1138 – Croyance et certitude, autant d’erreur !

Voir prose et illustrations

.

Je crois en mes certitudes

Suis certain de mes croyances

Et  je ne changerai pas  d’habitudes

Pour  renouveler  mes  connaissances.

Nombre de certitudes sont des erreurs

Et nombre de croyances, tout autant !

Si la vérité est une erreur, sans cesse,

Corrigée, on ne l’atteindra jamais !

Voilà  qui est dit, et, vrai ou faux,

Tant pis pour les esprits carrés

Ils auront carrément tort

De se donner raison.

.

Quand on voit ce que l’on … voit,

Et qu’on entend ce que l’on…entend

On a raison de penser ce qu’on pense !

Qui n’a entendu ce dicton raisonnement,

Absurde, vide, et illogique, au demeurant.

.

Mais qui prétend autant mettre en balance

Le pour et le contre, avec  l’après, et  l’avant,

Même si, les  choses, hélas, on ne les  perçoit,

Qu’à travers propres prismes, les déformants,

Qui font qu’elles seront faussées en les voyant.

.

Pour pouvoir construire une pensée autonome,

Pour ne pas se faire manipuler, entre  hommes,

Il faudrait d’abord apprendre, mon bonhomme,

Que l’on peut tromper tout le monde, en somme.

.

D’abord, il y aura les informations, non vérifiées,

Tant gros mensonge est moins dur à faire passer,

Qu’un petit en étant vraisemblable, non douteux,

Car journaux en font, parfois, choux gras, juteux.

Ensuite ce ne sera pas parce qu’elle est … relayée

Par autres qu’elle est juste, voire, moins erronée,

Après, on trouve : des faits, avis, contradictoires,

De gens qui minimisent et refont toute l’histoire,

Vous disent « croyez-moi » persuadant  à croire,

Qu’il est inutile  de vérifier sources : sans espoir.

.

Enfin propagande  et manipulation s’instaurent,

L’information est dévoyée, détournée, plus fort.

Gens à Paris font la queue  devant les magasins,

Dit la Pravda, en Occident, ils meurent de faim.

Agrandissez le cadre de la photo, et, vous verrez

Il ne s’agit que de banale queue devant cinéma !

.

De même l’enfant de Gaza qui court dans la rue,

Les bras levés au ciel et le visage semblant rieur,

Il symbolise la liberté d’être vivant,  être ailleurs,

Vous n’y êtes pas…derrière, un soldat tire, le tue.

.

Pour finir, et peut-être pire, car c’est vous-même,

Votre conscience, votre certitude, et votre raison,

Ne perçoivent ou ne traitent plus les informations

Gomment ou interprètent, entre les lignes mêmes,

D’un léger doute inquisiteur, la certitude extrême !

 .

.

Extension

 

.

 

Pour finir et peut-être pire

Car c’est vous-même, votre conscience,

Votre certitude et raison, qui ne perçoivent

Ou ne traitent plus les informations, gomment

Interprètent entre les lignes mêmes, d’un léger

Doute inquisiteur, même la certitude extrême.

.

J’ai cru que c’était  « lui ou moi » !  Il est vrai

Que je n’ai pas vu « son arme » mais  cela ne

Prouve en rien  qu’il n’ait  pas eu l’intention

De me tuer, qu’en serait-il de moi, si je ne

M’étais pas défend, si je n’avais pas agi

Pour ma patrie, si je n’avais pas

Obéi aux instructions.

 .

Aveux du coupable font office de certitudes, en justice !

Faut-il encore qu’ils ne soient pas faits, sous contrainte.

Si, les erreurs judiciaires ne sont pas nombreuses, en soi,

Une seule erreur est toujours de trop comme un seul mort.

Quant à  réparer son erreur, la justice y rechignera, de peur

De se décrédibiliser elle-même, ainsi  que le jury, souverain :

Un faisceau d’indices  qui concordent en l’absence de preuves,

Fera l’affaire et c’est quitte ou double : acquitté ou condamné !

.

Les cas des homicides involontaires,

Confondus parfois avec autodéfenses

Est révélateur des réalités contraires :

.

Je ne voulais pas, c’est lui qui a glissé,

Qui s’est cogné lors je l’aurai repoussé.

.

Ou encore c’était lui ou moi, je n’ai fait

Que résister à son agression… mortelle.

.

N’étant pas ni policier judiciaire ni juge

Je n’ai pas à me prononcer sur le verdict.

.

Je sais que  ces situations  peuvent exister

De fausses preuves peuvent être apportées.

.

1138 –  Calligramme

Je crois en mes certitudes

Suis certain de mes croyances

Et  je ne changerai pas  d’habitudes

Pour  renouveler  mes  connaissances.

Nombre de certitudes sont des erreurs

Et nombre de croyances, tout autant !

Si la vérité est une erreur, sans cesse,

Corrigée, on ne l’atteindra jamais !

Voilà  qui est dit, et, vrai ou faux,

Tant pis pour les esprits carrés

Ils auront carrément tort

De se donner raison.

CROYANCE

Quand on voit ce que l’on … voit,

Et qu’on entend ce que l’on…entend

On a raison de penser ce qu’on pense !

Qui n’a entendu ce dicton raisonnement,

Absurde, vide, et illogique, au demeurant,

Mais qui prétend autant mettre en balance

Le pour et le contre, avec  l’après, et  l’avant,

Même si, les  choses, hélas, on ne les  perçoit,

Qu’à travers propres prismes, les déformants,

Qui font qu’elles seront faussées en les voyant.

ET CERTITUDE 

Pour pouvoir construire une pensée autonome,

Pour ne pas se faire manipuler, entre  hommes,

Il faudrait d’abord apprendre, mon bonhomme,

Que l’on peut tromper tout le monde, en somme.

D’abord, il y aura les informations, non vérifiées,

Tant gros mensonge est moins dur à faire passer,

Qu’un petit en étant vraisemblable, non douteux,

Car journaux en font, parfois, choux gras, juteux.

EN AUTANT

Ensuite ce ne sera pas parce qu’elle est … relayée

Par autres qu’elle est juste, voire, moins erronée,

Après, on trouve : des faits, avis, contradictoires,

De gens qui minimisent et refont toute l’histoire,

Vous disent « croyez-moi » persuadant  à croire,

Qu’il est inutile  de vérifier sources : sans espoir.

Enfin propagande  et manipulation s’instaurent,

L’information est dévoyée, détournée, plus fort.

Gens à Paris font la queue  devant les magasins,

Dit la Pravda, en Occident, ils meurent de faim.

Agrandissez le cadre de la photo, et, vous verrez

Il ne s’agit que de banale queue devant cinéma !

D’ERREURS 

De même l’enfant de Gaza qui court dans la rue,

Les bras levés au ciel et le visage semblant rieur,

Il symbolise la liberté d’être vivant,  être ailleurs,

Vous n’y êtes pas…derrière, un soldat tire, le tue.

Pour finir, et peut-être pire, car c’est vous-même,

Votre conscience, votre certitude, et votre raison,

Ne perçoivent ou ne traitent plus les informations

Gomment ou interprètent, entre les lignes mêmes,

D’un léger doute inquisiteur, la certitude extrême !

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1138 4

.

Une silhouette en robe

Représentant un religieux

Ou bien officier de justice 

Si ce n’est là une erreur.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche  ici de forme)

.

La Justice craint l’erreur judiciaire

jugement témoins, aveux, preuves

comme elle ne peut s’en départir

la forme évoquera bien le fond.

.

Homme de  justice avec ses lois, évoque

Une attitude  judiciaire  de certitude :

Peut-il s’abstraire de ses croyances,

De ses analyses et de ses opinions.

 .

Symbolique

.

La Justice est représentée

Par déesse grecque Thémis,

Fille  d’Ouranos  et de Gaïa.

La première épouse de Zeus

Qui représentait la justesse

Divine de  la Loi,  des lois.

Une allégorie de la Justice

Et du Droit, elle personnifie

Permanence  et  impartialité,

En veillant au bon rapport des

Dieux et des hommes entre eux.

La déesse Thémis est représentée

Avec balance, glaive, et bandeau,

.

 .

Fond

.

Évocation

.1138 6

.

Un tel  juge, avec ses lois, évoque

Une attitude judiciaire de certitude :

Peut-il s’abstraire de ses erreurs,

De ses analyses et de ses opinions.

.

Symbolique   

 ..

L’erreur est humaine.

L’évidence semble ici tenir lieu

De truisme car de qui d’autre

Que l’humain voudrait-on

Que l’erreur fût la production ?

 .

Si l’affirmation paraît évidente

On finirait par croire à l’inanité d’une réponse,

C’est qu’elle dissimule tout un fond de significations qui,

Loin de se dévoiler dans la dénotation  de son expression,

Reste sous-entendu  dans  une connotation  symbolique.

 ..

La formule est évocatrice d’une sorte d’arrière-monde

Qui, par ses règles et ses valeurs, pourrait avoir

Pour le monde réel des fonctions précises.

philosopher-ensemble.fr/213807028

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un juge tranche entre vrai et le faux

Entre l’innocence et la culpabilité,

Et prétendant ne pas se tromper

Dès lors appliquant lois votées

Mais les lois se contredisent

Et les faits sont orientés

Il faut bien trancher :

Justice des pauvres,

Se défendant fort mal

Contre riches : assistés !

 .

.

.

Erreur de croire que l’alcool va…

.

Scénario

 .

Il y a du flou à l’intersection entre vérités et croyances.

Données brutes vers informations vers connaissance exacte.

Il y aurait comme une erreur dans l’inscription de … l’erreur !

.

Voir prose et illustrations

.

1124 – A part les enfants, qui croit aux contes

Visuels et textuels  >>

.

Enfants croient aux contes

Parce  qu’ils  ont  besoin

En vue  de  se structurer

Leur double imaginaire

Comportant des niveaux

L’un   de compréhension,

Et le second sur la logique,

Et de passer de l’un à l’autre

Les fait grandir dans leurs têtes.

Ils croiront sans y croire vraiment,

Et, si vous dites   qu’ils sont  faux,

Vous les privez de leur jugement.

.

Qui croit  encore aux  contes,

Les jeunes enfants, et  encore,

Si vrai que tout ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

.

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Extensions

 .

Le « compte » y est,

Même si le « conte » y est,

Dans une histoire de «comte»

Telle que  celle de : Dracula !

Un simple jeu sur les mots,

Bien évidemment,

Mais qui en dit long

Sur séries n’en finissant pas.

Le besoin de se projeter, vivre

Par procuration est infini

Dans l’enfance

Où l’imagination est reine.

.

Conte vous raconte,

Et c’est ce qui compte,

Celui d’héros qui affronte

Un roi ou une méchante,

Ou sauve  une héroïne,

Qu’on nomme Prince

Et elle, Princesse

Vous tient en haleine

Par toutes leurs peines,

Ce jusqu’au « happy end »

Vrai ou faux est d’importance

Mais surtout  pour leur morale :

Les gentils vaincront les méchants

Même si c’est pas vrai tout le temps.

.

Psychanalyse des contes de fées est

Un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976.

 «Écrit pour aider les adultes, et plus spécialement

Ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre

 L’importance des contes de fée»

.

Grands thèmes comme le complexe d’Œdipe

Ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants,

Ces contes répondent aux angoisses des enfants

 En les informant sur leurs épreuves à venir,

Efforts à accomplir avant leur maturité.

.

Inspiré de l’article  dans Wikipédia

.

.

1124 –  Calligramme

.

Q              T

Enfants     U   croient   N  aux contes

 Parce qu’ils  I                            A    ont besoin

En vue de se   *                                F      structurer

Leur  double    C                                    N     imaginaire

Com-por-tant   R                                      E     des  niveaux

L’un   de com     O                                      :       pré-hen-sion,

Et  le  second      I                                     S     sur la logique,

Et   de   passer     T                                E    de l’un à l’autre

Les fait grandir   *                            T  dans  leurs  têtes.

Ils croiront sans  A                     N y croire vraiment,

Et si vous dites  U             O  qu’ils sont faux …

Vous les privez X      C  de leur jugement.

.

Qui     croit      encore      aux      contes,

Les     jeunes    enfants   et   encore,

Si vrai que tout  ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1124 4

.

Un long parchemin

Avec une belle histoire

De conte à raconter 

Tel celui de Cendrillon

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

 Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois…

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

 .

Symbolique

 .

Conte est récit court

Qui est destiné à distraire,

Inspiré de faits réels, historiques,

D’aventures purement imaginaires.

.

Le conte principal est de fée, merveilleux,

Mais il en existe d’autres, apparues après.

Le rêve, la fantaisie, l’absurde, l’humour

Élargissent les thèmes en imaginaire

Et irrationnel dans lequel l’enfant

Investit… ses…  propres … rêves.

.

Andersen introduit un merveilleux

Quotidien où objets et nature s’animent

Pour faire vivre une féérie riche d’émotions.

Ainsi, Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

.

.

Fond

 .

Évocation .

1124 6

.

Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois Cendrillon

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

.

Symbolique 

.

Le saviez-vous ?

La première trace écrite

De Cendrillon et ses sœurs jalouses

Apparaît dans un manuscrit chinois

Qui serait vieux de trois mille ans.

Pourquoi des histoires anciennes

Qu’on peut les croire désuètes,

Inadaptées à notre époque,

Nous parlent-elles encore autant ?

.

Elles  reflèteraient  nos   structures

Psychiques les plus fondamentales.

Bien loin de l’esprit  d’une  simple

« Littérature enfantine », contes,

Mettant, en scène, fantasmes,

Apportent, à leur manière,

Solutions de problèmes.

psychologies.com/Culture/Savoirs

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

.

