1186 – La mort d’un enfant et d’un sénescent !

Voir ce poème en prose

.

La valeur n’attend pas le nombre

 Des années, dixit le Cid de Corneille.

 La mort non plus, hélas… trop pressée :

La mort d’enfant prometteur est malheur.

.

Cela dit,  celle d’un sénescent,  l’est  autant,

Bien que, d’une toute autre manière,  vivant,

Jusque-là nombre de projets réels passionnant

Et dont le fruit sera légué  aux enfants, suivants.

.

Enfant n’aura même pas connu  d’état amoureux,

Dont on dit qu’il est le summum de ferment de vie,

Lors sénescent aura épuisé  tous ses arcanes, fruits :

Espérant que leur éternité en aura d’aussi savoureux.

.

Qu’y a-t-il de différent

Entre mort d’un enfant

Et celle d’un sénescent :

Age, intervalle de temps.

Avoir connu feu d’amour,

Jaillissements, évanescents,

Avoir vécu. .. Au fil des jours,

Épuisement, corps vieillissant.

.

L’enfant ne connaît pas son sort,

Vieillard ne se sait pas déjà mort,

Enfant, la question  ne se pose pas,

Vieux, elle  ne se pose plus : trépas !

Entre les deux, mort  fait  problème :

On la résout, on  l’ignore, on  l’esquive,

On vit, serein,  ou bien, sur le qui-vive :

On devient cartésien ou bien… bohème !

.

L’enfant n’aura vécu qu’amour de parent

L’enfant n’aura pas fait d’accouplements,

L’enfant n’a pas, encore, ses  descendants,

L’enfant, à l’emprise du temps, ferait face.

Lors le vieux aura épuisé tous ses  talents.

Mais il s’en moque, désormais … mourant

Il s’en ira, seul le jour de son enterrement.

Promesses,  contributions,  monde en face,

Les vieux retournent dans l’enfance, dit-on,

Ils ne la retrouveront  jamais, mais, sur fond

Des premiers souvenirs, tourneront, en rond !

.

Le vieux est comme enfant qui meurt en terre,

Vieux se remémore ce qu’il a fait, jeune, guerre,

Alors qu’enfant imagine… Ce qu’il aurait pu faire,

Victime d’injustices, de manque de temps et d’aire.

Quoiqu’il en soit, mieux vaut mourir vieux que jeune,

Quoique certains préfèrent vivre intensément, brûlant,

Plutôt qu’en s’économisant pour durer… plus longtemps.

Autres : pas de conjoints, ni d’enfants, fonctionnaire étant,

Tant qu’ils ont la santé, le reste, ils s’en contentent : vivants !

.

Différence enfant/vieux est dans la tête plus que dans le temps.

 .

.

Extension

  .

La mort d’un enfant représente le drame absolu,

C’est la vie d’un petit être qui n’a pas encore vécu,

Il n’était que promesses et il est devenu détresses :

Comment peut-on s’en remettre, même avec messe.

La mort d’un vieillard est toujours une perte à subir,

Mais c’est parfois de lui-même qu’il demande à partir

De la vie, il en aura tiré toute sa substantifique moelle,

La mort devient délivrance, pour son corps, en rouelle :

L’un n’aura pas encore vécu, autre dira avoir trop vécu.

.

Celui-ci nait et celui-là n’est plus :

Grande différence, l’on ne peut plus,

N’ont pas même destinée, au surplus,

Quoique qu’il en soit, ne vous déplusse.

Voilà bien qui serait joué sur les mots,

Alors qu’il ne s’agit des mêmes maux,

Regretter un vieillard, on a tout faux

Lors pleurer un enfant, il nous faut.

Un enfant n’aurait que peu vécu,

On pourrait dire : pas souvenir.

Vieillard, trop, n’en peut plus :

Il est temps pour lui de finir.

.

.

1186 – Calligramme

 .

LA   MORT   D’UN   ENFANT

La valeur  n’attend pas  le nombre

 Des années, dixit le Cid de Corneille.

 La mort non plus, hélas… trop pressée :

La mort d’enfant prometteur est malheur

Cela dit,  celle d’un sénescent,  l’est  autant,

Bien que, d’une toute autre manière,  vivant,

Jusque-là nombre de projets réels passionnant

Et dont le fruit sera légué  aux enfants, suivants.

Enfant n’aura même pas connu  d’état amoureux,

Dont on dit qu’il est le summum de ferment de vie,

Lors sénescent aura épuisé  tous ses arcanes, fruits :

Espérant que leur éternité en aura d’aussi savoureux.

N’EST    PAS   CELLE   D’UN    SÉNESCENT !  

.

Qu’y a-t-il de différent

Entre mort d’un enfant

Et celle d’un sénescent :

Age, intervalle de temps.

Avoir connu feu d’amour,

Jaillissements, évanescents,

Avoir vécu. .. Au fil des jours,

Épuisement, corps vieillissant.

L’enfant ne connaît pas son sort,

Vieillard ne se sait pas déjà mort,

Enfant, la question  ne se pose pas,

Vieux, elle  ne se pose plus : trépas !

Entre les deux, mort  fait  problème :

On la résout, on  l’ignore, on  l’esquive,

On vit, serein,  ou bien, sur le qui-vive :

On devient cartésien ou bien… bohème !

L’enfant n’aura vécu qu’amour de parent

L’enfant n’aura pas fait d’accouplements,

L’enfant n’a pas, encore, ses  descendants,

L’enfant, à l’emprise du temps, ferait face.

Lors le vieux aura épuisé tous ses  talents.

Mais il s’en moque, désormais … mourant

Il s’en ira, seul le jour de son enterrement.

Promesses,  contributions,  monde en face,

Les vieux retournent dans l’enfance, dit-on,

Ils ne la retrouveront  jamais, mais, sur fond

Des premiers souvenirs, tourneront, en rond !

Le vieux est comme enfant qui meurt en terre,

Vieux se remémore ce qu’il a fait, jeune, guerre,

Alors qu’enfant imagine… Ce qu’il aurait pu faire,

Victime d’injustices, de manque de temps et d’aire.

Quoiqu’il en soit, mieux vaut mourir vieux que jeune,

Quoique certains préfèrent vivre intensément, brûlant,

Plutôt qu’en s’économisant pour durer… plus longtemps.

Autres : pas de conjoints, ni d’enfants, fonctionnaire étant,

Tant qu’ils ont la santé, le reste, ils s’en contentent : vivants !

Différence enfant/vieux est dans la tête plus que dans le temps.

 .

.

Forme

 .

 Réduction

.

.

Évocation

.

1186 4

.

Une petite cloche

 Et sinon voire même

 Une grande cloche, 

Pour un paradis ?

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici de forme)

.

Cloche, pour autant rien ne cloche

chacun a son propre son de cloche,

de mon trou entend son écho de fond

ce qui fait que forme sonne bien fond.

.

À  la naissance d’un enfant,

La cloche sonne à toute volée :

Mais à la mort  d’un sénescent,

La cloche résonne, en tocsinnée !

.

Symbolique

 .

La cloche est

Un symbole religieux

Qui occupe une fonction

Importante en christianisme.

Les cloches des églises accompagnent

Toujours les rites chrétiens, que ce

Soit  pour  les  fêtes  patronales,

Baptême, mariage, funérailles.

Elle rassemblera  tout  peuple.

Et en ce sens,  elle symbolisera

La communication  et   l’appel.

1001symboles.net/symbole/sens-de-cloche

.

Fond

.

Évocation

.

1186 6

.

À  la naissance d’un enfant,

La cloche sonne à toute volée

Mais  à la mort  d’un sénescent,

La cloche résonne, en tocsinnée !

 .

Symbolique

 .

Une cloche

Est un objet simple

Destiné à l’émission d’un son.

Sa forme est un tambour ouvert

Et évidé d’une seule pièce qui résonne

Après avoir été frappé. Partie frappante

Le corps de la cloche est, soit un battant,

Sorte de langue suspendue en la cloche,

Soit une petite sphère libre comprise

Dans le corps de la cloche, soit un

Maillet ou un battant (tronc bois

Suspendu par cordes) et séparé

 Frappant cloche de l’extérieur.

Modifié, Wikipédia

 .

.

Corrélation

Fond/forme

 .

La mort de son enfant, comme chacun le sent,

Est pour la mère le pire des drames advenant.

Aucune cloche, ni aucun glas, ne sonnera tant

Qu’il couvrira les cris, les pleurs, des parents

Tandis qu’un vieillard dépressif, s’en allant,

On dirait presque que l’on en est «content»

Pourtant les liens ont eu à peine le temps

De se tisser pour enfant alors que pour

Sénescent, longue histoire racontant.

Il n’y aurait pas de justice, sur terre

Rien que des destins… différents !

Et dieu dans tout cela, où est-il :

On dit n’y est pour rien, facile.

 .

.

Sculpture : mort de son enfant

.

Scénario

 .

La mort de son enfant : y a-t-il une chose d’autre plus dramatique ?

La mort d’un arrière-grand-père : y-a-t-il une chose plus naturelle ?

Mort personnifiée est cynique : y a-t-il un mythe aussi destructeur ?

.

Voir ce poème en prose

784 – Je n’ai de richesses que toi, enfants, amis

Visuels et textuels  >>

.

Je n’ai richesses que toi,

Avec enfants, amis, parents !

Vrai, cela s’emble  aller  de  soi

Mais, parfois, notre  nature  ment.

Car sans une famille, vrai qu’on erre.

.

Et  alors, en société, que devient-on :

Une vieille fille   ou   un vieux garçon

Si  ce n’est de statut … de caractère !

L’État lors en plein risque de guerre

Protège, sauve, garantit sanctuaire

L’homme, lui,  en  crise,  misère,

N’a que sa famille en repère.

.

Je peux me passer de tout,

Je ne peux me passer de vous,

Sans ce lien,  je deviendrais mou,

Le sens de ma vie  me paraitrait fou.

.

Pourtant ma vie se déroule sans heurts,

Chaque mois, chaque jour et chaque heure,

Sont marqués par cette pensée d’être entouré,

Par êtres exceptionnels  et, toujours, familiers.

.

Parfois, je ne suis pas facile à vivre, ni à gérer,

Parfois ce sont eux qui le sont et pas à moitié,

Dans l’ensemble, cahin-caha, bon an, mal an,

Ma famille en vaut d’autres : je l’aime tant.

.

Car en ces temps de crise et de chômage,

Compter sur sa communauté, partage,

Devient la seule assurance sans nuage,

Qu’on pourra souscrire pour son image.

.

L’argent et le temps, ne sont pas tout,

Pour qu’homme, femme, restent debout

Il faut un noyau pur,  il faut un noyau dur,

Que l’on soit jeune ou bien vieux ; bien mûr,

Je n’ai de richesse que toi, mes enfants, amis.

.

Je  reste  ouvert à  l’autre  qui  m’aurait dit

Que nous pouvons tous vivre en solidaires

Sans être ennemi  de personne sur Terre

Peut-être que je    crie   en plein désert

Et réveillez-moi si je vis en un enfer.

.

Si ma poésie fait l’effet d’un désert

Roi de la planète est argent Lucifer

Je n’ai guère envie de me réveiller moi

Pour compter les coups dans cette guerre

.

Que feront les puissants,  par devers moi,

Disparaissant comme moi de cette Terre,

Tant pour finir, de tout ce que je préfère

C’est l’amour des miens non des biens

Perdre ma petite fortune, n’est rien,

Alors que ma famille : mortifère.

.

.

Extensions

.

Demandez, donc, à tout pauvre

La seule richesse qu’il lui reste

Et  ce dernier  vous répondra,

Sans  la  moindre  hésitation :

.

Ma femme,  avec mes enfants,

En second lieu : famille  élargie,

Et en troisième, ma communauté.

.

Il ne vous parlera guère de son argent,

De projet d’acquisition, de fortune, non :

Que de relations les plus proches, intimes !

.

Le premier cercle est le couple, surtout s’ils sont parent ;

Le second, c’est eux avec un, ou deux, ou plusieurs enfants ;

Le troisième cercle est le restant de la famille et qui s’entend ;

Le quatrième est celui des amis que l’on fréquente très souvent :

Ces quatre cercles concentriques seront mon réseau de sympathies.

.

Il n’y aurait de richesse que

 La famille et le réseau d’amis,

Mais, vraiment là, tu délires,

Que fais-tu d’argent, société !

.

Qu’est-ce que l’argent : moyen,

Qu’est-ce que la société : une fin

Pour, progresser, tous, ensemble,

Vers paradis, qui nous ressemble !

.

Richesses et beautés seront plusieurs,

Elle peut être extérieure ou intérieure :

Extérieure,  c’est de la poudre aux yeux,

Intérieure,  c’est pour être plus heureux !

.

Quels que soient notre statut, nos moyens,

Nous avons tous au moins ce bien commun,

Que de faire partie d’une famille, d’un réseau

D’amis qui peut s’étendre en cercles nouveaux.

.

.

784 – Calligramme  

 .

Je n’ai richesses que toi,

Avec enfants, amis, parents !

 Vrai, cela s’emble   J  aller  de  soi

Mais, parfois, notre  E  nature ment.

Car sans une famille   *          l’on erre !

Et alors, en société,   N que devient-on :

Une vieille fille   ou     ‘   un vieux garçon

Si ce n’est de statut   A       de caractère !

L’État, lors en plein    risque de guerre

Protège, et sauve  * garantit sanctuaire

L’homme, lui,  en   D  crise,  misère,

N’a que sa famille E       en repère.

.

Je peux me passer de tout,

Je ne peux me passer de vous,

Sans ce lien,  je deviendrais mou,

Le sens de ma vie  me paraitrait fou.

R

  Pourtant ma vie se    I   déroule sans heurts,

   Chaque mois, chaque  C   jour et chaque heure,

        Sont marqués par cette    H    pensée d’être entouré,

        Par êtres exceptionnels       E     et toujours familiers.

       Parfois, je ne suis pas facile    S     à vivre, ni à gérer,

     Parfois ce sont eux qui le sont   S    et pas à moitié,

    Dans l’ensemble, cahin-caha, bon  E    an mal an,

  Ma famille en vaut d’autres : je l’aime  S    tant.

Car en ces temps de crise et de chômage,

Compter sur sa communauté, partage,

Devient la seule assurance sans nuage,

Qu’on pourra souscrire pour son image.

 Q

L’argent, le temps       U         ne sont pas tout

  Pour que l’homme       E    femme, reste debout

     Il faut un noyau pur      :        il faut un noyau dur

      Que l’on soit jeune ou    T  bien vieux ou bien mûr

         Je n’ai, de richesse que O      toi, mes enfants, amis

      

            Je reste ouvert à  l’        *           autre qui m’aura dit

                Que nous pouvons        E          tous vivre en solidaires

                   Sans être ennemi         N             de personne sur Terre

                    Peut-être que je            F                 crie   en plein désert

                   Et réveillez-moi,           A                si je vis en un enfer

                Si ma poésie fait          N               l’effet d’un désert

              Roi de la planète          T           est argent Lucifer

              Je n’ai guère envie de    S          me réveiller moi

                Pour compter les coups  *        dans cette guerre

                    *

         Que font les puissants A   par devers moi,

                  Disparaissant com    M    me moi, en la terre.

                   Tant pour finir, de   I   tout ce que je préfère

                   C’est l’amour des   S   miens non des biens

                   Perdre ma petite *    fortune, n’est rien,

            Alors que ma famille : mortifère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

.

Silhouette d’une jeune femme,

Enceinte  de  quelques  mois 

Présence enfant restera floue

Tant on ne la voit entièrement.

.

Enceinte et enfant vont bien avec richesse

non pas du tout d’argent mais d’humanité

on ne peut quantifier le prix perte d’enfant

tant et si bien que la forme enfante le fond

.

Enceinte, enfant est une richesse avec 

Famille, amis, autres :

Le Monde autour de soi peut s’écrouler,

Restera toujours ça !

.

Symbolique 

.

Pour  certains,    la  grossesse

   Rend  la femme  resplendissante.

      Mais,  à l’inverse, d’autres  auraient

        Comme un mouvement réflexe de recul

           En face du ventre d’une femme enceinte.

.

         Cette  oscillation : fascination,  répulsion,

       N’a rien  d’étonnant  mais  tout le monde

       Trouve  rigolo, de voir  ventre  de femme

     Qui se déforme  quand le bébé bougeait.

.

   Ou encore à beaucoup de personnes de

  Regarder avec un sourire bienveillant

  Femmes enceintes, croisées en la rue.

Modifié, source :  lexpress.fr/styles/enfant/

pourquoi-le-ventre-des-femmes-enceintes

.

Descriptif

.

784 – N’ai de richesses que : toi, enfants, amis  

  Alignement central   / Titre  serpente   /  Thème  famille

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enceinte / Symbole de fond : enfant

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

784 6

.

Le Monde autour de soi peut s’écrouler,

Restera toujours ça :

Enceinte, enfant est une richesse avec 

Famille, amis, autres.

.

Symbolique 

.

Que l’on se voit bébé,

Père ou mère d’un enfant,

Ou bien encore en train d’assister,

Voire vivre soi-même accouchement,

Rêver de bébé est un rêve très fréquent

Plus souvent chez rêveuses que rêveurs.

La maternité a  à voir  avec la grossesse

Et beaucoup, aussi, le corps des femmes.

Ce rêve est-il, pour autant, à interpréter

Comme un désir d’enfant, parentalité ?

Cela est lié à «l’instinct de maternité»,

Parfois très contesté ? Oui, mais

Pas seulement.

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Enceinte veut-il dire quelque chose

        De clos ou de fermé  ou d’inaccessible,

           Mais, pour couple  de parents, ce sera,

              La première merveille du désir d’un soi

                  Qui se renouvelle pour une vie plus rose.

                  Voilà des rondeurs  qui ne font pas peur,

               Même à l’ainé, que ce soit frère ou sœur

          Voulant toucher, sentir coups de pieds

       Avant de l’adopter, une fois  accouché.

   Tant la plus grande richesse, au Monde,

  C’est nous, mère féconde qui la concevons.

    Aucun diamant le plus pur ou le plus cher,

        Ne pourrait remplacer trésor qu’est enfant.

 .

.

Groupe des enfants et amis

.

Scénario

.

je suis riche de toi

avec le plus de nos enfants

avec le plus de mon groupe d’amis.

 .

Visuels et textuels  >>

781 – Parents et enfants : nature d’attachements

Visuels et textuels >>

.

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants.

.

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

.

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

.

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose,

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

.

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

.

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

  .

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

.

Extensions

 .

Enfants s’attachent aux parents

Qui les aiment naturellement

Et ils en sont dépendants

Jusqu’à autonomie complète.

.

C’est à travers les petits enfants

Que les liens se renouent s’ils auront

Été distendus pendant un bon moment.

Les  parents  tiennent  à leurs  enfants

Comme  à la  prunelle de  leurs  yeux.

.

Perdre un est malheur les rendant

Inconsolable alors qu’enfants

Savent que les parents

Mourront avant eux.

Ça n’empêche pas de garder

Le souvenir de ce qu’ils ont été.

.

Quand les parents affichent une

Préférence pour un enfant, ça finit

Par poser problèmes de jalousie en la fratrie :

« T’as toujours été le chouchou, t’as toujours tout eu

Et nous rien, le minimum et te faire hériter de tout ».

.

L’attachement de l’enfant aux parents est de nature animale

L’inverse est accompagné de condition, pression, sociétales :

L’enfant n’a de responsabilité vis-à-vis de ses propres parents

Les parents ont des obligations, des devoirs … des injonctions

L’enfant est autant une transmission d’affection

Pas que génétique : je redonne ce que j’ai reçu !

C’est simple comme bonjour, ça marche toujours

Un jour ce sera peut-être le contraire : parents pris en charge

Par enfants pour accompagner, à leur tour, leurs vieux jours.

.

Intergénérationnel ne se limiterait pas

Famille, enfant, parents, grands-parents

Bon nombre de liens intergénérationnels

Ne sont d’ordre d’un attachement affectif

Mais plutôt : social, économique, culturel,

Par la solidarité et la transmission savoirs.

.

L’attachement est considéré en des cultures

Comme un droit, un devoir, une obligation :

On pense, naturellement, aux pays du Japon.

Le respect des aînés est une valeur très ancrée

 Dans la culture, dans le quotidien des Japonais,

Bien plus qu’en Occident … plus individualiste.

.

.

781 – Calligramme 

 .

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

PARENTS,

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

ENFANTS 

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose.

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

NATURE

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

ATTACHEMENTS  

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

781 4

.

Une pointe de quelque chose

Une cravate, probablement,

Une cravate certainement 

Cadeau de fêtes de pères.

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique

« Symbole d’autorité »,

Contrainte « ridicule ».

Pourquoi   la  cravate

N’est plus dans le coup.

