744- Je voudrais être un oiseau, dans les airs

Visuels et textuels   >>

.

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur,  vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau,  de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

 .

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

 .

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

.

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

.

Extensions

 .

Je voudrais être un oiseau,

Dans les airs pour prendre de la

Hauteur par rapport à mes activités,

Mes relations, mes affections, humeurs,

Et même mes défauts de caractère, travers.

Pour voir  ce que  les  autres  font de leur vie,

Ce que j’ai, de commun, que j’ai, de différent,

Contraire d’eux ce peu de supplément d’âme

Qui créé mon identité, et ma personnalité,

Ce qui peut changer dans la vie à deux.

Vaste programme et parcours de vol

Quand avec toi je décolle, je survole

Je me trouve à tracer des courbes,

Autour de  notre  planète … intime

Pour tenter de faire œuvre sublime.

J’ai volé cette romance amante chérie

Qui me l’a inspirée, et à qui je la dédie !

.

Voler, rien de plus simple et naturel pour un oiseau

Rien de plus complexe et arrogant pour un homme !

Il n’y a guère que les chefs d’orchestre, avec baguette,

Qui  parviennent, magiquement, à élever  un morceau.

Il parait  que  la raie Manta, ainsi que cousins marins,

Se déplacent, en imitant le vol des oiseaux, dans l’eau.

Lequel s’est inspiré de l’autre : héritage d’évolutions ?

Le poète a été comparé par Baudelaire à un albatros

Qu’il qualifiera de semblable au…prince des nuées !

.

L’oiseau est un symbole de prise de hauteur,

À la fois de légèreté, de survol de toute chose,

Parait moins grand, plus lourd lors il se pose,

Lors s’envole comme albatros, plus marcheur.

.

Ce qui caractérise un oiseau, ce sont ses ailes :

C’est pourquoi l’on en a prêté, donné aux anges,

Qui pourtant évoluent en un lieu en apesanteur :

Tant religion n’en serait pas à un paradoxe près !

.

À défaut d’avoir des ailes, l’homme à une langue

Avec laquelle ses mots s’envoleront de sa bouche

Et que parfois, par écrit, en souvenir, les couche

Pour que feuilles s’envolent selon leur destinée.

.

.

744 – Calligramme   

 .

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur, vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau, de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

VOUDRAIS ÊTRE

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

UN OISEAU

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

DANS LES AIRS 

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

.

Forme

Réduction.

.

Évocation 

.

744 4

.

En fait d’oiseau,

Cela  ressemblerait

Plutôt  à  bombarde

Qui crève l’air avec son

.

Bombarde comme instruments musique

est loin d’être comme oiseau dans les airs

même si son chant peut, parfois, l’évoquer

sa forme ne correspond en rien au fond.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique 

.

Connues dès la plus haute antiquité

Et dès le moyen âge, la cornemuse

Et la bombarde, auront très vite

Pris racine  dans les pays bretons.

.

Au gré  des évolutions  techniques,

Modes musicales, pressions sociales

Et des grands évènements historiques,

Le couple  bombarde-biniou est devenu,

L’expression de certaine culture populaire.

.

Culture puisant sa force  en la tradition orale,

Rayonnant des cours de ferme au cœur des bourgs,

Des grèves à la lande, de la Basse Bretagne à péninsule.

Modifié, source : mesgenealogies.blogspot.com/2013/07/la-bombarde.

.

Descriptif

.

744 – Voudrais être un oiseau dans les airs  

  Alignement central    /  Titre  intercalé  /    Thème  oiseau

Forme droite  /    Rimes égales    /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bombarde / Symbole de fond : épervier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique de fond

 .

Dans le Dictionnaire des symboles

De Jean Chevalieret Alain Gheerbrant,

On découvre que : « Dans notre langage,

L’épervier est symbole d’usure, de rapacité,

Comme la plupart des oiseaux de même espèce,

Aux serres crochues. Du fait que la femelle est

Plus forte, plus habile que le mâle, symbolise

Aussi le couple où la femme domine.

