1025 – Les fatigués et les déçus des plaisirs du sexe

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.   

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

.

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

.

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou,

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme :

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

.

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

.

Extensions

 .

À défaut d’orgasme commun,

On peut quand même grimper

Aux cieux pour peu que l’on soit

Toujours amoureux.

Mais, si l’on n’est pas présent,

Si l’on n’est pas puissant,

Si l’on n’est pas excitant,

Il ne faut s’attendre à ce que

L’autre vous satisfasse !

.

Il est certain que l’alcool potentialise le sexe à un certain degré

Mais comme pour la cigarette, quand c’est trop, c’est plus trop

L’excès de graisse favorise plus la digestion que l’e désir sexuel

En somme, il y a des causes naturelles à une perte de sa libido

Mais, il peut y avoir aussi une lassitude dans un vieux couple

Ou jeune et qui fait que la pulsion, comme la passion, faiblit

Et lors on se retrouve au lit avec un dos tourné qui ne veut.

.

Le sexe ne provoquera systématiquement

Un plaisir à renouveler sans faim … ni fin.

.

S’il y en a qui en usent, confortant l’amour,

D’autres en abusent pour leur propre plaisir

D’autres s’en abstiennent par trop déplaisirs,

Quoiqu’il en soit, fatigue se fait sentir un jour.

.

Alors que faire, d’autre, pour compenser perte

De désirs autant que de plaisirs, de fantasmer

Qu’une femme ou un homme soit à vos pieds.

.

.

1025 – Calligramme

 .

DES FATIGUÉS

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

ET DES DÉÇUS DU SEXE  

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou.

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme.

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1025 4

.

Une pelle, un flacon,

Ou une brosse  à cheveux

Et pourquoi pas un balai 

Pour ramasser poussières ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Le balai et le sexe, ont peu à faire ensemble,

même si on enfourche aussi bien ce dernier,

cela resterait une image reliée aux sorcières,

et si sa forme évoque elle n’époussette fond.

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

 Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique

 .

Si le balai

Est associé au nettoyage,

Il est tout aussi  bien associé à la

Purification et à l’épuration spirituelles.

Un nettoyage spirituel… en quelque sorte,

Une purification de soi  et des lieux  sacrés.

.

En plus de servir à la purification des lieux,

Il peut tout aussi bien servir à les protéger !

Il est parfois associé à symbolique sexuelle

Dans nombres de textes et de légendes.

.

Plusieurs coutumes folkloriques

Comportant un balai peuvent

Se rattacher à un contexte sexuel

lailaseshat2.canalblog.com/archives/2008

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1025 6

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique de fond

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation sexuelle n’est pas

Uniquement liée à des stimuli

Sensoriels du sexe et ne

Conduit pas forcément

À l’acte sexuel sans

Intervention des pensées

Et des émotions (heureusement)…

.

Quant aux fondements de l’excitation

Sexuelle chez la femme, tout reste à faire.

Et l’on pariera aisément que

C’est encore plus compliqué…

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Tout ce qui aura rapport au sexe, du balai.

Facile à dire, pour un temps, mais toujours :

Comment s’en priver sans perdre aussi amour,

Car si frigide, sans orgasme, le cœur n’y est plus

Il reste la tendresse, les caresses et câlins appuyés

Et la libido, comme chacun le sait, peut se sublimer,

En d’autres jeux, d’autres œuvres, passions nouvelles,

Et ainsi revenir vers de nouvelles dispositions sexuelles

Au lieu de s’affronter à une impuissance, s’en affranchir

En la contournant, en la réinventant, en la ré-energisant.

 .

.

.

Fatiguée, voire déçue du sexe

.

Scénario

.

Le sexe, ah non, pour moi, c’est fini, c’est bien trop décevant

en plus l’excès de cigarette, de graisse, d’alcool,  m’y empêche,

je préfère dormir, penser à autre chose, en bref : m’abstenir !

 .

Visuels et textuels  >>

978 – Quels mots associons-nous au bonheur !

Visuels et textuels  >>

.

L’on prétend souvent…………..

Que le bonheur  est chose……….

Qui est  la mieux  partagée………..

Est fait  de la  même chose………

Or pour  tout  un  chacun…….

N’existe pas, même rêvé…

Tout le monde s’en fait,

Propre idée en valeur.

.

Temps libre, farnienté, congés

Dimanche, fête, amours, soirées

Autant de mots  lui sont associés.

La liste serait longue si, à décliner,

D’autant qu’elle change, avec l’âge,

D’autant qu’elle change avec partage.

Quels mots associons-nous au bonheur.

.

Le temps, ou l’action, sinon, le farnienté !

Les vacances, les dimanches, ou, les soirées,

L’espace chez soi, chez les autres voire ailleurs,

L’action que l’on fait, que l’on subit, évènement,

La méditation que l’on projette, que l’on ressent,

Ou les cinq à la fois, et avec une même intensité.

.

J’ai idée qu’il y a  plusieurs sortes  de bonheurs,

Qui entrainent plusieurs visions, et définitions,

Le bonheur de l’un n’est jamais comparaisons,

Il se découvre, à travers expériences, et heurts,

C’est pourquoi, l’un y nage comme un poisson,

Alors qu’autre court, après l’oiseau, sans nom.

.

Pour moi, le bonheur, c’est, à chacun, de dire,

Proche de son désir, ou proche, de son plaisir,

Proche d’un état qui dure, ou transition pure :

C’est, en l’instant qui passe, est passé, à venir,

Comme le soleil, un arc-en-ciel après la pluie,

Un moment, de lumière, de grâce…d’éternité.

.

Bonheur est ce que l’on est et ce que l’on fait,

Ou ce qui fait le bonheur est ce que l’on…est,

Lors  malheur revient, c’est qu’on est refait,

Lors bonheur revient c’est qu’on est parfait

Est, fait, refait, parfait, associés à bonheur.

.

.

Extensions

.

Des chansons sur le bonheur,

Sur ce qu’il est, ou sur ce qu’il fait,

Ce dont il nous prive quand il est parti,

Il y en a des dix, des cents, et des milles,

Avec les musiques qui les accompagnent.

Il n’y a pas de baromètre du bonheur

Comme pour la météo, l’humeur :

.

Qui a dit que «le bonheur bien vécu

On se rend compte au bruit qu’il fait

En claquant la porte derrière lui. »

.

Une vision réaliste pour les uns,

Pessimiste pour les autres,

Un peu comme quand on dit

Que le paradis serait sur Terre,

Tout comme l’enfer ou on prétend

Qu’il est perdu à jamais tout comme

Le Paradis du même nom ou l’Éden.

.

En tous cas, le bonheur,

Il ne suffit pas d’en parler,

Il faut le vivre pour s’en faire une idée

Et certains, hélas n’y auront jamais accès,

Même si le bonheur n’est pour eux

Que de survive le lendemain avec

Plus de stabilité que la veille.

.

Béatitude, félicité, joie sont de synonymes de bonheur

Le « contenu » du bonheur demeure très  indéterminé.

Il n’y a pas d’accord sur éléments particuliers ou  précis,

Qui seraient constitutifs connus, universels, du bonheur !

La richesse, la beauté et le pouvoir ne font pas le bonheur.

Une Ferrari, passer à la télé,  pour être heureux est illusion.

Chacun est libre de choisir ce qu’il veut pour être… heureux.

.

Le mot  bonheur  ne dépend pas,

De définitions  en dictionnaires

Parait universel, insaisissable,

Il  évolue, autant qu’il s’évalue

Le long d’un  curseur du désir.

Pour un européen, un africain,

Un asiatique,  ou un américain,

Ce mot peut n’être qu’un leurre.

Il y en a qui n’ont rien : heureux.

Il y en a qui ont tout : malheureux.

En définitive notre bonheur c’est nous

Qui en décidons, le façonnons, le vivons

Toutes les comparaisons bien qu’utiles

Ne nous apporterons pas ses clés !

.

.

978 – Calligramme

 .

LES MOTS

  L’on prétend souvent…………..

  Que le bonheur  est chose……….

     Qui est  la mieux  partagée………..

    Est fait  de la  même chose………

  Or pour  tout  un  chacun…….

N’existe pas, même rêvé…

Tout le monde s’en fait,

Propre idée en valeur.

.

     Temps libre, farnienté, congés

       Dimanche, fête, amours, soirées

         Autant de mots  lui sont associés.

          La liste serait longue si, à décliner,

          D’autant qu’elle change, avec l’âge,

              D’autant qu’elle change avec partage.

                 Quels mots associons-nous au bonheur.

ASSOCIÉS

                    Le temps, ou l’action, sinon, le farnienté !

                        Les vacances, les dimanches, ou, les soirées,

                             L’espace chez soi, chez les autres voire ailleurs,

                               L’action que l’on fait, que l’on subit, évènement,

                                La méditation que l’on projette, que l’on ressent,

                               Ou les cinq à la fois, et avec une même intensité.

.

                             J’ai idée qu’il y a  plusieurs sortes  de bonheurs,

                           Qui entrainent plusieurs visions, et définitions,

                          Le bonheur de l’un n’est jamais comparaisons,

                         Il se découvre, à travers expériences, et heurts,

                        C’est pourquoi, l’un y nage comme un poisson,

                      Alors qu’autre court, après l’oiseau, sans nom.

AU BONHEUR ?

                    Pour moi, le bonheur, c’est, à chacun, de dire,

                   Proche de son désir, ou proche, de son plaisir,

                   Proche d’un état qui dure, ou transition pure :

                 C’est, en l’instant qui passe, est passé, à venir,

                Comme le soleil, un arc-en-ciel après la pluie,

               Un moment, de lumière, de grâce…d’éternité.

.

             Bonheur est ce que l’on est et ce que l’on fait,

            Ou ce qui fait le bonheur est ce que l’on…est,

         Lors  malheur revient, c’est qu’on est refait,

         Lors bonheur revient c’est qu’on est parfait

        Est, fait, refait, parfait, associés à bonheur.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

978 4

.

Silhouette d’homme,

Le bonheur  ou  pas :

Qui peut le dire sans son

Visage qui reste ici caché.

.

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’approche du fond)

.

Difficile de mettre des mots justes

Des visages  pour   le  bonheur :

Chacun y va de son propre couplet

Sans qu’il y ait un même refrain.

  .

Symbolique 

 .

Être heureux est une

Expérience individuelle et humaine.

L’homme qui connaît la félicité, pas l’animal.

Notion de bonheur est intimement liée au désir.

Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs,

Du moins réaliser ses désirs «importants».

.

L’homme heureux accomplit les objectifs

Qu’il s’est fixé, ceux qui ont une valeur

Pour lui-même : le bonheur est donc

Ancré  dans  l’individu, dans ses

Projets et ses représentations.

dicophilo.fr/definition/bonheur

.

.

Fond

.

Évocation 

978 6

.

Difficile de mettre des mots justes

Des visages  pour   le  bonheur :

Chacun y va de son propre couplet

Sans qu’il y ait un même refrain.

 .

Symbolique

Le visage est un dévoilement

Incomplet, passager de personne,

Un dévoilement tant  jamais personne

N’a vu, directement, son propre visage,

Sauf en miroir, n’est donc pas pour soi,

Il est pour l’autre, est la partie la plus

Vivante  et la plus sensible, les sens

Que l’on présenterait aux autres.

.

Le moi,  partiellement dénudé,

Est plus révélateur que  reste

Pour comprendre le visage,

Il faut de la patience, de la

Lenteur, respect, amour !

.

C’est avilir un visage que

L’analyser sans l’aimer.

Si un visage  n’exprime

Rien de vie intérieure,

Il ne sera  plus qu’un

Masque élastique.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le bonheur, s’il existe, le même partout

Devrait se lire sur le visage de l’homme

Très détendant, souriant et yeux rieurs,

Non par volonté, nécessité relationnelle,

Mais de manière tout à fait inconsciente

Il peut n’y avoir que des signaux faibles

Entre quelqu’un qui fait mine et qui l’est

Mais il est vrai que si on l’est soi-même

On le remarquera mieux autour de soi.

 .

.

Et en attendant Goddot

.

Scénario

.

On associe la joie intense, éphémère, au bonheur, félicité durable.

Résultat séance d’associations sémantiques autour du mot bonheur.

Souhaiter bonne chance, illustrée par trois fers à cheval : imparable.

 .

Visuels et textuels  >>

977 – Ici l’on vit comme ci, là-bas comme ça

Visuels et textuels  >>

.

Chacun vit à sa manière

En un décor, selon son goût,

Ou ses coutumes communautés

Et plus encore, selon ses moyens :

La douceur de vivre tient au climat,

Le confort de vivre tient à l’habitat

La qualité de vie, à la tranquillité,

Le mode de vie, à la gastronomie.

.

Ici, l’on vit comme ci, là-bas, on vit comme ça,

Ici vous êtes chez vous, là-bas, vous êtes perdu :

Ce sont nos modes de vie, les coutumes connues,

Qui font nos différences entre notre pays ici, et là.

.

Six milliards de personnes qui s’agitent  et pensent,

Six milliards de personnes produisent et dépensent :

Chacun  selon ses goûts, et chacun, selon ses moyens,

La moitié d’entre d’eux se bornent à calmer leur faim.

.

Qui ne donnerait volontiers, la moitié de  tout son bien

Pour plus d’égalité : goutte d’eau dans l’océan…besoins,

Pour combien : devenir riche est bénédiction d’un dieu.

La preuve qu’il m’aime bien… que je fais de mon mieux.

.

Bien des riches  surconsomment, pour faire  des envieux,

Et nombre de pauvres n’ont droit qu’à des enfers  hideux,

Lieux prescrits et proscrits enlevant souci d’être heureux,

Respirant mauvais air, buvant mauvaise eau, et sans feux.

.

Certains  disposent, d’un air sain, et, même, très ensoleillé,

D’une terre fertile aussi, mais, trop  souvent, mal exploitée,

Et d’une eau vitale aussi, mais  trop souvent mal distribuée,

Et  leurs feux, forts aussi, mais  dans leurs yeux, trop brulés.

.

Riche, pauvre : chacun file le train, quotidien, de son destin,

L’un se voit vivre bien, l’autre persiste à en rêver …  sans fin,

L’un ne manque de rien, l’autre étouffe son espoir …chagrin,

Comment partager l’argent et l’humanité, entre tout, et rien.

.

Vrai qu’argent n’est pas tout, vrai qu’humanité n’est pas rien.

L’argent, sans humanité ne constituerait jamais un vrai bien.

Dans notre Monde, cette idée a du mal à faire son… chemin :

Personne n’est responsable de rien, mais ce bien est le mien.

.

Si, chacun continue à filer ainsi le train quotidien du destin,

Sans se soucier,  le moins du monde, de ses proches voisins,

Nous serons bientôt une population où la moitié aura faim

Et finira par manger l’autre pour sa survie : ce sera la fin.

.

.

Extensions

.

Ici, l’on vit comme ci, et  là-bas,

L’on vit comme ça : c’est un fait,

Et ce sera, toujours,   comme cela,

Mais après tout …  pourquoi  pas !

Ça relativiserait toute civilisation

Qui prétendra être la meilleure.

.

 Des façons et des manières de vivre, dieu sait s’il y en a des tonnes

Bien qu’essentiel  en humain : naître, vivre, se reproduire, travailler

Et quelques autres rites et coutumes acquis dès l’aube de l’humanité

Soient universels, il n’en reste pas moins qu’un nombre de variations

Se sont développés, telles les langues, les cultures  et  les civilisations

Et  la Communauté Européenne, avec ses vingt-sept pays  membres,

En est un bon exemple, pourtant loin du japon, de l’Inde, la Russie

C’est à la fois une richesse, contre l’uniformité, et une … faiblesse

Contre les autres blocs et continents qui sont mieux ordonnés.

.

Modes de vie, ancestraux,

Traditionnels   et   modernes,

Se succèdent sans se ressembler

Avec, toutefois, un  fond commun

En ce qui concerne les nourritures

Les vêtements, transports, loisirs,

Nécessité d’éducation, culture :

 C’est bien plus sur la manière

Que sur fond qu’on observe

Les grands changements.

.

.

Épilogue

 .

Combien de domaine de recherches

Et combien de spécialistes,  patentés,

Se seront penchés sur diverses sociétés

Sans jamais épuiser leur façon d’exister.

***

L’Europe est championne en comparaisons

 Le plus souvent, se prenant pour références,

Inclurait, de ce fait, des biais d’observations,

 Ce qui n’est pas acceptable pour une science.

***

On peut admettre  que l’on vit différemment,

À  cinq  ou  dix mille kilomètres  de  distance,

Surtout lors, dans le passé, sans … influences,

Mais avec la mondialisation,  tout changerait.

***

La réponse  n’est pas oui/non : est, ça dépend !

En surface irait de plus en plus se normalisant,

Mais en profondeur, bien tapie , au demeurant,

Au bout de deux ou trois générations, évoluant.

***

Mais qu’importe après tout, la façon dont on vit,

C’est plus nouvelle richesse qu’appauvrissements,

Intégration consiste à respecter lois pays d’accueil

Et surtout à ne pas chercher à imposer les siennes !

.

.

977 –  Calligramme

 .

Chacun vit à sa manière

En un décor, selon son goût,

Ou ses coutumes communautés

Et plus encore, selon ses moyens :

La douceur de vivre tient au climat,

Le confort de vivre tient à l’habitat

La qualité de vie, à la tranquillité,

Le mode de vie, à la gastronomie.

ICI L’ON VIT COMME CI

Ici, l’on vit comme ci, là-bas, on vit comme ça,

Ici vous êtes chez vous, là-bas, vous êtes perdu :

Ce sont nos modes de vie, les coutumes connues,

Qui font nos différences entre notre pays ici, et là.

.

Six milliards de personnes qui s’agitent  et pensent,

Six milliards de personnes produisent et dépensent :

Chacun  selon ses goûts, et chacun, selon ses moyens,

La moitié d’entre d’eux se bornent à calmer leur faim.

.

Qui ne donnerait volontiers, la moitié de  tout son bien

Pour plus d’égalité : goutte d’eau dans l’océan…besoins,

Pour combien : devenir riche est bénédiction d’un dieu.

La preuve qu’il m’aime bien… que je fais de mon mieux.

.

Bien des riches  surconsomment, pour faire  des envieux,

Et nombre de pauvres n’ont droit qu’à des enfers  hideux,

Lieux prescrits et proscrits enlevant souci d’être heureux,

Respirant mauvais air, buvant mauvaise eau, et sans feux.

LÀ-BAS COMME ÇA  

Certains  disposent, d’un air sain, et, même, très ensoleillé,

D’une terre fertile aussi, mais, trop  souvent, mal exploitée,

Et d’une eau vitale aussi, mais  trop souvent mal distribuée,

Et  leurs feux, forts aussi, mais  dans leurs yeux, trop brulés.

.

Riche, pauvre : chacun file le train, quotidien, de son destin,

L’un se voit vivre bien, l’autre persiste à en rêver …  sans fin,

L’un ne manque de rien, l’autre étouffe son espoir …chagrin,

Comment partager l’argent et l’humanité, entre tout, et rien.

.

Vrai qu’argent n’est pas tout, vrai qu’humanité n’est pas rien.

L’argent, sans humanité ne constituerait jamais un vrai bien.

Dans notre Monde, cette idée a du mal à faire son… chemin :

Personne n’est responsable de rien, mais ce bien est le mien.

.

Si, chacun continue à filer ainsi le train quotidien du destin,

Sans se soucier,  le moins du monde, de ses proches voisins,

Nous serons bientôt une population où la moitié aura faim

Et finira par manger l’autre pour sa survie : ce sera la fin.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

977 4

.

Silhouette massive d’un homme,

Vu de dos, bien impersonnelle,

Il n’a pas l’air d’être très riche

Probablement en pauvreté !

 .

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

.

Chacun vit comme il veut, comme il peut,

 Voire impersonnel :

L’égalité est une vue de l’esprit tant pour

La richesse que pauvreté !

.

Symbolique

 .

Le réseau social

Passait pour le lieu

«Où lon raconte sa vie»,

« Sa journée, sans intérêt».

Des choses qui devaient même

Rester de lordre de lintime car

Parfois trop personnelles comme

Sa religion, ses idées politiques,

Sa date de naissance, son lieu

De vie et même son statut

«Célibataire,   en  couple

Où  cest compliqué».

Rapport réseau social

A  également  changé :

Utilisateurs se sont mis

Progressivement à écrire

De manière plus en plus en

Impersonnels ou pseudos.

lesechos.fr/2016/04/facebook

-de-plus-en-plus-impersonnel

.

.

Fond

.

Évocation 

.

977 6

.

Chacun vit comme il veut, comme il peut,

 Ou impersonnel :

L’égalité est une vue de l’esprit tant pour

La richesse que pauvreté !

.

Symbolique 

.

La misère n’est pas seulement

Matérielle mais symbolique,

Et chacun sait qu’une richesse

Matérielle peut être accompagnée

D’une misère symbolique.

.

La misère matérielle ne doit pas

Être pensée indépendamment

De la misère symbolique,

Non seulement parce que

La pauvreté matérielle

Des uns semble la conséquence

Du sous-développement symbolique

Des autres, mais aussi parce que

La misère symbolique est ce qui

Transforme un pauvre en misérable.

De la pauvreté à la misère, il y a un pas

Qui ne concerne pas que niveau richesse.

Arsindustrialis.org/misere-symbolique

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le réseau social qui avait pour but premier

De créer davantage de liens interpersonnels

Aura fini par se substituer à notre vraie vie

Où  l’on rencontre, physiquement, les amis,

Miroir aux alouettes car en cas de pépins :

 La distance, cous comprenez, pas sur place

Je vais vous donner adresse d’association !

.

Génial, si on est sur le point  de se suicider :

Accrochez-vous aux branches, arbre tombe,

Et personne sur le réseau pour vous relever,

Et pourtant c’est devenu comme une drogue

Une dépendance dont on ne peut s’en passer.

.

Contradiction interne, mais qu’en apparence

C’est pas l’outil qui est responsable, coupable

Mais l’homme, l’humain, en sa quête insensée

De besoin connexion permanente instantanée.

.

.

Ici comme ci, là-bas comme ça

.

Scénario

.

Ici, on vit, on parle, on partage, dans la rue, chez soi, au travail.

Là,  on  vit, à  l’intérieur  et règle ses problèmes par formulaires.

Si plus rien ne va, le droit de grève et manifester prend le dessus.

.

Visuels et textuels  >>

976 – Pour s’élever au-dessus de son destin !

Visuels et textuels  >>

.

Son destin

Faudrait  déjà

Bien le connaitre

Avant de  … s’élever

Tout au-dessus de lui.

À moins d’avoir posture

D’envergure …  nationale,

Je m’en irai sans funérailles,

Qui laisse des traces en esprits

Et personne  ne s’en souviendra.

S’élever au-dessus destin est aussi

Durer bien au-delà de sa propre vie :

On aura  beau  ré-assassiner … Mozart,

On jouera encore sa musique, plus tard !

.

Pour  s’élever au-dela de son destin

Faut le voir et le prendre bien en main.

Déjà pour qu’il soit bon, moins mauvais

Qu’il soit le mien là où je suis là où j’y vais.

