800 – Quels petits arrangements entre amis !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Amants

Avec ran-ge-ment

Dérangement couple

On n’en voit peu, beaucoup

Arrangements  on ne sait tout.

Il y en aura bien tant mieux sinon

Ça ne durerait pas longtemps

Qui a tort  qui a raison

Les deux, sûr,

Point de vue !

.

Dérangements, arrangements,

Ou racines de, conflits, solutions,

Permettent au couple, une rémission

Afin de vivre leurs passions autrement.

Quels  petits arrangements, entre amis

Pouvons-nous faire au sein du couple !

.

Chut, on en parle pas juste entre nous :

Les autres nous jugeraient comme fous.

Secrets d’alcôves, de couples, de familles,

Remplissent nombre romans d’éducation

Où on délivre  les deux faces du mariage :

Face pile, vraie valeur, autre,  sa noirceur.

.

On y trouve ceux qui sont sans  carapaces,

Vivent comme leur temps le permet, tolère,

Autres qui veulent, surtout   sauver  la  face,

Lors ils ont le dos tourné, se mettent  colère.

.

Quand on leur parle de soupçon d’infidélité,

Ou moindre problème de communications,

Avec un conjoint  se faisant suivre, soigner

Par le psy pour tenter  de trouver solution.

.

Petit arrangement de couples, entre amis,

Sont aussi fréquents que coups de canifs,

Un contrat de mariage   revu à la baisse :

Mal pour un bien, c’est à chacun  de voir.

.

Quels  petits  arrangements  entre amis,

Pouvons-nous faire  au sein  du couple !

Chut, on en parle pas, juste entre nous :

Les autres nous jugeraient comme fous.

.

Extensions

 .

Des arrangements, il y en a

De toutes sortes, dans les couples,

Étant basées sur l’amitié ou sur l’amour.

Dans les divorces, le point le plus critique s’il

Y a des enfants, est leur garde et l’autorité parentale.

.

Il y a quantité de recours aux juges pour trancher

Les positions statiques, sauver l’avenir et confort

Affectif des enfants : l’amour, la vie commune

Et la gestion des conflits sont trois choses

Complétement disjointes parfois alors

Qu’ils devraient vraiment aller de soi.

.

Il y a de la vengeance, de la jalousie,

De l’amour non soldé, de l’incapacité de

Résilience chez certains ex-conjoints qui font

Qu’au lieu de trouver des arrangements, se battent

Pour obtenir le maximum de droits et de prérogatives.

.

Entre la guerre entre peuples et entre couples, il existe

De nombreux points communs, idem au sein des

Couples qui veulent rester ensemble tout

En gardant leur liberté sexuelle,

Sinon sentimentale.

Chambre à part !

.

Qui dit arrangement dit négociation et compromis,

Le tout est d’en trouver un acceptable pour le couple

Qui dure  jusqu’à nouvel ordre,  lors on ne sait quand,

Les choses allant  en s’améliorant, stagnant, empirant,

Autant lire  dans la boule de cristal, mais  l’important,

Est que le lien n’est pas rompu, et  que le contrat, tenu

En privé, on peut toujours faire quel qu’amendement.

Il y a des couples ou principe de fidélité est en avant

Et le conjoint floué, ne reviendra jamais en arrière

À chacun de déterminer si c’est prétexte, cause.

.

Nombre arrangements en un couple

Sont souvent possibles, pas toujours.

.

Le premier d’entre eux est de choisir,

De continuer à vivre sous même toit.

.

 Second, de ne pas imposer à l’autre,

Nouvelle compagne ou compagnon

.

Troisième, de continuer à recevoir

Ensemble,  les enfants du couple.

.

Le dernier de porter assistance

À l’autre en cas de problèmes.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Amants

  Avec ran-ge-ment

  Dérange  P   ment couple

On n’en voit  E   peu, beaucoup

Arrangements T     on ne sait tout.

Il y en aura bien I     tant mieux sinon

Ça ne durerait T      pas longtemps

Qui a tort  S    qui a raison

Les deux, sûr,

Point de vue !

.

Dérangements, arrangements,

Ou racines de, conflits, solutions,

Permettent au couple, une rémission

Afin de vivre leurs passions autrement.

Quels petits arran *   gements, entre amis

Pouvons-nous faire    A    au sein du couple !

Chut, on en parle pas       R    juste entre nous :

Les autres nous jugeraient     R      comme… fous.

Secrets d’alcôves, de couples,       A         de familles,

Remplissent nombre romans d’        N         éducation

Où on délivre les deux faces du            G          mariage :

Face pile, vraie valeur, autre, sa            E            noirceur.

On y trouve ceux qui sont  sans            M            carapaces,

Vivent comme leur temps le               E         permet, tolère,

Autres qui veulent, surtout              N           sauver  la  face,

Lors ils ont le dos tourné,            T           se mettent colère.

Quand on leur parle de            S            soupçon infidélité,

Ou moindre problème        *            de communications,

Avec un conjoint           E       se faisant suivre, soigner

Par le psy pour            N   tenter de trouver solution.

Petit arrangement     T      de couples, entre amis,

Sont aussi fréquents    R     que coups de canifs,

Un contrat de mariage    E   revu à la baisse :

Mal pour bien : à chacun    *           de voir !

Quels petits arrangements  A      entre amis,

Pouvons-nous faire au sein  M        du couple !

Chut, on en parle pas, juste    I        entre nous :

Les autres nous jugeraient      S      comme…fous.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum

Dont   la  forte  odeur

Nous suit  en chemin 

Comme une trainée ?

.

800 4

Nouvel arrangement du couple est,

 Pour les uns,   un nouveau  parfum,

Alors  que  pour  d’autres, ce sera un

Nouveau poison à éviter à tout prix.

Un parfum d’amitié existe bien

Et apporte du soleil en un cœur,

Pour peu qu’il soit diffusé  amour

Et ainsi sa forme évoquera le fond

.

Symbolique 

.

Votre parfum

 Sera révélateur

De personnalité

 et en dira long sur

Sur caractère mais,

 .

Pas facile  de s’y retrouver

Parmi une  foule des essences

Sur  marché : pour  vous aider,

 

Sachez que toute  la parfumerie

Se découpera  en  sept groupes

D’odeurs dites fondamentales

 .

Les hespéridés,  les floraux,

Les fougères,  les chyprés,

Les boisés,      les orientaux

Ambrés,             aromatiques.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

800 6

.

Nouvel arrangement du couple sera,

 Pour les uns,  un nouveau  parfum,

Alors  que pour d’autres, ce sera un

Nouveau poison à éviter à tout prix.

.

Symbolique de fond

.

Choix d’un parfum,

Des normes non-écrites

Socialement   reconnues,

Dirigent nos choix et notre

Utilisation  de tels produits,

Tant l’odeur, en tant que telle,

Peut projeter image symbolique.

 

Une fragrance épicée, relevée, ou fruitée

Ou florale peut exprimer plusieurs images

Diverses en l’esprit de celui qui le porte,

Tout comme pour celui qui le sent.

 

Ainsi des odeurs peuvent avoir

Une symbolique  référant à la

Sensualité,     à la fraîcheur,

Comme c’est souvent le cas

Des    parfums     floraux,

Ou encore à la richesse.

joiedevie.forumpro.fr/t15923

-symbolique-des-parfums

.

.

Fond/forme 

.

On ne choisit pas le même parfum

Pour une amante, voire un amant,

 Que pour un ami, proche,  lointain :

L’attraction, l’effet sexuel, en moins.

Mais après si tout se mélange, au lit,

Parfum n’a s même importance aussi

Puisqu’il y en un déjà  qui les dépasse,

Faisant en sorte que rien ne les classe.

.

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783 – Lors j’observe mes amis en couple ou famille

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Observer n’est pas expliquer,

Regarder n’est  pas comprendre,

Projeter est toujours se méprendre

Conseiller est souvent mal s’y prendre

Couple reste un mystère car s’il n’échappe

Pas à l’analyse psycho ni à, statistique socio,

Il est toujours unique faut le prendre en solo

Sinon, par effet bords c’est le vôtre, il happe.

Conseiller un couple ne sera pas comparer

Au sien mais se mettre bien à distance,

Pour ne pas prendre parti, privilégier

L’un car l’autre, battu d’avance.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

.

Il n’est pas

Utile observer

Ce que sont, font

Autres pour savoir où

 L’on se situe, l’on est.

.

Chacun trace sa voie

Et décisions des uns

Ne sont celle d’autres

Dans un cas identique :

«A ta place, moi je ferais»

Entend-t-on dire … parfois.

.

Lors j’observe mes amis en couple, famille

Je me dis que leur vie est bien ou mal faite,

Mais que, de toute façon, chacun interprète

Son sort, à sa façon, solide, ou, de pacotille :

.

Un modèle dominant et qui ne peut changer

Qui ne changera rien s’il n’est pas réinventé.

Un homme, une  femme, ou des semblables,

Du divorce accepté jusque mariage éhonté.

.

Un système de  pensée que l’on exécute.

Famille, travail, patrie et pain, et jeux :

Une mise, en boite  ou en foyer, réglée,

Comme du papier à musique sous clef.

.

Leur sexualité  donne dans  la banalité,

Est parfois une chose rare ou de divinité,

Beaucoup se plaignent, sans rien  changer,

Lors me contente alors de bien les écouter.

.

Comme si j’étais l’ami fidèle  et transparent,

Comme si j’étais un frère, un conseiller, parent

Qu’on sonne, on ignore, selon gravité du moment,

Je ne ferais partie, en aucun cas, du projet, d’avant.

.

Extensions

 .

Lors j’observe mes amis en couple,

Famille, je me dis j’ai été comme eux,

Ils seront comme moi, enfants partis.

.

À part que cette précarité de l’emploi

Qu’ils ont, je n’ai pas subi, la retraite,

Que j’ai eu, ils ne l’ont pas, garantie !

.

À part que l’enfant est roi, et qu’il a

Tous les droits, ai dû me construire

Seul, et ainsi, trouver, seul, ma voie.

.

À part que la liberté des mœurs, était

Très encadrée par la religiosité lors eux

Auront le choix de leur orientation sexuelle.

.

Se marier, enceinte, s’appelait lors: «avoir fauté.»

Aujourd’hui, ce serait « avoir deux chances au lieu d’une

D’une seule en se pacsant d’abord avant décider se marier.

.

Observer un couple, qu’ils soient conjoints, partenaires ;

Observer un groupe d’amis mixte, adolescents,  adultes ;

Observer une famille, avec un ou deux ou trois enfants ;

Observer votre attitude  et votre jugement, par rapport

Vous verrez qu’il y a beaucoup de projections de vous,

Vous êtes, vous avez été ou allez devenir comme eux,

En avez-vous envie, êtes tenté de faire autrement ?

.

On se veut, on se croit, on se dit,

Différents d’une famille à … l’autre.

C’est en partie vrai et en partie faux,

On a tous un socle, des plus communs

Et les apparences resteront à la marge,

Tant il n’y aura pas cent façons de vivre.

.

Bon nombre d’anthropologues, ont cet art

De repérer des constantes  dans les familles,

Au point de les appelés constantes nucléaires.

En dépit des gens seuls  ou familles disloquées,

Le seul modèle qui prévaut est familial ou social,

Comme mode de substitution, non de répudiation.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Observer n’est  *    pas expliquer,

Regarder n’est     O   pas comprendre,

Projeter est tou       B   jours se méprendre

Conseiller est sou      S    vent mal s’y prendre

Couple reste un mys    E   tère car s’il n’échappe

Pas à l’analyse psycho   R    ni à, statistique socio,

Il est toujours unique   V   faut le prendre en solo

Sinon, par effet bords  A   c’est le vôtre, il happe.

Conseiller un couple   N      n’est pas comparer

Au sien mais se met  T   tre bien à distance,

Pour ne pas prendre  * parti, privilégier

L’un car l’autre, battu d’avance.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Il n’est pas

Utile observer

Ce que sont, font

Autres pour savoir où

 L’on se situe, l’on est.

Chacun trace sa voie

Et décisions des uns

Ne sont celle d’autres

Dans un cas identique.

«A ta place, moi je ferais»

Entend-t-on dire … parfois

Lors j’observe mes amis en couple, famille

Je me dis que leur vie est  * bien ou mal faite,

Mais que, de toute façon,  A chacun interprète

Son sort, à sa façon, solide,  M ou, de pacotille :

Un modèle dominant et qui ne  I    peut changer

Qui ne changera rien s’il n’est pas  S    réinventé.

Un  homme, une  femme,   ou des   * semblables,

Du divorce     accepté au mariage        éhonté.

Un système de  pensée que       O      l’on exécute.

Famille, travail,    patrie     U       et pain, et jeux :

Une mise, en boite          P         ou en foyer, réglée,

Comme du papier      L        à  *  musique sous clef.

Leur sexualité        E       donne dans  *   la banalité,

Est parfois,         *         chose rare ou     * de divinité,

Beaucoup        F      se plaignent sans rien  *  changer,

Lors me       A      contente alors de les bien  *  écouter.

Comme      M     si j’étais l’ami fidèle et trans *   parent,

Comme        I   si j’étais un frère, un conseiller  *   parent

Qu’on sonne,  L     qu’on ignore, selon gravité du moment,

Je ne ferais partie, L   en aucun cas, de leur projet, d’avant !

E   ………………….

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un trophée sportif

Foot, probablement :

Un trophée  de  ballon,

Comme  une  médaille !

.

783 4

.

Un trophée en support ballon :

Belle récompense    métaphorique

Comme  n’importe quelle médaille

Mais de forme plate et inversée.

  .

Symbolique 

 .

La conception,

Voire réalisation

De tous trophées

Peut être  confié  à

Un sculpteur célèbre,

C’est  en  général  une

Forme   sur  un  socle :

Une allégorie de victoire

Ou d’honneur, empruntée

Aux figures de mythologie ;

La représentation d’un objet

D’une attitude de la discipline;

Ou encore une forme abstraite !

Wikipedia.org/wiki/Trophée-dans-sport

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

783 6

.

Une médaille est aussi une récompense 

Qui, elle aussi, se mérite

Elle vous distingue, sert

 De reconnaissance de communauté, société

 .

Symbolique 

.

L’objet du trophée peut être symbolique

Cela peut être une coupe, une médaille,

Financier, un bon d’achat, un chèque,

Ou un contrat (contrat d’édition).

Toute  cérémonie sera souvent

Enjolivée par un discours,

Une remise de bouquet

Ou d’une couronne,

parfois de montée

Des couleurs, drapeau

De l’exécution d’un hymne 

Spécifique ou national.

Ou bien autre chose

Et originale

.

.

Fond/forme 

.

On aura jamais trophée,

Pardon, jamais trop fait,

Pour aller gagner, ce nez

Plein milieu de la figure

Comme une distinction

Qui vous démarquera

De tous les autres

Ou presque.

j’en ai bien eu une

une fois, je m’en souviens

comme si c’était hier, souvenir

que j’ai gardé en un tiroir

comme un trophée

une victoire

.

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774 – Quand couples ne désirent pas d’enfant

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Couple demeure libre d’avoir

Des enfants ou non,

Certains ne le désireront pas,

Par accident, en ont.

 .

Après quoi leur sort est selon

Reconnaitront ou non :

L’enfant, né, peut déclencher

Le désir de devenir parents.

 .

Qu’importe si c’est sans regrets

Que les couples l’auront décidé

De n’avoir pas d’enfant, l’assumer

Sans jalousie, plus tard, vieillissant.

.

Quand couples ne désirent pas d’enfant,

Réveille instinct reproducteur du parent,

Y a toutes chances que tout aille de travers

Lors variations de désir d’union peu altière :

.

Si les parents  boivent, les  enfants trinquent,

Dit un dicton,  bien qu’il  ne s’agit que boissons

Cela est tout aussi vrai haines que des désunions

Faisant  des  enfants : caméléons  ornithorynques.

.

Sans ses parents  enfant sera déclaré  orphelin, séant

Pas d’institution,  de substitution, ne les remplaceront,

Bien que parfois les liens affectifs, sociaux parviendront

À faire oublier les liens  de son  histoire et de son sang.

 .

Il y a bon  nombre d’enfants qui renient leurs parents

Et bon nombre de parents qui renient leur enfant,

Comme autant de fêlures en l’humaine nature,

Comme autant d’éducations en déconfiture.

.

Géniteurs, et parents, seront deux états,

Qui se cumulent  et se différencient,

Enfant ne choisit pas en tous cas,

Mais il saura à qui dire, merci.

.

Merci société qui le nourrit,

Merci  orphelinat gratuit,

Merci  famille d’accueil

Merci d’éviter écueil.

.

Écueil  désamour,

Vie  d’inconnu,

Pauvre,  nu,

Toujours

Enfant

Sait

V

.

Extensions

 .

Il le sent,

Le vit quand

Il est rejeté pour

Ce qu’il est : non désiré,

Abandonné, laisser à lui-même

Pour son destin de «non existence».

Quand couples ne désirent pas d’enfant,

Il vaudrait mieux  qu’ils n’en aient pas,

S’ils ne sont pas capables de l’assumer

Pleinement, mais la nature prend

Parfois le dessus  et laisse les

Pseudos-parents pantois,

Se rejetant la faute,

Du pourquoi

Néant.

.

Pas d’enfant : on n’en veut pas et on n’en peut pas

Et notre planète est foutue,  de toute façon :

On ne peut pas lui infliger cette misère,

 Ou bien, encore, ça restreint la liberté

Et puis ça coûte un bras, y a le chômage

Non, non, non, non, on est très bien comme ça

S’il manque, on  prendra un chat, un chien : ça le fera

D’accord, en vieillissant, on sera seul, on en est  conscient

Mais en attendant, c’est le pied, ce minimum de contraintes !

.

L’enfant pose problème en Europe :

En France,  il est de 1,83  par femme,

En 2020 : c’est loin  des 3,00 en 1960.

.

En 2022, 723 000 bébés nés en France,

15 000 naissances de moins qu’en 2021

.

Ce sont là des statistiques, à interpréter :

Le désir ou non, d’avoir  un enfant, est lié

À des multiples facteurs  parmi  lesquels :

L’âge, couple, économie et même l’avenir.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

.

Couple demeure libre d’avoir

Des enfants ou non,

Certains ne le désireront pas,

Par accident, en ont.

 .

Après quoi leur sort est selon

Reconnaitront ou non :

L’enfant, né, peut déclencher

Le désir de devenir parents.

 .

Qu’importe si c’est sans regrets

Que les couples l’auront décidé

De n’avoir pas d’enfant, l’assumer

Sans jalousie, plus tard, vieillissant.

.

Quand couples ne désirent pas d’enfant,

Réveille instinct reproducteur du parent,

Y a toutes chances que tout aille de travers

Lors variations de désir d’union peu altière :

.

Si les parents  boivent, les  enfants trinquent,

Dit un dicton,  bien qu’il  ne s’agit que boissons

Cela est tout aussi vrai haines que des désunions

Faisant  des  enfants : caméléons  ornithorynques.

.

Sans ses parents  enfant sera déclaré  orphelin, séant

Pas d’institution,  de substitution, ne les remplaceront,

Bien que parfois les liens affectifs, sociaux parviendront

À faire oublier les liens  de son  histoire et de son sang.

 .

Il y a bon  nombre d’enfants qui renient leurs parents

Et bon nombre de parents qui renient leur enfant,

Comme autant de fêlures en l’humaine nature,

Comme autant d’éducations en déconfiture.

.

Géniteurs, et parents, seront deux états,

Qui se cumulent  et se différencient,

Enfant ne choisit pas en tous cas,

Mais il saura à qui dire, merci.

.

Merci société qui le nourrit,

Merci  orphelinat gratuit,

Merci  famille d’accueil

Merci d’éviter écueil.

.

Écueil  désamour,

Vie  d’inconnu,

Pauvre,  nu,

Toujours

Enfant

Sait

.

Forme

.

.

Évocation

Ça peut être n’importe quel vase,

Moi  je vote pour une amphore

Avec  des  formes  particulières

Qu’on reconnait maternelles.

.

774 4

.

Amphore est d’abord un récipient,

Un contenant pour liquides

Mais n’est pas sans évoquer

Des formes féminines, maternelles.

.

Symbolique 

 .

Sur la surface

De certaines

Amphores

Sont peints des

Inscriptions  qui  donnent

Des informations sur leur origine,

Leur destination  et le type de produit

Qu’elles transportent : opinion répandue

Veut  que  le  pied  soit fabriqué  en forme

De cône pointu pour offrir à l’amphore

La meilleure stabilité, réalité ce pied

Serait une poignée  permettant

Une troisième prise au

Creux de la main

Pour verser

Contenu.

Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

774 6

.

Amphore est d’abord un récipient,

Un contenant pour liquides

Mais n’est pas sans évoquer

Des formes féminines, maternelle.

.

Symbolique 

 .

«  Rien

Ne permet

 D’affirmer

 Qu’il existe

Un instinct maternel dans l’espèce humaine » :

Odile  Fillod,  chercheuse  en sociologie  des sciences.

«En   l’état   actuel   de nos  connaissances  scientifiques,

Rien ne permet dire qu’il existe un « instinct maternel ».

 .

Dans l’espèce humaine : que ce soit au sens où le fait

D’être femme induirait par mécanisme biologique

Une envie particulièrement forte d’enfanter,

Ou au sens où le fait d’accoucher induirait

Un attachement au bébé et une envie de

S’en occuper spécifiques, par leur nature.

 .

Les recherches menées jusqu’à aujourd’hui

Ont échoué à mettre au jour l’existence d’une

Influence génétique ou hormonale chez l’être humain

Qui différencierait les femmes des hommes sur ce plan. »

magicmaman.com/l-instinct-maternel-c-est-quoi-precisement

 .

 .

Fond/forme 

 .