.

On se souviendra qu’en fonction des

Mœurs de l’époque, le port de l’épervier

Sur le poing fut autrefois un signe

De noblesse et de distinction diem faucon.

Oiseau chasseur et agressif,

Désigne aussi le pénis.

Luminessens.org/post/2017/01/14/lepervier

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

On  voit et  on entend

Rarement en faire autant

De bruit avec un instrument,

Si petit qu’on le mettra en poche

Tout comme  un tout petit  oisillon,

Crie après sa mère comme un sourd.

.

Un épervier crie autant, pour sa taille

Quand on rêve d’être un oiseau en l’air,

Ce n’est chant qui nous attire : son vol

Surtout quand il est haut et planant

Permet contempler les paysages.

 .

.

En un vol plané, planant

.

Scénarios

.

Quand certains rêveraient d’être un aigle, ou  un oiseau de proie,

autres rêvent d’être chef d’orchestre, ou scénariste,  ou réalisateur,

je rêve d’être oiseau fantasque, mythique, fantastique, chimérique !

 .

Visuels et textuels   >>

738 – De perdre mon âme, à force de la chercher !

Visuel et textuels  >>

.

De perdre mon âme,

Ça, je ne  risque  pas !

Du moins avant la mort

Elle est prédestinée à ça !

.

À défaut,  je peux la ternir,

À défaut, je peux la maudire

Ou encore, ne pas l’entretenir,

Ou la chercher où elle n’est pas.

.

La sensibilité est une qualité d’âme

Qu’on accorde volontiers à la femme,

Celle de l’homme, de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle entièrement surfaite.

.

Danger perdre mon âme à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception  à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’être pas comme  demi-dieu.

    .

Semi-animal plus demi-dieu, ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,  et Dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coincés en plein milieu d’un gué

Avec personne pour nous dire : en quelle direction, aller !

.

De ce fait j’aurai perdu mon âme  à force de la chercher,

L’âme est fenètrable tandis que le corps est pénétrable,

Qui plus est, j’aurais confondu un Dieu avec un Diable

   Et personne  pour me croire,  pour me le pardonner.

.

Mis à part vous fidèles lecteurs bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement cette fable.

Soyez rassurés, indulgents, un tel brame,

Ne pourrait conquérir cœur de dame.

.

L’âme damnée du poète maudit

Seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas réussi,

Ni pour elle, ni avec lui

.

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que  l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

.

Extensions

 .

Le danger de perdre mon âme

À force de la chercher devient aussi

Celui de se plonger en une introspection

Trop poussée, trop fouillée ou isolée

Des réalités qui nous entourent.

.

Une perception extracorporelle

Ou lévitation d’une forme consciente

Juste au-dessus  de  notre  propre  corps,

Reste encore un phénomène des plus

Étranges et des plus troublants.

.

À  notre mort, notre âme  revêt

Plusieurs formes, celle de lumière,

D’un oiseau, d’un souffle, d’une énergie,

Ou râle, que sais-je encore comme

Si quelque chose s’en échappait.

.

Comment peut-on perdre quelque chose de virtuel :

L’âme étant connue pour n’avoir de réalité tangible,

Elle ne peut être le sujet, d’une recherche… éligible :

Il faut se persuader qu’elle existe pour croire en elle

Mais ce ne sera pas parce que je ne la trouverai pas

Qu’elle se perd à tout jamais en les limbes de l’oubli

Dans mon âme, tout ce que j’ai vécu, je l’aurai mis !

.

Chercher ce qui n’existe pas

Faudrait pas y passer sa vie

Pas vu d’âme sous bistouris

A proclamé mon chirurgien

.

Y a mieux à faire, poursuit-il

Déjà assurer sa propre santé,

Réfléchir au monde où on vit,

Reste sera donné par surcroit

.