Tous les hommes sont mortels,  dit Socrate,

Mais  alors, pourquoi vivent-ils,  ça m’épate,

Pourquoi se reproduire face à un tel… diktat.

.

L’espérance  de vie s’allongerait chaque année,

En fonction de son état de santé et probabilités

Mais à quoi  bon jouer  une telle pro-longa-tion

Si le sens  de  la vie  n’est  autre que la  dérision

Je suis l’homme, et l’Humanité  toute   entière,

Rien  de tout  cela  ne  survivra dans l’Univers,

Bien  que  programmé : tout finira de travers.

.

Une fois mort, l’humanité se passera de moi,

Passé et identité, se morfondront, sans émois,

Et, les pauvres redeviendront égaux aux rois !

Ne sachant pas ce qui m’arrivera, en l’au-delà,

Je décide de ce que je veux vivre, en l’en deçà,

De faire comme tout le monde, tout un chacun,

Rêver de vivre un sort, qui  ne soit que le mien.

.

Beaucoup d’espaces entre mon rêve, ma réalité,

Mais choses qui dépendent de moi à ma portée,

Pourquoi le seraient-elles par les autres, dictées.

Il n’y a aucune trace de moi avant que d’être né,

Il n’y en aura pas davantage après être trépassé :

L’éternité se borne à mes   instants qui me fuient,

En pleine activité, pleine  pensée qui les réjouit.

.

Que j’aie existé auparavant, existerai plus tard,

Sous une autre forme ou sous une autre identité,

Ne changera rien au fait que je suis fait, au hasard,

De la rencontre des deux êtres, qui m’auront enfanté.

Lors le mystère, de notre naissance, rejoint un secret

Du pourquoi  de l’Univers, et, de ce que l’on en sait,

On se prend  à penser  qu’un Architecte, Suprême,

Nous aura abandonné, sauvé de destin extrême.

.

.

Extensions

.

Pour

S’élever au-dessus

De son destin : s’évertuer

À le deviner, qu’il soit écrit

Ou laisser à son libre choix

Ne changera pas la fin  par

Laquelle il faut commencer

Pour savoir, exactement, là

Où  l’on  voudrait … arriver.

Or  le contexte  et  les  gouts

Et les opportunités changent

En cours  de route  et  le  cap

Dévie  d’autant  et   jusqu’à le

Changer parfois complétement.

.

S’élever au-dessus de son destin, facile à dire mais à faire ?

Encore faudrait-il savoir quel il est, et si on peut le changer :

Si son destin est de rester très stable, si ce n’est de descendre,

Ce n’est pas une fusée  et qui ne décolle  pas qui va vous aider

Non seulement à le monter mais plus encore à le surmonter.

.

La seule certitude qu’on a, tous

Sur notre destin est notre mort :

Cela dit, s’il faut atteindre d’y être

Pour s’élever au-dessus d’un destin

Éphémère terrien pour devenir quoi,

Dès lors, personne de fait n’en sait rien

On aura fait le tour de la question,  donc

Le destin est avant de mourir, pas après !

.

Si on veut s’élever au-dessus de son destin

Il vaudra mieux créer le sien que de subir,

Celui qui nous aurait été dicté par un Dieu

Cela dit on aura des exemples de réussites

Comme un ouvrier, devenant directeur

Un bègue, devenant grand orateur,

Un dyslexique… grand écrivain

Bon, j’arrête là : je  n’ai rien

À prouver de telle nature.

.

976 – Calligramme 

.

Son destin

Faudrait  déjà

Bien le connaitre

Avant de  … s’élever

Tout au-dessus de lui.

À moins d’avoir posture

D’envergure …  nationale,

Je m’en irai sans funérailles,

Qui laisse des traces en esprits

Et personne  ne s’en souviendra.

S’élever au-dessus destin est aussi

Durer bien au-delà de sa propre vie :

On aura  beau  ré-assassiner … Mozart,

On jouera encore sa musique, plus tard !

              S   

¤   Pour  s’élever   au-dela   ‘  de  son destin   ¤

¤    Faut le voir et le prendre  É     bien en main.   ¤

¤    Déjà pour qu’il soit bon        L  moins mauvais    ¤

¤   Qu’il soit le mien là où je suis    E    là où j’y vais.    ¤

¤    Tous les hommes sont mortels       V   dit Socrate,     ¤

¤    Mais  alors, pourquoi vivent-ils,         E     ça m’épate,   ¤

¤    Pourquoi se reproduire face à un         R         tel diktat.   ¤

¤    L’espérance  de vie s’allongerait              ¤   chaque année, ¤

¤    En fonction de son état  de santé             A    et probabilités  ¤

¤    Mais à quoi  bon jouer  une telle               U    pro-longa-tion   ¤

¤    Si le sens  de  la vie   n’est  autre                –       que la  dérision  ¤

¤    Je suis l’homme, et l’Humanité               D          toute   entière,   ¤

¤    Rien  de tout  cela  ne  survivra              E             dans l’Univers,   ¤

¤    Bien  que  programmé : tout                L                finira de travers. ¤

¤    Une fois mort, l’humanité                 A                  se passera de moi, ¤

¤    Passé et identité, se mor                 ¤              fondront, sans émois,  ¤

¤    Et, les pauvres rede                    D          viendront égaux aux rois !   ¤

¤    Ne sachant pas ce                     E        qui m’arrivera, en l’au-delà,    ¤

¤    Je décide de ce que                  ¤             je veux vivre, en l’en deçà,  ¤

¤    De faire comme tout le               S            monde, tout un chacun, ¤

¤    Rêver de vivre un sort, qui             O             ne soit que le mien.  ¤

¤   Beaucoup d’espaces entre mon          N          rêve,  ma réalité,   ¤

¤   Mais choses qui dépendent de moi     ¤            à ma portée,    ¤

¤   Pourquoi le seraient-elles par les     D         autres, dictées.   ¤

¤   Il n’y a aucune trace de moi        E   avant que d’être né,    ¤

¤   Il n’y en aura pas davantage   S      après être trépassé :  ¤

¤  L’éternité se borne à mes    T   instants qui me fuient,  ¤

¤  En pleine activité, pleine  I  pensée qui les réjouit.  ¤

     N

¤ Que j’aie existé auparavant, existerai plus tard, ¤

¤    Sous une autre forme ou sous une autre identité,    ¤

¤     Ne changera rien au fait que je suis fait, au hasard,     ¤

 ¤      De la rencontre des deux êtres, qui m’auront enfanté.    ¤

¤      Lors le mystère, de notre naissance, rejoint un secret     ¤

¤      Du pourquoi  de l’Univers, et, de ce que l’on en sait,     ¤

¤     On se prend  à penser  qu’un Architecte, Suprême,    ¤

 ¤ Nous aura abandonné, sauvé de destin extrême. ¤

.

..

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

976 4

.

S’élever, c’est sûr,

Avec quel moyen rapide

Autre  que cette  fusée

Au plus haut, loin ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’approche du fond)

.

Une fusée,  avec propulseurs, montera

Droit à la verticale :

Jusqu’où peut-elle aller afin d’accomplir

Une partie de son destin.

 .

Symbolique 

 .

Image

De fusée

Est un symbole

Que l’on rencontre

Souvent dans des rêves

De garçon et: il représente

L’énergie qui permet de s’élever,

D’aller conquérir autres horizons.

Car c’est le symbole du courage,

De la curiosité, et de l’action,

De la rapidité, de l’efficacité,

Ainsi  qu’ouverture  d’esprit

Et d’un besoin de découvrir

Le monde qui nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/fusee

.

.

Fond

.

Évocation 

.

976 6

.

Une fusée,  avec propulseurs, montera

Droit à la verticale :

Jusqu’où peut-elle aller afin d’accomplir

Une partie de son destin.

 .

Symbolique 

 .

Hergé,

Étant féru

Des  sciences,

À   empreint   son

Œuvre hyperréaliste,

Et tout particulièrement

Aventure lunaire de Tintin.

Sa  fusée lunaire  décorée

D’un damier rouge et blanc

Est devenue un véritable

Symbole non seulement

De l’œuvre d’Hergé,

Mais aussi de la

Bande dessinée.

tintinomania.com/

tintin-pdf-fusees

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Pour aller vite et aller loin,

Explorer d’Univers, confins

Rien de mieux que la fusée,

À condition d’en revenir !

Lors nous dirons navette

Pour bien vous rassurer

Mais  attention à ne pas

Prendre moyen pout but.

 .

.

S’élever jusqu’au plus haut

.

Scénario 

.

Un grand destin pour certains et déshumanisant pour d’autres.

S’élever quand on est mort est improbable si on pourrit sous terre.

On peut s’éviter, retarder un mauvais sort en érigeant des défenses !

.

Visuels et textuels  >>

975 – Par-delà le bruit et la fureur des ondes

Visuels et textuels >>

.

Par-delà  ceci,

Ou par-delà cela

Comment prendre

Du recul … virgule !

Vérités et mensonges

Sciences  et croyances,

Agissent,  en   évidences,

Où ils mènent  leur danse.

.

Si  tu  veux  la paix : prépare

La guerre, prétend un  dicton,

Séparant les aigles et colombes :

La sureté nationale n’a pas de prix

Sûr  que la  guerre ferait, avant tout :

Victimes  innocentes, un  peu  partout,

Sans que l’on puisse les prévenir, est fou.

.

Par-delà le bruit, par-delà fureur des ondes

Par-delà les vérités, les croyances du Monde,

Et  auxquelles, tous les jours, l’on se confronte,

Qu’elles soient belles, qu’elles soient immondes,

Que faudra-t-il penser, d’homme : cruauté, honte.

.

Guerres intestines, mesquines, assassines, grondent

Pour asseoir leurs pouvoirs  sur bout de terre féconde,

Lors ce n’est pas leur survie, qu’elle défend bec et ongle,

Poètes, philosophes et religieux font figures de colombes

Autant d’innocents coupables dans  tous les sens du terme,

Autant de voix œuvrant pour, que  voies de paix ne ferment.

Ne vaut-il pas mieux rien penser, pour se laisser gouverner,

Par ceux qui font des promesses : liberté, égalité, fraternité !

.

Il est vrai que,  si vous laissez d’autres, penser  à votre place,

Il ne faudra pas vous étonner qu’ils vous considèrent salaces,

Cela pour vous soumettre  totalement à des caprices rapaces,

En se moquant du bien être humain lors en restant  de glace.

.

Le sentiment humain  est absent lors profit immédiat patent,

Quand ils font n’importe quoi ou pour gagner plus d’argent,

Qu’ils mènent, tambour battant, Monde à son enterrement.

C’est sûr que  notre Monde, notre Monde  présent, va mal

Même si le Monde,  dit numérique, ou dit virtuel, cavale,

De quel côté pencher faut-il s’en réjouir, s’en terroriser.

.

C’est à chacun de voir, c’est à chacun d’en décider.

Le monde est, sera, sans  doute, ce qu’il a déjà été

Et il tend à rester ainsi autant qu’il pourra durer

Mais il nous apparait que     l’histoire s’accélère

Bientôt, manquera de terre,  d’eau,  voire d’air.

.

Pour nos enfants, petits, arrières enfants à venir,

Nous leur laisseront en héritage, la terre à pourrir,

Auront-ils d’autres solutions…que de la faire mourir,

Avant de disparaitre à leur tour, en un siècle, pour finir.

.

L’homme est de passage sur ce paradis et il prépare l’enfer,

Il pense en avoir été chassé, tandis que c’est lui qui l’a construit,

C’est le seul et unique qui nous soit donné à connaître en ce monde.

Pourquoi certains s’acharnent à le transformer en enfer pour les autres

Comme dirait Sartre, en faisant de chaque existence, un vrai purgatoire !

.

.

Extensions

.

Des informations de guerre, de catastrophes, de santé, etc.

Nous parviennent de partout dans le monde et en temps réel

Et leurs successions, sans transition  ni explications, créent

Un climat social quasi permanent de peur et d’insécurité

Parce que c’est plus vendeur que de bonnes nouvelles.

.

Notre planète pourrait tout aussi bien

Représenter paradis, purgatoire, enfer

C’est à chacun de voir, et d’interpréter

Ce qu’il croit être la seule de l’Univers,

Qui soit habité pat tant de merveilles,

Et de cruautés, d’égoïsmes, en réveil !

.

Le monde des ondes et du multimédia

Est gouverné par un objectif financier

Plus que par intérêt  pour l’Humanité

Lors il s’agit davantage de l’influencer

Que de l’informer, ou le faire réfléchir

Sur son sort à venir, face à des murs !

.

.

975 – Calligramme

.

Par-delà  ceci,

Ou par-delà cela

Comment prendre

Du recul … virgule !

Vérités et mensonges

Sciences  et croyances,

Agissent,  en   évidences,

Où ils mènent  leur danse.

.

Si  tu  veux  la paix : prépare

La guerre, prétend  un  dicton,

Séparant les aigles   et colombes :

La sureté nationale   n’a pas  de prix

Sûr  que  la  guerre  ferait,    avant tout :

Victimes  innocentes, un  peu    P  partout,

Sans que l’on puisse les prévenir  A  c’est fou.

Par-delà le bruit par-delà fureur     R  des ondes

Par-delà les vérités ou croyances         du monde,

Mais auxquelles, tous les jours, se    D      confronte,

Qu’elles soient belle, ou elles soient   E       immondes,

Que faudra-t-il penser d’homme, cru  L   auté ou honte.

Guerres intestines, mesquines, assas   A     sines grondent

Pour asseoir leurs pouvoirs sur bout     *    de terre féconde,

Lors ce n’est pas leur survie, qu’elle     B   défend bec et ongle,

Poètes, philosophes et religieux font   R      figures de colombes

Autant d’innocents coupables dans     U    tous les sens du terme,

Autant de voix œuvrant pour, que      I    voies de paix ne ferment.

Ne vaut-il pas mieux rien penser       T     pour se laisser gouverner,

Par ceux qui font des promesses       *       liberté, égalité, fraternité !

Il est vrai que,  si vous laissez         F        autres penser à votre place,

Il ne faudra pas vous étonner     U      qu’ils vous considèrent salaces,

Cela pour vous soumettre      R      totalement à des caprices rapaces,

En se moquant du bien     E      être humain lors en restant  de glace.

Le sentiment humain    U      est absent lors profit immédiat patent,

Quand ils font n’im    R   porte quoi ou pour gagner plus d’argent,

Qu’ils mènent, tam   *   bour battant, Monde à son enterrement.

C’est sûr que  notre   D   Monde, notre Monde  présent, va mal

Même si le Monde,    E  dit numérique, ou dit virtuel, cavale,

De quel côté pencher  S  faut-il s’en réjouir, s’en terroriser.

* …………….

C’est à chacun de voir    O     c’est à chacun d’en décider.

Le monde est, sera sans   N       doute ce qu’il a déjà été

Et il tend à rester ainsi au   D   tant qu’il pourra durer

Mais il nous apparait que     E       l’histoire s’accélère

Bientôt manquera de terre    S     d’eau,  voire d’air.

Pour  nos  enfants, petits, arrières enfants, à venir,

Nous leur laisseront en héritage, la terre à pourrir,

Auront-ils d’autres solutions…que de la faire mourir,

Avant de disparaitre à leur tour, en un siècle, pour finir.

L’homme est de passage sur ce paradis et il prépare l’enfer,

Il pense en avoir été chassé, tandis que c’est lui qui l’a construit,

C’est le seul et unique qui nous soit donné à connaître en ce monde.

Pourquoi certains s’acharnent à le transformer en enfer pour les autres

Comme dirait Sartre, en faisant de chaque existence, un vrai purgatoire !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

975 4

.

N’importe quel objet décoratif

Comme une sorte de mini stèle

Ou  une  lampe   d’ambiance 

Ou une ampoule électrique.

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’éloigne du fond)

.

Lampe et ampoule ne suffisent

pas à faire du bruit sur les ondes

il en faudra des centaines, milliers

si bien que forme n’épouse pas fond

.

Telle lampe d’ambiance ne reflète guère

 La fureur des ondes,

Cela dit, une fureur peut commencer

Avec ampoule électrique.

 .

Symbolique

 .

La lampe

Représente un point

De lumière dans l’obscurité.

Par analogie,  elle symbolisera

L’entendement en confusion mentale,

Ou encore la révélation d’un savoir

Enfoui  ou  caché : l’expression

« Éclairer    sa    lanterne« ,

Clarifier quelque chose,

Exprime bien cette

Notion de savoir

Dévoilé.

1001 symboles

.

.

Fond

.

Évocation 

.

975 6

.

Telle lampe d’ambiance ne reflète guère

 La fureur des ondes,

Cela dit, une fureur peut commencer

Avec ampoule électrique.

 .

Symbolique 

.

L’ampoule électrique

Demeure comme un symbole,

Archétype même de l’innovation.

Elle a permis à l’homme de se libérer

Du   joug de  la  lumière  naturelle  pour

Imprimer son propre rythme d’activités,

Ouvrant la voie à de formidables progrès,

Tant sur le plan de la liberté individuelle

Que de toute  productivité  industrielle.

La lumière électrique reste marque

La plus visible du génie humain

Quand on observe la Terre

Depuis            l’espace.

Les      innovations

 Ne    modifier pas

Environnement

Mais elles font

Pro-gres-ser

Domaines.

library.e.abb.com

/public/FRA72dpi

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le feu s’est radicalement, ces derniers temps

Transformé  en énergie  lumineuse, éclairante,

Puis en énergie informatique, puis informative :

Notre connaissance du monde double en vingt ans

Mais la capacité  à être heureux a varié de très peu.

Ce déphasage et ce décalage interroge sur le progrès

Technique censé résoudre toutes sortes de problèmes

Sans en rajouter d’autres, or tel ne serait pas le cas

Nos croyances ont été modifiées, pas supprimées !

.

Y a de plus en plus de fausses vérités sur internet

Auxquelles certains trouvent nécessité d’adhérer

Parce qu’ils ne comprendraient plus le Monde

Dans lequel ils vivent  et ne trouvent d’issue,

Par-delà les bruits et les fureurs des ondes

Il n’y a plus de garant de vérité, véracité.

À qui la faute  et  comment y remédier !

.

.

Grandes ondes

.

Scénario 

 .

Certains électrosensibles se disent gênés multitude, intensité, ondes,

lors elles serviraient à signaler un accident et à intervenir d’urgence,

et en temps de guerre, les soldats sont reliés comme un seul homme.

.

Visuels et textuels >>

974 – Le bruit des radios et la fureur des images

Visuels et textuels  >>

.

Les radios bruissent de voix alarmistes,

Et qui nous maintiennent dans la peur,

Elles entretiennent, à raison  ou à tort,

Un climat  d’insécurité, et de fragilité.

.

Les télés diffusent, en boucles, images

Des massacres perpétrés par des fous,

Qu’il soit  de Dieu  ou de n’importe où

L’avenir ne sera pas d’un bon présage.

.

La crise a bon dos, pour nous soumettre

À la rigueur  temps de disette, de guerre

Riches pauvres s’affrontent,  tout autant,

Que les nations, les blocs, les continents :

Si clameur des radios, fureur des images,

Nous montrent Terre d’adultes pas sages.

.

La Terre nous mène vers  de nouveaux rivages,

En changeant davantage ses valeurs que paysages,

Silence, suivant ce bruit, est rempli de frustrations

De ne pouvoir rien faire sans vraie compréhension.

.

La crise qui nous secoue est celle d’interprétations,

Lors même l’on disposera  de nombre de prévisions,

Si de l’argent des bourses on ne peut faire l’économie,

En cas de dérapage chute libre : qui payera l’addition ?

.

Les riches, pour sûr,  s’ils auront commis des conneries

Non, ce sont pauvres,  n’y a pas de passe-droits pour eux.

Dans la guerre, ce  ne  seront pas des généraux qu’on tue

Tant soldats au front, ce sont, pour eux, qu’ils entretuent.

.

Lors, contre ces jeux de massacre, des voix s’évertuent

Clamant qu’humanité serait, déjà, en grand  danger,

Si autant  d’hommes continuent  à se taper dessus,

Plutôt que de faire face  à … des ennemis armés.

.

Par leurs manques, famines,   leurs mortalités,

Aucun pays moderne n’est à l’abri de pandémies,

Faisant autant de morts, siècle qu’en un an/demi.

.

L’économie mène le monde, procédant à sa fondation,

Mais son « éco » en devient plus important que sa « nomie ».

 .

.

Extensions

.

Le bruit des radios

Et la fureur des images

Ne cessent de nous déverser

Dans nos oreilles et nos yeux,

Des catastrophes naturelles

Ou artificielles, dues à

L’intervention ou au

Manque de préventions

De l’homme : des inondations,

Des incendies, des canicules,

Des maladies contagieuses,

Des ravages, j’en passe

La peur mène le monde

À la perte  de confiance

En l’autre, même en soi.

Elle resserrera les rangs.

« Mourir  pour  des idées,

D’accord » dira Brassens,

« Mais  de  mort….  lente ».

.

L’information, qu’elle soit vocale, écrite, imagée

Produira les mêmes valeurs et les mêmes erreurs,

Qui peuvent dépendre de la source ou du diffuseur

 Même, à partir d’une source identique  et vérifiée,

Selon médias, produit interprétation différente.

On en reviendra toujours aux mêmes critères :

Multiplier, croiser ses sources pour la vérité.

.

Paroles et images des radios et télévisions,

Apportent grandes quantité d’informations

Et la plupart provenant des mêmes sources

Pour ce qui serait des actualités brulantes.

Pour le reste, beaucoup de docus, fictions.

De jeux, de musiques et autres émissions.

.

Il reste à comparer, faire le tri,  intégrer

Impression que n’existe dans le Monde

Que ce dont on parlerait, aujourd’hui,

Et qui dès demain, serait vite oublié.

.

.

974 – Calligramme

.

Les radios bruissent de voix alarmistes,

Et qui nous maintiennent dans la peur,

Elles entretiennent, à raison  ou à tort,

Un climat  d’insécurité, et de fragilité.

Les télés diffusent, en boucles, images

Des massacres perpétrés par des fous,

Qu’il soit  de Dieu  ou de n’importe où

L’avenir ne sera pas d’un bon présage.

.

La crise a bon dos, pour nous soumettre

À la rigueur de temps de disette, de guerre

Riches pauvres s’aff  C   rontent,  tout autant,

Que les nations,  L  blocs  F         les continents !

Si clameur des   A    radios    U   fureur des images,

Nous montrent    M   terre        R     adultes pas sages.

La Terre nous mène   E   vers   E   de nouveaux rivages,

En changeant davantage  U     R      valeurs que paysages !

Silence suivant ces bruits,     R      est  rempli de frustration

De ne pouvoir rien faire    ¤        ¤    sans une compréhension.

La crise qui nous secoue  ¤             ¤  est celle d’interprétations,

Lors même l’on dispose  ¤                  ¤  de nombre de prévisions.

Si de l’argent des           D   bourses on  D  ne peut faire l’économie,

En cas de dérapage       E     chute libre    E     qui payera l’addition :

Les riches, pour sûr,     S      s’ils auront      S    commis des conneries

Non, ce sont pauvres    ¤       n’y a pas de       ¤    passe-droits pour eux.

