1126 – Quand l’enfer me ment, le paradis dément !

Visuels et textuels >>

.

En jeu de mots,

Enfer me  ment,

Paradis   dé-ment,

Avec force mystère !

.

Lors paradis d’amour

Demeure enfermement

À deux, en  tours  d’ivoire

En ignorant environnement.

.

Enfer dément feu éternel existe

Le paradis ne serait  pas  sexiste,

Du simple fait qu’ange, sans sexe,

Ne s’en font plus  aucun complexe.

 .

Lors enfer me ment, paradis dément,

Que peut vouloir dire cette phrase ci,

Que le paradis pourrait être un enfer

Ou bien  qu’il existe, déjà, sur Terre.

.

Paradis d’amour et d’enfermement,

Ressemblent fort à l’enfer d’autant

Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent

Tant que l’on a des yeux d’amants.

.

Qui souligne comme une évidence

Que tous les contraires se joignent

Avec plus, sinon moins, de poigne.

.

L’enfer dément  qu’un feu … existe

Alors que toutes les visions artistes,

Le met en avant-plan d’avant-scène.

  .

Quelque part entre l’enfer et paradis,

Il y aura la lucidité d’une conscience,

Qui ne se ment pas déjà à…elle-même,

Même quand prise d’émotion extrême.

.

.

Extensions

 .

Prise entre l’enfer et le paradis, l’Église,

En état d’indigence, en besoin d’indulgences,

Dans les deux sens du terme, pardon et argent,

A inventé le purgatoire dont on ne sait ni le lieu,

Ni la fonction exacte  et ressemble un peu à une

«Garde à vue»  dans  une cellule  de  dégrisement,

Où l’on attend, patiemment, son passeport  pour

Le paradis  ou l’acheminement définitif en enfer,

Selon ses actes de contritions, voire d’expiations.

.

Mais si le purgatoire est provisoire, pourquoi pas

Le paradis, l’enfer, ne le seraient-il pas : illogique ?

L’Église aura fait la distinction entre péchés véniels,

Capables d’être expiés purgatoire et péchés mortels,

Conduisant directement en enfer de Jérôme Bosch.

.

Au Moyen-Âge, le purgatoire est symboliquement

Illustré comme étant un lieu de feu purificateur.

Il aurait été redéployé au milieu du XIXe siècle

Face à la montée du spiritisme ou  d’invocation

Des âmes trépassées par des moyens ésotériques,

Non chrétiens. Son évocation s’est depuis raréfiée.

.

Enfermement et enfer me ment : en un ou trois mots,

L’enfer ce serait  toute  privation de liberté et de vérité,

On peut être enfermé seul ou en couple enfer ou paradis

L’enfer si l’un domine l’autre et l’empêche d’être, de sortir

Paradis  si celui qui est sorti  ouvre la porte à l’autre, vérité

Dément en tant que personne et dément en tant que… verbe

S’écrivent et se prononce  de la même façon,  n’ont rien à voir

Et quand l’enfer dément que le paradis est un lieu de bonheur

Le paradis rétorque que l’enfer est réservé à tous les déments !

.

Entre l’enfermement en paradis dément

Ou rester sur Terre, même si purgatoire,

Mon cœur et mon esprit sinon mon âme,

Ont choisi cette dernière pour agrément.

.

Tant si l’enfer, c’est le mensonge, le faux,

Un paradis de vérité, ne sera pas si beau.

Qui décide, vraiment, du vrai et du faux :

L’Église voire le gouvernement d’en haut.

.

L’on dit que toute prison est enfermement,

Qu’il soit physique, psychologique ou moral

Vivre en un paradis peut être insupportable

Pour ceux qui seront inaptes aux bonheurs.

.

.

Épilogue

.

Il se trouve, comme il se doit,

Que tout paradis et tout enfer,

Ont une porte entrée à franchir

Avec des juges pour son sézame.

***

Il faut s’entrainer avec le Sphinx,

À résoudre des énigmes mortelles,

Sinon l’on serait pris  au dépourvu,

En tombant  de paradis  vers l’enfer.

***

Qui dit porte, dit liberté, enfermement :

Religion adopte second en… manipulant

L’humain pour peur de sa mort, en enfer,

Mort deux fois : sur Terre et en l’éternité !

***

Ce n’est pas que  cette croyance  soit inutile,

Il en faut une, de toute façon, mais  pourquoi

L’imposer  comme seule et unique, sans savoir

Ce qui nous attend réellement autre côté miroir.

***

Comme tout ce qui nous importe et fait sens de vie,

Notre libre-arbitre, si tant est qu’il existe, fonctionne

Nous accorde le choix, venant de l’intérieur, personnel

Suite à notre propre et unique expérience individuelle !