Un supplément d’âme, on dit,

Que la science ou la technique,

Ne peut jamais nous apporter :

Qu’art, poésie, musique, culture.

.

Et c’est bien ce que j’ai pressenti,

En me lançant dans des écritures :

À force de chercher en elles, un âme

Je finirai bien par me la … façonner !

.

.

738 – Calligramme 

 .

Perdre   P     son  âme,

Ça, je ne  E  risque  pas !

Du moins  R  avant la mort

Elle est pré  D  destinée à ça !

R ….

À défaut, je    E    peux la ternir,

À défaut, je     *   peux la maudire

Ou encore, ne    S   pas l’entretenir,

Ou la chercher    O    où elle n’est pas.

  N …

La sensibilité est    *   une qualité d’âme

Qu’on accorde vol     Â   ontiers à la femme,

Celle de l’homme,       M de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle      E  entièrement surfaite.

  *

Danger perdre mon âme       à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon  *     pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire   F   aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception    O   à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’êt   R  re pas comme  demi-dieu.

     C

Semi-animal plus demi-dieu    E   ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,     *   et  dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coin     L   cés, plein milieu d’un gué,

Avec personne pour nous dire     A   en quelle direction, aller !

De ce fait j’aurai perdu  l’âme      *    à force  de  la  chercher,

L’âme est fenètrable : seul le        C     corps   est pénétrable,

Qui plus est, aurai confondu       H     Dieu avec un Diable

   Et personne pour me croire        E    et me le pardonner.

                        R

Mis à part vous fidèles lecteurs    C  bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement   H  cette fable.

Soyez  rassurés, indulgents, un tel  E brame,

Ne pourrait conquérir cœur dame   R …

Car l’âme damnée du poète maudit

Est seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas  réussi,

Ni pour elle, ni avec lui,

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

738 4

.

Forme possible

Parmi   d’autres

Pour représenter

L’âme en lumière

.

L’âme : substance immatérielle,

comme lumière faite de photons,

qu’on ne peut saisir manuellement

et ainsi la forme épouserait le fond

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

 .

Lumière, symbole de la vérité,

De  la  révélation  et  du  savoir.

Elle est indissociable de l’ombre.

.

Ainsi alors que l’ombre symbolise

À  la  fois  les ténèbres  et  la  mort,

La lumière évoque la clarté et la vie

Par   analogie,  l’ombre  symbolisera

L’ignorance,  tandis  que  la   lumière

Représentera  la  lucidité  et  le savoir.

.

«Avoir besoin des lumières de quelqu’un»

Illustre bien l’idée d’une telle connaissance.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-lumiere.

.

Descriptif

 .

738 – Perdre son âme, à force de la chercher 

  Alignement central  /  Titre  oblique  / Thème  âme

Forme conique / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : lumière / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

738 6

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

.

Expression d’une puissance supérieure,

Issue d’un centre, d’une source primordiale,

La lumière  crée, éclaire, ordonne, clarifie.

Mais sa force peut devenir très  aveuglante.

.

À l’inverse, peut, en certains cas,  s’éclipser,

Ou rencontrer des obstacles qui empêchent

La dissolution des ténèbres plus profondes.

.

En son sens le plus profond,  la lumière est

L’intuition et de la conscience  qui  s’ouvre

Par un chemin  qui mène  à l’illumination,

C’est l’accès à la connaissance, à la vérité,

C’est l’entrée dans une vie plus  véritable !

https://www.jepense.org/symbolisme-de-la-lumiere

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Savons-nous seulement si notre âme

Est dans l’ombre, ou dans la lumière,

Du côté conscient  ou bien inconscient,

Si elle nous est personnelle ou commune

C’est-à-dire antérieure à notre existence

Nous la revivons, complétons, assumons.

.

Il semble que l’âme dépasse entendement

Humain, et sans, pour autant, être divine

Si fait que chacun se définirait la sienne,

Y compris sa source, devenir en religion

 .

