776 – L’on dit que son enfance est ceci… cela !

Visuels et textuels >> 

.

Que  ne  dit-on, au

Sujet de l’enfance,

Voire y compris la

Sienne… embellie

En  souvenirs par

Fois   reconstruits

Qui nous  en font,

 Comme  romance.

Enfance  n’est pas

Un pays  magique

Pays  merveilleux,

Voire fantastique,

Est  soubassement

D’adulte,  même si

On lui voue… culte.

Inculte  celui qui ne

Connait pas, enfant,

Pour le soigner, pour

L’élever, et  l’éduquer

L’enfant que l’on aura

Est l’enfant qu’on était

On dit que  son enfance

Est la période  de sa vie,

À faire…totale confiance

À ses parents, à ses amis.

L’on dira que son enfance

Est faite de premières fois,

Qu’on    grandit bien en soi,

Sans se    faire remontrance.

.

Et on dit     que toute enfance

Est le seul     temps en protégé

Qui nous évite       la  souffrance

De prévoir notre      vie si gâchée.

L’enfance ne se vit         qu’une fois,

Impossible, inutile d’y   *    retourner

Et faire l’enfant n’y ferait    *   rien en soi

Entourage vous ramènera à    *      la réalité.

Pratiquer l’art est-ce enfance,      *         lucidité,

L’art n’est jamais enfantin,          *       même naïf,

C’est un regard pour s’        *    en approcher.

Retour aux sources,     *    souvenir natif.

L’on dit que son enfance est ceci, cela,

Enfance : non période uniforme,

Enfance : période qu’on forme

Et d’une importance énorme

Pour rentrer dans la norme.

.

.

Extensions

 .

C’est le souvenir d’avoir eu

Une totale confiance en ses parents

Qui conditionne celle que l’on fera au conjoint.

En cas de manque, doute persiste, jalousie s’instaure.

On volera l’enfance de quelqu’un quand on le trompe,

On l’abandonne, le persécute, l’exploite, martyrise.

.

Certains s’en sortent d’enfance misérable

D’autres ne remontent jamais la pente

Et font les quatre cents coups pour se

Tenir debout et en veulent à tout le monde,

À la communauté, société, qui n’en peut mais !

L’enfant ne devrait jamais être séparé de ses parents

Mais hélas,  ce sont eux qui sont parfois encore enfants.

.

Immatures d’eux-mêmes, comment être matures pour lui.

L’enfance n’est pas une période  préservée  par des murs

Pour bien se protéger de tous les travers de la société :

Simplement, pour éviter de s’exposer à ces derniers,

En étant «Interdit au moins de dix, douze ans»

Comment l’enfant interprète cette consigne :

Comme en étant privé, en étant indigne !

.

L’enfant s’applique quand il exécute, apprend,

L’enfant sourit et rit même, quand il se détend,

L’enfant s’étonne  de la vie, lors la découvrant :

L’enfant ceci, l’enfant, cela, l’enfant est éponge

Tant il enregistre tout sans bien comprendre,

Adulte, il aura du grain à moudre, à rendre,

Non seulement dans ses actes : en songe.

Adulte que je suis n’est pas loin enfant

Que j’étais avec ou sans mensonge.

.

En matière d’éducation des enfants,

Tous les conseils sont dans la nature :

Les parents étant pédagogues, ou non,

Feront ou non, des adultes immatures.

.

Parent n’est jamais certain de donner

À son enfant l’éducation qui convient :

Deux enfants ayant la même réagiront,

De manière différente sans explication.

.

Quant à dire,  ce n’est pas de ma faute :

Celle des parents qui m’ont mal éduqué,

Jusqu’à 18 ans, cela peut encore marcher

Après trouver autre chose : responsabilité.

.

.

Épilogue

.

L’on aurait, des fois, une vision

Pour ne pas dire  une protection

De l’enfance … un peu sommaire,

Consistant à tout faire pour éviter

Les moindres problèmes en société

Or il grandira parfois dans un enfer.

***

Sans chercher à tout prix à l’endurcir

Et voire à l’autonomiser pour ses choix

Faut pas confondre naïveté, innocence :

Le monde de l’enfant  peut être très dur,

Si on ne lui apprendra pas  à se défendre,

Pour conserver sa liberté, voire intégrité !

***

De toute façon : n’étant  ni sourd   ni aveugle,

Réalité de monde hostile le percutera souvent,

Et il faudra lui expliquer pourquoi et comment

Sinon il s’en sentirait vite, plus ou moins décalé

Et on lui dira alors : il faut grandir…maintenant

Un monde des bisounours, n’existera nulle part !

***,

Se battre, ne serait pas, pour autant, une nécessité

Mais  bienvenu  pour protéger  ses frères et sœurs :

Il lui faut comprendre que seul, il est fragile, perdu,

Et que tout en société dépend de famille, solidarité :

Je ne pense pas qu’école endosse telle responsabilité

Trop centré sur acquisitions des savoirs et pratiques !

.

.

776 – Calligramme   

.

Que  ne  dit-on, au

Sujet de l’enfance,

Voire y compris la

Sienne… embellie

En  souvenirs par

Fois   reconstruits

Qui nous  en font,

 Comme  romance.

Enfance  n’est pas

Un pays  magique

Pays  merveilleux,

Voire fantastique,

Est  soubassement

D’adulte,  même si

On lui voue… culte.

Inculte  celui qui ne

Connait pas, enfant,

Pour le soigner, pour

L’élever, et  l’éduquer

L’enfant que l’on aura

Est l’enfant qu’on était

On dit que  son enfance

Est la  période  de sa vie,

À faire … totale confiance

À ses parents,   à ses amis.

L’on dira   que son enfance

Est faite  de  premières fois,

Qu’on  E  grandit bien en soi,

Sans se  N  faire remontrance.

F  …………..

Et on dit     A  que toute enfance

Est le seul      N   temps   protégé

Qui nous évite   T     la  souffrance

De prévoir notre    *   vie si gâchée.

L’enfance ne se vit     E   qu’une fois,

Impossible, inutile d’y    S    retourner

Et faire l’enfant n’y ferait     T  rien en soi

Entourage vous ramènera à      *     la réalité.

Pratiquer l’art est-ce enfance,      C         lucidité,

L’art n’est jamais enfantin,          E       même naïf,

C’est un regard pour s’         C    en approcher.

Retour aux sources,     I     souvenir natif.

  *

On dit que son en  C   fance est ceci, cela,

Enfance, non   E     période uniforme,

Enfance    L   période qu’on forme

D’une   A   importance énorme

Pour rentrer dans la norme.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

776 4

.

Pointe de lance,

Pour bien se battre

Voire pour se défendre

Dans enfance violente.

.

Se battre pour jouer est enfantin

se battre pour humilier est vilain

la lance pour blesser à distance

est la forme évoquant le fond.

.

L’enfant est toujours prêt à se battre

Pour n’importe quoi :

Mais parfois, adulte, il faut débattre

De son enfance violente.

.

Symbolique 

 .

Rêver de se battre

Annonce souvent fatigue

Ou risque de surmenage

Et signale au rêveur

Qu’il doit prendre

Soin de sa santé.

.

Et si, dans votre rêve,

Vous assistez à une bagarre,

Vous serez bientôt sous emprise

De vos émotions et  violente colère.

Rêver de bagarre de chien, est un

Signe de conflits familiaux.

.

Si vous êtes encore célibataire,

Rêver de bagarre annonce souvent

Le mariage avec une femme querelleuse.

interpretation-reve.fr/dictionnaire-reve-B/bagarre.

.

.

Descriptif

.

776 – On dit que son enfance est ceci, cela  

  Alignement central  /  Titre  dédoublé   /  Thème  enfant

Forme courbe /  Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : se battre  / Symbole de fond : violence

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

776 6

.

L’enfant est toujours prêt à se battre

Pour n’importe quoi :

Mais parfois, adulte, il faut débattre

De son enfance violente.

.

Symbolique 

 .

«  On peut faire de l’enfant

Une foule de choses dans les

Deux premières années de sa vie,

Le plier, disposer de lui, lui enseigner

De bonnes habitudes, le corriger et le punir,

Sans qu’il arrive quoi que ce soit, que l’enfant se venge.

.

Il n’empêche qu’il ne parvient à surmonter sans difficulté

L’injustice qui lui a été faite qu’à la condition

De pouvoir se défendre, et  donc  à la condition

De pouvoir donner à sa souffrance et à sa colère

Une  expression  structurée. Car s’il lui est interdit

De réagir, parce que les parents  ne supportent pas

Ses réactions (cris, tristesse, colère) et les interdisent

L’enfant apprend à se taire. Son mutisme garantit

Certes l’efficacité des principes d’éducation,

Mais il recouvrira, en outre, les foyers

D’enfance violente ultérieure. »

cairn.info/revue-francaise-des-affaires-

sociales-2013-1-page-32

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Enfance est, en principe, protégée

Par la  famille, les lois, institutions

Mais par ci par là, climats violents,

S’instaurent, défrayant la chronique,

Avec parfois comportement effrayant

Problème avec l’autorité, dit la Justice,

Il n’aura pas été réglé en petite enfance.

L’«enfant roi» finit par devenir un tyran

Se retrouve bien dans une société violente.

 

.

.

Enfant, éponge, absorbe tout

.

Scénario 

.

D’abord l’éduquer, le soigner, et le protéger,

ensuite le faire rire, le faire jouer, le faire imaginer,

enfin lui permettre de construire sa propre personnalité !

 .

Visuels et textuels >> 

772 – L’enfant est une personne qu’on nomme !

Visuels et textuels >>

.

Enfant ceci, enfant cela

L’enfant  reste  un  partage

Lors un couple, bien s’entend

L’enfant devient le vrai otage,

Lorsqu’ un couple  se refend.

.

Il est reconnu  ou bien nié,

Lors,  simultanément,

Devient vrai trésor

Ou bien il sera

Déjà   mort !

.

Vrai que l’on  nomme  un  enfant,

Pour qu’il devienne une  personne,

Vrai  que l’ambiguïté  d’un  tel  mot

Ferait de lui aussi bien, tout ou rien.

.

Enfant comme personne, se façonne

Au  fil  des  mois … saisons … années,

Lors il prend tout ce qu’on lui donne

Sans avoir à le rendre,  à remercier.

.

Deux parents, avec seul enfant,

Et deux enfants, un seul parent,

Ne sont situations  comparables,

Laquelle  est la plus souhaitable.

.

Combien  de parents  préjugent

Garde enfant leur est attribuée

Par  une  justice,  qui  s’adjuge

Le droit  de  décider  trancher.

.

Car  la présence  des  parents,

Est très bien pour l’enfant né

Tant, seul l’amour sera juge

Si eux-mêmes se  déjugent.

.

L’enfant est  une personne :

Ne suffit pas qu’on le nomme

Pour le reconnaître en somme

Faut-il encore qu’on le façonne.

.

Enfant est bien  une personne ;

Adulte, le sera encore … plus

Il le prolonge, l’abandonne

Lors ne s’y  retrouve plus.

.

.

Extensions

 .

L’enfant était considéré, il n’y a pas si longtemps,

Comme une personne, à partir de trois ans.

Il faut dire aussi que mortalité infantile,

Ne suscitait pas d’attachement profond

Dès lors que l’enfant devait prouver qu’il

Était suffisamment résistant afin de durer.

.

Aujourd’hui, différent : on s’attache à l’enfant

Et on le considère en outre comme une personne

Bien avant sa naissance à l’annonce de sa présence

Au sein de la gestation, autres temps, autres mœurs.

Le concept de personne évolue aussi avec la religion :

Le nouveau-né devient une personne, en le baptisant

Et puis la science s’en mêle à son tour en découvrant

L’ADN des deux parents qui en forme un troisième,

Qui lui est propre et le conditionnera toute sa vie.

.

L’amour des parents intervient autant pour

Établir bons fondements d’une personne,

Pour la faire grandir, stagner, régresser

Que la génétique et l’environnement,

La culture et l’éducation et expériences acquises.

L’enfant n’est pas une page blanche ni un tableau noir,

Il est compétence et performance qui ne demande qu’à grandir.

.

Passer de l’enfant qui ignore  qu’il est un enfant

Mais répond vite à son prénom

À l’enfant qui sait qu’il a droit à son statut protégé

D’enfant dans toutes les situations,

À l’enfant qui est quelqu’un rendu capable de réfléchir

Et donc de prendre ses propres décisions

À l’enfant qui pense à son avenir, et, qui se rend compte,

Qu’il n’aura pas toujours ses parents pour lui.

.

La preuve, s’il en est que l’enfant

Est une personne : il a des droits !

On ne pourra faire ce qu’on voulant

De lui, avec lui : que ce que l’on doit !

.

Un adulte se définira par une autonomie

Acquise, peu à peu, auprès de lui et d’elle,

On dit même qu’il vole de ses propres ailes,

On dit même que, grand, il quittera son nid.

.

Petit, l’on perçoit, son caractère, tempérament,

Comme des fondements réels de sa personnalité :

L’enfant est une personne, quelqu’un qu’on nomme

Pour ce qu’il est, il était, et pour ce qu’il…deviendra !

.

.

Épilogue

.

L’enfant est  une personne … de toute façon :

Quant à savoir  à partir  de quand : question :

Certains diront que c’est dès qu’on le nomme

D’autres dès qu’il a conscience de lui-même !

***

Entre les deux, l’angoisse  du neuvième mois,

L’enfant se séparera, distinguera de sa mère :

L’identification sera donc un processus long :

On nait comme personne…devient quelqu’un.

***

Mais ne demandez pas à l’enfant, ce qu’il est :

Pour  lui, il n’est personne, sans père et mère,

Avant tout un problème d’éthique, de société,

Qui a toute son importance  pour avortement.

***

Et puis survient l’épineuse question du genre :

Totalement un garçon ou bien totalement fille,

Ou moitié moitié, corps de garçon, esprit fille :

Part de chaque restera en nous, de toute façon.

***

Être une personne nous est donné en naissant,

Lors être quelqu’un suppose qu’on le devienne,

Ce n’est pas tant qu’il faille penser et puis agir,

Par soi-même que se différencier, être unique.

.

.

772 – Calligramme    

 .

Enfant ceci    E  enfant cela

L’enfant reste   N    un partage

Lors un couple      F     bien s’entend

L’enfant devient     A       le vrai otage,

Lors un couple      N         se   refend.

Il est reconnu     T     ou bien nié,

Lors  simul     *     tanément

Devient    E    trésor

Ou bien   S      sera

Déjà       T mort !

.

Vrai que l’on  nomme  un  enfant,

Pour qu’il devienne une  personne,

Vrai que l’ambiguïté  d’un  tel  mot

Ferait de lui aussi bien tout ou rien.

Enfant comme personne, se façonne,

Au fil  des mois et saisons, des années

Lorsqu’il prend tout ce qu’on lui donne

Sans avoir ni à le rendre ni à remercier.

.

Deux parents,      U            avec un enfant,

Et deux enfants       N    Q    un seul parent,

Ne sont situations     E      U    comparables,

Laquelle est la plus      *        ‘     souhaitable.

Combien de parents      P        O       préjugent

Garde enfant leur est     E          N      attribuée

Par une justice, qui       R            *         s’adjuge

 Le droit de décider        S           *   N     trancher.

Car la présence des       O           *     O      parents,

Est très bien pour l’     N           *       M    enfant né

Tant, seul l’amour      N           *         M     sera juge

Si eux-mêmes se       E          *            E      déjugent.

.

L’enfant est              *   une personne :

Ne suffit pas            *   qu’on le nomme

Pour le recon           *    naître en somme

Faut-il encore        *       qu’on le façonne

Enfant est bien     *     *       une personne ;

Adulte, le sera     *           *      encore… plus

Il le prolonge,    *                 *    l’abandonne

Lors ne s’y  re   *                      *   trouve plus.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

772 4

.

Silhouette

D’un enfant

Vers ses trois ans  

Est déjà quelqu’un.

.

Enfant et quelqu’un vont ensemble

et l’on se doit de le traiter comme tel

Garçon et fille, pauvre/riche à égalité

tant et si bien que forme épouse le fond

A partir du moment où l’enfant

Porte son nom, il existe :

Il est quelqu’un en devenir tout en

L’étant, déjà,  à ce stade.

.

Symbolique 

 .

Dans le vécu de l’enfant,

Toute sa relation avec ses parents

Et son environnement, reste importante.

.

Comment se mettent en place les systèmes

De croyances, de ressentis, et nos modes

De fonctionnement issus de cet

Ensemble  de   forces,  et   qui

Vont  représenter  les   bases

Des vécus et  somatisations,

Que nous travaillerons tout

Au long de notre existence.

.

Passer de l’enfant qui sait

À l’enfant … qui est,  puis

À  l’adulte  qui  sera  à  la

Reconquête de l’enfant intérieur.

Source : lessymboles.com/seminaire/lenfant

.

Descriptif

.

772 – Enfant est personne qu’on nomme !  

  Alignement central  / Titre  analogue / Thème  identité

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enfant / Symbole de fond : quelqu’un

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

772 6

.

À partir du moment où l’enfant

Porte son nom, il existe :

Il est quelqu’un en devenir tout en

L’étant, déjà,  à ce stade.

.

Symbolique 

.

Si tout va bien après 3 ans,

Il est inutile de chercher à

Fouiller la petite enfance.

S’occuper de la vie de

Quelqu’un qui ne vous le demande pas,

Cela serait  pathogène. C’est pour cela que

Je n’ai jamais soigné d’enfants sans leur accord.

«Tes parents s’inquiètent.  Est-ce que cela t’ennuie

De ne pas réussir en classe? – Oh non, ça m’est égal.

– Très bien; le jour où tu en éprouveras le besoin,

Tu réussiras, parce que tu es intelligent.

Y a-t-il autre chose qui t’embête?

– Je voudrais que ma petite sœur,

Elle ne soit pas née…

– Ça, c’est difficile.

lexpress.fr/informations/

l-enfant-est-une-personne

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

– Cet enfant c’est vraiment quelqu’un.

– Ah non, cet enfant ce n’est personne,

pas encore mais peut-être plus tard.

.

– Je voulais dire, déjà femme, homme.

.

– Ah oui, l’on jouerait là sur les mots.

.

– Ai connu dont le nom est personne

.

ça n’empêche, devenu quelqu’un.

.

– Arrêtes… t’es trop fort pour moi,

ou je confonds tout, bonhomme.

 .

 .

Est capable de penser

.

Scénario

.

Qu’il soit riche et beau

ou pauvre et bien, abimé par la vie

l’enfant reste une personne à part entière.

 .

Visuels et textuels >>

1157 – Aller au fond de soi, au fond du monde

Voir prose et illustrations

.

Connais-toi … toi-même,

Dit Socrate aux disciples.

Personnes et personnages

Peuvent  être    différentes.

 .

Pour se connaitre  au fond,

Faut aller chercher  au loin,

Réponses qui ne seront pas,

Juste là, juste  autour de soi !

On ne se connait bien que par

Les comparaisons  avec autres.

.

Pas seulement le proche voisin

Tous les hommes sont cousins,

Tant, qui ne voit pas  plus  loin

Que le bout  de son propre nez,

Aliènera partie de  son identité,

Car il ne verra plus ce qu’il est !

 .

Si, pour certains, leurs actions,

Sont suffisantes à  elles-mêmes,

Pour autres : bonne  intégration,

Serait le dernier juge  et suprême.

L’important n’est-il,  que leur vie,

Se passe ainsi, sans  grands soucis

Quand, un minimum de réflexions

Démontre que monde  est abscons.

.

Pour s e distinguer  des  animaux,

Être humain se fabrique  des mots

Pour exceller fort et voire plus haut,

Se dire, il ne sera pas  pris  pour sot.

C’est ici, là, hélas, que  le bât blesse :

Ceux qui vous font  suer, encaissent

Le fruit  de  vos  trouvailles  travaux :

Vous considèrent  comme   animaux.

.

Notre vie n’a pas  plus de  sens, en soi,

Que celle de rat se prenant pour un roi.

Nombre aliénations nous guettent tous

Dans ce monde de fourbes   et … d’ivres,

Mais comment autrement,  mieux vivre,

Que de trouver en soi, son  projet de vie.