***

Qui ment et qui dément, qui dit vérité et qui dit fausseté :

Allez savoir, ce n’est pas qu’affaire de science, connaissances

Mais d’un processus d’individuation basée sur notre intuition

Venant combler les manques de toutes nos croyances erronées.

.

.

1126 – Calligramme

.

     QUAND

     E  *  P  

   En jeu    N       A de mots

Enfer me   F            R      ment

Le paradis  E                A   dément,

Avec force   R                  D     mystère !

Lors para     *                    I   dis d’amour

Demeure     M                   S   enfermement

À deux, en    E                   *    tours   d’ivoire

En ignorant    *                 D   environnement.

Enfer dément  M              É   feu éternel existe

Le paradis ne    E             M   serait pas sexiste

Du simple fait    N             E   qu’ange sans sexe

Ne s’en font plus  T            N   aucun complexe.

                         T

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

 ¤¤¤    Lors enfer me ment, paradis dément,   ¤¤¤

¤¤¤    Que peut vouloir dire cette phrase ci,   ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis pourrait être un enfer   ¤¤¤

¤¤¤    Ou bien  qu’il existe déjà sur Terre !    ¤¤¤

.

¤¤¤     Paradis d’amour et d’enfermement,    ¤¤¤

¤¤¤      Ressemblent fort à l’enfer d’autant     ¤¤¤

¤¤¤      Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent     ¤¤¤

¤¤¤      Tant que l’on a des yeux d’amants.     ¤¤¤

.

¤¤¤      Qui souligne comme une évidence     ¤¤¤

¤¤¤      Que tous les contraires se joignent     ¤¤¤

¤¤¤      Avec plus, sinon moins, de poigne.     ¤¤¤

¤¤¤      L’enfer dément  qu’un feu … existe     ¤¤¤

¤¤¤     Alors que toutes les visions artistes,    ¤¤¤

¤¤¤     Le met en avant-plan d’avant-scène,   ¤¤¤

¤¤¤    Quelque part entre l’enfer et paradis,   ¤¤¤

¤¤¤    Il y aura la lucidité d’une conscience,   ¤¤¤

¤¤¤   Qui ne se ment pas déjà à…elle-même, ¤¤¤

¤¤¤  Même quand prise d’émotion extrême. ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1126 4

.

Cela ressemble à une grande porte

Avec, au dessus, un grand fronton, 

Et sur lequel serait écrit «paradis»,

Tandis qu’en bas, écrit c’est l’enfer.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Pourquoi s’imaginer enfer et paradis

avec une porte, une sirte de sasd’entrée

toutes les religions en parle, et l’adopte

ainsi telle porte évoque bien le fond !

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

Paul Diel interprète l’enfer

Perspective psychologique,

«L’esprit  est  appelé  Zeus ;

Pour l’harmonie  des désirs,

Apollon : l’inspiration intuitive,

Athénée : le refoulement, Hadès».

L’enfer est à l’intérieur de soi-même,

L’enfer de ses démons qui nous possèdent.

.

Dans la tradition chrétienne, l’enfer

Est le péché mortel              lui-même

Dans lequel  les damnés  sont morts.

C’est la perte  de la présence de Dieu,

Malheur absolu, privation radicale.

.

La rédemption du damné n’est plus

Possible, fixé dans sa peine.

Dans une conception moderne

Et existentialiste : « l’enfer c’est les autres »

Selon Jean Paul Sartre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1126 6

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

La porte d’entrée, est un

Passage d’un lieu à un autre,

Un rôle de protection pour être

En totale sécurité, lors chez soi :

Sert autant à entrer qu’à sortir ;

Ou même  à franchir  un obstacle,

Sinon reculer devant un obstacle ;

Porte gérant l’extérieur, l’intérieur.

.

Référence à clé  (solution problème)

L’enfermement  ou emprisonnement

Lumière  de  coté / obscurité, autre ;

La vie  et la mort / jugement dernier

Ou l’entrée  au royaume  des morts ;

Ce qui  est  révélé / ce qui est  caché ;

Bien / mal, limite à ne pas franchir :

Ce qui est sacré / ce qui est profané ;

euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La porte, après vous : fermez-là bien

Car il n’y aura pas de place pour tous

Au paradis où les places sont chères

Entendons-nous bien, pas d’argent

Uniquement vertus don, altérité.

.

L’enfer est immense et sa porte

Serait cent fois plus grande

Tout comme un porche

Non chas d’aiguille

Pour chameau.

 .

.

Paradis, Raphael Toussaint

.

Scénario

.

Sur un côté le paradis trompant mais sur l’autre, l’enfer dément.

Enfermement, oui c’est sûr : où sont les clés d’un vrai paradis ?

Un couple paradisiaque : l’un est enfermé, l’autre, en liberté !

 .

Visuels et textuels >>

1113 – Il ne saurait y avoir de paradis, ni d’enfer

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis

Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir  ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir  ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir  ni vérités, erreurs.