.

Les couleurs de mon âme

.

Scénario

.

La vue de dos, de mon apparence, qui s’envole au ciel, accompagnée.

La vue de face de mon apparence, extraite d’un enfer  vers un … ciel.

D’accord mais finalement, mon âme en telle majesté, sera étrangère.

 .

Visuel et textuels  >>

1127 – Le divin paradis, inaccessible, septième ciel

Visuels et textuels  >>

.

Divin … paradis,

Septième ciel inaccessible

Il n’appartient   à aucune réalité

Du monde visible monde sensible,

Il n’est que projeté par les hommes,

Purement virtuel et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où le temps est :

Espaces, mouvements,  énergies,

Seraient substitués par conception

Incluant l’idée inventée, d’Éternité.

.

Monde du divin, de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on se rend après mort,

La fin du corps d’apparence physique.

 .

Que ce lieu existe ou n’existe pas,

L’homme dans    toutes périodes,

Toutes cultures  ou civilisations,

L’a  promulgué  e n  salut  final :

Il y a, bien entendu, des athées,

 .

Des agnostiques  et des ignorants

Niant la possibilité d’improbable

Ou pour le moins d’in-trou-vable,

Et qui nous échapperait toujours

En dépit de savoir en technologies.

.

Pour autant jour d’aujourd’hui,

Rien ne nous autorise à affirmer

Que ce septième … ne serait  que

Produit de l’inconscient  collectif,

Pour contrer inacceptable destin

.

De notre mort humaine  en fin,

En se projetant sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Extensions

 .

En redescendant sur terre,

Regardant d’autre point de vue

Ce « moi initial », ce « moi total »,

S’il lui manque sa dimension spirituelle,

Se rapprocherait, confondrait monde animal.

.

Si nous sommes animaux, notre destin sera scellé :

Sommes appelés à être remplacés, disparaître sans traces.

S’il s’agit d’une expérience qui a mal tournée, erreur de casting

De la part d’un Maitre du Monde alors la boucle se transforme

En dédale où se nouent, dénouent paradoxes, contradictions.

.

Cercle, monde, paradis, demeurant à jamais indécidables,

Ne peuvent satisfaire les esprits rationnels humains

Fonctionnant selon des logiques différentes

En s’appuyant sur le réel, non le virtuel.

.

Et, toutefois l’imaginaire humain, quel qu’il soit

Et quoiqu’il conçoive fait bien partie d’un certain réel

Et c’est bien avec lui, et grâce à lui, que nous avons fait

Des découvertes et des avancées, et, il y aurait dilemme

Si les choses sont équivalentes conséquences différentes.

.

Les cercles de la connaissance n’ont rien de scientifiques,

Initiatiques, métaphysiques et encore moins mystiques :

Ils ne sont qu’une construction de l’esprit pour mieux

Se situer dans le déjà vaste monde que l’on habite.

.

Le septième ciel : pourquoi pas sixième ou le huitième ?

L’on n’en est pas à un, près, dans un tel lieu, suprême,

Lors d’un voyage sans retour en destination extrême

Dépassant et de loin, sept couches de l’atmosphère,

Aucun astronaute ne s’est senti  près d’un Paradis

Mais, on ne sait pas tout, et on ne voit pas tout :

Certes, nous n’avons pas la preuve  qu’il existe,

Non plus qu’il n’existe pas sauf en La Marelle.

.

Le ciel est le seul lieu que l’Homme

N’a pas encore totalement exploré et compris.

Les humains restent fascinés par cette voûte bleue

Constellée d’étoiles s’exhibant au-dessus de leur tête.

Car depuis l’Antiquité, ils tentent de l’expliquer :

C’est à cette période qu’on l’associe à félicité.

.

L’homme veut toujours aller plus haut.

