692 – Gens prennent conscience lors événement

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Fragile et fragilité que de sentir déstabilisé

À en perdre ses repères à pleurer après sa mère.

Il faut événement tragique  et douter certitude

D’être invincible  inatteignable, lors, parfois,

Un grain  de sable suffirait pour ressentir :

.

Finitude

Mé-lan

Colique

Devenu.

.

Gens prennent conscience,

Lors tragique  événement

De leur fragilité d’être,

De  leurs déficiences,

De limites physiques,

Se remettent à douter,

Et à ce point de changer,

Capables, enfin, de se décider.

.

S’octroient une pause pour méditer

Révolution et prendre des résolutions,

Comme pour faire régime amaigrissant.

.

Ça dure un peu  et jamais très longtemps,

Temps d’être repris, happé par… l’activité

Qui laisse très peu  de place à la réflexion.

.

Et ce sont les amis qui vous le rappellent

Mais, je croyais que, tu, vous, interpelle,

Vous trouvez alors un argument béton,

Pour vous excuser,  mais, pas le bon !

.

Et puis voilà qu’autres événements

Un sursaut de votre tempérament

Vous surprendra  à vous rejuger,

À vous voir en menteur dévoyé.

.

C’est alors que de l’intérieur

S’éclaire, en vous, lueur,

Et prenez  le fou pari

De réussir  tout ce qui

N’aurait jamais marché,

Jusqu’à présent, pour vous.

.

Extensions

 .

En maxime « Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Sans effort, motivation, persévérance :

Rien ne peut changer, d’évidence.

Il faut faire un travail sur soi

Et non demander aux autres

De faire  ce  travail  à  sa place :

Ça ne marcherait pas  et pour cause !

.

Limites physiques, limites psychologiques,

Limites intellectuelles : si les trois se cumulent,

C’est injouable ou presque de changer d’attitudes,

D’habitudes, de latitudes : les régimes amaigrissants

Se font en dents de scie et les temps de sommeil se font

Élastiques et les déplacements de plus en plus erratiques.

En bref, changer demanderait une force de caractère innée.

.

Stabilisé, déstabilisé, fragile, fragilisé, primé, déprimé

L’humain est très fort en principe, très faible en réalité

Et il est loin d’être le plus fort d’animaux mammifères.

S’il se battait contre une panthère : ce serait sa chair !

Il est malin, pour sûr mais il a un « talon d’Achille » !

.

Pour sûr, la mort d’un proche, d’un ami,

Fait prendre conscience de sa vulnérabilité

Tout comme d’apprendre qu’on a un cancer.

.

Lors tout va bien : événements nous coulent

Sur la peau  tout comme l’eau d’un ruisseau,

Paradoxalement on dit ils ne nous touchent.

.

Notre fragilité nous fait comparer au roseau

Tant à vouloir être un chêne, indéracinable,

On tombe d’un coup nous dit La Fontaine.

.

Fragments

.

C’est au pied du mur qu’on voit le maçon

C’est en forgeant  qu’on devient forgeron :

Autant d’erreur que sagesse en ces dictons,

Lorsque, au pied du mur, on aura révélation

.

Révélation de quoi… non pas d’une croyance,

Révélation conscience réelle, de son existence,

À laquelle on accordait trop peu d’importance,

Qui, face événement, devient de toute évidence.

.

Parmi autre dicton «Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Que viendrait faire le ciel en une telle affirmation

«Il faut juste aider les autres  à s’aider  eux-mêmes»

 Plus efficace, convient mieux, en philosophie de vie.

.

Les fleurs en diraient long sur leur durée et fragilité,

Fleurs en terre, en pots, engraissées, en vase, coupées

Sont autant de métaphores d’événements se notre vie,

Nous faisant prendre conscience de notre éphémérité.

.

Imaginez  une fiancée,  avec son bouquet de mariée :

Tout va bien pour elle,  ce bouquet lui convient bien,

Et voilà que le lendemain, elle se dit s’être trompée,

Regarde son bouquet pour confirmer : séché, fané.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

                                                                 Fragile et fragilité que    G  de sentir déstabilisé

                                                                   À en perdre ses repères E   à pleurer après sa mère.

                                                                    Il faut événement    N  tragique et douter certitude

                                                                    D’être invincible  S       inatteignable lors, parfois

                                                                 Un grain  de sable suffirait pour ressentir

                                             Finitude

                                      Mé-lan

                                 Colique

                             Devenu.

Gens prennent   P  conscience,

Lors tragique   R    événement

De leur fra   E   gilité d’être,

De  leurs   N   déficiences,

De limites   N    physiques,

Se remettent   E   à douter,

Et à ce point de    changer,

Capables, enfin, de   T se décider.

.

S’octroient  C  une pause pour méditer

Révolution   O   et prendre des résolutions,

Comme pour   N    faire régime amaigrissant.

Ça dure un peu      S   et jamais très longtemps,

Temps d’être repris    C       happé par… l’activité

Qui laisse très peu de       I       place à la réflexion.

Et ce sont les amis qui        E       vous le rappellent

Mais je croyais que tu,         N           vous interpelle,

Vous trouvez alors un         C          argument béton,

Pour vous excuser,           E           mais pas le bon !

Et puis voilà qu’           *            autres événements

Un sursaut de          É            votre tempérament

Vous surpren        V             dra  à vous rejuger,

À vous voir          É                 menteur dévoyé.

