790 – Cent amis, et proches, remplissent votre vie

Visuels et textuels  >>

.

Des milliers d’amis : qui n’en rêvent !

Mais en réalité, lors problème, il n’en

Reste que très peu : petit  cercle fidèle

Qui en comprendra entre dix et…cent !

 .

Qu’importe amitié, c’est pas le nombre

Qui compte,

C’est la qualité, l’intensité, authenticité,

Qui vous conte

Tel que  vous êtes, et, qui vous accepte,

Et  sans  honte

Tandis que d’autres vous abandonnent

L’air fort sombre

Certains confondent amis et relations,

Et en bon nombre

Se retrouvant seul, et ne comprenant

Pas  … leur ombre.

 .

Cent amis, proches remplissent votre vie,

Je veux dire : la vie de la plupart des gens.

Il y a des exceptions, tant en moins que plus

Moyenne n’est autre qu’un curseur prépointé.

 .

Faisons les comptes  des hommes, des femmes,

Mariés, une seule fois,  admettons deux ou trois

Ça ne ferait jamais que  quatre nouveaux arrivés

Comptant les enfants    entre deux et trois … sept.

 .

Les  parents de chaque côté : mettons quatre, six,

Oncles et tantes, six ; cousins  et  cousines : neuf :

On en arrive  à trente pour la famille de votre côté.

 .

Et, si l’on  multiplie par deux, par le, les conjoints,

Cela ferait soixante, et sans compter  sur les amis,

La  vingtaine me paraitra être un nombre  moyen

 .

Demeurent les collègues et les  anciennes relations

Qui vous auront  marqué, ici ou là, dans votre vie,

Comme bons modèles ou comme aides passions.

 .

Sans personne, nul ne va nulle part, au début,

Sans personne, on se fait du souci, au milieu,

Sans personne, certains finissent ainsi la vie.

 .

Cent personnes, c’est rien  sur sept milliards,

Cent personnes, c’est suffisant pour relations

Cent personnes, c’est un monde plein action.

 .

Car il y a de tout, et, de tous les genres,

En une dispersion autant courbe ronde

Se répercutant en cercles sur le monde.

Ceci reste une vraie magie relationnelle

Que cent soit  échantillon représentatif,

Sur sept milliards dont je n’ai que faire

Pure statistique d’humanité insondable.

.

.

Extensions

 .

Le chiffre «cent» est pratique

Et suffisant dès lors que l’on peut le

Contrôler, l’embrasser, en rendre compte

Pour chacun de ses amis pris individuellement

Tandis que le chiffre «mille», donnera comme tournis,

Tout comme mille et un poèmes, projet de départ pour site.

«Dix, vingt, trente» paraissent être du domaine du raisonnable,

Proche de soi, de son premier cercle, voire de son second,

Alors que cinquante approcherait  du troisième cercle.

Entre trente et trente-six serait le bon compromis.

.

Cent amis : pourquoi cent, pourquoi pas et pas mille :

À moins de faire partie d’un réseau d’artistes à succès !

Cent est le maximum lors cinquante c’est déjà beaucoup

Vous me direz, à votre mariage, vous étiez plus que cent

Mais étaient-ils vraiment tous amis …proches de vous ?

Si vous allez sur un réseau social… le monde est à vous

Tout dépendra ce qu’on désigne par amis, après tout !

.

Cent amis, sur sept milliards de possibles,

Plus ou moins vingt, cent est nombre rond,

C’est presque mieux  que de gagner au loto.

Quant à profiter d’eux : vaut mieux l’argent,

D’autant que les amis sont souvent liés à lui,

Quoiqu’on dise, vous n’avez rien, peu d’amis

.

J’ai compté les miens et  ils sont nombreux,

Or ceux que je qualifie de proches : très peu.

Les vrais amis sont des amis de longue date,

Aux liens très forts, unis  par des  histoires,

Parfois des malheurs et des joies intenses,

Qui pourront même durer tout votre vie.

.

.

790 – Calligramme 

.

Des milliers d’amis : qui n’en rêvent !

Mais en réalité, lors problème, il n’en

Reste que très peu : petit  cercle fidèle

Qui en comprendra entre dix et…cent !

.

Qu’importe amitié, c’est pas le nombre

Qui compte,

C’est la qualité, l’intensité, authenticité,

Qui vous conte

Tel que  vous êtes, et, qui vous accepte,

Et  sans  honte

Tandis que d’autres vous abandonnent

L’air fort sombre

Certains confondent amis et relations,

Et en bon nombre

Se retrouvant seul, et ne comprenant

Pas  … leur ombre.

 .

Cent amis, proches  C   remplissent votre vie,

Je veux dire : la vie   E   de la plupart des gens.

Il y a des exceptions,  N   tant en moins que plus

Moyenne n’est autre     T        qu’un curseur pointé.

Faisons les comptes       *    un homme, une femme,

Mariés, une seule fois     A    admettons deux ou trois

Ça ne fait jamais que       M      quatre nouveaux arrivés

Comptant les enfants       I        entre deux et trois : sept.

Et parents de chaque    S    côté,    *  mettons quatre, six,

Oncles et tantes,   *   six ; cousins et    *   cousines, neuf :

On en arrive   P     à trente pour famille    *   de votre côté.

Et, si l’on     R   multiplie par deux, par le, *  les conjoints,

Cela ferait    O    soixante, sans compter    *   sur les amis,

La  vingtaine    C     me parait être le   *   nombre  moyen.

Demeurent les    H     collègues et   *  anciennes relations

Qui vous auront   E     marqué,   * ici ou là, en votre vie,

Comme modèles   S      ou     *   comme aides passions.

* ……………………

Sans personne      R    nul ne va nulle part, au début,

Sans personne,     E    on se fait du souci, au milieu,

Sans personne      M   certains finissent ainsi la vie.

Cent personnes    P    c’est rien sur sept milliards,

Cent personnes    L    c’est suffisant en relations,

Cent personnes     I     c’est un monde en action

S …………

Car il y a de tout     E       et, de tous les genres,

En une dispersion   N      autant courbe ronde

Se répercutant en    T    cercles sur le monde.

Ceci est une vraie      *     magie relationnelle

Que cent soit échan    V   tillon représentatif

Sur sept milliards dont  I     je n’ai que faire

Pure statistique d’huma  E  nité insondable.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

790 4

.

Une bouteille Thermos,

Un beau flacon de parfum

Avec un bouchon diffuseur

Pour tester son odeur ?

.

Un parfum, une odeur quelconque,

ne pourraient représenter cent amis,

mauvais parfum peut vous en éloigner

et ainsi la forme différera bien du fond.

.

Peut-on, humainement, et même

Si l’on disposerait  d’un  bon  nez,

Distinguer plus de cents parfums

Ou odeurs, pour humains, pareils !

.

Symbolique 

 .

Votre parfum

Est révélateur de

Votre personnalité

Et de votre caractère.

Oui  mais  voilà : il n’est

Pas toujours  facile  de s’y

Retrouver  parmi   la  foule

D’essences trouvées marché.

Pour vous aider, sachez  que

La  parfumerie  se  découpe

En  sept   groupes  d’odeurs

Les hespéridés, les floraux,

Les fougères, les chyprés,

Les boisés, les orientaux

Et les aromatiques.

.

Descriptif

.

790 – Cent amis, proches, remplissent vie 

  Alignement central     / Titre  absent    / Thème  amitié

Forme ovale /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : parfums  / Symbole de fond : odeurs

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

790 6

.

Peut-on, humainement, et même

Si l’on disposerait  d’un  bon  nez,

Distinguer  plus  de  cents parfums

Ou odeurs, pour humains, pareils !

.

Symbolique de fond

 .

Dans le choix d’un parfum,

Des normes sont non-écrites

Mais socialement reconnues,

Dirigeant choix  et utilisation

De  tels, ou tel produit choisi !

.

Mais l’odeur, en tant que telle,

Projeter une image symbolique

Une  fragrance  épicée,  relevée,

Fruitée ou florale, peut exprimer

Plusieurs images différentes dans

esprit de celui qui porte, supporte

Tout comme pour celui qui le sent.

.

Certaines  odeurs  pourront avoir

Une  symbolique se  référant  à la

Sensualité à la fraîcheur, comme

C’est, souvent, le cas de parfums

Floraux ou encore à la richesse.

Modifié, source : joiedevie.forumpro.fr/

t15923-symbolique-des-parfums

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il serait parait-il plus simple de vivre

Sans ami, qu’avec cent,  bien présents.

Cela dit, n’en avoir aucun, ne remplira

Pas votre vie : à la rigueur …  un chien.

.

Encore  faudra-t-il le mettre au  parfum

Que vous êtes son seul ami et pas chienne.

Tel chien tel maitre, ou tel maître, tel chien,

Parfum de chien  n’est pas chien de parfum !

 .

.

Mieux vaut cent amis que sans

.

Scénario

.

Ici, en présence, ils sont quatre, et, très proches,

là, le noyau dur au centre et les autres, plus épisodiques,

mais, avec les réseaux sociaux, une diaspora d’une centaine !

 .

Visuels et textuels  >>

785 – Famille est à la fois un repère et un repaire

Visuels et textuels >>

.

La famille est à la fois un repère et repaire,

On touche à tout en matière culturelle et sociale,

Sauf à la famille constituant,

 .

Le premier et dernier de nos repères, pilier du reste.

Pour autant, la famille ne serait pas…le seul repaire,

Où l’on se sentira si bien :

 .

Les adolescents s’y sentent mal à en être en rupture

À se chercher une autre famille d’adoption ailleurs,

Ou encore à rester entre eux.

 .

On peut perdre son conjoint, ses amis, sa famille

Quand tous les ponts se seront coupés avec eux,

Mais l’on y reviendra plus tard,

.

Ma famille est tout

 Pour moi, eh bien, pourtant,

La première fois, petit, à cinq ans,

La seconde, à onze, j’ai été en internat,

Pour mes études, très loin de mes parents.

.

Dans ma famille, à présent, on s’entend bien,

On a plaisir à se revoir et à échanger ensemble,

Mais ce n’est pas le cas pour toutes les familles :

J’en  connais, où, je  n’y  mettrais pas  les  pieds.

.

Une famille peut être  un repaire d’individus,

Se supportant pas, peu, pour des questions

De tempéraments, d’événements passés

Qui n’auront, jamais, été pardonné.

.

«Famille ………….   je vous hais»

A écrit  André Gide, et non :

«Famille …….. je vous ai »

À laquelle ……. chacun

Rêve comme repère.

.

Comment peut-on

Arriver jusqu’à

 Transformer

Repaire

 Vipère

V

.

 « Vipère au poing » a écrit Hervé Bazin :

L’ennemi intime est à l’intérieur de sa famille

Autant qu’en soi-même et cela au point de

Souhaiter la mort de sa propre mère

En lui faisant des misères.

 .

.

Extensions

 .

Il y a les parents vieillissants à en déblatérer,

Alzheimer, dont on ne sait que faire à se déchirer

Pour savoir qui va payer pour eux, qui va hériter d’eux !

.

Pour un enfant, une famille, ce n’est pas qu’un père et une mère,

Une mère ou un père, minimum ou deux mères ou deux pères :

C’est un lieu d’accueil, de soin, d’éducation, responsabilité,

Tendresse, sécurisation, d’amour, comme repaire.

.

Dans une famille, les enfants s’en viennent,

Les ados s’en vont puis lors parents reviennent

Avec leurs enfants, suivant loi intergénérationnelle.

.

La normalité, qu’est-ce que cela représente pour des

Orphelins, des bâtards, rejetés, fugueurs, révoltés :

Faudrait déjà commencer par le leur demander.

.

Un sentiment d’abandon les aura tous marqué

Mais cela ne les empêcherait pas de fonder

Leur propre famille et s’y attacher pour

Compenser leur manque de : repère.

.

Dans un grand repaire, on retrouve ses amis, fidèles.

Dans un petit ou tour on retrouve ses propres repères,

Tout comme en haut d’un phare, ou d’un haut clocher :

Des points géodésiques  qui ne trompent ni ne bougent,

Mais même dans son repère on peut perdre tout repère.

.

Pour ce qui est des jeux de mots

Repère et repaire s’y prêtent bien.

Au deuxième enfant : être re-père,

Et au deuxième emploi : re-perds !

.

Je sais d’accord, l’on s’y perd un peu,

Quand je suis en forme, je fais mieux

Il faudra que je sorte de mon repaire,

Pour trouver autre chose de nouveau.

.

Repaire demeure synonyme de refuge

Même si à l’origine, s’agit de brigands

Repère est un point, un objet, un lieu,

Pour se retrouver ou pour s’orienter.

.

J’espère, qu’un jour, l’on me repère

Et me fasse sortir de mon repaire,

Pour mon bien et le bien de tous,

Pour parler d’Éclats d’existences

.

.

785 – Calligramme 

.

La famille est à la fois un repère et repaire,

On touche à tout en matière culturelle et sociale,

Sauf à la famille constituant,

FAMILLE EST

Le premier et dernier de nos repères, pilier du reste.

Pour autant, la famille ne serait pas…le seul repaire,

Où l’on se sentira si bien :

À LA FOIS

Les adolescents s’y sentent mal à en être en rupture

À se chercher une autre famille d’adoption ailleurs,

Ou encore à rester entre eux.

REPÈRE ET REPAIRE ! 

On peut perdre son conjoint, ses amis, sa famille

Quand tous les ponts se seront coupés avec eux,

Mais l’on y reviendra plus tard,

.

*********************************

*********************************

.

Ma famille est tout

 Pour moi, eh bien, pourtant,

La première fois, petit, à cinq ans,

La seconde, à onze, j’ai été en internat,

Pour mes études, très loin de mes parents.

Dans ma famille, à présent, on s’entend bien,

On a plaisir à se revoir et à échanger ensemble.

Mais ce n’est pas le cas pour toutes les familles :

J’en  connais, où, je  n’y  mettrais pas  les  pieds.

Une famille peut être  un repaire d’individus,

Se supportant pas, peu, pour des questions

De tempéraments, d’événements passés

Qui n’auront, jamais, été pardonné.

«Famille ………….   je vous hais»

A écrit  André Gide, et non :

«Famille …….. je vous ai »

À laquelle ……. chacun

Rêve comme repère.

Comment peut-on

Arriver jusqu’à

 Transformer

Repaire

 Vipère

V

.