De surenchère en surenchère, nous sommes

Tous montés jusqu’à se rapprocher du dernier,

 Celui qui nous mettra au plus près des dieux

On rejoint un peu, ici, la quête d’un Graal,

Qui serait proche de l’extase amoureuse

Mais le septième ne sera que spirituel.

.

.

Épilogue

.

Le jeu de La Marelle est des plus pédagogiques,

Pour apprendre cette notion d’un septième ciel.

***

On est censé aller tout droit au ciel après la mort,

Ce n’est pas tant qu’on l’ait mérité…qu’on y croit.

***

Cette croyance s’illustre en action dans La marelle

On n’utilise le pied en sautant, poussant, un palet.

***

Palet empiète  des cases : tout est à recommencer,

L’on passe d’une case à l’autre en un ordre imposé

***

Le Ciel atteint en haut, l’on redescendra sur Terre :

Pourquoi des cases horizontales au milieu, en haut.

***

Je ne suis pas certain d’une interprétation que voilà,

 Comparons un tel chemin à celui de notre propre vie

***

La première étape horizontale  correspond au milieu

De notre vie, c’est-à-dire pas loin de … quarante ans.

***

Première fois pour beaucoup, sens de vie questionne,

On est bien installé, en son métier, son couple, foyer !

***

Seconde fois, on est  au début  de sa retraite d’activité

Dernière étape, en perspective est celle de notre mort.

***

Ces deux périodes seront favorables à toute expérience,

Qui nous mène en recherche de spiritualité à une autre,

***

La deuxième sera  alors  comme une sorte d’achèvement

Dans son choix et de révélation  intime  d’une vraie joie !

***

 Après cela la mort ne sera autre qu’étape supplémentaire,

Qu’on aurait accepté, compris, intégré, sans en avoir peur.

.

.

1127 – Calligramme

.

Divin      *       paradis,

Inaccessible  D   septième ciel

Il n’appartient   I  à aucune réalité

Du monde visible  V  monde sensible,

Il n’est que projeté    I   par les hommes,

Mais purement virtuel  N et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où temps est :

Espace/mouvement/énergie,

P

Seraient substitués         A        par une conception

Incluant cette idée          R       inventée, d’Éternité.

Monde du divin,              A       de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on             D         se rend après mort,

La fin du corps d’            I       apparence physique.

S

Que ce lieu existe    *        ou n’existe pas,

L’homme dans        *       toutes périodes,

Toutes cultures       S       ou civilisations,

L’a promulgué               en salut final :

Il y a, bien enten    P        du, des athées,

T

Des agnostiques      I      et des ignorants

Niant la possibili    È      té d’improbable

Ou pour le moins   M      d’in-trou-vable,

Et qui nous échap   E       perait toujours

En dépit de savoir   *      en technologies.

*

Pour autant jour     C         d’aujourd’hui,

Rien ne nous au       I      torise à affirmer

Que ce septième      E        cercle n’est que

Produit d’incons      L      cient … collectif,

Pour contrer inac     *       ceptable destin.

.

I   N    A   C   C   E   S   S   I   B   L    E

.

De notre mort         *     humaine  en fin,

En se projetant     * sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1127 4

.

Ça ressemble assez fort

À  un jeu  connu, appelé  

La Marelle pour le ciel

Qu’il faut gagner au pied.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

 .

La Marelle n’atteint pas  le ciel

ce jeu étant sur sol, horizontal :

il y en a de différentes structures

mais forme est conforme au fond

.

Et bien même par jeu La Marelle :

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Et puis ceux le trainant  vers l’Oméga.

.

Symbolique 

.

La Marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi,

Dont sont issus le jeu du labyrinthe,

La  pétanque  et  le  jeu  de  l’oie.

 .

La plupart des jeux pour enfants

Jeux de société étaient, à l’origine,

Divinatoires  et  initiatiques.

 .

