295 – Faune terrestre, marine, Ouessane

Textuels et illustrations  >>  

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Originaux : poème,  extensions, fragments

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Poème

.

Ici, des

Moutons noirs

 Non, moutons blancs

En de nombreuses pâtures,

Verdoyantes, voire sauvages,

Bêlent au vent comme autant

Nouveaux agneaux, naissants,

Mêlant  premier appel du large

Au lait de maman à leur image.

.

Ici, des chèvres, abandonnées,

Voire aux piquets, attachées,

Avec des  longes  et  longues

Touffes  d’herbes, et, à côté,

Trottent, sautent, cabriolent,

Très étonnées voire apeurées,

Par les gens voulant approcher,

Si ce n’est carrément les caresser.

.

Et, c’est alors  qu’une troupe, surgie  de nulle part, de chevaux,

Emportant, sur eux, quelques cavaliers, divaguant, et errants,

Comme autant  d’âmes en peine chargées de lourds fardeaux,

Et se sont cabrés devant nous, fantastiques et en hennissant,

Puis se sont échappés, d’une manière soudaine, en galopant,

Fuyant successions  hautes  vagues d’écumes, les rattrapant.

Des volées d’oiseaux chantent ici de l’aurore au crépuscule.

    .

Des goélands argentés, ricanent et chassent, se bousculent ;

Des oies cancanent, des coqs chantent, et poules gloussent

Taupe s’enterre, et lièvre se terre, sous touffes de mousses.

Des chats-huants, des chats errants, des chats d’Ouessant

Chassent des musaraignes ou des mulots hors des enclos.

.

De renards, de taupes, de serpents, rats : point de traces,

Lapins, près des bateaux,  constitueraient belle menace.

Famille de dauphins vient rendre visite à loups-phoques

De mer : les chasser date, à présent, d’une autre époque ;

.

On les voit louvoyer, jouer nager, sauter entre deux eaux

Offrant aux marins ou aux pèlerins, spectacle très beaux

Traquets motteux, faucons, busards, grèves…  à demeure

Accueillent sarcelles, hirondelles, pouillots si c’est l’heure

Immigrant d’îles lointaines vers réserves, vrai sanctuaire,

Cormorans, craves, huitriers, volent, planent sur belle mer.

.

Ici même, se donnent rendez-vous, pour mieux les observer :

Nombre d’ornithologues, venus d’Europe ou du monde entier,

En lien  avec cet unique Centre en Bretagne, sis en l’Ile Grande,

Où les oiseaux sont recensés, soignés, chasseurs, mis à l’amende.

.

Combien de cultivateurs, ont vu, des nuées de mouettes, viser soc

De leur charrue, se nourrir de vers de terre, les jours  de  tempête.

Que de navigateurs auront retrouvé l’espoir,  voyant île apparaître,

Quand des bandes de guillemots, virevoltaient, autour de  leur  foc.

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Extensions

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Le mouton ouessantin aurait disparu début du XXème siècle

Victime d’apports de géniteurs divers venus du continent

Sa hauteur ne dépassait pas 50cm, son poids 15kg

Et il était souvent de couleur noire.

.

L’île est refuge, pour nombreuses espèces d’oiseaux marins,

Comme le fulmar boréal,  ou comme le cormoran huppé,

Trois espèces de goélands (marin, brun, argenté)

Exceptionnellement, le macareux moine.

.

Facile à observer avec un peu de patience, des phoques gris,

Pointent leur nez, en toutes saisons sur la côte Nord)

Grands dauphins viennent de temps en autre

Escorter le courrier de la ligne régulière.

.

La faune d’Ouessant reste constituée,

 En grande partie, d’oiseaux marins,

Et de quelques espèces terrestres,

Qui n’ont rien d’indigènes, au vu

De la proximité du… Continent.

.

Ouessant reste un milieu naturel,

Fait de pelouses, landes maritimes,

De vallons boisés, mer fraîche agitée,

Présentant biodiversité riche, et fragile

Qu’il importe d’observer et de respecter !

