466 – Femme : déesse Shiva aux six bras !

Visuels et textuels >> 

.

Shiva, shiva pas, shiva quand même

Éternel refrain, des couplets sans fin,

Que comporte chansons de sa maison,

Étant son âme, ses jambes et ses bras !

Déjà que son travail de mère est triple :

Soins enfants, soin mari, et, éducation !

.

Quand elle se trouve seule  et de faction

Pour toutes tâches ménagères  ou taxis.

Parfois, une tâche  lui coûtera  un bras,

Mais l’on dirait qu’il repousse très vite,

Même lorsque le compte n’y sera pas :

Elle le fait quand même, d’autre bras.

On peut comprendre  qu’elle en rêve,

De n’avoir que  deux bras et jambes

De se les faire masser pour reposer

Membre fantôme logé en cerveau.

.

Il est grand temps que je me pose,

Maladie du siècle que la  bougeotte

J’ai   envie de  buller  mais  je n’ose

Car j’ai peur de passer  pour   sotte.

Lors mon travail de mère est triple,

M’occuper du travail, de la maison,

Des enfants quand mari en périple,

N’est là que week-end en chausson.

Shiva aux six bras  m’appelle-t-on !

.

J’y vais, c’est certain mais à reculons

Deux fois l’an, pour prendre … l’air,

Deux semaines  à s’occuper de moi,

À ne rien faire que buller ordinaire

Mais, c’est luxe de choix, pour moi.

La nuit, je rêve d’une vie tranquille,

D’être seule à méditer sur mon…ile,

Au lieu de ramer dans mon archipel

Où, toutes les heures, l’on m’appelle.

.

Une femme de ménage et cuisinière,

Changerait, un peu,  mon ordinaire :

J’irais faire les boutiques et très fière,

Je me conduirai  en mère  exemplaire.

Moi qui n’ai qu’un travail de secrétaire

Et qui ne me rapporte que  des misères,

Le ménage, courses, cuisine  et  enfants,

Je dois avoir six bras et courir et souvent.

Shiva, ch’y vais pas,  pas temps de penser,

Je suis seule,  avec les enfants : faut y aller.

La femme est une multitâches ça, on le sait,

Bébé et téléphone puis cuisine puis ménage

Le tout bien fait, bien assuré évidemment.

.

Voilà qui la rapproche de la déesse Shiva,

Déesse hindoue et dansante aux six bras,

Qu’on imagine femme idéale dans tous cas.

Shiva, ch’y vais pas, pas le temps d’y penser,

Elle est seule, et avec les enfants faut y aller.

.

.

Extension

.

Dieu merci, il est des maris qui partagent

Les tâches ménagères et soins aux enfants

À égalité, ou presque, avec leurs épouses :

D’autant si elles travaillent à l’extérieur,

C’est un contrat, habitude à prendre,

Pas simple question de principe.

.

L’homme serait monotâche et la femme, multitâches : foutaises !

La femme l’est, le plus souvent mais non par choix, par obligation

Auparavant, l’homme débarquait, dans son foyer, tout à son aise :

Désormais il doit partager les charges domestiques et d’éducation

Tous les  découpages, reprises des tâches ont un coup en énergie

Quand il y en a trop, ou sous contrainte de temps : on disjoncte

Si la femme est multitâches, fait deux journées dans la même

Ses enfants, sa maison, ses courses et travail professionnel,

Comment être, en plus, très disponible… pour l’amour !

.

Shiva ou shi vais pas : jeu de mot facile

Lors souvent c’est la femme qui s’y colle,

Et tous les petits maux du foyer, recolle,

Parfois c’est le coup de blues : difficile !

.

Le plus dur est : famille monoparentale,

Tout est à faire et par un seul conjoint :

Tant et si bien même elle avait six bras,

Peut-être qu’elle n’y parviendrait pas !

.

Vous pensez bien qu’à deux et en égalité

Partage des tâches, elle aime, en raffole :

C’est là une source d’amour et de fidélité

Avec quelqu’un sur qui elle peut compter.

.

.

466 – Calligramme

.

Shiva, shiva pas, shiva quand même

Éternel refrain, des couplets sans fin,

Que comporte chansons de sa maison,

Étant son âme, ses jambes et ses bras !

Déjà que son travail de mère est triple :

Soins enfants, soin mari, et, éducation !

Quand elle se trouve seule  et de faction

Pour toutes tâches ménagères  ou taxis.

Parfois, une tâche  lui coûtera  un bras,

Mais l’on dirait qu’il repousse très vite,

Même lorsque le compte n’y sera pas :

Elle le fait quand même, d’autre bras.

On peut comprendre  qu’elle en rêve,

De n’avoir que  deux bras et jambes

De se les faire masser pour reposer

Membre fantôme logé en cerveau.

.

Il est grand temps F  que je me pose,

Maladie du siècle que   E    bougeotte,

J’ai envie de buller mais      M    je n’ose

Car j’ai peur de passer pour    M    sotte.

Lors mon travail de mère est    E   triple,

M’occuper du travail, de la     *  maison,

Des enfants quand mari    E  en périple,

N’est là que week-end  S  en chausson.

Shiva aux six bras  T  m’appelle-t-on !

J’y vais, c’est certain mais à reculons

Deux fois l’an, pour prendre … l’air,

Deux semaines  à s’occuper de moi,

À ne rien faire que buller ordinaire

Mais, c’est luxe de choix, pour moi.

.

La nuit, je rêve d’une vie tranquille,

D’être seule à méditer sur mon…ile,

Au lieu de ramer  dans mon archipel,

Où, toutes les heures,    l’on m’appelle.

Une femme de ménage    S      cuisinière,

Changerait un peu mon    H     ordinaire :

J’irais faire les boutiques   I   et très fière,

Je me conduirai en mère     V   exemplaire.

Moi qui n’ai qu’un travail      A  de secrétaire

Et qui ne me rapporte que      *    des misères,

Le ménage, courses, cuisine      A     et enfants,

Je dois avoir six bras et courir    U    et souvent.

Shiva, ch’y vais pas, pas temps     X     de penser,

Je suis seule, avec les enfants :       *    faut y aller.

La femme est une  multitâches      S   ça, on le sait,

Bébé et téléphone et cuisine           I     puis ménage

Le tout bien fait, bien assuré        X     évidemment.

Voilà qui la rapproche de la          *      déesse Shiva,

Déesse hindoue et dansante       B        aux six bras,

Qu’on imagine femme idéale   R       dans tous cas.

Shiva, ch’y vais pas, pas le    A    temps d’y penser,

Elle est seule, et avec les    S   enfants faut y aller.

.

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Forme

.

Réduction

.

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466 4

.

Évocation

 .

Où est Shiva au six bras :

Nulle part, c’est sûr ou pas

Six bras serait un monstre

Et pour hindous : un dieu.

 .

Une femme aurait six bras, non quand même

L’analogie avec shiva serait poussée trop loin,

Bien qu’arrive parfois elle a tout sur les bras.

 .

Une femme serait-elle réellement shiva,

Six bras et bien affairés,

 Quand l’homme n’en aurait que deux,

Quoique bien affutés.

 .

Symbolique 

 .

Shiva Nataraja est représenté avec 4 bras.

La main supérieure droite tient une clochette

Qui rythme la création du Monde et autre

La main gauche … supérieure …  tient

La flamme de la destruction divine ;

La  main ….  inférieure … droite  est

Tenue dans un geste de protection ;

La main  inférieure  gauche  pointe

Vers  le pied gauche …  tenu en l’air,

Il montre ainsi son pouvoir de grâce.

Modifié, source : kondratetieff.org

 .

Descriptif

.

466La femme est déesse Shiva aux six bras !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  identité

Forme anthropo / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : shiva / Symbole de fond : multibras

.

.

Fond

.

Évocation 

.

466 6

.

Ne vaut-il pas mieux en avoir que deux, de bras

Mais énergiques, et bien musclés

Que quatre ou six qui serviraient à tout et à rien

Hors métaphoriquement multitâches

.

 Symbolique 

.

Le cerveau des femmes

Ne serait pas plus apte que

Celui des hommes à effectuer

Des multitâches en même temps.

Pour mettre ce stéréotype à l’épreuve

Des faits, des chercheurs  auront soumis

48 femmes et 48 hommes à un test cognitif.

.

Ainsi, les participants devaient reconnaître

Et catégoriser des lettres et des chiffres qui

Leur étaient présentés, parfois , ensemble,

Parfois en alternance, les deux groupes

Sont arrivés ex æquo : ces résultats

Peuvent varier, autres contextes.

.

Mais, selon les mécanismes

Cognitifs évalués ici,

Il n’y avait pas de

Différence entre

Les deux sexes.

chatelaine.com/sante/le-

multitache-superpouvoir-feminin

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le mari la tête, le métier …  le portefeuille ;

La femme, les bras, les enfants, dépendance.

On peut croire qu’il s’agit là d’un ancien cliché,

Et que dans tous couples les rôles sont à égalité.

.

Or il n’en est rien, selon les cultures  et religions.

Entre élites intellectuelles et travailleurs manuels :

La femme a souvent été cantonnée dans les seconds

Le féminisme n’est  pas la solution de remplacement

Seule la négociation aboutira à une égalité vivable !

.

Six bras ne sont pas deux mais c’est une expression

Pour signifier qu’une femme se partagera entre six

À tour de rôle et à la volée, et sans trop y penser

Tellement absorbée à faire face aux urgences.