Chercher qui, et, chercher  quoi, d’abord,

Chercher vers sud, plutôt  que vers nord,

Quelle valeur marchande encore, encore

Ou pour quelle trouvaille, valant de l’or !

 .

Le plus  difficile, ne serait pas, toutefois,

D’aller au bout du monde, ni aller là-bas

Creuser et chercher le fond  jusqu’au bas,

Mais bien de ne parvenir   au fond de soi.

Le monde nous  nourrit de  ses illusions,

Nous gave, nous prive de  sensations :

Autant folies, distordant la raison,

Autant erreurs de nos passions.

.

.

Extensions

 .

Aller au fond de soi,

Et au fond du Monde,

Serait  la même  chose :

Si  l’on  va  au fond de soi,

Pour trouver fond du Monde

Et l’on va au bout  du Monde

Pour  trouver  le fond  de  soi.

En  définitive, soi et le Monde,

Ne font qu’un bien que Monde

Peut  bien  se  passer  de  nous !

 Peut-être a-t-on tendance à confondre

Le Monde en soi, et, le Monde pour soi,

Comme dirait le philosophe J.P. Sartre !

 .

Aller au fond du monde pour aller au fond de soi :

Quel besoin d’aller si loin, pour savoir que mon moi,

N’est que reflet des autres, tous ceux qui me côtoient !

Lors ainsi, de vous à moi, nous sommes bien les mêmes,

Que l’on soit né, et résident ici ou dans contrées extrêmes,

Là où, certains constatent, bon nombre  de  ressemblances,

D’autres s’escriment à ne percevoir que nombre différences

De savoirs, de compétences, de religions voire d’idéologies

Lors leur credo est de diviser pour tirer le meilleur parti.

.

Il serait plus difficile d’aller au fond de soi

Que du Monde, en dépit de son immensité :

Certains ont dix ans d’analyse sans y parvenir

Et disent que trente de plus n’y suffiraient pas.

.

Autrement dit : plus on creuse, plus il faut creuser

« Connais-toi toi-même » aurait dit  le sage  Socrate,

Comme un défi qu’on se lance sans jamais l’atteindre

D’ailleurs l’important ne sera pas là, c’est juste le sens.

.

En réalité, l’on ne se connaitrait qu’à travers les autres

Son propre regard sur soi-même : trop de subjectivité.

On ne peut se dédoubler en observateur et en observé :

Ça n’empêche pas l’introspection mais elle est limitée.

.

.

Épilogue

.

Aller au fond de soi ne sera pas

Comme toucher le fond …  en vue

De rebondir vers un nouvel équilibre

En matière santé physique ou mentale.

***

Si les deux comportent certaine démarche

Thérapeutique, pas besoin d’être névrotique,

Pour s’engouffrer  en une introspection de soi :

Aller au fond de soi est recherche d’individuation.

***

C’est plus une expérience vécue dans son intériorité

Qu’accumulation de faits, de repères, en externalité.

La question centrale à creuser serait …  qui suis-je

Et que faire en ce monde, et qui me corresponde.

***

On peut tout aussi bien aboutir à un constat

Comme quoi on est bien tout comme on est

Que chercher une autre voie,  bifurcation,

Qui se révèle etre notre propre solution.

***

Solution pour une nouvelle direction

Contre vents et marées … s’il le faut,

Avec l’assurance, non d’une mission

Mais d’adéquation avec soi-même !

.

.

1157 – Calligramme

 .

Connais-toi … toi-même,

Dit Socrate aux disciples.

Personnes et personnages

Peuvent  être    différentes.

.

Pour se  A  connaitre  au fond,

Faut aller   L    chercher  au loin,

Réponses        L    qui ne seront pas,

Juste là, juste       E           autour de soi !

On ne se connait       R              bien que par

Les comparaisons       *             avec d’autres,

Pas seulement le          A             proche voisin

Tous les hommes         U             sont cousins.

Tant qui ne voit             *             pas  plus loin

Que le bout  de son       F                propre nez,

Aliènera partie de         O              son identité,

Car il ne verra plus       N               ce qu’il est !

Si, pour certains,           D            leurs actions,

      *

Sont suffisantes à          D              elles-mêmes,

Pour autres : bonne       E                intégration,

Serait le dernier juge      *              et  suprême.

L’important n’est-il,       S              que leur vie,

Se passe ainsi, sans         O           grands soucis

Quand, un minimum       I             de réflexions

Démontre que monde      *            est abscons !

.

Pour se distinguer des       E               animaux,

Être humain se fabrique      S              des mots

Pour exceller fort, et, voir    T           plus haut,

Se dire, il ne sera pas pris     *             pour sot.

C’est là,  hélas, que  le bât     A                blesse :

Ceux qui vous font  suer        L          encaissent

Le fruit  de vos trouvailles     L             travaux :

Vous considèrent comme       E          animaux !

Notre vie n’a pas  plus de       R      sens, en soi,

Que celle de rat se prenant     *       pour un roi.

Nombre aliénations nous      A     guettent tous

Dans ce monde de fourbes    U       et … d’ivres,

Mais comment autrement,    *        mieux vivre,

Que de trouver en soi, son    F       projet de vie.

Chercher qui, et, chercher    O     quoi, d’abord,

Chercher vers sud, plutôt     N     que vers nord,

Quelle valeur marchande     D     encore, encore

Ou pour quelle trouvaille,     *    valant de l’or !

.

Le plus  difficile, ne serait    D     pas, toutefois,

D’aller au bout du monde,    U     ni aller là-bas

Creuser et chercher le fond   *      jusqu’au bas,

Mais bien de ne parvenir      M       fond de soi.

Le monde nous nourrit de   O     ses illusions,

Nous gave, nous prive de   N   sensations :

Autant folies, distordant  D      la raison,

Autant erreurs de nos     E    passions.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1157 4

.

Une bouteille probablement,

Bouteille plastique

Très certainement

Remplie d’eau.

 .

(P : forme pleine,  # : rimes mixtes,

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

 .

Lbouteille plastique s’adapte à

Tous les remplissages de liquides :

Mais si elle ne sera pas recyclée,

Elle polluera Terre pour des années !

 .

Symbolique

 .

Le contenant,

La matière

(verre, plastique,

Transparent ou opaque),

L’usage (boisson,

Parfum, remède, poison)

Renseignent signification

Le champagne   est festif,

Son  parfum    est   positif

Dans     tout    relationnel,

Lors,  le poison  symbolise

Des  mauvaises  intentions,

Ouvrir la bouteille en rêve

Symbolise on veut rassembler

Ses  ressources pour améliorer

Sa vie ou voire même les choses.

rosalie-dans-tous-ses-etats.com/2015/10/

que-signifie-votre-reve-bouteille.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1157 6

.

Lbouteille plastique s’adapte

À tous les remplissages de liquides :

Bien qu’elle soit partiellement recyclée,

Elle polluera la Terre pour des années !

 .

Symbolique    

 .

Un nouveau rapport

Révèle le type de déchets

Ménagers que l’on retrouve

Le plus dans nombre de mers

Et dans les rivières européennes.

 .

Si les bouteilles en plastique

Occupent la première place de

Ce triste classement, quelques

Surprises viennent toutefois

Tordre le cou, idées reçues :

Sacs plastiques, représentent

Que 1 % des détritus repêchés.

Source : geo.fr/environnement/l

es-bouteilles-en-plastique-

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Le fond de la bouteille n’est pas le fond de soi

Bien que parfois, la buvant, on touche le fond.

Maintenant quand il s’agit d’eau et de plastique

La forme et le fond étant tous deux transparents

On les distingue mieux vides, sur bords de plages

Et à côté des sacs en plastique aussi transparents

À croire que transparence a du plomb dans l’aile

Plomb éternel qui finira  par nous empoisonner.

Lors aller au fond de soi, c’est parfois, dire non

À telles pratiques, non pour sauver la planète

Pour se sauver soi, la planète s’en remettra.

 .

.

Fond des choses et de soi

.

Scénario

 .

Allez au fond de soi, d’accord, mais pour y trouver qui et … quoi ?

Devant moi, j’ai une sorte d’écran qui m’empêche de voir plus loin !

Identité numérique remplace-t-elle bientôt mon identité physique ?

 .

Voir prose et illustrations

.

755 – Je resterai ce que je suis avec tout autre !

Visuels et textuels  >>

.

Je resterai ce que je suis

Avec tout autre, familier,

Et sinon  même, étranger,

Tant, changer … je ne puis.

.

Tout peut paraitre  changer

En moi dans les apparences,

Mais pas ma propre identité

Que je jetterais en balance !

.

Je suis calme  ou  je bouge,

 M’énerve  même,  des fois,

Je crois savoir pour quoi,

Avoir franchi ligne rouge.

.

Que je sois ici ou là-bas,

À Paris, ou dans ma villa,

Dans le train, dans mon lit,

Je reste encore ce que, je suis.

.

Contexte change autour de moi,

Où tout le monde bouge avec moi

Mais l’effet tourbillon, n’est en soi

Que leurre de vies par devers-soi.

.

Que je sois ici ou là-bas,

C’est pareil, à chaque fois,

Je ne m’ennuie jamais de toi,

Quand est-ce que  cela  finira !

.

Mouvement est d’abord intérieur

Parfois, il subit ceux de l’extérieur,

Souvent, le mouvement de pensées,

Subit le flux de sa forte instabilité.

.

Que je sois ici ou là-bas,

Qu’il fasse beau, même pas,

Je vis chaque instant avec toi,

Bouger, personne m’empêchera !

.

Parfois je dois faire face à un stress

Lors un déplacement devient urgent.

C’est la vie, sans cesse, qui me presse,

Comme d’autres, je n’ai pas le temps.

.

Que je sois ici ou là-bas

Mon cœur restera avec toi :

C’est la chose  dont je suis sûr,

Et c’est la seule,  qui me rassure.

.

Combien de fois, je te le chanterai :

Autant qu’il te faut pour mémoriser.

Je suis plus attaché à toi, qu’à moi,

Ton absence me plonge en effroi !

.

.

Extensions

 .

Demeurer identique à soi-même en tout,

Partout et avec tout le monde, est un pari

Osé et difficile à tenir mais qui vous assure

De votre intégrité et autant de votre identité.

En amour, c’est le plus difficile car l’autre

Vous influence plus que vous ne croyez.

.

Identique ne veut pas dire sans

Aucun changement, psychorigide

Au point de tout refuser, et en bloc

Savoir s’adapter aux interlocuteurs,

Aux événements, aux circonstances

Sans modifier le cœur de ses valeurs

Et  de ses croyances  fondamentales.

.

Les adaptations sont périphériques

Comme les variations d’un air, joué

De diverses manières ou par divers

Instruments ou différents endroits.

Une  permanence  de  son identité,

Permet de conserver  son histoire,

Et, de relier  ses  souvenirs, en s’y

Reconnaissant   pleinement : ah,

C’est bien moi, ah, c’est bien lui.

.

Demeurer identique et fidèle à soi-même

Et  s’adapter, pour ne pas dire, évoluer,

Semblent a priori totalement opposés

Et pourtant il s’agit bien du même,

La mémoire n’oublie rien, fédère

Ou bien elle  détruit les nerfs

Pour  plus  de  plasticité,

Pour autre identité,

Bien qu’à moitié.

.

Se montrer tel que l’on est aux autres

Est une attitude qui pourra surprendre.

On aura bien plus à gagner, en endossant

Un personnage qu’à dévoiler sa personne !

.

C’est tout simplement mécanisme de défense,

Si je me mets nu, de moi qu’est-ce qu’on pense,

Alors je garde un vêtement et une porte de sortie :

Il me parait vital qu’on ne sache trop ce que je suis.

.

Devenir différent, tout en restant le même, est  comme

Tenter de résoudre la quadrature du cercle, antinomique

Pourtant l’on connait quelques savants, sages, centenaires,

Qui en témoigne de cette attitude rare et tout à leur honneur.

.

.

Épilogue

.

Une partie  de  moi est cohérente  et  stable :

Tient à mon enfance, éducation, orientation

Autre, soumise à l’échec, réussite, influence,

Qui fait que je change de cap selon les vents.

***

Les autres ont-ils une présence forte en moi,

Certains, certaines, oui, et  la majorité : non.

Les autres me disent ce que je suis selon eux

Et je me vois comme en miroir à trois faces :

***

Miroir de ce que je crois être,  en moi-même ;

Miroir de ce que je crois être, pour les autres ;

Miroir de ce que les autres  croient que je suis,

Ce n’est que la vision tripartite qui m’identifie.

***

Il en est un quatrième, essentiel, bien que subtil,

Que renvoient  êtres que j’aime, et  m’entourent :

Les yeux dans les yeux : impossible  de se mentir,

Peu de divergence entre ce que je suis /veux être.

***

Pour reprendre symboles d’horloge et de montre,

L’horloge est mon masque public, social et facial,

La montre est mon visage privé  et plus convivial.

Selon les contraintes, je présente, l’un ou l’autre !

***

Il y aurait comme une dialectique … permanente

Entre une individualisation et une socialisation :

Je suis bien obligé de suivre les règles de société

Mais pour ce qui de pensée de fond : ma liberté.

.

.

755 – Calligramme  

 .

Je resterai ce que je suis

Avec tout autre, familier,

Et sinon  même, étranger,

Tant, changer … je ne puis.

Tout peut paraitre  changer

En moi dans les apparences,

Mais pas ma propre identité

Que je jetterais en balance !

Je suis calme  ou  je bouge,

 M’énerve  même,  des fois,

Je crois savoir pour quoi,

Avoir franchi ligne rouge.

JE RESTERAI

Que je sois ici ou là-bas,

À Paris, ou dans ma villa,

Dans le train, dans mon lit,

Je reste encore ce que, je suis.

Contexte change autour de moi,

Où tout le monde bouge avec moi

Mais l’effet tourbillon, n’est en soi

Que leurre de vies par devers-soi.

CE QUE JE SUIS

Que je sois ici ou là-bas,

C’est pareil, à chaque fois,

Je ne m’ennuie jamais de toi,

Quand est-ce que  cela  finira !

Mouvement est d’abord intérieur

Parfois, il subit ceux de l’extérieur,

Souvent, le mouvement de pensées,

Subit le flux de sa forte instabilité.

AVEC TOUT AUTRE 

Que je sois ici ou là-bas,

Qu’il fasse beau, même pas,

Je vis chaque instant avec toi,

Bouger, personne m’empêchera !

Parfois je dois faire face à un stress

Lors un déplacement devient urgent.

C’est la vie, sans cesse, qui me presse,

Comme d’autres, je n’ai pas le temps.

.

Que je sois ici ou là-bas

Mon cœur restera avec toi :

C’est la chose  dont je suis sûr,

Et c’est la seule,  qui me rassure.

Combien de fois, je te le chanterai :

Autant qu’il te faut pour mémoriser.

Je suis plus attaché à toi, qu’à moi,

Ton absence me plonge en effroi !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

755 4

.

Un bracelet de montre,

Probablement,

Bracelet de montre,

Certainement.

 .

Le bracelet : succession d’événements

la montre leur étalement dans le temps

les deux concordent, vont bien ensemble

tant et si bien que forme épouse le fond.

.

Ces anneaux d’un bracelet de montre

Demeurent  presque tous identiques :

Il y a donc  un facteur  de stabilité

Qui varie peu avec les années.

.

Symbolique 

.

Outre ses fonctions décoratives,

Le bijou est au service, multiple

Autres  fonctions  ou  intentions.

.

Ces fonctions sont très variables

Selon les époques et les cultures.

.

Mais autant selon les croyances

Perceptions individu, le portant.

;

Bracelet plus que tout autre bijou

Signifiera Partage et Communion.

.

Le  bracelet  chaines métalliques,

Souples faits de maillons chaînés.

lyn-et-or-bijoux.com/content

.

Descriptif

.

755 – Je resterai ce que je suis avec tout autre 

  Alignement central / Titre  intercalé  / Thème  identité

Forme   droite / Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : bracelet / Symbole de fond : montre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

755 6

.

Ces anneaux d’un bracelet de montre

Demeurent  presque tous identiques :

Il y a donc  un facteur  de stabilité

Qui varie peu avec les années.

.

Symbolique 

.

La montre, c’est le temps.

Mais, contrairement à l’horloge

Qui  représente un  temps  commun,

La montre renvoie à un temps personnel

Car elle se porte au poignet et n’est vue

Que par celui ou celle qui la porte.

.

La montre  est  également un

Ornement  voire  un signe

Extérieur  de    richesse.

.

Lors le temps singulier

De la montre rappelle

Le  temps   qui  passe,

La vieillesse,   la peur

De la mort et difficulté

À s’incarner  dans  sa vie.

doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire

-des-reves/rever-de-montre

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le temps fait beaucoup bouger les choses

On embrasse de plus en plus de situations,

Lors il nous faut naviguer entre sa sincérité

Et part de mensonge qui nous sauve la mise !

.

Avantage de demeurer  tel qu’on était, est sera

Cohérence interne avec ses valeurs, faits et gestes

On dira de quelqu’un resté fidèle à lui-même, amis,

Qu’il est «droit dans ses bottes» : opinion qui ne botte

Pas en touche, quels que soient les conséquences à venir

 .

.

C’est peu de dire racines 

.

Scénario

.

  Ce que je suis : enfin, ce que je crois, ce que j’en sais, je maitrise,

si je suis avec qui que ce soit d’autre,  je penserai toujours à toi,

toi qui me fais vivre, chaque instant comme je suis : amoureux !

 .

Visuels et textuels  >>

691 – Le choix d’être vraiment ce que l’on est !

Visuels et textuels  >>

.

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

.

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

.

On reconnait bien là les hyperactifs,

Qui n’ont que  le temps de réfléchir

À ce qu’ils ont fait,  font  et  feront,

Pour s’éviter  d’avoir   à  faire front

À ce qu’ils ont été,  sont  ou seront !

.

Ont-ils, vraiment, choisi d’être ainsi :

On est en droit de se poser la question.

Nous sommes conditionnés, déterminés

Par  notre corps  aux capacités  limitées ;

Nous sommes dotés caractère particulier,

Et par un périmètre, relationnel, délimité !

.

On vit bien en observant normes et usages,

Sans se poser ni le pourquoi ni le comment,

C’est ainsi qu’on ne peut devenir autrement

Choisir  d’être, ce que l’on est, et l’assumer,

Est bien plus qu’une question de capacités

Et bien plus que  de  saisir  opportunités.

.

C’est tracer chemin  qui  nous  convient,

Pour le trouver, faut se connaitre, bien,

Douter de soi, et douter même des lois.

.

Cette lumière ne nous est pas donnée,

Au jour même de notre …  naissance,

Elle  s’exprime, au fil des ans, passés

À travers   nombre de  renaissances.

.

Ce  que   l’on   veut parmi  possibles,

Se  transforme  parfois  en  probable

Devient  même,   un jour,  accessible

Et  nous   permet   de faire son  choix.

.

Combien peuvent dire : j’ai  choisi,  moi,

Et personne d’autre n’a fixé mon objectif !

.

.

Extensions

 .

Oui mais voilà, qui est ce moi qui dit je :

Fruit de mon éducation, fruit de la société !

.

Comment faire  la distinction, la part du feu !

Rien n’est affaire de  psychologie,  philosophie,

Quand, sur soi, l’on s’obstine  à fermer ses yeux,

Chacun voit ce qu’il veut en lui et autour de lui.

.

L’important est de n’en pas faire une religion,

Et de proférer des vérités étant invérifiables.

.

Ce que je suis : qui peut le dire, je ne suis que le reflet

De ce que perçoivent, de ce que pensent autres de moi.

Comment sera-t-il possible, devenir plus grand que soi,

Si déjà, je ne sais pas à quelle hauteur je suis sur l’échelle

Des valeurs, l’échelle des bonheurs,  des cœurs,  rancœurs !

Je n’ai donc qu’à me contenter de ne n’être que ce que je suis,

Au point que je ne connaîtrai jamais ce que…  j’aurais pu être !

.

En matière de valeurs,

Qui décident des bonnes :

C’est que moi, évidemment.

J’ai le choix en des centaines.