.

Ce sont là de fausses relatives valeurs

Constituant des rapports  symboliques,

Départageant les bonheurs malheurs,

Faits pour guider notre sens pratique.

.

Ils existent, mais le long de  curseurs,

Tantôt en distance, tantôt en hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui évoque

Air d’espéranto, jouant sur équivoque.

.

Considérant une même valeur à tous

Certains, autres la trouvent différente

 Il n’y a aura jamais universelle entente,

Valeurs  langues sont histoires de fous.

.

Aspirer au sens, à des valeurs de vie,

Représente la question la plus cruciale

À laquelle on ne peut échapper ou mal,

Tant la mort vous rappelle son  souci.

.

Respect de l’autre comme de soi -même

Constitue la principale règle à observer :

En vie, tout n’est pas du pareil au même

Sinon c’est vite l’anarchie et la brutalité.

.

Il ne saurait y avoir  ni paradis ni enfer,

C’est nous  qui les inventons, projetons,

À force de vivre en misère ou de travers,

Sont fausses réalités, auxquelles croyons.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi s’en faire paradis !

Et pourquoi paradisiaque enfer !

C’est juste qu’il faut  trouver un lieu

Pour y mettre tous les hommes de bien

Et autre, les suppôts du mal : point barre !

.

Un paradis  où l’on serait seul, serait un enfer,

Un enfer où on serait convivial, serait un paradis ;

L’homme n’est pas fait pour vivre seul, ni sur Terre

Ni ailleurs, il communique : l’enfer serait de ne

Pouvoir satisfaire le moindre de ses désirs,

Le paradis, de les avoir tous satisfaits.

.

Mais le Paradis se transformerait

Alors en enfer plus aucune envie.

L’enfer, c’est la lutte et c’est la fuite

Mais c’est surtout l’ennui lors le paradis,

C’est le bien-être, le plaisir, la joie, le bonheur.

.

Chacun a sa propre vision de l’enfer et du paradis.

Distinction entre celui que l’on vit sur Terre  et celui

Projeté après mort : y a que premier qu’on vit, subit !

.

Portes du Paradis sont ouvertes sur une grande lumière

Portes de l’Enfer sont condamnées par une entrée en fer,

Des anges  en  Paradis, des démons en Enfer : est-ce nous,

Ou ceux qui nous accueillent ou bien s’occuperont de nous,

C’est à chacun d’en décider selon le fruit de son imaginaire.

.

L’enfer est cité en toutes les religions

Et il n’est nulle part en même temps :

Ce n’est pas vraiment un lieu, lequel ?

Pas plus vraiment  un temps : lequel ?

.

Quelque paradis terrestre aurait existé

Avec Adam et Ève, sous le nom d’Éden,

Entre Tigre et Euphrate, Mésopotamie,

Parfois ailleurs aussi en lieux inconnus.

.

Le plus curieux, le plus extraordinaire :

Enfer et paradis ont traversé les siècles

Suite à fausses traductions, croyances

Il nous faut croire on a besoin d’eux !

.

.

1113 – Calligramme

.

Le paradis

 Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes ……….

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir I ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir     L    ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir         *       ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir            N       ni vérités, erreurs.

Ce sont là de fausses              ‘        relatives valeurs

Constituant des rapports       Y         symboliques,

Départageant les bonheurs      *          malheurs,

Faits pour guider notre sens    A        pratique.

Ils existent, mais le long de       *     curseurs,

 Tantôt en distance, tantôt en     N    hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui    I    évoque

Air d’espéranto jouant sur équi   *    voque.

Considérant une même valeur     P   à tous

Certains, autres la trouvent dif    A  férente

 Il n’y a aura jamais universelle    R entente,

Valeurs  langues sont histoires     A  de fous.

Aspirer au sens, à des valeurs       D     de vie,

Représente la question la plus      I     cruciale

À laquelle on ne peut échapper      S         ou mal,

Tant la mort vous rappelle son       *               souci.

Respect de l’autre comme de         N         soi -même

Constitue la principale règle        I            à observer :

En vie, tout n’est pas du pa       *            reil au même

Sinon c’est vite l’anarchie    E             et la brutalité.

Il ne saurait y avoir       N        ni paradis ni enfer,

C’est nous qui les      F       inventons, projetons,

À force de vivre    E    en misère ou de travers,

Sont fausses  R  réalités, auxquelles croyons.

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

1113 4

.

Un trophée sportif,

Ou alors  une lampe

 À pétrole, avec ampoule 

Pour bien mieux… s’éclairer.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Que vaudrait une lampe, sans feu,

ni ampoule ni ressources pour durer

en enfer, des lampes sans ampoule ;

en paradis, ampoules sans lampe.

