576 – Comment peut-on avoir été tout puis plus rien

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est étrange, difficile

À croire et plus à accepter

Être tout puis n’être plus rien !

Sauf  à n’être que système binaire

Comme  fonctionne  l’informatique,

Y a quelque chose  entre tout  et rien.

C’est ainsi que fonctionne l’humain

L’affection  n’échappe pas à règle

Qu’on soit souris, on soit aigle

L’on aura  tous  des amis

Et parfois, ennemis,

Se servant de nous

Mettant à merci !

.

Se méfier de tout le monde et chacun

Ne nous fera pas rencontrer quelqu’un

Tout comme de réagir  en tout puis rien,

Ne stabilisera jamais notre amour féminin.

Avoir été tout et puis rien sinon le contraire

Demeureront des situations, extraordinaires,

Proches d’un déni, de réalité,  ou, de relativité,

À même de nous perdre  dans la communauté :

Comment peut-on avoir été  out pour quelqu’un

Et, pour le même, soudain, ne devenir plus rien !

.

Il est vrai que, tout le monde a un droit à l’erreur,

Faire un essai, avant de mettre fin à son malheur.

Séductions-abandons se renouvellent, et, à foison,

Et alors, l’on collectionne les échecs et sans raison.

Faut peut-être se poser  la question de l’apparence,

Comment l’autre nous perçoit dans nos différences.

Cela peut venir, de l’autre,  de soi-même, des deux :

Un mystère que, deux êtres  deviennent  amoureux,

C’est aussi, parfois, un manque de confiance en soi,

Ou une attente, envers l’autre, qui ne va pas de soi !

.

L’amour, dès premier degré, se satisfait d’égoïsmes,

Tant il se distend, se déforme, à travers  son prisme.

Au dernier degré, il existe peu et on ne le définit pas,

Chacun le rêve, ou l’imagine, voire le projette, en soi.

Il faut se libérer de tous les modèles surtout parfaits,

Tant l’amour, de rester, défini, statique, ne le saurait.

Les apparences décident de ce qui est bien pour vous,

Mais les transparences de ce qui est mieux pour nous.

Puis arrive un moment où il faut parier sur quelqu’un

Sans trop connaitre son devenir en évolution demain,

Quoiqu’il arrive, l’on devrait toujours tendre la main,

Tan, trop souvent, on jette le bébé avec l’eau du bain.

.

Pour ne jamais s’encombrer  des amours  anciennes,

Bien des femmes préfèrent  ne pas  les collectionner.

Changer un corps  pour un autre les intéresse moins

Que de changer, et du tout au tout,  de  personnalité.

Que faut-il en conclure de cela et dans tout ce fatras,

Couple a part de mystère qui demeurera insondable !

.

Extensions

 

Est-ce bien raisonnable

De jouer sa vie, sa famille,

Sa fortune, ou son royaume

Sur  un  simple  coup de dés.

Non,  si   l’on   n’y   croit  pas

Au hasard  ni   à  la  chance ;

Oui, si l’on se dit  qu’on peut

Influer sur sort de dés jetés

Ou croire  notre sort scellé

Par destin écrit d’avance.

 .

En un coup de dés, je gagne une fortune

Lors en un autre coup de dés, je la perds.

Peut-on jouer  la séduction  d’une femme,

Sur un simple coup de dé, qui la désigne ?

Le pari est plus qu’osé, et, n’est pas gagné,

Si elle l’apprend : gare  au  retournement :

Je passerai alors de tout à moins que rien.

 .

On est bien tous d’accord

Pour affirmer que l’amour,

N’a rien de rationnel, si peu,

Qu’on pourra le jouer au jeu !

.

Or  quelque chose  nous retient

De le faire, on souhaite un joker,

Pour que chance tourne bon côté,

Amour ne serait pas chose à vendre.

.

 Tout se vend, tout s’achète, prétendent

Bien des marchands de chairs humaines,

Sauf ma chère âme, n’étant rien, valant rien

Et pourtant la seule chose à laquelle je tiens !

.

Fragments

.

Jouer sa vie sur un coup de dé !

Jouer conquête amour entre dès,

Ça marche ou ça ne marchera pas,

Mais c’est jute un dé qui le décidera.

.

Y en a, parait-il qui auront fait le pari,

Cette fille, pour de l’argent, tu l’emballes

Et en plus, ça marche, la voilà amoureuse,

Elle n’était rien, voilà qu’il est  devenu tout.

.

Sauf que copains, ne voulant pas débourser,

Menacent, le faire chanter et de tout révéler,

Le conte de fée se transforme en cauchemar

Il ne peut que lui avouer : il en avait marre.

.

Dieu quelle histoire et pour s’en dédouaner,

L’amant factice lui met en main un seul dé,

Quand tu ouvriras les doigts si c’est le deux,

On efface tout avant, on continue à s’aimer.

.

Romance à cent balles, peut être excitante,

Or  dieu, lui-même, ne jouant pas  aux dés,

Fera que tout cela, ne deviendra plus rien,

Ce que c’est de jouer au dé, à tout ou rien.

.

Aux jeux  de dés,  l’on peut  tout  gagner,

Tout autant que tout perdre en un coup,

Dans une situation comme dans l’autre

Le fond s’accordera autant à la forme !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

C’est étrange, difficile

À croire et plus à accepter

Être tout puis n’être plus rien !

Sauf    Ô   être système  Ô   binaire

Comme fonctionne// ment informatique,

Y a quelque chose //         entre tout  et rien.

C’est ainsi que  //fonctionne être humain

L’affection  === n’échappe règle

Qu’on soit souris, on soit aigle

L’on aura  tous  des amis

Et parfois, ennemis,

Se servant de nous

Mettant à merci !

Se méfier de tout le monde et chacun

Ne nous fera pas  A  rencontrer quelqu’un

Tout comme de réagir  V   en : tout puis rien,

Ne stabilisera jamais not  O   re amour féminin.

Avoir été tout et puis rien,    I     sinon le contraire

Demeureront des situations,    R       extraordinaires,

Proches d’un déni, de réalité,      *        ou, de relativité,

À même de nous perdre  dans    É      la communauté :

Comment peut-on avoir été     T   tout pour quelqu’un

Et, pour le même, soudain,   É  ne devenir plus rien.

Il est vrai que, tout le monde  T    a un droit à l’erreur,

Faire un essai, avant de met    O   tre fin à son malheur.

Séductions-abandons se re    U   nouvellent, et, à foison,

Et alors, l’on collectionne    T    les échecs et sans raison.

Faut peut-être se poser  la   *      question de l’apparence,

Comment l’autre nous per   N  çoit dans nos différences.

Cela peut venir, de l’autre,      ‘   de soi-même, des deux :

Un mystère que, deux êtres      Ê  deviennent amoureux

C’est aussi, parfois, un manque   de confiance en soi,

Ou une attente, envers l’autre      R  qui ne va pas de soi

                      E

L’amour, dès premier degré, se     *   satisfait d’égoïsmes,

Tant il se distend, se déforme,    P   à travers  son prisme.

Au dernier degré, il existe peu   L   et on ne le définit pas,

Chacun le rêve, ou l’imagine,   U  voire le projette, en soi.

Il faut se libérer de tous les    S  modèles surtout parfaits,

Tant l’amour, de rester, dé   * fini, statique, ne le saurait.

Les apparences décident   R de ce qui est bien pour vous,

Mais les transparences de  I   ce qui est mieux pour nous.

Puis arrive un moment où  E  il faut parier sur quelqu’un,

Sans trop connaitre son de N  venir en évolution demain.

Quoiqu’il arrive, l’on devrait,       toujours, tendre la main,

Tant trop souvent l’on jette le       bébé avec l’eau du bain.

Pour ne jamais s’encombrer         des  amours  anciennes,

Bien des femmes préfèrent          ne pas  les collectionner.

Changer un corps pour un           autre les intéresse moins

Que de changer et du tout           au tout,  de  personnalité.

Que faut-il en conclure de           cela et dans tout ce fatras,

Couple a part de mystère           qui demeurera insondable.

.

Forme

.

.

Évocation  

.

Un piédestal avec buste,

Ou grande statue sculptés

Une tête  sur corps massif :

Grand jeu de l’Homme-dé ?

.

576 4

.

Côté face, je suis tout mais côté pile,

 Je ne serais plus rien de rien :

Au jeu du lancement des dés,

 Je changerais lors, du tout au tout !

 Je changerais lors, du tout au tout !

.

Symbolique 

 .

Luke

Rhinehart,

Un psychiatre

Estimé de ses

Collègues

 Et aimé

De sa famille décide un jour,

En jeu d’interroger un  dé  pour

 Décider de ses actions et découvre  

Alors  nouvelle manière  de vivre,

Sans ego, sans limites, où il jouera

Multitude de rôles de séducteurs

Et cela de manière différenciée.

Luke Rhinehart est-il fou,  vrai génie :

Contrairement à ce qu’on a longtemps cru,

Livre n’est pas inspiré d’expérience d’auteur

Professeur  anglais, Université  New York.

wikipedia.org/wiki/L’Homme-dé

 .

.

Fond

 .

Évocation 

.

576 6

.

Côté face, je suis tout mais côté pile,

 Je ne serais plus rien de rien :

Au jeu du lancement des dés,

 Je changerais lors, du tout au tout !

.

Symbolique 

.

C’est ce que cristallise ce simple objet de dé :

Le sort, la fatalité, l’aléatoire  ou l’arbitraire.

Que ce soit en jeu de réseau ou jeu de plateau,

On peut influer sur le résultat nombre de dés.

Mais, au final, tout ne tiendrait qu’à ces bouts

De plastiques lancés et autant de la face qu’ils

Choisiront d’afficher  après avoir  bien roulés.

homo-ludis.fr/le-de- un-symbole-a-facettes

 .

.

Fond/forme 

 .

L’amour est un jeu et ne l’est pas.

Telle affirmation, contradictoire,

Tient les deux bouts de la chaine :

Jeu pour le corps, enjeu pour l’âme.

.

On peut décider d’union d’un couple,

Sur un coup de dé, un coup du hasard

Mais au-delà risque fort de se tromper

Il y a l’abandon du droit de  s’assumer :

Après tout si ça ne marche c’est pas moi.

.

Il suffit de relancer les dés, le tour est joué

Faire un choix par soi-même est très délicat

Déjà quand on est seul en cause mais à deux

C’est encore plus hasardeux pour des joueurs.

 J’entends, par là, ceux qui tablent sur l’amour !

 .

Textuels et illustrations   >> 

574 – Je me demande si mon plaisir n’est pas leurre

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Plaisir est un mot qui fait… jouir,

Déplaisir, n’est pas  son absence,

Tandis contraire … désagrément,

Empêchant tout  contentement.

.

Bien qu’il en existe : mille et un,

Pour satisfaire, tout un chacun,

Aucun n’est petit,  ne vaut rien,

Et les grands,   je les vaux bien.

.

Plaisirs et leurres vont de pair,

Plaisirs sont souvent, de chair,

Plaisirs peuvent s’avérer chers,

Plaisirs d’être père d’être mère.

.

Son principe est autostimulant,

Corps, esprit, plaisir, recherché,

Naturellement … spontanément,

Qui s’avère, en fait, conditionné !

