : aristocrate portait

Des perruques enveloppantes, et, longues

La coiffure est toujours un «objet social»,

Mais codes ont évolué.  Michel Messu

Modifié, source : madame.lefigaro.fr

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Cheveux ont une couleur, parfois même deux, trois

Si l’on fait des mèches ou si l’on devient poivre et sel

Les peaux de même avec dégradé entre noir et blanc

N’oublions pas les yeux, blancs, iris, parfois vairons

Mais on peut mettre la perruque, appliquer teinture

On peut mettre  du fond de teint, blanchir  la peau,

On peut mettre des lentilles  de diverses couleurs.

.

Toutes ses modifications  n’auront  pour seul but

Que  de paraitre, différemment, de ce  qu’on est.

Voilà qui se correspond parfaitement  en chœur

La courbure de la chevelure et voire sa couleur,

Les rimes qui sont autant de volutes et d’ondes,

Tant et si bien que fond et forme se confondent,

Et qu’au fond sur la forme : y a rien à ajouter.

 .

Visuel

.

.

 Diverses couleurs de peaux des mains.

.

.

Couleur

.

Dictionnaire Le Robert : Caractère d’une lumière,

De la surface d’un objet, impression visuelle particulière

Qu’elles produisent. Propriété que l’on attribue à la lumière,

Aux objets, de produire une telle impression sur notre vision.

Les couleurs fondamentales sont : le Rouge, le Bleu, et le Vert,

Couleurs de  pigments de l’œil, symboliques de terre, eau, végétal.

L’harmonie des couleurs procède au mélange additif et soustractif.
.

Il existe une multitude de nuances dans couleurs dites , oubliées,

Amarante et magenta pour rouge, cyan et outremer pour bleu

Ou kaki et nankin pour jaune; céladon et glauque pour  vert.

Le cercle chromatique du peintre Eugène Chevreul

Fut à l’origine de la peinture impressionniste

Et sert encore de document de référence

 . 

 « La perception des couleurs n’a pas de valeur universelle. Les croyances, valeurs, symboles attachés aux couleurs, interprétations varient à travers le monde : la couleur est un produit culturel. Le bleu est la couleur du ciel, de l’esprit : pensée ; le rouge est la couleur du sang : passion et sentiment ; le jaune est la couleur de la lumière, de l’or : intuition ;  le vert; couleur de la nature, de la croissance,  sensation. » D’après Jung

 

Autre symbolisme des couleurs.

Le rouge ou orange, le feu.

Le jaune ou le blanc, l’air. 

Le vert ou le bleu, l’eau. 

Le noir, brun, la terre.

Le noir, le temps.

Le blanc, l’intemporel.

Noir et blanc : alternance de l’obscurité et de la lumière.

Toutes couleurs claires, ou vives, ou gaies : bon présage !

Couleurs sombres, brouillées, indécises : déboires et soucis.

 

Les sept couleurs de l’arc-en-ciel

Ont été mises en correspondance

Et avec les sept notes de musiques,

Cieux, planètes, jours de la semaine.

 

Si rouge, couleur du feu, soleil couchant

Est, partout, symbole d’ardeur, passion,

il est couleur néfaste chez les égyptiens.

.

Et, si le vert, la couleur des végétaux,

Est symbole de vie, comme d’espoir,

Les acteurs, chez nous le redoutent.

Le noir, couleur d’âme immortelle,

et signe de la calamité et de deuil.

Le bleu,  celle du sentiment élevé,

Le jaune, celle de l’or et du soleil,

Lors le blanc, celle de la pureté !

.

Visuels et textuels >>  

475 – Courant de mon regard vers ta peau

Visuels et textuels   >>

.

Les yeux du

Corps : aussi

D’esprit, si ce

N’est, du cœur !

.

 Les yeux transforment réalité

Pour donner sens et consistance.

Sensations,  perceptions,  émotions

Sont décodées  par filtres, sociétés.

.

Être touché à distance, d’un regard,

Comme si la peau  avait  des yeux :

L’on se verrait, comme  en miroir

Reflétant ce que l’on est d’espoir.

.

Je sais que c’est délirant et c’est fou,

Il me plait  d’y croire, et, par-dessus tout,

Tant tu m’as touché à travers ton regard

Est-ce cause chimie, fruit du hasard !

.

Qui ne voit qu’avec ses yeux

Ne découvre rien avec le cœur,

Les yeux ne  voient qu’extérieur,

Lors la tête interprète ses enjeux.

.

La vision est faite de projections,

Dont la portée  n’est pas donnée :

Voir un doigt n’est pas direction,

Ni l’horizon,  le bout de son nez !

.

Qui sent chez  toi odeur de rose,

Au parfum su ave, ou capiteux,

Se retrouve vite sous hypnose

Par ses touchers voluptueux.

.

L’impression est une chose,

Qui donne sens à la réalité,

Sur elle, s’attarde, se pose,

Un savoir bien mémorisé :

À toi de la voir et décoder,

Aies confiance en  sagacité.

.

Qui ne fait erreur humaine,

Confond des vérités, vaines.

Entre ta peau et mon regard

Il y a une sensation projetée,

Déclenchant émotion bizarre,

De l’avoir auparavant touchée.

.

Alors même que,  cette réaction,

Se produit pour la première fois,

En  moi, comme irrationnel émoi,

Me fait dire que  c’est une passion,

Pour toi, avant, déjà,  la  contrôler.

.

Amour échappe à tout calcul donné,

Tu m’as touché à travers ton regard,

Est-ce chimie, ou poésie, ou hasard !

.

.

Extensions

.

Qu’un simple regard fasse frissonner

Une peau toute entière de la tête aux pieds,

Ça parait être d’ordre magique plus que chimique

Et pourtant tout est physique, tout est chimie.

.

En bref, tout est physico-chimique et ondes

Émises par les yeux en sont sans savoir

Comment elles se constituent

Et pourquoi certains, certaines

Les reçoivent, décodent, interprètent

Comme un message qui leur est destiné

Lors d’autres, pourtant…semblables, non.

.

« Être touché  par un regard »  est l’expression,

C’est certain, à prendre au sens figuré, mais elle

Illustre bien l’intensité d’un faisceau, transmettant

Des ondes quasi-immatérielles, en tous cas, invisibles.

.

L’essentiel est dans les yeux, dans un regard qui ne trompe pas,

Tant sa transparence se transforme un gage de son authenticité

Mais les regards ne chercheront pas que sexe, en un tel échange,

Ils tendent à percer, fouiller l’âme, voir si un démon ou  un ange

L’habite et correspond ou non au sien ou le pourchasse pervers.

Il arrive qu’un simple regard procure  des frissons sur la peau !

Et plus étonnant encore, sur la nuque : invisible mais touchant

Comme si un courant porteur, en se branchant sur son… aura,

Parvenait à électriser, insidieusement, la peau, voire le corps !

.

Tout est dans le regard, pour certains

Pour d’autres, tout est dans la peau,

On croit déceler intention dans l’un,

On croit voir peaux, sous oripeaux.

.

Toujours est-il que certains regards

Vous procurent comme des frissons,

On ne sait de peur ou bien d’abandon

Rendant en tous cas, un peu, hagards !

.

Il en est qui vous transpercent le tréfonds,

Autres vous enveloppent, bercent, à foison :

Meilleur regard n’est pas celui qui questionne

Qui vous répond par oui, à celle que vous posez.

.

Un regard doux, caressant, ne manque pas de sel

Il ajoute de l’eau à votre propre moulin des désirs

Il se suffira, en lui-même, pour accrocher un cœur

Qui se sent pénétré comme par immense bonheur.

.

.

Épilogue

.

On pourrait rapprocher deux regards

Entre deux personnes qui se croisent,

D’un courant qui passe, qui électrise

Un courant qui s’établit et qui ravit.

.

Pas que l’œil qui entre en vibrations

Le cœur aussi et puis tout le cerveau

Parcourt d’un frisson, toute la peau,

Provoquant du même coup, passion.

.

Y a de la physique et y a de la chimie

En ces courants porteurs d’émotions,

Dépassant les regards, les sublimant,

Comme on serait attiré par aimants !

.

C’est ce qui fait, dit-on, le sel de la vie

Tant donne un coup de nerfs à l’envie

Sans compter la saveur toute nouvelle

D’une rencontre inopinée, bien réelle.

.

L’essentiel n’est-il pas dans nos yeux :

Notre regard triste n’est perçu joyeux,

Il en est de même du regard amoureux

Il n’est pas trompeur, presque sérieux !

.

.

475 – Calligramme

.

 Les yeux du

Corps : aussi

D’esprit, si ce

 N’est, du cœur !

.

 Les yeux transforment réalité

Pour donner sens et consistance.

Sensation, per  C   ception, émotion

Sont décodées par    O   filtre sociétés.

Être touché à distance,  U    d’un regard,

Comme si la peau avait      R     des yeux :

L’on se verrait, comme         A     en miroir

Reflétant ce que l’on est       N       d’espoir.

Je sais que c’est délirant     T   et c’est fou,

Il me plait  d’y croire, et, par-dessus tout,

Tant tu m’as touché à travers ton regard

Est-ce cause chimie, fruit du hasard !

.

Qui ne voit   D   qu’avec ses yeux

Ne découvre   E   rien avec le cœur,

Les yeux ne     *  voient qu’extérieur,

Lors la tête in  M  terprète ses enjeux.

La vision est     O   faite de projections

Dont la portée   N      n’est pas donnée :

Voir un doigt    *     n’est pas direction,

Ni l’horizon      R     le bout de son nez.

Qui sent chez   E     toi odeur de rose,

Au parfum su   G   ave, ou capiteux,

Se retrouve vi   A   te sous hypnose

Par ses touchers  R     voluptueux.

L’impression est   D   une chose,

Qui donne sens à  *   la réalité,

Sur elle, s’attarde,  A   se pose,

Un savoir bien mé  T morisé :

À toi de la voir et   T décoder,

Aies confiance en   E  sagacité.

Qui ne fait erreur  I   humaine,

Confond des véri   N tés, vaines.

Entre ta peau et    D mon regard

Il y a une sensa     R tion projetée,

Déclenchant émo  A    tion bizarre,

De l’avoir aupara   *    vant touchée.

Alors même que,   T   cette réaction,

Se produit pour   A   la première fois

En moi, comme   *    irrationnel émoi,

Me fait dire que   P   c’est une passion,

Pour toi, avant     E    déjà  la contrôler.

Amour échappe    A  à tout calcul donné,

Tu m’as touché à  U    travers ton regard,

Est-ce chimie, ou  *  poésie,  ou     hasard !

.

.

Forme

.

.

475 4

.

Évocation

 .

Un moulin à poivre ou à sel 

Que du regard on reconnait

Et dont la forme nous plait ?

 .

Difficile de trouver lien entre moulin et regard

Comme on peut le faire entre moulin et parole

Ici, c’est plutôt le sel qui exhausse le regard.

 .

Un moulin qui ne manque pas de sel

En tout cas, pas du poivre

Vu sa blancheur, et vu sa consistance

Pour savoir : tourner, goutez !

 . 

Symbolique 

 .

Depuis des millénaires,

Le sel  est associé à toutes

Les activités humaines.

.

Il est à la fois le

Condiment indispensable

À l’agrément des mets,

Un puissant conservateur

Alimentaire, mais aussi

Un agent corrosif et destructeur.

.

Il n’est donc pas étonnant que,

Dans toutes les civilisations,

Les croyances qui lui sont attachées

Soient nombreuses et divergentes.