Longtemps   considérée

Comme  un   accessoire

Indispensable dans  de

Nombreux       secteurs

Professionnels       afin

D’incarner  le  sérieux

 L’élégance, la cravate

Est,  de plus en plus,

Laissée au placard

Sauf, ringards.

« francetvinfo.fr/economie/tendances/

symbole-autorite-contrainte-ridicule

.

Descriptif

 .

781 – Parents, enfants : nature attachement 

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme droite   / Rimes égales  /    Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cravate / Symbole de fond : fête-pères

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

781 6

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique 

 

Début du xxe siècle, la première fête non religieuse voit le jour

États-Unis le 19 juin 1910, à l’initiative de Sonora Smart

Qui souhaitait qu’on rende hommage aux papas,

Au même titre que la Fête des mères.

.

Depuis ce jour, la fête des pères, se déroule

Le 3e dimanche de juin aux États-Unis.

En France la Fête des pères date de 1952

Est officialisée par un fabriquant de briquet,

Par Flaminaire, mais  à des fins commerciales.

.

La Fête des pères est fixée au 3e dimanche de juin

Comme aux États-Unis et cette tradition se poursuit

Encore aujourd’hui mais avec bien d’autres cadeaux.

laposte.fr/fete-des-peres

 

 

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’attachement entre parent et enfant

Nous parait n’être qu’un fait de nature

Or il intègre autant de faits de cultures

Tout comme réciprocité de générations,

Je t’ai donné sans compter, maintenant

C’est toi qui prend soin de moi : normal.

On le sent bien  on le voit, on le pratique

Lors des fêtes de famille et anniversaires

Tant des petits enfants que grand-mères,

En sus de jour de la fête des pères, mères.

 .

.

Meilleur papa qui soit !

.

Scénario

.

Parent-enfant : l’importance et la différence de la main !

Parent-enfant : l’importance  et la différence du baiser !

Parent-enfant : l’importance et différence de protéger !

 .

Visuels et textuels >>

778 – Désirer un enfant, c’est regarder devant

Visuels et textuels  >>

.

Désirer un enfant, on voudra

Mais à partir de, et jusqu’à

Quand et qui, le décidera :

Homme ne  se soucie pas,

Pour enfant,  fécond  sera,

De quinze à  cent ans : cas.

.

Femme quinze  à cinquante

Moitié   moins    parturiente

Différence est  conséquente :

Regarder devant est, parfois,

Regarder  derrière  le  temps,

Un enfant à regarder  devant.

.

Désirer l’enfant, c’est regarder

Devant ;

Désirer un enfant c’est être plus

Qu’amant ;

Désirer un enfant c’est vivre en,

Le procréant.

Désirer l’enfant pour en devenir

Ses parents,

Entre vingt, trente ans, on le fait

Volontairement.

À seize ans,  l’on tombe enceinte,

Fort imprudemment,

À quarante,  sans moindre feinte,

Plus par acharnement !

.

L’idée faire autre chose à deux, que

De se regarder en le blanc des yeux,

Idée même, d’avoir, le  ventre rond,

Après en avoir réjoui tous tréfonds

.

Avant que son enfant ne  paraisse

Que projections  de ses  parents ;

Avant que tel enfant  vous laisse

De moins en moins libre temps.

.

Tous les  possibles sont permis :

Ce sera un garçon et non une fille,

Bébé  sera  beau, bébé  fera  envie,

Sera de la future maman, béquille.

.

Votre tranquillité d’avant faut plus y

Compter  une fois que le bébé sera né,

Tant toute votre vie sera réorganisée,

Autour  de  lui,  un  peu   angoissée.

.

Sûr, que vous   vous adapterez,

Voire même très rapidement

Mais plus rien ne sera plus

Comme  c’était … avant.

.


.

Extensions

 .

Désirer un enfant pour soi

Et pour lui-même ne se superpose pas.

Premier cas, lors l’enfant se détache de soi,

Le lien se distend, l’enfant devient quelqu’un d’autre.

Second cas, le lien est permanent quoi qu’il arrive !

En réalité, au début, on le ferait, un peu, pour soi

En grandissant, en prenant plus d’autonomie,

Beaucoup pour lui. C’est la loi de la nature

Et aller contre, ce serait le pénaliser,

Et il vous le fera payer, un jour

Ou l’autre, d’une façon ou

Autre, avec personne

Ou avec une autre.

.

 Longue vie …  longue vue,

Pour voir au loin, devant,

Se projeter dans l’avenir,

Et, tout mieux voir venir

L’enfant, c’est… bientôt,

L’enfant, c’est trop tôt :

C’est à chacun de voir.

.

On ne sait trop ce que l’enfant,

Deviendra, une fois grand, parti,

Mais parent ne peut s’empêcher,

De lui dresser un avenir, radieux !

.

A la question : que feras-tu plus tard

L’enfant répond souvent par des clichés

Et  si certains parents  s’en préoccupent,

C’est qu’ils pensent qu’il le fera vraiment.

On e.st là dans une confusion des genres,

Mon  projet, pour toi, est cela, pas cela :

C’est à l’enfant en grandissant à choisir,

Lui imposer le sien, est le faire souffrir.

.

.

778 – Calligramme    

.

  D

Désirer un enfant,    É               on voudra

Mais  à partir de,     S              et  jusqu’à

Quand  et  qui  le    I              décidera !

L’homme ne           R          partage pas

Un tel souci,          E        fécond  sera,

De quinze à          R     cent ans : cas.

Femme quinze     *        à cinquante

Moitié moins       E        parturiente

Différence est       N   conséquente.

Regarder devant    F   est, parfois,

Regarder derrière    A    le temps,

Qu’il reste à regarder N   devant.

                            T

Désirer l’enfant,     c’est regarder

Devant ;

Désirer un enfant c’est être plus

Qu’amant ;

Désirer un enfant c’est vivre en,

Le procréant.

Désirer l’enfant pour en devenir

Ses parents,

Entre vingt, trente ans, on le fait

Volontairement.

À seize ans,  l’on tombe enceinte,

Fort imprudemment,

À quarante,  sans moindre feinte,

Plus par acharnement !

.

L’idée faire autre    E  chose à deux, que

De se regarder en le  S   blanc des yeux,

Idée même, d’avoir, le  T    ventre rond,

Après en avoir réjoui tous   *   tréfonds,

Avant que son enfant ne   R     paraisse

Que projections  de ses   E     parents ;

Avant que tel enfant     G    vous laisse

De moins en moins    A    libre temps.

Tous les  possibles    R    sont permis :

Ce sera un garçon    D   et non une fille.

Bébé  sera  beau,     E    bébé fera  envie,

Sera de la future      R     maman, béquille.

Votre tranquillité     *     d’avant faut plus y

Compter  une fois     D     que le bébé sera né,

Tant toute votre         E       vie sera réorganisée

Autour  de  lui,             V         un  peu   angoissée,

Sûr que, et, vous           A                  vous adapterez

Voire même                   N                       rapidement

Mais plus rien                T                              ne sera

Comme                      *                           avant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

778 4

.

Longue vue,

Un appareil photo 

ou voire des jumelles

pour double perception.

.

L’enfant lui, ne regarde que devant,

il n’a pas d’histoire, souvenirs, passé

il n’en est pas de même des parents

ses jumelles lui montre  le fond.

.

Avec des jumelles, on voit beaucoup

Plus loin qu’avec ses yeux :

Cela semble évident, mais nombreux

 Seront à ne pas en disposer.

Symbolique 

La longue-vue connaît

Un succès  ….  Grandissant

Depuis  ces   dernières  années

Elle fait de l’ombre aux jumelles.

.

Le fait de grossir ce que vous cherchez

À voir  est  son point fort  et  vous permet

D’admirer  des  détails  précis  et  dont  vous

N’auriez pas eu connaissance sans longue-vue.

Dans  la majorité des cas,   elle permet   de voir

Jusqu’à 200 mètres pour les modèles d’entrée.

.

Descriptif

 .

778 – Désirer un enfant, est regarder devant 

  Alignement central  /  Titre  oblique   /  Thème  enfant

Forme courbe  /  Rimes égales    /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : jumelles  / Symbole de fond : perception

.

.

Fond

.

Évocation 

.

778 6

.

Avec des jumelles, on voit beaucoup

Plus loin qu’avec ses yeux :

Encore faut-il savoir bien regarder

Ce qu’on veut percevoir !

 .

Symbolique 

.

La fonction symbolique doit

Toujours être en avance sur son objet

Et ne trouve le réel qu’en le devançant

Dans l’imaginaire »Merleau-Ponty,

Signes, Paris, Gallimard, 1960.

.

Le symbolisme primordial de

La perception fait intervenir des

Anticipations imaginaires inaperçues,

Disons, des fantasmes d’unité qui préjugent

De la nature de l’objet visé, cela sans pourtant

Faire obstacle à réalisation de la perception.

.

La présupposition de la chose permet

L’effectivité de la perspective.

L’anticipation imaginaire

Inconsciente devient donc,

À travers le symbolisme,

Condition de possibilité de l’expérience.

cairn.info/revue-philosophique-2008-4-page-443

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il y aurait, parfois, besoin de jumelles

Pour  bien nommer  les  vraies jumelles,

Tant leurs ressemblances sont frappantes

Dépendent du contexte et des circonstances

Il reste évident  qu’entre  avoir des jumelles,

Et pas d’enfant, il y a une grande différence

Si vous en attendiez un et qu’en voilà deux

Ce ne sera pas non plus la fin du monde :

Les trois premières années seront dures

Après, c’est presque  un plaisir que de

Les voir s’amuser et discuter à deux

Si on ne regarde pas devant  eux

C’est burnout quotidiennement.

 .

.

Imaginer tel qu’il sera

.

Scénario

.

Combien de photos, tirées du portrait pour se délecter du passé ?

Combien de tentatives de monter  bien plus haut qu’il ne l’était ?

Combien d’opportunités de le projeter sur ce qu’il  deviendrait ?

 .

Visuels et textuels  >>

777 – Je ne regrette pas mon enfance, jamais !

Visuels et textuels  >>

..

Regretter l’enfance ne sert à rien

Cà, tout le monde vous le dira,

Car, et chacun   en convient :

Plus,   on    n’y   retournera.

.

Bonne,    difficile    enfance,

 Ce sera à chacun   d’en juger,

En mettant souvent en balance,

Celle des autres en même société !

.

Mon enfance, je ne m’en souviens pas

Mais qu’importe si vous en avez eu une

Sinon, à la réinventer, lors il vous restera

Un manque qui serait   excès   d’infortune.

.

Je n’ai jamais rien regretté de mon enfance

Et jamais   et en aucun cas, je n’y reviendrai,

Je l’ai sublimé par sa belle et forte espérance

Où, désormais,  je vis, et, toujours,  je vivrai.

.

Rien ne  se perd  ni se crée,

Vrai que tout se transforme

Et ce qui est  vrai  de l’énergie,

L’est aussi  de nous c’est énorme.

.

Revenir en arrière pour  mieux sauter

Serait  de bon aloi et voire  de nécessité

Mais  il faut bouger et sans trop y rester

Auquel cas vous serez trop  vite enterré.

.

Prison de son enfance,  rebelle,

Seul, très difficile s’en détacher

Afin de voler ses propres ailes,

Sans  avoir appris à   voler.

.

On ne peut renier son enfance,

On ne peut même pas l’oublier,

Son âme, on peut la retrouver

Mais, jamais, son innocence.

.

.

Extensions

.

Je ne regrette pas mon enfance

Et ce d’autant que cela ne me servirait à rien :

Je ne peux y retourner, la revivre, même en pensée.

Cela dit, enfant je le suis encore, je le suis toujours

Et le resterai, jusqu’à ma mort : non pas l’enfant

De quelqu’un, quelqu’une, mais de moi-même,

De cette période ou l’inconscience est de mise

Mais dont la conscience s’éveillait aussi un

Peu plus chaque jour pour se préparer à

Entrer dans le monde des adultes.

.

Un monde bien compliqué où je serai

Seul à me débrouiller, à décider, à assumer.

L’enfance n’est pas hors du monde, comme un

Cocon fermé, l’enfance est au contraire, ouverte

Au monde, avec de multiples expériences à

Acquérir, à conforter, et voire à échanger.

.

Il n’y aura pas de personnalité affirmée

Sans enfance plus ou moins assumée.

Entre l’enfance et l’adolescence,

Il n’y aura pas de véritables ruptures,

Il y a continuité mais l’espace des possibles

S’élargit à tel point qu’il faut se créer ou plutôt

.

S’ajouter de nouveaux repères : mon enfance s’est

Souvent déroulée, en vase clos, mais ma curiosité

M’aura permis de m’en évader pour aller explorer

De nouveaux territoires, et, de nouveaux  savoirs,

De nouvelles rencontres. L’enfance est un terrain

De jeu pour apprendre à jouer gagnant-gagnant.

.

Certains regrettent leur enfance, insouciante  et gaie,

D’autres regrettent  de ne pas en avoir une, en profiter,

Moi, je n’ai pas de  si, de rais, de remords  ni de regrets !

Ça n’a pas toujours été facile, je me suis toujours accroché

À l’amour que  mes parents portaient, pour moi : réussir.

Et c’est grâce à cela que j’ai fini, moi aussi, par grandir,

Jusqu’à faire une carrière que j’ai aimée pour en finir.

.

.

Épilogue

.

Enfance rime avec insouciance

Enfant rime avec apprentissage

Découverte des faits et sciences,

Des us et coutumes, des usages !

***

Y en a  qui en auraient été privés,

Et c’est un grand souci, dommage

On en la rattrape adulte, trop tard,

Elle rejaillira sur la vie, en manque.

***

Ce n’est pas mon cas : un bel enfant,

Bien que né dans une pauvre masure

J’ai été aimé, choyé, par mes parents

Et j’ai beaucoup profité de la Nature.

***

Avec  deux sœurs, plus âgées, 2 /4ans,

J’ai été  bien entouré,  et  bien protégé,

L’école buissonnière parfois fait j’aurai

Je me serai perdu dans le bois adjacent

***

Mon enfance aura nourri  l’imagination

Et qui m’aura toujours servie de fortune

Enfant rêveur on me disait dans la Lune

Alors qu’en fait, en pleine illuminations.

***

Aujourd’hui, quand j’y pense,  je n’envie

Pas ceux pratiquant  nombre  jeux vidéo

Mon imaginaire,  l’ai construit  tout seul

Et j’en profiterai tout au long  de ma vie.

***

Ni regrets ni remords,  je n’y retournerai,

Sinon malgré moi, devenu presque sénile,

Mon enfance n’a été ni riche  ni tranquille

C’est la seule que j’ai et m’en contenterai !

.

.

777 – Calligramme  

 .

Regretter l’enfance ne sert à rien

Çà, tout le monde vous le dira,

Car, et chacun   en convient :

Plus,   on    n’y   retournera.

Bonne,    difficile    enfance,

 Ce sera à chacun   d’en juger,

En mettant souvent en balance,

Celle des autres en même société !

Mon enfance, je ne m’en souviens pas

Mais qu’importe si vous en avez eu une

Sinon, à la réinventer, lors il vous restera

Un manque qui serait   excès   d’infortune.

Je n’ai jamais rien regretté   de mon enfance

Et jamais   et en aucun cas,  je n’y reviendrai,

Je l’ai sublimé par sa belle  et forte   espérance

Où, désormais,    je vis     et, toujours,   je vivrai.

Rien ne   N              se perd              D   ni se crée,

Vrai que  E               tout se              E   transforme

Et ce qui    *             est  vrai              *  de l’énergie,

L’est aussi  R             et de nous     M c’est énorme.

Revenir   E         en arrière pour    O mieux sauter

Serait     G       de bon aloi voire     N  de nécessité

Mais      R        il faut bouger et     * sans y rester

Sinon     E       vous serez trop       E vite enterré

Prison    T       d’une  enfance       N       rebelle,

Si seul   T     très difficile s’en     F   détacher

Afin de  E    voler ses propres   A        ailes,

Sans      *     avoir appris à    N       voler.

Si ne    R    peut renier    C   enfance,

On ne   I   peut même  E   l’oublier.

L’âme  E  on peut la * retrouver

Mais,   N  jamais, innocence.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

777 4

.

Pied de lampe et abat-jour

Ou support pour objet d’art,

Un   plus   petit vase,  en  haut,

Insouciant sur plus grand, en bas

 .

Un vase ne pourra être insouciant

pour l’être, il faut en être conscient

quel que soit l’objet, et voire la sujet :

la forme diffèrera totalement du fond.

.

Supposons qu’enfance soit comme

Une vase à remplir :

J’aurai connu une période bleue en

Innocence,  insouciance !

.

Symbolique

 .

« L’enfant n’est pas un vase

Que l’on remplit, mais bien une source

Que l’on laisse jaillir », Maria Montessori.

Cette magnifique phrase nous ramène

Aux 4 essentiels de la pédagogie :

CONNAITRE, OBSERVER,

PROPOSER, ADAPTER.

.

Les enfants ne se développent

Pas de manière linéaire, mais par phases.

Elles sont propres à chacun, dépendent de

Facteurs internes, où n’avons pas de prise.

Montessori nous invite à lâcher le contrôle.

Modifié, source : enfance-positive.com/lenfant-

nest-pas-un-vase-que-lon-remplit

.

Descriptif

 .

777 – Je ne regrette rien de mon enfance

  Alignement central  /  Titre  dédoublé   /  Thème  enfant

Forme en ovale /  Rimes égales   /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : vase  / Symbole de fond : insouciance

.

.

Fond

 .

Évocation

.

777 6

.

Supposons qu’enfance soit comme

Une vase à remplir :

J’aurai connu une période bleue en

Innocence,  insouciance !

 .

Symbolique 

 .

L’insouciance est

Comme  forme de plénitude

De sensations, pensées positives

Par  rapport  à  certaines  choses.

Quelqu’un  ayant  de  l’insouciance,

C’est  quelqu’un  qui  ne se prend pas

La tête avec les problèmes et qui pense

Que tout va pour le mieux.

.

C’est une sorte d’optimisme:

On dit souvent que les enfants

Sont insouciants : étant  jeunes,

Ils ne seront pas préoccupés par

Les problèmes de la vie courante.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On ne peut avoir des regrets,

D’avoir été insouciant, enfant

Tant c’est bien le seul moment,

En sa vie, où l’on vous l’admet.

Au contraire faut l’encourager,

L’enfant teste, apprend limites,

Son erreur n’est pas une faute :

Il peut garder la tête …  haute !

Il n’est pas vase  qu’on remplit,

Il est juste enfant qu’on instruit

 .

.

Insouciance à la plage

.

Scénario

.

Mon nounours, objet transitionnel d’affect, s’il en est,

mon auto, objet d’exploration du monde, s’il en est,

 ma sœur : une autre figure féminine,  s’il en est !

.

Visuels et textuels  >>

776 – L’on dit que son enfance est ceci… cela !

Visuels et textuels >> 

.

Que  ne  dit-on, au

Sujet de l’enfance,

Voire y compris la

Sienne… embellie

En  souvenirs par

Fois   reconstruits

Qui nous  en font,

 Comme  romance.

Enfance  n’est pas

Un pays  magique

Pays  merveilleux,

Voire fantastique,

Est  soubassement

D’adulte,  même si

On lui voue… culte.

Inculte  celui qui ne

Connait pas, enfant,

Pour le soigner, pour

L’élever, et  l’éduquer

L’enfant que l’on aura

Est l’enfant qu’on était

On dit que  son enfance

Est la période  de sa vie,

À faire…totale confiance

À ses parents, à ses amis.

L’on dira que son enfance

Est faite de premières fois,

Qu’on    grandit bien en soi,

Sans se    faire remontrance.

.

Et on dit     que toute enfance

Est le seul     temps en protégé

Qui nous évite       la  souffrance

De prévoir notre      vie si gâchée.

L’enfance ne se vit         qu’une fois,

Impossible, inutile d’y   *    retourner

Et faire l’enfant n’y ferait    *   rien en soi

Entourage vous ramènera à    *      la réalité.

Pratiquer l’art est-ce enfance,      *         lucidité,

L’art n’est jamais enfantin,          *       même naïf,

C’est un regard pour s’        *    en approcher.

Retour aux sources,     *    souvenir natif.

L’on dit que son enfance est ceci, cela,

Enfance : non période uniforme,

Enfance : période qu’on forme

Et d’une importance énorme

Pour rentrer dans la norme.

.

.

Extensions

 .

C’est le souvenir d’avoir eu

Une totale confiance en ses parents

Qui conditionne celle que l’on fera au conjoint.

En cas de manque, doute persiste, jalousie s’instaure.

On volera l’enfance de quelqu’un quand on le trompe,

On l’abandonne, le persécute, l’exploite, martyrise.

.

Certains s’en sortent d’enfance misérable

D’autres ne remontent jamais la pente

Et font les quatre cents coups pour se

Tenir debout et en veulent à tout le monde,

À la communauté, société, qui n’en peut mais !