 « Vipère au poing » a écrit Hervé Bazin :

L’ennemi intime est à l’intérieur de sa famille

Autant qu’en soi-même et cela au point de

Souhaiter la mort de sa propre mère

En lui faisant des misères.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

785 4

.

Rond avec un point central

Et une pointe pour marquer,

Ce ne peut être qu’un repère, 

Mais qui ne dira quel repaire ?

.

Repère et repaire sont proches,

si on me repère en mon repaire

je suis mort, foutu, découvert,

ainsi la forme rejoint le fond

 .

Un repère peut être parfois signalé

 Par cette marque, comme ici ou but :

Aussi un repaire jouant sur les mots,

Phonétiquement et sémantiquement.

.

Symbolique 

.

À quoi correspondent

Tas de pierres sur sentiers ?

Ce sont des repères laissés par les

Précédents randonneurs permettant de

Baliser le chemin ou matérialiser un pic,

Ainsi permettre d’identifier clairement

Le chemin prenant la forme d’un tas

Monticule de pierres, pyramide,

Et sont le plus souvent situés

À  des endroits  où  il  est

Difficile    d’entretenir

Un sentier délimité

Ou un balisage

Peinture

V

.

Descriptif

.

785 – Famille est à la fois  repère et repaire !

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme pointue / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : repère / Symbole de fond : repaire

.

.

Fond

 .

Évocation

.

785 6

.

Un repaire est un lieu, habitation

 Ou l’on ira se réfugier, se protéger,

Aussi un repère : on  joue, les mots,

Phonétiquement, sémantiquement.

 .

Symbolique 

.

« J’ai  vu  le  renard  retourner dans  son repaire.

J’ai laissé sur l’arbre un repère afin de l’identifier.»

Il ne serait pas  rare  de confondre  le sens  des deux

Homophones  en français. En  voici un bon exemple :

Quelle est la différence entre « repaire » et « repère » ?

.

On écrit « repaire » pour  désigner  le lieu, l’abri  qui sert

De refuge aux animaux sauvages, ensuite par métonymie,

Le mot désigne la maison, l’habitation, ainsi le tout est joué.

Modifié, source : lalanguefrancaise.com/orthographe/repaire-ou-repere

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

À son deuxième enfant, on devient re-père

Tel jeu de mots est  nul, est des plus faciles :

Je perds tous repères dans mon vocabulaire,

Je vais de repaire en repaire, comme imbécile.

.

«Famille je vous hais », et « famille, je vous ai »

Presque homonyme, phonétiquement, bien que

Cela veut dire tout le contraire : extraordinaire

Je devrais prendre votre famille comme repère,

Et aller lui rendre visite en son lointain repaire.

 .

.

Famille au chaud face au feu

.

Scénario

.

Repère si on s’y sent bien, si on y prend ses marques.

Repaire lors on se sentira menacé, on court vite s’y réfugier.

Repère pour se situer dans un endroit désertique et voire en mer.

 .

Visuels et textuels >>

784 – Je n’ai de richesses que toi, enfants, amis

Visuels et textuels  >>

.

Je n’ai richesses que toi,

Avec enfants, amis, parents !

Vrai, cela s’emble  aller  de  soi

Mais, parfois, notre  nature  ment.

Car sans une famille, vrai qu’on erre.

.

Et  alors, en société, que devient-on :

Une vieille fille   ou   un vieux garçon

Si  ce n’est de statut … de caractère !

L’État lors en plein risque de guerre

Protège, sauve, garantit sanctuaire

L’homme, lui,  en  crise,  misère,

N’a que sa famille en repère.

.

Je peux me passer de tout,

Je ne peux me passer de vous,

Sans ce lien,  je deviendrais mou,

Le sens de ma vie  me paraitrait fou.

.

Pourtant ma vie se déroule sans heurts,

Chaque mois, chaque jour et chaque heure,

Sont marqués par cette pensée d’être entouré,

Par êtres exceptionnels  et, toujours, familiers.

.

Parfois, je ne suis pas facile à vivre, ni à gérer,

Parfois ce sont eux qui le sont et pas à moitié,

Dans l’ensemble, cahin-caha, bon an, mal an,

Ma famille en vaut d’autres : je l’aime tant.

.

Car en ces temps de crise et de chômage,

Compter sur sa communauté, partage,

Devient la seule assurance sans nuage,

Qu’on pourra souscrire pour son image.

.

L’argent et le temps, ne sont pas tout,

Pour qu’homme, femme, restent debout

Il faut un noyau pur,  il faut un noyau dur,

Que l’on soit jeune ou bien vieux ; bien mûr,

Je n’ai de richesse que toi, mes enfants, amis.

.

Je  reste  ouvert à  l’autre  qui  m’aurait dit

Que nous pouvons tous vivre en solidaires

Sans être ennemi  de personne sur Terre

Peut-être que je    crie   en plein désert

Et réveillez-moi si je vis en un enfer.

.

Si ma poésie fait l’effet d’un désert

Roi de la planète est argent Lucifer

Je n’ai guère envie de me réveiller moi

Pour compter les coups dans cette guerre

.

Que feront les puissants,  par devers moi,

Disparaissant comme moi de cette Terre,

Tant pour finir, de tout ce que je préfère

C’est l’amour des miens non des biens

Perdre ma petite fortune, n’est rien,

Alors que ma famille : mortifère.

.

.

Extensions

.

Demandez, donc, à tout pauvre

La seule richesse qu’il lui reste

Et  ce dernier  vous répondra,

Sans  la  moindre  hésitation :

.

Ma femme,  avec mes enfants,

En second lieu : famille  élargie,

Et en troisième, ma communauté.

.

Il ne vous parlera guère de son argent,

De projet d’acquisition, de fortune, non :

Que de relations les plus proches, intimes !

.

Le premier cercle est le couple, surtout s’ils sont parent ;

Le second, c’est eux avec un, ou deux, ou plusieurs enfants ;

Le troisième cercle est le restant de la famille et qui s’entend ;

Le quatrième est celui des amis que l’on fréquente très souvent :

Ces quatre cercles concentriques seront mon réseau de sympathies.

.

Il n’y aurait de richesse que

 La famille et le réseau d’amis,

Mais, vraiment là, tu délires,

Que fais-tu d’argent, société !

.

Qu’est-ce que l’argent : moyen,

Qu’est-ce que la société : une fin

Pour, progresser, tous, ensemble,

Vers paradis, qui nous ressemble !

.

Richesses et beautés seront plusieurs,

Elle peut être extérieure ou intérieure :

Extérieure,  c’est de la poudre aux yeux,

Intérieure,  c’est pour être plus heureux !

.

Quels que soient notre statut, nos moyens,

Nous avons tous au moins ce bien commun,

Que de faire partie d’une famille, d’un réseau

D’amis qui peut s’étendre en cercles nouveaux.

.

.

784 – Calligramme  

 .

Je n’ai richesses que toi,

Avec enfants, amis, parents !

 Vrai, cela s’emble   J  aller  de  soi

Mais, parfois, notre  E  nature ment.

Car sans une famille   *          l’on erre !

Et alors, en société,   N que devient-on :

Une vieille fille   ou     ‘   un vieux garçon

Si ce n’est de statut   A       de caractère !

L’État, lors en plein    risque de guerre

Protège, et sauve  * garantit sanctuaire

L’homme, lui,  en   D  crise,  misère,

N’a que sa famille E       en repère.

.

Je peux me passer de tout,

Je ne peux me passer de vous,

Sans ce lien,  je deviendrais mou,

Le sens de ma vie  me paraitrait fou.

R

  Pourtant ma vie se    I   déroule sans heurts,

   Chaque mois, chaque  C   jour et chaque heure,

        Sont marqués par cette    H    pensée d’être entouré,

        Par êtres exceptionnels       E     et toujours familiers.

       Parfois, je ne suis pas facile    S     à vivre, ni à gérer,

     Parfois ce sont eux qui le sont   S    et pas à moitié,

    Dans l’ensemble, cahin-caha, bon  E    an mal an,

  Ma famille en vaut d’autres : je l’aime  S    tant.

Car en ces temps de crise et de chômage,

Compter sur sa communauté, partage,

Devient la seule assurance sans nuage,

Qu’on pourra souscrire pour son image.

 Q

L’argent, le temps       U         ne sont pas tout

  Pour que l’homme       E    femme, reste debout

     Il faut un noyau pur      :        il faut un noyau dur

      Que l’on soit jeune ou    T  bien vieux ou bien mûr

         Je n’ai, de richesse que O      toi, mes enfants, amis

      

            Je reste ouvert à  l’        *           autre qui m’aura dit

                Que nous pouvons        E          tous vivre en solidaires

                   Sans être ennemi         N             de personne sur Terre

                    Peut-être que je            F                 crie   en plein désert

                   Et réveillez-moi,           A                si je vis en un enfer

                Si ma poésie fait          N               l’effet d’un désert

              Roi de la planète          T           est argent Lucifer

              Je n’ai guère envie de    S          me réveiller moi

                Pour compter les coups  *        dans cette guerre

                    *

         Que font les puissants A   par devers moi,

                  Disparaissant com    M    me moi, en la terre.

                   Tant pour finir, de   I   tout ce que je préfère

                   C’est l’amour des   S   miens non des biens

                   Perdre ma petite *    fortune, n’est rien,

            Alors que ma famille : mortifère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

.

Silhouette d’une jeune femme,

Enceinte  de  quelques  mois 

Présence enfant restera floue

Tant on ne la voit entièrement.

.

Enceinte et enfant vont bien avec richesse

non pas du tout d’argent mais d’humanité

on ne peut quantifier le prix perte d’enfant

tant et si bien que la forme enfante le fond

.

Enceinte, enfant est une richesse avec 

Famille, amis, autres :

Le Monde autour de soi peut s’écrouler,

Restera toujours ça !

.

Symbolique 

.

Pour  certains,    la  grossesse

   Rend  la femme  resplendissante.

      Mais,  à l’inverse, d’autres  auraient

        Comme un mouvement réflexe de recul

           En face du ventre d’une femme enceinte.

.

         Cette  oscillation : fascination,  répulsion,

       N’a rien  d’étonnant  mais  tout le monde

       Trouve  rigolo, de voir  ventre  de femme

     Qui se déforme  quand le bébé bougeait.

.

   Ou encore à beaucoup de personnes de

  Regarder avec un sourire bienveillant

  Femmes enceintes, croisées en la rue.

Modifié, source :  lexpress.fr/styles/enfant/

pourquoi-le-ventre-des-femmes-enceintes

.

Descriptif

.

784 – N’ai de richesses que : toi, enfants, amis  

  Alignement central   / Titre  serpente   /  Thème  famille

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enceinte / Symbole de fond : enfant

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

784 6

.

Le Monde autour de soi peut s’écrouler,

Restera toujours ça :

Enceinte, enfant est une richesse avec 

Famille, amis, autres.

.

Symbolique 

.

Que l’on se voit bébé,

Père ou mère d’un enfant,

Ou bien encore en train d’assister,

Voire vivre soi-même accouchement,

Rêver de bébé est un rêve très fréquent

Plus souvent chez rêveuses que rêveurs.

La maternité a  à voir  avec la grossesse

Et beaucoup, aussi, le corps des femmes.

Ce rêve est-il, pour autant, à interpréter

Comme un désir d’enfant, parentalité ?

Cela est lié à «l’instinct de maternité»,

Parfois très contesté ? Oui, mais

Pas seulement.

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Enceinte veut-il dire quelque chose

        De clos ou de fermé  ou d’inaccessible,

           Mais, pour couple  de parents, ce sera,

              La première merveille du désir d’un soi

                  Qui se renouvelle pour une vie plus rose.

                  Voilà des rondeurs  qui ne font pas peur,

               Même à l’ainé, que ce soit frère ou sœur

          Voulant toucher, sentir coups de pieds

       Avant de l’adopter, une fois  accouché.

   Tant la plus grande richesse, au Monde,

  C’est nous, mère féconde qui la concevons.

    Aucun diamant le plus pur ou le plus cher,

        Ne pourrait remplacer trésor qu’est enfant.

 .

.

Groupe des enfants et amis

.

Scénario

.

je suis riche de toi

avec le plus de nos enfants

avec le plus de mon groupe d’amis.

 .

Visuels et textuels  >>

783 – Lors j’observe mes amis en couple ou famille

Visuels et textuels  >> 

.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Observer n’est pas expliquer,

Regarder n’est  pas comprendre,

Projeter est toujours se méprendre

Conseiller est souvent mal s’y prendre

Couple reste un mystère car s’il n’échappe

Pas à l’analyse psycho ni à, statistique socio,

Il est toujours unique faut le prendre en solo

Sinon, par effet bords c’est le vôtre, il happe.

Conseiller un couple ne sera pas comparer

Au sien mais se mettre bien à distance,

Pour ne pas prendre parti, privilégier

L’un car l’autre, battu d’avance.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

.

Il n’est pas

Utile observer

Ce que sont, font

Autres pour savoir où

 L’on se situe, l’on est.

.

Chacun trace sa voie

Et décisions des uns

Ne sont celle d’autres

Dans un cas identique :

«A ta place, moi je ferais»

Entend-t-on dire … parfois.

.

Lors j’observe mes amis en couple, famille

Je me dis que leur vie est bien ou mal faite,

Mais que, de toute façon, chacun interprète

Son sort, à sa façon, solide, ou, de pacotille :

.

Un modèle dominant et qui ne peut changer

Qui ne changera rien s’il n’est pas réinventé.

Un homme, une  femme, ou des semblables,

Du divorce accepté jusque mariage éhonté.

.

Un système de  pensée que l’on exécute.

Famille, travail, patrie et pain, et jeux :

Une mise, en boite  ou en foyer, réglée,

Comme du papier à musique sous clef.

.

Leur sexualité  donne dans  la banalité,

Est parfois une chose rare ou de divinité,

Beaucoup se plaignent, sans rien  changer,

Lors me contente alors de bien les écouter.

.

Comme si j’étais l’ami fidèle  et transparent,

Comme si j’étais un frère, un conseiller, parent

Qu’on sonne, on ignore, selon gravité du moment,

Je ne ferais partie, en aucun cas, du projet, d’avant.

.

.

Extensions

 .

Lors j’observe mes amis en couple,

Famille, je me dis j’ai été comme eux,

Ils seront comme moi, enfants partis.

.

À part que cette précarité de l’emploi

Qu’ils ont, je n’ai pas subi, la retraite,

Que j’ai eu, ils ne l’ont pas, garantie !