Tous les enfants aiment les contes,

Que parents, amis, leurs racontent

Mais ils savent qu’ils sont inventés

Ils font mine d’y croire lors jouant

Sur les deux tableaux,  vrai et faux

Les romanciers, voire les politiciens,

En raconteront  d’autres  aux adultes,

Auxquels ils adhéreront  en disant non :

L’inconscient prend le pas sur le conscient.

 .

.

Petit côté Walt Disney !

.

Scénario

.

Pour un conte, que l’on raconte,

ça commencera, toujours, comme ça,

et ça finira, souvent, trop bien ou trop mal.

 .

Visuels et textuels  >>

1120 – Faut-il croire en son étoile pour lever le voile !

Visuels et textuels  >>

.

Comment ne pas croire en son étoile !

Il y en a tant,  en l’Univers sombre,

Que de les compter  en nombres,

Impossible, incommensurable

Mais  la mienne  existe  bien,

La mienne, me suit, de loin,

Et j’ai sa lumière en ma tête,

Sinon je serais triste…et bête.

.

Elle me préserve de l’ignorance

Que la Terre est sans importance

L’on peut juste y faire abondance

D’idées pour chasser souffrances !

.

Faut-il alors croire en son étoile

Pour oser enfin lever le voile

Sur une œuvre, sur une toile,

Mais qui vous dévoile,

Nu  et paraître orné

D’une belle qualité,

Qui fait de vous, rêver

D’être doué en créativité.

.

Et si vous ne l’étiez pas

Votre ombre survivra,

Matière de vos pas

Et vous bercera

D’illusions… nées

De pensée insensée

Qu’il suffit de l’espérer

Pour être auteur à succès.

.

Succès, échec confondent

Votre vitalité, en ondes,

Cachent, pudibondes,

Intérieur monde.

.

Croire en son étoile

Persistante, géniale :

C’est oser…diagonale

De fou, extraterritoriale.

.

Telle curiosité, me mène

Aux confins   d’un poème,

Où les vertus de mes peines

Me ramène  au …   je t’aime !

.

Je t’aime, non pas moi,  l’autre

Lecteur d’un labyrinthe … vôtre,

Où on se perd, se retrouve, apôtre

De vérité en laquelle  on se vautre.

.

Entre oser dire la vérité toute nue,

Et fabriquer un mensonge éperdu,

Seule la croyance sera un fil ténu,

Pour les distinguer, entr’aperçus.

.

.

Extensions

 .

Il faut croire en son étoile,

Étoile étant pris au sens figuré,

Car un étoile, lors on la voit, en ciel

Est morte depuis des millions d’années,

On en perçoit que la lumière et nous-mêmes,

Un jour, ce sera pareil, pour la planète Terre.

L’étoile est en nous, sa lumière nous éclaire

Pour voir, avec notre esprit, les confins

De spiritualité, les limites destinées.

.

La dernière, ultime, source de lumière,

La nuit, quand la Lune ne nous transmet plus

Le reflet du soleil comme la parabole qui tourne

Et il y a l’étoile polaire qui nous indique le nord,

Et bien d’autres qui constellent le ciel, en voûte,

Ce ne seront pas les mêmes au Nord et au Sud,

Aujourd’hui, ou hier, et, il y a  cent mille  ans !

.

« Ah,  lui,  il  est  né  sous  une   bonne   étoile »,

Dit-on, de quelqu’un qui aura  de la chance,

Facilité du succès dans ce qu’il entreprend.

Qui n’espère pas faire partie  de ceux-là.

Cela veut dire aussi qu’il en existerait

De mauvaises …  quelle malchance

Tout de même, injustice même !

.

Enlever son voile n’est pas lever le voile sur son étoile

Découvrir voile n’est pas voir son corps nu, ou sa tête,

Le voile ici est à prendre au sens figuré, hors un visage

Il s’agit d’une connaissance  d’étoile, qui nous échappe,

Et qui, dans son mystère, ferait  référence à notre Terre.

Les astronomes  découvriront, de plus  en plus, d’étoiles,

Et ça ne me dit pas, quelle est  la mienne,  si elle existe !

Mais quand même, quand on a beaucoup de réussites,

On peut y croire : «né sous une bonne étoile», dit-on.

.

Certains prétendent que le sens

De notre vie est dans les étoiles ;

D’autres, qu’il est inscrit en nous,

En réalité, on le cherche  partout !

.

Lever le voile suppose qu’il y en a un

Lors à vrai dire, l’on n’en sait trop rien.

Au final, on ne peut guère se déterminer

Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles !

.

C’est la position d’un sage, qui sait qu’il ne peut

S’extraire de sa propre réalité, réalité environnante,

Qu’il ne peut tout autant s’en satisfaire en conscience :

Connaissance, science n’apportent qu’une part de vérité !

.

.

Épilogue

.

On vous dit : être né sous une bonne étoile,

Sans préciser au sens propre ou sens figuré.

Au sens  propre,  difficile à  croire : mortes !

Au sens figuré,  on vous laisse l’interpréter !

***

Pour lever le voile en quoi : lumière, ombre,

Lumière céleste voire ombre de vous-même.

Quelque chose de mort, devenu une lumière,

C’est que l’on dira de nous, a près avoir vécu.

***

Cela voudrait-il dire que : tout  est  bien relié,

Que les étoiles  et moi, suivront même destin,

Un simple voile  de connaissance nous sépare.

***

«Divine révélation» : ce ne serait pas  le ciel  qui

Tombe sur notre tête, nous qui montons vers lui,

Cela suppose qu’on ait un bel élan de spiritualité.

***

Mais alors, ceux qui n’en auront pas, ou  iront-ils :

Dans un grand «trou noir» en grande constellation

Voilà qui interpelle, c’est  pour le moins, troublant !

***

Expression les pieds sur terre, la tête dans les étoiles,

Évoquera assez bien notre sort  distinct des animaux,

Encore qu’on l’emploie plutôt pour poètes, mystiques,

Ne me réclamant ni d’un, autre que suis-je, en réalité !

.

.

1120 – Calligramme

 .

I L   ME    F A U T     C R O I R E

  Comment ne pas croire en son étoile !

Il y en a tant, en l’Univers sombre,

Que de les compter en nombres,

 Impossible, incommensurable

Mais la mienne existe bien,

    La mienne, me suit, de loin,

        Et j’ai sa lumière en ma tête,

             Sinon je serais triste…et bête.

                  Elle me préserve de l’ignorance

                        Que la Terre est sans importance

                           L’on peut juste y faire abondance

                               D’idées pour chasser souffrances !

.

                        EN  MON  ÉTOILE, POUR

                              Faut-il alors croire en son étoile

                          Pour oser enfin lever le voile

                              Sur une œuvre, sur une toile,

                    Mais qui vous dévoile,

               Nu ; paraître orné

                  D’une belle qualité,

                        Qui fait de vous, rêver

                              D’être doué en créativité.

                           Et si vous ne l’étiez pas

                          Votre ombre survivra,

                    Matière de vos pas

               Et vous bercera

              D’illusions nées

                  De pensée insensée

                      Qu’il suffit de l’espérer

                          Pour être auteur à succès.

                        Succès, échec confondent

                  Votre vitalité et ondes,

             Cachent, pudibondes,

         Un intérieur monde.

.

       LEVER  LE VOILE  

     Croire  en  son  étoile

   Persistante,  géniale :

 C’est oser…diagonale

   De fou, extraterritoriale.

Telle curiosité, me mène

Aux confins   d’un poème,

Où les vertus de mes peines

Me ramène  au …   je t’aime !

Je t’aime, non pas moi,  l’autre

Lecteur d’un labyrinthe … vôtre,

Où on se perd, se retrouve, apôtre

De vérité en laquelle  on se vautre.

Entre oser dire la vérité toute nue,

Et fabriquer un mensonge éperdu,

Seule la croyance sera un fil ténu,

Pour les distinguer, entr’aperçus.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1120 4

.

Une forme de voile

Et qui flotte bien au vent

Et cacherait quelque chose, 

Comme mystère, ou destinée ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le voile est comme un brouillard

entre soi et les choses, êtres, idées,

il cache ce qu’il nous faudra révéler

en ce sens sa forme épouse son fond.

.

.

Lever son voile, vaste programme

Et surtout sur son étoile :

Ce, d’autant que le lien, avec elle,

N’est pas des plus évidents.

.

Symbolique

.

Hijab veut dire en arabe,

Ce qui sépare deux choses.

On doit parler aux femmes

Derrière un voile.

 .

Il signifie

, selon qu’on le met

Ou qu’on l’enlève, la connaissance

Cachée ou révélée.

  .

Prendre le voile,

Dans la tradition chrétienne monastique,

C’est se sépare du Monde : truchement  et

Obstacle à la fois, le voile, ne cachant qu’à

Demi, invite à connaître : toutes coquettes

Le savent depuis que le monde est monde.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1120 6

.

Lever son voile, vaste programme

Et surtout sur son étoile :

Ce, d’autant que le lien, avec elle,

N’est pas des plus évidents.

.

Symbolique de fond

.

Le fait de cacher ses cheveux

Peut, en des contextes, être considéré

Comme le signe d’une éducation convenable.

.

« Sortir en cheveux », tête-nue, marque de désinvolture

Pour une femme, de piètre extraction, de « mauvaise vie »

.

Dans les années 60 les femmes françaises milieux populaires

Mettaient un voile sur leurs cheveux, en dehors quartier,

Ainsi qu’en témoignent des reportages d’époque.

Source : Wikipédia

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le voile est une projection, une figuration

De son destin personnel en son libre-arbitre

Mais ce n’e serait là autre qu’une croyance

Qu’une bonne, ou mauvaise, étoile nous

Gouverne tout au long de notre vie

Etoile est  astre, hormis planète

Continuant émettre lumière

Alors qu’elle est morte

Comment dès lors

Elle rayonne

Sur nous

Non

V

 .

.

Flot d’étoiles sur un voile.

.

Scénario

  .

Là-bas dans le fond, par le télescope,  j’ai cru  apercevoir  mon étoile :

quelque part entre Pluto et Charon, et c’est non loin de Nix et de Hydra

 Mais on me dit que je ne peux voir que sa lumière car elle est morte !

 .

Visuels et textuels  >>

1116 – Sûr que tout le monde ne pense pas comme moi

Visuels et textuels  >>

.

Pensée universelle, impensable.

Ce serait, d’ailleurs, détestable,

Pensée propre est honorable,

Nous en sommes capables.

.

Des lecteurs, de ce texte,

Vont dire, je suis d’accord,

Lors d’autres le critiqueront,

Prétexte, fonction du contexte.

.

On ne lit  que ce  que  l’on  veut,

On n’entend que ce que l’on peut

Polysémies et ambiguïtés, à foison,

Interpréter autrement est la raison.

.

Monde ne pense pas comme moi.

Il faut me rendre, à l’évidence :

Nombreux ceux qui pensent

À des choses différentes,

Des choses, auxquelles

Je n’ai jamais pensé.

.

La question «à quoi penses-tu»

Se réfère aux  instants présents,

À quelque chose, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,  métier, famille, amour.

.

On ne peut penser,  à tout, en même temps,

Ni même à tout ce que l’on fait, doit faire

Dans les heures, les jours qui viennent,

Et on peut penser successivement

À des choses n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de penser, tout simplement :

Mais  c’est plus facile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête jamais de travailler :

Il se repose différemment la nuit

Structurant pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

.

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

.

Extensions

 .

On en arrive à cette fameuse phrase de Descartes :

«Je pense donc je suis » qui est plutôt contradictoire

Car on aurait pu dire autant : « Je marche donc je suis ».

Mon esprit, autrement dit,  ma conscience, me démontre

Que lors je marche, je pense que je marche, donc je suis.

On appelle cela des métadonnées.

.

Parce que l’animal marche aussi mais n’a conscience

Pour autant qu’il existe en tant qu’individu social

Ni même en tant qu’identité isolée qui dispose

De liberté de dire, faire, d’être.

.

Comment se déroule la pensée en mon cerveau !

Les biochimistes  vous disent : par des synapses,

Des flux d’électricité, atomes : d’accord, mais ça

C’est la plomberie, ça ne dit rien du contenu !

.

Peut-on se penser, ailleurs, dans une autre

Époque, dans une autre tête : oui et non,

En partie, par projection, en partie, par

Fiction mais ce ne seront guère que des

Constructions a priori, pas des réalités.

.

Penser, d’accord, tout le monde pense, mais à quoi ?

Sûr que tout le monde ne pensera pas… comme moi :

Je ne suis en rien une référence  pour tout un chacun,

J’admets que les autres pensent différemment de moi

Je pense que c’est une richesse, et non, une faiblesse !

Je pense de trop, et peut-être même mal, qui le sait !

Peut-être faut-il se contenter, de vivre, simplement,

 En méditant, faire le vide en soi sans autour de soi.

Amour et compassion restent à penser pour tous.

.

Souvent opposée à la volonté et au sentiment,

La pensée est définie par Platon comme un dialogue

De la raison avec elle-même sur  des paroles, événements.

Elle est pour Descartes «tout ce que ce qui se fait en nous

De telle sorte que nous l’apercevons  en nous-mêmes ».

Elle est donc un synonyme possible de la conscience.

.

Avoir conscience de quelque chose est-il : penser

La conscience de la même chose est différente

Pour culture française  et  culture chinoise :

Si on ne s’appuie sur acception commune

On pensera les choses… différemment !

.

.

Épilogue

.