.

Fragments

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Les moutons d’Ouessant, à l’origine

Des moutons noirs, ont été remplacés

Par des moutons blancs,  plus grands !

.

Le mouton d’Ouessant  n’est intéressant

Ni pour sa viande, ni son lait, ni sa laine :

Animal d’agrément destiné à l’éco-pâturage.

.

On trouve aussi troupeau de chèvres sauvages

Or ils sont causés des dégâts en jardins privés

Tant et si bien qu’ils n’en restent que très peu.

.

 Aujourd’hui, on compterait douze vaches laitières,

Cinq génisses, quatorze veaux, et plus  un taureau,

Deux cochons, deux chevaux, un chien, des poules.

.

Mais qu’en faire de cette énumération, à la Prévert :

Les nombreux oiseaux marins, voilà qui les indiffère,

Et sans compter les autres, y passant l’été, et  l’hiver.

.

Ce qui se remarque de loin le plus sur l’ile et autour

Ce sont les phares maritimes et au nombre de cinq

Faisceaux l’éclairent de leurs lumières  tournantes.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme   

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Ici, des

Moutons noirs

 Non, moutons blancs

En de nombreuses pâtures,

Verdoyantes    *   voire sauvages,

Bêlent au vent     *    comme autant

Nouveaux agne      *      aux naissants,

Mêlant premier       *      appel du large

Au lait de maman     *        à leur image.

Ici, des chèvres,         *      abandonnées,

Voire aux piquets       *       et attachées,

Avec des longes     *           *     et longues

Touffes d’herbes  *              *     et à côté,

Trottent, sautent *               * cabriolent,

Très étonnées  ou *             *    apeurées,

Par gens, voulant    *         *   approcher,

Si ce n’est carrément    *      les caresser.

.

Et, c’est alors  qu’une troupe, surgie  de nulle F part, de chevaux,

Emportant, sur eux, quelques cavaliers, diva A  guant, et errants,

Comme autant  d’âmes en peine chargées  U  de lourds fardeaux,

Et se sont cabrés devant nous, fantasti  N  ques et en hennissant,

Puis se sont échappés, d’une manière  E    soudaine, en galopant,

Fuyant successions  hautes  vagues   *  d’écumes, les rattrapant.

Des volées d’oiseaux chantent ici     T  de l’aurore au crépuscule.

            E

Des goélands argentés, ricanent R   et chassent, se bousculent ;

Des oies cancanent, des coqs    R   chantent, et poules gloussent

Taupe s’enterre, et lièvre se    E   terre sous touffes de mousses.

Des chats-huants, des chats  S  errants, des chats… d’Ouessant

Chassent des musaraignes   T  ou des mulots,  hors  des enclos.

R ……..

De renards, de taupes, de    E     serpents, rats : point de traces,

Lapins, près des bateaux,     *        constitueraient belle menace.

Famille de dauphins vient   M      rendre visite à loups-phoques

De mer : les chasser date     A      à présent d’une autre époque,

On les voit louvoyer, jouer   R     nager, sauter entre deux eaux,

Offrant aux marins ou aux   I     pèlerins,   spectacle très beaux

Traquets motteux, faucons  N        busards, grèves,  à demeure

Accueillent  sarcelles, hiron    E   delles, pouillots si c’est l’heure.

Immigrant d’îles lointaines     *      vers réserve, vrai sanctuaire,

Cormorans, craves, huitriers   O    volent, planent sur belle mer.

U

Ici même, se donnent rendez-    E  vous, pour mieux les observer

Nombre d’ornithologues, venus   S d’Europe ou du monde entier,

En lien  avec cet unique Centre, en S Bretagne, sis en l’Ile Grande,

Où les oiseaux sont recensés, soignés, A chasseurs mis à l’amende.

Combien de cultivateurs, ont vu des nuées N de mouettes, viser soc

De leur charrue, se nourrir de vers de terre, E les jours  de tempête.

Que de navigateurs auront retrouvé l’espoir,   voyant île apparaître,

Quand des bandes de guillemots, virevoltaient, autour de  leur  foc.