Dans la guerre, ce  ne   ¤       ne  sont pas        ¤  des généraux qu’on tue

Tant soldats au front   P         ce sont pour       I     eux qu’ils entretuent.

Lors, contre ces jeux    A        de massacre      M       des voix s’évertuent

Clamant qu’humanité R         serait    déjà     A          en grand  danger,

Si autant  d’hommes   O         continuent      G          à se taper dessus,

Plutôt que de faire      L         face  à des     E             ennemis armés.

Par leurs manques     E         famines      S            leurs mortalités,

Aucun pays moderne   S     n’est à      ¤     l’abri de pandémies,

Faisant autant de morts  ¤  siècle  ¤         qu’en un an/demi.

L‘économie mène le monde * en procédant à sa fondation,

Mais son « éco » en devient plus important que sa « nomie ».

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

Un encrier,

Ou bien une bourse,

Ou encore un vieux vase

Décoré avec images animaux

.

(forme creuse, rimes égales,

la forme s’éloigne du fond)

.

Un vase, même évoquant des animaux

n’a rien à voir  avec les bruits de radios,

même s’ils peuvent être chambre d’échos

ainsi la forme ne correspond pas au fond !

.

Un vase constitue une caisse de résonnance

 Surtout s’il est vide :

Des images  d’animaux sauvages, en chasse,

Apparaissent sur ce vase.

  .

Symbolique 

 .

Le vase est un contenant.

Comme  tout  contenant,

Le coffret, le sac, le vase

Est  un  symbole  féminin.

.

Dans le vase, on met de l’eau

Symbole de la vie, de la terre aussi,

Et une plante, qui pourra s’y développer.

.

Le vase possèderait aussi le sens du  Trésor :

S’emparer d’un vase : c’est conquérir un trésor.

Briser un vase, c’est anéantir trésor qu’il représente.

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un vase constitue une caisse de résonnance

 Surtout s’il est vide :

Des images  d’animaux sauvages, en chasse,

Apparaissent sur ce vase.

 .

Symbolique 

 .

Pourquoi vouloir interpréter une image ?

Pour rechercher symboles archétypaux

Qu’elle contient, peut-être pour en tirer

Des enseignements sur soi-même ?

Sur le monde ? Sur la réalité ?

Sur l’état de notre perception

Et de notre sensibilité ?

.

Et en tous cas, si le besoin

D’interprétation se fait sentir,

C’est qu’il y a doute  et de douter

Est salutaire d’une certaine façon.

Bloc-notes Antiochus

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le vase est comme chacun sait,

Véritable  caisse  de  résonnance,

Tout comme les ondes radio,  télé :

Il n’est donc pas que symbole féminin

Mais un symbole universel de contenus

Qu’ils soient réels ou qu’ils soient virtuels.

.

Non content de faire le maximum  de bruit

Les médias orienteront à ce point contenus

Qu’on croit que tout le reste aura disparu

Subsiste ce qui est vendeur, accrocheur

Faisant passer médias pour tapageurs

Alors qu’ils sont comme avertisseurs

De ce qui arrive comme malheurs.

 .

.

Image et son : même but

.

Scénario 

.

 La radio vintage qui donnait à entendre voix, musiques, témoignages.

Vieille télé, vintage, qui donnait  des images, spectacles, reportages.

Ce qui relie ces média, aujourd’hui, l’actualité du Monde en direct.

 .

Visuels et textuels  >>

973 – Un catalogue de risques majeurs en fléaux

Visuels et textuels  >>

.

Risque zéro, on le sait ou  pas,

N’existera pas, n’existerait pas,

Fau t vivre  avec l’impondérable

L’improbable voire l’inexplicable.

Il y a des fléaux tenant de la nature

D’autres,  d’industries,  de cultures,

Et depuis, longtemps, de croyances

Qui sacrifieront la vie de souffrance.

Liste des risques majeurs augmente,

Lors elle crée des boucles  infernales,

En bouleversant un équilibre normal,

Rendant  notre planète  préoccupante.

Un catalogue risques majeurs en fléaux

Est à la disposition du Monde moderne

Comment se prémunir de tout bas mot,

Qu’assurance puisse prévoir : baliverne.

.

Un tel catalogue des risques majeurs, et des fléaux,

Est en profusion, dans notre monde  des maux,

Dans les années à venir, et  risque d’augmenter,

Si rien  n’est décidé, d’ici là … pour  le diminuer !

.

Tel décor planté, choisissez votre épée, votre bouclier,

Attentat, d’accord : qui voulez-vous attenté d’abord,

Car il faut déjà savoir vous placer du bon bord :

Du côté du bien, des pauvres, des affamés.

.

Quelle cause juste peut justifier massacre aussi aveugle

Qu’une bombe humaine peut produire en une foule

Où, innocemment les corps roulent, sang coule :

Dieu, l’Etat, groupe, frappent où ils veulent.

.

Épidémie, vous  préférez : le mal mondial plus radical,

Agitez vos virus ici ou là, puis laissez les filer

Leur chemin tout seul en lieux aéroportés

Et vous verrez de suite le résultat final.

.

Dizaines de contaminés meurent en atroces souffrances

Sans qu’aucun docteur ne puisse les soigner,

Simplement on les isole et accompagne

Leur mort faite d’une vie malchance.

.

Catastrophe est un mot qui vous fera une belle strophe :

Certaines dues à la nature ; autres déclenchées

Par pollutions ou débordements affichées

Qui ne vous rendent pas philosophes.

.

Ici, une inondation, là, feu en forêt, ailleurs, caniculé :

Ce sont autant de prix à payer à ces désordres

Si ne respectons ni les normes ni les ordres

Afin de les éviter, sinon les cantonner.

.

Continuez la liste, j’en ai plus que marre, j’en ai assez

De prêcher dans un désert, où tout est gaspillé,

Pour le bien-être et profits de privilégiés,

Mais c’est fini, la bouche est bouclée.

.

.

Extensions

.

Un catalogue

Des risques majeurs

Aura deux effets positifs :

Il  fera la  une  des  médias

Et  puis  des  conversations

Quand  il  en  survient   un.

Il fera voter  lois et décrets

En vue de mieux prévenir,

Le suivant mais toujours

Avec un certain retard

Et un dosage pour poursuivre

Ou sauver l’économie : il faut ménager

La chèvre et le chou, tout en sachant que …

.

Les catastrophes diverses ne manquent pas,

Que celles-ci soient naturelles  ou humaines,

Et le catalogue sur la planète  n’en finit pas,

Tous les jours de nous conter ses fredaines.

Lors elles arrivent ailleurs, c’est embêtant

Mais chez soi, c’est plus que mortifiant :

Certains y feront face, et d’autres, pas.

.

On peut éviter, voire prévenir, certaines

Des catastrophes telles des inondations,

Voire parfois les contaminations virales

Mais les éruptions, séismes et cyclones,

N’ont de lien direct avec effet humain,

Et la question  de la montée des eaux,

Comme augmentation températures,

Nous semblent tellement lointaines,

Tellement peu visibles, ou sensibles

Qu’on ne croit pas que ce sera réel.

.

.

973 – Calligramme

.

Risque zéro,  on le sait  ou  pas,

N’existera pas,   ou n’existerait pas,

Faut   C   vivre avec l’impon  R dérable

L’im     A  probable voire l’inex I  plicable.

Il y a     T  des fléaux tenant de  S   la nature

D’aut      A    res, d’industrie, de   Q      culture,

Et de        L    puis longtemps, de   U    croyances

Qui          O    sacrifient la vie de     E  souffrance.

Liste       G    des risques majeurs    S   augmente,

Lors       U   elle crée des boucles      *   infernales,

En         E  bouleversant équilibre     F      normal,

Ren       *  dant notre planète préoc    L   cupante.

Un       D  catalogue risques majeurs   É  en fléaux

Est      E   à la disposition du Monde    A moderne

Com   S    ment se prémunir de tout     U  bas mot,

Qu’as  *   surance puisse prévoir est ba   X   liverne.

.

*******************************************

Un tel catalogue des risques majeurs, et des fléaux,

Est en profusion, dans notre monde  des maux,

Dans les années à venir, et  risque d’augmenter,

Si rien  n’est décidé, d’ici là … pour  le diminuer !

Tel décor planté, choisissez votre épée, votre bouclier,

Attentat, d’accord : qui voulez-vous attenté d’abord,

Car il faut déjà savoir vous placer du bon bord :

Du côté du bien, des pauvres, des affamés.

Quelle cause juste peut justifier massacre aussi aveugle

Qu’une bombe humaine peut produire en une foule

Où, innocemment les corps roulent, sang coule :

Dieu, l’État, groupe, frappent où ils veulent.

Épidémie, vous  préférez : le mal mondial plus radical,

Agitez vos virus ici ou là, puis laissez les filer

Leur chemin tout seul en lieux aéroportés

Et vous verrez de suite le résultat final.

Dizaines de contaminés meurent en atroces souffrances

Sans qu’aucun docteur ne puisse les soigner,

Simplement on les isole et accompagne

Leur mort faite d’une vie malchance.

Catastrophe est un mot qui vous fera une belle strophe :

Certaines dues à la nature ; autres déclenchées

Par pollutions ou débordements affichées

Qui ne vous rendent pas philosophes.

Ici, une inondation, là, feu en forêt, ailleurs, caniculé :

Ce sont autant de prix à payer à ces désordres

Si ne respectons ni les normes ni les ordres

Afin de les éviter, sinon les cantonner.

Continuez la liste, j’en ai plus que marre, j’en ai assez

De prêcher dans un désert, où tout est gaspillé,

Pour le bien-être et profits de privilégiés,

Mais c’est fini, la bouche est bouclée.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

973 4

.

Six pots en terre, empilés

Constituant un  risque

De catastrophes

En accidents !

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

.

 Manque de pot : on dirait cela pour

Catastrophes majeures :

Comme si des accidents tombaient

 Les uns après les autres !

 .

Symbolique 

 .

En 1999, des coulées de boue

Ravagent le littoral vénézuélien.

Suite à cette catastrophe naturelle

D’une violence extraordinaire,

On assiste à de nombreuses opérations

Tentant d’expliquer l’événement,

De lui donner un sens.

.

Cette entreprise collective,

Qui permet non seulement aux victimes

Mais au pays entier de signifier la catastrophe,

A également pour résultat de définir des actions

Susceptibles d’éviter qu’une telle tragédie

Ne vienne à se reproduire.

Source : arcra.fr/?var_mode=calcul

.

.

Fond

.

Évocation

.

973 6

.

Manque de pot : on dirait cela pour

Catastrophes majeures :

Comme si des accidents tombaient

 Les uns après les autres !

.

Évocation 

 .

Le  mot  accident

Évoque un événement

Qui modifie ou interrompt

De façon momentanée et voire

Définitive un certain  processus.

Événement considéré est en général

Imprévu, malheureux, et dommageable

Cela bien évidemment, à des degrés divers.

.

Ce n’est pas tant l’objet, voiture, avion, etc.

Qui compte que le fait de vivre l’accident

Qui importe : dans un rêve d’accident

Il est souvent question de situation

Que  vous  vivez  actuellement.

L’accident le plus fréquent

Concerne la voiture.

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Dans la Bible, dans l’ancien Testament

On nous parle des douze plaies d’Égypte

Ces dernières en version temps modernes

Ont quelque peu évolué  vers  cette liste :

Avalanche,  canicule,  cyclone,  éruption,

Feu de forêts, grands froids, sécheresse,

Inondations,  mouvements de terrains,

Enfin séismes, tempêtes puis tsunamis.

On ne parle plus de plaie : catastrophe

Et cela change quoi : la responsabilité.

 .

.

 On peut imaginer ce qu’on veut

.

Scénario

.

Une tornade cyclone, ouragan,  tempête ravageuse qui détruit tout.

Tremblement de terre magnitude 7 / 8 et entièrement dévastateur.

Dépotoir détritus, déchets industriels des plus polluants, durables.

.

Visuels et textuels  >>

589 – Ceux, celles, qui ne s’attachent à personne

Visuels et textuels >>

.

C’est pratique, c’est courant

De ne s’attacher à

Personne

Et qu’il ne s’attache à vous

Et puis, s’attacher,

C’est entraver

Sa liberté de mouvement,

De pensée.

Mais cela génère, comme

Un manque,

Manque s’avérant difficile

A combler,

Par un quel qu’autre sujet…

Ou objet :

Il ne serait pire solitude que de…

Soi-même

Tant que l’on n’a pas besoin des autres,

Et idem.

   .   

Ceux ou celles qui ne s’attachent à personne

Ne se trouvent jamais en état de leur manque

Même quand une filiation familiale, s’impose

À eux, ils la dénient, orphelin, saltimbanque,

Sur le fil d’un destin qui pourtant les sonnent

À rejoindre un amour que la vie leur propose.

.

Tant vrai que dès qu’on s’attache on s’expose

À des déconvenues, rupture, dispute, amères,

Qui font, que, dès le début parfois, désespère,

Que cela dure assez de temps pour l’imprimer

Et qu’après l’on ne  parvienne  oublier, effacer

Car on balance son manque  entre gris et rose.

.

Le manque de l’être aimé peut-il être remplacé,

Comme la nature, du vide nous en avons horreur

Si le manque diminue avec événements et temps,

Couvrant en partie une blessure, cicatrice évasée

Irremplaçable, toujours, irrémédiable, souvent,

La vie  n’est pas  cadenassée  à autre bonheur.

.

Le manque  provoque : souffrances, douleurs,

Qui remuent les sangs, humeurs et les cœurs,

Soutien d’un entourage, discret et sans faille

Vient soulager esprit caractère qui défaillent.

Il n’y a pas mot, de consolations, si suffisants

À eux seuls pour éteindre le brulot qui l’attise.

.

Des vies se succèdent ainsi, sans se substituer

L’une à l’autre, comme des poupées  gigognes,

L’insouciance  en moins ayant connu la mort,

Ou séparations qui déchirent, vous cognent,

Qui ne craint plus de l’autre mauvais sort

Que le sien quant à en mourir, aimer.

.

.

Extension

 .

Ceux qui ne s’attachent à personne,

Personne, en retour, n’n finit pas plus

Par s’attacher à eux ou lors ils font mine,

Pour être tranquilles  mais, au fond d’eux,

Ils sont prêts à s’en détacher si des conflits,

Un jour, s’enveniment  et  s’ils s’aperçoivent

Que l’autre est trop égoïste, pour les aimer.

Du manque, si on en fait un jour son deuil,

Il agit comme un poison qui vous pourrit

De l’intérieur, au point  qu’on  ne puisse

Un jour le combler par rien, y compris

Amour propre, estime, de soi-même.

 .

L’amour n’est pas une maladie, un virus dont on ne se débarrasse

Mais il peut faire peur à certaine, certaines

Qui manquent de confiance en eux, le projette en outre sur l’autre

Comme si une peur de s’attacher à l’autre

Signait la fin définitive de leur liberté antérieure et de célibataire.

Pour autres, trouver l’âme sœur est quête

 de leur vie et la chercheront, partout et jusque sur la terre entière !

Et lors il arrive un jour un moment, un âge,

Où ils n’y croient plus, n’espèrent plus, savent que c’est derrière eux.

 .

S’attacher à quelqu’un est perdre un peu de liberté

Mais en contrepartie, il y aura beaucoup  à gagner,

En termes d’affection, reconnaissance, réciprocité !

 .

Faut connaitre les vraies raisons, pas que déclarées,

Pour comprendre quelqu’un  qui ne veut s’attacher :

Souvent c’est un manque pendant sa tendre enfance.

.

Manque de liens, de contacts physiques avec la mère,

Accentués par des rapports peu fréquents avec le père

Nous-mêmes serions empreints d’une grande défiance.

.

.

589 – Calligramme

C’est pratique, c’est courant

De ne s’attacher à

Personne

Et qu’il ne s’attache à vous

Et puis, s’attacher,

C’est entraver

Sa liberté de mouvement,

De pensée.

Mais cela génère, comme

Un manque,

Manque s’avérant difficile

A combler,

Par un quel qu’autre sujet…

Ou objet :

Il ne serait pire solitude que de…

Soi-même

Tant que l’on n’a pas besoin des autres,

Et idem.     

Ceux ou celles qui ne s’attachent à personne

Ne se trouvent jamais en état de leur manque

Et même quand une filiation familiale, s’impose

À eux, ils la dénient     *     orphelin saltimbanque,

Sur le fil d’un destin     À    qui pourtant les sonnent

À rejoindre un amour    *        que la vie leur propose.

Tant vrai que dès qu’     C        on s’attache on s’expose

À des déconvenues,         E       rupture, dispute, amères,

Qui font, que, dès le         U         début parfois, désespère

Que cela dure assez           X        de temps pour l’imprimer

Et qu’après l’on ne              *           parvienne oublier, effacer

Car on balance son               Q           manque entre gris et rose.

Le manque de l’être               U           aimé peut-il être remplacé,

Comme la nature, du              I             vide nous en avons horreur

Si le manque diminue               *               avec événements et temps,

Couvrant en partie une              N                 blessure, cicatrice évasée,

Irremplaçable toujours               E                        irrémédiable, souvent,

La vie n’est pas caden               *     *     *               assée à autre bonheur.

Le manque provoque     S           souffrances       À              et des  douleurs

Qui remuent les            ‘              sangs, humeurs       *              et les cœurs,

Soutien d’un             A              entourage, discret      P           et sans faille

Venant soulager      T               l’esprit caractère          E      qui défaillent.

Il n’y a pas mots    T              ni de consolations         R       si suffisants

À eux seuls pour   A            éteindre  un brulot        S       qui l’attise.

Des vies se succè C         dent, ainsi, sans se         O       substituer

L’une à l’autre,  H      comme des poupées       N      gigognes,

L’insouciance   E  en moins ayant connu    N      la mort,

Ou séparations  N qui déchirent et vous E     cognent,

Qui ne craint    T plus de l’autre mau !    vais sort

Que le sien quant à en mourir, on dit aimer.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

589 4

.

Une raquette de ski, randonnée,

Ou une poêle à frire pour cuisson

 Aussi bien qu’une mandoline 

Accompagnant tout chant ?

.

Il est clair que le chant de mandoline

N’atteindra indifférents :

Il est rare que si on n’aime pas l’autre,

On aime bien la musique !

 .

Symbolique

 .

Les origines du luth

Remonter au  IIème

Millénaire  avant

Notre       ère.

Tombé     dans

L’oubli   depuis

Plus de deux siècles,

La mandoline retrouve

De  nos jours   la faveur  des

Interprètes et des plus raffinés.

Outre sa sonorité délicate, il retient

L’attention par sa caisse élégante en

Forme de demi-poire, son manche

Large et court  et terminé par un

Chevillier rejeté vers l’arrière,

Un grand nombre de cordes

Groupées  par   paires.

Famille instruments

À cordes pincées.

madamemusique.canalblog.com/archives/2008

.

Descriptif

.

589 – A ceux qui ne s’attachent à personne !

Alignement central  / Titre droit/cercle / Thème  amour

Forme en ovale  /  Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : mandoline / Symbole de fond : chant

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

589 6

.

Il est clair que le chant de mandoline

N’atteindra indifférents :

Il est rare que si on n’aime pas l’autre,

On aime bien la musique !

 .

Symbolique 

 .

Chant donne du relief

À la voix  et aux paroles,

En les teintant d’émotions.

Chant   autant  que  musique,

Est présents en toutes cultures,

En raison  des vertus apaisantes

Et de son pouvoir…  unificateur.

.

La musique adoucit les mœurs.

Et même en temps de guerre,

Le chant peut de rassembler

Les soldats et de les unir

Pour faire face à l’ennemi commun.

.

Certains mythes et légendes évoquent

Un pouvoir de guérison  des  chants,

Mais aussi de leur protection

Face à un danger, ou encore

De leur pouvoir prophétique.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-chant.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le son de la mandoline est des plus doux, attachant

Bien plus encore quand accompagnée par un chant

C’est tout le contraire pour ceux qui ne s’attacheront

À personne : son, chant, ne sortent des instruments.

Ils adressent peu la parole par manque d’affection :

En somme, seront peu fréquentables : trop égoïstes !

 .

.

Attachement amical ou amoureux ?

 .

Scénario

.

Ceux qui trainent des pieds à se rendre à un rendez-vous amoureux,

celles qui pensent que leur amant va les abandonner pour une autre,

ceux et celles qui préfèrent nature et  grands espaces… aux humains.

 .

Visuels et textuels >>

 

588 – Tout le monde connait la chanson, la raison

Visuels et textuels   >> 

.

Tout  le  monde  connait

La chanson d’éternelle

Abandonnée  mais qui

En connait  la raison.

Personne à mon gré,

Mis à part peut-être

Toi … qui m’a aimé.

.

Je  ne m’en  suis  pas

Aperçue, tout de suite,

Mais l’histoire sans suite

S’est imposée à mon tracas

Parti pour toujours : plus là !

.

Un mot simple, écrit aurait suffi

Pour  que je  ne sois  plus  obligée

De le deviner, le déduire,  tout seul.

.

Car si tout le monde connait la chanson,

Tout le monde n’en connaît pas la raison

Tant c’est à cause de toi, qui m’as quitté,

Et, cela, bien avant que j’y aie pensé,

Me laissant dans l’in-con-nu,

Comme  pauvre,  et  nue,

Et de n’avoir pas  vertu

De te plaire,  inconnue,

Comme  une in-gé-nue

Et   toujours,  follement,

Car ta passion retombant,

M’a laissée de côté sur un banc,

Elle m’a fait très mal me   réveillant.

.

Je donnerais n’importe quoi et l’argent

Pour que tout redevienne comme avant,

T’aurais pu me laisser un mot en partant,

Je suis passé de tout à rien, main-te-nant,

Je peux comprendre ton break reposant.

.

Mais je me retrouve les bras ballants

À t’attendre et cela désespérément

D’angoisse  déjà   pleurant

Comme  ancien   amant

Lorsque je n’ai pas vu,

Que tu   partais déçu :

Pourquoi je n’ai  pas su

T’entendre,  être entendue.

.

Devenir éternel abandonnée,

Serait-il mon destin  bien mérité,

Que je me suis forgée en déraison,

À force de répéter  même  chanson.

.

J’ai changé  son refrain  en  le mien,

Il est beaucoup moins doux,  est amer

Il se chante à deux voix comme il se doit

Le reprendre doux ne dépendra que de toi.  

.

.

Extension

 .

Tout le monde connait la chanson :

Fausses raisons se substituent

À de vraies passions, occupant le terrain

Pour masquer des vrais problèmes

En ne proposant que de mauvaises solutions.

.

Au début, l’on s’interroge, l’on cherche

À comprendre, s’en rapprocher, excuser, pardonner

On attend que tout revienne, naturellement.

À la fin, contrarié, à lutter contre, avant d’abandonner.

.

Arrêtes, c’est le même refrain que tu me chantes,

Du matin au soir et du soir au matin, sans que je n’y puisse

Rien, après avoir changé mes pensées, mes actions,

Tu ne vois rien, continues sur tes rails, dans ton train-train.

.

Il ne s’agit plus d’un dialogue : monologue à deux

Où je suis le spectateur, où tu es l’acteur, alors qu’on

Devrait tous deux en être les seuls auteurs

Et les premiers bénéficiaires.

.