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles  identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique de forme

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

Ou à huile  ou  à pétrole,

Représentera toujours une

Sorte de lumière  intérieure,

Une énergie, et des capacités,

Talents que nous maîtrisons.

L’homme maîtrise lumière,

Avec  un  pouvoir

Allumer, éteindre.

Psycho2rue.fr/dictionnaire-

Des-symboles-de-reve/lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1113 6

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique

 .

Eureka !

L’ampoule,

Symbole de l’idée

Qui jaillit sans que l’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse!

Tant   qu’il s’agisse  d’une lampe  à huile,

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Celle que nous maîtrisons. Dans la bande

Dessinée et le dessin animé, l’apparition

D’une idée est souvent représentée

Par une lampe à incandescence

Qui s’allume au-dessus de la

Tête du personnage.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

La lampe serait éclairée, éclairante,

Au paradis

La lampe serait éteinte, obsurcissante

En  plein  enfer

Sauf que nous n’avons pas de lumières

Ni sur l’un ni l’autre

Et  que  leur obscure clarté, oxymoron,

Brouille bien notre raison

Au point de faire une  totale confiance

Dans notre propre imagination.

 .

.

Il n’y aurait ni paradis ni enfer !

.

Scénario

.

Porte du paradis, corridor tunnel avec, au fond, une lumière.

Dans l’une, des anges blancs ; dans l’autre, des diables rouges.

Porte de l’enfer, elle est comme murée, sans espoir de lumières.

 .

Visuels et textuels  >>

1112 – Chemin du paradis est même pour enfer

Visuels et textuels  >>

.

Des choses pouvant nous faire

Du bien tout comme de se marier,

Peut faire du mal comme de divorcer.

Le bien et le mal, sont autant de valeurs

Tout à fait  relatives et  voire, subjectives !

Personne ne détient sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône parfois, un mal pour un bien !

 .

Tant, s’il n’y  avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,  bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur  vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné, en été  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  à seaux à verse.

 .

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la souffrance se mêlent au désespoir

De ne plus entrevoir : l’avenir, bonheur, assurance,

Remplacé à nouveau par une profonde incertitude

De retrouver, un jour, en  quelqu’un,  la  confiance,

Que  tourments  tristesse du désamour empêchent

De refixer en foyer, accroché comme une idée fixe,

Où la folie et ou  frénésie ne seront plus   prolixes.

.

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

À terre ou, atterrés, d’avoir

Été autant aveuglés.

.

.

Extensions

Le chemin du paradis

Est le même que pour l’enfer,

Mais fait en sens inverse, tombant

Ainsi, de pas en pas, jusqu’au plus bas.

Stress, angoisse, dépression en sont étapes.

On ne s’en sort jamais seul, qu’avec l’appui

Des autres, si l’on est à même  de vouloir

Prendre  la main  qu’il nous tend  pour

Nous aider  à nous relever, marcher,

Nous aider non vivre à notre place

Afin de sortir de l’enfer sournois

Où l’on vit  pour  le Paradis

Qu’on espère par ce que

On l’appellera déjà la

«Porte de l’espoir ».

.

Le paradis et l’enfer se croisent, à chaque carrefour

Chacun peut se tromper de route, allez y faire un tour.

Dans aucun des deux, personne n’en reviendra indemne,

Tant le bien et le mal se confondent en un brouillard moral

Qui nous a fait créer les deux pour les distinguer en autre vie.

.

L’enfer est pavé de bonnes intentions :

Est à dire que le ciel est de mauvaises !

Je en sais que penser de ces affirmations.

.

De même : qui veut faire l’ange, fait la bête :

Faut-il alors «faire le bête» pour être un ange.

Je sais, c’est jouer sur les mots : quand même !

.

On pourrait lui donner le bon dieu sans confession

Cela n’engage pas à faire confiance aux apparences

Le diable se cacherait sous le manteau d’un bon dieu.

.

Le bien le mal, qu’est-ce que c’est, comment distinguer

Si nous en sommes les seuls juges, c’est pas très normal,

Comment savoir ce qui est amoral de ce qui est immoral.

.

Le chemin de l’égoïsme et du cynisme, est visible,  balisé,

Celui de la générosité et de la vertu est bien plus hypocrite

Distribue quelques miettes aux pauvres pour être apprécié.

.

.

1112 – Calligramme

          *                        C

Des choses pouvant nous   H    faire

Du bien tout comme de se  E    marier,

Peut faire du mal comme   M  de divorcer.

Le bien et le mal, sont au  I    tant de valeurs

Tout à fait  relatives et  N   voire, subjectives !

Personne ne détient    *    sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône par    D    fois, un mal pour un bien !

U ………………………

Tant, s’il n’y        *    avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,    P   bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est  A    le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur   R   vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  A   ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné en été    D  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  I    à seaux à verse.