.

À part que l’enfant est roi, et qu’il a

Tous les droits, ai dû me construire

Seul, et ainsi, trouver, seul, ma voie.

.

À part que la liberté des mœurs, était

Très encadrée par la religiosité lors eux

Auront le choix de leur orientation sexuelle.

.

Se marier, enceinte, s’appelait lors: «avoir fauté.»

Aujourd’hui, ce serait « avoir deux chances au lieu d’une

D’une seule en se pacsant d’abord avant décider se marier.

.

Observer un couple, qu’ils soient conjoints, partenaires ;

Observer un groupe d’amis mixte, adolescents,  adultes ;

Observer une famille, avec un ou deux ou trois enfants ;

Observer votre attitude  et votre jugement, par rapport

Vous verrez qu’il y a beaucoup de projections de vous,

Vous êtes, vous avez été ou allez devenir comme eux,

En avez-vous envie, êtes tenté de faire autrement ?

.

On se veut, on se croit, on se dit,

Différents d’une famille à … l’autre.

C’est en partie vrai et en partie faux,

On a tous un socle, des plus communs

Et les apparences resteront à la marge,

Tant il n’y aura pas cent façons de vivre.

.

Bon nombre d’anthropologues, ont cet art

De repérer des constantes  dans les familles,

Au point de les appelés constantes nucléaires.

En dépit des gens seuls  ou familles disloquées,

Le seul modèle qui prévaut est familial ou social,

Comme mode de substitution, non de répudiation.

.

.

783 – Calligramme 

 .

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Observer n’est  *    pas expliquer,

Regarder n’est     O   pas comprendre,

Projeter est tou       B   jours se méprendre

Conseiller est sou      S    vent mal s’y prendre

Couple reste un mys    E   tère car s’il n’échappe

Pas à l’analyse psycho   R    ni à, statistique socio,

Il est toujours unique   V   faut le prendre en solo

Sinon, par effet bords  A   c’est le vôtre, il happe.

Conseiller un couple   N      n’est pas comparer

Au sien mais se met  T   tre bien à distance,

Pour ne pas prendre  * parti, privilégier

L’un car l’autre, battu d’avance.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Il n’est pas

Utile observer

Ce que sont, font

Autres pour savoir où

 L’on se situe, l’on est.

Chacun trace sa voie

Et décisions des uns

Ne sont celle d’autres

Dans un cas identique.

«A ta place, moi je ferais»

Entend-t-on dire … parfois

Lors j’observe mes amis en couple, famille

Je me dis que leur vie est  * bien ou mal faite,

Mais que, de toute façon,  A chacun interprète

Son sort, à sa façon, solide,  M ou, de pacotille :

Un modèle dominant et qui ne  I    peut changer

Qui ne changera rien s’il n’est pas  S    réinventé.

Un  homme, une  femme,   ou des   * semblables,

Du divorce     accepté au mariage        éhonté.

Un système de  pensée que       O      l’on exécute.

Famille, travail,    patrie     U       et pain, et jeux :

Une mise, en boite          P         ou en foyer, réglée,

Comme du papier      L        à  *  musique sous clef.

Leur sexualité        E       donne dans  *   la banalité,

Est parfois,         *         chose rare ou     * de divinité,

Beaucoup        F      se plaignent sans rien  *  changer,

Lors me       A      contente alors de les bien  *  écouter.

Comme      M     si j’étais l’ami fidèle et trans *   parent,

Comme        I   si j’étais un frère, un conseiller  *   parent

Qu’on sonne,  L     qu’on ignore, selon gravité du moment,

Je ne ferais partie, L   en aucun cas, de leur projet, d’avant !

E   ………………….

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

783 4

.

Un trophée sportif

Foot, probablement :

Un trophée de ballon,

Comme une médaille !

.

Un trophée avec support et ballon :

Une récompense métaphorique

Comme  n’importe quelle médaille

Mais de forme plate et inversée.

  .

Symbolique 

 .

La conception,

Voire réalisation

De tous trophées

Peut être  confié  à

Un sculpteur célèbre,

C’est  en  général  une

Forme   sur  un  socle :

Une allégorie de victoire

Ou d’honneur, empruntée

Aux figures de mythologie ;

La représentation d’un objet

D’une attitude de la discipline;

Ou encore une forme abstraite !

Wikipedia.org/wiki/Trophée-dans-sport

.

Descriptif

 

783 – Observant amis en couple, famille 

  Alignement central   / Titre  serpente   /  Thème  famille

Forme ronde droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : trophée / Symbole de fond : médaille

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

783 6

.

Une médaille est aussi une récompense 

Qui, elle aussi, se mérite

Elle vous distingue, sert

 De reconnaissance de communauté, société

 .

Symbolique 

.

L’objet du trophée peut être symbolique

Cela peut être une coupe, une médaille,

Financier, un bon d’achat, un chèque,

Ou un contrat (contrat d’édition).

.

Toute  cérémonie sera souvent

Enjolivée par un discours,

Une remise de bouquet

Ou d’une couronne,

parfois de montée

Des couleurs, drapeau

De l’exécution d’un hymne 

Spécifique ou national.

Ou bien autre chose

Et originale

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On aura jamais trophée,

Pardon, jamais trop fait,

Pour aller gagner, ce nez

Plein milieu de la figure

Comme une distinction

Qui vous démarquera

De tous les autres

Ou presque.

j’en ai bien eu une

une fois, je m’en souviens

comme si c’était hier, souvenir

que j’ai gardé en un tiroir

comme un trophée

une victoire

 .

.

Couples amis, vacances

.

Scénario

 .

Que ce soit ce couple qui a l’air uni et ravi ;

ou mon groupe d’amis  qui me soutiennent ;

ou les voisins d’à côté lors de photo de famille.

 .

Visuels et textuels  >> 

782 – Qui n’a jamais eu besoin de quelqu’un pour

Visuels et textuels >>

.

Avoir besoin

De quelqu’un,

Pour un secours

C’est  banal,  c’est

Normal, c’est fatal !

.

Pour satisfaire nombre……………… besoins quotidiens,

Éduquer, aider à grandir……….….. jusqu’à son autonomie

Plus complète jusqu’à …………… faire de lui un affranchi :

C’est banal, c’est nor……………… mal, c’est même fatal !

 .

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

Un jour ……… découvrir

Tout autre……..  amour

Que celui…….. parents,

Sa famille……. ses amis

C’est normal… et fatal !

.

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un …….. pour

Lui tenir la………. main,

Les jours de… détresse,

Les jours de désamour,

Ou profond … chagrin !

 .

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un ……… pour

L’aider à……….. vaincre

Sa peur, ima…. ginaire,

Réelle, en lui…. autour,

Et l’en con…….vaincre !

.

Qui  n’a  jamais eu  besoin

De quelqu’…..…un pour

L’aider……..….à grandir

Lors dom….… iné senti,

Révolté………. à rebours

De se l’……….interdire !

 .

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

De quelqu’……..un pour

Lécher ………ses pleurs,

Coulant …….de ses yeux

Parfois au… grand jour

Sinon à……..l’intérieur !

.

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’………..un pour

Pour le his…… ser haut,

Au-delà de ce qu’il est

Point de non-retour

À se subli

Mer

.

.

Extensions

 .

Nous sommes tous dépendant de quelqu’un,

Dépendant des autres, non pas incapable

De vivre seul, en parfaite autonomie,

Mais nous sommes conditionnés

Par la recherche de liens et de témoins

Permanents pour avoir la sensation d’exister.

.

D’être seul sur une île déserte, même pourvue

De provisions pour survivre et voire paradisiaque,

Revient à vivre en un enfer ou personne à qui parler.

Bien sûr, on pourra se parler à soi-même, un moment,

Tenir un journal, voire le documenter par des photos

À quoi bon si l’on sait que cela disparaitra avec soi,

Qu’il n’y a ni moindre témoignage ni transmission.

.

Histoire de Robinson et Vendredi reste instructive

À ce point  mais demeure, quelque peu, irréaliste,

Mis à part le fait que Robinson  tient à inculquer

À Vendredi les bienfaits de sa  propre  éducation

En espérant qu’il lui survivra, pourra témoigner

D’être passé de l’état sauvage vers l’état civilisé.

Le monde à l’envers tout de même si l’inverse !

.

Ce n’est pas tant que, quelqu’un, en particulier, nommément,

Ait besoin de quelqu’un que tous, cela sans exception aucune.

Petit, on a besoin de grands mais grands tout autant de petits.

C’est ainsi en la communauté et ça s’appelle : «vivre ensemble»

Et qui compense, un tant soit peu, l’individualisme et l’égoïsme.

Aider quelqu’un ce n’est pas forcément donner ou rendre service,

Ça peut être simplement être là, disponible, pour l’écouter parler.

.

Avoir besoin de quelqu’un serait souvent

Synonyme de quelqu’un a besoin de moi.

.

Un besoin de compagnie… d’attachement,

N’est pas même chose qu’un besoin d’aide.

.

Mais le besoin d’être reconnu par quelqu’un

Est un besoin fondamental de l’être humain.

.

On ne peut vivre seul, même dans un réseau,

Amis Facebook  n’auront pas besoin de vous !

.

C’est lors on est dans le besoin, comme on dit,

Qu’on trouve ou non quelqu’un pour nous aider.

.

.

Épilogue

.

Avoir besoin de : on en a tous,

Non pas que de quelque chose,

Mais tout autant de quelqu’un,

Pour nous aider, tenir la main !

***

Et réciproquement car une aide

Appelle une autre, ainsi de suite,

Et ainsi se crée, renforce les liens,

Et se créera de nouveaux besoins.

***

La première aide qui vient en tête :

La mère, c’est sûr, inconditionnelle,

Suivie du père, de la fratrie, famille,

Et après, on contacte les vrais amis.

***

Être dans le besoin est bien différent

Il s’agit de nourritures, ou vêtements

S’adresser aux organismes de charité

Ou à défaut, d’aller jusqu’à  mendier !

***

Besoin d’écrire, de peindre, de danser :

Non à moins de les assimiler aux loisirs

Besoin de rêver  de penser ou de croire :

Non, à moins les assimiler à spiritualité.

***

Pour quelque raison, si vous avez besoin,

Désir, de moi, j’ai autant besoin de vous :

Je n’écris pas que pour moi en un journal,

Partage est besoin qui deviendra convivial.

***

On pense convivial, on pense tire-bouchon

et il y a toujours une bouteille pour la fêter.

On a plus besoin de partager que de saouler

après on a besoin de quelqu’un pour arrêter.

.

.

782 – Calligramme

.

QUI N’A

Avoir besoin

De quelqu’un,

Pour un secours

C’est  banal,  c’est

Normal, c’est fatal !

Pour satisfaire nombre……………… besoins quotidiens,

Éduquer, aider à grandir……….….. jusqu’à son autonomie

Plus complète jusqu’à …………… faire de lui un affranchi :

C’est banal, c’est nor……………… mal, c’est même fatal !

JAMAIS EU

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

Un jour ……… découvrir

Tout autre……..  amour

Que celui…….. parents,

Sa famille……. ses amis

C’est normal… et fatal !

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un …….. pour

Lui tenir la………. main,

Les jours de… détresse,

Les jours de désamour,

Ou profond … chagrin !

BESOIN DE

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un ……… pour

L’aider à……….. vaincre

Sa peur, ima…. ginaire,

Réelle, en lui…. autour,

Et l’en con…….vaincre !

Qui  n’a  jamais eu  besoin

De quelqu’…..…un pour

L’aider……..….à grandir

Lors dom….… iné senti,

Révolté………. à rebours

De se l’……….interdire !

QUELQU’UN !

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

De quelqu’……..un pour

Lécher ………ses pleurs,

Coulant …….de ses yeux

Parfois au… grand jour

Sinon à……..l’intérieur !

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’………..un pour

Pour le his…… ser haut,

Au-delà de ce qu’il est

Point de non-retour

À se subli

Mer

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

782 4

.

Une croix en haut,

Une vis sans fin en bas :

Ou  bien  tire-bouchon 

Pour la fête des mères

.

La bouteille, le bouchon, le vin : ne pas oublier  

Le tire-bouchon.

Le champagne pour célébrer la fête  des mères,

Reste belle occasion

.

Symbolique 

 .

XVIIe siècle, apparait le tire-bouchon.

Il est contemporain de l’invention

De la bouteille dite « moderne ».

Déboucher un une bouteille

Aurait, d’emblée, nécessité

L’invention d’un outil spécifique

Et ainsi  le tire-bouchon était né !

.

Objet précieux, et voire aristocratique,

À l’origine, le tire-bouchon est vite devenu

Un symbole de bien-vivre et de partage,

En Angleterre et en France d’abord

Pour se démocratiser et devenir

Universel, et devenant de ce fait

Magnifique objet de collection !

Source : club-francais-du-tire-bouchon

.

782 – Qui n’a jamais eu besoin de quelqu’un !

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme droite    /  Rimes égales   /    Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : fête-mères

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

La bouteille, le bouchon, le vin : ne pas oublier  

Le tire-bouchon.

Le champagne pour célébrer la fête des mères,

Reste belle occasion

.

Symbolique 

 .

 XVIe siècle,  les Anglais fêtent  « Mothering Sunday »

Et les Américains, le « Mother’s Day »  au XXe siècle.

En France, à Lyon, en 1918  que la première journée

Des mères est instaurée en vue de rendre hommage

Aux mères et aux épouses, qui ont perdu leurs fils,

Ou mari,  pendant  la Première Guerre Mondiale.

.

Elle a été  propagée  par  les soldats  américains.

Et,  le maréchal Pétain,  le 25 mai 1941,  inscrivit

Journée nationale des mères    dans le calendrier.

Fête des mères aura été, officiellement, instaurée

Après la Seconde Guerre Mondiale par Vincent Auriol

Président de la République,  avec la loi du 24 mai 1950 !

laposte.fr/fete-des-meres

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Fête des mères, fête des pères,

Voire fête des grands-parents :

En somme trois fêtes de famille

Et ceux qui n’en ont pas ou plus,

Que peuvent-ils  bien  fêter, eux !

Pour certains leur groupe d ‘amis

Comptent bien plus que la famille,

Surtout pour couples lors divorces

Besoin de se refonder, reconstruire

Avec quelqu’un(e) sur qui compter.

 .

.

Mères se succèdent : matriochka

 .

Scénario

.