L’amphore a une forme de ventre

Pour autant n’est pas maternelle :

Ce n’est pas  ce qu’on lui demande,

C’est juste  un contenant, c’est tout.

Maternelle est réservée à la femme

Bien qu’instinct maternel : pas sûr

Pour autant, on ne peut attribuer

Cette posture de mère à l’homme.

.

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712 – Pour trouver la paire, choisir chaussure

 Textuels et illustrations  >>

        .

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Paire de chausse

Trouver la chaussure

À son pied très exactement

Trouver un pied, à chaussure,

Les  deux  prennent  leur temps,

.

Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

 .

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

.

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

Extensions

 .

La chaussure, comme chacun sait,

Est un symbole de sexualité, sans doute

Parce qu’on y glisse un pied dans l’intérieur

Et que l’on doit s’y sentir bien au point de vouloir

Y rester et de partir et voire même de se marier avec !

.

Comme il y en a de tous les genres, de toutes les pointures

Et pour toutes les bourses, et pour tous les goûts, le choix est

Des plus larges et des plus éclectiques, et voire excentriques.

La chaussure peut être : lourde ou légère, haute ou basse,

Sèche ou fourrée, en matière n’écorchant pas les pieds.

.

Les chaussures ont un rapport évident au couple,

Du fait même qu’elles marchent par paires

Mais aussi un rapport à soi-même,

En particulier pour les femmes.

.

Un produit de compensation

Du mal-être, symptomatique de

Celle qui achètera des chaussures

Qu’elle ne portera pas par la suite !

.

Dix magasins pour une paire de chaussures

La vie des femmes, sur pieds, est plutôt dure :

Il y a tellement de choix que toutes, et pas une,

Ne conviennent  parfaitement, sont communes.

Ah oui, le prix, j’oubliais, deux pour prix d’une,

Une chaussure qui leur coûterait une fortune,

Elles se sentiraient mal de…  marcher avec.

Ce ne sont pas les pieds qui choisissent :

Rien que la tête, rien qu’à leur tête !

.

Pas question ici de mettre les deux pieds

Dans la même chaussure, le même  sabot,

On passerait et vite, pour un double idiot,

On ne peut enfourner  avec chausse-pied !

.

Quand on dit que : les deux  font la paire :

S’agit surtout ne pas commettre d’impair,

Lors n’importe qui ne pourra faire l’affaire

Il faut trouver un conjoint extraordinaire !

.

Vous voyez si je suis bien en une chaussure,

Et pas l’autre : je marcherai lors en boitant.

L’un dans l’autre, et ajustés…  parfaitement

On durera longtemps, avec même baisure !

.

Fragments 

.

En quoi une chaussure serait-elle symbole

Union accordée entre deux êtres accouplés,

Par ce qu’on y enfonce le pied, côté féminin,

Parce qu’elles marchent par paire, masculin !

.

Est-ce pour cette raison que  les femmes auront

Dix paires de chaussures, lors, l’homme, moins :

L’érotisme du pied féminin ne se limiterait point

À ses pieds nus : à ses bottes,  à ses hauts talons !

.

Chaussure deviendra aussi multiple, sophistiquée

Au fur et à mesure femmes se seront émancipées :

Bien plus elle ne s’accordera pas qu’avec leur teint

Avec leur parure pour approcher ensemble divin !

.

C’est un peu le monde à l’envers, que les femmes

En essayeront une dizaine, pour en trouver une,

Tandis que les hommes feraient pareilles mais

Avec les femmes, pas pour leurs chaussures.

.

Je m’égare, des chaussures, il y en a mille,

Je cherche celle que Cendrillon a perdue,

C’est juste histoire d’essayer plus d’une

Et quand je la trouve enfin : fortune.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

 Paire de chausse

   Trouver la chaussure

   À son pied très exactement

  Trouver un pied, à chaussure,

  Les  deux  prennent  leur temps,

 Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

 Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

.

P O U R  T R O U V E R  P A I R E,

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

.

C H O I S I R     C H A U S S U R E

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Cela ressemble autant

À une grosse chaussette

Qu’à   une  chaussure 

Qu’il faudra trouver.

.

712 4

.

Ce

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

Trouver chaussure à son pied :

Voilà bien  expression consacrée,

Si ce n’est pas pied pour chaussure

Comme dans Cendrillon, autre conte.

.

Symbolique 

 .

Pendant très longtemps,

Chaussure plus que toute

Autre  partie  du   vêtement,

A présenté  et  a été  chargée,

De symboles très importants :

Symbole  de  richesse,  symbole

De puissance, symbole  magique,

Et religieux, de  cultes   et   de  rites.

.

Une coutume venue de la nuit des temps

A fait considérer  l’offrande de la chaussure,

Comme la ratification sans appel de la conclusion

Soit d’un mariage ou un marché, chez les Romains,

Les règles élémentaires du savoir–vivre exigeaient

Qu’on ôta ses chaussures en arrivant chez un hôte.

fanny-chaussures.com/symboles-dans-l-histoire-de-la-chaussure

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

712 6

.

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

.

Symbolique de fond

.

Freud a identifié la chaussure

Comme un vrai symbole sexuel,

Pied comme symbole phallique.

Or il se glisse en la chaussure.

On en déduira que  chaussure

Est symbole du sexe féminin.

Trouver  chaussure à son pied

Prendra  dès lors  tout son sens.

Chaussures servent  à marcher.

Être bien chaussé est le meilleur

Moyen d’avancer sans douleur,

Sur tous  les chemins  de la vie.

Se sentir bien dans ses baskets

Est  présage positif en rêves.

heraldie.blogspot.com/2014/10/

psychanalyse-de-la-chaussure

.

.

Fond/forme 

.

Chaussure et pied vont ensemble, certes

Et chaussure et partenaire pour le sexe

Si ce n’est pied pour couple en mariage

Qui avance sur deux, ou quatre pieds.

Si on a trouvé chaussure à son pied,

Qui dit qu’il n’y a pas d’équivalent

Meilleure chaussure, inconnue !

Certains ne les enlèveront pas

Pour  prendre  leurs pieds :

Trop fétichistes, peut-être.

.

 Textuels et illustrations  >>

655 – S’avouer que sa vie de couple se termine !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Faut s’avouer que,

Faire un constat…de,

Ouvrir grand,  les yeux,

Lors c’est fini,  entre eux.

.

Après, une fois décider…que

Mieux vaut être seul que deux

Il faut voler  vers  d’autres cieux,

Sinon on se passe d’être amoureux.

.

C’est un désir  qui ne meurt  jamais :

Seuls : l’objet, fond,  forme,  changent,

Vont et viennent,  font  leurs  échanges,

Vie de couple, qui se  termine ou renait.

.

S’avouer que sa vie de couple se termine

Se disant est-ce échec ou simple constat

Après tant d’années communes passées

Où tout allait bien sans jamais  penser

Qu’un jour à l’autre ce serait terminé.

Et on peut s’en vouloir au désespoir

Ou se dire que l’on n’a rien à y voir,

C’est juste temps qui se sera passé,

Autre façon  venue  de vous aimer

Parce que  la vie vous a distancié.

 .

Une fois telles constatations faites,

Une fois cette discussion terminée,

Une fois cette décision, bien actée,

La mettre en œuvre  et se séparer,

Et dès lors,  autre futur, projeter.

.

Se porter vers aventure à venir

Pour peu qu’on la tient d’advenir,

Plutôt que ronger son frein désespoir

Lors autre rentrera tard chaque soir,

Vous ignore, vous zappe à  vos côtés.

.

Il se pourrait qu’un déphasage existe

Que chez l’un, un fond amour persiste,

Mais si au fil du temps, aucun ne résiste

Si aucun désir commun ne leur coexiste,

Faut songer à combler manque  sur liste.

.

Extensions

.

S’avouer que sa vie

De couple …  se termine,

Après avoir changé de formes,

Tout essayer n’est pas constat d’échec

Mais un passeport pour d’autres horizons.

Le premier pas franchi, autres suivent,

Opportunités font le reste.

Gardant en main son destin,

Le futur ne peut être pire que le présent.

.

Une période, un état de sa vie, son couple se termine

Péripétie utile pour rebondir ou pour y mettre fin

À chacun de savoir si c’est sérieux ou bénin :

C’est le temps, l’attitude, qui le détermine

On dit que c’est le sexe, jamais l’âme.

.

À partir de quand, l’on est convaincu

Que son couple bat de l’aile : c’est foutu !

La réponse la plus courante est, ça dépend,

 Ça se fait en plusieurs étapes ou brutalement.

.

On interroge  ses amis  pour voir  si l’on  fabule.

Pour eux, tout va bien, faut juste faire des efforts,

Dans  un couple, s’il y a dispute, chacun  a ses torts

Faut peut-être prendre de l’air  et sortir de sa bulle !

.

La question du pourquoi est parfois laissée en suspens

Ou on invente bonne raison paraissant vraisemblable :

On s’est trompé, pas la bonne personne : pas aimable

En bref, la confiance n’est plus, même si l’on ment.

.

Et pour finir, survient la question du comment

Qu’est-ce qu’on fait, l’on se donne du temps

Ou tout de suite, prend la porte, va-t’en

Surtout ne revient plus, adieu !

.

Fragments

 .

La routine, manque d’attrait,

Oublier d’offrir ce qui plaisait,

Qui fait, qu’en tout, l’on se tait,

Font, au final, l’on est ne retrait.

.

Rien de pus commun, plus normal,

Sommes moitié divin, moitié animal,

Ce n’est pas histoire de faire bien, mal,

C’est juste qu’amour est devenu minimal

.

Au tout début, la lumière nous éblouissait

Et nous avions acheté belle lampe de chevet

Nous procurant une couleur chaude et douce

Sur notre lit où nous étions comme en mousse.

.

Peu à peu, la lumière de l’ampoule a vieilli, faibli,

Jusqu’à presque s’éteindre et à ne plus s’étreindre

L’abat-jour a perdu sa couleur, jusque devenu gris

Lors impossible de le rafraichir ni de le repeindre.

.

En définitive, manque d’attrait, manque d’énergie

Seront venus à bout d’un couple impuissant au lit

Tout comme pour le reste tout comme dans lavie,

Le résultat est qu’un tel couple se termine : fini !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Faut s’avouer que,

Faire un constat…de,

Ouvrir grand,  les yeux,

Lors c’est fini,   entre eux.

Après, une fois décider…que

Mieux vaut être seul que deux

Il faut voler  vers  d’autres cieux,

Sinon on se passe d’être amoureux

C’est un désir  qui ne meurt jamais :

Seuls : l’objet, fond, forme,  changent,

Vont et viennent,  font  leurs  échanges,

Vie de couple, qui se  termine, ou renait.

                                   A

S’avouer que sa vie de couple se  V   termine

Se disant est-ce échec ou simple    O   constat

Après tant d’années communes      U    passées

Où tout allait bien sans jamais     E    y penser

Qu’un jour à l’autre ce serait    R      terminé.

Et on peut s’en vouloir       :     au désespoir

Ou se dire que l’on        V   a rien à y voir,

C’est juste temps    I    qui se sera passé,

L’autre façon    E   venue de vous aimer

Parce que   *     la vie vous a distancié.

C ………………………

Une fois   O  telles constatations faites,

Une fois   U  cette discussion terminée,

Une fois   P  cette décision, bien actée,

La mettre  L    en œuvre et se séparer,

Et dès lors,   E     autre futur, projeter.

* ………….

Se porter vers      S      aventure à venir

Pour peu qu’on la    E     tient d’advenir,

Plutôt que ronger son   *   frein désespoir

Lors autre rentrera tard    T     chaque soir,

Vous ignore, vous zappe à      E        vos côtés.

Il se pourrait qu’un déphasage   R            existe

Que chez l’un, un fond amour        M      persiste,

Mais si, au fil du temps, aucun         I     ne résiste

Si aucun désir commun ne leur         N      coexiste,

Faut songer à combler manque          E       sur liste.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Quelque objet décoratif

Tout   aussi  bien   qu’une

Lampe économe moderne

 À leds  au lieu d’une ampoule.

.

655 4

.

La silhouette de cette lampe

 De chevet se distingue à peine 

Par conséquent n’éclaire plus

Sauf si changement ampoule.

Une lampe, avec ampoule, éclaire

Le fond de sa pensée  de son couple,

L’ampoule peut s’obscurcir, se briser,

Tant et si bien la forme évoque le fond.

  .

Symbolique 

 .

La lampe

Représente un point

De lumière en l’obscurité.

Par analogie, elle symbolise

Notre   entendement  dans la

Confusion mentale profonde,

Et voire encore la révélation

D’un savoir  enfoui, caché.

D’ailleurs telle expression

« Éclairer  sa  lanterne »

Qui signifie clarifier

Quelque  chose,

Exprime bien cette

Notion    de     savoir

Qui         est     dévoilé.

1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation

.

655 6

.

La silhouette de cette lampe

 De chevet se distingue à peine 

Par conséquent  n’éclaire  plus

Sauf si changement ampoule.

.

Symbolique

.

L’ampoule, est

Le symbole    de l’idée

Qui     jaillit     sans   qu’on

L’ait    vraiment    cherchée :

Hasard    heureux   ou   erreur

Fructueuse   , ou    sérendipité !

 .

Qu’il    s’agisse      d’une     lampe

À  huile,   à  pétrole     ou   d’une

Lampe    moderne,  électrique,

Elle  symbolise  l’énergie que

Nous  contrôlons, celle  que

Nous maîtrisons le mieux.

 .

Bande dessinée, dessin

L’apparition    d’une

Idée  est  présentée

Par l’ampoule qui

S’allume au-dessus

Tête personnage.

 .

.

Fond/forme

.

Lors la lampe s’allume,

Éclaire, plus ou moins fort,

De façon directe, ou indirecte

Selon que l’on voudra tout voir

Ou être plus dans une intimité

Pour la lecture voire le sexe.

.

Elle éclaire aussi l’esprit,

Dissipe tout ombre

Qui l’encombre

Au  salon

Ou au lit

.

Visuels et textuels  >>

653 – A chaque couple, ses joies et ses peines !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Joies et peines,

Mélange bohème,

Couple se promène :

Péniblement, enchaine.

.

Joies et peines,

Joies que l’on se crée

Et peines que l’on recrée

Selon sa chance ou déveine.

.

Joies et peines

En amour ou en haine

Se transforment en routine

Si un renouvellement patine.

.

Joies et peines

Sans joie et sans peine,

Chacun fait et défait…son lit

Comme chacun fait, refait sa vie !

.

À chaque couple, ses joies, ses peines

Un mélange des deux,  fin de semaine,

Produits par impressions qui trainent

Mais qui seront saines ou voire vaines.

.

Le temps  évolue, tel  un arc tendu,

Par le stress, et, les efforts perdus,

Décoche ses flèches contre vertus,

Faisant mouches en points battus.

.

Il y aura les joies, que l’on se crée,

Il y aura les peines que l’on subit :

Premières, fruits amours secrets,

Dernières : nos espoirs, anéantis.

.

J’ai peine à croire que l’on s’aime

Bien plus encore que l’on se hait

Entre les deux  qu’est-ce  qui fait

Qu’on tient le coup quand même.

.

La force  de  l’habitude, la routine,

Changent  notre amour, en estime,

Quand elle nous berne en sourdine,

Par une tromperie bien trop intime.

.

Et lors un jour, le réveil sonnera la fin

De la récréation voire de notre illusion,

Que nous  vivons,    à deux, à l’unisson,

Vie  bien  remplie  du même  quotidien.

.

Et lors trop de distances se seront établies,

La force pour les franchir … pour les réunir,

Est trop importante tellement que pour en finir,

Chacun fait son choix, défait son lit … refait sa vie !

.

Extensions

 .

À chaque couple, ses joies, ses peines :

Celles que l’on pousse, celles que l’on traine.

«Être unis pour le meilleur comme pour le pire ».

Certains ne partagent avec leurs amis, leurs familles,

Que leurs joies, gardant, pour eux, leurs peines,

Tandis que d’autres font tout le contraire,

Comme pour s’en distraire ou soustraire.

.

Il y a ceux qui pour les joies sont à la peine :

Peine à jouir, à s’en réjouir, à s’en épanouir,

Lors ils se déclareront inaptes au bonheur.

.

Les joies se lisent sur les visages, ouverts ;

Tandis que les peines, sur visages fermés.

Parfois l’écoute, l’humour et compassion

Dérident un peu les tensions trop fortes

Ou trop proches  d’une  vive  explosion.

.

Détecter  l’état de solidité  d’un couple

Est œuvre difficile, il ne faut s’en tenir

Ni aux comportements… ni aux dires ;

Il faudrait être souris dans la chambre,

Dans le secret de leurs rapports intimes,

Dans leurs négociations  des  compromis.

.

On dit parfois que l’enfant, c’est la joie et la peine, à l’état pur.

Cette innocence se transforme en joies et en peines amoureuses

L’état adulte tente de conserver des joies et peines raisonnables,

Et  la vieillesse, de se délecter d’une nostalgie morose, des deux !

Tout cela dépend beaucoup de nous, et quel que soit notre âge !

Quel que soit les peines, avec le temps, si tout s’est bien passé,

On ne gardera que le meilleur si l’on est d’un bel optimisme.

Voilà qui relativise bien des choses sur l’enfance, vieillesse

Qui fait que ce qui compte avant tout c’est la tendresse.

.

S’il n’existait pas des peines,

Il n’y aurait non plus de joies :

On serait sans émotion aucune,

Pas plus compassion d’infortune

.

Ce qui est valable pour les couples,

L’est aussi pour tous et pour chacun

Sinon on aurait le choix  entre n’être

Qu’animaux ou remplacés par robots.

.

Une peine de cœur ne ressemblera pas

À peine de perdre quelqu’objet précieux

Car les humains ne se remplaceront pas,

Les objets n’auront jamais de vraies joies.

.

Fragments 

.

Chaque couple a quelque chose

Un fond commun qui se dit rose,

Qu’on dit être  amour réciproque,

Que proximité, intimité, provoque.

.

Il est fait tout autant de joie et peine,

Joie si l’autre nous comprend, satisfait,

Peine si l’autre devient un peu rengaine :

Nul ne sait de quoi lendemains seront fait.

.

Notre liberté  d’être ce que  l’on veut,

Voire ce que l’on est

L’Amérique l’aurait promis et à tous :

On voit ce qu’il en est.

Il ne reste que de cette belle promesse,

Qu’une statue, fétiche

Dont nombre de touristes… s’entichent.

 Le couple terre/liberté

N’a pas pesé longtemps dans la balance

Flamme est retombée.

.

Comme on ne compte pas quand on aime,

Pour l’autre on ne ménage sa joie et peine :

Comme le dit si bien Mirabeau, le pont tient

L’eau coule, quel que soit son cours, bas, haut

La joie reviendra toujours  après chaque peine,

Pour peu on ne se laisse pas prendre par haine !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 

Joies et peines,

Mélange bohème,

Couple se promène :

Péniblement, enchaine.

Joies et peines,

Joies que l’on se crée

Et peines que l’on recrée

Selon sa chance ou déveine.

Joies et peines

En amour ou en haine

Se transforment en routine

Si un renouvellement patine.

Joies et peines

Sans joie et sans peine,

Chacun fait et défait…s on lit

Comme chacun    fait, refait sa vie !

C

À chaque couple    O ses joies et peines

Mélange  des deux    U   fin de semaine,

Produits d’impressions  P   qui trainent

Et qui  seront saines ou      L      vaines !

Le temps  évolue, tel  un arc  E     tendu,

Par le stress, et, les efforts      :   perdus,

Décoche ses flèches  contre   J    vertus,

Faisant mouches en points   O    battus.

Il y aura les joies, que l’on    I    se crée,

Il y aura les peines que l’on  E      subit :

Premières, fruits amours     S     secrets,

Dernières : nos espoirs,    *    anéantis !

J’ai peine à croire que     E    l’on s’aime

Bien plus encore que     T     l’on se hait

Entre les deux  qu’est   *       ce  qui fait

Qu’on tient le coup     P    quand même.

La force  de  l’habi   E   tude, la routine,

Changent  notre    amour, en estime,

Quand elle nous    N  berne en sourdine,

Par une tromperie E   bien trop intime.

    S

Et lors, un jour, le réveil  sonnera  la fin

De la récréation voire de notre illusion,

Que nous  vivons,    à deux, à l’unisson,

Vie bien remplie  du même  quotidien !

Et lors trop de distances se sont établies,

La force pour les franchir… pour les réunir,

Est trop importante, tellement que pour en finir,

Chacun fait son choix, défait son lit … refait sa vie !

.

Forme

.

.

Évocation  

.

C’est un haut piédestal,

Pour  sûr, oui… mais

 Pour quelle statue

De la Liberté ?

.

653 4

.

La statue de la Liberté

Telle qu’érigée à New York.

La liberté d’être ce que l’on est,

Valable pour soi, pour un couple.

 .

Symbolique 

 .

La statue

De la Liberté

Sculpture     fut

Confiée,  en 1871,

Sculpteur français

Auguste Bartholdi

Et  l’énorme  socle   

Permettant de porter la hauteur

Allant de 46 mètres  à  93 mètres,

Pour 225 tonnes,    à une  collecte

Des fonds américaine les travaux

 S’arrêtèrent fondations, suscitant

 Critiques de la presse américaine

Face au projet jugé démesuré.

Le journaliste Joseph Pulitzer,

Comme précurseur de la presse

Investigation engagée socialement

Accepta de mobiliser les premières

Pages  de quotidien New York world 

Pour récolter plus d’argent, gagnant aussi

Grâce à ce geste 50 000 nouveaux abonnés.

fr.wikipedia.org/wiki/Statue_de_la_Liberte

.

.

Fond

 

Évocation de fond

.

653 6

.

La statue de la Liberté

Telle qu’érigée à New York :

La liberté d’être ce que l’on est,

Valable pour soi, pour un couple.

