1033 – La faim, la maladie, le chômage, la misère !

Visuels et textuels  >>

.

Les maux de la Terre

Ne se consolent de mots

Il faut, avant tout, faire

Et ce n’est jamais trop.

  .

J’aimerais  tellement

Qu’il en soit autrement

Déclament  les parents

À tous leurs  enfants.

 .

J’aimerais  tellement

Clament les   riches nantis,

Égalité, pour pauvres, anéantis,

Tout en les traitant, en les exploitant.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Dit un père devant son dernier fils, mourant

De faim, mais, je n’ai plus rien, à lui donner,

Ma famille étant faite de chiens errants nés.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Dit une mère devant sa fille, rendue malade,

A en crever lors n’ayant pas de médicament,

Sa vie vers la mort monte jusqu’à l’escalade.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Dit un patron à son dernier employé licencié,

Mais, je n’ai plus aucun travail à te … donner,

Chômage gagnant encore du terrain…devant.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Disent parents, à leurs enfants non scolarisés

Mais, l’école est trop chère, et  trop éloignée :

Pas besoin de savoir lire pour planter, élever.

.

J’aimerais  tellement  qu’il en soit  autrement,

Disent  les pauvres gens, englués dans misères

Mais il n’y a pas de place, pour tous, sur Terre

Et aucun dieu n’y pourra rien, étonnamment !

.

.

Extensions

 .

La faim, la maladie, le chômage, la misère

Constituent un chapelet égrené de poudrières

Qui couvent feux sous la cendre des révolutions,

Voire des insurrections comme les printemps

Des œillets, des jasmins, et voire des roses.

J’aimerais tellement ceci, tellement cela.

.

Combien de fois n’a-t-on entendu

Ces phrases-là nous laissant

Impuissant à résoudre

Toute la misère du monde par

Manque d’égalité, de justice, mais

Aussi et autant de courage et de volonté !

.

«Il faut de tout pour faire un monde»,

Dit un dicton, sauf que déséquilibres

Importants rendent tout inopérant

Ils  aboutissent, parfois, à  créer

Des catastrophes humanitaires

Ou sécuritaires, géopolitiques

Parfois même anarchiques.

.

De ces trois maux, lequel serait le plus important… à éradiquer :

Comment choisir lors ils sont tous les trois destructeurs sociaux,

Et des marqueurs d’une vie, au rabais, amputé de tout bien-être !

Pour sûr, il y a eu bon nombre de progrès  depuis plus d’un siècle,

Mais est-ce une raison pour se contenter de ce qu’on a, qu’on est !

.

Nous aurons tous des épreuves à affronter,

Autant individuellement que collectivement

Les maladies n’épargnent  pas plus les riches

Que les pauvres, il n’y que les accès aux soins,

Qui les démarquent et comptent leurs morts !

.

La faim est  plus endémique  qu’une pandémie

Ce n’est pas partout une faim, dite saisonnière :

Elle est ici ou là structurelle, non conjoncturelle.

Le Monde ne semblerait pas venir  à bout d’elle :

Surpopulation et paupérisation, l’en empêchent.

.

Le chômage serait une maladie du Libre échange

Volant de main d’œuvre pour ajuster production,

Aussi présent en pays capitaliste que communiste

Le plein emploi reste une chimère pour élections.

.

.

1033 – Calligramme

.

FAIM,

Les maux de la Terre

Ne se conso  lent de mots

Il faut, avant  tout, faire

Et ce n’est jamais trop.

MALADIE,

J’aimerais tellement

Qu’il en soit autrement

Déclament les parents

A tous leurs enfants.

CHÔMAGE,

J’aimerais    tellement

Clament les  riches nantis,

Égalité  pour pauvres anéantis,

Tout en les traitant, en les exploitant.

PROLIFÈRENT    

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Dit un père devant son dernier fils, mourant

De faim, mais, je n’ai plus rien, à lui donner,

Ma famille étant faite de chiens errants nés.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Dit une mère devant sa fille, rendue malade,

A en crever lors n’ayant pas de médicament,

Sa vie vers la mort monte jusqu’à l’escalade.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Dit un patron à son dernier employé licencié,

Mais, je n’ai plus aucun travail à te … donner,

Chômage gagnant encore du terrain…devant.

.

J’aimerais tellement  qu’il en soit  autrement,

Disent parents, à leurs enfants non scolarisés

Mais, l’école est trop chère, et  trop éloignée :

Pas besoin de savoir lire pour planter, élever.

.

J’aimerais  tellement  qu’il en soit  autrement,

Disent  les pauvres gens, englués dans misères

Mais il n’y a pas de place, pour tous, sur Terre

Et aucun dieu n’y pourra rien, étonnamment !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1033 4

.

Une bouteille d’encre,

Échantillon de parfum

Fiole médicamenteuse, 

Ou flacon pour tests ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

La plupart des vaccins et tests

seront délivrés  en des flacons,

le Covid ne fera pas exception,

si bien que forme épouse fond.

.

Flacon stérile de prélèvement

Pour analyses médicales, autres :

Il y a tant de Covid sur la Terre

 Qu’il n’y a pas assez de tests.

.

Symbolique 

 .

Votre médecin vous a prescrit une analyse

Des analyses d’urines, prises de sang…

Flacons stériles à usage unique.

Pour quelles raisons ?

Que signifient ces dosages et

Comment interpréter les résultats

Pour  les analyses de sang, analyses

 Biochimiques, bactériologiques…

Doctissimo  détaille  pour vous

Plus de 180 analyses médicales.

Source : doctissimo.fr/html/sante/analyses

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1033 6

.

Flacon stérile de prélèvement

Pour analyses médicales, autres :

Il y a tant de Covid sur la Terre

 Qu’il n’y a pas assez de tests.

.

Symbolique

 .

Les tests Covid  resteront

Un symbole  du Covid-19.

Symbole de l’angoisse au

Début  de l’épidémie  lors,

Inquiet  d’être  contaminé,

.

L’on  se  retrouvait   devant

Des   personnels    soignants

Bardés de lunettes et de gants

Masques, blouses et surblouses,

Prêts à manipuler  un écouvillon

Qu’ils plongeaient  et   remuaient,

Au fin fond    de nos narines    pour

Prélever    un échantillon   de mucus.

.

Mais les tests  sont devenus  le symbole

Gouffre financier de l’Assurance maladie.

La France a été l’un des rares pays à rendre

Gratuits les tests pour ensemble de ses citoyens.

ladepeche.fr/2021/08/24/symbole-9748835

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Tester, isoler, soigner, est mot d’ordre

De l’Organisation Mondiale de la Santé,

Que presque tous les pays se sont efforcés

De respecter tant bien que mal et malgré

Les différences des politiques étatiques

Mais cela ne peut fonctionner  que si

Gens se protègent personnellement

Afin d’épargner les collectivités

Sinon propagation pandémie

Avec l’effet contaminations.

.

.

Misère ordinaire seuil pauvreté

.

Scénario

.

Faim, on ne se l’imagine pas, sauf si elle dépend d’aides autres !

Le chômage, partiel, total, cyclique, endémique est plaie sociale,

tout comme : maladies génétiques, stress, relations, nourritures.

.

Visuels et textuels  >>

1032 – Les maladies, virus, pollutions prolifèrent !

Visuels et textuels  >>

.

Les forêts sont les poumons

De la Terre pour qualité d’air

Et chaque année nous abattons

Leurs bois, à ne savoir  que faire.

On nous promet que l’on replante,

Selon une planification écologique.

.

L’on oubliera de nous dire qu’il faut

Vingt à trente années pour grandir.

Il en est   de même,  des maladies,

Ici, l’on trouve, applique  vaccin,

À tous ceux  qui sont solvables :

On ignore d’autres contagieux.

 .

Les forêts n’échappent pas à la dégradation systématique,

À cause des augmentations des exploitations mécaniques,

Forêt amazonienne du Brésil, africaines…pays asiatiques,

Diminuent de surface et pouvoir d’absorption carbonique

Bien que forêts Etatsuniennes, canadiennes, européennes

Accroissent leurs plantations pour compenser ces veines :

L’arbre de la vie deviendra-t-il symbole de l’arbre de mort

Nous laissant respirer un oxygène, chargé d’oxydes alors !

 .

Ne voilà-t-il pas qu’en plus, les virus, microbes, maladies,

Pullulent, s’étendent sur la surface du globe en pandémie,

Fièvre jaune, tuberculose, lèpre, choléra, variole  ou pestes

Nous attaquent, rendent malades, nous tuent,  empestent,

Sans compter le paludisme et le sida, dont on ne guérit pas

Jusqu’à présent et les maladies génétiques et autres trépas,

Qui sont comme un défi à la survie de l’humanité sanitaire,

Alors que les médicaments font, les laboratoires, prospérer.

 .

Les malades sont souvent les mêmes, qu’assoiffés, affamés,

L’hygiène de vie et la prévention sont les remèdes naturels,

Et nous vivons dans une société, de plus en plus artificielle

Qui n’a de sens  que seul profit, non la couverture de santé,

La Sécurité Sociale, comme on l’appelle, gage de solidarité,

Les nations ne veulent plus l’assumer, charge individuelle,

Pour que chacun se batte en accession de soins mutualisés

Alors que les maladies en vaccinant on pourrait éradiquer.

.

.

Extensions

 .

Si les arbres meurent,

L’humanité et par extension,

Le monde animal et qui respire,

Est en grave danger de disparaitre

On peut le contester et voire le relier,

Autant  de fois  que  l’on voudra  mais

Cela ne change rien, on n’en sait rien.

Les arbres peuvent devenir malades,

Voire atteints d’allergies diverses,

Bien pire : d’empoisonnements

Et le monde marin qui absorbe

Quantité de carbones peut s’acidifier

En mettant la vie des poissons en danger.

L’épée de Damoclès est ce que pollution laisse.

.

On ne va pas faire la liste de tout ce qui pollue

Et en plus établir une hiérarchie de mortalité,

Ce n’est pas une pollution qui pose problème,

C’est l’accumulation, les effets de transferts,

Une plus une, n’égale pas deux, bien  plus.

.

L’on ne lutterait que contre un ennemi

Qui est visible et dont on mesure l’effet

Non pas dans l’avenir, immédiatement

Qui, en outre, provoque nombre morts.

.

On a comme impressions d’accélérations

Des catastrophes, pandémies, sécheresses

Quantité, rapidité, mortalité, additionnés

On repousse remède,  futures générations.

.

Solution est autant individuelle et mondiale

Au niveau individuel, mesures individuelles

Au niveau international, mesures radicales,

Niveau intermédiaires, mesures financières.

.

.

1032 – Calligramme

 .

VIRUS

Les forêts sont les poumons

De la Terre pour qualité d’air

Et chaque année nous abattons

Leurs bois, à ne savoir  que faire.

On nous promet que l’on replante,

Selon une planification écologique.

.

L’on oubliera de nous dire qu’il faut

Vingt à trente années pour grandir.

Il en est   de même,  des maladies,

Ici, l’on trouve, applique  vaccin,

À tous ceux  qui sont solvables :

On ignore d’autres contagieux.

MALADIES,

Les forêts n’échappent pas à la dégradation systématique,

À cause des augmentations des exploitations mécaniques,

Forêt amazonienne du Brésil, africaines…pays asiatiques,

Diminuent de surface et pouvoir d’absorption carbonique

Bien que forêts Etatsuniennes, canadiennes, européennes

Accroissent leurs plantations pour compenser ces veines :

L’arbre de la vie deviendra-t-il symbole de l’arbre de mort

Nous laissant respirer un oxygène, chargé d’oxydes alors !

POLLUTIONS

Ne voilà-t-il pas qu’en plus, les virus, microbes, maladies,

Pullulent, s’étendent sur la surface du globe en pandémie,

Fièvre jaune, tuberculose, lèpre, choléra, variole  ou pestes

Nous attaquent, rendent malades, nous tuent,  empestent,

Sans compter le paludisme et le sida, dont on ne guérit pas

Jusqu’à présent et les maladies génétiques et autres trépas,

Qui sont comme un défi à la survie de l’humanité sanitaire,

Alors que les médicaments font, les laboratoires, prospérer.

PROLIFÈRENT !   

Les malades sont souvent les mêmes, qu’assoiffés, affamés,

L’hygiène de vie et la prévention sont les remèdes naturels,

Et nous vivons dans une société, de plus en plus artificielle

Qui n’a de sens  que seul profit, non la couverture de santé,

La Sécurité Sociale, comme on l’appelle, gage de solidarité,

Les nations ne veulent plus l’assumer, charge individuelle,

Pour que chacun se batte en accession de soins mutualisés

Alors que les maladies en vaccinant on pourrait éradiquer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1032 4

.

Une bouteille d’encre,

Échantillon de parfum

Fiole  médicamenteuse 

Ou flacon de vaccins ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Un flacon de prélèvement d’eau,

Ou autre liquide incriminé pollution

Autres formes pollutions augmentent,

Et prolifèrent avec l’homme sur Terre.

.

Symbolique 

.

La réglementation de l’eau

Soumet les prélèvements

À des méthodes strictes

Et différentes, suivant

La source dont émane

L’eau  qui est analysée,

Eau du robinet, de mer,

Voire eau  de montagne.

Et les prélèvements d’eau

Ne sont plus faits  dans des

Flacons en verre mais dans

Des flacons  tout en plastique,

Aux propriétés spécifiquement

Étudiées  pour  ne  pas  altérer

L’eau recueillie  et à analyser.

Source : franceenvironnement.com

/sous-rubrique/prelevement

.

.

Fond

Évocation

.

1032 6

.

Changer l’image ici

.

Un flacon de prélèvement d’eau,

Ou autre liquide incriminé pollution

Autres formes pollutions augmentent,

Et prolifèrent avec l’homme sur Terre.

.

Symbolique

 .

Le sac a été pendant des années

Symbole de la pollution plastique

Des océans, et la cible de nombreuses

Campagnes de sensibilisation.

.

En France par exemple,

Les sacs  en plastique  à usage unique

Sont interdits à la caisse des magasins

Depuis  le 1er juillet 2016  avec  l’entrée

En vigueur de la transition énergétique.

.

Forcément, les premiers à en souffrir,

Ce sont les animaux marins,

Après avoir mené la guerre

Contre les sacs plastique,

Il va donc falloir bannir

Les pailles en plastique.

france24.com/fr/20180524-pailles-

plastique-nouveau-symbole-pollution-oceans

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Pollution par ci, pollution par là

Ce mot est  dans tous les esprits,

Pas encore  dans les mentalités,

Conditionnant comportement.

Et ce n’est pas faute de la voir

Ce n’est pas faute de la croire

Juste que  l’on espère  trouver

Plus tard, moyen de la traiter,

Avant qu’il ne soit … trop tard !

 .

.

Effets pollutions sur la santé !

.

Scénario

.

Maladies vous conduisent parfois jusqu’à l’hospitalisation forcée,

lors virus vous infectent, vous attaquent, fatiguent, parfois, tuent,

mais ce qui atteint tout le monde, sans exception, est la pollution !

 .

Visuels et textuels  >>

1031 – Depuis qu’homme existe, il lutte sans répit

Visuels et textuels  >>

.

L’homme est né de combat de survie autant que miracle,

Un fossé le sépare de tous les autres animaux, leur cénacle,

Il est unique, issu d’une seule famille, en son genre,  unique,

Et il est parvenu jusqu’à nous après des maladies, paniques.

.

Panique devant  les foudres  de la Terre, Cosmos, satellites,

Astéroïde par ci, comète par-là, dernier en date, an passé,

Qui nous a frôlés, ne serait pas le dernier à nous apeurer,

Avec tsunamis,  éruptions,  tremblements …..  acolytes.

.

Panique devant les maladies, virus mutant de grippes

Qui se répandent à toute vitesse, sur tous continents,

Décimant, sur son passage, sans  tri, le tout-venant,

En peste noire, pandémie, en un jour, vous agrippe.

.

Panique devant réchauffement climatique, sécheresse

Qui prive, d’eau, moitié de la planète, mourant de faim,

Migration massive vers nord, surpeuplant villes demain,

D’enchanteresse, la vie, au quotidien, deviendra détresse.

.

Panique devant la guerre nucléaire entre pays ennemis

Qui règlent leurs comptes sur le dos d’’Humanité entière,

Mettant la planète sous hiver permanent, occulte lumière

Sans compter, une hécatombe alimentaire toute en agonie.

 .

Panique devant   la perte de notre fertilité,  notre fécondité

Qui, et de manière irréversible verrait nos naissances, chuter,

Pour assurer le renouvellement en moins  de  quatre cent ans,

Et l’homme disparaitrait, de lui- même, faute de descendants.

 .

Panique devant le clonage êtres  «mi-hommes et… mi-robots»

Des humains en pièces détachées et en prothèses  intelligentes,

Qui font de ceux  qui seraient non-nantis, des êtres, rendus sots,

Dominés par Aliens et remplaçant notre  humanité   négligente.

.

Panique devant  la perte  de la foi en quelque dieu,   soi-même,

Des hommes se confiant nouveaux gourous, ou sectes extrêmes,

Homme incapable  d’accepter  son  sort animal mortel, son âme,

La vendant au plus offrant avant de se damner dans ses flammes.

.

.