Tout le monde connait la chanson,

Mais  de laquelle, s’agit-il, en fait ?

Celle qui veut faire entendre raison

Celle qui a un air de …  ritournelle,

Celle  qui  parle  d’une  jouvencelle,

À la fin : je ne sais  plus, je ne sais !

Il en est de même pour une dispute

La même cause que la dernière fois,

Celle qu’on aura déclenché cent fois,

Celle que tout le temps on m’impute.

.

Aba… aban… abandon,

Tu me quittes mais pardon,

De te dire, je ne supporterai pas

Que tu me laisses tomber comme ça

Comme ton animal, en rase campagne,

Alors que tu avais juré… que tu m’aimais !

.

Je me suis totalement abandonnée à tes pieds

Je serais même devenue ta meilleure compagne.

Ne me quittes pas sinon c’est moi qui me quitterai.

.

J’ai conscience je n’aurais plus confiance en personne

Je te garderai  une défiance  même  si tu me re-sonnes.

Aba… Aba… abandon : si tu t’en vas, alors je te hais !

.

.

Épilogue

.

Il y aura toujours de bonnes raisons

Pour rompre, pour s’en aller, quitter,

L’autre, à qui, pourtant, on avait juré,

Qu’on resterait avec lui sans condition

Mais voilà, parfois, on ne se le sait pas,

Que dis-je, parfois, on ne se l’avoue pas,

On donne des raisons  qui n’en sont pas,

On lui dit : je t’aime pas, c’est tout, voilà.

 

***

 

Il arrive qu’on ne dise rien, qu’on s’en va

C’est à vous de trouver ce qui n’allait pas

Ou plus depuis longtemps, depuis début,

Ou alors à votre âge, trop moche, foutue,

Il aura pris une jeunette et puis il s’est tu

Tout tentative de retour serait malvenue.

 

***

 

Parfois, on disait qu’il était sorti chercher

Des cigarettes mais qu’il n’est pas revenu,

Métaphore : départ, on ne l’a pas vu venir

On aurait dû s’inquiéter, et faire du stock.

 

***

 

L’amour est la matrice de tous les bienfaits

De tous les maux autant lorsqu’il disparait,

L’amour peut être refrain sans seul couplet.

 

***

 

Tout le monde connait la chanson… rupture,

Mais peu en connaissent la raison…c’est dur.

 

***

 

Il vaut mieux, parfois, lors elle serait fausse !

.

.

588 – Calligramme   

 .

Tout  le  monde  connait

La chanson d’éternelle

Abandonnée  mais qui

En connait  la raison.

Personne à mon gré,

Mis à part peut-être

Toi … qui m’a aimé.

 .

Je  ne m’en  suis  pas

Aperçue, tout de suite,

Mais l’histoire sans suite

S’est imposée à mon tracas

Parti pour toujours : plus là !

 .

Un mot simple, écrit aurait suffi

Pour  que je  ne sois  plus  obligée

De le deviner, le déduire tout seul.

.

*******************************************

**********************************************

.

Car si tout le monde connait très bien la chanson,

Tout le monde  n’en connaîtrait  pas  la raison :

Tant c’est à cause de toi …  qui m’a quitté,

Et, cela, bien  avant  que   * j’y aie pensé,

Me laissant en             C      l’in-con-nu,

Comme pauvre      H           sinon nue,

Et de n’avoir      A                 pas  vertu

De te plaire                      inconnue,

Comme une                      in-gé-nue

Et toujours,         O             follement,

Car ta passion        N        retombant,

M’a laissée, de côté   *  sur un banc :

Elle m’a fait très mal me   réveillant.

.

Je donnerais n’importe quoi et l’argent

Pour que tout redevienne comme   T     C     avant,

T’aurais pu me laisser un mot                O   en partant,

Je suis passé de tout à rien     U                   N  main-te-nant,

Je peux comprendre         T                          N  break reposant

Mais me retrouve      *                                 A   bras …ballants

À t’attendre          L                                      I     désespérément

D’angoisse                                             T      déjà   pleurant

Comme          *                                          *      ancien  amant

Lorsque       M                                       C       je n’ai pas vu,

Que tu          O                                     H      partais déçu :

Pourquoi        N                               A      je n’ai  pas su

T’entendre,       D                         N    être entendue.

Devenir éternel     E                S     abandonnée,

Serait-il mon destin    *      O     bien mérité,

Que je me suis forgée     N   en déraison,

À force de répéter même chanson.

J’ai changé son refrain en le mien,

Il est beaucoup moins doux,  est amer

Il se chante à deux voix comme il se doit

Le reprendre doux ne dépendra que de toi.  

.

.

Forme

 .

Réduction

.

.

Évocation 

.

588 4

.

 On peut y voir une urne funéraire,

D’un support pour une œuvre d’art,

Vase décoratif aux bords évasés,

Un utérus, matrice féminine,

.

Vase évoque matrice, lieu de transformation

que seule la femme est capable d’accomplir

pour concevoir un enfant comme un projet

ainsi la forme creuse approcherait le fond.

.

On s’imaginerait qu’il peut s’agir

D’un vase étant privé de ses  fleurs :

Comme ventre devenu inutile et laisser

 À lui-même et comme vide de procréation.

  .

Symbolique 

 .

Par sa forme,

La grâce de ses courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin.

Son creux évoquera celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

Dans l’art et les rites funéraires, le vase

Apparaît, parfois, comme l’emblème

De la vie qu’on suppose éternelle.

heraldie.blogspot.com/2014/08/

le-vase-laiguiere-et-le-calice-

.

Descriptif

.

588 – Tout le monde connait la chanson 

Alignement central  /  Titre dédoublé   /  Thème  sexe

Forme anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : matrice

.

.

Fond

.

Évocation

.

588 6

.

On s’imaginerait qu’il peut s’agir

D’un vase étant privé de ses  fleurs :

Comme matrice devenu inutile et laisser

 À lui-même et comme vide de procréation.

 .

Symbolique 

.

Pour Jung, le processus d’individuation

Est un processus de transformation

Intérieure, qui correspond à la

Transformation des substances

Alchimiques dans la cornue.

.

« Dans l’alchimie, un des symboles

Féminins les plus importants est alambic

La cornue dans laquelle  devait  s’exécuter

Transformation de précieuses substances.

.

Au centre des découvertes psychologiques

Se trouverait, à nouveau, un processus de

Transformation intérieure, individuation

De fait, le vase, l’alambic, la cornue, sont

Des représentations de la matrice.

cairn.info/revue-de-psychologie-

analytique1-2014-1-page-7.htm

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Le corps, sans parler des formes de la femme évoluent

Se transforment entre enfance, adolescence, adulte.

Cela est dû, en partie, à sa fonction de réceptacle

Il y a comme une sorte d’alchimie de substance

De ses hormones et  jusqu’à la ménopause !

Si tout le monde en connait bien la raison

Ne chante pour autant même chanson.

 .

 

.

Blessure d’abandon

.

Scénario

.

Chanson Jacques Brel, Mathilde : «Je vous ai apporté des bonbons».

Quelles raisons récurrentes pour disputes amoureuses, couple marié.

Ni la chanson, ni la raison : on sera proche, là, d’une folie passagère.

 .

Visuels et textuels   >> 

 

587 – Maitresse en séduction, déesse en adoration

Visuels et textuels  >> 

.

Maitresse, déesse

Prêtresse …… poétesse,

Ou que  sais-je  …  encore :

La femme aurait mille visages

Capables des meilleures choses,

Et tout autant  des pires ravages.

Je parle des cœurs, d’honneurs !

.

Se détend, s’étend, et se défend

Manque respect de son rang

Chiffonne, et le renferme,

Met à amour un terme,

Avouant s’être trompée

N’acceptant l’avoir été !

.

Pure maitresse, en séduction,

Ou vraie déesse en adoration,

La femme se laissera vénérer,

Mais plus rarement posséder.

.

La  noble créature de l’homme

Modelée, pour lui … en somme,

Est pour se reproduire entre eux,

Se console d’’être que demi-dieu.

Femme  prend  mari  pour la vie,

Homme veut épouser  … hors lit.

.

D’où vient  terrible  malentendu,

D’une  telle illusion  entretenue :

Entre la quête  des soirs, câlins,

Et la réalité morne  des matins,

Un fossé, peu à peu, s’instaure :

Personne n’admettant ses torts.

.

Le couple séparé ne s’écoute plus,

La faute au  premier qui  a rompu :

Personne n’épouse un idéal inconnu,

Femme n’en est pas un en sa féminité,

L’homme n’en est pas un, en sa virilité,

Rien qu’un être humain, qui vous a plu.

.

Se jalousent  et se  haïssent  et  s’aident.

Lors le jeune se fait vieux, la belle, laide,

Amour devient une source d’ambigüités,

Dès qu’il se veut exclusif  et  voire entier,

Pour passer de sa passion, à son amitié,

L’essentiel est de  bien  communiquer,

Toute passion ne  dure   qu’un temps

Même si on peut parfois renouveler.

.

.

Extension

Pure maitresse en séduction,

Femme peut devenir pure prêtresse

En manipulation pour nous faire croire

Que tous les torts nous sont attribués

Alors qu’en couple, en vraie union,

Ne peuvent être que partagés.

.

Pur stratège en machination,

L’homme machiste en domination

Au point que conjoint n’a plus espace

Ni de temps ni de liberté pour respirer,

Pour faire ce qui lui tient le plus à cœur,

Au point d’être obligée de lui soumettre

Auparavant ses actions et de lui

Demander toutes ses permissions.

.

L’erreur est de croire qu’on a trompé

Sa femme, ou son mari, absent, si après,

Les pleurs, les larmes versées,  vite séchées,

Tout amant ne serait plus vu, ni même entrevu !

Pendant un certain temps, qui peut dire prétendre

« Fontaine, je ne boirai plus, jamais, de ton eau »,

Sans parfois, en reprendre, à s’y méprendre.

.

La séduction ne date pas d’hier et n’est pas propre aux humains

Mais  chez les animaux, elle  est saisonnière ; chez nous, entière,

C’est-à-dire, tout au long de l’année, et y compris en plein hiver,

Et elle marche dans les deux sens aujourd’hui et à deux mains.

L’adoration serait comme le dépassent même de la séduction

Une sorte  de sublimation  de l’autre, au-delà  de sa réalité

Attention à ne pas bruler ses ailes pour ne pas tomber.

La chute est plus mortelle lors elle vient de plus haut

Trop belle pour moi ; pour être vrai, trop beau !

.

Séduction et adoration tiennent les deux bouts

D’une échelle entre sexe seul et projection seule.

.

Entre les deux, le curseur varie, selon fantasmes,

Tantôt on percevra l’autre avec respect et dignité

Tantôt on souhaitera qu’elle joue… femme fatale.

.

Ma main gauche ignore ce que fait main droite,

Nous n’avons pas qu’une vision d’une personne,

Notre inconscient intervient  en  perturbateur.

.

.

587 – Calligramme  

.

Maitresse, déesse

Prêtresse …… poétesse,

Ou   que   sais-je   …  encore :

La femme Ô aurait Ô mille visages

Capables meil    //    leures Ô choses,

Et tout autant //     des pires ravages.

Je parle des //  cœurs, d’honneurs !

Se détend  ==== étend, défend

Manque respect de son rang

Chiffonne, et le renferme,

Met à amour un terme,

Avouant s’être trompée

N’acceptant l’avoir été !

.

Pure maitresse    *     en séduction,

Ou vraie déesse  M     S   en adoration,

La femme      A  se laisse    É        vénérer,

Mais, plus     I   rarement      D      posséder.

La noble      T       créature        U  de l’homme

Modelée     R        pour lui          C   en somme,

Est pour     E     se reproduire   T  entre deux,

Se console S     de n’être que   I  demi-dieu.

 Femme    S     prend mari  O pour la vie

Homme  E  veut épouse N  hors lit.

.

D’où vient   terrible    malentendu,

D’une   telle illusion  entretenue.

Entre la quête  des soirs, câlins,

Et la réalité morne  des matins,

Un fossé, peu à peu, s’instaure :

Personne n’admettant ses torts.

Le couple séparé  ne s’écoute plus,

La faute  au  premier  qui  a rompu :

Personne  *   n’épouse un idéal  *  inconnu,

Femme   D   n’en est pas un en sa   A   féminité,

L’homme   É    n’en est pas un, en    D   sa virilité,

Rien qu’un    E    être humain, qui   O    vous a plu.

Se jalousent   S      et se  haïssent    R    et  s’aident.

Lors le jeune    S     se fait vieux     A  la belle, laide.

Amour devient  E      la source      T   d’ambigüités,

Dès qu’il se veut   *      exclusif     I       voire entier,

Pour passer de sa  E   passion  O     à son amitié,

L’essentiel est de   N   bien   N  communiquer,

Toute passion ne   *  dure   *      qu’un temps

Même si l’on peut, parfois,  la renouveler.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

587 4

.

Belle tête sur un corps féminin :

Habillée d’une robe ample et fluide

Comme une déesse grecque, drapée

Dans sa sensualité ou autre fantasme.

 .

On ne sait si c’est une déesse ou maitresse

ni si elle est antique, classique ou moderne

tant nombre fantasmes sont aussi culturels

et lors la forme convergera ici vers le fond.

.

Difficile pour une maitresse d’endosser

Son rôle de déesse

N’étant ni l’une ni l’autre : qu’une femme

Tout n’est que fantasme.

 .

Symbolique 

 .

Une « déesse » hantait

L’esprit des chasseurs de la préhistoire.

Une déesse à la féminité marquée

Et dont la silhouette ou les traits caractéristiques

– Seins,   fesses,  pubis,  grands yeux –  se  retrouvent

Partout en Europe, peints ou gravés sur les parois

Des cavernes, sculptés sur la pierre, l’os ou le bois.

Des  milliers d’années  plus  tard,  elle  subjuguait

Les paysans du néolithique. Partout en Europe,

On la découvre  peinte  sur  des céramiques ou

Gravée  sur les objets  quotidiens et  pendant

Près de 25 000 ans, les premiers Européens

Auraient ainsi voué un culte à cette déesse

Symbole de nature, source de vie faisant

Naître les enfants, pousser les plantes !

cairn.info/magazine-sciences-humaines-deesse

.

Descriptif

.

587 – Maitresse, séduction ; déesse, adoration 

Alignement central  /  Titre analogue   /  Thème  amour

Forme anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : déesse / Symbole de fond : fantasme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

 .

.

Difficile pour une maitresse d’endosser

Son rôle de déesse

N’étant ni l’une ni l’autre : qu’une femme

Tout n’est que fantasme.

 .

Symbolique 

.

Fantasmes sexuels

Sont presque universels,

Signalés en de nombreuses

Sociétés  à  travers  le  Monde.

.

En raison de la nature de certains,

La mise en pratique de ceux-ci restera

Moins courante, en raison de contraintes

Culturelles, sociales, morales et religieuses.

.

Dans certains cas, une simple évocation

De fantasmes sexuels est soumise à des

Tabous sociaux et à des inhibitions.

Wikipédia : fantasme

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Nos fantasmes suscitent autant d’images

Sur des déesses que sur des maitresses :

Maman et putain se donnent la main, 

Désir et fantasme créent des plaisirs.

.

Une déesse peut devenir maitresse,

Rarement l’inverse,  socialement !

Aujourd’hui c’est ni l’un ni l’autre

Amante  les confond  tous deux

Parfois, les réunit en trouple,

Dans le même lit de couple.

.

.

Amour est-il fantasmé !

 .

Scénario

.

Ma maitresse me hèle avec son tambourin et avec son désir,

et puis s’approche de moi, sans aucune équivoque pour la suite,

si fait que je l’admire, encore, après l’amour, en déesse, incarnée !

 .

 Visuels et textuels  >> 

586 – Quand je t’aimais, tu m’ignorais : ton valet

Visuels et textuels >> 

.

Décalage dans le temps,

Déphasage dans le sentiment :

Nous nous sommes mal accordés,

Lors confusions entre amour/amitié.

Et puis, au bout d’un long moment,

Inversion totale  des sentiments :

De trop tôt à trop tard passés.

.

Amour, nous l’a fait payer,

Amour nous l’a fait garder,

Amour nous l’a fait avouer,

Amour nous l’a fait possible,

Amour nous l’a fait impossible.

.

Tant de fois relaté, raconté

Font les sujets  des romans,

Mais si ignorés, totalement,

Protagonistes malheureux.

.

Tandis que … je t’aimais,

Toujours, tu m’ignorais,

Et lors, devenu, n’étais,

Rien d’autre que valet.

.

Lors, j’ai bien souffert,

 D’être en plein désert,

Tant tu ne m’as offert

Ton moindre mystère.

.

J’en  ai fait mon deuil,

Et, quoique tu veuilles,

N’aurai plus jamais œil,

Sur  cet amour …  linceul.

.

Et je n’étais plus…accessible

Lors tu t’es rendue  disponible

Et, si tu réclames l’impossible :

La situation deviendrait pénible.

.

Et que faire d’autre, à présent que   

Ton décalage, temporel, ennuyeux,    

Provoque un déphasage amoureux,     

Qui ne nous mène plus … aux cieux !       

.

.

Extension

 .

Aimer quelqu’une, quelqu’une,

Qui ne vous aime pas, vous ignore

Ou vous maintient en simple amitié,

C’est le lot de combien  de rencontres,

De combien de relations, où sentiments

Manquent chaleurs,  ne sont réciproques.

.

Différences de perceptions : la reine de l’un

Ne voit en l’autre que simple valet intéressant

À son service et pas intéressée pour aller au-delà.

Lors la situation se renverse, il est parfois trop tard

Et la vengeance excitera la haine sinon l’indifférence.

.

J’ai connu des couples qui se sont ratés à vingt ans

Puis se sont retrouvé à l’âge de quarante ans,

Après chacun :  un mariage et des enfants

Et un divorce en se disant que si…

.

Ils n’en seraient pas là !

Mais que faire de «si»

Lors rien ne le prouve,

Que tout est  à refaire,

Tout à recommencer !

.

La réciprocité serait le mot-clé maitre de l’amour

Après avoir souhaité, vérifié, certifié quelle existe

Tout n’est pas résolu s’il s’agit d’une affaire degré,

Un peu, beaucoup, qui se termine par pas du tout

Et même si passionnément, tant elle est éphémère

L’ignorance, indifférence étant les pires des maux

Que l’on vit  en l’amour : mieux vaut encore haïr !

.

« Je t’aime, moi non plus », chante Gainsbourg,

Affirmant tout le contraire comme nuit et jour.

Il ne s’agit de haine,  pas même  d’indifférence,

Mais d’une recherche d’un accord sur l’amour.

.

Chacun le voit, le sent, le ressent à sa manière

C’est plus une question d’intensité que réalité,

Tu m’aimes ou pas : l’important est comment,

Comme frère/sœur, comme ami, mari, amant.

.

L’ignorance accompagne, suscite l’indifférence :

L’ignorance se différencie en cas d’amour secret,

L’indifférence, en cas d’amour avoué mais rejeté,

La nuance peut paraitre mince, est d’importance.

.

.

Épilogue

.

Je t’aimais, mais … tu m’ignorais.

Au fond de mon être, je n’existais

Pour toi, et  lors  je t’interrogeais,

Réponse évasive, peut-être, mais.

***

Tu  me traitais   comme ton valet,

Viens ici, fais cela,  rend toi utile.

Tant m’aimer  te paraissait futile,

Tu  critiquais  tout ce que  je fais.

***

Je sais,  qu’en rien,  je ne  te plais,

Et que pour toi, tout ce que je fais

N’aurait d’importance ni de reflet

Tu ne me remercie pas, tu te tais !

***

Je sais fort bien  que tu ne me hais,

Mais l’ignorance  est pire, tu le sais.

Tu en use, tu en abuse et ça te plait,

Tu me domines ainsi comme valet !

***

Si je ne valais rien, tu aurais mal fait

De m’épouser pour, après, mon rejet.

Regarde-moi et dis-moi … s’il te plait,

Dis-moi, que d’amour, tu me connais !

.

.

586 – Calligramme

 .

Décalage dans le temps,

Déphasage dans le sentiment :

Nous nous sommes mal accordés,

Lors confusions entre amour/amitié.

Et puis, au bout      d’un long moment,

Inversion totale            des sentiments :

De trop tôt à               trop tard passés.

.

Amour, nous l’a fait payer :      A

Amours         ….         gardés,      L

Amours        ….          avoués,      O

Amours      ….         possibles,     R

Amours    ….       impossibles.    S

                                                       *

Tant de fois relatés, racontés    Q

Font les sujets    des romans,    U

Mais si ignorés,  totalement,    E

Protagonistes   malheureux.    *

                                                    J

Tandis que         je t’aimais,    E

Toujours tu      m’ignorais,     *

Lors, deve       nu, n’étais,     T

Rien que            ton valet.     ‘

                                              A

Lors, j’ai bien souffert,       I

 D’être en plein désert,      M

Tant tu ne m’as offert      A

Le moindre  mystère.       I

                                           S

J’en ai fait  mon deuil,     :

Et, quoique  tu veuilles,    T

N’aurai plus  jamais œil,    U

Sur  cet amour …  linceul.     *

                                                 M

Et je n’étais plus…accessible    ‘

Lors tu t’es rendue  disponible   I

Et, si tu réclames l’impossible :   G

La situation deviendrait pénible.   N

                                                             O

Et que faire d’autre, à présent que    R

Ton décalage, temporel, ennuyeux,     A

Provoque un déphasage amoureux,      I

Qui ne nous mène plus … aux cieux.        S

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

586 4

.

Rapport entre tire-bouchon

Et l’extraction de l’amour :

Aucun tant l’amour du vin,

N’est pas vin de l’amour.

.

Aucun rapport avec tire-bouchon,

Sauf s’il agit d’extraction :

Tant on cherche le moyen de l’ouvrir

Pour l’amour, pour en jouir.

 .

Symbolique 

 .

Tire-bouchon vient du verbe

« Tirer » et « bouchon », latin « bucco ».

C’est en quelque sorte l’outil qui

Sert à extirper de son logement

La parcelle de matière,

Faite généralement de liège

Qui, d’un côté est au contact du liquide,

Et de l’autre côté est à proximité de la

Personne qui va faire  l’action  de tirer.

On situe mal invention du tire-bouchon.

On l’attribuerait, parfois, à l’observation

Certains animaux étant proches du porc,

Qui, de par leur partie caudale, évoquent

La spirale que nous

Connaissons.

Ledifice.

Net

 .

Descriptif

.

586 – Alors que je t’aimais : tu m’ignorais !

Alignement central  /  Titre externe   /  Thème  amour

Forme droite  /   Rimes égales /   Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : amour

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Aucun rapport avec tire-bouchon,

Sauf s’il agit d’extraction :

Tant on cherche le moyen de l’ouvrir

Pour l’amour, pour en jouir.

 .

Symbolique

.

L’amour

On peut se demander

S’il s’agit d’un concept

Proprement psychanalytique

Et non pas plutôt d’un thème

Relevant de la psychologie,

Voire de la philosophie

« Les philosophes, ils ne

Parlent que de ça »,

Affirmait en tout cas Lacan.

.

