1097 – Réveille-toi, on est sur Terre, c’est l’Enfer

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.

On ne s’en aperçoit tout de suite,

L’enfer survient progressivement

Et sans avoir été nullement invité,

Mais  demeure,  une fois  installé.

.

L’enfer, bien sûr, c’est  la  guerre :

C’est séries d’attentats  nucléaires.

On ne s’épaulerait plus entre frères

Haine est, partout, avec lots misères.

On s’habitue, parait-il, et on banalise,

Sa survie journalière, presque miracle

Ce n’est qu’une antichambre  de  mort

On l’est déjà un peu, en  tête, en corps.

Réveille-toi, on est bien sur la Terre,

Il n’y a d’amour,  y a plus qu’enfer :

.

Prépare-toi, à  parer  les  coups,

Qui  peuvent  mettre  à genoux

Et à donner,  à  te tordre le cou,

Où   les  respirations  se   nouent,

Frappe du poing, frappe des pieds

Les têtes en sangs, ils font éclater.

.

Je te dis ça, mon  frère  parce que

Je tiens, à toi,  à  ton combat,  que

Tu devras gagner, au vu  des enjeux

Être vivant est  ce qu’il y a  de mieux,

S’il n’y a plus été, plus que long hiver

Changeons d’atmosphères, d’univers.

Éternelle  ne  peut  être  une  guerre.

.

T’en souviens-t-en de celles de hier,

Elles se sont finies en paix amères,

Qui ne nous ont pas rendus frères.

Lutte contre un  ennemi mystère

Inventé pour troubler l’univers

De l’amour, qui  nous  confère

Tout  autre  œil  sur   la Terre,

Et  la Mort nous  atteint  tous.

Et  toi, tu la braves comme fou.

J’entends bien qu’on  se  battrait,

Contre un mal  qui n’existerait pas.

Souvent  ne dépendrait que de nous,

Ce soit la paix… sens  dessus-dessous !

.

.

Extensions

.

Réveille-toi, on est sur la Terre,

C’est l’enfer et quoique tu penses,

Quoique tu dises, il n’y a rien à faire

Qu’attendre la  fin pour disparaitre

À son tour au paradis des amours !

Amour du paradis, paradis des

Amours, en virtuel ou en fer.

.

L’enfer de la guerre est bien situé sur terre et nulle part ailleurs :

Elle cause suffisamment de morts et nous fait suffisamment peur,

Pourtant elle se renouvelle souvent comme étant presque éternelle

La dernière, à chaque fois, c’est sûr, détruisant tout, pour dominer

Dominer qui, dominer quoi : dominer l’autre, pour laver l’honneur,

 De simple avertissement, elle se transformera pour tous, en horreur

Mais pour la bombe atomique réciproque, c’est pire, par le néant.

On opte pour une guerre propre, sans morts, sans enfer géant,

Courte et puissante, pour ne pas la perdre, en l’enlisant !

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L’enfer comme lieu

Sur terre, en l’univers

L’enfer comme situation,

Subissant partout souffrance

 Voilà bien deux notions proches,

Qui restent, toutes les deux, moches.

L’enfer, du  latin infernus pour en dessous,

 Est, selon religions, un état de souffrance extrême,

 Du corps ou esprit humain après sa séparation du corps

Douleur expérimentée après la mort, par ceux ayant commis

Des crimes et des péchés dans leur vie terrestre (selon Wikipédia).

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1097 – Calligramme

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On ne s’en aperçoit tout de suite,

L’enfer survient   R progressivement

Et sans avoir été    É   nullement invité,

Mais  demeure,        V      une fois installé.

L’enfer, bien sûr,       E        c’est  la  guerre :

C’est série d’atten        I          tats   nucléaires.

On ne s’épaulerait        L           plus entre frères

Haine est partout                  avec lot misères.