Historia.fr/ne-pas-renverser-la-salière

.

Descriptif

.

475Courant de mon regard atteindra ta peau

Alignement central /  Titre serpentin / Thème  ondes

Forme ronde  droite /  Rimes égales   / Fond  approché de forme

Symbole de forme : moulin / Symbole de fond : regard

.

.

Fond

.

Évocation 

.

475 6.

Un regard pourra être neutre,

Peut être fade, être acide :

Si l’on y a trouvé un peu de sel,

C’est qu’il était intense.

 .

Symbolique 

 .

Selon une étude, le premier regard

Est déterminant en évaluation rapide, fiable

D’une relation amoureuse, éventuellement durable,

Ou au contraire, relation sexuelle spontanée et fugitive.

«L’amour est dans le regard», c’est le titre  d’un article

Paru dans Psychological Science. Lire dans les yeux

Des autres est en quelque sorte une compétence

Précieuse pour explorer une interaction

 Modifié,  source : contrepoint.org

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qu’exprime le regard de plus que la vision

Sinon une intuition, sinon une expression

De sincérité, d’authenticité ou de passion

Mais, il pourra aussi lancer des éclairs,

Sinon  voire des couteaux, fendant l’air,

Il ne peut y avoir de chimie, en regard,

Des ondes, peut-être, et voire  surement !

 .

Son intensité se rapportera à une sorte de sel

Naturel qui proviendrait  de l’intérieur de l’œil,

Comme pour donner du piment à tout ce qu’il voit

Puis interprète, répond en miroir à celui qui le reçoit.

.

Visuel

.

 .

Courant passe par le regard

.

.

Regard

.

Action, manière de diriger les yeux

Vers un objet,  afin de le voir ;

Ainsi qu’expression des yeux

De la personne qui regarde.

.

Le regard de quelqu’un.

Son regard se posa sur moi.

L’expression habituelle des yeux.

.

Un regard : jeter un coup d’œil

Regarder : faire en sorte de voir,

S’appliquer à voir (qqn ou qqch.).

.

Au sens figuré, d’un éclairage :

Envisager de telle ou telle façon.

.

« Mon enfant est habitué avec les enfants qui le côtoient depuis qu’il est petit.  Les enfants l’acceptent tel qu’il est. On dit qu’à cet âge les enfants n’ont pas de préjugés. Mais, je vois les préjugés arriver lorsqu’un enfant plus vieux arrive chez moi et le regarde du coin de l’œil, ne veut pas que mon enfant s’approche de lui, etc. Pourtant, il n’est pas dangereux. C’est ça le plus difficile, le regard des autres sur son enfant. »    educatout.com/edu-conseils/enfants-besoins

.

Le regard est comme la mer, changeant et miroitant, reflet des profondeurs sous-marines et des hauteurs du ciel : parfois tendre câlin … parfois aguicheur, séducteur … parfois perçant, scrutant, … parfois accusant, menaçant. Le regard est un langage qui dit le plus souvent la vérité, contrairement aux paroles et même aux sourires.

.

Symbole de la révélation : le regard d’autrui est un miroir qui reflète deux âmes. Le regard est chargé de des passions de l’âme et doté d’un pouvoir magique qui lui confère une terrible efficacité. Instrument des ordres intérieurs : il tue, il fascine, foudroie, séduit, autant qu’il exprime.

.

On dit que les métamorphoses du regard

Ne révèlent pas seulement celui qui regarde

Révèle aussi celui qui est regardé, réaction.

On peut comprendre et faire comprendre

Beaucoup de choses …  d’un seul regard,

On parle parfois d’œil, regard complice.

.

Si certains porteront leur regard critique

Sur le monde qui les entoure en général,

C’est pour rester lucide et voir la réalité.

.

En peinture, on a, parfois, l’impression

Qu’un personnage vous regarde et suit

On a du mal à se départir de l’illusion

L’illusion est fréquente en la vision

C’est notre cerveau qui la rectifie !

.

Visuels et textuels   >>

474 – Onde amoureuse en mes veines

Visuels et textuels  >> 

.

Toute émotion amoureuse

Ne se produit pas qu’en tête

Corps aussi onde chaleureuse,

Par afflux de sang vous fait fête.

.

Vous pensez pouvoir la maitriser

Ou, mieux  encore, à tous,  cacher,

Or, il n’en est rien : elle vous trahit,

Et peu à peu, à l’autre,  vous traduit.

.

Et, le pire est  qu’elle n’a aucun besoin

 De présence d’autre,  pour se manifester

Car auto-déclenchante et par la pensée,

Elle trouble nos amours contrepoints.

.

Rougir,  pâlir,  trembler, voire suer,

Se mettre, rester en tous ses états,

Que d’émotions pour éponger

Perte de contrôle de soi.

.

Amour,  onde,  se diffuse

En  mes  jeunes veines :

Sang  me rend  confuse

Du front jusqu’à l’aine.

.

Et de rougir  de plaisir,

Mes  tempes  à mourir,

Au point de m’évanouir,

En de profonds  soupirs.

.

Quand tu es là, je suis là,

Notre monde  se rétrécit,

À notre chambre, notre lit

En oubliant  tout, au-delà.

.

Au-delà de quoi, devinez :

De notre corps, notre esprit,

Nenni : nul ne sait, ne saura,

J’en suis moi-même surpris.

.

Sans fin l’instant se répète

Et, après tout, me ravit

De force centripète

Amour à l’infini.

.

Et je n’ai pour

M’en    défendre,

Ou de m’en préserver,

Que  ma  seule unique gorge,

Avec nombre de ses accents, noués.

.

.

Extensions

.

On peut toujours prétendre

Que sa raison domine sur son émotion.

Chacun sait que c’est faux, et dans certains cas

Comme celui de l’amour, de l’attraction, de la pulsion.

On peut calmer sa colère, on peut maitriser sa peur

Or l’émotion amoureuse vous submerge comme

Un raz de marée, prêt à tout, à vous emporter :

Transports de joie, ne dira-t-on pas, pour la

Belle envolée, à deux, en la même nacelle

Que ce soit : bateau, train, voiture,

Avion, attelage, voire chambrée.

Des émotions peuvent se produire

Dans d’autres situations de bien-être,

Devant un plat, un vin, un paysage, bain

Mais l’amour ajoute ce supplément d’âme,

À nul autre pareil dès qu’il s’agit de deux formes

Qui s’habitent en musique orchestrée en harmonie.

La voix semble accompagner en accents touchants

Parce que troublée par une sorte d’impuissance à

Le traduire, sinon comme jouissance à le trahir !

.

Chatouillis dans le ventre,

Charivaris  dans  la  tête,

Frissons  dans  la  peau,

Battements   de cœur :

Sensations, j’en passe

De biens  meilleures

Ondes …  positives

Et envahissantes,

D’un bel amour.

.

Il n’y aurait pas que les phéromones,

Et autres hormones régulant nos désirs,

Il y aurait aussi des ondes, qui parcourent

Nos corps et rayonnent tout autour de nous.

Ondes positive, négatives qui nous atteignent,

Provenant de gens, de lieux ou en même temps,

Des ondes qu’on ne parvient à mesurer, étudier,

Mais que l’on capte et qui nous conditionnent.

On ne sait pas bien quel sens les sent, ressent

On ne sait pas davantage quel sens ils ont,

Il semble que certains y soit sensibles

Et d’autres non, mais pourquoi ?

On parle même d’une aura

Qui l’aura, l’aura pas !

Je ne la sens pas

En tous les cas.

Qu’importe,

Dès lors que

Celles qui sont

En esprit fonctionnent

En amour, et pour le mieux.

.

.

474 – Calligramme

.

Toute émotion amoureuse

Ne se produit O   pas qu’en tête

Corps aussi  N  onde chaleureuse,

Par afflux de sang    D    vous fait fête.

Vous pensez  pouvoir      E      la maitriser

Ou, mieux encore, à tous,   *           la cacher,

Or, il n’en est rien, elle          A          vous trahit,

Et peu à peu, à l’autre         M          vous  traduit.

Et le pire est qu’elle         O        n’a aucun besoin

 De présence d’autre       U      pour se manifester

Car auto-déclenchante    R    et par la pensée,

Elle trouble nos amours   E    contrepoints.

Rougir,  pâlir,  trembler     U  voire suer,

Se mettre, rester en tous ses  S  états,

Que d’émotions pour éponger  E

Perte de contrôle de soi.

.

Amour,  onde,   se diffuse

En mes  jeunes  E   veines :

Sang me rend    N    confuse

Du front jusqu’   *     à l’aine.

Et de rougir      M   de plaisir,

Mes tempes       E     à mourir,

Au point de m’   S      évanouir,

En de profonds   *        soupirs.

.

Quand tu es là     V      je suis là,

Et, notre monde   E   se rétrécit,

À notre chambre   I     à notre lit

En oubliant tout   N      au-delà.

Au-delà de quoi    E      devinez,

De notre corps      S     et esprit

Nenni : nul ne sait, ne saura :

J’en suis moi-même surpris.

Sans fin l’instant se répète

Et, après tout, me ravit

De force centripète

Amour à l’infini.

Et je n’ai pour

M’en    défendre,

Ou de m’en préserver,

Que  ma  seule unique gorge,

Avec nombre de ses accents, noués.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

474 4

.

Évocation

.

Un pied, un corps, une tête

Personnages  amoureux

Ou bien alors un bilboquet,

Comme  autre  jeu  d’adresse.

 .

Rien de commun, a priori, entre onde et bilboquet

Tant elle analogie tiendra trop à l’usage d’un objet :

Il n’empêche de l’évoquer comme avec bien d’autres.

 .

La tige, pointue, est masculine ;

La boule, creuse, serait féminine :

Le symbole est fort mais exercice

Bilboquet requiert maitrise !

.

 Symbolique 

 .

Bilboquet est un jeu d’adresse

Composé d’une tige souvent en bois

Reliée par une cordelette à une boule

Percée d’un ou de plusieurs trous

D’un diamètre ajusté à la tige.

.

Le jeu consiste par

Un mouvement

D’adresse, utilisant

Une seule main,

À lancer la boule

Retenue par la ficelle

De façon qu’elle

 Retombe sur la tige

Et s’y enfile seule.

 Wikipédia

.

Descriptif

 .

474 – Onde amoureuse se diffuse en mes veines

Alignement central /  Titre serpentin / Thème  ondes

Forme ronde  droite /  Rimes égales   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : bilboquet / Symbole de fond : amoureux

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

Deux personnes, personnages amoureux

On ne sait si c’est réel ou joué

Dans les deux cas, on aura tendance à y croire

Lorsqu’on est en même état.

Symbolique 

 .

Le câlin est

Un geste naturel

Et, selon la culture,

Le contexte, la relation,

Permet d’exprimer

Un sentiment de fraternité,

D’affection, d’amitié ou d’amour.

.

Amoureux, il traduit la tendresse,

En laquelle s’agit de se reconnaître,

Comme un être qui attend tout de

Celui ou de celle qui l’entoure.

.

Non plus s’affronter,

Mais s’entourer,

Non plus jouer au plus fort,

Mais se blottir l’un contre

L’autre dans un acte

De confiance réciproque.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qu’une boule creuse rime avec piton pointu

Quoi de plus naturel, et de plus symbolique,

À la fois mais ici, il y a, en plus, une ficelle,

Qui symbolise l’attachement du mariage

Ou qui pourra être bilboquet sexuel.

 .

Visuel

.

 .

Ondes amoureuses en veines

.