 .

Symbolique de fond

 .

Le but

 De la statue

De la Liberté

Était sceller

 L’amitié entre la France

Et   les   États-Unis, à   

Cette    époque    où

Le pays  redevenait  

Tout juste républicain

C’est  un  symbole  qui

Tendrait à disparaître,

Les  deux  pays ont des

 Divergences politiques.

D’ailleurs, bon nombre d’américains ignorent

L’origine de la statue, ne voient en elle qu’une

Démonstration  des   prouesses   techniques

Dont est capable leur pays d’Amérique,

Ce qui peut faire rire les Français,

Constructeur de la statue !

 .

.

Fond/forme 

 .

Je ne vais pas vous en faire

 Toute une poésie, tant d’autres

En auront fait des … centaines,

Plus  inspirées  que les miennes,

Simplement rappeler  l’essentiel.

.

Sa vue était  comme  voir le ciel,

S’éclairer après  mois de misères

Comme on voit trop sur Terre :,

Eldorado qui comme les autres

Traduira autant bas que hauts.

.

Textuels et illustrations  >>

641 – Quand nous sommes deux à aller très mal !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Autre, le consoler, tentera,

Du mieux qu’il peut, pourra !

L’un est tendu et l’autre souple

Il est possible qu’ils y arriveront,

Amour fait miracle de cent façons

Lorsque  les deux ne vont plus  bien,

Il faudra que chacun  y mette du sien,

Pour  diminuer toute tension  entre eux,

Quitte à se séparer,  cocooner un temps.

.

Quand  nous sommes  deux, à aller très mal,

Que fait-on :

On se détruit mutuellement, comme animal,

On ne fait rien de bon

Ou l’on fait appel à son esprit et à son cœur

Et l’on entre en discussion

Sous une forme de paroles, ou de caresses,

Entre explications et fusions.

Tant que les corps  et  les âmes s’adressent

Toute tendresse est en rénovation

Lors, pour vous, actes vous écœurent,

Ou demeurent accessibles au pur pardon.

.

Si telle distance  semble  infranchissable,

Ne pas la percevoir comme mer de sable

Où, l’on s’enfoncera, sans  se  rejoindre,

La mort, nous attend, en est  capable !

Distance : question  de  point de vue !

Ne pas faire  le  procès  du  coupable,

Qui lors, condamné, n’en  peut  plus

De  se voir  traité, comme  minable

Alors  qu’il  voudrait voir poindre,

Une sorte d’amende honorable !

 .

Si nous sommes deux à aller mal,

À affronter un conflit, non banal,

Pour quitte ou double et partial,

L’amour  vaincra  si le familial,

Passe avant  l’aventure fatale,

Qui parle sur un autre canal.

Quand, la tension  est forte,

Parler, trop  on  s’emporte,

L’on prendre vite la porte,

Lors tout  nous  y  exhorte.

.

Rester, partir, est décision

À prendre très au sérieux,

Et surtout prendre à deux

Pour qu’il  y ait frustration.

Après quoi  vogue  la  galère,

Les jeux sont faits ou contraire,

Et dès lors commence nouvelle ère,

Où tout ira mieux ou tout ira de travers.

.

Extensions

 .

La peur de perdre, voire de se perdre,

Est contagieuse quand le doute s’installe

Et que la confiance est mise à rude épreuve.

Dans chaque couple, il y aurait le plus souvent

Deux perdants ou deux gagnants, ou deux nuls !

.

Or le débat s’instaure autour de, qui sera gagnant,

Qui le perdant, par définition, comme dans les jeux,

Où il ne peut y avoir qu’un seul, jamais deux gagnants.

.

Tout l’art  de la négociation  et  du compromis, se jouera

Sur la sortie gagnante : et surtout de ne pas perdre la face,

Pas plus que de la faire perdre au partenaire est primordial.

.

Dans toute démarche en diplomatie, il s’agit de transformer

L’ennemi en adversaire puis conçurent, puis allié jusqu’à

Redevenir ami or parfois les jeux sont faits avant

De commencer, tout n’est que coup

D’épée dans l’eau, mascarade !

.

Comme aller mieux ou pire voire de travers

Ou encore cahin-caha, comme ci, comme ça

Lors la partie animale en nous veut se battre

Que notre partie  émotionnelle veut s’ébattre

Que l’esprit  cherche compromis à débattre !

Il y a un peu de son amour-propre à rabattre

Et la peur de réaction de l’autre à combattre.

.

Si vous demandez à un couple : comment ça va !

Ils vous répondent : très bien, et vous : de même.

.

Alors que ça va très mal  mais  ils ne tiennent pas

À étaler leurs problèmes, c’est affaire personnelle.

.

Mieux vaut  en parler à une personne  plus neutre

Qu’à un couple d’amis, qui se sentira  pris à parti !

.

La plupart du temps, problème de communication,

La ligne est bruitée, brouillée, occupée, inexistante.

.

La réalité quotidienne  reprend le pas  sur le plaisir,

Dû à la découverte, il faut s’ajuster  par compromis.

.

Si les deux conviennent qu’ils vont mal c’est possible,

Si c’est un seul qui est déçu, la rupture est en germe !

.

Fragments

 .

La vie conjugale ne sera pas qu’un jardin

Des délices,

Elle se transforme, parfois, en un chemin

Des supplices.

.

Prétendre le contraire n’est, en aucun cas,

Rendre service :

Couple qui dure sera celui qui aura déjoué

De tels maléfices.

.

On ne peut se contenter d’user stratagème

Voire d’artifices,

Pour se prémunir de tomber et ensemble

Dans les abysses

.

Quand nous sommes deux à aller très mal,

Que rien n’aboutisse

Nous sommes devenus poissons sans chair

Arrêtes qu’on esquisse

.

Sur lesquelles, rien à se mettre sous la dent

Pas même dentifrice

Faut que chacun se disent prêt à compromis

À quelques sacrifices.

.

À la fin, après un dialogue fécond, constructif

Pour les deux, bénéfices

Tout repart sur de nouvelles bases, renforcées,

En un nouvel … édifice !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Si l’un    L  va mal en couple,……….

Autre, le    O    consoler, tentera,………

Du mieux     R  qu’il peut, pourra !……..

L’un est ten     S  du et l’autre souple……..

Il est possible     *     qu’ils y arriveront,…….

Amour fait mira    N     cle de cent façons……

Lorsque  les deux     O    ne vont plus  bien,….

Il faudra que chacun   U       y mette du sien,…

Pour  diminuer toute   S    tension  entre eux,

Quitte à se séparer,    *    cocooner un temps.

.

Quand  nous sommes  deux, à aller très mal,

Que fait-on :

On se détruit mutuellement, comme animal,

On ne fait rien de bon

Ou l’on fait appel à son esprit et à son cœur

Et l’on entre en discussion

Sous une forme de paroles, ou de caresses,

Entre explications et fusions.

Tant que les corps  et  les âmes s’adressent

Toute tendresse est en rénovation

Lors, pour vous, actes vous écœurent,

Ou demeurent accessibles au pur pardon.

.

Si telle distance   S   semble  infranchissable,

Ne pas la percevoir   O   comme mer de sable

Où, l’on s’enfoncera,  M   sans  se  rejoindre,

La mort, nous attend,   M    en est  capable !

Distance : question  de    E     point de vue !

Ne pas faire  le  procès   S       du coupable,

Qui lors, condamné,     *    n’en  peut  plus

De se voir  traité,         D  comme minable

Alors  qu’il  voudrait   E       voir poindre,

Une sorte d’amende    U       honorable !

              X

Si nous sommes deux  *     à aller mal,

À affronter un conflit,   À    non banal,

Pour quitte ou double   *    et partial,

L’amour  vaincra  si   A    le familial,

Passe avant  l’aven   L   ture fatale,

Qui parle sur un   L    autre canal.

Quand, la ten  E  sion  est forte,

Parler, trop   R    on s’emporte,

L’on prendre *      vite la porte,

Lors tout     *   nous y exhorte

.

Rester, par  M  tir, est décision

À prendre   A    très au sérieux,

Et surtout   L    prendre à deux

Pour qu’y    !    y ait frustration.

Après quoi          vogue  la  galère,

Les jeux sont        faits  ou contraire,

Et dès lors com         mence nouvelle ère,

Où tout ira mieux          ou tout ira de travers.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Poisson  vivant,

Ou poisson  péché,

Ou poisson mangé, 

Restera les arrêtes.

.

641 4

.

Avec plein d’arêtes,

Quand l’on est deux, sur même poisson,

Il arrive qu’on en avale, on se sente mal,

Avant de l’extirper.

.

Symbolique 

.

L’arête

Attire l’attention

Sur un environnement

Discutable et

Qui a atteint et reste entaché

Par  son humanité.

Et dit qu’on s’est laissé décharner.

 

Il faut de reprendre sa vie en main,

Matérielle et affective,

Et de se recentrer sur la satisfaction

Si d’avoir mal à la gorge 

Est la problématique avec la parole.

C’est mis en évidence,

Si on a à avaler une contrariété,

Un affront, une peine à venir.

wikireve.fr/dir/3673-arete

.

.

Fond

 .

Évocation

.

641 6

.

Avec plein d’arêtes,

Quand l’on est deux, sur même poisson,

Il arrive qu’on en avale, on se sente mal,

Avant de l’extirper.

.

Symbolique 

 .

Le

Poisson

Demeure l’emblème

De l’eau, avec lequel il

Partage aspect symbolique,

Est symbole de fécondité et sagesse,

Est occulte  en profondeurs  des eaux,

Domaine d’une force sacrée d’’abîme

Dont il sera pénétré par l’influence.

Cet espace   aquatique,  est  d’une

Profondeur insondable associé  

Aux mystères, inconscient  

Humain, aux   pulsions

Les plus   cachées,

Reculées de

L’esprit.

les-voies-libres.com/

symbolisme-du-poisson

.

.

Fond/forme 

 .

Être en  amour  comme  poissons  dans l’eau,

Qui  n’en  rêvera, si ce n’est bas : tout  haut !

Mais  quand l’eau devient trouble, acidifiée

Poissons n’ont plus aucun plaisir  à nager !

.

Ils délaissent eaux profondes pour surface,

En réalité, c’est pour mieux se voiler la face

Prétextant  avoir besoin d’air  pour  respirer.

.

Or les poissons trouvent l’oxygène dans l’eau,

D’ici que l’on en trouve  un ou deux  sur le dos,

Il vaudrait  mieux traiter  toutes les eaux usées.

.

Textuels et illustrations  >>

639 – Confiance partie, revenue, restaurée, réelle !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

 .

Qu’est-ce que la confiance

Donnée,  pour l’autre,

Et, à   quel  niveau :

Totale  ou aveugle,

Partielle,  partiale

Confiance est pari

Qu’autre  va tenir,

Voire    soi-même,

Voire   les     deux,

Au  moindre écart,

Le pari   est  perdu,

On se   retrouve nu.

.

Histoire Ève et Adam

Où premier qui le rompt

Est désigné comme coupable

D’un Paradis innocent bien perdu,

Mais  qu’on ne retrouvera jamais plus.

.

Confiance partie, revenue, restaurée, réelle

Quatre états et  même sentiment  relationnel

Qui marque les esprits, cœurs, si ce n’est corps

Tant il est plus important  qu’il soit le plus fort !

.

En couple, vraie confiance serait la base de tout,

Non pas celle au jour le jour et sur toutes choses,

Mais  celle d’un parcours  où l’autre  tient  à vous,

Au point de vous associer à son secret dit d’alcôve.

.

Une fois trahie, une fois bafouée… une foi perdue,

L’on se retrouve seul et abandonné et presque nu,

À  se poser  la question : reviendra-t-elle jamais :

Avec de si, avec des peut-être, avec des oui mais.

.

Cette confiance trahie provoquera une blessure

Profonde qu’il faut le temps pour  s’en  guérir,

Prendre temps pour comprendre sans punir

Puis pardonner, rebondir, en devenir sûr.

.

Défiance, confiance, restent  en balance,

Tant que signes répétés de sa primauté

N’ont pas donné résultats de santé,

Meilleure, beau fixe d’espérance.

.

Pour que le couple dure, il faudrait

Basé sur autre chose en plus de l’amour :

Métier, maison, enfant, intérêts communs :

Cela marchait bien avant et maintenant, moins.

.

Extensions

 .

La confiance commence par celle de soi :

Dès que l’on doute de soi, par ricochet,

On doute aussi, et autant, des autres.

Et, ce, bien qu’il ne soit pas  pertinent

D’assurer une confiance totale, aveugle.

.

Mettre sa confiance en l’autre, confier

Une très grande part de sa fragilité.

C’est pourquoi  la perte de celle-ci,

Serait, profondément, destructrice

On hésite encore plus à la redonner.

.

La trahison sera le point contraire

Et, le plus impardonnable,  du fait

Qu’il surprend, mais aussi d’autant

Qu’il se produit au mauvais moment,

Ne laissant pas de chance d’explication.

.

Dans  toute  négociation,  quel qu’elle soit,

Si l’on n’obtient pas un minimum de crédit,

La partie est mal engagée, l’accord ne se fera

Quel que soit les termes du contrat,

Ce dernier sera dénoncé, caduque.

.

Ayez confiance, ayez confiance… oui mais pas aveuglément.

Il faut distinguer confiance en soi et confiance en l’autre ;

Que tout va bien se passer, qu’il y a un risque à courir

Que la confiance est pour un acte, ou pour la vie !

Des situations où l’on a besoin de confiance,

De plus en plus nombreuses, diverses

Gouvernent notre vie … entière !

.

Quand on recherche les synonymes

De confiance, l’on trouvera :

Certain, digne de foi, fiable, honnête,

Intègre, loyal, sérieux, sûr.

.

Et, pour le moins que l’on puisse dire,

Cela n’encombre pas les rues

D’autant que la confiance est  toujours

Basé sur pari ou croyance.

.

Elle permet d’avancer à deux, se disant

Que l’autre sera là, elle permet

Aussi de se protéger de la peur qu’on

Peut avoir être quitté, jalousie.

.

Fragments

.

La confiance, puis doute, puis méfiance

Il faut moins d’une minute, pour douter

Que l’autre vous cache ou fausse la vérité

Moins d’un jour pour entrer en défiance !

.

Une fois celle-ci installée, des mois, années,

Pour la restaurer, plein d’énergie dépensée,

Il vaudra donc mieux réfléchir et à deux fois

Avant de mettre un capital confiance a zéro !

.

 Il n’y a pas de méthode garantie pour restaurer :

Quelque bouquet de fleur, ne saurait faire affaire,

Un bijou donnerait une impression de se racheter,

Se rétracter, demander pardon, parfois, l’indiffère.

.

Le mieux est peut-être de se faire oublier, un temps,

Garder le contact, rester présent ensuite, attentionné

Et reconstruire la relation, peu à peu, en petits gestes,

Prouvant que vous avez changé sur la forme et le fond.

.

Pour avoir confiance en l’autre, faut l’avoir aussi en soi,

Ça va mieux en le disant même si ça semble aller de soi,

Certains n’arriveront plus à  faire confiance à quelqu’un,

Ça fait un handicap, dont on ne guérit pas, on en meurt.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

Qu’est-ce que la confiance

Donnée,  pour l’autre,

Et, à  quel  niveau :

Totale ou aveugle,

Partielle, partiale 

Confiance est pari

Qu’autre  va tenir,

Voire     soi-même,

Voire les   C    deux,

Au moindre  O  écart 

Le pari   est   N  perdu,

On se   ret      F  rouve nu.

Histoire Ève  I         et Adam    

Où premier   A       qui le rompt

Est désigné    N     comme coupable

D’un Paradis   C   innocent bien perdu,

Mais qu’on ne     E  retrouvera jamais plus.

Confiance partie,   *  revenue, restaurée, réelle

Quatre états même       P      sentiment relationnel

Qui marque les esprits,    A    cœurs, si ce n’est corps

Tant il est plus important    R       qu’il soit le plus fort !

En couple vraie confiance       T          sera la base de tout,

Non pas celle au jour le jour       I          et sur toutes choses,

Mais celle d’un parcours où           E           l’autre tient à vous,

Au point de vous associer à son         *           secret  dit d’alcôve.

Une fois trahie, une fois bafouée,        R                  une foi perdue,

L’on se retrouve seul et abandonné       E                   et presque nu,

À se poser  la question : reviendra         V                  t-elle jamais :

Avec de si, avec des peut-être, avec       E                  des oui mais.

Cette confiance trahie provoquera       N                 une blessure

Profonde qu’il faut le temps pour       U                s’en  guérir,

Prendre temps pour comprendre    E             sans   punir

Puis pardonner et rebondir, en    *           devenir sûr.

Défiance, confiance, restent    R         en balance,

Tant que signes répétés de  E     sa primauté,

N’ont pas donné résul    S   tats de santé

Meilleure, beau fixe   T   d’espérance.

         A

Pour que le couple   U  dure, il faudrait

Basé sur autre chose   R    en plus d’amour :

Métier, maison, enfant   É    intérêts communs :

Cela marchait bien avant   E   et maintenant, moins.  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon, pour sûr,

Mais flacon de quoi :

Potion  de  confiance 

À avaler sans méfiance.

.

639 4

.

La confiance est élixir

Quand la méfiance est un poison 

Lorsqu’on boit une potion

En aveugle et sans savoir laquelle !

L’optimisme serait-il, en partie

D’ordre chimique, que l’on mettrait

En flacon de confiance ou méfiance :

Faut croire pour le savoir, inversement.

 .

Symbolique

 .

Dimensions                        différentes

Selon lesquelles                toutes attentes

Constitutives  de                la  confiance

Peuvent être, ou                  seront  déçues

La     continui                      té     de l’ordre

Naturel   et   de                    l’ordre moral ;

Compétence technique        des acteurs en leurs

Rôles ; les obligations          fiduciaires d’acteurs

Non respectés,   c’est-            à-dire leur devoir de

 Placer intérêts autres            avant leurs propres

Et les différentes moti       vations pour le faire.

cairn.info/revue-reseaux1-2001-4-page-15

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

639 6

.

La confiance est élixir

Quand la méfiance est un poison

Lorsqu’on boit une potion

En aveugle et sans savoir laquelle !

 .

Symbolique 

 .

La méfiance est expression

Voire un comportement formel

De non-confiance  envers d’autres

Individus pour une raison quelconque.

Celle-ci  n’implique  pas, nécessairement,

Une suspicion sérieuse ou une mauvaise foi.

 .

Cela  peut survenir  à n’importe  quel moment

Lorsqu’un individu met ou remettra en question

Sa confiance envers un ou plusieurs individus

Selon plusieurs cas  ou  plusieurs situations.

 .

En psychiatrie,  certains individus atteints

De troubles qu’on dit de la personnalité

Évitante, antisociale  et  paranoïaque

Peuvent expérimenter une méfiance

Envahissante à l’égard des autres,

Allant souvent jusqu’à l’extrême.

 .

En tel cas, le sujet ne souhaite

Être approché par quiconque

Qui lui semblera menaçant.

fr.wikipedia.org/wiki/Mefiance

 

.

Fond/forme 

 .

La confiance est la base de toute relation

Parce qu’elle engage son être, tout  entier,

Et que ce soit en sexe, en amitié, en amour, 

Le moindre manquement  sera  sanctionné.

Si l’on poursuit de déception en désillusion,

Arrive le moment  où  la confiance, perdue,

Agira en non-retour possible …  toute crue.

.

Textuels et illustrations  >> 

627 – La femme qui se bat pour sauver son couple

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Pour sauver son couple…femme se bat,

Lors homme le fait pour l’abandonner,

L’un veut continuer, mais l’autre, pas,

Divorce quelque part est déjà décidé.

.

Séduire est art qu’elle connait aussi,

Elle se met en chemin, d’y parvenir

Plus qu’attentive, à lui,  à le servir,

Tant à la cuisine qu’en salon et lit.

.

Elle se refait une beauté ou vertu,

Offrant une image, d’elle, rénovée

Mais lui demeure très indifférent,

À peine si changement, remarqué.

.

Fantôme à ses côtés pourrait partir

Sans qu’il s’en aperçoive longtemps,

Elle joue le tout pour le tout : sexuée,

Et il revient vers elle, tout amouraché !

.

Femme qui se bat pour sauver son couple

Et qui pour ce faire, entière, s’accouple

À celui pour lequel, elle se désespère,

De le perdre, à jamais, qu’elle erre,

Jusqu’à la fin de ses jours, amère

De n’avoir pas répondu à prière

De l’aimer, comme il désirait.

.

Bien, qu’en tout, imparfaite,

Elle sera de beauté suprême,

Et en nombre points, extrême :

En nudité totale, nudité conjugale

Elle rétablira ce lien, des plus nuptial,

Qui vous ont établi en un régime marital.

.

Femme qui se bat pour sauver son couple

Donnera à homme, image d’elle, rénovée

Par un supplément d’âme, authenticité,

Elle ne peut que le séduire, l’emporter

Face aux griefs qu’il aura accumulé

Sur elle afin de pouvoir la quitter

Sans s’en vouloir, culpabiliser,

Voilà le moment de l’avouer :

.

Elle n’en peut plus d’exister,

Comme fantôme, à ses côtés,

Et elle ferait mieux de se tirer,

Que vivre cela  encore une année,

Rien qu’à me sentir et savoir frustrée

Vexée, humiliée d’indifférence affichée,

Elle ne pourra instamment que se retirer.

.

La belle a senti boulet  siffler à ses oreilles :

Elle ne peut se permettre séparation pareille

Sans se perdre, à jamais, en un flot d’amants

Qui ne la satisferont, sans liens permanents,

Il n’y a pas de bon, ou de mauvais contrat,

Il y a juste celui que l’on respecte, ou pas,

Quoi qu’il arrive, quoique soit faux pas,

Faut trouver terme qu’on renégociera.