Extensions

 .

Panique d’en faire le tour,

Dès lors chaque siècle en ajoute,

Plus qu’il n’en résout et nous déroute

À trouver sens à la vie, à Dieu, à la Terre,

À l’homme doit-on, réellement, dire merci,

L’homme n’est pas destiné à devenir divin,

Somme toute : des gens disent  que la vie

N’est qu’un éternel recommencement :

C’est vrai et faux, paradoxal car les

Problèmes se déplacent, au lieu

De se résoudre, histoire de

Donner grain à moudre.

 .

Lutte pour la vie, pour la survie, pour l’honneur, la guerre :

Lutte pour, lutte contre, aujourd’hui lobbying, manifestation

Les luttes cherchent à établir un équilibre entre le bien et mal

Parfois le but original  et juste, du début, se perd en un dédale,

Où le mal justifie le bien et réciproquement ou sans distinction.

Tant qu’homme lutte pour, vie, survie, on est en monde animal,

Dès qu’il lutte pour son profit, on franchit frontière du normal !

.

On oppose souvent, lutte armée et pacifisme,

Avec une intention de supériorité pour la lutte,

Comme critère et garantie de défense et survie,

En réalité, les deux cohabitent, doivent exister.

.

Pour argumenter, on s’en réfère aux chasseurs

Qui peuvent venir prendre fruits de cueilleurs

Avec une telle injustice ou une telle moralité,

Le vol deviendrait pratiquement… autorisé.

.

Lutter pour vivre et lutter contre maladie,

Ne porte préjudice à une autre personne,

Lutter pour tuer  n’est pas  pour exister,

Bien au contraire, une erreur humaine.

.

.

1031 – Calligramme

.

L’homme est né de combat de survie autant que miracle,

Un fossé le sépare de tous les autres animaux, leur cénacle,

Il est unique, issu d’une seule famille, en son genre,  unique,

Et il est parvenu jusqu’à nous après des maladies, paniques.

.

Panique devant  les foudres  de la Terre, Cosmos, satellites,

Astéroïde par ci, comète par-là, dernier en date, an passé,

Qui nous a frôlés, ne serait pas le dernier à nous apeurer,

Avec tsunamis,  éruptions,  tremblements …..  acolytes.

.

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Panique devant les maladies, virus mutant de grippes

Qui se répandent à toute vitesse, sur tous continents,

Décimant, sur son passage, sans  tri, le tout-venant,

En peste noire, pandémie, en un jour, vous agrippe.

.

Panique devant réchauffement climatique, sécheresse

Qui prive, d’eau, moitié de la planète, mourant de faim,

Migration massive vers nord, surpeuplant villes demain,

D’enchanteresse, la vie, au quotidien, deviendra détresse.

   U

Panique devant la guerre nu   N   cléaire entre pays ennemis

Qui règlent leurs comptes sur    E     le dos d’’Humanité entière,

Mettant la planète sous hiver     *     permanent, occulte lumière

Sans compter, une hécatombe     L     alimentaire toute en agonie.

   U

Panique devant  la perte de la     T   notre fertilité, notre fécondité

Qui, et de manière irréversible       T     verrait nos naissances, chuter,

Pour assurer le renouvellement       E      en moins  de  quatre cent ans,

Et l’homme disparaitrait, de lui-     *       même, faute de descendants !

  S

Panique devant le clonage êtres       A         «mi-hommes et… mi-robots»

Des humains en pièces détachées      N          et en prothèses  intelligentes,

Qui font de ceux  qui seraient non-    S          nantis, des êtres, rendus sots,

Dominés par Aliens et remplaçant      *            notre  humanité   négligente.

   R

Panique devant  la perte  de la foi        É              en quelque dieu,   soi-même,

Des hommes se confiant nouveaux        P              gourous, ou sectes extrêmes !

Homme incapable  d’accepter  son         I               sort animal mortel, son âme,

La vendant au plus offrant avant de        T                se damner dans ses flammes.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1031 4

.

Difficile de projeter des formes :

Bien que moi, j’y perçois un bras

Avec le poing levé vers le ciel

Pour lutter contre injustices.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Poing levé reste synonyme de lutte

allant de protestation à insurrection,

avec tête haute, c’est de la provocation,

si fait que la forme converge vers le fond.

.

Poing levé, fermé, vers le haut,

Évoque la lutte injustice

Et les carreaux du bras : l’usine,

Le travail, l’autre … la vie.

.

Symbolique

.

Le poing levé

Fait partie des symboles

Créés  dans  les  années 1920,

Organisation Parti communiste,

En réaction au succès rencontré par

Une organisation,   dite paramilitaire.

Il s’agit d’un pendant    au salut fasciste.

Et ce, d’après l’historien  Philippe  Burrin,

«Commence à marquer  le   paysage politique

Français en 1933, et il faut prendre en compte

Le rôle joué, sur ce point, comme sur d’autres,

Par exilés antihitlériens  en opposant fasciste.

En tout cas, le PCF   fut le véhicule  principal

De sa propagation communisme allemand,

Principale, durable, source d’inspiration».

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

Évocation 

.

1031 6

.

Poing levé, fermé, vers le haut,

Évoque violences injustices 

Et les carreaux du bras : l’usine,

Le travail, l’autre … la vie.

.

Symbolique

 .

Durant les manifestations

Qui ont traversé le monde entier

Contre les violences policières et  injustices

Ce geste est devenu le symbole de la résistance.

Genou à terre, tête basse, et parfois poing levé,

Un mouvement que des millions de personnes

N’ont cessé de répéter à travers la planète

Ces dernières semaines. Mais derrière

Ce geste, un nom : Colin Kaepernick,

Un ancien joueur star de l’équipe de

Football américain de San Francisco.

vanityfair.fr/pouvoir/politique/-kaepernick

est-devenu-symbole-de-la-lutte-anti-raciste

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le poing levé, à manier avec précaution

Il peut être mal interprété comme relent

D’un communisme, ou pire d’un fascisme

Lors ce symbole, en apparence universel,

Ne l’est pas  ni selon l’histoire, la culture.

.

Toutefois il a une grande force de frappe

Au figuré bien sûr,  plus qu’au singulier :

Il met le doigt là où ça fait mal en société

Deux poids deux mesures : plus d’égalité.

 .

.

Manifestation lutte gilets jaunes

.

Scénario

.

L’homme lutte pour survivre et ce depuis la nuit des temps,

certains en ont gardé un fort en penchant pour  cette lutte,

autres pour assistance sociale, en aidant par pot commun.

 .

Visuels et textuels  >>

1030 – Le temps consacré aux tâches domestiques

Visuels et textuels  >>

.

Les tâches domestiques

Constitueraient une occupation

De deux jours  et demi, par semaine

Soit un tiers selon calcul, selon l’Insee.

Il s’agit d’une activité,  en forte majorité

Non rémunérée, comprenant dix catégories,

Qui sont réparties pour une  semaine entière :

.

Gérer le ménage,  jardiner …  faire la vaisselle,

Faire la lessive, et le repassage, bricoler, autre,

Faire les courses et puis, s’occuper des enfants,

Faire le ménage, pour finir, pour tous  cuisiner.

.

Au total, cela fait plus de … trois heures par jour,

Consacrées entièrement aux tâches  domestiques.

Si l’on est célibataire, ou, en couple, sans enfants,

Avec deux enfants, ce temps variera, évidemment

Mais il sera réalisé au deux tiers par des femmes,

Célibataire y consacre entre douze, vingt heures

Par semaine, un couple, avec enfants : double !

.

En supposant que l’on soit rémunéré  au Smic :

Cela représenterait près 292 milliards d’euros

Soit  15%  de  notre  Produit Intérieur Brut,

Équivalent  en valeur, en richesse générée

Par toute une industrie manufacturière

On comprend pourquoi les entreprises

De services à la personne prospèrent.

.

Que faut-il,  en déduire,   conclure :

Méfions-nous    des chiffres bruts,

Sans leurs conditions  de recueils,

Ni d’analyses mais tout de même :

Que fabriquer des objets vendables,

Ou satisfaire des tâches domestiques

Soit équivalent, ça vous laisse pantois !

.

.

Extensions

 .

En  statistiques, on ne tient pas compte

Des maniaques, obsessionnels de la propreté,

De ceux, celles qui utilisent les tâches domestiques

Comme seuls faire-valoir, du bricolage, jardinage,

Générateurs de plaisirs voire de passions.

.

On fait ses courses, rencontre des amis,

Collègues, voisins, avec qui l’on discute !

Pour ma part, bricolage vient en premier,

Faire le ménage en second, les courses après,

Cuisiner après et j’aime bien jardiner pour finir.

Je suis bien plus proche des temps d’un célibataire

Que d’une famille avec quatre enfants partis du nid.

.

Je ne suis pas  dans une moyenne ni dans catégorie,

Dispose de temps libre  pour ce qui me tient à cœur,

Prenant plaisir à satisfaire aux tâches domestiques,

Ce n’est pas une corvée. Faire du feu dans le poêle

De la cheminée et l’entretenir toute la journée,

Me prend, par exemple, une heure par jour,

En hiver  mais ne me pèsera  nullement,

De même que cuisiner  me fait plaisir

Si l’on a plusieurs invités… à diner,

Je n’ai donc pas à m’en plaindre

Et d’ailleurs ne m’en plains pas.

.

L’entretien d’une maison de famille de quatre, est important

Si l’on cumule : le ménage les courses, la cuisine, la vaisselle,

Le lavage, le repassage, le rangement  et que sais-je  encore :

Certaines tâches sont quotidiennes, d’autres hebdomadaires

Il y a des familles, mère au foyer, qui prend  tout en charge,

Et d’autres ou l’on partage les tâches et avec un roulement,

Après, c’est question d’organisation, d’exigence, d’équité !

.

Le temps dépensé aux tâches domestiques,

Reste très différent d’une famille à l’autre,

Tout dépend  de la surface,  la fréquence,

L’exigence de propreté parfaite, ou non.

.

On pourra y prendre, sinon du plaisir,

Un fort sentiment, d’utilité, de santé,

Y a rien qui traine, pas un microbe :

Les toiles d’araignées sont aspirées.

.

L’on a beau faire : tapis, chaussons

Poussière finit toujours par rentrer,

Y compris en  une maison inoccupée,

À en croire, c’est génération spontanée.

.

.

1030 – Calligramme

.

Les tâches domestiques    T   …..……………

Constituent un travail ……… E …..…………..…….

De deux jours et demi            M        par semaine

Soit un tiers selon calcul          P          selon l’Insee.

Il s’agit d’une activité en           S         forte majorité

Non rémunérée, comprenant      *         dix catégories,

Qui sont réparties pour une         D      semaine entière,

Gérer le ménage, jardiner,             O      faire la vaisselle,

Faire la lessive, et le repassage,       M      bricoler, autre,

Faire les courses et puis, s’occuper    E           des enfants,

Faire le ménage, pour finir, pour tous  S              cuisiner.

Au total, ça fait plus de trois heures      T             par jour,

Consacrées entièrement aux tâches       I     domestiques.

Si l’on est célibataire, ou, en couple,     Q    sans enfants,

Avec deux enfants, ce temps variera,   U    évidemment

Mais il sera réalisé au deux tiers par  E   des femmes.

Célibataire y consacre entre douze,   S  vingt heures

Par semaine,  un couple, avec enfants : le double !

.

En supposant que l’on soit rémunéré  au Smic :

Cela représenterait près 292 milliards d’euros

Soit  15%  de  notre  Produit Intérieur Brut,

Équivalent  en valeur, en richesse générée

Par toute une industrie manufacturière

On comprend pourquoi les entreprises

De services à la personne prospèrent.

.

Que faut-il,  en déduire,   conclure :

Méfions-nous    des chiffres bruts,

Sans leurs conditions  de recueils,

Ni d’analyses mais tout de même :

Que fabriquer des objets vendables,

Ou satisfaire des tâches domestiques

Soit équivalent, ça vous laisse pantois !

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.1030 4

Un vase, une chope

Gant de protection 

Pour la cuisine chaude

Ou gant de ménage.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Que ce soit bricolage, cuisine, ménage

un gant sera toujours utile, bienvenu,

il y en a de toutes sortes, ici, moufle

si fait que la forme rejoint le fond.

.

Gant protection  thermique est un

Symbole de ménage et  de cuisine :

Pour la lessive, la vaisselle, le sol.

Sans  parler gants de mode.

 .

Symbolique

 .

Se protéger du froid ou,

À l’inverse,   de la chaleur

Et des brûlures est nécessité

Exigée  par leur métier   pour

De    nombreux   professionnels.

.

Ceux  qui travaillent en extérieur,

En milieu réfrigéré, ceux également

Susceptibles de manipuler des objets

Et des outils  ou aliments très chauds.

.

Dans toutes ces situations du quotidien

Les mains sont fragilisées par ces

Conditions parfois très extrêmes.

.

Et lors les gants de protection

Sont des équipements de protection

Individuelle répondant aux normes.

protection-des-mains.com/

gants-thermiques-chaleur-froid

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1030 6

.

Gant protection  thermique est un

Symbole de ménage et  de cuisine :

Pour la lessive, la vaisselle, le sol.

Sans  parler gants de mode.

 .

Symbolique 

 .

 Gant de mode, accessoire

Voire un équipement de sport

Si ce n’est un élément de protection,

Un élément d’hygiène recouvrant la main.

Utilisé pour se protéger notamment du froid,

Ou encore pour le prestige (luxe, cérémonies).

L’histoire des gants remonterait à l’antiquité.

Dans l’odyssée  d’Homère, Laerte  est décrit

Marchant, dans son jardin, avec des gants

Pour se prémunir contre mûres sauvages.

Wikipédia : gant

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Je relève le gant  ne signifie pas souvent

Qu’il est tombé par terre et je le ramasse :

Bien plus,  je relève le défi que tu me tends 

Ceci dit, il y aura les gants  de chirurgiens,

De mode, fantaisie, jardin, sport, vélo etc.

.

Quand on dit encore qu’une chose me va,

Comme un gant,  c’est qu’elle est bonne,

Doigts étant le plus difficile à couvrir.

Franchement,  pour  vous  le  dire,

J’ai pris des gants, enfin tenter.

 .

.

Matériel ne manque : les bras !

.

Scénario

.

Pour faire les lits, les chambres le ménage poussière tout entier,

sans compter  laver tous les sols, nettoyer les parquets et meubles,

la vaisselle, linge, rangement, y a de quoi s’occuper un bon moment. 

 .

Visuels et textuels  >>

1029 – Nous sommes dispersés, à toujours zapper !

Visuels et textuels >>

.

Sommes dispersés,

Toujours encore zapper

À ce point que de décider

Ce à quoi, le plus on tient,

Serait remis à lendemain.

On lui dit oui … puis non,

On le retarde,  sans façon,

Cela mérite …  discussion,

Pour se faire  à sa raison !

C’est l’évidence  …  même,

C’est un besoin … extrême

Quand nous fait problème

On en fera tout un poème.

.

Peut-être mais allez savoir,

On hésite entre blanc, noir,

Ou c’est la porte  de l’espoir

Qui ne donnera  rien à voir.

.

Oui, non, mais … peut-être,

Faut regarder…à sa fenêtre

Si train passe  où seul l’être

Qui le prend, peut paraître,

Autre qu’hésitant, l’instant,

Où se déroule rail du temps

À l’infini, en se prolongeant

Jusqu’au  butoir, mourant !

.

À tous nos  …  croisements :

Oui-non,  ou aller de l’avant,

Peut-être,  en s’interrogeant

Ne faut pas perdre le temps.

Le temps  d’aller …  au bout,

De lâcher … renoncer  à tout

Est toujours un projet … fou

Mais,  peut être le plus doux

Qui soit, qui me fait exister,

Hors néant de notre société

Comme un être qui sait

Longtemps zappait.

.

Extensions

.

Notre civilisation moderne, technicisée,

Nous conduit à une perte d’attention

Et plus encore de concentration.

Au bout de trois minutes,

En moyenne, si l’on n’est pas

Entré directement en le vif du sujet

Ou si le sujet ne nous intéresse pas ou plus,

On zappe ailleurs pour aller voir et surfer sur

Ce qu’il y a de plus drôle, captivant, sérieux.

Sauter du coq à l’âne, selon l’expression,

Conduit à tout mélanger sans retenir

Et à reperdre tout son esprit critique

Car la hiérarchie de valeurs est mise

À mal par un nivellement par le bas.

Vrai en discours politiques, nouvelles,

Et l’est tout autant en divertissements.

Le sport pratiqué le plus est le zapping,

Pour suivre plusieurs matchs, à la fois,

Et finalement rester frustré de n’avoir

Pas saisi tensions, actions d’éclats.

L’élève lui-même, dans sa classe,

Papillonne pour ne pas s’ennuyer

Ou pour se divertir, ou s’en évader

Tant c’est là que tout commencerait

Et se mettrait en place et pour ne plus

Avoir de patience, vibrer en permanence.

.

Supplément  

Zapper sur diverses télécommandes, qui ne le fait aujourd’hui

Et qui plus est, d’un appareil, d’une action, d’une info, à l’autre,

Le must étant désormais de le faire par smartphone  et à la voix.