C’est alors           N                que d’intérieur,

S’éclaire en         E                    vous lueur,

Et prenez            M                le fou pari

De réussir           E                    ce qui

N’a jamais          N            marché,

Jusqu’à présent  T     pour vous.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase sinon une bouteille

Pour y mettre une fleur

Simple et solitaire 

Jolie puis fanée !

.

692 4

.

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Une fleur fanée se sera en aucun cas

Un événement majeur, à bien noter,

Normal, elle est coupée, mis en vase,

Lors la forme se distinguera du fond.

.

Symbolique 

 .

Fleurs sont l’attribut de Flore

Mais parfois aussi de l’Aurore

Ainsi que figures allégoriques

Du Printemps,  de la Logique,

De l’Espérance, et, de  l’odorat.

 .

Logique, un des sept arts libéraux,

Porte parfois  un  bouquet  de  fleurs.

L’Espérance détient  aussi cet attribut :

Fleur  annonce  future  naissance  du  fruit.

 .

Au niveau mythique, Zéphyr, le vent du printemps,

S’étant épris de Flore, l’enlève et s’unit en mariage :

En gage de son amour, il lui offre de régner sur

Tous les champs et tous les jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Fond

 

Évocation 

.

Manque illustration ici

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Symbolique

 .

Un   rêve    positif

De réalisations possibles.

Fleurs représentent également

Le  symbole  de  l’âme  et   indiquent

Le  bon  avancement  de  votre  processus

D’individuation et rêver de fleurs fanées

Ou fleurs coupées, a une autre signification.

Cela peut signifier une rupture ou cassure

Telle la fin d’une relation amoureuse.

Ça signifie également rupture

Arrêt d’un processus

Psychique.

doctissimo.fr/psychologie

 .

 .

Fond/forme 

 .

Les fleurs coupées, comme chacun sait,

Se fanent plus vite que les fleurs en terre

Il en serait de même pour les êtres humains,

Couper  les  de leurs  racines, et, ils s’étioleront

.

On ne peut vivre longtemps heureux loin des siens

Le bouquet de la mariée est un symbole fort de durée

Moins vite il se fanera, plus longtemps, union durera !

.

Textuels et illustrations  >>

1057 – La Nature ou Dieu m’a pourvu de conscience

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La Nature ou Dieu,

M’a donné conscience,

Qui plus est : connaissance,

Pour exercer mon  libre arbitre,

Dans la responsabilité de mes actes.

.

Me voilà, à présent, bien embarrassé,

Pour retrouver mon chemin de vérité,

Dans le labyrinthe de mes pensées.

Où le conscient et l’inconscient

Se brouillent à bon escient

Et à volonté

.

De suivre guide éclairé

Est seul moyen s’en sortir,

Et que l’on vous conseillera,

Pour couper court à l’angoisse.

.

Si décisions personnelles

Ne peuvent être collectives

L’inverse s’avère moins vrai,

On adhère plus à communauté.

.

Devise : ni dieu ni maître,

Vous fera, à tous, apparaître

Comme anarchiste ou libertin,

Et  non  comme un loyal citoyen.

.

Croyance religieuse ou laïque,

Ne change pas votre destin terrien

Les lois étant les mêmes en pratique

Chacun se fait propre idée mal et bien.

.

Etre conscient, c’est exercer,

En jungle d’opinions contraires,

Son esprit critique, et bien affûté,

Garantissant, seul, liberté de pensée.

.

Extensions

 .

La conscience est  physique  avant d’être  intellectuelle :

Conscience de quelque chose, percevoir physiquement,

Avant de l’analyser et de le traiter intellectuellement.

Conscience de ce que pensent, imaginent les autres,

Est déjà plus délicat et puis avoir conscience  de ce

Qu’on pense par soi-même, c’est à dire qui ne soit

Pas dicté par les autres, les contextes, les circonstances,

Est encore plus subtil. Conscience que mes paroles ou écrits

Actes seraient  interprétés  autrement  que ce que  j’en pense

Est tout un art de la diplomatie tout comme de la rhétorique.

.

Il ne suffit pas d’exprimer idées, opinions, comportements

Mais de mesurer et d’anticiper l’impact que ces derniers

Peuvent avoir sur les autres en fonction de ce

Qu’ils sont  et  qu’ils connaissent de vous.

« Jugez en votre âme et conscience »,

Dit-on en prétoires aux assises juridiques

Et là, on quitte le domaine du droit pur et dur

Pour entrer dans la conviction intime qui n’est plus basé

Sur les seuls faits mais sur leurs intentions secrètes, inavoués.

.

Le diable est dans les détails d’après Nietzsche,

Comme l’astérisque pour les contrats d’assurance

D’accord, mais Dieu et le diable, ne permutent pas,

Ou bien  alors  dans certaines puissances mythiques !

Si c’est bien la lumière qui nous fait sortir des ténèbres

C’est bien aussi elle qui nous ferait connaître les ténèbres,

De même  que  la liberté  nous  fait connaître  la servitude !

C’est Dieu qui nous fait connaître  le diable, le bien et le mal :

S’il nous a pourvu d’une conscience de cela, est un vrai cadeau.

.

Nous sommes bien les seuls sur Terre à être doté,

Avec but à atteindre,  de conscience d’exister,

Sans compter  d’une conscience cosmique,

Qui nous rend  tout sentiment tragique !

.

Quand on dit Dieu, c’est nous-mêmes

Qui avons, au fil des ans, développés

Une conscience de la mort extrême

Comme négation, forte, d’exister !

.

Fragments

.

Conscience d’un Diable opposé à Dieu

Reste une pure invention  des hommes,

Et comme il figure parait-il parmi nous,

De ce fait, la forme évoquera bien le fond.