Ce n’est pas un monstre ni déesse ni fée !

 .

Visuel    

.

.

Secrétaire Shiva aux six bras

.

Visuels et textuels >> 

465 – Femme n’est pas île, archipel !

Visuels et textuels  >>

.

Qui ne pense à une femme

Comme une ile paradisiaque

Sur laquelle,  il peut se reposer

Lors, il se dit,  fatigué, de bosser !

Elle se divise  à force de se chercher,

Prend ses fantasmes  pour des réalités

Mais, quand elle peut, enfin convoler,

En archipel  elle s’est  transformée.

Sept ilots parcourt, on les trouve,

Chez ses enfants, cuisine, amis,

Dans ses écrits, en son

 Métier avec  son mari,

Pour finir,  ilot secret,

 Et  qu’elle  se  jardine !

C’est cette  polyvalence qui la rend belle,

On la croit ici  tandis  qu’elle  est  ailleurs

Chaque ile     apporte    ersatz  de  bonheur

Où  la  somme,  ferait  d’elle,  vraie  rebelle.

Tout  marin  l’attire   et  même  s’il  l’ignore,

Alors  qu’il  navigue  d’ile,  en ile, et  avec elle.

.

À voler, de l’un à l’autre, à tire d’ailes,

À se croire en ile, alors qu’il est en elle,

Si ce n’est entre deux,  fière et rebelle.

Elle se recherche à force de se trouver

Au bout d’un quai, se surprenant à rêver,

Qu’un beau bateau, beau marin…la prenne,

Pour une quelconque destination très lointaine,

Elle se jettera à l’eau afin d’attirer son attention,

Le marin la frôle de    son bateau, s’en détourne :

N’est pas reconnu par elle, nulle idylle, passion,

Seul en son voilier c’est la mer qu’il enfourne.

Femme n’est pas île mais  sept : un archipel.

.

Dans la première, elle élève ses enfants  chéris,

Dans la seconde, elle fait confiture et confit ;

Dans la troisième, elle reçoit ses vrais amis ;

Dans la quatrième, elle s’adonne aux écrits ;

Dans la cinquième, elle active son métier ;

Dans la sixième, elle fait l’amour au mari ;

Et, dans la septième, devinez ce qu’elle fait

Elle se retire pour méditer en jardin secret,

.

Observer le monde à la jumelle et faire curieux

Manège perpétuel, si elle n’a trouvé instamment

D’amants  qui  resteront dignes de ses beaux yeux.

C’est en multitude de ces  poses qu’elle est belle,

Et pour parvenir à hisser un drapeau sur elle

Il faut les sept couleurs  de l’arc-en-ciel

En sa vie amoureuse, quête réelle,

Rien ne sera simple ni facile,

Mais, son marin … le sait-il,

Espérant pêcher  en goupil

Sa reine et des  Sept-Iles.

 L’ile n’est pas  l’archipel.

Lors la femme appelle,

Elle n’est pas  sa belle

La trouvant  rebelle.

.

.

Extension

.

Lors, entre il et entre elle,

L’homme est une simple ile,

Alors que la femme est archipel.

De loin, ou de près, elle l’appellera

Le plus souvent de ses propres vœux,

Elle le séduira  et encore, de ses yeux,

Et quand le marin, un jour prochain,

Débarquera sur elle,

Il ne sera plus en ile

Mais en…  archipel.

.

On dit qu’il y aurait plusieurs femme en une

Celle de la cuisine, s’adresse au palais, au ventre ;

Celle du salon s’adresse aux cerveaux et aux relations ;

Celle du lit s’adresse à ce que vous pourriez bien imaginer ;

Celle du jardin, s’adresse au romantisme, aux fleurs du cœur ;

Et celle du bureau s’adresse  à toute l’organisation de la maison ;

Je lui rajoute un lieu, pour la nurserie, et les enfants grandissants ;

Un septième pour ses propres loisirs, ses voyages, ses aventures, etc.

.

Une ile peut être renfermée sur elle-même

Sinon ouverte à tous vent : propre, figuré !

Un archipel est comme une même famille :

Relié et soudé entre ses membres en corps.

.

Sens figuré, archipel, voisine multitâches :

L’on pourrait dire, autant, polyamoureuse,

Image étant plusieurs fers, amants, au feu,

Sans qu’il y ait interférence rejet honteux !

.

Elle est davantage  archipel : sein du foyer,

Avec une main sur le fer chaud à repasser ;

Une autre portant bébé, pour le faire téter ;

Troisième sur la marmite, à faire à manger.

.

Marmaille, marmite, marmiton… recettes,

À peine le temps de dormir, de récupérer !

.

.

465 – Calligramme

.

Qui ne pense à une femme

Comme    une   ile paradisiaque

Sur laquelle  Ô  il peut Ô se reposer

Lors,  il se dit,   //     fatigué,  de bosser !

Elle se divise    //    à force de se chercher,

Prend ses  fan //  tasmes  pour  des  réalités

Mais,  quand   elle    peut,  enfin … convoler,

En archipel  elle ====  est  transformée.

Sept ilots qu’elle parcourt, on les trouve,

Chez ses enfants, cuisine, entre amis,

Dans ses écrits, en son

 Métier avec  son mari,

Pour finir,  ilot secret,

 Et  qu’elle  se  jardine !

C’est cette  polyvalence qui la rend belle,

On la croit ici  tandis  qu’elle  est  ailleurs

Chaque ile     apporte    ersatz  de  bonheur

Où  la  somme,  ferait  d’elle,  vraie  rebelle.

Tout  marin  l’attire   et  même  s’il  l’ignore,

Alors  qu’il  navigue  d’ile,  en ile, et  avec elle.

À voler, de l’un à l’autre,     L          à tire d’ailes,

À se croire en ile, alors       A        qu’il est en elle,

Si ce n’est entre deux           *           fière et rebelle.

Elle se recherche à            F          force de se trouver

Au bout d’un quai            E       se surprenant à rêver,

Qu’un beau bateau,        M     beau marin…la prenne,

Pour une quelconque   M   destination très lointaine,

Elle se jettera à l’eau  E  afin d’attirer son attention,

Le marin la frôle de    son bateau, s’en détourne :

N’est pas reconnu par elle, nulle idylle, passion,

Seul en son voilier c’est la mer qu’il enfourne.

Femme n’est pas île mais  sept : un archipel.

Dans la première, elle élève ses enfants  chéris,

Dans la seconde     N   elle fait confiture et confit ;

Dans la troisième,      ‘        elle reçoit ses vrais amis ;

Dans la quatrième,      E          elle s’adonne aux écrits ;

Dans la cinquième,        S              elle active son métier ;

Dans la sixième, elle        T                fait l’amour au mari ;

Et, dans la septième,          *                devinez ce qu’elle fait

Elle se retire pour mé          P               diter en jardin secret,

Observer le monde à la        A           jumelle et faire curieux

Manège perpétuel, si elle      S          n’a trouvé instamment

D’amants  qui  resteront        *   dignes de ses beaux yeux.

C’est en multitude de ces       I      poses qu’elle est belle,

Et pour parvenir à hisser      L        un drapeau sur elle

Il faut les sept couleurs       E             de l’arc-en-ciel

En sa vie amoureuse,         *              quête réelle,

Rien ne sera simple       A                  ni facile,

Mais son marin,          R              le sait-il,

Espérant pêcher      C          en goupil

Sa reine, et, des     H       Sept-Iles.

 L’ile n’est pas       I      l’archipel.

Lors la femme    P       appelle,

Elle n’est pas     E      sa belle

La trouvant        L       rebelle.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

On y  projette la forme qu’on veut,

Comme bouteille plastique à l’envers

Comme un arbre ornement de jardin,

Moi je voterais : femme en archipel.

 .

Une forme de femme  parmi tant d’autres

Évoquée par une silhouette

Avec cou étroit, hanches larges, taille fille,

Bras et jambes bien galbés.

 .

Symbolique    

 .

Les hommes  et les femmes  sont très

Différents sur de nombreux points :

Des couples  arrivent  à s’entendre,

S’unissent pour le meilleur et pire.

 .

Au quotidien, femmes s’expriment

Plus par paroles, gestes, mimiques,

Lors les hommes, plus par le silence.

 .

Les femmes ont esprit de coopération,

Les hommes ont l’esprit de compétition.

Les femmes disent «non» pour dire «oui»,

Les hommes disent «non» pour dire «non» !

 .

Les femmes se projettent dans l’avenir,

Hommes vivent…. au jour le jour,

Femmes sont des archipels.

 .

Descriptif

.

465 La femme n’est pas une île, est archipel !        !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  identité

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : archipel

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

La femme serait-elle vraiment

Comme un archipel de sept iles

La rendant totalement différente

De l’homme, en elle, lors en ile !

Symbolique

.

Les îles au sein d’un même archipel,

Peuvent être dissemblables

Et chacune à ses spécificités, son histoire,

Ses coutumes et ses dialectes

Développeront, aussi, de  multiples  échanges

Famille, commerce, politiques

Avec les autres îles, chacun établit des relations,

Plus ou moins étroites et denses.

Une organisation, en Archipel, va constituer

Un environnement favorable

Au développement des relations autant

Entre des îles de l’Archipel

Entre elles mais aussi des îles vers

L’extérieur à l’Archipel.

hosonslesjoursheureux.net/

fondements/symbolique

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Certains hommes, voire certaines femmes

Pourraient trouver telle… comparaison

Entre une femme et archipel … osée.