Visuels et textuels  >> 

473 – Force d’attraction et répulsion

Visuels et textuels  >> 

.

Plaire : un leitmotiv

Et qui  vous motive

À  paraitre   mieux

Que   ce  que   vous

Êtes  dans la réalité.

Plaire à tout le monde

Demeure impossible,

Car, souvent, l’ombre

Accompagne lumière.

La beauté des femmes

En nombre, publicités,

Est plus que …  surfaite

Si  ce  n’est  photoshopée,

Afin  de  survivre  en société.

.

Difficile de plaire,  en ce monde :

Impossible de plaire à tout le monde.

En ces temps, lieux ou beautés abondent

Peu de personnes avec vous correspondent.

Vous voilà seul au point qu’on vous confonde,

Avec toute une foule de vieux  qui se morfondent.

.

De ne plus inspirer  aux femmes, romances,  fécondes,

Votre désir d’elles s’étiole, rendant votre âme moribonde.

Une rousse, difficile à  séduire ; plus facile, brune ou blonde

Pourtant, vous en avez   laissé, plus d’une, en plan, furibonde !

.

Bien qu’encore nombre fantasmes, envers toutes, vagabondent,

Elles vous considèrent  désuets, voire impuissants, immondes.

Age, apparence, statuts, importent peu pourvu qu’on réponde

Aux critères de choix que vous impose la société, à la ronde.

.

Plaire par vos atours, vos contours, détours, à la seconde

Tant temps reste précieux : peu d’occasions abondent

Vous étiez premier : êtes dernier choix qui fonde

Votre statut d’aventurier solde votre faconde.

.

Petites annonces lancées comme en sondes

Sur marché n’atteignant pas son monde

Ont difficulté  à plaire  si l’on fronde,

En eaux troublantes si l’on gronde.

.

 Et femmes grosses voire girondes

Ou en sus,   à demi pudibondes,

Composeront leurs lots d’ondes

En sondes et  si ce n’est bondes.

.

Attrait, il est vrai, forcera le trait

Lors la répulsion forcera le retrait :

On ne retient que  ce  qu’il  nous plait.

Plaire en devient ce  dictat incontournable

Qui nous rendrait autant détestable qu’aimable.

.

.

Extensions

.

Plaire est une nécessité vitale,

Tant chez l’homme qu’autres animaux,

Ne serait-ce que pour besoins reproduction.

.

À voir les efforts que produisent certains oiseaux

Pour séduire une belle, allant jusqu’à utiliser des leurres

Pour induire sa belle en erreur, pour la séduire, à son profit,

On est en droit de se demander si l’homme arrive à leur portée.

.

En notre monde humain, il y a l’économie, la culture, la mode

Qui interfèrent sur choix purement animal, viscéral, cordial,

Mais les mécanismes du leurre restent bien apparentés.

.

Certains hommes, certaine femmes, plaisent à tout le monde ;

D’autres à personne ou presque, allez comprendre pourquoi ?

« J’ai un piège à filles » disait  la  chanson, de Jacques Dutronc,

 « Elles tombent toutes à mes genoux », comme en … adoration !

Peut-on séduire par la seule force, beauté, de son esprit : non

Parce que l’apparence favorisera l’attrait direct ; esprit, non.

D’ailleurs ça marche aussi en sens inverse : avoir la répulsion

Attraction et répulsion sont les deux pointes d’un fort  aimant

Tout autant que les deux faces d’une même monnaie d’échange.

.

On parle plus souvent en amour

D’attraction bien plus que répulsion,

Le reste n’est qu’intérêt ou indifférence

N’entrainant, en ce sens, aucune passion.

.

Si un être plait par présence, élocution, esprit,

En politiques, en arts, en société, on dira, de lui,

Qu’il a de l’influence, qu’il a un certain charisme,

Ce qu’il est, ce qu’il fait, imposerait sa crédibilité.

.

Il en serait de même en amour, certains, certaines

Plaisent à tout le monde ou presque, sauf répulsion

Tandis que d’autres transparents passent inaperçus,

Le moment de se déclarer sera, toujours, le malvenu.

.

.

473 – Calligramme

.

Plaire : un leitmotiv

Et qui  vous motive

À  paraitre   mieux

Que   ce  que   vous

Êtes  dans la réalité.

Plaire à tout le monde

Demeure impossible,

Car, souvent, l’ombre

Accompagne lumière.

La beauté des femmes

En nombre, publicités,

Est plus que …  surfaite

Si  ce  n’est  photoshopée,

Afin  de  survivre  en société.

.

Difficile de plaire, en ce monde :

Impossible de plaire à tout le monde.

En ces temps, lieux ou beautés abondent

Peu de person  nes avec vous correspondent.

Vous voilà seul   au point qu’on vous confonde,

Avec toute une   foule de vieux  qui se morfondent.

De ne plus inspirer  aux femmes, romances,  fécondes

Votre désir d’elles s’étiole, rendant votre âme moribonde.

Une rousse, difficile à  séduire ; plus facile, brune ou blonde

Pourtant, vous en avez   laissé, plus d’une, en plan, furibonde !

Bien qu’encore nombre  fantasmes, envers toutes, vagabondent,

Elles vous considèrent   F       F   désuets, impuissants, immondes.

Age, apparence, statuts,  O       O  importent peu pourvu on réponde

Aux critères de choix que   R      R   vous impose la société à la ronde.

Plaire par vos atours, vos    C         C   contours, détours, à la seconde

Tant temps reste précieux   E            E   et  peu d’occasions abondent

Vous étiez premier, êtes       *                 *      dernier choix qui fonde

Votre statut d’aventurier    D                     D     solde votre faconde.

Petites annonces lancées     ‘                         E     comme en sondes

Sur marché n’atteignant  A                            *      pas son monde

Ont difficulté à plaire      T                             R      si l’on fronde,

En eaux troublantes      T                              É    si l’on gronde.

 Et femmes grosses       R                             P       ou girondes,

Ou en sus,  à demi     A                              U      pudibondes,

Composeront leur    C                             L         lot d’ondes

En sondes, si ce     T                            S     n’est bondes.

Attrait, il est vrai  I                           I     forcera le trait

Lors la répulsion    O                         O   forcera le retrait :

On ne retient que    N                     N       ce qu’il nous plait.

Plaire en devient ce   *                *   dictat incontournable

Qui nous rendrait lors autant détestable qu’aimable.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

473 4

.

Évocation

 .

Forme  type  bonbonne

Bouteille  de séduction,  

De vin rouge  ou  de rosé

 italienne, ou espagnole ?

 .

 Pour séduire davantage, se différencier

Et se mettre en valeur

Cette bouteille de vin ou d’alcool, choisit

 De s’habiller de pailles !

 .

Symbolique 

 .

Il y a peu de temps encore,

Le vin relevait de la compétence

De la seule gent masculine.

.

Si les femmes pouvaient

Boire et apprécier le vin,

Il semblait en effet contraire

Aux usages qu’elles le manipulent,

Notamment en débouchant bouteilles

Voire, qui plus est, en le servant à table.

.

Quelle est donc l’origine de cet interdit ?

Pourquoi dira-t-on qu’il fait davantage

«Tourner la tête» de bien des femmes ?

Sont-ce alors  les mêmes raisons qui

Empêchent que femme débouche

Les bouteilles de vin et de

Découper la viande à table ?

journals.openedition.org/lhomme/23718

.

Descriptif

 .

473Force d’attraction, force de répulsion !

Alignement central /  Titre dédoublé / Thème  séduction

Forme courbe /  Rimes égales   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : bouteille / Symbole de fond : séduction

.

.

Fond

.

Évocation 

.

 473 6

.

La séduction est-elle un art ou une technique

Qui le sait et qui peut le dire

Gourous disent de porter votre cœur en vous

Quand d’autres, comme ballon.

 .

Symbolique

 .

Séduction compulsive, excessive…

On utilise ces termes à tort et à travers,

Sous couvert de jugements…moralisateurs.

.

Qui n’a jamais entendu dire, à propos d’une,

« Cette fille est une séductrice, vraie compulsive,

À chaque soirée, elle drague un nouvel homme ».

.

Au grand dam des femmes, le fait d’aimer plaire,

Le montrer, est associé à un comportement négatif.

Dans le même cas de figure, l’homme sera qualifié

De « Don Juan ». Côté dramaturge presque noble.

Modifié et mis en forme, source : marieclaire.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La séduction est un art naturel chez les uns

Un subterfuge ou manipulation chez d’autres :

Ici la bouteille est entourée de paille comme pour

Mieux cacher ou pour mettre en valeur le contenu

Le tout rime parfaitement avec la cible de séduction

Telle  enveloppe renforce autant le fond que la forme,

Sans les superposer, confondre, les laissant face à face.

.

Séduire est autant le fait des femmes que des hommes

Et même si la séduction  serait perçue diversement,

Elle resterait indispensable à toute reproduction,

Comme animaux qui ne pourraient s’en priver

Mais si déduire peut utiliser artifice ou leurre

Il y a un moment où comme un boomerang,

La réalité reprend le dessus et vlan, dehors

 .

Visuel

.

.

 Attraction ou répulsion ?

.

Visuels et textuels  >> 

472 – L’amour est chimie et alchimie !

Visuels et textuels  >>

.

Vrai que si l’amour n’était qu’une combinaison,

D’une part, de chimie, de  l’autre, d’alchimie,

Voilà qui réconcilierait  hormone et poésie,

Que l’on soit, dans la rue, et même au lit !

.

Lors on voit des couples  qui se marient

Combien sont vraiment bien assortis ?

On dit que biologie et caractérologie,

Ont bien fait leur mélange, ou, folie.

.

Alchimie apporte sa part de magie

Faisant de l’autre un être unique,

Sensuel autant que  consensuel,

Au singulier, comme au pluriel.

Chimie et alchimie gouvernent

Nos choix pour cœur conquis.

.

Notre choix semble prédéfini,

Choix divergent et convergent

Vers être parfait plus complet,

Qui nous correspond le mieux.

.

Si, par hasard,  l’amour n’était

Que le produit   de nos organes

Comme un animal,  on n’aurait

Rien de divin : tout du profane.

.

Profane, où seul, le corps  dirait,

Celui, ou  celle,  qui nous plairait,

Nous n’aurions qu’à le consommer

Sans penser mystère de l’humanité.

.

Humain, si l’amour n’est que chimie,

Si aucune  alchimie  ne nait en l’esprit

Pourquoi rester fidèle avec le, la même,

S’en séparer tandis qu’il crie «je t’aime».

.

Et si biologie  est une science amoureuse,

Et si caractérologie  est science  marieuse,

Faut admettre que phéromones sexuelles,

Sont favorables aux unions consensuelles.

.

Consensuelles sont à condition être beauté

Bien qu’aucun corps, jamais ne le resterait

Si attrait sélectionnait seul, jamais n’élirait

Gros traits en l’esprit, impossible  à aimer.

.

Aimer  ne peut être  qu’une vraie symbiose,

Loin d’une nouvelle mitose  et voire méiose

Cellulaire qui commandera à un congénère,

D’éliminer, voire  d’imposer  un partenaire.

.

La chimie  avec l’alchimie, en notre cerveau,

Se conjugueront-ils  pour nous rendre beau,

Comment vivre, avec une … beauté gironde,

Blonde, au cerveau  vide, gorge  profonde ?

.

Ridicule, sûr, de nier que la chimie existe

Depuis longtemps, son influence persiste

Bien qu’attraction repose  sur l’émotion,

Il en faut plus pour faire  vraie passion.