Tout le monde ne pense pas comme moi

Ce sera plutôt une chance en démocratie

Sinon, imaginez que je suis un dictateur,

Déviants de ma pensée en bannissement.

***

Moi-même d’ailleurs, je pourrai très bien

Penser des choses, différentes, contraires,

Comme mal pour bien et réciproquement,

***

La pauvreté de la pensée serait l’uniformité

Je ne veux voir qu’une seule tête : les autres

Comme  confondues, cachées …  disparues !

***

Discussion, confrontation, concluent accord

Sinon  chacun camperait  sur fixes positions,

Et la guerre ne serait plus loin, à raison/tort.

***

Personne ne pourra avoir  entièrement raison,

Donc personne ne peut avoir entièrement tort,

La vérité, si elle existe, est dans un compromis.

***

Enfant, j’ai pensé que les parents avaient raison

Je me suis aperçu qu’ils n’étaient pas infaillibles

Je me suis dès lors mis à penser par moi-même :

Depuis je n’ai cessé de tout remettre en question.

.

.

1116 – Calligramme

.

Pensée universelle     L  impensable.

Ce serait, d’ailleurs  E  détestable,

La pensée propre    *  honorable,

Ce dont  sommes  M  capables.

Des lecteurs, de    O    ce texte,

Vont dire je suis  N  d’accord,

Et d’autres le cri  D  tiqueront,

Prétexte fonction  E du contexte.

On ne lit que ce      *   que l’on veut,

On n’entend que   N  ce que l’on peut

Polysémies et am  E   biguïtés à foison,

Interpréter autre   *   ment est la raison

Monde ne pense  P     pas comme moi.

Il faut me ren   E   dre, à l’évidence :

Nombreux    N  ceux qui pensent

À des cho  S    ses différentes,

Des cho   E  ses, auxquelles

Je n’ai  * jamais pensé.

.

La question   P «à quoi penses-tu»

Se réfère aux    A      instants présents,

À quelque cho    S    se, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on    *      pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,    C    métier, famille, amour.

On ne peut penser,  O    à tout, en même temps,

Ni même à tout ce  M    que l’on fait, doit faire

Dans les heures,   M  les jours qui viennent,

Et on peut pen  E     ser successivement

À des choses   * n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de pen    *       ser, tout simplement :

Mais  c’est plus fa   M       cile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête   O    jamais de travailler :

Il se repose dif    I      féremment la nuit

Structurant      !  pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

 .

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

Forme, avec cire et paraffine

qui ressemblerait à une bougie  

Ou bois sculpté  d’un chandelier,

Empilement de formes diverses.

 .

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Là où, moi, je chandelier pour bougie

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

En segments ronds

.

Symbolique 

.

Un chandelier

Est un objet qui

Sert de support

À des chandelles

Des   cierges   ou

Bien des bougies.

Le chandelier ou

Ménorah   est  un

Emblème biblique,

Devenu également

L’un des symboles

De l’État…d’Israël

Autres institutions.

Pour certains le chandelier

Serait dérivé de l’arbre de

Lumière babylonien.

soued.chez.com/menora

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Là où, moi, je crois voir une bougie,

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

Aux couleurs diverses !

.

Symbolique de fond

Bougie est associée

À la lumière, au temps,

À la prière : autrefois,  la

Bougie  était utilisée comme

Source  de  lumière,  mais aussi

Pour mesurer le temps qui s’écoule.

.

Cette notion de temps  sera  exprimée

Aujourd’hui par bougies d’anniversaire,

Chaque bougie représentant année de vie.

.

La bougie évoque  l’élévation  de la pensée,

Mais aussi la communication avec le divin,

D’ailleurs, elle  est, et souvent, utilisée  dans

Les rituels religieux, notamment pour prier.

Source  1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un chandelier supporte une bougie

Qui éclaire avec flammes vacillantes,

Lumière éclaire aussi symboliquement

Nos lumières, qui elles, sont à l’intérieur

De notre cerveau mais dont les contenus

Demeurent parfois en l’ombre, en retrait,

Ce qui fait que notre histoire, connaissance

Sont différentes de celles de tous les autres !

 .

.

Opinions sur grain de poussière

.

Scénario

.

À quoi pense-t-on quand on est seul et en plein désert ?

Penser autrement : raisonnable, mais  est-ce possible ?

Penser  qu’un autre monde est mieux, est-ce un mythe ?

 .

Visuels et textuels  >>

.

1114 – Pour certains, la vie n’est qu’un long drame !

Visuels et textuels  >>

.

La vie n’est qu’un drame

Pour  les  pessimistes,

Pour  les alarmistes,

Pour les fatalistes ;

.

N’est que  bonheur,

Pour les optimistes

Ou  les progressistes,

Pour les non-défaitistes.

.

Or pour nombre de gens,

Comme  le basculement brutal

De l’un vers l’autre, en alternance.

.

Pour  certains la vie ne sera que drame

Entre coupé de brefs moments de brame

Pour mieux supporter un  destin chagrin,

Tout  comme celui de n’en avoir aucun.

.

À d’autres, n’est qu’aventure heureuse,

Entrecoupée de périodes  malheureuses,

Pour mieux leur faire sentir un éphémère

De leur destin basculant vers d’autres fins.

.

Si la vie n’est qu’éternel recommencement,

Chaque jour, même rythme,  geste, toujours,

Infimes évolutions se produisent en pensée

Changeant perceptions du monde, d’idées.

.

Jusqu’au dernier souffle, dernier moment,

Tout peut encore changer et se modifier,

Chacun voit sa vie comme il l’entend,

Chacun peut, sa veste, la retourner.

.

Face à  l’infinitude  de l’Univers,

Nous sommes nus comme ver

Celui qui vous dira contraire

Ne ferait rien que … braire,

Tant certains ont eu une

Enfance malheureuse.

.

.

Extensions

 .

La mort est un drame éternel,

L’accident, la maladie, le divorce,

L’échec, sont des drames temporaires

Qu’on parvient à surmonter voire oublier ;

Le reste, c’est la vie tout simplement,

Comme le soleil après la pluie,

Comme le jour après la nuit.

.

De ne pas pouvoir, de ne pas vouloir

En profiter parce qu’on pressent qu’un drame

Peut surgir d’un instant à l’autre est une attitude

Plus funeste et pratiquée par les pessimistes :

«Aujourd’hui, pas terrible ;  demain, pire »

Face à l’Univers, l’on est « tout » dès lors

Que l’on ne se connait pas d’équivalent

Et l’on est « rien » dès lors qu’on sait

Que l’on va bientôt disparaitre.

.

Mais entre ce tout et ce rien,

Il y a matière à profiter de tout,

De ce qui se passe, et qui nous arrive,

De ce qu’on veut faire, autres font, de leur côté.

La vie est-elle un drame ou la vie est une chance !

À  chacun d’en décider et d’en faire son parti.

.

La vie est un drame si on la prend par la fin ;

La vie est un charme si on la prend par le début,

Entre les deux, ce sera tantôt l’un et tantôt l’autre :

Mourir à vingt est un drame, à cent, une consolation

L’important est de vivre longtemps, et en bonne santé !

Le drame absolu, comme chacun sait, n’est pas le cancer,

C’est de voir son enfant mourir, pour un père, et  une mère.

La vie n’est autre que comédie, je ne dirais pas ça, encore que,

Le verre à moitié plein je le bois, tandis que le vide, je le perçois.

.

Il y aurait ceux qui sont bien nés

Solides, immunisés, en bonne santé,

Et en plus, positifs et de bonne humeur

Et ceux qui sont mal-nés, mal embouchés

Qui se plaindront de tout, leur vie entière

Souvent prêts à tourner tout en négatif.

.

Comment faire la différence entre ceux

Pour qui la vie sera comme vrai drame,

Qui en font un, pour se mettre en valeur

Et ceux pour qui le drame est passager :

Question nuance, subtilité, pensez-vous

Point du tout : le sens même de sa vie.

.

.

Épilogue

.

De passer sa vie sans aucun drame

Autre la mort de… ses parents,

Est comme passer à travers

Les gouttes de la pluie,

***

Tandis que d’autres vivront entre

Deux drames puis les suivants

À croire qu’ils les attirent,

Ou voire les suscitent !

***

Mais le pire n’est-il pas : certains

En feraient un drame de tout

Étant mécontent du sort

Qu’on leur a réservé.

***

Face au drame, après la sidération

Et après la conscientisation

On pense à résilience

Ou inconscience.

***

Dernier acte de la vie, drame ou peu,

Est notre mort pour l’éliminer,

L’anxieux la vit en pointillé

Toujours sous ses yeux

***

Drame ultime n’est-il pas son suicide,

On veut le fuir, en l’exécutant,

De croire en dieu déicide,

Acte de foi dans néant.

***

Mais sans drame que serait le bonheur,

Chacun rappelle vulnérabilité,

Solitude, finitude forcées,

En attendant l’heure.

.

.

1114 – Calligramme

.

La vie n’est P  qu’un drame

Pour  les    O  pessimistes,

Pour  les    U    alarmistes,

Pour les     R     fatalistes ;

N’est que    *        bonheur,

Pour les     C       optimistes

Ou  les       E    progressistes,

Pour les    R    non-défaitistes

Or pour   T      nombre de gens,

Comme   A   le basculement brutal

De l’un  I    vers l’autre, en alternance.

Pour   N certains la vie ne sera que drame

Entre  S  coupé de brefs moments de brames

Pour    *    mieux supporter un destin chagrin,

Tout        V       comme celui de n’en avoir aucun.

D’autres,        I             n’est qu’aventure heureuse,

Entrecoupée          E         de périodes malheureuses,

Pour mieux leur          *         faire sentir un éphémère

De leur destin bascu         N         lant vers d’autres fins.

Si la vie n’est qu’éternel          ‘            recommencement,

Chaque jour, même rythme,          E       geste, toujours,

Infimes évolutions se produisent      S          en pensée

Changeant perceptions du monde         T        d’idée.

Jusqu’au dernier souffle,  dernier    *     moment,

Tout peut encore changer     Q   et se modifier,

Chacun voit sa vie     U    comme il l’entend,

Chacun peut,   E    sa veste, la retourner.

Face à  l’ *     infinitude    de l’Univers,

Nous     D  sommes nus comme ver

Celui qui  R   vous dira contraire

Ne ferait    A  rien que braire.

Car certains M    ont eu une

Enfance mal   E heureuse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1114 4

.

Un vase des plus communs

 Mais qui s’est peu à peu fendillé 

Jusqu’à  se  rendre  inutilisable

Lors complétement cassé !

 .

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Un vase cassé peut créer un drame

fonction de son prix, attachement :

la vie lui ressemble un tant soit peu

ainsi la forme évoque bien le fond.

.

Pour certains, tout comme ce vase,

Collé, rafistolé, de partout,

 Leur vie est devenue et elle restera

Cassée tant qu’ils existeront !

.

Symbolique 

 .

Dans la kabbale, le vase

Possède le sens du Trésor.

S’emparer d’un vase, c’est

Conquérir un trésor.

.

Briser  un vase, c’est

Anéantir par le mépris

Le trésor qu’il représente.

.

Un   symbolisme   identique

Se retrouve dans la littérature

Mandéenne  et la Pistis Sophia.

.

Bahir, les six jours de la Création

Sont appelés : les six  beaux  vases,

La Shekina est comparée à un  vase.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1114 6

.

Pour certains, tout comme ce vase,

Collé, rafistolé, de partout,

 Leur vie est devenue et elle restera

Cassée tant qu’ils existeront !

.

Symbolique 

.

Il est bien admis

Qu’un vase dans la maison

Symbole de bien-être, prospérité.

.

C’est une décoration de l’intérieur,

Donne à la pièce un aspect particulier.

Les vases peuvent être au sol et sur table.

Sont utilisés pour décorer des bureaux,

Des hôtels et centres commerciaux.

Le vase est facile à casser, car il

Est composé principalement de

Leurs matériaux   …    fragiles.

.

« Pourquoi  ce vase  s’est-il  cassé,

C’est une bonne chance, vous devez

Dire à haute voix « pour la bonne chance ».

kayabaparts.ru/fr/razbitaya-vaza-po-

sonniku-razbitaya-vaza-schastlivaya-zhizn

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme  

 .

Qui casse, paye, lit-on sur un écriteau

D’une boutique de céramique, bibelots

Si l’on se comparera à un vase et que

Quelqu’un nous casse ou nous-même

On peut le payer de sa vie, paralysie

Nous ne sommes pas en … porcelaine

Dieu merci, pas en acier…  non plus

Pour notre malheur ou  chance !

 .

.

Vie ne serait que drame

.

Scénario

.

Pour ceux/celles qui se suicident,  la vie n’est qu’un drame,

autres,  tantôt une comédie et tantôt proche psychodrame,

pour moi, la vie est expérience fortuite à ne pas manquer.

 .

Visuels et textuels  >>

1113 – Il ne saurait y avoir de paradis, ni d’enfer

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis

Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir  ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir  ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir  ni vérités, erreurs.

.

Ce sont là de fausses relatives valeurs

Constituant des rapports  symboliques,

Départageant les bonheurs malheurs,

Faits pour guider notre sens pratique.

.

Ils existent, mais le long de  curseurs,

Tantôt en distance, tantôt en hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui évoque

Air d’espéranto, jouant sur équivoque.

.

Considérant une même valeur à tous

Certains, autres la trouvent différente

 Il n’y a aura jamais universelle entente,

Valeurs  langues sont histoires de fous.

.