Quand on  dit cela, on aura tout dit ; eh bien  non : double canal,

Ça marche aussi  en l’autre sens : votre réfrigérateur  vous parle,

Affiche ses données, prend des commandes, lance des alarmes :

On appelle ça les «objets connectés», «objets communicants».

.

Nous fonctionnons de plus en plus

Non  seulement  avec  une  zapette

Mais comme elle : à sauter du coq

À l’âne  en  vue  d’échapper  à  une

Quelconque série qui ne nous plait

Ou aller voir ailleurs ce qui se fait.

.

On agit sur sa télé, son pc, mobile

Et le temps passe,  sur des bribes,

De contenus affichant des puzzles,

N’ayant de sens ni image globale :

Du temps perdu, en quelque sorte,

Lors l’intention était le maximiser.

.

D’ailleurs, lors  on dit, je t’ai zappé

C’est qu’on l’aura oublié, trop pris !

.

.

Épilogue

.

Zapper, pour fureter, naviguer… choisir,

Est un comportement de nombre loisirs,

De nos jours, avec cette interface zapette

Si ce n’est souris,  parole,  voire manette.

***

Zapper ouvre grand champ d’exploration

Mais nous contraindra à rester en surface

Tandis que les lectures et compréhensions

Fonds, sont raccourcies, évitées, s’effacent.

***

On vous donne à voir comme en une vitrine

Un aperçu du sujet  et  son contenu, surfaits

Qui nous déçoit  ou nous surprend, satisfait,

C’est un peu la loterie,  ou  la pêche à la ligne

***

Zapper, naviguer, fureter, inconvénient connu

De ne pas focaliser concentration information,

Tant et si bien au bout d’un temps exploration,

On a tout vu, on n’at rien compris, rien retenu.

***

Il en est autrement d’un site fait  pour picorer,

Chaque titre comportera des contenus limités,

Qui auront la même structuration forme fond,

Pour simplifier la lecture et la mémorisation !

.

.

1029 – Calligramme

 .

SOMMES

Sommes dispersés,

Toujours encore zapper

À ce point que de décider

Ce à quoi, le plus on tient,

Serait remis à lendemain.

On lui dit oui … puis non,

On le retarde,  sans façon,

Cela mérite …  discussion,

Pour se faire  à sa raison !

C’est l’évidence  …  même,

C’est un besoin … extrême

Quand nous fait problème

On en fera tout un poème.

DISPERSÉS

Peut-être mais allez savoir,

On hésite entre blanc, noir,

Ou c’est la porte  de l’espoir

Qui ne donnera  rien à voir.

À  TOUJOURS

Oui, non, mais … peut-être,

Faut regarder…à sa fenêtre

Si train passe  où seul l’être

Qui le prend, peut paraître,

Autre qu’hésitant, l’instant,

Où se déroule rail du temps

À l’infini, en se prolongeant

Jusqu’au  butoir, mourant !

À tous nos  …  croisements :

Oui-non,  ou aller de l’avant,

Peut-être,  en s’interrogeant

Ne faut pas perdre le temps.

Le temps  d’aller …  au bout,

De lâcher … renoncer  à tout

Est toujours un projet … fou

Mais,  peut être le plus doux

Qui soit, qui me fait exister,

Hors néant de notre société

Comme un être qui sait

Longtemps zappait.

ZAPPER 

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1029 4

.

Un téléphone,

 Pro-bable-ment,

 Télécommande

Plus certainement ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Une télécommande sert à tout choix

que ce soit en télé,  pc, ou  domotique

il a la zapette, la souricette, la manette

s’accordant tant aux formes qu’au fond.

.

Une zapette, télécommande activée

En permanence pour cerveau :

C’est ce que nous sommes, nous faisons,

Et à longueur de journée.

 .

Symbolique  

 .

La télécommande est un dispositif,

Souvent taille réduite,

Servant à en piloter un autre à distance,

Par câble mécanique, par fils électriques,

Ondes radio, infrarouge.

.

Les télécommandes serviront  à  interagir

Avec des jouets, des appareils audiovisuels

Un téléviseur, une chaîne hi-fi,

.

Un moteur de porte de garage ou de portail,

Un éclairage, ou les ouvertures des voitures,

Appareils de topographie, des engins

De levage  ou voire  de travaux publics, etc.

fr.wikipedia.org/wiki/Telecommande

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1029 6

.

Une zapette, télécommande activée

En permanence pour cerveau :

C’est ce que nous sommes, nous faisons,

Et à longueur de journée.

.

Symbolique 

 .

Devant la multiplication

Des références d’appareils à piloter,

Les constructeurs de télécommande ont ajouté

Une option permettant à télécommande universelle

D’apprendre les codes d’une autre télécommande.

.

Dont certaines  ne savent même faire que cela,

D’autres cumulent avec la base de données.

.

Les modèles  évolués  de  télécommandes

Multifonctions  permettent, aussi,  de

Coordonner utilisation de plusieurs

Appareils au sein d’une activité.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Un téléphone pourra servir de télécommande

Pour ouvrir une porte, faire sauter une bombe

Une manette pour commander un drone volant

Les possibilités commandes d’ondes sont infinies

Déjà, sa voix elle-même est mise à contribution,

Quand on aura les deux moins prises : facilité,

Si ce n’est notre corps même qui commande,

 Voire les yeux dans le cas d’avion de chasse

Merveille de nos technos omniprésentes

Et peut être, un jour, omnipotentes.

 .

.

Zapping audio, vidéo, informatique

.

Scénario

.

Zapette des plus connues, utilisées, sur les téléviseurs,

souris sur ordinateurs  à multifenêtrages, uniquement,

commandée à la voix complétant, remplaçant les autres.

 .

Visuels et textuels >>

1028 – A chaque jour, ses joies, ses peines

Visuels et textuels  >>

.

Et si, à chaque jour, suffirait sa peine,

Que dire, alors, de joie, quotidienne :

Qui peut  la compenser, la sublimer,

Lui permettant de se  rééquilibrer !

.

Mais, parfois, trop occupé  à foncer

Dans des activités diverses variées,

On a pas le temps de penser, rêver,

On fait tout trop vite, mal et crevé.

.

Nous sommes mortels et fragilisés,

Par tout ce qui pourra nous arriver

Autant en bien, qu’en mal, certifié :

Un jour de joie est un jour de gagné.

.

À  chaque jour  …. ses joies et peines

En se  levant, travaillant, se couchant,

À ne regarder  que  le temps  qui  passe

Si rien ne vous délasse, ….  il vous lasse.

.

Grande  mode : aujourd’hui, c’est  faire

Plusieurs choses à la fois, hyper-occupé,

Nous sommes pour ne plus avoir à penser

Que nous sommes  êtres mortels, fragilisés.

.

La réussite, avant tout,  avec le prix à payer,

Pour y arriver  et mettre le turbo et le garder,

Y compris pour faire l’amour : temps compté,

D’être  efficace en tout et ne rien se reprocher.

.

Aucune peine  ne dure, aucune joie, non plus :

Parfois elles reviennent, mais l’on en peut plus,

De passer de l’une à l’autre  comme déboussolé

En monde qui va trop vite  sans jamais s’arrêter.

.

À chaque jour,  ses peines, chaque jour, ses joies :

Il n’y a pas que soi à jouir    ni à souffrir, ce jour-là ;

Le bonheur se joue à  deux  et même parfois, à trois.

Le capter reste un art où rien ne serait dû au hasard.

.

.

Extensions

 .

L’imprévu, l’inattendu, le malvenu

Font irruption dans notre vie et qui plus est,

De temps en temps, au mauvais endroit, au mauvais moment.

Par définition, on ne peut les prévoir, les anticiper, les éviter :

Le risque zéro n’existant pas, en dépit d’assurances multiples

Et variées, la sagesse pousserait à les digérer et à s’en relever

Si c’est la peine,  c’est la défaite ; et, si c’est la joie,  la fête !

Et s’il n’y avait pas l’une, l’on n’apprécierait moins l’autre.

Supporter sa peine, à deux, ne la diminue pas de moitié,

Mais d’un peu alors que la partager la double aisément.

Nos  émotions  nous conditionnent  avec  les nouvelles

Que l’on nous serine sur les radios, télés ou journaux

Toujours les mêmes une journée, du matin au soir.

Notre humeur en ferait de même et jusqu’à que

Le sommeil transforme, annule, ou relativise

De même d’une semaine, mois, saison.

.

Je peine à profiter de ma joie, tant elle est passagère

À prendre la distance de ma peine, tant elle est austère :

Changer d’air, changer de manière, changer d’atmosphère

Me fait du bien car quel que soit l’auteur ou la cause, je gère

Et, je ne demande, alors, rien d’autre, ni au ciel, ni à la terre !

 .

L’enfant  passe, facilement, du rire  aux larmes,

L’adulte passe difficilement de la peine à la joie,

Il y a comme un chemin parcouru,  un contrôle,

Qui fait que ses émotions seront moins directes.

.

On n’est pas à l’abri d’une variation d’humeurs,

Pour un oui, un non,   n’importe quelle raison :

Les hypersensibles en sauraient quelque chose

Eux qui sont des écorchés vifs ou  exubérants.

.

Puis il y aura l es cyclothymiques, bipolaires,

Qui seront tout excité, et puis, tout déprimé,

Et les sages ou les stoïciens, dures à la peine

Qui font taire toute émotion, jugée inutile.

.

.

1028 – Calligramme

.

Et si, à chaque jour, suffirait sa peine,

Que dire, alors, de joie, quotidienne :

Qui peut  la compenser, la sublimer,

Lui permettant de se  rééquilibrer !

.

Mais, parfois, trop occupé  à foncer

Dans des activités diverses variées,

On a pas le temps de penser, rêver,

On fait tout trop vite, mal et crevé.

.

Nous sommes mortels et fragilisés,

Par tout ce qui pourra nous arriver

Autant en bien, qu’en mal, certifié :

Un jour de joie est un jour de gagné.

.

À  chaque jour,  …….  ses joies et peines

En se  levant, en travaillant, se couchant,

À ne  C regarder  que  le temps  qui  * passe

Si rien H   ne vous délasse, il vous     R   lasse.

Grande  A    mode aujourd’hui     U    c’est faire

Plusieurs  Q   choses à la fois    O  hyper-occupé,

Nous sommes  U   pour ne  J    plus avoir à penser

Que nous sommes   E      *  êtres mortels, fragilisés.

.

La réussite avant     *    tout,     *    avec le prix à payer,

Pour y arriver   S        et mettre le    S  turbo et le garder,

Y compris     E     pour faire l’amour,    E     temps compté,

D’être          S     efficace en tout et ne rien   N   se reprocher.

Aucune         *     peine ne dure, aucune joie   I           non plus,

Parfois elles   J       reviennent, mais l’on      E        en peut plus,

De passer de     O         l’une à l’autre           P comme déboussolé

En monde qui     I          va trop vite         * sans jamais s’arrêter.

À chaque jour,      E        ses peines    S   chaque jour, ses joies :

Il n’y a pas que soi   S    à jouir    E   ni à souffrir, ce jour-là ;

Le bonheur se joue à  * deux  S    et même parfois, à trois.

Le capter reste un art     *        rien n’est dû au hasard.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1028 4

.

Un vase pour fleurs,

Une tasse à café ou thé,

Ou encore  un encrier

Pour écrire poèmes ?

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de la forme)

.

Un vase ou une tasse s’éloignent,

un encrier s’en rapproche, si fait

qu’on peut écrire  joies et peines,

ainsi la forme évoquera le fond.

.

On ne sait pas, vraiment, ce qu’il y aura

Dans ce petit encrier :

Moitié de joie, moitié peine, chaque jour,

Mais toujours même plume.

 .

Symbolique

 .

Encriers

Se trouvent dès

L’Égypte   Antique

Les scribes spécialisés

Dans  l’écriture  utilisant

Des godets doubles  pour

Couleurs rouge et noire !

Les encriers se sont sans

Doute  répandus  dès la

Diffusion de l’écriture,

À l’encre, manifestant

Une grande diversité

De formes

Et de tailles

Tout en partageant

Comme point commun

Une   ouverture   réduite

Pour limiter l’évaporation.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1028 6

Changer l’image ici

.

On ne sait pas, vraiment, ce qu’il y aura

Dans ce petit encrier :

Moitié de joie, moitié peine, chaque jour,

Mais toujours même plume.

 .

Symbolique 

 .

Tantôt objet d’art,

Tantôt objet de collection,

Stylo plume est l’instrument

D’écriture par excellence.

Qu’il soit utilisé pour l’art

De la calligraphie, ou écriture quotidienne,

Stylo plume envoie un message symbolique fort.

C’est pourquoi il tient une place d’honneur

Dans les professions les plus nobles :

Avocats, docteurs, professeurs.

troisarchers.com/blog/

ecriture/ecrire-stylo-plume

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Tremper ma plume dans l’encrier,

Pour écrire une lettre amourachée

Qui, j’espère, la lisant, te fera  crier

De joie plus que de peine, arrachée.

.

L’on ne saura jamais quand on écrit,

Comment va être lue, reçue, répondue

Ou simplement non ouverte, retournée,

Ou voire perdue et en ce cas, non livrée !

.

.

Jours s’en vont, je demeure

.

Scénario

.

À chaque jour, ses peines, mais que l’on souhaitera éviter.

Si joies et peines se confrontent, lesquels l’emporteront ?

À chaque jour, ses joies, sur lesquels on peut s’appuyer.

 .

Visuels et textuels  >>

1027 – Des gens disent, c’en est assez, finissons-en !

Visuels et textuels  >>

.

Quand on ne sait pas aimer,

On n’y parviendrait pas bien.

C’est à l’autre de tout accepter,

Et, de son côté, l’on ne fera rien.

Au bout de plusieurs négociations

Au bout de plusieurs changements,

On finit par se faire  bonne raison :

La vie en couple est un châtiment.

Rester seul plutôt que de souffrir,

À deux, reprocher mutuellement

Un désaccord de tempérament,

Plutôt partir, plutôt mourir.

.

Bien des gens, et parfois bien jeunes,

Disent que  c’en est assez, finissons-en,

J’ai tant souffert d’amour déçu…perdu,

Que désormais, rideau je n’en peux plus.

Ce sont, des passionnés, amoureux fous,

Qui vivent  l’amour exclusif,  pour la vie,

Si ce n’est  celui-ci, personne  ne pourra

Le remplacer, être son égal ou sa moitié.

.

Ce terrible aveu,  si  l’en est,  sans appel,

Je l’ai connu aussi, et, je m’en  rappelle :

Ma joie a fini par l’emporter sur la peine,

Souffrance et je me suis à nouveau marié.

Car, vouloir aimer sans jamais en souffrir,

Est comme  de vouloir voler, sans ses ailes,

L’amour n’est pas printemps… d’hirondelle,

Il puise ses racines en une source profonde.

.

Cette source  se remplit  de joie, et se tarira

Dès que l’aimé  s’en va, et s’il ne revient pas,

Assoiffé, l’on devient, en un désert de… mort

Où tout a disparu, où tout n’est  que désastre.

Désarmé, déprimé, dépressionné, tous les dés

Sont jetés avec trois fois rien  à  se raccrocher,

Qui s’appelle  l’espoir de voir  briller en le noir,

Cœur qui bat pour vous,  prêt  à vous consoler !

.

Consolation  n’est pas raison, n’est pas passion :

Il arrive qu’elle fasse effet, et prenne  le dessus :

Les bleus en cicatrices et blessures se referment,

De paralysées, vos jambes se mettent à marcher.

Marcher vers  un nouvel amour, nouvelle liberté,

Qui ajoutera ses joies, souffrances aux premiers,

.

Jusqu’à ce que mort, définitivement vous sépare

D’amants successifs  dont vous en aviez … marre

Je ne veux  plus aimer, je ne veux plus … souffrir.

Comment rester fermer, comment ne pas s’ouvrir

Quand la vie  n’a de sens  que dans l’élan d’autrui

À faire de vous, un ange réjoui, démon  de minuit

La souffrance d’aimer mérite en soi, récompense,

Son énergie vous pousse plus haut qu’on y pense.

.

.

Extensions

 .

C’en est assez, finissons-en :

Le  rideau tombe, la pièce

De théâtre est terminée,

On passe à autre chose,

On en écrira une autre,

Très bientôt en tenant

Compte  des   erreurs

Toutes  précédentes ;

Erreurs de  casting,

Et même histoires,

Ou mise en scène !

.

Comment peut-on finir avec le sexe, quel que soit l’âge

Surtout s’il englobe en lui, la sensualité  et la tendresse.

Toute pratique du sexe : oui ; toute pensée : j’en doute !

Les sexes, pris pour eux-mêmes,  sont interchangeables,

C’est le reste : corps, cœur, esprit, âme, qui ne l’est pas

Abstinence complète : faire vœu de chasteté  supposée,

Car qu’en est-il au juste, dans les faits, dans la réalité ?

 .

Il ne faut pas confondre nous dit Sigmund Freud,

Le sexe et la sexualité qui est bien plus englobante

.

L’on ne pourrait guère échapper à cette dernière,

Du fait qu’elle est plus dans notre tête que corps.

.

Sa sensualité et libido sont représentations de soi

Et à la fois énergie vitale pour vivre avec d’autres.

.