Pour se sortir d’une affaire, quel qu’elle soit,

pour s’interroger sur tout et avoir des réponses,

pour se faire conseiller sur son avenir, opportunités !

 .

Visuels et textuels >>  

781 – Parents et enfants : nature d’attachements

Visuels et textuels >>

.

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants.

.

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

.

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

.

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose,

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

.

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

.

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

  .

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

.

Extensions

 .

Enfants s’attachent aux parents

Qui les aiment naturellement

Et ils en sont dépendants

Jusqu’à autonomie complète.

.

C’est à travers les petits enfants

Que les liens se renouent s’ils auront

Été distendus pendant un bon moment.

Les  parents  tiennent  à leurs  enfants

Comme  à la  prunelle de  leurs  yeux.

.

Perdre un est malheur les rendant

Inconsolable alors qu’enfants

Savent que les parents

Mourront avant eux.

Ça n’empêche pas de garder

Le souvenir de ce qu’ils ont été.

.

Quand les parents affichent une

Préférence pour un enfant, ça finit

Par poser problèmes de jalousie en la fratrie :

« T’as toujours été le chouchou, t’as toujours tout eu

Et nous rien, le minimum et te faire hériter de tout ».

.

L’attachement de l’enfant aux parents est de nature animale

L’inverse est accompagné de condition, pression, sociétales :

L’enfant n’a de responsabilité vis-à-vis de ses propres parents

Les parents ont des obligations, des devoirs … des injonctions

L’enfant est autant une transmission d’affection

Pas que génétique : je redonne ce que j’ai reçu !

C’est simple comme bonjour, ça marche toujours

Un jour ce sera peut-être le contraire : parents pris en charge

Par enfants pour accompagner, à leur tour, leurs vieux jours.

.

Intergénérationnel ne se limiterait pas

Famille, enfant, parents, grands-parents

Bon nombre de liens intergénérationnels

Ne sont d’ordre d’un attachement affectif

Mais plutôt : social, économique, culturel,

Par la solidarité et la transmission savoirs.

.

L’attachement est considéré en des cultures

Comme un droit, un devoir, une obligation :

On pense, naturellement, aux pays du Japon.

Le respect des aînés est une valeur très ancrée

 Dans la culture, dans le quotidien des Japonais,

Bien plus qu’en Occident … plus individualiste.

.

.

781 – Calligramme 

 .

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

PARENTS,

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

ENFANTS 

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose.

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

NATURE

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

ATTACHEMENTS  

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

781 4

.

Une pointe de quelque chose

Une cravate, probablement,

Une cravate certainement 

Cadeau de fêtes de pères.

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique

« Symbole d’autorité »,

Contrainte « ridicule ».

Pourquoi   la  cravate

N’est plus dans le coup.

Longtemps   considérée

Comme  un   accessoire

Indispensable dans  de

Nombreux       secteurs

Professionnels       afin

D’incarner  le  sérieux

 L’élégance, la cravate

Est,  de plus en plus,

Laissée au placard

Sauf, ringards.

« francetvinfo.fr/economie/tendances/

symbole-autorite-contrainte-ridicule

.

Descriptif

 .

781 – Parents, enfants : nature attachement 

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme droite   / Rimes égales  /    Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cravate / Symbole de fond : fête-pères

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

781 6

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique 

 

Début du xxe siècle, la première fête non religieuse voit le jour

États-Unis le 19 juin 1910, à l’initiative de Sonora Smart

Qui souhaitait qu’on rende hommage aux papas,

Au même titre que la Fête des mères.

.

Depuis ce jour, la fête des pères, se déroule

Le 3e dimanche de juin aux États-Unis.

En France la Fête des pères date de 1952

Est officialisée par un fabriquant de briquet,

Par Flaminaire, mais  à des fins commerciales.

.

La Fête des pères est fixée au 3e dimanche de juin

Comme aux États-Unis et cette tradition se poursuit

Encore aujourd’hui mais avec bien d’autres cadeaux.

laposte.fr/fete-des-peres

 

 

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’attachement entre parent et enfant

Nous parait n’être qu’un fait de nature

Or il intègre autant de faits de cultures

Tout comme réciprocité de générations,

Je t’ai donné sans compter, maintenant

C’est toi qui prend soin de moi : normal.

On le sent bien  on le voit, on le pratique

Lors des fêtes de famille et anniversaires

Tant des petits enfants que grand-mères,

En sus de jour de la fête des pères, mères.

 .

.

Meilleur papa qui soit !

.

Scénario

.

Parent-enfant : l’importance et la différence de la main !

Parent-enfant : l’importance  et la différence du baiser !

Parent-enfant : l’importance et différence de protéger !

 .

Visuels et textuels >>

780 – Fête de famille, conviviale, comme vitale !

Visuels et textuels  >>

.

Une famille est une communauté

Liée  par les liens, du sang, hérédité,

Mais cela ne suffit plus pour constituer

Une famille liée en plus en lien d’amitié.

De nos jours, on appelle cela convivialité

Et cela se vérifie à chaque fête de famille

Dans certaines, tout se passe à merveille

Dans d’autres, conflit à nul autre pareil

Les enfants jouent comme entre amis,

Les enfants se narguent en ennemis :

Ils ne font que copier leurs parents

Manque d’amour viscéralement.

.

Fête

De famille

Con-vi-viale !

Le noyau familial,

Considéré comme vital,

Nous  rend plus  qu’animal,

Mais très loin d’être cannibales.

.

Fête de famille : qui  ne connaît pas,

Elle sert à rassembler enfants, parents,

Parfois trois, six voire douze petits-enfants

C’est grâce  à elle, que nous sommes en vie là.

Élever ses enfants, il est vrai, c’est bien fatigant,

Mais recevoir ses petits-enfants, sera plus reposant,

Jouer avec eux comme des  complices, en leurs tours,

Est, toujours, très riche, d’un amour,  et au grand jour.

.

C’est mieux de vivre en famille que seul,

L’on devient plus vite vieux sans enfants :

Tant ces derniers vous rajeunissent d’autant

Qu’ils vous retiennent vivants, hors du linceul.

Même si sa propre famille, on ne l’a pas choisie,

Elle ne sera pas que de sang, sera autant d’amour,

Lors même bien vrai qu’il arrive qu’on la reproduit,

Bonne ou mauvaise et ce serait à chacun a son tour.

.

Une fête de famille serait

Moment  de  convivialité,

Car c’est là où l’on se sent

Soi-même en toute vérité.

Il y en a tournant  à l’aigre

 Quand d’autres   à vinaigre,

Et la majorité    vous garde,

Longtemps,      vous intègre.

.

.

Extensions

 .

Fête

De famille,

Conviviale, vitale :

C’est plus qu’un rite,

C’est un  besoin  normal,

Besoin animal de se prouver

Qu’on est bien de la même racine.

.

Certains  sont très attachés, lorsque

D’autres y sont par politesse, obligation,

Jusqu’au jour où une naissance, un mariage

Ou un deuil les rendent soudain plus concernés.

.

Secret de famille, règlement de compte, captation

D’héritage : on trouve de tout dans toute une famille,

Sans compter  inceste et homicide, parricide, chacun,

.

Y trouve, y modifie, y conteste,  voire y rejette sa place.

Du patriarche au dernier né, se perpétue comme  lignée

De ceux qui bénéficient ou non célébrité, honorabilité.

.

L’histoire de notre famille est verticale, et unifiée,

Celle ses amis, horizontale et plus diversifiée.

Une forte convivialité rejoindrait les deux,

Bien que chacun vivra mais de son côté.

.

À l’apéritif, c’est la joie arrosée des retrouvailles

Entre la poire et le fromage, c’est déjà la canaille,

Et après café ou  digestif : ouille, ouille, ouille, aie !

Il n’y  a pas que cravate et veste qu’on laisse tomber,

Sa dignité aussi, les chaises rendues à moitié cassées.

.

Convivialité n’est pas liée qu’à la famille,

Les amis, voisins, et les collègues autant,

Si ce n’est avec gens que l’on rencontre :

 Ce qui a ambiance similaire  à ambiance

Chaleureuse des repas pris en commun.

.

Y a des familles ou moments en famille,

Où  l’ambiance  n’y sera, vraiment, pas :

Où conflits, disputes, invectives, éclatent

Et parfois même se terminent en pugilat,

L’alcool, la jalousie, voire l’hystérie  aidant.

.

Ce qui  n’est pas encore arrivé dans la nôtre,

Et que je n’espère pas mais je touche du bois !

.

.

780 – Calligramme   

 .

Une famille est une communauté

Liée  par les liens, du sang, hérédité,

Mais cela ne suffit plus pour constituer

Une famille liée en plus en lien d’amitié.

De nos jours, on appelle cela convivialité

Et cela se vérifie à chaque fête de famille

Dans certaines, tout se passe à merveille

Dans d’autres, conflit à nul autre pareil

Les enfants jouent comme entre amis,

Les enfants se narguent en ennemis :

Ils ne font que copier leurs parents

Manque d’amour viscéralement.

.

****************************

***********************

.

Fête

De famille

Con-   vi-   viale !

Le noyau fa F      milial,

Considéré com Ê        me vital,

Nous rend  plus  T         qu’animal

Et très loin d’être   E      un cannibale.

   *

Fête de famille : qui  F       ne connaît pas,

Elle sert à rassembler A       enfants, parents,

Parfois trois, six voire   M    douze petits-enfants

C’est grâce  à elle, que     I        sommes,  en vie,  là.

Élever ses enfants, il est    L       vrai est bien fatigant,

Mais recevoir ses petits-en  L     fants, est plus reposant,

Jouer avec eux comme des    E     complices, en leurs tours,

Est toujours très riche, d’un    *     amour,     et au grand jour.

C     

C’est mieux de vivre   O    en famille que seul,

L’on devient plus vite   N      vieux sans enfants :

Tant ces derniers vous    V     rajeunissent d’autant

Qu’ils vous retiennent       I      vivant hors du linceul.

Même si propre famille      V          on ne l’a pas choisie,

Elle ne sera pas que de         I        sang, elle sera d’amour,

Lors bien même vrai que       A          parfois on la reproduit,

Bonne ou mauvaise et ce          L        sera à chacun a son tour !

E

Une fête de famille serait

Moment  de  convivialité,

Car c’est là où l’on se sent

Soi-même en toute vérité.

Il y en a tournant  à l’aigre

 Quand d’autres   à vinaigre,

Et la majorité    vous garde,

Longtemps,      vous intègre.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

780 4

.

Une boule au sommet d’un cône,

Une flèche atteignant cœur de cible

Ressemble à sapin probablement,

Sapin de Noël avec cadeaux

.

Sapin de Noël et cadeaux,

iront bien avec la famille,

c’est la fête d’elle-même :

la forme épouse le fond.

.

Qu’est-ce qui évoque la convivialité plus

Que sapin de Noël :

C’est autour de lui que se réunit toute

La famille, pour cadeaux

.

Symbolique

 

Le

Sapin

Dit   de   Noël

Trouve bien son origine

Dans les religions païennes

Qui ont précédé le christianisme.

Ce qui ne serait guère surprenant,

Tant la date de la Nativité du Christ

A  été choisie  de manière  à supplanter

Toutes fêtes païennes du solstice  d’hiver !

croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Noel

.

Descriptif

 .

780 – Fête de famille : conviviale, vitale   

  Alignement central  / Titre  droit  / Thème  famille

Forme conique   / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : sapin-Noël / Symbole de fond : cadeaux

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

780 6

.

Qu’est-ce qui évoque la convivialité plus

Que sapin de Noël :

C’est autour de lui que se réunit toute

La famille, avec cadeaux.

.

Symbolique 

.

Si on prend cas particulier de Noël,

On peut comprendre que la dimension

Ultra-consumériste de cette fête, abondance

De cadeaux que l’on étalera au pied du sapin,

Tout cela soit devenu, pour certains, écœurant.

.

Possibles que ceux-là soient peut-être mus par

Convictions politico-économico-écologiques,

En tout cas, ils sont sans doute en attente

D’un mouvement de don,  d’un cadeau

Qui soit plus naturel,  plus spontané,

Moins  « obligé ». Au fond, un cadeau

Qui soit plus affectif, finalement,

Alors même que cette façon

Qu’ils ont de refuser ce jeu

De l’offre et de l’accueil du cadeau

Les ferait passer pour des goujats !

francetvinfo.fr/replay-radio/modes-de-vie/

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La famille ce sont les liens du sang

Héritage génétique forme l’hérédité

À moins qu’ils ne deviennent du sol,

Par immigrations, rapprochements,

Créant ainsi diverses communautés,

Qui vivent en harmonie convivialité

Formant des mixages des origines

Qui enrichissent notre humanité.

.

.

Fête doyenne familiale

.

 .

Scénario

.

Une famille d’aujourd’hui face à face lors d’une fête.

Une famille d’autrefois réunie autour d’un bon repas.

Caricature de règlement de compte, bataille familiale.

 .

Visuels et textuels  >>

779 – Une famille est toujours un beau cadeau

Visuels et textuels >>

.

Sa  famille  est  un  cadeau

Merveilleux  selon  certains,

Empoisonné  selon d’autres :

C’est selon comme on l’a vécu

.

Ceci reste vrai, en toute société

Et cela depuis la nuit des temps,

Comme pilier  de sa personnalité,

Comme  repaire   à  se  ressourcer.

.

L’on y règlera des fois  ses comptes,

Mais, toujours,  l’on restera  attaché.

La confiance, en  elle, sera  viscérale,

Et lors, des plus difficiles à extirper !

.

Une famille est toujours un beau cadeau,

Faut dire, sans elle, nous serions orphelin

Parfois,  c’est autan t un mal pour   un bien,

Quand, de ses gènes, on porte tous fardeaux.

.

Famille et belle-famille, un fameux distinguo

Quand l’une est en bas, qu’autre est   en haut,

Dans l’une, il se passe une chose, l’autre, rien,

L’on passera son  temps à se réunir, et en vain.

.

Pièce rapportée dit-on, de beau-fils, de belle-fille,

Qui mettront parfois dix ans pour se faire adopter

Par l’autre,  la  belle, l’étrangère,   l’étrange famille

Lors petits-enfants seront membres accueillis, nés.

.

« Famille, je vous hais », aurait écrit   Gide André,

Beau cri d’amour, faut croire qu’elle lui a manqué,

C’est pourtant la seule  structure  hors  l’inimitié

S’engueulant,  mais s’aimant toujours d’éternité.