.

Nature ou Dieu m’a pourvu d’une conscience

Voilà beau sujet pour devoir de philo, au Bac :

Dix-huit ans, a-t-on assez d’expérience pour ça

En mon âme est conscience je pense oui et non.

.

Voilà qui inspirerait thèse, antithèse et synthèse

La question n’est pas binaire, elle serait ternaire

Comme Dieu le Père son fils, Jésus, Saint esprit,

Mais la religion définit mal ce qu’est conscience.

.

Edgar Morin, né en 2021 et aujourd’hui centenaire,

A eu, pris le temps de bien y réfléchir «un moment»

Il distingue avec le dico Larousse, deux définitions :

Conscience de soi ; conscience des autres, du Monde.

.

Caractère intuitif, autoréflexif, introspectif d’un coté

Caractère  observationnel, réflexif, objectif, de l’autre

Introspectif on prend conscience de soi comme objet

On ne se l’explique pas : on peut juste la comprendre.

.

Dans le « je pense donc je suis » par René Descartes

Le je s’adresse à mon moi, et le suis à son état de vie

C’est un des fondements essentiels de la philosophie

Encore faut-il être sincère et jouer table sur cartes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

NATURE, DIEU,

La Nature ou Dieu,

M’a donné conscience,

Qui plus est : connaissance,

Pour exercer mon  libre arbitre,

Dans la responsabilité de mes actes.

Me voilà, à présent, bien embarrassé,

Pour retrouver mon chemin de vérité,

Dans le labyrinthe de mes pensées.

Où le conscient et l’inconscient

Se brouillent à bon escient

Et à volonté

M ’ A   P O U R V U

De suivre guide éclairé,

Est seul moyen s’en sortir,

Et que l’on vous conseillera,

Pour couper court à l’angoisse.

.

Si décisions personnelles

Ne peuvent être collectives

L’inverse s’avère moins vrai,

On adhère plus à communauté.

.

Devise : ni dieu ni maître,

Vous fera, à tous, apparaître

Comme anarchiste ou libertin,

Et  non  comme un loyal citoyen.

.

Croyance religieuse ou laïque,

Ne change pas votre destin terrien

Les lois étant les mêmes en pratique

Chacun se fait propre idée mal et bien.

.

Etre conscient, c’est exercer,

En jungle d’opinions contraires,

Son esprit critique, et bien affûté,

Garantissant, seul, liberté de pensée.

D’ U N E      C O N S C I E N C  E

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Personnage mythique

 Petit diable diablotin

Et conçu par LEGO 

Pour sa conscience

.

1057 4

.

Un petit diable, diablotin,

Narguant bonne conscience,

Mais d’où vient-elle vraiment

Et qui pourra bien me le dire !

 .

Symbolique

 .

Dans

La littérature,

Notamment policière,

Le diable est associé

À la danse.

La   diabolisation langage, dans  le

Discours politique est assez courante.

Il a partie liée  avec les forces du mal,

Et il a, toujours, des  adeptes, comme

Le montrent nombre de profanations

Perpétrées  dans   nombre cimetières.

De  par   son  ambivalence, le   Diable

Est un mal utile, et même  nécessaire.

Personnalisation de ce qui est négatif,

On lui reconnaît le pouvoir de réussir

Là  où   l’homme   échoue.

Il est accusé  de toutes les

Misères du monde mais il permettrait

Catalyser peurs, angoisses, fantasmes.

journals.openedition.org/terrain/9173

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1057 6

.

Un petit diable ou diablotin,

Narguant bonne conscience,

Mais d’où vient-elle, vraiment,

Et qui pourra bien me le dire !

 .

Symbolique 

.

Le premier

Sens          renvoie à ce

Qui  permet une  représentation,

Même des plus simplifiée, du Monde

Et des réactions      par rapport à celui-ci.

 .

Il est question de    « conscience du monde »

Évoquée expression              « perdre conscience »,

Ou, à l’inverse,                       « prendre conscience ».

 .

La conscience                            est un « fait » laissant

Entendre que              « l’âme est un rapport à soi ».

Examen de la     conscience est doute méthodique

Afin d’entrer        en rapport à soi, non erroné.

 .

La conscience        peut correspondre à une

Représentation     de son existence.

Il est alors      question de 

Conscience de soi.

fr.wikipedia.org/wiki/Conscience

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le Diable est représenté en traditions populaires

Avec des oreilles pointues et une queue fourchue ;

.

Mais l’idée est celle d’un mauvais génie en général

Sauf s’il s’agit d’un diablotin, c’est plutôt un enfant

Du genre turbulent, espiègle, comme il y en a tant.

.

Si on en a conscience, c’est parce que  Dieu et bon,

Et qu’il fallait un équivalant pour contrebalancer.

.

Sinon comment régler les problèmes de justice :

À qui on donnerait le Bon dieu sans confession.

.

Textuels et illustrations  >>

995 – Faut demeurer lucide, attentif et concentré

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ah

Attentif

Con-cen-tré,

À cent  pour cent,

Mais qui  ne  le souhaite

À tout moment de la journée

Sans toutefois toujours y arriver !

Baisse de régime, d’attention, d’énergie

L’enfant s’envole au-delà de sa fenêtre école,

L’adulte fait une pause-café, cigarette, causette.

Bourreau de travail, dit-on, seize heures par jour,

Sans jamais dételer ni sans jamais se reposer

Faut-il être un surhomme, pour y arriver,

Ou se sacrifier pour cause supérieure

Tôt ou tard, l’addition  à  payer

L’écrivain, qui  se  plonge,

Un mois en son œuvre

Met une semaine

À se reposer.