Lors même en refusant tout plaisir d’ordre sexuel,

Si le désir n’est pas sublimé on en est prisonnier !

.

Il peut en découler  désordres de comportements,

Que la loi réprime, comprime, et voire supprime !

.

.

1027 – calligramme

.

G  E  N  S    D   I  S  A N T :

 Quand on ne sait pas aimer,

    On n’y parviendrait pas bien.

         C’est à l’autre de tout accepter,

            Et de son côté, l’on ne fera rien.

                  Au bout de plusieurs négociations

                     Au bout de plusieurs changements,

                      On finit par se faire  bonne raison :

                      La vie en couple est un châtiment.

                      Rester seul plutôt que de souffrir,

                     À deux, reprocher mutuellement

                   Un désaccord de tempérament,

               Plutôt partir, plutôt mourir.

                    J’ E  N     A   I     A  S  S  E  Z,

                               Bien des gens, et parfois bien jeunes,

                                 Disent que  c’en est assez, finissons-en,

                                 J’ai tant souffert d’amour déçu…perdu,

                                   Que désormais, rideau je n’en peux plus.

                                   Ce sont, des passionnés, amoureux, fous,

                                  Qui vivent  l’amour exclusif,  pour la vie,

                                 Si ce n’est  celui-ci, personne  ne pourra

                                  Le remplacer, être son égal ou sa moitié.

                                Ce terrible aveu,  si  l’en est,  sans appel,

                                Je l’ai connu aussi, et, je m’en  rappelle :

                                 Ma joie a fini par l’emporter sur la peine,

                                Souffrance et je me suis à nouveau marié.

                                Car, vouloir aimer sans jamais en souffrir,

                                Est comme  de vouloir voler, sans ses ailes,

                                L’amour n’est pas printemps… d’hirondelle,

                               Il puise ses racines en une source profonde.

                            Cette source se remplit de joie, et se tarira

                              Dès que l’aimé  s’en va, et s’il ne revient pas,

                             Assoiffé, l’on devient, en un désert de… mort

                             Où tout a disparu, où tout n’est que désastre.

                            Désarmé, déprimé, dépressionné, tous les dés

                          Sont jetés avec trois fois rien à se raccrocher,

                          Qui s’appelle  l’espoir de voir  briller en le noir,

                         Cœur qui bat pour vous,  prêt  à vous consoler !

                        Consolation  n’est pas raison, n’est pas passion :

                    Il arrive qu’elle fasse effet, et prenne  le dessus :

                   Les bleus en cicatrices et blessures se referment,

                 De paralysées, vos jambes se mettent à marcher.

                A  L  O  R  S   O U I   F I N I S S O N S – E N !

             Marcher vers  un nouvel amour, nouvelle liberté,

            Qui ajoutera ses joies, souffrances aux premiers,…

          Jusqu’à ce que mort, définitivement vous sépare,…

       D’amants successifs  dont vous en aviez … marre…..

       Je ne veux plus aimer, je ne veux plus … souffrir,…….

      Comment rester fermer, comment ne pas s’ouvrir……….

    Quand la vie  n’a de sens  que dans l’élan d’autrui,………..

  À faire de vous, un ange réjoui, démon  de minuit…………..

La souffrance d’aimer mérite en soi, récompense,……………..

Son énergie vous pousse plus haut qu’on y pense………………..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1027 4

.

Homme, ou femme,

Tous deux la tête altière,

Sexe en bandoulière :

Allez, du balai !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Du balai, du balai, allez oust,

C’est fini, désormais, dehors, du vent :

Le couple, le sexe, c’est fini, pourtant

J’aurai tout essayé mais en vain.

 .

Symbolique 

 .

Je sens que j’ai besoin

D’un ménage personnel,

D’un bon coup de balai

Comme on dit parfois.

.

Un ménage en mes émotions,

Un ménage dans ma profession

Mes relations, et mes actions, etc.

Je sens que j’ai besoin d’un balai

Pour chasser  les éléments qui

Encombrent  mes  émotions,

Mes pensées et  mes gestes,

Et voire même mes rêves.

.

Mes  mains  seront-elles

Assez fortes rudes pour

Faire un tel nettoyage.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1027 6

.

Du balai, du balai, allez oust,

C’est fini, désormais, dehors, du vent :

Le couple, le sexe, c’est fini, pourtant

J’aurai tout essayé mais en vain.

 .

Symbolique 

 .

La déchirure d’amour,

Au-delà de la souffrance,

Douleur  d’amour,  comporte

Souvent comme corollaire la haine.

Après l’amour, pourquoi tant de haine ?

Les blessés de l’amour souffrent d’un mal

Lié à leur objet d’amour. Sans l’objet,

Ils se sentent seuls abandonnés,

Délaissés,  voire désespérés,

Ou simplement déprimés.

Le sujet est ainsi en crise

Dans  une   blessure  du

Souvenir  et  mémoire.

Les destins de l’amour

Divergent entraînant

Retentissements fini.

Cairn.info/revue-cliniques-

mediterraneennes-2004-2-page-147

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Ça ressemble fort à faire le vide en soi,

Trier ce qu’on garde et jette à la poubelle.

La mode est au recyclage : si rien n’est bon

Pourquoi  vider  son grenier  dans sa cave,

Si ce n’est  après tout ça, réciproquement !

Faire table rase du passé est un vœu pieu,

On ne bâtira nouvelle histoire que sur lui.

 .

.

Nombre pensent que ça l’est

.

Scénario

.

Finissons-en avec le sexe par abstinence totale, par sécurité,

je ne suis pas seul, des femmes auront choisi  la même voie,

et choisir qui, pourquoi, comment les satisfaire longtemps. 

 .

Visuels et textuels  >>

1026 – Est-ce ma tête qui gouverne le sexe ou non !

Visuels et textuels >>

.

Est-ce tête qui gouverne le sexe

Ou contraire, qui peut le savoir, dire,

Qui peut le prétendre, ou, le contredire !

À quinze ans, sûr, c’est lui  qui commande.

.

L’assouvir requiert du temps, après qu’il ploie

Après qu’il plie, qu’il   se détend, qu’il se retend

Et à soixante-quinze ans, c’est la tête qui reprend

Le gouvernail et lors, vaille que vaille, abandonne

Nouvelle proie à d’autres chasseurs plus bandants.

.

Entre quinze et soixante-quinze, cela fait soixante,

Si le compte est bon, bien qu’à ce que l’on raconte

Que certains joueraient encore  les prolongations.

Et, contre mauvaise fortune, lors, dès cinquante,

Perdu en plein mitan du lit, femmes et hommes

Tempèreraient ardeurs  contre leur bon cœur.

.

Vrai que fougue de la jeunesse reste cadeau du ciel,

Comme une drogue dure, rendant dépendant sexe :

D’autant que premier sexe, ils perdront complexe.

La sagesse, de la vieillesse, est un cadeau de miel

Drogue douce rendant émouvant de tendresse,

Il est moins question  de concave ou convexe.

.

Substance aphrodisiaque peut parfois pallier

À une faiblesse d’un Priape  qui ne peut plus

Plus, à moitié se lever donc en sus de baiser,

Problème  il y a, si concentration, répétition

N’apportent plus aucune satisfaction totale.

.

Là où le sexe va se fourrer, il n’y a que col

Sans tête que col qui s’entête à réclamer

Son   dû   pour  jouir  de tout   superflu.

.

Le sexe n’est rien autre qu’un instrument,

Naturel pour procréer que Dieu en sa bonté,

A donné une carotte à ce bâton.

.

La jouissance de l’orgasme et pas seulement

Un mois, ou deux, dans l’année, mais douze,

Pour bien  multiplier l’humanité.

.

Ah mais vous n’y êtes pas, vous n’y êtes plus :

Que faites-vous des pédés, et puis des homos,

Lesbiennes, transsexuelles, curés.

.

Pardon au curé, abstinence, vœu de chasteté.

Aux autres, si religion ne les aura condamnés,

Ni  la Nature les aura rachetés.

.

Freud aurait dit que cet « obscur objet du désir »

N’est pas sexué comme on prétend, reste à définir.

Le sexe n’est pas le seul lieu du désir ni du plaisir :

J’ai oui dire qu’un chien peut satisfaire madame.

.

.

Extensions

 .

Une question

À la fois physique

Et … métaphysique,

Tant,   si   l’attraction

Du corps  ne se produit,

Ou  ne se reproduirait pas,

Sans cesse, sans se dégrader,

L’esprit, bien qu’étant toujours

Autant présent, transformera

L’amour charnel en amitié.

C’est bien souvent la tête

Qui gouverne le sexe,

Surtout limbique.

 .

Forcément mon cerveau y est pour quelque chose dans le sexe

C’est lui qui gouverne les tensions, postures, paroles et gestes !

Mais pas que … si j’ose parler ainsi, un flot d’autres sensations,

Tant internes qu’externes vient accompagner, nourrir, émotion

Qui grandit en moi, en nous, dans un acte ou dans le fantasme.

.

Le sexe serait soumis partiellement seulement

Aux phéromones et à quelque réflexe animal !

.

Pour le reste, ce sera l’étage supérieur, la tête

Qui en décide, qui le contrôle et qui l’assume.

.

On a parfois rapproché humains et bonobos :

Y a des points communs mais autres finalités

.

Tel celui de consommer  le sexe  pour le sexe :

Mais attention, un jour la tête décompensera.

.

.

1026 – Calligramme

.

Est-ce tête qui gouverne le sexe

Ou contraire, qui peut le savoir, dire,

Qui peut le prétendre, ou, le contredire !

À quinze ans, sûr, c’est lui qui commande :

L’assouvir requiert du temps, après qu’il ploie

Après qu’il plie, qu’il      se détend, qu’il se retend

Et à soixante-quinze ans,    c’est la tête qui reprend

Le gouvernail et lors, vaille    que vaille, abandonne

Nouvelle proie à d’autres  T chasseurs plus bandants.

Entre quinze et soixante    Ê  quinze, cela fait soixante,

Si le compte est bon, bien     T     qu’à ce que  l’on raconte :

Certains joueraient encore         E                les prolongations. —-

Contre mauvaise fortune,                 *              lors, dès cinquante, —–

Perdu en plein mitan du lit,               G            femmes et hommes ——-

      Tempèreraient leurs ardeurs         O        contre leur bon cœur. ——–

       Vrai que fougue de la jeunesse  U   reste un cadeau du ciel, ——–

         Comme une drogue dure, les   V   rendant dépendant sexe : ——–

       D’autant que premier sexe   E        ils perdront complexe. ——–

   La sagesse, de la vieillesse,  R      est un cadeau de miel ———

 Drogue douce rendant     N    émouvant de tendresse, ———

Il est moins question      E      de concave ou convexe. ———-

Substance aphrodisi       *     aque peut parfois pallier ———–

   À une faiblesse d’un       S         Priape qui ne peut plus ————-

     Plus ou à moitié se        E       lever en dépit de baiser. —————

            Problème  il y a si        X        concentration, répétition——————

            N’apportent plus         E     aucune satisfaction totale. —————–

Là où le sexe va se fourrer, il n’y a que col

Sans tête que col qui s’entête à réclamer

Son   dû    pour    jouir   d’un    superflu.

.

Le sexe n’est rien autre qu’un instrument,

Naturel pour procréer que Dieu en sa bonté,

A donné une carotte à ce bâton.

 .

La jouissance de l’orgasme et pas seulement

Un mois, ou deux, dans l’année, mais douze,

Pour bien  multiplier l’humanité.

 .

Ah mais vous n’y êtes pas, vous n’y êtes plus :

Que faites-vous des pédés, et puis des homos,

Lesbiennes, transsexuelles, curés.

 .

Pardon au curé, abstinence, vœu de chasteté.

Aux autres, si religion ne les aura condamnés,

Ni  la Nature les aura rachetés.

.

Freud aurait dit que cet « obscur objet du désir »

N’est pas sexué comme on prétend, reste à définir.

Le sexe n’est pas le seul lieu du désir ni du plaisir :

J’ai oui dire qu’un chien peut satisfaire madame.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1026 4

.

Certains y voient une tête ;

D’autres  y  voient  un  sexe ;

D’autres, diverses projections :

Chacun son fantasme après tout.

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

C’est un peu comme si ma main gauche

ignorait tout ce que fait ma main droite

la tête et le sexe restent reliés à ce point

que le sexe ferait parfois perdre la tête.

.

La tête  gouverne le sexe, chez l’humain,

Ne le remplit pas :

Pour distinguer on parle sexe au-dessus,

En dessous de ceinture.

 .

Symbolique 

 .

La tête est la partie qui

Domine le corps,  le siège de

La pensée  et de  la  communication.

Elle symboliserait : l’identité,  l’émotion,

L’intelligence, la communication, la volonté.

.

La tête est la partie du corps  la plus sensitive.

Elle concentre la vue, l’ouïe, l’odorat  et le goût.

.

C’est la partie du corps qui renferme le cerveau,

Le siège de la pensée et du contrôle de l’ensemble

Des comportements. La tête serait donc la partie

La plus importante, la plus complexe du corps.

.

Ainsi, la tête représente en quelque sorte

L’interface entre le monde extérieur

Et la réalité intérieure.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1026 6

.

La tête  gouverne le sexe, chez l’humain,

Ne le remplit pas :

Pour distinguer on parle sexe au-dessus,

En dessous de ceinture.

 .

Symbolique 

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation  sexuelle  n’est pas  que

Liée à des stimuli sensoriels du sexe,

Ne conduit pas toujours à l’acte sexuel

Sans aucune intervention  de  pensées

Ou des émotions, fort heureusement.

.

Fondements de l’excitation sexuelle

Chez la femme, tout reste à faire.

Mais l’on pariera aisément que

C’est, encore, plus compliqué.

Source : doctissimo.fr/html/sante

/mag_2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Le sexe est d’abord et avant tout un organe,

Fait pour la reproduction, fait pour le plaisir

Il est aussi une  preuve d’amour, attachement

 et une source d’énergie positive et destructrice,

Sa libido, pour Freud, est logée en son cerveau

S’il n’y a pas de fantasmes : pratique bestiale,

Le sexe pour le sexe, ne construit jamais rien.

On croit parfois le tromper avec stupéfiant

Mais s’il revient à la charge : déception !

 .

.

Ma tête dit oui ou non à mon sexe

.

Scénario

 .

On dirait que non tant tout contact intime avec elle suffit à m’exciter,

mon cerveau et ma main sont parfois en harmonie parfois en conflit,

 je me demande si ce n’est pas l’alcool qui stimule mon désir de sexe ?

 .

Visuels et textuels >>

1025 – Les fatigués et les déçus des plaisirs du sexe

Visuels et textuels  >>

.   

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

.

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

.

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou,

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme :

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

.

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

.

Extensions

 .

À défaut d’orgasme commun,

On peut quand même grimper

Aux cieux pour peu que l’on soit

Toujours amoureux.

Mais, si l’on n’est pas présent,

Si l’on n’est pas puissant,

Si l’on n’est pas excitant,

Il ne faut s’attendre à ce que

L’autre vous satisfasse !

.

Il est certain que l’alcool potentialise le sexe à un certain degré

Mais comme pour la cigarette, quand c’est trop, c’est plus trop

L’excès de graisse favorise plus la digestion que l’e désir sexuel

En somme, il y a des causes naturelles à une perte de sa libido

Mais, il peut y avoir aussi une lassitude dans un vieux couple

Ou jeune et qui fait que la pulsion, comme la passion, faiblit

Et lors on se retrouve au lit avec un dos tourné qui ne veut.

.

Le sexe ne provoquera systématiquement

Un plaisir à renouveler sans faim … ni fin.

.

S’il y en a qui en usent, confortant l’amour,

D’autres en abusent pour leur propre plaisir

D’autres s’en abstiennent par trop déplaisirs,

Quoiqu’il en soit, fatigue se fait sentir un jour.

.

Alors que faire, d’autre, pour compenser perte

De désirs autant que de plaisirs, de fantasmer

Qu’une femme ou un homme soit à vos pieds.

.

.

1025 – Calligramme

 .

DES FATIGUÉS

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

ET DES DÉÇUS DU SEXE  

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou.

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme.

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1025 4

.

Une pelle, un flacon,

Ou une brosse  à cheveux

Et pourquoi pas un balai 

Pour ramasser poussières ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Le balai et le sexe, ont peu à faire ensemble,

même si on enfourche aussi bien ce dernier,

cela resterait une image reliée aux sorcières,

et si sa forme évoque elle n’époussette fond.

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

 Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique

 .

Si le balai

Est associé au nettoyage,

Il est tout aussi  bien associé à la

Purification et à l’épuration spirituelles.

Un nettoyage spirituel… en quelque sorte,

Une purification de soi  et des lieux  sacrés.

.

En plus de servir à la purification des lieux,

Il peut tout aussi bien servir à les protéger !

Il est parfois associé à symbolique sexuelle

Dans nombres de textes et de légendes.

.

Plusieurs coutumes folkloriques

Comportant un balai peuvent

Se rattacher à un contexte sexuel

lailaseshat2.canalblog.com/archives/2008

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1025 6

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique de fond

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation sexuelle n’est pas

Uniquement liée à des stimuli

Sensoriels du sexe et ne

Conduit pas forcément

À l’acte sexuel sans

Intervention des pensées

Et des émotions (heureusement)…

.