.

Pourquoi  celui  qui  n’en  a  pas,  la  réclame,

Que celui qui en a  plus   d’une   proclame

Qu’il s’en serait bien passé,  en envier

Celle d’un troisième plus idéalisée.

.

.

Extensions

 .

Famille est toujours beau cadeau :

Quoiqu’on dise et quoiqu’on fasse,

On y revient toujours, la première

Question qu’on pose à l’être seul :

Est-ce que vous avez une famille !

.

Tant c’est la seule cellule qui vous

Accompagne jusqu’en fin de la vie :

Tout peut changer, tout peut bouger,

Tout peut vous rejeter, disparaitre autour,

Elle reste là, sur son rocher comme incontesté.

.

On peut en être fier  ou tout le contraire, lui faire

Porter le chapeau de nos maux ou la bénir de nos florilèges

De mots mais on ne peut lui être indifférente, même orphelin.

Une famille  peut manquer à l’un, pour le faire respirer, grandir,

S’épanouir comme elle peut étouffer l’autre par trop de sollicitude,

De protection ou d’être taxé d’ingratitude.

.

La famille peut être reconstituée avec des amis

Qui forment une communauté basée sur plusieurs générations :

On parle alors de famille d’accueil, de cœur, de choix, de solidarité.

La famille, en somme est un mixte des deux : un choix en

Relations de confiance en interne, autre externe, à égalité.

.

La photo de famille est celle de la famille unie, idéale

Tout le monde fait d son mieux pour paraître heureux

Et ce encore plus  dans la  plus haute famille d’un État.

Derrière elle, il y a moult définitions, réalités familiales

Qui font parfois tache  dans les solidarités présumées,

Le chacun pour soi et les jalousies voire vengeances

Font délices des repas de familles avec violence

L’unité de surface de la famille vole en éclats

Y a plus personne pour réparer dégâts.

.

Mono parentale ou duo, une famille,

Est constituée au moins d’un parent

Et d’un enfant, ou reconnu, adopté,

Vivant sous le même toit, ou non !

.

 À l’autre bout de la petite chaine,

Vous avez parfois la très grande,

Celle des cousins… des cousins,

À la mode appelée de Bretagne

.

Et  moi, j’ai eu  quatre enfants,

Six petits enfants de 22 à 4 ans

Mes deux sœurs, trois chacune,

Cinq  plus  trois   petits-enfants,

 Et  si j’ajoute aussi  les conjoints,

De mon côté, famille de dix-huit !

.

.

Épilogue

.

La famille, mais qu’est-ce que c’est vraiment

Ce n’est pas celle de la Mafia … heureusement,

C’est la cellule nucléaire, de base, nommément,

Étant la seule existante depuis la nuit des temps

Plus petite cellule comporte un parent, un enfant,

La plupart du temps : deux parents, deux enfants,

Il y en a qui établissent des records, vingt enfants,

Et d’autres qui l’élargissent, demi-frères et sœurs.

Et il s’en passe des choses dans toutes les familles.

Il y en a  qui gardent, en terre, leurs petits secrets.

J’aurai connu des pugilats durant fêtes de famille,

Mais je n’aurais renié la mienne,  quoiqu’il arrive.

La famille est ce qui reste quand on a tout perdu,

Son emploi, sa maison, et  voire même, ses amis,

Combien s’en seront allés puis s’en sont revenus

Nulle part ailleurs où aller, ni gens à qui parler.

Les orphelins se fondent u ne nouvelle famille

Avec des personnes ressources  qu’ils aiment,

Et ainsi la confiance revient après l’abandon,

Il y en a aussi qui filent un mauvais chemin.

.

.

779 – Calligramme 

 .

Sa  famille  est  un  cadeau

Merveilleux  selon  certains,

Empoisonné  selon d’autres :

C’est selon comme on l’a vécu

.

Ceci reste vrai, en toute société

Et cela depuis la nuit des temps,

Comme pilier  de sa personnalité,

Comme  repaire   à  se  ressourcer.

.

L’on y règlera des fois  ses comptes,

Mais, toujours,  l’on restera  attaché.

La confiance, en  elle, sera  viscérale,

Et lors, des plus difficiles à extirper !

.

Une famille  * est toujours un beau  *    cadeau

Faut dire  U   sans elle nous serions    U   orphelin

Parfois,    N    c’est autant un mal pour  N    un bien,

Quand       E    de ses gènes, l’on porte le    *     fardeau.

Famille,       *     belle-famille, un fameux    B   distinguo

Quand l’une      F  est en bas, qu’autre est    E      en haut,

Dans l’une, il se   A      passe chose, autre,     A             rien,

L’on passera son     M      temps à réunir,     U         en vain.

Pièce rapportée dit-   I      on de beau-fils     *   de belle-fille,

Qui mettront parfois  L     dix ans pour     C se faire adopter

Par l’autre,  la  belle,   L      l’étrangère,      A  étrange famille

Petits-enfants  sont    E      membres        D   accueillis nés.

Famille, je vous hais  *     aurait écrit       E     Gide André,

Beau cri d’amour   E     sûr, elle lui        A     a manqué,

Car c’est la seule  S  structure  hors     U     l’inimitié

S’engueulant,    T s’aimant toujours  * d’éternité.

Pourquoi  celui  qui  n’en  a  pas,  la  réclame,

Que celui qui en a  plus   d’une   proclame

Qu’il s’en serait bien passé,  en envier

Celle d’un troisième plus idéalisée.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

779 4

.

Un flacon quelconque

Pour  y   mettre   une

 Famille  de   liquides

En même solidarités.

.

Une famille est une concentration

De personnes  diverses

Et qui forme aussi un noyau sacré

De vraies solidarités.

.

Symbolique 

.

Famille refuge,

Famille prison, sans-famille.

La famille est partout dans notre vie,

Qu’elle soit présente ou non en réalité.

.

Dans le monde interne de l’enfant

Apparaît  la  mère  puis  le père

Puis le  frère  ou  la sœur  puis

Les grands-parents et toutes

Représentations ultérieures

Seront issues  de ce monde

Intérieur appelé familial.

.

En famille, on revit des

Moments  de sa vie où

Accords et désaccords

Se  seront re produits.

Famille rêvée ou regret

Qu’elle ne le soit pas dans la réalité ?

.

Descriptif

 .

779 – Une famille est un beau cadeau 

  Alignement central / Titre  dédoublé  / Thème  famille

Forme ovale / Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : famille  / Symbole de fond : famille

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

779 6

.

Une famille est une concentration

De personnes  diverses

Et qui forme aussi un noyau sacré

De vraies solidarités.

.

Symbolique 

 .

La photo de famille :

On projette sur elle une imagerie

Stéréotypée (la famille nucléaire),

Des imaginaires (des identités et

Des rôles   quant  aux figures

Parentales    et    maternelle

Et paternelle, une certaine

Façon  de tisser  des liens,

De  les  raconter et  de  les

Instituer dans des postures.

Source : cairn.info/revue-le-

divan-familial-2010-1-page-167.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une famille est un beau cadeau.

Merci du cadeau disent certains.

La mienne, je m’en passerais bien,

Pour bien choisir  celle qu’il me faut 

Le problème, c’est que,  pour un ado,

Aucune, de connue,   ne  lui convient,

Mais, devenu  adulte, il y  …  revient.

Quand on aura   un gros problème,

Vos amis, parfois,  se défausseront

Ne subsistera que noyau familial

Qui répondra souvent présent.

En liens du sang ou du cœur

Ou bien les deux en chœur.

.

.

Enfants, parents, grands-parents

.

Scénario

.

Un père, une mère et quatre grands enfants.

Sa constellation s’étend aux neveux, cousins, etc.

Un modèle de famille heureuse, en Outre-Atlantique.

 .

Visuels et textuels >>

1155 – J’ai femme, enfant, cousin, neveu, parent

Voir prose et illustrations

.

Je dispose de deux réseaux

Plusieurs cercles relationnels

Famille, amis, peu  nombreux

Des collègues parfois aimables.

.

 Lors, j’ai parfois du mal,

A classer toutes familles

Selon l’ordre génétique,

Selon diverses alliances,

.

En vieillissant,  je constate que

J’ai, de plus en  plus de famille,

Et de moins en  moins  d’amis,

La loi du genre ou l’exception.

.

J’ai femme et enfant

Cousin, neveu, parent,

Une centaine d’amis autour :

C’est mon réseau  au fil des jours.

.

Parait peu ou beaucoup mais enfin

Faut du temps pour connaître quelqu’un

Or nombre rencontres, des cents, milliers,

Sont, d’une heure, d’un soir, d’une  journée.

.

Que reste-t-il des amis  lors le temps passant

Certains, déjà partis, disparus ou mourants.

Plus je vieillis et plus mon réseau se rétrécit

Et si cela continue, je  finirai, seul, ma vie.

.

Me faudrait-il lors envier des gens célèbres

Vivant au grand jour la vraie vie de roman,

Les fans les iconisent : aucun pour autant,

Ne prendra leur place dans cortège funèbre.

.

On nait, on meurt seul tout le monde sait cela

Or la comédie de la vie nous instruit sans trêve

En divers sens possibles de trouver  à nos  rêves,

Où ne reposent en paix    que ceux … l’étant déjà.

.

D’accord le Monde n’est pas rempli que de gens

Le monde physique est    vaste, autour de moi :

Nul ne pourra épuiser  son espace, son temps

Et mieux le connaître, enrichit savoir, en soi.

Mon petit monde à moi,  petit monde en moi,

Des petits regards vus du bout de ma lorgnette.

.

Si vaste est

Le  Monde,

Il     tourne

 En     rond :

Je ne peux

Percevoir

En vrai,

Propre

Net.

 .

.

Extension

 .

Mon réseau social fait partie de moi,

Je fais partie de lui. S’il disparait,

Je n’existe plus et le temps de

M’en construire un autre,

Il me faudra des années,

Et il ne sera jamais pareil.

.

Au final et à terme, ce sera

La seule richesse que je garderai

Quand j’aurai perdu tout le reste,

Sauf  de quoi survivre, et de quoi

Voyager, et de quoi me cultiver.

.

C’est ainsi que milliards de réseaux

Se perpétuent jusqu’à l’éternité, tout

Au moins jusqu’à la fin de l’Humanité,

Ce qui parait-il, d’après certains vrais

Faux prêcheurs  actuels, ne tarderait.

.

Quoiqu’il en soit et quoiqu’il en sera,

En attendant, à nous d’en bien profiter,

À nous de penser à la retarder à l’avenir.

 .

Accrochés à une  même racine  génétique,

Les membres d’une famille  sympathique,

Aux noces   grands-parents,  se réunissent

Fêtent les profonds attachements mutuels

En prenant une photo ensemble,  annuelle

Et se la communiquer, partager, en réseau

Et jusqu’à en obtenir un imposant tableau.

.

Une famille se définit par des ascendants

Par  des parents, et par des descendants,

Mais demeure extensible aux collatéraux,

Neveux, cousins et surtout parents-beaux.

.

On prétend à juste titre que c’est le butoir

De toute société : si la famille fout le camp

Le reste ne tient pas, juste nombre de gens

Accolés les uns aux autres, soumis pouvoir

.

Il y a un nombre familles  qui se disloquent,

Certaines deviendront familles recomposées.

Famille sort par la porte, rentre par fenêtre :

À quelques exceptions, semble indestructible.

.

.

1155 – Calligramme

.

Je dispose de     J    deux réseaux

Plusieurs cercles   ‘     relationnels

Famille, amis, peu   A   nombreux

Des collègues parfois  I  aimables.

 Lors, j’ai parfois du mal,

A classer toutes familles

Selon l’ordre génétique,

Selon diverses alliances,

F

En vieillissant       E     je constate que

J’ai, de plus en     M     plus de famille

Et de moins en     M     moins  d’amis,

La loi du genre      E      ou l’exception.

*

J’ai femme  E    et enfant

Cousin, ne      N  veu, parent,

Une centaine     F   amis autour :

C’est mon réseau   A    au fil des jours.

Parait peu, beau       N      coup mais enfin

Faut du temps pour   T connaître quelqu’un

Nombre rencontres     *     des cents, milliers,

Sont, d’une heure, un  N   soir, d’une  journée.

Que reste-t-il d’amis    E      lors temps passant

Certains déjà partis     V   disparus, mourants.

Plus je vieillis, plus      E    mon réseau rétrécit

Et si cela continue       U    finirai, seul, ma vie.

Me faudrait-il lors en   *  vier des gens célèbres

Vivant au grand jour    C  la vraie vie de roman,

Les fans les iconisent    O      aucun pour autant,

Ne prendra leur place   U   dans cortège funèbre.

On nait, on meurt seul   S   tout le monde sait cela

Et la comédie de la vie    I   nous instruit sans trêve

En divers sens possibles  N    à trouver  à nos  rêves,

Où ne reposent en paix     *    que ceux… l’étant déjà.

D’accord le Monde n’est   P    pas rempli que de gens

Le monde physique est    A      vaste, autour de moi :

Nul ne pourra épuiser      R      son espace, son temps

Et mieux le connaître       E       enrichit savoir en soi.

Mon petit monde à moi   N         petit monde en moi

Des petits regards vus     T     bout de ma lorgnette.

*

Si vaste est

Le  Monde,

Il     tourne

 En     rond :

Je ne peux

Percevoir

En vrai,

Propre

Net.

 .

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1155 4

.

Ça ressemble très fort

 À   un   tire-bouchon

Avec une fine double vis

Pas de couteau suisse.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

X : le fond s’éloigne, ici, de la forme)

.

Tire-bouchon, voire couteau suisse

les deux ne correspondent au thème

famille possède bien ces instruments

mais leur forme n’évoque pas le fond.

 .

Le tire-bouchon, comme chacun sait,

Est un symbole de convivialité

Et même dieu sait que dans une grande

Famille y a un couteau suisse.

.

Symbolique    

.

Le symbole est riche

Puisqu’il célèbre le travail

Du vigneron viti et viniculture,

Mais aussi parce qu’il réunira en

Une action, tous les objets, autour,

Du vin qui méritent notre attention :

Bouteille, bouchon et tire-bouchon.

 .

Mais le tire-bouchon fait partie d’une

Famille d’outils qui  l’accompagne

Sur tous les couteaux suisses :

Lame, et décapsuleur,

Ciseau, tournevis.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1155 6

.

