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De légendes en légendes,
Depuis mort du Christ,
Celle-ci est parvenue
À rester d’actualité.
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Sang, dans le vase
Qu’il contiendrait,
Est prétendu divin :
Humain n’appartient !
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Alors, à quoi s’obstiner,
Mais, son mystère fascine,
Tant qu’on ne peut qu’espérer
Sinon, le trouver … l’imaginer !
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Je cherche, cherche encore et toujours
Le sens de ma vie mes folles amours,
En l’heure qui passe jours qui s’écoulent,
En ce moment où toute vie s’écroule.
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Que je me perde, religion art, nature, autrui, extrême,
Quelques soient les modes d’actions et mes… opinions,
Je serais condamné à ne me déterminer que par moi-même,
En vrai, une quête du Graal qui peut dire où elle nous mène.
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Elle nous mène, tambour battant, à faire des expériences,
Qui nous apportent connaissances parfois des sciences
Sur quoi est fait l’homme, sur sa différence, son essence,
Mettant à part ceux qui mettent leur âme en vacances.
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Si la vôtre ne l’est pas et, si vous croyez qu’il existe
En le destin particulier chaque homme qui existe,
Interrogez-le pourquoi et comment vous êtes là,
Cherchez en vous quel Graal vous conviendra.
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Sage, celui qui trouve réponse à cette question,
Elle n’est point folie pas plus que de raison,
Est juste parcours parfois même poursuite
Pour autant n’est pas celle de lâche en fuite.
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Il n’est rien de plus vain, que de se connaître,
Ni de plus courageux, que de vouloir renaitre,
Attendant d’autres vies : la sienne, bien lucide,
Quand le diable nous offre son contrat perfide
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Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,
Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité
J’aime mieux encore mendier voire vagabonder
Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté
.
L’homme veut se dépasser, se surpasser, défier
Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :
Sa chute n’en est pas moins cruelle, et, mortelle,
Étant seul à savoir en quoi son âme, immortelle.
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Immortel n’est contraire, complément de mortel
Nous le sommes, tous, et, bien avant, que naitre,
Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître
Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà du réel.
Le réel n’a rien à voir avec quête du Graal, éternel,
Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.
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Extensions
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Une quête éternelle, cela a-t-il du sens :
S’agit-il de résurrection, ou prolongation,
De la vie corporelle ou de la vie spirituelle,
De l’éternité d’un homme ou de l’Humanité :
Par définition si cette quête est bien éternelle
C’est qu’elle est, par avance, des plus vaines.
Homme serait-il à ce point croyant stupide
Pour rechercher cette chose, inaccessible
Pour lui ou qu’il a inventé lui-même.
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À chacun son Graal,
Quête de vérité et justice,
Pour les chevaliers arthuriens
Pour chacun, de sa réussite suprême !
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Graal corne d’abondance, nourriture qu’on désire ;
Pierre tombée du front de Lucifer et creusée en vase ;
Récipient utilisé ; par Jésus, à son dernier repas, la Cène.
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Lors, pour cette dernière raison, certaines légendes racontent
Que quiconque boirait dans un tel vase atteindrait l’immortalité !
À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur.
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1108 – Calligramme
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De légendes en légendes,
Depuis mort du Christ,
Celle-ci est parvenue
À rester actualité.
Sang dans le vase
Qu’il contiendrait,
Est prétendu divin :
Humain n’appartient !
Alors, à quoi s’obstiner,
Mais, son mystère fascine,
Tant qu’on ne peut qu’espérer
Sinon, le trouver … l’imaginer !
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Je cherche, cherche ¤¤¤ L ¤¤¤¤¤¤¤ encore et toujours
Le sens de ma vie ¤¤¤¤ A ¤¤¤¤¤¤¤ mes folles amours,
En l’heure qui passe ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ jours qui s’écoulent,
En ce moment fatidique ¤ Q ¤¤¤¤¤¤¤ où toute vie s’écroule.