Reposer

VV

.

Demeurer lucide, attentif, concentré

En pleine possession  de ses moyens

Seize heures  durant … l’œil vigilant,

Qui ne s’en dirait capable et pourtant,

L’impression, que l’on a d’être présent,

Varie en foncton d’activité et du temps,

Des fois, à fond, travaille notre caboche,

Et puis au minimum soudain, décroche.

 .

Certains fonctionnent, le jour, au ralenti

Et ne trouvent  pas leur sommeil, la nuit,

Juste l’éclair  de  contrôler  ce qu’ils font,

Avant de retomber en  léthargie, ronron.

Instants, d’émotion, joie,  calme, volupté,

Sont parenthèses, bulles vides  stressées,

Avec de l’énergie entre trop, et pas assez,

De vie, à ne rien faire, avec de l’intensité.

 .

Écrire requiert esprit clair et imaginaire

Converser un esprit en pleine recharge

Phrase est éclair et qui se décharge,

Dialogue, tonnerre réactionnaire.

.

Extensions

.

Demander à nombre d’enfants de rester

Concentré plus d’une heure est une gageure.

Le monde moderne, habité, drogué, par le zapping

Et la surinformation, est malade de  troubles de l’attention.

L’attention c’est utiliser une pile pour chercher ce qu’on a perdu

Dans une salle obscure, en se focalisant sur un seul endroit à la fois.

Le zapping, c’est utiliser un projecteur très large et puisant

Pour observer tout l’espace en même temps.

Le premier mettra un instant pour tomber sur l’objet,

Le second le verra passer plusieurs fois dans son regard

Avant de le remarquer : « qui trop embrasse, mal étreint »

Dit–on à propos des activités comme des relations.

Il est vrai que le changement d’activité a du bon :

Il repose  de l’activité  précédente  mais quand

On  en  arrive  à  dire  que   les  programmes

De télévision constituent conditionnement

Pour rendre cerveau disponible, réceptif,

À la publicité, c’est le monde à l’envers !

.

Qu’est-ce que la lucidité sinon une clairvoyance aiguisée

Qui fera qu’on ne vit pas les yeux bandés, oreilles fermées

Et que l’on portera attention aux moindres signaux faibles

Annonçant changement dans la nature profonde des choses

Au lieu de voir la vie, les gens et les événements tout en rose.

C’est facile à dire mais moins à le faire, moins à rester, lucide

Quand on se doute que, de partout et en tout, on est manipulé

Et que l’illusion tient pour beaucoup, de sens, pour leur réalité,

 Qu’au final, être esclave ou libre de pensée, la mort égalisera tout.

.

Conscient, lucide, attentif, concentré

Sont autant de qualités  en vue d’écouter,

Pour comprendre, et voire pour interpréter,

Bien des informations venant de notre monde.

.

La plupart du temps et voire la plupart des gens,

Auront une vision parcellaire, lacunaire, du monde,

Dans lequel pourtant ils vivent, travaillent, s’amusent

On ne peut guère leur en vouloir : société est faite ainsi.

.

Ah mais il y a les professeurs, les savants, les journalistes,

Pour nous trier tous bruits inutiles : bruit noir, blanc, rose

Je ne me vois guère plonger en données brutes, arbitraires

Je n’ai ni le temps, ni l’envie, de me fier à un dictionnaire.

.

Fragments 

 .

La lucidité requiert pleine conscience

Questionnement en un esprit critique,

Avec une clairvoyance  et bonne acuité.

Attention doit être soutenue, maintenue

Afin de favoriser meilleure concentration

Attention pour quelqu’un est focus sur lui

.

Prenez le cas d’observation  d’un pendentif,

Voire d’une pendule oscillant tout le temps,

Au bout d’une durée, variable selon chacun,

On finira par détourner les yeux ou fermer,

Tandis qu’on reste focalisé sur l’être aimé,

Tant qu’il demeurera  d’intérêt  constant.

.

L’entourage agit  sur capacité attention,

Certains bruits nuisent à concentration

Bien plus si accompagnés d’agitations,

Mais tout dépendra  de notre capacité

À nous extraire de l’environnement :

J’ai parfois bien du mal …  et vous !

.

Il y a des méthodes, des exercices

Favorisant préparation attention

Comme des postures de … yoga,

Respirations voire sophrologie.

Écrire, peindre et tous les arts,

En demandent, au maximum.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Ah

Attentif

Con-cen-tré,

À cent  pour cent,

Mais qui  ne  le souhaite

À tout moment de la journée

Sans toutefois toujours y arriver !

Baisse de régime, d’attention, d’énergie

L’enfant s’envole au-delà de sa fenêtre école,

L’adulte fait une pause-café, cigarette, causette.

Bourreau de travail, dit-on, seize heures par jour,

Sans jamais dételer ni sans jamais se reposer

Faut-il être un surhomme, pour y arriver,

Ou se sacrifier pour cause supérieure

Tôt ou tard, l’addition  à  payer

L’écrivain, qui  se  plonge,

Un mois en son œuvre

Met une semaine

À se reposer.

Reposer

VV

.

*******************

*************************

.

Demeurer lucide, attentif, concentré

En pleine possession R  de ses moyens

Seize heures durant   E        l’œil vigilant,

Qui ne s’en dirait ca  S    pable et pourtant,

L’impression, que    T     l’on a d’être présent

Varie en foncton    E     d’activité et du temps,

Des fois, à fond,    R      travaille notre caboche,

Et puis au mini    *       mum soudain, décroche.