Aspirer au sens, à des valeurs de vie,

Représente la question la plus cruciale

À laquelle on ne peut échapper ou mal,

Tant la mort vous rappelle son  souci.

.

Respect de l’autre comme de soi -même

Constitue la principale règle à observer :

En vie, tout n’est pas du pareil au même

Sinon c’est vite l’anarchie et la brutalité.

.

Il ne saurait y avoir  ni paradis ni enfer,

C’est nous  qui les inventons, projetons,

À force de vivre en misère ou de travers,

Sont fausses réalités, auxquelles croyons.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi s’en faire paradis !

Et pourquoi paradisiaque enfer !

C’est juste qu’il faut  trouver un lieu

Pour y mettre tous les hommes de bien

Et autre, les suppôts du mal : point barre !

.

Un paradis  où l’on serait seul, serait un enfer,

Un enfer où on serait convivial, serait un paradis ;

L’homme n’est pas fait pour vivre seul, ni sur Terre

Ni ailleurs, il communique : l’enfer serait de ne

Pouvoir satisfaire le moindre de ses désirs,

Le paradis, de les avoir tous satisfaits.

.

Mais le Paradis se transformerait

Alors en enfer plus aucune envie.

L’enfer, c’est la lutte et c’est la fuite

Mais c’est surtout l’ennui lors le paradis,

C’est le bien-être, le plaisir, la joie, le bonheur.

.

Chacun a sa propre vision de l’enfer et du paradis.

Distinction entre celui que l’on vit sur Terre  et celui

Projeté après mort : y a que premier qu’on vit, subit !

.

Portes du Paradis sont ouvertes sur une grande lumière

Portes de l’Enfer sont condamnées par une entrée en fer,

Des anges  en  Paradis, des démons en Enfer : est-ce nous,

Ou ceux qui nous accueillent ou bien s’occuperont de nous,

C’est à chacun d’en décider selon le fruit de son imaginaire.

.

L’enfer est cité en toutes les religions

Et il n’est nulle part en même temps :

Ce n’est pas vraiment un lieu, lequel ?

Pas plus vraiment  un temps : lequel ?

.

Quelque paradis terrestre aurait existé

Avec Adam et Ève, sous le nom d’Éden,

Entre Tigre et Euphrate, Mésopotamie,

Parfois ailleurs aussi en lieux inconnus.

.

Le plus curieux, le plus extraordinaire :

Enfer et paradis ont traversé les siècles

Suite à fausses traductions, croyances

Il nous faut croire on a besoin d’eux !

.

.

1113 – Calligramme

.

Le paradis

 Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes ……….

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir I ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir     L    ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir         *       ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir            N       ni vérités, erreurs.

Ce sont là de fausses              ‘        relatives valeurs

Constituant des rapports       Y         symboliques,

Départageant les bonheurs      *          malheurs,

Faits pour guider notre sens    A        pratique.

Ils existent, mais le long de       *     curseurs,

 Tantôt en distance, tantôt en     N    hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui    I    évoque

Air d’espéranto jouant sur équi   *    voque.

Considérant une même valeur     P   à tous

Certains, autres la trouvent dif    A  férente

 Il n’y a aura jamais universelle    R entente,

Valeurs  langues sont histoires     A  de fous.

Aspirer au sens, à des valeurs       D     de vie,

Représente la question la plus      I     cruciale

À laquelle on ne peut échapper      S         ou mal,

Tant la mort vous rappelle son       *               souci.

Respect de l’autre comme de         N         soi -même

Constitue la principale règle        I            à observer :

En vie, tout n’est pas du pa       *            reil au même

Sinon c’est vite l’anarchie    E             et la brutalité.

Il ne saurait y avoir       N        ni paradis ni enfer,

C’est nous qui les      F       inventons, projetons,

À force de vivre    E    en misère ou de travers,

Sont fausses  R  réalités, auxquelles croyons.

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

1113 4

.

Un trophée sportif,

Ou alors  une lampe

 À pétrole, avec ampoule 

Pour bien mieux… s’éclairer.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Que vaudrait une lampe, sans feu,

ni ampoule ni ressources pour durer

en enfer, des lampes sans ampoule ;

en paradis, ampoules sans lampe.

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles  identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique de forme

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

Ou à huile  ou  à pétrole,

Représentera toujours une

Sorte de lumière  intérieure,

Une énergie, et des capacités,

Talents que nous maîtrisons.

L’homme maîtrise lumière,

Avec  un  pouvoir

Allumer, éteindre.

Psycho2rue.fr/dictionnaire-

Des-symboles-de-reve/lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1113 6

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique

 .

Eureka !

L’ampoule,

Symbole de l’idée

Qui jaillit sans que l’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse!

Tant   qu’il s’agisse  d’une lampe  à huile,

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Celle que nous maîtrisons. Dans la bande

Dessinée et le dessin animé, l’apparition

D’une idée est souvent représentée

Par une lampe à incandescence

Qui s’allume au-dessus de la

Tête du personnage.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

La lampe serait éclairée, éclairante,

Au paradis

La lampe serait éteinte, obsurcissante

En  plein  enfer

Sauf que nous n’avons pas de lumières

Ni sur l’un ni l’autre

Et  que  leur obscure clarté, oxymoron,

Brouille bien notre raison

Au point de faire une  totale confiance

Dans notre propre imagination.

 .

.

Il n’y aurait ni paradis ni enfer !

.

Scénario

.

Porte du paradis, corridor tunnel avec, au fond, une lumière.

Dans l’une, des anges blancs ; dans l’autre, des diables rouges.

Porte de l’enfer, elle est comme murée, sans espoir de lumières.

 .

Visuels et textuels  >>

1111 – Tout ne serait qu’apparences sur Terre !

Visuels et textuels  >>

.

Le mythe de la caverne,

Mythe hautement platonicien

Est brume, en notre ignorance,

Apparence  nous  va  très bien !

Apparence  du  Soleil  tournant

Autour de notre Planète Terre,

Comme le centre du Monde

Pour des fervents croyants.

Mais voilà que le temps

Nous échappe autant

Il ne serait que

Pul-sa-tions

D’après le

Big Bang.

.

Tout ne serait

Qu’apparence sur notre Terre,

Pouvoir, avoir, savoir, égale misère,

Lors, tout se termine, dilue, poussière,

Lors notre mort demeure pur mystère.

.

Relié à bien d’autres comme par un fil,

M’attirant, repoussant autant invisible

Mais, qui s’épaissit et devient tangible,

Quand nouvel amour en moi, le surfile,

En un cocon que l’on appelle … famille.

.

Je suis et je resterai, un temps, encore,

De moins en moins  plaisant, de corps,

Tout en gardant mon bel esprit retors,

Qui s’amusera, de lui, jusqu’à sa mort.

.

Vie se charge, parait-il … de m’assurer,

Mon avenir  dans une éternité méritée,

Elle m’accorde cent ans, pour y penser,

À moi d’en jouir, pour en bien profiter.

.

Alors en attendant Goddot, dit Beckett,

N’attendons pas la fin, et faisons la fête,

Même si dans notre vie bien imparfaite,

Elle ne satisfera pas toutes nos requêtes.

.

.

Extensions

.

On dit que les apparences sont parfois trompeuses

C’est sans doute vrai, elles ne sont que

Ce qu’elles sont, ce qu’elles nous donnent à percevoir.

À nous de les interpréter en fonction de

Ce que l’on sait d’elles, qu’elles peuvent  être  un miroir

Déformant, embellissant ou enlaidissant,

De la réalité, tant  il sera humain, que  chacun  essaye de

Se présenter au mieux de sa forme, agréable

À voir ; ne serait-ce que  pour attirer  l’attention sur lui et

Pour qu’on s’en souvienne et qu’on y revienne.

Il peut  en être, de même,  s’agissant  des  comportements,

Des attitudes : quelqu’un  de  timide  peut  être

Entreprenant, sous  l’effet  de l’alcool, quelqu’une  de  triste,

Peut être gai en compagnie, quelqu’un d’agressif

Peut être tendre  pour séduire  et comment alors  distinguer

Le vrai du faux : nous avons  en notre cerveau,

Tout un catalogue de portraits physiques et psychologiques

Auxquels nous pouvons comparer, cataloguer

Les nouvelles personnes que l’on rencontre un peu partout.

Nul besoin d’être psychologue pour ce faire :

L’observation, l’intuition  la comparaison suffisent à jeter

À bas des masques pourtant trompeurs.

 .

Apparences, avez-vous dit : réalité ou surface des choses,

Un peu les deux, forcément, tant, son apparence fait partie

Des images qu’on souhaite ou qu’on  veut imposer à l’autre !

On y distingue, le plus souvent, sa surface,  de sa profondeur :

Chez certains, la surface leur en tient lieu, il n’y a rien derrière.

Je suis moi-même le complice et la victime de mes apparences.

J’ai l’air d’être un poète, philosophe et ne suis rien de tout cela :

Contraire  aux apparences, le succès rendrait  plus grand que soi

On est là dans un paradoxe absolu, lors passant du rien au tout !

.

.

Épilogue

.

L’apparence est humaine,

La vraie forme sera divine :

Idée des reflets est de Platon,

 Sans faire références à un ciel !

***

On n’en pas si loin avec l’Olympe

Pays des dieux dans le monde grec

Ayant liens de pouvoir sur l’humain,

Une religion imaginaire pour le sacré.

***

Une transposition, aujourd’hui, martien,

Des êtres venus d’ailleurs … nous asservir,

Voire, au mieux, nous aider à mieux vivre :

Un monde surgit encore d’une imagination.

***

Tout ne serait qu’apparence sur Terre, un credo

Qui plairait bien aux agnostiques et aux platistes.

À partir du moment où l’on émet le moindre doute

Tout est possible, égal, en tout et… réciproquement.

***

En tous cas, en sociétés, communautés, voire  familles,

Il est parfois question de moyen à sauver les apparences

Certains considérant le Monde  comme un théâtre vivant,

Où ce qui importe est ce qu’on dit et voit, non ce qu’on est.

.

.

1111 – Calligramme

.

Le mythe de la caverne,

 Mythe hautement platonicien

 Est brume, en notre ignorance,

             Apparence                 nous va très bien !

               Apparence                   du Soleil tournant

        Autour de la               Planète Terre,

Comme  le  centre  du Monde

Pour des fervents croyants.

Mais voilà que le temps

Nous échappe autant

Il ne serait que

 Pul-sa-tions

D’après  le

Big Bang.

.

Tout ne serait

Qu’apparence sur notre Terre,

Pouvoir, avoir, savoir, égale misère,

Lors, tout se termine, dilue, poussière,

Lors notre mort demeure pur mystère.

.

Relié à bien d’autres comme par un fil,

M’attirant, repoussant autant invisible

Mais, qui s’épaissit et devient tangible,

Quand nouvel amour en moi, le surfile,

En un cocon que l’on appelle … famille.

.

Je suis et je resterai, un temps, encore,

De moins en moins  plaisant, de corps,

Tout en gardant mon bel esprit retors,

Qui s’amusera, de lui, jusqu’à sa mort.

.

TOUT NE SERAIT

Vie se charge, parait-il … de m’assurer,

Mon avenir  dans une éternité méritée,

Elle m’accorde cent ans, pour y penser,

À moi d’en jouir, pour en bien profiter.

.

QU’APPARENCE SUR TERRE  

Alors en attendant Goddot, dit Beckett,

N’attendons pas la fin, et faisons la fête,

Même si dans notre vie bien imparfaite,

Elle ne satisfera pas toutes nos requêtes.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1111 4

.

Silhouette d’une statue

Voire  d’un martien dont on

Ne sait rien, hors apparence,

Si elle reste, et vraiment, réelle !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Pour les martiens : quelles différences

 Entre l’homme et le … robot ?

Ils se ressemblent, ont un comportement

D’apparence identique !

.

Symbolique 

 .

Si H. G. Wells a

Popularisé la menace

Venue de la planète Mars,

La figure du Martien dans la

Science-fiction, littéraire

Ou cinématographique,

Est devenue le symbole

Ambivalent de l’extraterrestre.

.

Les  dits « petits hommes verts »

En 1912, Edgar Rice Burroughs, auteur de Tarzan,

Projette le héros de son Cycle de Mars, John Carter,

Un combattant immortel, au passé planète Mars,

.

Et lors il croise différentes races de Martiens,

Dont des humanoïdes verts à quatre bras,

Fondant ainsi une imagerie … populaire

De l’extraterrestre martien qui devient

Autre nous-même aux mille visages.

historia.fr/les-metamorphoses-du-martien

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1111 6

.

Pour les martiens : quelles différences

Entre l’homme et le … robot ?

Ils se ressemblent, ont un comportement

D’apparence identique !

.

Symbolique de fond

.

Les métiers, les choix de groupes et les opinions,

Les uniformes officiels et les codes vestimentaires

Nous rattachent à un groupe, ou une catégorie.

.

Plus personnels : les gestes  et  les  attitudes,

Les façons de marcher, le ton de la voix,

Le choix des mots, positionnements

À l’intérieur d’un groupe.

.

Les choix se mélangent avec les expressions,

Le verbal avec le non-verbal.

Volontaire peut même finir  par se confondre

Avec l’involontaire.

.

Ça ne permet pas de savoir qui est «derrière»

Ni comment il arrive à fonctionner,

Vivre avec ses apparences.

Source : lessymboles.com/

les-apparences-utilité-et-pièges

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Que connaitrait-on réellement de l’apparence

D’un martien ou n’importe quel extra-terrestre,

Rien, évidemment lors  on les aura juste inventés

À des fins littéraires, voire cinématographiques

On peut confondre le réel  sous une apparence

Mais ce qui existe avec ce qui n’existe pas

Apparences peuvent être trompeuses

Mais nous ne le sommes pas.