Que je me perde, religion ¤ U ¤¤ art, nature, autrui, extrême,
Quelques soient les modes Ê ¤¤ d’actions et mes… opinions,
Je serais condamné à ne me T déterminer que par moi-même,
En vrai, une quête du Graal E qui peut dire où elle nous mène.
Elle nous mène, tambour * battant, à faire des expériences,
Qui nous apportent con D naissances parfois des sciences
Sur quoi est fait l’homme, ‘ sur sa différence, son essence,
Mettant à part ceux qui U mettent leur âme en vacances.
Si la vôtre ne l’est pas N et, si vous croyez qu’il existe
En le destin particulier * chaque homme qui existe,
Interrogez-le pourquoi G et comment vous êtes là,
Cherchez en vous quel R Graal vous conviendra.
Sage, celui qui trouve A réponse à cette question,
Elle n’est point folie A pas plus que de raison,
Est juste parcours L parfois même poursuite
Pour autant n’est pas ! celle d’un lâche en fuite.
ÉTERNELLE
Il n’est rien de plus vain, * que de se connaître,
Ni de plus courageux, que de vouloir renaitre,
Attendant d’autres vies : la sienne, bien lucide,
Quand le diable nous offre son contrat perfide
Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,
Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité
J’aime mieux encore mendier voire vagabonder
Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté.
ET VAINE !
L’homme veut se dépasser, se surpasser, défier
Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :
Sa chute n’en est pas moins cruelle, et, mortelle,
Étant seul à savoir en quoi son âme, immortelle.
Immortel n’est contraire, complément de mortel
Nous le sommes, tous, et, bien avant, que naitre,
Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître
Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà du réel.
Le réel n’a rien à voir avec quête du Graal, éternel,
Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Un vase,
Ou bien calice
La coupe du Graal ?
pour une vie éternelle !
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(forme stylisée, rimes égales,
le fond s’accorde à la forme)
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Le Graal est multiforme, est généralement
Une coupe ou vase :
Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit
D’atteindre vie éternelle.
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Symbolique
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Le Graal est une coupe,
Objet mythique de la légende
Arthurienne, et objet de la quête
Des chevaliers de la Table ronde.
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À partir du XIII e siècle, il est assimilé
Au Saint Calice (utilisée par Jésus-Christ
Et ses douze disciples au cours de la Cène,
Et qui aurait recueilli le sang du Christ)
Et prend alors le nom de Saint Graal.
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La nature du Graal et le thème
De la quête qui lui est
Associé ont donné lieu
À des interprétations
Type symboliques
Voire ésotériques
Ainsi qu’à multiples
Illustrations artistiques.
Source, modifiée, de Wikipédia
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Fond
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Évocation
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Le Graal est multiforme, est généralement
Une coupe ou vase :
Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit
D’atteindre vie éternelle.
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Symbolique
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« Je crois à la vie éternelle »
Est un article du Credo selon la
Formule originelle du Symbole des apôtres,
Prolongeant l’article « je crois à la résurrection de la chair »,
Où le terme « chair » désigne l’homme dans sa condition
Faiblesse, mortalité rachetée par le «Verbe fait chair».
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Le credo selon le symbole de Nicée-Constantinople
Professe, lui, la « résurrection des morts ».
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Signifiant que l’état définitif de l’homme
Ne sera pas seulement l’âme spirituelle
Séparée du corps mais que les corps
Mortels, appelés à reprendre vie,
Au dernier jour, incorruptibles.
fr.wikipedia.org/wiki/Vie-eternelle
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Corrélations
Fond/forme
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La coupe du graal a subi de nombreux avatars
Dont le plus connu serait celui de la Table ronde
D’objet mythique et introuvable, il serait devenu
Le symbole de l’élévation suprême dans le sport,
Et toute autre discipline, et toute autre religion
Atteindre le Graal serait touché le doigt de dieu
Boire dans la coupe, avoir accès vie éternelle !
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Caché, perdu, enfermé en église
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Scénario
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Un secret jalousement gardé en un coffre inaccessible
ou le secret, perdu, des Chevaliers de La Table Ronde
ou le ciboire où l’on met les hosties, corps du Christ.
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