L’homme se  prétend entier et carré

La femme, morcelée, pointillée,

Le problème est que l’homme

Voudrait contrôler femme

Qui est incontrôlable

Si elle est stressée.

.

Une forme un peu compliquée à l’intérieur

Capable de figurer plusieurs fonctions

Et de manières presque simultanées

La femme est perçue multitâches

Contrairement aux hommes :

Femme rime avec archipel

Quand  on la  croit, ici,

Elle est aussi là-bas

Partout, à la fois.

.

Visuel 

.

.

Femme archipel

.

Visuels et textuels  >>

464 – On dit «les femmes» : que dit-on !

Visuels et textuels >>

.

Expression «les femmes» englobe toutes.

Si elles étaient pareilles, interchangeables

Cela se saurait, cela se dirait pratiquerait,

Je ne l’ai, nulle part, constaté,  j’en doute !

Il y a  autant de différences  entre femmes

Qu’entre femme et homme, de caractères,

Sans parler apparence, charme  physique,

Rôle social, marital et parfois … original !

.

Un homme peut-il  se glisser dans la peau

D’une femme, en un rôle réciproquement.

Certains sont capables ainsi, de la décrire

Sans  pour autant, la vivre, par le dedans.

Le mot « femme » est  un vrai mot valise

En lequel, on y met tout ce que l’on veut.

.

Les femmes  assument  leur féminité,

Sur quoi : naturelle, prise,  imposée,

Par la religion, la culture, la société,

On est  en droit  de se  le demander.

Différence,  physique, c’est  certain :

Leur anatomie ne nous cache rien ;

Différence  de rôle, c’est sûr, aussi,

La femme enfante, l’homme nenni.

.

Différence, de valeur, en question,

Si l’on fait  d’elle un sujet ou objet,

Sujet par union, compagne de fait ;

Objet par domination, ou prostitution.

De la plus féminine à la masculine pure,

Où se situent les continuités, les ruptures :

Femme en corps d’homme, réciproquement

Homosexuelles, trans sexuelles, ardemment !

.

Je peux dire écrire  des mots, gestes,  sentiments,

Me glissant dans la peau,  dans le cœur d’une femme,

Le suis-je pour  autant ne serait-ce que virtuellement !

En aucun cas,   car,  je  suis  un homme définitivement,

Et si je jouais une  femme, pour  moi ce serait  un drame

Mais la comprenant,  je   la   perçois  mieux, assurément !

.

Quand on dit «les  femmes»  que dit-on donc de commun !

Rien, chacune est liée à son destin chacune change le sien.

Au-delà de nos différences, voies corporelles et spirituelles,

Les différends qui nous unissent deviennent une querelle.

L’important n’est pas «les hommes  ceci, femmes, cela»

L’important c’est la rose malgré nombreuses épines ;

Si certains trouvent femmes, coquines, ou divines,

Regards croisés les font exister dans tous les cas.

.

Alors quand on dit « les femmes » que dit-on ?

On en a beaucoup dit puis, on en a rien dit.

Sont-elles un sexe, un rôle, ou, une valeur !

Sont-elles, en tout, différentes d’hommes !

Sont-elles ou son complément, continuité !

À vous seul, d’en juger, voire  d’en déjuger !

.

.

Extension

.

La chevelure est un symbole fort dans nombre de civilisations

Et cela  en référence à sa longueur mais tout autant à sa couleur,

Aujourd’hui, il règne, en Occident, une liberté de paraître affirmée.,

Chaque femme a la liberté de s’apprêter, coiffer comme elle souhaite.

On recense un nombre de looks du plus simple au plus excentrique.

 Ces différents styles de coiffure auront tous un même objectif :

Celui de refléter le caractère de la personne qui le porte.

 .

Les femmes se distingueront,

Par leurs tailles, formes, âges,

Sans parler de leur intelligence

Et d’un ersatz de leurs mystères

.

Mais cependant, aussi et autant,

Par leurs lumières, leurs couleurs

Et si certaines vivent dans l’ombre

D’autres éclatent par leur existence.

.

Un peu à la manière lampe abat-jour,

On enlève l’abat-jour et l’on est ébloui :

La couleur, de sombre, devient très clair,

En sa nudité, elle perdra tout d’ordinaire.

.

Il y a bien des couleurs qui s’harmonisent,

Autres qui sont contraire, qui se repoussent

Homme blanc, femme noire, ou le contraire,

Ne donnera pas pour autant un mariage gris

.

Manière de s’habiller en dit long sur leur goût

Vrai qu’il y en a qui s’enfiche ; autres, du tout

Ce n’est pas question d’argent : d’harmonies

Selon dont je m’habille, dira ce que je suis.

.

.

454 – Calligramme

.

Expression «les femmes» englobe toutes.

Si  elles étaient, pareilles, interchangeables,

Cela se saurait, cela se dirait………pratiquerait,

Je ne l’ai, nulle part constaté …..…..… j’en doute !

Il y a autant de différences entre……………. femmes

Qu’entre femme et homme, de…………..…….caractère,

Sans parler apparence, charme……….…..…….. physique,

Rôle social, marital et parfois …….…….….…………original !

Un homme peut se glisser……………..……………..dans la peau

D’une femme, en un rôle..….….…………..………réciproquement.

Certains seront capables…………………..…………ainsi de la décrire

Sans pour autant, la…….…….…….….……..……… vivre par le dedans.

Le mot « femme » est ……….……….…….…..……… un vrai mot «valise»

En laquelle, on y met………………………………………..tout ce que l’on veut.

Les femmes assument leur féminité

Sur quoi : naturelle, prise, imposée,

Par la religion, la culture, la société,

On est  en droit  de se  le demander.

Différence,  physique, c’est  certain :

Leur anatomie   L   nous cache rien ;

Différence   O   de rôle c’est sûr aussi,

La femme   R enfante, l’homme nenni.

Différence,   S     de valeur, en question,

Si l’on fait       Q   d’elle un sujet ou objet,

Sujet par union,    U        compagne de fait ;

Objet par domination,  ‘            ou prostitution.

De la plus féminine à la     O             masculine pure,

Où se situent les continuités N            *    et les ruptures :

Femme en corps d’homme  *      et             *  réciproquement

Homosexuelles, trans    D           sexuelles,         Q       ardemment !

Je peux dire écrire    I          des mots, gestes,        U         sentiments,

Me glissant dans   T          la peau,  dans le cœur      E       d’une femme,

Le suis-je pour    *           autant ne serait-ce que      *       virtuellement !

En aucun cas,   L           car,  je  suis  un homme      D       définitivement,

Et si je jouais   E          une   femme,   pour   moi     I   ce serait  un drame

Mais la com      S         prenant,  je   la   perçois     T   mieux, assurément !

Quand on dit     *       «les  femmes»  que dit-         on donc de commun !

Rien, chacune    F      est liée à son destin      O  chacune change le sien.

Au-delà de nos    E     différences, voies     N    corporelles, spirituelles,

Les différends qui   M    nous unissent  !     deviennent une querelle.

L‘important n’est pas  M  «les hommes  ceci et les femmes, cela»

L‘important c’est la rose  E  malgré     de nombreuses épines ;

Si certains trouvent femmes  S   coquines ou bien divines,

Regards croisés les font    exister      dans tous les cas.

Alors quand on dit : « les femmes », que dit-on ?

On en a beaucoup dit et puis, on en a rien dit.

Sont-elles un sexe, un rôle, ou, une valeur !

Sont-elles, en tout, différentes d’hommes !

Sont-elles ou son complément, continuité !

À vous seul, d’en juger, voire  d’en déjuger !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

464 4

.

Évocation

 .

Une forme de vase avec abat-jour,

Servant souvent lampe de chevet,

Associant couleur : blanc, vert, jaune.

 .

Le pied de lampe de chevet a parfois forme de vase

Ce qui la rapproche un tant soit peu corps féminin

L’abat-jour fournit une lumière douce et feutrée.

 .

Une lampe dans la pénombre

Ou en pleine lumière : diffère !

Mais si on utilise les variations

De couleurs, cela change tout.

 .

Symbolique   

 .

La lampe est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Celle qui éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

 .

La lanterne contient la lumière

Individuelle qui peut se transmettre.

Elle nous guide et peut guider les autres.

Lors si nous rêvons d’une lanterne, elle

Représente l’intelligence lumineuse

D’une personne précise.

Sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

Descriptif

 .

464 Lorsqu’on dit «les femmes» : que dit-on !

Alignement central / Titre analogue / Thème  identité

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : couleurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

464 6

.

Une lampe dans la pénombre

Ou en pleine lumière : diffère !

Mais si on utilise les variations

De couleurs, cela change tout.

Symbolique

 .

Lorsque le niveau lumineux est suffisant,

L’être humain  distingue  des couleurs,

Correspondant  à  toute répartition  des

Lumières qui lui parviennent, par vues.

.

La vision est  une perception complexe,

Et une activité cognitive, dans laquelle

Plusieurs aires cérébrales collaborent.

.

Mais la vision des couleurs  s’adapte

À l’éclairage ambiant de telle façon

À attribuer aux objets une couleur,

Et même si du fait des variations

De lumière, notre rétine  reçoit

Des rayonnements différents.

Modifié,  source : Wikipédia

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On pourrait rapporter ici nombre d’ouvrages

Sur couleur en général,  couleurs en particulier.