.

Beaucoup confondent leur plaisir

Avec la joie, le bonheur,  le loisir :

À force de pratiquer, il s’émousse,

En changer…culture nous pousse.

 .

Je me demande si mon plaisir

N’est pas leurre,

Si je ne confonds pas joie et loisir,

Malheur et bonheur,

Car malheur, si petit, mesquin soit-il,

On se le raconte

Alors qu’un bonheur est souvent subtil,

On ne le conte

À personne … mis à part  celui  ou celle

Qui   partage

Entre nous,  présence,  qui nous révèle,

Une belle page,

Un pouvoir  inégalé,   de   nous   donner

Intime  amitié

Jusqu’à  une promesse,  décision sacrée,

De nous marier.

 .

Je   me     demande      si     mon    plaisir

N’est pas leurre

Alors que  le ravissement, sans en jouir,

Est de toute heure

Comme   si,   renouvelé  de    l’intérieur,

En complétude,

Il s’autoalimente  d’un  désir   meilleur,

Sans finitude,

Même s’il varie  entre  douceur, ardeur,

Il ne tarit pas

Tant passer sa vie en amour et bonheur

Est sans trépas :

On est tout joyeux, heureux, farceur,

On n’y croit pas

Que cela puisse cesser sur l’heure

Sans grand fracas.

.

Extensions 

 .

Je me demande si mon plaisir ne serait

Pas le frère jumeau de mon désir

Et que le jour où ce dernier disparaitra,

Mon plaisir dès aussitôt le suivra.

 .

Mon plaisir est dépendant de mon corps ;

Mon désir, de celui de mon esprit :

Et donc ils s’entretiennent mutuellement,

Et donc se renforcent constamment,

 .

Mais par un processus qui peut échapper

À ma lucidité, voire à ma conscience

De pouvoir le décider, contrôler, changer :

Je me demande si le plaisir entraine

 .

Celui du partenaire, de la famille, des amis,

S’il n’est pas imposé aux autres comme

Étant seul à pouvoir toujours les satisfaire,

Comme la référence finale et intime

De mon être, égoïstement !

.

Plaisir pour être poussé au paroxysme

A besoin de stimulations et d’excitations,

Dans un climat de liberté, et, d’épicurisme,

Afin de prendre  le  meilleur, de l’addiction !

Le problème est que  lors la tension retombe,

L’on se sent triste  comme dans une, tombe !

L’on recherche d’autres excitations et ainsi,

On se rend dépendant prisonnier de leurre,

Sans s’en rendre compte comme aliéné.

.

Le plaisir, seul, ne parviendra guère

À assouvir le désir comme pulsion,

On aime, pas besoin de stimulant,

Il se trouve synthétisé en cerveau,

 .

Et,  ce dernier en ferait du plaisir,

État qui durerait un certain temps,

Lors sexe appellerait renouvellement,

Fréquent pour ne pas dire … incessant.

 .

Plaisir est leurre s’il ne fait que compenser

Un manque sensations, sentiment, amour,

Plaisir est bonheur  dès lors qu’il satisfait

Autant le sexe, corps, cœur, esprit, âme.

.

Fragments 

.

Quand il est l’heure du bonheur,

Ce dernier, parfois, devient leurre,

La  déception, longtemps, demeure,

Voire même génère rivière de pleurs.

.

Le plaisir est  pourtant  au rendez-vous,

Y a quelque chose qui cloche  entre nous,

Ou alors c’est comme une histoire  de fou,

J’ai laissé la proie pour l’ombre, c’est tout !

.

Me demande si mon plaisir n’est pas leurre :

Il ne me satisfait qu’à moitié, et  qu’une heure,

Moi qui voudrais qu’il dure encore, sans heurts,

Il n’est qu’un succédané d’un bonheur trompeur.

.

Plaisir part du corps vers esprit et puis envahit tout

Et lors, il nécessitera, souvent, d’aller  jusqu’au bout,

Devient petit, grand, voire même sens dessus dessous,

Il flatte le corps, le cœur, l’esprit mais âme le désavoue.

.

Agrément, bien être, plaisir, puis joie… jusqu’au bonheur,

Constituent comme un escalier d’émotions, pour galopeur,

Il se trouve que plaisir est au juste milieu, et  bien profiteur,

Et que le barreau du bonheur, reste trop haut pour grimpeur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

ET SI

Plaisir est un mot qui fait… jouir,

Déplaisir, n’est pas  son absence,

Tandis contraire … désagrément,

Empêchant tout  contentement.

Bien qu’il en existe : mille et un,

Pour satisfaire, tout un chacun,

Aucun n’est petit,  ne vaut rien,

Et les grands,   je les vaux bien.

Plaisirs et leurres vont de pair,

Plaisirs sont souvent, de chair,

Plaisirs peuvent s’avérer chers,

Plaisirs d’être père d’être mère.

Son principe est autostimulant,

Corps, esprit, plaisir, recherché,

Naturellement … spontanément,

Qui s’avère, en fait, conditionné !

Beaucoup confondent leur plaisir

Avec la joie, le bonheur,  le loisir :

À force de pratiquer, il s’émousse,

En changer…culture nous pousse.

MON PLAISIR

Je me demande si mon plaisir

N’est pas leurre,

Si je ne confonds pas joie et loisir,

Malheur et bonheur,

Car malheur, si petit, mesquin soit-il,

On se le raconte

Alors qu’un bonheur est souvent subtil,

On ne le conte

À personne … mis à part  celui  ou celle

Qui   partage

Entre nous,  présence,  qui nous révèle,

Une belle page,

Un pouvoir  inégalé,   de   nous   donner

Intime  amitié

Jusqu’à  une promesse,  décision sacrée,

De nous marier.

N’ÉTAIT QUE LEURRE 

Je   me     demande      si     mon    plaisir

N’est pas leurre

Alors que  le ravissement, sans en jouir,

Est de toute heure

Comme   si,   renouvelé  de    l’intérieur,

En complétude,

Il s’autoalimente  d’un  désir   meilleur,

Sans finitude,

Même s’il varie  entre  douceur, ardeur,

Il ne tarit pas

Tant passer sa vie en amour et bonheur

Est sans trépas :

On est tout joyeux, heureux, farceur,

On n’y croit pas

Que cela puisse cesser sur l’heure

Sans grand fracas.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Parmi les formes possibles,

Un goupillon pour biberon

Une brosse   à cheveux 

Pour être présentable.

.

574 4

.

P

À quoi peuvent bien penser les femmes,

En bon matin, après leur toilette faite,

À  se  brosser    les  cheveux,    histoire

De se refaire une beauté présentable.

 .

Symbolique 

 .

Rêver de se brosser

Ou peigner    ses cheveux

Représente le fait de corriger

Des pensées, attitudes, opinions

Qui  concernent votre  problème

Mettez   les   situations   au clair.

 

Lors en plus d’apporter brillance,

Brosser ses cheveux,  stimulera la

Circulation  de  votre cuir  chevelu

Et il permettrait ainsi de relancer

 Pousse plus rapide… mais encore

Faut-il  procéder  correctement.

Revebible.com/cheveux.html

Madame.lefigaro.fr/beaute/cheveux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

574 6

.

À quoi peuvent bien penser les femmes,

En bon matin, après leur toilette faite,

À se brosser les cheveux, histoire

De se refaire beauté présentable.

.

Symbolisation 

.

Rêver  de  se   brosser

Ou peigner  ses cheveux

 

Représente le fait de corriger

Des pensées, attitudes, opinions

Qui  concernent  votre  problème

Mettez  les   situations    au  clair.

 

Lors en plus d’apporter brillance,

Brosser ses cheveux, stimulera  la

Circulation  de votre  cuir chevelu

 

Et il permettrait ainsi de relancer

 Pousse plus rapide…mais encore

Faut-il procéder correctement.

Revebible.com/cheveux.html

Madame.lefigaro.fr/beaute/cheveux

.

.

Fond/forme

 .

Se brosser les cheveux demeure

Une préoccupation plus féminine,

Que masculine qui parlerait plutôt

De se raser, au matin, de très près,

Parler et voire rêver  mais de quoi

De désir, de plaisir,  de séduction,

Sinon de fantasme  ou d’illusion.

Je ne me brosse pas les cheveux

Pas davantage que je me rase

Pourquoi : suis frisé, barbu.

 .

.

Plaisir de pèche : leurre !

.

Textuels et illustrations  >>

.

574 – Calligramme

 .

ET SI

Plaisir est un mot qui fait… jouir,

Déplaisir, n’est pas  son absence,

Tandis contraire … désagrément,

Empêchant tout  contentement.

Bien qu’il en existe : mille et un,

Pour satisfaire, tout un chacun,

Aucun n’est petit,  ne vaut rien,

Et les grands,   je les vaux bien.

Plaisirs et leurres vont de pair,

Plaisirs sont souvent, de chair,

Plaisirs peuvent s’avérer chers,

Plaisirs d’être père d’être mère.

Son principe est autostimulant,

Corps, esprit, plaisir, recherché,

Naturellement … spontanément,

Qui s’avère, en fait, conditionné !

Beaucoup confondent leur plaisir

Avec la joie, le bonheur,  le loisir :

À force de pratiquer, il s’émousse,

En changer…culture nous pousse.

MON PLAISIR

Je me demande si mon plaisir

N’est pas leurre,

Si je ne confonds pas joie et loisir,

Malheur et bonheur,

Car malheur, si petit, mesquin soit-il,

On se le raconte

Alors qu’un bonheur est souvent subtil,

On ne le conte

À personne … mis à part  celui  ou celle

Qui   partage

Entre nous,  présence,  qui nous révèle,

Une belle page,

Un pouvoir  inégalé,   de   nous   donner

Intime  amitié

Jusqu’à  une promesse,  décision sacrée,

De nous marier.

N’ÉTAIT QUE LEURRE 

Je   me     demande      si     mon    plaisir

N’est pas leurre

Alors que  le ravissement, sans en jouir,

Est de toute heure

Comme   si,   renouvelé  de    l’intérieur,

En complétude,

Il s’autoalimente  d’un  désir   meilleur,

Sans finitude,

Même s’il varie  entre  douceur, ardeur,

Il ne tarit pas

Tant passer sa vie en amour et bonheur

Est sans trépas :

On est tout joyeux, heureux, farceur,

On n’y croit pas

Que cela puisse cesser sur l’heure

Sans grand fracas.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.

574 4

.

Parmi les formes possibles,

Un goupillon pour biberon

Une brosse à cheveux 

Pour être présentable.

.

À quoi peuvent bien penser les femmes,

En bon matin, après leur toilette faite,

À se brosser  les  cheveux,  histoire

De se refaire une beauté présentable.

 .

Symbolique 

 .

Rêver de se brosser

Ou peigner  ses cheveux

Représente le fait de corriger

Des pensées, attitudes, opinions

Qui concernent votre  problème

Mettez les situations au clair.

Revebible.com/cheveux.html

.

En plus d’apporter brillance,

Brosser ses cheveux, stimule la

Circulation de votre cuir chevelu

Et il permettrait ainsi de relancer

 Pousse plus rapide… mais encore

Faut-il procéder correctement.

Madame.lefigaro.fr/beaute/cheveux

.

Descriptif

.