.

Extensions

 .

Deux tambours, avez-vous dit, deux battements de cœurs

Parfois il arrive que  l’un ne résonne plus et se rend muet,

Ou qu’il ne bat plus à la même fréquence, même rapidité !

Il faut les réaccorder, en les resserrant, et tant qu’il le faut,

Il ne s’agit pas de corde vibrante : de peau tannée, sensible.

Des fois, on y arrive, ça repart, des fois l’on n’y parvient plus

Lors on voit  la femme tendre ses bras à l’homme qui craque.

.

Conquérir le cœur d’un homme une fois

Ne suffit pas, pour assurer durée d’union,

Une fois que s’étiole nouveauté de passion,

La routine prend le pouvoir et nul ne la bat !

.

Reconquérir devient lors injonction salvatrice

Pour ne pas se laisser aller à l’envie de divorcer

Ne pas l’avoir tenté, sera comme être désabusé,

Dès la première grosse tempête émancipatrice !

.

Ce n’est pas simple de mettre bouchées doubles,

Là où tout semblait couler de source auparavant

Mais c’est bonne façon  de raccorder leur couple,

De se retrouver en amante attachée à son amant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

.

Calligramme

 .

Pour sauver son couple…femme se bat,

Lors homme le fait pour l’abandonner,

L’un veut continuer, mais l’autre, pas,

Divorce quelque part est déjà décidé.

Séduire est art qu’elle connait aussi,

Elle se met en chemin, d’y parvenir

Plus qu’attentive, à lui,  à le servir,

Tant à la cuisine qu’en salon et lit.

.

Elle se refait une beauté ou vertu,

Offrant une image, d’elle, rénovée

Mais lui demeure très indifférent,

À peine si changement, remarqué.

Fantôme à ses côtés pourrait partir

Sans qu’il s’en aperçoive longtemps,

Elle joue le tout pour le tout : sexuée,

Et il revient vers elle, tout amouraché !

FEMME QUI

Femme qui se bat pour sauver son couple

Et qui pour ce faire, entière, s’accouple

À celui pour lequel, elle se désespère,

De le perdre, à jamais, qu’elle erre,

Jusqu’à la fin de ses jours, amère

De n’avoir pas répondu à prière

De l’aimer, comme il désirait.

SE BAT POUR

Bien, qu’en tout, imparfaite,

Elle sera de beauté suprême,

Et en nombre points, extrême :

En nudité totale, nudité conjugale

Elle rétablira ce lien, des plus nuptial,

Qui vous ont établi en un régime marital.

SAUVER COUPLE 

Femme qui se bat pour sauver son couple

Donnera à homme, image d’elle, rénovée

Par un supplément d’âme, authenticité,

Elle ne peut que le séduire, l’emporter

Face aux griefs qu’il aura accumulé

Sur elle afin de pouvoir la quitter

Sans s’en vouloir, culpabiliser,

Voilà le moment de l’avouer :

.

Elle n’en peut plus d’exister,

Comme fantôme, à ses côtés,

Et elle ferait mieux de se tirer,

Que vivre cela encore une année,

Rien qu’à me sentir et savoir frustrée

Vexée, humiliée d’indifférence affichée,

Elle ne pourra instamment que se retirer.

La belle a senti boulet  siffler à ses oreilles :

Elle ne peut se permettre séparation pareille

Sans se perdre, à jamais, en un flot d’amants

Qui ne la satisferont, sans liens permanents,

Il n’y a pas de bon, ou de mauvais contrat,

Il y a juste celui que l’on respecte, ou pas,

Quoi qu’il arrive, quoique soit faux pas,

Faut trouver terme qu’on renégociera.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ou deux tabourets,

Montés l’un sur l’autre,

Ou bien deux tambours 

Communiquant entre eux.

.

627 4

.

On a envie de dire que les tambours

Resteront silencieux :

En réalité, ils communiquent, mais par

L’intérieur, lors couplés !

  .

Symbolique 

 .

Le          tambour

Est    un    instrument

De musique à percussion.

Le battement d’un tambour

Évoque les rythmes de la vie,

Symbolise battement de cœur

De                  la               Terre.

Aussi, sa régularité  agirait

Comme un vecteur d’ondes

Permettant aux chamans

D’entrer   dans de vrais

États   de   la   transe

Thé-ra-peu-ti-que !

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-tambour.html

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

627 6

.

L’on aura envie de dire que les tambours

Resteront silencieux :

En réalité, ils communiquent, mais par

L’intérieur, lors couplés !

 .

Symbolique

 .

La communication

Vue comme un système complexe

Concerne tout ce qui se passe lorsque

Des individus entrent en interaction.

Les processus cognitifs,  puis affectifs

Et inconscients  sont pris  en compte.

Dans cette optique,  les informations

Transmises sont toujours multiples.

La transmission des informations

N’est qu’une partie du processus

 Communication, participants

Traitent plusieurs niveaux

De sens simultanément.

Wikipédia : communication

 .

 .

Fond/forme 

 .

Battements tambours attirent l’attention

Autant sur ce qui va, que ce qui ne va pas,

Mais de battre le tambour dans un couple

Signifie bien que des conflits sont majeurs

Et nullement résolus et devenus embêtants.

.

Le tout est de battre le tambour  en rythme

Ensemble ou séparément pour se répondre,

Pouvant dialoguer  comme tout instrument.

.

Il y a autant : « tambour et cœur battant »

Si l’on sent que l’autre est devenu écoutant

Bien rythmé, tambour devient envoutant.

.

Textuels et illustrations >>

626 – Je doute de tout, même de moi, pas de toi

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le  doute  reste  inhérent

À  la conscience  de tout :

Ce qui change,  est erroné

Et ce depuis que je suis né.

.

Ancien candide vite déniaisé

Qui n’a pas peur…de la vérité

Même si celle-ci… fait souffrir

Même si je n’ai force  d’en rire.

.

Aussi, je  ne  doute  point, de toi,

Non  sur  ton  infidélité  conjugale

Qui ne  peut être que  … passagère,

Mais sur long terme de notre union,

Fondant notre liberté, notre passion,

Pouvant se renouveler et ce, d’autant,

Que l’on souhaite, afin la voir renaitre.

.

Je doute  de tout,  moi,  mais  pas de toi,

Je t’ai fait confiance,  je n’ai plus le choix

De revenir en arrière, arrête, douter de toi.

.

De ta liberté d’aimer, j’ai fixé la ligne rouge,

Faut bien que tu t’aventures si monde bouge

Mais pas au point de confondre sexe et gouge.

.

Si une passion d’amour ne durera qu’un temps

Alors, on pourra la renouveler, et  cela d’autant,

Qu’on transforme ami en mari, sinon en amant.

.

Tant rien, ne serait pire, que devenir indifférent,

Au sort du conjoint en niant tous son sentiment,

Le transformant en désert ou muraille du néant.

.

Si haut que nous pourrions montés firmament,

Si bas, nous serons tombés en un enfer béant,

Fera renaitre ou durer l’amour en l’espérant.

.

C’est en doutant qu’on en fait tout un plat,

C’est en doutant qu’on remet tout à plat,

Et en doutant, à deux, qu’on repartira.

.

Négociant autre contrat qui durera,

Doute, fondateur du couple, sera,

Et  une  plus  longue  durée  fera.

.

Extensions

.

Le doute peut être autant créatif que destructif,

Il agit comme filtre avant de prendre la décision,

Il mettra un écran de raison sur une folle passion,

Et permettra, une fois décidé, de se rendre jouissif.

Le doute vous dit : vous pouvez y arriver, et, réaliser

Vous n’y êtes pas encore, ce n’était autre qu’une étape

Je reste encore ouvert sur mes doutes, mes certitudes !

.

Quand même étrange que douter de soi, autant,

Et pas de son conjoint,

Comme  quand on a confié gestion de son argent

Au titulaire compte joint

.

Cela dit, s’appuyer sur l’autre et réciproquement,

Est loi de vie communautaire

Deux se mettent à douter : tout devient arbitraire

Décision prise involontairement.

.

Il en est de même pour l’amour que pour l’argent,

En vue de le gérer consensuellement,

Si on commence à douter de soi, confiance s’en va

Lors le doute, rien qu’à lui seul, la pourrira.

.

Fragments

.

Douter de soi, cela parait normal :

Rien n’est évident, rien n’est banal.

.

Qui ne doute de rien, de lui-même,

Se surestimerait en tout et partout.

.

Si certains  doutent  pour leur enfant,

C’est de leur capacité à élever, éduquer.

.

En tant que père comme autant que mère,

Même si le père ne douterait pas de la mère.

.

Est-ce important avant d’en faire un, plusieurs,

Si la mère l’assume, le protège, ce serait meilleur

.

Femme enceinte à toujours une longueur d’avance

Du seul fait le porter l’enfant en elle, et de le sentir.

.

Je peux douter de continuer une passion amoureuse,

Je ne peux douter que c’est l’enfant qui la supprimera.

.

Douter de soi,  mais  pas le moins du monde,  de l’autre,

Et réciproquement, fondement du couple dans le temps.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

         JE DOUTE DE TOUT,

         Le  doute  reste  inhérent

       À  la conscience  de tout :

    Ce qui change,  est erroné

   Et ce depuis que je suis né.

.

Ancien candide vite déniaisé

Qui n’a pas peur…de la vérité

Même si celle-ci… fait souffrir

Même si je n’ai force  d’en rire.

.

Aussi, je  ne  doute  point, de toi,

Non  sur  ton  infidélité  conjugale

Qui ne  peut être que  … passagère,

Mais sur long terme de notre union,

Fondant notre liberté, notre passion,

 Pouvant se renouveler et ce, d’autant,

   Que l’on souhaite, afin la voir renaitre.

.

  V O I R E   M Ê M E    D E     M O I 

     Je doute de tout, moi,  mais pas de toi,

        Je t’ai fait confiance,  je n’ai plus le choix

            De revenir en arrière, arrête, douter de toi.

.

                 De ta liberté d’aimer, j’ai fixé la ligne rouge,

                    Faut bien que tu t’aventures si monde bouge

                        Mais pas au point de confondre sexe et gouge.

.

                          Si une passion d’amour ne durera qu’un temps

                           Alors, on pourra la renouveler, et  cela d’autant,

                           Qu’on transforme ami en mari, sinon en amant.

.

                           Tant rien, ne serait pire, que devenir indifférent,

                          Au sort du conjoint en niant tous son sentiment,

                         Le transformant en désert ou muraille du néant.

.

                      Si haut que nous pourrions montés firmament,

                  Si bas, nous serons tombés en un enfer béant,

               Fera renaitre ou durer l’amour en l’espérant.

.

         M A I S       J A M A I S      D E        T O I  

         C’est en doutant qu’on en fait tout un plat,

      C’est en doutant qu’on remet tout à plat,

   Et en doutant, à deux, qu’on repartira.

.

   Négociant autre contrat qui durera,

Doute, fondateur du couple, sera,

Et  une  plus  longue  durée  fera.

.

Forme

.

.

Évocation 

Méandre d’une rivière,

Menhir un peu de travers,

Silhouette  femme enceinte.

Voire un enfant qui se tortille.

.

626 4

.

Sûr que le doute n’est pas apanage

 De la femme enceinte :

Il est plutôt avant, d’aimer, vouloir

 Cet enfant de l’autre ou pas.

Une femme enceinte, un enfant

Vont l’un à l’autre, comme gant,

Son ventre en avant, proéminent

Font que la forme épouse le fond.

.

Symbolique 

.

Pour les gens les plus créatifs,

   Rêver   de   femme   enceinte

    Peut simplement        symboliser

     Qu’un processus            créatif est

      Arrivé à un ré              sultat final.

        Ce qui est cer                 tain est que

        Rêver qu’on                   est enceinte

        Est plus que                 symbolique,

       D’un vrai abou              tissement,

      D’une longue ma            turation

     Pour atteindre un        résultat.

  Rêver de grossesse     est donc

En quelque chose très positif.

viversum.fr/online-magazine/

rever-d-être-enceinte

.

.

Fond

.

Évocation 

.

626 6

Sûr que le doute n’est pas l’apanage

 De la femme enceinte :

Il est plutôt avant, d’aimer et vouloir

 Cet enfant de l’autre ou pas.

.

Symbolique

.

En le vécu de l’enfant,

Sa relation avec ses parents

Environnement est importante.

Comment se mettent en place les

Systèmes de croyances, de ressentis,

.

Et nos modes de fonctionnement issus

De tout  cet  ensemble  de forces  et qui

Vont représenter notre base des vécus

Somatisations que nous travaillerons

Tout au long d’une longue existence.

.

Passer de l’enfant qui sait à l’enfant

Qui est puis à l’adulte qui sera à la

Reconquête de l’enfant intérieur.

lessymboles.com/seminaire/lenfant

.

.

Fond/forme 

.

Que dire de la femme enceinte

Et que l’on n’ait pas, déjà, dit !

 De là, à en rêver,  il n’y a qu’un

Pas, que certains  franchissent

Et d’autres en font cauchemar

Et en rêver est différent d’être.

On dit  qu’un auteur  accouche

D’une œuvre, peinture, roman

Il s’agit bien là  de conception

Par métaphore et  figuration.

.

On le dit aussi pour quelqu’un

Qui n’arrive pas à bien parler.

En  tous cas, plus  facile  à  dire

Qu’à faire, demandez aux mères.

 .

Textuels et illustrations  >>

625 – Je me dis que c’est heureux que tu sois

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Être encore en vie

Et en tirer…profit

Sans un handicap

Et, sans  maladies,

Et  avec  économies

Et avec très  bon cap

Bonne retraite, aussi !

 .

Plus malheureux que moi,

Il y en a, des cents, milliers,

Le verre, à moitié vide, plein

Pour qui, il en restera encore,

Qu’importe  tout temps  passé,

Tant seul compte  celui à venir.

 .

Sans parler l’endroit où j’habite,

Lors je me sens, comme  absorbé,

Par ce lieu où j’aurai passé ma vie

Qui demeure  le meilleur  possible,

Pour la terminer,  en toute beauté

À l’admirer, à le peindre, le narrer

Tant que j’ai un bon moral, santé.

 .

Et je me dis que… c’est heureux,

Que tu sois, toujours .…… en vie

Et je me dis, que c’est heureux,

Que tu en tires de bons profits.

.

Et je me dis que c’est heureux,

Que tu n’aies pas  de maladies,

À ton âge, tant de malheureux,

Souffrent, se sentent, démunis.

.

Et je me dis  que c’est heureux,

Parait comme luxe de nos jours

Lors chaque matin les journaux

Nous racontent drame alentour.

.

Et je me dis que … c’est heureux,

De ne rien écouter, que tes folies,

De m’aimer, sans jamais jalouser

Ni de regretter ce que tu as… été.

.

Et je me dis que c’est …. heureux,

Que tu habites, en un calme pays,

Où tu coules des jours tranquilles,

Comme retraité où tout est facile.

.

Extensions

 .

Ah mais c’est une vraie ritournelle

Que ta chanson du bonheur sur l’air

« Y a  bien  plus  malheureux  que toi ! »

À ce compte-là, en  pays  industrialisé,

Qui ne l’est ou ne le sera pas, heureux.

Le bonheur, comme chacun sait, est

Un concept relatif, dépendant de

Son histoire et de son état,

Ainsi  que  de  sa  culture

Communauté, ses affinités

Notion complexe, en définitive.

.

Enfin, rien n’empêche de se réjouir

Bonheur d’autres sans être jaloux d’eux.

On le fait bien pour ses enfants et sa famille,

Et pourquoi pas pour tous les gens du voisinage !

.

Être en vie suffit parfois à son bonheur, ne serait-ce

Que lorsqu’on a échappé à la mort par accident

Ou que l’on guérit d’une maladie incurable.

Heureux d’être retraité : qui ne l’est pas,

Avec comme perspective : le cimetière ;

Heureux  si l’on dit : il reste encore» ;

Malheureux : «il ne reste plus que !».

.

Parfois notre  bonheur est des plus simples ; celui d’être en vie

En vie et envie se résignent et se confondent comme en poésie !

Et il nous vient souvent le désir de partager, cela, avec des amis

Comme c’est contagieux, les voilà rendus aussi heureux que moi

Ce qui rend encore plus heureux que tout, est de te savoir en vie,

Car mon bonheur sans toi ne serait qu’une farce, qu’une illusion.

.

Être heureux peut être de se satisfaire

De ce qu’on est, de ce qu’on fait, désire,

Plutôt que rêver d’accumuler  des biens,

Et passer tout son temps  à les fructifier.

.

Tout seul,  il reste difficile d’être heureux :

Couple, famille, communauté,  c’est mieux,

Ne serait-ce déjà pour le partager en entier,

Et pour le plus longtemps possible, le garder.

.

De dire : «Plus malheureux que moi, tu meurs »

Donnerait dans l’exagération, voire l’exaspération

On n’empêchera pas, les gens aigris, de se plaindre,

Que leur sort n’est pas glorieux, tant ils sont envieux.

.

Fragments 

 .

Je me dis que c’est heureux,

Et, c’est loin d’être vœu pieux,

Que tu sois ceci, que tu sois cela

Quand tout en toi, et en nous, va !

.

D’accord, ce n’est pas, toujours, le cas,

Mais ça revient toujours  au premier pas

Et s’il en est ainsi dans nombre de couples

Le nôtre continuera de rester le plus souple.

.

Surtout  ne  change pas : demeure sans peines,

Ou alors change avec moi sans rien renier de toi

Il ne faut pas que l’un devance l’autre, à la traine,

Je serai encore ta reine, tu seras toujours mon roi.

.

Je bois de l’eau, parfois, du bon vin, jamais d’ivresse,

Ma seule ivresse vient de toi, qui me procure ta liesse,

Nous ne sommes pas malade, ni fatigué, ni handicapé,

Bien qu’ayant dix ans de plus que moi : gardes ta santé.

.

Je sais que tes jours, tout comme les miens, sont comptés

Mais nous les passerons à nous raconter, des plus heureux

Qui soient et dans tous les cas, à chaque jour qu’on le peut,

Et c’est ainsi que nous vieillirons, toujours à … nous aimer.

.

Fragments

 .

Je me dis que c’est heureux,

Et, c’est loin d’être vœu pieux,

Que tu sois ceci, que tu sois cela

Quand tout en toi, et en nous, va !

.

D’accord, ce n’est pas, toujours, le cas,

Mais ça revient toujours  au premier pas

Et s’il en est ainsi dans nombre de couples

Le nôtre continuera de rester le plus souple.

.

Surtout  ne  change pas : demeure sans peines,

Ou alors change avec moi sans rien renier de toi

Il ne faut pas que l’un devance l’autre, à la traine,

Je serai encore ta reine, tu seras toujours mon roi.

.

Je bois de l’eau, parfois, du bon vin, jamais d’ivresse,

Ma seule ivresse vient de toi, qui me procure ta liesse,

Nous ne sommes pas malade, ni fatigué, ni handicapé,

Bien qu’ayant dix ans de plus que moi : gardes ta santé.

.

Je sais que tes jours, tout comme les miens, sont comptés

Mais nous les passerons à nous raconter, des plus heureux

Qui soient et dans tous les cas, à chaque jour qu’on le peut,

Et c’est ainsi que nous vieillirons, toujours à … nous aimer.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

Être encore en vie

Et en tirer…profit

Sans un handicap

Et, sans  maladies,

Et  avec  économies

Et avec très  bon cap

Bonne retraite, aussi !

JE ME DIS

Plus malheureux que moi,

Il y en a, des cents, milliers,

Le verre, à moitié vide, plein

Pour qui, il en restera encore,

Qu’importe  tout temps  passé,

Tant seul compte  celui à venir.

C’EST HEUREUX

Sans parler l’endroit où j’habite,

Lors je me sens, comme  absorbé,

Par ce lieu où j’aurai passé ma vie

Qui demeure  le meilleur  possible,

Pour la terminer,  en toute beauté

À l’admirer, à le peindre, le narrer

Tant que j’ai un bon moral, santé.

QUE TU SOIS… 

Et je me dis que… c’est heureux,

Que tu sois, toujours .…… en vie

Et je me dis, que c’est heureux,

Que tu en tires de bons profits.

.

Et je me dis que c’est heureux,

Que tu n’aies pas  de maladies,

À ton âge, tant de malheureux,

Souffrent, se sentent, démunis.

.

Et je me dis  que c’est heureux,

Parait comme luxe de nos jours

Lors chaque matin les journaux

Nous racontent drame alentour.

.

Et je me dis que … c’est heureux,

De ne rien écouter, que tes folies,

De m’aimer, sans jamais jalouser

Ni de regretter ce que tu as… été.

.

Et je me dis que c’est …. heureux,

Que tu habites, en un calme pays,

Où tu coules des jours tranquilles,

Comme retraité où tout est facile.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Colonne soutènement

Ou bouteille plastique,

 Contenant  ou  de l’eau 

Ou alcool  pour ivresse.

.

625 4

.

C

Bien qu’ici, il est des plus communs,

Plus naturels puisque eau :

Peu importe le flacon et le contenu,

Pourvu qu’on ait l’ivresse !

.

Symbolique 

.

L’eau, dans les rêves

Est représentative de l’âme

Essence féminine,  représente

Ainsi l’origine         de la vie  par

Toutes  eaux              placentaires,

La fécondité                de la femme

Mais aussi                      la fertilité

De la terre                       à travers

L’image                        de la pluie.

La psyché                         féminine

S’identifie                         ainsi très

Spontané                   ment à l’eau.

Elle  est  fi             gurée  dans  les

Images des      déesses, nymphes,

Naïades, des   sirènes et d’autres.

Source : grandsreves1234.blogspot.com/

2015/08/l’eau-un-symbole-au-féminin

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

625 6

.