.

.

Extension

.

En de nombreux cas,

Notre choix sera prédéfini.

L’alchimie n’est pas que mélange

Et fusion intimes de plusieurs métaux,

Elle est de l’ordre de la magie qui fait que

Tout, en elle, vous réussit, pour renouveler

L’élan de l’ignition première,

L’élan de la consumation entière,

L’élan de la sublimation dernière.

Lors, si les trois  ne font qu’un :

L’amour dépasse l’humain !

Qu’en est-il, d’où vient-il

Et où nous mène-t-il ?

.

Quelle est la différence fondamentale entre chimie et alchimie

La dimension psychique s’ajoute et modifie la réalité physique

Or laquelle a une prévalence sur l’autre et par quel mécanisme.

Il n’y a pas de localisation, centre de l’amour, en corps, cerveau.

On en est réduit à : des conjectures, des hypothèses, suppositions

Pour sûr, face à deux personnes d’apparences pourtant identiques

Le processus amoureux ne fonctionne pas pareil : cherchez l’erreur.

.

La chimie, tout le monde sait ce que c’est

Il s’agit de corps, de substances, d’essences.

L’alchimie, au figuré, qui la fabrique, contrôle

Il semblerait que ce ne soit personne, en amour.

.

Entre deux personnes, à l’instant de rencontre

Et parfois longtemps après, c’est une osmose

Suite à une sorte d’attirance incontrôlable,

Une fusion créant un besoin insatiable !

.

Mais, le pire, et qui sait, le meilleur,

Est qu’il n’y a de raison apparente

Qui justifie ce déraisonnement :

Il ne s’explique, se comprend.

.

.

472 – Calligramme

.

Vrai que si l’amour n’était qu’une combinaison,

D’une part, de chimie, de  l’autre, d’alchimie,

Voilà qui réconcilierait  hormone et poésie,

Que l’on soit, dans la rue, et même au lit !

Lors on voit des couples  qui se marient

Combien sont vraiment bien assortis ?

On dit que biologie et caractérologie,

Ont bien fait leur mélange, ou, folie.

Alchimie apporte sa part de magie

Faisant de l’autre un être unique,

Sensuel autant que  consensuel,

Au singulier, comme au pluriel.

Chimie et alchimie gouvernent

Nos choix pour cœur conquis.

Notre choix semble prédéfini,

Choix divergent et convergent

Vers être parfait plus complet

Qui nous correspond le mieux.

Si par hasard, l ’amour n’était,

Que le produit    de nos organes,

Comme un ani    mal, l’on n’aurait

Rien de divin et   A   tout du profane.

Profane et seul      M      le corps  dirait,

Celui ou celle           O      qui nous plairait,

Nous n’aurions           U     qu’à le consommer,

Sans penser mystère       R          de notre humanité.

Humain  ….E ……  si l’amour n’est que …….E…… chimie,

Si aucune  …..S……… alchimie ne nait en … T………. l’esprit

Pourquoi …….. …..… rester fidèle avec .….. *  ……. le même,

S‘en séparer ……*.…….…. tandis qu’il crie ….…A..…. «je t’aime».

Si  biologie  ……. C …….……  est une science …… L……. amoureuse,

Et si caracté ….  H  ……… rologie est science  …….C……… marieuse,

Faut admettre … I ……. que des  phéromones …   H..….… sexuelles,

Sont favo  …….. M  ….  rables aux unions consen   I ……….  suelles.

Consensu …… I .… elles sont à condition être .…  M…..…. beauté

Bien que …   …..aucun corps, jamais ne le  ……I … resterait

Si attrait . * …..  sélectionnait seul, jamais   ….. E il n’élirait

Gros traits ……… en l’esprit, impossible ….……….. à aimer.

Aimer ne. ……..… peut être que vraie .….….….  symbiose

Loin nou  ……….  velle mitose, voire  ..….……..  méiose

Cellulaires …….. commandant à un …..….congénère

D‘éliminer ..…  voire d’imposer .……  partenaires.

La chimie avec l’alchimie, dans notre cerveau,

Se conjugueraient-ils pour nous rendre beau

Comment vivre, avec une… beauté gironde,

Blonde, au cerveau vide, gorge  profonde ?

Ridicule, sûr, de nier que la chimie existe

Depuis longtemps, son influence persiste

Bien qu’attraction repose  sur l’émotion,

Il en faut plus pour faire  vraie passion.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

472 4

.

Évocation

.

Un vase, pour sûr :

Avec chimie d’un côté,

Et alchimie, de l’autre,

Mixture en filtre d’amour

Comment chimie moléculaire et alchimie de l’air

Peuvent-ils se mélanger, ses confondre, s‘épauler,

C’est un secret réalisé en vase de métamorphoses.

Nombre mélanges se feront souvent

Dans un vase ou un flacon,

D’autant plus lors il s’agit de chimie

Pour une belle alchimie !

 .

Symbolique  

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer d’un vase, conquérir trésor

Briser un vase, c’est anéantir par le mépris,

Le trésor qu’il représente : vase alchimique,

Vase hermétique signifient toujours

Le lieu où merveilles s’opèrent.

.

C’est le sein maternel,

L’utérus en lequel une

Nouvelle vie  se  forme.

D’où cette croyance que

Le vase contient le secret

De toutes métamorphoses.

 .

Descriptif

.

472L’amour : mélange chimie et alchimie 

Alignement central /  Titre analogue / Thème  odeurs

Forme courbe /  Rimes variées   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : alchimie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

472 6

.

Nombre mélanges se feront souvent

En œuf ou semblable

D’autant plus lors il s’agit de chimie

Pour une belle alchimie !

 .

Symbolique 

 .

L’alchimie correspond

À transmutation radicale

Et mystérieuse des métaux.

Par exemple, le plomb en or.

.

Dans le mot alchimie,

Il y a le mot chimie

Qui désigne cette explosion

De sensations physiques, psychiques

Le désir, les palpitations cardiaques,

La béatitude… tout devient possible.

.

C’est quelque chose de mystérieux

D’intense qui se produit en nous,

Mais que l’on ne déciderait pas,

Et que l’on ne maîtrisera pas.

.

C’est une sensation qu’on peut éprouver

Dès le premier rendez-vous, un sentiment

D’euphorie qui obscurcira notre jugement.

zonemagique.fr/alchimie-entre-deux-personnes

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chimie et alchimie sont-elles cousines germaines

Lors on ne parvient pas à rendre contraint l’amour,

On lui laisse des rimes libres pour respirer l’alchimie

De la versification poétique différenciée par musique,

Phénomènes restant inexpliquées, voire inexplicables !

L’amour requiert face à face vérité pour être cote à cote

L’un dans l’autre, trop tard pour le questionner, douter !

 .

Visuel

.

.

 Amour comme al-chimie 

.

.

Alchimie

Art chimérique de la transmutation des métaux

Ou encore la recherche de la pierre philosophale !

.

Elle serait née en Égypte à l’époque des Ptolémée

À l’époque, des choses nous paraissant banales

Passaient pour être choses merveilleuses.

Et entre autres, la fabrication du verre.

.

Travail d’alchimiste, quatre opérations.

Une purification du sujet suivi de dissolution,

Une solidification, une combinaison nouvelle,

Au niveau de cet être nouveau, or ou autre.

.

Qu’est-ce que l’or alchimique ?

Ce n’est  rien d’autre que la dénomination

De la Matière lorsque celle-ci devient blanche.

.

« L’alchimie est considérée comme une extension et une accélération de la génération naturelle. C’est l’action  du souffre sur le mercure qui donne naissance aux minerais dans la matrice terrestre. La transmutation s’effectue dans ce creuset où les minerais murissent lentement et où le bronze devient or. »

.

Les divers systèmes d’opérations, plus ou moins détaillées, se résument tous dans la célèbre formule « Solve et coagula » que l’on traduira par « Purifie et intègre ». Elle s’applique aussi bien à l’évolution du monde objectif qu’à celle du monde subjectif, celui de la personne en voie de perfection.

.

Appliqué à l’âme elle se transforme en légende et en mythe : Blanche neige, minière de l’or. Les sept nains sont les sept métaux. Après une mort apparente, pour avoir croqué la pomme maléfique, Blanche neige épousera le Prince de ses rêves, jeune et beau et lors, ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants…

.

Alchimie des métaux, de l’amour

On passe du matériel au logiciel !

Et, si pour l’or, on y a cru, un jour

Pour sentiment, on y croit toujours

.

La poésie est aussi sorte d’alchimie

Qui se joue des mots,  joue avec eux,

Par purifications,  par combinaisons,

Car magie du son l’emporte sur le sens.

.

Chimie l’emporte sur alchimie en amour

Encore que tous phéromones ne suffiront

A déclencher l’union des cœurs  et esprits

Seulement des corps et de sexes en fusion.

.

Je ne me sens ni un chimiste ni alchimiste

Je ne serais ici que simpliste voire fumiste.

.

Visuels et textuels  >>

471 – L’attrait d’un parfum hormonal

Visuels et textuels >>

.

Hormones  et  pilules  du  bonheur

Testostérone versus progestérone :

Toutes les molécules seront bonnes

Pour attrait du mâle vers femelles.

S’enivrer d’un bon  parfum aphrodisiaque

 Pour obtenir un  comportement orgiaque,

N’est-ce pas le rêve de tout bon nez,

  Que du plaisir en devenir prisonnier.

.

   Si tel parfum suffisait, ça se saurait :

    Un parfum ne déflore  esprit virginal,

    Il n’affecte  qu’une  humeur, vaginale,

    D’une femme prompte, désir d’aimer.

    Dans tous les cas, phéromones ou pas

      Si le cerveau n’y est pas, sexe non plus.

J’ai bien senti alors que mes hormones

   Ne se mélangeront pas ou plus aux tiennes.

.

  Lors, j’ai fini par croire que personne

    N’a pas même molécules que miennes.

 Or, si fait,  je  n’ai pas  les  bonnes,

  À qui la faute et je m’en   étonne,

  Croyant être amant attentionné,

    L’autre me ferme la porte au nez.

      Je voudrais changer d’apparence,

       Pour provoquer désir d’attirances,

        Je suis prisonnier de phéromones

         Comme parfum qui  déboutonne.

            Un parfum de citron, tabac, musc

            N’y changerait rien  à cet humus

               Qui constitue le parfum  humain,

                     Parfums des fleurs  sentent en vain.

.

                       J’ai lu quelque part que son cerveau

                        Est organe le plus  aphrodisiaque,

                        Sans doute n’en ai-je pas ou trop

                       Pour satisfaire amour orgiaque.

                  Échange un parfum hormonal

              Contre un bel esprit, virginal,

         Qui sans penser à bien ni à mal

      Donnerait coup de grâce : fatal.

S’enivrer, voilà la chose, le mot

 Mais de quoi, de qui, d’une peau,

Qu’on a senti, bébé,  sein, cadeau,

Reste ne serait que bien, de trop !

.

    Testostérone contre progestérone :

       Attrait situé en deçà des neurones,

          Laideron va bien avec laideronne,

              Lors bucheron, avec bûcheronne

                 Et hormones mauvaises, bonnes,

                     Lors se mélangent  avec tiennes,

                        Change complètement la donne

                             Lors si bonnes  agissent  sur toi,

                               Avec leurs parfums, t’ordonnent.

.

.

Extension

.

Le bel attrait d’un parfum hormonal

Te rend sensible comme un animal

À séduction entre femelle et mâle,

Pour un rapprochement séminal.