J’ai donné ma vie, à mon pays,

Et mon cerveau, à la Science,

Mon cœur, au plus offrant,

Mon corps par accident.

C’est bien trop béni,

Je le sais, mais c’est ainsi,

J’ai voulu l’être, et je le suis,

Et je ne regrette pas mon pari

Maintenant que la fin approche

Je fouillerai encore mes poches

Pour donner à mes proches

Le fruit de  ma caboche.

.

.

691 – Calligramme  

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

*****************

********************

       On reconnait bien là les hyperactifs,

       Qui n’ont que  le temps de réfléchir

      À ce qu’ils ont fait, font  et feront,

        Pour s’éviter  d’avoir   à faire front

             À ce qu’ils ont été, sont L   ou seront !

                  Ont-ils vraiment choi  E   si d’être ainsi !

                     On est en droit de se   *   poser la question.

                         Nous sommes condi   C   tionnés, déterminés

                           Par notre corps aux   H      capacités limitées ;

                              Nous sommes dotés   O     caractère particulier,

                               Et par un périmètre,   I      relationnel, délimité !

                                On vit bien en obser   X    vant normes et usages,

                                 Sans se poser ni le      *  pourquoi ni le comment,

                                  C’est ainsi qu’on ne    D  peut devenir, autrement,

                              Choisir d’être, ce que  ‘      l’on est, et l’assumer,

                             Est bien plus qu’une  Ê  question de capacités

                              Et bien plus que de    T      saisir opportunités.

                           C’est tracer chemin   R   qui  nous convient,

                          Pour le trouver, faut  E   se connaitre bien,

                        Douter de soi,  et  douter  même  des lois.

                      ***********************************

                     **********************************

                      Cette lumière ne  C  nous est pas donnée,

                     Au jour même de  E   notre …  naissance,

                    Elle s’exprime, au   *    fil des ans, passés

                    À travers  nombre   O    de  renaissances.

                      Ce  que   l’on   veut    N    parmi  possibles,

                       Se  transforme  par     *     fois  en probable

                       Devient  même,   un     E     jour,  accessible

                        Et  nous   permet   de    S      faire son  choix.

                         Combien peuvent dire    T       j’ai  choisi,  moi,

                       Personne autre n’a fixé    *      mon …  objectif !

.

.

Forme

Réduction

.

Évocation

.

691 4

.

Ours qui se balance, déhanché,

Forme torturée, approximative,

Ou une  silhouette   d’un homme

Plutôt gras, par alimentation

.

On pourrait bien croire à un ours

mais c’est juste  un homme gras,

par suite d’une alimentation  qui

fait que sa forme évoque le fond.

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique 

.

Le gras sert à nous protéger du froid,

Il est aussi moyen de séduction, d’affirmer

Son côté maternel et sa capacité à enfanter.

Il marque la protection où me sens en danger,

Où ma vie me fait peur, me sens en difficulté.

.

Le gras stocke des réserves et des énergies

Potentielle et qui n’ont pas encore trouvé

Leur assouvissement et leur réalisation.

La partie inférieure du corps représente

La terre,  qui est la propre incarnation.

Le ventre est notre cerveau émotionnel,

Intestins, lieu des «émotions viscérales».

chemindevie.net/corps-et-rondeurs-symbolique-du-corps

.

Descriptif

 .

691 – Le choix d’être vraiment ce qu’on est !  

  Alignement central    /   Titre  droit   /   Thème  apparence

Formes anthropo / Rimes variées  / Fond approché de forme

Symbole de forme : gras /  Symbole de fond : alimentation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

691 6

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique de fond

.

Bien que le comportement

Alimentaire soit régulé par

Des facteurs physiologiques,

Via des signaux internes

Faim et le rassasiement.

.

Il dépendrait  également

De signaux perturbateurs,

Tels, l’environnement social,

Ou le stress, et voire le sommeil.

.

L’alimentation, source de plaisir,

Peut être recherchée pour sa dimension

Symbolique affective dans des cas de déficit

Persistant des vecteurs habituels d’affectivité,

D’éloignement familial, sentiment de solitude.

sucre.com/pro-de-sante/dimension-symbolique-

de-lalimentation-relation-lobesite

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il s’agit en gros de la part de l’inné

Du milieu et de l’acquis personnel :

Santé, nous avons tous un terrain,

Et que l’on appelle aussi l’hérédité.

.

Nous avons tous une communauté

Appelée,  famille, amis, collègues,

Enfin un élan, projet, désir  d’être

C’est le tout qui ferait ce que nous

Sommes  et ce que nous devenons.

.

Il peut y avoir quelque … accident

Qui nous mette en état dépendance

Nous faisant grossir ou bien maigrir

Mais ce sont nos capacités de résilience

Qui rétabliront sorte d’équilibre antérieur

Sommes responsable de ce que nous sommes.

 .

.

Plus de peut-être : choix binaire.

.

Scénario

 .

Je suis presque tout ce que je crois …  être,

l’important est d’être plus  grand que soi en tout,

et s’assurer d’éviter de tomber  en désespoir trop bas !

 .

Visuels et textuels  >>

1050 – Qu’importe qui l’on est ou ce que l’on fait !

Visuels et textuels >>

.

Qu’importe ceci, cela :

Essentiel est avant tout

De savoir  …  qui on est

Ce qu’on fait, et le reste,

Ça vaut, ou  rien du tout.

Ce qui fait  notre identité,

C’est notre fidèle mémoire,

C’est notre familiale histoire,

Dont on ne peut se débarrasser

Sans aussitôt se dépersonnaliser.

.

Qu’importe qui l’on est,

Qu’importe ce que l’on fait,

L’essentiel est d’être heureux,

Dès lors que la vie n’est que jeu.

Par les siens, sa société, le monde,

Un acte est jugé digne ou immonde,

Mais à la fin de vie, dernière seconde,

On efface tout et personne qui réponde

En termes de, honte, mépris, culpabilité.

Il n’y a que la mémoire qui peut entacher

La vie des enfants, ou, celle des  familiers.

On appartient à, sa famille, communauté,

Qu’importe qui on est, ou, ce que l’on fait,

A moins de, faire cavalier seul,  les renier.

J’ai le sentiment d’engager  plus que moi,

En tout ce que suis en tout ce que je fais,

Je peux être n’importe qui, en faux nom,

Et alors, je ne suis plus moi, qui suis-je !

Votre vie qui donne, comme un vertige,

À ne rien assumer, en tout se cacher.

C’est en fait question  de tolérance,

Membre n’est que représentant

De la famille mais pas entière

Aujourd’hui, demain et hier !

Qu’importe ce qu’on fait,

Qu’importe qui l’on est :

À une seule condition,

Celle d’en être fier.

.

On croit parfois on engage que soi

Lors on décide de se loger, se marier

Et on laisse nombre d’autres, de côté,

Prenant de la distance, temporalité,

À reconfigurer réseaux d’amitiés.

.

.

Extensions

 .

Qu’importe qui l’on est et ce que l’on fait :

C’est vrai et c’est faux, vrai, si l’on s’en fout

Et qu’on poursuit son chemin, seul, en dépit

Des obstacles et en se projetant loin devant.

C’est faux si l’on tient beaucoup à être utile

Et reconnu, intégré, totalement, dans une

Société qui avance sans voir  lendemain.

Le regard et le jugement des autres

Sur soi-même est un véritable

Baromètre de son niveau de

Socialisation et de moralisation.

Les rumeurs fondées in infondées,

Sont largement plus désastreuses que

Les faits eux-mêmes qui, bien que démentis,

Chacun  sait que l’on retient l’accusation face

À la relaxe ou au classement sans suite :

Injuste, certes, c’est comme ça !

.

Être, faire : qui on est, qu’est-ce qu’on fait, comment, pourquoi

Autant de questions et qui nous taraudent, de temps en temps.

Il faut bien être quelqu’un et bien faire quelque chose de sa vie

Et faire ce que l’on désire est aussi important que de s’intégrer

Dans  une  communauté, une activité, une société, mondialité :

L’adéquation entre soi et le monde dépend de son adaptabilité

Comme la société est constituée de majorité de gens  inconnus

La célébrité ne sera pas un gage de réussite  ni même d’utilité.

Etre efficient en  réseau, là où il faut, est notre nouveau credo.

.

On connait beaucoup mieux ce qu’on fait

Que qui on est : miroir, mon beau miroir

C’est l’entourage qui définit notre image,

Et pas toujours exacte, à notre avantage.

.

De là, à dire qu’on est que ce que l’on fait

Et cela au moins, chacun peut le vérifier,

Est des plus trompeur, sinon  réducteur :

On peut être passionné de… plus du tout.

.

L’identité serait un puzzle  ou mosaïque,

Résumant notre parcours, notre histoire,

Parfois, nous-même ayons peine à croire,

Tellement nous aurons, souvent … évolué.

.

.

Épilogue

 .

Ce que l’on est, ce que l’on fait,

Détermine part de notre identité

Entre notre personnalité et société,

Dressant, pour autres, notre portrait.

***

Alors de dire, qu’importe,  ferait-il sens :

N‘est-ce pas un contresens, voire non-sens

À vrai dire, non : le Monde est vaste, varié :

Chacun occupe une place utile, ou attribuée.

***

L’essentiel n’est pas d’être ceci plutôt que cela :

Essentiel est d’être heureux, qui qu’on soit, fasse,

Y a pas de sot métier, pas plus que de sottes gens :

On peut être heureux de rien, malheureux avec tout.

***

L’on peut affirmer qu’on est que produit de son milieu,

C’est en grande partie crédible mais exceptions existent,

C’est dû pour partie  à sa motivation ; partie, opportunité

La chance passe parfois, on ne la saisit, on nous l’interdit !

***

Si on s’interroge sur l’avenir,  on le fait autant sur son passé,

Si on ne définit pas une trajectoire qu’on ne va jusqu’au bout.

Il n’y aura pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va :

De dire qu’on a réussi mais qu’on est là par hasard, on croit pas.

.

.

1050 – Calligramme

 .

QU’IMPORTE

Qu’importe ceci, cela :

Essentiel est avant tout

De savoir  …  qui on est

Ce qu’on fait, et le reste,

Ça vaut, ou  rien du tout.

Ce qui fait  notre identité,

C’est notre fidèle mémoire,

C’est notre familiale histoire,

Dont on ne peut se débarrasser

Sans aussitôt se dépersonnaliser.

QUI ON EST

Qu’importe qui l’on est,

Qu’importe ce que l’on fait,

L’essentiel est d’être heureux,

Dès lors que la vie n’est que jeu.

Par les siens, sa société, le monde,

Un acte est jugé digne ou immonde,

Mais à la fin de vie, dernière seconde,

On efface tout et personne qui réponde

En termes de, honte, mépris, culpabilité.

Il n’y a que la mémoire qui peut entacher

La vie des enfants, ou, celle des  familiers.

On appartient à, sa famille, communauté,

Qu’importe qui on est, ou, ce que l’on fait,

A moins de, faire cavalier seul,  les renier.

J’ai le sentiment d’engager  plus que moi,

En tout ce que suis en tout ce que je fais,

Je peux être n’importe qui, en faux nom,

Et alors, je ne suis plus moi, qui suis-je !

Votre vie qui donne, comme un vertige,

À ne rien assumer,    en tout se cacher.

C’est en fait ques     tion  de tolérance,

Membre n’est          que représentant

De la famille           mais pas entière

Aujourd’hui          demain et hier !

Qu’importe               ce qu’on fait,

Qu’importe             qui l’on est :

À une seule              condition,

Celle d’en                  être fier.

ET CE QU’ON FAIT !  

On croit parfois on engage que soi

Lors on décide de se loger, se marier

Et on laisse nombre d’autres, de côté,

Prenant de la distance, temporalité,

À reconfigurer réseaux d’amitiés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1050 4

.

Une  identité  de  roman,

Inventé par quel qu’auteur

Pour le moins  énigmatique,

Pour le moins interrogatif ?  

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Il est vrai : identité interrogative

on a  pratiquement aucun  indice,

ça peut être : vous ou moi ou autre,

si fait  que la forme adresse le fond !

 .

Identité : le sait-on soi-même,

 Ou ce ne seraient que… les autres.

Un peu les deux, oui mais, jamais

 Complètement : on s’interroge ?

.

Symbolique 

.

L’identité de l’individu 

est,  en psychologie sociale,

Reconnaissance de ce qu’il est,

Par lui-même ou par les autres.

.

Notion d’identité est au croisement

De la sociologie  et  la psychologie,

Mais intéresse, aussi, la biologie,

La philosophie et la géographie.

.

En psychanalyse cette notion

Se retrouve dans le moi et

Dans  l’identification,

En philosophie elle

Se retrouvera dans

L’identité personnelle.

Wikipédia : identite

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

1050 6

.

Qui on est : le sait-on soi-même,

 Ou ce ne seraient que les  autres.

Un peu les deux oui mais, jamais

 Complètement : on s’interroge ?

.

Symbolique 

.

Interroger:   questionner,

Sonder,    fouiller,    scruter,

Tester, inspecter ,  examiner,

Comparer, délibérer, évaluer,

Collationner,          approfondir,

Consulter,    discuter,     surveiller,

Sonder,     questionner,      consulter.

S’interroger : s’informer,  se renseigner,

S’enquérir, se demander, se tâter, atermoyer,

Se documenter,  enquêter,  déterminer, procéder

À un interrogatoire, soumettre à un interrogatoire.

Source : Dictionnaire Français Synonyme

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Dans la vie, on ne fait que s’interroger

Sur qui on est, on  était, on deviendra,

Sur ce que l’on veut,  l’on ne veut pas :

C’est notre moindre qualité : curiosité

Et jusqu’au dernier souffle, continuer,

Cette recherche ne peut être terminée.

.

Alors qu’en réalité, on est ce qu’on est,

rien de plus, rien de moins, en devenir

entourage, relations, donnent identité

à laquelle, on adhèrera plus ou moins

en se surestimant ou en sous-estimant

jusqu’à ce qu’on se dise : qu’importe !

 .

.

Qu’on soit président, manant

.

Scénario

.

Tout le monde ne peut être connu, et ce d’une façon ou d’autre :

par multitude de jobs bien que différents et tous élémentaires :

le mien, je l’ai choisi, même si je ne le perçois qu’alimentaire !

 .

Visuels et textuels >>

662 – Je n’étais rien, devenu tout, à nouveau rien

Visuels et textuels  >>

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

 .

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

 .

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

 .

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Extensions

.

Combien de personnes, pourtant montées sur leur piédestal,

En ont été descendus, de leur vivant,  sinon  après leur décès ?

À un moment, elles sont servies de modèles, guides, prophètes,

Et puis, les temps changeants et les opinions en faisant autant,

Elles ont été reniées, démolies, exclues de la vue, de l’histoire !

Il en est de même en amour, au sujet des célébrités, adorées,

Avant d’être ignorées, ou pires, vilipendées, tels des chiens.

Et il en est de même quand on a été tout, pour quelqu’un,

Et que soudain on devient rien, pas même un souvenir.

 . 

Cela n’est pas vrai qu’on est tout,  ni qu’on est rien,

On demeure, toujours, quelque chose entre les deux,

On bouge comme curseur, entre bonheur et malheur,

Parfois à cause des autres, mais parfois de soi-même.

.

Cela veut dire, en somme, qu’on se sur ou sous-estime.

Quant à savoir pourquoi, et sur quels critères objectifs

Il faudrait que j’en parle à mon docteur  ou à mon psy,

Qui me diraient : vous de juger là où vous vous situez !

.

.

662 – Calligramme 

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

.

J E  N’ÉTAIS  RIEN,

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

DEVENU    TOUT,

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

À   NOUVEAU   RIEN 

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

662 4

.

Un piédestal

Avec  célèbre statue

D’un empereur romain

Qui va être déboulonné !

 .

Symbolique

 

Un piédestal est

Un  support,  isolé

Qui sert à recevoir

Colonne ou statue,

Un buste  et  voire

Grand objet d’art

Voire  d’ornement

Vase, candélabre,

Stèle, ou fontaine.

Lors une personne

Idéalise quelqu’un,

De façon  exagérée,

On utilise l’expression

«Mettre sur un piédestal».

Et,  à l’inverse, « descendre

Quelqu’un  de  son  piédestal »

Est être déçu en regard de l’image

Positive qu’on avait de cette personne.

Modifié, source : Wikipédia

 

Descriptif

 

662 – Étais rien, devenu tout, à nouveau rien 

  Alignement central  /   Titre intercalé    /  Thème  amour

Forme  anthropo / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : piédestal / Symbole de fond : déboulonné

 .

.

Fond

Évocation

 

Manque l’illustration ici 

De rien que j’étais avant je me retrouve

Sur très un haut piédestal :

Lors bien qu’étant haut, je me sens

Déjà prêt à être déboulonné.

.

Symbolique 

 .

« Le déboulonnage de statues,

C’est de la violence symbolique »,

Nous  explique Françoise Vergès,

Même pas de la violence passée »,

Mais guidée par des injustices

Ou discriminations ressenties

Lors au-delà de l’existence

De  certains    monuments,

Ce qui est critiqué dans ces

Actions de déboulonnages,

C’est la prépondérance d’une partie

De l’histoire, par rapport à une autre.

« Nous ne pouvons pas nous sentir français

Dans  un pays  qui  célèbre  l’esclavagisme,

Ce n’est pas possible » dit Louis-Georges Tin.

bfmtv.com/societe/antiracisme-statues

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Rien ne serait pas être considéré

Comme étant à terre, au ras du sol

Mais, carrément, plus bas que terre

Lors tout est être mis sur un piédestal

Et couvert de vertus voire de louanges,

Jusqu’à faire sa représentation stratifiée

Des deux côtés, sûr, y a de l’exagération !

On est souvent quelque chose entre les deux

Ni totalement intelligent, courageux… idéal,

Ni totalement idiot, asocial, peureux, animal.

 .

.

J’étais, je ne suis plus, serai ?

.

Scénario

 .

Rien et tout ne s’opposeraient pas dans la même personne.

Il faut souvent s’apprêter à n’être plus rien tout, d’un coup !

Tout est possible quand on a été tout qu’on est redevenu rien.

 .  

Visuels et textuels  >>

1015 – T’es qui, toi, t’es quoi : fils de manant, roi !

Visuels et textuels  >> 

.

 

Il était une fois, comme dit la chanson

Parole de troubadour en goguette

Eh, là,  t’es qui, toi … tais-toi

Tu es un fils de manant,

Pas  un  fils  de roi.

Et cela  te rend

Triste… bois.

De la noble

Nais-sance,

N’exclut   pas

Pauvre existence

Et si l’on s’en fiche,

On est quitte de jouer

Apparences de potiches.

On est riche chez pauvres

Mais pauvre chez les riches

Tant cela est vraiment relatif

Eh, là, t’es  qui,  toi,  t’es quoi :

Un fils de manant,  ou fils de roi.

.

Tu es triste, lorsque  autour de toi

On s’amuse, on rit, fait la fête quoi.

Tu n’en as pas  le cœur à chaque fois,

Tu ne te sens  aimable : c’est ton droit,

Les autres n’auront pas à subir un choix

Et, le sourire, appelle le sourire,  je crois !

.

T’as peur que bonheur file entre tes doigts,

Comme vent, eau, sable, il ne se retient pas :

Tu sais qu’une fois passé, il ne reviendras pas,

Mais, il en est de nouveaux et qui pointent déjà.

Sûr qu’il y a bien plus heureux au monde que toi.

Encore faut-il s’assurer qu’ils sont vraiment en joie

T’es-tu posé la question : qui est malheureux en soi,

Celui qui n’a qu’espérance, que lendemain, pourvoit.

.

Tout est relatif on peut être un pauvre chez les riches

Et un riche  chez les pauvres, qui n’auront  pas miche,

Qui te feront la manche,  pour manger  leur sandwich,

Et, de penser  à eux, empêcherait  que tu pleurniches !

Mais non, rien n’y fait, car, tu te sens, bête, incompris,

Pour supporter les autres, tu aurais besoin de hachich,

D’anxiolytiques, de psychotropes,  avec qui, tu affiches,

Un air, venu d’ailleurs et qui te fait tourner… derviche.