Bien qu’ici, il est des plus communs,

Plus naturels puisque eau :

Peu importe le flacon et le contenu,

Pourvu qu’on ait l’ivresse !

 .

Symbolique 

 .

Pourvu qu’on ait l’ivresse !

Tour à tour crainte et recherchée,

Symbole de célébration et de déchéance,

L’ébriété  porte  toutes les ambivalences.

.

Si peu de personnes  osent la défendre,

Elle accompagne pourtant l’humanité

Synonyme de désordre, l’ivresse a

Aussi fait l’objet de nombreuses

Tentatives d’encadrement

 Depuis les plus vieux âges:

«Elle est redoutée depuis toujours,

Surtout lorsque ce sont les autres qui sont ivres.

.

Car s’il y a bien une règle que vous pouvez tirer

De l’histoire de l’ivresse, c’est que boire est bien

Quand je le fais, mais terrible quand ce sont

Les autres qui s’y adonnent.»

letemps.ch/societe/pourvu-quon-ait-livresse

 .

 .

Fond/forme 

 .

L’eau et l’ivresse ne s’accorde pas dans le corps

Mais a contrario, s’accorde parfaitement dessus

Sauf à avoir un handicap ou une grosse maladie,

Tout le monde peut nager en l’amoureuse passion,

De voyager tout partout, étant bien accompagné

En outre, faire la fête dès la moindre occasion.

Et la retraite permet les deux avec bonheur

Pour peu qu’économie d’argent, suive.

.

Textuels et illustrations  >>

624 – Je me sens revivre, et intensément

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Revivre intensément

Mon énergie décuplée,

Par le simple fait exister,

Par la magie d’être amants.

.

Quelques  instants, ensemble,

Rien  au monde,  ne  ressemble

À  celui  d’avant, terne, décoloré,

Moral dans les chaussettes, arrivé.

.

Alors, quel  prix  pourrais-je  payer,

Pour ces  beaux  instants, d’éternité,

Qui me tiennent en joie, la semaine,

Des jours, mois, voire même année.

.

Aucune drogue n’a une telle vertu,

Il suffit pour moi que tu sois nue

Pour qu’effet en moi s’institue

Hors du temps événement.

.

Je me sens revivre intensément parfois

Tout est au beau fixe, tout est à la joie

En pleine possession  de mes moyens,

Je souris à  la vie qui me le rend bien.

.

Et pour ces instants bonheurs parfaits

Où  je partage, avec toi, notre intimité,

Bien des années  de ma vie, je donnerai

Espérant cela puisse durer une éternité.

.

L’éternité, à ce moment-là, précisément,

Est capturée en cet instant hors du temps

Où nous, seuls au monde, en bulle amants,

Où le ciel nous  accueille en son firmament.

.

Platitude, monotonie habitudes sont honnis,

Quand notre sang bouillonne, nous rajeunit,

Par cet élan tellement fort  qu’il en illumine

Notre cerveau, en arbre de Noël… fulmine.

.

Je me sens revivre, intensément cette fois,

Lors je  te vois nue, bien qu’en l’obscurité,

Que ta présence  fasse contact, la journée,

Qu’âme  et  corps  se sentent   rassasiées !

.

Extensions

 .

L’intensité et la durée,

L’intensité  en la durée,

L’intensité sans la durée

La durée sans l’intensité :

Cette grammaire d’unions,

Oppositions, décline le fond

De ma pensée et se conjugue

Comme le futur plutôt proche

Qui conditionne  notre  avenir.

De se ressentir  revivre, signifie,

Pour moi,  qu’il y a  des moments

De calme plat où il ne se passe rien,

Où tout va de travers, ou me laisse las,

Je te reçois dans mes bras, et les nuages

Disparaissent, comme par enchantement !

C’est le feu sous la cendre qui revit,

L’eau qui coule à en revendre,

L’air qui souffle, à ne plus s’entendre,

La terre qui se soulève à pourfendre.

La source  d’amour, se  transforme

En ruisseau, en rivière, en fleuve,

En embouchure jusqu’à l’océan.

.

Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire : «revivre intensément»

Serait-ce vivre à toute allure des choses ou bien tous à la fois

L’amour, le travail, le loisir,  la spiritualité,  voire  la morale :

Toutes choses de notre vie seraient soumises à cette exigence

D’être intense, fort, coloré, voire incandescent tout le temps.

Mais il nous arrive, parfois, que tout va mal sauf les amours

Et que délaissant tout le reste on se sent vivre intensément :

Ce serait notre part, force de subjectivité, qui nous drogue.

.

L’intensité de la vie est un ressenti

Qui nous est propre, fort subjectif,

On n’aurait pas la même joie aussi

Pour les mêmes faits… admiratifs.

L’un s’extase devant une fille belle,

Et l’autre devant une voiture belle,

En dehors de l’association… sexiste

Aux deux, l’intensité  de vie, existe.

.

On dit que les personnes primaires,

Sont plutôt solaires, autres, lunaires

Mais l’intensité peut être intériorisée

Ce qui mettra tout le monde à égalité.

Et moi, je me sens revivre, intensément,

Quand cœur est en phase avec sentiment,

Me sens léger et comme pousser des ailes,

Quand je suis au lit, près, tout près, d’elle !

.

Fragments

.

Notre vie, bien que tragique par sa fin

Bien que problématique,  par son cours,

Bien que psychologique  par hauts  et bas,

Nous offre une panoplie de compensations.

.

Parmi lesquelles, certaines, physiologiques,

Telles que nourritures,  boissons,  et loisirs,

D’autres plus adressées, esprit, imaginaire,

Ce qui fait vibrer les uns, déçoit les autres.

.

Ainsi, de faire  un bonhomme  de neige,

Constitue un loisir, et autant un plaisir,

De ce simple fait, cette simple humeur,

On lui fera une bouche tout en sourire.

.

On peut lui ajouter un haut chapeau,

Un nez  rond et rouge, comme clown

Et deux grands yeux grands ouverts

Pour  respirer  comme en bonheur.

.

Il y a  bon nombre  d’évènements,

Qui feraient revivre intensément,

Ce sont pas les mêmes pour tous

Pour les pauvres et pour riches.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

                            Revivre intensément

                         Mon énergie décuplée,

                      Par le simple fait exister,

                  Par la magie d’être amants

              Quelques  instants, ensemble.

 .

Rien au monde ne ressemble

À celui d’avant    terne, décoloré,

Moral, dans les     chaussettes, arrivé.

Alors,  quel  prix          pourrais-je  payer,

Pour ces  beaux             instants, d’éternité,

Qui me tiennent       *       en joie, la semaine,

Des jours, mois       J      voire même année.

Aucune drogue n’    E      a une telle vertu,

Il suffit pour moi   *     que tu sois nue

Pour qu’effet en  M  moi s’institue

Hors du temps  E  événement.  

.

Je me sens  revivre  * intensément parfois

Tout est au  S  beau fixe, tout  T  est à la joie

En pleine   E    possession de mes  N     moyens,

Je souris   N      à  la  vie  qui  me  le   E  rend bien.

Et pour    S        ces instants bonheurs   M     parfaits

Où   je     *           partage avec toi, notre    É    intimité

Bien des   R            années de ma vie, je       S     donnerai

Espérant    E            cela  puisse  durer        N      l’éternité.

L’éternité     V              à ce moment-là       E    précisément

Est capturée    I              en cet instant      T   hors du temps

Où nous seuls    V           au monde      N   en bulle amants,

Où le ciel nous      R       accueille   I    en son firmament.

Platitude, monotonie   E        * habitudes sont honnis,

Quand notre sang     bouillonne    nous rajeunit,

Par cet élan tellement fort qu’il en illumine

Notre cerveau, arbre de noël  fulmine.

.

Je me sens revivre, intensément cette fois,

Lors je  te vois nue, bien qu’en l’obscurité,

Que ta présence  fasse contact, la journée,

Qu’âme  et  corps  se sentent   rassasiées !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Encrier avec bouchon,

Ou flacon  pour  parfum,

Un bonhomme  de neige 

Qu’on prend en photographie.

.

624 4

.

Avec ce sourire de bonhomme de neige,

La vie devient belle :

Lors il n’y a plus qu’une seule chose à faire,

C’est de le photographier !

Bonhomme de neige, même en photographie

N’est synonyme de ses sentir revivre intensément

Mais le fait de le fabriquer y participe cependant

Tant et si bien que la forme évoquerait le fond !

  .

Symbolique 

.

Le personnage

Bonhomme de neige

Sculpture de neige compacte

À une apparence humaine,

Dimensions variables.

 

Comme château de sable,

Tout bonhomme de neige

Appartient à catégorie

De l’art éphémère.

 

Il est généralement

Confectionné à l’aide

De deux ou trois boules

De neige de taille variable.

Modifié, Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

624 6

.

Avec ce sourire de bonhomme de neige,

La vie devient belle :

Lors il n’y a plus qu’une seule chose à faire,

C’est de le photographier !

 .

Symbolique 

.

La photographie a connu

Une utilisation fréquente dès

Son apparition dans la deuxième

Moitié du XIXème siècle, les peintres

Et sculpteurs du symbolisme, s’en servirent

Tout naturellement pour des raisons pratiques.

.

Avec la photographie, plus besoin de poses

Longues et éreintantes durant des heures

Pour les modèles, et aussi la possibilité

De réutiliser la même pose dans

Différents  contextes. Rodin,

Fernand Khnopff ou encore

Mucha s’en servirent abondamment.

neo-symbolisme.over-blog.com/article-34769863.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On donne toujours au bonhomme de neige,

Un sourire  quelque peu  béat, naïf, enfantin,

.

Parce qu’il nous évoque une vie d’insouciance

Autour de la neige et de nos batailles de boules

.

Ce qui reste paradoxal avec son froid glacial,

Est qu’il réchauffe,  tout de même, le cœur

Au point on le prend en photographie

Et voire souvent même en selfie.

.

.

Tout est écrit en grand dessus

il suffirait de se laisser emporter.

.

 

Textuels : poème, extensions, fragment

.

Textuel poème 

.

  • Revivre intensément, mon énergie décuplée par le simple fait d’exister, par la magie d’être amants. Quelques instants, ensemble : plus rien du monde ne ressemble à celui d’avant, terne, décoloré, le moral, en les chaussettes, arrivé. Lors, quel prix pourrais-je payer pour ces beaux instants d’éternité qui me tiennent en joie la semaine : des jours, mois, voire même année. Aucune drogue n’a une telle vertu, il suffit pour moi que tu sois nue pour qu’effet en moi s’institue hors du temps, d’événement.  Je me sens revivre intensément : parfois tout est au beau fixe, tout est à la joie, en pleine possession de mes moyens, je souris à la vie, qui me le rend bien. Pour ces instants de bonheur parfait où je partage, avec toi, notre intimité, bien des années de ma vie, je donnerais en espérant que cela puisse durer une éternité, un temps suffisant pour ne jamais t’oublier. L’éternité, à ce moment-là, précisément, est capturée dans cet instant, hors temps, où nous sommes seuls au monde, en bulle d’amants, où ciel nous accueille en firmament. Instant où nous nous dépassons nous-mêmes pour convoler. Platitude, monotonie, habitude, sont honnis, quand notre sang bouillonne et nous rajeunit par cet élan, tellement fort, qu’il en illumine notre cerveau comme arbre de Noël qui fulmine. Chaque petit élément de vie est perçu comme un tout, merci. Je me sens revivre plus intensément parfois lors je te vois nue, bien qu’en l’obscurité. Ta présence est contact durant la journée, lors mon âme et mon corps se sentent rassasiés à tel point qu’un long temps, je peux, avec toi, l’amour, différer.

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Textuel extensions

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  • L’intensité et la durée, l’intensité dans la durée, l’intensité sans la durée, la durée sans l’intensité : cette grammaire d’unions et d’oppositions, décline le fond de ma pensée et se conjugue comme un futur qui conditionne notre avenir. Se sentir revivre signifie, pour moi, qu’il y a des moments de calme plat où il ne se passe rien, où tout va de travers, ou tout me laisse las, à en désespérer. Je te reçois en mes bras, nuages disparaissent par enchantement. C’est le feu sous la cendre qui revit, l’eau qui coule à en revendre, l’air qui souffle à ne plus s’entendre, la terre qui se soulève à pourfendre. La source d’amour se transforme en ruisseau, en rivière, en fleuve, en embouchure jusqu’à l’océan.  Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire : «revivre intensément» ! Serait-ce vivre à toute allure des choses ou bien tous à la fois, l’amour, le travail, le loisir, la spiritualité, voire  la morale : toutes choses de notre vie seraient soumises à cette exigence d’être intense, fort, coloré, voire incandescent tout le temps. Mais il nous arrive parfois que tout va mal, sauf les amours et que délaissant tout le reste on se sent vivre intensément : ce serait notre part et force de subjectivité qui nous drogue.  L’intensité de la vie est un ressenti qui nous est propre, fort subjectif. On n’aurait pas la même joie aussi pour les mêmes faits admiratifs. L’un s’extase devant une fille belle, et l’autre devant une voiture belle. En dehors de toute association sexiste, aux deux, l’intensité de vie, existe. On dit que les personnes primaires, sont plutôt solaires, autres, lunaires mais l’intensité peut être intériorisée, ce qui mettra tout le monde à égalité. Et moi, je me sens revivre, intensément, quand cœur est en phase avec sentiment, me sens léger et comme pousser des ailes, lors je suis au lit, près, tout près, d’elle !

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Textuel fragments

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  • Notre vie, bien que tragique par sa fin bien que problématique,  par son cours, bien que psychologique  par ses hauts et ses bas, nous offre une panoplie de compensations. Parmi lesquelles, certaines, sont physiologiques,  telles que les nourritures,  boissons,  et loisirs, d’autres, plus adressées à l’esprit ou à l’imaginaire : ce qui fait vibrer les uns, déçoit les autres.  Ainsi, de faire  un bonhomme  de neige, constitue un loisir, et autant un plaisir : de ce simple fait, cette simple humeur, on lui fera une bouche tout en sourire. On peut lui ajouter un haut chapeau,  un nez  rond et rouge comme  un clown et deux grands yeux grands ouverts pour  respirer  comme un bonheur. Il y a  bon nombre  d’évènements, qui feraient revivre intensément : ce ne sont pas les mêmes pour tous, pour les pauvres et pour les riches.

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Illustrations : visuels, scénario et fiction

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Visuels

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Je saute de joie comme si

j’étais, soudain, en apesanteur.

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Quatre nuances du même

sentiment, d’amours partagés.

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Le soleil envahi ma vie de

ce jaune champêtre, aimant !

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Textuels symboliques 

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Bonhomme de neige

  • Symbolique de forme : Le personnage du Bonhomme de neige, sculpture de neige compacte, a une apparence humaine, des dimensions variables. Comme château de sable, tout bonhomme de neige appartient à une catégorie de l’art éphémère. Il est généralement confectionné à l’aide de deux ou trois boules de neige de taille variable.   Modifié, Source : Wikipédia

 .

Photographie

  • Symbolique de fond : La photographie a connu une utilisation fréquente, dès son apparition, dans la deuxième moitié du XIXème siècle, les peintres et sculpteurs du symbolisme, s’en servirent tout naturellement pour des raisons pratiques : avec la photographie, plus besoin de poses longues et éreintantes durant des heures pour les modèles, et aussi la possibilité de réutiliser la même pose dans différents contextes. Rodin,  Fernand Khnopff ou encore Mucha, s’en servirent abondamment. neo-symbolisme.over-blog.com/article-34769863.

 .

Corrélations > Selfie,  insouciant, bataille boules, froid glacial,

  • Liens fond/forme : On donne toujours au bonhomme de neige, un sourire  quelque peu  béat, naïf, enfantin, parce qu’il nous évoque une vie  d’insouciance autour de la neige et de nos batailles de boules. Ce qui reste paradoxal avec son froid glacial, est qu’il réchauffe,  tout de même, le cœur au point on le prend en photographie,  et voire souvent même en selfie.
  • Textuels et illustrations  >>

623 – Ce weekend, je t’ai trouvé belle

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Le regard change tout, regard est plat,

Regard devient flou selon qu’on voit, ou pas

L’autre avec yeux doux comme ceci, comme cela,

Sans prêter attention à sa tenue ni à son maquillage

Finalement … à sa beauté  selon sa jeunesse et son âge.

C’est une vraie découverte comme réelle  illumination,

Que de renouer sa passion avec celle que l’on connait,

Qu’on croyait connaitre sur le bout des seins, doigts

Sans parler du reste, femme peut changer d’air,

Et aussi de peau, d’allure, c’est en sa nature.

Ce week-end je t’ai trouvé belle

Bonne, aimable  et  à mon goût,

C’est d’autant une bonne nouvelle,

Que je ne m’y attendais pas, du tout.

.

Comme un retournement de situation

Amour a vaincu toute idée de séparation,

Je n’en reviens pas,  encore, de  ce miracle

Intime loin de toute hystérie ou de spectacle.

.

Renouer avec une femme ancienne, nouvelle,

Comme découverte de ce qu’on croit savoir,

Et qui s’avère faux, non  sensé, à percevoir

Pas  comme  on,  l’a   imaginé, rien de tel.

.

Tel n’est  plus  celui, celle  qui  est  sourd,

Avec qui on vit, pourtant, tous les jours,

L’enfermant  dans  un modèle d’amour

   Qui pour lui ou pour elle, n’a plus cours.

.

   De s’ajuster à ce l’on devient ou l’on est,

     Est plus que nécessaire, si …  conflictuel,

      L’on ne vit pas en couple, une ritournelle

       Qui jamais ne change d’airs, ni de traits !

.

       Redécouvrir l’autre est bonheur complet,

       Et sa présence nous rendra  déjà satisfait

           Et je ne parle pas du reste,    simple pudeur

            Et je vous laisse deviner    à  quelle hauteur.

.

        Il est presque magique que demeure effet

       Et jours entiers  comme en plateau après

        Comme si la pensée faisait s’autostimuler

        Désir le maintenant longtemps, à satiété !

.

      Tel scénario, se répétant, sans lassitudes,

   Est comme un air qui vous trotte en tête

   Et qui lui donne comme humeurs de fête

    Tout en rompant avec sa bonne habitude.

.

 Ce week-end je t’ai trouvé belle  et bonne,

Même  imparfaite, tout n’est pas  à jeter,

Lors,  je me demande,  encore, pas mérité.

Restaurer n’est pas tout  recommencer à zéro,

C’est faire la part du vrai, authentique, du faux,

Le reste n’est qu’un  supplément  d’âme …cadeau,

Qui fait que la vie est belle, que le monde  est beau.

.

Extensions

 .

Ah que n’a-t-on pas dit au sujet de la beauté des femmes

Ses canons variant  en fonction des pays  et des époques !

Et, si chacun aura ses critères, chacune aura ses mystères,

On n’épousera pas, obligatoirement, celle que  l’on préfère.

Et pour être encore plus belle il  faut qu’elle soit amoureuse

De vous, jusqu’à projeter une image réciproque en ses yeux.

C’est alors que beauté extérieure et intérieure se confondent,

Et que le sable se transforme en verre, puis en devient cristal,

L’amour le rend d’autant brillant, transparent même si banal.

.

Si la beauté seule suffisait pour mieux se marier

Cela se saurait et laissera les autres sur la touche,

Or il n’en est rien, bien que cela aide grandement :

Ce qui compte est sentiment du beau, non de l’être.

.

La beauté d’une femme reste en partie indéfinissable,

Même s’il existe des critères, qu’on appelle des canons.

La beauté intérieure l’emportera, parfois, sur l’extérieur

Celle qu’on a choisi n’est pas la meilleure, en vaut autres.

.

Fragments

.

Une femme peut-être perçue comme belle

Par les uns, lors quelconque, par les autres.

.

Pour un amant, pas obligatoire, d’être belle :

Faut qu’elle soit jolie, gentille, tendre, aimante

.

Beauté est une qualité mi-objective, subjective

De plus elle varie, avec les époques, les cultures.

.

Une femme peut se rendre plus belle qu’elle n’est

Il suffit qu’elle sache bien se coiffer, se maquiller

.

Mais sa beauté peut être sublimée par l’intérieur,

Lui faisant dégager comme charme indéfinissable.

.

Amour fou, parait-il, rendrait beau ce qui est laid,

Il est autant une perception qu’une interprétation.

.

La disponibilité, le désir, l’exotisme,  sont éléments

Qui contribuent à établir plus d’attention à l’autre.

.

Un week-end, en amoureux, favorisera, restaurera,

Un changement dans la vie quotidienne monotone.

.

Une femme n’a rien d’une extra-terrestre, déesse,

N’est que réservoir plein à craquer, de tendresse.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Le regard change    C     tout, regard est plat,

Regard devient flou     E     selon qu’on voit, ou pas

L’autre avec yeux doux    *      comme ceci, comme cela,

Sans prêter attention,  à     W   sa tenue ni à son maquillage

Finalement … à sa beauté    E    selon sa jeunesse et son âge.

C’est une vraie découverte    E    comme réelle  illumination,

Que de renouer sa passion    K   avec celle que l’on connait,

Qu’on croyait connaitre sur  –    le bout des seins, doigts

Sans parler reste, femme    E        peut changer d’air,

Et aussi de peau, d’allure   N     c’est en sa nature.

               D

Ce week-end je t’ai trouvé belle

Bonne, aimable  et  à mon goût,

C’est d’autant une bonne nouvelle,

Que je ne m’y attendais pas, * du tout.

Comme un retournement de  J   situation

Amour a vaincu toute idée de    E  séparation,

Je n’en reviens pas,  encore,    *   de  ce miracle

Intime loin de toute hystérie  T  ou de spectacle,

Renouer avec une femme    ‘  ancienne, nouvelle,

Comme découverte de ce   A   qu’on croit savoir,

Et qui s’avère faux, non   I   sensé, à percevoir

Pas  comme  on,  l’a  *  imaginé, rien de tel.