574 – Et si mon plaisir n’était que leurre ?

 Alignement central   /   Titre intercalé     /   Thème  plaisir

Forme anthropo  / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : brosser  /  Symbole de fond : cheveux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

574 6

.

À quoi peuvent bien penser les femmes,

En bon matin, après leur toilette faite,

À se brosser les cheveux, histoire

De se refaire beauté présentable.

.

Symbolisation 

.

Rêver de se brosser

Ou peigner  ses cheveux

Représente le fait de corriger

Des pensées, attitudes, opinions

Qui concernent votre  problème

Mettez les situations au clair.

Revebible.com/cheveux.html

.

En plus d’apporter brillance,

Brosser ses cheveux, stimule la

Circulation de votre cuir chevelu

Et il permettrait ainsi de relancer

 Pousse plus rapide… mais encore

Faut-il procéder correctement.

Madame.lefigaro.fr/beaute/cheveux

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Se brosser les cheveux demeure

Une préoccupation plus féminine,

Que masculine qui parlerait plutôt

De se raser, au matin, de très près,

Parler et voire rêver  mais de quoi

De désir, de plaisir,  de séduction,

Sinon de fantasme  ou d’illusion.

Je ne me brosse pas les cheveux

Pas davantage que je me rase

Pourquoi : suis frisé, barbu.

.

Textuels et illustrations  >>

573 – J’ai soupiré, j’ai espéré, mais, hélas en vain

Textuels et illustrations   >>   

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

La chimie, l’alchimie

Des corps, sexes, cœurs,

Se conjuguent, se marient,

Où échappent  au bonheur.

Lors, attentes, sont fortes,

On ne forcera ses portes,

Soupirer, ne sert à rien,

Tous nos efforts, vains.

.

Vain de croire qu’on puisse

Satisfaire chacun entre cuisses,

Pénétrations, concaves, convexes

Ne feront que  renforcer complexes

Ah, il   resterait  l’étonnant  fantasme

De  changer  maitresse  en  pure  déesse

Laquelle n’est plus  concernée, orgasme,

En devenant sa muse sinon sa prêtresse.

.

J’ai  soupiré, j’ai espéré hélas … en vain

Te faire craquer,   te croquer … en pain

Je me suis perdu  morfondu…  en rien

Pour que tu signes consignes en main

En moi bien jointe conjointe au sexe

Qui te bute,  qui te culbute, convexe

En ton ventre, ton antre qui te gave

De tant soupirs tant plaisirs suaves

.

J’ai espéré, j’ai tenté en vain,

De t’exciter, ressusciter entrain

Et je m’y suis appliqué  … en reins

Pour synchroniser, syntoniser à plein,

Ton sexe, insensible, impassible, moi,

Là où je m’accule,  où j’éjacule, en toi

Si je ne me contiens, ne me retiens,

Je n’aurai pas soupiré … en vain.

 .

J’ai espéré,  ai imaginé  comme un chat,

Etre un amant  chevauchant  une belle souris

Féline, que  je  câline et encline  jusqu’en jouir

Jusqu’à sourciller à en vaciller en pleine ivresse.

.

J’ai espéré, ai désespéré comme une maitresse

Tu deviennes tu parviennes  à être déesse

Ce sera pour autre fois, si,  cela revient

Je me tiens,  contiens,  me retiens

N’aurai pas  soupiré … en vain

.

Extensions 

 .

Ah muse ment

Quand elle ne se rend

Pas conforme à ses attentes

En devenant objet de désir

Ordinaire et non sublime.

.

On attend d’elle qu’elle jouisse

Non seulement de sa pensée,

De sa présence mais de son acte

Et voici que ce dernier s’enfonce

Dans un vide de son plaisir,

Vacuité de son être tout entier.

.

Va cuiter ailleurs, vous dit-elle,

Ce sera toujours autant de gagner

Pour toi, comme pour moi

Et ainsi soit-il et ainsi soit-elle !

.

La chimie des corps ne suffit pas

Il faut un brin d’alchimie venu d’ailleurs,

D’on ne sait où, indétectable au microscope !

.

Alchimie pour une autre chimie,

Alchimie pour autre chose que la pure

Et simple chimie et qui nous échappe encore !

.

L’homme attend de la femme une attitude ouverte et non fermée,

Quand il en rencontre  avec une posture froide, il ne la comprend

Une femme qui n’entre pas en le modèle qu’il s’est fixé, surprend

Il n’empêche qu’air de musique secret peut égayer son intérieur

Si ce n’est un feu brumant que seul percevrait son futur amant.

.

Ce qui est vrai pour la femme,

L’est tout autant pour l’homme,

Bien qu’il cachera sa déception,

La traduira d’une autre manière.

.

Mais il y a déception transitoire

Entrainant la rupture passagère

Et déception si forte, inattendue

Qu’elle déclenche rupture totale.

.

Il y a aussi séparation dans l’air

Des deux côtés, et reste à savoir

Qui vient la déclarer en premier

Avec sentiment d’avoir dominé.

.

Et quand il n’ y aura que le sexe,

Qui est partagé sans cœur, âme,

Rupture ne provoque déchirure,

Juste blessure d’amour-propre.

.

Fragments

.

La femme a son mot à dire dans la fusion,

Sinon cela peut devenir considéré effusion

Qui peut aller jusqu’à forcer consentement

Dans tous les cas, lors viol, l’un d’eux ment.

.

Espérer, soupirer, ne suffit, pour consommer,

Déclarer son désir sentiment pour approcher,

Lors une femme se ferme sur : défense toucher

Il n’y a rien d’autre à faire que laisser tomber !

.

Espérer pour un espérant pour un plaisir dans,

Soupirer pour un soupirant pour un soupir en :

C’est un peu la même chose que l’on fait amants,

On ne peut que le conjuguer au passé au présent.

.

Une femme, seule,  très détachée, voire en repli,

Ne serait pas pour autant une femme à négliger

Et qu’elle soit belle, ou pas, et attirante ou non,

C’est peut-être un trésor caché et à découvrir !

.

On ignore pourquoi une femme reste solitaire

Pour se protéger, se ressourcer,  en résilience :

Toujours est-il n’entre pas, avec vous, en danse,

Lors la respecter ainsi sera pour vous très clair.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

La chimie, l’alchimie

Des corps,   sexes,  cœurs,

Se conjuguent,      se marient,

Où échappent         au bonheur.

Lors, attentes,      sont  fortes,

On ne forcera     ses portes,

Soupirer, ne sert à rien,

Tous nos efforts, vains.

.

Vain de croire qu’on puisse

 Satisfaire chacun entre cuisses,

   Pénétrations, concaves, convexes …

        Ne feront que  renforcer complexes ……….

            Ah, il  resterait  l’étonnant  fantasme …..….……..

            De  changer  maitresse  en  pure  déesse ………….……

                     Laquelle n’est plus    concernée, orgasme ……….…..…..…………

                   En devenant sa muse  A   sinon sa prêtresse ……….…….………………

             J’ai  soupiré, j’ai       I      espéré hélas en vain …….…….…………….

          Te faire craquer      *           te croquer en pain ..…….…………….

Je me suis perdu   E          morfondu, en rien ..…….….

      Pour que tu signes S        consignes en main ……………

En moi bien jointe P       conjointe au sexe ………

Qui te bute, qui te   É      culbute, convexe ….….

 En ton ventre et ton R   antre qui te gave ……..

De tant soupirs tant É      plaisirs suaves ……

A …………..….

J’ai espéré      I           j’ai tenté en vain,

De t’exciter       *       ressusciter entrain

Et je m’y suis        S        appliqué, en reins

Pour synchroniser    O      syntoniser à plein,

Ton sexe, insensible    U        impassible, moi,

Là où je m’accule où        P         j’éjacule en toi

Si je ne me contiens si         I          ne me retiens,

Je n’aurai pas soupiré             R                   en vain.

                       É

J’ai espéré,        A    ai imaginé       *    comme un chat,

Etre un amant   I      chevauchant      *     une belle souris

Féline, que  je    *      câline et encline     E     jusqu’en jouir

Jusqu’à sour     E       ciller à en vaciller      N     pleine ivresse.

J’ai espéré, ai   S           désespéré comme     *   une maitresse …

Tu deviennes    P            tu parviennes             V   à être déesse  ….

Ce sera pour     É                autre fois, si,             A      cela revient …..

Je me tiens,      R                   contiens,                  I       me retiens …….

N’aurai pas      É                    soupiré                    N         en vain ……….

.

Forme

.

.

Évocation  

.

Silhouette de femme solitaire

 Assise, immobile, imperturbable

Comme  en  prière, méditation,

Dans  une  position  de  repli.

.

573 4

.

Silhouette d’une femme solitaire

Peu encline à bouger et  à changer.

Et n’est pas une posture de repli, 

Semblant murée, voire statique,

Déception met parfois une femme à genoux

Ici, c’est bien les cas, en repli, comme anéantie,

C’est ainsi que la forme recouvrirait bien le fond.

 .

Symbolique 

 .

Faut faire

Une  différence

Entre    un   repli   

Sur soi, femme 

Solitaire.

Le premier  fait référence à

 «Action de  s’isoler des autres».

Lors le second est tout simplement

Désir de rester seul pour se ressourcer.

Choisir, quelques fois, de consacrer

Un  peu  de  temps,  pour  soi,  peut

Vous   apporter    divers   avantages

Psychologiques, émotionnels, sociaux.

De privilégier votre propre compagnie

De temps à autre peut même vous aider

À renforcer toute  votre force… mentale.

Penser-et-agir.fr/repli-sur-soi

.

.

Fond

 .

Évocation

.

573 6

.

Silhouette de femme solitaire

Peu encline à bouger, à changer

N’est pas une posture de repli 

Semblant murée voire statique,

 .

Symbolique 

 .

Si vous

Demandez

Aux hommes

Que vous

Connaissez  quel type de

Femme peut, le plus, les repousse

Bon nombre d’entre eux répondront:

Celles  qui ne seraient  pas  avenante.

 .

Femmes en repli difficiles à séduire,

Soit parce qu’elles  font des manières,

Soit parce que  rien ne va jamais,

Soit parce qu’elles ne montrent

Pas assez leurs sentiments.

 .

Si l’échange est compliqué

C’est  parfois  dû  aux  hommes

Ne sachant pas comment s’y prendre

Si ce n’est l’inverse, par trop de timidité.

 .

.

Fond/forme 

.

Soupiré, attendu, espéré : tout cela, en vain.

Tu n’as rien vu,  rien compris,  n’est pas venu.

La déception est grande du fait que je t’aimais,

va falloir que je travaille sur mon renoncement.

Je me sens solitaire, je suis repliée sur moi-même,

je ne sais combien de temps, ma déprime va durer

toi seul pourrais me guérir … mais tu t’es évaporé !

.

Textuels et illustrations   >>   

572 – Va où le vent te mène, où tes pas t’entraînent

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Va où tu veux, peux,

Mais vas-y lors tu verras

Si ce chemin te va ou pas,

Ou s’il te rendrait nerveux.

Mais alors je te dis : le vent,

Je pensais aux sentiments

Lors  je te dis que tes pas,

Je pense  à tes bras.

Vent où t’entraine

Et tout autant,

Te  démène.