Il t’envelopperait comme un filet

Dont les mailles seront les reflets

D’un amour coupable, ou interdit,

Où porte s’ouvre pour rendre permis.

.

Sûr qu’il y a attrait de senteurs, parfums, odeurs, phéromones !

Comment le nier, le minimiser, nous sommes comme animaux

Mais les humains s’octroient  des suppléments, différences,

Et c’est tout à son honneur, mais est-ce péché d’orgueil ?

Le fait est que présence seule de quelqu’un, quelqu’une

Dans toute assemblée et loin de proximité physique

Provoque des émotions, sans parler  des pensées.

La pensée serait-elle soumise aux phéromones

En éliminant tout autre attrait, prétendant ! 

.

Je t’aime …  Moi aussi :

Voilà qui tombe à propos.

Je t’aime  …  Moi non plus :

Voilà qui crée un quiproquo !

.

En les deux cas, où est motivation

Elle n’est que simple effet d’attraction

Provoquée par nos hormones … animales

Ou effet de répulsion : où est le bien, le mal !

.

Quant à l’esprit, spirituel est cousin de spiritueux

Un peu de substance modifie les états de conscience

Quant aux hormones, elles seront cousines des odeurs

Un peu de parfum capiteux met notre corps en émoi.

.

.

471 – Calligramme 

.

Hormones  et  pilules  du  bonheur

Testostérone versus progestérone :

Toutes les molécules seront bonnes

Pour attrait du mâle vers femelles.

S’enivrer d’un bon  parfum aphrodisiaque

 Pour obtenir un  comportement orgiaque,

N’est-ce pas le rêve de tout bon nez,

  Que du plaisir en devenir prisonnier.

   Si tel parfum suffisait, ça se saurait :

    Un parfum ne déflore  esprit virginal,

    Il n’affecte  qu’une  humeur, vaginale,

    D’une femme prompte, désir d’aimer.

    Dans tous les cas, phéromones ou pas

      Si le cerveau n’y est pas, sexe non plus.

J’ai bien senti alors que mes hormones

   Ne se mélangeront pas ou plus aux tiennes.

.

  Lors, j’ai fini par        *                        croire que personne

    N’a pas même mo       B                       lécules que miennes.

 Or, si fait,  je  n’ai         E                          pas  les  bonnes,

  À qui la faute et je          L                             m’en   étonne,

  Croyant être amant         *                                attentionné,

    L’autre me ferme la           A                             porte au nez.

      Je voudrais changer           T                              d’apparence,

       Pour provoquer désir          T                             d’attirances,

        Je suis prisonnier de            R                            phéromones

         Comme parfum qui             A                           déboutonne.

          Un parfum de citron,           I                            tabac, musc

            N’y changerait rien             T                            à cet humus

               Qui constitue le par           *                           fum  humain,

                     Parfums des fleurs          D                           sentent en vain.

                       J’ai lu quelque part         ‘                            que son cerveau

                        Est organe le plus        U                            aphro-disiaque,

                        Sans doute n’en         N                           ai-je pas ou trop

                       Pour satisfaire           *                           amour orgiaque.

                  Échange le par         P                           fum hormonal

              Contre un bel          A                        esprit, virginal,

         Qui sans penser     R                       à bien ni à mal

     Donnerait coup     F                      de grâce : fatal.

S’enivrer, voilà       U                      la chose… mot

 Mais de quoi, de    M                      qui, d’une peau,

Qu’on a senti, bé    *                      bé,  sein, cadeau,

Reste ne serait      H                     que bien, de trop !

    Testostérone         O                     contre progestérone :

       Attrait situé        R                      en deçà des neurones,

         Laideron va         M                       bien avec laideronne,

              Lors buche          O                        ron, avec bûcheronne

               Et hormones        N                        mauvaises, bonnes,

                     Lors se mélan         A                             gent avec tiennes,

                        Change complè         L                            tement la donne

                             Lors si les bonnes       *                            agissent sur toi,

                               Avec leurs parfums ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ t’ordonnent.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

471 4

.

Évocation

 .

Un flacon de parfum

 Attirant : serait-ce celui

Sur sa peau ou de ses yeux.

 .

Une bouteille de parfum

Aux effluves florales ou citronnées :

Quoi de mieux, pour attirer,

Ou quoi de mieux, pour repousser !

 .

Symbolique   

 .

En choix d’un parfum,

Des normes non-écrites

Socialement reconnues

Dirigent  nos  choix  et

Utilisation de produits.

.

L’odeur, en  tant  que  telle,

Peut projeter image symbolique.

Une   fragrance   épicée,  relevée,

Fruitée, ou florale  peut exprimer

Un nombre d’images  différentes,

Dans l’esprit de celui qui le porte

Comme pour celui qui le sent.

.

C’est ainsi, que  des  odeurs

Auraient une symbolique

Référant à la sensualité,

Fraîcheur,  à la flore,

Ou encore à la richesse.

joiedevie.forumpro.fr/t15923-

symbolique-des-parfums

 .

Descriptif

.

471 – Le bel attrait d’un parfum hormonal   

Alignement central /  Titre analogue / Thème  odeurs

Forme courbe /  Rimes égales   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : flacon / Symbole de fond : parfum 

.

.

Fond

.

Évocation 

.

471 6

.

L’attrait, l’attraction, l’attirance, seront parfois

Sous l’effet de phéromones

Dépendant de votre attente, désir, disponibilité

Quand ce n’est pas de baiser.

 .

Symbolique 

 .

Phéromones, combinaisons

De molécules complexes issus

Des  produits  de sécrétions

Des  glandes  spécialisées.

.

La palme d’or des parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à son musc  dit naturel

Allié à des essences subtiles

Demeurées très secrètes.

.

Toutefois,   aujourd’hui,

Il aurait perdu sa vertu,

Plus fait, comme autrefois,

Matières premières naturelles

Mais de molécules synthétiques.

Source : sciences-et-magie.com

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Parfum, comme chacun sait peut être naturel

Parfum de la peau, de toutes sécrétions, cheveux,

Tout comme il peut les renforcer, par ajout artificiel

Ou les substituer, pire encore, les contrarier, avarier

C’est pourquoi un parfum  qui conviendra pour l’un

Produit un effet neutre ou répulsif pour l’autre !

.

Faites attention : je vous ai mis au parfum.

Un parfum est par essence, subtil, vagabond

Mais peut s’attacher à vous lors sentant bon

Il rime parfaitement avec le nez et la peau,

Qui seront, pour lui, les  deux sens de beau

Capable de s’insinuer partout, en ziz-zag

Ses fonds recouvrent toutes les formes

Les entourent, embaument, d’odeur.

 .

Visuel

.

.

Parfumé  base hormonale

.

Visuels et textuels >>

470 – Amour rimerait-il avec toujours !

Visuels et textuels >> 

.

Amour rime-t-il avec toujours

Amour d’un jour vaut-il mieux

Que toute absence perpétuelle

Tant manque rend  vie cruelle.

.

Amour en toujours avec fidélité

Se changent en jour après jours

Jusqu’au dernier de puis premier,

Comme   empreinte, sur   parcours

D’une vie en comportant plusieurs,

De nature, support, buts différents,

On retient surtout l’amour d’amant

Mêmes plaisirs intimes et partagés.

.

Amour se transforme en… amitié,

Puis,  peu à peu,   en attachement,

On en rêve moins, d’aller en creux,

En lieu secret que trop l’on connait.

.

Combien de fois me suis-je confondu

En élans profonds, dans ton marais ;

Combien de fois, me  suis-je retrouvé

En cet endroit, profond, frais, secret,

Que je n’ai pu me retenir de combler,

De jet d’amour, de t’aimer, bien reçu.

.

Combien d’ardeur en nos corps aimés

En dépit  du nombre  de leurs années,

Font que toujours encore on  s’enlace,

Et que, jamais, nos corps s’en  lassent

Et même si, sur nous, le temps passe,

Déposant, du passé, quelques traces.

.

Amour ne rime  avec toujours,

Mais reste fidèle, jour après jour

À celui qui ne perd pas son   tour

À lui rendre hommage, en retour,

Or cela malgré le contre, le  pour,

Aucun n’en ferait jamais le   tour.

.

Amour ne s’accorde pas diapason,

Et on aura beau monter les  sons,

On écoutera une même chanson,

Avec son lot de non et de mais,

On se ressent, comme défait,

Amour  ne sera pas parfait,

Amour   rendra  toujours.

.

Amour se transforme en amitié,

Puis, peu à peu,  en attachement,

On en rêve moins, d’aller en creux,

En lieu secret que  trop l’on connait.

 .

.

Extension

.

L’amour incarné n’est jamais que provisoire,

Même si l’on croit que l’Amour valeur est éternel.

Et même mariage n’est pas fait pour durer toujours

Sauf en cas de force majeure, mais, alors, il pourrira

Sa prison intérieure sinon constituera une exception.

.

«Toujours » relève de l’intention  plus que  de l’action.

Il n’est pas faux que les amants l’ait dit, espéré, tenté,

Mais la réussite dépend de bon nombre de facteurs

Dont certains sont familiaux, d’autres, externes,

À tel point ce serait un pari de le prétendre,

Comme vie extra-terrestre après sa mort.

.

L’amitié est bien plus fidèle que l’amour

Car elle ne subit ni assauts, ni déboires,

Ni déceptions des aléas de la sexualité

Consolidant, fondant, liens, charnels.

.

Associés, mots «amour» «toujours» forment–ils un oxymoron ?

On serait en lieu de le penser quand on constate contre réalités !

L’amour ne dure qu’un temps, et cela tout le monde le sait, le dit

Et, il peut se renouveler, autant que disparaitre, se transformer.

C’est une pression, une religion,  un principe, qui fonde fidélité.

On se choisit tous les jours non une fois pour toutes, toujours.

Dire qu’amour rime avec toujours est vœu, vue de l’esprit.

.

C’est un beau lieu commun, s’il est,

Que dire amour rime avec toujours :

L’amour se construit, de jour en jour,

Parfois, sous d’autres formes … renait !

.

Premiers jours on est en sa bulle  enfermés

Ça se comprend : pas de temps,  qu’instants,

Qui dureront, par nature une vie, une éternité,

Finiront pourtant par question : jusqu’à quand !

.

Fallait-il se la poser, ou fallait-il, à tout prix, l’éviter

La question n’est, n’est plus là, le temps les rattrapera

L’amour ne serait que rêve d’enfant, qu’une fois réalisé,

On passe au suivant, à moins de le refaire constamment !

.

.

470 – Calligramme

.

Amour rime-t-il avec toujours

Amour d’un jour    A   vaut-il mieux

Que toute absence   M         perpétuelle

Tant manque rend     O           vie  cruelle.

Amour en toujours      U            avec fidélité

Se changent en jour      R            après    jours

Jusqu’au dernier de       *             puis premier,

Comme   empreinte,     R           sur   parcours

D’une vie en compor    I        tant plusieurs,

De natures, supports,  M    buts différents,

On retient surtout l’a  E  mour d’amant

Mêmes plaisirs intimes et partagés.

.

Amour se transforme     en… amitié,

Puis, peu à peu,        en attachement,

On en rêve moins,      d’aller en creux,

En lieu secret que      trop l’on connait.

.

Combien de fois me   *     suis-je confondu

En élans profonds,       *   dans ton marais ;

Combien de fois, me        S    suis-je retrouvé

En cet endroit, profond,    O        frais, secret,

Que je n’ai pu me retenir    U        de combler,

De jet d’amour, de t’aimer   V        bien    reçu.