Tel n’est  plus  celui, celle  qui  est  sourd,

Avec qui on vit, pourtant, tous les jours,

L’enfermant  dans  un modèle d’amour

  Qui pour lui ou pour elle, n’a plus cours.

   De s’ajuster à ce l’on devient ou l’on est,

     Est plus que nécessaire, si …  conflictuel,

      L’on ne vit pas en couple, une ritournelle

       Qui jamais ne change d’airs, ni de traits !

       Redécouvrir l’autre est bonheur complet,

      Et sa présence nous rendra  déjà satisfait

        Et je ne parle pas du reste,    simple pudeur

         Et je vous laisse deviner    à  quelle hauteur.

.

        Il est presque magique  *    que demeure effet

       Et jours entiers  com    T  me en plateau après

        Comme si la pensée     R     faisait s’autostimuler

        Désir le maintenant     O     longtemps, à satiété !

      Tel scénario, se répé      U    tant, sans lassitudes,

   Est comme un air qui       V     vous trotte en tête

  Et qui lui donne comme     É      humeurs de fête

 Tout en rompant avec sa       E    bonne habitude.

 Ce week-end je t’ai trouvé         *       belle et bonne,

Même imparfaite, tout n’est          B     pas. ..  à jeter,

Lors,  je me demande,  encore,          E           pas mérité.

Restaurer n’est pas tout  recommen      L            cer à zéro,

C’est faire la part du vrai, authentique      L                du faux,

Le reste n’est qu’un  supplément  d’âme       E                 cadeau,

Qui fait que la vie est belle, que le monde        *                est beau.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ce n’est pas une extra-terrestre,

Ce n’est pas un animal familier,

Ce n’est ni salière, ni poivrière,

C’est juste une belle  femme !

.

623 4

.

Allez donc savoir qui se cache vraiment

Derrière cette  forme  …  extraterrestre.

Une femme est grand mot lorsqu’on voit

Cette étrange silhouette sur son profil !

  .

Symbolique 

 .

Personne n’a vu

Un extraterrestre !

Pourtant,     chacun en a

Une image     plus ou moins

Consciente     et claire.

L’extraterrestre représente

L’étranger, celui que l’on ne

Peut concevoir totalement

Et qui pourtant anime

Nos débats intérieurs.

Il est irréel et réel à la fois !

C’est un semblable différent.

C’est l’absolue différence et

La       ressemblance   secrète.

L’extraterrestre      est une image

Du   paradoxe,     inscrite   en    nous.

doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire-

des-reves/rever-d-extraterrestre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

623 6

.

Allez donc savoir qui se cache vraiment

Derrière cette  forme …  d’extraterrestre.

Une femme est grand mot lorsqu’on voit

Cette étrange silhouette sur son profil !

 .

Symbolique 

.

I

Il  nous

Parait difficile

De       décrire

La  beauté

D’une

Femme lors

Chacun  a  ses critères

Et une belle femme

Peut ne pas plaire

À tout le monde.

Malgré… tout,

Au-delà de sa

Beauté physique

Une femme aura une

Beauté   intérieure   sur

Laquelle il y a consensus.

Une femme belle, serait, à

Mes yeux, cette femme qui

Mélange, avec harmonie :

Grâce, intellect,  présence,

Sans oublier son charme :

Cette femme  chez laquelle,

Il est  agréable  de se perdre

Dans le mystère de son regard.

fr.answers.yahoo.com/question

 .

.

Fond/forme 

.

La définition, la perception, d’une femme belle

Est culturellement des plus subjectives qui soient

Certains pensent que la beauté s’impose naturelle

D’autres qu’elle sera le fruit de canons, d’un choix.

.

Quant à évoquer la beauté d’un regard,  il faut déjà

S’y jeter  jusqu’au point de s’y perdre complétement,

Pour être à même de l’apprécier comme reflet du sien

Et si beauté  intérieure, extérieure peuvent se cumuler,

Elle deviendra alors comme un phare qui vous éblouira.

.

 Textuels et illustrations  >>

622 – Faire autrement quand on aime !

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Quand on aime, on ne compte pas

Quand on aime… l’on ne conte pas.

Seule chose vraie dans ces deux cas,

L’on agit, l’on n’en parle plus ou pas !

.

C’est ce que font les gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire leur nid,  leur  enfant

Faire leur vie en somme, tout simplement

Quel que soit le parcours riche ou bohème

.

Enfant désiré, n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du passé  qui tarde  à  s’incarner,

N’est que promesse d’un avenir qu’induit

La nécessité de le faire quand on s’aime !

.

Comment faire autrement quand on aime

L’on ne va pas que se parler quand même

D’une façon qui ne rejoint pas l’extrême

Lors même tout y pousse en un poème.

.

Poème que de se toucher,  que caresser

Des peaux nues par nos mains tendues

Par leur désir, à n’en plus finir, de tisser

Toile pour se rendre prisonnier ou confus.

.

Poème d’embrasser «bouche que veux-tu»

Pour y goûter le langage nouveau, inconnu

De ceux  qui n’ont, pour langue …que vertu

De ne jamais  pénétrer, là où, c’est défendu.

.

Poème, de pénétrer, comme soc de charrue

Le ventre d’une terre fertile  et bien conçue

Pour que petite graine pousse et grandisse

Que greffe enfant de l’amour, y réussisse !

.

Mais que faire autrement quand on aime

À moins  de se   faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi je t’adresse cette prière

Ne dis rien et fais le moi en l’extrême

.

Extensions

 .

Faire autrement est toujours possible,

On peut s’abstenir, jouer l’indifférence,

Remettre à plus tard… donner le change,

Le tout pour susciter la jalousie de l’autre.

.

Comment faire  autrement que  de se revoir,

Se fréquenter assidûment, se mettre en couple,

Se marier ou tout comme, désire, faire un enfant,

Fonder une famille, bâtir une maison, une carrière,

Un style de vie, voire une manière d’être ensemble,

Pour une fidélité à toute épreuve et tutti quanti…

.

L’enfant est le pivot, est l’élément déterminant,

Fédérateur, épreuve de vérité, c’est souvent

À ce moment que le bât blesse et que les

Couples se disjoignent et finiront

Tôt ou tard …  par se séparer.

.

L’enfant devient la fleur de

L’amour conjugal mais aussi

Et bien plus encore, le fruit de

L’amour parental, l’amour conjugal

Est virtualité ; l’amour parental, réalité

L’enfant survit à tout cataclysme amoureux

Et a besoin de ses deux parents, ne serait-ce

Que pour grandir, pour assurer son avenir !

.

Comment faire autrement ! Eh  bien si, justement, l’on peut :

L’amour dans un couple n’est pas fatalement lié à la grossesse

L’amour serait d’abord et avant tout, un échange de tendresse

L’enfant qui en sera enfanté ne sera que l’enfant que l’on veut,

Pour se prolonger, s’occuper, transmettre, ou  donner encore

Ce qu’il y a de mieux pour qu’amour se construise et dure

 Que l’enfant prenne modèle sur ses parents, et s’invente.

.

Faire autrement peut très bien se conclure

Par je ne veux pas d’enfant, et de personne ;

Je ne veux pas d’enfant de toi, moi non plus ;

Je me ferai faire un enfant toute seule, adieu ;

.

Cas de figure échappant à coutume maritale :

Je ne voulais pas  d’enfant : tu m’as  bien eu,

Est un autre sans moindre accord préalable

Et ainsi va la vie et ainsi vont …  les choses.

.

Ça n’empêche pas l’Humanité de croitre

Mais ce sont souvent les plus fortunés,

Qui ne s’embarrassent pas d’enfants.

.

Fragments

Comment faire autrement quand on aime :

Question primordiale inévitable en tous cas,

.

Mais autrement peut vouloir dire beaucoup :

Une union, un enfant, un projet de vie errante

.

Très souvent, le point de basculement en couple

Est non pas le désir d’enfant mais sa réalisation.

.

Parfois prématuré, survient bien avant, accident

Ce n’était pas prévu ou prévu pour bien plus tard.

.

Parfois il est remis, d’année en année, prétextant

Qu’il faut que sa vie se stabilise, en s’y préparant.

.

Parfois désir d’enfant n’est que pour un, pas autre

Instaurant une frustration, conduisant séparation.

.

Parfois, commun accord, les deux n’en veulent pas,

La question est réglée, c’est bien mieux comme cela.

.

Enfanter, se reproduire est dans la nature humaine,

Tout autant que celle de mammifères sans conteste.

.

Pour l’humain, c’est une affaire de liberté de choix

À l’inverse, c’est problématique en cas de stérilité !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

           Quand on aime  C   on ne compte pas

          Quand on aime   O       on ne conte pas.

        Seule chose vraie M   dans ces deux cas,

      L’on agit, on n’en  M   parle plus, ou pas !

E

C’est ce que font les  N    gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire   T  leur nid, leur enfant…….

Faire leur vie en som  *   me, tout simplement …….

Quel que soit le par  F  cours, riche ou bohème …….

   A …………….…

Enfant désiré        I     n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du         R    passé qui tarde à s’incarner.

N’est que pro      E      messe d’un avenir qu’induit

La nécessité        *      de le faire quand on s’aime !

A ……………………

Comment faire   U   autrement ….. quand on aime

L’on ne va pas    T   que se parler quand même……..

D’une façon qui   R    ne rejoint pas l’extrême ……………

Lors même tout    E    y pousse en un poème ………………….

Poème que de se   M   toucher,  que caresser ………………………

Des peaux nues     E  par nos mains tendues ……………………………

Par leur désir, à     N   n’en plus finir, de tisser …………………………….

Toile pour se ren    T  dre, prisonnier, ou confus ……………………………

Poème d’embras    *  ser «bouche que veux-tu» …….………………………

 Pour y goûter le    Q   langage nouveau, inconnu ….….…………………..

De ceux qui n’    U     ont pour langue que vertu …….……………….

De ne jamais    A     pénétrer, là où, c’est défendu ………………

Poème, de     N    pénétrer, comme soc de charrue ……..

Le ventre    D    d’une terre fertile et bien conçue…

Pour que    *  petite graine pousse, grandisse   *

   Que greffe      O    enfant d’amour, y réussisse !

N ………………..

 Comment faire   *         autrement si on aime

 À moins de se     A    faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi     I   je t’adresse cette prière

Ne dis rien et     M    fais le moi en l’extrême

E  ……………

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un fruit visible d’un amour

Conjugal et puis parental,

 Est celui d’être enceinte

Bébé presqu’à terme.

.

622 4

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes 

Lors dans toute nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

Enceinte d’un bébé fruit d’un désir

Pas toujours il est vrai avant  mais

Le plus souvent après ou pendant :

Le fond prend forme en neuf mois.

  .

Symbolique 

 .

Le sens

Rêves : enceinte

Ne renvoient pas à

La conception

 D’un enfant.

 

Si ce rêve de grossesse

Reste  très    symbolique,

Il   représente        l‘aspect

Fertile  puis   créateur    qui

Met en   place dans votre vie

Au moment du rêve  et  dont  

Les détails  et   préoccupations

 À l’état  de veille vous montre

 De quel domaine de votre vie

Il s’agit que ce que vous pourrez

En  déduire : sur le plan matériel,

Psychique,   intellectuel,     spirituel.

Modifié, source : solutionreves.com/

glossary/rever-detre-enceinte

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

622 6

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes :

Lors dans toute  nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

 .

Symbolique 

 .

Que l’on se voit bébé,

         Ou père ou mère  d’un bébé,

                   Ou bien encore en train d’assister,

                          De vivre soi-même un accouchement,

                               Rêver de bébé est un rêve très fréquent.

 

                                 Bien que plus souvent chez les rêveuses

                             Les raisons sont très évidentes tant

                         La maternité aura à voir avec la

                        Grossesse  et corps des femmes.

 

                    Ce rêve sera-t-il à interpréter

                  Comme  beau  désir d’enfant

               Voire  envie  de   parentalité

               Vous pensez qu’ils sont liés à

           «L’instinct  de  maternité »,

        Bien que parfois contesté !

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

 .

.

Fond/forme 

 .

Qui dit enceinte dit la conception à deux

Qui dit bébé dit accouchement prochain.

.

Faire autrement reste toujours possible,

Comme d’adopter un enfant  né ailleurs,

Le chérir, élever, comme si c’était le sien.

.

Si les liens du sang  sont très importants,

Ceux du cœur ne le seraient guère moins.

Ce ne sont enfants adoptés qui le nieront.

.

 Textuels et illustrations  >> 

621 – D’où te provient ton… mystère !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ton mystère, aurais-je décelé,

Ton mystère, l’aurais-tu révélé,

Ton mystère, l’aurais-je inventé,

Ton mystère demeure-il caché !

S’il n’est en toi, il est autour, l’aura

Qui t’enveloppe, te nimbe de brume

Ou de lumière, de parfum, de fortune,

Et que tu diffuseras en suivant ton pas.

.

Tantôt, il s’éclaircit,  il s’épaissit,

Ou quand il disparait rebondit,

Plus dense et plus fort  encore,

Il est de partout et nulle part,

De l’autre côté de ton miroir.

.

D’où te provient ton mystère où le caches-tu,

J’ai fouillé partout chez toi en toi, et pas perçu

Le moindre indice qui me mettrait sur une piste

Ni la moindre hypothèse à coucher sur une liste.

.

Tu n’es et tu n’as, pourtant, rien d’extraordinaire,

Justifiant, d’un tel étonnement, de telles émotions,

Tressaillant tout mon corps et à chaque perception

De  ta silhouette  dansante  comme  parure, en l’air.

 .

Ton aura demeure un mystère lors j’ai beau soulever

Un coin ou autre, de son voile, jamais,  ne se dévoile :

Il est partout, et nulle part, en toi, hors de toi, ancré :

Comme le portrait qui me dévisage et peint sur toile.

.

Sans doute, est-il en ton étoile,  dont reflet manifeste

Son éclat, son ombre, en tes moindres faits et gestes

Dont je ne percevrais  que l’image  que  je  m’en fais,

Transformée en mystère qui m’échappe et me plait.

.

Chaque fois  que  je crois  pouvoir,  enfin te cerner,

Tu disparais et réapparais autrement d’autre côté,

En tes jeux de miroirs, plans concaves, convexes,

Je comprends mieux ta personnalité complexe.

.

Extensions

 .

D’où te provient ton mystère :

Serait-ce-moi qui l’ai créé, inventé,

Projeté sur toi pour te parer de qualités

Que tu n’as pas  mais qu’il me plait de voir

En toi double de moi, complément au choix.

.

Énigmatique,  pourtant,  tu ne l’es pas tant

Je connais  de choses,  à présent,  sur toi,

Mais  j’ai beau creuser, creuser  encore,

Plus je te fouille plus je m’embrouille

En ton image qui au départ, floue

Devient de plus en plus  nette,

Et très nette, redevient floue.

.

Tantôt myope et tantôt presbyte,

Parfois je sais bien, et parfois moins,

Où mon cœur habite quand je suis pris

D’une folle envie subite, d’avenir commun,

Je médite, à me demander si, de notre amour,

L’on sera quitte, maintenant, je comprends

Que c’est  ton  âme qui … m’échappe,

C’est la même qui me rattrape

Quand le moral me sape.

.

Le mystère d’une attirance n’est pas celui de l’amour

On peut que globaliser les deux mais pas les analyser

Ni une personne ni l’amour n’existent en éprouvettes

L’amour est, à la fois, un don et fruit d’une conquête.

Il est vrai que des personnes  ont l’aura d’un mystère,

Ont force d’attraction, peu commune ou un charisme

Qui les révèlent comme des chamans, ou guérisseurs,

Mais il y a aussi, il y a les bellâtres et les mannequins

Qui n’ont besoin de rien pour conquérir, en requins !

.

Le mystère de l’amour s’épaissit des projections

Et fantasmes que l’on associé au partenaire aimé.

Pendant quelques temps, on aura du mal à avouer,

En réalité pourquoi on est attiré, pourquoi on aime.

.

Peu à peu, avec le temps, les événements, et l’usure,

Le mystère s’éclaircira, sans se dissiper totalement

On s’inventera alors des raisons qui n’en sont pas

Pour garder le lien ou se séparera pour d’autres.

.

Fragments 

.

Une part de lumière,

Une part  …  d’ombre,

Une part … de mystère

En chacun, son nombre.

.

Mystère rime avec secret,

Lumière  rime  avec reflets,

Ombre rime avec obscurité :

Le tout compose personnalité.

.

La tienne m’interroge sans cesse

Je ne parviens jamais à la cerner,

Or c’est cela aussi ce qui me plait :

Je ne pourrais te révéler d’un trait.

.

Ce n’est pas tu es muette, taciturne,

Tout, en toi, me semble bien diurne,

Des choses m’échappent, infortunes,

Il me faut faire l’enquête, plus d’une.

.

Peut-être qu’une part de ton mystère,

Serait créé du seul fait de nous aimer,

On la partagera sans pouvoir la révéler

Du moins tant qu’on vivra père et mère.

.

Parfois, avec le temps, mystère s’éclaircit,

On attribue le choix partenaire à l’enfance :

Ce n’est qu’une hypothèse voire une éclaircie

Qui ne nous fournit pas une vérité, délivrance.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Ton mystère,  D  aurais-je décelé,

Ton mystère,    I   l’aurais-tu révélé,

Ton mystère,    S   l’aurais-je inventé,

Ton mystère      –     demeure-il caché !

S’il n’est en toi,   M    il est autour, l’aura

Qui t’enveloppe,   O   te nimbe de brume

Ou de lumière, de  I      parfum, fortune,

Que tu diffuse, en   *     suivant tes pas.

Tantôt, il s’éclaircit,  D     il s’épaissit,

Ou quand il disparait       rebondit,

Plus dense et plus fort  O  encore,

Il est partout et nulle  Ù  part

 D’autre côté de ton  * miroir.

                        T

D’où te provient ton mystère  E   où le caches-tu,

J’ai fouillé partout chez toi    *    en toi, et pas perçu

Le moindre indice qui me    P   mettrait sur une piste

Ni la moindre hypothèse    R      à coucher sur une liste.

O ………..

Tu n’es et tu n’as,          V   pourtant, rien d’extraordinaire,

Justifiant, d’un tel          I     étonnement, de telles émotions,

Tressaillant tout mon       E        corps et à chaque perception

De ta silhouette dansante      N             comme parure, en l’air.

         T

Ton aura demeure un mystère lors     *              j’ai beau soulever

Un coin ou autre, de son voile,         T          jamais ne se dévoile :

Il est partout, et nulle part,     O           en toi, hors de toi, ancré :

Comme le portrait qui       N         me dévisage et peint sur toile.

* ……………….

Sans doute, est-il en       M      ton étoile, dont reflet manifeste

Son éclat et son ombre     Y     en tes moindres faits et gestes

Dont je ne percevrais que      S       l’image, que je m’en fais,

Transformée en mystère qui    T    m’échappe et me plait.

                   È

Chaque fois que je crois pouvoir,    R    enfin te cerner,

Tu disparais et réapparais autrement  E d’autre côté,

En tes jeux de miroirs, plans concaves  ?  convexes,

Je comprends mieux ta personnalité  * complexe.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une fiole remplie

Liquide mystérieux :

Un parfum d’intimité

Qui sait un philtre d’amour

.

621 4

.

Que sont donc le mystère de l’intimité

De l’attirance mutuelle : 

Que ce soit phéromones, philtre d’amour

Personne ne l’a percé à jour.

Intimité et philtre d’amour surtout

S’il s’agit d’un bon parfum capiteux

Se rapproche du mystère d’influence

Et donc l’évoquera  et plus qu’un peu.

 .

Symbolique 

 .

Interaction entre hommes et  femmes

Un vrai match, vous vous     en doutiez,

Les hommes et les fem          mes n’ont pas

Même mode d’emploi      même mode de vie

Lors si tout le monde        se retrouve autour

D’une définition com         mune  de  l’intimité

Nécessité  de  pres              que  tout  partager,

La vision du corps,                elle,  reste  le point

De dissonance entre              hommes / femmes.

Mais l’homme d’aujour             d’hui sait parler :

Lors il n’hésite plus à par           tager son intimité

Et cherche même à compren         dre toute femme

Tant il est vrai que l’homme en        sait plus sur elle

Que vous ne l’imaginez, et ce, mal    gré vos préjugés,

Votre intimité a de moins en moins de secret pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-feminine-vue-par-les-hommes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

621 6

.

 Mais que sont donc le mystère de l’intimité

De l’attirance mutuelle : 

Que ce soit phéromones, philtre d’amour

Personne ne l’a percé à jour.

 .

Symbolique 

 .

Une plante magique            est une plante à laquelle

La tradition populaire            confère  des propriétés

Surnaturelles  pouvant          être utilisées, en magie,

Ou en sorcellerie, des plan       tes favorisent l’amour,

C’est-à-dire aphrodisiaques,       également les plantes

Qui refroidissent les ardeurs,     ou  anaphrodisiaques.

 .

Mais que sont très exactement    tous ces phéromones :

À quel point peuvent-elles influer sur  comportement :

On leur prêtera  vertus dignes des philtres d’amour,

Elles seraient comme des sortes de messages invisibles

Irrésistibles, et  influençant nos choix de partenaires.

Wikipédia + allodocteurs.fr/actualite-sante-les-pheromones

 .

 .

Fond/forme 

 .

Un mystère plane toujours autant sur l’amour,

Qu’au début de l’Humanité et basé sur l’émotion

Qui paraitrait être un véritable philtre d’amour

Que nous distillons nous-mêmes en notre sang.

.

Il demeure difficile à un  observateur étranger

À un couple de pénétrer cœur de son intimité

Mais on constate que pendant un orgasme,

Arbre de noël s’allume en deux cerveaux.

On est plus niveau des ondes externes

Mais bien des connexions internes.