.

Va où  le vent  te mène, où tes pas t’entrainent,

Où tes rêves parviennent, à cet instant suprême,

Où, en matin, blême, Tu te dis : j’y suis, extrême !

Tu es colère, d’être sous-estimée,  sous-employée,

Soumise, délaissée, par un mari, qui a profité.

.

Lors  tu erres  dans un tel champ de mines

Chacun  de  tes pas  peut  te  faire éclater,

Dans un état morcelé comme au passé.

.

On ne sait jamais, tout à fait, qui on est,

On ne sait jamais, tout à fait, où l’on est,

Ne pas se soucier, de savoir  où l’on va :

Ce serait aller, nulle  part, d’un  bon pas.

.

Car tu veux, et toujours, rester … lucide,

Tout en cherchant à devenir translucide

Pour ceux qui t’aimeront naturellement

Par des mots, des gestes, sentiments.

.

Rester lucide, mais, en tout bien ;

Rester lucide mais en tous points,

Sans renoncer à rien, de suprême,

Réaliser son rêve et au-delà même.

.

Qui tu es peut aussi me dire qui je suis

Où tu vas peut aussi me dire qui je fuis,

Dans quel état, j’erre et ce que je préfère

Et, en tous les cas, partager mes misères.

      .

Qui suis-je, où vais-je,  en quel état j’erre :

Formule  magique, connue, à double sens,

Dont on connaît, que, trop bien, le refrain,

Le monde d’hier n’étant pas celui demain.

.

Voilà, c’est tout, c’est fini, pour aujourd’hui !

Demain est un autre jour, jour chéri ou d’ennui

Mais, il sera ce que j’en ferai : il sera le mystère

De qui suis-je, où vais-je, dans quel état j’erre !

.

Extensions 

.

Se laisser guider par ses rêves,

Se laisser guider par son cœur,

Se laisser guider par sa pensée,

Sont des postures bien adaptées

À son destin  mais qui se doivent

D’être passées  par  le filtre  social

De la raison, l’économie, et réalité,

Sinon  elles iront, sans doute, droit

Dans le mur, malgré détermination.

.

Personne n’est là pour vous ramasser

En piteux état : blessé, décontenancé,

Comme après une rupture inattendue.

C‘est donc tantôt vrai et tantôt faux.

.

La liberté : un rêve, une réalité, qu’on ne demande qu’à partager

Elle commence  dès l’enfance  et par l’imitation  de ses parents

Puis son affranchissement, en vue de trouver sa propre voie :

Rien de plus et rien de moins mais c’est tout un programme

L’on se sent mieux libre que de faire de tout accroc, un drame.

La liberté vient de l’intérieur, du passé assumé, du passé dépassé,

D’un avenir construit dans la pleine confiance en soi et dans l’autre.

.

En lieu et place du vent instable

Qui pourra te mener n’importe où,

Et se jouant de toi, comme d’un fou,

Tu peux simplement écouter ton cœur

Surtout si, en outre, accomplit ton rêve.

.

Ce qui parait judicieux pour se  marier

Le serait tout autant pour se divorcer :

Il faut alors aller dans le sens du vent.

S’il est bon, il ne saurait te tromper,

Sinon, facétieux, te faire rebondir.

.

Quoiqu’il en soit,  quoiqu’il en fût

Fais ce que l’air ambiant tu sens

Tu en seras très rarement déçu,

Enfin fais ce tu crois, ressens !

.

Fragments

.

On est homme, femme : libre comme le vent,

Qui n’en rêve pas au moins une fois en sa vie.

.

Va où le vent te mène : faudrait savoir où il va,

Va où tes pas t’entrainent et ne le regrette pas.

.

Le vent te chante aventure comme rêverie pure,

Mais réveil à l’atterrissage peut devenir très dur.

.

L’homme serait dit plus libre de partir en voyage

Laissé sa femme avec enfants et avec son ménage

.

La femme se libère, ne demeure pas sur un nuage,

Elle demande l’équité et l’égalité, tout en partage.

.

La liberté d’aller-venir, voyager favorise rencontre

Faut se faire confiance plutôt qu’aller à l’encontre.

.

La liberté de la femme n’empiète ni n’enlève rien,

Pour un couple, c’est une aubaine, plus que bien.

.

En voyages comme en arts, une liberté est bonne :

Créativité n’aura que les limites que l’on se donne.

.

Homme libre, toujours, tu chériras la mer !
Homme libre, toujours tu chériras la mère,

Homme libre, toujours, tu chériras l’amer :
il n’y a que  la dernière syllabe  qui change.

.

Va où le vent t’entraîne où ton pas te mène,

Et non où vent te traine, ton pas te ramène,

Ce sont deux aventures,  deux phénomènes,

Qui font de toi oiseau libre et bleu d’orange.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Va où tu veux, peux,

Mais vas-y lors tu verras

Si ce chemin  te va  ou pas,

Ou te Ô  rendra  Ô nerveux.

Mais lors  je   //  te dis : le vent,

Je pensais    //   aux sentiments

Lors  je te  //    dis que tes pas,

Je pense     ==  à tes bras.

Vent où t’entraine mène,

Et tout autant,

Te ….. démène.

****  Va où  le vent  te mène, où tes pas t’entrainent, ****

**** Où tes rêves parviennent, à cet instant suprême, ****

**** Où, en matin, blême, Tu te dis : j’y suis, extrême ! ****

****  Tu es colère, d’être sous-estimée,  sous-employée, ****

****     Soumise, délaissée, par un mari, qui a profité.     ****

*****        Lors tu erres dans un tel champ de mines        *****

*****           Chacun de tes pas peut te faire éclater,          *****

*****            Dans un état morcelé comme au passé.         *****

VA OÙ LE

******          On ne sait jamais, tout à fait, qui on est,       ******

******          On se sait jamais, tout à fait, où l’on est,       ******

******          Ne pas se soucier, de savoir  où l’on va :       ******

******           Ce serait aller, nulle  part, d’un  bon pas.       ******

******          Car tu veux, et toujours, rester … lucide,      ******

******          Tout en cherchant à devenir translucide      ******

******           Pour ceux qui t’aimeront naturellement      ******

******            Par des mots, des gestes, sentiments.        ******

VENT TE MÈNE

******             Rester lucide, mais, en tout bien ;             ******

******             Rester lucide mais en tous points,             ******

******            Sans renoncer à rien, de suprême,             ******

******           Réaliser son rêve et au-delà même.            ******

OÙ TON PAS

******         Qui tu es peut aussi me dire qui je suis         ******

******        Où tu vas peut aussi me dire qui je fuis,        ******

******       Dans quel état, j’erre et ce que je préfère       ******

******      Et en tous les cas, partager mes misères.        ******

******      Qui suis-je, où vais-je,  en quel état j’erre :      ******

******      Formule  magique, connue, à double sens,      ******

******      Dont on connaît, que, trop bien, le refrain,      ******

*****      Le monde d’hier n’étant pas celui demain.       *****

T’ENTRAÎNE

****     Voilà, c’est tout, c’est fini, pour aujourd’hui !     *****

****    Demain est un autre jour, jour chéri ou d’ennui   ****

****    Mais, il sera ce que j’en ferai, il sera le mystère    ****

****   De qui suis-je, où vais-je, dans quel état j’erre ! ****

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Liberté d’aller et venir là où on le

Désire est une liberté fondamentale

Et que l’on soit femme ou homme

Elle demeurerait sans restriction.

.

572 6

.

Que ce soit silhouette d’homme ou femme

Cela ne change rien au fond ni à la forme,

Les deux s’accordent comme en un couple !

.

Symbolique 

 .

Comment

S’au-to-ri-ser

À   être    une

Femme

Libre ?

On peut être une femme libérée

Avoir  le droit  de vote, un métier,

 .

Un chéquier, la pilule, des amants…

Sans pour autant accéder à la liberté

Celle d’être soi, et cela sans attendre

Autorisation  venue de l’extérieur.

 .

Comment oser vivre, réellement,

Selon ses désirs, pour être libre,

Il faut avoir  confiance en soi !

Source : psychologies.com Comment-

s-autoriser-a-être-une-femme-libre

.

.

Fond

.

Évocation 

  .

.

Liberté d’aller et venir là où on le

Désire est une liberté fondamentale

Et que l’on soit homme ou femme

Elle demeurerait sans restriction.

 .

Symbolique 

 .

H

Homme

Libre,     toujours

Tu chériras la mer
La   mer   est

Ton miroir ; tu contemples

Ton âme dans le déroulement

 Infini de sa lame, et ton esprit

N’est pas gouffre moins amer.

Tu  te  plais  à  plonger au sein

De  ton image ; tu  l’embrasses

Des yeux et des bras, ton cœur
Se distrait, quelquefois, de sa

Propre    rumeur   au   bruit

De          cette            plainte

 Indomptable et sauvage.

wikipedia.org/wiki/

L’Homme_et_la_Mer_(poème)

 .

 .

Fond/forme 

 .

Il faut distinguer la femme libérée

D’une femme, capricieuse, princesse.

La première  chercherait à s’affirmer,

La seconde, par contre, n’aura de cesse

Que de satisfaire ses envies passagères.

Si le principe d’égalité totale  n’est pas

Réalisable ni même voir souhaitable

N’empêche pas de s’en approcher

L’équilibre serait une nécessité

Pour tenir, dans la durée

Un couple… instauré.

 .

Textuels et illustrations  >>

571 – Force est de constater, fréquentant divorcés

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Divorce est mot qui sépare

Ce qui était, auparavant, uni,

Et qui au début, nous  a réussi,

Mais s’est modifié par bagarres.

.

Est-on responsable  ou coupable :

Question  de principe, de moralité,

Voire, même, parfois,  de religion :

Question, pour  le moins, affection.

.

Affection,  affectation …  affliction,

Peur, douleur, de  toute  désunion,

Peur  d’une destinée,  à répétition,

Si, soi-même, enfant  de divorcés.

.

Ou  si le premier n’est pas le bon,

Ou que  modèle ne peut changer

On se remariera avec son clone

On n’aura pas changé de zone.

.

Car force  serait de constater,

Lors fréquentant des divorcés,

Que souvent ils ont quitté le conjoint

Pour vivre avec le même ou le contraire.

.

À croire qu’en amour il n’y a rien d’arbitraire

Et que, variétés de choix, nous n’en avons point,

Pas simple de chercher quelqu’un de très différent :

Un choix est gouverné par notre histoire, inconscient !

.

Autre que l’élu vous en deviendrez son ami, pas son mari,

Rares sont les couples qui ne soient pas déjà, prédéterminés

Par des personnages, qui les hantent, comme figures obligées,

Bien au-delà  de ce qu’ils sont, parce qu’ils ne sont pas espérés.

.

Regardez les parents, maris, enfants ou amants : comptabilisez

Les chances, que vous avez, de pouvoir, un jour, leur ressembler.

Divorcer est normal, c’est parfois un mal mais ce n’est pas fatal.

.

Pour qui et pour quoi, de mieux : là réside problème  principal.

Le divorce serait, déjà en germe  bien  avant le mariage, dit-on,

Mais si on le savait, si on savait  tout, encore, se marierait-on !