.

De moi, personnellement, je  sens, que  tu  t’en  fiches !

Je voudrais  t’aider, mais, tu ne  bouges plus : potiche :

Alors que  tu pourrais,  gambader, avec moi : pouliche !

Tu n’y consens pas, alors que  moi, je te disais : chiche !

Je ne sais que te dire, ni te faire, tandis que je pastiche,

Sinon que te faire rire avec mes vilains vers acrostiches,

Pour toi, je voudrais cultiver  une terre, laissée en friche,

Qui produirait fleur authentique, parce qu’elle ne triche.

 .

.

Extensions

 

Je ne suis ni fils de manant, ni fils de roi :

Homme simplement, j’ai la vie devant moi,

Pour garantir, pour chérir  et pour réussir

La tienne, qui sera aussi la mienne, pour

Peu que tu y tiennes et pour peu qu’on

La construise, ensemble, et en dépit

D’évènements nous déconcertant,

Nous séparant pour un instant.

 .

Un fils de manant peut un jour devenir le roi de quelque chose.

Un destin ne sera pas rémanent, de père en fils, tout le temps,

Faut juste avoir du courage  et  de la ténacité  et  sans pause,

Faut saisir les bonnes opportunités, sentir le bon vent passer,

Sinon on risque de passer sa vie à nourrir, soigner les cochons

Ça n’empêche pas être heureux mais ça réduit toute possibilité

D’évoluer, de progresser, de faire autres expériences souhaitées.

Il n’y a pas qu’une différence d’égalités,

Entre riches et pauvres : de possibilités !

.

La possibilité de devenir tout autre chose,

Pour un riche, tient avant tout à son statut

Il a de l’argent, des relations et quand il ose,

Et ne réussit pas, il pourra revenir en arrière.

.

La possibilité pour un pauvre, est très limitée,

Aucune porte  ne lui sera ouverte, sans  appuis,

Il a peu d’argent, de relations  et quand il osera,

S’il se plante, il risquera de se retrouver à la rue.

.

Il a pour honneur que sa réussite tient avant tout

À lui, à son travail,  son efficience et son efficacité.

.

.

1015 – Calligramme

.

T’ES QUI, TOI :

Il était une fois, comme dit la chanson

Parole de troubadour en goguette

Eh, là,  t’es qui, toi … tais-toi

Tu es un fils de manant,

Pas  un  fils  de roi.

Et cela  te rend

Triste… bois.

De la noble

Nais-sance,

N’exclut   pas

Pauvre existence

Et si l’on s’en fiche,

On est quitte de jouer

Apparences de potiches.

On est riche chez pauvres

Mais pauvre chez les riches

Tant cela est vraiment relatif

Eh, là, t’es  qui,  toi,  t’es quoi :

Un fils de manant,  ou fils de roi

Tu es triste, lorsque  autour de toi

On s’amuse, on rit, fait la fête quoi.

Tu n’en as pas  le cœur à chaque fois,

Tu ne te sens  aimable : c’est ton droit,

Les autres n’auront pas à subir un choix

Et, le sourire, appelle le sourire,  je crois !

T’as peur que bonheur file entre tes doigts,

Comme vent, eau, sable, il ne se retient pas :

Tu sais qu’une fois passé, il ne reviendras pas,

Mais, il en est de nouveaux et qui pointent déjà.

Sûr qu’il y a bien plus heureux au monde que toi.

Encore faut-il s’assurer qu’ils sont vraiment en joie

T’es-tu posé la question : qui est malheureux en soi,

Celui qui n’a qu’espérance, que lendemain, pourvoit.

FILS  DE  MANANT 

Tout est relatif on peut être un pauvre chez les riches

Et un riche  chez les pauvres, qui n’auront  pas miche,

Qui te feront la manche,  pour manger  leur sandwich,

Et, de penser  à eux, empêcherait  que tu pleurniches !

Mais non, rien n’y fait, car, tu te sens, bête, incompris,

Pour supporter les autres, tu aurais besoin de hachich,

D’anxiolytiques, de psychotropes,  avec qui, tu affiches,

Un air, venu d’ailleurs et qui te fait tourner… derviche.

OU  FILS  DE  ROI ?  

De moi, personnellement, je  sens, que  tu  t’en  fiches !

Je voudrais  t’aider, mais, tu ne  bouges plus : potiche :

Alors que  tu pourrais,  gambader, avec moi : pouliche !

Tu n’y consens pas, alors que  moi, je te disais : chiche !

Je ne sais que te dire, ni te faire, tandis que je pastiche,

Sinon que te faire rire avec mes vilains vers acrostiches,

Pour toi, je voudrais cultiver  une terre, laissée en friche,

Qui produirait fleur authentique, parce qu’elle ne triche.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1015 4

.

Un verre à l’envers

Et avec un petit pied,

Une cravate très large

Totem pour information

 

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Verre de riche ou de pauvre,

Verre à l’endroit ou à l’envers

Allez savoir … en tous cas, fin

Ou gros, il est toujours fragile !

.

Symbolique

.

Le verre est un des premiers

Matériaux, créé par l’homme.

Il est le symbole de la fragilité,

La finesse et la transparence :

Par  exemple,  la pantoufle  de

Verre   de    Cendrillon   utilisé

Le conte de  Charles Perrault

Dessin  animé   Walt Disney.

Il est  parfois  considéré que

Dans  vrai   conte, original,

La pantoufle  était de vair,

Mais  Perrault  a  écrit  sa

Version de l’histoire  avec

Une pantoufle  de  verre

Dessin  animé reprend

Également cette idée.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

1015 6

.

Verre de riche ou de pauvre,

Verre à l’endroit ou à l’envers

Allez savoir … en tous cas, fin

Ou gros, il est toujours fragile !

.

Symbolique 

 .

Jean-Louis Chrétien écrit :

« Le  verre  forme  le symbole

Le plus courant et le plus banal

De la fragilité, étant cela qu’on

Peut aisément briser» mais  il  ne

Faudrait pas entendre par là, que

Le verre est comme un emblème de

Toutes les choses fragiles, mais  que

«Ce symbolisme  du verre ferait  de lui

Un miroir de notre propre fragilité ».

La description de la fragilité  physique

«Du verre et de l’argile à la bulle de savon»

Trouve son sens en l’évocation de la fragilité.

cairn.info/revue-rue-descartes-2018-2-page-45.htm

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Mon verre n’est pas grand

 Mais je bois dans mon verre,

Nous clame Alfred de Musset,

Mieux vaut être modeste, libre

 Que puissant  et  que dépendant

Ou  un petit,  chez soi,  est mieux

Qu’un plus grand chez les autres.

Ce n’est pas que problème de taille

Ou de quantité mais bien de qualité.

Notre  bonheur ne doit pas  dépendre

Que de bonne volonté, service d’autres.

 .

.

Fils de pauvre et de riche

.

Scénario

.

Un enfant ne tient pas compte du fait qu’il soit pauvre, riche,

il s’amuse de tout, de toutes façons, il a besoin  de  peu de choses,

ce qui n’est pas le cas étant adulte, sans espoir d’une réussite sociale !

 

 

Visuels et textuels  >> 

621 – D’où te provient ton… mystère !

Visuels et textuels  >>

.

Ton mystère, aurais-je décelé,

Ton mystère, l’aurais-tu révélé,

Ton mystère, l’aurais-je inventé,

Ton mystère demeure-il caché !

S’il n’est en toi, il est autour, l’aura

Qui t’enveloppe, te nimbe de brume

Ou de lumière, de parfum, de fortune,

Et que tu diffuseras en suivant ton pas.

.

Tantôt, il s’éclaircit,  il s’épaissit,

Ou quand il disparait rebondit,

Plus dense et plus fort  encore,

Il est de partout et nulle part,

De l’autre côté de ton miroir.

.

D’où te provient ton mystère où le caches-tu,

J’ai fouillé partout chez toi en toi, et pas perçu

Le moindre indice qui me mettrait sur une piste

Ni la moindre hypothèse à coucher sur une liste.

.

Tu n’es et tu n’as, pourtant, rien d’extraordinaire,

Justifiant, d’un tel étonnement, de telles émotions,

Tressaillant tout mon corps et à chaque perception

De  ta silhouette  dansante  comme  parure, en l’air.

 .

Ton aura demeure un mystère lors j’ai beau soulever

Un coin ou autre, de son voile, jamais,  ne se dévoile :

Il est partout, et nulle part, en toi, hors de toi, ancré :

Comme le portrait qui me dévisage et peint sur toile.

.

Sans doute, est-il en ton étoile,  dont reflet manifeste

Son éclat, son ombre, en tes moindres faits et gestes

Dont je ne percevrais  que l’image  que  je  m’en fais,

Transformée en mystère qui m’échappe et me plait.

.

Chaque fois  que  je crois  pouvoir,  enfin te cerner,

Tu disparais et réapparais autrement d’autre côté,

En tes jeux de miroirs, plans concaves, convexes,

Je comprends mieux ta personnalité complexe.

.

.

Extension

 .

D’où te provient ton mystère :

Serait-ce-moi qui l’ai créé, inventé,

Projeté sur toi pour te parer de qualités

Que tu n’as pas  mais qu’il me plait de voir

En toi double de moi, complément au choix.

.

Énigmatique,  pourtant,  tu ne l’es pas tant

Je connais  de choses,  à présent,  sur toi,

Mais  j’ai beau creuser, creuser  encore,

Plus je te fouille plus je m’embrouille

En ton image qui au départ, floue

Devient de plus en plus  nette,

Et très nette, redevient floue.

.

Tantôt myope et tantôt presbyte,

Parfois je sais bien, et parfois moins,

Où mon cœur habite quand je suis pris

D’une folle envie subite, d’avenir commun,

Je médite, à me demander si, de notre amour,

L’on sera quitte, maintenant, je comprends

Que c’est  ton  âme qui … m’échappe,

C’est la même qui me rattrape

Quand le moral me sape.

.

Le mystère d’une attirance n’est pas celui de l’amour

On peut que globaliser les deux mais pas les analyser

Ni une personne ni l’amour n’existent en éprouvettes

L’amour est, à la fois, un don et fruit d’une conquête.

Il est vrai que des personnes  ont l’aura d’un mystère,

Ont force d’attraction, peu commune ou un charisme

Qui les révèlent comme des chamans, ou guérisseurs,

Mais il y a aussi, il y a les bellâtres et les mannequins

Qui n’ont besoin de rien pour conquérir, en requins !

.

Le mystère de l’amour s’épaissit des projections

Et fantasmes que l’on associé au partenaire aimé.

Pendant quelques temps, on aura du mal à avouer,

En réalité pourquoi on est attiré, pourquoi on aime.

.

Peu à peu, avec le temps, les événements, et l’usure,

Le mystère s’éclaircira, sans se dissiper totalement

On s’inventera alors des raisons qui n’en sont pas

Pour garder le lien ou se séparera pour d’autres.

.

.

Épilogue

.

Une part de lumière,

Une part  …  d’ombre,

Une part … de mystère

En chacun, son nombre.

.

Mystère rime avec secret,

Lumière  rime  avec reflets,

Ombre rime avec obscurité :

Le tout compose personnalité.

.

La tienne m’interroge sans cesse

Je ne parviens jamais à la cerner,

Or c’est cela aussi ce qui me plait :

Je ne pourrais te révéler d’un trait.

.

Ce n’est pas tu es muette, taciturne,

Tout, en toi, me semble bien diurne,

Des choses m’échappent, infortunes,

Il me faut faire l’enquête, plus d’une.

.

Peut-être qu’une part de ton mystère,

Serait créé du seul fait de nous aimer,

On la partagera sans pouvoir la révéler

Du moins tant qu’on vivra père et mère.

.

Parfois, avec le temps, mystère s’éclaircit,

On attribue le choix partenaire à l’enfance :

Ce n’est qu’une hypothèse voire une éclaircie

Qui ne nous fournit pas une vérité, délivrance.

.

.

621 – Calligramme

 .

Ton mystère,  D  aurais-je décelé,

Ton mystère,    I   l’aurais-tu révélé,

Ton mystère,    S   l’aurais-je inventé,

Ton mystère      –     demeure-il caché !

S’il n’est en toi,   M    il est autour, l’aura

Qui t’enveloppe,   O   te nimbe de brume

Ou de lumière, de  I      parfum, fortune,

Que tu diffuse, en   *     suivant tes pas.

Tantôt, il s’éclaircit,  D     il s’épaissit,

Ou quand il disparait       rebondit,

Plus dense et plus fort  O  encore,

Il est partout et nulle  Ù  part

 D’autre côté de ton  * miroir.

                        T

D’où te provient ton mystère  E   où le caches-tu,

J’ai fouillé partout chez toi    *    en toi, et pas perçu

Le moindre indice qui me    P   mettrait sur une piste

Ni la moindre hypothèse    R      à coucher sur une liste.

O ………..

Tu n’es et tu n’as,          V   pourtant, rien d’extraordinaire,

Justifiant, d’un tel          I     étonnement, de telles émotions,

Tressaillant tout mon       E        corps et à chaque perception

De ta silhouette dansante      N             comme parure, en l’air.

         T

Ton aura demeure un mystère lors     *              j’ai beau soulever

Un coin ou autre, de son voile,         T          jamais ne se dévoile :

Il est partout, et nulle part,     O           en toi, hors de toi, ancré :

Comme le portrait qui       N         me dévisage et peint sur toile.

* ……………….

Sans doute, est-il en       M      ton étoile, dont reflet manifeste

Son éclat et son ombre     Y     en tes moindres faits et gestes

Dont je ne percevrais que      S       l’image, que je m’en fais,

Transformée en mystère qui    T    m’échappe et me plait.

                   È

Chaque fois que je crois pouvoir,    R    enfin te cerner,

Tu disparais et réapparais autrement  E d’autre côté,

En tes jeux de miroirs, plans concaves  ?  convexes,

Je comprends mieux ta personnalité  * complexe.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

621 4

.

Une fiole remplie

Liquide mystérieux :

Un parfum d’intimité

Qui sait philtre d’amour

.

Intimité et philtre d’amour surtout

s’il s’agit d’un bon parfum capiteux

se rapproche du mystère d’influence

et donc l’évoquera  et plus qu’un peu.

.

Mais que sont donc le mystère de l’intimité

De l’attirance mutuelle : 

Que ce soit phéromones, philtre d’amour

Personne ne l’a percé à jour.

 .

Symbolique 

 .

Interaction entre hommes / femmes

Un vrai match, vous vous en doutiez,

Les hommes et les femmes  n’ont pas

Même mode d’emploi,  mode de vie !

.

Si tout le monde  se retrouve  autour

De définition commune de l’intimité

Nécessité  de  presque  tout  partager,

La vision du corps, elle,  reste  le point

De dissonance entre hommes / femmes.

.

Mais l’homme d’aujourd’hui sait parler :

Lors il n’hésite plus à partager son intimité

Et cherche même à comprendre toute femme

Tant il est vrai que l’homme en sait plus sur elle

Que vous ne l’imaginez, et ce, malgré vos préjugés,

Votre intimité a de moins en moins de secret pour lui.

magicmaman.com/,l-intimite-feminine-vue-par-les-hommes

.

Descriptif

 .

621 – Dis-moi d’où te provient ton mystère ?

Alignement central  / Titre serpente / Thème regard

Forme ronde  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : intimité / Symbole de fond : philtre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

621 6

.

 Mais que sont donc le mystère de l’intimité

De l’attirance mutuelle : 

Que ce soit phéromones, philtre d’amour

Personne ne l’a percé à jour.

 .

Symbolique 

 .

Une plante magique est une plante à laquelle

La tradition populaire  confère  des propriétés

Surnaturelles  pouvant être utilisées, en magie,

Ou en sorcellerie, des plantes favorisent l’amour,

C’est-à-dire aphrodisiaques, également les plantes

Qui refroidissent les ardeurs, ou  anaphrodisiaques.

.

Mais que sont très exactement tous ces phéromones ?

À quel point peuvent-elles influer sur  comportement ?

On leur prêtera  vertus dignes des philtres d’amour.

Elles seraient comme des sortes de messages invisibles

Irrésistibles, et  influençant nos choix de partenaires.

Wikipédia + allodocteurs.fr/actualite-sante-les-pheromones

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un mystère plane toujours autant sur l’amour,

Qu’au début de l’Humanité et basé sur l’émotion

Qui paraitrait être un véritable philtre d’amour

Que nous distillons nous-mêmes en notre sang.

.

Il demeure difficile à un  observateur étranger

À un couple de pénétrer cœur de son intimité

Mais on constate que pendant un orgasme,

Arbre de noël s’allume en deux cerveaux.

On est plus niveau des ondes externes

Mais bien des connexions internes.

 .

Air bien mystérieux

.

Scénario

.

Le mystère de ton regard qui semblerait percer la lumière.

Le mystère de ton buste qui provoque et conforte, à la fois.

Le mystère de ton aura qui t’entoure d’un bleu  si éclatant.

.

Visuels et textuels  >>

233 – Sommes-nous sur le même bateau !

Visuels et textuels   >>

.

Tout comme la et tout comme

Vision monde, vision bateau

Chacun   se   représente

Sa vérité imaginaire.

.

Nous ne sommes pas embarqués

Sur le même bateau.

Pour capitaine, c’est son bébé

Pour équipier, un transport

Et qui emprunte l’eau

Comme une seconde peau.

.

Le premier est un grand bricoleur,

Le second n’est que petit matelot,

Premier, un grand navigateur ;

Second, gratte-papier à gogo.

.

Au premier, bateau, c’est de l’or,

Au second, que de l’argent,

Quoique  bien plus encore.

Il n’est pas de son sang,

Mais qu’importe, l’essentiel

Est d’être bien ensemble.

.

Nous ne sommes pas embarqués

Sur le même bateau,

Le sien est bien réel et soigné,

Trois mois sur l’eau,

Le mien est plus virtuel,

Imaginé.

.

Il n’est pas vécu

De la même façon,

Pour la même raison,

Avec autant d’émotions,

Ne déclenche pas passions

D’amour un peu fou, éperdu.

.

Nous ne sommes pas embarqués

Sur le même bateau :

Le sien est bien plus important, beau

Qu’ensemble de mes mots

Et pourtant pour bien le décrire, l’embellir

Je m’efforce mais ce sera trop.

.

J’imagine un bateau en papier de ma confection

Naviguant sur un océan de maux

Que je raconte pour intéresser tous les auditeurs

Qui n’osent traverser seul la mer,

Affronter ses furies, ses tempêtes, ses humeurs

Nombreuses et vagabondes.   

.

.

Extension

.

Cette métaphore vaut aussi pour le couple,

S’il a des intérêts contraires, sinon divergents

Mais ni la morale ni le rêve ne suffisent pour bâtir

Un couple ni à le détruire : par contre, sur un bateau,

Si l’un s’ennuie et l’autre se passionne, il y a problème

Qui à la longue, finit par les distancier ou les séparer

Quel que soit la valeur de chacune des personnes.

.

Car océan de l’eau ne serait pas eau de l’Océan

Comme océan des mots ne sera pas de maux !

Il faudra  un minimum de temps, pour vivre,

Sur le même bateau à chacun de se le définir

Femmes disent parfois ne pas craindre la mer

Mais ne pas en jouir, se satisfont du cabotage.

.

«Je te rejoins par route ou par train ou avion :

Appelle-moi quand tu auras fini ta traversée ».

J’ai vécu cette situation et je ne m’en plains pas :

À chacun ses plaisirs, ses contraintes et ses choix,

Dès lors l’expression « être sur le même bateau »

Prendra tout son sens si chacun en tire un profit.

.

Le bateau est un lieu de partage, et non, de lutte,

S’il est de lutte, projet de croisière tombe à l’eau,

Si ce n’est pas l’équipier qui débarque, à l’escale.

.

 C’est fou quand même ce nombre d’embarcations, bateaux, voiliers

Différents depuis un tronc d’arbre creusé pour pirogue, pour canoë,

Et cargo, ou pétrolier, ou porte conteneur, ou trois-mâts, paquebot !

Et puis qu’est-ce que ça veut dire, au figuré, être sur le même bateau

Avoir la même sensation, préoccupation, même direction… passion ?