 .

.

Apparence trompeuse

.

Scénario

.

Si l’irréel, est l’apparence, dites-moi alors  où est le réel :

le réel c’est la représentation construite que l’on s’en fait,

et c’est valable aussi pour la femme transformée en objet. 

 .

Visuels et textuels  >>

1110 – A quoi bon la vie si l’on ne croit en rien !

Visuels et textuels  >>

.

Il y a,  je le crois,  la foi de l’enfant,

Qui fait confiance  à  ses  parents ;

La foi du charbonnier

Qui fait  confiance  à une Église ;

La foi des religieux

Et, qui la mettent en pratiques ;

.

La foi du gnostique

Qui doute de toute mystique ;

La foi de l’athée

Qui croit qu’on va Néant ;

La foi du prosélytiste.

.

Mais qui va vivre en conquérant !

Il faudrait, déjà, avoir une foi

En soi, en l’autre, l’humain

Pour se trouver en un bon sens

Pour une vie, qui nous fait du bien !

 .

Il y a la foi de l’enfant qui croit au Père Noël,

Mensonge de parents de société que sur l’autel

De la vérité, jamais il ne faut penser  à sacrifier,

Pour ne pas faire s’écrouler les jouets sur marché.

 .

Il y a la foi du charbonnier, qu’il érige, en principe :

C’est comme ça et pas autrement, et le sera toujours,

C’est la source de sa vie, de ses douleurs,  ses amours,

L’homme est semblable à un Dieu duquel il participe.

 .

À l’opposé, il y a le positiviste, l’agnostique et l’athée,

Qui s’accordent pour détruire sens divin de l’Univers,

Ils n’ont rien à mettre, proposer, à l’endroit, l’envers

Qui le remplace, dont l’homme se réclame,   destiné.

 .

À errer d’une croyance à l’autre, sans buts ni fins,

Mourir, disparaître au néant, arrivé aux  confins

Du rien qu’il était, qu’il est, qu’il sera, et vivre,

Malgré tout, heureux d’exister à en être ivre,

 .

D’un espoir, dont il a du mal à se départir :

L’immortalité, de son corps, esprit, âme :

À quoi bon vivre si l’on ne croit en rien,

Pourquoi être humain  plus que chien.

.

Pour moi elle aura ce quelque chose

De magique et, à la fois, tragique

Comme on le vivra qu’une fois

Attention à ne pas la rater !

.

.

Extensions

.

Il y a la foi de l’enfant

Qui croit au monde magique,

Lorsqu’il mêle le merveilleux et le réel

Comme étant équivalents, puis petit à petit,

Établit  une distinction  entre  ce qui  est  virtuel,

Ce qui est réel et ce qui apparait comme si c’était irréel

Mais ne l’est pas vraiment. On prétend qu’il croit aux contes

Jusqu’au jour où il vous confie, comme pour vous avertir, que

«C’est pour faire comme ci mais qu’en vrai, ça n’existe pas »

.

C’est vous qui êtes pris à votre propre piège,

Arroseur arrosé en quelque sorte !

.

Les Évangiles,  la  Bible,  la religion,

Constituent un Monde, à part, puisqu’on

Lui demande d’y croire et ce sont les parents,

Les adultes, les autres, les prêtres qui le certifie.

De toute façon, notre  esprit  humain  fonctionne

De telle façon qu’on aura besoin qu’on lui raconte

Des tas d’histoires  pour qu’il  les intègre  dans la

Nôtre et notre humanité et les faits scientifiques

N’ont pas d’effet de conviction  par eux-mêmes,

Il faut les mettre en scènes et y croire vraiment.

.

À quoi bon la vie : question lancinante mais inutile

La vie nous est donnée, nous est reprise, c’est ainsi !

Bon, c’est vrai, qu’elle ait un sens, nous aidera à vivre

Mais  c’est à chacun de nous, de bien trouver  le sien !

Avec une réponse  comme celle- là : chacun  est servi !

Les athées, agnostiques, vivent bien  sans  aucun  sens

Et je ne parle pas  des épicuriens, ni, des bons à rien !

Alors finalement de  croire à rien, c’est encore croire :

Rien devient un objet de mes croyances, grand Dieu.

.

Pour certains, la vie est comme un rêve :

On ne sait pas si on dort ou on est éveillé

C’est la conception de Platon et du reflet

La vie est ailleurs, sommes spectateurs !

.

Pour chrétiens, vie est épreuve terrestre,

En attendant rejoindre le paradis au ciel,

Plus on est bon et plus on souffre douleur

Et plus on échapperait aux feux de l’enfer

.

Athée,  est un voyage,  est une expérience,

Dont on a aucune idée de son sens, finalité

Mais qui nous serait donné d’approfondir,

En exerçant notre liberté et libre-arbitre !

.

.

Épilogue

*

Avant nos derniers siècles

L’on avait coutume de diviser

 Les gens en croyants et incroyants,

Ou encore en fidèles contre infidèles :

Aujourd’hui on parle de religieux/athée,

Les formes changent, le fond reste le même.

***

Les religieux pratiquants ne remplissent plus

Les vases, ils se limitent à des tasses ici ou là.

Religions ne sont plus localisées : mélangées,

Souvent issues d’une conviction personnelle.

***

On ne va pas refaire l’histoire des religions,

Elles ont des côtés positifs et côtés négatifs

Elles sont créées, dirigées par des humains

Et sont donc le reflet  de leurs vicissitudes.

***

J’ai moi-même,  je le confesse,  ne le renie,

Avoir fait études secondaires en séminaire,

Poursuivi au-delà, après, jusqu’au moment

Où j’ai perdu la foi n’y croyant pas, ou plus.

Aujourd’hui, religion parait  peu catholique,

Qu’elle soit chrétienne, juive ou musulmane.

Pour autant je reste en quête  de spiritualité :

Avoir trouvé autre sens à ma vie, point athée !

.

.

1110 – Calligramme

.

Il y a,  je le crois,  la foi de l’enfant,

Qui fait confiance  à  ses  parents ;

 La foi du charbonnier

Qui fait  confiance  à une Église ;

La foi des religieux

Et, qui la mettent en pratiques ;

La foi du gnostique

Qui doute de toute mystique ;

La foi de l’athée

Qui croit qu’on va Néant ;

La foi du prosélytiste.

****************

.

Mais qui va vivre en conquérant !

Il faudrait, déjà, avoir une foi

En soi, en l’autre, l’humain

Pour se trouver en un bon sens

Pour une vie, qui nous fait du bien !

À ……………….

Il y a la foi de l’en   *   fant qui croit au Père Noël,

Mensonge de parents  Q   de société que sur l’autel

De la vérité, jamais il ne   U   faut penser  à sacrifier,

Pour ne pas faire s’écrouler  O   les jouets sur marché.

                 I

Il y a la foi du charbonnier, qu’il érige, B     en principe :

C’est comme ça et pas autrement, et le    O  sera toujours,

C’est la source de sa vie, de ses douleurs    N    ses amours,

L’homme est semblable à un Dieu duquel   *    il participe.

                                                     L

À l’opposé, il y a le positiviste, l’agnostique    A      et l’athée,

Qui s’accordent pour détruire sens divin de    *      l’Univers,

Ils n’ont rien à mettre, proposer, à l’endroit,   V         l’envers

Qui le remplace, dont l’homme se réclame,     I         destiné.

                                                       E

À errer d’une croyance à l’autre, sans buts     *          ni fins,

Mourir, disparaître au néant, arrivé aux      S          confins

Du rien qu’il était, qu’il est, qu’il sera,        I          et vivre,

Malgré tout, heureux d’exister à en          *        être ivre,

                                         O

D’un espoir, dont il a du mal à          N    se départir :

L’immortalité, de son corps,          *    esprit, âme :

À quoi bon vivre, si l’on ne       N     croit en rien,

Pourquoi être humain         E   plus que chien.

             *

Pour moi, elle aura     C   ce quelque chose

De magique et, à    R   la fois, tragique

Comme on le vi    O   vra qu’une fois

Attention à ne    I     pas la rater.

     T

E N      R  I  E   N   !  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1110 4

.

Vase      ancien,

Et assez commun,

 D’origine  étrusque 

Pas comme la tasse.

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un beau vase, si beau soit-il, vide,

S’il  ne contient matières,

Ne sert à rien, il n’est qu’une forme

 À remplir, comme sa vie. !

.

Symbolique

 .

Le vase possède le sens du Trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir un trésor.

.

Briser un vase, c’est anéantir par le mépris le trésor

Qu’il représente, un symbolisme identique se retrouve

En littérature mandéenne et dans la Pistis Sophia.

.

Dans le Bahir, les six jours de la Création sont

Couramment appelés les six beaux vases.

La Shekina est comparée à un vase.

.

Et dans la littérature médiévale,

Le vase contiendrait le trésor

Le Graal,  les Litanies, etc.

Source : expatmosaïque.fr/le-

symbole-de-la-semaine-le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1110 6

.

Cette belle tasse si belle soit-il, vide,

Si elle ne contient d’amour

Ne sert à rien, elle n’est qu’une forme

 À remplir, comme sa vie !

.

Symbolique

 .

Au XVIIIe siècle, d’abord

En Allemagne et en Autriche

Puis en France, les manufactures

De porcelaine commencent à fabriquer

Des «trembleuses », autrement dit des

Tasses très  profondément  enfoncées

Dans leur soucoupe, ce qui empêche

Le récipient de …  glisser.

Et l’origine  de telles tasses

Serait, parait-il, espagnole.

fr.wikipedia.org/wiki/Tasse

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Vase et tasse ne nous apprennent rien

Sur quelle qu’origine de nos croyances

Les deux seront vides  et ne demandent

Qu’à être remplis   de divers breuvages,

Dont chacun se serait épris de passion,

Pour ne pas sombrer  dans le non-sens,

Mais une fois remplis ils ne se videront

Il faut faire avec et  jusqu’à sa mort : 

Réviser sa croyance serait se renier :

Qui serait assez fou pour faire cela.

 .

.

Il faut croire, étant athée

.

Scénario

.

Trois valeurs humaines fondamentales : foi, espoir, amour !

La foi sauverait qui : lui, moi, tout le monde, ou  personne ?

Qu’y a-t-il derrière grille : ce qu’un y voit, ce que l’on croit ?

 .

Visuels et textuels  >>

1109 – L’Univers en expansion n’a pas de sens !

Visuels et textuels  >>

.

Si l’Univers connu n’aurait pas de sens :

Comment lors notre vie  en aurait un,

Sinon, ce serait un profond mystère

Qui ne serait  d’ordre de l’humain.

Il a un sens : il est  en  expansion.

Savez-vous  en quoi, dans le vide.

Et  quand  s’arrêtera-t-il : jamais

Avec tout ça, on est bien avancé !

.

Question métaphysique sidérale :

L’univers, lui, il s’en fout pas mal,

Il n’y a qu’homme pour se targuer

De chercher un sens à lui  trouver !

L’homme est à ce point orgueilleux,

Qu’il en vienne à vouloir égaler Dieu,

À l’origine et à la fin de toutes choses,

La Terre serait femme qu’il…engrosse.

Ce n’est pas parce qu’il ne le trouve pas,

Qu’un sens, ou un autre…n’existerait pas

Mais  l’humain  ne peut vivre  sans raison,

Tout autant  fait de chair,  que de passions.

.

Question métahistorique à notre conscience :

Pourquoi suis-je né,  pour partie … animal :

Je ne suis, dans une chaine,  qu’un élément

De l’humanité, venu par hasard de parents.

L’univers en expansion  n’aura aucun sens

Il est bâti sur du vide…bien gratuitement,

Il existe, peut-être, un Monde … parallèle,

Qui échapperait, à nos sens et à notre zèle

Faut-il plus, le souhaiter, que le craindre :

De le rechercher on ne peut s’en plaindre :

À chacun d’y répondre, voire s’y confondre,

Sinon toutes convictions et fois s’effondrent !

.

Question métaphysique échappant à la science

Malgré ses découvertes, son fond et obédiences,

Notre humanité, notre destin, notre âme n’en font

Pas partie et plus on en sait plus on ignore qui sont

Humains, à la fois arrogants modestes, nobles, sages.

Avec les paris de : Pascal, Voltaire, Nietzsche : élégants :

Tout aussi bien, Néant peut se retourner, comme un gant,

Matière noire, être pleine d’esprits, invisibles, à nos visages,

Aux yeux regardant ailleurs, aux oreilles ne nous écoutant pas

Mais qui, au travers de l’immensité du Cosmos et ses contresens

Reflètent en nous, nos désirs humains des plus hauts aux plus bas

Sans communiquer avec nous, faute de sens ou pétris de non-sens.

.

L’Univers, la Terre et l’Humain, auraient-il un même sens caché !

Notre propre d’orgueil consisterait à vouloir le trouver et prouver :

La vie reste un mystère, et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

.

.

Extensions

 .

L’Univers,

La Terre et l’Humain

Auraient-ils un même sens, caché :

Notre défaut d’orgueil consisterait à vouloir

Le trouver et plus encore à le prouver : la vie reste

Un mystère et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

«Homme de peu de foi» comme dit l’Évangile, révélation !

.

Une chose en expansion a forcément du sens,

Dès lors qu’elle  grandit, dès lors quelle grossit,

Elle prend plus d’importance, ou remplit du vide,

Comme un gaz liquide qui se dilate puis qui s’étend

Mais vers où il va, et dans quel temps : nul ne le sait,

Et c’est bien cela qui pose question, pas le phénomène :

Mais là je crois que je m’étends, moi aussi, et pour rien !