                                    S

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la     E souffrance  se mêlent Q  au désespoir

De ne plus entre    S    voir avenir, bonheur   U    assurance,

Remplacé à nou    T    veau par une profonde  ‘   incertitude

De retrouver un     *     jour, en  quelqu’un,  la  E   confiance,

Que  tourments    M    tristesse  du désamour   N empêchent

De refixer en foy  Ê      er accroché comme une  F   idée fixe,

Où la folie et ou  M      frénésie ne seront plus    E   prolixes.

             E                                                      R

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

 À terre ou, atterrés, d’avoir

 Été autant aveuglés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

1112 4

.

Ça ressemble assez fort

 À un jeu pour atteindre ciel

Un jeu  appelé : la Marelle 

Joué à cloche-pied avec palet.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,   étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant le palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

La marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi

Dont  sont issus  le jeu  du labyrinthe,

La pétanque et le jeu de l’oie.

.

Plupart des jeux pour enfants

Et  des jeux  de société  étaient,

À l’origine,  divinatoires,  initiatiques.

.

Dans un monde moderne où la raison,

La logique et plus encore science exacte

Font force de loi, ces principes

Jeux divinatoires et initiatiques

Ont été relégués aux … oubliettes,

Dans un passé, dont  nous pensons

Que l’obscurantisme et superstitions

Régnaient en maîtres dans les mentalités.

Source : minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1112 6

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,      étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant un palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

Le ciel est symbole

Des puissances supérieures à l’homme,

Bienveillantes ou redoutables, l’insondable immensité,

La sphère de rythmes universels, celle des grands luminaires,

Le gardien des secrets de la destinée.  Séjour des divinités,

De toute puissance divine et des bienheureux ?

.

Bouddhisme, Islam, chrétienté distinguent

Sept cieux : autant d’états spirituels gravis

Les langues modernes  distingueront le ciel

Religieux du ciel atmosphérique qui pour

Les Gaulois est voûte d’où leur crainte

Qu’elle ne leur tombe sur la tête.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le chemin d’un paradis

Serait le même que l’enfer

Mais, en miroir,    l’envers,

Si on croit ce qu’on nous dit.

Mais pour le savoir : allez-y !

Et surtout revenez-y, mais vite,

Pour dire  ce que vous avez-vu,

Entendu,  senti, pour qu’enfin

 L’on sache à quoi s’attendre !

 .

.

Chemin paradis et enfer ?

.

Scénario

.

Si c’est bien, par-là, le paradis, y a qu’à y aller comme indiqué,

au risque d’emprunter la route comme pour un véritable enfer,

de terminer seul, à pied, sur des rails qui ne mènent nulle part.

 .

Visuels et textuels  >>

1107 – Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Visuels et textuels  >>

.

L’enfer et le paradis ne seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,  on   prétend  moderne,

On leur a conservé une vie, virtuelle, existence.

.

Sauf  que, par analogie, c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux, le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  chercher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont tous des communautés

Proches de nous, et enfermées dans un huis-clos.

.

Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,

Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,

Tandis que leur paradis serait au firmament de belles

Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.

.

Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,

Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,

Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,

Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !

.

Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral

Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.

Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,

L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.

.

Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,

Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :

Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :

Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !

.

Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit

Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,

Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,

Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.

.

Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,

Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments

J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.

L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !

.

Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu

Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable

J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus

Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.

.

.

Extensions

 .

Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Non là où ils seraient, là où l’homme les a mis :

Paradis d’évasion sens de la vie, paradis d’évasion

Touristique, et voire même, paradis d’évasion fiscale.

Chacun  a  sa vision  d’enfer  et paradis, à  commencer

Par les siens, ceux qu’il voit vivre lui-même sur Terre.

Nous n’avons aucune description ni de témoignage

De ceux qu’ils sont au-delà, si vrai ils existent !

.

Le paradis au ciel ressemble à celui sur terre des croyants :

Une assemble de fidèles méritants, clergé d’autorité et Dieu.

Ça manque un peu d’imagination et c’est  bien trop humain.

On cherche encore porte de l’enfer puisqu’elle est sous terre

Il y en a forcément une, sinon un gouffre comme trou noir

Et dans lequel, l’on disparaîtrait, et à jamais, sans espoir

Un jour de revoir ni le paradis ni la terre, purgatoire !

.

Pour les religieux, l’enfer est sous Terre

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Pour les religieux, le paradis est au ciel

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Et pour humoriste, paradis est en enfer,

Lors voulant dire, par-là, qu’il est en fer.

Dur, dur, quand même : c’est pas crédit,

Lors faut pas s’en faire d’un tel paradis !

.

.

1107 – Calligramme

.

   *                  P

L’enfer et le paradis ne     O       <>      A    seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne      Ù       <>      R   seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute      *        <>       A    l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,      S       <>       D   on   prétend  moderne,

On leur a conservé une     E       <>       I    vie virtuelle, existence.