Dans un monde où la raison,

La logique et la science exacte

Font force  de  lois, les principes

Divinatoires initiatiques des jeux

Ont  été  relégués   aux  oubliettes,

Dans un passé dont  nous pensons

Que l’obscurantisme, superstitions

Régnaient en maîtres absolus

Dans les mentalités.

minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1127 6

.

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Et bien même par jeu Marelle :

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Ceux le trainant vers l’Oméga.

.

Symbolique de fond

.

Comme le remarque Mircea Eliade,

« La prière, la plus populaire, du Monde

S’adresse à notre Père qui est aux Cieux ».

C’est dire l’importance du symbolisme céleste.

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Certains, tel P. W. Schmidt, ont même voulu voir

Dans ce dernier la matrice archétypique de tout

Le symbolisme religieux. Nombreuses cultures

Confondent l’appellation du Dieu suprême

Avec dénomination du ciel et des cieux.

universalis.fr/encyclopedie/symbolisme-du-ciel

 .

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Corrélations

 

Fond/forme 

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Tout enfant accèdera peu à peu au ciel

En jouant à ce petit  jeu de La Marelle

En poussant son palet à cloche pied

Sans déborder des cases tracées !

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Un jeu qui n’a rien de religieux,

Un des plus vieux jeu d’enfant

Défiant les lois de l’équilibre

Sans compter précision

Comme aime enfants

Pour tester adresse

Des déplacements.

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Paradis Walhalla vikings !

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Scénario

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Sept étages, en spirales et qui se déroulent jusqu’au septième ciel.

Un astronaute sorti hors station orbitale et qui s’y croit presque.

Ça pourrait être ça le septième ciel, si ce n’était pas photoshopé.

 .

Visuels et textuels  >>

183 – Contemplation de la Voie Lactée en mer

Visuels et textuels  >>  

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Arc de cercle, coupant le ciel en deux,

Du Nord au Sud, et sans discontinuer,

Milliers d’étoiles, venues autres cieux

M’adressent leurs bonjours illuminés

.

Ils essayent de me  faire  comprendre

En quoi leur lumière en moi, perdure

Une éternité alors même que je ne dure

Qu’un éclair de temps  à s’y méprendre

.

Je vis, les yeux rivés  sur  mon nombril

Ne vois pas que mon étoile en moi brille

Du message originel  d’un être suprême,

Qui régit cette belle horlogerie extrême

.

Arc de cercle, coupant  le ciel, en deux,

Il réveille une vision d’éclats lumineux,

Produit des rêves éveillés,  merveilleux.

Deviendrai-je lumière, son mélodieux,

 .

Qui se perdront en immensité solitaire

Et iront, jusqu’aux confins de l’Univers,

Se diluer hors de notre système solaire,

Il suffit de lever les yeux, pour dessiner

En son espace, nos éternelles destinées.

.

Arc de cercle, coupant  le  ciel,  en deux,

Fortunément ses éclats rendent heureux

De me trouver  aussi loin  et près,  de lui,

Aucune autre lumière artifice ne produit

Une telle impression  une telle émotion

À en perdre, de mon temps, la notion

.

Arc de cercle, coupant le ciel, en deux,

Je lui réserve,  je lui confie  mes vœux

D’être  étoile  au  milieu  de nos cieux

Qui n’en finit pas d’éclairer mes yeux

.

Arc de cercle coupant le ciel en deux,

Peut-être  la voie  directe  vers Dieu

Si ce n’est : vers une autre destinée

Inconnue encore du  Monde entier

.

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Extension

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Pourquoi tant d’étoiles en voûte de mon ciel d’enfance

Lors je ne me lassais de la regarder sans comprendre,

À me  méprendre  avec  l’existence  de vraies  planètes

Alors  qu’il ne s’agissait  que de leurs  reflets  et puis si

 Lointaines qu’inaccessibles aux communs des mortels.

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Aujourd’hui, voie lactée que je connais  un peu mieux,

Me fascine, toujours, comme tous les éternels amours :

 À quoi sert-elle, d’où vient-elle,  combien  durera-t-elle :

Je me contente de la contempler, comme cadeau du ciel.