.

L’Univers aurait-il un sens

Questionnent astrophysiciens.

Oui, il est en expansion en l’infini.

Oui d’accord mais où s’arrête l’infini.

On ne peut observer, concevoir de limite.

Comment définir un sens, à quelque  chose,

Dont on n’a pas d’idée, c’est presque absurde.

.

S’il n’a de sens, en lui-même, comment peut-il

En avoir un, pour nous : c’est le vide complet,

Et ainsi, aller jusqu’aux confins de l’Univers,

Aller jusqu’au fond de l’Humain, est pareil,

Nous n’en découvrions pas …  leurs sens.

.

.

1109 – Calligramme

 .

Si l’Univers connu n’aurait pas de sens :

Comment lors notre vie  en aurait un,

Sinon, ce serait un profond mystère

Qui ne serait  d’ordre de l’humain.

Il a un sens : il est  en  expansion.

Savez-vous  en quoi, dans le vide.

Et  quand  s’arrêtera-t-il : jamais

Avec tout ça, on est bien avancé !

L’UNIVERS,

Question métaphysique sidérale :

L’univers, lui, il s’en fout pas mal,

Il n’y a qu’homme pour se targuer

De chercher un sens à lui  trouver !

L’homme est à ce point orgueilleux,

Qu’il en vienne à vouloir égaler Dieu,

À l’origine et à la fin de toutes choses,

La Terre serait femme qu’il…engrosse.

Ce n’est pas parce qu’il ne le trouve pas,

Qu’un sens, ou un autre…n’existerait pas

Mais  l’humain  ne peut vivre  sans raison,

Tout autant  fait de chair,  que de passions.

EN EXPANSION,

Question métahistorique à notre conscience :

Pourquoi suis-je né,  pour partie … animal :

Je ne suis, dans une chaine,  qu’un élément

De l’humanité, venu par hasard de parents.

L’univers en expansion  n’aura aucun sens

Il est bâti sur du vide…bien gratuitement,

Il existe, peut-être, un Monde … parallèle,

Qui échapperait, à nos sens et à notre zèle

Faut-il plus, le souhaiter, que le craindre :

De le rechercher on ne peut s’en plaindre :

À chacun d’y répondre, voire s’y confondre,

Sinon toutes convictions et fois s’effondrent !

N’A AUCUN SENS !

Question métaphysique échappant à la science

Malgré ses découvertes, son fond et obédiences,

Notre humanité, notre destin, notre âme n’en font

Pas partie et plus on en sait plus on ignore qui sont

Humains, à la fois arrogants modestes, nobles, sages.

Avec les paris de : Pascal, Voltaire, Nietzsche : élégants :

Tout aussi bien, Néant peut se retourner, comme un gant,

Matière noire, être pleine d’esprits, invisibles, à nos visages,

Aux yeux regardant ailleurs, aux oreilles ne nous écoutant pas

Mais qui, au travers de l’immensité du Cosmos et ses contresens

Reflètent en nous, nos désirs humains des plus hauts aux plus bas

Sans communiquer avec nous, faute de sens ou pétris de non-sens.

.

L’Univers, la Terre et l’Humain, auraient-il un même sens caché !

Notre propre d’orgueil consisterait à vouloir le trouver et prouver :

La vie reste un mystère, et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1109 4

.

Sonnette en céramique

Ou vase, en expansion

Du haut   vers  une  fuite,

Comme l’Univers l’Infini.

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Expansion, Univers, Infini

trois réalités se complétant

formant un tout mystérieux

forme et fond se confondent.

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

.

Symbolique 

.

L’expansion  de l’Univers est

Le phénomène  d’éloignement  des

Galaxies distantes les unes des autres.

Le taux d’expansion  actuel   de l’Univers

Est rappelé  par « la constante de Hubble».

.

Expansion dénote  la tendance  d’un ensemble

De géodésiques  à  s’éloigner  les unes des autres

Selon la forme de la métrique expansion continue.

Modifié, source : wikipedia.org/wiki/Expansion

.

.

Fond

.

Évocation

.

1109 6

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

.

Symbolique 

.

Infini vient du mot latin « Infinitus »

Ce qui signifie sans limites, c’est à dire

Quelque chose  qui dure, pour toujours.

Ce symbole désigne le fait que l’Univers

Est indéfini, sans début ni fin, symbolise

Que rien n’est créé et que rien ne meurt.

.

En spiritualité, l’infini représente

Interaction du physique, spirituel,

Et l’’interconnexion  entre les deux.

.

Le signe infini se représente comme un 8 couché,

Il a une signification dans chaque culture  et  religion :

En civilisation indienne, ce symbole viendrait du dieu Shiva

Serpent enroulé sur lui représentant la forme du symbole infini.

Bijouxindiens.net/content/73-bagues-fines-bague-infini

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Cycle fermé et expansion ouverte

Sont parfaitement antinomiques

Soit l’univers se referme sur lui,

Soit il se diffusera  et à … l’infini

Mais on imagine mal, dans quoi,

Tout autant, comment,  pourquoi ?

.

Réponse de cosmologue surprenante

« C’est  un phénomène purement interne,

 Indépendant de toute notion de contenant,

Ou d’extérieur, de fait, réponse  à la question

Initiale est la suivante : l’Univers  ne   s’expand

Dans rien, il s’expand en lui-même, de lui-même. »

.

Finalement : avant, l’on sait rien, et après, non plus,

Au mieux il s’expand dans rien et qu’est-ce que ce rien.

Voilà qui me laissera dubitatif et pour le moins, rêveur.

 .

.

Univers en expansion Big Bang

.

Scénario

 .

Déjà, ce serait bien que moi, j’en aie un, de sens de vie

mais l’Univers n’en a pas, hormis son expansion infinie :

si je viens du néant, au néant je ne pourrai qu’y retourner.

 .

Visuels et textuels  >>

1107 – Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Visuels et textuels  >>

.

L’enfer et le paradis ne seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,  on   prétend  moderne,

On leur a conservé une vie, virtuelle, existence.

.

Sauf  que, par analogie, c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux, le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  chercher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont tous des communautés

Proches de nous, et enfermées dans un huis-clos.

.

Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,

Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,

Tandis que leur paradis serait au firmament de belles

Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.

.

Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,

Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,

Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,

Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !

.

Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral

Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.

Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,

L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.

.

Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,

Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :

Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :

Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !

.

Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit

Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,

Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,

Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.

.

Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,

Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments

J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.

L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !

.

Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu

Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable

J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus

Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.

.

.

Extensions

 .

Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Non là où ils seraient, là où l’homme les a mis :

Paradis d’évasion sens de la vie, paradis d’évasion

Touristique, et voire même, paradis d’évasion fiscale.

Chacun  a  sa vision  d’enfer  et paradis, à  commencer

Par les siens, ceux qu’il voit vivre lui-même sur Terre.

Nous n’avons aucune description ni de témoignage

De ceux qu’ils sont au-delà, si vrai ils existent !

.

Le paradis au ciel ressemble à celui sur terre des croyants :

Une assemble de fidèles méritants, clergé d’autorité et Dieu.

Ça manque un peu d’imagination et c’est  bien trop humain.

On cherche encore porte de l’enfer puisqu’elle est sous terre

Il y en a forcément une, sinon un gouffre comme trou noir

Et dans lequel, l’on disparaîtrait, et à jamais, sans espoir

Un jour de revoir ni le paradis ni la terre, purgatoire !

.

Pour les religieux, l’enfer est sous Terre

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Pour les religieux, le paradis est au ciel

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Et pour humoriste, paradis est en enfer,

Lors voulant dire, par-là, qu’il est en fer.

Dur, dur, quand même : c’est pas crédit,

Lors faut pas s’en faire d’un tel paradis !

.

.

1107 – Calligramme

.

   *                  P

L’enfer et le paradis ne     O       <>      A    seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne      Ù       <>      R   seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute      *        <>       A    l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,      S       <>       D   on   prétend  moderne,

On leur a conservé une     E       <>       I    vie virtuelle, existence.

Sauf  que, par  analogie,   *        <>       S   c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux    T       <>       /    le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs    R       <>      E    ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  cher    O       <>      N   cher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont    U       <>      F     tous des communautés

Proches de nous, et enfer   V       <>      E   mées dans un huis-clos.

   E  …                 R

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

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.

¤¤¤   Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,   ¤¤¤

¤¤¤    Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,   ¤¤¤

¤¤¤    Tandis que leur paradis serait au firmament de belles   ¤¤¤

¤¤¤    Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.     ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,    ¤¤¤

¤¤¤    Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,    ¤¤¤

¤¤¤    Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,    ¤¤¤

¤¤¤    Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !   ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral    ¤¤¤

¤¤¤    Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.    ¤¤¤

¤¤¤     Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,    ¤¤¤

¤¤¤     L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.   ¤¤¤

.

¤¤¤     Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,    ¤¤¤

¤¤¤     Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :    ¤¤¤

¤¤¤    Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :     ¤¤¤

¤¤¤    Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !    ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit    ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,     ¤¤¤

¤¤¤     Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,     ¤¤¤

¤¤¤     Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.     ¤¤¤

.

¤¤¤   Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,    ¤¤¤

¤¤¤   Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments     ¤¤¤

¤¤¤   J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.     ¤¤¤

¤¤¤    L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !      ¤¤¤

.

¤¤¤   Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu    ¤¤¤

¤¤¤   Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable    ¤¤¤

¤¤¤   J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus    ¤¤¤

¤¤¤   Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.   ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1107 4

.

Ça ressemble fort à  porte

 D’entrée avec beau fronton

Au-dessus comme un livre

Ou encore comme balance.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

Symbolique

Porte  d’entrée, symbolise  le   passage

D’un lieu à un autre, rôle de protection

Pour être mieux en sécurité chez soi.

Entrer, sortir, franchir un obstacle,

Ou bien reculer devant l’obstacle ;

Dépassement de soi ; sublimation

Ou encore échec devant la porte ;

Passage extérieur  et l’intérieur :

Référence  à la clé ;  la solution à

Enfermement, lumière, obscurité

La vie, la mort  (jugement dernier

Et l’entrée  au royaume des morts ;

Ce qui est révélé et ce qui est caché ;

Bien / mal et limite à ne pas franchir ;

Ce qui est sacré  et ce  qui  sera  profané.

Source : euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1107 6

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire peut être défini sommairement

Comme le fruit de l’imagination d’un individu,

D’un groupe ou d’une société, produisant

Des images, des représentations,

Des récits ou des mythes plus

Ou moins détachés de ce qu’il

Est d’usage de définir comme la réalité.

.

Il s’agit de la capacité d’un groupe

Ou d’un individu à se représenter

Le monde à l’aide d’un réseau

  D’associations        d’images

Qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.


.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Porte du paradis,

Ou porte  de l’enfer

Pourquoi  une  porte,

Là où on n’en sait rien !

.

Une anthropomorphisation non pas

De l’homme, de l’Espace, sauf à penser,

Qu’il ne s’agit là que de pures métaphores

Il s’agit davantage d’ouverture que mobilier,

De passage d’un état à un autre, non d’un lieu

 .

.

Escalier montant, descendant ?

.

Scénario

.

Imagination débordante et un paradis en fonction de ses croyances,

enfer plus sobre, secret, redoutable, derrière une porte mystérieuse,

tandis que sur Terre, on cherche encore le gouffre qui l’abriterait !

 .

Visuels et textuels  >>

1105 – Le paradis, l’enfer, demeurent mystères !

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

.

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

.

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

.

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

.

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Extensions

.

Un paradis peut être  un enfer, pour les uns,

Et réciproquement

«L’enfer, c’est les autres», dira Jean Paul Sartre.

Ça en ferait des milliards

Et pourquoi n’y aurait-il pas des intermédiaires,

Pour intercéder, plaider sa cause

À moins d’acheter sa place avec somme d’argent.

.

À défaut  de découvrir, ou  d’expliquer,

Sinon comprendre la vie après la mort,

On en a fait tout un mystère, comblant

Vide sidéral de notre sens d’existence !

.

Faut avouer que c’est bien vu et moral :

Le bien, tout en haut, et, en bas, le mal !

Et avec les deux incarnations virtualisées

Que son Dieu et son ange, déchu : démon !

.

.

1105  – Calligramme

 .

PARADIS

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

ET ENFER

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

DEMEURENT

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

UN MYSTÈRE 

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1105 4

.

Un beau flacon de parfum

Une bouteille avec bouchon

Forme d’insecte, du genre

Coléoptère, coccinelle.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Dans l’oreille devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1105 6

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

.

Le symbolisme des coccinelles

Plus connu est le fait qu’elles sont

De  formidables   porte-bonheur !

.

Si une coccinelle se pose

Sur votre doigt, faites-la s’envoler

En pensant, très fort, à l’un de vos

Souhaits le plus cher.

.

Si elle s’envole, il y aura de grande

Chance  qu’il se réaliserait dans les

Semaines suivantes.

.

Soyez attentif et  écoutez bien votre

Instinct et mettez alors tous vos sens

En éveil afin de guetter

.

Tous les signes qui vous confirmeront

Ou non que votre vœu va s’exaucer.

wemystic.fr/guides-spirituels/

symbolisme-coccinelles

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ni en paradis ni en enfer

On ne trouva  aucune trace

De coccinelle ni de coléoptère,

Si coccinelle est : bête à bon Dieu

Ce n’est que légende, moyenâgeuse,

Rapportée comme grâce de supplicié !

.