À chacun de répondre, en son âme et conscience, à une telle question

Pour ma part, j’ai dit ce que j’en pense, je n’ai donc rien à y rajouter !

.

Oui, nous sommes bien dans le même bateau

À partager mêmes plaisirs et mêmes misères,

Dans la même situation et dans la même eau,

Autant dire dans le même bain, même galère.

.

Tout cela n’est pas de l’imaginaire : la réalité,

Or elle peut être vécue de plusieurs manières,

Selon qu’on panique  ou qu’on peut rien faire,

Ou qu’on y fait face avec beaucoup de métier.

.

Comme on dira, entre marins, au long cours,

Sur bateau, tu dois tout gérer  par toi-même,

Tu ne peux attendre aucun secours extérieur,

Sauf si tu vas couler, déclenchant «mayday !»

.

.

Épilogue

.

Si  nous  sommes bien, physiquement,

Le capitaine, moi, voire autres équipiers,

En même bateau, c’est pas toujours le cas,

Ni de cœur, ni d’esprit, et parfois … d’âme.

***

Cette expression, forte, se voudra de signifier

Que non seulement nous visons un même but,

Mais que nous devons joindre toutes nos forces

Pour l’atteindre : question de vie ou … de mort.

***

Ici ce n’est que de la plaisance, plaisir avant tout

Mais il y aura comme une différence  entre ceux

Qui se dorent au soleil sur le pont, en farniente,

Et ceux qui s’activent en cuisine et navigation.

***

Tout comme  il y a de grandes différences,

Entre le propriétaire bricolant sans cesse

Et l’équipier invité  qui pense à rêvasser

Et c’est, parfois, difficile  de cohabiter.

***

On peut donc être en même bateau

Sans y être vraiment …  au figuré :

Impression que j’ai …  au ponton,

D’être toujours actif, sur le pont.

.

.

233 – Calligramme

 .

Tout comme la          et tout comme

Vision monde           vision bateau

Chacun  se               représente  

   Sa vérité                imaginaire

.

Nous ne sommes pas embarqués sur le même bateau.

Pour capitaine, c’est son bébé / pour équipier, c’est un transport

Qui emprunte l’eau                                                       sa seconde peau ;

Le premier est un grand bricoleur, / le second n’est qu’un petit matelot,

Un grand navigateur ;                                          un gratte-papier à gogo.

Au premier, bateau, c’est l’or,     /   le second, seulement de l’argent,

Et bien plus encore.                                  il n’est pas son sang,

Mais qu’importe, l’essentiel est d’être bien ensemble.

.

Nous ne sommes pas embarqués

Sur le même bateau,

Le sien est bien réel et soigné,

Trois mois sur l’eau,

Le mien est plus virtuel,

Imaginé.

.

Il n’est pas vécu

De la même façon,

Pour la même raison,

Avec autant d’émotions,

Ne déclenche pas passions

D’amour un peu fou, éperdu.

SOMMES-NOUS

Nous ne sommes pas embarqués

Sur le même bateau :

Le sien est bien plus important, beau

Qu’ensemble de mes mots

Et pourtant pour bien le décrire, l’embellir

Je m’efforce mais ce sera trop.

DANS UN  MÊME BATEAU ?

J’imagine un bateau en papier de ma confection

Naviguant sur un océan de maux

Que je raconte pour intéresser tous les auditeurs

Qui n’osent traverser seul la mer,

Affronter ses furies, ses tempêtes, ses humeurs

Nombreuses et vagabondes.   

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

233 4

.

Évocation 

.

Un tire-bouchon à entonnoir,

Un tampon encreur très design

Ou serait-ce une planche à voile

Portée par un couple de marins ?

.

Une belle  planche à voile avec porteurs,

à moins qu’il ne s’agisse de planche de surf

et voire de kite surf : en fin bref, qu’importe,

les trois formes évoquent assez bien le fond.

.

Être à deux sur une planche,

Vaut mieux bien s’entendre

Sinon vite, plouf dans l’eau,

Il en est de même bateau à voile.

.

Symbolique 

 .

Avant l’invention

De la planche à voile

Telle que nous la connaissons,

Et conçue pour naviguer debout,

Avec gréement libre monté sur cardan,

Le terme de Planche à voile était utilisé pour

Des petits dériveurs de plage, qui étaient plats,

À l’accastillage minimaliste parfois sans cockpit

Qui étaient équipés  d’un gréement simplifié,

Comme  le Sunfish, le Sailfish  américain

Et son prédécesseur un peu plus petit,

Ou le Beachcomber britannique.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

.

233 – Sommes-nous en même bateau ?

Alignement central / Titre  absent / Thème  rencontre

Forme anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : planche / Symbole de fond : voiles

.

.

Fond

.

Évocation 

.

233 6

.

Être à deux sur une planche,

Vaut mieux bien s’entendre

Sinon vite, plouf dans l’eau,

Il en est de même bateau à voile.

Symbolique 

 .

Mettre les voiles,

Est l’expression illustrant

Bien le symbole.

La voile se gonfle  et  se lève,

Se tend,  s’étarque,  se réduit,

Se baisse, s’abat…

Se remplit, se vide,

Se courbe, flotte ou faseye au vent,

Reflète le besoin du départ imaginé,

L’invitation à quitter  la terme ferme

Pour l’élément liquide.

Il faut se rappeler que l’on ne quitte pas

Le port ou la marina sur un coup de tête,

Et qu’un voyage se prépare

En prenant en compte les conditions météo.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Mettre les voiles avec sa planche à voile

Oui, d’accord pour une journée et encore

Je ne risque pas  de traverser le Channel,

Bien qu’une femme ait traversé Atlantique

Faire plus petit, comme bateau, tu meurs !

Aux origines, c’était  un dériveur de plage

Concurrencé aujourd’hui par le kitesurf.

.

.

Hommes rament, même bateau

.

Scénario

.

Un bateau, schématique classique, avec une forme de coque, voile.

Un bateau, avec une ligne  épurée, équipement moderne et complet.

Un bateau lourd et peu toilé et qui avance lentement et sans confort.

.

Visuels et textuels   >>

231 – L’intello, mécano sur le bateau !

Visuels et textuels  >>

.

Comme de mousse, à capitaine,

L’intello  s’oppose à mécano,

Premier aux idées, pousse,

Second à l’action il faut.

Le premier…navigue

Dans  … sa  tête ;

Et  le second :

Sur  les  flots.

Lors  ils   sont,

Sur même bateau

Mousse  est  l’intello,

Et le mécano : le patron.

L’important n’est pas savoir

Naviguer, mais, bien anticiper

Toutes les situations  possibles :

Et d’y faire face, et à bon escient.

 .

C’est en forgeant qu’on …

Et c’est en naviguant qu’on  …

Mais l’intello, sur un beau bateau

Ça fait quoi : ça contemple les flots :

Mécano,  dans vieille coque  ou  rafiot

Ça fait quoi : ça fait mécanique, bricolo.

 .

L’intello appuie sur le bouton, ça marche,

Se disant confiant …comme un patriarche,

Mécano  vérifie, si, sa check-list : complète,

Il la prend, souvent, en défaut, se la répète.

.

L’intello  veut compren dre tous les ordres,

Ce faisant, les retardent, crée  un désordre.

Mécano exécutera une procédure adaptée,

Ne demande pas aux bras de philosopher.

 .

Ce n’est pas tant  qu’ils soient  si opposés

Que dissociés, face à une action pointée :

Moi, je suis, je joue, sans doute, l’intello,

Le capitaine reste un manuel sans mots.

.

Chaque manœuvre  entonne ritournelle :

Souvent, avec cent mots, est trop rebelle :

Je reconnais mécano, plus  adroit que moi

N’a pas deux mains gauches : un seul bras !

 .

Je lui dois en apprenant une fière chandelle,

Il me doit, en le suivant … patience éternelle,

Comment lui dire, qu’en lui … j’ai confiance,

Quand naviguer, pour lui, n’est qu’évidence.

.

Mécano, très sûr de lui,

Est le skipper… sur l’eau ;

L’intello, moins sûr, de lui,

Sera skipper mais par défaut.

.

.

Extension

.

S’agit-il d’un mariage

Entre carpe (capitaine)

Et un lapin (intellectuel) ;

Le mot lui-même de «lapin»

Étant pour des raisons historiques

Compréhensibles et désormais obsolète,

Est prohibé sur un bateau, quand il est en bois.

.

Carpe vit dans l’eau, ça aide un peu, beaucoup

Quand même alors que le lapin se terre

Et a peur de l’eau, entre autres.

.

Mais pour apprendre à naviguer,

En tout temps, et toutes distances,

Il faut bien sûr avoir connaissances

Préalables et surtout de l’expérience

Et de bons, et de solides, réflexes.

.

La main prévaut sur le cerveau

Si la main sait faire mieux,

Plus vite qu’on ne le pense !

.

Qu’est-ce qu’un intello, qu’est-ce qu’un mécano :

Il se peut que sur bateau, on soit un peu les deux,

Mais l’un plus que l’autre, ils se prêtent main forte,

Quand l’un n’a plus d’idée  et qu’il en vient à l’autre !

À vrai dire, l’on ne peut distinguer qu’artificiellement,

La main et le cerveau  tout comme le mécano et l’intello

Celui qui fait est tout aussi important que celui qui pense

L’un pensera à ce qu’il fait lors l’autre, fait ce qu’il en pense,

Moi je fais déjà trop intello en utilisant ici près de cent mots !

.

Un mécano, chacun sait, est comme un musicien

Ambidextre  autrement dit, a deux mains droites,

Un intello, chacun sait, est comme un handicapé,

Paralysé,  autrement dit, a deux mains gauches !

.

À choisir avec qui naviguer, le premier est mieux

Pour raconter des histoires, le second est parfait !

 À vous choix entre débat philosophique, technique

Remarquez que l’un n’empêche pas l’autre, parfois.

.

.

231 Calligramme 

.

Comme de mousse, à capitaine,

L’intello  s’oppose à mécano,

Premier aux idées, pousse,

Second à l’action il faut.

Le premier…navigue

Dans … sa tête ;

Et le second :

Sur les flots.

Lors  ils  sont,

Sur même bateau

Mousse  est  l’intello,

Et le mécano : le patron.

L’important n’est pas savoir

Naviguer, mais, bien anticiper

Toutes les situations possibles :

Et d’y faire face, et à bon escient !

 .

*******************************

************* C’est en forg                    eant qu’on ************

************* C’est en navi                   guant qu’on ***********

*********** Mais l’intello, sur  un  beau  bateau ***********

********* Ça fait quoi : ça  contemple les flots ! *********

****** Mécano, dans vieille coque ou rafiot *******

*** Ça fait quoi : ça fait mécanique, bricolo ***

 .

L’intello appuie sur le bouton et ça marche,

Se disant confiant  I   comme un patriarche,

Mécano vérifie si sa  N  check-list : complète !

Il la prend, souvent,    T en défaut, se la répète.

L’intello  veut compren   E   dre tous les ordres,

Ce faisant, les retardent,   L   crée un désordre.

Mécano exécutera une pro  L  cédure adaptée,

Ne demande pas aux bras   O de philosopher.

 .

Ce n’est pas tant qu’ils soient      *   si opposés

Que dissociés, face à une action   M  pointée :

Moi, je suis, je joue, sans doute   É     l’intello,

Le capitaine reste un manuel    C   sans mots.

Chaque manœuvre  entonne   A   ritournelle :

Souvent avec cent mots, est  N   trop rebelle :

Je reconnais mécano, plus  O  adroit que moi

N’a pas deux mains gauches : a un seul bras !

 .

Je lui dois, en apprenant, une fière chandelle,

Il me doit, en le suivant … patience éternelle,

Comment lui dire, qu’en lui … j’ai confiance,

Quand naviguer, pour lui, n’est qu’évidence.

Mécano, très sûr de lui,

Est le skipper… sur l’eau ;

L’intello, moins sûr, de lui,

Sera skipper mais par défaut.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

231 4

.

Évocation

.

En haut, un petit diabolo,

Un  trophée  pour  un sport,

Belle tête de chien, apportant

Son crayon à son maitre auteur.

.

Équipier, qu’on le traite ou non en chien

n’est pas incompatible avec être écrivain

son crayon peut servir à bien des choses

et ainsi la forme évoque un peu le fond.

.

Ce n’est pas tant le chien

Que le crayon qu’il faudrait voir

Mais il peut devenir serviteur,

Comme chien ou… écrivain.

.

Symbolique

.

Deux chiens sur un même bateau,

Étant de taille et de race différente,

Représente une image des deux

Navigateurs au long cours,

Qui s’échangent presque,

L’un est beaucoup plus

Dans l’action, l’autre,

Plus dans la contemplation.

Normal que, par moments, ils s’entendent

 Et qu’à d’autres, ils soient en pleine friction.

.

Descriptif

 .

231 Intello, mécano, sont sur un bateau 

Alignement central / Titre  serpente / Thème  rencontre

Forme animal / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : chien / Symbole de fond : auteur

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Ce n’est pas tant le chien

Que le crayon qu’il faudrait voir

Mais il peut devenir serviteur,

Comme chien ou… auteur.

.

Symbolique 

 .

Dans le domaine de la

Création littéraire et artistique,

Auteur, autrice, est une personne

Qui  a  fait  une  création  originale

Manifestant  toute sa personnalité,

Qu’il s’agisse de sciences humaines

Tout autant que de lettres ou d’art.

.

Selon nature des œuvres littéraires

Concernées, roman, pièce théâtre,

Poésie, essai, on parle romancière

Ou romancier ou de dramaturge,

De poétesse ou poète, essayiste

fr.wikipedia.org/wiki/Auteur

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il vaut mieux deux mécanos sur un bateau

Que deux purs, ignorants pour tout, intellos.

On s’en doute mais j’en ai connu, en location

Qui ont eu du mal à sortir du port et revenus

En journée, complétement paniqués, déçus

Par manque de maitrise à la manœuvre :

Voiles non étarquées, inversées, twistées

On peut être très intelligent, de sa tête,

Et maladroit de deux mains gauches

L’idéal, est l’équilibre entre les deux.

 .

.

Plus intello … tu meurs !

.

Scénario

.

L’intello.

Le mécano.

Et le bateau.

.

Visuels et textuels  >>

230 – Moi, le capitaine, et le bateau !

Visuels et textuels  >> 

.

En vrai, un capitaine

C’est une véritable aubaine

Pour naviguer en toute sécurité

Tant un apprenti matelot, pas un  beau cadeau.

Mais, il y a tant, tant  à faire, sur un bateau

À deux on s’ennuie moins que seul

On rit, dort, bricole, ce qu’il faut,

Arrive parfois même qu’on s’engueule.

.

Le bateau joue le rôle du troisième homme,

Avec pilote automatique  et régulateur d’allure

Radar, GPS, sonar, VHF,  carte, pures merveilles,

On peut dormir, une heure, sur les deux oreilles.

.

Pour finir, on n’est jamais perdu sur un bateau

On sait toujours, où l’on est, et  d’où l’on vient,

Même si, au près, pour aller où l’on veut aller,

Ce n’est pas droit, loin de là et on y parvient.

.

Comme avec un jouet pour enfant bien choyé,

Ar-Kilé beau  est un beau voilier  que  je signe.

Le skipper demeure souvent capitaine agréable

Pour peu que l’on respectera bien ses consignes

Le voilier, est un mode de transport inoubliable.

.

Pour peu que l’on sache le mener  et  le dompter,

On peut aller, tout par tout avec lui et sans peurs,

En bord de mer, en  océan, en criques, en  rivières,

Il s’adapte à tous vents, tous terrains, en dériveur :

Le capitaine le bichonne, d’autant  qu’il en est fier !

.

Vrai mangeur : de milles nautiques, par vents forts,

Il affronte aussi vaillamment, calmes  et tempêtes,

Souvent sous voiles, parfois moteur, il trompète,

Sa joie de coursier, à galoper  à sept beauforts.

.

Moi je ne suis que l’équipier, ami apprenti

J’ai tant de choses à apprendre de lui,

Chaque jour découvre du nouveau

En navigation et d’exception,

Frissons, peu de frictions.

Capitaine sans bateau

Serait orphelin.

.

.

Extension

.

La vie du bateau,

La navigation, sécurité,

Le protocole, prennent le pas

Sur tout le reste, lors on est en bateau,

À tel point qu’on sait plus, toujours très bien,

Si c’est lui qui nous mène ou quelqu’un qui l’entraine.

.

La règle d’or n’est pas de rattraper ses erreurs

De bord, mais de les anticiper pour ne pas

Ralentir la marche, avoir à le relancer

Après un arrêt suite à un changement

De cap ou de réglage des voiles.

.

L’état du vent et l’état de la mer,

Changent souvent et le moindre retard

Se paie par un écart de route, ralentissement.

.

Ces sont bien là, trois choses, trois éléments, bien différents :

Moi et le capitaine, moi et le bateau, le capitaine et le bateau,

On tourne en rond quand on dit cela  autour d’un même pot,

Sauf qu’ici et en la matière, il s’agirait plutôt de son enfant

Ou tout comme, le capitaine n’ayant d’yeux  que pour lui.

Parfois je me sens bien intégré, parfois pièce rapportée.

Je ne suis pas le seul dans ce cas : ne m’en plains pas !

Toutefois, comme ne m’implique pas autant que lui,

Il arrive qu’on ne soit plus même longueur d’onde.

.

Moi, le capitaine et le bateau … nous formons un trio

Inséparable, se complétant, s’accordant parfaitement.

.

De fait, chacun sait ce dont il est capable, responsable,

Et le fait de son mieux, pour assurer plaisir et sécurité.

.

Le capitaine décide, l’équipier exécute, le bateau réagit,

En fier coursier, cheval des mers, il avance et il… bondit.

.

Parfois raison prend pas sur émotion et parfois contraire.

Quoiqu’il en soit, parole du capitaine  n’est pas arbitraire !

.

 À première vue, on dit qu’un voilier, c’est simple à naviguer.

À seconde vue, si on n’y connait rien, mieux vaut s’abstenir !

.

.

230 – Calligramme

.

En vrai, un capitaine

C’est une véritable aubaine

Pour naviguer   M   en toute sécurité

Tant un apprenti mate  O  lot, pas un  beau cadeau.

Mais, il y a tant, tant  I    à faire, sur un bateau

À deux on s’ennuie moins que seul

On rit, dort, bricole, ce qu’il faut,

Arrive parfois même qu’on s’engueule.

.

Le bateau joue le rôle du troisième homme,

Avec pilote automatique   C  et régulateur d’allure

Radar, GPS, sonar, VHF,  A  carte, pures merveilles,

On peut dormir, une   P  heure, sur les deux oreilles.

Pour finir, on n’est   I    jamais perdu sur un bateau

On sait toujours,    T  où l’on est, et  d’où l’on vient,

Même si, au près,   A   pour aller où l’on veut aller,

Ce n’est pas droit,     I   loin de là et on y parvient.

Comme avec un jouet  N  pour enfant bien choyé,

Ar-Kilé beau est un beau   E   voilier que je signe.

.

Le skipper demeure souvent un capitaine agréable

Pour peu que l’on respectera  B   bien ses consignes.

Le voilier, est un mode de  A    transport inoubliable,

Pour peu que l’on sache    T    le mener et le dompter !

On peut aller, tout par  E     tout avec lui et sans peurs,

En bord de mer, en   A   océan, en criques, en rivières :

Il s’adapte à tous   U    vents, tous terrains en dériveur

Le capitaine le bichonne, et d’autant qu’il en est fier !

.

Vrai mangeur : de milles nautiques, par vents forts,

Il affronte aussi vaillamment, calmes  et tempêtes,

Souvent sous voiles, parfois moteur, il trompète,

Sa joie de coursier, à galoper à sept beauforts.

Moi je ne suis que l’équipier, ami apprenti

J’ai tant de choses à apprendre de lui,

Chaque jour découvre du nouveau

En navigation et d’exception,

Frissons, peu de frictions.

Capitaine sans bateau

Serait orphelin.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

230 4

.

Évocation 

.