.

Forme

.


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Évocation 

.

Une tour, une plateforme,

Une lanterne avec lentille,

Un phare, probablement,

Un phare … près des côtes.

.

295 4

.

Pas d’ile sans phare, lors, l’Ile Ouessant

En possède quatre :

C’est dire si ses côtes sont dangereuses

Pour bien naviguer.

Phares  et  côtes  vont bien ensemble,

Phare protège de côte, il me semble !

Il y en a quatre autour d’Ouessant :

Dès lors la forme évoquera le fond !

.

Symbolique

.

Image du phare

 .

Est  d’importance

 .

Dans notre univers symbolique.

 .

Verticalité fait symbole phallique,

 .

Signe de force génératrice, vigilance.

 .

L’élévation dépasse condition humaine

S’érigeant de la mer considérée comme

Lieu des naissances et transformations

 .

Et le phare assure alors une  source de

Lumière dite rassurante et protectrice.

.

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Fond

.

Évocation 

.

295 6

.

Pas d’ile sans phare, lors, l’Ile Ouessant

En possède quatre :

C’est dire si ses côtes sont dangereuses

Pour bien naviguer.

.

Symbolique de fond

.

La côte est la terre adjacente

Proche d’un domaine  maritime

En français, y a pas  de consensus

Sur différence  entre côte  et littoral.

En géographie pour traduire coastline,

On utilise terme de côte, parfois rivage.

Adjectif «côtier» qualifie ce qui est sûr,

Très proche ou bien relatif à une côte.

«Côte» est  un  terme  très  spécifique

S’applique uniquement à la partie

D’une île  ou  d’un  continent  qui

Longe un océan ou eau de mer.

L’on peut distinguer  les côtes

Qui feront, directement, face

À l’océan de côtes abritées,

Près d’un golfe ou d’une baie

fr.wikipedia.org/wiki/Cotes_(geographie

 .

.

Fond/forme 

.

Moutons, chevaux, poissons, oiseaux,

Une ile riche en toutes sortes d’animaux.

Par contre, il n’y a plus guère de cultures,

Le vent quasi permanent, les rendent rudes

La pêche elle-même n’est pas des plus faciles

Aussi, l’ile s’en remet, à présent, au tourisme,

À tel point, qu’il faut réserver, pour s’y rendre.

.

Mais, une fois qu’on y est et pour une semaine,

Les jours passent sans s’ennuyer une seconde

Suffit d’ouvrir l’œil, de marcher, d’observer,

Faune et flore se livre à vous comme livre

Si vous aimez les bruyères et les fleurs

Vous êtes servis lors ciel, mer et sol

Se sont donné rendez-vous, ici,

.

Mais ne répéter à personne,

Gardez secret pour vous

Revenez chaque an

Au printemps.

Ouessant

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962 – Si je ne suis qu’un animal sophistiqué !

 Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qu’y a-t-il donc entre

Tous les animaux et nous,

C’est juste une question distance,

Ajouter d’une question point de vue.

.

Nous naissons d’une mère, tous nus,

Parfois notre raison nous rend fous,

Qui nous pousse  à connaitre  tout.

.

Tandis  que l’on  sait  que

L’on n’ira pas jusqu’au bout,

Connaissance, et ignorance,

Et naissance, sont infinies,

Tout comme  cet Univers

Dont homme se divertit.

.

Si je ne suis qu’un animal sophistiqué,

Mon intelligence,  machine à calculer,

Mon choix de partenaire, une chimie,

Mon imagination passagère maladie,

Ma liberté valeur illusoire arbitraire,

Mes amis sont réseaux  congénères !

.

Que me restera-t-il de mon mystère !

Moi qui me croyais  le roi de la Terre

Je ne suis  qu’un  élément  du dessus,

Cerise sur le gâteau et rien de plus.

Ça vous étonne ou ça vous amuse,

Je trouve que science,  nous abuse !

.