Quant aux fondements de l’excitation

Sexuelle chez la femme, tout reste à faire.

Et l’on pariera aisément que

C’est encore plus compliqué…

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Tout ce qui aura rapport au sexe, du balai.

Facile à dire, pour un temps, mais toujours :

Comment s’en priver sans perdre aussi amour,

Car si frigide, sans orgasme, le cœur n’y est plus

Il reste la tendresse, les caresses et câlins appuyés

Et la libido, comme chacun le sait, peut se sublimer,

En d’autres jeux, d’autres œuvres, passions nouvelles,

Et ainsi revenir vers de nouvelles dispositions sexuelles

Au lieu de s’affronter à une impuissance, s’en affranchir

En la contournant, en la réinventant, en la ré-energisant.

 .

.

.

Fatiguée, voire déçue du sexe

.

Scénario

.

Le sexe, ah non, pour moi, c’est fini, c’est bien trop décevant

en plus l’excès de cigarette, de graisse, d’alcool,  m’y empêche,

je préfère dormir, penser à autre chose, en bref : m’abstenir !

 .

Visuels et textuels  >>

1024 – Des hommes préoccupés par besoin du sexe

Visuels et textuels >>

.

Tandis que les hommes demeureraient préoccupés

En permanence, suite aux besoins de leurs sexes,

Leur montant, à la gorge,  tant que le désir agit,

Sur le feu, comme par un vrai soufflet de forge.

Les femmes y pensent aussi, mais en pointillé,

Elles le font même parfois entre parenthèses,

Tant qu’elles portent leur cœur, en filigrane,

Question de différence, voire, de sensibilité.

.

Côté sexe, cœur : mondes,  comportements,

Évoluent peu  même s’il arrive que les rôles

Sont, alternativement, égalitaires, inversés

«L’homme propose, et, la femme dispose »,

Dit le proverbe se traduisant pour certains

«L’homme s’impose, la femme prédispose»

Ou en se travestissant, pour les derniers.

«L’homme s’oppose, femme l’indispose».

.

À chacun de choisir formule consacrée.

On dit que le désir aurait  ceci de vrai

Qu’il se tarirait dès qu’il est satisfait,

Ou que son absence, nous  permet,

De penser ou de faire  autre chose,

Sinon serions pire … qu’animaux,

.

Tant le désir de partager son âme,

N’a pas toujours  à voir avec sexe

L’on n’est pas une femme, en soi,

On ne le devient qu’à chaque fois

Qu’un homme aimant vous honore

Avec l’espoir de le séduire  encore !

.

Il est à la fois sujet, cause  et prétexte,

Sujet, si l’on va jusqu’à  vivre ensemble,

Cause, si l’on en fait son perpétuel amant,

Prétexte si on le tient pour ami d’un jour !

Et c’est alors qu’on peut livrer son corps

À un vivant, soit un  amant, ami, partenaire,

Tout en gardant mais  virtuellement, son  âme,

Pour un mort, amour disparu, un mari décédé.

.

Pour l’homme il n’y a  pas de partage de l’âme

Sans celui du corps tant c’est « à corps perdu »,

Qu’il tente de l’atteindre  en chœur, en flammes.

Pour la femme, il n’y a  pas  de partage  du corps,

Sans celui de l’âme  c’est   «la mort dans l’âme»

Qu’elle fait mine se   livrer      en se réservant,

À  l’homme élu pour le reste de sa vie.

.

Mais voilà mari de tous les jours

Ne serait pas  l’ami  de  toujours

Connu ou  non  depuis  l’enfance,

Avec qui on fait amour en cachette

Lieux secrets, et temps : bien gardés.

.

.

Extensions

 .

Méandres, arabesques et circonvolutions,

Me direz-vous, et vous n’auriez pas tort.

Toutefois, si les hommes et les femmes

Étaient toujours même longueur d’onde

Lorsqu’ils feraient l’amour, cela se saurait,

Et cela se dirait et cela nous réconforterait !

Il n’en est rien, rarement, temporairement,

Dans cette fusion consubstantielle qui n’a

Rien à voir avec aucun ciel, même de lit.

Il faut donc se rendre à une évidence,

Certes discutable et disputable :

Nous ne sommes pas faits

Pour bien nous entendre,

Nous y sommes contraints

Pour l’équilibre de la Nature

Et son renouvellement et pour

Le bien de la société, l’humanité.

Cela dit, rien ne vous empêche de

Vivre seul, en égoïste …  heureux.

.

Le vin est lié au sexe, à la sensualité, la convivialité :

Il a ce pouvoir de libérer les peurs, appréhensions

Face à l’autre, partenaire potentiel en séduction

Oui mais attention à ne pas dépasser la dose

Parce qu’après, on n’est plus qui propose,

Mais qui trop ose, impose, ou suppose,

Et parfois même s’endort au lieu de…

.

Dieu merci les hommes d’aujourd’hui

Connaitra mieux le désir d’une femme,

Qu’au siècle dernier, siècles précédents

Et cela lui permet de mieux s’y ajuster.

.

C’en serait fini des unions à la hussarde

Où la femme ressent union  proche viol,

Tendresse, préliminaire, a droit de cité,

On attend l’autre, pour l’accompagner !

.

Sinon y a qu’aller de défouler au bordel,

Où aucun acte porno ne satisfait couple.

.

.

1024 – Calligramme

.

Tandis que les hommes demeureraient préoccupés

En permanence, suite aux besoins de leurs sexes,

Leur montant, à la gorge,  tant que le désir agit,

Sur le feu, comme par un vrai soufflet de forge.

Les femmes y pensent aussi, mais en pointillé,

Elles le font même parfois entre parenthèses,

Tant qu’elles portent leur cœur, en filigrane,

Question de différence, voire, de sensibilité.

Côté sexe, cœur : mondes,  comportements,

Évoluent peu  même s’il arrive que les rôles

Sont, alternativement, égalitaires, inversés

«L’homme propose, et, la femme dispose »,

Dit le proverbe se traduisant pour certains

«L’homme s’impose, la femme prédispose»

Ou en se travestissant, pour les derniers.

«L’homme s’oppose ; femme l’indispose».

À chacun de choisir formule  consacrée.

L’on dit que le désir aurait  ceci de vrai

Qu’il se tarirait dès qu’il est  D  satisfait,

Ou que son absence, nous      E   permet,

De penser ou de faire autre     S     chose,

Sinon serions pire…qu’ani        *    maux,

Tant le désir de partager son     H      âme,

N’a pas toujours à voir avec        O       sexe

L’on n’est pas une femme en        M        soi,

On ne le devient qu’à chaque       M         fois

Qu’un homme aimant vous          E     honore

Avec l’espoir de le séduire            S       encore !

Il est à la fois sujet, cause          *      et prétexte,

Sujet, si l’on va jusqu’à          P     vivre ensemble,

Cause, si l’on en fait son       R         perpétuel amant,

Prétexte si on le tient        É            pour ami d’un jour !

Et c’est alors qu’on           O                   peut livrer son corps

À un vivant, soit un           C                   amant, ami, partenaire,

Tout en gardant mais          C                       virtuellement, son  âme,

Pour un mort, amour           U                     disparu, un mari décédé.

Pour l’homme il n’y a             P                      pas de partage de l’âme

Sans celui du corps tant        É                     c’est « à corps perdu »,

Qu’il tente de l’atteindre         S                   en chœur, en flammes.

Pour la femme, il n’y a    Q    pas     L      de partage  du corps,

Sans celui de l’âme       U     c’est     E  «la mort dans l’âme»

Qu’elle fait mine se   E      livrer      *        en se réservant,

À  l’homme élu      *      pour le    S    reste de sa vie.

Oui mais voilà   P     mari de   E   tous les jours

Ne serait pas    A   l’ami de  X         toujours

Connu ou non  R  depuis  E      l’enfance,

Avec qui on fait l’amour en cachette

Lieu secret, temps : bien gardés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1024 4

.

Vase avec un col

Et une anse, servant

 Probablement pour le vin 

Appelée généralement carafe ?

.

(forme creuse, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

un long col de cygne et un  réservoir

on croirait une matrice de la femme :

lors il s’agit là d’image approximative,

forme évoque le fond sans s’y confondre

.

Pour certains, il n’y aurait nul

Besoin d’une carafe pour baiser.

Le vin, comme chacun sait, excite 

Son esprit et voire sa bestialité.

.

Symbolique 

 .

La carafe est plus qu’une bouteille,

Car on a pris la peine d’y transvaser

L e liquide, un  précieux  liquide  qui

Méritait un contenant à sa hauteur.

Elle est symbole féminin qui promet

Fécondité, richesse à moyen terme.

Encore faut-il qu’elle soit pleine !

Elle annonce de la joie,

Des événements agréables

Qui rendent force et vigueur.

Expression «Rester en carafe»

Renvoie aussi  à l’interprétation

De la carafe vide,  aux abandons,

Frustrations, arrêts dus aux oublis,

Et autres désagréments.

wikireve.fr/dir/4446-carafe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1024 6

.

Pour certains, il n’y aurait nul

Besoin d’une carafe pour baiser.

Le vin, comme chacun sait, excite

Son esprit et voire sa bestialité.

.

Symbolique

..

Le vin est une boisson alcoolisée

Obtenue par la fermentation du raisin,

Symbolise : ivresse, plaisir, folie, convivialité.

Mythologie grecque : le vin est associé à Dionysos

L’équivalent de Bacchus dans la mythologie romaine,

Le vin fait partie des symboles  de la Culture française,

Au même titre que la baguette ou le béret ou le fromage.

Dans le monde, il représente l’art de vivre à la française.

Cela en fait symbole de l’identité nationale.

1001symboles.net/symbole/sens-de-vin

.

.

 Corrélations

.

Fond/forme 

 .

À confondre

L’amour du vin,

Et le vin de l’amour,

Trop saoul, l’on devient,

À en être dépendant des deux.

On peut se passer de l’un, l’autre,

Et même de deux, sobriété, chasteté,

Mais toute sublimation a ses limites

À quoi bon la vie si l’on en profite !

Vaut-il mieux finir toute carafe,

Que d’y rester prendre baffe :

Le sexe débande lors saoul,

Le vin, à terre, vous roule.

 .

.

Le sexe en avant toujours plus haut

.

Scénario 

.

Sexe, en dépendance physiologique, comme une autre drogue,

qui atteint son corps, le rendant esclave jusqu’au plus profond,

lorsque ce n’est pas son cœur, si ce n’est son esprit, voire âme !  

.

Visuels et textuels >>

1023 – Grain de sable fait grincer le corps et l’âme

Visuels et textuels  >>

.

Grain de sable : rien, peu de chose

Placé  au  mauvais  endroit, il s’oppose.

Grain de sable ferait grincer corps et âme.

.

Car nous  sommes des organismes complexes

Bien huilées : multiples rouages sophistiqués,

À se demander si ça fonctionne sans déraper

De près on voit qu’il peut   être différent.

.

Machine humaine, en dépit des faiblesses,

Fragilités, est comme un sommet de l’art

Dont on ne sait quel artiste l’a signé.

.

On dit qu’il l’a fait à son image

Ou en premier brouillon raté.

Impossible de voir créateur

Et impossible de l’y mettre.

.

Cette merveilleuse machine

Depuis  l’aube  de l’Humanité,

Peut être … rapidement… entravée,

Voire perturbé par dysfonctionnements,

Effet papillon  contamine  tous  les  organes

Et produira une grande quantité de maladies.

.

On pourrait croire, que ce grain de sable n’affecte

Que le corps : il conditionne aussi humeur de l’esprit

Paix de l’âme par un je ne sais quoi d’atmosphère

Mais qui devient vite très insupportable.

.

Irritation des corps, irritation d’esprits

Peinant à comprendre ce qui se passe

Produisent anticorps pour limiter, voire

Circonscrire  l’étendue de telle hémorragie

Autant de signaux d’alerte clignotant partout.

.

Alors que les molécules immunitaires  endiguent

Épidémie dans bon nombre organes, déjà grippés,

En aggravant encore plus détérioration des voisins.

.

D’où provient, grain de sable endogène  ou exogène,

Était-il là, tapi, dans  un  coin,  sur son  petit  terrain,

En attendant que la machine ralentisse afin de monter

Dans le train, ou alors vient-il  d’une substance inhalée,

Ingurgitée et dont le corps ne peut guère se débarrasser.

.

.

Extensions

 

Il vient de conjonction des deux

Ou de facteur génétique : la médecine

N’a pas qu’un seul modèle de fonctionnement

De notre organisme, comme l’ont les physiciens

Pour l’atome, particule, ou matière.

Ce grain de sable est d’autant méchant,

Qu’il est invisible et on en prouve l’existence

Qu’au travers des traces ou des marqueurs.

.

Lors il n’y a pas de symptômes cliniques,

Spécifiques, évidents, diagnostiqués,

Isoler puis globaliser est un travail préalable

À la mise en œuvre de la moindre thérapeutique

Si l’on veut qu’elle soit efficace, corresponde

Au phénotype et caractère du malade.

.

Un grain de sable dans l’âme :

Comment cela est rendu possible

L’âme étant par définition, dépourvue

De la moindre parcelle de matière :

Par sublimation métaphorique

Ou prise de conscience de quelque chose

Qui ne va pas alors que, partout, par ailleurs,

Notre organisme fonctionne parfaitement !

.

Le grain de sable est à prendre

Soit au sens propre en machine

Soit au sens figuré, en rouages,

D’un projet,  d’une entreprise :

Administration, généralement,

Dû à norme d’usage, modifiée.

Du grain à moudre, et encore !

.

Les détails ont parfois grande importance

Non par eux-mêmes de façon individuelle

Mais soit lors venant après un gros stress

Soit suite à une accumulation des petits,

Comme en influx nerveux : sommation,

Déclenchant un signal pour le cerveau.

.

On en a assez, on n’en veut plus, stop.

On ira pas plus loin, faut explication

Et voire suivi d’actions réparatrices.

.

Si dans les rouages d’une machine,

Il peut être bloquant et pas mortel

Il en est tout autrement, en corps,

Provoquant cancer, AVC ou autre

Maladie fonctionnant à bas bruit.

.

 .

1023 – Calligramme

.

Grain de sable : rien, peu de chose

Placé  au  mauvais  endroit, il s’oppose.

Grain de sable  ferait grincer, corps et âme.

  Car nous    sommes des organismes   complexes

Bien  huilées *   multiples rouages   * sophistiqués.

À se demander *   si ça fonctionne  *  sans déraper :

De près on voit   *     qu’il peut    *    être différent.

Machine humaine  * en dépit *    des faiblesses,

Fragilités, est  comme  *  un sommet  de l’art

Dont on ne sait quel artiste l’aura signé.

On dit qu’il l’a fait à son image

Ou en premier brouillon raté.

Impossible de voir créateur

Et impossible de l’y mettre.

.

*************************

*************************

.

Cette merveilleuse machine

Depuis l’aube  de l’humanité,

Peut être… rapidement…entravée,

Voire perturbé par dysfonctionnements,

Effet papillon contami   G   ne tous les organes

Et il produira une grande   R    quantité de maladies.

On pourrait croire, que ce    A    grain de sable n’affecte

Que le corps, il conditionne    I     aussi humeur de l’esprit

Paix de l’âme par un je ne   N   sais quoi d’atmosphère

Mais qui devient vite    *    très insupportable.

Irritation des corps,     D   irritation d’esprits

Peinant à compren     E  dre ce qui se passe

Produisent anticorps   *    pour limiter, voire

Circonscrire  l’étendue   S   de telle hémorragie

Autant de signaux d’aller  A   te clignotant partout.

Alors que les molécules im B    munitaires endiguent

Épidémie dans bon nombre L     organes,  déjà grippés,

En aggravant encore plus dé E     térioration des voisins.

D’où provient, grain de sable *        endogène ou exogène,

Était-il là, tapi, dans un coin  F           sur son petit terrain,

En attendant que la machine  A    ralentisse afin de monter

Dans le train, ou alors vient-il  I      d’une substance inhalée,

Ingurgitée et dont le corps ne  T   peut guère se débarrasser.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1023 4

.

Un ourson, en chocolat

Ou un pion  sur un échiquier,

Bonhomme château de sable

Ou un bonhomme de neige ?

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Rien à voir avec un grain de sable,

ni avec autre sorte de grain, d’ailleurs

on est là, totalement, en autre domaine,

tant et si bien sue forme et fond diffèrent.

.

Le grain de sable, ici,

Est que la température fait fondre

Un bonhomme de neige

Qui avait l’air pourtant bien éternel

.

Symbolique 

 .

Quoi de plus banal

Qu’un château de sable

Sur une plage ! D’une pelle et d’un seau,

Les enfants s’amusent à construire

D’improbables forteresses aux multiples tourelles.

.

Le sable humide est modelé, tassé, lissé.

Il faut l’arroser pour qu’il ne sèche pas trop vite.

La marée montante envahit les douves.

.

À peine terminé, le château est détruit

Par les vagues et bientôt il ne reste

Que des ruines amollies ou rien du tout,

Selon la marée.  Nostalgiques de l’enfance,

.

.

Fond

.

Évocation

.