Un véritable personnage

Avec  barbe,  bouche,  yeux,

Une belle tête de capitaine

Avec son chapeau de pirate.

.

À la fois une personne et un personnage

le capitaine aurait maints portraits de lui,

allant du jeune skipper au vieux loup de mer,

et lors ici, la forme converge bien vers les fond.

.

Ce n’est qu’un personnage d’enfance 

Introuvable en réalité :

Faut avouer, un capitaine a fière allure

 Avec barbe et chapeau !

.

Symbolique

 .

Personnage désigne

Une personne à laquelle

On affectera une fonction

Un personnage  de fiction,

Le    personnage    principal

Ou secondaire,  d’une œuvre

Voire le héros  ou  le méchant

Un    personnage   historique,

Un protagoniste  issu du réel

Soit évoluant dans un récit.

Un personnage, type, rôle

Se référant  à un cliché,

Le   prince charmant,

Le   tueur   en série,

La   femme fatale,

Le jeune premier

Wikipédia : personnage

.

.

Descriptif

.

230 – Moi, le capitaine, et le bateau 

Alignement central / Titre  serpente / Thème  rencontre

Forme anthropo  /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : personnage / Symbole de fond : capitaine

.

.

Fond

.

Évocation 

.

230 6

.

Ce n’est qu’un personnage d’enfance 

Introuvable en réalité :

Faut avouer, un capitaine a fière allure

 Avec barbe et chapeau !

.

Symbolique

.

Capitaine et voilier

Indiquent  les  décisions

Qu’il  nous  faudra  prendre

Concernant notre propre destin.

Sommes  maîtres à bord,  capitaine 

Considéré, se considérant chef après Dieu

Le voilier  et  son capitaine  nous révèlent

Nous sommes, directement, concernés,

Par ce que nous choisirons d’être

Pour notre évolution, sort.

communicationvisionnaire.com/cartes intuition

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Tout esquif avec un équipage

Dispose d’un capitaine à bord,

Que chacun jacasse son ramage

L’esquif ne prendra cap au nord !

.

Cela dit, il y en a, étant diplomates

Et j’en ai rencontré des autoritaires,

Et l’humeur du capitaine peut influer

Grandement, sur l’efficacité de border.

.

Il est vrai que si on s’entend mal avec lui

Cela se répercutera au sens propre, figuré.

Ce qui compte avant tout pour lui  pour tous,

Est de garder son calme être clair, pas stresser.

 .

.

J’en suis pas là, mais bientôt

.

Scénario

.

Moi, à la barre.

Une idée de capitaine.

Une photo de notre bateau.

 .

Visuels et textuels  >> 

999 – Etre, c’est se reconnaître, dire et faire !

Visuels et textuels  >>

.

Être, est se

Reconnaitre

Dans        ce

Qu’on    dit

Dans       ce

Qu’on   fait

Et pas que,

En  paraitre

Les autres se

Reconnaissent

Ou pas en moi

Et je reconnais

Les différences

Et eux, parfois,

Aussi la mienne.

.

Je reconnais mes défauts, faiblesses

Tout autant que mes imperfections,

Imparfait je suis, le reste, resterai !

Il reste, à l’autre à le … supporter.

Tout imparfait,    qu’il est, aussi,

Peut-être d’une autre manière

Libre à lui, faire compromis,

Ou rester  dans  ses œillères.

.

Être   c’est   se   reconnaître

Bien plus  que d’apparaître,

Tant  quand dire, c’est faire :

C’est que dire c’est déjà faire.

.

Je  reconnais  mes  semblables,

De ceux étant de moi différents,

De ceux qui me sont indifférents,

De ceux qui sont amis ou ennemis

.

Je reconnais ce que je dis  et je fais ;

Je fais ce que je dis,  quand je le sais,

Mais faut être deux,  pour l’apprécier,

L’on ne pourra, de soi-même en juger.

.

Si je fais une erreur, le dit et reconnaît,

En ma manière d’être homme imparfait

Toutefois, l’autre ne détient pas la vérité,

On fait bon compromis, pour s’améliorer.

.

De ne pas être reconnu … comme tout être

Capable d’appliquer, réfléchir … progresser

Provoque, en moi, le doute et l’humiliation.

.

S’il n’y a pas  qu’une seule logique, et, raison,

L’explication, non comprise, est mal réalisée :

Il faut ouvrir une parenthèse dans une fenêtre,

Afin de bien accorder sinon  les esprits, violons,

Le reste n’est qu’autoritarismes ou …  flonflons !

.

.

Extensions

.

La cohérence entre ce que

Je dis et fais est très importante,

Autant pour moi que pour les autres,

Ce qui n’exclura pas des modifications

Et des changements, des renoncements

Ou des oublis, qui en sont les scories

Et non toute la matière première :

Tout est affaire d’ententes, compromis

Et il n’y a que les personnes psychorigides

Qui s’attachent au rigorisme de fond et forme :

«Tu avais dit, n’as pas fait, je n’accepte pas d’excuse,

Ni d’explication, tu n’as pas fait, c’est tout, tu es fautif. »

Un enfant est capable de passer outre à un tel jugement,

Un adulte contestera adolescent se révolte carrément

Et attendra de prendre l’autre à son propre piège

Et de le lui jeter en pâture à la figure.

Bonjour l’ambiance. On se croirait

Dans un mauvais film de conflit

Familial, comme il y en a …tant !

Ce n’est plus de la communication,

C’est simplement juste de la domination.

.

Avant d’être un personnage, y compris une sorcière,

On est d’abord un homme, une femme, et s’y reconnait.

Après, il y a votre imaginaire qui vous dicterait quoi faire

On n’est pas aide-humanitaire, musicienne, quand on nait.

Le tout est de devenir et rester cohérent entre dire et … faire

Tant il y a de gens opportunistes  qui feront tout le contraire :

Il vaut mieux faire ce que l’on  désire le plus faire et en être fier

Que passer à vie à tenter faire tout et n’importe quoi, à l’envers.

.

Être pour les autres, et être pour soi,

Convergent si on est constant, cohérent

Mais divergent si on change constamment

Ce n’est pas une loi, c’est juste ce que je vois.

.

Il y a avantage à, derrière personnage, se cacher

Pour se protéger quand on se sent instable, fatigué

Mais lors gare au danger de, soi-même, s’y enfermer,

Pire, par les autres, au point ne plus savoir qui on est.

.

Être soi est un travail qui n’aurait pas de fin en société

Tant elle nous pousse à épouser toute autre apparence

À être laissé pour compte si on entre pas en sa danse,

Lors de penser par soi-même, devient impossibilité.

.

.

999 – Calligramme

 .

ETRE,

Être, est se

Reconnaitre

Dans        ce

Qu’on    dit

Dans       ce

Qu’on   fait

Et pas que,

En  paraitre

Les autres se

Reconnaissent

Ou pas en moi

Et je reconnais

Les différences

Et eux, parfois,

Aussi la mienne.

.

Je reconnais mes défauts, faiblesses

Tout autant que mes imperfections,

Imparfait je suis, le reste, resterai !

Il reste, à l’autre à le … supporter.

Tout imparfait,    qu’il est, aussi,

Peut-être d’une autre manière

Libre à lui, faire compromis,

Ou rester  dans  ses œillères.

C’EST SE

Être   c’est   se   reconnaître

Bien plus  que d’apparaître,

Tant  quand dire, c’est faire :

C’est que dire c’est déjà faire.

.

Je  reconnais  mes  semblables,

De ceux étant de moi différents,

De ceux qui me sont indifférents,

De ceux qui sont amis ou ennemis

.

Je reconnais ce que je dis  et je fais ;

Je fais ce que je dis,  quand je le sais,

Mais faut être deux,  pour l’apprécier,

L’on ne pourra, de soi-même en juger.

RECONNAÎTRE

Si je fais une erreur, le dit et reconnaît,

En ma manière d’être homme imparfait

Toutefois, l’autre ne détient pas la vérité,

On fait bon compromis, pour s’améliorer.

.

De ne pas être reconnu … comme tout être

Capable d’appliquer, réfléchir … progresser

Provoque, en moi, le doute et l’humiliation.

.

S’il n’y a pas  qu’une seule logique, et, raison,

L’explication, non comprise, est mal réalisée :

Il faut ouvrir une parenthèse dans une fenêtre,

Afin de bien accorder sinon  les esprits, violons,

Le reste n’est qu’autoritarismes ou …  flonflons !

DIRE ET FAIRE  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

999 4

.

Un balai, du balai, des balais :

 Ici, ça  se déclinerait  bien  ainsi 

À moins que ne soit  autre chose,

Autre chose, d’accord : sorcière.

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’éloigne du fond)

.

Un balai et la reconnaissance, action

n’ont rien à faire, ni à voir, ensemble :

si bien que la forme se disjoint du fond

.

Bien que, premier balai, parmi autres,

Est présenté pour sorcière :

C’est comme face aux autres humains,

 Faut balayer devant sa porte.

 .

Symbolique 

 .

J’ai besoin d’un ménage.

D’un  ménage bien  personnel,

D’un bon coup de balai, on dit.

.

Un ménage    dans  mes émotions,

Un ménage  dans ma profession…

Mes relations,    mes actions. Etc.

.

Je sens que j’ai besoin d’un balai

Pour chasser les éléments  qui

Encombrent mes émotions,

Mes pensées, mes gestes, mes rêves.

.

Mes mains sont-elles assez fortes

Pour  faire  ce  nettoyage :

Elles feront l’affaire.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

999 6

.

Bien que, premier balai, parmi autres,

Est présenté pour sorcière :

C’est comme face aux autres humains,

 Faut balayer devant sa porte.

 .

Symbolique 

 .

Les balais ont été

Longtemps associés

Aux sorcières, étant

Souvent   représentées

À  califourchon,  volant

Sur   un   balai   magique.

Mais les balais sont autant

Un outil  que symbole social.

.

En effet, les tâches ménagères

Sont pour les classes populaires

Et son utilisation  peut avoir une

Forte connotation  négative pour

Certaines  personnes dominantes.

.

Les balais seront  aussi le symbole

De la femme  au foyer : stéréotype

Marquant des siècles précédents.

Modifié, source : Wikipédia

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Etre ou ne pas être

William Shakespeare

Comment l’interpréter

Ou paraitre pour être,

Ou être pour paraitre,

Un dilemme s’il en est

Comment reconnaitre

Qui on est sans regard

Des autres : la  famille,

La communauté, société.

 .

.

La vie est faite de choses et d’autres

.

Scénario

.

Se reconnaitre en fille ou garçon, comme attirés l’un vers l’autre.

Dire des choses utiles  ou qui nous tiennent à cœur, afin de réussir.

Faire ce qu’on a toujours eu envie de faire, depuis sa tendre enfance.

 .

Visuels et textuels  >>

983 – Croyant s’ouvrir à l’autre, en personnage !

Visuels et textuels  >>

.

On peut jouer personnage

À le confondre avec sa personne

Cela se réalise très bien, au cinéma,

Mais  beaucoup  moins … dans sa vie.

.

Faux fuyant,  masque, diversion, cache,

Protège, disent certains, peu sûrs d’eux.

Ils ne tromperont  personne, à part eux.

Chacun a sa façon de vivre au monde,

Et sa propre    ====   personnalité.

.

Nul besoin de jouer la comédie

Pour se sentir enfin exister,

Il suffit de croire en soi

Autant qu’en l’autre,

Ne pas tout confier.

.

Croyant s’ouvrir à l’autre, en personnage,

On se ferme, à soi- même, et sa personne :

Un comble, tout de même, que telle dualité

.

On dira  que  depuis  que   le  Monde   existe,

Il en a, toujours, été  ainsi, rien  n’a  changé

Mais, lors, pourquoi avoir  sa  personnalité

.

Si ce n’est très simplement   pour  exister,

Et autant,  pour soi que  pour  les  autres,

Pour  la Société  et pour  Monde  entier

.

Rien n’est  gratuit, rien   n’est  donné :

Tout  s’acquiert à force  de chercher

De lutter, de persévérer  et gagner.

.

Au bout du compte, on a la liberté,

D’être soi-même avant  toute  chose,

Bien plus d’être le seul à … en décider.

.

Oui mais pour cela, il faut tendre la main,

Il faut apprendre à saisir tout, tout partout

Pour toutes bonnes opportunités pour demain

Être là au bon endroit sans parler au bon moment.

.

D’accord, mais comment le savoir, comment le prévoir,

Dès lors qu’on est déjà, au bord d’un grand désespoir,

Dès lors qu’on boit, tous les soirs, l’angoisse du noir.

 .

.

Extensions

.

Certains jouent bien leur personnage

Mais cela ne se voit pas : on le confond,

Lors autres appuieraient tellement le trait,

Le répétant à merci, que cela crève les yeux.

Jouer ou surjouer ne changerait rien au fond

De soi-même lorsqu’on sera en porte-à-faux,

Prisonnier d’une image ou représentation

Fabriquée et qu’un jour ou l’autre,

Le masque sera bien obligé de tomber

Lors on se regardera en miroir : étranger !

Un personnage, d’emprunt, peut séduire,

Faire illusion, durant un certain temps.

Endosser plusieurs fait douter l’autre,

Tous les autres, du vrai ;

S’y confondre, totalement

Tient d’une névrose identitaire.

Le monde à l’envers que de se créer

Personnage pour se plaire à soi-même,

C’est privilégier la fiction à la réalité,

C’est construire en creux ce dont

On aurait besoin en plein.

.

Personnages masculins, féminins, enfantins, animaliers,

Il y en a plein et on en invente tous les ans, des nouveaux :

Certains sont, à ce point, crédible qu’on les croirait  vivants.

Il est vrai qu’on a, en chacun de nous, un ou des personnages.

Comment bien faire la différence entre lui, ou eux, et ….moi ?

Certains épousent tellement un personnage  qu’on l’assimile

Suis-je auteur autobiographique, personnage d’emprunt !

.

Tout le monde porte un masque, dit-on !

En cas de pandémie de Covid, c’est  vrai,

Or ici, il ne s’agit pas de virus,  maladie,

Mais de caractère, voire de personnage.

.

Qu’entend-t-on par-là, c’est une posture,

Que l’on présente aux autres comme bonne

Pour qu’ils aient, de nous, opinion favorable

Tandis qu’en privé, couple ou dans la famille,

L’on s’en décharge, l’on agit tel que l’on est !

.

Cela dit, on ne peut se cacher, tout le temps,

Derrière  son  petit doigt : il y a des signaux,

Qui ne trompent personne, en privé, public :

Il vaut mieux être soi que quelqu’un d’autre.

.

.

983 – Calligramme

.

On peut jouer personnage

À le confondre avec sa personne

Cela se réalise très bien, au cinéma,

Mais  beaucoup  moins … dans sa vie.

Faux fuyant,  masque, diversion, cache,

Protège, disent certains, peu sûrs d’eux.

 Ils ne tromperont  personne, à part eux.

Chacun a sa façon de vivre au monde,

Et sa propre    ====   personnalité

Nul besoin de jouer la comédie

Pour se sentir enfin exister,

Il suffit de croire en soi

Autant qu’en l’autre,

Ne pas tout confier.

.

******************

******************

.

Croyant s’ouvrir à     C     *   l’autre, en personnage,

On se ferme, à soi-      R        Q    même, et sa personne :

Un comble, tout de      O           U    même, que telle dualité

Y                ‘ …..

On dira  que  depuis   A                 À   que   le  Monde   existe,

Il en a, toujours, été    N                   *     ainsi, rien  n’a  changé

Mais, lors, pourquoi    T                     S     avoir  sa  personnalité

*                       O …

Si ce n’est très simp   S                         N    lement   pour  exister,

Et autant,  pour soi     ‘                           *     que  pour  les  autres,

Pour  la Société  et    O                            *     pour  Monde  entier

U                             P….

Rien n’est  gratuit   V                               E     rien   n’est  donné :

Tout  s’acquiert à   R                                R      force  de chercher

De lutter, de per    I                                  S     sévérer  et gagner.

R                               O …

Au bout du com    *                                N    pte, on a la liberté,

D’être soi-même    À                              N   avant  toute  chose,

Bien plus d’être le   *                            A   seul à … en décider.

A                      G ..

Oui mais pour cela,  U                    E  il faut tendre la main,

Il faut apprendre à     T               *  saisir tout, tout partout

Pour toutes les bonnes R         * opportunités pour demain

Être là,  u bon  endroit  E  * sans parler au bon moment.

.

D’accord, mais comment le savoir, comment le prévoir,

Dès lors qu’on est déjà, au bord d’un grand désespoir,

Dès lors qu’on boit tous les soirs l’angoisse du noir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

983 4

.

L’idée est de pouvoir scénariser

N’importe quel personnage : 

Romancier,  voire  aventurier

Savant, inventeur, masqué.

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

la forme s’approche du fond)

.

S’ouvrir à l’autre en forme de personnage,

est une autre manière de se faire connaitre

avec la limite du genre de ne pas confondre

le forme approche le fond, ne s’y réduit pas.

.

Celui-ci parait être une lumière

Du moins dans son personnage :

Mais qu’en est-il…  dans sa vie réelle

Quand il enlève, enfin, son masque ?

  .

Symbolique 

 .

Le symbolisme est une partie essentielle

D’un récit pour déployer myriade d’émotions

Chez le lecteur, moyen de réveiller des intuitions

Ou représentations soigneusement choisies, étudiées.

.

Si moi je trouve le symbolisme fascinant, c’est parce que

Cela me permet de lier des scènes entre elles, d’approfondir

Les relations entre mes personnages sans avoir à les dire

Explicitement, mais simplement avec un jeu de symboles.

Source : leahendersen-auteur.fr/les-symboles-dans-la-fiction

.

.

Fond

.

Évocation

.

983 6

.

Celui-ci parait être une lumière

Du moins dans son personnage :

Mais qu’en est-il…  dans sa vie réelle

Quand il enlève, enfin, son masque ?

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme du masque

En Orient, varie selon les usages.

Ses types principaux sont

Le masque de théâtre,

Le masque carnavalesque,

Le masque funéraire.

.

En Afrique, l’institution

Des masques est associée

À des rites agraires,

Funéraires, initiatiques.

Les masques revêtent parfois

Une puissance magique :

.

Ils protègent ceux qui les portent

Contre les malfaiteurs et les sorciers ;

À l’inverse, ils servent aussi à des

Membres de sociétés secrètes

Pour imposer leur volonté en effrayant.

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

On parlera de personne, lorsqu’il s’agira

D’un être humain réel mais de personnage

Lorsque ce sera être fictif, dans les romans,

Dans les contes et la littérature, en général,

Mais on pourra aussi traiter de personnage

Une personne  ayant une forte personnalité,

Ou très spéciale : si tu voyais le personnage.

 .

.

Personnages époques

.

Scénario 

.

L’autre est une femme : est-ce une personne ou bien un personnage ?

Le scénario fait quand même plus personnage que personne vivante.

L’autre est un humain mais est-ce une personne ou un personnage ?

 .

Visuels et textuels  >>

982 – Différence plus frappante que ressemblance

Visuels et textuels  >>

.

Je suis catégorique,

Vous  êtes comme  cela,

Pour  moi, je vous vois, là

Et si je ne me trompe  pas :

Sympathique, antipathique.

 .

Un esprit a, ceci, de particulier,

Qu’il préfère vous mettre en case

Plutôt  que  de vous  singulariser,

Qu’il vous positionne  sur échelle,

Plutôt que de rechercher égalité.

  .

Tant on ne vous demande plus si vous avez

Quelque particularité,  ou quel qu’originalité,

On vous demandera de cochez   parmi les cases,

Qui vous seront proposées, et puis, rien  d’autre :

Sinon la demande risque de ne pas être  acceptée.

.

Toutes nos différences  sont  souvent

Plus frappantes que ressemblances !

L’égalité, histoire de se reconnaitre,

Positionné entre plus haut que moi

Et ceux plus bas,   réciproquement.

.

Mais l’on va où  comme ça,

En catégories sociales fermées

Par toutes  les mises en boites,

Avec ces fortes, belles étiquettes

Attribuées, une fois  pour toutes,

Car sans droits pour en modifier

L’individualité ou la personnalité.

.

Elle demeure unique et complexe

Et ne se laissera jamais formuler.