Chaque couleur a non seulement sa symbolique

Mais ses variations de perception par  chacun

Quand ce n’est pas entre diverses cultures

Sans compter des façons de les nommer

Et la matière qui la sous-tend ajoute

Influences,  exemple : la chevelure

En bougeant, crée interférences.

.

Une  lampe de chevet pour parler des femmes

Mais pas que celles qui ne sont  qu’à la maison,

D’autant plus qu’on insiste ici, sur les couleurs

On laissera le champ libre aux vers contraints

Néanmoins on ne peut prétendre que la forme

Correspondra, recouvrira, épousera le fond

Beaucoup plus coloré qu’il n’y … parait.

 .

Visuel

.

.

Tout un programme

.

Visuels et textuels >>

463 – L’ennui, avec femmes opportunes !

Visuels et textuels >> 

.

Toutes les femmes ne sont pas égales :

Cela tout le monde le sait, c’est normal.

Toutes les femmes ne me sont pas égales :

Cela n’est que valeur que s’attribue le mâle !

.

Si certaines femmes cachent leurs intentions

L’argent  ou le sexe    les intéressent, bien plus,

Que don d’elle-même   ou   engagement durable,

Pour satisfaire l’envie de tout : en sont capables,

.

Lors besoins de séduction des fois les aveuglent,

Tant elles ne se voient qu’au bras de plus beau

Ou du plus riche plus célèbre, dont on parle

Et elles vous quittent si votre cote baisse.

.

L’ennui avec les femmes  … opportunes,

C’est qu’elles veulent de suite la Lune

Pour allumer leur flamme, à la une,

Faut leur déclarer, avant, fortune.

.

Homme  dont toutes s’entichent,

Est à la fois beau, jeune, riche,

Si  ce n’est pas  une  célébrité

Pour se marier … si affinités.

.

Prête à se pendre  à vos pieds

Si ses caprices  vous comblez,

En fantasmes en cinémascope,

Ou en calcul de vraie  salope !

.

Qu’un  homme se présente, transparent,

Se portant garant de son amour attachant,

Ne l’intéresse pas,  même s’il est bon amant,

Elle ne prête l’oreille  qu’à sa bourse d’argent.

.

Peu vraisemblable  qu’elle se détachera  de lui,

Tant que satisfaction, son envie ne sera réussie,

Au point qu’elle devient aveugle et sourde, pour

Ce qui  ne concerne pas  reflets  de son  amour.

.

L’ennui  avec une telle femme, exigeante belle,

Elle l’est, c’est sûr, mais, n’est pas  pour vous.

L’ennui, avec une femme,  amante  rebelle,

Est qu’elle se vengera … un jour de vous.

.

Lors beautés, richesses intérieures, bien que connues vertus supérieures,

Se voient peu de l’extérieur, qui pourtant comblent et l’esprit et le cœur.

Vos yeux font que les choses sont belles, vœux les rendent immortelles :

L’ennui de ces femmes : aucune ne correspond à vos yeux vos vœux !

.

.

Extension

.

L’opportunité est, comme chacun sait,

Parfois une qualité,  parfois un défaut !

Mais ce n’est pas l’apanage des femmes

Les hommes aussi et même les enfants,

Opportunité, mais sans être opportun.

.

Savoir être opportune n’est pas forcément être opportuniste :

La première s’adapte à une situation qu’elle juge intéressante,

La seconde  tire parti de ce qui lui va sans le moindre scrupule.

En d’autre termes, égoïste mais pas que, égoïste à être cynique.

On parlera  en matière d’emploi, métier, de femmes carriéristes,

Et cela, presque normal, pour des hommes, motivés, volontaires.

Un poète ou une poétesse opportuniste, ça ressemble à oxymore !

.

Des femmes sont-elles plus opportunes que les hommes

On pourrait gloser la dessus à l’infini.

Des femmes tirent-elles partie de leurs charmes, carrière

On pourrait dire : pas vue, pas prise.

.

Des femmes seraient-elles moins égoïstes que les hommes

On les dit généreuses, voire sociales.

Des femmes s’intéressent à l’argent : truchement d’amour

En mariage trop vieux/trop jeune.

.

Voulez-vous que je fasse autre couplet ou bien ce refrain :

Hommes, femmes, en opportunités,

Se ressemblent, recherchent, même parfois, s’assemblent,

Il faudra, simplement, les voir venir.

.

.

463 – Calligramme

.

Toutes les femmes                         L                         ne sont pas égales :

Cela tout le monde                      ‘                       le sait, c’est normal.

Toutes les femmes                    E               ne me sont pas égales :

Cela n’est que valeur               N             que s’attribue le mâle !

Si certaines femmes              N        cachent leurs intentions

L’argent ou le sexe               U     les intéressent, bien plus,

Que don d’elle-même          I      ou engagement durable,

Pour satisfaire  leur envie  * de tout, en sont capables,

Lors besoins de séductions  *  des fois les aveuglent,

Tant elles ne se voient  A  qu’au bras de plus beau

Ou du plus riche  V  plus célèbre dont on parle

Et elles vous   E quittent si votre cote baisse.

L‘ennui      C  avec les femmes opportunes,

C’est  qu’elles  * veulent, de suite, la Lune

Pour allumer    L  leur flamme à la une,

Faut leur déclarer    E   avant fortune.

 L‘homme dont toutes   S  s’entichent,

Est à la fois beau, jeune  *    et riche,

Si ce n’est pas une         F    célébrité

Pour se marier si         E      affinités.

Prête à se pendre      M      à vos pieds

Si ses caprices        M     vous comblez,

En fantasmes        E     en cinémascope,

Ou en calcul        S          de vraie  salope !

Qu’un   *    homme se présente, transparent,

Se portant    O   garant de son amour attachant,

Ne l’intéresse pas,    P       même s’il est bon amant,

Elle ne prête l’oreille qu’    P        à sa bourse d’argent.

Peu vraisemblable  qu’elle se     O         détachera  de lui,

Tant que satisfaction, son envie        R       ne sera réussie,

Au point qu’elle devient aveugle et       T      sourde, pour

Ce qui ne concerne pas reflets de son        U       amour.

L‘ennui avec une telle femme, exigeante    N    belle,

Elle l’est, c’est sûr, mais, n’est pas  pour  E    vous.

L‘ennui, avec une femme, amante   S   rebelle,

Est qu’elle se vengera … un jour  * de vous.

.

Lors beautés, richesses intérieures, bien que connues vertus supérieures,

Se voient peu de l’extérieur, qui pourtant comblent et l’esprit et le cœur.

Vos yeux font que les choses sont belles, vœux les rendent immortelles :

L’ennui de ces femmes : aucune ne correspond à vos yeux vos vœux !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

463 4

.

Évocation

 .

Une poterie en  terre, 

Des    plus   simples    et

Des  plus  opportunes

 .

Les formes d’une poterie sont mises en avant

Pour plaire et pour tirer le maximum d’intérêts

Mais à l’intérieur ce n’est que le plein d’égoïsme.

 .

Une belle poterie des plus potelées s’il en est

Et qui trône sur un socle

Attendant qu’on la décore  bouquet de fleurs

Estimant l’avoir mérité.

 .

Symbolique    

 .

Bien que des poteries

Soient restées naturelles,

Il est fréquent de les trouver

Décorées de motifs géométriques.

.

Les motifs sont produits par l’ajout,

Partiel ou total, d’un émail pour

Les poteries, dites vernissées.

.

Le  motif  peut  être  exécuté

Par  un procédé mécanique,

Scarification ou gravure de

La surface ou bien par une

Réaction chimique après

Un  bon masquage de

Certaines parties.

.

Descriptif

 .

463L’ennui, avec les femmes opportunes !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  cerveau

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : poteries / Symbole de fond : opportunes

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

La simplicité et la modestie ne sont pas

 Des vertus si communes :

De briller en société, on est femme creuse

ou bien plus opportune.

 Symbolique

 

Combien de femmes, étant opportunistes,

Se retrouvent là où leur intérêt est assuré

Dès que nouvelle opportunité d’avancer,

En la vie se présente : elles la saisissent.

.

C’est fort bien, d’évoluer, vite, en sa vie,

Mais le danger, parfois, est de prendre

Chemins tortueux pour gravir échelons

Et penser que c’est de l’opportunisme !

Source : marsialbenissan.overblog.com

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quand on est trop opportuniste, cela se lit

Sur son Curriculum vitae bien trop chargé

À moins qu’on passe un instable, fumiste,

Et ne jamais bouger, refuser toute offre

Fait de vous un être de peu de mobilité :

Il y aura comme un équilibre à trouver

Comme quelque chose de bien motivé !

.

Pour sûr, une forme des plus féminines

En tous cas, question bassin et poitrine,

Et en plus il se trouve que tout cela rime

Avec ses envies et ses querelles intestines

Cela dit, opportune peut-être mais un pot,

Non quand même, ça  ne se confond pas,

Aucune femme n’est cruche à ce point là.

 .

Visuel

.

.

Femme opportune !

.

Visuels et textuels >>

462 – Une femme dira : oui, non, peut-être

Visuels et textuels >>   

.

C’est oui …  c’est non …    c’est peut-être

Comme la simple trilogie des réponses,

Et   à   toutes  vos  demandes,  express,

En vue de s’approcher de leurs fesses.

Souvent femme varie, selon le dicton.

.

Un « non »  timide hésitant … ému,

Peut signifier un «oui » inconscient,

À  traduire : demain,  une autre fois.