Nos mythes ne nous sauveront pas

Nos religions, âmes, et consciences,

Mais, notre croyance, en la Science,

Est aussi sujette aux erreurs ici-bas,

Du fait que c’est nous  qui élaborons

Ses vérités sur le principe de raison.

 .

Raison seule ne  suffit pas, loin de là

À expliquer l’origine et la fin de tout,

Ni à croire que l’on atteindra le bout.

Lucide, faut l’être mais, à genoux, pas !

Ce serait le contrat moral pour humain,

D’être libre de forger son propre destin.

 .

Nombre de mythes, croyances, religions, cosmogonies

Viennent à notre secours pour combler  nos lacunes,

Mais ils ne feraient que générer encore plus de doute.

Sommes-nous nés par l’évolution ou par incarnation ?

 .

Extensions

.

L’animal n’a pas de destin,

Pourquoi l’homme en aurait-il un,

Sinon celui qu’il s’est forgé lui-même

En se créant un dieu à sa démesure

Et en voulant  lui ressembler, voire

Le rejoindre  pour se fondre en lui.

Personne ne pourrait l’en blâmer :

Disposer d’une telle intelligence

Et que cela ne lui serve à rien.

Comme mortel il est à disparaitre,

Individuellement, autant collectivement !

Ce n’est ni tolérable, ni acceptable, ni désirable.

Entre l’animal et nous il y a quatre-vingt-dix-neuf

Pour cent de commun : d’où vient le  un pour cent

Différent, à quoi nous sert-il : si notre intelligence

Ne parvient pas à résoudre ce profond dilemme :

Nous sommes animal jusqu’au bout des ongles

Et complétement différent par le simple

Agencement de quelques neurones

Supplémentaires, comme si nous

Avions l’âme nous garantissant

Notre survie, ailleurs, mais où !

.

L’homme est un animal comme les autres,

L’homme est différent des autres animaux :

On en fait quoi,  avec une telle contradiction,

Qui à la fois nous distingue, et nous confond !

Mais la conscience demeure avec l’inventivité,

Deux éléments délimitant comme une frontière

Entre eux et nous mais pourquoi nous, pas eux !

.

Sommes animal comme les autres

Ou un animal pas comme les autres,

La question resterait  en délibération,

Lors celle d’être très proche de l’animal

Ne sera plus comme sujet de controverse

.

Cela  admis, sommes-nous  plus  avancés :

Dieu ne nous a pas  façonnés, choisis, élus :

Nous sommes  en même lignée  depuis zéro,

Et la vie, comme l’humain tient d’un miracle

Ne s’étant produit qu’une fois, apparemment.

.

Fragments 

.

Sommes-nous des animaux :

Un peu, et parfois même,  beaucoup !

.

Sommes-nous mieux qu’eux :

Un peu, et parfois même,  beaucoup !

.

Sommes-nous pires qu’eux :

Un peu, et parfois  même,  beaucoup !

.

Qu’est-ce qui nous distinguent d’eux ?

Nous sommes plus habiles ;

.

Plus conceptuel et voire plus sensuels,

Compliqués et sophistiqués.

.

Qui est plus solitaire avec son prochain

C’est nous, par redistribution.

.

Qui est plus brutal  ou  est plus criminel

C’est nous, et par nos guerres.

.

Nous sommes plus inventifs, industrieux

Et beaucoup plus cumulatifs

.

Nous respectons  et la Nature  et l’animal,

Tout autant que les détruisons.

.

Nous pratiquons religion et cultivons arts,

Fidèle en une, critique en autre.

.

Au final, y a tant et si peu qui nous séparent

Qu’on s’interroge sur supériorité.

.

Toujours est-il, qu’au lieu de bien cohabiter,

Espèces animales disparaissent.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

.

Qu’y a-t-il entre

Tous les animaux et nous,

C’est juste une question distance,

Ajouter d’une question point de vue.