On s’habitue, parait     E           il et on banalise,

Sa survie journalière             presque miracle

Ce n’est qu’une anti    T       chambre de mort

On l’est déjà un peu,  O      en  tête, en corps.

Réveille-toi, on est   I    bien sur la Terre,

Il n’y a d’amour,  y a plus que l’enfer :

.

Prépare-toi, à parer  les coups,

 Qui  peuvent      S mettre à genoux

Et à donner à        U     te tordre le cou,

Où les respira          R       tions  se nouent.

Frappe du poing        *        frappe des pieds,

Les têtes en sang        L         ils feront éclater,

Je te dis ça mon          A            frère parce que

Je tiens, à toi,  à          *           ton combat, que

Tu devras gagner        T          au vu des enjeux

Être vivant est ce        E      qu’il y a de mieux.

S’il n’y a plus été,      R   plus que long hiver

Changeons atmo     R    sphère, d’univers.

Éternelle ne peut   E     être une guerre.

.

T’en souviens-t-en C   de celles de hier,

Elles se sont finies  ‘     en paix amères,

Qui ne nous ont       E    pas rendus frères.

Lutte contre un          S      ennemi    mystère

Inventé pour                T         troubler l’univers

De l’amour,                    *         qui  nous  confère

Tout autre                      L         œil   sur   la Terre,

Et la Mort                       ‘         nous  atteint  tous.

Et toi, tu la                    E        braves comme fou

J’entends bien              N       qu’on  se  battrait,

Contre un mal qui      F         n’existerait pas !

Souvent  ne dépen    E    drait que de nous,

Ce soit paix/sens  R   dessus-dessous !

.

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Forme

Réduction

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Évocation

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1097 4

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Un piédestal pour une statue 

un pied de table, une colonne,

forme sculpture totémique,

ou une autre, comme diable.

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(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

l’enfer est la superposition

de tous les maux possibles,

même les …inimaginables,

forme et fond convergent.

.

Un totem qui n’engage pas

Tout le monde à la conversation,

Son aspect figé évoque une posture

Diabolique, et sinon mystérieuse.

 .

Symbolique

 .

Les Totems sont des accessoires spirituels

Respectés par Amérindiens pour ce qu’ils sont,

Pour ce qu’ils représentent, et pour rien d’autre.

Mais bien que le Totem soit de nature spirituelle,

Il n’en demeurera pas moins de fait qu’un artifice.

.

Lors peu importe Totem, animal, végétal, minéral

L’essentiel est qu’il fonctionne, pour la personne

Qui  l’a choisi, le reste n’étant  qu’un exercice

Mental tant : ce qui  importe  est  d’avoir

Des contacts tangibles avec le Totem.

Source : sciencetradition.forumacti

.com/t299-symbole-du-totem

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Fond

.

Évocation

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1097 6

.

Un totem qui n’engage pas

Tout le monde à la conversation,

Son aspect figé évoque une posture

Diabolique, et sinon mystérieuse.

 .

Symbolique 

.

Dans la littérature, le Diable

Est souvent associé à la danse.

Et la diabolisation  du  langage,

En discours politique est courante.

.

Il a partie liée avec les forces du mal

Parfois même avec …l’extrême droite.

Il a toujours des adeptes, tout comme

Nombre de profanations le montrent

Perpétrées en quelques  cimetières.

.

Ce serait façon de braver la mort.

Par son ambivalence, le Diable est

Un mal utile et même  dit nécessaire.

Personnalisation de ce qui est négatif,

On lui reconnaît parfois  le pouvoir de

Réussir là où l’homme échoue en clair.

journals.openedition.org/terrain/9173

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Totem : ni une statue ni une image

Pourtant il représente une essence

De quelque chose qui nous dépasse

À l’origine il s’agissait d’un animal

Comme ancêtre protecteur du clan

Censé être objet de tabous, devoirs

Mais en culture moderne, profane

Il se sera transformé et généralisé

En forme de mâts sculptés de têtes.