L’enfant ne devrait jamais être séparé de ses parents

Mais hélas,  ce sont eux qui sont parfois encore enfants.

.

Immatures d’eux-mêmes, comment être matures pour lui.

L’enfance n’est pas une période  préservée  par des murs

Pour bien se protéger de tous les travers de la société :

Simplement, pour éviter de s’exposer à ces derniers,

En étant «Interdit au moins de dix, douze ans»

Comment l’enfant interprète cette consigne :

Comme en étant privé, en étant indigne !

.

L’enfant s’applique quand il exécute, apprend,

L’enfant sourit et rit même, quand il se détend,

L’enfant s’étonne  de la vie, lors la découvrant :

L’enfant ceci, l’enfant, cela, l’enfant est éponge

Tant il enregistre tout sans bien comprendre,

Adulte, il aura du grain à moudre, à rendre,

Non seulement dans ses actes : en songe.

Adulte que je suis n’est pas loin enfant

Que j’étais avec ou sans mensonge.

.

En matière d’éducation des enfants,

Tous les conseils sont dans la nature :

Les parents étant pédagogues, ou non,

Feront ou non, des adultes immatures.

.

Parent n’est jamais certain de donner

À son enfant l’éducation qui convient :

Deux enfants ayant la même réagiront,

De manière différente sans explication.

.

Quant à dire,  ce n’est pas de ma faute :

Celle des parents qui m’ont mal éduqué,

Jusqu’à 18 ans, cela peut encore marcher

Après trouver autre chose : responsabilité.

.

.

Épilogue

.

L’on aurait, des fois, une vision

Pour ne pas dire  une protection

De l’enfance … un peu sommaire,

Consistant à tout faire pour éviter

Les moindres problèmes en société

Or il grandira parfois dans un enfer.

***

Sans chercher à tout prix à l’endurcir

Et voire à l’autonomiser pour ses choix

Faut pas confondre naïveté, innocence :

Le monde de l’enfant  peut être très dur,

Si on ne lui apprendra pas  à se défendre,

Pour conserver sa liberté, voire intégrité !

***

De toute façon : n’étant  ni sourd   ni aveugle,

Réalité de monde hostile le percutera souvent,

Et il faudra lui expliquer pourquoi et comment

Sinon il s’en sentirait vite, plus ou moins décalé

Et on lui dira alors : il faut grandir…maintenant

Un monde des bisounours, n’existera nulle part !

***,

Se battre, ne serait pas, pour autant, une nécessité

Mais  bienvenu  pour protéger  ses frères et sœurs :

Il lui faut comprendre que seul, il est fragile, perdu,

Et que tout en société dépend de famille, solidarité :

Je ne pense pas qu’école endosse telle responsabilité

Trop centré sur acquisitions des savoirs et pratiques !

.

.

776 – Calligramme   

.

Que  ne  dit-on, au

Sujet de l’enfance,

Voire y compris la

Sienne… embellie

En  souvenirs par

Fois   reconstruits

Qui nous  en font,

 Comme  romance.

Enfance  n’est pas

Un pays  magique

Pays  merveilleux,

Voire fantastique,

Est  soubassement

D’adulte,  même si

On lui voue… culte.

Inculte  celui qui ne

Connait pas, enfant,

Pour le soigner, pour

L’élever, et  l’éduquer

L’enfant que l’on aura

Est l’enfant qu’on était

On dit que  son enfance

Est la  période  de sa vie,

À faire … totale confiance

À ses parents,   à ses amis.

L’on dira   que son enfance

Est faite  de  premières fois,

Qu’on  E  grandit bien en soi,

Sans se  N  faire remontrance.

F  …………..

Et on dit     A  que toute enfance

Est le seul      N   temps   protégé

Qui nous évite   T     la  souffrance

De prévoir notre    *   vie si gâchée.

L’enfance ne se vit     E   qu’une fois,

Impossible, inutile d’y    S    retourner

Et faire l’enfant n’y ferait     T  rien en soi

Entourage vous ramènera à      *     la réalité.

Pratiquer l’art est-ce enfance,      C         lucidité,

L’art n’est jamais enfantin,          E       même naïf,

C’est un regard pour s’         C    en approcher.

Retour aux sources,     I     souvenir natif.

  *

On dit que son en  C   fance est ceci, cela,

Enfance, non   E     période uniforme,

Enfance    L   période qu’on forme

D’une   A   importance énorme

Pour rentrer dans la norme.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

776 4

.

Pointe de lance,

Pour bien se battre

Voire pour se défendre

Dans enfance violente.

.

Se battre pour jouer est enfantin

se battre pour humilier est vilain

la lance pour blesser à distance

est la forme évoquant le fond.

.

L’enfant est toujours prêt à se battre

Pour n’importe quoi :

Mais parfois, adulte, il faut débattre

De son enfance violente.

.

Symbolique 

 .

Rêver de se battre

Annonce souvent fatigue

Ou risque de surmenage

Et signale au rêveur

Qu’il doit prendre

Soin de sa santé.

.

Et si, dans votre rêve,

Vous assistez à une bagarre,

Vous serez bientôt sous emprise

De vos émotions et  violente colère.

Rêver de bagarre de chien, est un

Signe de conflits familiaux.

.

Si vous êtes encore célibataire,

Rêver de bagarre annonce souvent

Le mariage avec une femme querelleuse.

interpretation-reve.fr/dictionnaire-reve-B/bagarre.

.

.

Descriptif

.

776 – On dit que son enfance est ceci, cela  

  Alignement central  /  Titre  dédoublé   /  Thème  enfant

Forme courbe /  Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : se battre  / Symbole de fond : violence

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

776 6

.

L’enfant est toujours prêt à se battre

Pour n’importe quoi :

Mais parfois, adulte, il faut débattre

De son enfance violente.

.

Symbolique 

 .

«  On peut faire de l’enfant

Une foule de choses dans les

Deux premières années de sa vie,

Le plier, disposer de lui, lui enseigner

De bonnes habitudes, le corriger et le punir,

Sans qu’il arrive quoi que ce soit, que l’enfant se venge.

.

Il n’empêche qu’il ne parvient à surmonter sans difficulté

L’injustice qui lui a été faite qu’à la condition

De pouvoir se défendre, et  donc  à la condition

De pouvoir donner à sa souffrance et à sa colère

Une  expression  structurée. Car s’il lui est interdit

De réagir, parce que les parents  ne supportent pas

Ses réactions (cris, tristesse, colère) et les interdisent

L’enfant apprend à se taire. Son mutisme garantit

Certes l’efficacité des principes d’éducation,

Mais il recouvrira, en outre, les foyers

D’enfance violente ultérieure. »

cairn.info/revue-francaise-des-affaires-

sociales-2013-1-page-32

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Enfance est, en principe, protégée

Par la  famille, les lois, institutions

Mais par ci par là, climats violents,

S’instaurent, défrayant la chronique,

Avec parfois comportement effrayant

Problème avec l’autorité, dit la Justice,

Il n’aura pas été réglé en petite enfance.

L’«enfant roi» finit par devenir un tyran

Se retrouve bien dans une société violente.

 

.

.

Enfant, éponge, absorbe tout

.

Scénario 

.

D’abord l’éduquer, le soigner, et le protéger,

ensuite le faire rire, le faire jouer, le faire imaginer,

enfin lui permettre de construire sa propre personnalité !

 .

Visuels et textuels >> 

775 – L’enfant est promesse, vieillard, détresse

Visuels  et textuels  >>

.

L’enfant est une promesse

Mais loin d’être page blanche

Sur laquelle, en trop plein stress,

Il réalise, des parents, la revanche !

.

Le vieillard est  une figure de détresse,

Non pas tant, face à disparition certaine,

Que, face à  son  naufrage, en sa lutte, vaine,

Pour paraitre jeune sans apparence traitresse.

.

L’enfant deviendra un vieillard, en puissance,

Vieillard devient un enfant, par rémanence.

Le cycle de vie se reproduit et sans cesse,

Enfant, vieillard : promesse, détresse.

.

L’enfant  est une  promesse,

Le vieillard  est  une détresse,

L’un arrive  lors l’autre s’en va,

Qui sait  ce qu’il  en  adviendra.

.

L’avenir reste ouvert à tous,

Quel que soit l’âge, il pousse

À se créer projets sans cesse,

Entre deux corps  et caresses.

 .

Vieillard, enfant l’a été déjà,

Vieux, l’enfant le  deviendra,

Bien que le même  en tous cas

Enfant, vieux ne se  projettera.

 .

Il n’y a pas de retour en arrière,

L’enfant ira  toujours vers l’avant,

Il veut grandir réussir sa vie  projets

Avant qu’il ne soit trop tard,  en rejet.

 .

Pour ne pas se  retrouver à  quarante ans

Comme un adulte,  perdu  déjà mourant,

L’enfant s’inquiète près  vieillard savant,

De ce qui a été, en lui,   plus important.

.

L’important,  chacun sait, c’est la rose ;

L’important,   qui dirait, c’est la chose ;

L’important, on le savait, ce qu’on ose ;

L’important,  l’enfant fait que l’on pose.

.


.

Extensions

 .

L’enfant est promesse ;

Le vieillard est détresse :

À ces deux bouts de la vie,

Leur futur change d’adresse,

Et, parfois aussi, de tendresse.

L’enfant aura la vie  devant lui ;

Le vieillard, a, la sienne, derrière.

L’enfant regarde dans son viseur ;

Le vieillard, dans son…rétroviseur.

.

Le dialogue, entre les deux, ne sera

Pas  toujours  évident : le   vieillard

Retourne en enfance, pas la même.

L’enfant  ne se projette pas  en  un

Temps  aussi  long, au point de se

Demander s’il y arrivera un jour

À l’Éternité, bien que, d’ici là,

Les progrès de la médecine,

Feront transhumanisme.

.

L’enfant se construit et multiplie

Ses illusions, confond réel, imaginaire

Tandis que vieillard les perd et la tête avec

Et il ne se souvient plus de rien, comme mort.

Le vieillard n’a qu’un conseil à donner à l’enfant,

Celui de ne pas gâcher toute ou partie de sa vie

À faire tout et n’importe quoi !

.

L’enfant est promesse, il ne peut que grandir.

Vieillard est détresse : il ne peut que mourir.

Pendant douze ans, temps pour s’épanouir ;

Pendant vingt ans, temps pour  s’évanouir.

Enfant n’a pas de passé, vieillard, d’avenir

À douze ans, l’enfant commence à murir

Et à soixante, il voudrait bien rajeunir,

Parfois il se contente d’être un sage :

Enfant, il se construira son image.

.

La vieillesse est un naufrage

Clame  un dicton  populaire :

La jeunesse  est  un chiffrage,

Dans l’Histoire est modulaire.

Il devrait y a avoir en principe

Plus  de jeunes  que  de vieux,

Mais cette pyramide s’inverse

En nombreux pays  du Globe.

La faute au progrès en santé,

Pour l’allongement de la vie,

Baisse constante de natalité,

Explique bien telle inversion.

.

.

775 – Calligramme   

 .

L’enfant est une promesse

Mais loin d’être page blanche

Sur laquelle, en trop plein stress,

Il réalise, des parents, la revanche !

Le vieillard est  une figure de détresse,

Non pas tant, face à disparition certaine,

Que, face à  son  naufrage, en sa lutte, vaine,

Pour paraitre jeune sans apparence traitresse.

L’enfant deviendra un vieillard, en puissance,

Vieillard devient un enfant, par rémanence.

Le cycle de vie se reproduit et sans cesse,

Enfant, vieillard : promesse, détresse.

.

*************************************

**********************************

.

L’enfant  est une  promesse,

Le vieillard  est  une détresse,

L’un arrive  lors l’autre s’en va,

Qui sait  ce qu’il  en  adviendra !

                              E

L’avenir reste ouvert     N     à tous,

Quel que soit l’âge,     F       il pousse

À se créer projets      A       sans cesse,

Entre deux corps      N       et caresses.

       T

Vieillard, enfant        :        l’a été déjà,

Vieux, l’enfant le       P        deviendra,

Bien que le même       R      en tous cas

Enfant, vieux ne se        O    projettera.

                        M

Il n’y a pas de retour en      E      arrière,

L’enfant ira  toujours vers     S     l’avant,

Il veut grandir réussir sa vie   S      projets

Avant qu’il ne soit trop tard,   E      en rejet.

                          ;   

Pour ne pas se  retrouver à  V   *      quarante ans

Comme un adulte perdu  I        D     déjà mourant,

L’enfant s’inquiète près  E          É   vieillard savant,

De ce qui a été en lui   I                T   plus important.

     L                      R

L’important,         L     chacun sait   E       c’est la rose ;

L’important,        A        qui dirait,      S     c’est la chose ;

L’important        R         on le savait,      S      ce qu’on ose ;

L’important      D            l’enfant fait,       E     que l’on pose.

&&&&&&&&&

&&&&&&&

&&&&

&&&

..

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

775 4

.

Cette forme aura tout l’air

D’une  cloche   mais   qui

Aurait un son clair ou fêlé,

Selon qu’il restera battant

.

L’enfant et le vieillard n’auraient pas

n’entendraient pas même son de cloche

le battant de cloche du vieillard, est fêlé

la forme évoquera quand même le fond

.

La même cloche sert à fêter la naissance

Tout autant qu’à sonner le glas … mourant.

Jeune enfant résonne, vibre à chaque instant,

Lors vieillard, résonne, fêlé et moins battant.

.

Symbolique 

 .

La cloche est un symbole religieux

Qui occupe une fonction importante

Dans le christianisme.

Les cloches des

Églises accompagnent

Toujours les rites chrétiens,

Que ce soit pour les fêtes patronales,

Le baptême, le mariage, les funérailles, etc.

Elles invitent toutes au rassemblement du peuple.

En ce sens, elle symbolise la communication et l’appel.

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-cloche

.

Descriptif

 .

775 – Enfant : promesse ; vieillard, détresse   

  Alignement central  /  Titre  dédoublé   /  Thème  âge

Forme courbe /  Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : cloche  / Symbole de fond : battant

.

.

Fond

.

Évocation

.

775 6

.

La même cloche sert à fêter une naissance

Tout autant qu’à sonner le glas … mourant.

Jeune enfant résonne, vibre à chaque instant,

Lors vieillard, résonne, fêlé et moins battant.

.

Symbolique de fond

 .

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres

Animés d’un  nom, d’un corps

Et de sentiments.

Par ailleurs, la forme

Creuse et arrondie de la

Cloche l’assimile au corps féminin,

Tandis que  le  battant  et  le manche

Évoquent un phallus. Ces connotations

Sexuelles  contribuent  au   symbolisme

De la cloche  et du dorje  (petit sceptre),

Étant souvent employés simultanément

Dans les rituels bouddhistes tibétains.

grandrêve1234

.blogspot.com

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il n’y a pas que le battant et la cloche

Du vieillard qui est fêlé : la voix aussi,

Le regard et l’écoute, en vont de même,

Alors que la voix bien frêle, de l’enfant,

Résonnera comme un très bel organe,

Qui promettra des chants vigoureux !

L’un sonnera bien faux et bien  peu ;

L’autre sonnera juste et beaucoup

Le vieillard deviendra cloche,

Le bébé deviendra battant !

 .

.

Enfant regarde en haut, vieillard, en bas

.

Scénario

 .

Enfant est une promesse de jours heureux pour tous,

pour le père, le grand-père, et pour toute la famille,

alors que le vieillard donne des signes de faiblesse !

 .

Visuels  et textuels  >>

774 – Quand couples ne désirent pas d’enfant

Visuels et textuels >>

.

Couple demeure libre d’avoir

Des enfants ou non,

Certains ne le désireront pas,

Par accident, en ont.

 .

Après quoi leur sort est selon

Reconnaitront ou non :

L’enfant, né, peut déclencher

Le désir de devenir parents.

 .

Qu’importe si c’est sans regrets

Que les couples l’auront décidé

De n’avoir pas d’enfant, l’assumer

Sans jalousie, plus tard, vieillissant.

.

Quand couples ne désirent pas d’enfant,

Réveille instinct reproducteur du parent,

Y a toutes chances que tout aille de travers

Lors variations de désir d’union peu altière :

.

Si les parents  boivent, les  enfants trinquent,

Dit un dicton,  bien qu’il  ne s’agit que boissons

Cela est tout aussi vrai haines que des désunions

Faisant  des  enfants : caméléons  ornithorynques.

.

Sans ses parents  enfant sera déclaré  orphelin, séant

Pas d’institution,  de substitution, ne les remplaceront,

Bien que parfois les liens affectifs, sociaux parviendront

À faire oublier les liens  de son  histoire et de son sang.

 .

Il y a bon  nombre d’enfants qui renient leurs parents

Et bon nombre de parents qui renient leur enfant,

Comme autant de fêlures en l’humaine nature,

Comme autant d’éducations en déconfiture.

.

Géniteurs, et parents, seront deux états,

Qui se cumulent  et se différencient,

Enfant ne choisit pas en tous cas,

Mais il saura à qui dire, merci.

.

Merci société qui le nourrit,

Merci  orphelinat gratuit,

Merci  famille d’accueil

Merci d’éviter écueil.

.

Écueil  désamour,

Vie  d’inconnu,

Pauvre,  nu,

Toujours

Enfant

Sait

V

.

.

Extensions

 .

Il le sent,

Le vit quand

Il est rejeté pour

Ce qu’il est : non désiré,

Abandonné, laisser à lui-même

Pour son destin de «non existence».

Quand couples ne désirent pas d’enfant,

Il vaudrait mieux  qu’ils n’en aient pas,

S’ils ne sont pas capables de l’assumer

Pleinement, mais la nature prend

Parfois le dessus  et laisse les

Pseudos-parents pantois,

Se rejetant la faute,

Du pourquoi

Néant.

.

Pas d’enfant : on n’en veut pas et on n’en peut pas

Et notre planète est foutue,  de toute façon :

On ne peut pas lui infliger cette misère,

 Ou bien, encore, ça restreint la liberté

Et puis ça coûte un bras, y a le chômage

Non, non, non, non, on est très bien comme ça

S’il manque, on  prendra un chat, un chien : ça le fera

D’accord, en vieillissant, on sera seul, on en est  conscient

Mais en attendant, c’est le pied, ce minimum de contraintes !

.

L’enfant pose problème en Europe :

En France,  il est de 1,83  par femme,

En 2020 : c’est loin  des 3,00 en 1960.

.

En 2022, 723 000 bébés nés en France,

15 000 naissances de moins qu’en 2021

.

Ce sont là des statistiques, à interpréter :

Le désir ou non, d’avoir  un enfant, est lié

À des multiples facteurs  parmi  lesquels :

L’âge, couple, économie et même l’avenir.

.

.

774 – Calligramme 

.

Couple demeure libre d’avoir

Des enfants ou non,

Certains ne le désireront pas,

Par accident, en ont.

 .

Après quoi leur sort est selon

Reconnaitront ou non :

L’enfant, né, peut déclencher

Le désir de devenir parents.

 .

Qu’importe si c’est sans regrets

Que les couples l’auront décidé

De n’avoir pas d’enfant, l’assumer

Sans jalousie, plus tard, vieillissant.

.

Quand couples ne désirent pas d’enfant,

Réveille instinct reproducteur du parent,

Y a toutes chances que tout aille de travers

Lors variations de désir d’union peu altière :

.

Si les parents  boivent, les  enfants trinquent,

Dit un dicton,  bien qu’il  ne s’agit que boissons

Cela est tout aussi vrai haines que des désunions

Faisant  des  enfants : caméléons  ornithorynques.

.

Sans ses parents  enfant sera déclaré  orphelin, séant

Pas d’institution,  de substitution, ne les remplaceront,

Bien que parfois les liens affectifs, sociaux parviendront

À faire oublier les liens  de son  histoire et de son sang.

 .

Il y a bon  nombre d’enfants qui renient leurs parents

Et bon nombre de parents qui renient leur enfant,

Comme autant de fêlures en l’humaine nature,

Comme autant d’éducations en déconfiture.

.

Géniteurs, et parents, seront deux états,

Qui se cumulent  et se différencient,

Enfant ne choisit pas en tous cas,

Mais il saura à qui dire, merci.

.

Merci société qui le nourrit,

Merci  orphelinat gratuit,

Merci  famille d’accueil

Merci d’éviter écueil.

.

Écueil  désamour,

Vie  d’inconnu,

Pauvre,  nu,

Toujours

Enfant

Sait

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

774 4

.

Ça peut être n’importe quel vase,

Moi  je vote pour une amphore

Avec  des  formes  particulières

Qu’on reconnait maternelles.

.

Amphore est d’abord un récipient,

Un contenant pour liquides

Mais n’est pas sans évoquer

Des formes féminines, maternelles.

.

Symbolique 

 .