Naissons Ô d’une // mère  Ô tous nus

Parfois  notre // raison nous rend  fous

Qui nous // pousse  à connaitre  tout,

Tandis  que ====l’on  sait  que

 L’on  n’ira  pas  jusqu’au  bout,

Connaissance, ignorance,

Naissance, sont infinies,

Tout  comme  l’Univers

Dont homme se divertit.

.

Si je ne suis qu’un animal sophistiqué,

Mon intelligence,  machine à calculer,

Mon choix de partenaire, une chimie,

Mon imagination passagère maladie,

Ma liberté valeur illusoire arbitraire,

Mes amis sont réseaux  congénères !

.

 Que me restera-t-il  * de mon mystère !

Moi qui me croyais   J  le roi de la terre

Je ne suis  qu’un  élé E  ment  du dessus,

Cerise sur le gâteau   *      et rien de plus.

Ça vous étonne ou    S      ça vous amuse,

Je trouve que scien  U    ce,  nous abuse !

 I

Nos mythes ne        S nous sauveront pas

Nos religions, â       ‘  mes, et consciences,

Mais, notre croy      A   ance, en la Science,

Est aussi sujette       N    aux erreurs ici-bas,

Du fait que c’est        I      nous  qui élaborons

Ses vérités sur le        M      principe de raison.

A .

Raison seule ne              L         suffit pas, loin de là

À expliquer l’ori               *         gine et la fin de tout,

Ni à croire que l’               S          on atteindra le bout.

Lucide, faut l’être               O          mais, à genoux, pas !

Ce serait le contrat              P          moral pour l’humain,

D’être libre de for                 H          ger son propre destin.

I

Nombre de mythes, croyan   S   ces, religions, cosmogonies

Viennent à notre secours      T   pour combler  nos lacunes,

Mais ils ne feraient que gé    I   nérer encore plus de doute.

Sommes-nous nés  par l’   QUÉ   évolution, incarnation ?

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un animal, genre rongeur

Mais qui se tient debout

Sur ses pattes arrières

Guettant l’ennemi.

.

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.

Rongeur qui se lève que ses deux pattes,

Et qui se tient debout :

Y en a pas beaucoup, pour autant nous

Ne sommes pas les seuls !

.

Symbolique

.

Dans

 Beaucoup de

 Livres et ouvrages

De     vulgarisation 

Manuels scolaires,

Pour certains et jusqu’à la fin du xxe siècle,

Était encore représenté le scénario de la linéarité

D’un redressement de plus en plus graduel du corps,

Selon une marche du progrès qui correspondait

À une bipédie dite de plus en plus humaine.

Ce scénario obsolète est désormais

Infirmé  par  de nombreuses

Données paléontologiques.

La Suricate rongeur,

En est l’illustration déjà,

Avec  les singes,  en ce qui

Concerne la station debout.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

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.

Rongeur qui se lève que ses deux pattes,

Et qui se tient debout :

Y en a pas beaucoup, pour autant nous

Ne sommes pas les seuls !

.

Symbolique 

 .

La dernière acquisition

Physiologique de l’Homme

A commencé  il  y  a plus de

6 millions d’années, celle qui

Nous a conduits à être bipède

Avec posture droite, érigée.

 

Cette dernière  acquisition

A été rendue possible par

Élaboration du système

Postural   dont   le   but

Fondamental   est      de

Nous empêcher de chuter

Alors  que  notre   équilibre

Bipède  est  devenu  instable,

Par rapport  aux  quadrupèdes.

 

L’évolution de l’Homme à l’heure actuelle

Reste en cours puisque la taille et la pointure

Des individus ne cessent de progresser.

cairn.info/revue-hegel-2016-2-page-181.htm

 .

.

Fond/forme 

 

Se lever, le cheval le peut aussi

À moins d’être entrainé par cirque,

Il marche et court sur ses quatre pieds,

Un caniche dressé pourra faire de même,

Un chat pourra le faire mais pour grimper.

 .

Un signe est, il est vrai,  plus près de nous,

Les suricates font comme les marmottes,

Se dresser sur leur séant pour observer

Y a que les humains, en permanence,

Y a que humains qui ainsi dansent.

.

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