L ………………

Certains fonc        U    tionnent, le jour, au ralenti

Et ne trouvent        C      pas leur sommeil, la nuit,

Juste l’éclair  de        I       contrôler  ce qu’ils font,

Avant de retomber       D       en léthargie, ronron.

Instants, d’émotion, joie,     E        calme, volupté,

Sont parenthèses, bulles vides    *          stressées,

Avec de l’énergie entre trop,     A     et pas assez,

De vie, à ne rien faire, avec   T     de l’intensité.

          T

Écrire requiert esprit    E  clair et imaginaire

Converser un esprit     N  en pleine recharge

Phrase est éclair         T      qui se décharge

Dialogue, tonnerre     I       réactionnaire.

        F

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un piédestal pour œuvre d’art

Un signal d’avertissement train

Un pendentif  bicônes en haut ;

Pendentif plus arrondi, en bas.

.

995 4

.

Couvercles coniques inversés :

Un pendentif sphérique, en haut

Et deux arcs  de cercles  …  en bas

Pour   un     pendentif    plus    rond.

Rien à voir avec un degré de conscience

Pendentif ne nous aide à nous concentrer,

Dès lors la forme se différencie bien du fond.

.

Symbolique

.

Ten

Dances

Et       modes

Seraient,     parfois,

Vite oubliées,    remplacées.

Pourtant, y  a  nombre de  bijoux

Qui durent, petites choses  qui restent,

 .

Comme pendentif  dont la symbolique

Nous   permet   de   nous  retrouver

Tant dans notre personnalité

Que dans notre manière

De vivre,    d’être

Et de pen

Ser.

 .

hernandizjose.coma-

symbolique-des-bijoux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Couvercles coniques inversés :

Pendentif sphérique en haut

Et deux arcs de cercles …  en bas

Pour un pendentif plus rond.

.

Symbolique

.

Un bon nombre         des pendentifs

Que nous portons           servent  à  former

Notre   éminente                 forte personnalité.

Lors certains ne                     peuvent  jurer que

Par  des  colliers                         très fins,   discrets,

D’autres, formes                            larges  et  visibles.

 

Chaque personne a spontanément ses préférences,

Disant quelque chose de nous, témoins des histoires

De chacun ou simple coup de cœur, les pendentifs

Sont comme un ornement et livrent leur beauté

Naturellement, en harmonie avec celui

Ou celle qui les porte.

 .

 

.

Fond/forme 

 .

Qui dit pendentif évoque pendule :

Demander à votre enfant turbulent,

D’en porter un puis de ne plus bouger

Lors vous verrez qu’il aura bien du mal

S’il est monté sur ressort pour se calmer.

.

À propos de pendule, le manque d’attention

Et plus encore, de concentration serait devenu

Un problème d’éducation, et voire de civilisation

Un élève ne peut se concentrer plus de dix minutes

Un employé  est dérangé  par des surinformations

Perpétuelles si ce n’est sollicitations personnelles.

.

Textuels et illustrations  >>

994 – La vie n’a pas la même importance la nuit

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La vie ne s’arrête point la nuit,

Elle change de mode, c’est tout,

On peut avoir l’apparence : mort,

Notre cerveau continue son travail.

À supposer qu’on ne dorme pas, plus,

On gagnera un temps fou, temps perdu !

Prendrais-ton le temps du recul nécessaire

Pour faire de notre vie,  autre que  d’affaires.

.

Lors si tous les gens qui dorment … se ressemblent

Certains profitent de leur nui et autres la haïssent

La nuit n’est pas ennemie du rêve elle le construit

Et avec lui, le désir qui se renouvelle en énergies.

La vie n’a, jamais, la même importance, la nuit

Quand je dors,  quand je suis, comme un mort,

Car chaque fois au réveil, je reconstruis le lien

Avec celui que j’étais la veille, et tout va bien.

.

Bien que ma vie diurne soit des plus occupée,

Je suis loin d’avoir fini ce que j’avais projeté :

Mais voici que mon rêve se renouvelle la nuit,

Me redonne, le matin, l’âme d’un nouveau-né.

Pour certains, la nuit demeure  le pire ennemi

Par l’angoisse de mourir ou par le temps perdu,

Vers une fin pour reculer la fin, toujours tendus

Alors que bébé s’abandonne et se réjouit, au lit.

.

Perdre conscience serait-il … perdre confiance,

En soi, en la vie, en la permanence  du Monde :

La mort serait rupture en sommeil… déficience

Si le corps se remonte comme horloge … ronde.

Sauf les animaux, oiseaux migrateurs, en hiver,

Seuls, les hommes sortent de leurs trous de ver,

Le temps est suite d’espaces que l’on conquiert

Seul à découvrir et à connaitre la planète Terre.

.

Ma vie n’est qu’un point de vu parmi… milliers,

Je pourrais être un caillou, chou, hibou… genou.

Tous sont prédécesseurs de vies… hiérarchisées,

En l’échelle de complexité, qui nous met au bout.

Si tant est qu’à la fin, quel qu’autre forme de vie,

Supérieure, inférieure à la nôtre… nous remplace.

.

Notre histoire humaine ne sera plus qu’une trace,

Fragile et venant disparaître, dans la nuit, aussi

De jouir de la vie, et, de tout ce qui m’entoure,

Tant que je peux, tant qu’il est, encore, temps :

Combien de fois ai-je entendu ce beau chant,

Comme si ma vie n’était qu’un court, tour !