Sur la surface

De certaines

Amphores

Sont peints des

Inscriptions  qui  donnent

Des informations sur leur origine,

Leur destination  et le type de produit

Qu’elles transportent : opinion répandue

Veut  que  le  pied  soit fabriqué  en forme

De cône pointu pour offrir à l’amphore

La meilleure stabilité, réalité ce pied

Serait une poignée  permettant

Une troisième prise au

Creux de la main

Pour verser

Contenu.

Wikipédia

.

Descriptif

.

774 – Lors couples ne désirent pas d’enfant 

  Alignement central / Titre  analogue / Thème  projection

Forme conique /  Rimes égales   /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : amphore/ Symbole de fond : maternel

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

774 6

.

Amphore est d’abord un récipient,

Un contenant pour liquides

Mais n’est pas sans évoquer

Des formes féminines, maternelle.

.

Symbolique de fond

 .

« Rien ne permet d’affirmer qu’il existe

Un “instinct maternel” dans l’espèce humaine » :

Odile  Fillod,  chercheuse  en sociologie  des sciences.

«En   l’état   actuel   de nos  connaissances  scientifiques,

Rien ne permet dire qu’il existe un « instinct maternel ».

.

Dans l’espèce humaine : que ce soit au sens où le fait

D’être femme induirait par mécanisme biologique

Une envie particulièrement forte d’enfanter ;

Ou au sens où le fait d’accoucher induirait

Un attachement au bébé et une envie de

S’en occuper spécifiques, par leur nature.

Les recherches menées jusqu’à aujourd’hui

Ont échoué à mettre au jour l’existence d’une

Influence génétique ou hormonale chez l’être humain

Qui différencierait les femmes des hommes sur ce plan. »

magicmaman.com/,l-instinct-maternel-c-est-quoi-precisement

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amphore a une forme de ventre

Pour autant n’est pas maternelle :

Ce n’est pas  ce qu’on lui demande,

C’est juste  un contenant, c’est tout.

Maternelle est réservée à la femme

Bien qu’instinct maternel : pas sûr

Pour autant, on ne peut attribuer

Cette posture de mère à l’homme.

 .

Trop de souffrance, dépendance

.

Scénario

 .

Pourquoi avoir une telle entrave à notre liberté,

lors il est trop tard : le sort en est, définitivement, jeté,

mais, pour ne pas finir seul : un chien pour accompagner.

 .

Visuels et textuels >>

773 – Lucy, je t’ai imaginée, en enfant, désirée

Visuels et textuels >>

.

Lucy, je t’ai…imaginée,

Non, en fée,  enchantée,

Mais, en  enfant, désiré,

D’un père,  fort charmé,

De t’accueillir dans bras

Et, prendre soin, de toi !

 .

Lucy, je t’ai … imaginée,

Avec  tes yeux, bleus, née,

Dans leur  lumière  irisée,

Miroite, ton âme, pâmée.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

En double de ma pensée,

En guide  de ma féminité

Jusqu’à l’être …   à l’orée.

 .

Lucy, je t’ai  … imaginée,

Lors  union,  consommée,

Entre  mon désir, projeté,

Et ta promesse de réalité.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Pour incarner,  ton père,

Toute sa poésie,  entière,

Encore plus, l’illuminer.

 .

Lucy, je t’ai… imaginée,

Je t’ai même …  réalisée,

Et, je te regarde grandir,

Avant te regarder partir.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Comme   vraie  merveille,

Qui tinte,  à mes oreilles,

T’écoute  sans me lasser.

 .

Lucy, je t’ai… imaginée,

Grain de folie et amorce,

D’un lien et qui me force

A t’aimer …  t’imprimer.

.

Lucy, tu as bien grandie,

Tu ressembles  à ton père,

Autant en grâce à ta mère

Mille fois,  encore : merci.

.

.

Extensions

 .

Lucy, je t’ai imaginée,

Comme une princesse avisée

Qui connait le cœur des hommes

Et sait le faire vibrer d’un sentiment

Véritable à ton endroit.

.

Lucy, je t’ai imaginée comme

Lumière que tu es, éclairant à souhait

Les zones d’ombres cachées pour me révéler

Tel que je suis, tel que j’étais,  tel que je serai.

.

Lucy,  je t’ai imaginée  comme  un rêve  éveillé,

Avec ton sourire amusé et rire à gorge déployée

Par ta frénésie de vie, et ta fraicheur  de cœur.

.

Lucy, je t’ai imaginé, au point  que tu es née,

Non pas de moi, mais d’une amie, à qui tu

Ressembles, mais autant, tu me sembles

Hériter de moi comme esprit commun.

.

Lucy, je t’ai imaginée, jeune fille éplorée

Par  tes échecs amoureux,  puis  illuminée

Par un autre, le vrai, le seul, est-ce le dernier.

.

Lucy, je t’ai imaginée, entouré de trois enfants

Dont une fille, qui reprend tes traits et ton air

D’amabilité, de spontanéité et d’intelligence.

.

Lucy, je t’ai imaginée, en grand- mère avec

Tes sept  petits-enfants et, toujours, aussi

Vivante, pétillante, comme si le temps

N’avait de prise sur toi, ta destinée.

.

Enfant désiré est enfant qui danse

La valse de la vie, qu’il a, devant lui,

Et qui lui parait mouvement… éternel

Tant qu’il ne maîtrise pas bien le temps,

Lors il s’arrête, c’est pour lui d’en sourire.

.

Je me suis dit, parfois, qu’il faut

Laissé Lucie faire ce qu’elle veut,

À part ne pas se rendre en enfer,

Alors qu’elle vit dans un paradis.

.

Je le dis sans hésiter, je la connais

C’est la fille d’une amie … qui sait,

Que son prénom lui portera chance

Comme lumière et non en obscurité.

.

En vérité, grandissante, il  s’est avéré,

Qu’elle porte plus que bien son prénom

C’est à croire  qu’il lui était  prédestiné !

.

.

Épilogue

.

Lucy est, est-elle-même, et en tous points semblable

À des milliers d’autres filles

Elle s’est faite désirer  par ses deux parents, un seul,

Elle dépendra de leurs soins.

***

 Lors je dis  soins, j’inclus  en eux : tendresse, amour

Sans  lesquels  elle  ne  grandira

Faute d’avoir contacts charnels, paroles spirituelles,

Elle ne peut que s’isoler, s’étioler.

***

Le choix du prénom revêt pour elle son importance

Déjà les sons, puis significations

Lucy comporte, en elle, deux diphtongues… douces

Et signifiera  plus tard : lumière

***

Lumière, d’accord, pour intelligence et Lucie faire,

Mais  aussi  force  de caractère

Tant ne se construit qu’en s’opposant aux parents,

Traitée,  lors ado, de  Lucifer !

***

Forme féminine de Luc, Lucy reste indépendante,

Comptera que sur elle-même.

 Elle assume ses choix, ne restera en ambigu, flou,

Pour parents, c’est déjà ça !

.

.

773 – Calligramme    

 .

Lucy, je t’ai…imaginée,

Non, en fée,  enchantée,

Mais, en  enfant, désiré,

D’un père,  fort charmé,

De t’accueillir dans bras

Et, prendre soin, de toi !

.

LUCY,

Lucy, je t’ai … imaginée,

Avec  tes yeux, bleus, née,

Dans leur  lumière  irisée,

Miroite, ton âme, pâmée.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

En double de ma pensée,

En guide  de ma féminité

Jusqu’à l’être …   à l’orée.

JE T’AI

Lucy, je t’ai  … imaginée,

Lors  union,  consommée,

Entre  mon désir, projeté,

Et ta promesse de réalité.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Pour incarner,  ton père,

Toute sa poésie,  entière,

Encore plus, l’illuminer.

IMAGINÉE

Lucy, je t’ai… imaginée,

Je t’ai même …  réalisée,

Et, je te regarde grandir,

Avant te regarder partir.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Comme   vraie  merveille,

Qui tinte,  à mes oreilles,

T’écoute  sans me lasser.

ENFANT

Lucy, je t’ai… imaginée,

Grain de folie et amorce,

D’un lien et qui me force

A t’aimer …  t’imprimer.

.

Lucy, tu as bien grandie,

Tu ressembles  à ton père,

Autant en grâce à ta mère

Mille fois,  encore : merci.

DÉSIRÉ 

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

773 4

.

Chaque enfant fait

Partie  d’une  chaine

Génétique héréditaire,

Mais, imaginé, désiré !

.

Chaque enfant fait

Partie  d’une  chaine

Génétique héréditaire,

Mais, imaginé, désiré !

.

Lucy sera née comme pur fantasme

D’enfant avec sa série de qualités.

Chaque enfant qu’on a ou a été,

Espérons-le imaginé, désiré !

.

Symbolique 

.

Au moment

De la naissance

De l’enfant réel

Une confrontation va s’opérer

Avec l’enfant imaginé.

.

Le baby blues est un état dépressif

Qui va durer quelque jour ;

Il va s’agir de faire le deuil

De l’enfant que l’on a imaginé

Pour que l’enfant réel l’emporte.

.

L’enfant va naître forcément différent

De celui que ses parents avaient imaginé.

À la rencontre entre l’enfant réel et imaginaire,

Les parents vont élaborer tout un processus de deuil

De leur enfant idéal,  qui va leur permettre d’accueillir

Leur enfant réelet de l’aimer tel qu’il est, pour lui-même.

psyparinternet.fr/blog/26-L-enfant-imaginaire-et-l-enfant-reel

.

.

Fond

 .

Descriptif

.

773 – Lucy, je t’ai imaginée, enfant désiré  

  Alignement central / Titre  analogue / Thème  projection

Forme anneau /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : imaginé / Symbole de fond : désiré

.

Évocation 

.

773 6

.

Lucy sera née comme pur fantasme

D’enfant avec sa série de qualités.

Chaque enfant qu’on a ou a été,

Espérons-le imaginé, désiré !

.

Symbolique 

 .

Que l’on se voit bébé,

Père ou mère d’un bébé,

Ou bien encore en train d’assister,

Voire de vivre soi-même un accouchement,

Désirer bébé est un rêve très fréquent.

Mais, il se trouve, plus souvent, chez

Les rêveuses  que  chez  les  rêveurs.

.

Les  raisons  en  sont  évidentes  tant

La maternité a à voir avec la grossesse

Ce rêve  est-il, pour autant, à interpréter

Comme un désir d’enfant, de parentalité ?

Vous pensez cela lié à  l’instinct de maternité,

Parfois très contesté ? Oui, mais pas seulement.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un enfant est, le plus souvent, le fruit d’un rêve

Après un garçon, quoi de plus naturel que fille,

Ce dès la conception, on y pense : alea jacta est

Quelques parents le découvrent, lors naissance

Plus tard, lui procureront attention différente

Sans compter les soins, relations, l’éducation

Une fille n’est pas élevée comme un garçon

Souvent le père lui accorde préférence

Qui demeure parfois toute sa vie !

 .

.

Enfant imaginé, désiré, fusionné, cajolé

.

Scénario

.

Lucy serait une enfant des plus espiègles,

croquant en  la vie, à pleine dent et couettes,

et qui entrera bientôt dans la ronde des grands.

 .

Visuels et textuels >>

772 – L’enfant est une personne qu’on nomme !

Visuels et textuels >>

.

Enfant ceci, enfant cela

L’enfant  reste  un  partage

Lors un couple, bien s’entend

L’enfant devient le vrai otage,

Lorsqu’ un couple  se refend.

.

Il est reconnu  ou bien nié,

Lors,  simultanément,

Devient vrai trésor

Ou bien il sera

Déjà   mort !

.

Vrai que l’on  nomme  un  enfant,

Pour qu’il devienne une  personne,

Vrai  que l’ambiguïté  d’un  tel  mot

Ferait de lui aussi bien, tout ou rien.

.

Enfant comme personne, se façonne

Au  fil  des  mois … saisons … années,

Lors il prend tout ce qu’on lui donne

Sans avoir à le rendre,  à remercier.

.

Deux parents, avec seul enfant,

Et deux enfants, un seul parent,

Ne sont situations  comparables,

Laquelle  est la plus souhaitable.

.

Combien  de parents  préjugent

Garde enfant leur est attribuée

Par  une  justice,  qui  s’adjuge

Le droit  de  décider  trancher.

.

Car  la présence  des  parents,

Est très bien pour l’enfant né

Tant, seul l’amour sera juge

Si eux-mêmes se  déjugent.

.

L’enfant est  une personne :

Ne suffit pas qu’on le nomme

Pour le reconnaître en somme

Faut-il encore qu’on le façonne.

.

Enfant est bien  une personne ;

Adulte, le sera encore … plus

Il le prolonge, l’abandonne

Lors ne s’y  retrouve plus.

.

.

Extensions

 .

L’enfant était considéré, il n’y a pas si longtemps,

Comme une personne, à partir de trois ans.

Il faut dire aussi que mortalité infantile,

Ne suscitait pas d’attachement profond

Dès lors que l’enfant devait prouver qu’il

Était suffisamment résistant afin de durer.

.

Aujourd’hui, différent : on s’attache à l’enfant

Et on le considère en outre comme une personne

Bien avant sa naissance à l’annonce de sa présence

Au sein de la gestation, autres temps, autres mœurs.

Le concept de personne évolue aussi avec la religion :

Le nouveau-né devient une personne, en le baptisant

Et puis la science s’en mêle à son tour en découvrant

L’ADN des deux parents qui en forme un troisième,

Qui lui est propre et le conditionnera toute sa vie.

.

L’amour des parents intervient autant pour

Établir bons fondements d’une personne,

Pour la faire grandir, stagner, régresser

Que la génétique et l’environnement,

La culture et l’éducation et expériences acquises.

L’enfant n’est pas une page blanche ni un tableau noir,

Il est compétence et performance qui ne demande qu’à grandir.

.

Passer de l’enfant qui ignore  qu’il est un enfant

Mais répond vite à son prénom

À l’enfant qui sait qu’il a droit à son statut protégé

D’enfant dans toutes les situations,

À l’enfant qui est quelqu’un rendu capable de réfléchir

Et donc de prendre ses propres décisions

À l’enfant qui pense à son avenir, et, qui se rend compte,

Qu’il n’aura pas toujours ses parents pour lui.

.

La preuve, s’il en est que l’enfant

Est une personne : il a des droits !

On ne pourra faire ce qu’on voulant

De lui, avec lui : que ce que l’on doit !

.

Un adulte se définira par une autonomie

Acquise, peu à peu, auprès de lui et d’elle,

On dit même qu’il vole de ses propres ailes,

On dit même que, grand, il quittera son nid.

.

Petit, l’on perçoit, son caractère, tempérament,

Comme des fondements réels de sa personnalité :

L’enfant est une personne, quelqu’un qu’on nomme

Pour ce qu’il est, il était, et pour ce qu’il…deviendra !

.

.

Épilogue

.

L’enfant est  une personne … de toute façon :

Quant à savoir  à partir  de quand : question :

Certains diront que c’est dès qu’on le nomme

D’autres dès qu’il a conscience de lui-même !

***

Entre les deux, l’angoisse  du neuvième mois,

L’enfant se séparera, distinguera de sa mère :

L’identification sera donc un processus long :

On nait comme personne…devient quelqu’un.

***

Mais ne demandez pas à l’enfant, ce qu’il est :

Pour  lui, il n’est personne, sans père et mère,

Avant tout un problème d’éthique, de société,

Qui a toute son importance  pour avortement.

***

Et puis survient l’épineuse question du genre :

Totalement un garçon ou bien totalement fille,

Ou moitié moitié, corps de garçon, esprit fille :

Part de chaque restera en nous, de toute façon.

***

Être une personne nous est donné en naissant,

Lors être quelqu’un suppose qu’on le devienne,

Ce n’est pas tant qu’il faille penser et puis agir,

Par soi-même que se différencier, être unique.

.

.

772 – Calligramme    

 .

Enfant ceci    E  enfant cela

L’enfant reste   N    un partage

Lors un couple      F     bien s’entend

L’enfant devient     A       le vrai otage,

Lors un couple      N         se   refend.

Il est reconnu     T     ou bien nié,

Lors  simul     *     tanément

Devient    E    trésor

Ou bien   S      sera

Déjà       T mort !

.

Vrai que l’on  nomme  un  enfant,

Pour qu’il devienne une  personne,

Vrai que l’ambiguïté  d’un  tel  mot

Ferait de lui aussi bien tout ou rien.

Enfant comme personne, se façonne,

Au fil  des mois et saisons, des années

Lorsqu’il prend tout ce qu’on lui donne

Sans avoir ni à le rendre ni à remercier.

.

Deux parents,      U            avec un enfant,

Et deux enfants       N    Q    un seul parent,

Ne sont situations     E      U    comparables,

Laquelle est la plus      *        ‘     souhaitable.

Combien de parents      P        O       préjugent

Garde enfant leur est     E          N      attribuée

Par une justice, qui       R            *         s’adjuge

 Le droit de décider        S           *   N     trancher.

Car la présence des       O           *     O      parents,

Est très bien pour l’     N           *       M    enfant né

Tant, seul l’amour      N           *         M     sera juge

Si eux-mêmes se       E          *            E      déjugent.

.

L’enfant est              *   une personne :

Ne suffit pas            *   qu’on le nomme

Pour le recon           *    naître en somme

Faut-il encore        *       qu’on le façonne

Enfant est bien     *     *       une personne ;

Adulte, le sera     *           *      encore… plus

Il le prolonge,    *                 *    l’abandonne

Lors ne s’y  re   *                      *   trouve plus.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

772 4

.

Silhouette

D’un enfant

Vers ses trois ans  

Est déjà quelqu’un.

.

Enfant et quelqu’un vont ensemble

et l’on se doit de le traiter comme tel

Garçon et fille, pauvre/riche à égalité

tant et si bien que forme épouse le fond

A partir du moment où l’enfant

Porte son nom, il existe :

Il est quelqu’un en devenir tout en

L’étant, déjà,  à ce stade.

.

Symbolique 

 .

Dans le vécu de l’enfant,

Toute sa relation avec ses parents

Et son environnement, reste importante.

.

Comment se mettent en place les systèmes

De croyances, de ressentis, et nos modes

De fonctionnement issus de cet

Ensemble  de   forces,  et   qui

Vont  représenter  les   bases

Des vécus et  somatisations,

Que nous travaillerons tout

Au long de notre existence.

.

Passer de l’enfant qui sait

À l’enfant … qui est,  puis

À  l’adulte  qui  sera  à  la

Reconquête de l’enfant intérieur.

Source : lessymboles.com/seminaire/lenfant

.

Descriptif

.

772 – Enfant est personne qu’on nomme !  

  Alignement central  / Titre  analogue / Thème  identité

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enfant / Symbole de fond : quelqu’un

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

772 6

.

À partir du moment où l’enfant

Porte son nom, il existe :

Il est quelqu’un en devenir tout en

L’étant, déjà,  à ce stade.

.

Symbolique 

.

Si tout va bien après 3 ans,

Il est inutile de chercher à

Fouiller la petite enfance.

S’occuper de la vie de

Quelqu’un qui ne vous le demande pas,

Cela serait  pathogène. C’est pour cela que

Je n’ai jamais soigné d’enfants sans leur accord.

«Tes parents s’inquiètent.  Est-ce que cela t’ennuie

De ne pas réussir en classe? – Oh non, ça m’est égal.

– Très bien; le jour où tu en éprouveras le besoin,

Tu réussiras, parce que tu es intelligent.

Y a-t-il autre chose qui t’embête?

– Je voudrais que ma petite sœur,

Elle ne soit pas née…

– Ça, c’est difficile.

lexpress.fr/informations/

l-enfant-est-une-personne

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

– Cet enfant c’est vraiment quelqu’un.

– Ah non, cet enfant ce n’est personne,

pas encore mais peut-être plus tard.

.

– Je voulais dire, déjà femme, homme.

.

– Ah oui, l’on jouerait là sur les mots.

.

– Ai connu dont le nom est personne

.

ça n’empêche, devenu quelqu’un.

.

– Arrêtes… t’es trop fort pour moi,

ou je confonds tout, bonhomme.

 .

 .

Est capable de penser

.

Scénario

.

Qu’il soit riche et beau

ou pauvre et bien, abimé par la vie

l’enfant reste une personne à part entière.

 .

Visuels et textuels >>

771 – Si on pouvait tout prédire dès l’enfance !

Visuels et textuels  >>

.

Tout se prédit, dessine, décide,

Avant trois ans :

Qui n’a entendu telle affirmation

En tant que parents.

Mais, si  c’était  vrai, ça  se saurait,

Bien évidemment !

Serions-nous  ce que nous devenons,

Le plus librement.

 .

Le plus étonnant, est que nous n’avons

Pas de souvenirs avant.

Ce qui voudrait dire, sommes gouvernés

Par notre propre inconscient.

Un peu juste, comme raisonnement :

À quoi nous sert notre jugement !

 .

Si on pouvait tout prédire dès l’enfance,

On ferait tout pour éviter une délinquance

On corrigerait nos manques  et  trop-pleins

Pour que le monde soit  plus beau, plus sain.