L’homme  se révolte  si on lui dit

Ce qu’il est quand il sait qu’il est

Tout autre et bien plus que cela.

.

Mais, ne nous  y  trompons pas :

Si l’on  ne sait  pas  qui  l’on est,

Comment l’affirmer aux autres !

Et  comment  savoir  qui l’on est,

Sans tenir compte avis des autres :

Pas d’affolement : nos contradictions

Se résolvent en relation directe aux autres.

.


.

Extensions

.

Différence

Peut être perçue

Non perçue, petite, grande,

Importante ou négligeable : c’est

Le regard ou la pensée qui déterminera

Son statut. Il y a, des différences, y compris

Chez des jumeaux, identiques… en apparences.

Qu’est-ce qui pourrait bien empêcher la différence

De caractères, de cœur et d’opinions qui dépendent de

Notre culture,  société,  éducation, métier, religions, etc. ?

Rien, sinon nous serions rien que des clones avec une pensée

Unique, imposée comme pour les programmes informatiques.

L’essentiel est que les différences s’accordent

Et d’enrichissent entre elles au lieu au lieu de

Susciter la discorde ou toute autre querelle.

«Ça vous chatouille ou ça vous gratouille»

S’enquerrait  le fameux  Docteur Knock

D’après célèbre pièce de Jules Romain.

Certains  ont l’épiderme sensible tandis

Que d’autres auront le cuir plutôt tanné,

Certains voient différences, ressemblances

Là où d’autres ne le ressentes pas, ou peu :

Que faire, sinon pratiquer une…tolérance !

.

La ressemblance frappe moins que la différence,

C’est  normal puisque  qui se ressemble s’assemble

Les japonais sont tous les mêmes pour occidentaux

Mais chez eux, aucun d’eux ne ressemble aux autres

Il n’y a donc pas que la distinction effective qui joue

Mais l’apprentissage des signaux faibles qui agira !

Bon à savoir avant d’affirmer, ou non, différence.

.

Ne pas rentrer dans une case, créera

Problèmes pour une administration :

Elle ne dispose que d’une grille fermée

Dans laquelle tout se devrait de rentrer

Bien des différences sont rassemblées,

Pour ne pas dire : rabotées, nivelées,

Dans une seule et même catégorie :

Entre deux, plusieurs : inexistant !

De dire  que sommes ressemblants,

Est aussi faux que de dire, différents

Et de dire la somme des ressemblances

Est plus grande que celle des différences,

Le sera autant : catégories sont des pis-aller,

Auxquelles sommes soumis ou nous soumettons.

Pour autant, dire : j’entre en aucune des catégories

Serait se considérer comme une catégorie toute seule :

Comment alors peut-on entrer en des comptes statistiques.

.

.

Épilogue

.

Ressemblances et différences

Il y a le jeu de sept différences,

Entre deux dessins très proches

Mais il ne s’agira que de détails.

***

Ressemblance totale entre humains

N’existe pas sauf entre vrais jumeaux

Encore que des détails les identifieront

Soit natifs, soit rajoutés, vestimentaires.

***

Les différences ne se répartissent en cases

Ce sont des catégories binaires et de base,

Celles qui se chevauchent, s’additionnent,

Font toute la richesse d’une personnalité.

***

Si bien que je suis :  unique et différent !

Comment c’est possible : c’est contraire,

Unique parce que pas deux comme moi,

Différent, par mon histoire personnelle.

***

Mais si très différent me rend original,

Être trop risque  de me faire marginal,

Au point … personne ne me comprend

Ne pas dépasser la limite, sinon exclu.

.

.

982 – Calligramme

.

Je suis catégorique,

Vous  êtes   comme  cela,

Pour  moi,     je  vous      vois,  là

Si je ne   D     me trompe    R     pas :

Sympat    I      hique, antipa   E   thique.

  F                                   S

Un esprit   F       a ceci de par         S   ticulier,

Qu’il préfè   É         re vous mettre      E      en case

Plutôt que    R         de vous  singu        M      lariser,

Qu’il vous      E          positionne  sur         B       échelle,

Plutôt que      N           de recher-cher           L        égalité.

   C                                                 A

Tant on ne       E          vous demande plus si      N      vous avez

Quelque par     S        ticularité,  ou quel qu’ori      C        ginalité,

On vous de      *        mandera de cochez   parmi       E     les cases,

Qui vous         E         seront proposées, puis, rien         S      d’autre :

Sinon votre   T            demande risque de ne pas être        *    acceptée.

.

Toutes nos différences  sont  souvent

Plus frappantes que ressemblances !

L’égalité, histoire de se reconnaitre,

Positionné entre plus haut que moi

Et ceux plus bas,   réciproquement.

.

Mais l’on va              où  comme ça,

En catégories        sociales fermées

Par toutes les        mises en boites,

Avec ces fortes      belles étiquettes

Attribuées une      fois pour toutes,

Car sans droits   pour en modifier

L’individualité     ou personnalité.

.

Elle demeure unique et complexe

Et ne se laissera jamais formuler.

L’homme  se révolte  si on lui dit

Ce qu’il est quand il sait qu’il est

Tout autre et bien plus que cela.

.

Mais, ne nous  y  trompons pas :

Si l’on  ne sait  pas  qui  l’on est,

Comment l’affirmer aux autres !

Et  comment  savoir  qui l’on est,

Sans tenir compte avis des autres :

Pas d’affolement : nos contradictions

Se résolvent en relation directe aux autres.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.982 4

.

Un buzzer pour  avertissement,

Ou une  petite  lampe  de chevet,

Ou alors un beau champignon 

Vénéneux, ou hallucinogène ?

.

(forme pleine, rimes libres,

la forme s’éloigne du fond)

.

On peut, toujours, trouver ressemblance

entre soi et un et voire des champignons,

mais la différence, sans cesse, l’emportera,

et ainsi la forme ne correspond pas au fond.

.

Trois champignons connus étant vénéneux

Bien que très beau à voir

Mais il y en a d’autres, plus psychédéliques,

Comme hallucinogènes

 .

Symbolique 

 .

Les champignons

Sont tous des plantes qui,

Sous des apparences identiques,

Peuvent être comestibles ou vénéneuses.

Ils symbolisent le soupçon.

En  Asie,  et en  Chine,

Symbole longévité

Et de la fertilité.

En  mythologie,

Attribut  du dieu

De   la   longévité !

L’association tiendrait

Au fait, qu’une fois séché,

Il se conserve très longtemps.

Modifié, source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-champignon

.

.

Fond

.

Évocation 

.

982 6

.

Trois champignons connus étant vénéneux

Bien que très beau à voir

Mais il y en a d’autres, plus psychédéliques,

Comme hallucinogènes

 .

Symbolique 

 .

Les champignons hallucinogènes

Sont très populaires  et  depuis  toujours

Pour leurs effets considérés psychédéliques,

Tels que l’euphorie et les hallucinations.

Ce n’est que durant les années 60

Qu’ils ont gagné en popularité

Avec le mouvement  hippie.

.

Depuis, beaucoup d’experts

Se sont posés  des  questions

Sur leur usage, leur dosage,

Et  leurs potentiels  dangers.

Certains  pays  auront décidé

De    les     considérer     comme

Substance contrôlée, réglementé.

Notez qu’ils ne sont pas des drogues.

mycotrop.com/fr/blog/champignon-hallucinogene

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Champignon rime, assez bien,

Avec potentiel  d’hallucination :

Différence, ressemblance ne tient

Qu’à la substance de virtualisation

Je peux me croire autre, grâce à lui

Mais si j’en ai besoin, c’est que je suis

Insatisfait, prisonnier d’une catégorie,

Dont cherche à m’échapper, me poursuit.

 .

.

Semblable ou différent : comment ?

.

Scénario

.

Différences de sexes, s’entremêlent au milieu pour les gommer

Les différences sont frappantes, presque totales quoique humaines.

La différence tient au fond ou couleur : la forme demeure, identique.

.

Visuels et textuels  >>

980 – On m’a dit « tu étais ceci et tu deviens cela »

Visuels et textuels  >>

.

Avoir été puis devenir,

Le monde change,

Et nous avec,

Et le tout

Est de

Bien choisir

Ce que l’on est

Et ce que l’on fait.

Souvenir des autres

Reste imparfait

J’étais, déjà,

En germe

Ce que

Je deviens

Autres me voyaient

Différent, sans anticiper.

.

On m’a dit « tu étais ceci, tu deviens cela »

Ma personne ou personnage, aurait changé ?

Qu’est-ce qui s’est, réellement, en moi, modifié !

.

Ai-je changé d’apparence, de métier, de discours,

De relations, de politique, ou de statut social :

Qu’est-ce qui, en moi, s’est reconformé !

.

Je me regarde en ma glace : ai-je pris des kilos,

J’ai pris quelques rides,  je n’ai pas enflé :

Ce n’est rien que la vie qui m’a déformé

.

J’ai l’âge de mes artères, me soigne, m’entretiens,

En fortune pour me tenir le plus en forme

Lors on me dit que j’ai les traits tirés !

.

Tricher, il faut le faire pour rester en les affaires

Comme étant meilleur partenaire tonnerre,

Je triche beaucoup : je suis hypocrite

.

Tout le monde le voit, monde sait, à quoi tu joues,

Enlève donc ton masque aux cent reflets :

Mais je ne peux pas, lorsqu’il me plait.

.

Je ne vois pas  ce que je peux mettre  à la place,

Je ne sais pas qui je suis, je n’ai pas envie

De savoir, trop tard, dur pour changer

.

Ce qui compte, c’est l’impression je vais donner

Ma vraie, fausse personne : rien à cirer

Car les autres font pareil en norme.

.

.

Extensions

.

Être, avoir été et devenir

Serait le fruit d’une histoire

À la fois personnelle, et collective.

Certains jouent comme un personnage

Que l’on se demande ce qu’il y a  derrière,

Quel est leur visage, fondement personnalité.

Il ne s’agit pas que d’hommes politiques

Qui cacheraient une partie de leur patrimoine

Ou de leurs pratiques, il s’agit de tout un

Chacun qui prend bien  quelques libertés avec

Les lois en vertu du « pas vu, pas pris »

Et qui, une fois pris le doigt dans la confiture,

Crie à la persécution, se posent en victime

Lors de dénonciation, à l’inverse il s’en trouve

Qui se disent : « droit dans leurs bottes »

À qui, légalement, on ne peut  rien reprocher.

Y en a qui changent fonction de leurs rôles

On dit  alors  que « la fonction crée l’organe. »

Avant ils étaient « contre » une réforme

Et maintenant qu’on les rétribue en ce sens,

Ils deviennent comme « pour », c’est ainsi que

L’on achète ses adversaires pour en faire ses alliés.

C’est de bonne guerre  et trahison envers soi-même !

.

Changement de lieu, d’état, d’activité, d’apparence, de vie

Ça fait quand même beaucoup à la fois pour un seul homme

Il vaut mieux  changer de lunettes  car ça coûtera moins cher !

Comme toujours, c’est la vie  qui vous force, ou vous  choisissez !

Changer  est  devenu, de toute façon, de nos jours, une  nécessité

À laquelle, personne, s’il  veut réussir  sa vie, ne peut échapper.

Mais changer, au point de plus être le même, reconnaissable,

Reste un pari osé qui peut vous créer problème d’identité

Comme si on reniait son enfance, sa famille et racines.

.

L’on dit qu’on ne peut être et avoir été :

Une sage pensée, s’il en est, mais encore,

Regretter ce que l’on a été en bien ou mal,

Ne servirait à rien pas plus que le devenir :

Ce ne seront que des projections des parties

De soi-même, tant faut penser et voir le tout.

.

Étant retraité,  j’hésite à parler  de mon passé

Professionnel, d’abord parce que  je suis passé

À autre chose  et parce que cette vie antérieure,

Ne me résume pas  pour ce que je suis  et j’ai été

Et ensuite, du fait que je veux faire… autre chose,

Ce que j’ai été ne devrait pas conditionner l’avenir.

.

.

Épilogue

.

Il y a  certains  qui  sont  demeurés,

Les mêmes ou presque vie entière,

Casaniers et contents pas changer

***

Et il y en a d’autres  qui à l’opposé,

Ont fait cent métiers, cent misères,

Et sans jamais bien … se stabiliser.

***

On dit que l’on changerait trois fois

Au moins, de métier,  durant sa vie,

Selon ses contraintes, opportunités.

***

Avoir  été,  puis  devenir  autrement,

Se décline de nombreuses manières :

Souvent pour des raisons de carrière.

***

Il est normal, sain même, de changer,

La vie est faite pour sans cesse évoluer

Mais cela, sans perdre sa personnalité.

Des politiques  sentant le vent tourner,

Tournent aussi leur veste  sans hésiter,

Et lors on les appelle des «politiciens».

***

Peu importe ce  que l’on est,  qu’on fait :

L’essentiel est que l’on vous reconnaisse,

Faisant le lien entre le passé et le présent

***

Autrement dit, on peut marcher en zig zag,

Mais garder une direction et une cohérence,

Qui feront qu’on gardera, en vous, confiance.

.

.

980 – Calligramme

 .

O  N      D  I  T

Avoir été puis devenir,

Le monde change,

Et nous avec,

Et le tout

Est de

Bien choisir

Ce que l’on est

Et ce que l’on fait.

Souvenir des autres

Reste imparfait

J’étais, déjà,

En germe

Ce que

Je deviens

Autres me voyaient

Différent, sans anticiper.

« T  U    É  T  A  I  S     C  E  C I,

On m’a dit « tu étais ceci, tu deviens cela »

Ma personne ou personnage, aurait changé ?

Qu’est-ce qui s’est, réellement, en moi, modifié !

.

Ai-je changé d’apparence, de métier, de discours,

De relations, de politique, ou de statut social :

Qu’est-ce qui, en moi, s’est reconformé !

.

Je me regarde en ma glace : ai-je pris des kilos,

J’ai pris quelques rides,  je n’ai pas enflé :

Ce n’est rien que la vie qui m’a déformé.

.

J’ai l’âge de mes artères, me soigne, m’entretiens,

En fortune pour me tenir le plus en forme,

Lors on me dit que j’ai les traits tirés !

T  U    D  E  V  I  E  N  S    C  E  L  A »  

Tricher, il faut le faire pour rester en les affaires

Comme étant meilleur partenaire tonnerre,

Je triche beaucoup : je suis hypocrite

 .

Tout le monde le voit, monde sait, à quoi tu joues,

Enlève donc ton masque aux cent reflets :

Mais je ne peux pas, lorsqu’il me plait.

.

Je ne vois pas  ce que je peux mettre  à la place,

Je ne sais pas qui je suis, je n’ai pas envie

De savoir, trop tard, dur pour changer

.

Ce qui compte, c’est l’impression je vais donner

Ma vraie, fausse personne : rien à cirer

Car les autres font pareil en norme.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

980 4

.

Flacon avec bouchon,

Escalier de secours,

Pour nombre  immeubles 

En zigzag ou en spirale.

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

la forme s’approche du fond)

.

Etre ceci, être cela …  en ziz-zag,

escalier de secours sur immeubles

pour distribuer les entrées d’étages

 ferait  que  forme  accroche  le fond !

.

Escalier de secours en zigzag :

Un coup à gauche, un coup à droite,

Il changera, toujours, de  direction,

Même pour escalier en spirale.

 .

Symbolique 

 .

Un escalier de secours est

Prévu en vue de garantir aux

Résidents ou locataires d’un

Immeuble, une évacuation

En toute sécurité en cas

D’urgence, sinistre soudain.

.

Ce dispositif n’est pas courant

Dans les maisons individuelles

Ou disposant de peu d’étages,

Par contre, la loi stipule

Que les habitations construites

Avec plusieurs étages doivent en avoir.

escaliers.eu/reglementation-des-escaliers-de-secours

.

.

Fond

.

Évocation 

.

980 6

Escalier de secours, en zigzag :

Un coup à gauche, un coup à droite,

Il changera, toujours, de  direction,

Même pour escalier en spirale.

 .

Symbolique de fond

Spirale, colimaçon et hélicoïdal,

Ces trois mots peuvent être employés

Pour  décrire  un escalier  de  cette forme

Mais parfois avec des orthographes variées :

«Escalier en spirale,  lui, deviendra escalier spiral ;

Colimaçon perd sa cédille évocatrice ou reçoit deux «s».

Quant à hélicoïdal il perd souvent à tort, accent et tréma.

.

Hélicoïdal est le mot le plus utilisé par les professionnels;

Colimaçon est le plus répandu dans la langue courante.

Colimaçon est, entre autres, un synonyme de limaçon,

Mot qui englobe les « mollusques terrestres à coquille

Enroulée » tels que les escargots … entre autres !

Escalier-ehi.fr/escalier-en-spirale-en-colimacon-ou-helicoidal

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Pour chacun, l’escalier sert à monter,

Soit mais de secours, sert à descendre

Monter et descendre en l’échelle social

Est question point de vue professionnel

Et qui n’aurait que peu de liens directs

Avec un bon développement personnel

Ce que l’on perdra en beauté extérieure

On le compense par richesse intérieure,

Être ceci et cela contribue grandement.

 .

.

C’est pourtant bien la même

.

Scénario

.

Être, changer, devenir et ainsi de suite jusqu’à la fin de sa vie

Jean qui rit, jean qui pleure, sont deux masques alternatifs.

À force de devenir ceci, cela, qui suis-je vraiment devenu ?

 .

Visuels et textuels  >>

969 – L’homme est un être paradoxal, inachevé

Visuels et textuels  >>

.

Paradoxal, inachevé,

Sont deux mots  forts,

Afin de nous  limiter.

Paradoxal  parce que

Instinctif,   versatile,

Raison   et   passion.

Inachevé parce que

Toujours en devenir

Soucieux s’enrichir.

.

S’enrichir de biens, et savoirs

Sans jamais pour autant pouvoir

Connaitre rôle, destinée  cosmique

Lors sa part animale, dont il hérite,

Le fragilise, face à sa part mystique,

Avec beaucoup d’amour et musique,

Il flirte avec son divin … pathétique.

.

L’homme devient un être paradoxal,

Pour le moins, inachevé,  voire, fatal,

Entre l’âme, esprit, corps, et, animal,

Il se débat  comme devant  tribunal !

.

Paradoxal en tout, il est vrai que non,

Il est doué de cohérence  et de raison,

Ne peut  vivre  sans l’autre, s’en méfie,

Air sans cesse autour de lui, se raréfie.

 .

Il prétend aimer  l’autre …sans s’aimer

Ou n’aimant que lui-même… à s’envier

Il prétend trouver l’autre sans chercher

À le rencontrer ailleurs que dans l’idée.

 .

L’homme se considère comme à moitié

Une moitié d’animal une moitié de dieu

Appelé, à disparaître  dans un néant vidé

De sa substance sans son esprit, heureux.

 .

Être vivant ne pouvant se reproduire seul

Ne pourra  se  passer d’autre pour procréer

Son enfant  lui échappe fruit du hasard, né

Il ne le prolongera, nullement, hors linceul.

 .

Paradoxal  amour  mais  pour choix  de passion,

Qu’il ne peut honorer, trop longtemps,  déraison

Il veut tout effacer, recommencer autres liaisons

Et ne se rend pas compte   qu’il  tourne  en rond !

.

.

Extensions

 .

Paradoxal, c’est ce qui fait son charme ;

Inachevé, mais c’est ce qui fait son drame ;

Contradictoire, et c’est ce qu’il fait qu’il rame

Autant et partout, pour tenter de conserver

Une certaine cohérence, homogénéité,

En toute son histoire mouvementée.

Il navigue entre pulsions animales,

Solutions subliminales, pour garder

Un cap qui lui est, lui sera en principe

Favorable, étant sujet à erreur ou à échec.

Il lui arrive de vouloir tout et son contraire,

Selon les vents porteurs, état des humeurs.

En tout état de cause il se sent mieux

En construction qu’en destruction

Mais il admet que, pour ce faire,

Pour changer, pour progresser,

Se réaliser tout à fait autrement,

Faut déstructurer acquis du passé

Sans pour autant en faire table rase.