Si on veut entendre parler d’amour,

dans le Vocabulaire de la psychanalyse

Il faut se reporter à l’entrée « objet »

Pour voir apparaître l’amour,

L’amour pour l’objet dans

La « relation d’objet ».

Modifié, source : cairn.info/revue-

psychanalyse-2007-3-page-5.htm

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le tire-bouchon aura plus à voir avec le vin

Qu’avec l’amour encore que l’un n’empêchera

L’autre comme amour du vin, vin de l’amour !

.

L’amour serait plus répandu, relaté que les vins

Disséqué, goûté apprécié  autant en philosophie

Qu’en littérature, psychanalyse plus psychologie.

.

Le tire-bouchon ne peut s’extraire du statut d’objet

L’amour parvient à toujours garder statut de sujet.

.

Considéré en valet

 .

Scénario

.

Le garçon semble très amoureux, mais la fille semble  indifférente !

Souffler sur aigrettes d’une fleur bien mûre pour savoir si  enfants !

Prédire l’avenir, j’ai tiré le valet : ce que je suis et resterai avec toi !

 .

Visuels et textuels >> 

585 – Ce qui nous sépare peut aussi nous réunir !

Visuels et textuels  >>   

.

Que tout nous sépare

Et, que tout, nous réunisse,

Serait-ce dû, à  un grand hasard 

N’y aurait-il rien que l’on ne puisse

Changer, pour qu’il en soit autrement.

Vrai, que  des couples  que tout sépare,

Restent  solidaires  et, unis, pour la vie.

.

Alors  que  des couples, que tout réunit,

Se séparent un jour au plus tôt ou tard.

Et, de se dire que  ce qui nous sépare,

Peut nous réunir,  en vue de l’esprit

Serait faire fi de franchir interdit

Bien qu’il s’avère plutôt rare !

.

En première lecture, on découvre un miroir

Qui nous renvoie de belles images d’espoirs,

En seconde lecture, réalités de chaque soir,

Qui se répètent et nous noient dans le noir,

En troisième lecture, des histoires à tiroir,

En projet commun sans nous faire avoir.

.

N’y a-t-il rien qui nous sépare,

Et n’y a-t-il rien qui nous unit,

Que ce que l’on doit au hasard

De partager tout et même, lit !

.

Mais dès lors que plus rien ne se répare

Tout, entre nous, et, même plus, s’enfuit,

Bien que  ce dont on héritera, à l’arrivée,

Est manque cruel de l’autre, en rencart,

Qui fait le ciment invisible de notre vie

Jusqu’à ce que dernier meurt éploré.

.

N’y a-t-il rien qui nous sépare,

Et n’y a-t-il rien qui nous unit :

Que ce que l’on doit, à ce bazar,

De partager tout et même, vie !

.

L’autre jour, fait exprès mais fait rare,

Je me suis senti, comme un abandonné,

Je me suis dit : n’est-il pas déjà, trop tard,

Pour que je songe à nous  …  rabibocher !

Plutôt que de moraliser, la reconquérir,

M’est paru judicieux, risque à courir.

.

N’y a-t-il rien qui nous sépare,

Et n’y a-t-il rien qui nous unit :

Que ce que l’on doit au bizarre

Fait de retrouver ce qu’on fuit !

.

Ce qui nous sépare, aussi nous unit,

Tout et rien, de particulier…hormis

Habitude de vivre, se supporter,

Varier entre l’amour et amitié

Pour que, jour après jour,

Plaisir, reprenne tour.

.

.

Extension

 .

Ce qui nous sépare peut

Tout aussi bien nous réunir :

Ça peut paraitre contradictoire :

Mais c’est le fait de nombre d’histoires.

.

Valeurs fondamentales, fondatrices d’union

Viennent couper accord auparavant sur tout

Qui ne sont que prétextes à nous chamailler,

À nous  disputer, et  voire, à nous  éloigner.

Mais ce serait juste  une épreuve, à subir,

Afin d’être à même de nous reconquérir.

.

Et pourquoi vous êtes-vous séparés ?

On se disputait trop sur oreiller !

Et vous ? On s’ennuyait trop

À ne jamais  se disputer,

Sans jamais un mot,

Un geste énervé !

.

Couteau, ciseaux, rasoir : le repassoir,

Dit le rémouleur, le coiffeur, l’habilleur !

Instrument pratique et dont on ne saurait

S’en passer pour couper court aux verbiages

Des paroles inutiles… et qui nous encombrent,

Lors un couple ne se coupera pas, il se déchirera

Jusqu’à l’irréparable, pour qu’il ne se recolle pas !

.

La première chose qui nous sépare est notre corps

Même quand on croit parvenir à une fusion totale.

Il n’en est rien, nous ne sommes jumeaux siamois,

Encore, ils ne pensent qu’à se séparer au plus tôt !

 

Séparés, nous le serons encore plus par notre mort.

Religion nous fait croire que ceux que Dieu a réuni,

La mort même ne peut les séparer : quelle histoire !

Je ne refuse pas d’y croire, mais je demande à voir !

.

.

585 – Calligramme 

.

Que tout,    #   #    nous sépare

Et, que tout,      =   =       nous réunisse,

Serait-ce dû, à         #   #         un grand hasard 

N’y aurait-il rien       =   =         que l’on ne puisse

Changer, pour qu’        +   +         il en soit autrement.

Vrai, que des cou             #   #           ples que tout sépare,

Restent solidaires            =   =             et, unis, pour la vie,

Alors que des cou            +   +            ples, que tout réunit

Se séparent un jour       #   #           au plus tôt, ou tard.

Et, de se dire que        #   #          ce qui nous sépare

Peut nous réunir,     =   =         en vue de l’esprit

Serait faire fi de    +  +        franchir interdit

Bien qu’il s’avè   –   –       re plutôt rare !

.

CE QUI NOUS

En première lecture, on découvre un miroir

Qui nous renvoie de belles images d’espoirs,

En seconde lecture, réalités de chaque soir,

Qui se répètent et nous noient dans le noir,

En troisième lecture, des histoires à tiroir,

En projet commun sans nous faire avoir.

N’y a-t-il rien qui nous sépare,

Et n’y a-t-il rien qui nous unit,

Que ce que l’on doit au hasard

De partager tout et même, lit !

.

NOUS SÉPARE

Mais dès lors que plus rien ne se répare

Tout, entre nous, et, même plus, s’enfuit,

Bien que  ce dont on héritera, à l’arrivée,

Est manque cruel de l’autre, en rencart,

Qui fait le ciment invisible de notre vie

Jusqu’à ce que dernier meurt éploré.

N’y a-t-il rien qui nous sépare,

Et n’y a-t-il rien qui nous unit :

Que ce que l’on doit, à ce bazar,

De partager tout et même, vie !

.

PEUT AUSSI

L’autre jour, fait exprès mais fait rare,

Je me suis senti, comme un abandonné,

Je me suis dit : n’est-il pas déjà, trop tard,

Pour que je songe à nous  …  rabibocher !

Plutôt que de moraliser, la reconquérir,

M’est paru judicieux, risque à courir.

N’y a-t-il rien qui nous sépare,

Et n’y a-t-il rien qui nous unit :

Que ce que l’on doit au bizarre

Fait de retrouver ce qu’on fuit !

.

NOUS RÉUNIR 

Ce qui nous sépare, aussi nous unit,

Tout et rien, de particulier…hormis

Habitude de vivre, se supporter,

Varier entre l’amour et amitié

Pour que, jour après jour,

Plaisir, reprenne tour.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

585 4

.

Une pointe de quelque chose

Un clou, une vis, à enfoncer,

Ou  une  paire de ciseaux, 

Pour bien couper dans le vif.

 .

la paire de ciseaux est fait pour couper

on le voit pour les contrats de mariage

tant et si bien que forme épouse fond.

.

Une paire de ciseaux est un instrument

Utilisé pour couper :

Comme pour séparer un morceau de tissu,

Un amour, en deux.

 .

Symbolique 

 .

Les ciseaux sont un symbole

De séparation, de couper les liens,

Ça peut représenter un réel divorce.

.

Rupture, un changement de situation

Implique, on se sépare, physiquement

Ou moralement : certaines personnes,

Ont  la peur de rompre  tous nos liens.

.

Il y a aussi  une notion de castration,

Être empêché de faire quelque chose

Le sentiment d’être amputé d’une

Partie de soi notre caractère.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/ciseaux/

.

Descriptif

.

585 – Ce qui nous sépare peut aussi nous réunir 

Alignement central / Titre intercalé  / Thème  rencontre

Forme droite  /   Rimes égales /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : ciseaux  / Symbole de fond : couper

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

585 6

.

Une paire de ciseaux est un instrument

Utilisé pour couper :

Comme pour séparer un morceau de tissu,

Un amour, en deux.

 .

Symbolique 

 .

Les ciseaux, comme la lame,

Sont symboles de séparation.

Chez les enfants, c’est le divorce

Qui est le plus souvent symbolisé.

Ces lames doubles sont faites pour couper,

Séparer en deux parties de façon irréversible.

.

Par extension, les ciseaux symbolisent

Une séparation de son être intérieur

En deux parties, dédoublement

Est ressenti comme profonde

Angoisse, déstructurante.

.

L’individu qui n’arrive pas à trouver

Et son  équilibre intérieur se sent menacé

C’est le thème de nombreux films d’angoisse

Où apparaissent des ciseaux évocateurs

De la schizophrénie (esprit coupé ).

Tristan-moir.fr/ciseaux

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Couper un lien, des liens, ou tous les liens

Avec quelqu’un, quelqu’un, couple, famille

De manière définitive, constitue un drame

Au vu des rapports antérieurs chaleureux.

.

Dieu merci, il y aura nombre d’occasions,

Tels que, naissances, mariages décès, etc.

Qui permettent la rencontre de nouveau,

Et quelque fois de recoller les morceaux.

 .

.

Nos routes ici, se séparent

.

Scénario

.

Deux paires de ciseaux entremêlées, pour s’aimer, pour se couper,

pour couper ce lien invisible qui nous réunit, main dans la main,

jusqu’à ce qu’une séparation physique nous éloigne et à jamais.

 .

Visuels et textuels  >>   

 

584 – Je ne sais si c’est toi que j’aime ou l’amour

Visuels et textuels  >> 

.

Aimer l’autre

Ou aimer l’amour

Ou s’aimer soi-même

Est sorte trilogie autour

De nos relations humaines

Quoique,  en toute bonne foi,

C’est souvent, parait-il, les trois.

.

Selon, grammaire, syntaxe, langue.

Le sujet et le verbe et le complément

Ont-ils une relation à tel sentiment !

.

Le comble, s’aimer  à travers l’autre.

Je m’aime beaucoup, si tu m’aimes.

Cette procuration envers soi-même

Est comme une déviation extrême.

.

Amour, désincarné, désintéressé :

Où peut-il, humainement, exister :

Il faudrait  bien être  le fils  de Dieu,

Pour pouvoir satisfaire  de tels enjeux.

.

Et alors  je ne sais  plus trop  si c’est  toi

Que j’aime, ou si  c’est cet amour, que j’ai

De toi ou bien  que tu provoqueras en moi,

Ou bien amour, de moi-même, à travers toi.

.

De ces quatre amours, tous, bien différents,

Parfois même contraire où je reste hésitant,

Le tien ne peut  s’y  confondre  et  d’autant

Que tu n’es pas  moi ni double persistant.

.

Qu’est-ce que  cela veut dire, instamment,

Je t’aime, tu m’aimes : nous voilà amants,

Tant  nous sommes  l’un à l’autre, penchant

Par nombre attraits nous ayant fait aimants.

.

Quelque  part entre toi et moi, il y a   un nous,

Nul ne le voit on le sait  mais  il nous rend fou,

Au point de tomber l’un face à l’autre  à genoux

Jusqu’à ce que l’on se soit fondu, en un seul tout.

.

Qu’est-ce que ce nous ce tout et qui  nous échappe,

Si chaque fois  qu’on les tient  ou qu’on les attrape,

Ils glissent, ils se retirent notre  belle union sapent,

Amour ne reste, pour nous, provisoire, nous happe.

 .

.

Extension

 .

Panne d’amour nous remet en cause :

Aurions-nous fait le mauvais choix,

Diverger, au point que, le contrat

De départ ne tient plus du tout,

Qu’il faut et vite le renouveler,

L’abandonner, le dénoncer.

.

Je ne sais trop si c’est toi

Que j’aime  ou l’idée que

Je me fais,  de toi,  en me

Projetant et en superposant

Une autre image que la tienne,

.

Sans tenir  compte  de ta réalité,

De tes limites et de tes aspirations

Et, réciproquement, tant, moi aussi

Je peux t’apparaitre comme différent

De celui que tu as connu auparavant !

.

Le rouge est connu pour être la couleur de l’amour,

Du sang, des roses aussi ainsi que  de la chine maoïste

Et pourtant  les mariées s’habillent  d’une robe blanche,

Sans savoir si c’est leur mari  qu’elles aiment  ou l’amour

Que  l’on offre  un diamant, comme  anneau  de mariage,

Ou  beau bouquet de roses, ne changera  rien  à l’amour,

Il est de nature  éphémère, même arrosé  tous les jours.

Pour  durer il doit évoluer, se transformer, reproduire,

L’amour est l’énergie commune dont l’on se nourrit.

.

Aimer l’amour : comment est-ce possible,

Dès lors qu’il s’agit de concept désincarné !

.

On a du mal à le qualifier,  même à le saisir :

Lors on en est atteint, on le traite de maladie.

.

Donner tout y compris se donner l’un à l’autre,

Seront une complète concrétisation de l’amour.

.

Ce don est à ne pas confondre avec la possession :

Se donner n’est pas prendre, réclamer même chose

.

 S’appartenir est à pendre comme un abus de langage :

On ne peut appartenir à personne,  rien qu’à soi-même.

.

L’amour ne se gagne pas, il se partage, chacun à sa manière

Certains cherchent fusion, compréhension, commune passion.

.

D’autres, une présence en qui ils ont confiance, qui les rassurent,

Non de façon transitoire : par un attachement constant, durable.

.

.

584 – Calligramme

 .

Aimer …………………… E ….…………..………… l’autre

Ou aimer ……………… S .….……….………. l’amour

Ou s’aimer …………… T …….….……… soi-même

Est sorte tri ………….. * ..…..…….. logie autour

De nos rela ….…….… C ..…… tions humaines

Quoique, en …….….. E  ..… toute bonne foi,

Ce serait, souvent,    *  parait-il, les  trois !

Selon, grammaires, T  syntaxes, langues.

Le sujet et le verbe  O  et le complément

Ont-ils une relation I   à tel sentiment !

Le comble, s’aimer    à travers l’autre.

Je m’aime beaucoup,  si tu m’aimes.

Cette procuration envers soi-même

Est comme une déviation extrême.

.

******************************

******************************

.

Amour, désincarné, désintéressé :

Où peut-il, humainement, exister :

Il faudrait  bien être  le fils  de Dieu,

Pour pouvoir  satisfaire  de tels enjeux

Et alors  je ne sais  plus trop  si c’est  toi

Que j’aime, ou si  c’est cet amour, que j’ai

De toi ou bien  que tu provoqueras en moi,

Ou bien amour, de moi-même, à travers toi.

De ces quatre amours  et  tous, bien différents,

Parfois même contraires    *   où je reste hésitant,

Le tien ne peut  s’y   *    confondre    *      et d’autant

Que tu n’es pas     *        moi ni double    !     persistant.

Qu’est-ce que    Q          cela veut dire, ins    R   tamment,

Je t’aime, tu    U         m’aimes : nous voilà      U     amants,

Tant nous      E         sommes  l’un  à  l’autre        O  penchant

Par nombre  *         attraits  nous  ayant  fait,         M  aimants.

Quelque        J         part entre toi et moi, il y a          A    un nous,

Nul ne le        ‘            voit on le sait mais il nous            ‘    rend fou,

Au point de      A           tomber l’un face à l’autre          L      à genoux

Jusqu’à ce que,     I             l’on se soit fondu, en           *     un seul tout.

Qu’est-ce que ce nous M             ce tout et qui           U        nous échappe,

Si chaque fois  qu’on         E           les tient ou       O         qu’on les attrape,

Ils glissent, ils se retirent          *          notre       *               belle union sapent,

Amour ne reste pas, pour nous,                 *                   provisoire, il nous happe.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation  

.

584 4

.

On peut y voir une robe

De femme avec un buste

Étroit, un  volant évasé,

Sur  cintre : séduisante.

.

Robe en apparence n’évoque pas amour,

 le sous-entend, de manière inconsciente,

surtout qu’une fois portée, tout change,

elle s’en approche de forme et de fond.

.

Habillée avec une telle robe,

 Une fille sera plus séduisante :

Elle suscitera, et vite, l’amour ,

Quelle que soit celle qui la porte.

.

Habillée avec une telle robe,

 La fille serait plus séduisante :

Elle suscitera plus vite l’amour,

Quelle que soit celle qui la porte.

.

Symbolique    

.

Le sens premier

Du mot «robe»

«Vêtement féminin

Composé d’un corsage,

D’une jupe d’un seul tenant»

D’après  le Petit Larousse, 2009,

Robe apanage strictement féminin.

.

Les robes, courtes, longues, droites,

Sont représentations du «féminin».

Nous entendrons ici par «féminin»

«Qui manifestera des caractères

Considérés comme propres

 À la femme».

oic.uqam.ca/fr/communications/

la-robe-symbole-et-significations

.

Descriptif

.

584 – Est-ce toi que j’aime ou l’amour ?

Alignement central / Titre droit/cercle/ Thème  amour

Forme conique / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : robe  /    Symbole de fond : robe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

584 6

.

Habillée avec une telle robe,

 La fille serait plus séduisante :

Elle suscitera plus vite l’amour,

Quelle que soit celle qui la porte.

 .

Symbolique

.

La robe considérée

Dans nos sociétés comme

Vêtement exclusivement féminin,

Est le symbole de la féminité

Depuis la Renaissance,

Pouvant portée par des hommes

Dans d’autres sociétés elle fut d’ailleurs

Portée par eux et bien avant cette période.

.

Les couleurs, de même que leur simple emploi,

La beauté également, sont tous relatifs et fluctuent

D’une époque  à une autre, et voire  d’un lieu à un autre.

Les couleurs, quant à elles, si elles n’ont pas de signification fixe

Universelle, leur emploi dans les robes de soirée a malgré tout un sens.

echodecythere.com/2014/08/28/couleurs-de-robe-et-symbolisme

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’apparence des choses, des êtres, des gens

Ne présume pas leur consistance forcément :

On peut être  de belle présentation, prestation,

Et être parfaitement creux ou sans perfection.

Robe a justement pour effet d’enrober défaut

D’attirer l’œil sur la forme plus que le fond.

.

S’il suffisait que le beaux habits, fassent

Les belles personnes, cela se saurait,

Mais les habits, vêtant l’intérieur,

Sont invisibles bien qu’essentiels

Pour se faite une idée des gens.

 .

.

Aimer l’autre, aimer l’amour !

 .

Scénario

 .

Ni toi ni moi, ne sommes rouges : il n’y a que l’amour qui l’est,

offrir anneau, avec diamant, symbole éternel à prix coûtant,

ou une rose rouge qui ne dure que l’espace d’un bon temps !

 .

Visuels et textuels  >>

583 – J’aurais… tant aimé partager ton intimité.

Visuels et textuels  >>

.

J’aurais  tant voulu partager,

Tant voulu  décliner t’aimer,

Voulu m’enivrer tout entier,

De ta pure et belle intimité

Bras  et  sexes … emmêlés.

.

J’aurais pu ……  partager,

Cet ersatz ……. d’éternité

Qui aurait pu illuminer,

Ma vie d’espoir insensé.

.

Tu n’as voulu  t’engager

Tu m’as laissé tomber :

Alors,  en deux moitiés,

Mon cœur  … s’est brisé.

.

J’aurais tant, tant aimé

Partager    ton   intimité,

Mais cela n’a pas marché,

Tu es restée très distanciée.

.

Or j’aurais tant,  tant aimé

M’être, tout  de toi,  enivré

Or  au petit matin,  sonné,

Je  me  sens  seul … esseulé.

.

Mais j’aurais tant, tant aimé

Que tu me rendes bien entier

Or tu n’as pas été …ma moitié,

Même pas été un bas quartier.

.

Mais j’aurais tant et tant aimé

Nos imaginaires et sexes, mêlés,

Mais tu t’es isolée, t’es enfermée

Dans ta belle bulle bien protégée.

.

J’aurais tant aimé de partager

Avec toi, un instant… d’éternité,

Or  des jours, nuits, sont passés,

Tu m’as quitté, m’as abandonné.

.

J’aurais  tant  aimé  embrasser

Nouvelle vie d’espoirs, illuminé

De ta fraicheur, grâce et beauté,

Tu ne m’as, même pas, regardé.

.

J’aurais tant aimé m’engager

En la relation plus stabilisée,

Mais mon cœur tu l’as brisé

Et j’en ai perdu la moitié.

.

.

Extension

 .

L’intimité, qu’est-ce c’est !

Serait-ce une  même chose

Pour tout le monde, au moins

Pour les couples de partenaires :

Faire l’amour, échanger des caresses,

Des tendresses et s’abreuver des baisers.

Lors certains prennent soin d’ajouter

«Dans la plus stricte» à «intimité»,

Pour distinguer celle de l’âme

Et du corps, plus accessible.

Il y aurait une autre intimité

Et qui vous fusionne avec l’autre

Sans le toucher et d’aucune façon.

Ces écrits sont-ils intimes ?

Non, bien sûr, c’est l’évidence

Dès lors qu’ils sont publiés,

Ils échappent à son auteur.

Parlent-ils… d’intimité ?

Non plus : ils ne parlent

De personne en particulier.

Peut-on les interpréter comme

Un reflet de sa  propre  intimité ?

Oui, s’il s’accorde à ce que vous pensez

Sans oser le dire, prenant l’auteur, à témoin,

Que vous n’arriviez pas à formuler vous-même.

.

Pensée intime, regard intime, baiser intime, toilette intime

Dès qu’on s’approche  d’une zone privée

On frôle, obligatoirement, un espace ou une surface intime

Que l’autre souhaitera, ou non, partagée.

On peut violer l’intimité, pas la voler : on ne l’emporte pas,

Mais c’est tout comme : elle n’est plus là

Tant il est vrai qu’entre intime et ultime, il n’y a qu’un pas

Certains hésitent à franchir ; autres, pas.

 .

L’intimité commence d’abord par celle du corps

Par la nudité, visibilité des parties, dites intimes

Or ce n’est pas tant  le fait d’être nu, qui compte,

Que le regard de l’autre avec son propre ressenti.

.

L’intimité se poursuit  par passions, occupations,

Tout ce qui concerne famille, histoire personnelle,

Il nous aura livré quelque secret qu’on ne connait,

Il nous est si familier qu’on recherche sa présence

.

L’intimité s’achèvera quand on aura l’impression

De connaitre tout autre  comme si on l’avait fait :

On pense comme lui, à sa place,  on devine tout :

Parce que c’était lui, c’était moi, dit Montaigne.

.

.

Épilogue

.

Qu’on regarde l’autre dans les yeux

Et jusqu’au plus profond de son être,

On touche à l’intimité sans la toucher.