Mais, cela présupposerait cerveau  soit câblé

Dès  notre plus jeune âge,  et  pour l’éternité !

 .

Que fait-on des apprentissages non terminés :

Bêtises, méchancetés, gènes que  l’on a hérités.

C’est bien peu que de le dire que    tout enfant,

Possède, en son cerveau, une telle      plasticité

Qu’il pourrait devenir n’importe qui en société

Si elle l’accompagne, et s’il se met à sa portée.

 .

Cela veut dire : cerveau sensible à l’affectivité

Et pas seulement aux actes,  aux effectivités.

Un médicament par ci et    un autre… par-là

Ne peut résoudre tous les problèmes et cas.

 .

Réprimer, plutôt qu’éduquer, frapper fort,

Demain, dans dix  ans : on y sera  encore !

Respect et amour  des autres … en prison

Sont des succès, ou retraits  pour de bon.

Récidive  à la sortie : deux mots, lâchés,

Mais, qu’en est-il  de l’éducation ratée ?

 .

Faut-il mettre un enfant  dès trois ans,

En rééducation, l’enlever    aux parents.

Mais, ce ne sont pas  les enfants qui sont

Turbulents, ce sont leurs parents…qui ont

Oublié de les aimer par négligence, temps.

 .

Pour autant ils ne sont pas des délinquants.

Dans notre société en  crise en dents de scie,

Y a pas de place pour  les erreurs dans la vie.

Pressions, compressions, voire répressions,

Viennent à bout de mauvaise éducation.

Elles  s’accélèrent, elles  se détériorent,

Au point  on n’ose plus sortir  dehors :

De savoir qui aura raison  aurait tort :

Trop tard, société aura  perdu  le nord !

.

.

Extensions

 .

Contrôler la destinée de quelqu’un

Pour lui appliquer le sort qu’il mérite,

Dès l’enfance,  est un pari,  qu’il n’a pas la

Liberté d’évoluer dans un sens ou dans l’autre

Et qu’il restera conditionné par cette empreinte

De ses trois premières années, jugées décisives,

En supposant que sur le plan des statistiques,

Cela ferait l’objet d’une corrélation simple,

Que fait-on des sujets qui échappent !

 .

Trois ans, ce n’est pas neuf, dix-huit, trente-six

Il y a de l’eau à passer sous les ponts entre deux

Trouver le même à trois et à trente-six, suppose

Qu’il ait été non seulement programmé : câblé !

Je n’ai pas l’impression d’être, ni l’un, ni l’autre

Bien que je reconnaisse  des traits de caractère,

Nul n’aurait su prédire ce que je suis… devenu !

.

Qui je suis ne dit pas qui je serai

Tous les enfants sont prometteurs

Certains sont testés comme : HPI,

Comme haut potentiel intellectuel.

.

Ça ne veut pas dire : cursus brillant,

Tout dépendrait de ses motivations :

Émotion, affectif, est aussi important

Que la réussite : bonne scolarisation !

.

Élevé au milieu des cochons et des rats,

 Je n’étais pas né pour avoir un doctorat,

J’ai même raté mon bac… c’est tout dire,

Me voilà piqué d’un site propre à écrire !

.

.

771 – Calligramme

.

Tout se prédit, dessine, décide,

Avant trois ans :

Qui n’a entendu telle affirmation

En tant que parents.

Mais, si  c’était  vrai, ça  se saurait,

Bien évidemment !

Serions-nous  ce que nous devenons,

Le plus librement.

Le plus étonnant, est que nous n’avons

Pas de souvenirs avant.

Ce qui voudrait dire, sommes gouvernés

Par notre propre inconscient.

Un peu juste, comme raisonnement :

À quoi nous sert notre jugement !

 .

*********************************

*********************************

.

Si on pou    T    vait tout prédire dès l’enfance,

On ferait tout     O    pour éviter une délinquance,

On corrigerait nos     U      manques, nos trop-pleins

Pour que le monde soit       T         plus beau, plus sain.

Mais, cela présupposerait         *           cerveau soit câblé

Dès notre plus jeune âge, et           P            pour l’éternité,

Que fait-on des apprentissages,       R          non terminés :

Bêtises, méchancetés, gènes que        É        l’on a hérités.

C’est bien peu que de le dire que         D       tout enfant,

Possède, en son cerveau, une telle        I         plasticité

Qu’il pourrait devenir n’importe qui   R    en société,

Si elle l’accompagne, et s’il se met    E   à sa portée.

                                       *

Cela veut dire : cerveau sensible  D   à l’affectivité

Et pas seulement aux actes   È    aux effectivités.

Un médicament par ci et   S     un autre… par-là

Ne peut résoudre tous  *   les problèmes et cas.

Réprimer, plutôt qu’  L  éduquer, frapper fort,

Demain, dans dix   ‘   ans : on y sera  encore !

Respect et amour E    des autres … en prison

Sont des succès      N    retraits pour de bon.

Récidive  à la sortie   F    deux mots, lâchés,

Mais, qu’en est-il  de    A  l’éducation ratée ?

Faut-il mettre un enfant   N     dès trois ans,

En rééducation, l’enlever   C      aux parents.

Mais, ce ne sont pas  les   E  enfants qui sont

Turbulents, ce sont leurs  *  parents…qui ont

Oublié de les aimer par *  négligence, temps.

Pour autant ils ne sont   pas des délinquants.

Dans notre société en  crise en dents de scie,

Y a pas de place pour  les erreurs dans la vie.

Pressions, compres           sions,  répressions,

Viennent à bout de        mauvaise éducation.

Elles s’accélèrent,            elles  se détériorent,

Au point on n’ose              plus sortir dehors :

De savoir qui aura            raison  aurait tort :

Trop tard, société                a  perdu  le nord !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Je ne sais pas vous,

Mais  je vois  figurine

Play Mobil avec une valise

Afin de partir en voyage ?

.

Évocation 

.

771 4

.

Figurine Play Mobil de 5 ans

 Et avec une valise de problèmes.

Pour  la  valise  … d’accord, mais

Le contenu change, quand même !

.

Symbolique 

 .

Réceptacles de symboles désaffectés,

Elles  retrouvent  toute  une symbolique

À l’œuvre dans la socialisation de l’enfant

Et plus encore dans la création artistique.

.

Leur langage, multiple, garde toujours

Une orientation, jugée primordiale :

Celle  de   servir   d’intermédiaire

Significatif entre deux mondes.

.

Des objets hybrides entre

Le vrai et le simulacre,

L’animé  et  l’inanimé,

Le jouet  et  le  fétiche,

Le sacré  et le  profane,

Les poupées, figurines,

Ne  se livreront  que dans

L’ambiguïté de leur nature,

De leurs fonctions et de leurs pouvoirs.

cairn.info/revue-cahiers-jungiens-de-psychanalyse

.

Descriptif

.

771 – Si on pouvait tout prédire dès l’enfance !

  Alignement central  / Titre  serpente / Thème  destinée

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond  approché de forme

Symbole de forme : figurine / Symbole de fond : valise

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

771 6

.

Figurine Play Mobil de 5 ans

 Et avec une valise de problèmes.

Pour  la  valise  … d’accord, mais

Le contenu change, quand même !

.

Symbolique 

 .

Valise symbolise

Le  poids   du    passé,

Des habitudes psychiques,

Des   souvenirs  enfouis   qui

Empêchent toute progression.

.

Elle immobilise  un ou  deux bras,

Empêchant l’action et elle représente

Tous les attachements affectifs qui nous

Encombrent, les comportements obsolètes,

Les us et coutumes    d’un  autre   temps.

.

Il est très fréquent d’égarer sa valise

En rêve et de s’en inquiéter, voire

De s’alarmer voire de dépenser

L’énergie pour la retrouver.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Valise

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Hyperactifs, imaginatifs, toujours remuants,

Ou sage comme une image, disent les parents,

Redisent tous les autres membres de la famille.

.

À choisir, qu’est-ce qui serait, le mieux, le pire :

Une éducation, à la chinoise, ou, à la suédoise ?

.

Méfiez-vous des réponses en projection hâtive,

Un enfant pourra reproduire schéma familial,

Ou tout faire pour y échapper par autonomie

Assurée, assumée qui en fait quelqu’un autre.

 .

.

Enfant : cerveau plastique

.

Scénario

.

Prédire  qu’il  aimerait ceci et détesterait cela,

quels avis on donnerait à  son conseil  de classe,

ou s’il ferait, plus grand, délinquant, de la  prison.

 .

Visuels et textuels  >>

770 – L’enfant passera des larmes aux rires

Visuels et textuels  >>

             .

L’enfant rit

Puis soudain

Enfant pleure,

Sans qu’il y ait

Eu  un malheur

.

Humeur, n’étant

Pas encore  fixée,

Elle tangue, roule,

Selon   son   idée !

.

Car, dès que  cela lui

Échappe,  est étranger

Il prend de  suite, peur

Il tient  à le manifester,

Bruyamment  en pleurs

En réclamant   douceur.

.

Une fois dans  les bras,

De mère conso  latrice

Il se calme  et   il rit

Comme   E * ravi

.

L’enfant passera du rire aux larmes

Comme si…les instants précédents

Avaient fait…peu d’impressions

Sur lui, sur son tempérament.

.

L’enfant passe d’inertie à l’action,

Est là, regarde, contemplation :

Il mélange acte et imaginaire,

Réalité abstraite, arbitraire.

.

L’enfant est innocent ou pervers,

Parfois les deux, le contraire,

Il est jaloux, coupable, fier

Demain autant que hier.

.

L’enfant est un adulte miniature,

Qui apparait, adulte immature,

Enfant surprend de logique

Tout autant de magique.

.

Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est,

Ce que nous aussi, en faisons,

Il a, à la fois, tort et raison,

Tantôt génie, tantôt benêt.

.

Si l’enfant vous pose problème,

C’est qu’il cherche ses limites,

Et si en tout, il vous…imite,

C’est qu’il vous bien aime.

.

Observer l’enfant, vous verrez

Homme miniature en entier,

Qui s’inscrit et se construit

En ses rêves, réinvestis.

.

Terminé, non, restant enfant,

On ne termine jamais d’être

Y a toujours un peut-être

Se conjuguant autant.

.

.

Extensions

 .

L’enfant, bébé, réagit

Comme un animal, qu’il est,

Et un animal en outre prématuré.

Il manifeste ses émotions sans filtre

Ni interprétation et au premier degré.

Qu’il passe du rire aux larmes n’a rien

D’anormal, il évacuera  ses  tensions

Les manifestera comme il les sent.

Simple fait de revenir au contact

De sa mère le rassure tant

Il fait entièrement corps

Avec elle et la lecture

De l’expression souriante

Sur son visage suffit à le calmer.

Le danger s’il existe, n’est plus pour lui.

Un visage étranger le perturbe : même si ce

Dernier sourit, c’est pas l’empreinte qu’il attend.

.

Crier, pleurer, verser des larmes

 Est aussi naturel et fréquent

Chez le tout jeune enfant

Que rire et sourire

Faut se le dire

Lors des signes

Avant ….. coureurs

Se profilent sur visage,

De lecture, compréhension,

Directes, il faudra les compenser.

.

L’enfant est une éponge :

Il absorbe tout ce qu’il voit

Ce qu’il sent, ce qu’il ressent,

Sans recul, au premier degré !

.

On lira, sans cesse, sur ses airs,

Ses émotions de nature primaire,

Il n’en a pas encore de secondaires

Avant trois/quatre ans, langagières.

.

S’il ne développe, entretient émotions,

Il y aura comme un soupçon d’autisme

Pour autant il ne faut pas d’alarmisme :

L’enfant changera vite lors socialisation.

.

.

Épilogue

.

On dit que l’enfant, petit, est ceci,

Quand d’autres prétendent, est cela,

Pour autant, on ne dit  n’importe quoi,

D’autant que tous, enfant, sommes ravis.

***

Il est vrai qu’avant trois ans, il n’est pas fini,

Il y a tant de changements qui se feront en lui,

Que ses humeurs, avec parfois un rien, varient :

Toutefois il saura ce que pleurs et rires nous dit.

***

La différence avec nous, qui sommes conscients

De nos états mentaux, états sensitifs, intérieurs

Nous ne passons pas de l’un à l’autre aussi vite

Ni aussi souvent : certains ne pleureront plus.

***

N’apparait la palette de toutes nos émotions,

Que plus tard, avec le contrôle d’expressions

Cela, de manière universelle en interaction

Qui nous fera dire, n’y a pas qu’imitation.

***

Le bébé, réagira au visage qu’il connait

Par un rire,  ne connait pas le sourire,

Et devant visage inconnu, il l’ignore,

Ou manifestera sa peur par pleurs.

.

.

770 – Calligramme

.

                        L’enfant  D  rit

                       Puis sou  U   dain

                      Enfant   *    pleure,

                  Sans   R    qu’il y ait

                Eu     I    un malheur,

           Hu     R  meur, n’étant

        Pas    *  E    encore  fixée,

     Elle     E    *    tangue, roule,

  Selon    N         A      son   idée !

Car, dès   F             U   que  cela lui

Échappe,   A                 X   est étranger

Il prend de  N                   *       suite, peur

Il tient à le   T                       L manifester,

Bruyamment  *                    A    en pleurs

En réclamant   P                R     douceur

Une fois dans   A             M    les bras

De mère conso  S        E    latrice

Il se calme et  S      S     il rit

Comme   E * ravi

.

**********************************

L’enfant passera du rire aux larmes

Comme si…les instants précédents

Avaient fait…peu d’impressions

Sur lui, sur son tempérament.

.

L’enfant passe d’inertie à l’action,

Est là, regarde, contemplation :

Il mélange acte et imaginaire,

Réalité abstraite, arbitraire.

.

L’enfant est innocent ou pervers,

Parfois les deux, le contraire,

Il est jaloux, coupable, fier

Demain autant que hier.

.

L’enfant est un adulte miniature,

Qui apparait, adulte immature,

Enfant surprend de logique

Tout autant de magique.

.

Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est,

Ce que nous aussi, en faisons,

Il a, à la fois, tort et raison,

Tantôt génie, tantôt benêt.

.

Si l’enfant vous pose problème,

C’est qu’il cherche ses limites,

Et si en tout, il vous…imite,

C’est qu’il vous bien aime.

.

Observer l’enfant, vous verrez

Homme miniature en entier,

Qui s’inscrit et se construit

En ses rêves, réinvestis.

.

Terminé, non, restant enfant,

On ne termine jamais d’être

Y a toujours un peut-être

Se conjuguant autant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

770 4

 Une sorte de torche olympique

Sur un transfert entre deux sites,

Pile d’expressions possibles en bas

basée sur flamme d’émotions en haut

 .

Son expression est changeante au gré

Du vent, événement.

L’enfant ne maitrise, n’anticipe point,

Ses émotions.

 .

Symbolique

 .

Les enfants inventent,

Racontent et symbolisent

Leurs expériences à travers des histoires.

Ils le font à travers leurs jeux ou leurs dessins,

Dans lesquels ils représentent une réalité issue

De l’imitation ou de leur imagination.

.

Les géants, les poupées ou les fées,

Ont, souvent, des  rôles  principaux,

Fréquemment basés sur leurs parents,

Frères et sœurs, membres famille amis.

Lors la fonction symbolique chez l’enfant,

L’aide à générer ses moyens d’expression,

C’est souvent la base pour résoudre un conflit

 Avec le monde des adultes.

etreparents.com/limportance-de-la

fonction-symbolique-chez-les-enfants

.

Descriptif

 

770 – L’enfant passe du rire aux larmes

  Alignement central  / Titre  analogue / Thème  humeur

Forme en ovale /  Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : expressions / Symbole de fond : émotions

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

770 6

.

Son expression est changeante au gré

Du vent, événement.

L’enfant ne maitrise, n’anticipe point,

Ses émotions. 

 .

Symbolique 

 .

Il existe une théorie

 «Émotions de base :

La Joie, Tristesse, Peur,

Colère, Dégoût, Surprise.

Les émotions secondaires,

La nostalgie par exemple,

Sont des mélanges des

Émotions de base.

.

On parle d’émotions mixtes

Pour les émotions secondaires.

Par exemple, d’après Paul Ekman

La honte  est  une émotion mixte :

Un mélange de peur et de colère,

Bloquée ou retournée contre soi

Source : Wikipédia Émotion

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Labilité définie comme propension

À changer, à bouger, à être mobile

Pour l’expression, pour la position,

Comme passer  du rire aux larmes,

Comme être sur le ventre, sur le dos

Tant il ne peut s’empêcher de réagir

Manque de contrôle et immaturité,

Déclenchant sensations de danger.

 .

.

Que d’émotions vives

.

Scénario

.

Enfant, ça pleure fort, au moindre mal, forcément

mais ça rie aussi de rien, ou de pas grand-chose,

et parfois il est entre les deux : sur le point de…

.

Visuels et textuels  >>

769 – C’est l’enfant qui fait devenir parents

Visuels et textuels  >>

.

Éteint

É-tin-celle

De fécondation,

Moment où se joue

Instant où nouvel être

Commence à apparaitre,

Deux partenaires parents.

 Hormis imprévu, accident

Disparition et avortement

Si tout va bien : bonheur,

Pour nos deux géniteurs.

.

L’un voulait…. l’autre pas…. ou moins

Voilà que devant … bébé, il … devient gaga

Et elle se révèle …… avec instinct maternel,

L’enfant les force….. à choix existentiel.

.

C’est l’enfant qui fait

Devenir parents, en vrai

C’est pas l’enfant qu’on fait

Il nait comme une étincelle

En ventre d’une jouvencelle,

Fécondée par le mâle en elle.

Ses spermatozoïdes évoluent,

Vers un ovule à portée de vue :

Premier   qui est arrivé, réussit

Une percée en lui, percée de vie.

Il était temps autres s’amoncellent

En nombres, et, autour de lui, d’elle.

L’adn est dé-doublé  est  reprogrammé

Et à présent divisé, méiosé  démultiplié !

Nouvel être issu d’œuf humain, vient naitre

À une vie, commence voyage chez les terriens,

Neuf mois  en capsule avant sortir de sa lune,

Gémissant, en étonne, plus d’un, plus  d’une.

C’est parti pour les dix-sept à vingt-cinq ans

Pour soins  physiologiques psychologiques

Sans une éducation trop  systématique.

Sur vous fait premières de lait dents,

Dents pour mordre  dans la vie

.

Cycle,  recommencé  lui aussi

Désiré  d’un enfantement

Des fois  …  accidenté.

Enfant que l’on fait,

Est  qui nous plait,

À  ce qu’il  parait,

Nous renaitrait,

C’est bien fait,

C’est parfait,

Et ça se fait

C’est vrai

Ou…ais

VVV

.

.

Extensions

 .

L’enfant qu’on fait

Et  qui nous plait,

À ce qu’il parait,

Nous renaitrait,

Devenu grand-parent,

Et que l’on jouera avec lui.

.

C’est bien fait, c’est parfait

Quand ça se fait, c’est vrai, ouais,

Que c’est le plus beau cadeau qu’on ait.

.

Même s’il nous prend une partie de notre vie,

On ne le regrette jamais : c’est l’enfant qui fait

Devenir parents, suite à une longue maturation

Ou préparation, par accident ou par la force

Des choses mais au final, qu’importe

Si la mue est réussie.

.

Il y a comme un changement radical, d’avoir un enfant.

Rien ne sera plus, désormais, tout à fait, comme avant !

Pour être passé par là, je le confirme

Et c’est le premier qui vous… baptise,

Pour entrer, avec lui, en communion,

Pour la vie entière sinon une portion.

Après, y a parents et parents : c’est normal, c’est animal :

Y a ceux qui vous couvent, ceux qui vous…autonomisent.

Souvenez-vous de votre propre enfance

Vos parents vous suivaient partout ou lâchaient la bride.

.

L’enfant est un bonheur

Et une charge… immense,

L’enfant est accroche-cœur,

Lors une occupation intense.

.

On n’est jamais assez préparé,

À devenir parents, en âge d’être,

Certains, trop tôt, ne savent faire,

D’autres très tard, le materne trop.

.

Y-at-il de bonnes, mauvaises mères,

Des mères délaissant, faisant misère

Y-at-il de bons et de mauvais pères,

Qui n’aiment, n’aident leur enfant !

.

Renier ses parents, arrivé grand,

Couper les ponts sans nouvelles

Suppose de mauvais parents

Amour n’a rien d’éternel !

.

.

769 – Calligramme  

.

Éteint

É-tin-celle

De fécondation,

Moment où se joue

Instant où nouvel être

Commence à apparaitre,

Deux partenaires parents.

 Hormis  imprévu, accident

Disparition et avortement

Si tout va bien : bonheur,

Pour nos deux géniteurs.

.

L’un voulait…. l’autre pas…. ou moins

Voilà que devant … bébé, il … devient gaga

Et elle se révèle …… avec instinct maternel,

L’enfant les force….. à choix existentiel.