Un non qu’elle  répètera … trois fois,

Vous  laissera, sur le champ, pantois.

Je t’aime,  oui,  mais  comme  ça, non,

Le tout dans même phrase, expression.

Une femme ne dira jamais : oui, à tout,

Mais insistant, parfois, ne dit pas non.

Pour vous laisser  entrevoir  un espoir,

Non garanti, pour quelque lendemain.

.

Quand une femme  vous aura dit « oui »

Pour demain ou bien pour aujourd’hui

Ne lui reposez  plus une telle question :

Prenez alors le rendez-vous sans façon.

Quand une femme vous aura dit « non »,

C’est, certainement, pour bonne raison

Et qui doit la contraindre sur le… fond,

Ou suite à ses principes même abscons.

.

Qu’elle dise  d’abord  « oui » puis « non »,

Qu’elle dise, d’abord « non » puis « oui »

Change d’avis puis   se contredit,

C’est qu’elle résiste à l’abandon.

Et si elle vous  a dit « peut-être »

Cela signifiera ni oui, ni non « 

Tout en jouissant du bien-être

Du passage d’amitié à passion.

.

Si elle vous dit  « non », deux fois :

Ça devient un  problème rémanent,

Si elle vous dit : »non » par trois fois

Ça devient un problème récurrent,

Si elle affirme   ne rien promettre,

Par peur de se tromper d’amant,

C’est qu’elle hésite, et justement,

À s’engager  et  à se commettre.

Il ne reste plus  que les sourds,

Les tenaces, aveugles d’amour

Pour qui c’est juste partie remise,

Il leur suffit d’attendre heure promise.

Qui sait où est tribord  et où est bâbord,

L’amour se pourrait-il commencer à tort !

Lors une femme se montrera à vous retors,

Prendre son temps … faire la cour d’abord.

.

Oui, non, peut-être… il faut voir … jamais,

Réponses ne sont pas  toutes engageantes,

Pour simple demande, voire à une avance.

Homme : oui, c’est oui, et, non, c’est non !

Pas pour toutes femmes et qui les croient.

Oui, c’est peut-être et non, pourquoi pas.

L’amour se pourrait-il commencer à tort

Si une femme se montre, à vous, retors.

.

.

Extensions

.

Il faut tordre le cou à une fausse représentation de la femme

Qui prétend qu’elle est tout sauf rationnelle, constante, décidée

Et celle qui consiste à croire qu’elle vous dit oui quand c’est non.

.

On comprend que «peut-être» évoque un espoir au milieu du gué,

C’est une manière qu’aurait trouvé la femme pour…changer d’avis,

Sans trahir sa parole donnée, sans trop se précipiter, sans abdiquer.

.

On acceptera mieux un non qui se transforme en oui que le contraire.

Peut-être qu’au lieu de répondre non, il faut dire jamais, pour refuser.

Arrive aussi qu’il n’y a pas de réponse, silence complet : qu’en penser !

.

Nous y voilà bien dans un malentendu

D’interprétations fausses, il en est cousu.

.

C’est une histoire d’homme, extraordinaire,

Oui et non, pour lui, est comme lui, binaire.

.

Il pense que la femme  est souvent ternaire :

Elle dit non peut-être, elle pense le contraire.

.

Réveillez-vous, pour nombre de femme aussi,

Non c’est non et par conséquent, oui c’est oui.

.

Mais alors,  comment interpréter  ses silences :

Ce ne sera que partie remise : oui d’ignorance !

.

J’ai entendu certains, dire : elle ne le sait encore,

Mais moi je le vois …c’est juste qu’elle, n’ose pas.

.

Si ce n’est pas là, projection sur un malentendu,

Alors même qu’à sens unique, et rien d’entendu.

.

.

462 – Calligramme 

.

C’est oui …          c’est non …            c’est peut-être

Comme la simple     F      trilogie des réponses,

Et   à   toutes  vos     E     demandes,  express,

En vue de s’appro   M   cher de leurs fesses.

Souvent femme va  M  rie, selon le dicton.

Un « non »  timide   E     hésitant … ému,

Peut signifier un        *    oui inconscient,

À  traduire : demain  D   une autre fois.

Un non qu’elle  répè   I      tera trois fois

Vous laissera, sur le   R champ pantois.

Je t’aime, oui, mais   A  comme ça non,

Le tout dans même phrase, expression.

Une femme ne dira jamais : oui, à tout,

Mais insistant, parfois, ne dit pas non.

Pour vous laisser  entrevoir  un espoir,

Non garanti, pour quelque lendemain.

Quand une femme  vous aura dit « oui »

Pour demain ou bien pour aujourd’hui

Ne lui reposez  plus une telle question :

Prenez alors le rendez-vous sans façon.

Quand une femme vous aura dit « non »,

C’est, certainement, pour bonne raison

Et qui doit la contraindre sur le… fond,

Ou suite à ses principes même abscons.

Qu’elle dise  d’abord  « oui » puis « non »,

Qu’elle dise, d’abord  « non » puis « oui »

Change d’avis puis     O  se contredit,

C’est qu’elle résiste  U    à l’abandon.

Et si elle vous        I  a dit « peut-être »

Cela signifiera     *    « ni oui, ni non « 

Tout en jouis       N sant du bien-être

Du passage         O  amitié à passion

Si elle vous dit   N   non, deux fois :

Ça devient  un  problème rémanent,

Si elle vous dit : « non » par trois fois,

Ça devient un problème … récurrent,

Si elle affirme    P    ne rien promettre

Par peur de se    E    tromper d’amant,

C’est qu’elle        U     hésite, justement,

À s’engager          T          à se commettre.

Il ne reste plus                  que les sourds,

Les tenaces           Ê       aveugles d’amour

Pour qui c’est         T    juste partie remise,

Il leur suffit d’atten  R   dre heure promise.

Qui sait où est tribord  E   et où est bâbord,

L’amour se pourrait-il  commencer, à tort !

Lors une femme se montrera à vous retors,

Prendre son temps … faire la cour d’abord.

Oui, non, peut-être… il faut voir … jamais,

Réponses ne sont pas  toutes engageantes,

Pour simple demande, voire à une avance.

Homme : oui, c’est oui, et, non, c’est non !

Pas pour toutes femmes et qui les croient.

Oui, c’est peut-être et non, pourquoi pas.

L’amour se pourrait-il commencer à tort

Si une femme se montre, à vous, retors.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

462 4

.

Évocation

 .

Un vase haut en couleurs

 Un détecteur  de ses valeurs,

Sinon voire de ses humeurs ?

.

Toute femme peut, bien vite, changer

Les couleurs de ses humeurs

Plus vite qu’un homme étant toujours

 Actif et plein d’ardeur.

 .

Symbolique    

 .

La couleur est

Une notion subjective.

Ce qui évoque une sensation

Pour moi en évoquera une

Différente pour une autre

Personne, parfois pour

Raisons de préférences

Personnelles, ou des

Raisons culturelles

Cameron Chapman.

 

Quelle couleur bonheur ?

Orange : Énergie, Bonheur, Vitalité.

Jaune : Bonheur,  Espoir,  Tromperie.

Bleu : Calme,   Responsabilité,  Tristesse.

Vert : Commencement, Abondance, Nature.

 .

Descriptif

 .

462 – Une femme dira : oui, non, peut-être !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  cerveau

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : couleurs / Symbole de fond : humeurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

462 6

.

Toute femme peut, bien vite, changer

Les couleurs de ses humeurs

Plus vite qu’un homme étant toujours

 Actif et plein d’ardeur.

 .

Symbolique 

 .

Dans la course à l’égalité avec l’homme,

Nous oublions le corps féminin. Avec ses cycles.

Beaucoup de femmes se détestent et se sentent coupables

Parce qu’elles sont régulièrement déprimées, irritables, ballonnées.

.

La mesure féminine du temps est différente de celle de l’homme ;

L’homme suit un rythme solaire, alors que la femme vit

Au rythme de la lune. D’où des variations

Ou stabilités d’humeurs différentes.

Modifié et mis en forme, source :

lepalaissavant.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les humeurs sont proches des émotions et des affects

Les affects constituent l’ensemble, au sens large,

Des sentiments qu’un individu éprouve. 

Les émotions constituent  des impressions générées

 Puis dirigé vers quelque chose ou quelqu’un. 

.

Les humeurs  constituent des sentiments

Bien moins intense que les émotions 

Dénué de stimulus contextuel

Durant un bon moment.

.

La forme de l’objet d’approche de celle du poème

Mais, pour autant, ne couvre  pas tout le fond :

Les humeurs ne sont pas que celles de femmes

Variations les font, tantôt libres, contraintes,

Et couleurs peuvent changer à tout instant.

 .

Visuel

.

.

 Comme aux dés en somme  

.

Visuels et textuels >> 

 

461 – Chasser doute, ne plus penser instant

Visuels et textuels >> 

.

Ce qui semblait acquis,

Qui semblait progresser,

Ne l’est pas,    ne l’est plus.

Persévérer quoi qu’il en coûte

Si l’amour est en bout de route,

En prenant le temps de l’écoute,

Vous donnera espoir d’y arriver !

Quand l’amour  s’éprend de vous,

S’il disparait dès moindre doute,

C’est qu’il n’est pas, sûr, encore,

Ça n’empêche profiter instant.

.

Si le corps  désire, très fort,

Met,  l’esprit,  en déroute,

Garder   distance  dehors

Ferait consumer dedans.