Notre mort n’est-elle pas en germe aussi en notre naissance,

Lors personne ne renie sa vie, ni l’abandonne, d’évidence !

.

Divorcer n’est pas qu’une question de sexe, autre enjeu,

Entre échecs, apprentissages, obligations, résiliences,

Il y a toujours un défaut, un vice, un contentieux,

Basé sur un mensonge les yeux dans les yeux.

.

Des divorces sur infidélités, coups de tête,

Voire sentiment de manque de liberté,

Il y en a des cents et des milliers,

Aucun n’est ni joie ni fête.

Divorcer, c’est bien,

Et parfois, bête :

Ne reniez rien

Tenez tête.

.

Extensions 

 .

Un temps de réflexion, de rupture, d’abattement

Ou les trois temps  d’une séparation d’un couple,

Qu’elle soit vécue comme un échec, une nécessité.

Parfois, de là, à se jeter sur  un ancien ami, amant

Plutôt que profiter pour respirer, prendre du recul,

Il n’y a qu’un pas, qu’on saute ou qu’on ne saute pas,

Selon qu’on supporte sa solitude ou l’impose à l’autre.

Il s’agit d’un deuil de quelque chose et auquel on tenait

À moins d’avoir tué  l’amour avant … on n’y coupera pas.

.

Un divorce reste un drame

Sentimental humain,

Tout comme  un  incendie,

Voire une maladie,

En nombre cas on pourrait

L’éviter, pardonnant

Or le ver étant dans le fruit

Solution, poubelle !

.

Parfois un mal pour un bien :

Enfants auraient souffert

On n’a qu’une vie, faut profiter

Et non choisir la misère

Suffit de s’entendre à l’amiable,

Et de bien s’organiser

C’est plus facile à dire qu’à faire

Certains y sont arrivés.

.

Fragments

.

Tout divorce resterait, toujours, un drame,

Qu’il soit sans accord  et même consentant,

Que ce soit au bout d’un an, dix, trente ans

Cause sera qu’on a fait une erreur infâme !

.

Divorce resterait un mot qui ne se prépare,

Un mot qui sépare mais qui ne se … répare,

Chacun y contribuera pour une grande part

En moitié des couples, arrivera tôt ou tard !

.

Je sais de quoi je parle, pour l’avoir vécu :

J’avoue, volontiers, en avoir tant souffert,

Que je n’ai jamais eu envie recommencer :

Deux enfants de chaque, la cour est pleine.

.

Couple aussi fragile qu’amphore et oiseau

On arrive, avec efforts, à bien la conserver,

Si tombe de haut, casse en mille morceaux

Aucune chance à l’identique de la recoller.

.

Fréquentant d’autres dont certains divorcés

Ne se seront jamais remariés, j’aurai trouvé

Qu’une famille, quoi qu’il arrive, tromperie,

Est plus importante que son honneur honni.

.

Les scènes de ménages la vaisselle cassant,

Ont disparu des écrans… depuis longtemps,

Seule chose que couple casse, est le contrat,

Désormais coupé avec ciseaux, le montrant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

Divorce est mot qui sépare

Ce qui était, auparavant, uni,

Et qui au début, nous  a réussi,

Mais s’est modifié par bagarres.

Est-on responsable  ou coupable :

Question  de principe, de moralité,

Voire, même, parfois,  de religion :

Question, pour  le moins, affection.

Affection,  affectation …  affliction,

Peur, douleur, de  toute  désunion,

Peur  d’une destinée,  à répétition,

Si, soi-même, enfant  de divorcés.

.

C  O   N   S   T   A   T

Ou  si le premier   F  n’est pas le bon,

Ou que  modèle     R  ne peut changer

On se remariera   É    avec son clone

On n’a pas chan    Q          gé de zone.

Car force  serait    U       de constater,

Lors fréquentant    E        des  divorcés,

Que souvent ils ont   N    quitté le conjoint

Pour vivre avec le mê   T     me ou le contraire.

À croire qu’en amour il     A      n’y a rien d’arbitraire

Et que, variétés de choix,     N       nous n’en avons point,

Pas simple de chercher quel     T          qu’un de très différent :

Un choix est gouverné par no      *          tre histoire, inconscient !

Autre que l’élu vous en devien        D         drez son ami, pas son mari,

Rares sont les couples qui ne soi      I           ent pas déjà, prédéterminés

Par des personnages, qui les han      V         tent, comme figures obligées,

Bien au-delà  de ce qu’ils sont, par    O           ce qu’ils ne sont pas espérés.

Regardez parents, maris, enfants      R              ou amants : comptabilisez

Les chances, que vous avez, de pou  C        voir, un jour, leur ressembler.

Divorcer est normal, c’est parfois    É      un mal mais ce n’est pas fatal.

Pour qui, pour quoi, de mieux       S     là réside problème  principal.

Le divorce serait, déjà en germe  *   bien avant le mariage, dit-on,

Mais si on le savait, si on savait  tout, encore, se marierait-on !

Notre mort n’est-elle pas en germe aussi en notre naissance,

Lors personne ne renie sa vie, ni l’abandonne, d’évidence !

Divorcer n’est pas qu’une question de sexe, autre enjeu,

Entre échecs, apprentissages, obligations, résiliences,

Il y a toujours un défaut, un vice, un contentieux,

Basé sur un mensonge les yeux dans les yeux.

Des divorces sur infidélités, coups de tête,

Voire sentiment de manque de liberté,

Il y en a des cents et des milliers,

Aucun n’est ni joie ni fête.

Divorcer, c’est bien,

Et parfois, bête :

Ne reniez rien

Tenez tête.

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un pendentif, boucle d’oreille,

Ou la forme classique de toupie

Un flacon ou une pointe de lance,

Une amphore qu’on peut casser.

.

571 4

.

Y aurait-il  quelques  rapports  entre

Des amphores et un  (une) divorcé(e):

Aucun,  même     s’il  s’agissait  de  casser

Amphores    issues   de   compte  commun.

Casser de la vaisselle est cliché du divorce

Tout ce qui casse vole en éclats d’existence

Comme pour détruire ce qui aura existé,

Ainsi la forme devient proche du fond.

.

Symbolique 

 .

La symbolique

De l’amphore

Est connectée avec

L’origine de la vie et est

Indubitablement liée à la femme

Et à sa qualité génératrice de vie.

 .

La métaphore demeurera toujours

Une gemme  comme  un  conteneur

Comme une  dispensatrice de  vie.

 .

Graal étant lui-même conteneur

Possède cette image du vase

Comme      symbole

De la création

Divine.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

571 6

.

Y aurait-il  quelques  rapports  entre

Des amphores et un  (une) divorcé(e):

Aucun, même s’il  s’agissait de casser

Amphores issues d’un compte commun.

 .

Symbolique 

.

 

Je n’ai

Jamais

Vraiment

Compris  nécessité  de

Casser  choses  comme

Des  amphores  ou autres

Lorsqu’on   est   en   colère.

Pour avoir      assisté déjà  à

Quelques    scènes    du genre,

J’ai  sou   vent  été     perplexe,

Face au    déluge     de violence,

Physique   sur    divers     objets.

J’ai même    trouvé   ça ridicule.

Un peu comme     cette personne

Qui donne des     coups de poing

Dans le mur       il est en plâtre,

Paie tes répa  rations ensuite.

Et s’il était   plutôt du béton,

Défoncées,  tes phalanges.

 lecanapevert.wordpress.com

 .

.

Fond/forme 

.

Étant construites en terre cuite,

Matériau fragile par excellence,

 Lors vous heurtez  des amphores,

Celles-ci ont tendance  à craquer.

Il en est de même  pour les couples

Qui se fragilisent en cas de conflits,

Un choc violent de trop et ils éclatent

Et personne ne songera à les réparer

Et tout comme les assiettes se mettent

À voler, le contenant comme le contenu

Des amphores se répandront sur le sol !

Lors tout casser  plutôt que de s’entendre,

Conduit droit au divorce des êtres et choses

Alors  qu’il aurait  suffi, peut-être, d’un  peu

D’écoute, de compréhension, bref : d’amour.

.

 Textuels et illustrations  >>  

570 – Qu’est-ce qu’une dispute, sinon des mots !

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Dispute : mot qui sonne

Comme  la  fausse  note

Au milieu d’un concert,

Rompant son harmonie

.

Dispute : mot qui blesse

L’inverse d’une caresse,

Un choc,  après l’ivresse,

Tendre…rapprochement

.

Dispute : mot qui cogne,

À vos oreilles  affectives,

Avec des dégâts effectifs

Vous mettant en…rogne.

.

Dispute : mot dépassant,

Bien souvent … sa pensée

Qui dérape … qui attaque

Et vous laissera tout coi.

.

Dispute : mots qui usent

Les nerfs, écorchés à vif

Par manque de respect,

Contrats, coups de canif.

.

Qu’est-ce dispute sinon des mots

Qui vont éclater  en nos bouches,

Chacun en rajoutant une couche,

Finissant par dégrader propos.

.

Ce banal prétexte d’amorçage,

Suscite un ouragan décoiffant,

Soufflant nombre d’arguments

Pour vous conserver en … rage.

.

Chacun fait une danse de…gestes

Accentuant encore vos gros mots,

Jusqu’à ce que, silence  ou le reste,

Vous disent cela suffira  et  repos !

.

Les  conséquences en sont diverses :

Lors certains se braquent, patraques,

D’autres fuient, autres   se dispersent,

Ou pèteront un plomb lors d’attaque

Façons  de parler,  d’écouter, d’agir,

Et communications  à sens unique

N’entendront rien  des  musiques,

Amplifiées  par  les sons  à vagir.

.

Désir imposer votre  point de vue

Vous mettront souvent plus que nus

Vos torts  même  s’ils seront partagés

Feront qu’on n’entend plus les vérités.

.

Si les mots eux-mêmes ne savent  rimer,

Dites-moi : à quoi rime de se … disputer !

Si fait, n’importe quoi pourra vous arriver,

Comme de vous haïr, avant de vous quitter.

.

Si, disputer ne causera pas de vrai problème,

Se réconcilier, par donner,  ou se comprendre,

Sera plus difficile mais salutaire, quand même,

Lors l’amour fait  qu’on reparvient à s’entendre.

.

Extensions

 .

Qu’est-ce qu’une dispute

Sinon des mots  qui  sortent

Sans filtre et dépassent sa pensée,

Histoire de se venger de se sentir

Coupable, dominé, d’avoir été,

Ou de se voir, faire humilier.

.

Elle se déclenche, par  un  mot

Le trop faisant déborder le vase,

Le trop plein émotions se déverse.

L’arroseur se fait arroser à son tour

Parce que personne ne coupera l’eau.

.

Survivre à disputes teste l’attachement

Car les couples qui ne se disputent jamais

Ne s’aimeraient pas assez pour oser le faire.

Ça peut paraitre monde à l’envers, c’est ainsi.

.

Des mots, des gestes, des postures, des mimiques,

Sont ses caractéristiques d’une dispute d’un couple

Mot qui blesse en est un ; geste qui repousse, autre !

Le tout se termine dans un silence pesant, angoissant

Lors ce n’est pas dans une couche, enlacés tendrement.

Là où le bât blesse,  c’est quand il faut faire une dispute,

Pour attirer une attraction de l’autre, sentimentalement.