.

C’est l’enfant qui fait

Devenir parents, en vrai

C’est pas l’enfant  qu’on fait

Nait comme  E      une étincelle

En ventre d’u  N    ne jouvencelle,

Fécondée par    F      le mâle en elle.

Ses spermato      A        zoïdes évoluent

Vers un ovule        N         à portée de vue,

Premier                    T               arrivé, réussit

Une percée en    *     lui,     *         percée de vie.

Il était temps     N      autres    Ê      s’amoncellent

En nombres     O        et autour      T      de lui, d’elle.

L’adn est        U           dé-doublé         R  reprogrammé

Et à présent  S           divisé, méiosé       E    démultiplié !

Nouvel être  *          issu d’œuf humain,     *     vient naitre

À une vie,     F       commence voyage chez  P     les terriens,

Neuf mois    E      en capsule avant sortir   A        de sa lune

Gémissant   R      en étonne, plus d’un     R    plus   d’une.

C’est parti,  A      pour les dix-sept à    E  vingt-cinq ans

Pour soins  I       physiologiques     N psychologiques

Sans une    T   éducation trop    T systématique.

Sur vous   * fait premières  * de lait dents,

Dents    *  pour mordre  *  dans la vie

.

Cycle,  recommencé  lui aussi

Désiré  d’un enfantement

Des fois  …  accidenté.

Enfant que l’on fait,

Est  qui nous plait,

À ce qu’il  parait,

Nous renaitrait,

C’est bien fait,

C’est parfait,

Et ça se fait

C’est vrai

Ou…ais

VVV

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

769 4

.

Une pelote de liens

Génétiques en fuseau

D’une hérédité dite sexuée

Conception liens de parenté.

 .

Cela, bien avant sa naissance … 

À sa conception même,

C’est l’enfant qui tisserait un lien

À vie entres ses deux parents.

.

Symbolique 

.

Avoir un enfant heureux, épanoui,

Armé pour affronter la vie…

C’est là le vœu le plus cher de tous les parents,

Avant même la conception.

.

Si l’éducation, l’amour et le soutien apportent

Certaines clés à l’enfant dès

Ses premières années, on pense moins souvent

Que la grossesse, la naissance

Pourraient avoir un impact sur la personne

Qu’il deviendra plus tard.

.

Pour Lise Bartoli, psychologue clinicienne,

Hypnothérapeute et auteure de

Dis-moi comment tu es né, je te dirai qui tu es

(Éditions Payot Psy), cette période

Est pourtant essentielle au bien-être immédiat

Et à long terme du futur bébé.

laurencepernoud.com/grossesse/psychologie-

femme-enceinte/personnalite-estime-soi

.

Descriptif

.

769 – L’enfant nous ferait être parents  

  Alignement central  / Titre  analogue / Thème  enfant

Forme en pointe /  Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : naissance / Symbole de fond : lien

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

769 6

.

Cela, bien avant sa naissance … 

À sa conception même,

C’est l’enfant qui tisserait un lien

À vie entres ses deux parents.

.

Symbolique 

.

Un bébé qui développe

Un lien  d’attachement

Stable et sécurisant avec

Ses parents  et  durant les

Premières années de sa vie

Aura plus de chances d’être

Bien équipé pour gérer les

Situations difficiles tout

Au long de sa vie.

.

Au contraire, un bébé

Qui n’a pu former ce lien étroit

Avec des adultes et  significatifs

Pourrait  avoir  des   difficultés

À s’adapter à la vie de groupe.

L’attachement  serait  même

Un élément le plus essentiel

 À la survie d’être humain.

Source : naitreetgrandir.com/fr/

etape/0_12_mois/viefamille

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Pour certains un lien s’établit avant,

d’autres pendant, d’autres après

la naissance de leur enfant !

La mère prend de l’avance

sur le père qui débarque

elle l’a porté, fait naitre

et elle nourrit au sein

le père donne le bain,

alternance le change.

 .

.

Un et deux puis trois et quatre

.

Scénario

 .

Le bébé se porte bien pour son premier anniversaire

sans compter les suivants en devenant un bel enfant,

et deux jumelles ne pèsent pas trop sur leurs épaules.

.

Visuels et textuels  >>

768 – L’enfant naît comme liesse des parents

Visuels et textuels >>

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches voire miséreux.

.

L’enfant  nait,  comme  une liesse,

Des  parents, qui  le reconnaissent,

Comme un  être encore prématuré,

Qu’il faudra bien sûr accompagner,

Maintenant et, toute sa vie, durant.

L’enfant nait comme une promesse,

D’une aventure,  et nouvelle adresse

De soins  et  d’amours  à  dispenser,

De craintes  voire  espoirs  à cerner,

Ce n’est pas  qu’une  page  blanche :

Ce  ne  sera  pas, non plus, un  ange.

.

L’enfant nait comme tempérament,

Se transforme au contact de parents

En caractère qui s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont  que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera soutenu et toujours,

Et qu’il est fruit d’un très bel amour

Enfant nait en ayant un beau destin

Que, peu à peu, et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres, son propre chemin,

Et  ce, jusqu’à ce qu’il le sente bien,

Parents  sont  ainsi  récompensés !

 .

Quoi, de plus beau, que  de donner

La vie sinon que de la transformer

En valeurs,  en bonheurs, en arme

Pour se défendre contre vacarme

Du monde lors quittant le cocon

Familial, où  tout  tourne rond.

Enfant, que je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles,  déjà,

Fait rire le frère anguille,

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

.

Extensions

 .

L’enfant nait comme liesse,

Et de parents qui l’ont désiré,

Et qui ne pensent qu’à le choyer

Comme le plus beau des cadeaux

Que la nature a offert pour passer

Le restant de leur vie sur la Terre.

.

L’enfant rendra, toujours, ce qu’on

Lui donne, d’une manière ou autre

En présence, en soins, attachement,

Amusement, bien avant qu’il soit grand,

Et longtemps après avoir quitté ses parents.

.

Il ne le donne pas en argent mais en sentiment,

En attachement, partageant enfants petits-enfants.

.

L’enfant ne saura pas qu’en naissant,

Il fait une  joie immense à ses parents,

Il se contentera  d’être là,  l’air  content,

Comptant  sur eux, mais, cela est animal,

L’un, l’autre comme son seul lien parental,

Qu’il ressent comme comportement normal.

Cette relation, de totale confiance, le grandit.

Il ne le sait pas bien  encore, mais il y souscrit,

Et si on le laisse seul, on l’abandonne, il dépérit.

.

L’enfant est loin d’être une page blanche

Ne serait-ce que par génétique, hérédité !

.

Ensuite il reconnaitrait la voix de sa mère,

Il a déjà quelques expressions, émotions !

.

Ensuite il décode la joie  de ses parents,

Comme un bien être très réconfortant.

.

Ensuite, il criera  quand il aura faim,

Il pleurera en cas de gêne, abandon.

.

Enfin, il observe tout l’entourage,

Sans compter l’environnement.

.

.

768 – Calligramme   

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches, voire miséreux.

.

L’enfant nait, E    comme une liesse,

Des parents,  N   qui  le reconnaissent

Comme un   F   être encore prématuré

Qu’il faudra  A   bien sûr accompagner

Maintenant    N  et toute sa vie durant.

L’enfant nait     T       comme promesse,

D’une aventure      *      nouvelle adresse

De soins et d’amours     N    à dispenser,

De craintes et d’espoirs,   A      à cerner :

Ce n’est pas qu’une page    I      blanche :

Ce ne sera pas non plus,   T      un  ange !

.

L’enfant nait comme   J     tempérament,

Se transforme au     O contact de parents

En caractère qui     I   s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont    E     que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera    *   soutenu et  toujours,

Et qu’il est fruit  D     d’un très bel amour

Enfant nait en    E  ayant un  beau destin

Que, peu à peu  S      et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres  *      son propre chemin,

Et ce, jusqu’à    P   ce qu’il le sente bien,

Parents  sont    A   ainsi  récompensés !

R  ….…..

Quoi, de plus  E     beau que de donner

La vie sinon   N que de la transformer

En valeurs,   T en bonheurs, en arme

Pour se dé  S fendre contre vacarme

Du monde *  lors quittant le cocon

Familial,    où  tout  tourne rond.

Enfant,  que  je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles, déjà,

Fait rire le frère anguille

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

768 4

.

Une forme étrange

 Comme une bactérie

Longue, et  oblongue,

Une graine, unicité ?

.

Une cellule, fécondée, unique,

qui se divise en deux, plusieurs

donnant naissance au meilleur

la forme épousera bien le fond

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus.

Il y a loin d’une unicité

Cellule à des milliards, pour l’humain !

 

Symbolique 

 

Pour mère nature,

L’essentiel est la graine,

Des graines ou des noyaux.

Du  point  de  vue  symbolique,

La graine, le noyau, c’est l’esprit.

La chair, c’est l’espace  pour  l’âme

Lors la peau, l’enveloppe matérielle,

Le corps physique, qu’on voit, touche.

L’homme  véritable n’est  pas  le corps

Mais ce point imperceptible qui est là,

Quelque part au-dedans et qui pense,

Qui aime, qui crée et qui vit sa vie.

groups.google.com/forum/#!

topic/francom.esoterisme

.

Descriptif

.

768 – L’enfant nait comme joie des parents 

  Alignement central   /  Titre  serpente  /  Thème  enfant

Forme en ovale /  Rimes égales  / Fond  approché de forme

Symbole de forme : graine / Symbole de fond : unicité

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

768 6

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus !

Il y a loin d’une unicité

De cellule à des milliards, pour l’humain !

  .

Symbolique 

.

Le problème des rapports

De l’appareil neuropsychique

Avec le tout de tout l’organisme

Serait maintenant clairement posé

Grâce aux progrès ayant été réalisés

Dans recueils des connaissances des

Communication s… intercellulaires.

En dépit de la complexité  des liens

Qui unissent les milliards de cellules

Constituant  le corps de l’être humain.

Les  deux  caractéristiques …  essentielles

Des êtres pluricellulaires sont unité, unicité.

Ces caractéristiques indissociables se retrouvent

À tous les niveaux et de structures  et de fonctions,

Que celles-ci soient ou non qualifiées de psychiques,

Que l’on considère l’organisme simplement comme

Un ensemble intégré ou comme une personne.

cairn.info/l-homme-fou–9782130461623-page-151

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

.

En culture biologie, il n’y aura pas

De bonnes ou de mauvaises graines

Il n’y aura que des graines tout court.

.

C’est l’homme si ce ne sont les animaux,

Qui les séparent et puis les sélectionnent :

L’enfant ne sera pas la graine,  sera est issu

De deux germes des parents, qui ont fusionné

Pour donner troisième germe mâle ou femelle,

C’est la loi de la nature qui prévaut et renouvelle.

 .

.

La joie au rendez-vous !

.

Scénario

.

Il est bien vivant, et curieux de tout, ce bébé,

ses parents sont, pour lui, des plus attentionnés,

et surtout sa mère qui ne tarit d’éloges à son sujet.

 .

Visuels et textuels >>

767 – Il n’y avait rien et soudain quelqu’un !

Visuels et textuels  >>

.

Étonnant, fantastique…

Et finalement merveilleux,

De rien, de pas grand-chose,

Quelque  chose  de  minuscule,

Devient spécimen d’être humain,

Développe programme génétique,

Qui sera générique et spécifique,

Et en lequel, chacun s’inscrira

Quel chacun se reconnaitra,

Chacun, sa vie, réussira

Peut-être en tous cas

Rien  n’est  joué.

.

Au        départ,

Il     n’y     avait

Rien  et soudain

Il  y a   quelqu’un.

Quand l’enfant nait,

L’enfant,  rien,  ne sait,

Enfant, sans cesse, renait,

Enfant apprend ce qu’il est !

.

Il  n’a  rien  d’une  page  blanche,

Et quand sa mère vers lui s’épanche,

Il possède déjà ses neuf mois d’existence

Et niché  dans son ventre, où il se balance,

Enfant capte tous mouvements, formes ici,

Qui surgissent  en  nouvel  environnement :

Enfant  réagit  par  ses sourires, pleurs, cris

En créant  émotion, empreinte,  sentiment !

.

Il est faux de penser  qu’enfant  est  bien né,

Une fois pour toutes, un jour  du calendrier,

Il nait chaque jour en lui autant qu’en nous

D’un désir qui ne finirait pas de naitre fou,

Sa pensée se forme peu à peu, en séparant

Ses sensations de l’intérieur,  d’extérieur.

.

Quand il rit, rit-il vraiment  de bonheur,

Ou de celui produit miroir des parents.

Ses pages se remplissent  et s’effacent,

Ce sont essais, premières  sont traces,

Conforte intimes réactions, relations

Avec ses deux parents, progressions.

.

Il faut être fou pour faire un enfant

Et bien plus pour le rester, rebelle,

Notre monde réel bien trop cruel,

Pour faire l’enfant éternellement

À  autres  réactions, froissées,

À  d’autres  pages, raturées,

Enfant, se  crée  et  se fait

Bien   après   qu’il   nait,

Évanescent,    naissant,

Enfant en tous cas, est.

.

.

Extensions

 .

Il n’y avait rien

Et puis soudain

Un très fort lien,

Et qui vous tient

Vingt ans  durant

Très  attaché à lui,

Comme à la prunelle

De vos yeux afin qu’il

Réussisse dans la vie

Et réussisse sa vie.

Si rien n’est écrit,

Rien n’est blanc,

Tout est devant,

Et tout est enfant,

Fruit papa, maman.

.

Conçu, attendu, venu : un peu comme veni, vidi, vici

Pour : je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu, de Jules César.

Sans atteindre de telles hauteurs et rapidités de vues,

L’enfant est déjà une personne à sa conception même

Viable, entière, divine : cela se discute et se dispute.

Je n’entrerai pas, ici, dans un tel débat de survie

À tout prix car c’est à la loi de le déterminer

Cela n’enlève rien au principe de fond :

Enfant nous ferons, est, aimons !

.

J’imagine, moi aussi, avoir été

     Désiré,  conçu,  attendu et choyé :

        Troisième enfant après deux sœurs,

           Beau garçon cette fois, quel bonheur !

.

            Ne me souviens de rien, quel dommage

           Peut-être d’avoir été, longtemps bercé,

         Ou d’avoir entendu voix haut perchée

         De ma mère,  comme dans un nuage.

.

       Rien, soudain quelqu’un, attention :

     C’est au moment de la fécondation

     Et non de la naissance, apparence,

    Qui fonde, socialement, existence.

.

.

767 – Calligramme   

.

  Étonnant, fantastique…

   Et finalement   merveilleux,

    De rien, de pas  *  grand-chose,

    Quelque chose  R  de  minuscule,

         Devient spécimen I    d’être humain,

          Développe program  E  me génétique,

        Qui sera générique et  N  spécifique

        Et en lequel, chacun *  s’inscrira

       Quel chacun se reconnaitra,

   Chacun, sa vie, réussira

  Peut-être en tous cas

 Rien n’est joué

 Au       départ,

   Il     n’y    avait

       Rien  et soudain

           Il  y a   quelqu’un.

               Quand l’enfant nait,

                     L’enfant,  rien,  ne sait,

                          Enfant, sans cesse, renait,

                               Enfant apprend ce qu’il est !

                                    Il n’a rien  d’une page blanche,

                                              Et quand sa mère vers lui s’épanche,

                                                     Il possède déjà ses neuf mois d’existence

                                                           Mais niché dans son ventre où il se balance

                                                          Enfant capte tous mouvements, formes ici

                                                               Qui surgissent en nouvel environnement……

                                                          Enfant réagit par ses sourires pleurs, cris

                                                              En créant émotion, empreinte,  sentiment.

                                                                Il est faux  de penser qu’enfant  est  bien né

                                                                    Une fois  pour toutes,  un  jour  du  calendrier,

                                                                     Il nait chaque jour, en lui, autant   * qu’en nous,

                                                                       D’un désir qui n’en finirait pas E    Q    naitre fou.

                                                                      Sa pensée se forme, peu à peu T       U  en séparant

                                                                      Ses sensations de l’intérieur,  *           E   d’extérieur.

                                                                   Quand il rit, rit-il vraiment  S               L  de bonheur,

                                                                  Ou de celui produit miroir  O                Q des parents.

                                                                   Ses pages se remplissent    U                  U  et s’effacent

                                                                   Ce sont essais, premières     D                       sont traces

                                                               Conforte intimes réactions     A              U     relations

                                                           Avec ses deux parents, pour pro I          N gressions.

                                                    Il nous faut  être fou  pour  faire  N  un  enfant

                                            Bien plus, encore, pour le rester, *  rebelle

                                      Notre monde réel est bien trop cruel

                               Pour faire l’enfant éternellement.

                        À autres réactions, froissées,

                     À d’autres pages, raturées.

                   Enfant, se crée  et se fait

                   Bien  après  qu’il  nait !

                   Évanescent,   naissant.

                      Enfant en tous cas est.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

767 4

.

Une silhouette

de femme avec bébé,

Enceinte huit mois,

Et vue de profil !

.

Tant déjà, en le ventre de sa mère,

Bébé devient quelqu’un !

Enceinte en termes de personne,

Enceinte en termes de bébé.

  .

Symbolique

.

Les rêves où apparaissent

Des bébés sont des rêves positifs.

Présence nouvel être est source de joie.

Le bébé est symbole de vie, d’humanité,

De transmission, d’évolution.

.

Ce bébé, c’est une partie

De votre être qui vient d’apparaître.

Comme toute forme de vie nouvelle,

Elle reste encore  des plus fragiles.

Il faudra donc être très vigilant,

.

Veiller à ce que s’épanouisse

Cette nouvelle facette de

Votre personnalité.

tristan-moir.fr/bebe

.

Descriptif

 

767 – Il n’y avait rien et soudain quelqu’un ! 

  Alignement central   /  Titre  analogue  /  Thème  temps

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : bébé / Symbole de fond : enceinte

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

767 6

Modifier le sens de l’image

.

Tant déjà, en le ventre de sa mère,

Bébé devient quelqu’un !

Enceinte en termes de personne,

Enceinte en termes de bébé.

.

Symbolique

.

Femme enceinte

 Est pure  incarnation

    De la beauté, la féminité

Et surtout de l’élégance

Ce serait encore plus vrai.

    Son ventre n’est pas un défaut

             Qu’elle se doit cacher, au contraire,

               Une partie qui doit être mise en relief.

                Afin de mettre en valeur sa silhouette,

            Et son ventre en alliant harmonie et

       Élégance de la future maman est

   Doit être censée être informée

 En permanence de tendance

De la mode pour sublimer

Sa taille et  se dandiner

Avec une belle aisance.

vetement-grossesse.org/une-femme

-enceinte-est-symbole-de-feminite

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une naissance est bel évènement,

Non seulement pour celui naissant

Mais pour le Monde et les parents,

Qui en prendront soin  longtemps.

Femme enceinte,   quand elle sent

Son bébé, à l’intérieur du ventre,

Prend de plus en plus conscience

Qu’il est déjà là, qu’il est vivant.

Elle a un sentiment ambivalent

Est pressée/voudrait le garder.

 .

.

Premier instant, événement

.

Scénario

.

Il est conçu,

il est attendu,

puis il est venu.

.

Visuels et textuels  >>

374 – Voyager au travers des yeux d’un enfant

Visuels et textuels  >>  

.

Voir c’est voir

Ça c’est bien sûr,

Certains  regards,

Mais des plus purs

Invitent à  voir haut

Dans un bleu … azur.

Il n’y a pa  s d’enfants

Qui observent les gens,

D’identiques    façons,

Que parents le feront

Ils sont sans a priori

N’ont pas de clichés

Qui catalogueront

Les étrangers.

.

Lors,

Sans accorder

Confiance aveugle,

Il construit pas à pas,

Ses propres … opinions,

Quant aux … indifférents,

Quant aux méchants, bons.

.

En jeux, l’enfant  s’adrénaline

Cherchant à trouver  combines,

Qui lui fait gagner temps/énergie

Adultes ont peur de rater, eux, fini

.

Devant beaux paysages, il s’illumine,

Écarquille ses yeux avec toute sa mine

Il l’imprime comme joyau de la nature,

Et l’absorbe comme une éponge… pure.

.

Devant film de cinéma  et voire à la télé,

Il plongera en décor et personnage entier

Jusqu’à vibrer, rire, avoir peur ou pleurer,

Pour son héros ou héroïne en grand danger.

.

Les yeux  des enfants, voient du «jamais vu»,

Les yeux des adultes filtrent le «déjà tout vu»,

Les yeux des enfants voient au premier degré,

Yeux des adultes : le second, et voire, dernier.

.

Or peut-on revoir le Monde comme un enfant :

Impossible à certains,  difficile… pour le moins.