Pour chasser tout doute,

Ne plus penser  l’instant,

Il faut prendre  le temps,

D’être présent, à l’écoute.

.

Faut pendant longtemps,

S’aimer à  chaque instant,

Quoiqu’il  nous  en coûte,

Et suivre  sa propre route

Quand  l’amour s’éprend,

Touchant  fonds  d’océan.

Il faut les  combler toutes

Nos belles  idées de route,

Car consommer le dedans

Comme le dehors dépend

Du fruit que l’on veloute,

Nourritures qu’on goûte.

Consommés énergisant

Autant après qu’avant,

Met âmes  en voûtes,

Néants en déroute !

.

Pour l’autre,  autant,

Partager  cet instant,

Faut prendre le temps,

Pour en être bon aimant.

Aimant qui nous surprend

De nos yeux d’étonnement

Par courants  qui   passent,

Dès qu’ils  nous enlacent

Sur grand  tapis volant,

Monté au firmament,

Si Dieu  nous envie

Humains en folies.

L’instant d’avant,

Tout   est    ravi,

Instant  après,

Tout est fini

On en rit :

Pleure :

Meurt

Si

.

.

Extension

.

Ravi, fini, endormi : le cycle même

D’une énergie temporaire qui n’a rien

De si extraordinaire pour tant s’épuiser

À faire l’amour, comme  singes Bonobos,

Nous épuiseraient et sans pour autant

Davantage vraiment nous satisfaire.

Ne plus penser l’instant, chassant

Tout doute, et lors  en se disant :

.

«C’est toujours ça, c’est toujours

Autant de pris, la vie n’évolue pas vite

Que faire l’amour n’aura, un jour à venir,

Plus de prix, tant il nous manquerait,

Tant on ne pourrait s’en passer».

.

Instinct reproduction, instinct sexuel

L’emportent sur tout autre comportement

Et il y a peu de différence sur ce plan entre

Un homme sauvage et un homme civilisé

Et même les sociétés les plus restrictives

Ont toutes à cœur de profiter et à plein

De ces instants quitte à les multiplier

Sans l’avouer,  de manière quelque

Peu hypocrite, sous le manteau.

.

 Tu doutes de moi, je doute de toi, nous doutons de nous…

Une pensée, un fait, une incertitude, aura rompu la confiance

Ou, de manière simple ou commune, la fin d’un cycle amoureux,

Qui nécessite de se reposer une question telle que «je l’aime encore

Autant de la même manière qu’avant, différemment, plus du tout» ?

De remettre les choses à plat n’aurait pas beaucoup de sens en amour,

Mais en parler de certaines  pour trouver la nouvelle vision commune,

Est de nature thérapeutique dans bon nombre de conflits, désamorce

Nombre de fausses visions, interprétations, projections réciproques.

.

Le doute en amour peut être bénéfique,

Mais s’il ne l’est pas, peut être tragique.

.

Je doute de moi, doute de lui, de l’amour,

On n’ira pas loin ainsi, on va dans un four.

.

Le doute est comme une épée de Damoclès,

Qui tomberait sur votre tête s’il vous laisse.

.

Enfin, je dis «il», je peux autant dire «elle»

D’aronde fidèle, elle peut devenir hirondelle.

.

 Douter de l’autre n’est pas douter que ça dure,

Douter dans le temps n’est pas en instant pur.

.

Pour finir, tout le monde douterait de l’amour,

Et pourtant personne ne songe à s’en délivrer !

.

.

Épilogue

.

Rien n’est moins indispensable que l’amour :

On peut mourir de faim mais aussi d’amour !

.

Essentiel n’est pas de le trouver, de le garder :

Juste de savoir qu’il reste vrai, pur, et comblé

.

Pour ce, il est nécessaire de le mettre en doute

Mais pas tous les jours utile changer de route.

.

Un instant doute m’a traversé, il m’a trompée :

Dois-je lui faire confiance, voire lui pardonner.

.

Toute confiance aveugle ne mènerait nulle part :

Tout doute systématique mènerait à son départ.

.

Amour est comme la mort, menacé par une épée

De Damoclès sur nos têtes, par un fil ténu, caché.

.

Je doute d’être meilleur que tout autre et en tout,

Un premier pas contre la tolérance, dévorant tout.

.

Le respect, l’ouverture, l’écoute, la compréhension

N’effacerait pas le doute, il le met juste en tension.

.

Quand on est passionnément, follement amoureux,

On ne doute de rien, l’on chasse tous les ténébreux.

.

Vaut bien mieux pourtant douter avant le mariage,

Qu’après, tant moindre doute peut faire un ravage.

.

S’il est vrai qu’un doute s’opposera à une certitude

En amour, cette dernière, n’existe pas, elle s’élude !

.

Celui qui ne profère de doutes est, d’avance, perdant

Mais celui qui n’a que des doutes le sera tout autant.

.

.

461 – Calligramme

.

Ce qui semblait acquis,

Qui semblait progresser,

Ne l’est pas,    ne l’est plus.

Persévérer quoi qu’il en coûte

Si l’amour est en bout de route,

En prenant le temps de l’écoute,

Vous donnera espoir d’y arriver !

Quand l’amour  s’éprend de vous,

S’il disparait dès moindre doute,

C’est qu’il n’est pas, sûr, encore,

Ça n’empêche profiter instant.

.

**************************

.

Si le corps  désire, très fort,

Met,  l’esprit,  en déroute,

Garder   distance  dehors

Ferait consumer dedans.

Pour chasser tout doute,

Ne plus penser  l’instant,

Il faut prendre  le temps,

D’être présent, à l’écoute.

Faut pen  dant longtemps,

S’aimer à      chaque instant,

Quoiqu’il     *      nous en coûte,

Et suivre         *        sa propre route

Quand l’a     C     *   N       mour s’éprend,

Touchant       H                       fonds d’océan.

Il faut les        A                          *        combler toutes

Nos belles       S                               P       idées de route,

Car consom    S                                      A       mer le dedans

Comme le de  E                                     S          hors dépend

Du fruit que    R                                  *           l’on veloute,

Nourritures      *                                 P        qu’on goûte.

Consommés     L                             E            énergisant

Autant après    E                          N             qu’avant,

Met âmes           *                       S            en voûtes,

Néants  en         D                 E              déroute !

Pour l’autre,      O              R                 autant,

Partager  cet      U           *                 instant,

Faut prendre     T       L               le temps,

Pour en être      E             bon aimant.

Aimant qui        *   I    nous surprend

De nos yeux          d’étonnement

Par courants    S    qui   passent,

Dès qu’ils      T nous enlacent

Sur grand   A   tapis volant,

Monté au N   firmament,

Si Dieu   T   nous envie

Humains  en    folies.

L’instant   d’avant,

Tout est        ravi,

Instant  après,

Tout est fini

On en rit :

Pleure :

Meurt

Si

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

461 4

.

Évocation

.

Pendentif féminin,

Une pointe   d’épée,

Ou une pointe de lance, 

Et sans le moindre doute.

Cela ressemble à une épée de Damoclès

Étant  prête à tomber

Sur la tête de tout homme, toute femme,

 Qui doute de l’amour

 .

Symbolique 

.

Denys l’ancien,

Tyran Syracuse,

Vivait  en château

Cerné  de   fosse   et

Sans cesse sous bonne

Surveillance de gardes.

Il évoluait alors au milieu

De courtisans   qui  devaient

Le flatter, devaient le rassurer.

Parmi eux Damoclès ne cessait

De le faire sur la chance qu’il

Avait  d’être  roi : agacé, il

Lui proposa  de prendre

Sa place  une journée

Au milieu du festin,

Damoclès leva la

Tête, aperçut

Belle épée

Attachée

Dessus

Lui

Accrochée par un crin de cheval,

Mais d’autres disent par le tyran !

.

Descriptif

.

461Chasser le doute : ne pas penser l’instant

Alignement central / Titre en pointe / Thème  cerveau

Forme triangle / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : épée / Symbole de fond : douter

.

.

Fond

.

Évocation 

.

461 6

.

Le doigt sur les lèvres et la main sur le menton :

Pas de doute, y a quelqu’une qui doute

Sinon de lui, de l’autre, de profondeur d’amour

Mais qui a tort, raison, que dire, faire ?

 .

 Symbolique

 .

Vulnérable est l’homme

Et vulnérable il demeurera.

Notre capacité à douter devient

Dès lors, une quête, celle d’un Graal,

Laissant une grande part à l’incertitude

Source de remise en question permanente.

.

Doute devient réflexion, la tolérance devient

Source de bonheur et le respect de l’autre

Un hymne à l’altérité : doute redonne

Ainsi  toute sa place à l’humilité.

intime-fraternite-tulle.com

.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pas de doute, une pointe, flèche, lance

Qui rime avec pénétration, sans doute,

Bien que très pointue et très profonde

Et cela bien que le fond de l’instant,

Ne s’accorde pas  avec la forme,

Car la flèche ne réfléchit pas

Elle trace vers sa cible

Et n’a de cesse

Que but

V

.

Visuel

.

.

Un coté qui croit, autre qui doute

.

Visuels et textuels >> 

460 – Lors mes mains caressent tes seins

Visuels et textuels >>

.

Tandis que   mes mains caressent

Croyez-vous que vos seins attirent,

Croyez-vous que vos reins soupirent

Et vos fesses   riment  avec tendresse.