Le lever du drapeau  s’en apparente :

On pourra y projeter tout  ce qu’on veut,

L’important comme pour tout est d’y croire.

 .

.

Enfer météo, ou météorites 

.

Scénario

.

Sauter en parachute au milieu  de m’ennemi, c’est l’enfer.

Sauter sur une bombe et perdre un membre, c’est l’enfer.

Sauter en  victime d’explosion atomique, c’est le néant.

 .

Visuels et textuels >>

943 – Un traumatisme de guerre, l’enfer !

Visuels et textuels >>

.

Guerre n’a rien d’humanitaire

Ni même de juste, même de justifié

Car la guerre, c’est proprement l’enfer.

Lors on y a été,  ou   lors  on y a participé,

Le traumatisme  est, parfois, si fort, violent,

Qu’on se l’est imprimé : on ne peut oublier.

Quelqu’un, quelque chose, un  événement,

Vous le rappelle soudain, et malgré vous,

Vous repassez                        tout le film,

Nombre morts, de blessés physiques

Seront inclus dans les…statistiques

Mais pas souffrances psychiques.

.

Un  traumatisme  de  guerre,

La poudre, le sang … l’enfer,

Des femmes tuées et enfants

Des gens ordinaires, aimants.

Votre mémoire … brutalement

Face à ces faits,   insoutenables,

Vous a  fait tout oublier  zapper.

.

Facile, pratique, pour continuer

À vivre une existence, admirable,

Comme si  rien ne  s’était  passé :

Vous étiez où, avec qui  pourquoi

Pas traces, vous avez été halluciné.

Puis le souvenir remonte à la surface

Tu y étais, quelqu’un a reconnu ta face.

.

Moi… jamais, je n’aurais pu commettre

De tels actes, même en guerre, terrorisé.

Pourtant, il  y  a cette photo,  cette lettre :

D’accord, oui j’y étais, et avec  mon arme,

J’ai tiré au loin devant moi, dans  le  vide,

Je n’ai pas vu ennemis, entendu vacarme.

.

Je me suis vite replié,  suis resté  lucide.

Cette guerre, n’est pas la  mienne,   abusive,

Toute mort attribuée m’est devenue défensive.

Ça y est, la mémoire  me revient  comme  flash

Oui ; je me souviens d’avoir été  droit   au  clash,

Avoir  tiré ,comme malade, sur tout ce qui bouge

Quand  j’ai  cessé, des  gens, et des traces,  rouges

Rouge de feu, rouge de sang, rouge  des  flammes.

.

Maintenant, tout me revient, se débobine, à  plat,

Et, je  peux  mieux mesurer  l’étendue des dégâts,

Avec  une  certaine  gravité me tenant prostré, las.

Au cœur, au ventre, vivant, la chance, que j’ai eue,

D’en sortir  quand copains tombent  à côté de moi :

Puis je les ai entendus crier, ramper, gémir, appeler

Lors j’ai dû les abandonner pour ne pas me faire tuer

Par  des  tirs  croisés  d’en haut d’avance, déjà vaincu.

La guerre engendre honte d’en  avoir assassiné d’autres

La guerre engendre la guerre avec vengeance exacerbée.

.

.

Extensions

 .

La guerre génère nombre de morts et plus encore de blessés

C’est comme loi du métier d’avoir à affronter tous  dangers.

Parfois, c’est un soldat, qui sautera sur une bombe, à pied ;

Parfois c’est la patrouille pris sous le feu d’une embuscade ;

Parfois, c’est un engin de transport de troupes, tout entier !

Que l’on perde un homme, juste à côté de soi, un camarade,

Constitue déjà un traumatisme dont on ne se remettra pas.

Combien d’estropiés vivront par la suite, une vie au rabais,

Pour une cause qui n’en est pas une : une simple infortune.

 .