Ça ressemble très fort

 À   un   tire-bouchon

Avec une fine double vis

Pas de couteau suisse.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

X : le fond s’éloigne, ici, de la forme)

Tire-bouchon, voire couteau suisse

les deux ne correspondent au thème

famille possède bien ces instruments

mais leur forme n’évoque pas le fond.

 

Le tire-bouchon, comme chacun sait,

Est un symbole de convivialité

Et même dieu sait que dans une grande

Famille y a un couteau suisse.

Symbolique    

Le symbole est riche

Puisqu’il célèbre le travail

Du vigneron viti et viniculture,

Mais aussi parce qu’il réunira en

Une action, tous les objets, autour,

Du vin qui méritent notre attention :

Bouteille, bouchon et tire-bouchon.

 

Mais le tire-bouchon fait partie d’une

Famille d’outils qui  l’accompagne

Sur tous les couteaux suisses :

Lame, et décapsuleur,

Ciseau, tournevis.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

Le tire-bouchon, comme chacun sait,

Est un symbole de convivialité

Et même dieu sait que dans une grande

Famille y a un couteau suisse.

.

Symbolique    

.

Avec montre, fromage, chocolat, Cervin,

C’est l’un des symboles de la Suisse.

Plus encore que la montagne valaisanne,

Ou une meule de gruyère,

Le couteau suisse représente plus qu’un

Emblème de notre pays :

C’est une démonstration du pragmatisme

Et de l’inventivité helvétique.

Une innovation de  la  fin du XIXe siècle

Qui a conquis le monde entier,

Notamment  grâce  à deux fabricants

Étant : Victorinox et Wenger,

Réunis au sein de la même maison.

Les quatre outils : scie, ciseaux,

Lime à ongle et tire-bouchon

Sont des incontournables

Du vrai couteau suisse.

bilan.ch/economie/la_france_emprunte_

le_couteau_suisse_pour_son_marketing

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Tire-bouchon, c’est bien moi,

Pour autant je ne vis pas seul,

Je ne vide pas que caves à vins,

J’en fais profiter voisins, cousins,

J’ai une famille type couteau suisse

Et chacun, pour s’aider y met du sien.

C’est aussi cela l’entraide et la solidarité

Souvent j’ajouterais une complémentarité

En tout cas, et ça c’est certain, convivialité :

Autres s’en plaignent, ne pourrais m’en passer.

 .

.

Femme, enfants, cousins, neveux

.

Scénario

.

Noces d’or, de diamant de parents ou  célébration centenaires !

Famille élargie est composée de tous les proches et tous les amis.

Beau, belle, demi : la famille est composée de quoi, de nos jours ?

 .

Voir prose et illustrations

350 – Cascades en montagne, y en a milles et cent

Visuels et textuels  >>  

.

Des cascades, en montagne :

Il y en a des mille et des cents,

Chaque fois, l’émoi d’un torrent

Vous retient,   vous accompagne.

.

Il  nourrit  un  délire  romantique,

Tant  la Nature, sauvage, et  belle,

Sauts et rapides vous rappellent,

À tendres  et beaux sentiments !

.

Votre  cœur, si tôt, s’entrouvre,

À quiétude semblant éternelle

De sa douche… d’eaux vives.

Qui entre leurs deux rives,

Sont pures … originelles

À vous impressionner

Par leurs…beautés.

.

Fris-son-nantes,

De …. félicité,

Et écarlates

De  santé,

En filet

 Est !

V

^

Une

Cascade

En général

Con-tien-dra,

Tout  en  amont

.

Une réserve d’eau

Qui s’évacue  par un

Étroit goulet tombant

À pic, ou  très en pente.

.

La  chute  crée, un bruit,

Le poids  de l’eau, l’écume

 En cuvette  tourbillonnante,

Et le flot  reprend  son cours,

.

En allant  jusqu’à la prochaine

Mais elles  différeront  toujours,

Par un détail ou signe particulier

Qui lui donne  certaine originalité.

.

Ainsi, les  cascades, et, les humains,

Auront, au moins, ce point commun,

Qui est de couler de source et s’agiter

Avec des débits, des cours irréguliers.

.

.

Extensions

.

Cascade évoque torrent en montagne,

Un saut dans le vide, une succession

D’obstacles à franchir et parcours

Et exercice, parfois dangereux,

Voire  que  sais-je … encore !

.

Il y en a faisant une chute d’une

Centaine de mètres le long de paroi

D’une falaise, d’autres plus modestes,

Hauteur de quelques mètres seulement,

Pour réaliser une cascade sur un ruisseau.

.

Il faut faire comme les castors, un mini barrage

Créant une retenue d’eau suffisante pour déboucher

En force sur une chute : il faut aussi imaginer  le bruit

Et bouillonnement de l’eau transformant en écume le jet

Qui tombe  dans une marmite, qui serait, parfois, géante !

.

Le torrent, tout en amont, dévale déjà une bonne pente ;

D’autres se joignent à lui, et forment une cascade étroite ;

Pour finir il poursuit sa descente mais bien plus tranquille.

Autour, il n’y a que, de la verdure, des arbres, et des rochers,

Et bien sûr, le bruit des eaux qui serpentent en glougloutant.

.

Il y aurait des cascades avec une seule chute

Et d’autres avec des paliers, des trous d’eau,

Certains avec mince filet tombant ruisseau,

Autres avec des roches, sur qui elles butent

.

Vosges, elles ne sont ni minces, mollassons

Quoique cela dépendra des pluies et saisons.

Toutes font des bruits, bien caractéristiques,

Sonnant, à mes oreilles, comme une musique.

.

Pleine relaxation, pleine détente au bord d’une

Cascade au son de l’eau qui coule et qui tombe.

On atteindra, on jouira de cette paix intérieure,

Et qui nous conduirait à tomber …  de sommeil !

.

.

350 – Calligramme

 .

Des cascades, en montagne :

Il y en a des mille et des cents,

Chaque fois, l’émoi d’un torrent

Vous retient,   vous accompagne.

.

D E S     C A  S C A D E S    E  N

Il  nourrit  un  délire  romantique,

Tant  la Nature, sauvage, et  belle,

Sauts et rapides vous rappellent,

À tendres  et beaux sentiments !

Votre  cœur, si tôt, s’entrouvre,

À quiétude semblant éternelle

De sa douche… d’eaux vives.

Qui entre leurs deux rives,

Sont pures … originelles

À vous impressionner

Par leurs…beautés.

Fris-son-nantes,

De …. félicité,

Et écarlates

De  santé,

En filet

 Est !

V

MONTAGNE 

^

Une

Cascade

En général

Con-tien-dra,

Tout  en  amont

Une réserve d’eau

Qui s’évacue  par un

Étroit goulet tombant

À pic, ou  très en pente.

La  chute  crée, un bruit,

Le poids  de l’eau, l’écume

 En cuvette  tourbillonnante,

Et le flot  reprend  son cours,

En allant  jusqu’à la prochaine

Mais elles  différeront  toujours,

Par un détail ou signe particulier

Qui lui donne  certaine originalité.

.

D  E  S           M  I  L  L   I  E  R  S  

Ainsi, les  cascades, et, les humains,

Auront, au moins, ce point commun,

Qui est de couler de source et s’agiter

Avec des débits, des cours irréguliers.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

350 4

.

Une cascade est un point de chute

Très étroit de forme géométrique,

Un filet inversé point de passage

Étroit, pour pèche de poissons

.

 

Une cascade est un point de chute

Très étroit de forme géométrique :

Un poisson s’y engouffre, pris en filet

 Gesticulant en un bouillon d’écume.

.

Symbolique 

 .

Par symbolisme des

Figures géométriques,

On entend la capacité

Qu’a une figure, de désigner,

Autre chose qu’elle-même.

Carré : l’imperfection du monde

Terrestre … la matérialité ;

Le cercle : la perfection, l’absolu,

L’infini, le divin, spiritualité ;

Losange : la vie, le passage, l’échange ;

Rectangle s’apparente au carré ;

Pour le Triangle : la sainte trinité, l’unité

Trois parties d’un ensemble, par ex;

La thèse, puis l’antithèse, puis la synthèse ;

L’angle droit existe peu dans la nature,

Le cercle lui, est plus abondant dans la nature.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme des figures géométriques

.

Descriptif

 .

350 – Cascades en montagne : des milliers  

Alignement central   /  Titre absent  /     Thème  rando

Forme conique  /  Rimes libres  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : forme géométrique /  Symbole de fond : filet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

350 6

.

Une cascade est un point de chute

Très étroit de forme géométrique :

Poisson s’y engouffre, pris en filet,

 Gesticulant en un bouillon d’écume.

.

Symbolique de fond

.

Le filet

Est associé au

Poisson et à la pêche.

Il symbolise la capture.

Le filet peut être assimilé

À une arme et d’ailleurs,

Il est employé dans la

Pêche et la chasse.

.

Toutefois,

Arme passive,

Qui ne blesse pas.

Ainsi, le filet implique

Une capture intellectuelle,

Par la ruse plutôt que

Par la violence.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-filet.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Nombre de cascades s’évaseront

En  tombant  comme  en escaliers,

Sous l’effet des plus fortes pressions

Elles   prennent  leurs  aises, libérées.

Produisent des écumes, sur les rochers,

Qui finissent par se laminer par érosion.

L’eau prend vie soudainement, elle danse

En se précipitant dans une chute endiablée

Et en plus, elle se met à chanter  sa chanson

Murmurant, à l’oreille, le temps qui s’écoule

Et pourtant  l’on n’en finit pas de l’entendre,

Rien qu’à la regarder  tomber indéfiniment.

 .

.

Cascade, cônes inversés ! 

.

Scénario

.

Et d’une, qui tombe à pic, perdue dans les forêts situées en hauteur

et de deux, et double, et qui répond au nom  «le saut du Bouchot»

qui  descend, en serpentant, vers le chalet que nous avons loué !

 .

Visuels et textuels  >>  

 

349 – Randonnée lac de Saulxsure sur Moselotte

Visuels et textuels  >>  

.

Sur vingtaine d’hectares de parc,

Un lac profond de dix mètres.

Il en occupe une moitié,

Avec plage au bout,

Bien exposée,

Surveillée.

Veillée

V

^

Tout

Alentour,

Cadre de verdure,

Fait de forêt de sapins,

Et autres essences diverses

Agrémentent les yeux, paysage

Dans un ciel bleu, sans nuages.

.

La plage est prolongée

Par une   belle pelouse,

A l’herbe,   bien tendre,

Et, fraichement coupée,

Parsemée  de bouleaux,

Qui procurent du frais :

Un vrai havre de repos,

Un vrai havre de paix !

.

Les enfants y jouent, sous l’œil des parents,

Il n’y a ni stress ni agitations ni hurlements,

Un temps, comme … suspendu, nous abreuve

D’images et sensations … qui nous émeuvent.

.

Pour un peu, le monde aurait comme disparu,

Pour nous garder, ici,  comme pauvres  et nus,

Et la cloche du bébé nous rappelle à la réalité :

Il est temps de rentrer pour lui donner à diner.

.

.

Extensions

.

Nombre de lacs sont considérés, voire aménagés,

Comme des lieux de nature et de détente, propices

Au repos, rêverie, si ce n’est promenade  en famille,

Voire à la randonnée à bicyclette.

.

Contrairement aux canaux qui sont droits et linéaires,

Les lacs sont très souvent plus ronds et plus circulaires.

Quelques-uns auront un ou plusieurs ilots, en leur sein,

Qui leur donnent un air de petite mer, qui en tous cas,

Accroche, ravi l’œil, en tous points.

.

Celui de Saulxsure, nom peu familier pour un breton

Est enchâssé  au fond d’une vallée fermée, autour de

Nombreux  monts des Vosges, comme  Gérardmer.

.

On peut aisément en faire le tour sans se fatiguer

En très belle promenade pour s’ouvrir l’appétit

Ou pour faciliter la digestion : quel que soit

L’heure de la journée, la plage et le bain

Vous tendent les bras et l’eau en été

Est  agréable  pour  s’amuser,

Se détendre, s’hydrater.

.

Il y a bien sûr de nombreux lacs dans Les Vosges.

Ici nous sommes dans le sud, dans les Haut-Rupts.

Le lac n’est pas aussi grand que celui de Gérardmer,

Mais il est, tout comme lui, encaissé, dans une vallée,

Avec une ville  à côté, et, aménagé, pour s’y baigner.

Ce lac respire, la montagne, la mer, la tranquillité.

Il offre, à qui y séjourne, un charme particulier.

.

Les noms locaux donnés aux plans d’eau

Par la population, ne s’accordent pas,

 Toujours aux définitions officielles :

Lors c’est souvent la grande taille

 Et voire une grande profondeur

Qui seront prises en compte.

.

Un lac est ainsi plus grand

Plus profond que l’étang,

Lequel est plus grand et

 Plus profond  que mare.

D’après article Wikipédia

.

Cela dit en faire le tour

Sera toujours plaisant,

Plat  et  non fatiguant,

Avec les petits-enfants,

Ne rechignant pas tant.

Belle rando… bel amour !

.

.

349 – Calligramme 

 .

Sur vingtaine d’hectares de parc,

Un lac profond de dix mètres.

Il en occupe une moitié,

Avec plage au bout,

Bien exposée,

Surveillée.

Veillée

V

^

Tout

A-len-tour,

Cadre de verdure,

Fait de forêt de sapins,

Et autres essences diverses

Agrémentent les yeux, paysage

Dans un ciel bleu  et sans nuages.

*****************************

*****************************

R  A  N   D   O   N   N  É  E

L  …..

La plage      A      est prolongée

Par une       C      belle pelouse,

À l’herbe      *       bien  tendre,

Et fraiche    V      ment coupée

Parsemée    O      de bouleaux,

Qui procu    S       rent du frais

Un vrai ha   G      vre de repos,

Un vrai ha   E       vre de paix !

S  ….

D  E     S   A  U   L   X   S   U   R   E

Les  enfants  y jouent,   sous  l’œil  des  parents,

Il n’y a  ni stress  ni  agitations  ni  hurlements.

Un temps,  comme … suspendu,  nous  abreuve

D’images et  sensations … qui  nous  émeuvent.

Pour un peu,  le monde aurait comme disparu,

Pour nous garder, ici,   comme pauvres  et nus.

Et la cloche du bébé  nous rappelle à la réalité :

Il est temps de rentrer pour lui donner à diner.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

349 4

.