Toutes ces formes, toutes ces caresses,

Ne seront que préludes préliminaires

Aux  explorations  des  plus  intimes

Qui n’ont d’autre but qu’orgasmes.

Pourquoi serait-ce passage obligé

Animaux se font la cour, certes,

Mais, très peu préliminaires :

Droit au but  sans fantasmes.

Les animaux  n’ont pas mains,

Sauf singes qui  nous ressemblent

Les animaux n’ont pas de seins

Perçus zones sensuelles !

.

Ma lèvre effleure

La peau de tes reins,

Je sens que tes pleurs

Se mêleront aux   miens,

Moments   de   bonheurs,

Imparfaits   …   humains.

Jusqu’à t’en …  abstraire

Pour l’instant  et l’heure

Tu ne penses  à demain.

Jusqu’à pour me plaire,

Tu te détends toute nue

Sur notre lit de vapeur,

Et je pénètre ton corps

D’un désir au plus fort

Jusqu’à manque d’air,

Voilà que  je te pétris,

Comme  du bon pain

Tes fesses  à  masser,

Pour  te  réchauffer.

Jusqu’à : liber-taire,

J’écarte  tes  cuisses,

Afin que … je puisse

Entrer, que je glisse,

Que je  t’emboutisse.

Jusqu’à jambe de fer

D’un membre…érigé

Tu accuses les coups

À t’en rompre le cou

À nous … déhancher

Jusqu’à partenaires,

L’on s’envoie en l’air

.

D’une lente  et  une  courbe  ascension,

Jusqu’à   atteindre  orgasme  planétaire

Du désir  réveillant  encore  les  plaisirs,

Invitation,  voyage  textuel,  sans  nom !

.

.

Extension

.

                  Aucune description ni aucune vision,

                  Aucune démonstration acte sexuel humain

                  Ne peut jamais remplacer sa propre exécution .

.

                  On peut le faire, mal,  faire, moyen ou faire bien,

                  Selon soi-même, ses goûts, ses désirs, partenaire,

                  Ce dernier attendant autre chose pour se satisfaire.

.

                «C’était comment, dis-moi, sois franche, c’était bien»,

                  Demande amant avec femme qu’il ne connait pas bien,

                  Intention, attention, intromission, n’y suffiraient pas

                  À procurer de précieuses indications au partenaire

                  Qui y répond ou non, qui s’éclate ou se morfond.

.

                  La mesure de l’attente, fantasmée, est la jauge

                  De l’effet récolté et il arrive parfois qu’il est

                  Terriblement tronqué par la précipitation

                  À en venir au bout le plus tôt possible !

.

Qu’y a-t-il à rajouter : attardons-nous aux deux silhouettes.

Il y a deux manières de les percevoir mais l’une s’imposera,

En première vue, à votre esprit alors qu’elles sont inverses !

Mais l’important n’est pas tant qu’on renverse deux formes

Qu’au fond, les caresses soient identiques lors tendresses !

 .

Imaginer, voir, toucher, caresser, masser seins

Autant sensations autant émotions, l’air serein !

.

Des femmes les exhibent, lors d’autres les cachent,

Des hommes les ignorent lors d’autres s’y attachent.

.

Ni trop pointus, trop flasques ni trop petits, trop gros,

Juste comme il faut, d’en rajouter, n’en faut point trop.

.

Le soutien-gorge, soutient, chacun sait, ce qu’il avance,

Il ne manque pas d’argument quand il fait une avance !

.

Son rôle est de tout temps, en premier lieu, de protéger

Mais aujourd’hui, il a rajouté son pouvoir de suggérer !

.

La vue plongeante au balcon, comme celle de l’escalier,

En montant derrière, profite déjà de sa belle dulcinée.

.

Un bilboquet avez-vous dit est mieux qu’un diabolo,

Que ferez- vous de cos mains s’il n’y a pas de lolos !

.

.

460 – Calligramme

.

Tandis que   mes mains    L    C caressent

Croyez-vous que vos seins O   A    attirent,

Croyez-vous que vos reins R    R  soupirent

Et vos fesses riment avec   S       E   tendresse.

Toutes ces formes, toutes Q            S   ces caresses,

Ne seront que préludes  U                 S  préliminaires

Aux explorations des   E                      E     plus intimes

Qui n’ont d’autre but   *                        N    qu’orgasmes.

Pourquoi serait-ce  M                           T   passage obligé

Animaux se font    E                             *     la cour, certes,

Mais, très peu      S                           T      préliminaires :

Droit au but       *                          E    sans fantasmes.

Les animaux   M                       S    n’ont pas mains,

Sauf singes qui  A                 * nous ressemblent

Les animaux n’ I               S   ont pas de seins

Perçus zones    N          E         sensuelles !

Ma lèvre       S       I        effleure

La peau de    *   N     tes reins,

Je sens que   *  S   tes pleurs

Se mêleront      aux   miens,

Moments   de     bonheurs,

Imparfaits   …   humains.

Jusqu’à t’en …  abstraire

Pour l’instant  et l’heure

Tu ne penses à demain.

Jusqu’à pour me plaire,

Tu te détends toute nue

Sur notre lit de vapeur,

Et je pénètre ton corps

D’un désir au plus fort

Jusqu’à manque d’air,

Voilà que  je te pétris,

Comme  du bon pain

Tes fesses  à  masser,

Pour  te  réchauffer.

Jusqu’à : liber-taire,

J’écarte  tes  cuisses,

Afin que … je puisse

Entrer, que je glisse,

Que je  t’emboutisse.

Jusqu’à jambe de fer

D’un membre…érigé

Tu accuses les coups

À t’en rompre le cou

À nous … déhancher

Jusqu’à partenaires,

L’on s’envoie en l’air

.

D’une lente  et  une  courbe  ascension,

Jusqu’à   atteindre  orgasme  planétaire

Du désir  réveillant  encore  les  plaisirs,

Invitation,  voyage  textuel,  sans  nom !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

460 4

.

Évocation

.

Un pied et quille en bas,

Mais  une boule en haut :

Un bilboquet  … d’amour

Ou mannequin d’amour.

.

Rien à voir a priori entre un bilboquet et amour

Encore que certains y verront un exercice sexuel,

La boule étant creuse pour accueillir un bon pieu.

.

Je ne sais si c’est simple de compter

 Ses réussites aux bilboquets

Ou ses réussites dans les séductions

Et conclusions de l’amour ?

 .

 Symbolique

 .

L’origine du jeu

De bilboquet est assez obscure.

Certaines sources disent qu’il serait

Apparu pour la première fois

En France, à la fin du xvie siècle.

.

Mais les vêtements des plus

Anciennes gravures

Montrant des joueurs

De bilboquet sont du XVIIe siècle.

.

Le mot a une étymologie contestée.

Inventé en France, au XVIe siècle,

On fait mention du mot bille

Boucquet venant de

Bouquer (« encorner »,

Comme le fait un bouc).

Wikipédia : bilboquet

.

Descriptif

.

459Pourquoi l’amour, secrètement las  

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  sexualité

Forme courbe droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : bilboquet / Symbole de fond : amour

.

.

Fond

.

Évocation 

.

460 6

.

Un mannequin en lieu et substitution de femme

Ou une femme qui lui ressemble

Donne-t-elle vraiment désir d’amour irrésistible

Qu’il nous soit donné d’en douter !

 .

Symbolique 

 .

Oubliés, sérénades au clair de lune ;

Finis, drague ringard, baratins tout faits.

Le tape-à-l’œil, l’esbroufe, c’est terminé:

Marivaudage nouveau est de retour.

.

L’amour est plus que de…saison.

Corps se dénudent et s’exhibent,

La triste chair de

L’hiver prend des

Couleurs d’épices

Sous  beau  soleil.

Reste à trouver le

 Compagnon de jeu,

Ou la copine de plage.

Source : lexpresse.fr séduction

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Objet, complément d’objet : où est l’amour

Qui est sujet, relation tendresse, de toujours :

Sommer la femme de s’exécuter et consommer,

Passivement n’est jamais autre que consommer

Un plaisir que l’on sait n’être pas bien  partagé.

.

Il n’y a rien de commun entre bilboquet et sein

Et c’est pareil entre  un bilboquet et l’amour,

Si les mains, caressent les seins, de concert

À quoi bon plaisir si à rien d’autre ne sert

Le fond alors tourne le dos et le visage

À la forme de tous les seins féminins

C’est juste une rime de travers

Qui pointe dans une boule

Attachée à son pieu !

 .

Visuel

.

.

Mes mains sur tes seins

.

Visuels et textuels >>

459 – Pourquoi amour, secrètement las

Visuels et textuels >>

.

Lors l’amour n’est plus là,

C’est qu’il est secrètement las,

Qu’il nous rend…  comme absent,

Si l’on en rêve durant trop longtemps.

Bien de trop peu ou  pas de prétendant,

Quand un seul,  le bon,  est  l’important

Comment  l’atteindre,  comment  savoir

Et, déjà, le  dépeindre, déjà, apercevoir.

Ça peut être toi ou lui, je ne le sais pas.

.

Du moins pas  fort de l’aimer.

Sur impossible, cœur serait bloqué

Au point qu’en aucune personne,

Je me reconnaitrais plus.

.