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Nous avons franchi sa barrière, nous sommes allés au-delà,

Dans notre espace, dans son passé, où, n’aurions rien trouvé,

Hormis cette  théorie  du « Big Bang »  qui puisse la justifier !

Une voie qui ne mène nulle part  nous est tracée dans notre ciel,

Et qui lactée, ne nous console de rien en notre Monde de mortels.

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Contempler la Voie Lactée, est un émerveillement à l’infini,

Nous qui sommes des poussières, nous qui sommes si petits

Nous la percevons comme un trait, comme amas de lumière

Alors qu’elle est une spirale, constellation, milliard de soleils,

Et comment se fait-il que nous soyons et perdus et uniques ?

Devant un tel spectacle, je retiens mon souffle, et ma pensée,

Et je me prends à rêver que l’Univers n’est qu’une projection.

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Depuis ma plus rendre enfance, cette Voie Lactée

M’a toujours fascinée, en plus de l’étoile du berger,

Et le ciel plus ou moins parsemé d’étoiles brillantes

Les étoiles  nous ressemblent un peu, me disais-je :

Étant mortes, elles continuent à briller dans le noir

Comme témoins d’une vie antérieure matérialisée.

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Voie lactée origine latine veut dire chemin laiteux

J’imagine que le ciel s’en nourrit comme du lait

Toutes les étoiles, vues depuis notre planète,

 Appartiennent à cette galaxie en centre :

Elle donne une idée de ma petitesse

Dire qu’il y en autres : milliards.

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Épilogue

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Voie Lactée est notre constellation,

Bien que lointaine : la plus proche,

Humain n’envisage une approche,

Ce serait de l’ordre de la déraison.

***

J’imagine Univers qui m’échappe,

Je ne peux m’empêcher de penser

Espace-temps qu’un horloger crée

Sinon c’est mon esprit que dérape.

***

Sommes-nous, isolés, abandonnés,

Et la vraie vie se passerait  ailleurs ;

Sommes-nous une expérience ratée,

Un paradis perdu suite à une erreur.

***

Et ce n’est là qu’une portion visible :

Constellations, galaxies par millions :

À quoi peut bien servir telle profusion

Lors sommes aveugles de tels invisibles

***

 Poussières d’étoiles sur un chemin céleste,

N’existent d‘elles que des lumières du passé,

Elles persistent, elles s’expansent, elles restent.

En témoin oculaire, je ne peux que m’interroger.

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183 – Calligramme

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  Arc de cercle,  *   coupant le ciel en deux, ……………………………………..

      Du Nord au Sud, *   et sans discontinuer, …………………………………….

        Milliers d’étoiles   C  venues autres cieux ……………………………………

            M‘adressent leurs   O  bonjours illuminés.………………………………….

.

                  Ils essayent de me     N  faire  comprendre,……………….……………..

                     En quoi leur lumière   T   en moi, perdure…………………………….

                      Une éternité alors mê  E  me que je ne dure………………………

    Qu’un éclair de temps   M   à s’y méprendre….

.

         Je vis, les yeux rivés     P    sur mon nombril

                Ne vois pas que mon   L  étoile en moi brille

                       Du message, originel  A   d’un être suprême,

                          Qui régit cette belle   T horlogerie extrême

.

                                   Arc de cercle coupant I    le ciel, en deux,…

                                        Il réveille une vision   O   d’éclats lumineux,

                                             Produit des rêves év  N   eillés,  merveilleux.

                                               Deviendrai-je lumi    *   ère, son mélodieux,

                  .

                                                   Qui se perdront en   D   immensité solitaire

                                                       Et iront, jusqu’aux   E    confins de l’Univers,

                                                       Se diluer hors de no   *    tre système solaire,

                                                      Il suffit de lever les    L   yeux, pour dessiner

                                                     En son espace, nos     A  éternelles destinées.