Combien d’ardeur en nos    E       corps aimés

En dépit du nombre  de      N      leurs années

Font que toujours encore   T     on    s’enlace

Et que, jamais, nos corps  *      s’en  lassent

Et même si, sur nous, le   *    temps passe

Déposant, du passé,        A     ses  traces

Amour ne rime avec       V      tou-jours,

Mais reste fidèle, jour    E     après jour

À celui qui ne perd pas   C     son   tour

À lui rendre hommage    *     en retour

Or cela malgré le contre   *     le   pour,

Aucun n’en ferait jamais   T    le    tour.

Amour ne s’accorde  pas    O    diapason,

Et on aura beau monter     U      les   sons,

On écoutera une même       J         chan-son

Avec son lot de non et         O           de  mais,

On se ressent, comme       U               dé-fait !

Amour  ne sera pas          R                parfait !

Amour rendra                 S                 toujours.

.

Amour se transforme                en… amitié,

Puis, peu à peu,              en attachement,

On en rêve moins,       d’aller en creux,

En lieu secret que  trop l’on connait.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

470 4

.

Évocation

.

Une forme doublée

En étant face à face :

Un couple, sans doute,

Lors uni pour toujours.

 .

Un couple qui semble, en apparence, assorti

Mais pour combien de temps

Seul l’avenir le dira, il n’y a pas de certitude

En matière d’attachement !

 .

Symbolique

 .

Quel sens pour quel couple ?

Se sentir à l’unisson du partenaire

Sur les questions les plus profondes,

Les plus brûlantes, n’adviendra pas

Du jour au lendemain et tout seul.

.

Explorer questions, ensemble,

Reste un processus continu,

À l’échelle de toute une vie.

Le but ne devrait pas être

De se mettre d’accord sur

Ce qui compte  pour vous,

Mais bien de vivre au sein

D’une   union  où   chacun

Est ouvert aux convictions

Les plus chères de l’autre.

sexologues.canalblog.com

.

Descriptif

 .

470 L’amour rime souvent avec toujours 

Alignement central /   Titre serpentin /   Thème  amour

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : couple   /   Symbole de fond : toujours

.

.

Fond

.

Évocation 

.

 470 6

.

Amoureux n’ayant rien à se cacher

Et espérant  amour toujours

Garderont la mémoire de la fidélité

Sans faille pour cette dernière.

 . 

Symbolique 

 .

Au placard, la théorie des âmes sœurs

Voire autres mièvreries romantiques

Tant, pour faire durer …son couple :

Pour cultiver l’amour, sur la durée,

Il suffit, selon certains chercheurs,

De suivre formule mathématique

Qu’on pourrait  résumer ainsi :

Le temps la communication

X facteur attraction mutuelle

+ Plus le bagage émotionnel

=  Amour pour toujours.

Modifié et mis en forme, source :

marieclaire.fr : formule-de-l-amour-eternel

  .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour comme verbe, parole, principe de vie,

Se distingue d’amour incarné, personnalisé, vécu ;

Tout comme amour toujours … de souvent d’absent.

Il y en a qui ne l’auront pas connu, et d’autres, que lui

Est-ce la faute à Voltaire ou à Rousseau, Dieu : nenni.

.

Toujours, toujours, on court toujours après

Comme êtres, face à face, qui se… complètent,

Or l’amour n’est pas toujours de rimes…prêtes

Pour accorder leurs violons aux airs de fêtes !

Souvent n’est pas toujours, comme on le dit :

On l’évoque plus souvent  qu’on ne le ne vit,

Toujours n’existe que quand on lui survit.

 .

Visuel

.

 .

Promesse gratuite, à cet âge

.

Amour

.

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

.

L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

.

Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

.

 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

 

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

 

Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.

En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

.

L’amour est un concept universel mais multiple.

Certains en feront la première valeur de leur vie,

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

.

Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif,

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

.

Visuels et textuels >>

469 – L’amour, ça dit qui, quoi, au juste ?

Visuels et textuels  >>

.

Perçu bonheur, maladie,

Amour s’alimente de non-dits.

Aimer, c’est ceci, aimer, c’est cela,

Chacun y va de son couplet ou refrain.

J’aime, n’aime pas, ne me prononce pas,

Mon Monde ne serait pas dominé par cela.

Lors chacun y va de sa propre représentation,

Veut l’imposer à l’autre comme une définition.

L’amour ne se définit  et il se vit simplement

Quelque part entre le monde animal, divin.

La religion le ferait pencher vers le divin,

Tandis que la réalité vers l’animalité.

.

Personne n’aura tort  ni raison :

Homme est un être d’exception.

Aimer, c’est, à l’autre, penser

Et cela, tous les jours,

De toute l’année.

Aimer, c’est, de tenir à lui,

Comme à l’ami

Pour  toujours.

Aimer, c’est, rêver de lui

Autant de nuits

Que de jours.

Aimer, c’est s’émotionner

Cœur emballé

Par ses tours.

Aimer, c’est, imaginer tour

Monde traduit

Dans celui-ci.

Aimer, c’est, se donner à lui,

En bon secours

Y compris au lit !

Aimer, c’est, avec l’autre, parler

D’esprit humanité

En tout, tout autour.

Aimer, c’est, avec l’autre, partager

Tout ce que l’on … a,

Et tout ce que l’on est.

Aimer, c’est, donner, non reprendre

Toute sa confiance

En l’autre.

.

L’amour est un mot souvent galvaudé,

Qui veut tout dire et rien dire, à la fois :

Amour de l’argent, de l’autre, une valeur,

D’une idée,  d’un animal, objet, etcetera.

Il n’est pas seulement désiré, consommé

Accepté ou refusé, consenti ou interdit

Est  évoqué, narré,   chanté,  poétisé,

Sublimé et autant décrié que dénié

Meurtri, sali, abandonné, trompé.

.

.

Extension   

+

On le sait fragile, et, subtil, et, éphémère,

Et pourtant on le cherche, sa vie entière.

Prête existence autonome, immanente,

Il n’est pas qu’en moi, en l’autre : il est

Autant entre les deux voire … au-dessus.

Il est bien partout mais si on n’y croit pas,

Si on n’en veut pas, on ne le trouve nulle part.

.

Rien d’étonnant qu’amour ait à voir le religieux :

Si l’on y croit pas, il n’existe pas mais si l’on y croit,

Il n’y a plus que lui qui subsiste. De là à dire que

L’amour nous prend, nous attache ou… sépare,

Nous échappe à la fois, il n’y a qu’un pas que

Certains franchissent  mais d’autres … pas !

.

En tout état de cause, l’amour se transformera

Se diversifiera bien qu’il procède de la même énergie

Pour tout et pour tous : un vrai mystère que l’on est pas

Prêt d’éclaircir en entier : une vie ne suffit pas à l’épuiser.

.

Donner dizaine de définitions de l’amour c’est n’en donner aucune,

C’est mettre au même plan, sa fortune et infortune consubstantielle

Peut-être y a-t-il des degrés, peut-être y-a-t-il intensités … échelles.

Peut-être de nature plutôt corporelle, de nature plutôt spirituelle,

Pourquoi pas cordiale, ou mystique, ou pourquoi pas sexuelle

Mais à y bien réfléchir, l’amour est de nature holistique

Il subsume le sexe, le corps, cœur, esprit, âme.

.

Amour a une et cent définitions

Autant dire qu’elle n’en a aucune,

Ou que chacun se définit la sienne,

À laquelle il adhérera plus ou moins.

.

Il en serait de même pour le bonheur,

Et pour bien d’autres choses de valeur

Tout ce qui est subjectif restera sujet,

À nombre interprétations, opinions.

.

Je ne vous impose pas la mienne,

Mais comme une bonne recette

Comportera cinq ingrédients

Si un fait défaut, attention.

.

Le sexe, disons sexualité ;

Le corps, disons sensualité ;

Le cœur, disons… l’affectivité

L’esprit, disons, toute sa pensée

Et enfin l’âme, par sa spiritualité !

.

.

Épilogue

.

Amour veut-il tout dire en vue de masquer

Au mieux qu’il ne voudrait en fait rien dire :

Comme trop d’informations tue l’information,

Mettre de l’amour partout finirait par le noyer.

.

Il y a beaucoup de diversité dans ce qu’on aime

Comme il y a beaucoup de degrés et d’intensités

Aimer concepts comme liberté, égalité, fraternité

N’est pas aimer un plat, un vêtement, un  poème.

.

« J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois »,

D’Alfred de Vigny n’a pas même objet, sujet que

 « J’aime leçon du corps, en noir, au fond du Bois »

Dans ce dernier, il s’agira d’un pastiche, je crois.

.

Lors on compare l’amour à  ballon, vase, pipette,

Ce n’est pas tant objet qui le reflète  qu’extension.

Il se gonfle, il se retient, se délecte et puis se vide :

S’il est fort il pompe tout désir et si faible, l’ignore.

.

Tout comme l’on ne peut pas ne pas communiquer,

On ne peut vivre sans aimer. Aimer qui, aimer quoi

Serait la bonne question : soi, les autres, le Monde,

Ou les trois à la fois, si ce n’est l’inverse : tout haïr.

.

.

469 – Calligramme

.

Perçu bonheur, maladie,

Amour s’alimente des non-dits.

Aimer, c’est ceci   *    aimer, c’est cela,

Chacun y va de son  *    couplet ou refrain.

J’aime, n’aime pas,      L    ne me prononce pas,

Mon Monde ne serait     ‘         pas dominé par cela.

Lors chacun y va de sa    A      propre représentation,

Veut l’imposer à l’autre   M      comme une définition.

L’amour ne se définit    O     et il se vit simplement

Quelque part entre le   U     monde animal, divin.

La religion le ferait   R  pencher vers le divin,

Tandis que la réa    *  lité vers l’animalité.

Personne n’au     *  ra tort ni raison :

Homme est un être d’exception.

Aimer, c’est, à l’autre, penser

Et cela, tous les jours,

De toute l’année.

Aimer, c’est, de tenir à lui,

Comme à l’ami

Pour  toujours.

Aimer, c’est, rêver de lui

Autant de nuits

Que de jours.

Aimer, c’est s’émotionner

Cœur emballé

Par ses tours.

Aimer, c’est, imaginer tour

Monde traduit

Dans celui-ci.

Aimer, c’est, se donner à lui,

En bon secours

Y compris au lit !

Aimer, c’est, avec l’autre, parler

D’esprit humanité

En tout, tout autour.

Aimer, c’est, avec l’autre, partager

Tout ce que l’on … a,

Et tout ce que l’on est.

Aimer, c’est, donner, non reprendre

Toute sa confiance

En l’autre.

L’amour  V   est un mot souvent   Q  galvaudé,

Qui veut    E   tout dire, rien dire    U    à la fois :

Amour de   U   l’argent, de l’autre     I  une valeur,

D’une idée    T   d’un animal, objet     *      etcetera.

Il n’est pas     *   seulement, désiré      Q  consommé

Accepté ou    D    refusé, consenti      U       interdit

Est évoqué    I      narré,   chanté     O     poétisé,

Sublimé,      R     autant décrié       I que dénié

Meurtri,      E    sali, abandonné  ?  trompé.  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

469 4

.

 Évocation

 .

Un ballon à gonfler

Ou un ballon d’amour

Qu’on aurait peu gonflé !

 .

L’amour comme un ballon qui se gonfle

Et qui nous emporterait un autre monde,

Voilà qui pour ma part, me convient bien.