1023 6

.

Le grain de sable, ici,

Est que la température fait fondre

Ce bonhomme de neige

Qui avait l’air pourtant bien éternel

 .

Symbolique 

 .

La construction d’un

Bonhomme de neige

Est un loisir  pour enfants

Et adultes, souvent, pratiqué

Lors des périodes  de l’année où

Neige est disponible en abondance.

.

Dans la culture occidentale, et dans

L’hémisphère Nord, le bonhomme

De neige est un symbole associé

À Noël  et à l’hiver.

.

Au Japon, on a plus

Tendance à mettre un seau

Retourné sur tête de bonhomme

De neige en guise de …  chapeau.

Source : wikipedia/Bonhomme_de_neige

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Château de sable, l’été, sur une plage,

Bonhomme de neige, l’hiver, sur place,

L’enfant joue en s’amusant à construire,

Avec les matériaux, fonction de saisons :

Au printemps, c’est bourgeon qui pousse,

En automne ce sont feuilles qui tombent.

Toute l’année il joue dans le bac à sable

Qui abrite balançoires et toboggans !

 .

.

Un grain parfois suffit

.

Scénario

.

Un seul grain de sable  et la machine s’enraille,

l’âme se grise, se verdit, et fait grincer des dents :

 j’ai l’impression que mon cerveau perd des morceaux. 

 .

Visuels et textuels  >>

1022 – Etre quinze jours à moitié malade, c’est long

Visuels et textuels >>

.

J’ai  été à moitié-malade ….. pendant quinze jours :

À moitié, car, en vérité, je ne me suis jamais alité !

.

 Avec écriture, ménage, bricolage  et  même voyage,

Un peu ralenti ou beaucoup  gêné, tout de même,

Heureux de retrouver  la  santé, tonus  habituel.

.

Le temps se distord  en charpie,  mal en point,

Car là, j’ai senti se profiler  ce que sera la fin,

Si cela continuait ainsi des mois entiers.

.

Voilà, ça a commencé par légère fièvre

Suite coup de froid  Fête de la Science

Front  fiévreux  et   un mal  de crane.

.

J’ai pris quelques cachets d’aspirine

Mais,  le  virus  s’en est  bien  sorti,

En se transformant en un rhume.

.

Médicament n’a eu aucun effet

À part provoquer une laryngite

Allant à mon extin ction de voix.

.

 Autre médication, transformation,

Mais, cette fois ce seront les bronches,

Se mettant à tousser par quintes successives

À me réveiller la nuit et m’empêcher de dormir.

.

Chacun sait que, quand le sommeil n’est pas bon,

Récupération ne se fait pas, c’est un cercle vicieux

Et qui l’emporte, largement,  sur le cercle vertueux.

.

Je commençais à aller mieux, à la fin de la semaine,

Et voilà qu’un voyage, dans la famille dans le Nord,

Lors changeant d’air, ou changeant d’alimentation,

Je me donne un mal à l’estomac, et  qui m’éreinte !

.

À la fin, mon estomac a produit des borborygmes,

Je me dis alors que le virus s’en est allé, ailleurs !

Mais, voilà qu’à peine, de retour,  en la maison.

.

Une diarrhée, carabinée,  suivie vomissement

De repas me torde de spasmes insoutenables.

.

Aujourd’hui,  quinze jours  après le début,

C’est fini : j’aurai été visité  par bon virus,

Du haut du crane jusqu’au fondement.

 .

.

Extensions

 .

Pour une vaccination complète,

C’en est une si tous les organes

Ont  été  concerné : nez, gorge,

Poumons, cœur, estomac, foie,

Reins, intestin …  et j’en passe.

.

Chacun sait que l’on appréciera

Bien mieux, encore, la santé à la

Sortie d’une très  longue maladie !

.

Il m’est parfois arrivé d’être à moitié

Malade pendant un jour ou deux mais

Rarement quinze jours durant avec cette

Panoplie de symptômes : serait-ce une

Des marques du commencement

De la vieillesse ou simplement

Check-up auto-immune du

Corps entier pour mieux

Me préparer pour l’hiver à venir :

Travailler dans un tel état est pénible

Et écrire en devient aussi très fatigant.

.

La durée est une donnée importance dans toute maladie

Une grippe  ou un rhume, dure une semaine, en général :

Si c’est le double ou d’avantage,  il faudra médicamenter :

Il vaut mieux prendre un traitement préventif que curatif

Depuis dix ans, la moyenne se situe  à 350 morts  par an.

.

Je ne suis pas souvent malade

Je l’ai été enfant, lors cela à dû

Fortifier défenses immunitaires

Je ne m’en plains pas, c’est sûr.

.

Il m’arrive d’être comme grippe,

En dépit d’un vaccin administré,

De ce fait, je la subis moins forte,

Vaccin protège du mauvais sort !

.

Gens bien portants  sont malades

Qui s’ignorent et je le croirai bien

Comme Jules Romains, en Knock,

Il vaut mieux prévenir que guérir.

.

.

1022 – Calligramme

.

J’ai  été à moitié-malade ….. pendant quinze jours :

À moitié, car, en vérité, je ne me suis jamais alité !

 Avec écriture, ménage, bricolage  et  même voyage,

Un peu ralenti ou beaucoup  gêné, tout de même,

Heureux de retrouver  la  santé, tonus  habituel.

Le temps se distord  en charpie,  mal en point,

Car là, j’ai senti se profiler  ce que sera la fin,

Si cela continuait ainsi  L  des mois entiers.

Voilà, ça a commencé O   par légère fièvre

Suite coup de froid  N Fête de la Science

Front fiévreux  et  G  un mal de crane,

J’ai pris quelques cachets d’aspirine

Mais, le virus s’en est     bien sorti,

En se transformant  en  un rhume.

.

Médicament n’a eu   Q    aucun effet

À part provoquer     U      une laryngite

Allant à mon extin     I              ction de voix.

 Autre médication,       N                transformation,

Mais, cette fois ce                      seront les bronches,

Se mettant à tousser       E          par quintes successives

À me réveiller la nuit          *         et m’empêcher de dormir

Chacun sait que, quand        J         le sommeil n’est pas bon,

Récupération ne se fait pas      O             c’est un cercle vicieux

Et qui l’emporte, largement,      U            sur le cercle vertueux.

Je commençais à aller mieux,       R          à la fin de la semaine,

Et voilà qu’un voyage, dans la fa       S          mille dans le Nord,

Lors changeant d’air, ou changeant     *             d’alimentation,

Je me donne un mal à l’estomac, et     M          qui m’éreinte !

À la fin, mon estomac a produit des    A          borborygmes,

Je me dis alors que le virus s’en est    L         allé, ailleurs !

Mais, voilà qu’à peine, de retour,    A       en la maison,

Une diarrhée, carabinée, suivie    D      vomissement

De repas me torde de spasmes  E   insoutenables.

Aujourd’hui,  quinze jours    *   après le début,

C’est fini : j’aurai été visité   par bon virus,

Du haut du crane jusqu’au fondement.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1022 4

.

On aura beau boire, en ce pichet

Toutes sortes de potions magiques

Quand l’on est  pris  par  un virus

Y a que médicament patience !

.

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Que peut bien faire un pichet,

dans traitement conte un virus

sauf peut-être en apothicairerie

et on est loin d’une telle époque.

.

Un gros pichet d’eau miraculeuse,

En flacon, médicamentée :

Ça ne m’a pas guéri mais ça a

Empêché d’autres complications.

 .

Symbolique

 .

En héraldique, le pichet

Est, très souvent, représenté

Avec une anse et un col verseur.

Sa  déformation  suggère  l’étain.

.

Aujourd’hui, les fabricants  français

Garantissent étains 100% alimentaire,

Usage du plomb dans leurs usines est

Totalement  interdit  depuis  1995.

.

Une cruche est un vase de terre

Ou de grès, à anse, ayant

La panse large et le col étroit.

La cruche est destinée à contenir

De l’eau voire parfois même du vin.

Source : heraldie.blogspot.com/2014/

08/la-cruche-et-le-pichet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un gros pichet d’eau miraculeuse,

En flacon,  médicamentée :

Ça ne m’a pas guéri mais ça a

Empêcher d’autres complications.

 .

Symbolique 

 .

Les médicaments non-utilisés

Ou périmés sont à déposer en pharmacie.

Que devient-il ? Jetés dans la poubelle,

Dans l’évier ou dans les toilettes,

Les médicaments peuvent polluer

Les sols et les rivières

Car ils contiennent des principes actifs.

.

Cyclamed  valorise les Médicaments

Non Utilisés (M.N.U.) à usage humain,

Périmés ou non, dans le respect des règles

Environnementales à des fins de valorisation

Énergétique, ce qui permet d’éclairer et de

Chauffer l’équivalent de 7 000 à 8 000

Logements tout au long de l’année.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Pour sûr, bien des médicaments,

Sous quelque forme  qu’ils soient,

Et administrés avec  ou  sans eau,

Aident bien à guérir des maladies

Ou, pour le moins,  empêcheront

Toutes sortes de complications.

.

Pour certaines, comme rhume

On pourra certes s’en passer

Mais avec, c’est un confort,

Qui améliore notre moral

Et dieu sait si ça compte.

 .

.

Faut prendre médicaments

.

Scénario 

.

Un rhume qui s’éternise, qui ne devait durer que quelques jours

Un virus qui ne veut plus me quitter, déjouant les pièges, mutant

J’en ai avalé des cachets de toutes les couleurs et cela : pour rien !

 .

Visuels et textuels >>

1021 – Etre ballotté de tous côtés, lors en un bateau

Visuels et textuels  >>

.

Grosse tempête, non seulement

De progresser  où vous voulez  aller,

Mais elle vous fait peur  de sombrer.

Ça fait du bruit, ça bouge de partout,

Vent et mer, deviennent comme fou,

Même plus parler  et on ne s’entend,

Impossible modifier  le  gréement.

S’imaginer disparaitre sans trace

Devient plus fréquent et crasse

On a plus la force de penser,

En un voilier ainsi ballotté.

.

Balloté de tous côtés, en un bateau,

En bravant la tempête au vent mauvais

Je m’agrippe au mât comme à un arbre,

Pour ne pas sombrer au fond de l’océan,

Où je navigue, et à vue, et en désespéré,

De vie qui me met,  comme  en sursis !

Le moindre, mouvement, déplacement,

Me met en danger de tomber… glisser.

.

Alors que, le voilier est prêt à chavirer,

Il s’enfonce au creux de grande vague,

Et, submergé par des montagnes d’eau,

Vrille un peu sur lui-même, ou remonte,

La pente pour grimper, jusqu’à sa crête.

Le bruit assourdissant m’étreint la tête,

M’empêche de penser pour y faire face,

Demain, c’est sûr : on aura perdu  trace,

Du bateau, et de son occupant, dérouté

Par les forces des éléments, contraires,

Contre lesquels,  il ne pouvait… lutter.

.

J’aurais dû couler … dû, être, vite, noyé,

Je me demande comment j’ai échappé

À cette mort certaine, cette lutte vaine,

Tant j’avais le corps et l’âme en peine.

Ma survie me surprend, me ravit aussi

Balloté mais pas englouti, par la vague

Tueuse, venue de l’arrière  ou par côtés,

Alors même que l’esquif allait chavirer.

.

Le seul fait de m’accrocher, à mon mât,

Comme à une vraie bouée de sauvetage,

Et de ne plus bouger, pour ne pas glisser,

M’a sauvé la mise, malgré ma peur bleue.

Peur bleue devant la mer blanche en furie,

Peur bleue, devant mort, comme ennemie,

Peur bleue, devant marre, de souffrir ainsi,

Peur bleue devant mât, vibrant, en sa folie.

Balloté, et de tous côtés, dans mon bateau,

J’ai gardé les yeux ouverts sur …  les eaux,

Entre la mort et la vie, espoir au cordeau :

Que temps me préserve, se mette à beau !

.

.

Extensions

 .

Un roulis, augmenté d’un tangage, rend tout bateau, instable

Lors de s’accrocher au bastingage restera des plus honorables,

Tant vouloir rester et avancer droit, tient impossibilité notoire,

C’est un coup à vomir ses tripes par-dessus ou sur les…hiloires !

Se faire balloter sur un bateau est comme en mauvaise histoire :

Rien de vrai, de cohérent : un coup c’est blanc, un coup c’est noir

En bateau au moins on a un pilier central où s’accrocher, espoir.

.

Sur un voilier, on ne titube pas,

On cherche souvent bon équilibre

Lors c’est le bateau qui nous mène

Il faut s’adapter à lui, non l’inverse.

.

Auquel cas, c’est sûr, on sera balloté,

En rythmes, en contretemps, toujours,

Ce n’est pas avec la tête qu’on compense

Mais avec le corps, en acquérant réflexes.

.

Sinon, gare au mal de mer ou cognements,

Au point que l’on ne tiendra pas longtemps,

Et que l’on se dégoutera d’être sur un bateau

Qui, il faut le dire, vous mène alors en bateau.

.

 

.

1021 – Calligramme

     .

                                   B   A   L   L   O   T   T   É,

                                    Grosse tempête, non seulement

                                     Elle vous embête et vous empêche

                                    De progresser  où vous voulez  aller,

                                  Mais elle vous fait peur  de sombrer.

                                 Ça fait du bruit, ça bouge de partout,

                                Vent et mer, deviennent comme fou,

                                 Même plus parler  et on ne s’entend,

                               Impossible modifier  le  gréement.

                               S’imaginer disparaitre sans trace

                              Devient plus fréquent et crasse

                             On a plus la force de penser,

                               En un voilier ainsi ballotté.

.

                  D  E    T O U  S    C Ô T É S,

                      Balloté de tous côtés, en un bateau,

                         En bravant la tempête au vent mauvais

                       Je m’agrippe au mât comme à un arbre,

                     Pour ne pas sombrer au fond de l’océan,

                 Où je navigue, et à vue, et en désespéré,

             De vie qui me met,  comme  en sursis !

           Le moindre, mouvement, déplacement,

     Me met en danger de tomber… glisser.

.

 Alors que, le voilier est prêt à chavirer,

Il s’enfonce au creux de grande vague,

   Et, submergé par des montagnes d’eau,

        Vrille un peu sur lui-même, ou remonte,

               La pente pour grimper, jusqu’à sa crête.

                 Le bruit assourdissant m’étreint la tête,

                  M’empêche de penser pour y faire face,

                   Demain, c’est sûr : on aura perdu  trace,

               Du bateau, et de son occupant, dérouté

            Par les forces des éléments, contraires,

        Contre lesquels,  il ne pouvait… lutter.

.

   D A N S     M O N    B A T E A U   

     J’aurais dû couler … dû, être, vite, noyé,

    Je me demande comment j’ai échappé

      À cette mort certaine, cette lutte vaine,

       Tant j’avais le corps et l’âme en peine.

           Ma survie me surprend, me ravit aussi

             Balloté mais pas englouti, par la vague

                Tueuse, venue de l’arrière  ou par côtés,

                Alors même que l’esquif allait chavirer.

.

              Le seul fait de m’accrocher, à mon mât,

             Comme à une vraie bouée de sauvetage,

          Et de ne plus bouger, pour ne pas glisser,

       M’a sauvé la mise, malgré ma peur bleue.

    Peur bleue devant la mer blanche en furie,

  Peur bleue, devant mort, comme ennemie,

 Peur bleue, devant marre, de souffrir ainsi,

Peur bleue devant mât, vibrant, en sa folie.

Balloté, et de tous côtés, dans mon bateau,

J’ai gardé les yeux ouverts sur …  les eaux,

Entre la mort et la vie, espoir au cordeau :

Que temps me préserve, se mette à beau !

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1021 4

.

Une silhouette d’homme

Titubant et en ayant

Du mal à avancer 

En postures ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Lors on titube, on sera souvent

en de très mauvaises postures,

qu’il faudra tenter de rectifier,

ainsi la forme évoque le fond.

.

Il est très difficile de se tenir droit,

Sans tenir à quelque chose, en bateau,

Si l’on attrape la danse de saint Guy,

Postures branlantes, on titubera!

 .

Symbolique

 .

Le terme « posture »

Renvoie à la réalité du corps :

Une posture est une attitude,

Une façon de se tenir,

.

De placer son corps, ses membres

Se tenir debout, penché, raide, détendu.

Mais  ce sens initial  est lié  à la  situation

Dans laquelle  s’opère cette prise d’attitude.

.

Exemple : lors des cérémonies de funérailles,

Il est d’usage de se tenir debout la tête baissée,

Mains jointes, avec  un air triste  et  recueilli,

Et qui agirait autrement, courrait le risque

De se faire remarquer en mauvaise part.

ressources-socius.info/index.php/

lexique/21-lexique/69-posture

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1021 6

.

Il est très difficile de se tenir droit,

Sans tenir à quelque chose, en bateau,

Si on attrape la danse de saint Guy,

On ne la quittera plus, titubant !

 .

Symbolique 

.

«Je restais  à tituber  comme  je l’avais  fait 

Tout à L’heure, un pied sur le pavé plus élevé,

L’autre pied sur le  pavé le plus bas.

.