***

Certains mettent l’intimité en leur sexe,

D’autres dans trop de proximité spatiale,

Et d’autres, dans l’intrusion  de leur âme.

***

On parle de viol d’intimité  lors on dévoile

Tout, ou partie, de «journal intime»,  volé,

Jusqu’à le rendre publique voire monnayé.

***

Paparazzi sont experts en photos dénudées,

Non pas sur plages : au domicile, lieu privé,

Le vol n’est pas la nudité : non autorisation.

***

De partager l’intimité  d’une personne aimée,

N’est pas un crime : juste, désir secret, avoué,

À condition qu’elle ne devienne chasse gardée.

***

Il arrive que des personnes sentent plus intime

Avec un ou une amie, qu’avec leur femme, mari,

Faut croire que coucher avec, ne dévoile pas tout.

***

Pour ma part, je pense qu’intimité est dans l’esprit

Quand on devine la pensée d’un autre, rien à cacher

L’on appellera cela parfois fusion, parfois complicité.

.

.

583 – Calligramme

 .

J’aurais  tant voulu  …     partager,

Tant   voulu    décliner :    t’aimer,

Voulu m’enivrer    tout entier,

De ta pure et belle intimité

Bras  et  sexes … emmêlés,

J’aurais pu ……  partager,

Cet ersatz ……. d’éternité

Qui aurait pu illuminer,

Ma vie d’espoir insensé.

Tu n’as voulu  t’engager

Tu m’as laissé tomber :

Alors,  en deux moitiés,

Mon cœur  …   s’est brisé.

J’aurais tant,   *    tant aimé

Partager ton        *        *     intimité,

Et cela n’a pas     *  J           P  *     marché,

Tu es restée très   *  ‘                  A   * distanciée

Or j’aurais tant,   *   A                       R   *  tant aimé

M’être tout de toi  *   U                            T    *       enivré

Or au petit matin  *   R                              A    *      sonné,

Je  me  sens  seul  *   A                                G    *      esseulé

Mais j’aurais tant*    I                                 E   *    tant aimé

Que tu me rendes  *   S                                R   *   bien entier

Or tu n’as pas été  *    ¤                                ¤   *    ma moitié,

Même pas été un   *    T                               I    *   bas quartier

Mais j’aurais tant *    A                            N   *  et tant aimé

Nos imaginaires    *   N                           T    *  sexes mêlés,

Mais tu t’es isolée  *   T                         I    * t’es enfermée

Dans ta belle bulle  *   ¤                     M   * bien protégée

J’aurais tant aimé  *   A                 I    *  de partager

Avec toi, un instant *   I              T    *     d’éternité,

Or des jours, nuits,    *  M       É    *    sont passés

Tu m’as quitté, m’as  *     É       *  abandonné.

J’aurais  tant  aimé     *       *   embrasser

Nouvelle vie espoir          *         illuminé

De ta fraicheur, grâce     *   et beauté,

Tu ne m’as même pas    *     regardé.

J’aurais tant aimé    *   m’engager

En une relation    *   plus stabilisée

Mais mon      *  cœur tu  l’as brisé

Et j’en ********  ai perdu la moitié.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

583 4

.

Intimité : mot

Comportant trois « i »

Se terminant par un « é »

À la phonétique …  mystère

 .

L’intimité se trouve, ce cache à l’intérieur

mais on en parle plus souvent pour humain

que pour quel qu’objet, et y compris un vase,

en dépit de cela, la forme correspond au fond.

.

À l’extérieur pour lui suggérer son goût,

Sa valeur, son intimité !

L’intimité demeure cachée à l’intérieur

Elle est parfois évoquée

 .

Symbolique 

 .

La dévalorisation de l’intimité

Différentes mises en scènes de soi

De  la  pipolisation  des  politiques,

Aux  épanchements   de ses pensées

Et  sentiments  dans certains blogs,

Procède assez souvent  d’une même

Confusion  de l’intime  et  du  privé.

.

La relation amoureuse  est  connue

Pour être lieu suprême de l’intime

Où sujet amoureux s’abandonne

Peut se dessaisir de lui-même,

Pour renaître dans le désir

Dans l’amour d’un autre,

Au risque  de  s’y égarer.

Blessure  intime,  blessure

De la trahison amoureuse.

cairn.info/revue-etudes-2011-10

.

.

Descriptif

.

583 – J’aurais tant aimé partager intimité

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  sexualité

Forme ovale  /    Rimes égales    / Fond accordé à forme

Symbole de forme : intimité / Symbole de fond : intimité

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

583 6

.

L’intimité demeure cachée à l’intérieur

Elle est parfois évoquée

À l’extérieur pour lui suggérer son goût,

Sa valeur, sa blessure !

 .

Symbolique 

 .

Interaction hommes/femmes

Match,  vous vous en doutiez,

Les hommes  et femmes  n’ont

Pas le même mode d’emploi !

.

Si tout le monde se retrouve

Autour  de  la  définition de

L’intimité   et  la   nécessité

De partager la vision du corps,

Elle restait le point de dissonance.

.

L’homme d’aujourd’hui sait parler,

Il  n’hésite plus   à partager  l’intime,

Il cherche, même, à vous comprendre.

L’homme en sait plus sur vous que vous

Ne l’imaginez  et  malgré vos préjugés,

L’intimité a moins de secret pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-

feminine-vue-par-les-hommes,

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’intimité, bien que personnelle,

Et peut-être même à cause de cela

N’a pas grand-chose de symbolique,

Le devient dès qu’elle devient publique

 Soit par qu’elle en est affichée, voire volée

Comme c’est le cas en journaux, tribunaux.

.

Quoiqu’il en fût, quoiqu’il en soit …demeure

Un bien très précieux, qu’on ne peut confier

À n’importe qui sans porter à conséquence.

Écrire et publier  peut délivrer, à son insu,

Une part de son intimité réelle, supposée.

.

.

Fragilité intime coquelicot

.

Scénario

.

Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est fait, mais c’est en bonne voie pour !

L’intimité, avec soi-même, n’est pas la même qu’intimité à l’autre.

L’intimité n’est pas un objet mais un sujet : comment la voler ?

.

Visuels et textuels  >>

582 – Différences d’âges, différences de beautés

Visuels et textuels  >>  

.

Age et beauté sont deux mots

Qui feront, de vous,  des êtres

Désirables,     admirables

Pour vous faire aimer

Le miracle d’amour

Ne fonctionnerait

Tous  les  jours !

.

As-su-ré-ment,

Il  existe  bien,

Mais  il est rare

Parfois trop tard.

.

Car si l’on ne  veut

N’en choisir … qu’un :

Autant que l’on soit certain

Qu’il est meilleur en tous points

Et s’il est trop vieux et quelconque

Pourquoi projeter, sur lui, destinée !

.

Prince aura la vertu qu’on lui donne,

Bel âge et beauté, tout on pardonne :

Une telle image  aux yeux, redonne

Air d’amour fou, l’on fredonne.

.

Différences d’âges,

Différences beautés

De caractères, langage

Sans compter de métiers,

D’instructions, de cultures,

D’origines, voire de parcours,

.

De lectures si ce n’est écritures

Ou  de toute  passion  autour

Presque tout  nous sépare,

Passé, présent  et avenir,

Pourtant amour s’égare

.

À vouloir  nous réunir

Tant  j’ai cru,  en  icelle,

Un  miracle  est  possible,

Où le fait de créer  l’étincelle,

La rendrai passionnément sensible.

.

Mais voilà que la belle persiste à dire non

À mon feu qui, du coup, est devenu invisible,

J’aurai perdu et cette fois, je crois pour de bon

Alliance que je tenais acquise d’avance en cible.

.

.

Extension

 .

Il faut croire que ma Lady

Cherche un autre miroir,

Un  beau  prince  ébloui

Lui promettant l’espoir

D’une   vie   renouvelée

En son entière  fidélité,

Toute  à elle, consacrée,

Aucune autre accrochée.

Elle m’aura laissé tomber,

Tout en pâleur en tourment

Jamais, je n’en serai l’amant :

Mauvaise  pioche : je suis jeté !

Il arrive bien que des différences

Trop importantes ou trop voyantes

Entravent idylle, au point la casser :

Le regard des autres, en particulier,

Sa communauté influe énormément

Sauf à être tolérante ou laissant

À chacun sa liberté de choix

Ou de responsabilité.

Il arrive aussi que les différences

Soient au cœur même des attirances,

Certaines femmes se déclarant incapable

D’épouser un homme proche de leur âge,

A fortiori plus jeune, et réciproquement.

.

L’âge n’est pas tout  mais  souvent  compte pour beaucoup,

Une génération : c’est  comme se marier   avec un parent !

On peut  s’en affranchir  par un couple, libre de son choix,

Mais le regard de la société pèse sur lui de tout son poids,

Et certain vont dire que c’est pour l’argent ou que c’est fou

S’il n’y a pas de règles, pas de lois, d’interdits,  ni de tabous,

Chaque communauté respecte un écart acceptable aux deux !

.

En général la beauté va avec jeune âge

Du moins pour les humains et animaux

Il y a des exceptions dans les deux sens,

Des jeunes étant  difformes, voire laids,

Des vieux, restant  éclatants  de santé !

.

Un des critères,  prévalant  en société,

Est plus lié à l’apparence que réalité :

Celui qui donne à qualifier un couple,

Comme père et fille, ou inversement.

Dix ans, c’est rien ; vingt, beaucoup !

.

Ce qui est certain  est que les femmes

Prennent d’avantage soins pour visage

Lors, à âge égal, paraissent plus jeunes

Mais vrai que cela à un prix et un coût !

.

.

Épilogue

.

Une beauté est dite : liée au jeune âge

Pour les femmes, moins les hommes !

***

Femme mûre séduisant jeune homme

Est taxée de « cougar », pas l’inverse !

***

Le blé en herbe et voire la petite Lolita

Ont été et restent de vrais stéréotypes !

***

Ce ne sont pas que gens riches, célèbres

Qui épouseront 30 ans de moins qu’eux.

***

Cinq ans, normal, et dix ans : ça dépend,

Quinze parait la limite et vingt c’est trop.

***

Après, tout est question de soins, d’esprit

Peut paraitre vieux à 40,  jeune, à 60 ans.

***

Des ethnies où la question ne se pose pas :

On achètera une fille de 10 ans, marié à 15.

***

On voit des femmes jeunes qui se marieront

Avec des très vieux, rien que pour le pognon.

***

En somme, tous les cas seront dans la nature,

C’est juste une question de société, de culture.

***

Quoiqu’il en fut, quoiqu’il en soit, voire en sera

Y a, y aura, plus de vieux avec jeunes femmes !

.

582 – Calligramme  

 .

Age et beauté sont deux mots

Qui feront, de vous,  des êtres

Désirables,     admirables

Pour vous faire aimer

Le miracle d’amour

Ne fonctionnerait

Tous  les  jours !

As-su-ré-ment,

Il  existe  bien,

Mais  il est rare

Parfois trop tard.

.

Car   si   l’on *    ne     veut

N’en choisir      D            qu’un :

Autant  que  l’on      I            soit  certain

Qu’il est meilleur          F             en tous points

Et s’il est trop vieux          F                 et quelconque

Pourquoi  projeter             É             sur lui, destinée !

Prince aura la vertu            R                qu’on lui donne,

Bel âge et beauté,                E            tout on pardonne :

Une telle image         E  *   N   * D    aux yeux, redonne

Air d’amour fou    T            C             E     on fredonne.

Différences     P                  E                   B        d’âges,

Différences      A                 *                  E       beautés

De caractères   R              D               A        langage

Sans compter  F             *              U      métiers,

D’instructions O         À            T     cultures,

D’origines ou  I       G         É   parcours,

De lectures     S *  E   * !  d’écritures

Ou  de toute  passion  autour

Presque tout  nous sépare,

Passé, présent  et avenir,

Pourtant amour s’égare

À vouloir   nous réunir.

.

Et  j’ai  cru,    en  icelle,

Un  miracle  est  possible,

Où le fait de créer  l’étincelle,

La rendrai passionnément sensible.

Mais voilà que la belle persiste à dire non

À mon feu qui, du coup, est devenu invisible,

J’aurai perdu et cette fois, je crois pour de bon

Alliance que je tenais acquise d’avance en cible.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

..  582 4

.

Elle en a toutes les formes

 Mais elle restera de bois 

Sinon  un chandelier

Pour grosse bougie.

.

Sûr qu’un chandelier ira très bien

avec des bougies et non personnes

on ne peut parler d’âge, ni beauté,

ainsi la forme diffère bien du fond.

.

Un chandelier, qui a perdu sa bougie,

Et par là, sa lumière :

Tout  rapprochement avec une personne

Connue serait considéré fortuit.

 .

 Symbolique 

 .

Un chandelier

Est un objet qui sert

De support chandelles,

Des cierges ou des  bougies.

.

Le chandelier est un emblème

Spécifiquement biblique,

Devenu, également, l’un

Des  symboles  de  l’État

D’Israël et d’institutions.

.

Pour certains, chandelier

Serait  dérivé  de  l’arbre

De lumière, babylonien !

soued.chez.com/menora

.

Descriptif

 .

582 – Différence d’âge, parfois de beauté  

Alignement central / Titre droit/courbe / Thème âge

Forme ovale  /  Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : chandelier / Symbole de fond : bougie

.

.

Fond

 .

Évocation

.

582 6

.

Un chandelier, qui a perdu sa bougie,

Et par là, sa lumière :

Tout  rapprochement avec une personne

Connue serait considéré fortuit.

 .

Symbolique 

 .

La bougie est associée à la lumière,

Au temps, à la prière.

Et autrefois, la bougie était utilisée comme

Source de lumière,

Mais aussi pour mesurer le temps qui d’écoule.

Cette notion de temps

Est exprimée aujourd’hui, bougies d’anniversaire,

Une bougie une année de vie.

La bougie évoquerait aussi l’élévation de la pensée,

Et la communication avec le divin.

D’ailleurs, elle est souvent utilisée dans les rituels

Religieux, notamment pour prier.

1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On peut bien utiliser une bougie

 Sans chandelier, tenue à la main,

Mais pas l’inverse : ne sert à rien

S’il existe bien chandeliers  à une,

Deux, trois, jusqu’à cinq branches

Dernier aurait un caractère sacré

En sus de son éclairage quintuplé.

Et si  la bougie  représentait l’âge,

Et le chandelier, le support associé

Bougie est neuf ; chandelier, vieux.

 .

.

Elle au printemps, lui en hiver

.

Scénario

.

Une femme mûre avec un homme jeune : l’argent, l’amour, les deux ?

Une femme jeune avec un homme mûr : peut-être des romantiques ?

Un homme jeune avec une femme jeune : naturel, tout simplement !

 .

Visuels et textuels  >>  

581 – Pas saisi pourquoi elle ne m’aime plus

Visuels et textuels  >> 

.

Pourquoi elle m’aimait et pourquoi elle ne m’aime plus,

Pourquoi elle me parlait, pourquoi ne me parle  plus !

Questions demeurées sans réponse, trop absconses,

Déjà passée à autre chose  de plus drôle, plus rose.

Frustré, je le suis, et, frustré …  je le  demeurerai

Tant, n’ai compris ce qu’elle a à me reprocher.

Comprendre ce qui se passe n’est pas abuser

La belle  se  dérobe, me  laissant  esseulé !

.

Coupable  de n’être pas  assez  aimable

Laissée  tranquille,  amour, elle  file.

.

Tant que je n’ai pas saisi  pourquoi

Elle me m’aime plus ne m’aime pas

Je resterai le cœur, et l’âme, en croix

De l’absurdité  de son nouveau choix !

.

On pourrait au moins, parler, s’écouter,

Tenter de comprendre  ce qui s’est passé,

Mais son corps, et sa bouche  sont de bois :

Je me demande s’il faut que  j’insiste, ou pas.

.

Après avoir été l’intime : suis devenu étranger,

Après être victime, suis devenu coupable déclaré.

J’appelle le juge de l’amour pour plaider ma cause,

Je ne trouve nul, l’amour n’est pas son fait, sa chose.

.

C’est sûr, qu’un jour  ou l’autre, que je m’en remettrai.

Qui sait, avec la même, l’orage, puis le désastre, passés.

.

Trop près, et puis trop  loin, à fond de sexes, de prétextes,

À  rompre : confusions  bien aimé, et, mal baisé : connexes,

Si ce n’est le contraire  trop bien baisé, mais trop mal aimé

Différence divergence,  entre hommes, femmes : bonheurs.

.

C’est toujours mort en l’âme  qu’on se déclare, ennemis jurés,

Quand votre blessure au cœur n’en finit pas de procurer pleurs.

Pleurs auxquels  succèdent la rage, la peur, le dégout, la colère,

.

Comme si, en nous, telle rupture  était tremblement de terre,

Qu’on ne saurait reconstruire sur un champ de poussières,

Que les soins nous font mal quand la pilule est amère.

.

Après avoir été très intime, je redeviens l’étranger,

Qu’il faut fuir, éviter et ne jamais rencontrer,

Crainte, recommencer, qu’il vous bassine,

De mots si faux qu’ils  vous assassinent

C’est à n’y rien comprendre, d’elle.

.

Nous étions  proches, fusionnels,

Après m’avoir donné des…ailes

Pour voler de concert avec elle,

Voilà qu’elle  me les a déchiré,

Pour que je sois à terre, atterré.

.

Atterré,  avec deux t, avec  deux r :

Je le suis et longtemps, le  resterai,

Pourquoi  tant  s’envoyer,   en  l’air,

Pour retomber, seul, et abandonné !

.

.

Extension

 .

Les situations, contextes et formules de ruptures ont diverses

Parfois très courts : un seul mot qui en dit long, qui dit tout ;

Ou une déclaration qui tombe comme un cheveu sur la soupe

Ou une discussion franche ou l’on explique tout par le menu.

Je t’aimais, je ne t’aime plus, on dirait qu’on s’est trompé !

Pourquoi pas, ça arrive : comment l’avouer, sans blesser

L’autre qui y croit encore, veut poursuivre plus avant.

.

Les raisons de ne plus s’aimer ne sont pas le mêmes

Que celles qui nous ont poussés à aimer, d’évidence,

Peut-être qu’on mettrait plus en lumière les défauts,

Alors qu’aimer séduit par toute une liste de qualités.

.

Paradoxalement, il faut avoir qualités de ses défauts,

Pour devenir le plus compatible avec ceux des autres

Et si peu à peu les qualités se transforment en défaut

Quoi de plus évident que l’amour trompé se dissocie.

.

.

581 – Calligramme 

.

Pourquoi elle m’aimait et pourquoi elle ne m’aime plus,

Pourquoi elle me parlait, pourquoi ne me parle  plus !

Questions demeurées sans réponse, trop absconses,

Déjà passée à autre chose  de plus drôle, plus rose.

.

Frustré, je le suis, et, frustré …  je le  demeurerai

Tant, n’ai compris ce qu’elle a à me reprocher.

Comprendre ce qui se passe n’est pas abuser

La belle  se  dérobe, me  laissant  esseulé !

.

Coupable  de n’être pas  assez  aimable

Laissée  tranquille,  amour, elle  file.

Tant que je n’ai pas saisi  pourquoi

Elle me m’aime plus ne m’aime pas

Je resterai le cœur, et l’âme, en croix

De l’absurdité  de  son nouveau choix !

.

P   A   S      S  A  I  S  I

On pourrait au moins, parler     P   s’écouter,

Tenter de comprendre  ce qui    O      s’est passé,

Mais son corps, et sa bouche       U         sont de bois :

Je me demande s’il faut que         R            j’insiste, ou pas.

Après avoir été l’intime : suis                    devenu étranger,

Après être victime, suis deve       U             nu coupable déclaré.

J’appelle le juge de l’amour         O             pour plaider ma cause,

Je ne trouve nul, l’amour           I           n’est pas son fait, sa chose.

C’est sûr, qu’un jour  ou           *         l’autre, que je m’en remettrai.

Qui sait, avec la même,          *       l’orage, puis le désastre, passés !

Trop près, et puis trop         E      loin, à fond de sexes, de prétextes,

À  rompre : confusions        L      bien aimé, et, mal baisé : connexes,

Si ce n’est le contraire         L    trop bien baisé, mais trop mal aimé

Différence divergence,         E   entre hommes, femmes : bonheurs.

*  ………..

C’est toujours mort en l’âme  N      qu’on se déclare, ennemis jurés,

Quand blessure au cœur n’en   E          finit pas de procurer pleurs.

Pleurs auquel succède la rage   *      la peur, le dégout et la colère,

*

Comme si, en nous, rupture     M     était tremblement de terre,

Qu’on ne saurait reconstruire  ‘  sur un champ de poussières,

Que les soins nous font mal    A   quand la pilule est amère.

Après avoir été très intime,    I     je redeviens l’étranger,

Qu’il faut fuir, éviter, ne       M         jamais rencontrer,

Crainte recommencer,         E       qu’il vous bassine,

De mots si faux qu’ils          *        vous assassinent

C’est à n’y rien com            P       prendre d’elle,

Nous étions proches,        L          fusionnels,

Après m’avoir donné       U       des… ailes

Pour voler de concert      S      avec elle,

Voilà qu’elle  me les a      !     déchiré,

Pour que je sois à terre   *    atterré.

.

Atterré,  avec deux t, avec  deux r :

Je le suis et longtemps, le  resterai,

Pourquoi  tant  s’envoyer,   en  l’air,

Pour retomber, seul, et abandonné !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

581 4

.

Un grand  vase type grec

Avec deux personnages 

Sont-ils amis  ou  ennemis 

Et qui peut bien  le  savoir ?

.

Parfois sur un vase, surtout ancien

figure, des personnes, personnages

en discussion, en action, réflexion !

ce qui rapproche la forme du fond.

.

Le personnage mis en avant

Confie ses sentiments à un autre

On peut imaginer  ce qu’on veut,

Et pourquoi pas un désamour !

.

Symbolique

 

Pour la Grèce Antique

Le terme vase désigne une

Grande variété de récipients

Dont les formes sont classées

Selon typologie bien établie.

.

Et le plus souvent, ces vases,

Généralement  en terre  cuite,

Sont décorés avec les techniques

De la « peinture à figures noires »

Ou de la « peinture à figures rouges ».

Nombre de ces décors présentent

Des scènes figurées.

Wikipédia : vase grec

.

Descriptif

.

581 – Pas saisi pourquoi elle ne m’aime plus 

Alignement central  /  Titre courbe  /  Thème   amour

Forme ovale / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : personnage

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

581 6

.

Sur un vase, un personnage

Confie ses sentiments à un autre

On peut imaginer  ce qu’on veut,

Et pourquoi pas un désamour !

 .

Symbolique 

.

Personnage désigne une personne

À laquelle  l’on affecte   une fonction.

Un personnage que l’on dit, de fiction,

Le personnage principal ou secondaire

D’une œuvre : le  héros  ou  le  méchant.

Un personnage historique, protagoniste,

Issu du réel  mais évoluant  dans un récit.

.

Un  personnage  type,  un  rôle  se référant

À un cliché prince charmant, tueur en série,

La femme fatale, voire  le jeune premier, etc.

Un personnage dans les mondes imaginaires

Recouvrant des jeux de rôle, livres, sites web

Et les nombreuses associations des adeptes.