.

L’amour est comme un ballon

Il se gonfle et se dégonfle aussi vite

Qu’on le mette à l’endroit ou en l’envers

Ne changerait rien à son flux d’énergies !

 .

 Symbolique

 .

En rêve, le ballon symbolise

Les  projets  chimériques que

Nous faisons assez souvent.

Le voir s’élever dans les airs

Annoncera succès faciles

Mais qui ne dureront pas,

À moins que nous ne nous

Donnions beaucoup de peine

Pour les maintenir en bon état.

Vous voyez lancez un ballon en air,

Dit que vous serez habile à vous servir

De vos affections ou de vos aventures,

Pour en tirer un avantage personnel.

.

.

Descriptif

 .

469L’amour : ça veut dire qui et quoi ?

Alignement oblique /   Titre intercalé /   Thème  amour

Forme courbe droite /Rimes égale /Fond approché de forme

Symbole de forme : ballon   /   Symbole de fond : amour

.

.

Fond

.

Évocation 

.

469 6

 .

L’amour est un soutien physique,

Cordial, mental et moral,

C’est ce qui nous aide à tenir debout

Quand tout s’effondre.

Symbolique 

 .

L’amour est la plus belle chose au monde,

Il n’est donc pas  surprenant qu’il existe

Autant  de  symboles  de  nos   amours :

Lors, beaucoup d’amoureux s’en offrent,

Régulièrement pour prouver, à l’être aimé

Qu’il est leur raison d’être, et ce qui est beau,

C’est de remarquer que, malgré le temps passé,

De nombreux symboles de l’amour persistent encore

Prouvant une fois de plus qu’amour est plus fort que tout.

Modifié et mis en forme, source : parlerdamour.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour, chacun sait, est enfant de bohème

Il est toujours dans des situations extrêmes

Qui nous rendrait écarlate et puis blême.

.

L’amour est un réel insoluble problème

Mais c’est aussi pour ça qu’on l’aime.

.

L’amour, amour, parlons-en toujours

Il nous prend et nous file entre les doigts

Bien que les mains jointes pour le retenir.

.

S’il rime avec bonheur lors il est à l’heure,

Il nous abandonne ensuite, traitre, voleur.

.

Le fond recouvre la forme, gonflé en haut

Plat, et long, et en attente, tout en bas

Avant, face à face ; là, côte à côte,

Après, dos à dos, absent !

 .

Visuel

.

.

 Rien de plus ni de moins que cela

.

Amour

.

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

.

L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

.

Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

.

 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

 

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

 

Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.

.

En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

.

L’amour est un concept universel mais multiple.

Certains en feront la première valeur de leur vie,

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

.

Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif,

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

.

Visuels et textuels  >>

468 – L’amour est fruit du hasard, du désir.

Visuels et textuels >> 

.

L’amour, dit-on, ne se commande pas :

Arrive par hasard,  on ne s’y attend pas

Encore, faudra-t-il avoir quelque désir,

Opportunités viendront, vite, à mourir.

.

Bon, finalement, célibataire  a  du bon

Pas encore rencontré véritable amour,

Il ne pourra être question  d’infidélité,

Simplement changement partenaires !

.

Mariage a aussi quelque chose de bon,

Même si certains le considère déraison,

Hasard a permis d’établir solide union,

Fidélité n’est que promise, pas garantie.

.

Quand hasard frappe à nouveau la porte

Que faire de tout  ce que l’on a construit :

Tromperie-divorce, ou arrangement amis,

Lors, si  hasard gouverne : tout est permis.

.

Amour et fidélité font, parfois, bon ménage,

À la longue un vieux couple, amitié fort sage.

Conquise, pour autant la femme non soumise

À une personne, personnage, toujours exquise.

Dès qu’elle aura percé homme à jour, démasqué

Ce dernier, penaud, s’en ira ailleurs … déchanter.

.

Parfois l’amour rêvé se transforme en rivalité

Et emporte tout conflit hors de toutes réalités

Tant qu’attraction  des corps dure, la raison

S’étiole, s’en tient  à  première  impression

Qui ne dira pas  non  à l’infidèle intuition

Se met en tête amour comme obsession.

.

Personne n’a jamais trompé personne :

Ce ne sont que supercheries en des lits,

Incompris sans commun accord nenni,

Que mensonge, oubli… erreur friponne.

.

Des fois, comme un miracle se produit,

Des amants d’un jour, s’allient une nuit

Et ils décident de tenter à deux leur vie,

C’est dire si l’amour est comme loterie !

.

Hasard n’y est pour rien, en cette affaire

Tout est dit, tout est permis … construit,

Si l’aventure  perdure … sans se défaire,

C’est qu’elle ne doit rien… à l’arbitraire,

L’amour est l’affaire seule du … couple.

.

Il ne leur suffit pas  qu’ils  s’accouplent,

Ce serait trop facile mais il y a émotions

Qui dérégleront horloge de leur passion

Une passion ici puis une passion là-bas.

.

Amours s’en viennent…et puis s’en vont,

Qui peut savoir et dire pour quelle raison

On aime ce qu’on a pas, pas ce que l’on a.

Choisi  par hasard, par arcane  d’un désir,

Amour ne peut durer que poussant soupir.

.

.

Extension

.

Faut-il s’imaginer le choix du conjoint comme celui d’un ovule,

Que nombre de spermatozoïdes atteignent, et tentent de percer :

Une fois le premier entré, porte se ferme pour les autres à jamais.

La différence avec la biologie : les amants font un choix conscient !

Le résultat peut être le même en cas de fidélité absolue et consentie

Le fait de s’être trompé, le reconnaitre permet de faire autre choix

Ou tout en gardant le premier choix, de le partager avec d’autres

Le hasard a bien fait les choses dit-on quand le couple marche

Le hasard défait toutes choses quand il s’est trop dévoyé.

.

L’amour est, par nature, fruit du désir,

 D’ailleurs, il cessera quand il disparait,

L’état de manque ne se satisferait plus

De comblement par sa consommation.

.

En dehors de confondre, ou  de marier,

Le plaisir avec le désir, réciproquement

L’amour reste émotion, axée vers l’autre,

Non pas vers soi bien qu’à travers l’autre.

.

Hasard fait bien  les choses, disent certains,

Question comment vous êtes-vous rencontré,

Peut paraitre une question des plus anodines

Or la réponse ne le serait  que très rarement.

.

Nous nous sommes rencontrés, par hasard,

En échangeant mots doux sur quai de gare

En dehors de satisfaire au besoin de rime,

La vérité est que fruits murs sont tombés.

.

.

468 – Calligramme

.

L’amour, dit-on, ne se commande pas :…………………………………………..

 Arrive par hasard, on ne s’y attend pas…………………………………………..

Encore, faudra-t-il avoir quelque désir,……………………………………….

 Opportunités viendront vite à mourir………………………………………..

Bon, finalement, célibataire a du bon…………………………………….

Pas encore rencontré véritable amour,………………………………

Il ne pourra être question d’infidélité,……………………………

Simplement changement partenaires !……………………….

 Mariage a aussi quelque chose de bon,…………………….

Même si certains le considère déraison,……………..

 Hasard a permis d’établir solide union,……………

  Fidélité n’est que promise, pas garantie. ………

 Quand hasard frappe à nouveau la porte…..

   L’AMOUR  EST

Que faire de tout ce que l’on a construit :

  Tromperie-divorce, ou arrangement amis,

Lors si hasard gouverne : tout est permis.

  Amour et fidélité font, parfois, bon ménage,

  À la longue un vieux couple, amitié fort sage.

 Conquise, pour autant la femme non soumise

 À une personne, personnage, toujours exquise.

 Dès qu’elle aura percé homme à jour, démasqué

Ce dernier, penaud, s’en ira ailleurs … déchanter.

FRUIT DU HASARD

Parfois l’amour rêvé se transforme en rivalité………

Et emporte tout conflit hors de toutes réalités………..

 Tant qu’attraction des corps dure, la raison……………..

S’étiole, s’en tient à première impression…………………

  Qui ne dira pas non à l’infidèle intuition……………………

Se met en tête amour comme obsession………………..

 Personne n’a jamais trompé personne :………………..

Ce ne sont que supercheries en des lits,…………….

Incompris sans commun accord nenni,…………..

 Que mensonge, oubli…erreur friponne………….

Des fois comme un miracle se produit,……..

Des amants d’un jour s’allient une nuit…..

  Et ils décident  de tenter  à deux  leur vie,

 C’est dire si l’amour est comme loterie !

ET DU DÉSIR

    Hasard n’y est pour rien, en cette affaire

       Tout est dit, tout est permis  … construit,

       Si l’aventure perdure … sans se défaire, 

         C’est qu’elle ne doit rien … à l’arbitraire,

         L’amour est l’affaire seule du … couple.

          Il ne leur suffit pas qu’ils  s’accouplent,

              Ce serait trop facile mais il y a émotions

              Qui dérégleront horloge de leur passion

                  Une passion ici, puis une passion là-bas,

                   Amours s’en viennent…et puis s’en vont,

                      Qui peut savoir et dire pour quelle raison

                        On aime ce qu’on a pas, pas ce que l’on a.

                         Choisi par hasard, par arcane d’un désir,

                              Amour ne peut durer que poussant soupir.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

468 4

.

Évocation

Chemin en courbure

Pour éviter déceptions,

Et les pièges du destin 

Et  qui  mène  à la fin ?

 .

Au hasard d’un chemin, au carrefour,

Une rencontre amoureuse

Qui nous conduit à modifier un projet

Par courbure de destin.

 .

Symbolique 

.

Dans  bon nombre de traditions

Religieuses  ou  métaphysiques,

L’image  du  chemin  constitue

Un symbole des grandes quêtes

De l’Être, de l’autre, de l’amour

Et l’on dit aussi que le bonheur

N’est pas au bout du chemin,

Qu’il  serai t le   chemin !

.

Marche est sans nul

Doute une activité

Enrichissante et

Ayant  inspirée

Tant d’hommes,

Des   écrivains,

Des philosophes,

Ou illustres inconnus,

Ils  ont  tous  été   fasciné

Par la marche, sa symbolique

Et la réflexion qu’elle favorise !

.

Descriptif

.

468 – L’amour est fruit du hasard et du désir

Alignement oblique /   Titre intercalé /   Thème  amour

Forme conique courbe /Rimes variées /Fond accordé à forme

Symbole de forme : chemin   /   Symbole de fond : destin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

468 6

.

Le destin choisit pour une part et laquelle

Ne nous dispense pas de liberté

De choix ni d’assumer après toute la suite

À moins que le chemin soit miné.

 .

Symbolique 

.

Bien sûr qu’il fait bien les choses,

Le destin.

De plus, il est aidé par son copain

Le hasard.

.

En résumé : il suffira d’attendre,

C’est le hasard qui dirige ma vie.

N’est-ce pas ?

.

Bien sûr, que, grâce au destin,

Vous  allez   rencontrer  celle

Que vous attendez.

.

Nous pouvons quand même

Nous hasarder à penser que

Notre destin a parfois besoin

D’un sérieux coup  de  pouce,

Si notre destin devient lors

Synonyme d’une fatalité !

 penseespositives.net

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le destin, parlons-en un instant :

À supposer que je devienne… poète ;

Est-ce alors de mon fait, de ma liberté

Non, j’y suis contrait ou comme obligé

Je n’ai aucun mérite, aucune volonté !

.

À moins de concevoir  destin restreint

Qui ne s’intéresserait  qu’à ma santé,

Grandes étapes,  choix dans ma vie,

Mais cela revient au même, aliéné.