Chaque fois  que je refaisais rien que

Matériellement   ce même pas,  il me restait  inutile,

Mais si je réussissais, oubliant la matinée Guermantes,

À retrouver ce que j’avais senti, en posant ainsi mes pieds,

De nouveau la vision éblouissante, et indistincte, me frôlait. »

fr.wikisource.org/wiki/Page:Proust_-_Le_Temps_retrouvé

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le temps ne se retrouve pas, il est linéaire,

Il n’y a que dans le souvenir  qu’on le garde

Être déstabilisé par faux équilibre des pieds

Conduira à retrouver sensation semblable !

.

En bateau, on a sensation que  sol  échappe

Et  que  tout  est branlant, secoué, chaviré.

Au premier temps, on s’accroche, titube

Et plus avec le temps, les mouvements,

L’on s’adapte, n’y fait plus attention,

On court pour lever,  affaler voiles.

.

C’est en posant le pied sur ponton,

Que sensation déséquilibre revient

Alors que ce dernier  ne bouge pas.

Le monde à l’envers, tout de même :

Avoir le pied marin en pleine tempête

Et le pied qui dévisse sur le terre-plein !

 .

.

Beau faire : balloté de tous côtés

.

Scénario

.

Un coup à bâbord, un autre à tribord : un roulis permanent.

Un coup en proue, un autre en poupe : un tangage évident.

Il faut se placer au pied du mât et regarder plus au loin !

.

Visuels et textuels  >>

 

.

 

1020 – Tout va bien et puis tout va mal : pourquoi !

Visuels et textuels  >>

.

Pourquoi !

Question / réponse

Parce que ci ou bien ca

Ou parce que tout à la fois

Une goutte  a fait déborder

Verre  de  bon  vin,   humeur

Pleine de  joie en  main, moi.

.

Ce n’est  qu’un  excès  de bile

Tiens-toi donc plus tranquille

M’aurait  dit un  psychiatre

Ou un médecin opiniâtre.

 .

Un coup de cafard, c’est sûr ;

Coup de cafard,  c’est mûr :

J’envoie   tout  promener,

Il ne faut plus me parler !

.

Trop d’alcool, ou, mal dormi,

Trop mangé ou trop de soucis,

Trop fatigué ou trop mal aimé,

Et au petit matin trop chagrin,

Un refus de sortir trop tôt du lit

Pour aller au travail… pas divin.

.

Être cajolé, faire  enfant attristé,

Etre autiste pour ne rien  écouter

Envie de tout envoyer promener,

Comme  remède, voire  solution,

Rejet mari, amant, compagnon

Amour est en berne, en cocon.

.

Comme une idiote, pour de bon,

Se dire qu’horoscope  a dit non,

Qu’il faut voir un psy, attention.

.

Après la douche ça va bien déjà,

Après le café, je crois que  ça ira,

Un bon bol d’air frais et l’on y va.

.

Bon coup  de  cafard, c’est l’orage

Noircissant, soudain,  les nuages,

Imbibant, comme en marécages,

Le cœur, les tripes et le cerveau,

S’emmêlent  fort, les  pinceaux,

Ternissent couleurs  des eaux.

.

Finalement rencontrant autres, humeur noire s’est faite rose

Puis s’en est allée gentiment, tout va bien, puis tout va mal :

En fait, je ne sais trop, pourquoi : c’est mon tempérament !

.

.

Extensions

 .

Tout va bien et puis soudain tout va mal

Quand on est, souvent, d’humeur instable,

D’humeur aimable et devenant détestable :

Il suffirait alors du moindre grain de sable

Pour tout vous gâcher.

.

À cran, à fleur de peau, comme un écorché,

À prendre  avec des pinces, avec des gants,

Prêt à vous sauter à la figure, pour autant,

Point  du  tout  mécontent : juste  stressé,

Dès qu’on sait pourquoi.

.

On est de mauvaise humeur,  ça éclaircit

Le paysage, on commence à aller mieux,

Le pire est le flou menant au marasme,

Et, parfois, même jusqu’au sarcasme.

 .

Tout va bien, tout va mal :

On passe vite du bien au mal

Comme si cela était très banal,

Bien que changement : infernal !

Ainsi va la vie, ainsi vont les choses

Tout dans la vie ne peut pas être rose

Et tout ne se termine  dans l’apothéose.

Il parait que  pour atteindre  les hauteurs,

Faut au moins une fois, avoir touché le fond.

 .

« Tout va bien, tout est sous contrôle »

Combien de fois aurai-je entendu cela,

Sans qu’il me soit possible de le vérifier,

L’important serait d’y croire, n’est-il pas.

.

Quand tout va mal, ça se sent, ça se voit,

D’avantage,  on dira : y a l’eau dans le gaz

 Pour signifier que tout ne tourne pas rond,

Il faut purger le problème pour le résoudre.

.

Quand ça va bien on a besoin de personne

On se voit confiant, énergique, autonome

Quand tout va mal : allo  maman, bobo,

Aide-moi s’il te plait, je m’en sors pas.

.

.

1020 – Calligramme

.

Pour    T   quoi !

Question    O      réponse

Parce que ci    U        ou bien ca

Ou parce que      T        tout à la fois

Une goutte a         *         fait déborder

Verre de bon          V          vin,   humeur

Pleine de joie         A         en main moi.

Ce n’est qu’un        *        excès   de  bile

Tiens-toi donc      B      plus tranquille

M’aurait  dit       I     un  psychiatre

Ou un méde      E    cin opiniâtre.

N

Un coup de cafard, c’est sûr ;

Coup de cafard,  c’est mûr :

J’envoie   tout  promener,

Il ne faut plus me parler !

.

Trop d’alcool, ou, mal dormi,

Trop mangé ou trop de soucis,

Trop fatigué ou trop mal aimé,

Et au petit matin trop chagrin,

Un refus de sortir trop tôt du lit

Pour aller au travail… pas divin.

Être cajolé, faire  enfant attristé,

Etre autiste pour ne rien  écouter

Envie de tout envoyer promener,

Comme  remède, voire  solution,

Rejet mari, amant, compagnon

Amour est en berne, en cocon.

.

Comme une idiote, pour de bon,

Se dire qu’horoscope  P  a dit non,

Qu’il faut voir un psy,    U     attention.

Après la douche ça va     I     bien   déjà,

Après le café, je crois       *     que  ça ira,

Un bon bol d’air frais                V     et l’on y va.

Bon coup  de  cafard,      A    c’est l’orage

Noircissant, soudain,     *     les nuages,

Imbibant, comme en   M  marécages,

Le cœur, les tripes et   A   le cerveau,

S’emmêlent  fort, les   L   pinceaux,

Ternissent couleurs  *   des eaux.

.

Finalement rencontrant autres, humeur noire s’est faite rose

Puis s’en est allée gentiment, tout va bien, puis tout va mal :

En fait, je ne sais trop, pourquoi : c’est mon tempérament !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1020 4

.

Une tour donjon,

Ou alors une simple

Salière de cuisine

Avec du sel fin ?

.

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Chacun y va de son grain de sel de salière,

Et dieu sait si, sur une plaie

Moindre parcelle de sel attisera ma douleur

Jusqu’au point capital.

 .

Symbolique 

 .

Chez les Romains, la salière

Était considérée  comme un

Ustensile   de  culte   familial

Et les familles les plus pauvres

Tenaient à honneur de posséder

Une salière souvent en argent.

La placer devant un convive,

C’était lui faire honneur.

.

Au Moyen-Âge la salière devient

Une importante pièce d’orfèvrerie

Au XVIe siècle, première moitié,

La salière proprement dite

Est devenu un luxe princier.

.

Elle prend aussi le nom de navette.

Avec le XVIIe siècle, elle se simplifie.

Et elle ressemblera plus à une bobine.

meubliz.com/definition/saliere

.

.

Fond

.

Évocation

.

1020 5

.

Chacun y va de son grain de sel de salière,

Dieu sait si, sur une plaie

Moindre parcelle de sel attisera ma douleur

Jusqu’au point capital.

 .

Symbolique de fond

 .

Le sel donne du goût aux aliments

Et il permet de bien les conserver.

Symbole de pureté, préservation,

Tout autant altération, alliance.

Il est  un produit  très apprécié,

Et  très consommé,   parce qu’il

Relève le goût des nourritures.

.

Et ses vertus  de  préservation

D’aliments  ont été à l’origine

D’échanges importants entre

Civilisations  en   l’Antiquité.

On lui  attribuait le  pouvoir

D’éloigner  le  mauvais  œil.

.

Cependant,  malgré    toutes

Ses  qualités,  il  revêt  aussi

Une dimension destructrice,

Tant  le sel  dessèche, ronge,

Altère, rend l’eau imbuvable.

1001symboles.net/symbole/sens-de-sel

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le sel de la vie, désignerait

Les moments où tout va bien

Le poivre de la vie serait alors

Les moments où tout irait mal,

Est-ce une question de couleur

Sinon d’aspect et voire de goût

C’est  à chacun  d’assaisonner

Ses plats comme il l’entend.

 .

.

Croyez-le, puisqu’on vous le dit !

.

Scénario

.

Tout va bien,

puis tout se gâche,

et depuis … tout va mal !

.

Visuels et textuels  >>

1019- Il est bien long le chemin qui mène vers toi !

Visuels et textuels  >>

                  .

Long est le chemin

Qui mène, vers toi ;

Long est le chemin,

Qui nous a… réuni ;

Long est  le chemin,

Qui nous tient à vie ;

Long est  le chemin,

Qui me sépare de toi.

.

Lors nous avons tant

D’obstacles, à sauter,

Lors, nous avons tant,

D’épreuves, à … subir,

Lors, nous avons tant,

De barrières, à ouvrir,

Lors, nous avons tant,

Frontières, à franchir.

.

Que je ne suis pas sûr

D’y consentir ;

Que je ne suis pas sûr

D’y parvenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De revenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De  réussir.

 .

D’être sous… ton toit,

Avec    toi,

D’être sous … ton toit,

Crois-moi,

D’être sous …  ton toit,

Me  ravira,

D’être sous  …  ton toit,

Me protégera.

 .

Lors quand … j’y pense,

Mon pas s’avance ;

Alors quand …  j’y pense,

Mon cœur s’élance ;

Et lors quand …  j’y pense,

C’est ma préférence ;

Et depuis quand …  j’y pense,

C’est mon espérance.  

.

.

Extensions

 .

Long est le chemin… sauf, bien sûr,

En cas de coup de foudre,

En raccourci émotionnel et spirituel.

Dans la majorité des cas,

Cristallisation prend  un peu de temps,

Plus ou moins court ou long

Selon les circonstances,  les réciprocités.

En nombreux romans et films,

Ce n’est qu’après épreuves que prétendant

Accède enfin à princesse adorée.

Il y aura mille et une façons de se rencontrer

De se séduire, voire de se quitter

Mais  ceux qui ont jeté leur dévolu  sur un être

Leur étant cher auquel ils tiennent

Par-dessus tout, se font du souci  si la résistance

S’installe chez l’autre comme une

Impossibilité  sociale, et voire  un interdit sociétal.

L’amour facile, déconcerte certains :

Il faut qu’il gravisse une pente, conquiert un sommet,

Prouve à l’autre qu’ils sont prêts à tous

Les sacrifices, d’autres préfèrent s’adresser à une  agence

Pour « régler, et une fois pour toutes,

Problème de conjoint avec l’assurance de ne pas se tromper.»

.

On peut imaginer toutes sortes de chemins

Dont les uns mènent vers des lieux incertains,

D’autres s’approchent de la quête de quelqu’un,

Mais  avant de rencontrer  quelqu’un, quelqu’une

Il ne faut déjà pas se tromper de chemin, le choisir

Fonction de désirs secrets, d attentes bien formulées

Et penser à le poursuivre ensemble, la quête terminée

Sinon le chemin s’efface et ne vous laisse aucune trace

Et tout est alors à reprendre à zéro et à recommencer.

.

Suivre un chemin, déjà tracé par quelqu’un

Avant nous ou par la communauté, le société,

Ou bien construire soi-même, son propre tracé,

Reviendra-t-il finalement au même ou non point

.

Le chemin que tu me traces, celui que j’emprunte

Vont-ils ou non se rejoindre, et jusqu’à quel point,

Le chemin sera aussi à prendre en son sens figuré

Partage ou non  des valeurs, des rêves, passions

.

Qui se ressemble s’assemble, dirait un dicton,

Or il n’y a pas que le chemin pour se trouver

Aussi celui qu’on trace, parcourt ensemble

Se contentant du passé, on sera dépassé.

.

.

Épilogue

.

Le chemin est court, quand on a vingt ans :

On ne sait pas qui ni où mais on sait quand.

C’est tout de suite, au risque de se tromper,

L’on procède par essais-erreurs : au suivant.

.

Chemin est long lors on en a cinquante sonné,

Nombre potentiels amants, mariage ont scellé,

Il ne reste que des divorcés, veufs, ou dépités :

Soi-même on prendra le temps pour s’engager.

.

Quel que soit l’âge, les opportunités, le temps,

L’essentiel est, avant, tout de pouvoir finaliser

Une union qui satisfasse, dure, projet enfants,

On oublie les autres, amours passés, dépassés.

.

Attendre le bon parti, attendre le bon moment

Serait un choix de vie, qui nous réussit ou raté

S’il vaut mieux être seul  que mal accompagné,

Comme dit un dicton, alors courons lentement.

.

Parfois le chemin se fait en deux ou trois temps,

On se mariera, une première fois et puis enfants,

Le divorce rouvrira un chemin, qui s’était arrêté,

Avec un nouveau bagage en quête de l’être aimé.

.

.

1019 – Calligramme

               .                                       QU’IL EST

                                                       Long est le chemin

                                                         Qui mène, vers toi ;

                                                   Long est le chemin,

                                                Qui nous a… réuni ;

                                            Long est  le chemin,

                                       Qui nous tient à vie ;

                                Long est  le chemin,

                             Qui me sépare de toi.

.

                      LONG, LONG,

                      Lors nous avons tant

                D’obstacles, à sauter,

             Lors, nous avons tant,

         D’épreuves, à … subir,

      Lors, nous avons tant,

  De barrières, à ouvrir,

 Lors, nous avons tant,

Frontières, à franchir.

.

CHEMIN VERS TOI !  

Que je ne suis pas sûr

D’y consentir ;

Que je ne suis pas sûr

D’y parvenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De revenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De  réussir.

 .

D’être sous… ton toit,

Avec    toi,

D’être sous … ton toit,

Crois-moi,

D’être sous …  ton toit,

Me  ravira,

D’être sous  …  ton toit,

Me protégera.

 .

Lors quand … j’y pense,

Mon pas s’avance ;

Alors quand …  j’y pense,

Mon cœur s’élance ;

Et lors quand …  j’y pense,

C’est ma préférence ;

Et depuis quand …  j’y pense,

C’est mon espérance.  

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1019 4

.

Tracé d’un chemin

De  campagne   avec

Une courbe au milieu

Allant l’on ne sait où !  

.

(forme pleine, rimes égales

le fond s’accorde à la forme)

.

Le chemin que l’on prend, suit,

peut être très droit ou tortueux,

il mène toujours quelque part :

ainsi la forme rejoint le fond !

.

Un chemin, plus ou moins,

Large, droit, montant, sinueux

Dont le mérite sera de le parcourir

Par un choix de conquête incertaine !

  .

Symbolique 

.

Dans toute tradition religieuse

Ou métaphysique, l’image du chemin

Est symbole de la quête de l’Être, l’autre, amour.

On dit que le bonheur n’est pas au bout du chemin,

Il est le chemin !

.

La marche est sans nul doute

Une activité enrichissante qui a inspirée

Bien des hommes : écrivains, philosophes,

Ou illustres inconnus ont tous été fasciné

Par la marche, par sa symbolique et

La réflexion qu’elle favorise.

Source : Hélène Payet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1019 6

.

Un chemin, plus ou moins,

Large, droit, montant, sinueux

Dont le mérite sera de le parcourir

Par un choix de conquête incertaine !

.

Symbolique

.

Un choix de vie

Résulte de la décision

D’un individu ou d’un groupe

Confronté  à  une  situation  ou  à  un

Système offrant une ou plusieurs options.

Le terme « choix » pouvant désigner le

Processus par lequel cette opération

Est menée à bien et/ou résultat

De ladite opération.

.

En philosophie,

La question de savoir

Si un individu effectue

Des choix  librement  ou

Est déterminé renvoie au

Problème   de   l’existence

Ou non du libre arbitre.

Wikipédia : choix de vie

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le chemin que l’on se tracera

Est parfois le bon ou mauvais,

Et il est fait d’embranchements,

Requérant, chaque fois, un choix

Qu’il faut négocier  avec conjoint,

Sinon chacun partira de son côté.

Cheminer de concert, est ce qu’il y

De mieux pour couple qui s’aiment

Côte à côte, non l’un suivant autre.

.

.

Long chemin vers toi

.

Scénario

.

Il est plein de lumière, y compris  en sa forêt ombragée

où ses arbres constituent parfois comme une allée couverte

pour finir en un chemin rocailleux, sauvage, près de toi.

 .

Visuels et textuels  >>

1018 – Chute en spirales du bonheur, accélération

Visuels et textuels  >>

.