Dans notre histoire sans fins et sans liens

Avec un destin divin, qui nous surpasse,

Avec amour humain, qui nous dépasse

Demain plus qu’hier et un jour, rien !

.

Extensions

.

La nuit n’est ni l’envers

Ni  le contraire  du jour,

Elle en est le complément

Et voire… son supplément.

Sans  elle : pas de sommeil,

Et  aucun d’arrangement de

Tout ce qu’on a vécu le jour.

Mes nuits  sont  plus  belles

Que vos jours,   prétendent

Les agités des nocturnes !

.

La vie, la nuit n’est pas comme celle du jour :

Ce n’est pas qu’elle soit plus sombre, plus noire,

C’est qu’elle dégage du temps, pour faire l’amour,

Pour jouir de son corps et de son âme romantique,

Pour transformer sa vie, morose, en un nouvel espoir

Dans un clair-obscur d’un Lune, aux allures magiques.

.

On a dit souvent que la vie est très ralentie

La nuit : c’est vrai et c’est faux : tout dépend

Du lieu où l’on est comme  de ce qui s’y passe

En campagne, en pleine forêt : peu de bruits,

Ce qui n’est pas le cas en ville, aux carrefours

.

Et puis depuis qu’il y a des lumières, partout,

La vie ne s’arrête plus : elle diminue… un peu,

Comme si le soleil, bien qu’il soit bien couché,

N’ait plus d’importance, ait moins d’influence

Sur toutes poursuites des activités humaines.

.

Fragments

.

La nuit, l’on dira que les chats sont gris,

Tout se ressemble, difficile de distinguer,

Il y a comme des confusions fond / forme,

Parfois il y a lumière de lune pour éclairer.

.

De dire que tout sommeillerait durant la nuit,

Est faux autant en campagne qu’en pleine ville,

En campagne tendez l’oreille écoutez vie secrète,

En ville, les bruits son feutrés mais sont continus.

.

La pleine lune favorise toutes sortes de fantasmes

Allant de la chouette, humain devenant loup-garou

C’est le règne de la métamorphose, métempsychose

Les âmes se promènent  dans le corps d’un animal !

.

Le plein soleil met toutes choses en lumière couleur

Il favorise la croissance des plantes de toute nature

Les bruits sont plus forts, plus diversifiés, rythmés,

Au petit matin, nocturne et journalier, se croisent.

.

Pour finir, la nuit deviendra plus ou moins longue,

En fonction des saisons, créant autre vie nocturne,

Plus de sommeil fait plus de repos au corps/esprit,

Bien que le cerveau travaille autant jour que nuit !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

La vie ne s’arrête point la nuit,

Elle change de mode, c’est tout,

On peut avoir l’apparence : mort,

Notre cerveau continue son travail.

À supposer qu’on ne dorme pas, plus,

On gagnera un temps fou, temps perdu !

Prendrais-ton le temps du recul nécessaire

Pour faire de notre vie,  autre que  d’affaires.

.

LA VIE N’A PAS

Lors si tous les gens qui dorment … se ressemblent,………………………

Certains profitent de leur nui et autres la haïssent…………………..

La nuit n’est pas ennemie du rêve elle le construit……………

Et avec lui, le désir qui se renouvelle en énergies. …….

La vie n’a, jamais, la même importance, la nuit…

  Quand je dors,  quand je suis, comme un mort,

      Car chaque fois au réveil, je reconstruis le lien

            Avec celui que j’étais la veille, et tout va bien.

                  Bien que ma vie diurne soit des plus occupée,

                       Je suis loin d’avoir fini ce que j’avais projeté :

                          Mais voici que mon rêve se renouvelle la nuit,

                              Me redonne, le matin, l’âme d’un nouveau-né.

                                Pour certains, la nuit demeure  le pire ennemi

                                     Par l’angoisse de mourir ou par le temps perdu,

                                      Vers une fin pour reculer la fin, toujours tendus

                                       Alors que bébé s’abandonne et se réjouit, au lit.

                                      Perdre conscience serait-il … perdre confiance,

                                          En soi, en la vie, en la permanence  du Monde :

                                       La mort serait rupture en sommeil… déficience

                                         Si le corps se remonte comme horloge … ronde.

                             LA MÊME IMPORTANCE

                                         Sauf les animaux, oiseaux migrateurs, en hiver,

                                    Seuls, les hommes sortent de leurs trous de ver,

                                   Le temps est suite d’espaces que l’on conquiert

                                   Seul à découvrir et à connaitre la planète Terre.

                                 Ma vie n’est qu’un point de vu parmi… milliers,

                                 Je pourrais être un caillou, chou, hibou… genou.

                              Tous sont prédécesseurs de vies… hiérarchisées,

                             En l’échelle de complexité, qui nous met au bout.

                          Si tant est qu’à la fin, quel qu’autre forme de vie,

                        Supérieure, inférieure à la nôtre… nous remplace,

                     Notre histoire humaine ne sera plus qu’une trace,

                    Fragile et venant disparaître, dans la nuit, aussi ……

                         De jouir de la vie, et, de tout ce qui m’entoure, …………….

                      Tant que je peux, tant qu’il est, encore, temps : ……………..

               Combien de fois ai-je entendu ce beau chant, ……………….

          Comme si ma vie n’était qu’un court, tour ! …………………..

     Dans notre histoire sans fins et sans liens ……………………..

  Avec un destin divin, qui nous surpasse, ………………………….

Avec amour humain, qui nous dépasse ……………………………….

Demain plus qu’hier et un jour, rien ! ………………………………………..

LA NUIT   

.

Forme

.

.