Pourquoi l’amour, secrètement las,

Se révèle  là  où, on ne l’attend pas ;

Pourquoi les nuits où  je rêve de toi,

Chaque fois, tu  te  confonds  en moi,

Mille  précautions  pour  trouver l’élu,

Valent mieux que d’ardents tourbillons

Du lendemain  où  me  retrouve, et nue,

Même s’il vaut mieux se donner à fond

Que de, sans  cesse tourner  et en rond,

Et à chaque  sortie,  à chaque occasion

Moi, qui ne suis rien autre que femme,

Perdue  en  moi-même,  hors   extase,

Moi qui ne  suis rien qu’une flamme

Cachée dans l’ombre qui l’embrase,

J’attends avec beaucoup d’émotion

L’homme qui fera son  apparition,

Trouvera  visage  beau   assombri,

Duquel sort, enfin, un énorme cri

D’amour qui ferait cesser l’ennui.

.

Tout comme les jours se suivent,

Et ne se ressemblent pas,

Hommes et femmes… s’enfuient,

Au premier faux pas !

Ne voilà-t-il pas, divine surprise,

Qu’un bel inconnu,

De mon attrait, à maintes reprises,

S’en trouve ému !

Voilà qu’entre lui-moi se noue

Bel acte de foi,

Preuve qu’il est aussi fou

Que … moi !

Lors il s’en apercevra, pour lui, déjà trop tard,

Pour se retirer de moi, dire, ne plus m’aimer !

.

.

Extensions

.

             L’amour, secrètement las,

             Est une cendre couvant sous braise,

             Prête à s’enflammer, moindre comburant,

             Pour peu qu’elle trouve carburant qui convienne

             Comme amant : feu ne peut jaillir que de frottements,

             Et ce feu ne pourra s’éteindre que d’un long effritement,

             Entre deux, il y a comme un frètement, un prix à payer

             De sa personne, et cela même quand il s’agit d’un don,

             Ou qu’il s’abandonne : lorsque l’acte est consommé,

             Il est beaucoup trop tard pour s’en …  désengager.

             Il est beaucoup trop tard pour ne… plus payer,

             Il est beaucoup trop tard pour y … renoncer,

             Amour se rend, pour finir, tout à fait, las,

             Amour n’est plus, tout à fait, ici ni là,

             Amour est comme devenu hors loi

             En attendant qu’un … miracle

             Se produise ou renoncement.

.

L’amour est là, l’amour est las ; l’amour est pas là, l’amour est pas las :

Des déclinaisons identiques phonétiquement bien que contradictoires

Mon amant ne vient pas, ne viendra pas, il n’est pas venu, c’est foutu

Tant il n’est pire humiliation qu’attendre en faisant le pied de grue !

Une aventure, débutée sur chapeaux de roues, se termine en butoir

Tel rendez-vous, manqué, certaines pardonnent, et d’autres, pas !

.

Le désir et le plaisir s’émoussent, las,

Dans leur ronde circulaire

Et bien plus s’ils ne se renouvèlent pas

Changeant de lit ou d’air !

.

J’ai beau écrire, téléphoner,  passer voir,

Il ne répond, ne vient pas

Pourtant, je le sens  attiré  par  mes seins,

Par mon buste, ma poitrine.

.

C’est cela qui, de jour en jour, me chagrine

Attendre, de lui, un mot, geste,

Ce qui me comble le plus serait sa présence

Tant me morfonds de son absence.

.

Je le revois encore caressant mes seins

Puis poursuivre sur tout mon corps

Je suis las de moi, de lui, de tout

Je vais écrire un mot d’adieu.

.

.

Épilogue

.

Il n’est pas là, j’en suis las : homophonie.

Toute lassitude tiendrait-elle d’exactitude.

« Je suis las de vous et lors je suis las de tout »

Peut être début, rupture, dépression d’amour.

.

Lassitude évoque fatigue tout autant qu’attente

Femme gonfle poitrine, seins, en profond soupir

Il n’y a plus rien qui tient, plus rien qui l’attire,

Pourtant rechercher l’élu, elle continue, tente.

.

Si son cœur battra toujours dans sa poitrine

Et si son souffle parvient à soulever ses seins,

Son parcours de vie, destinée, la chagrinent :

Qui sait si elle est venue sur Terre, pour rien.

.

Tout est illusion, prothèse, pathétique, virtuel

Tout ce qu’elle veut n’est autre que mari… réel

Une telle quête ne  pourra durer, être éternelle

Un jour, elle jettera l’éponge : la vie est cruelle.

.

Telle lassitude de quête atteint couple établis :

Au bout d’un certain temps, ou au fond du lit,

Se trament et se tissent des vêtements d’ennui

Qui font de lassitude une cape de jour en nuit.

.

.

459 – Calligramme

.

Lors l’amour n’est plus là,

C’est qu’il est secrètement las,

Qu’il nous rend…  comme absent,

   Si l’on en rêve  durant  trop longtemps.

Trop peu  ô   ou   pas  de  ô prétendant,

Quand un seul  et  //  le bon est l’important

Comment l’atte  //   indre  comment savoir

Et, déjà  le dé //  peindre déjà apercevoir.

Ça peut être  toi  ou lui, je ne le sais pas.

Du moins pas  ==== fort de l’aimer.

Sur impossible, cœur serait bloqué

Au point qu’en aucune personne,

Je me reconnaitrais plus.

.

Pourquoi l’amour, secrètement   las,

Se révèle là où, on ne  P    l’attend S  pas ;

Pourquoi les nuits      O   où je rêve  E de toi,

Chaque fois, tu te      U    confonds en  C  moi…

Mille précautions    R      pour trouver    R   l’élu,…

Valent mieux que   Q       d’ardents tour    È billons…..

Du lendemain       U         où me retrouve,    T   et nue,…..

Même s’il vaut   O           mieux se donner     E   à fond ……

Que de, sans     I             cesse tourner  et      M en rond,…….

  Et à chaque    *            sortie,  à  chaque      E  occasion………

Moi, qui ne   L         suis rien autre que    N   femme,……

Perdue en     ‘        moi-même,   hors     T     extase,…..

Moi qui ne    A     suis rien qu’une     *    flamme….

Cachée dans   M   l’ombre qui l’   L  embrase, …

J’attends avec  O    beaucoup  A    d’émotion

L’homme qui   U fera son   S  apparition,

Trouvera visage R  beau  *   assombri,

Duquel sortira enfin un énorme cri

D’amour qui ferait cesser l’ennui.

.

Tout comme les jours se suivent,

Et ne se ressemblent pas,

Hommes et femmes… s’enfuient,

Au premier faux pas !

Ne voilà-t-il pas, divine surprise,

Qu’un bel inconnu,

De mon attrait, à maintes reprises,

S’en trouve ému !

Voilà qu’entre lui-moi se noue

Bel acte de foi,

Preuve qu’il est aussi fou

Que … moi !

Lors il s’en apercevra, pour lui, déjà trop tard,

Pour se retirer de moi, dire, ne plus m’aimer !

.

.

Forme

.

.

459 4

.

Évocation

 .

Un  personnage Lego,

Un fantôme pour Halloween,

Une tête  et  un buste  de femme,

Paire de ses seins plutôt généreux

 .

On peut, de fait, y voir ce qu’on veut, qui on veut

C’est un peu la forme de projection de moi-même,

Sur une silhouette que je verrais comme femme.

 .

Une poitrine de femme, seins très généreux

Et une chevelure si nattée,

Peut plaire à nombre d’hommes un moment

Avant de bien s’en lasser. 

 .

Symbolisation   

 .

Le sein

Est l’organe

Contenant les glandes

Mammaires de la femme

Qui permet l’allaitement.

Il est le symbole de la

Fécondité et de la

Féminité.

.

La mise en valeur des seins a toujours existé.

Ainsi, les décolletés, les corsets, les soutiens gorge,

Ont été, sont encore moyens de mettre la poitrine

En valeur, afin de la rendre plus attirante.

1001 symboles

 

Descriptif

 .

459Pourquoi l’amour, secrètement las  

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  sexualité

Forme anthropo  / Rimes égales / Fond accordé à la forme

Symbole de forme : seins / Symbole de fond : sein

.

.

Fond

.

Évocation 

.

459 6

.

Les formes de seins des femmes, il y en a plusieurs

Chacune assume ou modifie les siennes

La chirurgie plastique, et dite parfois esthétique

Remédiant à un manque ou trop plein.

 .

Symbolisation

.

Chez la femme, les seins

                       Sont faits   glandes mammaires,

                      De graisse, tissus fibreux, mamelons,

                      En  lien féminité qu’elle assume ou non

                      Elle peut ne pas se sentir réalisée féminine,

                      Ou se sentir dépendante de sa féminité,

                       Se sentir atteinte par des critiques,

                       Une dévalorisation … esthétique,

                        Stérilité, agression, moquerie

                         Et elle peut tout aussi bien

                          Les mettre en avant pour

                           Séduire certains hommes.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Forme animée, humaine, féminine, généreuse,

Ces quatre mots pour qualifier cette apparence

Sont complétés par un plus spécifique : le sein.

..

Un sein rime parfaitement avec un  grand bien,

Et ainsi de suite à répétition et… jusqu’à la fin,

Jusqu’à ce que forme fusionne avec la forme,

Nous accueille au sein de notre terre mère.

.

Les seins pointent, s’affaissent, tombent

En fonction de l’âge,  des soins, poids

Exercices, constitutions, passions

Amant quel qu’il soit ne les voit

Ils restent là, deviennent las.

Et lors l’amour s’en ira !

 .

Visuel

.

.

Pas là, plus là  et toujours las !

.

Visuels et textuels >>