La guerre, qu’elle soit ancienne, moderne

Demeurerait sans cesse égale à elle-même

Faite de combats voire atrocités extrêmes,

Qui nous font hérisser les poils, épidermes.

.

La mort naturelle sera bien plus acceptable,

Que celle de soldats et civils, non coupables :

Mourir pour des idées, dit Brassens, d’accord

Mais de mort lente, non pas au corps à corps !

.

Des cataclysmes  météorologiques, géologiques

Provoqueront aussi des morts, et des déracinés

Mais la Nature est ce qu’elle elle sans intention

De tuer, de se venger, de dominer, d’éradiquer !

.

.

Épilogue

 .

Si tu veux pas la paix, prépare la guerre,

Dit un vieil adage d’un empereur romain,

Il s’avère que, depuis, toujours d’actualité.

***

Paix, guerre ne seraient pas que contraires,

Ils seraient et tout autant, bien paradoxaux,

Lors croisant, en parallèle, la parole et le fer.

***

Notre époque n’aura rien appris de l’Histoire,

Elle dit encore que la loi sera celle du plus fort

Bien qu’exemples montrent que ce sera à tort.

***

Négociations, accords, contrats …  frontières,

Ne sont que des papiers qu’on peut déchirer,

Une fois le pays voisin, envahi, il est annexé.

***

Certains appellent cela de la real politique :

On ne conteste pas par peur de représailles

Si la peur mène le Monde, la paix mourra.

***

Le paradoxe tient aussi dans le langage :

L’on envahirait un pays pour le pacifier,

Et s’il résiste,  ce serait lui… l’agresseur.

***

Tout cela ne serait que jeu s’il n’y avait

Pas de morts, et  pas que combattants,

Des civils, femmes, vieillards, enfants,

***

Aucun génocide ne peut se justifier :

Guerre ou pas quel qu’en doit le fait

Cela reste crime contre l’humanité !

.

.

943 – Calligramme     

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Guerre n’a rien d’humanitaire

Ni même de juste, même de justifié

Car la guerre, c’est proprement l’enfer.

Lors on y a été,  ou   lors  on y a participé,

Le traumatisme  est, parfois, si fort, violent,

Qu’on se l’est imprimé : on ne peut oublier.

Quelqu’un, quelque chose, un  événement,

Vous le rappelle soudain, et malgré vous,

Vous repassez                        tout le film,

Nombre morts, de blessés physiques

Seront inclus dans les…statistiques

Mais pas souffrances psychiques.

.

Un  traumatisme  de  guerre,

La poudre, le sang … l’enfer,

Des femmes tuées et enfants

Des gens ordinaires, aimants.

Votre mémoire … brutalement

Face à ces faits,   insoutenables,

Vous a  fait tout oublier  zapper.

Facile et pratique, pour continuer

À vivre  une  existence,  admirable,

Comme si rien   T     ne  s’était passé :

Vous étiez où,     R   avec qui  pourquoi

Pas traces, vous   A     avez été halluciné.

Puis le souvenir     U  remonte à la surface

Tu y étais, quelqu’   M  un a reconnu ta face.

Moi jamais, je n’au    A       rais pu commettre

De tels actes, même    T   en guerre : terrorisé.

Pourtant, il y a cette      I       photo,  cette lettre.

D’accord, oui j’y étais,     S      et avec  mon arme,

J’ai tiré au loin devant      M      moi, dans  le  vide,

Je n’ai pas vu ennemis,       E        entendu vacarme.

          *

 Je me suis vite replié,             D           suis resté  lucide.

   Cette guerre, n’est pas la         E           mienne,   abusive,

    Toute mort attribuée m’est      *          devenue défensive.

      Ça y est, la mémoire me re        G           vient comme flash

           Oui je me souviens d’avoir         U             été  droit  au  clash,

               Avoir  tiré  comme  malade,        E              sur tout ce qui bouge

               Quand  j’ai  cessé, des  gens,        R              et des traces,  rouges

                  Rouge de feu, rouge de sang,      E               rouge   des   flammes.