.

                                               Arc de cercle coupant  V    le ciel, en deux,

                                                Fortunément ses éclats O    rendent heureux

                                              De me trouver  aussi      I   loin et près de lui,

                                               Aucune autre lumière   E    artifice ne produit..

                                            Une telle impression      *    une telle émotion …

                                          L

                                           À en perdre, de mon   A     temps, toute notion.……

                                  Arc de cercle cou       C   pant le ciel en deux ……

                               Je lui réserve ou je     T     lui confie mes vœux ……

                           D‘être une étoile au    É    milieu de nos cieux ……..

                      Qui n’en finit pas d’éc E      lairer mes yeux…………..

.

             Arc de cercle coupant   M le ciel en deux, ……………

       Peut-être la voie di    E  recte vers Dieu ……………..

   Si ce n’est : vers une R  autre destinée,……………….

Inconnue encore du  *    Monde entier…………………

.

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Forme

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Réduction

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183 4

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Évocation 

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De la haute mer, on voit bien la lune et

Un amas courbe myriades d’étoiles.

Que l’on appelle la « Voie lactée »

Au centre de notre Galaxie !

 .

La Voie Lactée est une bande ceinturant

le ciel étoilé, on peut la voir en courbe

tant et si bien que cet amas densifié,

représente bien sur fond et forme.

Un arc en ciel,  avec une étoile :

Un clin d’œil pour la Voie Lactée, 

Étant un amas étoiles des plus près

Au plus lointaines …. constellations.

.

Symbolique

 .

On retient de l’étoile,

Sa qualité de luminaire,

De sources  de  lumières.

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Les   étoiles   représentées

Sous la voûte  d’un temple

Précisent  sa  signification

Elles  percent   l’obscurité,

Et sont autant de phares

Projetées sur la nuit

De l’inconscient.

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Très liée au ciel

Dont elle dépend,

Étoile évoque mystère

Du sommeil et de la nuit ;

Pour briller de son éclat personnel,

L’homme doit se situer  dans les grands

Rythmes cosmiques et s’harmoniser avec eux.

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Descriptif

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183 – Contemplation Voie Lactée en mer

Alignement  central / Titre analogue / Thème  humeur

Forme en courbe  / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : étoile / Symbole de fond : constellation

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Fond 

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Évocation

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183 6

.

Un arc en ciel,  avec une étoile,

Un clin d’œil pour la Voie Lactée, 

Étant un amas d’étoiles des plus près

Au plus lointaines …. constellations.

  .

Symbolique 

 .

Une constellation

Est un « groupe d’étoiles voisines

Sur la sphère céleste, présentant une figure

Conventionnelle déterminée, à laquelle on a

Donné un nom particulier. » 

.

C’est aussi une « région du ciel

Conventionnellement délimitée

Qui inclut  ce groupe d’étoiles. ».

.

De nombreuses cultures auront

Imaginé  des  formes   en reliant

Étoiles  par   lignes  imaginaires.

Ils les ont associées à des mythes.

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Ces constellations  ont  aussi servi

Aux repérages céleste  et terrestre,

Ainsi qu’à l’orientation des marins.

fr.wikipedia.org/wiki/Constellation

 .

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Corrélations

Fond/forme 

 .

Nous faisons partie de cette galaxie

Que l’on ne perçoit guère  que la nuit,

Mais qui toujours, encore nous éblouit

Par profond mystère  qui ne s’éclaircit

De ses milliards  d’étoiles, sans noms 

Qui la hantent comme en abandons,

Nous questionnent sur nos fonds.

 .

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Voie lactée, vue ciel de nuit

.

Scénario

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Voie Lactée, ce sont des milliards d’étoiles et planètes vues en ligne,

bien qu’ayant  une structure en spirale formant une constellation :

cela dit,  l’homme, devant un tel spectacle : à quoi peut-il penser ?

 .

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