.

Le destin est un chemin, pré-tracé,

Et certains diront même, précâblé,

Mais alors il ne devrait avoir… que

Des vers tous contraints en refrain

Auquel ni liberté ne s’oppose, frein

Si c’est un chemin en prédestinée

Alors la forme a épousé le fond.

 .

Visuel

.

.

Au hasard d’un café ou pub

.

Visuels et textuels >> 

 

467 – L’amour : plus poésie que chimie !

Visuels et textuels >> 

.

Si amour est chimie,

Pourquoi pas la poésie !

Et si la poésie est discours

Lors pourquoi pas l’amour !

Émotions  dominent  l’amour

Bien que l’argent n’y ait cours !

Si amour est basé sur une chimie

Sur quoi est basé chimie d’amour !

Comment se fait : chimie disparaisse,

Lors chimie de l’amour, en nous, reste !

Disposons-nous de réservoir inépuisable,

Faisant moult amours, en serions capables !

Que fait-on des  enfants, merveilles de l’amour

Ou sous-produits,  pour se renouveler, toujours !

Tout ceci peut être vrai et tout cela peut être faux,

C’est un mystère de l’amour, humain, qui est beau.

.

Est-ce délire : l’amour

N’est que chimie,

En tout, y compris même

En ses fantaisies,

Car les joues qui rougissent,

Lèvres qui rosissent,

Ne seraient qu’effets du sang,

Effets d’échauffements.

C’est en un affolement du cœur

Qui s’emballe,

Qu’on prend pour argent comptant

Un amour qui est d’hormone animale.

.

Du poète, ou du chimiste, dites-moi lequel

À tort ou raison entre la pensée et l’émotion ?

À vrai dire, ni l’un, ni l’autre, vraisemblablement

Ce qui  vous apparaît, comme vrai, sur le moment,

Ne peut l’être, pour toute la vie,  pour tout le temps.

.

Et, le même être, qui vous a tout donné, tout reprend

Mais si le désir d’aimer l’autre demeurera inépuisable

Nos émotions se renouvellent comme grains de sable,

Tamisés par le vent et par l’eau et en misant sur elles,

Elles vous donnent d’amour fécond, une ribambelle.

.

Un peu de chimie n’empêche pas un peu de poésie,

Un peu de poésie ne nuit pas à un peu de chimie.

La chimie seule ne tiendrait pas si longtemps,

Et la poésie, seule, n’a pas de corps d’amant.

.

Nul doute : l’amour est basé  sur une chimie

Mais sur quoi est basée la chimie de l’amour,

Cette dernière question mérite bien un détour.

.

Si un désir d’aimer l’autre demeure inépuisable,

Si nos  émotions  se renouvellent, grains de sable,

C’est que chimie en produit un nombre incalculable

.

.

Extensions

.

Si la chimie nourrit le corps et le cœur

Et si, la poésie, nourrit  l’esprit, et l’âme,

L’alchimie y ajoute un supplément faisant,

De deux êtres, une seule entité qui

Les englobe et les dépasse,

Et parfois même les sublime.

.

Sublime équation, sublime partition,

Sublime composition que cette association

De trois éléments constitutifs d’un amour

Qui lient, aux extrêmes, le sexe et l’âme

En une charnelle et spirituelle union.

.

La poésie et la chimie sont comprises comme étant antinomiques.

Les uns prétendent que l’amour est transcendant ; autres, charnel.

Il  peut y avoir une part de poésie dans la chimie, réciproquement.

Plutôt que de les opposer, il vaudrait mieux tenter de les combiner.

La chimie serait alors, le moteur, l’essence, l’énergie, et l’attraction,

Tandis que la poésie serait la route, la direction, supplément d’âme.

Il n’existe pas davantage de philtre d’amour que d’alchimie d’esprit.

.

Si amour ne peut se départir

De ses réactions, ses sensations,

Chimiques

 .

Comme autant de bases corporelles ;

 Et qui lui seraient des plus essentielles

Pour son plaisir

 .

Il aura besoin  d’un supplément  d’âme,

Pour aller  plus loin, plus fort… plus haut,

Pour  son  bonheur

 .

Son cerveau, et par là, son esprit, sa pensée,

Ne se satisfont pas d’acte purement physique

Il lui faut de l’alchimique

 .

Ce petit rien, ce je ne sais quoi… inexplicable

Qui le mettra en des états des plus ineffables

Jusqu’à en perdre toute sa raison.

 .

Et si certains croient qu’il n’existerait de

De processus alchimique, ni chimique

Libre à eux de calculer l’amour

Qui ne devient rien d’autre

Qu’un intérêt boursier.

.

.

Épilogue  

.

En amour, pour certains, tout est chimie

Tandis que pour d’autres, domine poésie.

Pour la plupart : un amalgame des deux !

En fait ça se voit, s’entend, comme je veux

.

Amour, esprit, pensée, rêve et tutti quanti,

N’ont pas de matière, n’ont pas de chirurgie,

La chimie n’est pas que dans le corps, cerveau

La poésie n’est pas que dans le verbe, les mots !

Quand nous sommes dopés par notre dopamine

Entourage le voit, de suite, à notre bonne mine :

La sérotonine, l’endorphine et voire l’ocytocine,

La renforce pour accéder à sensation bonheur.

***

À supposer qu’on ne dispose de ces drogues

Qui nous font du bien et voir la vie en rose

Est-ce, pour autant,  qu’amour disparait,

Laissant, derrière lui, un souvenir amer.

.

Pour bien accorder nombre contraires

On parlera d’alchimie extraordinaire,

Et le tour est joué aux contestataires,

Le viagra n’est qu’ersatz grabataire !

Corps est véhicule… émotion/raison

Certes l’émotion : nature chimique,

Tandis que raison, nature réflexion

Le cœur a sa raison que la raison…

***

Si j’évoque ici Pascal, loin de l’animal

C’est qu’on peut aimer à perdre raison

De raison, les animaux n’en ont guère,

On dit pourtant qu’ils s’aiment : alors !

.

Alors l’amour demeure un pur mystère,

Plus on le creuse et plus on s’y enfonce :

Chacun croit y trouver diamant, lumière

Mais en fait personne n’en tire une once.

.

Une lampe céleste, éclairant notre chevet,

Nous gratifie d’espoir qu’on dit démesuré

Celui qu’un être suprême, le gouvernerait,

Qu’en un faux débat, nous entretient, nés.

.

.

467 – Calligramme

.

Si amour est P     chimie,

Pourquoi pas  O   la poésie !

Et si la poésie   E est discours,

Lors pourquoi    S  pas l’amour !

Emotions domi     I     nent l’amour

Bien que l’argent     E      n’y ait cours !

Si amour est basé               sur une chimie

Sur quoi est basé     O         chimie d’amour !

Comment se fait :      U        chimie disparaisse,

Lors chimie de l’                  amour en nous, reste !

Disposons-nous     C         de    réservoir inépuisable,

Faisant moult          H      amours, en serions capables !

Que fait-on des           I         enfants, merveilles de l’amour

Ou sous-produits,        M           pour se renouveler, toujours !

Tout ceci peut être          I            vrai et tout cela peut être faux,

C’est un mystère de         E            l’amour, humain, qui est beau.

Est-ce délire : l’amour

N’est que chimie,

En tout, y compris même

En ses fantaisies,

Car les joues qui rougissent,

Lèvres qui rosissent,

Ne seraient qu’effets du sang,

Effets d’échauffements.

C’est en l’affolement du cœur

Qui s’emballe,

Qu’on prend pour argent comptant

Un amour qui est d’hormone animale.

Du poète, ou du chimiste, dites-moi lequel

À tort ou raison entre la pensée et l’émotion ?

À vrai dire, ni l’un, ni l’autre, vraisemblablement

Ce qui  vous apparaît, comme vrai, sur le moment,

Ne peut l’être, pour toute la vie,  pour tout le temps.

Et le même être, qui vous a tout donné, tout reprend.

Mais si le désir d’aimer l’autre demeurera inépuisable

Nos émotions se renouvellent comme grains de sable,

Tamisés par le vent et par l’eau et en misant sur elles,

Elles vous donnent d’amour fécond, une ribambelle.

Un peu de chimie n’empêche pas un peu de poésie,

Un peu de poésie ne nuit pas à un peu de chimie.

La chimie seule ne tiendrait pas si longtemps,

Et la poésie, seule, n’a pas de corps d’amant.

Nul doute : l’amour est basé  sur une chimie

Mais sur quoi est basée la chimie de l’amour,

Cette dernière question mérite bien un détour.

Si un désir d’aimer l’autre demeure inépuisable,

Si nos  émotions  se renouvellent, grains de sable,

C’est que chimie en produit un nombre admirable.

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Forme

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Réduction

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467 4

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Évocation

Une forme connue :

Vase en pied, abat-jour :

Une lampe de … chevet 

 .

Lampe avec un  corps en bas, une âme en haut

Sans aucun abat-jour, il aurait moins de poésie

Voilà qui rapproche bien  le fond de la forme.

.

La question mérite d’être approfondie  

De manière satisfaisante :

Par une lampe de chevet ou autre

Histoire d’éclairer sa lanterne.

 .

 Symbolique 

 .

La lampe

Représente un point

De lumière dans l’obscurité.

Lors par analogie, elle symbolise

L’entendement en confusion mentale,

Révélation d’un savoir enfoui ou caché.

D’ailleurs,

L’expression

« Éclairer sa

Lanterne« , qui

Signifie clarifier

Quelque   chose,

Exprime    bien

Cette notion de

Savoir dévoilé.

1001 symboles

.

Descriptif

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467L’amour est-il plus poésie que chimie !

Alignement central   /   Titre droit  décalé / Thème  action

Forme conique courbe /Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe   /   Symbole de fond : amour-chimie

.

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Fond

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Évocation 

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467 6

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La question mérite d’être éclairée

De manière satisfaisante :

Qu’amour soit chimie, certes

Mais n’est-ce bien que cela ?

 .

Symbolique

 .

Des petits cœurs qu’on voit partout,

Le rythme cardiaque qui s’accélère,

Haut les cœurs de la St-Valentin…

.

Notre muscle cardiaque est-il

Symbole d’amour par excellence:

Un  symbole  pourtant  mal  choisi !

.

L’amour n’a en effet pas grand-chose

À voir avec cet organe physiologique

En  réalité, quand on est amoureux,

C’est dans la tête que cela se passe.

.

Dans la tête, le cœur, corps, sexe,

Il y a bien autre chose que de

L’amour que chimique,

Oui peut-être surement

Même mais quoi ?

Modifié en forme, source 

 breakingscience.be  

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Faux débat : tout est chimie, tout est poésie

On  confond  en amour  le substrat  de chimie

Forcément présent et actif dans le corps, esprit

Et l’excitation, le désir, l’envie, qui le produisent

Avec une drogue, un élixir on peut s’y substituer

Mais ça ne durera que le temps de l’absorber !

Amour poésie ou chimie

Et pourquoi pas les deux,

La science et la conscience

Riment  si bien entre elles

Qu’on devrait  les sacrer

Mais  le fond ne rejoint

Pas la forme, déforme

Un peu leurs accords

En silence de mort !

 .

Visuel

.

.

Amour poésie + que chimie

.

.

Amour

.

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose.

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L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

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Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

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 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

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La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

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Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.

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En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

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Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

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L’amour est un concept universel mais multiple.

Certains en feront la première valeur de leur vie,

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

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Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

 .

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