                 Maintenant  tout me revient,       :                se  débobine,  à  plat,

                Et, je  peux  mieux, mesurer       L               l’étendue  des dégâts,

                Avec  une  certaine  gravité          ‘              me tenant prostré, las.

           Au cœur, au ventre, vivant,        E         la chance, que j’ai eue,

            D’en sortir quand copains         N       tombent  à côté de moi :

      Puis je les ai entendus crier     F     ramper, gémir, appeler

       Lors j’ai dû les abandonner    E    pour ne pas me faire tuer

          Par  des  tirs  croisés  d’en      R     haut d’avance, déjà vaincu.

         La guerre engendre honte        !     d’en  avoir assassiné d’autres

       La guerre engendre la culpa          bilité de ne pas avoir été tué

     La guerre engendre la guerre          avec vengeance exacerbée.

.

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Forme

Réduction

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Évocation 

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943 4

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Silhouette d’un homme

Ou femme, à terre,

Comme blessé 

De guerre ?

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

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L’homme est mort ou bien blessé

il a besoin d’être secouru, soigné

la forme converge vers le fond.

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Militaire couché au sol, inanimé,

Blessé, et  peut-être  même   tué :

Une  personne, c’est  un  drame,

Cent : c’est une statistique !

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Symbolique

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La symbolique est

« L’art de substituer une image

À une idée, un dessin à un concept,

Une figure à une pensée » mais est aussi

« L’art de retrouver l’idée derrière l’image,

Le concept au travers du dessin,

La pensée sous la figure ».

.

C’est l’ensemble des

Symboles propres à un peuple,

À une époque, et voire à une religion.

La symbolique militaire qui se manifeste

Par divers signes multiformes

Uniformes, insignes, emblèmes, fanions,

S’est forgée au cours de l’histoire de France.

servicehistorique.sga.defense.gouv.ressources/

la-symbolique-militaire-une-longue-evolution

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Fond

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Évocation

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943 6

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Militaire couché sur un lit médical

Blessé et  peut-être même  mort :

Une  personne, c’est  un  drame,

Cent : c’est une statistique !

 .

Symbolique 

Les accidents de la route,

Les accidents de travail, ceux

Qui se produisent à domicile

Représentent une symbolique

Vaste de toutes  blessures

Tant qu’il n’est pas possible

De l’appréhender ensemble.

.

Faut la déchiffrer cas par cas

Et la fracture d’un os entraîne

Une cassure  du rythme  de vie.

L’activité doit être interrompue.

Il faudra  se  mettre  au  repos.

.

Telle immobilisation devrait

Entraîner   une   réflexion

Qui, elle-même, aboutira

 à nouvelle orientation.

signesetsens.com/psycho

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Corrélations

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Fond/forme 

 .

La première blessure infligée à l’homme,

Ou  qu’il s’est infligée, qui  sait, à lui-même,

Est la perte du paradis, terrestre ou céleste

En devenant ou en se rendant compte qu’il

N’était qu’un simple et permanent mortel.

.

Toutes les autres blessures en découlent :

Un immortel, dans les films, s’en remet

Instantanément, mais pal lui : donc

Faire très attention à les… éviter,

Tant physiques que psychiques.

.

Sinon au plus vite les soigner

Mais cela peut avoir du bon

Forcé au repos,  à réfléchir,

Sur la nature, sens de sa vie

À ses expositions aux dangers

À l’arrêt soudain de sa carrière,

Si ce n’est de son couple, handicap.

 .

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Guerre sans cesse recommencée

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Scénario  

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La guerre, ce sont des troupes qu’on transporte vers zone de combat.

La guerre, ce sont des armes automatiques  derrière mur de sable.

La guerre, ce sont des blessés en pleine jungle, souffrant martyr.

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