Deux formes géométriques

Comme bouée cardinale

Ou peut-être un filet,

De pêche, en bicone

.

Un filet est souvent plat, rectangulaire,

avec une poche bien rond tout en bout

rien de comparable à forme conique

ni rando : forme diffère du fond !

.

Deux figures géométriques formant

 Bouée cardinale

Car nous sommes ici sur un lac avec un

Petit filet !

.

Symbolique

 .

Par symbolisme des

Figures géométriques,

On entend la capacité

Qu’a une figure, de désigner,

Autre chose qu’elle-même.

Carré : l’imperfection du monde

Terrestre … la matérialité ;

Le cercle : la perfection, l’absolu,

L’infini, le divin, spiritualité ;

Losange : la vie, le passage, l’échange ;

Rectangle s’apparente au carré ;

Pour le Triangle : la sainte trinité, l’unité

Trois parties d’un ensemble, par ex;

La thèse, puis l’antithèse, puis la synthèse ;

L’angle droit existe peu dans la nature,

Le cercle lui, est plus abondant dans la nature.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_figures_géométriques

.

Descriptif

 .

349 – Randonnée lac de Saulxsure, Vosges 

Alignement central   /  Titre droit  /     Thème  rando

Forme conique  /  Rimes variées  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : forme géométrique /  Symbole de fond : filet

.

.

Fond

.

Évocation

.

349 6

.

Deux figures géométriques formant

 Bouée cardinale

Nous sommes ici sur un lac avec un

Petit filet !

.

Symbolique 

 .

Le filet

Est associé au

Poisson et à la pêche.

Il symbolise la capture.

Le filet peut être assimilé

À une arme et d’ailleurs,

Il est employé dans la

Pêche et la chasse.

.

Toutefois,

Arme passive,

Qui ne blesse pas.

Ainsi, le filet implique

Une capture intellectuelle,

Par la ruse plutôt que

Par la violence.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-filet.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un lac ne se conformera pas souvent

À une quelconque figure géométrique,

Il y en aura de toutes formes, étendues,

Le double cône en est une parmi d’autres

Mais plutôt rare : et celui de Saulxsure

Est assez rectangle, dans l’ensemble,

En arrondi au centre sur un côté,

Artificiel avec plage et base.

.

.

Randonnée lac de Saulxsure

.

Scénario

.

Le lac de Saulxsure sur Moselotte, en bas des Vosges, vu de loin ;

ses abords avec son sentier randonnée autour et maisonnettes ;

sa plage où  je me suis baigné avec mon petit-fils de cinq ans !

.

Visuels et textuels  >> 

324 – Le vélo en famille reste un vrai plaisir

Visuels et textuels  >> 

.

Rien de plus simple, sans peine,

Que faire du vélo  en pédalant,

Lors, par  réflexes, on  freine,

Sinon, on  se  rentre  dedans.

Les petits, devant, les grands,

Derrière, et  à la queue leu leu.

Contraire de la famille canards,

Quoique petits en ont vite marre.

Impossible de démarrer  sur place,

Il faut  rouler, si l’on veut  faire face,

Au déséquilibre  qui vous entrainerait

Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !

.

Et toc ma chaine a sauté mon pneu crevé,

Manquerait plus que mes freins me lâchent

Pour que j’envoie ce maudit vélo, promener,

Voilà, je me trouve forcé, marcher à ses côtés.

.

Ça roule, ça déboule, ça s’écroule … ça déroule,

En chaussée privée, l’air fier, sourire aux lèvres,

Et soudain, c’est la course, à qui arriver premier,

Vélo, y a pas mieux  en famille, pour l’ambiance.

.

Il y en a toujours, bien devant ou bien derrière,

Il est rare que, moyens, forces, soient à égalité,

Il y en a même qui n’arrêtent pas  de dérailler

Et tous les autres s’arrêtent pour la dernière

.

Et puis,  en chemin caillouteux, en VTT,

Si ce n’est boueux… en pentes raides,

L’important est d’abord d’avancer

Et  de tenir, sur le vélo, en tête.

.

Coup de pédale,  de frein,

Assis, debout sans fin,

Un  vélo est  moyen

S’amuser malin.

.

À deux, à un

Et autant,

Et sans

Fin !

 .

.

Extensions

.

Pour certains, faire du vélo,

Ce sera d’abord faire du sport,

Ce sera aller le plus vite possible,

Un chrono, tenir distance, cadence.

.

Pour d’autres c’est avant tout un loisir

Lors peu importe la distance et l’effort,

Le plus l’important est de prendre l’air

Pour  se  dépenser  un  tant  soit  peu.

.

Les deux ne sont pas incompatibles,

Mais on ne fait pas la même chose,

Le  même  parcours, avec un vélo

Tout terrain et course sur route.

.

Dix kilomètres pour premiers,

Sur des chemins  mal  pavés,

Représente  trente  kilomètres

Parcourus à plat, pour les derniers.

.

Crevaisons, sont de plus en plus rares,

Et  les déraillements de la chaine, idem.

Un bon et solide vélo tient bien la route,

Comme l’on dit et il se prête volontiers

À toutes les facéties ou … presque.

.

Le vélo, en famille, ou en groupe d’amis, et, voire les deux,

C’est un plaisir, à l’état pur : tout le monde sera heureux,

De  partager, le chemin, la route, les moments, les rires,

Et de se lancer des défis, le long d’un chemin de halage,

Avant d’entamer copieux picnic pour restaurer énergie.

Où sont passés les contraintes, emmerdements, soucis :

Disparus momentanément, par séance de vidage de tête.

Nous aurions, pour les vélos, en pleine  nature,  une dette,

Dont nous devons nous acquitter pour être en bonne santé !

.

.

324 – Calligramme

 .

Rien de plus simple, sans peine,

Que faire du vélo  en pédalant,

Lors, par  réflexes, on  freine,

Sinon, on  se  rentre  dedans.

Les petits, devant, les grands,

Derrière, et  à la queue leu leu.

Contraire de la famille canards,

Quoique petits en ont vite marre.

Impossible de démarrer  sur place,

Il faut  rouler, si l’on veut  faire face,

Au déséquilibre  qui vous entrainerait

Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !

Et toc ma chaine a sauté   V mon pneu crevé,

Manquerait plus que      É   mes freins me lâchent

Pour que j’envoie ce      L       maudit vélo, promener,

Voilà, je me trouve       O       forcé, marcher à ses côtés.

* ……….……..

Ça roule, ça déboule,   E              ça s’écroule… ça déroule,

En chaussée privée,     N          l’air fier, sourire aux lèvres,

Et soudain, c’est la      *       course, à qui arriver premier,

Vélo, y a pas mieux     F       en famille, pour l’ambiance.

A ………….

Il y en a toujours, bien  M        devant ou bien derrière,

Il est rare que moyens,   I        forces, soient à égalité,

Il y en a même qui n’arrê  L   tent pas  de dérailler,

Et tous les autres s’arrêtent  L   pour la dernière

                         E

Et puis,  en chemin  caillouteux, en VTT,

Si ce n’est boueux… en pentes raides,

L’important est d’abord d’avancer

Et  de tenir, sur le vélo, en tête.

.

E  S  T       U N     V  R  A  I

Coup de pédale,  de frein,

Assis, debout, sans fin,

Un  vélo est  moyen,

S’amuser   malin.

.

P L A I S I R 

À deux, à un

Et autant,

Et sans

Fin !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

324 4

.

Une plume  d’un stylo  à encre,

Un pendentif ou boucle d’oreille,

Une pointe de lance  ou de flèche,

Ou alors une amphore ancienne.

.

Amphore est loin de vélo en famille

je ne vois pas, avec une, en panier

je préfère provision de nourriture,

ainsi la forme diffère bien du fond

 .

En voilà une belle amphore

Bien que des plus communes :

En groupe, seront nombreuses

Très proches ou presque collées.

 .

Symbolique 

.

L’amphore est,

En Antiquité

Le récipient

 Le  plus  utilisé

Pour le transport

De produits de base :

Le vin, l’huile, la bière,

Ou de sauces de poissons.

Parfois, elle sert de cercueil

Pour  une sépulture d’enfant.

Enfin, on la jettera souvent dès

Que son contenu est consommé :

C’est ainsi que le Mont Testacio 

S’est formé de l’accumulation

De débris d’amphores

Ville de Rome.

Wikipédia

.

Descriptif

.

324 – Vélo en famille : un vrai plaisir !

Alignement central  /  Titre courbe   / Thème  vélo

Forme pointe / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : groupe

.

.

Fond

.

Evocation 

.

  324 6

.

En voilà une belle amphore

Bien que des plus communes :

En groupe, seront nombreuses

Très proches ou presque collées.

 .

Symbolique 

 .

Le 26 février 2000,

Groupe de vingt cyclistes

Était fauchée par une voiture

Roulant trop vite sur une route

À la sortie du village de Vauvert.

Bilan : 4 morts   avec  17  blessés.

.

Le collectif des cyclistes gardois,

Créé  pour  soutenir  les victimes,

A édité un maillot souvenir et qui

Rappelle toutes règles de sécurité.

.

Tous les ans, les cyclistes du collectif

Se rendent sur la départementale 135,

Pour rendre hommage à tous les victimes

De l’accident du dimanche 26 février 2000.

france3-regions.francetvinfo.

fr/occitanie/gard/cyclistes-tues-vauvert

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Aucune amphore, seule ou en groupe,

Ne pourra faire évoquer un, ou des vélos

Même faisant des efforts, on est d’accord.

Ce qui compte ici, c’est la famille, non objet

Le père, la mère, le fils, la fille, les cousins,

Chacun avec un vélo, pareil ou différent !

Quoiqu’il en soit, il faudra rester visible

Éviter se faire heurter par chauffard

Comme dramatique histoire 2002.

.

.

Conciliabule avant départ

.

Scénario

.

Un, deux trois, et l’on s’arrête, pour mieux lire les panneaux,

lors étant quatre, cinq, on utilise toute place chemin de halage,

qu’on soit six, sept, huit, l’heure du picnic ou de sieste, qui sait ?

.

Visuels et textuels  >> 

294 – Vacances familiales à Ouessant

Visuels et textuels >>  

.

Il est midi lors troupe est prête

Pour se mettre  plein les yeux,

Le ventre,  la tête,  les oreilles,

Une randonnée  est croisière :

En tous cas souvent une fête !

.

 De vivre en ile doit comporter

Lot de contraintes, astreintes

Peu d’animation, distraction,

Et pour le moins, restreintes,

Il faut aimer mer et solitude,

Qui elles, ne sont pas feintes.

.

Les récits de ses explorations

Ne peuvent pas paraitre plats

À ceux qui ont,  jours entiers,

Marquer sentiers de leur pas,

En ce lieu qui est si magique

Qu’il ne se dit : se pratique !

.

Commençons par explorer les côtes et les rivages à notre aise,

Chacun des kilomètres parcourus notre blues, notre stress apaise,

Pique-nique l’après-midi, programme de visite de la journée oblige.

Assis sur les rochers, sur un  tapis de mousse, l’appétit nous engloutit,

Quand des discussions  et informations ou opinions, provoquent litiges,

Splendeurs des paysages, joints aux caresses  du vent, nous réconcilient.

.

Il est grand temps  de rentrer au bercail, situé juste à côté d’une bergerie.

Chance d’observer voisine bergère, lors accouchement d’une de ses brebis,

Deux agnelets nouveau-nés se mettent, d’emblée, à bêler, à marcher, téter.

Ils tremblent, sur leurs pattes, comme si le sol,  le faisait, sous leurs pieds !

.

Nous restons là tous les cinq à contempler à commenter l’œuvre de la vie,

Contents d’être là pour assister au spectacle, prendre temps d’admirer,

Sur mer, les vagues s’agitent dans ciel, les nuages passent : éclaircie.

Nuit, si l’on ne dort, moutons d’Ouessant, on pourrait les compter

.

Chacun rentre pour se préparer au repas du soir en la crêperie

Que nous avons repéré à notre retour, à la sortie d’un village,

Nous l’avions pratiqué et apprécié lors du dernier passage,

Son originalité et son accueil nous avaient tous conquis.

.

Tandis que les premiers attendent les crêpes sucrées,

D’autres finissent galettes aux fruits de mer salées,

Charmés de ses décors  ses ambiances d’exilés

Nous y sommes retournés comme habitués

Mettre les pieds sous  la table, cocoonés,

Après ça, jeux de cartes ou lectures télé.

.

Cinq phares d’Ouessant illuminent le ciel,

Fenêtres accompagnant brillamment digestion,

Des souvenirs, paysages extraordinaires, culinaires,

Renforcent notre projet y revenir dans pas longtemps.

Mais en attendant, chacun y ayant mis son âme en location,

Se demande s’il ne rêve trop  d’hallucinants mystères d’Ouessant.

.

.

Extensions

.

La vie, sur Ouessant, parait

Être un vrai bonheur

Tant elle s’y déroule comme

Bulle et sans heurts.

 .

Chacun se lève, à son heure,

Se douche, déjeune

Les cinq phares d’Ouessant

Illuminent ciel, fenêtre

 .

Et accompagnent digestion :

Des souvenirs renforcent

Notre projet d’y revenir dans

Pas longtemps : attendant,

 .

Chacun met son âme en location,

Se demande s’il ne rêve pas trop

Hallucinants mystères Ile d’Ouessant.

.

Crique, creux, crevasse, et, avancée, pointe, promontoire,

Le découpage de la côte d’Ouessant est encore plus sauvage

Que celle de l’Ile-Grande, et de presque toutes les autres iles.

Petite famille a emprunté le sentier côtier, qui en fait le tour,

Et dieu merci, la météo est clémente, le soleil est de la partie.

Au fil des kilomètres les paysages changent : la faune et flore

Se diversifient aussi, 45 km pour en faire le tour en 3 jours

Cela en vaut tellement le détour que nous sommes joyeux

Y a pas à dire : comme randonneurs, sommes heureux.

.

Il n’y a rien de mieux qu’être en vacances

En famille, à Ouessant, pour une semaine.

En faisant le tour, on mesure notre chance

D’être là à randonner dans un tel domaine.

.

Chaque côté, parcouru, nous offre  des vues

Différentes nous ravissant les sens de l’âme,

Dont elle diffuse ses essences océanes, nues,

Qui, notre corps, cœur, esprit, enflamment !

.