.

Des mots provoquent des maux,

Et maux guérissent  par des mots,

Voilà au moins un mal qui s’inverse

Jurant ne pas se reproduire de sitôt,

Mais la rancune aurait la peau dure,

Conflit latent n’est pas encore soldé !

.

En vrai, couples se disputent souvent

Pour les mêmes choses,  récurrentes,

De manière directe  ou sous-jacente,

Où une incompatibilité  d’humeurs,

Traduit incompatibilités caractère

Et là, le divorce sera en gestation.

.

Un problème de communication,

Et sinon voire  procès d’intention :

Lors faudra réapprendre à se parler,

Sinon rupture serait déjà consommée.

.

Fragments

.

Une vie de couple … sans une dispute :

Le rêve à l’état brut,

Mais est-ce bien raisonnable, possible :

Humain est irascible.

.

Au couple, la dispute est donc inhérente,

Elle peut être payante,

Elle peut vider l’abcès quand il est gonflé

Et repartir après baiser.

.

Une femme de marin portant bien coiffe,

Avec mari qui dé-soiffe,

Dispute est en air comme coup tonnerre,

En femme de caractère.

.

Disputes ont lieu parfois à propos de tout

Tout aussi bien que rien,

Certaines peuvent communiquer qu’ainsi,

En haussant fort le ton.

.

Et d’autres ne supportent pas la moindre,

En annonciateur de fin,

Ils sont allergiques aux conflits en famille,

En auront vécu de trop.

.

Mais il faut distinguer disputes et disputes

Bénignes ou importantes :

Certaines portent sur la forme, autres, fond

Cause divorce sont légions.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Dispute : mot qui sonne

Comme  la  fausse  note

Au milieu d’un concert,

Rompant son harmonie

.

Dispute : mot qui blesse

L’inverse d’une caresse,

Un choc,  après l’ivresse,

Tendre…rapprochement

.

Dispute : mot qui cogne,

À vos oreilles  affectives,

Avec des dégâts effectifs

Vous mettant en…rogne.

.

Dispute : mot dépassant,

Bien souvent … sa pensée

Qui dérape … qui attaque

Et vous laissera tout coi.

.

Dispute : mots qui usent

Les nerfs, écorchés à vif

Par manque de respect,

Contrats, coups de canif.

.

Qu’est-ce que dispute sinon  U des mots

Qui vont éclater dans nos     N     bouches,

Chacun en rajoutant une  E    *    *      couche,

Finissant par dégrader   *      C       D      propos.

Ce banal prétexte d’    D         E        E  amorçage,

Suscite un ouragan    I            *         S   décoiffant,

Soufflant nombre d’   S          S           *  arguments

Pour vous conserver   P         O       M      en…rage.

Chacun fait une danse  U      N       O    de…gestes

Accentuant encore vos   T    T       T  gros mots,

Jusqu’à ce que, silence    E   *   S  ou le reste,

Vous disent cela suffira        *      et  repos !

Les  conséquences  en    sont    diverses :

Lors certains se braquent,    patraques,

D’autres fuient, autres   se dispersent,

Ou pèteront un plomb lors d’attaque

Façons de parler,    d’écouter, d’agir,

Et communications     à sens unique

N’entendront  rien     des  musiques,

Amplifiées   par   les      sons   à vagir.

Désir imposer votre      *   point de vue

    Vous mettront souvent    *    plus que nus

      Et vos torts même s’ils     *  seront partagés

       Feront qu’on n’entend    D  Q  plus les vérités.

         Si les mots eux-mêmes  E     U  ne savent  rimer,

         Dites-moi à quoi rime   S      I    de se… disputer :

         Si fait, n’importe quoi   *       *  pourra vous arriver,

          Comme de vous haïr   M       T   avant de vous quitter.

          Si disputer ne cause  O       A   ra pas de vrai problème,

           Se réconcilier, par   T       P  donner,  ou se comprendre,

            Sera plus difficile    S      E  mais, salutaire, quand même,

             Lors l’amour fait        *   N    qu’on reparvient à s’entendre.

T ………………..

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une femme de marin

Avec sa  longue  coiffe

Bigoudène sur la tête,

En posture dispute.

.

570 4

.

Une femme de caractère

En costume et coiffe bigouden

Avec laquelle il ne serait pas facile

De se disputer pour en venir à bout.

Une  femme  de  marin  aura  parfois

Raison de disputer  son mari au café

Ce jour-là elle, mettra sa haute coiffe

Et ainsi la forme rejoindrait le fond.

 .

Symbolique 

 .

Une dispute dans un rêve

Est symbole d’une bataille,

D’un conflit  dans son cœur,

D’une excitation ou confusion,

D’une frustration ou d’une colère,

D’un  combat  contre  des rivaux,  etc.

Rêver que vous vous disputez avec d’autres,

Suggère que  vous  essayez  de résoudre, tout seul,

Un conflit interne ou litige qui existe dans votre vraie vie.

Rêver de se disputer avec sa famille, est une expression directe

De ce que le rêveur pense de la « famille » et de « l’environnement familial »

Actuel, il peut éprouver un profond sentiment d’insatisfaction et d’anxiété

À l’égard de sa famille et de son environnement familial.

interpretation-reve.fr/dictionnaire-reve-D/dispute.htm

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

570 6

.

 

Une femme de caractère

En  costume  de ville, moderne,

Avec laquelle il ne serait pas facile

De se disputer pour en venir à bout !

.

Symbolique

.

Les femmes à fort caractère

Sont des femmes  sûres d’elles.

Volontaires et très organisées,

Dans leur vie professionnelle,

Comme dans leur vie privée,

Ont une personnalité forte,

Savent ce  qu’elles veulent.

Lors phase  de  séduction

Elles  adoptent, souvent,

Une  position très  active

Choisissent le partenaire.

.En couple,  elles prennent

De nombreuses initiatives

Aimeraient  bien   imposer

Leur rythme au partenaire.

love-intelligence.fr/La-femme-

a-fort-caractere-en-amour

 .

 .

Fond/forme 

.

Une femme de marin, de caractère

N’a pas peur des conflits, disputes,

Et ce n’est pas qu’elle les provoque,

Mais se défend comme une lionne.

Différents  entre maux  des mots,

Et la colère monte  dans les tons,

Et ce sont bravades à répétition,

Jusqu’à raccrocher conciliation

Qui effacera tout sur l’oreiller.

.

Textuels et illustrations   >> 

569 – Une femme seule, divorcée, deux enfants

Textuels et illustrations >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

On pourrait, on voudrait croire

Une telle situation, exception,

Mais, il n’en est rien,  à voir

Des couples en séparation.

.

Les enfants peuvent être,

Très jeunes adolescents

Confiés à seul parent,

Ou mode alternant.

Il n’empêche que

La femme aura

Plus de … mal

À  se   recaser,

Par   peur    de

De se confronter

À un nouvel échec,

Ne cessant la freiner.

Enfants, l’y exhortent,

Ou refusent  beau-père,

Le bonheur  de leur mère

Passant, souvent, la porte !

.

Une femme,  seule,  divorcée,

Deux enfants à charge à moitié

Se dirigeant vers la quarantaine,

Entame formation non sans peine.

Elle recommence une troisième vie,

Bien qu’elle  soit accablée, par soucis.

.

Preuve, qu’en étant motivée, elle  peut

Rebondir, à chaque  époque, si elle veut

Pour s’en sortir, grandie, mieux  affermi

Par nouveau départ nouveau travail aussi

Pour une, qui fera le pas, lors, se décidant

Neuf auront baissé les bras,  au fil des ans.

.

Si la vie d’amoureuse   des femmes mûres,

Se terminera, souvent, vers cinquantaine,

Personne ne vient  leur chanter fredaine,

Bien qu’elles demeurent  chaleureuses !

.

Et, si certaines  sont plus  chanceuses,

Solitude obligeant à tendre les bras,

Il leur suffit d’un vrai ami très sûr

Pour se réfugier … dans ses pas.

.

Et enfants, sans aucune haine

Adopteront nouveaux élus,

Elle n’est pas superflue

Vie multiple conçue

Comme pleine

Non vaine,

Sereine,

Vécue.

.

Extensions 

 .

Cela dit, tous les cas

Sont dans la nature

Et il n’y a pas de processus

Ni de procédure qui résolve

En un tournemain tous les

Genres de problèmes.

.

Une femme seule,

Divorcée, deux enfants,

Autant de situations différentes

Qu’il ne faut, en aucun cas, confondre.

« Je veux la femme, pas ses enfants,

Ni entendre parler de l’ex-mari,

Du père de ses enfants».

On a entendu ou vécu cela.

.

Sait que ça ne mènera nulle part.

Alors pour quelqu’un, quelqu’une,

Ayant deux enfants, recommencer

Avec un, une, qui n’en a pas,

Constituera un pari audacieux.

.

Le piège du couple avec deux enfants lors d’une séparation

Se referme sur la femme qui n’a pas d’emploi ni formation

Et qui a la charge de ses  enfants, à nourrir, vêtir, éduquer

Tandis que le père oublie de verser sa pension alimentaire,

Tout en réclamant le droit de visite, et d’autorité, sur eux :

Ce sont les enfants, qui pâtissent le plus, sans comprendre,

Bien que leur mère, devant travailler, se sacrifie pour eux !

Ce n’est pas tant la question du tort voire d’incompatibilité

Que celle de la prise en charge commune et responsabilité !

.

 Divorcer pour une femme est une chose :

Toujours un drame, tout autant qu’échec,

Des deux côtés, se rejetant responsabilité,

Mais déjà songeant à rebondir avec autre.

.

Pour femme, avec deux enfants, une autre,

Et déjà penser à  se battre  pour les garder,

Assumer une plus grande part d’autonomie

Sans le père, autorité parentale à la maison.

.

Cela dit tout reste négociable et à l’amiable,

Qu’on appelle  par «consentement mutuel»,

Or chaque cas demeure souvent particulier,

Les enfants s’adaptent sinon en souffriront.

.

Fragments 

.

Un homme, une femme, divorcés :

Quoi de plus commun aujourd’hui.

.

Avec des enfants et qui sont grands,

Autonomes, cela l’est devenu aussi.

.

Toutefois, si elle n’est partagée,

La garde  des  enfants, petits,

Génèrera nombreux conflits

.

Ça suppose  que  les parents

Demeurent en bonne entente

Et que les enfants  acceptent !

.

Il arrive que le père disparaisse,

Sans participer aux frais d’enfants

Et ce malgré son obligation … légale.

.

La mère, sans emploi, doit se débrouiller,

Travailler, se faire aider par services sociaux

.

Je ne vous brosserai pas l’ensemble  du  tableau :

Refaire sa vie en ces conditions n’est pas du gâteau.

.

Le père est un dauphin, tout va bien, famille avant tout,

Le père est un requin, tout va mal, tout pour lui, d’abord !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

On pourrait, on voudrait croire

Une telle situation, exception,

Mais, il n’en est rien,  à voir

Des couples en séparation.

Les enfants peuvent être,

Très jeunes adolescents

Confiés à seul parent,

Ou mode alternant.