Et à quoi nous servirait  leur faux air d’innocent

Sachant que monde est fou, retors et contrepoint :

À rien assurément, seulement heureux, l’admirant.

.

.

Extensions

.

Chacun : enfant, adulte ou vieux,

À beaucoup plus que ses yeux pour voir,

S’expliquer, comprendre, le monde autour de lui

Et au-delà, selon ses connaissance, ses projections.

La construction de son monde est œuvre qui ne finit

De se modifier par assimilation, par restructuration.

.

On se  souvient  de ce qu’on a vu, ressenti, compris

Lorsque  l’on était enfant, mais  point  le revivre,

Du moins, complètement, tant cela supposerait

D’oublier  tout ce qu’on a appris et découvert,

Ce que l’on sait et l’on a expérimenté depuis.

.

L’expérience et la connaissance ne font pas

De marche arrière, même s’ils ne sont pas

À sens unique, et, peuvent s’acquérir par

Des voies contournées voire détournées.

Je ne peux voir le pays de mon enfance

Qu’avec mes yeux d’adulte maintenant.

.

Les enfants voient l’eau comme élément dans lequel ils s’amusent :

Qu’ils soient dedans, à s’y baigner, qu’ils soient dessus, à naviguer,

C’est toujours et encore le plaisir des sensations qui les motivent.

Grandissant, ils s’aventurent plus loin de berge, en canoé-kayak

Prennent des cours, avec un guide, ils font équipes en courses.

Les adultes qui n’en ont jamais fait ont quelques inquiétudes

N’ont plus leurs yeux d’enfants pour foncer comme dératés.

.

On ne sait jamais trop, ce que gardera

Comme souvenir marquant, un enfant,

De sept ans d’un voyage loin de chez lui.

.

Si je me réfère à mon propre expérience,

Visite Lourdes en car de groupe à cet âge

Je me souviens bien de la Grotte, du Gave

Ainsi que marchands d’eaux miraculeuses.

.

Pour y être retourné y faire une apparition

À 20 ans,  pendant  mon  service  militaire,

Je n’ai rien, ou presque, reconnu des lieux !

.

Mon imaginaire  les aurait  bien déformés :

Faut dire qu’entretemps ils avaient changé,

Je me suis avoué : voyage pas même image

En fonction de l’âge et de l’intérêt qu’on a !

.

.

Épilogue

.

Nombre enfants de trois à dix ans

Verraient la même chose que nous

Les interpréteraient différemment,

Ça parait étrange, voire presque fou

***

Y aurait-il deux réalités superposées,

Y aurait-il deux filtres  à fonctionner.

En réalité,: non :elle est ce qu’elle est,

Mais filtres, oui, et  pas que  les yeux !

***

Voir, décoder, interpréter, mémoriser

Suppose apprentissages et éducation :

Adultes percevraient  analytiquement,

Enfants percevront plus…globalement

***

À bien des détails près, comme en jeu,

Très bien connu, des sept différences :

Enfants sont plus sensibles à la magie,

Confondent souvent réalité et illusion.

***

Une fois adulte, difficile de se remettre

À la place d’enfant, sa vision du monde

En pleine construction ; ce qu’il ne voit,

Ne nomme, n’existera  simplement  pas,

***

Voire du domaine de l’inconnu, l’étrange,

Ou contrainte sociale comme le roi est nu,

De l’intérêt de mentir pour tronquer le réel

Enfant ne mentira mais ne saisira pas tout.

***

C’est pourquoi on n’utilise peu son témoignage

Pour un procès, un jugement sinon une décision.

Ceci dit, faudra toujours écouter les dires d’enfant,

Détient surement une part de vérité, à bien décoder.

.

.

374 – Calligramme 

.

Voir c’est voir

   C’est   V   Y bien sûr

   Certains O        E    regards,

  Mais des Y             U  plus purs

  Invitent   A                  X  voir haut

 Dans un   G                     *  bleu azur.

Il n’y a pas E                       E d’enfants

Observant  R                      N  les gens,

D’identique *                     F     façons,

Que parents P                A   le feront

Ils sont sans A          N     a priori

N’ont pas     R    T  de clichés

Qui catalogueront

Les étrangers.

.

*************************

*************************

.

Lors,

Sans accorder

Confiance aveugle,

Il construit pas à pas,

Ses propres … opinions,

Quant aux … indifférents,

Quant aux méchants, bons.

.

En jeux, l’enfant  s’adrénaline

Cherchant à trouver  combines,

Qui lui fait gagner temps/énergie

Adultes ont peur de rater, eux, fini

.

Devant beaux paysages, il s’illumine,

Écarquille ses yeux avec toute sa mine

Il l’imprime comme joyau de la nature,

Et l’absorbe comme une éponge… pure.

.

Devant film de cinéma  et voire à la télé,

Il plongera en décor et personnage entier

Jusqu’à vibrer, rire, avoir peur ou pleurer,

Pour son héros ou héroïne en grand danger.

.

Les yeux  des enfants, voient du « jamais vu »,

Les yeux des adultes filtrent le « déjà tout vu »,

Les yeux des enfants voient au premier degré,

Yeux des adultes : le second, voire, dernier.

.

Peut-on revoir le Monde comme un enfant :

Impossible à certains,  difficile pour le moins.

Et à quoi nous servirait  leur faux air d’innocent

Sachant que monde est fou, retors et contrepoint :

À rien assurément, seulement heureux : l’admirant !

.

.

Forme

.

.

Évocation

.

374 4

.

Un plumeau pour la poussière

Un pendentif ou boucle d’oreille

Ça ressemble  fort   à  un sapin :

Peut-être même arbre de Noël ?

.

Là où, adulte, vous ne voyez qu’un sapin

Des plus communs

Un enfant verra arbre de Noël avec

Ses pieds pour voyager !

.

Symbolique 

 .

Si le sapin

Surgit spontanément

 Dans les dessins d’enfants,

Il est aussi une image vivante

De la verticalité ascendante,

De l’élévation spirituelle

Qui invite à la conquête du ciel.

Il appelle toutefois

Des associations maussades :

Le froid, la neige, la nuit,

Mais sur fond de lune et de ciel étoilé.

Il est également symbole d’immortalité,

Raison pour laquelle

En Russie on couvre un cercueil

De branches de cet arbre.

Le sapin entre dans divers rites et superstitions

Prouvant les vertus de protection qu’on lui accorde.

.

Descriptif

 .

374 – Voyager au travers d’yeux d’enfant  

Alignement central /  Titre cercle  / Thème  voyage

Forme en ovale Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : sapin / Symbole de fond : Noël

.

.

Fond

.

Évocation 

.

374 6

.

Là où, adulte, vous ne voyez qu’un sapin

Des plus communs

Un enfant verra arbre de Noël avec

Ses pieds pour voyager !

 .

Symbolique de fond

 .

En 1837, la duchesse d’Orléans Hélène de Mecklembourg,

D’origine Allemande, fit décorer un sapin aux Tuileries.

Cette tradition se généralisera après la guerre de 1870

Dans le pays grâce aux immigrés d’Alsace-Lorraine

Qui firent connaître tradition arbre de Noël

C’est à cette période que le pays entier l’adopta.

.

Après-guerre, les travailleurs veulent être associés

À la vie de leur établissement. Comités d’entreprise

Voient alors le jour et parmi les traditions mises en place,

Figure le fameux Arbre de Noël du comité d’entreprise.

.

L’espace d’un après-midi, les enfants des salariés

Sont conviés à un spectacle suivi d’un gouter,

Avec souvent une remise de cadeaux,

Sans oublier le grand sapin de Noël

Décoré et installé pour l’occasion.

noel-vert.com/sapin-de-noel/histoire-du-sapin

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Nous ne voyons pas le sapin de Noël

Comme le voit  les yeux  d’un enfant :

Il y voit de la magie pour des cadeaux

Que le Père Noël mettre dans son sabot.

.

Nous ne pouvons retourner à l’enfance,

On ne vit qu’une fois une telle croyance

Tant c’est un peu la corne d’abondance

Qui tombe du ciel et par inadvertance

 .

.

Un regard étonné

.

Scénario

.

Faire du kayak, c’est laisser libre cours aux imaginaires des enfants,

et ça commence tout jeune, dans sa bouée à la plage ou en rivière,

jusqu’à aller à l’aventure, avec un parent, adulte ou moniteur…

 .

Visuels et textuels  >>  

353 – A cinq ans, il rêvait d’une cabane en bois

Visuels et textuels  >> 

.

Il y a bien longtemps,

Une époque… lointaine,

Où les hommes vivaient,

En parfaites… harmonies,

Où  les arbres,  et les gens,

Parfois,   se mélangeaient :

Et lors   morts  en hommes,

En  arbres,  ils   revivaient !

.

Aujourd’hui,   ils ne  parlent

Plus … sauf, à  ces  enfants,

Construisant  leur  cabane,

Et cela,  afin de perpétuer,

Leurs légendes  …  de fées

Lors demeurant les seuls

À pouvoir les … décoder.

.

Il en est, ainsi, d’enfants,

Qui, à l’âge  de  cinq  ans,

Imagine  monde parallèle,

En images, où  … vos amis,

Voire des ennemis invisibles

Menacent, ou bien défendent,

Sa cabane devenue très visible.

.

^

Oui

À cinq ans,

On rêve de cabane

En bois, branche,  tronc,

Où l’on s’amuse, ou se pavane,

Se sent chez soi,  se fait son nom.

.

Facile à dire  mais bien moins à faire,

À cinq ans, il n’y a rien qui aille de soi,

Il faut déjà l’appuyer sur quelques bois,

Sinon elle risque de tomber vite, à terre.

Il faut manier, couteaux, liens, marteaux,

Pour assembler, solidement, la structure.

.

Se faire un plancher avec  toit de verdure,

Un lit, un siège,  une   table, un feu, haut.

Ne pas oublier de se ménager  une porte,

Petit cadre  sur  un  pignon, sur  un côté,

Petite fenêtre pour faire de l’air, circuler,

Râtelier d’armes, pour chasser cloportes.

.

Entrez donc pour vous mettre  à l’ombre,

En forêt qui vous   accueille  et   entoure,

Il n’y a pas de meilleur  endroit  sombre,

Pour vous reposer des misères des jours.

Fermez  les  yeux,    devenez     écoutants

Éternels chants  dits discrets   de la forêt

Vous faites parties intégrantes à présent

Des magies de leurs  murmures,  secrets.

.

.

Extensions

.

Une cabane ou la première habitation

De l’homme après avoir quitté la caverne,

Celle de l’enfant après avoir quitté berceau !

À cinq ans, il est trop jeune encore pour

Se la bâtir, et solidement, tout seul.

.

Aussi profitera-t-il de la présence

Disponibilité et savoir d’un père

Ou grand-père pour s’y essayer

En lisière  d’une  forêt  qui  lui

Fournira tout bois nécessaire.

.

Il y a toutes sortes de cabanes,

Certaines, haut perchées en arbre,

D’autres, demi enterrés en sous-bois :

Chacun selon ses moyens et ses fins.

.

Mais une fois celle-ci construite,

Une autre tâche commencera,

Celle de la meubler, l’habiter,

Et ensuite celle de la défendre,

Pet ensuite celle de la faire évoluer

La détruire pour construire une autre.

Microcosme du monde adulte en somme.

.

La part d’enfance comprise dans l’idée même

Que l’on se fait, aujourd’hui, en nous, de la cabane

 Est sans doute un exceptionnel support à l’imaginaire.

Cette unité minimale est le point de départ à l’expression

D’une création plastique, et voire artistique, qui prend

En compte questions d’espace, de lieu, de fonction

Comme des besoins, désirs de l’être humain.

Inspiré par habiter-autrement.org

.

Achèvement

#

«Ma cabane au Canada
Est blottie au fond des bois
On y voit des écureuils
Sur le seuil
Si la porte n’a pas de clé
C’est qu’il n’y a rien à voler
Sous le toit de ma cabane au Canada
Elle attend, engourdie  sous  la neige,
Elle attend le retour du printemps.»

.

Une belle chanson de Line Renaud

C’est le retour en une pleine nature

Et cela ne manque pas au Canada,

Au point que chacun a la sienne.

 

.

353 – Calligramme

 .

Il y a bien longtemps,

Une époque… lointaine,

Où les hommes vivaient,

En parfaites… harmonies,

Où  les arbres,  et les gens,

Parfois,   se mélangeaient :

Et lors   morts  en hommes,

En  arbres,  ils   revivaient !

Aujourd’hui,   ils ne  parlent

Plus … sauf, à  ces  enfants,

Construisant  leur  cabane,

Et cela,  afin de perpétuer,

Leurs légendes  …  de fées

Lors demeurant les seuls

À pouvoir les … décoder.

Il en est, ainsi, d’enfants,

Qui, à l’âge  de cinq  ans,

Imagine monde parallèle,

En images, où  … vos amis,

Voire des ennemis invisibles

Menacent, ou bien défendent,

Sa cabane devenue très visible.

^

Oui

À cinq ans,

On rêve de cabane

En bois, branche,  tronc,

Où l’on s’amuse,   ou se pavane,

Se sent chez soi,    *    se fait son nom.

Facile à dire  mais  À   D bien moins à faire,

À cinq ans, il n’y a       *        ‘  rien qui aille de soi,

Il faut déjà l’appuyer    C             U       sur quelques bois,

Sinon elle risque de       I                    N     tomber vite à terre.

Il faut manier, coute      N                       E    aux, liens, marteaux,

Pour assembler, solide    Q                           *        ment, la structure :

Se faire un plancher          *                               C      avec  toit de verdure,

Un lit, un siège,  une      A                                     A      table, un feu, haut.

Ne pas oublier    N          se ménager          B       une porte,

Petit cadre sur   S          un pignon, sur       A         un côté,

Petite fenêtre     *           pour faire l’air,       N       circuler,

Râtelier d’ar       I          mes pour chasser     E     cloportes.

Entrez donc       L         pour  vous mettre     *     à l’ombre,

En forêt qui       *         vous   accueille  et      E       entoure,

Il n’y a pas         R        de meilleur  endroit    N       sombre,

Pour vous          Ê        reposer des misères     *     des jours.

Fermez              V        les yeux,      devenez     B    écoutants

Éternels             A       chants  dits discrets     O   de la forêt

Vous faites        I         parties    intégrantes    I    à présent,

De magies         T        de leurs   murmures     S        secrets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

353 4

.

En haut, une haute cheminée ;

Et en bas, une cabane en bois !

À moins que ce ne soit chapelle

Avec un très très grand clocher.

.

Cabane et chapelle vont bien ensemble

une grande cabane ou petite chapelle

tant dans les deux, l’on se recueille :

ainsi forme correspond au fond.

.

Cabane en bois en forêt, quel enfant

De cinq ans n’en rêve pas :

Jamais très compliquée à construire,

 Et toujours… comme chapelle

.

Symbolique de forme

.

Construire une cabane

Demeure un rêve d’enfant

Elle place l’enfant, au cœur

De tout  son  environnement,

Et, souvent, en  pleine  nature.

.

C’est un abri, de bric  et de broc,

Patiemment construit durant l’été

Au fond du jardin, pour se réfugier,

Jouer et rêver ou bien  carton géant

Détourné de sa fonction d’emballage.

.

Planté, dans la chambre, font partie

Des grands classiques de l’enfance,

Une sorte de petit espace à soi

Dans le grand tout que constituent

L’appartement, la maison familiale.

habiter-autrement.org/08.minimaliste

.

Descriptif

 .

353 – A cinq ans : rêvant de cabane en bois

Alignement central  /  Titre analogue  /  Thème  habitat

Forme oblique    / Rimes égales  /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : cabane    /  Symbole de fond : chapelle

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

En haut, une haute cheminée ;

Et  en bas,   une cabane   en bois !

À moins que ce ne soit une chapelle

Avec un très très grand clocher.

.

Symbolique 

 .

Chapelle

Est souvent

Au centre bourg

Ou la ville, au cœur

D’un quartier souvent le

Plus ancien, donc  au cœur

De l’histoire  de  communauté

La forme  de l’édifice : souvent en

Forme de croix, avec la nef et le chœur

Coupés par transept figurant les bras du

Christ en croix. Clocher  signale  l’église.

.

Le tintement  des cloches  convoque au

Rassemblement dominical et annonce

Toutes les étapes de la vie chrétienne

On  pourra, en certains, lieux, noter

Aussi l’angélus du matin et du soir.

Sitecoles.enseignement-catholique.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une petite cabane aura toujours été

Un lieu propice au rêve, imaginaire

Souvent cachée  au fond des bois,

Elle est en contact avec la nature

Chasse  et  cueillette  dans les bois

Et, aujourd’hui, en construire une

Serait s’intégrer pour s’y remettre

Sous forme de jeu et non nécessité

Pour se protéger comme caverne !

 .

.

Une cabane de sorcière

.

Scénario

.

 Une cabane construite en une heure, des plus simples et précaires.

Une cabane plus grande, plus élaborée construite  en deux jours.

Cabane servant de refuge aux chasseurs pour casser la croute.

 .

Visuels et textuels  >> 

291 – Enfant à la plage et château de sable

Visuels et textuels  >>  

.

Plage, enfant

Sable, eau

Château.

Chapeau,

Les remparts

Et les donjons

Et le pont-levis.

Une heure

Le construire

Avec seau, pelle

Beaucoup d’énergie.

Dix minutes

Pour le détruire

Avec vagues assaut

De la marée montante.

.

Le combat

Est trop inégal

Cela il le sait bien

Mais il voulait tenter.

.

Donnez du sable et de l’eau,

Donnez une pelle et un seau,

À un jeune  enfant  et  le voilà

Heureux comme prince ici-bas.

.

Il creuse avec une pelle, remplit,

Des seaux et pour  les renverser,

Lors il est fier  de vous montrer

Le château qu’il aura construit.

.

Et quand de marée, la chanson

Bientôt, menacera ses frondes,

Il les consolide vite  car honte

Que voir détruire sa…maison.

.

Arrive que vagues aient raison

De son œuvre mais sans façon,

Il sautera, pieds joints, dessus,

Pour achever sa mortelle issue.

.

Mais il recommence plus  haut,

Bien que  sachant que les  flots

Lui feront subir  le  même sort :

Entêté,  ce sera lui  le plus  fort.

.

Donnez-lui du sable  et de l’eau,

Donnez-lui une pelle  et un seau,

Vous serez, tranquille et heureux

De voir votre enfant  si valeureux.

.

Donnez-lui  du  temps  et  du beau

Et il vous construirait    …  un palais

Dans lequel vous serez protégé de tout

Et à jamais et pour votre grand bonheur.

.

.

Extensions

.

La gratuité est une valeur innée chez l’enfant

Innocent devant le prix qu’on accorde aux choses,

Il ne mesure pas son énergie au succès emporté

Et encore moins à la valeur de son activité.

.

L’art, éphémère, des châteaux de sable,

Le subjugue même parfois l’envoute :

Tout son plaisir se tient en l’instant :

Château de sable, maison construit

Sur du sable ne sont d’importance

Qu’au moment  où  il les construit.

.

Le plus étonnant  est  qu’il entraine

Ses parents, en  course, un peu folle,  à

Construction-destruction, laps de temps.

On pourrait croire qu’il profite d’expérience

Du recouvrement par la marée, pour s’arrêter

Mais il s’en affranchirait pour retarder le temps.

.

C’est un peu l’accomplissement du mythe de Sisyphe

À son échelle, de toujours recommencer sans se lasser

En croyant qu’un jour, il aura enfin déjoué le sortilège.

.

Un enfant, un seau, du sable, de l’eau

Mais, de là à en faire un beau château,

Il y a un défi où marée  donne le tempo,

En  combien de temps : jamais de trop !

Un enfant,  voire deux,   avec chapeaux,

S’emploient, se relaient, montent haut,

Le ou les donjons, murailles, drapeau.

Et puis une fois qu’il est fini : bravo.

On est tous les enfants face à l’eau.

.

L’enfant n’a pas de conscience

De ce qui est vraiment durable :

C’est ainsi que châteaux de sable,

Sont pour lui, de bonne efficience

Il dure le temps d’être  à la plage,

Sera construit, entre deux  nages,

Il n’y aura pas notion d’héritage :

Entièrement gratuit…  à son âge.

.

L’enfant se tient en ses éléments :

Air sec,  sable  chaud,  mer tiède.

Il court, il saute,  il joue sur tout,

Il ne s’ennuie pas instant du tout

Ne veut quitter la plage, c’est fou.

Voudrais être lui plutôt que dorer

Ma peau au soleil qui me le tanne

Mais le temps a passé, trop abusé.

.

.

Épilogue

.

Château de sable, le plus simple ou compliqué

Est un plaisir autant des petits que des grands

Il suffira d’avoir et seau et pelle le plus souvent

Pour transformer du sable en palais enchanté !

***

Château fort aura la primeur pour sa résistance,

Un paradoxe tout de même, au vu de sa fragilité,

Surtout lorsqu’attaqué par une très grosse marée,

C’était le but du jeu qu’il soit détruit … d’évidence.