Le programme de la journée consiste en une

Seule chose à faire, se remplir plein les yeux,

Des paysages  offerts par l’ile, non commune,

Dont le souvenir restera comme merveilleux.

.

Si seul, c’est bien, et si en couple, c’est mieux,

En famille, on en sera d’autant plus  heureux :

Il suffit de partager, ensemble, bons moments,

Pour remercier le ciel d’être là avec ses enfants.

.

.

294 – Calligramme  

 .

Il est midi lors troupe est prête

Pour se mettre  plein les yeux,

Le ventre,  la tête,  les oreilles,

Une randonnée  est croisière :

En tous cas souvent une fête !

 De vivre en ile doit comporter

Lot de contraintes, astreintes

Peu d’animation, distraction,

Et pour le moins, restreintes,

Il faut aimer mer et solitude,

Qui elles, ne sont pas feintes.

Les récits de ses explorations

Ne peuvent pas paraitre plats

À ceux qui ont,  jours entiers,

Marquer sentiers de leur pas,

En ce lieu qui est si magique

Qu’il ne se dit : se pratique !

.

Commençons par  V explorer les côtes et les rivages à notre aise,

Chacun des kilomètres  A  parcourus notre blues, notre stress apaise,

Pique-nique l’après-midi   C   programme de visite de la journée oblige.

Assis sur les rochers, sur un   A   tapis de mousse, l’appétit nous engloutit,

Quand des discussions et informa N   tions ou opinions, provoquent litiges,

Splendeurs des paysages, joints aux  C  caresses  du vent, nous réconcilient :

Il est grand temps de rentrer au bercail   E   situé juste à côté d’une bergerie.

Chance d’observer voisine bergère, lors accouc  S  hement d’une de ses brebis,

Deux agnelets nouveau-nés se mettent, d’emblée,   *  à bêler, à marcher, téter.

.

Ils tremblent, sur leurs pattes, comme si le sol    F  le faisait, sous leurs pieds !

Nous restons là tous les cinq, à contempler  A  à commenter l’œuvre de la vie,

Contents d’être là pour assister au spec   M  tacle, prendre temps d’admirer.

Sur mer, les vagues s’agitent, dans   I   ciel, les nuages passent : éclaircie.

Nuit, si l’on ne dort, moutons   L  d’Ouessant, on pourrait les compter.

Chacun rentre pour se pré  I parer au repas du soir en une crêperie

Que nous avons repéré   A  à notre retour, à la sortie d’un village

Nous l’avions pratiqué L et apprécié, lors du dernier passage,

Son originalité et son  E accueil nous avaient tous conquis.

Tandis que les premiers  S  attendent les crêpes sucrées,

D’autres finissent galettes *   aux fruits de mer salées,

.

Charmés de ses décors     À  ses ambiances d’exilés

Nous y sommes retour    *  nés comme habitués

Mettre les pieds sous   O    la table, cocoonés,

Après ça, jeux de car   U  tes ou lectures télé.

5 phares d’Ouessant     E       illuminent le ciel,

Fenêtres accompagnant S  brillamment digestion,

Des souvenirs, paysages   S extraordinaires, culinaires,

Renforcent notre projet     A   y revenir dans pas longtemps.

Mais en attendant, chacun  N  y ayant mis son âme en location,

Se demande s’il ne rêve trop  T d’hallucinants mystères d’Ouessant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

294 4

 .

Un piédestal  pour vase, statue,

Un flacon de parfum,  son bouchon,

Une lampe  à pétrole, probablement,

En tous cas, une lampe … certainement.

.

La lampe est un symbole de lumière

elle éclairera tout dans tout intérieur,

facilite déplacement en extérieur nuit :

 c’est pourquoi sa forme convient au fond

.

Nul besoin de lampe à pétrole,

Ni d’autres lampes,  pour explorer :

Ni les côtes, les rivages, les villages

Ni les plages, ni les phares, etc.

 .

Symbolique

.

La lampe est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Celle qui éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

La lanterne contient la

Lumière individuelle

Qui peut se transmettre.

Elle nous guide et peut

Guider les autres.

Si nous rêvons d’une lanterne,

Elle représente l’intelligence lumineuse

De personne précise : sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

Descriptif

 .

294 – Vacances familiales à Ouessant  

Alignement central  / Titre serpente  / Thème   iles

Forme courbe  / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : ampoule

.

Fond

.

Évocation 

.

294 6

.

Nul besoin de lampe à pétrole,

Ni d’autres lampes pour explorer

Ni les côtes, les rivages, les villages

Ni les plages, ni les phares, etc.

 .

Symbolique 

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile ou à pétrole représente

Toujours  une   lumière  intérieure,

Une énergie, des capacités, des talents

Que nous maîtrisons : c’est l’homme qui

Maîtrise  la lumière  avec  un certain

Pouvoir d’allumer et d’éteindre.

Toute lumière est le symbole

De notre connaissance,

On apprend de jour

En  jour, à  mieux

Se   con-naî-tre,

On évolue grâce

À informations

Et grâce au

 Savoir.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La lampe est devenue un instrument

Totalement indispensable à l’homme,

Dès qu’il fait nuit, il viendra l’allumer

Pour éclairer  chemin, lire pancartes.

Et ainsi prolonger les journées d’hiver

Et sentir présence humaine en maison.

 .

.

Quelques moutons d’Ouessant

.

Scénario

.

Un beau paysage de côte très découpée de l’Île d’Ouessant.

Un paysage en creux en falaises vers le nord, vers le sémaphore.

Un paysage de crique, tranquille, avec le continent  au loin de l’île.

.

Visuels et textuels >>  

270 – Ma vie d’îlien, dans ma famille

Visuels et textuels >> 

.

Mais comment donc  pourrais-je m’y ennuyer

Dès lors qu’elle me ressemble, et, tout entier

Par ses murs blancs, par ses espaces, vides,

Bien meublé, bien peint, décoré… fluides.

Maison de pécheur, devenue lieu de vie.

.

Un souvenir par-là ou un autre, par-ci,

Vrai, l’empreinte sur le temps, évolue

À ce point qu’elle en devient révolue.

Nouveau coup peinture, la rajeunit,

Coup de balai, poubelle, l’embellit

Décorée d’autres cadres, tableaux :

.

Photos de rencontres et de voyages,

Trainent partout en mode partages,

Complétées par celles de nos enfants

Qui vont, au fil des ans, grandissants,

Anniversaires  avec amis se succédant,

Leurs chambres  prolifèrent des posters

De chanteurs  qui, pour eux, sont supers.

.

Parents ont investi  deux chambres entières,

Lui s’est arrangé, petit à petit, sa garçonnière,

Il en fait son bureau, son jardin secret de prière,

Elle a fait de nouveaux achats, chez les antiquaires,

De meubles qui pour lui, restent des nids à poussières.

.

Dans notre maison, ça vit, ça bouge, ça déménage souvent,

Ça s’empile et ça s’entasse, çà remplit cave, garage et grenier,

De choses qui, leur temps d’utilité passé, deviennent démodées

Tout autant que moi, vieillissant bien ou mal, au fil du temps.

.

Au fil du temps, se vide aussi, lors enfants … grandissants

La désertent, l’oublient, bien qu’ils y reviennent souvent,

Tant maison de sa propre enfance reste ce lieu unique

Qui mariait son imaginaire et son esprit pratique.

.

La maison a grandi pour accueillir les enfants,

Mais, une fois partis, ce ne sera plus l’espace

Qui risque de nous faire, et le plus, défaut :

Juste un je ne sais quoi, autre vie à créer !

.

.

Extensions

.

Tant et si bien que chacun

Se sera aménagé son bureau,

À côté de sa chambre commune.

Le grand luxe de cette maison

Et  ce qui fait son caractère,

Hormis ses murs en pierre

Et son toit tout en ardoise

Serait son très grand salon

De cinquante  mètres  carrés

Et grande cheminée en pignon.

.

Pour accueillir vingtaine d’invités

Sans s’y sentir  à l’étroit, ou de trop.

Difficile de l’imaginer, en plein Paris,

Sauf être fortuné, nous ne sommes pas !

.

Et, le poêle, posé dans l’âtre, suffit, l’hiver,

À chauffer une bonne partie de la maisonnée,

Ce qui ne serait pas non plus si courant que cela.

Enfin, en somme, une maison  qui nous  convient,

Une maison qui nous ressemble, ce n’est pas rien !

.

Un, grand salon  et  qui  ressemble, assez, à ce dernier,

La salle à manger, dans le fond, pour manger à douze

Une chambre à coucher, parmi les quatre, à l’étage :

Rien de spécial, d’étrange ni de particulier : normal,

Il y fait bon vivre y compris l’hiver avec la cheminée,

Ce qui compte : l’ambiance, l’imaginaire …projection,

 Sensation, continue, que l’intérieur est utile et agréable

Que la maison est très solide et non bâtie sur … du sable.

Pour finir, attachement qui nous la fait garder et l’aimer !

.

L’ameublement,  décoration,

Du salon, salle de bain, cuisine,

Plus quatre chambres, un bureau

Ne se fait qu’au fil d’années, envies

Qui fait que sur une base de 4 murs,

Sans parler du sol, tout en terre cuite.

.

Les objets évolueront ainsi que tableaux

Pour au final créer ambiance atmosphère

Où l’on se sent très bien et qui nous reflète.

.

Sans oublier de penser tissus, couleur rideau

Et un poêle à bois dans le foyer de la cheminée

Et une chaine hifi  avec enceintes  coordonnées,

Et un escalier au milieu, qu’il aura fallu habiller,

 Voilà : vous êtes chez nous  et presque chez vous !

.

.

270 – Calligramme    

 .

Mais comment donc  pourrais-je m’y ennuyer   M

Dès lors qu’elle me ressemble, et, tout entier   A

Par ses murs blancs, par ses espaces, vides,   *

Bien meublé, bien peint, décoré… fluides.   V

Maison de pécheur, devenue lieu de vie.    I

                                                                      E

Un souvenir par-là ou un autre, par-ci,   *

Vrai, l’empreinte sur le temps, évolue   I

À ce point qu’elle en devient révolue.  L

Nouveau coup peinture, la rajeunit,   E

Coup de balai, poubelle, l’embellit     N

Décorée d’autres cadres, tableaux :    *

Rend son même espace, plus beau.    D

                                                               A

Photos de rencontres et de voyages,    N

Trainent partout en mode partages,     S

Complétées par celles de nos enfants     *

Qui vont, au fil des ans, grandissants,   M

Anniversaires  avec amis se succédant,   A

Leurs chambres  prolifèrent des posters    *

De chanteurs  qui, pour eux, sont supers.    F

                                                                                                                 A

Parents ont investi  deux chambres entières,    M

Lui s’est arrangé,   petit à petit,   sa garçonnière,   I

Il en fait son bureau,        son jardin secret de prière,   L

Elle a fait de nouveaux         achats, chez les antiquaires,  L

De meubles qui pour lui,        restent des nids à poussières.   E

.

Dans notre maison, ça vit,       ça bouge, ça déménage souvent,   E

Ça s’empile et ça s’entasse,    çà remplit cave, garage et grenier,   S

De choses qui, leur temps d’utilité passé, deviennent démodées  T

Tout autant que moi, vieillissant bien ou mal, au fil du temps.  *

                                                                                                       U

Au fil du temps, se vide aussi, lors enfants grandissants      N

La désertent, l’oublient, bien qu’ils y reviennent souvent, *

Tant maison de sa propre enfance reste ce lieu unique  B

Qui mariait son imaginaire et son esprit pratique.   O

                                                                                     N

La maison a grandi pour accueillir les enfants   H

Mais, une fois partis, ce ne sera plus l’espace   E

Qui risque de nous faire, et le plus, défaut :   U

Juste un je ne sais quoi, autre vie à créer !   R

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

270 4

 .

Un vase, probablement

Avec un col assez étroit

Une large  ouverture, 

Un objet très ancien.

 .

Vase et objet, vont bien ensemble,

mais point trop n’en faut, juste un

on la choisirait évasé ave des anses

pour que  forme converge vers fond.

.

Une vie tranquille et domestique,

Qui a son charme et a  son utilité :

Nombre d’objets, issus des voyages,

Vases se sont comme eux, accumulés.

.

Symbolique 

.

Le vase s’impose

Le plus souvent comme

Un objet essentiel du rêve,

Contenant dans lequel le rêveur

Va essentiellement trouver refuge.

.

Le vase est un contenant comme boite,

Coffret, sac, il est un symbole féminin.

En un vase, on met souvent de l’eau

Symbole et de la vie et de la terre

Et plante, pour s’y développer.

.

Selon une étude,  les femmes

Enceintes y voient toujours

Vase contenant de l’eau,

Avec bouquet de fleurs.

signification-reves.fr/Vase

.

Descriptif

 

270 – Ma vie d’ilien avec ma petite famille    

Alignement central  /  Titre externe  / Thème  vie

Forme courbe /Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : objet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

270 6

.

Une vie tranquille et domestique,

Qui a son charme et a  son utilité :

Nombre d’objets, issus de voyages,

Vases se sont, comme eux, accumulés.

.

Symbolique 

.

Certains objets nous ramènent

Quelques années en arrière … tant

Ils nous  rappellent  notre … enfance.

Objets,  sans   lesquels,   notre   quotidien

En temps qu’enfant aurait été bien différent.

.

Peut-être mieux : ce sont les  petites  adversités

De tous les jours qui nous rendent chaque minute

Un peu plus fortes, telles des roseaux qui plient

Mais  qui, pourtant, ne  cassent  jamais.

.

Quoiqu’il  en   soit,  ces objets

Sont surtout symboliques

De   notre   enfance.

Madmoizelle.com/objets-

Symboliques-enfance-152105

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une maison  peut  être  le  reflet

De son propriétaire, son locataire

Par son mobilier, par sa décoration

Et par les tableaux, photos accrochés

 Au mur ou posés sur quelques meubles,

Mais parfois autant par sa construction

Matériaux, style, voire personnalisation.

Si, extérieurement, des maisons proches

Peuvent se ressemblent, en tous points,

Intérieurement, disposition des pièces

Peuvent être différentes et décorées,

Dans un tout autre style, couleur.

 .

.

Trois générations ensemble

.

Scénario

.

Salon avec sa cheminée bretonne où on peut recevoir notre famille.

Salle à manger, pour douze convives, table ovale et chaises en bois.

Chambre à coucher classique sobre parmi les quatre de la maison.

 .

.Visuels et textuels >>