Il n’empêche que

La femme aura

Plus de … mal

À  se   recaser,

Par   peur    de

De se confronter

À un nouvel échec,

Ne cessant la freiner

Enfants, l’y exhortent,

Ou refusent  beau-père,

Le bonheur  de leur mère

Passant, souvent, la porte !

Une femme,  seule,  divorcée,

Deux enfants à charge à moitié

Se dirigeant vers la quarantaine,

Entame formation non sans peine.

**** Elle recommence une troisième vie, ****

FEMME * Bien qu’elle soit accablée, par soucis * FEMME

DIVORCÉE * Preuve, qu’en étant motivée, elle  peut * DIVORCÉE

AVEC DEUX  * Rebondir, à chaque  époque, si elle veut * AVEC DEUX

  ENFANTS * Pour s’en sortir, grandie, mieux affermi  *  ENFANTS

SEULE * Par nouveau départ nouveau travail aussi * SEULE

****** Pour une, qui fera le pas, lors, se décidant ******

** Neuf auront baissé les bras,  au fil des ans. **

Si la vie d’amoureuse   des femmes mûres,

Se terminera, souvent, vers cinquantaine,

Personne ne vient  leur chanter fredaine,

Bien qu’elles demeurent  chaleureuses !

Et, si certaines  sont plus  chanceuses,

Solitude obligeant à tendre les bras,

Il leur suffit d’un vrai ami très sûr

Pour se réfugier … dans ses pas.

Et enfants, sans aucune haine

Adopteront nouveaux élus,

Elle n’est pas superflue

Vie multiple conçue

Comme pleine

Non vaine,

Sereine,

Vécue.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un pendentif de collier

Une forme  de poisson,

Mais  du quel  s’agit-il 

Dauphin ou requin ?

.

569 4

.

 

À mon humble avis 

Ça ressemble plus à requin que dauphin,

Quel que soient poissons

Ils seront loin de se ressembler en couples !

 .

Symbolique 

 .

 

Quel que

Soit l’angle

Sous    lequel

Nous examinons

Les     dauphins,

Nous    pouvons    voir

Qu’il s’agit de survivants

Il s’agit de valeur qui leur

Sera attribuée : la survie.

Toutes les personnes qui

S’identifieront   à    lui

Sont  habituellement

Douées   pour     les  

Relations  sociales

À   manipuler

Situations,

Difficiles

VVV

lefrontal.com/

symbolique-du-requin

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

569 6

.

À mon humble avis 

Ça ressemble plus à dauphin que requin,

Quel que soient poissons

Ils seront loin de se ressembler lors couple !

 .

Symbolique

 .

Dauphin

Animal totem

Représentera

L’équilibre,

L’harmonie.

Entant  à la fois

Intelligents et instinctifs,

Les dauphins sont maîtres

De l’équilibre    …   spirituel.

Ce  sont  là  des  symboles de

Résurrection et de protection.

Doté  de  nature  enjouée,  cet

Animal   spirituel,    rappelle

D’aborder  la  vie  avec   joie

Et  avec  humour. Pacifique 

Et  doux,  il   possède  aussi

Force intérieure profonde.

L’affinité avec le  dauphin

Comme un animal totem

Est complexe, peut être

Associée  à  plusieurs

Si-gni-fi-ca-tions

 Importantes.

blogsanimal-totem-dauphin-symboliques

-et-interpretations-du-dauphin

 .

 .

Fond/forme 

 .

Les formes ressemblent bien aux animaux,

Pas aux humains, encore moins aux femmes.

Elles restent loin de tout sujet de fond : divorce

S’il est vrai que dauphins sont plus près de nous

Que sait-on de leur couple, leur fidélité, divorce :

Pas grand-chose étant transposable aux femmes

À moins de passer de la reine à la … dauphine !

.

Textuels et illustrations >>  

568 – Une femme peut en cacher une autre

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

J’ai épousé … ma mère … ma sœur,

À  travers femme qui leur  ressemble,

Physiques ou caractères, s’assemblent

Durant un temps,  j’ai trouvé  bonheur.

.

Lors,  se  dévoile, telle  que, réellement :

Elle n’est  pas telle  que  je l’avais projeté

C’est en secondes noces que je l’ai épousé

Et que je me suis mis à l’aimer vraiment.

.

J’ai cru connaitre l’enfer, m’être trompé,

J’ai cru  connaitre l’enfer de  la tromper,

J’ai connu un paradis de la ré-imaginer,

Je ne suis plus prêt à la laisser tomber.

.

Toute femme  peut en cacher autre,

Vue extérieure par procuration

 Vue intérieure par l’évolution,

Équilibre entre elle et autre.

.

Une femme peut en cacher une autre, par cœurs, cris,

Moins par l’esprit, moins par le caractère, par l’âme,

Son être est unique, par ricochet, sa relation aussi,

Dès qu’on la touche du doigt, l’amour s’enflamme.

.

Femme peut en cacher une autre, voilée, souvent,

Que l’on prétend aimer, que l’on traite connement

Au lit, en toutes tromperies, que chacun diffame :

En trompant sa femme, l’on se trompe de femme.

.

S’il n’y a pas, dit le proverbe, d’amour …  heureux,

Pour toujours, avec une passion qui dure  l’éternité,

Pour autant ne faisons pas de nous êtres malheureux,

Recherchant un amour impossible  qui ne peut exister,

Descente aux enfers, symétrique de montée  au paradis.

.

Ce n’est pas, qu’on perde l’autre, ni qu’on se perde en lui,

L’amour aboutit à équilibre que force du temps détruit :

Reste à  le renouveler  jusqu’à ce que l’on dise, c’est fini.

.

J’ai voulu composer, pour elles, ce très  vilain  poème :

Souhaitant qu’il les conduise directement aux cieux.

Ai-je réussi : j’en doute ! J’ai fait de  mon mieux.

.

Pour autant est-ce nécessaire, est-ce suffisant

Pour me targuer de devenir leur amant !

Non, loin s’en faut, trop bohème,

Pour rassurer femme perdue

Qui en devient inconnue

À elle-même  et  à lui,

Par salut, elle  le  fuit.

.

Fuit tout ce qui la rejette,

Tente une nouvelle conquête,

Pour se sentir mieux dans sa tête

Et jusqu’à ce qu’elle se redise en fête.

.

Extensions

.

Une femme peut en cacher une autre,

Sans qu’il y ait problème, trouble, tromperie.

Sa femme n’est pas unique  en tant  que telle,

Elle en rappelle d’autres qui ressembleraient

À un portrait en tant que son idéal féminin.

.

Cacher peut se transformer en masquant

Tant qu’elle prend la place de toutes

Les autres au point qu’elles deviennent

Transparentes, insignifiantes, non désirées.

.

Le phénomène de cristallisation rend cela

Possible le temps d’une passion éphémère.

.

Une femme peut ressembler à une autre

Elle peut prendre l’identité d’une autre

Elle peut vouloir remplacer une autre,

Il y a toute une grammaire en dualité

Qui fait d’une, révélée, l’autre cachée :

Une femme prend la place d’une autre,

Ou cohabite avec elle en étant des amies

L’on ne saurait se référer à loi biologique

Pour savoir, des modèles, quelle pratique !

.

L’on croit épouser une femme, unique,

Alors qu’en réalité, on épouse plusieurs,

Je ne fais pas référence à une polygamie

Bien plutôt à une mère  et sœur, et amie,

Qui nous aurait influencés en notre choix.

.

Un discours de psy,  diront les maris jaloux,

Les épouses qui ne veulent pas les contrarier

Mais comment alors expliquer qu’on divorce,

Est-ce  par étiolement d’amour, ou  par  force,

Avouer s’être trompé sur la bonne, seule, vraie.

.

Fragments

.

Une femme peut en cacher une autre

En fait en cumuler fantasmes d’autres.

.

Elle peut être aussi ma mère ou ma fille,

Ma sœur, mon amie ou mon mante,  etc.

.

On se trouve à la faire jouer un jeu de rôle

Que certaines acceptent, trouveront drôle,

Et que d’autres  désapprouvent, rejettent :

Elles sont elle-même, rien d’autre, sujette.

.

En tout cas n’acceptent de jouer la potiche,

Le faire valoir de monsieur,  lors en société,

Et en privé, sa poupée jolie et qui lui sourit,

Ce modèle de couple a vécu, n’a pu lieu être.

.

Plutôt que pot horticole,  support des fleurs,

Un artiste aura idée de céramiques jumelles,

Qui sont accolées pour mieux communiquer,

C’est un peu comme image d’anneau nuptial.

.

Être l’amant de sa femme, alors qu’on est mari,

C’est un peu un fantasme pour mieux la garder.

.

Ça peut se faire, s’est même surement déjà fait,

Moi-même en ai parfois rêvé : est-ce un crime !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

J’ai épousé,         F                 ma mère,                       C          ma sœur,

À  travers           E              femme qui leur                 A        ressemble,

Physiques         M             ou de caractères,                C    s’assemblent

Durant            M             le temps, j’ai trouvé           H        bonheur.

Voici, elle       E            se dévoile,    telle que          E     réellement

Elle est,         *           non telle que je l’avais         R        projeté :

C’est en       P           secondes noces, que je         *    l’ai épousé

Et que je    E         me suis mis, à l’aimer,      A   vraiment !

J’ai cru      U        connaitre enfer m’être    U        trompé

J’ai cru      T        connaitre l’enfer de      T  la tromper,

J’ai connu   *      le paradis de la ré      R   imaginer,

Je ne suis plus E   prêt à la laisser    E      tomber.

Toute femme  N  peut en cacher  *         autre,

Extérieur par procuration

 Ou intérieur par évolution,

Équilibre entre elle et autre.

****************************

**************************************

Une femme peut en cacher….….. une autre, par cœurs, cris,

Moins par l’esprit, moins…… par le caractère, par l’âme,

Son être est unique et, par  ricochet, sa relation aussi,

Dès qu’on la touche du … doigt, l’amour s’enflamme.

Femme peut en cacher… une autre, voilée, souvent,

Que l’on prétend aimer, que l’on traite connement

Au lit, en toutes tromperies, que chacun diffame :

En trompant sa femme, l’on se trompe de femme.

S‘il n’y a pas, dit le proverbe, d’amour …  heureux,

Pour toujours, avec une passion qui dure  l’éternité,

Pour autant ne faisons pas de nous êtres malheureux,

Recherchant un amour impossible  qui ne peut exister,

Descente aux enfers, symétrique de montée  au paradis.

Ce n’est pas, qu’on perde l’autre, ni qu’on se perde en lui,

L’amour aboutit à équilibre que force du temps détruit :

Reste à  le renouveler  jusqu’à ce que l’on dise, c’est fini.

J‘ai voulu composer, pour elles, ce très  vilain  poème :

Souhaitant qu’il les conduise directement aux cieux.

Ai-je réussi : j’en doute ! J’ai fait de  mon mieux.

Pour autant est-ce nécessaire, est-ce suffisant

Pour me targuer de devenir leur amant !

Non, loin s’en faut, trop bohème,

Pour rassurer femme perdue

Qui en devient inconnue

À  elle-même  et  à lui,

Par  salut,   elle  le  fuit.

Fuit   tout ce qui la    rejette,

Tente    une nouvelle      conquête,

Pour se    sentir mieux       dans sa tête

Et jusqu’à    ce qu’elle se        redise en fête.