***

Un seau est parfois, à une petite marmite, assimilé,

Ici, ce serait la partie féminine du château évoquant

Un donjon où elle se serait refugiée pour se protéger

Avec ses enfants et toute sa famille, des combattants.

***

Parfois, étant pris d’une soudaine rage de destruction

L’enfant venant juste de terminer sa belle construction

À pieds joints dessus, pour l’anéantir plus vite, sautant,

À n’y rien comprendre, et pourtant, des plus fréquents !

***

Il sait bien qu’il ne sera qu’un jouet  des plus éphémères,

Et lors plutôt que de se laisser vaincre par les flots de mer,

Il assume cet acte lui-même et se dit prêt à recommencer :

Vie est-elle bâtie en sable, sur du sable : en vulnérabilités !

.

.

291 – Calligramme  

 .

Plage, enfant

Sable, eau

Château.

Chapeau,

Les remparts

Et les donjons

Et le pont-levis.

Une heure

Le construire

Avec seau, pelle

Beaucoup d’énergie.

Dix minutes

Pour le détruire

Avec vagues assaut

De la marée montante.

Le combat

Est trop inégal

Cela il le sait bien

Mais il voulait tenter.

 .

 *****************************

.

Donnez du      E           sable et de l’eau,

Donnez une    N        pelle et un seau,

À un jeune       F      enfant,   le voilà

Heureux en     A      prince ici-bas.

Il creuse avec   N    pelle, remplit,

Des seaux pour T   les renverser,

Et il est fier de   * vous montrer

Le château qu’il  P   a construit.

Quand de marée   L    la chanson

Bientôt, menace    A    ses frondes,

Il les consolide        G  vite car honte

Que voir détruire     E       sa…maison.

Arrive que vagues      ¤         aient raison

De son œuvre    C     mais      D     sans façon

Il sautera,       H      pieds joints    E     dessus,

Pour ache            ver sa mortelle    *        issue.

Mais il re-     T      commence  plus     S       haut,

Bien que      E       sachant   que  les    A        flots

Lui feront    A       subir  le  même     B        sort,

Entêté, ce     U     sera lui le plus     L        fort.

Donnez-lui    *      du sable, de   E      l’eau,

Donnez-lui   *  une pelle    *  un seau,

Vous serez, tranquille, et heureux,

De voir votre enfant si valeureux.

Donnez-lui du temps  et du beau

Et il vous construirait  … un palais

Dans lequel vous serez protégé de tout

Et à jamais et pour votre plus grand bonheur.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

291 4

.

Une forme de…  guitare,

Ou  encore une  marmite,

Ou un seau pour construire

Beau château de sable.

.

Rien  à  voir  avec  un  quelconque…

Château de sable :

Encore que la marmite peut servir

Pour construire.

.

Symbolique

 .

La marmite, comme

Les autres  contenants,

Est un symbole féminin.

Mise  sous l’action du feu,

Elle  sert à  transformations

Alchimiques     de     la   cuisine.

.

Aujourd’hui en imagerie collective

Le chaudron  est associé à la  magie,

Et à la sorcière, et c’est bien en ce sens

 De maniement  toutes sortes  d’énergies,

Par les feux, servant  à des fins occultes :

Un pouvoir  qu’il évoque  de prime abord.

.

Casserole, version moderne du chaudron,

Le creuset de nécessaire transformation

Par feu de l’impur en pur pour rendre

Assimilable ce qui ne l’était pas.

Source : tristan-moir.fr/marmite

.

Descriptif

 .

291 – Enfant à la plage : château de sable  

Alignement central  / Titre cercle   /   Thème   plage

Forme courbe  / Rimes variées  / Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : marmite / Symbole de fond : château-sable

.

.

Fond

.

Évocation 

.

291 6

.

Rien  à  voir  avec  un  quelconque…

Château de sable :

Encore que la marmite peut servir

Pour construire.

.

Symbolique 

 .

Un château de sable

Est  sculpture  de  sable,

Pouvant représenter une

Construction       humaine

Généralement    un château

Ou être de forme quelconque :

Et lors le site tout désigné pour

Sa construction demeure  la plage,

Il s’agit d’une construction éphémère,

Disparaissant au gré des vagues ou du vent,

Ou d’œuvres pérennes, préservées à l’aide de colles.

En forme primaire, les châteaux de sable participent

Davantage du jeu ou de la socialisation que de l’art !

fr.wikipedia.org/wiki/Chateau_de_sable

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’enfant ne s’allonge pas sur la plage,

Pour se reposer, et pas même bronzer

Il ne pense qu’à s’activer, se dépenser,

Cueillant des coquillages, se baignant

Voire courant partout sinon creusant

Le sable  avec une pelle et un seau,

Pour  construire  digue,   marée,

Ou château de sable éphémère

Qu’il tente de sauver de l’eau

Sachant c’est peine perdue.

 .

.

Château sable-colle éphémère

.

Scénario

.

Château de sable, en début de construction, à marée basse.

Le même château de sable, une fois terminé, à marée haute.

Autre château plus élaboré, avec tourelles, remparts, donjon.

 .

Visuels et textuels  >>

622 – Faire autrement quand on aime !

Visuels et textuels >> 

.

Quand on aime, on ne compte pas

Quand on aime… l’on ne conte pas.

Seule chose vraie dans ces deux cas,

L’on agit, l’on n’en parle plus ou pas !

.

C’est ce que font les gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire leur nid,  leur  enfant

Faire leur vie en somme, tout simplement

Quel que soit le parcours riche ou bohème

.

Enfant désiré, n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du passé  qui tarde  à  s’incarner,

N’est que promesse d’un avenir qu’induit

La nécessité de le faire quand on s’aime !

.

Comment faire autrement quand on aime

L’on ne va pas que se parler quand même

D’une façon qui ne rejoint pas l’extrême

Lors même tout y pousse en un poème.

.

Poème que de se toucher,  que caresser

Des peaux nues par nos mains tendues

Par leur désir, à n’en plus finir, de tisser

Toile pour se rendre prisonnier ou confus.

.

Poème d’embrasser «bouche que veux-tu»

Pour y goûter le langage nouveau, inconnu

De ceux  qui n’ont, pour langue …que vertu

De ne jamais  pénétrer, là où, c’est défendu.

.

Poème, de pénétrer, comme soc de charrue

Le ventre d’une terre fertile  et bien conçue

Pour que petite graine pousse et grandisse

Que greffe enfant de l’amour, y réussisse !

.

Mais que faire autrement quand on aime

À moins  de se   faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi je t’adresse cette prière

Ne dis rien et fais le moi en l’extrême

.

.

Extension

 .

Faire autrement est toujours possible,

On peut s’abstenir, jouer l’indifférence,

Remettre à plus tard… donner le change,

Le tout pour susciter la jalousie de l’autre.

.

Comment faire  autrement que  de se revoir,

Se fréquenter assidûment, se mettre en couple,

Se marier ou tout comme, désire, faire un enfant,

Fonder une famille, bâtir une maison, une carrière,

Un style de vie, voire une manière d’être ensemble,

Pour une fidélité à toute épreuve et tutti quanti…

.

L’enfant est le pivot, est l’élément déterminant,

Fédérateur, épreuve de vérité, c’est souvent

À ce moment que le bât blesse et que les

Couples se disjoignent et finiront

Tôt ou tard …  par se séparer.

.

L’enfant devient la fleur de

L’amour conjugal mais aussi

Et bien plus encore, le fruit de

L’amour parental, l’amour conjugal

Est virtualité ; l’amour parental, réalité

L’enfant survit à tout cataclysme amoureux

Et a besoin de ses deux parents, ne serait-ce

Que pour grandir, pour assurer son avenir !

.

Comment faire autrement ! Eh  bien si, justement, l’on peut :

L’amour dans un couple n’est pas fatalement lié à la grossesse

L’amour serait d’abord et avant tout, un échange de tendresse

L’enfant qui en sera enfanté ne sera que l’enfant que l’on veut,

Pour se prolonger, s’occuper, transmettre, ou  donner encore

Ce qu’il y a de mieux pour qu’amour se construise et dure

 Que l’enfant prenne modèle sur ses parents, et s’invente.

.

Faire autrement peut très bien se conclure

Par je ne veux pas d’enfant, et de personne ;

Je ne veux pas d’enfant de toi, moi non plus ;

Je me ferai faire un enfant toute seule, adieu ;

.

Cas de figure échappant à coutume maritale :

Je ne voulais pas  d’enfant : tu m’as  bien eu,

Est un autre sans moindre accord préalable

Et ainsi va la vie et ainsi vont …  les choses.

.

Ça n’empêche pas l’Humanité de croitre

Mais ce sont souvent les plus fortunés,

Qui ne s’embarrassent pas d’enfants.

.

.

622 – Calligramme 

 .

           Quand on aime  C   on ne compte pas

          Quand on aime   O       on ne conte pas.

        Seule chose vraie M   dans ces deux cas,

      L’on agit, on n’en  M   parle plus, ou pas !

E

C’est ce que font les  N    gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire   T  leur nid, leur enfant…….

Faire leur vie en som  *   me, tout simplement …….

Quel que soit le par  F  cours, riche ou bohème …….

   A …………….…

Enfant désiré        I     n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du         R    passé qui tarde à s’incarner.

N’est que pro      E      messe d’un avenir qu’induit

La nécessité        *      de le faire quand on s’aime !

A ……………………

Comment faire   U   autrement ….. quand on aime

L’on ne va pas    T   que se parler quand même……..

D’une façon qui   R    ne rejoint pas l’extrême ……………

Lors même tout    E    y pousse en un poème ………………….

Poème que de se   M   toucher,  que caresser ………………………

Des peaux nues     E  par nos mains tendues ……………………………

Par leur désir, à     N   n’en plus finir, de tisser …………………………….

Toile pour se ren    T  dre, prisonnier, ou confus ……………………………

Poème d’embras    *  ser «bouche que veux-tu» …….………………………

 Pour y goûter le    Q   langage nouveau, inconnu ….….…………………..

De ceux qui n’    U     ont pour langue que vertu …….……………….

De ne jamais    A     pénétrer, là où, c’est défendu ………………

Poème, de     N    pénétrer, comme soc de charrue ……..

Le ventre    D    d’une terre fertile et bien conçue…

Pour que    *  petite graine pousse, grandisse   *

   Que greffe      O    enfant d’amour, y réussisse !

N ………………..

 Comment faire   *         autrement si on aime

 À moins de se     A    faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi     I   je t’adresse cette prière

Ne dis rien et     M    fais le moi en l’extrême

E  ……………

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

622 4

.

Un fruit visible d’un amour

Conjugal et puis parental,

 Est celui d’être enceinte

Bébé presqu’à terme.

.

Enceinte d’un bébé fruit d’un désir

pas toujours il est vrai avant  mais

le plus souvent après ou pendant :

le fond prend forme en neuf mois.

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes 

Lors dans toute nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

  .

Symbolique 

 .

Le sens des rêves enceinte

Ne renvoient pas forcément à

La conception d’un enfant.

Si ce rêve de grossesse

Est très symbolique,

Il représente  l‘aspect

Fertile puis créateur  qui

Et met en place dans votre vie

Au moment du rêve dont  les détails

Et vos préoccupations à l’état de veille

Vous montreront de quel domaine de votre vie

Il s’agit, ainsi que ce que vous pourrez en déduire :

Sur le plan matériel, psychique, intellectuel, spirituel.

Modifié, source : solutionreves.com/glossary/rever-detre-enceinte

.

Descriptif

 .

622 – Comment faire autrement quand on aime ? 

Alignement central  / Titre serpente / Thème enceinte

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enceinte / Symbole de fond : bébé

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

622 6

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes :

Lors dans toute  nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

 .

Symbolique 

 .

Que l’on se voit bébé,

         Ou père ou mère  d’un bébé,

                   Ou bien encore en train d’assister,

                         De vivre soi-même un accouchement,

                               Rêver de bébé est un rêve très fréquent.

                                Bien que plus souvent chez les rêveuses

                             Les raisons sont très évidentes tant

                         La maternité aura à voir avec la

                        Grossesse  et corps des femmes.

                    Ce rêve sera-t-il à interpréter

                  Comme  beau  désir d’enfant

               Voire  envie  de   parentalité

              Vous pensez qu’ils sont liés à

     «L’instinct de maternité »,

        Bien que parfois contesté ?

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui dit enceinte dit la conception à deux

Qui dit bébé dit accouchement prochain

Faire autrement reste toujours possible,

Comme d’adopter un enfant  né ailleurs,

Le chérir, élever, comme si c’était le sien.

Si les liens du sang  sont très importants,

Ceux du cœur ne le seraient guère moins.

Ce ne sont enfants adoptés qui le nieront.

 .

.

Un microcosme familial

.

Scénario

.

Comment faire autrement qu’avoir bébé pour transfuge d’amour.

Comment faire autrement, le porter, à bout de bras, chaque jour.

Comment faire autrement, le mettre entre nous, lien indéfectible.

.

Visuels et textuels >> 

992 – L’enfant de qui je suis, celui que j’ai fait !

Visuels et textuels  >>

.

Notre propre identité est héréditaire

Au sens   d’être né  d’un père, une mère.

Son identité est aussi   liée aux   personnes

Qui  nous ont élevé, soigné, éduqué,  et  aimé !

.

Notre identité est, aussi, liée  à une communauté,

Qui nous a accueillis en son sein, où l’on aura grandi.

Sang, cœur et sol sont trois piliers de notre personnalité,

Lors ils se correspondent, s’allient, ils ne sont pas aliénés.

  .

L’enfant de qui je suis,

Et  celui  que j’ai  fait :

Qu’ont-ils en  commun

Sauf  être frère humain

Pas  de  même  époque,

Ni de mêmes   parents,

Pas  de même  enfance,

Ni de même éducation.

.

Et en quoi,  liens du sang,

Prévaudraient, avant tout,

Sur tous les liens  affectifs,

Nés sur sol,  même maison.

.

Sang, cœur  et sol : effectifs,

En bonne mesure … se valent

Posent problèmes  d’identités,

À ceux qui doutent de leur mal.

.

De mes parents, j’aurais hérité,

Caractère  qu’ils  ne renieraient

Bien que le mien est plus nuancé

.

Air de famille vite le confondrait !

Et si deux parents n’en font qu’un,

Pour reconcevoir, une  fois  grandi,

Son propre projet deviendra  choisi

Pour soi-même,   avec leur soutien.

.

Quand on a un  doute sur identité

Allant au-delà  de ses … filiations

Ce n’est  plus la question du sol

Sang ou cœur qu’il faut traiter,

.

Mais bien celle de personnalité,

Ne cadrant pas avec reste famille

Si ce n’est pas   avec notre société,

Ou tout repré   sentant de l’autorité.

.

Extensions

.

Le vilain petit canard, le mouton noir,

Le génie de la famille, l’artiste anarchique :

Autant de figures classiques qui ne reflèteront

Ni les gènes des parents ni les éducations sociales.

Entre l’enfant de qui je suis et l’enfant que j’ai fait,

Il peut y avoir comme  forte ressemblance,

Physique, morale, professionnelle ou

Au contraire, aucun lien évident.

Il y a des enfants suivent un destin tracé

Et d’autres qui construisent le leur, à partir

D’opportunités, ou voire de volontés d’y arriver !

Droit du sang, droit du sol : la question ne se pose pas

Si on choisit, à sa majorité, l’identité que l’on préfère,

Ce qui ne signifie pas que l’on renonce à une seconde,

Mais la porte «en soi» au lieu de la porter «sur soi»

Je veux dire sur son passeport, sa carte d’identité.

Le statut d’apatride, c’est à dire de nulle part,

Ne rejoint pas celui de citoyen du monde,

Même Jésus, bien que fils de Dieu,

Reste connu comme roi des juifs

Alors qu’il est mort comme

Le premier chrétien !

.

Il n’est jamais possible de connaitre l’ensemble de ses racines

Mais il nous est impossible de les renier

Si on peut remonter ses ascendant jusqu’à la fin du Moyen-âge

La plupart du temps, un siècle est moyenne

Et si moi je peux remonter jusqu’à mes arrières grand parents

Ça ne fera jamais que cent cinquante ans.

.

L’enfant de qui je suis sera-t-il si différent

De l’enfant … que j’ai fait

Après deux grands mixages deux génomes

Qu’aura-t-il perdu et gagné.

.

Quand l’on dit : «je ressemble à un parent»

Physique, caractère, les deux,

De plus, qu’aura-t-il acquis, par lui-même,

En fonction de son milieu de vie !

.

.

992 – Calligramme

.

Notre propre identité est héréditaire

Au sens   d’être né  d’un père, une mère.

Son identité est aussi   liée aux   personnes

Qui  nous ont élevé, soigné, éduqué,  et  aimé !

Notre identité est, aussi, liée  à une communauté,

Qui nous a accueillis en son sein, où l’on aura grandi.

Sang, cœur et sol sont trois piliers de notre personnalité,

Lors ils se correspondent, s’allient, ils ne sont pas aliénés.

   E

L’enfant de                  N               qui je suis,

Et celui  que              F                j’ai  fait :

Qu’ont-ils  en         A             commun

Sauf être frère     N             humain

Pas de  même    T           époque,

Ni  de mêmes   *          parents,

Pas de même   D        enfance,

Ni de même    E    éducation.

  *

Et en quoi,  liens du sang,

Prévaudraient, avant tout,

Sur tous les liens  affectifs,

Nés sur sol,  même maison.

Sang, cœur  et sol : effectifs,

En bonne mesure … se valent

Posent problèmes  d’identités,

À ceux qui doutent de leur mal.

 Q

De mes parents   U   j’aurais hérité,

Caractère qu’ils    I     ne renieraient

Bien que le mien    *    est plus nuancé

Air de famille vite   J     le confondrait !

Et si deux parents   E     n’en font qu’un,

Pour reconcevoir      *    une  fois  grandi,

Son propre projet     S    deviendra  choisi

Pour soi-même,         U    avec leur soutien.

Quand on a un            I     doute sur identité

Allant au-delà              S     de ses … filiations

Ce n’est  plus                *      la question du sol

Sang ou cœur              A        qu’il faut traiter,

Mais bien celle              I          de personnalité,

Ne cadrant pas              *        avec reste famille

Si ce n’est pas                F      avec notre société,

Ou tout repré                 A   sentant de l’autorité.

  I

  T

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

992 4

.

Un gros champignon,

Un arbre généalogique,

Avec ses grandes racines en bas

Et sa forte reproduction en haut

 .

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

 .

Arbre généalogique et reproduction

s’accordent parfaitement, en succession

autant qu’en diversification, branche morte,

si fait que la forme illustre totalement le fond.

.

Du grand-père, au père, à l’enfant

Toute  une  lignée  généalogique,

Sans laquelle il n’y aurait plus

Reproduction, succession.

 

Symbolique 

 

Que ce soit pour la reproduction sexuée

Ou la multiplication végétative,

L’hérédité n’est possible que si le support

De l’information génétique : l’ADN

Est dupliqué et transmis au nouvel organisme.

.

Cela est possible dans tous les cas

Grâce à la réplication de l’ADN, qui précède

Toute division cellulaire comme

La mitose ou la méiose.

Le mode de réplication

De l’ADN  est  universel

Dans le monde vivant :

C’est le mode considéré

comme semi-conservatif.

wikipedia.org/reproduction informations genetiques

.

.

Fond

.

Évocation

.

992 6

.

Du grand-père, au père, à l’enfant

Toute une lignée généalogique,

Sans laquelle  il n’y aurait plus,

De reproduction, succession.

 

Symbolique 

 

Au tournant de l’an mil, la généalogie

Accompagne la mise en place de la société féodale

Les  efforts de l’Église pour la transmission des généalogies,

Affirmer sa vision de la famille et des règles matrimoniales strictes.

.

La mise en place graphique de l’arbre généalogique représente

Pour de nombreux participants l’ayant expérimenté

Cette approche est un moment fort en émotions.

C’est aussi  retrouver sa verticalité, sentir

Le flux de la transmission qui vient

Irriguer notre enracinement.

psychogenealogie.com/2403-2

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Généalogie de la reproduction,

Que ce soit sous forme d’arbre

Ou de place dans une matrice

Chacun sera né de quelqu’un,

Pour donner  vie  à un autre,

Et selon une chaine, sans fin,

Où figure sur branche d’arbre

Mes ascendants et descendants

Jusqu’à leurs profondes racines,

Se perdant en la nuit des temps

Du moins jusqu’au moment

Où l’homme est advenu.

 .

.

Trois générations ensemble

.

Scénario

.

L’enfant  de qui  je suis : front contre front, contre lui, joyeux.

devient de plus en plus autonome, entreprenant en grandissant,

mais lors rendu adulte,  il nous restera toujours un côté enfant.

 .

Visuels et textuels  >>