Source : Wikipédia

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

 Amour, désamour ne sont pas que contraires

Ils deviennent aussi et tout autant binaires

Dans la mesure où ils sont temporaires,

Et parfois même des plus éphémères !

On passe de personnage à personne

Réciproquement sans qu’on sonne

Tant hier j’étais tout ou presque,

Et, aujourd’hui, je suis en reste.

.

Était-ce un jeu, de dupe, de rôle,

Mais moi je ne le trouve pas drôle

Un mot sur smartphone pour dire

«Voilà je te quitte, je ne t’aime plus »

Comme on abandonnerait un chien,

Sur une aire d’autoroute de vacances :

C’est pratique, efficace, mais pas humain.

 .

.

Amour et désamour

.

Scénario

.

Un peu court, comme message de rupture, d’adieu après lit.

le cœur battant, je viens offrir une fleur et elle regarde ailleurs !

J’ai juste à te dire que je ne t’aime plus et je ne sais pas pourquoi ?

 .

Visuels et textuels  >> 

580 – Aimer quelqu’un qui ne s’en aperçoit !

Visuels et textuels >>

.

Aimer quelqu’un qui ne le voit pas,

Aimer est importun, qui ne s’en aperçoit !

Mais enfin regardes, tu ne vois vraiment rien

Je n’avais pas pris garde,  évoque regard de chien

Il n’est pas jeune ni beau, je ne capte pas ses ondes

Vraiment pas un cadeau, je me sens…pudibonde.

.

Amour, courant porteur en prise avec bonheur

Encore faut-il devenir auteur, à la hauteur !

Sinon courant passe, mais à côté de cible,

Sinon il se fracasse sur un mur, risible.

  .

À quoi bon aimer quelqu’un

Qui  ne s’en aperçoit : est-ce bien ?

Le problème : c’est qu’il n’y peut rien :

Arrive qu’on doive à nouveau impressionner

L’autre ayant disparu : l’ai-je vraiment aimé !

.

L’on ne percevrait pas directement l’amour,

L’on n’en verrait que … ses manifestations

Fruits de nos projections, interprétations

Voire nos transferts, ce depuis toujours.

.

À en juger … nos plus belles conquêtes,

Mieux vaut être beau, et jeune en plus,

Il est dit qu’en miroir, amour se reflète

Si on le perçoit  terne, ne réfléchit plus

À quoi bon aimer, qui ne s’en aperçoit,

Autant rester enfermé, chez soi, en soi.

.

Amour adulte, lors  s’en va, ne va plus :

Il n’est plus un droit, devoir, est perdu.

.

Comment créer  illusion  qu’on est ému

Donnant impression  être amour déçu.

On dit l’amour n’est derrière ni devant

Il se contente être présent simplement

Dans le regard, et dans …. les formes

.

L’on peut aimer …  et  être…  énorme,

Un énorme amour  ne sera pas mince

Dès que, pour l’autre … l’on en pince

On peut aimer en étant jeune retraité

On a force temps encore à y consacrer

Avec nouveau compagnon ou compagne

.

Pour sûr, l’amour existe malgré sa duplicité

Pour sûr, amour excite par ses multiplicités

Pour sûr l’amour s’exprime au-delà de l’amitié

Pour sûr l’amour s’estime  au-delà de bien baiser

.

Combien jette du même coup le bébé et l’eau du bain

Possédant l’être convoité, et ce jusqu’à  en faire son bien

Mais, dès que ces deux êtres, décideront, de croiser le fer

Rupture créera feux d’étincelles à faire couler leur sang

C’est bien ce que font les amants, se ronger les sangs

Pour qu’autre soit, même niveau, même moment.

.

.

Extension

 .

Romance, s’il en est, que des rencontres amoureuses,

On se projette déjà dans des situations aventureuses

Et qui nous mène, de ci de là, à nous parler de nous,

Le monde d’ennuyeux qu’il était devient soudain fou

Tout se passe à merveille, jusqu’au coucher du soleil,

Jusqu’à ce que l’autre nous remercie  de l’après-midi :

Il dit avoir passé du bon temps avec vous, que c’est fini.

Aimer quelqu’un qui ne s’en aperçoit, pire chose qui soit,

Et qui vous laissera, sur le bord du trottoir … tout pantois.

.

L’indifférence par insensibilité à l’autre :

Ni désir, ni douleur, ni plaisir… ni crainte

Est très différente du détachement de tout,

Que ce soit une personne, événement, chose.

.

Dans le premier cas, on parlerait de froideur

Dans le second, d’apathie, ou voire d’autisme.

Son fort attrait pour moi,  ne me touchera pas,

Qui qu’il soit, même le meilleur, je n’y tiens pas.

.

Aimer quelqu’un qui ne s’en aperçoit : c’est raté !

Encore faut-il bien s’en rendre compte, se l’avouer

On appelle clairement ça, manque cruel réciprocité,

Parfois pourtant, sait-on pourquoi, ça peut changer.

.

.

Épilogue

.

Il faudra, l’indifférence, bien distinguer

Du fait de quelqu’un, ne pas remarquer.

Le premier sera ignoré, volontairement,

Le second, ne sera pas vu …simplement.

***

Les deux sont situations non réciprocité,

Non réciprocité avouée / secrète, cachée,

Toujours est-il que la rencontre est ratée,

Et qu’au final, chacun s’en va de son côté.

***

Qui ne l’aura vécu, de près,  voire de loin,

Coup de foudre existe,  mais il n’est point

Si fréquent : il est l’exception  qui  rejoint

Le mystère de l’âme-sœur qu’on s’enjoint.

***

On peut gloser à l’infini, sur ces situations,

La pire ne serait-elle pas abandon conjoint,

Après divorce,  comme s’il n’a jamais existé,

Au point de  ne pas le saluer en rue, passant.

***

L’indifférence ne serait ni la haine, ni le rejet,

Haine a quelque chose à voir avec … trahison

De sa confiance et rejet, de sa perte d’amour,

Aimer qui ne s’en aperçoit ne servira à rien !

.

.

580 – Calligramme

.

Aimer quelqu’un qui ne le voit pas,

Aimer est importun, qui ne s’en aperçoit !

Mais enfin regardes, tu ne vois vraiment rien

Je n’avais pas pris garde,  évoque regard de chien

Il n’est pas jeune ni beau, je ne capte pas ses ondes

Vraiment pas un cadeau, je me sens…pudibonde.

Amour, courant porteur en prise avec bonheur

Encore faut-il devenir auteur, à la hauteur !

Sinon courant passe, mais à côté de cible,

Sinon il se fracasse sur un mur, risible.

.

AIMER QUELQU’UN

À quoi bon aimer quelqu’un

Qui  ne s’en aperçoit : est-ce bien !

Le problème : c’est qu’il n’y peut rien !

Arrive qu’on doive à nouveau impressionner.

L’autre ayant disparu : l’ai-je vraiment aimé !

L’on ne percevrait pas directement l’amour,

L’on n’en verrait que … ses manifestations

Fruits de nos projections, interprétations

Voire nos transferts, ce depuis toujours.

.

À en juger … nos plus belles conquêtes,

Mieux vaut être beau, et jeune en plus,

Il est dit qu’en miroir, amour se reflète

Si on le perçoit  terne, ne réfléchit plus

 À quoi bon aimer, qui ne s’en aperçoit,

  Autant rester enfermé, chez soi, en soi.

    Amour adulte, lors  s’en va, ne va plus :

     Il n’est plus un droit, devoir, est perdu.

.

QUI  NE  S’EN   APERÇOIT !

      Comment créer  illusion  qu’on est ému

       Donnant impression  être amour déçu.

      On dit l’amour n’est derrière ni devant

      Il se contente être présent simplement

    Dans le regard, et dans …. les formes

.

      L’on peut aimer …  et être énorme…..

      Un énorme amour  ne sera pas mince

       Dès que, pour l’autre … l’on en pince…

        On peut aimer en étant jeune retraité……

         On a force temps encore à y consacrer…..…..

        Avec nouveau compagnon ou compagne……..…

.

      Pour sûr, l’amour existe malgré sa duplicité………

Pour sûr, amour excite par ses multiplicités………

Pour sûr l’amour s’exprime au-delà de l’amitié……..

Pour sûr l’amour s’estime  au-delà de bien baiser………

.

Combien jette du même coup le bébé et l’eau du bain…..….

Possédant l’être convoité, et ce jusqu’à  en faire son bien……….

Mais, dès que ces deux êtres, décideront, de croiser le fer………..

Rupture créera feux d’étincelles à faire couler leur sang………..

C’est bien ce que font les amants, se ronger les sangs…..

Pour qu’autre soit, même niveau, même moment.

.

.

Forme

.

Réduction 

.

.

Évocation  

.

580 4

.

Silhouette de femme

Corps encarapaçonné

Et que l’on voit de dos

Indifférente à tout.

.

Une femme qui passe son chemin,

Sans  vous regarder ni vous saluer :

Croisant, indifférente,  un prétendant,

Qui l’admire, voudrait tant lui parler.

 .

Symbolique 

 .

Le XIXème siècle est imprégné

D’images négatives de la femme,

Véhiculées par la littérature et les arts.

Ce contexte se reflète en peinture symboliste,

Où s’opposent, cohabitent, deux visions de la femme :

L’une idéalisée ou asexuée  et séraphique ou androgyne,

L’autre au contraire, castratrice, fatale, mante religieuse.

Si l’art symboliste révèle un nouvel érotisme sulfureux,

Parfois fétichiste, ou sadique et voire satanique,

Liant  Éros et   Thanatos, il illustre  aussi

Toute l’ambiguïté des rapports entre

L’homme, la femme,  annonce

La recherche de nouvelles

Identités … sexuelles.

Source : julien.gadier.

free.fr/femmemain

.

Descriptif

.

580 – Aimer quelqu’un qui ne s’en aperçoit !

 Alignement central  /  Titre droit/courbe  /  Thème   amour

Forme anthropo /    Rimes égales     / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : indifférente

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

580 6

.

Une femme qui passe son chemin,

Sans  vous regarder ni vous saluer :

Croisant, indifférente,  prétendant,

Qui l’admire, voudrait tant lui parler.

 .

Symbolique 

.

La haine suppose que l’on éprouve

des sentiments et l’indifférence non.

L’indifférence, ce sont longs silences

qui détruisent tout intérêt à petit feu.

.

L’absence totale d’intérêt de quelqu’un

n’éprouvant rien par rapport à l’autre,

est l’état affectif complètement neutre :

C’est à mon sens et mes yeux, un mépris.

.

La haine suppose sentiments préexistants,

Elle va de pair avec une capacité d’amour

D’etre capable d’éprouver de la souffrance.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’indifférence serait la pire des attitudes

Face à l’amour de l’autre mais, pour autant,

N’est pas nécessairement volontaire, conscient,

Ce n’est pas que l’autre, celui qui l’aime n’existe pas

Mais  il n’est qu’un parmi les autres, ni plus ni moins.

.

Le plus souvent, ce sont les femmes qui aiment en secret

N’étant pas autorisée, ou ne s’autorisant pas, elle-même,

À déclarer ses sentiments ni par des paroles ni en gestes.

Pour  certains, ou certaines, ne pas  savoir  les émotions

De l’autre est souffrance pouvant devenir désillusion !

.

De deux maux, faut choisir le moindre, ils se lancent

Sur le moment ça fait très mal puis on se raisonne

On se dit que ce n’était pas la bonne personne

Rebondit vers quelqu’un, quelqu’une autre

Et l’affaire est close, elle n’a pas existé !

 .

.

On ne peut dire :sont amoureux

 .

Scénario

.

Je suis là, assis sur un banc, amoureux d’elle qui ne le sent pas,

je lui parle en amoureux de lui, il me répond comme un ami,

je rêve que l’on s’aime sur soleil se couchant sur nos reflets.

 .

.Visuels et textuels >>

579 – Semblables ou différents ou contraires !

Visuels et textuels >>  

.

Nous sommes semblables

Et  nous  sommes différents,

Tant distance infranchissable,

Peut vite nous réduire à néant.

.

Apparences sont trompeuses,

Attractions sont amoureuses

Nos attentions aventureuses

Abstinences sont pulpeuses.

.

Tes liens pour toi, fraternels,

Le sont, pour moi, sensuels,

Or  ils ne sont pas  éternels

Si aucune entente sexuelle.

.

Toi, si tu es  plus  manuelle,

Lors moi, plus intellectuel,

Tes mains sur ma pensée

La charge en affectivité.

.

Toi, tu marches  au pas

Et moi au triple galop

Émois … j’en ai  trop

Et toi, tu n’en a pas.

En ai-je pour deux,

Au gré de tes yeux.

.

Semblables, différents ou contraires,

Tout et même le reste, pour se plaire,

Moi, l’intellectuel, toi, nature et belle,

Moi consensuel et toi, pâture, rebelle.

.

L’amitié respecte les conventions,

L’amour y apporte sa révolution,

Il change relations en passions,

Jusqu’à franchir le Rubicond.

.

Différent c’est peu de le dire :

Tout reste à faire, à construire,

Lors d’un bel avenir soyons fier

De ne jamais revenir sur arrières.

.

Or semblable, je ne le suis que trop

De revenir vers toi, au triple galop

Tandis que je minaude tes faveurs,

T’ouvre, en plus grand mon cœur.

.

Contraire, ne l’es-tu pas de braire,

Comme si j’étais né ton petit frère

Ou que je te réclamais l’aumône

D’un amour fou  que  tu prônes.

.

Je suis, à la fois, différent de toi,

Et semblable en élans d’affections

Tu me mets beaucoup plus en émoi,

Que toi qui reste campé sur ta raison.

.

Contraires s’attirent, se repoussent

Me rapprochant de toi, tu tousses,

Accorde-moi une chance douce,

Amitié, faisons pause, pouce.

.

.

Extension

 .

Semblables par

Le faisceau des liens,

D’événements, de valeurs

Qui nous tient, nous convient.

.

Différents par

Notre sexe, notre âge,

Notre parcours, situation.

Par histoire personnelle de vie.

.

Contraires par

Je ne sais quoi de vague,

D’ambiguë, d’imprécis, qui nous

Empêche d’être amants, rien qu’amis.

Encore qu’amis qui regardent le passé

Et ne construit rien pour l’avenir

Mais qu’importe, tant que

Le lien n’est pas brisé.

.

Est-ce notre destin commun

«D’être loin de l’autre qu’on est près,

D’être près de l’autre quand on est loin».

.

Le nombre aspire à la diversité,

Pour se démarquer du voisin,

Foule anonyme n’est pas un

Repère  où on se sent bien.

De fréquenter  les mêmes,

On   s’ennuie  rapidement,

Et jusqu’au point extrême !

De rechercher son semblable

Parait, au début, réconfortant

Mais bien vite tournera en rond

Par manque de renouvellements !

.

.

579 – Calligramme  

 .

Nous sommes……..………S….……………. semblables

Nous sommes  ………….E……………….. différents,

Tant, distance………….M……….infranchissable,

Peut vite nous….……B…….réduire à néant.

Apparences ……..…L… sont trompeuses,

Attractions……..…A  sont amoureuses

Attentions ………B ……aventureuses

Abstinences ……L sont pulpeuses !

Tes liens pour ..E.. toi, fraternels,

Le sont, pour…S..moi, sensuels,

Mais ils ne sont… pas éternels

Si aucune entente… sexuelle.

Toi, si tu es  plus  manuelle,

Lors moi, plus intellectuel,

Tes mains sur ma pensée

La charge en affectivité.

Toi, tu marches  au pas

Et moi au triple galop

Émois … j’en ai  trop

Et toi, tu n’en a pas.

En ai-je pour deux,

Au gré de tes yeux.

.

Semblables, différents   D          ou contraires,

Tout et même le reste  I     et pour se plaire,

Moi, l’intellectuel     F   toi, nature et belle,

Moi consensuel    F  toi, pâture, rebelle.

L’amitié respecte   É    les conventions,

L’amour y apporte  R    sa révolution,

Il change relations  E   en passions,

Jusqu’à franchir le   N    Rubicond.

Différent c’est peu    T    de le dire :

Tout reste à faire, à   S   construire,

Lors d’un bel avenir   *   soyons fier

De ne jamais revenir    * sur arrières.

Or semblable, je ne le     * suis que trop

De revenir vers toi, au       C     triple galop

Tandis que je minaude        O      tes faveurs,

T’ouvre, en plus grand          N       mon cœur.

Contraire, ne l’es-tu pas         T           de braire,

Comme si j’étais né ton          R          petit frère

Ou que je te réclamais            A            l’aumône

D’un amour fou que               I            tu prônes.

Je suis, à la fois                   R     différent de toi

Et semblable, en            E   élans d’affections

Tu me mets beau-   S   coup  plus en émoi,

Que toi qui reste *  campé sur ta raison.

Contraires s’attirent,    se repoussent

Me rapprochant de toi, tu tousses,

Accorde-moi une chance douce,

Amitié, faisons pause, pouce.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

579 4

.

Vases superposés

Ou mieux encore :

Bouquet de fleurs

Dans  un beau vase.

.

Vase  avec  un bouquet  de fleurs

ressemble fort à un autre, avec

quelques  petites différences,

si fait forme approche fond.

.

Un mariage de composition

Bouquet de fleurs dans vase,

Elles ne seront pas semblables,

Toutes différentes, contraires.

 .

Symbolique

 .

Un vase est

Un récipient ouvert

Qui est souvent utilisé

Pour contenir un bouquet

De fleurs, décorer une salle.

.

Il pourrait être  constitué  de

Divers matériaux …   comme

La porcelaine, la céramique

Ou le verre. Nombre vases

Sont décorés dans le but

De mettre en valeur

Leur contenu ou

Eux-mêmes.

Wikipédia : vase

.

Descriptif

.

579 – Semblables, différents, contraires !  

 Alignement central  /  Titre droit/courbe  /  Thème   humains

Forme anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase   /     Symbole de fond : fleurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

579 6

.

Un mariage de composition

Bouquet de fleurs dans vase,

Elles ne seront  pas semblables,

Toutes différentes, contraires.

 .

Symbolique

 .

On appelle symbolisme des fleurs

Le fait d’attribuer à certaines fleurs

Des vertus, ou de servir d’emblème.

.

Et  l’iconographie  de nos cinq sens

Représente l’odorat sous la forme

Diverses compositions florales,

Ou sous l’aspect d’une figure

Qui tient à la main un

Bouquet de fleurs

Ou en hume les parfums.

.

Depuis l’antiquité, l’image

De la fleur  reste  associée à

L’idée de la brièveté de la vie,

De la beauté  et  de ses vertus !

Modifié,  source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il est certain que vase et fleurs

Sont faits pour aller ensemble :

Ce qu’il y ait une seule, plusieurs

Petit ou gros bouquet, me semble

Et naturelle, artificielle, ensemble

 Feront autant plaisirs, bonheurs !

.

Par contre s’ils sont … contraires,

 Cela ne fera pas souvent l’affaire

Les fleurs, comme les humains

S’associent ou se repoussent.

 .

.

Comme son nom l’indique

.

Scénario

 .

Tous différents, tous égaux, un mythe  loin des réalités quotidiennes ;

tous semblables, mais moi, le contraire des autres, les bras en l’air ;

tous contraires, j’ai épousé tout mon inverse et … réciproquement.

Visuels et textuels >>  

578 – Sauvage, sauvageonne, tu te reconnaîtras

Visuels et textuels  >> 

.

Sauvage, sauvageonne, qualificatifs qui résonnent,

Si approche n’est pas bonne te traitant de conne,

Loin de moi pensée bien que tu m’aies rejetée

Tu restes ma préférée pour, en bras, me jeter.

Je persiste à croire c’est que partie remise,

Tu n’es conquise, soumise, à mes jeux !

Mais comment provoquer l’étincelle

Si, en toi, mon bois, ne brûle pas !

Dois-je faire nouvelle ritournelle

Pour attirer attention sur moi.

.

 Sauvage, sauvageonne,

Tu te reconnaitras,

Avant que tu m’abandonnes,

Amour te surprendra.

Indépendant, je le suis aussi,

Bien que pas indifférent,

Une chose enfin, j’ai compris,

Ne serai jamais ton amant.

.

Rejet massif, qu’en conclure :

Définitif, déconfiture !

Comment le savoir et prévoir,

Quand remis plus tard.

Comment réveiller, l’étincelle,

Jaillie en plein œil,

Comment séduire jouvencelle,

Face à un tel écueil.

.

Amour, sans retour, ritournelle,

Est cancer qui hante,

À conquérir,  cocci ….. coccinelle,

Refusant être amante.

Des fois, l’aventure, mal  engagée,

Finit pourtant en beauté,

Il suffit que chacun mette du sien,

Se fixe un but  commun.

.

Qui, ma sauvage …..  sauvageonne,

Cherches-tu à tromper :

Je crois que, c’est toi, en personne,

L’amour t’aura snobé !

Il est tapi sous un cœur en cendre,

Pour la nouvelle année

Et, elle refera surface en décembre

Pour peu tu l’aies espéré.

.

Une bien brève mais forte étincelle

Suffit à allumer le feu,

À métamorphoser une vraie rebelle

En papillon des cieux.

Car c’est le plus cher de mes vœux

Avec toi, être heureux,

Mais pour cela, il faut être deux,

Et se sentir amoureux.

.

.

Extension

 .

Inclassable

Indomptable,

Et pourtant docile,

Et lascive, par moment,

Quand elle prend l’initiative

Ou  la suggère, délicieusement,

L’important étant : que ce soit elle

Qui décide lâcher prise complétement :

.

Les deux extrêmes en quelque sorte !

Voilà qui caractérise  la sauvage,

Sauvageonne qui fait pourtant

Tout ce qui est en son pouvoir

Pour  échapper  à  tel  genre,

Néfaste  en  elle,  catégorisé.

.

Il faut dire qu’on s’y attache,

Et que le mérite vous revient

De la dompter et l’on en voit

En films d’aventures, cliché.

.

Aventurière, flamboyante, romantique,

Sauvageonne n’en reste pas moins une,

Qui, de sa liberté, aura fait son combat

En acceptant qu’on t’approche ou pas

Oui mais voilà quand on s’y attache

On perd les siennes et à tout va !

Il n’y a pas de demi-mesures

Avec toi : tout est entier.

.

Sauvage n’est pas ici compris

Dans le sens grossier, mal élevé,

Mais dans le sens timide, réservé,

N’osant en aucun cas prendre parti.

.

Souvent, bouillonne une vie intérieure

Parce qu’étant curieuse de tout et chacun

Mais  elle ne transparaitra pas, à l’extérieur,

Juste pour te protéger de déception d’humains

.

Tu te perçois, à la fois vaillante et transparente :

Il suffirait d’un rien pour que ton sourire rayonne

Il suffirait peut-être qu’un jour quelqu’un te sonne

Mais je ne peux qu’espérer une amitié occurrente.

.

.

578 – Calligramme

      .

                                              Sauvage, sauvageonne, qualificatifs qui résonnent,

                                       Si approche n’est pas bonne te traitant de conne,

                               Loin de moi pensée bien que tu m’aies rejetée

                            Tu restes ma préférée pour, en bras, me jeter.