Une chute en spirales

On en ressent quelques effets

Quand l’on tombe dans cauchemar

Juste avant de se réveiller en sursaut

Sursaut de vie, évitement,  injonction

De son cerveau en émotion trop forte

Qui le sait qui le saura, qui le dira,

Mais bonheur, on n’y croit pas.

.

Chute en spirale dans un trou

Noir ou blanc ou en couleurs

Dont  on ne voit  pas le fond

Pour pouvoir enfin rebondir

Et retrouver le vrai bonheur

Chute en spirale  du bonheur,

Son accélération et sa hauteur,

Avant de m’affaisser, en évanoui,

En une chute qui jamais n’en finit.

.

Emotion jusqu’à la peur du trou noir

Reste ce qu’il y a de plus…troublant,

Que  l’on soit, l’ami, ou …  l’amant,

Quand l’on frôle tant,  désespoir,

Après s’être déclaré puis rejeté

Pire encore par autre ignoré.

Sur le versant du malheur :

.

Quand l’on en touche le fond,

Rien d’autre ne peut nous arriver,

Car tout nous est égal… à cette heure !

De l’un à l’autre, en dents de scie, râteau,

Voir des gens des plus laids aux plus beaux

Une spirale se transforme en cercle normal,

Où l’on maintient carré  …  d’envies vitales,

Comme  en un sanctuaire … impénétrable

Où le précieux espoir parait … désirable.

.

De toi, à moi, il n’y a que  flux d’ondes

Négatives ou positives qui s’échange

Perçu tantôt démon et tantôt ange

Fonction d’imagination  féconde,

Je suis, ou non … un réceptacle,

De ton amour   en ton cénacle.

.

Si je pouvais  changer de peau

Ou jeter très loin, mes oripeaux

Et, redevenir bien jeune et beau,

Je revendrais mon âme au diable,

Pour que tu puisses la lui racheter.

.

Car l’amour miracle, a souvent fait,

Ou vaincu, à  jamais, l’irrémédiable,

Mais mon âme  n’est pas à … vendre,

Et la tienne, pas davantage à prendre,

Car elle est juste très douce à entendre

Quand elle parvient mon cœur, fendre.

.

.

Extensions

 .

En la spirale d’un tel, vrai,

Bonheur, je ne crains plus rien,

Que le vertige d’une telle… hauteur.

Peut-être est-ce une chute en parachute

Dont  je le délecte, à ravir, en contemplant

Le paysage qui s’ouvre devant moi, tombant

À pleine vitesse, du ciel.

.

La spirale, comme chacun sait, évoque la chute potentielle :

Avions de combats tombaient en faisant des spirales en ciel

Aujourd’hui ils ne le font plus, pour autant il n’y a pas que

Les escaliers qu’on peut réaliser, voir, monter, en spirale.

Il y a les idées noires dans son cerveau fatigué, délirant

Et bien sûr, nos rêves de chutes, la nuit, en dormant !

Il y a aussi la spirale de la chance, plaisir, bonheur.

.

Chute brutale, en spirale, en douceur :

 Le bonheur s’en va, peu importe l’heure,

Il nous quitte à sa manière sans prévenir

Et, il pourra mettre longtemps, à revenir !

.

Si on regarde bien une spirale, on observera

Qu’une partie de la courbe semble s’approcher

D’un point fixe, tout en tournant autour  de lui,

Alors que l’autre extrémité semble s’en éloigner !

.

 Spirale infernale de mes pensées reste ma création

 Poétique se nourrissant de réalités et d’imagination,

Tournant sur elle-même, elle explore par ses lumières

Les contours réels de notre société, et de ses chimères !

.

.

1018 – Calligramme

 .

LA CHUTE

Une chute en spirales

On en ressent quelques effets

Quand l’on tombe dans cauchemar

Juste avant de se réveiller en sursaut

Sursaut de vie, évitement,  injonction

De son cerveau en émotion trop forte

Qui le sait qui le saura, qui le dira,

Mais bonheur, on n’y croit pas.

Chute en spirale dans un trou

 Noir ou blanc ou en couleurs

Dont  on ne voit  pas le fond

Pour pouvoir enfin rebondir

Et retrouver le vrai bonheur

Chute en spirale  du bonheur,

Son accélération et sa hauteur,

Avant de m’affaisser, en évanoui,

En une chute qui jamais n’en finit.

Emotion jusqu’à la peur du trou noir

Reste ce qu’il y a de plus…troublant,

Que  l’on soit, l’ami, ou …  l’amant,

Quand l’on frôle tant,  désespoir,

Après s’être déclaré puis rejeté

Pire encore par autre ignoré.

Sur le versant du malheur :

EN SPIRALE

Quand l’on en touche le fond,

Rien d’autre ne peut nous arriver,

Car tout nous est égal… à cette heure !

De l’un à l’autre, en dents de scie, râteau,

Voir des gens des plus laids aux plus beaux

Une spirale se transforme en cercle normal,

Où l’on maintient carré  …  d’envies vitales,

Comme  en un sanctuaire … impénétrable

Où le précieux espoir parait … désirable.

De toi, à moi, il n’y a que  flux d’ondes

Négatives ou positives qui s’échange

Perçu tantôt démon et tantôt ange

Fonction d’imagination  féconde,

Je suis, ou non … un réceptacle,

De ton amour   en ton cénacle.

Si je pouvais  changer de peau

Ou jeter très loin, mes oripeaux

Et, redevenir bien jeune et beau,

Je revendrais mon âme au diable,

Pour que tu puisses la lui racheter,

Car l’amour miracle, a souvent fait,

Ou vaincu, à  jamais, l’irrémédiable,

Mais mon âme  n’est pas à … vendre,

Et la tienne, pas davantage à prendre,

Car elle est juste très douce à entendre

Quand elle parvient  mon cœur, fendre.

DE N’IMPORTE QUEL BONHEUR. 

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

1018 4

.

Colonne de soutènement d’église

Ou tronc d’arbre un peu spiralé

Ou  pied de table en bois tourné

Ou lampadaire en fer forgé ?

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Lampadaire forment images

Spirale, volute, courbe, sculpture  

Pour indiquer que le bonheur

Pourrait devenir plus tourmenté.

.

Symbolique 

 .

Un lampadaire extérieur

Est un dispositif d’éclairage

Placé en périphérie de voie

De circulations publiques

Et qui s’allumera le soir.

.

L’usage   des  réverbères

Date de fin du XVIII siècle,

Avant utilisation de l’électricité.

.

En 1776, les premiers  d’entre  eux

Viennent remplacer, pour  Paris, les

Lanternes éclairées par des chandelles.

L’effet réverbère, parabole de l’ivrogne

Cherchant ses clés, la nuit, en la rue.

Il sait les avoir perdues ailleurs,

Il les recherche  pourtant sous

Le réverbère car c’est le seul

Endroit éclairé de la rue.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1018 6

..

Lampadaire forment images

Spirale, volute, courbe, sculpture 

Pour indiquer que le bonheur

Pourrait devenir plus tourmenté.

.

Symbolique 

 .

La spirale, dont

La  formation  naturelle

Est très fréquente dans le règne végétal

(vigne, volubilis) et animal (escargot, coquillage)

Évoque l’évolution d’une force, d’un état.

.

C’est un motif  ouvert  et  optimiste :

Rien n’est plus facile, lorsque l’on

Est  parti  d’une  extrémité,  que

D’atteindre l’autre, hélicoïdale,

En double volute et avec cornes.

.

La double spirale c’est l’enroulement

Des serpents autour du caducée des médecins.

La spirale est symbole de fécondité aquatique et lunaire.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Lampadaire, réverbère … luminaire

Vous étiez dans la lumière et le noir

Vous a gagné, surpris … agrippé !

Vous avez  recherché le bonheur,

Là où il n’était pas,  n’était plus,

Ou là où il ne pouvait plus être !

Comme pour descente aux enfers

Vous êtes tombés tout  en  travers

Et la porte s’est refermée sur vous,

Vous abandonnant en pleine misère.

 .

.

La spirale de bonheur ?

.

Scénario

.

Comme dans un escalier, en colimaçon, mais qui n’en finit pas,

en ma propre tête, tout est circulaire et tout tourne en rond,

mon corps tombe plus vite, la nuit, comme en apesanteur !

 .

Visuels et textuels  >>

1017 – Qui n’a pas connu de traversée du désert

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.

Une traversée du désert

Fera penser à une épreuve

Où l’on était seul abandonné

Sans savoir si un jour terminée

Lors certaines seront provoquées,

Par cause, par événement extérieur,

D’autres seront volontaires, décidées,

Premier semble exil, et second retraite.

Certains s’en sortent vainqueurs, aguerris,

D’autres, abimés  pour le restant de leur vie.

En  tous cas, un rendez-vous  avec  soi-même,

Où l’on se déterminera sur sa valeur suprême.

.

Qui n’a connu

De traversée

Du   désert,

En solitaire,

Au sens figuré,

Petite au grande

Courte ou longue,

Parfois  renouvelée.

Mais à quoi  cela sert,

Sinon … à se retrouver,

Avec soi-même, ses idées,

Ses projets, qui capotent,

Ses amis qui s’en vont

Et parfois sa femme

Voire son emploi :

La totale quoi !

Bien se recentrer

Après s’être dispersé

Pour revenir à l’essentiel,

Ce qui compte le plus pour soi

Après s’être fait bien coupé les ailes :

Faut dire que c’est loin d’être chose aisée.

.

Traversée est rupture

Energie provenant de soi

Pour décisions qui feront lois

Avant de se remettre au combat,

Entrainant les autres en son sillage

Jusqu’aux limites de leur partage,

S’agissant étude, emploi, amour

Ou d’art, même de politique,

Voire, tout  cela, à  la fois !

Cela  peut être  un objectif

De création ou production

Ou une affaire de relations

Tant vrai, qu’en  définitive,

Notre vie se résume à cela :

Traiter de ce qui ne va…pas.

Étayer vos valeurs profondes.

Émonder vos…accaparements.

.

.

Extensions

 .

Le désert, où il n’y a rien

Ou presque est l’un des lieux

Qui excitera le plus l’imaginaire,

Chez ceux qui n’ont pas de pratiques

Désert  froid, désert aride, désert chaud

Sa valeur symbolique est telle qu’elle s’est

Déclinée en nombre de domaines  qui n’ont

Rien à voir avec lui  tels que désert des idées,

Désert des sentiments,   désert des ressources

Humaines, désert des espoirs de changement

Pour eux, conduisant des électeurs sceptiques

À l’absentéisme, le traverser n’est pas y vivre,

Y compris dans ses oasis : le traverser seul,

En groupe, à pied, ou  en chameau, avec,

Sans  vivres, de jour, ou  de nuit, n’ont

Pas grand-chose  à voir  et les récits

Les plus poignants sont ceux qui

Ne sont pas  préparés, jetés là

Par accident d’avion, sans

Savoir où ils sont vers

Où ils doivent aller.

.

Une traversée du désert est toujours un défi et une épreuve

Qu’elle soit projetée, réalisée, vécue, au sens  propre et figuré.

Pour avoir connu les deux, dans ma vie, je peux en témoigner,

Mais je ne suis pas le seul et je suis prêt, avec tous, à partager.

Si  on en sort  vivant, on en sort grandi, par le sable, raffermi,

En ses projets, en ses actions, ses relations, ses coopérations

Tant le désert vous met à nu, force à essentiel en sa survie.

.

Traversée du désert correspondrait, pour moi,

Aux périodes de vie où j’ai connu des difficultés,

Qui m’auront procuré l’impression d’un abandon,

Le plus souvent, d’ordre relationnel, voire affectif.

.

Un grand moment de solitude mais sans isolement,

Sorte d’incompréhension de ce que j’étais, faisais :

Comme si j’étais en marge, original, trop différent

Attendre réussite pour être reconnu, il me fallait.

.

C’est ce que j’ai le sentiment de vivre à l’instant

Tant chaque moment où j’écris,  m’en éloigne

Et m’en rapproche de même bon an mal an,

Lors, c’est avec humour que je me soigne.

.

.

Épilogue

.

Traversée du désert : sens propre, figuré ?

Le second est plus fréquent que le premier,

Voilà bel exemple de métaphore, analogie :

Il n’y a rien autour de soi évoquant une vie.

***

C’est différent de se retirer, volontairement,

Dans un endroit secret, caché…  d’un désert

Qu’être contraint de le traverser totalement,

Sachant qu’on s’en sortira vivant, on espère.

***

Le désert au sens propre est multiple et varié,

De sable, d’eau, de glace, de verdure,  marais,

Tout comme au sens figuré, voire sans raison,

Sans voir personne, sans voir avenir, passion.

***

Pour certains, c’est manque de foi, de lumière

Sens de leur vie leur échappe : puits sans fond,

Tout leur semble égal,  leur vie n’a de de raison,

Autre que  de naitre  puis de mourir : cimetière.

***

Une bonne traversée du désert  parfois vous sert

À faire le point, à prendre décisions, bifurcation,

Si  elle dure longtemps, faite à moitié, rémission,

Elle n’ouvre aucune porte vers une nouvelle ère !

.

.

1017 – Calligramme

.

QUI N’A CONNU

Une    L  traversée L  du désert

Fera   A  penser à     A    l’épreuve

Où l’   *  on était seul   *   abandonné

Sans    T  savoir si un jour   T     terminée

Lors      R   certaines sont pro    R      voquées,

Par cau   A       se,   par événement    A      extérieur,

Aut           V        res sont volontaires,      V      décidées,

Premier    E         semble exil  et second         E        retraite.

Certains    R         s’en sortent vainqueurs,         R      aguerris,

Autres,        S          abimés pour le restant de            S        leur vie.

En  tous       É           cas, un rendez-vous  avec  soi         É         -même,

Où l’on        E            se déterminera sur sa valeur su           E        prême.

DU  DÉSERT

Qui n’a connu

De traversée

Du   désert,

En solitaire,

Au sens figuré,

Petite au grande

Courte ou longue,

Parfois  renouvelée.

Mais à quoi  cela sert,

Sinon … à se retrouver,

Avec soi-même, ses idées,

Ses projets, qui capotent,

Ses amis qui s’en vont

Et parfois sa femme

Voire son emploi :

La totale quoi !

Bien se recentrer

Après s’être dispersé

Pour revenir à l’essentiel,

Ce qui compte le plus pour soi

Après s’être fait bien coupé les ailes :

Faut dire que c’est loin d’être chose aisée.

*************************

*************************

Traversée est rupture

Énergie provenant de soi

Pour décisions qui feront lois

Avant de se remettre au combat,

Entrainant les autres en son sillage

Jusqu’aux limites de leur partage,

S’agissant étude, emploi, amour

Ou d’art, même de politique,

Voire, tout  cela, à  la fois !

Cela  peut être  un objectif

De création ou production

Ou une affaire de relations

Tant vrai, qu’en  définitive,

Notre vie se résume à cela :

Traiter de ce qui ne va…pas.

Étayer vos valeurs profondes.

Émonder vos…accaparements.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1017 4

.

Une petite lampe de chevet

qui, allumée,  éclaire très peu

et posée sur une sorte de support 

qui est la clé de sortie d’un désert.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Généralement  sans lumière :

Se fait sa traversée du désert

Je veux   dire, pour  se  guider,

Pour retrouver une vraie issue.

.

Symbolique 

 .

Frontières sont indécises

Entre lumière  symbole

Et   lumière  métaphore.

Mais  la lumière est mise

En relation avec l’obscurité.

.

La lumière succède aux ténèbres.

Si la lumière solaire meurt chaque soir,

Elle renaît chaque matin, assimilant  le destin

De l’homme à sa pérennité et sa puissance.

.

Psychologues et analystes ont observé

Qu’à l’ascension sont liées images

Lumineuses, accompagnées

De sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente,

Images   plus   sombres,

Et sentiments de crainte.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1017 6

.

Généralement  sans lumière :

Se fait sa traversée du désert

Je veux   dire, pour  se  guider,

Pour retrouver une vraie issue.

 .

Symbolique 

 .

Indifférenciation

Originelle ou bien

Encore  l’étendue

Superficielle sous

Laquelle  doit être

Cherchée  la réalité.

.

Symbolisme de la bible,

Autant terre aride, désolée,

Et  sans  habitants, le désert

Signifie, pour l’homme, le  monde

Éloigné de Dieu,  repère  des, démons,

Le lieu du châtiment d’Israël et de la tentation.

.

Traverser désert sera s’en remettre à la grâce de Dieu.

C’est pourquoi les moines du christianisme se retirent au désert

Ermites pour y affronter leur nature et celle du monde à l’aide de dieu.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Toutes traversées d’un désert,

 Que ce soit au propre, figuré

Nous mettra dans l’ombre

Et si ce n’est  l’obscurité,

Du milieu  et la société,

Et nous met en lumière

Intérieur de nous-même

Pour faire tri, sauvegarder

Valeurs et projets essentielles

Qui méritent intérêt à nos yeux :

On revient gonflé à bloc ou déprimé.

 .

.

Un désert blanc, à perte de vue.

.

Scénario

.

Au début, l’on ne prendrait pas en compte la dimension de l’épreuve,

quand on est dedans,  seul,  la traversée est des plus rudes qui soit,

à plusieurs, bien accompagné, soutenu, on en voit mieux le bout !

 .

s et textuels  >>