Coléoptère s’avère être symbole religieux.

En Égypte ancienne mais nullement en enfer

Mais peut-être, en serez un, dans un des lieux

Tant ce qui l’y a,  s’y passe, demeurent mystère.

 .

.

Paradis en haut, Enfer en bas

.

Scénario

.

Un paradis, tel qu’imaginé imagé par la peinture naïve.

Une porte de l’enfer  serait  pleine de doutes, d’angoisses.

Comment monter au paradis, ne pas descendre en enfer ?

 .

Visuels et textuels  >>

1103 – Quand l’homme se prend pour un Dieu !

Visuels et textuels  >>

.

Ne pas savoir Dieu

Ni même s’il  y en a un

Homme  s’en   serait  fait

Nombreuses représentations

Auxquelles,  il   voudrait   bien

Ressembler et s’en rapprocher.

.

Les mythes grecs, des divinités,

Sont rendus bien trop humains

L’homme ne peut s’en  passer

Il ne cesse de les réinventer,

.

Dieu de ceci, dieu

De cela ou de tout,

Avoir besoin Dieu,

 Aurait toujours été.

.

De par la taille de son cerveau et de par ce qu’il peut contenir,

L’homme peut vivre le présent regardant son passé, son avenir,

Anticiper sa mort, qui met fin à son destin d’humain individuel :

Autant sa naissance lui parait belle ; sa mort, lui devient cruelle !

.

Toute une vie vouée à se parfaire, pour finir six pieds sous terre,

L’homme connaît les autres, le monde, mais lui-même, mystère

Toutes ses relations sont, à la fois, construites, prédéterminées,

Attractions, répulsions, indifférences, compassions, codifiées :

.

Se hisser, au plus haut point de son humanité

Pour  de son vivant, toucher le  doigt  de  Dieu,

Quelques  savants artistes politiciens  religieux

Ont traqué en vain cet invisible doigt  et déifié.

.

La tentation suprême n’est-elle pas elle-même

De s’y substituer jusqu’à mourir en bienfaiteur

De notre Humanité, qui n’est autre que vacuité.

.

La perfection n’étant pas de ce monde étant leurre

Nous entraine, voire nous enchaine, pour nos peines

Afin de parvenir, dans une transcendante spiritualité.

Homme est animal intelligent, ou, animal dominant :

Cela fait-il une grande différence avec un fossé béant,

.

Sommes-nous des demi-dieux, des animaux parlants

Appelés à se perpétuer, jusqu’à disparition, en néant.

Quand, un conjoint,  un parent,  un enfant, meurent,

Ces derniers emportent avec    eux une partie de soi,

.

Tant et si bien qu’à la fin,  on ne sait, à cette heure,

Ce qu’il reste de soi, on  est pour l’autre, émoi.

Supposons Dieu existe il est plutôt entre nous,

Qu’en chacun de nous, ou au-dessus de nous.

Il est lien, non un bien il est esprit, non objet,

Nous l’avons créé pour vivre comme en sujet.

.

Ce qui fait qu’histoire  boucle sur elle-même

Sommes juge et partie  ce, nous voulons être

Plus que comprendre  on s’efforce paraître,

Etre dieu et non bête  idée qu’on a en tête.

.

Et ni dieux ni diables  simple ange déchus

D’olympe ou paradis  endroit céleste déçu

Condition d animalité qu’on ne sait défaire

L’homme est un père  l’animal, son frère !

.

.

Extensions

 .

N’est pas Dieu qui veut et il n’y aurait qu’un seul !

Mais l’homme serait-il son représentant sur Terre !

La loi darwinienne de l’évolution conteste ce credo,

Lequel ferait foi devant l’Humanité, toute entière,

À moins que la Genèse, dans la Bible, c’est Dieu.

De représenter Dieu sous  une forme humaine

Est une aberration,  anthropomorphisme.

Dieu ne se prend pas pour un homme

Et réciproquement, ça va de foi !

.

Fils de dieu, un demi-dieu, un Dieu :

Que fils de rien, c’est toujours mieux !

.

Dieu est mort, l’homme est surhomme,

Nous proclame le philosophe Nietzsche :

Idée de la supériorité qu’un homme idéal

Aurait acquise sur reste du genre humain.

Ce qui nous refait penser à la quête de l’élu,

Rassurez-vous, ce ne serait pas moi, ni vous.

.

Je ne pratique pas grand mépris du bonheur,

 Au sens des stoïciens,

Pas davantage que  de la raison, en conscience

Morale vue par Kant,

De la vertu ou disposition au bien, qui ne serait

Qu’obéissance morale !

.

.

1103 – Calligramme

.

Ne pas savoir Dieu

Ni même    s’il    y en a un

Homme  ô  s’en   ô  serait fait

Nombreuses   //   représentations

Auxquelles,    //   il   voudrait  bien

Ressembler // et s’en rapprocher.

Les  mythes  grecs,   des divinités,

Sont passés ==== trop humains

L’homme ne peut  s’en  passer

Il ne cesse de les réinventer,

.

Dieu de ceci, dieu

De cela ou de tout,

Avoir besoin Dieu,

 Aurait toujours été.

QUAND  L’HOMME  

De par la taille de son cerveau et de par ce qu’il peut contenir,

L’homme peut vivre le présent regardant son passé, son avenir,

Anticiper sa mort, qui met fin à son destin d’humain individuel :

Autant sa naissance lui parait belle ; sa mort, lui devient cruelle !

Toute une vie vouée à se parfaire, pour finir six pieds sous terre,

L’homme connaît les autres, le monde, mais lui-même, mystère

Toutes ses relations sont, à la fois, construites, prédéterminées,

Attractions, répulsions, indifférences, compassions, codifiées :

Se hisser,              au plus haut point de son              humanité

Pour de                son vivant, toucher doigt                 de Dieu,

Quelques           savants artistes politiciens                religieux

Ont traqué         en vain cet invisible doigt                et déifié.

SE PREND  POUR

La tentation suprême n’est-elle pas elle-même

De s’y substituer jusqu’à mourir en bienfaiteur

De notre Humanité, qui n’est autre que vacuité.

La perfection n’étant pas de ce monde étant leurre

Nous entraine, voire nous enchaine, pour nos peines

Afin de parvenir, dans une transcendante spiritualité.

Homme est animal intelligent, ou, animal dominant :

Cela fait-il une grande différence avec un fossé béant,

Sommes-nous des demi-dieux, des animaux parlants

Appelés à se perpétuer, jusqu’à disparition, en néant.

Quand, un conjoint,  un parent,  un enfant, meurent,

Ces derniers emportent avec    eux une partie de soi,

UN DIEU !  

Tant et si bien qu’à la fin,   on ne sait, à cette heure,

Ce qu’il reste de soi, on          est pour l’autre, émoi.

Supposons Dieu existe        il est plutôt entre nous,

Qu’en chacun de nous,           ou au-dessus de nous.

Il est lien, non un bien         il est esprit, non objet,

Nous l’avons créé pour         vivre comme en sujet.

Ce qui fait qu’histoire           boucle sur elle-même

Sommes juge et partie          ce, nous voulons être

Plus que comprendre            on s’efforce paraître,

Etre dieu et non bête             idée qu’on a en tête.

Et ni dieux ni diables             simple ange déchus

D’olympe ou paradis             endroit céleste déçu

Condition d animalité          qu’on ne sait défaire

L’homme est un père             l’animal, son frère !

 .

.

Forme

 Réduction

.

.

Évocation 

.1103 4

.

Une silhouette d’homme

D’allure très  imposante

Ressemblant  à un dieu

Mais n’en étant pas un !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Autant  de postures pour un

Surhomme proche d’un dieu.

Dieu du stade,    roi du muscle,

Chef d’œuvre de la  Nature !

.

Symbolique 

.

La notion de Surhomme

Est à la fois la plus connue

De  Nietzsche,  mais,  aussi,

Et surtout la plus complexe.

Elle traverse son œuvre mais

Apparaît de manière éclatante dans

Ainsi Parlait Zarathoustra. Zarathoustra

Est présenté comme l’annonciateur

D’un retournement complet,

Prophète d’une nouvelle culture,

Faite de création et de spontanéité,

D’art, dont le jeu, l’activité enfantine

Ou la danse, sont la meilleure image,

Et dont Dionysos, le dieu de l’ivresse

Et de la danse, et non plus Socrate,

Serait le symbole.

la-philosophie.com/nietzsche-surhomme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Autant  de postures pour un

Surhomme proche d’un dieu.

Dieu du stade,  roi du muscle,

Chef d’œuvre de la  Nature !

.

Symbolique

.

Dieu

Désigne un être

Ou une force suprême

Structurant    l’Univers ;

Il s’agit selon les croyances

Soit d’une personne physique,

D’un   concept  philosophique

Ou  d’un   dogme  religieux.

La notion  de  Dieu  revêt

Un considérable impact

Culturel, notamment

Dans la musique,

La littérature,

Le cinéma,

La peinture,

La représentation

De Dieu  et  la façon

De le nommer, varient

En fonction des époques,

Et systèmes de croyances.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

C’est nous, les humains qui définissons Dieu

Il ne s’est jamais défini lui-même et y compris

Dans la bible. Yahvé est celui qui suis, qui est,

Nous voilà bien avancé avec cela, avec si peu

Néanmoins on ne peut s’empêcher, s’interdire

De se le représenter par conception, l’image.

.

Religieux en ont une, philosophes une autre

Artistes, une troisième ; astronomes, etc…

Par ailleurs, le fait que  nous n’ayons pas

La preuve scientifique existence de Dieu

N’est pas la preuve de son inexistence.

 .

.

Se prendre pour Dieu 

.

Scénario

.

Dieu, tel qu’il est représenté par l’Église catholique

et par Michel-Ange, pointant son doigt sur l’homme,

pour lui procurer de l’énergie, sous toutes ses formes !

.

Visuels et textuels  >>

1101 – Qu’est-ce qu’une belle âme, belle intention !

Visuels et textuels >>

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme l’aurait inventé

Afin de pouvoir décharger en lui

Les peines  qu’il n’a pas méritées,

Elles  sont  imposées  par   hasard,

Pour bien  le  remettre  à l’épreuve

Et cela, même si de paradis, enfer,

Nous n’avons moindre de preuves.

Il nous faut croire en des choses

Immatérielles, voire invisibles,

En des promesses des vérités

En des mystères indicibles,

Notre vie avec  notre âme

Est le projet d’amour,

Étincelle  spirituelle

Nous serait donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

Qu’est-ce que je risque à croire que le pari de Pascal est le bon.

Qu’est-ce qu’une belle âme : un être paré des belles intentions,

Mais l’enfer, comme chacun le sait en est pavé, jusqu’au fond,

Jugez «en votre âme et conscience» dit-on aux jurés d’assises,

Rien en ce monde, ne ressemble, peu ou prou, à terre promise.

Pour les uns, notre âme est cachée au tréfonds  de notre être,

Pour d’autres est tapie en notre regard   comme dans miroir,

Pour certains, vous la caresserez, à fleur de peau, peut-être :

Elle peut se trouver partout, nulle part ni blanche ni noire.

.

Catholique, islamique, bouddhiste, animique ou mystifiée,

Les religions se vaudraient toutes par le principe du sacré,

«Sacré Pater» et «Sacré Ave»,  hommes, femmes, imaginés

Pour qu’on puisse mieux les représenter, les chérir, adorer.

Dieux, religions, ne sont pas vierges de sang sur leurs mains

Que de guerres, que de morts ont été perpétré en leur nom,

Pourquoi faut-il  se convertir, défendre telle ou telle religion

Prophétisant bon lendemain, tout en violentant le prochain.

Chacun en définitive, est libre de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre  chemin de vie, droit, tortueux,

Pour qu’à la fin, il se dise, je le   referais encore, nom de Dieu.

.

.

Extensions

.

Une belle âme : qui dit cela de quelqu’un, quelqu’une ?

Personne, mis à part lorsqu’il s’agit du fait religieux !

On dit pourtant que l’âme n’est pas liée à la religion

Mais bien plutôt an principe de vie qui nous agit.

Serait-elle invention de l’homme pour se sauver

De sa condition animale lui collant à la peau,

Et pour quelle intention, pour quel paradis.

.

L’intention dépend plus de la conscience

Que de l’âme dont on ignore l’existence,

Sinon le contenu et voire les contours,

Que ce soit en raisons ou en amours.

.

On nous parle d’une hauteur d’âme,

Quand l’intention est belle, humaine,

C’est-à-dire totalement désintéressée,

Comme si, par elle, par le bien, dictée !

.

.

1101 – Calligramme

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme ?    l’aurait inventé

Afin de pouvoir   ?  décharger en lui

Les peines  qu’il n’     ?  a pas méritées,

Elles  sont  imposées      ?     par  hasard,

Pour bien le  remettre         ?     à l’épreuve

Et cela, même si de pa          ?  radis, enfer,

 Nous n’avons moindre          ?    de preuves.

Il nous faut croire en            ?     des choses

Immatérielles, voire           ?      invisibles,

En des promesses            ?     des vérités

En des mystères          ?      indicibles,

Notre vie avec         ?       notre âme

Est le projet      ?        d’amour,

Étincelle     ???   spirituelle

Nous  serait  donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

 D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre, et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

 Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

 À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

  Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

*****************************************************

.

     Qu’est-ce que je risque à croire   Q    que le pari de Pascal est le bon.

   Qu’est-ce qu’une belle âme : un    U   être paré des belles intentions,

  Mais l’enfer, comme chacun le sait  ‘       en est pavé, jusqu’au fond,

 Jugez «en votre âme et conscience»  E   dit-on aux jurés d’assises,

   Rien en ce monde, ne ressemble, peu S    ou prou, à terre promise.