Évocation

.

La Lune encore premier quartier

Surmontée  d’un point  comme un  i 

Qui ressemble comme un ver luisant

Éclairant la nuit blafarde, étrange.

.

.

La nuit est souvent représentée

En  noir, avec   étoiles  et Lune :

Le jour sera représenté, en bleu,

Avec  nuages, ombres  et  soleil.

La Lune n’aura rien d’un soleil

c’est juste satellite qui le reflète

nous éclairant, parfois, la nuit,

et ainsi évoquera bien celle-ci !

 .

Symbolique 

 .

La Lune est la frontière

        Entre le soleil et l’obscurité

                       Et elle est donc associée à ce qui

                                    Sépare la conscience et inconscience.

 

                                                Elle est parfois liée à l’idée de romantisme,

                                                      Qu’on pense à la lune de miel au clair de lune,

                                                    Propice déclarations amoureuses, vampires,

                                                   Plus effrayant encore, la pleine Lune est celle

                                                  Qui déclenche transformation du loup-garou.

 

                               Elle est d’ailleurs indissociable de tout

                  Bon film d’horreur pour y mettre

        Un peu d’ambiance horrifique.

Source : europe1.fr/société/

La-lune-tout-un-symbole

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

994 4

.

La nuit est souvent représentée

En  noir, avec   étoiles  et Lune :

Le jour sera représenté, en bleu,

Avec  nuages, ombres  et  soleil.

 .

Symbolique de fond

 .

Succession régulière 

Naissance et           croissance,

Plénitude puis           déclin de la vie.

Vingt-quatre heu           res, degrés Zodiac.

 .

Course mensuelle de      la Lune imite le jour.

Saisons répètent les        quatre parties du jour :

Le printemps, pour le      matin ; l’été, pour midi ;

L’automne, le coucher    du soleil ; l’hiver, la nuit.

 .

Suivant la pensée juive        dans la Bible, la durée

De    la création  est  rep      résentée par six jours,

Le septième jour ayant        pour    signification

De représenter vie éter     nelle du Seigneur

Après intenses activités de Créateur.

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

xxxxxxxxxxxxxxxxxx

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Lune romantique, lune de miel

Lune bénéfique, lune maléfique,

Lune pleine, en quartier, rousse,

Les qualificatifs lui sont associés

Sont nombreux et très subjectifs

On connait influence sur marée,

Sur les germinations, couleurs,

Pour  ce qui est  de l’Humain,

Par suite  de  ses quartiers,

 On parlera de lunatique :

On sait qu’elle est inerte

Depuis qu’on l’a foulé 

Mais qu’importe !

.

 Textuels et illustrations  >>

960 – Conscience de soi, des autres, du Monde

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Avoir conscience

N’est pas que science

Mais, sorte de préscience,

Que la mort, est notre destin,

Que la Science n’y pourrait rien,

En raison de vivre   …    d’absence !

.

Nous sommes seuls individuellement

Et  nous sommes  seuls, collectivement,

À connaitre, notre début,  milieu, et,  fin,

Sans trop comprendre un   …    tel chemin.

 .

L’homme est le seul animal au Monde Univers

À avoir conscience, de lui-même, de sa destinée

Nos tous premiers congénères, nous le confèrent

Nommant, divinisant, la mort, les ayant frappés !

 .

Bien plus que la sienne, indirectement, lui importe

Celle de son clan,  de sa famille,  de ses êtres  chers.

Mort mettant un terme, à la vie de chair, sur Terre,

Donne conscience d’importance, lors nous emporte.

 .

En porte des étoiles, serait une création de l’homme,

Pour religions, pour mythes, aux croyances infâmes :

Sciences sans conscience ne sont que ruines de l’âme,

Il faut trouver le sens de ce qui n’en a pas, en somme.

 .

De quoi est fait, de quoi serai  rempli  ma conscience :

De tout ce qu’ai j’ai vu, entendu, expérimenté  et vécu,

Depuis ma naissance,  car, je ne suis pas né, dépourvu

De capacités à me repositionner,  dans mon existence.

 .

Existence de la conscience et conscience de l’existence.

Mais que faire  de l’inconscient : un territoire inconnu,

Tant contradictions, paradoxes, troublent mon essence

Que je ne crois divine et n’est pas qu’animale, non plus.

.

Extensions

.

L’homme est le seul animal au Monde

Parlant un langage symbolique

Conceptuel et le seul à avoir conscience

Des autres, et sur toute la Terre

Et même de se la représenter en l’Univers.

Et il est aussi le seul qui prend

Autant soin de sa progéniture,  enterre morts

En monuments, rites funéraires

Qui font partie histoire individuelle et collective.

En toute conscience, bonne conscience :

Ce dont nous n’avons conscience n’existerait guère

Par rapport à l’importance à lui donner.

Toute conscience  est conscience, de quelque chose,

Nous Husserl, père de la phénoménologie :

La chose prévaut sur l’idée, l’idée n’est pas la chose

Donc pas de superposition entre les deux.

 .

Il n’y aurait guère que l’imaginaire qui soit sans limites ni bornes

Le Monde, dans sa totalité, est limité et, aujourd’hui,  bien borné !

En avoir conscience  sera, déjà, un premier pas  vers toute altérité.

Liberté, égalité, fraternité sont autant de bornes qui nous écornent

Si on ne les respecte pas pour un «bien vivre ensemble» en société !

 .

Fragments

.

La « conscience », définit dictionnaire Laroussant,

Analysé par Edgard Morin dans Encore un moment,

Comporte une oscillation et de caractère permanent,

Entre intuition/réflexion, représentation/observation

.