Sauf  que, par  analogie,   *        <>       S   c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux    T       <>       /    le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs    R       <>      E    ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  cher    O       <>      N   cher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont    U       <>      F     tous des communautés

Proches de nous, et enfer   V       <>      E   mées dans un huis-clos.

   E  …                 R

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

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.

¤¤¤   Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,   ¤¤¤

¤¤¤    Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,   ¤¤¤

¤¤¤    Tandis que leur paradis serait au firmament de belles   ¤¤¤

¤¤¤    Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.     ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,    ¤¤¤

¤¤¤    Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,    ¤¤¤

¤¤¤    Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,    ¤¤¤

¤¤¤    Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !   ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral    ¤¤¤

¤¤¤    Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.    ¤¤¤

¤¤¤     Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,    ¤¤¤

¤¤¤     L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.   ¤¤¤

.

¤¤¤     Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,    ¤¤¤

¤¤¤     Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :    ¤¤¤

¤¤¤    Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :     ¤¤¤

¤¤¤    Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !    ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit    ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,     ¤¤¤

¤¤¤     Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,     ¤¤¤

¤¤¤     Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.     ¤¤¤

.

¤¤¤   Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,    ¤¤¤

¤¤¤   Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments     ¤¤¤

¤¤¤   J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.     ¤¤¤

¤¤¤    L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !      ¤¤¤

.

¤¤¤   Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu    ¤¤¤

¤¤¤   Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable    ¤¤¤

¤¤¤   J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus    ¤¤¤

¤¤¤   Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.   ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1107 4

.

Ça ressemble fort à  porte

 D’entrée avec beau fronton

Au-dessus comme un livre

Ou encore comme balance.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

Symbolique

Porte  d’entrée, symbolise  le   passage

D’un lieu à un autre, rôle de protection

Pour être mieux en sécurité chez soi.

Entrer, sortir, franchir un obstacle,

Ou bien reculer devant l’obstacle ;

Dépassement de soi ; sublimation

Ou encore échec devant la porte ;

Passage extérieur  et l’intérieur :

Référence  à la clé ;  la solution à

Enfermement, lumière, obscurité

La vie, la mort  (jugement dernier

Et l’entrée  au royaume des morts ;

Ce qui est révélé et ce qui est caché ;

Bien / mal et limite à ne pas franchir ;

Ce qui est sacré  et ce  qui  sera  profané.

Source : euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1107 6

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire peut être défini sommairement

Comme le fruit de l’imagination d’un individu,

D’un groupe ou d’une société, produisant

Des images, des représentations,

Des récits ou des mythes plus

Ou moins détachés de ce qu’il

Est d’usage de définir comme la réalité.

.

Il s’agit de la capacité d’un groupe

Ou d’un individu à se représenter

Le monde à l’aide d’un réseau

  D’associations        d’images

Qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.


.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Porte du paradis,

Ou porte  de l’enfer

Pourquoi  une  porte,

Là où on n’en sait rien !

.

Une anthropomorphisation non pas

De l’homme, de l’Espace, sauf à penser,

Qu’il ne s’agit là que de pures métaphores

Il s’agit davantage d’ouverture que mobilier,

De passage d’un état à un autre, non d’un lieu

 .

.

Escalier montant, descendant ?

.

Scénario

.

Imagination débordante et un paradis en fonction de ses croyances,

enfer plus sobre, secret, redoutable, derrière une porte mystérieuse,

tandis que sur Terre, on cherche encore le gouffre qui l’abriterait !

 .

Visuels et textuels  >>

1105 – Le paradis, l’enfer, demeurent mystères !

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

.

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

.

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

.

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

.

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Extensions

.

Un paradis peut être  un enfer, pour les uns,

Et réciproquement

«L’enfer, c’est les autres», dira Jean Paul Sartre.

Ça en ferait des milliards

Et pourquoi n’y aurait-il pas des intermédiaires,

Pour intercéder, plaider sa cause

À moins d’acheter sa place avec somme d’argent.

.

À défaut  de découvrir, ou  d’expliquer,

Sinon comprendre la vie après la mort,

On en a fait tout un mystère, comblant

Vide sidéral de notre sens d’existence !

.

Faut avouer que c’est bien vu et moral :

Le bien, tout en haut, et, en bas, le mal !

Et avec les deux incarnations virtualisées

Que son Dieu et son ange, déchu : démon !

.

.

1105  – Calligramme

 .

PARADIS

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

ET ENFER

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

DEMEURENT

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

UN MYSTÈRE 

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1105 4

.

Un beau flacon de parfum

Une bouteille avec bouchon

Forme d’insecte, du genre

Coléoptère, coccinelle.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Dans l’oreille devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1105 6

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

.