                      Je persiste à croire c’est que partie remise,

               Tu n’es conquise, soumise, à mes jeux !

         Mais comment provoquer l’étincelle

       Si, en toi, mon bois, ne brûle pas !

     Dois-je faire nouvelle ritournelle

     Pour attirer attention sur moi.

SAUVAGE

 Sauvage, sauvageonne,

Tu te reconnaitras,

Avant que tu m’abandonnes,

Amour te surprendra.

Indépendant, je le suis aussi,

Bien que pas indifférent,

Une chose enfin, j’ai compris,

Ne serai jamais ton amant.

SAUVAGEONNE,

Rejet massif, qu’en conclure :

Définitif, déconfiture !

Comment le savoir et prévoir,

Quand remis plus tard.

Comment réveiller, l’étincelle,

Jaillie en plein œil,

Comment séduire jouvencelle,

Face à un tel écueil.

.

Amour, sans retour, ritournelle,

Est cancer qui hante,

À conquérir,  cocci ….. coccinelle,

Refusant être amante.

Des fois, l’aventure, mal  engagée,

Finit pourtant en beauté,

Il suffit que chacun mette du sien,

Se fixe un but  commun.

TU TE RECONNAÎTRAS

Qui, ma sauvage …..  sauvageonne,

Cherches-tu à tromper :

Je crois que, c’est toi, en personne,

L’amour t’aura snobé !

Il est tapi sous un cœur en cendre,

Pour la nouvelle année

Et, elle refera surface en décembre

Pour peu tu l’aies espéré.

.

Une bien brève mais forte étincelle

Suffit à allumer le feu,

 À métamorphoser une vraie rebelle

En papillon des cieux.

Car c’est le plus cher de mes vœux

Avec toi, être heureux,

Mais pour cela, il faut être deux,

Et se sentir amoureux.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

578 4

.

Silhouette de femme, tête haute,

Et bien  penchée    vers  l’arrière,

Chevelure flottante  dans  le vent

En déesse, cherchant son dieu !

.

Belle femme,  tête en arrière,

Avec son visage levé vers le ciel :

Indifférente  à tout ce qui se passe

Déesse rêveuse cherchant son dieu !

 .

Symbolique 

 .

L’enjeu auquel font face les femmes

Désirant être, pleinement, femme

Est immense  tant il  demande  un

Investissement personnel d’ordre

Du don de soi avec une réflexion

Pour comprendre l’articulation

Entre dignité lui étant propre

Et   sa  relation   au   Monde.

.

La Woman Attitude cherche

À rassembler  les femmes qui

« Comprennent que  l’homme  est

Le résultat de ce qu’est la femme

Et elles en tirent une conscience de

Leurs  immenses  responsabilités » :

À chaque femme revient de s’épanouir,

Et de manière unique en tant que femme !

womanattitude.com/ca-veut-dire-quoi-etre-femme

.

.

Descriptif

.

578 – Sauvage, sauvageonne : te reconnaîtras

 Alignement central  /  Titre intercalé   /  Thème   femme

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme  /  Symbole de fond : déesse

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Belle femme,  tête en arrière,

Avec son visage levé vers le ciel :

Indifférente  à tout ce qui se passe :

Déesse rêveuse cherchant son dieu !

 .

Symbolique 

.

Une « déesse » hantait

L’esprit des chasseurs de la préhistoire.

Une déesse à la féminité marquée

Et dont la silhouette ou les traits caractéristiques

– Seins,   fesses,  pubis,  grands  yeux  – se retrouvent

Partout en Europe, peints ou gravés sur les parois

Des cavernes, sculptés sur la pierre, l’os ou le bois.

.

Des  milliers d’années  plus  tard,  elle  subjuguait

Les paysans du néolithique. Partout en Europe,

On la découvre  peinte  sur  des céramiques ou

Gravée  sur les objets  quotidiens et  pendant

Près de 25 000 ans, les premiers Européens

Auraient ainsi voué un culte à cette déesse,

Symbole de nature, source de vie faisant

Naître les enfants, pousser les plantes !

cairn.info/magazine-sciences-humaines-deesse

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

 Femme, sauvage, sauvageonne :

Une apparence que tu te donnes,

Tandis  qu’au fond  de ton cœur,

Il n’y a que de la bonne humeur

Mais comment la faire ressortir

Quand tu as peur  de t’engager !

.

Temps pour gagner ta confiance

Faudra  beaucoup, énormément,

Et une fois acquise, plus de limite

Il n’y aura que don et que pardon.

 .

.

Telle forteresse imprenable  

.

Scénario

.

Une sauvageonne, aventurière, envoûtante et jusqu’au plus profond.

Une sauvageonne, flamboyante avec ses cheveux qui flottent au vent.

Une sauvageonne, romantique, toute en timidité, voire en intériorité.

 .

Visuels et textuels  >> 

 

577 – Tu es là et tu n’es plus là : la faute au temps

Visuels et textuels  >>  

.

Être là, sans être là,

Est-ce une affaire en soi,

Tout comme  d’être  présent,

Bien qu’étant totalement absent.

.

C’est la faute au manque de temps,

Du programme bien trop chargé

Et voire encore au sentiment,

De s’être ailleurs engagé.

.

Lors quoi qu’il en

Fût,  qu’il en soit,

Rien ne va, n’ira.

.

Tu es là, tu n’es plus là,

Est-ce la faute au   temps,

La  faute  aux  sentiments

Tant, à peine  peu  partie,

Que,  déjà,  tu  m’oublies.

.

Lors quand  reviendras-tu

Lors me pardon-ne-ras-tu,

 De n’être et voire paraitre

Rien que ce  que   je   suis,

De ne faire que ce je puis.

.

Nos torts, et nos remords,

Sont autant bien partagés,

Nous nous sommes aimés.

.

Alors,  si   tu  n’es   plus   là :

C’est  que  tu es bien ailleurs

Penses-tu  seulement ou pas

À renouveler autre bonheur,

.

Qui, peut-être se morfondra

Pour un autre, voire  ailleurs

Ou parce que tu ne crois pas,

Que je suis, pour toi, meilleur

.

Tant le temps, les sentiments

S’ajoutent, parfois,  aux faits,

Dès lors ils ne se soustraient

Dans tous nos égarements.

.

Vrai  que tu es  bien là,

Mais sans être bien là,

Tu  ne m’échapperas,

Toujours m’aimeras.

.

.

Extension

 .

Ne pas être là physiquement

Et ne pas être là, mentalement,

N’ont rien de commun encore que

L’un n’empêche pas l’autre du simple

Fait que l’on pourrait  être  ailleurs

Et dans tous les sens du terme.

On invoque de nombreux prétextes

Pour ne pas être là et l’on en convoque

D’autres encore pour avoir l’air absent,

Préoccupé, fatigué… tout en étant là,

Absent en consultant son téléphone

Absent à table, au salon, au lit.

.

Absent quand on lit son journal

Ou livre lors on est en compagnie.

Absent si on se retire, en son bureau

Pour affaires, pour écrire ou téléphoner :

Occasions  ne  manquent  pas, mais, toutes

Ne sont pas valables s’il  n’y a pas d’urgence.

Le pire est  de ne pas être là, devant l’autre,

En tête à tête, au restaurant, voire ailleurs,

Alors qu’on devrait l’être à cent pour cent,

Présent ne serait que par simple respect

Élégance, attention, intérêt  à l’autre.

.

Tu es là puis tu n’es pas là,

Tu es de face et tu es de dos

Est-ce  de la musique  en  do

En sol, ou en fa, en si,  en la !

Tu es là sans y être vraiment,

Et je ne sais si tu es content

De me voir comme amant.

Mais je persiste  à le croire,

Qui plus est, demande à voir

S’il me reste au moins l’espoir

Un jour ou l’autre, nous revoir.

.

La présence de quelqu’un, quelqu’une

Devant soi, au restaurant, en tête à tête,

Suffit-elle pour déclencher  une continuité

En soi si autre est parti on ne sait où, évaporé

.

La plupart du temps, l’autre n’est pas là, faute au

Temps, occupation ailleurs, professionnelle ou non

C’est la loi du gendre dans un couple avec enfants

Et plus encore dans un couple caché  d’amants.

Dieu merci l’absence physique peut être

Compensée, réduite par présence télé

Encore faut-il  qu’autre y souscrive,

Encore faut-il qu’elle ait du temps.

.

.

Épilogue

.

Présence/ absence … c’est binaire,

Présence/ absence,  c’est contraire,

Présence/ absence,   c’est ordinaire.

***

Mais présent tout en étant …  absent :

Voilà qui dépasse notre entendement :

Être là sans être là, est bel étonnement.

***

Qui ne préférerait  une situation  inversée :

Être absent physiquement mais, par pensée,

En tous temps, lieux, toujours, communiquer.

***

Souvent  ce sera, de temps, une simple question :

Absent en la journée  pour satisfaire sa profession,

Mais là dans la soirée et plus encore en permission.

***

Le pire ne serait-il pas d’être ailleurs, faisant l’amour,

Un ailleurs pour penser, pour substituer quel qu’autre

D’aucuns considéreront cela comme divorce cérébral.

***

Lors, au final, que peut bien vouloir dire : d’être là,

Être là au leu d’ailleurs, quand le cœur n’y est pas

Ou être là, tous ses sens, pensée, âme à l’écoute.

.

.

577 – Calligramme

.

Être là, sans être là,

Est-ce une affaire   en soi,

Comme   ô  d’être  ô   présent,

Bien qu’étant to  // talement absent.

C’est la faute au  //  manque de temps,

Programme  //     bien trop chargé

Ou encore === au sentiment,

De s’être ailleurs engagé.

Lors quoi qu’il en

 Fût,  qu’il en soit,

Rien ne va, n’ira.

.

Tu es là, tu          T     n’es plus là,

Est-ce la faute      U       au   temps,

La  faute  aux        *        sentiments

Tant, à peine          E        peu  partie,

Que déjà  tu            S         m’ou-bli-es,

Lors   quand           *        reviendras-tu

Lors me par            L       don-ne-ras-tu,

À

De n’être ou            *         voire  paraitre

Rien que ce            P          que   je    suis,

De  ne  faire           L          que ce je puis.

Nos torts, et          U            nos remords,

Sont d’autant        S         bien partagés,

Que nous nous      *      sommes aimés.

L

Alors,  si   tu           À      n’es   plus    là :

C’est  que  tu            *      es bien ailleurs

Penses-tu  seu         F       lement  ou  pas

À re-nou-ve-ler        A       autre  bonheur

Qui,  peut-être         U        se  morfondra

Pour un autre          T        voire  ailleurs

Ou parce que          E        ne crois pas,

Que suis, pour       *        toi, meilleur

   *

Tant le temps,     A   les sentiments

S’ajoutent, par   U  fois, aux faits,

Dès lors ils ne    *  se soustraient

Dans tous nos  T     égarements.

Vrai  que tu      E     es  bien là,

Sans être          M         bien là,

Tu ne m’échap P           peras,

Toujours m’ai  S         meras.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation  

.

577 4

.

Une quenouille ou  navette,

Un trophée sportif, culturel,

Une tête fine et un corps fin, 

 Silhouette de femme de dos ?

.

Femme vue de dos est comme absente,

du moins en partie et bien que présente

l’on ne sait trop si on peut lui parler,

la forme correspond alors au fond.

.

Femme de dos, tournée,

C’est comme si elle n’existe pas :

Du moins, pour l’autre et voire pour

Les autres, préoccupée par elle-même. 

.

Symbolique 

 .

Ce qui se passe dans notre dos

Ne nous est pas visible, côté du corps

Tourné vers le non-visible ou l’inconscient,

Ce qui échappe à notre conscience habituelle.

Ce qui se passe derrière notre dos représente

Donc ce que  nous ignorons  de nous-mêmes,

Notre ombre. Tourner le dos à un problème,

C’est refuser de le voir. Un autre aspect du

Symbolisme du dos  est celui qui associe

L’arrière au passé et l’avant à l’avenir.

Modifié, source : lemondeduyoga.org

.

Descriptif

.

575 – Si la vie n’est qu’un jeu : l’amour aussi

 Alignement central  /    Titre droit    /    Thème   femme

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : dos  /  Symbole de fond : préoccupée

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

577 6

.

Femme de dos  …  tournée,

C’est comme si elle n’existe pas :

Du moins, pour l’autre et voire pour

Les autres, préoccupée par elle-même. 

.

Symbolique 

.

Souci vif et constant qui absorbe

L’esprit au point de le détourner

D’autres objets :

Mon fils est pour moi un sujet

De graves préoccupations.

.

Synonymes : angoisse – anxiété –

Inquiétude – tourment – tracas.

.

Contraire : indifférence

Idée, pensée, projet dominants :

La lutte contre le chômage est

Une des préoccupations

Du gouvernement.

larousse.fr/dictionnaires/

francais/préoccupation

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’absence de quelqu’un, quelqu’une,

Peut se traduire par plusieurs façons,

Totalement absent de corps et d’esprit,

Absent de corps mais moins d’esprit,

Présent de corps  mais pas d’esprit,

Présent de corps,  présent d’esprit.

Lors je crois que là, tout serait dit

Il se peut : transmission pensées,

Échappe à toutes ces catégories.

 .

.

Être ailleurs, nulle part, très loin

.

Scénario

.

Quand je t’appelle au téléphone « y a jamais person qui répond»,

« T’es pas là, t’es où » : je le répète en boucle, boucle, jusqu’à l’infini,

Tu n’es pas là pour moi café crème : t’exagères un peu quand même !

.

Visuels et textuels  >>  

575 – Si la vie n’est qu’un jeu, l’amour l’est aussi

Visuels et textuels  >>  

.

Ma vie  en jeu

Ma vie  enjeu,

Amour  en feu,

Ou feu d’amour,

Sont jeux de mots

D’ici et de toujours,

Lors, leurs déceptions

Se produisent tout jour.

.

Nombre jeux amours sont

Comme des jeux financiers,

Qu’ils soient permis  ou non,

Ils ne devront pas être révélés,

Ou amèneront des  sanctions :

Amour du jeu,   jeux d’amour,

Sont faces de même monnaie.

.

Tantôt on gagne, tantôt on perd,

Tout endroit aurait son revers,

Tricher devient parfois règle

Pour tout esprit espiègle

Dès que manipulations

Remplacent passions.

.

Si vie n’est que jeu

Alors amour l’est aussi.

Si la vie n’est qu’un jeu,

Mots, images, impressions,

Ne le  sont pas  moins, pardi.

.

Sous cet angle rien ne sera vrai

Et pour autant rien ne sera faux.

Pour y croire, on  fait  comme  ci,

Et pour le faire, on fait comme  ça.

Dire : voulez-vous  jouer   avec moi,

Suppose que l’on ait intérêt commun.

.

Lors dire voulez-vous jouer pour moi,

Indique que son profit, pour son bien.

Si l’on croit  que la vie  n’est qu’un jeu,

L’on pourra donc faire ce que l’on veut,

Tout en restant poli, voire même policé

Si règles communes ne sont pas pipées.

.

Ou sinon pourquoi ne pas tirer les dés,

Hasard et chance peuvent vous aider

Que vous gagniez  que vous perdiez,

Comme bon jeu  doit  s’équilibrer.

Et si vous voulez jouer avec moi,

Pensez la même chose que moi.

.

Mes jeux sont variés et divers

Vous mettent tête à l’envers

À l’envers, c’est pervers,

L’on triche,  à revers

Lors à l’endroit,

C’est  droit.

.

.

Extension

 .

Que l’amour soit un jeu,

Tout le monde en convient

Parfois il ne l’est plus quand

Il engage sa vie entière à moins

Que la vie soit aussi qu’un jeu.

.

Alors  autant  jeter les deux,

Pour  choisir   un    fiancé,

On aura gagné  du temps,

De l’énergie, de l’émotion.

.

Entre le «je»  et  le «jeu»,

Il n’y a que la voyelle «u»

Qui vient  s’ajouter  ou se

Retrancher  et  à volonté.

.

Tirer  les  dés, au hasard,

N’est pas assumer le choix

Être responsable de l’échec

Pas plus  que  de  sa réussite,

.

C’est être le valet du roi destin

Lors le libre-arbitre serait l’une

Des seules choses plus bénéfiques

Que Dieu nous aura laissé sur Terre.

.

Tout n’est que jeu, dans la vie, y compris l’amour :

Jeu de séduction, de consommation de procréation

Il y a un auteur, qui en a fait sa théorie, un roman,

Intitulé : L’Homme-dé, transformant son existence

En un immense jeu du hasard pour toute décision.

babelio.com/livres/Rhinehart-LHomme-de/2985

 

La vie n’est que jeu quand on se fait

Tirer les cartes au jeu de sa destinée,

Le sexe reste un jeu pratiqué par ceux

Ne cherchant qu’à se donner du plaisir,

La passion est un jeu pour qui la partage

L’amour devient jeu quand il est contrôlé !

 

Des jeux autorisés avec son conjoint, marié,

Des jeux interdits avec quel qu’amant caché,

Des jeux alternatifs avec différentes sexualités

Des jeux inventifs sinon pervers, obsessionnels,

Autant de jeux qui pimenteront bien, toute vie,

Chacun de savoir à quel prix, gagnant, perdant.

.

.

Épilogue

.

Si la vie n’est qu’un jeu !

Ça s’entend, se comprend

Et tout le reste en dépend,

L’amour aussi surprenant.

 

***

 

Et si la vie  n’est  qu’un jeu :

De jouer  avec,  c’est tentant,

Pourquoi pas,  se  hasardant,

N’importe qui comme amant.

***

Séducteur patenté …  Don Juan

Ne s’en prive systématiquement,

À peine conquise, l’abandonnant,

Pour autre proie prise et content !

***

On peut jouer  à tout,  gratuitement,

En la vie : argent, succès,  aventurant,

Il y a un prix  pour un noble sentiment,

L’amour ne repasse pas les plats : néant.

***

Au jeu de l’amour et du hasard,  cependant,

Un tirage au sort ne vous rendra pas gagnant

Dix, cent mille rencontres mais un seul amant,

Qui dure, dure et dure encore, et tout le temps !

.

.

575 – Calligramme

 .

Ma vie  en jeu

Ma vie  enjeu,

Amour  en feu,

Ou feu d’amour,

Sont jeux   de mots

D’ici et de  S  toujours,

Lors, leurs    I  déceptions

Se produi       *      sent jour.

Nombre jeux    L    amours sont

Comme jeux        A           financiers

Qu’ils soient            *           permis/non

Ils ne devront            V            être   révélés,

Ou amèneront           I           des sanctions.

Amour du jeu           E          jeux d’amour,

Sont des faces         *          de monnaie.

Tantôt on gagne   N   tantôt on perd.

Tout endroit       ‘    a son revers,

Tricher   de      E   vient la règle

Pour tout es   S  prit espiègle

Dès que ma  T   nipulations

Remplacent *      passions.

******************

Si vie n’est que jeu

Alors amour l’est aussi.

Si la vie n’est Q    qu’un jeu,

Mots, images,   U   impressions,

Ne le sont pas       ‘      moins, pardi.

Sous cet angle        U   rien ne sera vrai

Et pour autant           N     rien ne sera faux.

Pour y croire                 *        on fait comme ci,

Et pour le faire                 J          on fait comme ça.

Dire : voulez-vous               E                jouer   avec moi,

Suppose que l’on ait             U                 intérêt commun.

Lors dire voulez-vous              :                      jouer pour moi,

Indique que son profit             L                        pour son bien.

Si l’on croit que la vie               ‘                       n’est qu’un jeu,

L’on pourra donc faire            A                     ce que l’on veut,

Et tout en restant poli           M               voire même policé

Si règles communes             O             ne sont pas pipées.

Ou sinon pourquoi             U           ne pas tirer les dés,

 Hasard et chance             R          peuvent vous aider

Que vous gagniez           *          que vous perdiez,

Comme bon jeu            A         doit s’équilibrer.

Et si vous voulez        U         jouer avec moi,

Pensez la même       S        chose que moi.

Mes jeux sont       S    variés et divers

Vous mettent   I  tête à l’envers

À l’envers,     c’est pervers,

L’on triche,  à revers

Lors à l’endroit,

C’est  droit.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

575 4

.

Un pion pour jeux,

Une  pointe  de lance

Ou  une boucle d’oreille

Pierre d’ambre, collier 

.

Un pendentif, portant belle pierre

que celui-ci soit fait d’ambre ou non

n’influencerait guère les jeux du sexe

aussi la forme se différencie du fond !

.

Un bijou, un  pendentif,

 Pierre d’ambre très colorée

Et cela  fait chaud  sur le cœur,

Et au cœur sauf si ce n’est que jeu.

 .

Symbolique

 .

Pour chaque pierre,

Une indication est donnée

Selon ses vertus appréhendées

En lithothérapie :

.

Pierre du thérapeute,

Pierre du lâcher-prise,

Pierre efficace contre l’inflammation,

Ou contre les troubles de la ménopause,

Les affections des voies respiratoires, etc.

.

Selon sa  sensibilité, on  pourra  choisir

Une pierre, pour le sens qu’elle porte,

Pour sa beauté tout simplement.

blog.sevellia.com/les-pendentifs-

un-ornement-esthetique

.

Descriptif

.

575 – Si la vie n’est qu’un jeu : l’amour aussi

 Alignement central     /      Titre droit       /      Thème  vie

Forme en ovale / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : pierre    /    Symbole de fond : jeu

.

.

Fond

.

Évocation 

.

575 6

.

Un bijou, un  pendentif,

 Pierre d’ambre très colorée

Et cela fait chaud sur le cœur,

Et au cœur sauf si ce n’est que jeu.

 .

Symbolique 

.

Les premiers jeux d’imitation de l’enfant

L’aident à se différencier de « l’autre »

Et l’amènent progressivement à dire « je ».

Entre 3 et 4 ans, il commence à inventer

Des histoires et des règles de jeu.

.

Vers 4 ans, il joue spontanément

Avec un ou deux pairs et prend conscience

Qu’il peut avoir des sentiments, des intentions

Ou des points de vue différents du sien.

.

Les interactions langagières se développent.

Entre 4 et 5 ans, l’enfant devient capable

D’inventer des scénarios complexes

Qui se rapprochent de la réalité.

Il prend plaisir à se déguiser

Ou à faire jouer des personnages

Symboliques, miniatures, marionnettes.

.

Après 5 ans, les scénarios se complexifient,

L’enfant peut changer de rôles

Et invente des histoires.

eduscol.education.fr/document/13534text/jeu

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Les pierres  que l’on porterait au cou

Ont-ils une répercussion sur l’amour

Ou, pour le moins, nos jeux du sexe,

Ou voire favoriseraient séduction.

Pour passer du jeu à la séduction

Il n’y a qu’un pas, pour passion,

Deux, et l’amour plus que trois,

Si la vie est jeu, l’amour aussi,

Juste question de jeu de rôles.

 .

.

Fin d’une histoire d’amour

.

Scénario

.

Un jeu  de tireuse cartes pour bonimenteur, pour bonne aventure ;

ou jeu d’échec où deux chevaux s’affrontent, se montent l’un l’autre ;

ou un jeu d’assemblage de lettres, tirées aux dés pour former un mot.

 .

Visuels et textuels  >>