Conscience de soi-même, des autres, l’environnement,

Soi-même par ce que je suis ou pense ou voudrait être

Des autres, soit réellement,  soit par différents médias,

Environnement lors je traverse une rue, en pleine ville.

.

Toutefois il existerait une conscience dite intermédiaire

Qualifiée, parfois, d’attention périphérique ou réflexive,

Agissant face a un danger avant d’avoir pris conscience

C’est le cas d’un coup de frein, arrêt brutal, en voiture !

.

Une borne routière est un repère existant depuis Rome

Devenue quelque peu obsolète… depuis l’usage du GPS

Elle donnait conscience objective du chemin parcouru,

Environnement devenait plus lisible, plus interprétatif.

.

Avoir conscience de sa conscience est comme se mettre

En surplomb, en observateur de ce qui se passe dedans,

Mais parfois notre conscience échappe à notre contrôle,

Fonctionne sur elle-même comme en orage ou en délire.

.

Selon Morin, vraie conscience prendre conscience de soi

Suppose de prendre conscience de dépendance à autrui,

Implique une conscience collective d’un destin commun,

Conscience, dite collective, sera liée aux sorts des autres.

.

Nous sommes aussi dépendants du sort de notre planète

Malgré la conscience de cette évidence, est peu partagée,

Ce qui veut dire que  majorité des humains, selon Morin,

Vit dans l’inconscience d’un tel problème pourtant vital !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Avoir conscience

N’est pas que science

Mais, sorte de préscience,

Que la mort, est notre destin,

Que la Science n’y pourrait rien,

En raison de vivre   …    d’absence !

Nous sommes seuls individuellement

Et  nous sommes  seuls, collectivement,

À connaitre, notre début,  milieu, et,  fin,

Sans trop comprendre un   …    tel chemin.

.

CONSCIENCE DE SOI,

L’homme est le seul animal au Monde Univers

À avoir conscience, de lui-même, de sa destinée

Nos tous premiers congénères, nous le confèrent

Nommant, divinisant, la mort, les ayant frappés !

 .

Bien plus que la sienne, indirectement, lui importe

Celle de son clan,  de sa famille,  de ses êtres  chers.

Mort mettant un terme, à la vie de chair, sur Terre,

Donne conscience d’importance, lors nous emporte.

.

CONSCIENCE DES AUTRES,

En porte des étoiles, serait une création de l’homme,

Pour religions, pour mythes, aux croyances infâmes :

Sciences sans conscience ne sont que ruines de l’âme,

Il faut trouver le sens de ce qui n’en a pas, en somme.

 .

De quoi est fait, de quoi serai  rempli  ma conscience :

De tout ce qu’ai j’ai vu, entendu, expérimenté  et vécu,

Depuis ma naissance,  car, je ne suis pas né, dépourvu

De capacités à me repositionner,  dans mon existence.

.

CONSCIENCE DU MONDE 

Existence de la conscience et conscience de l’existence.

Mais que faire  de l’inconscient : un territoire inconnu,

Tant contradictions, paradoxes, troublent mon essence

Que je ne crois divine et n’est pas qu’animale, non plus.

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un gros buzzeur 

Voire un tampon encreur,

Borne routière kilométrique, 

Ou prise de conscience du Monde.

.

960 4

.

Une borne routière reste un symbole

De parcours mais aussi de distance.

Avoir conscience de l’immensité

Du Monde, reste conséquent.

 .

 Symbolique 

 .

 

Une borne routière

Est élément signalétique placé

En bordure de route et destiné à

Identifier la route concernée et à

Y indiquer distances à parcourir,

Vers les diverses localités voisines.

 

Et  les premières  bornes routières

Que  l’on  connaisse   étaient   celles

Qui jalonnaient  les voies romaines.

 

Certaines indiqueront une  frontière

Entre départements,  régions,  pays,

Le sens général  est autant une limite

À ne pas dépasser qu’un repère de lieu

Et distance qui reste à franchir ou pas.

Modifié, source : Wikipédia.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Une borne routière est un symbole

De parcours mais aussi de distance :

Avoir conscience de l’immensité

Du Monde, reste conséquent.

 .

 Symbolique

Le premier sens renvoie à ce qui permet

Une représentation,   même très simplifiée,

Du Monde, des réac     tions  par  rapport  à lui.

Il est lors question de          conscience du monde.

C’est celle qui est évo               quée  dans des expressions,

Comme «perdre cons                     cience»,  ou,   à     l’inverse,

« Prendre                                                                             conscience ».

La conscience                      est un «fait»                        au sens où

René Descartes,                  Méditations              métaphysiques,

Laisse entendre                  qu’âme reste         un rapport à soi.

L’examen de                                                           la conscience

Suppose le doute mét                    hodique comme la façon

Première d’entrer en             rapport à soi non erroné.

Dans un sens, plus indi      vidualiste, la  conscience

Peut aussi correspondre à une représentation,

Même très simplifiée, de sa propre existence,

Il est alors question de conscience de soi.

fr.wikipedia.org/wiki/Conscience

.

Fond/forme 

 .

Il y a tout un gap entre la conscience 

D’une borne routière et sa signification,

Et conscience de ce que contient  le  Monde

Et ce d’autant que chacun se construit le sien,

Même si c’est sur un terrain commun pour tous.

Qui dit conscience dit «représentation d’une chose»

Qui dit conscience dit « responsabilité sur une chose»

Du point de vue psychologique puis point de vue moral.

.

 Textuels et illustrations  >>