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Forme

.

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Évocation 

.

Un grand pot d’extérieur

Pour faire pousser beau

Massif de belles fleurs

En œuvre d’artiste.

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.

À l’intérieur d’un tel pot horticole,

Une terre riche et fertile,

Pour production d’œuvre d’artiste

 Par scissiparité, duplication.

Pot, œuvre d’artiste, ont peu de rapports

Avec femme, si ce n’est de la traiter ainsi :

Quel que soit la forme du pot, ne ressemble,

On s’éloigne de la grâce de sa forme et fond.

  .

 Symbolique 

.

Pots horticoles remontent aux origines

Du jardinage,  c’est-à-dire néolithique, 

 Fréquents en les jardins de l’antiquité.

Le pot de fleurs   est    en terre cuite,

En plastique, en bois, ou en pierre.

Existe  toutes tailles, allant du dé

À coudre aux énormes

Pots arboricoles

Couramment utilisés

Pour planter les agrumes.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

568 6

.

Une production d’œuvre d’artiste

 Comme jumeaux, bien siamois

Dupliqués par scissiparité

Pour couple de pots.

 .

Symbolique 

.

En plus de leur aspect

Utilitaire, esthétique,

Les objets artisanaux

Kabyles  ont  aussi  eu

Une fonction magico-religieuse,

En réconfortant non plus  le corps

Mais tout autant l’âme des ruraux !

.

Le langage symbolique de ces œuvres

A permis à cette culture antique

De franchir  nombre de siècles.

.

Par-delà l’émotion esthétique

Procurée   par   ces  artistes,

Nous sommes  en présence

De  tout  un  code  de  normes

Sociales et de valeurs éthiques 

chroniquesalgeriennes.unblog.fr/

 .

.

Fond/forme 

 .

On épouse une femme et autant un modèle

Rappelant sa propre mère ou s’en éloignant,

Pas toujours physiquement : de tempérament

Par certains côtés, elle sécurise comme enfance

Le tout étant, avant tout, la question de confiance.

Et c’est ainsi que des générations se renouvellent

Mais on peut aussi flasher sur un autre modèle

Comme une chanteuse, actrice, ou que sais-je

Et vivre ainsi et par procuration, avec elle,

Jusqu’au jour où l’image tombe : divorce.

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Textuels et illustrations  >> 

567 – Un amour peut en cacher un autre

Textuels et illustrations  >> 

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Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

L’amour ressemblerait, un peu …    comme à un train,

Qui pourrait bien en cacher,   un autre, en chemin !

Une fois  que l’on aura atteint  son arrière train,

On se jettera sous l’autre,   comme incertain !

.

La fiction l’emporte, parfois, sur la réalité,

Ce que vous souhaitez, peinez imaginer,

L’idéal vous taraude comme manqué,

Ce que vous aurez choisi, a changé :

En vrai c’est peut-être vous, la vie

Qui avez évolué et n’avez bougé

Prétextant qu’autre, en tout,

Vous conviendrait…partout.

.

Chacun son type de femme.

Il y en a  beaucoup, de tout,

Et même pour tous les goûts,

Mais c’est leur esprit leur âme,

Les distinguant par-dessus tout,

Qui font qu’on reste ou qu’on part

Pour autre voie sans arrière-train.

.

Un amour peut en cacher un autre,

Et lui-même, cacher tous les autres !

Si tous  se confondent  avec les miens,

Dites-moi, où est le mal, où est le bien !

.

De prétendre faire  le tour de la question,

Est confondre la limite entre raison, passion

Lors je parle à  l’un,  je parle  aussi à un autre,

Et des deux,  j’en suis victime et j’en suis apôtre.

.

Quand mon fantasme  collera  à sa magie  éclairée

D’avoir enfin trouvé celle avec qui je puis me marier,

Réalité d’ennui aura produit, en moi, de la  mélancolie

Lors ombre de la peur  de la  perdre, déjà me pervertit.

.

Voilà  que  de rechercher ailleurs, une autre me divertit

Dès lors que pour cela,  il suffit la mettre  dans mon lit,

Sa chanson,  son  couplet, refrain, sont très vite redits,

Pour finir : amours, désirs, s’en vont, tous deux punis.

.

Ruptures, affrontements, conflits, dénis, comme jeux,

S’inscrivant dans la durée où la fidélité fait dilemme,

Divorcer, rester est selon son courage ou sa flegme,

Femme en cache une autre, dix, cent, davantage.

Femmes sont toutes différentes et les mêmes.

.

Extensions

.

Tout ce qui est caché à l’intérieur reste secret,

Même s’il s’agit de forme, d’amour, différent :

Triangle amoureux est forme d’amour caché !

Parfois on ne se satisfait pas d’un seul amour

Mais dès qu’on le déclarera on perdra l’autre.

Le cœur peut se partager, mais le couple, non

À chacun de penser et de faire ce qu’il en veut.

Cette question mérite d’être posée :

On se doute qu’il faut bien déterminer

Amour est-il fond de nature ou culture ?

Je m’en garderai d’y répondre, en vérité !

.

Là comme ailleurs, c’est l’homme qui décide

De choisir ente une société monogame fidèle,

Jusqu’à aller lapider toute femme ayant fauté,

Ou à l’inverse, tolérant un amant secret, caché.

Il y aura souvent un gap entre droit et pratique

Sans aller à recenser  formes d’amours possibles

Chaque civilisation,  voire chaque communauté,

Se fixe bornes et lignes rouges à ne pas franchir.

.

Fragments

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On dirait que l’homme n’est pas fait

Pour être seul et la femme, non plus.

.

On dirait  que l’homme  n’est pas fait,

Pour avoir une seule femme en sa vie.

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On dirait ceci, dirait cela, on dira tout,

L’amante et le divorce sont des réalités.

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L’amour, plutôt une passion amoureuse

Ne dure que trois ans selon statistiques.

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Pour autant doit-on changer partenaire,

Il n’y a pas de prescription sociologique.

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On pourra se remarier un nombre de fois

Mais non être marié avec deux, à la fois.

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Un amour peut en cacher plein d’autres,

Peu iraient jusqu’à produire un divorce.

.

 Enfants communs entrent sur la balance,

Après quatre ou cinq, faut avoir moyens.

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Mais dans bien des cas des arrangements,

Suffisent à sauver la face, parfois héritage.

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et si généralement, on divorce qu’une fois,

c’est que premier mariage n’était qu’essai.

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après : accidents de la vie,  comme on dit,

suicides, morts violentes, disparitions, etc.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme 

 .

                     L’amour ressemblerait, un peu …    comme à un train,

                  Qui pourrait bien en cacher,   un autre, en chemin !

             Une fois  que l’on aura atteint  son arrière train,

          On se jettera sous l’autre,   comme incertain !

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            ****************************************************

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        La fiction l’emporte, parfois, sur la réalité,

      Ce que vous souhaitez, peinez imaginer,

     L’idéal vous taraude comme manqué,

     Ce que vous aurez choisi, a changé :

    En vrai c’est peut-être vous, la vie

  Qui avez évolué et n’avez bougé

Prétextant qu’autre, en tout,

 Vous conviendrait…partout.

Chacun son type de femme.

Il y en a beaucoup, de tout,

Et même pour   tous les goûts

Mais c’est leur   esprit leur âme

Les distinguant      par-dessus tout

Qui font que l’on     reste ou qu’on part

Pour autre voie,     *      sans arrière-train.

Un amour peut    *          *   en cacher un autre

Et lui-même       U    cacher     C     tous les autres !

Et si tous se      N    confondent     A     avec les miens

Dites-moi où     *      est   le   mal       C      où est le bien !

De prétendre     A       faire   le  tour        H      de la question,

Est confondre   M        la  limite entre         E    raison, passion :

Lors je parle     O           à  l’un,  je   parle        R   aussi à un autre,

Et des deux       U            j’en suis victime           *     j’en suis apôtre.

Quand mon       R             fantasme   collera           U    à magie éclairée

D’avoir enfin      *             trouvé   celle    avec           N    qui puis marier,

Réalité ennui     P              aura produit en moi            *    de la  mélancolie

Lors ombre de  E               la peur  de la  perdre              A déjà me pervertit.

Voilà  que  de   U               rechercher ailleurs une             U  autre me divertit

Dès lors que    T                 pour cela,  suffit la met               T  tre dans mon lit,

  Sa chanson     *                  son  couplet, refrain sont             R     très vite redits

Pour finir      E                amours,  désirs s’en vont              E   et deux punis.

La rupture   N             affrontement, conflit, déni           *    comme jeux,

S’inscrivant   *       dans la durée où la fidélité       *  fait dilemme,

Divorcer, rester  *  est selon son courage   *  ou sa flegme,

Femme en cache une autre, dix, cent, davantage.

Femmes sont toutes différentes et les mêmes.

.

Forme

.

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Évocation   

Un vase à eau

Bien ouvert pour

Cacher un secret,

Bouquet de fleurs.

.

.

Ce vase aurait été fait pour

 Être montré, ou mis en vitrine :

Ce qui ne l’empêche pas de cacher

Tout autre,  secret  en  son intérieur.

Un vase peut en cacher un autre, pour sûr

De même qu’il peut cacher bien des secrets,

Mais véritable, double amour, contre faux,

Limite forme/fond approchée, non intégrée.

 .

Symbolique 

 .

Le vase est contenant :

La boîte, le sac et l’armoire,

Le vase et un symbole féminin.

Dans le vase, on y mettra de l’eau,

Symbole de la vie et de la terre aussi,

Une plante qui pourra s’y développer.

Les alchimistes appelaient aussi  vase

Le creuset dans lequel ils projetaient

Leurs transformations intérieures.

Ce lieu clos propice à une image

De   renfermement   sur   soi

Le temps d’une élévation

Du niveau conscience,

Dans le cadre du

Processus

D’individuation

signification-reves.fr/Vase

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Fond

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Évocation

.

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.

Ce vase aurait été fait pour

 Être montré, ou mis en vitrine :

Ce qui ne l’empêche pas de cacher

Tout autre,  secret en son intérieur.

 .

Symbolique

.

Le secret est

Un privilège du pouvoir

Signe de sa participation.

Il  est  l’idée  d’un  trésor

Et il aura ses gardiens.

 

Il est source d’angoisse

Par  son  poids  intérieur,

Tant pour celui qui le porte

Que pour ceux qui le craignent.

 

Lors, du point de vue analytique

L’on peut dire que l’aveu du secret

Libère l’âme de toutes ses angoisses.

 

Il est sain de se décharger de ses secrets

Mais celui qui est capable de le garder,

Sans défaillance et sans gêne,

Acquiert une force de domination.

 

 .

Fond/forme 

.

C’est comme les poupées gigognes

Si amour se rétrécit de plus en plus

Il restera, au fond, toujours présent

Et peut re-grandir dans l’autre sens.

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Un vase, reste un vase, si petit soit-il,

Et tout nouvel amour s’appelle idylle

C’est juste question de choix d’amant,

Soit pour un jour, un an, ou toujours.

.

Lors certains vont  jusqu’à prétendre

Que ce serait le processus qui compte,

Plus qu’objet aimé étant renouvelable.

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Textuels et illustrations  >>