   Pour les uns, notre âme est cachée, au   T  tréfonds de notre être,

     Pour d’autres est tapie en notre regard    *   comme dans miroir,

         Pour certains, vous la caresserez, à fleur  U  de peau, peut-être :

          Elle peut se trouver partout, nulle part    N  ni blanche ni noire.

                                        E

               Catholique, islamique, bouddhiste,     *   animique ou mystifiée,

              Les religions se vaudraient toutes   B   par le principe du sacré,

              «Sacré Pater» et «Sacré Ave»,      E   hommes, femmes, imaginés

              Pour qu’on puisse mieux les      L  représenter, les chérir, adorer.

           Dieux, religions, ne sont pas    L  vierges de sang sur leurs mains

      Que de guerres, que de morts    E     ont été perpétré en leur nom,

   Pourquoi faut-il  se convertir,    *   défendre  telle ou telle religion,

 Prophétisant bon lendemain,        tout en violentant le prochain.

 Chacun en définitive, est libre   M   de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il  E    pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre   ?    chemin de vie, droit, tortueux,

 Pour qu’à la fin, il se dise, je le   *     referais encore, nom de Dieu.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

Une forme avec une tête

Mais  qui voilerait son âme

En haut   et  un corps évoqué

En bas comme d’un fantôme !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Si la tête et l’âme vont bien ensemble

le corps y participe aussi évidemment.

de toute façon âme, point d’interrogation

tant et si bien que la forme épouse le fond.

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

 .

Le mot âme évoque

Un pouvoir invisible :

Être distinct, partie d’un vivant,

Principe de vie, d’organisation, d’action.

.

Par son pouvoir mystérieux, elle suggère

Une force supranaturelle, un esprit,

Un centre énergétique.

Affirmée par la religion,

Rejetée par la science

L’âme est une imposture.

.

Pas d’âme au bout d’un scalpel.

Elle est acceptée  comme  évocatrice

D’une invisible puissance et provocatrice

D’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1101 6

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

.

Tête est la partie

Qui domine le corps,

Le  siège  de  la  pensée

Et de la communication.

Elle symbolise : l’identité,

L’émotion, et  l’intelligence,

La communication, la volonté.

Partie du corps  la plus  sensitive.

En effet, elle concentre la vue, l’ouïe,

L’odorat  et le goût, partie du corps qui

Renferme le cerveau, le siège de la pensée

Contrôle de l’ensemble des comportements.

La tête est donc la partie la plus importante

Et de loin, la plus complexe de tout le corps.

Représente l’interface entre le monde

Extérieur et la réalité intérieure.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

 .


.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

La tête est perçue comme étant le siège de «l’âme»

 Et beaucoup d’autres  organes, processus, facultés,

Et sans qu’aucun neurologue n’ait su où la placer :

De là à dire qu’elle est belle   si on ne sait pas même

Ce que c’est où elle est, ce qu’elle fait,  si nous survit,

C’est comme si on savait tout  sur l’avant-Big bang.

.

Peut-être y a-t-il confusion  entre âme et conscience

D’un côté, et entre science  et conscience, de l’autre !

De même que nous avons cerveau gauche, rationnel

Et  cerveau  droit, poétisée,  émotionnel, imaginaire

Et un corps calleux, au milieu, connectant les deux.

.

Vision un peu simpliste, voire  mécaniste, s’il en est,

C’est un mythe sui perdure, tout comme notre âme

Comme nous ne pouvons guère nous passer d’eux,

Nous persistons à les croire voire à les renforcer.

 .

.

Intention est-elle en clé avec âme 

.

Scénario

.

Fille à qui on donnerait le bon Dieu et sans confession …

Symboles du même Dieu et religions monothéistes ennemies.

Belle âme ne laisserait entrevoir que son reflet de lumière.

 .

Visuels et textuels >>

1059 – Si l’on laisse l’humain à son libre arbitre

Visuels et textuels  >>

.

Libre arbitre humain,

Est-il cadeau divin sibyllin.

Le laisser penser, dire ou faire

N’importe quoi, ou d’arbitraire,

Serait-il un service à lui rendre ?

.

Au-delà du fait,  l’interprétation ;

Au-delà interprétation, croyance ;

Au-delà croyance vérité religion,

Voire cosmogonie mystique.

.

Il faudrait aller voir derrière le…Big Bang

Pour tout savoir enfin, mais pour savoir quoi,

Plus important encore : par quoi et pourquoi

Car si l’on laisse l’humain  à son libre arbitre

Il finira par trouver un sens  à sa vie de pitre.

.

Mais sens diffèrent seulement en apparence,

Acquérir de l’argent voire somme de science

Le pouvoir, le savoir ultime, lui échappent.

.

Nous répéter voir et des centaines de fois

Sans qu’il y ait aucun ne disant : assez,

Cela suffit comme ça de se plagier !

   .

Cela vous paraître  in-cro-ya-ble,

Peut vous paraître invraisemblable

Moi, je trouve cela plutôt délectable

Preuve  que    nous  soyons capables.

 .

Il faudra, peut-être  inventer une foi,

En autre chose, que  ce qu’on sait déjà,

Derrière le Big Bang faudrait aller voir,

Si Dieu n’aurait pas  laissé de marques

Pour induire, l’erreur d’être, été, d’espoir.

.

Dieu les a classés au  rayon farces, attrapes

Quand on a tout dit, on a encore rien dit, pire,

On s’acharne à en douter, même à tout contredire.

.

.

Extensions

 .

Tout fait sens sur notre planète Terre

Et dans notre vie et dans l’Univers,

Et  rien  ne  le ferait … vraiment :

C’est un  paradoxe que  de nous

Laisser libre de voir en esprit,

Alors qu’on est aveugle en

Perception  physique :

La vérité se cache derrière

Un voile, on le sait mais on n’y

A  pas accès, expérimentalement,

Pour le prouver : le Big bang, constitue

Le dernier voile connu, au-delà duquel tout

Nous est inconnu et le restera  pour l’éternité.

Si l’on laisse l’humain à son libre-arbitre,

Certains le prendront pour eux seuls :

« Je suis libre de faire, de dire,

Et de croire ce que je veux »

Tandis que d’autres penseront

Qu’ils ont une responsabilité envers

Les autres et que leurs attitudes peuvent

Exercer domination, insupportable, sur eux.

D’un côté, les égoïstes, cyniques,

De l’autre les altruiste, humanistes.

.

La liberté et le libre arbitre semblent être des concepts occidentaux

Pour ne pas dire, des valeurs gréco-latines, voire judéo-chrétiennes !

La liberté a un prix : la responsabilité, la culpabilité, la honte, prison,

Mais le manque de libertés, qui s’apparente à une obéissance aveugle,

Ne fait pas des citoyens à part entière capables de voter pour le mieux.

La marge de manœuvre sera, de toute façon restreinte quel qu’elle soit

Dès lors que ma liberté s’arrête où commence celle de l’autre, autres.

.

On aura écrit des tonnes de livres,

Articles éditoriaux, voire tribunes

Sur libre arbitre et responsabilité

Sans, complétement, les clarifier !

.

Le serpent se mord un peu la queue

Pour exercer son plein libre arbitre,

Sans manipulation de toutes parties

Il faudrait avoir bonne connaissance,

.

Or la pleine connaissance,  expérience,

Est le fait des seuls experts dit patentés,

Qui ne prennent pas en compte l’émotion,

Comme agir sur coup de colère, humiliation.

.

.

Épilogue

.

La liberté reste un concept, et  un  droit

Fondamental de l’être humain, dit-on.

Mais si le concept va de soi dès lors

Que l’on nait tous libres et égaux,

Son application  se veut combat

Pour faire valoir tout son droit

Pas seulement en tribunaux :

Dans le public, dans le privé !

***

Hors liberté, serions soumis

À l’arbitraire,  au contraire,

Selon le bon vouloir acquis

Par nos dirigeants, maitres

Pour qui  tout  libre-arbitre,

Est comme injure à leurs lois.

***

Face  au  dictateur, responsable,

Des  sujets, déviants … coupables,

Et alors des prisons se remplissent,

Sans que ne rien faire l’on ne puisse.

***

Mais,  la liberté  des uns, finissant là où

Commence  celle des autres,  il  faut fixer

Toutes limites  de notre marge de libertés,

Pour exercer notre libre-arbitre, garde-fou.

***

J’avoue que parfois j’y comprends rien du tout,

Nul n’est censé ignorer la loi, la même pour tous,

Mais qui l’a décidé, la change, la connait vraiment,

Affaire de spécialistes, nous accablant ou défendant.

.

.

1059 – Calligramme

.

Libre arbitre humain,

Est-il cadeau divin sibyllin.

Le laisser penser, dire ou faire

N’importe quoi, ou d’arbitraire,

Serait-il un service à lui rendre ?

Au-delà du fait,  l’interprétation ;

Au-delà interprétation, croyance ;

Au-delà croyance vérité religion,

Voire cosmogonie mystique.

****************

****************

Il faudrait aller voir derrière le…Big Bang

Pour tout savoir enfin, mais pour savoir quoi,

Et plus important encore : par quoi et pourquoi !

¤¤¤ Car si l’on laisse l’humain à son libre arbitre¤¤¤

¤¤¤¤ Il finira par trouver un sens à sa vie de pitre, ¤¤¤¤

¤¤¤¤  Mais sens diffèrent seulement en apparence,  ¤¤¤¤

¤¤¤¤¤ Acquérir de l’argent voire somme de science ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤     Le pouvoir, le savoir ultime, lui échappent.   ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤        Nous répéter voir et des centaines de fois       ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤           Sans qu’il y ait aucun   L   disant : assez,          ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤            Ça suffit comme ça     I    de se plagier !           ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤             Cela vous paraître      B     in-cro-ya-ble,             ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤              Peut vous paraître     R    invraisemblable            ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤               Moi, je trouve cela     E  plutôt délectable               ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤               Preuve  que    nous     –   soyons capables.               ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤                Il faudra, peut-être    A     inventer une foi,                ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤                En autre chose, que    R   ce qu’on sait déjà,                 ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤                Derrière le Big Bang    B   faudrait aller voir,                 ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤                Si Dieu n’aurait pas      I    laissé de marques                   ¤¤¤¤

¤¤¤¤               Pour induire, l’erreur     T    d’être, été, d’espoir.                ¤¤¤¤

¤¤¤                 Dieu les a classé en un    R   rayon farces, attrapes                ¤¤¤

¤¤                  Quand on a tout dit, on    E   a encore rien dit, pire,                ¤¤

¤¤¤               On s’acharne à en douter, même à tout contredire.              ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1059 4

.

Silhouette homme

Et  qui   s’interroge

Sur libre-arbitre 

Et responsabilité ?

 

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Un homme qui écarte les bras et mains

se demandant ce qu’il peut et doit faire

est une image d’un certain libre-arbitre,

si fait que la forme converge vers le fond

.

Libre arbitre, tout le monde en parle,

En use voire en abuse :

Nous serions seuls en responsabilité,

De tout ce qui nous arrive.

 .

Symbolique

 .

Libre arbitre décrit la propriété

Qu’aurait  la  volonté  humaine  de

Se déterminer                 librement 

Ou alors                  arbitrairement 

À agir et à penser, par opposition

Au déterminisme, au fatalisme,

Qui affirmeront que la volonté

Est déterminée dans chacun

De ses actes par des forces

Qui    l’y    nécessitent.

Se   déterminer   à, 

Être déterminé  par,

Est l’enjeu de l’antinomie

Du destin et du libre arbitre.

Source : histophilo.com/libre_arbitre

.

.

Fond

.

Évocation

.

1059 6

.

Libre arbitre, tout le monde en parle,

En use voire en abuse :

Nous serions seuls en responsabilité,

De tout ce qui nous arrive.

 .

Symbolique 

 .

De façon générale,

La responsabilité collective

Signifie, non pas la responsabilité

D’un  collectif, en  tant  que tel,  mais

Celle  des  membres  qui  le  composent.

.

Si  la  France  envahissait  un pays voisin,

Sans raison légitime, s’engageraient, d’abord,

La responsabilité du président de la République,

Des membres du gouvernement et des armées,

Mais  aussi  celle  de l’ensemble  des  Français

Les ayant élu  et accepté son gouvernement.

.

Comme ils auraient pu empêcher intrusion

En s’opposant frontalement à leurs dirigeants,

Ils auraient participé, eux aussi, et indirectement

À cette action belliqueuse qu’ils ne cautionnaient pas.

.

Mais une telle explication, fondée sur la logique causale,

Se heurte, et de prime abord, à cette difficulté classique

De réduire le comportement du collectif aux actions

De ses membres individuels.

cairn.info/revue-bulletin-de-psychologie-2008-2-page-131

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Pas de responsabilité sans aucun libre-arbitre

Sur ce point-là, au moins la justice aura tranché :

On doit être en pleine conscience de ce que l’on fait :

Dans un  cas contraire, on ne peut être jugé coupable.

Entre la vérité et l’erreur, il y aurait l’interprétation

Qui prend en compte ou science ou croyance

Ou se détermine parole contre parole

Ou selon son intime conviction.

 .

.

Le peuple contre le président

.

Scénario

.

Vie est faite de choix : il y a ceux qui sont possibles ou sont derrière,

croisement de la vie, j’aurai pouvoir de décider de mon libre-arbitre,

quelle religion je choisis,  pourquoi je n’en choisis aucune ou athée ?

 .

Visuels et textuels  >>