Le symbolisme des coccinelles

Plus connu est le fait qu’elles sont

De  formidables   porte-bonheur !

.

Si une coccinelle se pose

Sur votre doigt, faites-la s’envoler

En pensant, très fort, à l’un de vos

Souhaits le plus cher.

.

Si elle s’envole, il y aura de grande

Chance  qu’il se réaliserait dans les

Semaines suivantes.

.

Soyez attentif et  écoutez bien votre

Instinct et mettez alors tous vos sens

En éveil afin de guetter

.

Tous les signes qui vous confirmeront

Ou non que votre vœu va s’exaucer.

wemystic.fr/guides-spirituels/

symbolisme-coccinelles

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ni en paradis ni en enfer

On ne trouva  aucune trace

De coccinelle ni de coléoptère,

Si coccinelle est : bête à bon Dieu

Ce n’est que légende, moyenâgeuse,

Rapportée comme grâce de supplicié !

.

Coléoptère s’avère être symbole religieux.

En Égypte ancienne mais nullement en enfer

Mais peut-être, en serez un, dans un des lieux

Tant ce qui l’y a,  s’y passe, demeurent mystère.

 .

.

Paradis en haut, Enfer en bas

.

Scénario

.

Un paradis, tel qu’imaginé imagé par la peinture naïve.

Une porte de l’enfer  serait  pleine de doutes, d’angoisses.

Comment monter au paradis, ne pas descendre en enfer ?

 .

Visuels et textuels  >>

1097 – Réveille-toi, on est sur Terre, c’est l’Enfer

Visuels et textuels >>

.

On ne s’en aperçoit tout de suite,

L’enfer survient progressivement

Et sans avoir été nullement invité,

Mais  demeure,  une fois  installé.

.

L’enfer, bien sûr, c’est  la  guerre :

C’est séries d’attentats  nucléaires.

On ne s’épaulerait plus entre frères

Haine est, partout, avec lots misères.

On s’habitue, parait-il, et on banalise,

Sa survie journalière, presque miracle

Ce n’est qu’une antichambre  de  mort

On l’est déjà un peu, en  tête, en corps.

Réveille-toi, on est bien sur la Terre,

Il n’y a d’amour,  y a plus qu’enfer :

.

Prépare-toi, à  parer  les  coups,

Qui  peuvent  mettre  à genoux

Et à donner,  à  te tordre le cou,

Où   les  respirations  se   nouent,

Frappe du poing, frappe des pieds

Les têtes en sangs, ils font éclater.

.

Je te dis ça, mon  frère  parce que

Je tiens, à toi,  à  ton combat,  que

Tu devras gagner, au vu  des enjeux

Être vivant est  ce qu’il y a  de mieux,

S’il n’y a plus été, plus que long hiver

Changeons d’atmosphères, d’univers.

Éternelle  ne  peut  être  une  guerre.

.

T’en souviens-t-en de celles de hier,

Elles se sont finies en paix amères,

Qui ne nous ont pas rendus frères.

Lutte contre un  ennemi mystère

Inventé pour troubler l’univers

De l’amour, qui  nous  confère

Tout  autre  œil  sur   la Terre,

Et  la Mort nous  atteint  tous.

Et  toi, tu la braves comme fou.

J’entends bien qu’on  se  battrait,

Contre un mal  qui n’existerait pas.

Souvent  ne dépendrait que de nous,

Ce soit la paix… sens  dessus-dessous !

.

.

Extensions

.

Réveille-toi, on est sur la Terre,

C’est l’enfer et quoique tu penses,

Quoique tu dises, il n’y a rien à faire

Qu’attendre la  fin pour disparaitre

À son tour au paradis des amours !

Amour du paradis, paradis des

Amours, en virtuel ou en fer.

.

L’enfer de la guerre est bien situé sur terre et nulle part ailleurs :

Elle cause suffisamment de morts et nous fait suffisamment peur,

Pourtant elle se renouvelle souvent comme étant presque éternelle

La dernière, à chaque fois, c’est sûr, détruisant tout, pour dominer

Dominer qui, dominer quoi : dominer l’autre, pour laver l’honneur,

 De simple avertissement, elle se transformera pour tous, en horreur

Mais pour la bombe atomique réciproque, c’est pire, par le néant.

On opte pour une guerre propre, sans morts, sans enfer géant,

Courte et puissante, pour ne pas la perdre, en l’enlisant !

.

L’enfer comme lieu

Sur terre, en l’univers

L’enfer comme situation,

Subissant partout souffrance

 Voilà bien deux notions proches,

Qui restent, toutes les deux, moches.

L’enfer, du  latin infernus pour en dessous,

 Est, selon religions, un état de souffrance extrême,

 Du corps ou esprit humain après sa séparation du corps

Douleur expérimentée après la mort, par ceux ayant commis

Des crimes et des péchés dans leur vie terrestre (selon Wikipédia).