.

 Textuels et illustrations  >>

620 – Je ne te l’ai jamais dit, encore !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Peut-on

Vraiment dire :

C’est le lot des parents,

D’être enterrés côte à côte

Sans jamais  l’avoir décidé,

Triste  fin  d’un  bel amour,

Qui vit  ou meurt, toujours,

Au-delà de la tombe, la vie,

Comme le fil rouge promis.

.

Mais  si  mort : tout est fini,

À quoi bon  s’en faire  souci :

Poussière égale … poussière :

Qu’on soit  paradis, ou enfer,

Que l’on demeure sous terre

À prendre racine à l’envers,

À en faire profiter les vers,

À moins que  l’on préfère

Etre incinéré,  répandu

En champ ou mer bu.

.

Je ne te l’ai jamais dit encore … j’aimerais,

Que l’on meure, tous  les deux, ensemble,

Et que par accord, l’on nous coucherait

En même cercueil  qui nous rassemble.

.

Je sais, c’est idiot, ça n’a aucun sens,

Mort, nous deviendrons poussières,

Ça ne nous fera revenir, en arrière,

Et, pas davantage, aller  de l’avant.

 .

Mais, c’est comme une métaphore,

Qui dit autre chose que simple fait,

Que  notre amour reste le plus fort,

En dépit  de tout ce qui nous paraît.

.

Et si je ne te l’ai jamais dit  encore :

Aimerais que la coupe  de deux vies,

On la boive  tous deux, jusqu’à la lie,

Jusqu’à dernière goutte de nos corps.

 .

Ils nous relient autant que nos esprits,

À ce fil rouge, qui nous tient lieu de foi,

En l’amour que chacun donne, et  reçoit,

Comme le pain noir pain blanc, pain béni.

.

Extensions

 .

Je ne te l’ai jamais dit encore :

Je  nous  vois  dans  vingt  ans,

Tout comme  au premier jour,

Si ce n’est plus fort et enfants

Et qui nous ressemblent, tant,

Tout en devenant eux-mêmes !

.

 Ils nous prolongent, ils nous succèdent,

Comme deux êtres qui nous enterreront,

Après nous avoir prodigué les bons soins

De nous aimer, aider, en dernier ressort !

On vit mieux, ensemble, que, seul,  quand

On s’entend bien, meurt bien séparément

Entouré de ses enfants, ses petits-enfants,

À qui la vie sourit encore pour le moment

Côte à côte, en caveau familial, cimetière,

En plein air, en bord de côte,  l’air marin,

Et terrien se mélangera  en nos  souvenirs

En éternels témoignages  de nos  amours.

Ce n’est pas encore notre oraison funèbre

D’ici là, il y aura encore, de l’eau à couler,

Air à souffler, feu à chauffer en cheminée.

Ça peut paraitre lyrique mais la vie passe

Si vite qu’il faut envisager sa fin tragique

D’avoir à quitter les siens, de s’inquiéter

Pour eux lors, tout ira pour le mieux.

.

À quoi sert un secret emporté dans sa tombe :

À rien, sauf s’il en donne des indices concrets

Pour se lancer  dans une course  aux trésors.

En amour, et en fidélité, ils sont nombreux,

Des enfants, des amants, des biens cachés

Et parfois même des crimes  ou forfaits,

Qui auraient mérité années de prison.

.

À vrai dire, qu’elle différence essentielle que d’être

Enterrés séparés, côte à côte, ou en même cercueil,

Ce n’est rien d’autre que projection de conservation

Au cas où, un jour, il y aurait comme résurrection !

.

Quant à emporter un secret en sa tombe, c’est pareil

Il vaudrait mieux nous livrer le seul qui nous importe

Celui de notre existence  et mode de vie après la mort,

Qui nous aura été révélé par le Christ et jamais décrit.

.

Je ne te l’ai jamais dit encore, comme on parlerait d’or,

D’un héritage caché, au fond des bois, comme un trésor,

Alors que le seul qui est de la valeur est propre présence

Amoureuse, tant que l’on est vivant et qu’on est content.

.

Fragments 

.

Notre sort à tous, triste fin que la mort,

Qu’advient-il après… couple amoureux,

Qui se serait juré de s’aimer jusque lors,

Voire bien après, dans un même adieu !

.

Cela  paraitra  vain, inutile, inconsidéré,

Qu’en un caveau familial, d’être enterré,

Mais tel rite persiste  depuis l’humanité,

Et de tous, c’est le premier et le dernier.

.

Épilogue ne se devrait pas ici d’être écrit,

On n’en sait rien,  sauf à croire au paradis

Mais  je le fais quand même dans le doute,

Une autre vie reste possible, somme toute.

.

On dit, seul l’amour est… sans fin … éternel,

Mais c’est le mettre là sur un haut piédestal,

Le mettre  du côté du bien,  très loin du mal,

Il n’est autre que  principe, attrait : non réel.

.

Mourir à deux, bien collés l’un contre l’autre

Dans son sommeil est perçue mort souhaitée

Aucun de deux  n’aura à faire deuil de l’autre,

Pleurs et manques seront, à famille, relégués.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Peut-on

Vraiment dire :

C’est le lot des parents,

D’être enterrés côte à côte

Sans jamais  l’avoir décidé,

Triste fin  d’un  bel amour,

Qui vit ou meurt, toujours,

Au-delà de la tombe, la vie,

Comme le fil rouge promis.

.

Mais si mort, tout est fini,

À quoi bon  s’en faire souci :

Poussière égale … poussière :

Qu’on soit  paradis, ou enfer,

Que l’on demeure sous terre

À prendre racine à l’envers,

À en faire profiter les vers,

À moins que  l’on préfère

Etre incinéré,  répandu

En champ ou mer bu.

.

Je ne te l’ai jamais dit  *                  *     encore … j’aimerais,

Que l’on meure, tous  *                  *     les deux, ensemble,

Et que par accord,    J                D  l’on nous coucherait

En même cercueil     E               I   qui nous rassemble.

     *               T ….

Je sais, c’est idiot,   N               *     ça n’a aucun sens,

Mort, nous devien   E                E     drons poussières,

Ça ne nous fera re   *                 N     venir, en arrière,

Et pas davantage,   T                 C      aller  de l’avant !

E                 O

Mais, c’est comme   *                 R       une métaphore,

Qui dit autre chose L                 E        que simple fait,

Que  notre amour    ‘                  *      reste le plus fort,

En dépit  de tout    A                 J  ce qui nous paraît.

I                 ‘  .

Et si je ne te l’ai      *                A   jamais dit  encore :

Aimerais que la      J                I   coupe  de deux vies,

On la boive  tous    A                M   deux, jusqu’à la lie,

Jusqu’à dernière   M                E  goutte de nos corps.

A                R….

Ils nous relient au  I                A  tant que nos esprits,

À ce fil rouge, qui   S                 I  nous tient lieu de foi,

En l’amour que cha *                   S  cun donne, et  reçoit,

Comme le pain noir *                      !  pain blanc, pain béni.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un trophée sportif, culturel,

Colonne soutènement d’église,

Piédestal en bas avec statue

De romain en toge au-dessus ?

.

620 4

.

Dire quelque chose sur un piédestal

À une statue ne comptera pour rien.

Il aurait bien mieux valu  lui clamer

Avant d’être morts … il me semble !

Piédestal et statue sont pour des célébrités,

 N’ont rien à voir avec le commun des mortels

Ce qui fait que la forme se distingue du fond.

 .

Symbolique

 .

Un piédestal

Est un support isolé

Qui sert à recevoir une colonne,

Une statue, un buste ou voire un

Grand objet d’art  ou d’ornement

Vase, candélabre, stèle, fontaine.

Et quand  une  personne  idéalise

Quelqu’un et ce de façon exagérée

On utilise « mettre sur piédestal».

À l’inverse, « descendre  quelqu’un

De son piédestal » serait être déçu

En regard de l’image trop  positive

Qu’on avait de cette belle personne.

Wikipédia : piédestal d’une statue

.

.

Fond

 .

Évocation

.

620 6

.

Dire quelque chose sur un piédestal

À une statue ne comptera pour rien

Il aurait bien mieux valu  lui clamer

Avant d’être morts … il me semble !

 .

Symbolique 

 .

L’on

 Désigne,

Par statues

Qui pleurent,

Un phénomène

Que certains

Considèrent comme

Étant      miraculeux

Alor s que d’autres 

Pensent    qu’il s’agit

De  supercherie, voire

 D’un phénomène physique,

 Pour le moment, inexpliqué !

 .

Lors les autorités de l’Église catholique

Se seront toujours montrées prudentes

Pour étudier  ces statues qui pleurent,

Ont généralement fixé des conditions

Très strictes avant de les… accepter.

wikipedia.org/wiki/Statues_qui_pleurent

 .

 .

Fond/forme 

 .

Tout le monde peut rêver d’être sur un piédestal,

Au figuré, de son vivant, en statue après sa mort

La réalité sera plus égalitaire une fois sous terre.

.

Car la première pensée qui vient pour tel avenir,

Serait pour couple aimant : enterrés cote à cote.

.

En attendant on peut garder  nombre d’images

Mais de là à un faire un tableau ou une statue

Il y a comme un gouffre à franchir, éternité !

.

Textuels et illustrations   >>

619 – Autour, parmi, avec, entre, dans

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cinq contextes différents,

Si ce n’est même divergents,

Tous rapports m’influenceraient

Pour  mes  relations  …  humaines,

Qu’elles soient de loin, voire de près,

Pour être fructueuses ou bien vaines.

.

Je ne vais pas tourner autour du pot

Je ne vais pas  m’acoquiner avec,

Ni non plus me fondre parmi,

Pas plus que rester entre,

Peut-être exister dans.

.

Oui, mais, dans quoi :

Ce qui est bon pour moi,

Mais comment le prétendre,

Si ce n’est parmi, avec ou entre.

.

Entre deux, se jouent  des passions

Amoureuses, où dispute aurait raison,

Un jour où l’autre, du couple, en fusion,

Nouveau contexte échappe à prédiction !

.

Autour, parmi, avec, entre deux  et dans :

Autour de moi, tout ce monde, qui  circule,

Dans cette foule, je me sens seul et ridicule,

Parmi eux, ne me sens, en rien ressemblant.

 .

Autour, parmi, avec, entre deux, et … dans :

Parmi  ceux, ou bien, celles, que  je rencontre,

Je me trouve affinités d’âges et tempéraments

Avec projets de vies qui ne me seraient contre.

 .

Autour, parmi, avec, entre deux  et  …   dans :

Tant avec eux, je ferai un long bout de chemin

Qui me mène où, si je l’entreprends : très loin,

Pour mieux me rapprocher, d’eux … aimants.

 .

Autour, parmi, avec, entre deux et  …  dans :

Entre deux, l’union fait la paire d’amoureux,

Rendant le lendemain, mieux, bienheureux

À un point  d’envisager maison et enfants.

 .

Autour, parmi, avec, entre deux et dans

En lui, en elle, il n’y a plus  de  mystère,

Il n’y a qu’un couple  qui tient, galère,

Jusqu’à leur rupture en les séparant.

.

Extensions

 .

On dit que quelqu’un tourne

Autour de quelqu’une lorsqu’il

Il cherche à l’attirer en ses filets.

.

On dit quelqu’un choisira parmi

Prétendantes celle qui le mettra

Le plus en valeur devant autres;

.

On dit que quelqu’une sort avec

Quelqu’un que pour son argent

Pour son statut, son physique,

Plus rarement  pour l’amour ;

.

On dit que qu’homme  hésite

Entre  deux  futures  épouses

Ne parvient pas à se décider ;

.

On dit que quelqu’une se sera

Mise dans états, pas possibles,

Pour séduire l’homme de sa vie.

.

Ces cinq conjonctions qui relient

Plusieurs choses  qui n’ont parfois

Rien à faire, ou, à voir …  ensemble,

Sont pratiques pour exprimer toutes

Sortes d’actes ou de pensées et voire

Pour rapporter ce que l’on a  cru

Observer chez tous les autres.

.

Comment faire le tour de la question du couple :

Impossible, tant les postures, attitudes, opinions,

Les modèles, les stéréotypes et voire les archétypes,

Sont légions et ne dévoilent qu’une once de mystère !

Oui bon, c’est bien de dire cela, mais alors qu’en faire,

Tant nous vivons, et, de l’intérieur, notre propre couple.

Bibliothèques entières lui ont été consacrées en Histoire,

Et de nombreux gourous font florès sur  la place publique.

Finalement, c’est en le secret de son cœur, qu’on y adhère !

.

Les contextes, les intertextes, les hors-textes

Constitueraient, parfois, autant de prétextes

Pour complexifier et à souhait, un problème,

Quel qu’il soit, lié à une personne, un couple,

Une famille, une communauté, une société !

.

A contrario, on aimera faire des raccourcis,

Afin d’en venir au fait sans épuiser le sujet.

Peut-être ce qui fait l’une des différences

Entre un ouvrier métallo  et un intello,

Encore que c’est disposition pensées

Entre ceux s’en tenant au contenu

Du pot et ceux tournant autour.

.

Fragments

.

Autour de moi, il y a des tas de gens,

Dont la plupart me seront indifférents

.

Parmi ceux-ci il y en a des plus attirants,

Qui correspondent mieux à mon sentiment

.

Avec eux, je peux bâtir une relation, un lien,

Qui profitera à chacun, nous fera grand bien

.

Entre nous il faut se méfier d’amour halluciné,

L’illusion tombera d’elle-même face à la réalité

.

Dans un philtre d’amour, matières à croyances

Qui procure le courage d’aborder des évidences

.

Autour,  et parmi,  et avec,  et entre,  et dans

 Rythment ce qu’on fait avant, après, pendant.

.

C’est une grammaire … conjuguée à l’infini,

Il n’existe aucune règle en ce qui concerne

Les prépositions : il faut les apprendre

Et il faut pratiquer tous les jours.

.

À, après, avant, avec, chez, de, dans,

Depuis, derrière,  dès, dessus, devant, en,

Entre,  hors,  jusque,  malgré,  outre,  envers,

Par, parmi, pour, sans, sauf, selon, sous, sur, vers.

.

Les prépositions sont des mots courts et invariables

Servant à relier un élément de la phrase à un autre :

Mais  il  existe des prépositions simples : chez, etc…

Locutions prépositionnelles : d’après, près de, etc…

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Cinq contextes différents,

Si ce n’est même divergents,

Tous rapports m’influenceraient

Pour  mes  relations  …  humaines,

Qu’elles soient de loin, voire de près,

Pour être fructueuses ou bien vaines.

Je ne vais pas tourner autour du pot

Je ne vais pas  m’acoquiner avec,

Ni non plus me fondre parmi,

Pas plus que rester entre,

Peut-être exister dans.

.

Oui, mais, dans quoi :

Ce qui est bon pour moi,

Mais comment le prétendre,

Si ce n’est parmi, avec ou entre.

Entre deux, se jouent  des passions

Amoureuses, où dispute aurait raison,

Un jour où l’autre, du couple, en fusion,

Nouveau contexte échappe à prédiction !

.

AUTOUR,

Autour, parmi, avec, entre deux  et dans :

Autour de moi, tout ce monde, qui  circule,

Dans cette foule, je me sens seul et ridicule,

Parmi eux, ne me sens, en rien ressemblant.

PARMI,

Autour, parmi, avec, entre deux, et … dans :

Parmi  ceux, ou bien, celles, que  je rencontre,

Je me trouve affinités d’âges et tempéraments

Avec projets de vies qui ne me seraient contre.

AVEC,

Autour, parmi, avec, entre deux  et  …   dans :

Tant avec eux, je ferai un long bout de chemin

Qui me mène où, si je l’entreprends : très loin,

Pour mieux me rapprocher, d’eux … aimants.

ENTRE,

Autour, parmi, avec, entre deux et  …  dans :

Entre deux, l’union fait la paire d’amoureux,

Rendant le lendemain, mieux, bienheureux

A un point  d’envisager maison et enfants.

ET DANS 

Autour, parmi, avec, entre deux et dans :

En lui, en elle, il n’y a plus  de  mystère,

Il n’y a qu’un couple  qui tient, galère,

Jusqu’à leur rupture en les séparant.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Bouteille plastique d’eau

Bouteille  parfum genre flacon, 

Philtre d’amour  avec  bouchon

Pour provoquer des hallucinations.

.

619 4

.

Et le titre encore que 

Il peut s’agir d’un philtre d’amour

Provoquant hallucinations.

Philtre et hallucination seront proches

Pour ce qui est de fausse interprétation,

Ce qui rapproche un peu la forme et fond.

Rien à voir en apparence  avec le thème

 .

Symbolique 

 .

 

De tout temps,

 Les       femmes

Ont eu  recours

À    une     magie,

Aux rituels, spécifiquement,

À  un  philtre d’amour : potion.

Désormais, on étudie chimie de l’amour,

Et plus  encore notre chimie des sentiments :

La dopamine, l’ocytocine, sont deux substances

Chimiques sur lesquelles, selon les neurosciences,

Prennent appui ces phases relations amoureuses.

La dopamine, en particulier, déclencherait désir.

En d’autres termes, la science confirmera ce que

Savaient depuis la nuit des temps les magiciens

Et jeteurs  de sorts : il existe des substances

agissant sur sentiment potion d’amour.

Modifié, source : Revue Viversum

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

619 6

.

Rien à voir en apparence  avec le thème

 Et le titre encore que :

Il peut s’agir d’un philtre d’amour

Provoquant hallucinations.

.

Symbolique 

 .

Hallucination 

Est définie,

En psychiatrie,

Comme une perception

Sensorielle sans présence stimulus

Voir des objets physiquement absents,

Entendre voix sans que personne ne parle.

 .

Les hallucinations visuelles surviendraient

En état affectif euphorique extase mystique

Ou en état passionné  des visions  érotiques,

Ou pénible effrayant onirisme confusionnel.

 .

Hallucinations auditives  sont la perception

 de sons tels que bourdonnement sifflements

Et  parfois  même  de  musiques  ou  de voix

Inexistants, mais très clairement entendus.

wikipedia.org/wiki/Hallucination#Visuelles

 .

.

Fond/forme 

 .

Allo ciné et hallu ciné, proches phonétiquement

Le seraient parfois tout autant sémantiquement

Ne serait-ce que par fictions, par virtualisations

Dès lors qu’il s’agit de complexes manipulations.

.

On me cacherait la réalité  afin de  me faire voir

Des choses impossibles, ou de façon improbable

Hallu-ciné, hallu-cination, iraient bien de pair,

Tout autant autour, parmi avec, entre, dedans.

.

Textuels et illustrations  >>

618 – De voir ton image, ton apparence

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

L’image peut être

Fidèle,   brumeuse,

Apparence peut être

Réelle  ou trompeuse,

.

Mais  quoiqu’il en soit,

On y croit,  sans douter

Et dès les première fois,

Avec  le temps : précisé !

.

Sauf à être aveugle sourd,

L’image de son apparence,

Et l’apparence de son image

.

S’éclairerait  et  au grand jour

Devenant même  une évidence,

Entre leurs amours en partages.

.

De voir ton image, en apparence,

Je suis entré  comme  en  évidence,

Qu’il y avait, chez toi, transparence

De l’amour qui me mettra en transe.

.

De voir  tes   yeux  tous en  flammes,

Je suis entré  comme  dans  ton âme

Pour investir  ton regard, qui  clame

De le rejoindre   quand  il se damne.

.

De toucher ton corps,  ses rondeurs,

Je suis entré comme dans ton cœur

Qui m’a mis de suite dans l’humeur

De vaincre  ma timidité,  ma peur.

.

Et de sentir, de ton sexe, ardeur,

Y suis entré comme en chaleur

Jusqu’à me sentir être ailleurs

Ciel même parfait bonheur.

.

De respirer ta joie  à l’infini,

Suis entré en ta compagnie

Pour tisser le fil de nos vies,

Noué par toutes nos envies.

.

Extensions 

 .

Qu’est-ce qu’une image, une apparence,

Par rapport, à la personnalité,  à la réalité.

Quand se rejoignent-elles, se disjoignent-elles

Et comment faire la différence sur seule présence !

.

Quand apparence, transparence, font corps, ensemble,

Leur union n’en sera que plus grande, voire plus attirante.

Lors c’est le contraire, la déception n’en est que plus vexante

L’on ne peut s’en prendre qu’à soi-même : erreur de casting !

.

Le contact physique est souvent révélateur d’une harmonie

Ressentie comme naturelle ou comme une cacophonie

Perçue de manière artificielle, parfois après coup.

L’image et l’apparence prennent soudain  corps,

Passant l’épreuve de réalité et de magie, à la fois,

Partagée, ressentie comme telle d’un côté, l’autre.

.

Quand on se repasse le film, on se dit  alors :

Ah  oui, quand même, ah oui … c’était bien,

Ou de manière plus sournoise, c’était moyen,

Autre fois peut-être, à l’occasion, rien de plus !

.

Une femme dira peu si c’était bien, ou mal, pour elle,

Elle emploiera moyens plus subtils pour faire comprendre :

On arrête là, merci du voyage, moi je vais par ici et toi par-là !

.

Il ne faut pas se fier totalement aux apparences, dit-on !

Mais comment peut-on s’en prémunir, que faut-il en dire :

Toutes les choses, tous les êtres  ont une  ou des apparences,

Et celles des femmes seront plus changeantes que les hommes

Mais s’en plaignent-ils  vraiment et les femmes, en jouent-elles !

On peut gloser à l’infini  sur l’apparence, mais  il faut se rappeler

Que notre propre cerveau corrigerait  les perceptions de la réalité,

Qui ne sont pas  conformes, courantes, acceptables : est-ce piège ?

.

On dit souvent qu’apparence est trompeuse

Qu’il ne faut trop s’y fier : trop mensongère !

.