.

.

1097 – Calligramme

.

On ne s’en aperçoit tout de suite,

L’enfer survient   R progressivement

Et sans avoir été    É   nullement invité,

Mais  demeure,        V      une fois installé.

L’enfer, bien sûr,       E        c’est  la  guerre :

C’est série d’atten        I          tats   nucléaires.

On ne s’épaulerait        L           plus entre frères

Haine est partout                  avec lot misères.

On s’habitue, parait     E           il et on banalise,

Sa survie journalière             presque miracle

Ce n’est qu’une anti    T       chambre de mort

On l’est déjà un peu,  O      en  tête, en corps.

Réveille-toi, on est   I    bien sur la Terre,

Il n’y a d’amour,  y a plus que l’enfer :

.

Prépare-toi, à parer  les coups,

 Qui  peuvent      S mettre à genoux

Et à donner à        U     te tordre le cou,

Où les respira          R       tions  se nouent.

Frappe du poing        *        frappe des pieds,

Les têtes en sang        L         ils feront éclater,

Je te dis ça mon          A            frère parce que

Je tiens, à toi,  à          *           ton combat, que

Tu devras gagner        T          au vu des enjeux

Être vivant est ce        E      qu’il y a de mieux.

S’il n’y a plus été,      R   plus que long hiver

Changeons atmo     R    sphère, d’univers.

Éternelle ne peut   E     être une guerre.

.

T’en souviens-t-en C   de celles de hier,

Elles se sont finies  ‘     en paix amères,

Qui ne nous ont       E    pas rendus frères.

Lutte contre un          S      ennemi    mystère

Inventé pour                T         troubler l’univers

De l’amour,                    *         qui  nous  confère

Tout autre                      L         œil   sur   la Terre,

Et la Mort                       ‘         nous  atteint  tous.

Et toi, tu la                    E        braves comme fou

J’entends bien              N       qu’on  se  battrait,

Contre un mal qui      F         n’existerait pas !

Souvent  ne dépen    E    drait que de nous,

Ce soit paix/sens  R   dessus-dessous !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1097 4

.

Un piédestal pour une statue 

un pied de table, une colonne,

forme sculpture totémique,

ou une autre, comme diable.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

l’enfer est la superposition

de tous les maux possibles,

même les …inimaginables,

forme et fond convergent.

.

Un totem qui n’engage pas

Tout le monde à la conversation,

Son aspect figé évoque une posture

Diabolique, et sinon mystérieuse.

 .

Symbolique

 .

Les Totems sont des accessoires spirituels

Respectés par Amérindiens pour ce qu’ils sont,

Pour ce qu’ils représentent, et pour rien d’autre.

Mais bien que le Totem soit de nature spirituelle,

Il n’en demeurera pas moins de fait qu’un artifice.

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Lors peu importe Totem, animal, végétal, minéral

L’essentiel est qu’il fonctionne, pour la personne

Qui  l’a choisi, le reste n’étant  qu’un exercice

Mental tant : ce qui  importe  est  d’avoir

Des contacts tangibles avec le Totem.

Source : sciencetradition.forumacti

.com/t299-symbole-du-totem

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Fond

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Évocation

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Un totem qui n’engage pas

Tout le monde à la conversation,

Son aspect figé évoque une posture

Diabolique, et sinon mystérieuse.

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Symbolique 

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Dans la littérature, le Diable

Est souvent associé à la danse.

Et la diabolisation  du  langage,

En discours politique est courante.

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Il a partie liée avec les forces du mal

Parfois même avec …l’extrême droite.

Il a toujours des adeptes, tout comme

Nombre de profanations le montrent

Perpétrées en quelques  cimetières.

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Ce serait façon de braver la mort.

Par son ambivalence, le Diable est

Un mal utile et même  dit nécessaire.

Personnalisation de ce qui est négatif,

On lui reconnaît parfois  le pouvoir de

Réussir là où l’homme échoue en clair.

journals.openedition.org/terrain/9173

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Corrélations

Fond/forme 

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Totem : ni une statue ni une image

Pourtant il représente une essence

De quelque chose qui nous dépasse

À l’origine il s’agissait d’un animal

Comme ancêtre protecteur du clan

Censé être objet de tabous, devoirs

Mais en culture moderne, profane

Il se sera transformé et généralisé

En forme de mâts sculptés de têtes.

Le lever du drapeau  s’en apparente :

On pourra y projeter tout  ce qu’on veut,

L’important comme pour tout est d’y croire.

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Enfer météo, ou météorites 

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Scénario

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Sauter en parachute au milieu  de m’ennemi, c’est l’enfer.

Sauter sur une bombe et perdre un membre, c’est l’enfer.

Sauter en  victime d’explosion atomique, c’est le néant.

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