Tout n’est qu’apparence en première instance

Ce que je vois d’abord, je le vois avec mes yeux.

.

Ce n’est qu’en me référant  à mon interprétation,

Que je constate cohérence ou non avec intériorité.

.

Si les deux  convergent : rassuré, plus en confiance,

Je peux dès lors me livrer davantage sans méfiance !

.

Fragments 

.

L’apparence  de quelqu’un, quelqu’une,

Dit beaucoup de choses de lui, ou d’elle,

Mais loin s’en faut, elle ne dira pas tout,

.

Et, parfois, elle oblitère même l’essentiel,

Perdu à travers ses apparences multiples,

À confondre personne, personnage … fou.

.

Lors l’apparence  colle  à son image réelle :

On dit les deux combinent une adéquation

Apparence : transparence et personnalité !

.

Il peut en être  tout autant, de nos amours,

Légers en apparence, et profond en réalité,

Si ce n’est l’inverse, sans reflet, réciprocité.

.

Le sexe, la sexualité, l’attirance, le charme,

Peuvent être basés sur fausses apparences,

Créant l’illusion d’être  ou d’avoir été aimé.

.

D’une rare clarté : rien de tout cela  chez toi,

J’ai cru lire en toi comme en un livre ouvert :

L’expérience, la conclusion me donne raison.

.

S’il se trouve  que  je n’ai pas lu  le mot : «fin»

Est-ce une bonne  ou bien mauvaise aventure :

Je ne peux que croire en elle, pour qu’elle dure.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

L’image peut être

Fidèle,   brumeuse,

Apparence peut être

Réelle  ou trompeuse,

.

Mais quoiqu’il en soit,

On y croit,  sans douter

Et dès les première fois,

Avec le temps : précisé !

.

Sauf à être aveugle sourd,

L’image de son apparence,

Et l’apparence de son image

.

S’éclairerait et au grand jour

Devenant même  une évidence,

Entre leurs amours en partages.

.

De voir ton image  *    en apparence,

Je suis entré   * comme  *   en évidence,

Qu’il y avait    V   chez toi    T  transparence

De l’amour     O  qui me mettra   O   en transe.

De voir tes      I       yeux  tous en        N    flammes,

Je suis entré   R         comme dans          *      ton âme

Pour  investir  *           ton regard              A   qui clame

Le rejoindre    T             quand il                 P  se damne.

De toucher      O           ton corps et              P  rondeurs,

Je suis entré   N         comme dans              A   ton cœur

Qui m’a mis   *         de suite dans            R  l’humeur

De vaincre     I         ma timidité           E  ma peur.

Et de sentir   M      de ton sexe          N    ardeur,

Y suis entré  A      comme en         C    chaleur

Jusqu’à me  G   sentir être      E   ailleurs

Ciel même  E   parfait    !  bonheur.

De respirer ta joie  …   à l’infini,

Je suis entré en ta compagnie

Pour tisser le fil de nos vies,

Noué par toutes nos envies.

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une bouteille de vin Chianti

Objet d’art, vintage, d’avant-hier

Apparence de femme  sous forme

De  lampe  à  huile,   avec  sa  lumière.

.

  618 4

.

C’est vrai, les yeux embrumés peuvent

Occulter une apparence :

Oui mais, à ce point-là, tout de même,

Je suis loin d’être une lumière !

L’apparence et la transparence sont sœurs

Mais la lumière les distingue en tous contextes

Si bien qu’une bouteille vide et pleine d’eau pure,

Ne se ressemble bien que s’approchant dans le fond.

 .

Symbolique 

 .

Apparence

 Est    ensemble

De     messages

Je  vais émettre

Capter chez autre.

Su-per-fi-ciels  :  les

Vêtements et les modes,

Voitures,  maisons,  clubs

De sport et  les  clubs de vie,

Les   bijoux   et   les  parfums,

Les piercings  et  les tatouages.

Profonds : les métiers,  les choix

De groupes et opinions, uniformes

Officiels  et les codes vestimentaires

Qui nous rattacheraient à un groupe.

Personnels : les gestes  et les attitudes,

Les façons de marcher, le ton de la voix

Le choix  des mots, les positionnements.

lessymboles.com/ les-apparences-utilite-et-pieges

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

C’est vrai, les yeux embrumés peuvent

Occulter une apparence :

Oui mais, à ce point-là, tout de même,

Je suis loin d’être une lumière !

 .

Symbolique 

 .

La lumière est le symbole

De la vérité, la révélation, savoir.

Lumière est indissociable de l’ombre.

.

Tandis  que l’ombre symbolise les ténèbres

Et la mort, la lumière évoque la clarté et la vie.

.

Par analogie, l’ombre symbolise l’ignorance,

Tandis que la lumière représente la lucidité.

Aussi, l’expression Avoir besoin des

Lumières de quelqu’un illustre

Bien idée de connaissance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-lumiere.

 .

 .

Fond/forme

 .

L’apparence est loin d’être une évidence

Et ce n’est pas tant qu’elle soit trompeuse

.

Qui plus est volontairement faite pour ça,

Qu’elle aura besoin d’être mise en lumière,

Pour nous révéler sa vraie nature/matière.

.

Personne ne pourra échapper à l’attraction

Des apparences qui susciterait des illusions

Mais personne n’en demeurerait prisonnier

S’il s’en méfiera comme d’une part d’ombre.

.

Textuels et illustrations  >>

617 – Te serrer fort dans mes bras, contre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Serrer   contre,

Dans  mes bras,

Et te serrer pour

Notre bel  amour,

À sentir ton cœur

Battre … plus fort,

Sentir  ton souffle,

Sentir  tes formes,

Qui se  déforment !

.

Stimuler ton désir,

Stimuler ton plaisir,

Et ce jusqu’à en jouir,

Stimuler    ton énergie,

Stimuler         ton envie,

D’encore  recommencer.

.

Mais, si c’est trop simple,

Comme de dire «bonjour»

Ça ne marche pas tout coup .

.

Te serrer fort dans  mes bras,

Te serrer très fort  contre moi,

Épousant formes,  de ton corps,

Avec envie de faire qu’un, encore.

.

Sentir ta peau contre la mienne,

Ton cœur battre comme tambour,

Et laisser aller, quoiqu’il advienne,

L’union   reprogrammant    l’amour.

.

Lors il est des nuits et il est des jours,

Où tout est favorable à notre étreinte,

Mais, tout autrement, de nuits  cours,

Desquelles  abstinences,  refus,  feintes

.

Lors un   contact crée une onde, énergie,

Et qui, en même temps nous vide remplit,

Bien qu’il suffirait de se montrer  heureux

Pour que  le  processus  s’amorce  par  jeu.

.

Te serrer en  mes bras est tantôt  pour moi

Comme  un long discours  que  je te récite,

Avec mon corps et mes mains, mon émoi,

Témoins acteurs de l’amour très tacite.

.

Et tantôt   comme une pure mécanique

Qui par réflexe, te monte et te suscite,

Un vibrant hommage qui ressuscite

La femelle, en toi, que mâle pique.

.

D’où me vient cela : je ne sais pas,

Et à quoi me servent-ils : dis le moi :

Ce dont je suis sûr, ils s’adressent à toi,

Lors, sans toi, je ne suis qu’ombre ici-bas.

.

Extensions 

 .

Serrer fort en ses bras pour marquer l’intensité de l’affection.

Serrer fort en ses bras pour marquer émotion de la séparation.

Serrer fort en ses bras  pour marquer  forte attraction, sensuelle.

Serrer fort en ses bras pour marquer triste  émotion de séparation :

Autant de situations où on se plaque contre de manière consensuelle !

 .

Ne dit-on pas de danse corps à corps, entier,

Qu’elle est «collée-serrée» comme fusionnée,

Jusqu’à, parfois, avoir  comme  l’impression

Qu’elle ferait l’amour en sa virtuelle union !

.

Ce qui n’est que leurre en danse est réalité

Pour deux amoureux et cela sera vérifié,

Dans leur posture, leur geste et regard,

Jour contre joue : rien ne les sépare !

.

La nudité ajoute étendue de peau,

Se touchant, caressant à souhait,

Baiser  n’a plus rien  de surfait :

Quatre bras ne seront de trop.

.

Fragments

.

Serrer fort dans ses bras, contre soi,

Ne concernent pas que les amoureux :

Les enfants, les parents, les amis, jouets

Sont aussi des partenaires non amants !

.

Le geste le plus évident, entre amoureux,

Demeure le baiser sur les lèvres, français

Qui sera internationalisé, par le cinéma,

L’embrassement n’est qu’attachement !

.

Arrive embrassement soit engageant,

Surtout quand il dure long moment,

Entre amis étant demeurés séparés

Enfants après accident, retrouvés

.

Après l’embrassement et le baiser

Amants  se regardent  dans les yeux

Ils y perçoivent la lumière de leur désir

Commun à réaliser leur vœu, le plus cher.

.

En veux-tu, en voilà, des vœux, il y en aura

De toutes sortes, et de toutes importances :

Certains, privés, autres public ou solennels,

Une étincelle qui produit éclats d’existence.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Serrer   contre,

Dans  mes bras,

Et te serrer pour

 Notre bel  amour,

À sentir ton cœur

Battre … plus fort,

Sentir   ton souffle,

Sentir    tes formes,

Qui se    déforment !

Stimuler    ton désir,

Stimuler   ton plaisir,

Et ce, jusqu’à en jouir,

Stimuler    ton énergie,

Stimuler         ton envie,

D’encore  recommencer.

Mais, si c’est trop simple,

Comme de dire «bonjour»

Ça ne marche pas tout coup

Te serrer fort dans  mes bras,

Te serrer très fort   contre moi,

Épousant formes,      de ton corps,

Avec envie de ne faire qu’un, encore.

.

Sentir ta    T  peau contre la  D    mienne,

Ton cœur  E      battre comme   A   tambour,

Et laisser   *         aller quoiqu’il      N   advienne

L’union      S         reprogrammant         S   l’amour.

Lors il est   E          des nuits et il est           *  des jours,

Où tout est  R            favorable à notre           M    étreinte,

Mais tout    R           autrement de nuits           E    au cours

Desquelles   E            abstinences, refus,            S        feintes

Lors tout     R          contact crée une onde          *     énergie,

Et qui, en     *       même temps nous vide        B     remplit,

Bien qu’il     F      suffirait de se montrer        R    heureux

Pour que le  O       processus  s’amorce        A     par jeu.

Te serrer en  R     mes bras est tantôt      S    pour moi

Comme un   T    long discours que je   *    te récite,

Avec mon       corps et mes mains,     mon émoi,

Témoins,    acteurs de l’amour    très tacite.

Et tantôt   comme une pure   mécanique

Qui par réflexe, te monte et te suscite,

Un vibrant hommage qui ressuscite

La femelle, en toi, que mâle pique.

D’où me vient cela : je ne sais pas,

Et à quoi me servent-ils : dis le moi :

Ce dont je suis sûr, ils s’adressent à toi,

Lors, sans toi, je ne suis qu’ombre ici-bas.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Peut- être un chat accroupi,

Ou une bouteille de vin Chianti

Objet d’art, vintage, d’avant hier

Lumière d’une lampe à vœux.

.

617 4

.

Tant que leur lumière durera,

Leur amour subsistera 

Tel un vœu que chacun formulera

Pour l’autre, en ses bras.

 .

 Symbolique 

 .

L’intensité

De lumière

Est une grandeur

Qui exprime la capacité

À éclairer d’une source ponctuelle

De lumière dans une direction donnée.

.

Dans  un environnement  plus obscur,

La vision humaine ne distingue plus

Les couleurs,  sensibilité  spectrale

Relative est décalée vers le bleu.

On parle de vision scotopique.

.

Entre  les  deux  domaines

De luminosité, on parle

De vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

.

 .

Fond

 .

Évocation

.

617 6

.

Tant que leur lumière durera,

Leur amour subsistera 

Tel un vœu que chacun formulera

Pour l’autre, en ses bras.

 

Symbolique 

 .

1571, Maurice De  La  Porte

Offre aux poètes renaissance

Des adjectifs  dont ils peuvent

Orner  tous vœux … tout vœu.

 

Peut être : «humble,    solennel,

Prémédité,  inviolable,   promis,

Divin,   verbal,   juré,    accompli,

Excessif, rendu, suppliant, désiré,

 

Immortel,   publique,    téméraire,

Dévotieux,    réclamé,    obligeant,

Utile, inutile,  irrévocable,  saint,

Prodigue, religieux, volontaire».

lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-

mots/pourquoi-faites-vous-des-voeux.

 .

.

Fond/forme 

 .

La lumière est à la fois, ce qui éclaire

Et ce par quoi les choses sont éclairées.

Voilà bien une définition  des plus claires,

Émanant de dictionnaire  qui est concerné,

.

Auxquelles  on  peut ajouter,  par métonymie,

Éclat regard intérieur, éclat d’existence brillant

Ou alors éclaircissement faisant bien comprendre

Par autre information, un exemple,  raisonnement.

.

Ai-je été assez clair avec mes lumières dans ce débat.

Arrive que si on serre fort quelqu’un d’aimé en ses bras

On perçoive comme une étincelle dans ses yeux brillants.

.

Textuels et illustrations  >>

616 – Ce n’est pas que tu sois… promesse !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Promesse : un mot qui nous

Rend  confiance, en l’autre,

Un mot qui nous projette,

En certitude de l’avenir,

Comme des fiançailles,

Pour de futurs mariés.

La pleine connaissance,

Est la valeur qui balance,

Qu’erreur est  impensable,

Tant ton âme est charitable

Bien que je reste ton diable,

Et bien que tu sois serpent,

Lors, ta langue  m’enfume,

De paroles, me disputant

Lors non irréprochable,

Que l’amour assume.

Pardon est action,

Qui nous évitent

L’humiliation,

Rédhibitoire

Re-col-lant

Morceau.

VVV

V

Ce n’est pas que tu sois promesse,

Ni à  première vue la bonne adresse,

Pour une émotion et sensation forte

Lorsque  je viens frapper à ta porte.

Pour te connaître pour te fréquenter

 Tant elle me force à chercher, adopter

Petit  supplément de ton âme, épurée

Comme la mienne et comme jumelée.

Bien  au-delà  de  toute  connaissance

Intime d’un corps, chacune des pores,

Je plonge en abîme de mes jouissances

Qui me font perdre  le Sud   et  le Nord.

Les mêmes gestes, mêmes mouvements,

Mille fois répétés, et parfois, réinventés,

N’entameront et en rien ma folle félicité

D’être  tout  contre, ton cœur, d’amant.

*

Je sais : tu vas me  dire que j’exagère,

Que tu te sais être diablesse ou vipère

Durant l’amour tu deviens plus incise

Et tout autant que conquise, exquise.

Y a plus, d’avant, y a  plus  de pendant

Pas plus,  d’après qu’un  pur  instant,

Où mon bonheur devient si constant,

Qu’il en est muré en nouveau  néant.

.

Extensions 

 .

Ce n’est pas que tu sois promesse,

Ce n’est pas  que  tu  sois … déesse,

Ce n’est pas que tu sois … poétesse :

Simplement je peux projeter sur toi

Notre grand projet de vie commune.

.

Parfaite, en tous points, tu ne l’es point,

Je devine, je suppose, je suppute.

Comme dans un bon nombre de couples,

Nous aurons de sévères disputes.

.

Ce n’est pas cela qui me rebute si tant est

Que nous puissions les dépasser,

Si ce n’est à bien en reparler sur l’oreiller,

Se pardonnant tout ou presque

Pour peu qu’on ne se sente pas humilié.

.

C’est là toute la magie de l’amour

De réparer l’irréparable tandis que le

Moindre grief pourrait séparer

Des inséparables pour la famille ou

Pour l’amitié, faits pour durer.

.

La répétition peut réparer ou casser

N’importe quelle union, par effet

De seuil, de sommation, de limite

À ne pas franchir, tout autant que

Par orgueil à ne pas perdre la face.

.

 «Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent»

Slogan promu par un candidat politique aux élections

Mais le problème se pose quand elles sont réciproques,

Celui qui écoute deviendra un émetteur par réciprocité

Et dès lors un pacte est engagé, pour ne pas dire : signé

Fausse promesse, honorer sa promesse, ne pas  la tenir,

Autant d’expressions de la vie courante  et relationnelle,

Sans compter de contrat dans le commerce, la politique,

En amour, on ne peut rien promettre pour la vie entière.

.

Assurance, engagement, parole, serment.

Constitueront autant d’équivalents de promesse.

Abandon, désengagement, parole non tenue, parjure,

Le contraire, ce qui abolit, rapidement, toute confiance.

.

Il fut un temps, et cela reste encore vrai dans certains pays,

Qu’une promesse publique de mariage, fiançailles ou autres,

Engageait les deux futurs conjoints et si l‘un d’eux se dédisait

Il devait un dédommagement à l’autre sous forme monétaire !

.

Fragments

.

Pour nombre de politiciens, promesses

N’engagent que ceux qui les écoutent.

.

En moins radical,  plus compréhensif :

N’engageraient que ceux qui y croient.

.

On aimerait qu’il en soit tout autrement :

Engageront tous ceux qui les  prononcent.

.

Faire l’amour ensemble, n’est pas promesse,

Cela pourra être juste  une histoire de fesses.

.

Dès lors que sexe et parole ne sont en rien liées,

Il vaut mieux s’en tenir à  un vague attachement.

.

De toucher du bois, et de fendre du bois,  supposait

En Grèce et Rome antique, des sacrifices expiatoires

.

Il n’y a pas si longtemps, fiançailles et bague diamant

Instauraient une promesse de mariage avec un contrat

.

Si le futur mari se départi, il devra compenser son vœu,

Par de l’argent, et ce qui n’est pas le cas des politiciens !

.

Aujourd’hui, la promesse de mariage, ressemble plutôt,

À celle politique, on dit que … tant que, ça ne vaut rien.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

.

Promesse : un mot qui nous

Rend  confiance, en l’autre,

Un mot qui nous projette,

En certitude de l’avenir,

Comme des fiançailles,

Pour de futurs mariés.

La pleine connaissance,

Est la valeur qui balance,

Qu’erreur est  impensable,

Tant ton âme est charitable

Bien que je reste ton diable,

Et bien que tu sois serpent,

Lors, ta langue  m’enfume,

De paroles, me disputant

Lors non irréprochable,

Que l’amour assume.

Pardon est action,

Qui nous évitent

L’humiliation,

Rédhibitoire

Re-col-lant

Morceau.

VVV

Ce n’est pas que           V        tu sois promesse,

Ni à  première vue       P       la bonne  adresse,

Pour une émotion        A        et sensation forte

Lorsque  je viens          S      frapper à ta porte.

Pour te connaître         *      pour te fréquenter

 Tant elle me force        Q      à chercher, adopter

Petit    supplément      U      de ton âme épurée

Comme la mienne       E     et comme jumelée.

*

Bien au-delà de             T      toute connaissance

Intime d’un corps         U      chacune des pores,

Je plonge en abîme       *       de mes jouissances

Qui me font perdre       S      le Sud   et  le Nord.

Les mêmes gestes,        O      même mouvement,

Mille fois répétés,          I       parfois, réinventés,

N’entameront et en      S     rien ma folle félicité

D’être tout contre,        *      ton cœur, d’amant.

*

Je sais : tu vas me        P       dire que j’exagère,

Que tu te sais être        R      diablesse ou vipère

Durant l’amour tu        O       deviens plus incise

Et tout autant que       M      conquise,  exquise.

Y a plus, d’avant, y       E      a  plus  de pendant

Pas plus,  d’après         S     qu’un  pur  instant,

Où mon bonheur          S     devient si constant,

Qu’il en est muré          E      en nouveau  néant.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une bûche de bois

Avec un gros coin

Pour la fendre 

comme sexe !

.

616 4

.

Lors, pour tout dire, une bûche de bois

 Ça vous en bouche un coin,

On ne manquera pas de trouver quelque

Allusion directe au sexe.

Bûche, coin, fendre, l’allusion

Au sexe ne sera pas très éloignée

Mais pas obligatoire au bucheron,

On s’en approche, pas jusqu’au fond.

 .

Symbolique 

 .

Le bois est associé              à la nature et au feu.

Aussi, on lui attribuait          certains pouvoirs.

D’ailleurs, l’expression       « Toucher du bois »

Serait tirée de cette croy   ance populaire.

Grèce  et  Rome  antiques,   certains bois

N’étaient consacrés qu’à des   divinités

Et chaque dieu avait son bois sacré.

Aussi, il était interdit  de  couper

Des arbres  en ces bois sacrés,

Sans procéder au préalable

À  sacrifices expiatoires.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-bois.html

.

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Fond

 .

Évocation 

.

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Lors, pour tout dire, une bûche de bois

 Ça vous en bouche un coin,

On ne manquera pas de trouver quelque

Allusion directe au sexe.

 .

Symbolique 

 .

Il est clair que les hommes

Sont mammifères complexes.

L’excitation sexuelle n’est  pas

Uniquement  liée à  des  stimuli

Sen-so-riels         du  sexe  et ne

Conduirait            pas forcément

À tout acte             sexuel      sans

Intervention        de ses pensées

Et des émotions heureusement

 .

Quant aux fondements de l’excitation

Sexuelle chez la femme, tout reste à faire.

Et alors on pariera,  aisément, que

C’est encore plus compliqué…

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

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Fond/forme 

 .

Fendre du bois, quel que soit le manche

Et la cognée ne sera pas pénétrer un sexe,

 En tas cas, ni en douceur, ni en profondeur !

.

Il n’y aura pas de promesse de plaisir partagé

Dans aucun acte sexuel rapide, brutal et forcé.

.

Toute promesse se situerait, de toute manière,

Au niveau du désir, anticipation, non plaisir :

Promesse n’est pas adresse de paire de fesses

Est celle d’un amour, consommé tendresse.

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