Son inachèvement le pousse vers une

Recherche de perfection comme pour

Gommer tous ses défauts conséquents.

.

Inachevé, c’est certain, ce n’est pas un être parfait  et  loin s’en faut ;

Paradoxal il le devient de plus en plus  avec la complexité des droits

Contradictoire, j’ajouterais, avec rôles de plus en plus… disparates,

Morcelé, pour finir, entre religion, humanisme, individualisme, etc.

Mais toujours égal à lui-même depuis qu’il existe, émotionnellement.

.

On qualifie l’humain de quantité

D’adjectifs opposés, contradictoires,

En autant  de défaites  que de victoires.

.

Parfois tendre et fragile ou dur, incassable

Sa ruse, intelligence, l’emporte le plus souvent

Sur sa force et sa détermination de combattant.

.

Au final c’est parce que nous ne sommes pas forts

Que nous avons développé quantité de stratégies

Nous protégeant et en même temps détruisant.

.

.

Épilogue

.

Paradoxal, inachevé, c’est certain,

J’ajouterais inventif et vulnérable :

Ne finit de progresser en mal/bien,

Sa volonté d’explorer, inébranlable.

***

Malgré des guerres, larvées, iniques,

Il fait preuves de, raison, diplomatie,

Commerce l’emporte sur la politique,

Dès qu’un problème surgit, il le saisit.

***

Il faut bien comprendre, ici, paradoxe

Au sens de  contradictoire, simultané :

L’exemple semblant le plus orthodoxe,

La guerre et le sauvetage de la Planète.

***

On ne peut courir  deux lièvres à la fois :

Notre gouvernement en aura fait  slogan,

Et mondialisation aura rendu tout ouvert

Au point que l’on réclamera tout à la fois !

***

Inachevé, c’est à la fois handicap et chance,

Handicap parce qu’on ne sait pas  tout faire,

Chance parce que marge de progrès demeure

Serait-ce le fait d’être mortel  qui  le sublime !

.

.

969 – Calligramme

.

Paradoxal, inachevé,

Sont  deux   mots   forts,

Afin de  Ô  nous  Ô  limiter.

Paradoxal      //       parce que

Instinctif     //          versatile,

Raison et    ===    passion.

Inachevé        parce que

Toujours en devenir

Soucieux s’enrichir.

.

S’enrichir de biens, et savoirs

Sans jamais pour autant pouvoir

Connaitre rôle, destinée  cosmique

Lors sa part animale, dont il hérite,

Le fragilise, face à sa part mystique,

Avec beaucoup d’amour et musique,

Il flirte avec son divin … pathétique.

.

L’homme devient un être paradoxal,

Pour le moins, inachevé,  voire, fatal,

Entre l’âme, esprit, corps, et, animal,

Il se débat  comme devant  tribunal !

.

Paradoxal en tout, il est vrai que non,

Il est doué de cohérence  et de raison,

Ne peut  vivre  sans l’autre, s’en méfie,

Air sans cesse autour de lui, se raréfie…

P…….……..

Il prétend aimer  A l’autre …sans s’aimer…..

   Ou n’aimant que   R  lui-même…à s’envier……

       Il prétend trouver   A   l’autre sans chercher….….

          À le rencontrer ail    D   leurs que dans l’idée…..……

            L’homme se considè    X   re comme à moitié…………..

             Une moitié d’animal      A   une moitié de dieu…..……….

               Appelé, à disparaître      L     dans un néant vidé………….

               De sa substance sans       *       son esprit heureux…………

         E

               Être vivant ne pouvant       T          se reproduire seul………

                 Ne pourra  se  passer d’        *           autre pour procréer……

                  Son enfant  lui échappe        I             fruit du hasard, né ……

                  Il ne le prolongera nulle        N            ment hors linceul………

               A

                  Paradoxal    amour,   mais     C            pour choix  de passion,

                 Qu’il ne peut honorer trop    H            longtemps en déraison.

                Il veut tout effacer, recom   E                 mencer autres liaisons

             Et ne se rend pas compte   V                     qu’il  tourne  en rond !

É …..…

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation   

.

.

Une silhouette d’homme

Vue ici de  face,

Pouvant être un diplomate

Loin du soldat.

.

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

.

Costume, cravate, attaché-case,

souliers  en cuir : un homme  qui

ne parait ni paradoxal, inachevé,

et cependant, il l’est tout entier.

.

L’homme est tantôt chêne, roseau,

Tantôt fort, tantôt faible :

Il serait un diplomate défendant.

Et un soldat attaquant !

 .

Évocation 

 .

Les diplomates pour mener à bien leurs activités

De représentation, d’information et de négociation,

Doivent mêler relations professionnelles et amicales,

Vie publique et vie de famille, lieu de travail et domicile.

.

Le travail diplomatique suppose une pratique professionnelle

De la gestion de son image personnelle, des relations personnelles,

De la convivialité  et  de l’hospitalité. Inviter, être invité, y compris

Dans domiciles privés, est un moyen parmi d’autres de constituer

Un réseau indispensable pour entretenir l’image de la relation

Politique et pour bâtir la confiance qui permet l’échange

D’informations et la négociation.

journals.openedition.org/socio/2382

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

L’homme est tantôt chêne, roseau,

Tantôt fort, tantôt faible :

Il serait un diplomate défendant.

Et un soldat attaquant !

 .

Symbolique 

 .

Il a deux trous rouges au côté droit. »

Chacun se souvient de ce « dormeur du val »

Que le poème de Rimbaud éponyme immortalise

Comme un jeune soldat frappé par la mort.

Ni un vagabond, promeneur ni ivrogne.

Comment sait-on que c’est un soldat ?

.

Une certaine solennité dans le poème

Inspire  cette qualité  de silence  qui

Marque  les  cérémonies  du  souvenir

Autour de ceux qui sont morts au combat.

.

Mais cela ne saurait suffire à identifier ce corps

Comme celui  d’un soldat ; sans doute  l’uniforme,

Ou ce qui en reste, le fait, aussi, qu’on est en guerre,

Font percevoir ce corps comme quelque chose de plus

Qu’une individualité, une sorte de réalité « collective ».

cairn.info/revue-inflexions-2009-3-page-127.htm

 

 

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le diplomate utilise quantité de paroles

Pour influencer ses amis ou ses ennemis

Arme favorite reste sa langue, prestance

Le soldat utilisera une quantité de balles,

Pour perforer de force, front de l’ennemi,

Son arme favorite reste  le coup de poing.

 Paradoxalement   à tout  ce que  l’on croit,

Diplomatie aussi importante que combat !

 .

.

Homme à la fois pour et contre

.

Scénario

 .

Indignez-vous, dit Stéphane Hessel, pour toutes injustices sociales.

L’homme est coupé, morcelé entre bien et mal,  hors valeur morale.

L’homme, ce faisceau de courbes et de droites des plus paradoxales.

 .

Visuels et textuels  >>

.

599 – Le néant de mon être s’accorde au tien

Visuels et textuels  >> 

.

Zéro + zéro  égal  zéro,

De nos jours, c’est évident :

Pas depuis l’aube d’humanité,

Et pourtant cela aura toujours été

Car le vide existe bien dans l’Espace,

Tandis que le néant est le rien, absolu !

Néant n’est pas le vide et réciproquement.

Quant à mon propre néant et quant au tien :

C’est jute une pure métaphore de notre esprit

Disant qu’être, ne pas être, revient au même.

Néant de sentiments avec vide des pensées,

Il n’y a  rien  qui  attire, rien qui  manque,

Un vide ne comblerait pas  propre néant.

Le néant de mon être s’accorde au tien,

Du simple fait que, moins par moins,

Donnent plus    s’ils  se multiplient,

Ils se poussent, s’attirent… aussi.

.

Comme deux aimants  se collent

Nos deux corps,  se fusionnent,

Comme ressorts qui se tordent

Nos deux esprits, s’accordent.

À l’autre, pour   lui manquer,

Pour gagner sa place, en lui,

Faut commencer  par vider

Le trop plein  de ses ennuis.

L’un en autre, comble  vide,

Parti, il le creuse, impavide,

Force d’attendre qu’il repasse

Qu’à nouveau, amour… enlace.

.

Conversation à quatre mains :

L’un commence et l’autre finit,

Nos phrases sont des répliques,

Qui deviennent  des suppliques

Manques patents et trous noirs

L’amour  en devient  troublant,

En  déficiences,  en désespoirs

Tous deux  tombent en néant.

.

Rien n’a plus   d’importance,

Que d’y penser, à outrance,

En nous gâchant  plaisirs,

Plutôt que  nous réjouir.

Néant  des sentiments,

Pèse solitude extrême

Sollicitude bohème,

Biaise ce moment.

Moments pleins,

Instants vides,

Ou heureux

Stupides.

.

.

Extension

 .

Conversation à quatre mains,

L’un commence  et l’autre finit,

Nos phrases  sont  des répliques

Qui se transforment en suppliques,

Et accélèrent leurs rythmes jusqu’aux

Formes d’incantations des orchestrations.

.

Manque patent, trou noir, amour troublant,

En latence, en déficience, si ce n’est désespoir.

Tous deux tombent en néant, en petite mort

Qui les prend, surprend comme détaché

De tout et y compris d’eux-mêmes.

.

Rien n’aura plus d’importance

Que d’y penser à outrance,

En nous gâchant tour plaisir

Plutôt que de nous  en réjouir.

.

Toutes nos sensations extérieures

S’amenuisent au profit d’état d’extase

Intérieur qui peut durer  bien des heures.

Néant  des sentiments pèse comme solitude

Extrême si trop de sollicitude,  trop bohème,

Biaise ce moment,  ce voyage extraordinaire,

Sur  un tapis volant, ressemble, fort, à  celui

Imaginé aux confins d’univers de lumières.

Ces moments pleins, paraissant stupides,

Ces instants vides paraissant heureux.

.

Le rasoir, comme son nom l’indique rase tout ce qui dépasse

Une maison rasée,  une tête rasée,  une barbe rasée, etc.

Rien ne lui résiste tant il est tranchant, bien aiguisé

Y compris en amour quand on en fait table rase

Et le néant s’ouvre devant soi comme le vide.

.

Comment le néant n’étant pas existant

Pourrait  s’accorder  à celui d’un autre :

Ça n’a aucun sens, n’a aucune substance,

Que feraient  deux néants : le mien, vôtre,

Rien plus rien ne peuvent donner que rien.

.

C’est comme si un mort enterré en cimetière

Pouvait parler avec celui de la tombe d’à côté.

En ce cas, cimetière aura des choses à raconter

Et lors le néant de toute mort n’en serait plus un.

.

Ce qui veut dire que, moi vivant, suis loin de néant

Et ce d’autant plus que communique à autre vivant.

Voilà au moins qui est bien réel et qui est rassurant,

Lors cela dit, entre toi et moi, rien à signaler : néant !

.

.

599 – Calligramme

.

Zéro + zéro  N     égal  zéro,

De nos jours,   É   c’est évident :

Pas depuis l’au   A    be d’humanité,

Et pourtant cela     N    aura toujours été

Car le vide existe       T    bien dans l’Espace,

Tandis que le néant     *       est le rien, absolu !

Néant n’est pas le vide  D       et réciproquement.

Quant à mon propre né   E      ant et quant au tien :

C’est jute une pure méta  *       phore de notre esprit

Disant qu’être, ne pas     M    être, revient au même.

Néant de sentiments     O     avec vide des pensées,

Il n’y a  rien  qui atti   N      re, rien qui  manque,

Un vide ne comble   *   rait pas  propre néant.

Le néant de mon  Ê  être s’accorde au tien,

Du simple fait    T que, moins par moins,

Donnent plus   R   s’ils se multiplient,

Ils se poussent E      s’attirent aussi.

.

*******************************

*****************************

Comme des ai  S  mants se collent

Nos deux corps,   ‘    se fusionnent,

Comme ressorts   A        se tordent

Nos deux esprits    C  s’accordent.

À l’autre, pour lui     C  manquer,

Pour gagner sa place  O     en lui,

Faut commencer par   R      vider

Le trop plein  de ses   D   ennuis.

L’un en l’autre, com   E  ble vide,

Parti, il le creuse    *      impavide,

Force d’attendre   A  qu’il repasse

Qu’à nouveau,    U  amour enlace.

*

Conversation à   T  quatre mains :

L’un commence  I   et l’autre finit,

Nos phrases sont E des répliques,

Qui deviennent des  N suppliques

Manques patents et  * trous noirs

L’amour  en devient    troublant,

En  déficiences,  en   désespoirs

Tous deux  tombent en néant.

.

Rien n’a plus   d’importance,

Que d’y penser, à outrance,

En nous gâchant  plaisirs,

Plutôt que  nous réjouir.

Néant  des sentiments,

Pèse solitude extrême

Sollicitude bohème,

Biaise ce moment.

Moments pleins,

Instants vides,

Ou heureux

Stupides.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

 .

599 4

.

Une belle pointe de quelque chose

Belle  plume de stylo, pour écrire,

Un gourdin,  pour vous assommer,

Ou rasoir électrique, manuel ?

.

Le rasoir réduit la barbe à néant

qui n’en est  pas   vraiment un,

aussi la forme diffère du fond.

.

On finirait par devenir rasoir

Si l’on disait tout … de travers.

Oui  mais, on passerait pour un

«Moins que rien» si on ne dit rien.

 .

Symbolique 

 .

Un rasoir est un appareil

Destiné à couper les poils :

(barbe, cheveux, pubis, jambes, aisselles),

Tant chez les hommes que chez les femmes,

Ou encore chez les animaux.

.

On appelle « rasoirs humides »

Les rasoirs nécessitant l’usage d’un lubrifiant

(huile d’amande douce, savon à barbe,

Mousse à raser, gel de rasage)

Comme le rasoir droit ou le rasoir de sécurité.

.

Par opposition, le « rasoir sec »,

Comme le rasoir électrique,

S’utilise à même la peau.

fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir

.

.

Descriptif

 .

599 – Néant de mon être s’accorde au tien 

Alignement central / Titre absent / Thème  dialogue

Forme conique /   Rimes égales   / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : rasoir électrique    Symbole de fond : manuel

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

599 6

.

On finirait par devenir rasoir

Si l’on disait tout … de travers.

Oui mais, on passerait pour un

«Moins que rien» si on ne dit rien.

 .

Symbolique 

 .

Le rasoir est un appareil destiné

À couper les poils  ou les cheveux.

Il est associé aux rites de passage.

Dans la religion musulmane,

Parmi   les  rites  de   passages

Liés à  la naissance d’un enfant,

L’un consiste  à raser les  cheveux

Au septième jour après sa naissance

De peser ses cheveux, et, de donner en

Aumône l’équivalent de leur poids en or.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-rasoir

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le rasoir est un instrument de coupe,

Tout autant qu’un instrument de mort :

Combien se sont font trancher le cou avec

Si ce n’est se couper les veines avec sa lame

Et donc d’être réduit à néant et  totalement !

.

Avec un rasoir électrique, ce sera plus difficile

Sauf se raser dans sa baignoire, rasoir branché.

Quoiqu’il en soit, un rasoir rien à voir ni avec moi

Ni avec le néant, ni vide sidéral, ni trou noir, béant.

 .

.

Sans visage : néant !

.

Scénario 

.

Il n’est pas facile de parler du néant, de ce qui n’existe pas, est vide.

Les troncs d’arbres nus, clairsemés en la brume évoquerait le néant.

L’être, c’est la vie, le néant, la mort, dit philosophe Jean Paul Sartre !

 .

.Visuels et textuels  >> 

594 – J’aimerais bien être quelqu’un, ne suis que moi

Visuels et textuels  >> 

.

Être quelqu’un

Ça veut dire quoi,

Ou ça veut dire qui :

Quelqu’un de respecté,

De fort célèbre ou de bien

Ou simplement  quelqu’un,

Qui se respecte … d’hu-main.

.

Quelqu’un on a envie d’aimer

Qu’on a envie  de fréquenter,

Qu’on a envie suivre en tout,

Un maître un chef, militant,

Et pourquoi pas un gourou.

.

Je voudrais  être quelqu’un

Mais, je ne suis  que  moi,

Il parait ce n’est pas rien,

C’est  rassurant, ma foi.

.

Vrai, je ne sais pas tant

Ce qui est force en moi

Estime respect évitant

De tomber plus bas.

.

Plus bas que qui,

Ou plus bas  quoi,

.

Amour renforce celui

Qui se donne sans souci

Pour aimer jusqu’ à mourir,

Pour nous aider à en finir.

.

Finir, ce serait une folie,

En monde incertain aujourd’hui

Que de perdre temps ou argent,

Pour de virtuels ou  faux sentiments.

.

Sentiments qui font du bien ou du mal,

Qui ne durent  qu’un temps, vrai animal,

Que nous sommes autant que vrai humain

Dès lors il s’agit de quête d’un Graal divin.

.

Divin, je ne puis l’être lors je ne suis rien

Sauf peut-être pour cet autre quelqu’un

Me considérant comme son alter ego

En rendant mon visage plus beau.

.

Beau,  non  comme  Apollon,

Beau non comme vrai lion,

Beau comme un caméléon,

Avec nature à l’unisson.

.

Unissons, sans les fondre,

Nos deux cœurs à répondre

L’un à l’autre en voix en chœur,

Sur un chemin, pavé en  bonheurs

.

.

Extensions

 .

Je voudrais bien être

Quelqu’un de bien et je ne suis

Que son ombre, pour ne pas dire chien.

Il est certain qu’une telle mésestime de soi,

Ne me grandit pas, ne me sert vraiment à rien.

La première des choses pour se sentir quelqu’un

Est de s’aimer soi-même, jusqu’à se sentir bien,

Non pas narcissiquement mais humainement,

C’est-à-dire d’égal à égal avec l’autre et pour

Enfin apparaitre comme fier et distingué,

Je ne suis que moi, ça ne me suffit pas.

Des millions vivent ainsi, il est vrai

Mais ce n’est pas une raison

Raison qui me satisfait.

.

Être quelqu’un d’autre que moi oui d’accord mais lequel

Et de plus ça veut dire que moi, je ne me trouve pas bien.

Allons, allons, laisse  donc  les autres, être, comme ils sont

Et contente-toi, d’être toi-même, d’avoir confiance  en toi,

Et tu verras que tu n’auras plus rien  à envier à personne.

C’est sûr que l’on peut vouloir ressembler à ses modèles :

Il faut les prendre comme tels pour avancer, non imiter.

.

Ça veut dire quoi : « être quelqu’un »

De bien, de connu, riche, d’important.

On est forcément quelqu’un, non chose,

Que l’on soit habillé en soie,  en pauvre !

.

Peut-être voudrais être quelqu’un d’autre

Sans trop savoir ce que la vie me propose :

On est jamais bien satisfait de ce qu’on est,

 De là, à envier vie des voisins, y a qu’un pas !

.

Mais d’être soi, est déjà un gros travail en soi,

Inutile de chercher à prendre place d’un autre,

Lors elle ne nous conviendrait, sans doute, pas :

Les chaussures trop serrées, chapeau, trop large.

.

Pour finir s’accepter tel que l’on est, nous permet

De peaufiner, voire améliorer notre personnalité

C’est en tous cas ma philosophie de vie adoptée

Et jusqu’ici, je n’aurai pas eu à le… regretter.

.

.

594 – Calligramme

.

Être quelqu’un

Ça veut    *  dire quoi,

Ou ça veut    J       dire qui :

Quelqu’un de    ‘           respecté,

De fort célèbre     A            ou de bien

Ou simplement      I               quelqu’un,

Qui se respecte,       M              d’hu-main !

Quelqu’un on  a         E             envie d’aimer

Qu’on a envie             R            de fréquenter,

Qu’on a envie           A          suivre en tout

Un, maître un          I          chef, militant,

Et pourquoi           S      pas un gourou.

Je voudrais           *      être quelqu’un

Mais, je ne          Ê     suis que moi !

Il parait ce        T    n’est pas rien,

C’est rassu      R  rant, ma foi ;

Vrai, je ne     E  sais pas tant

Ce qui est      force en moi

Estime res   pect évitant

De tomber      plus bas.

.

Plus bas         que qui,

Plus bas      que quoi,

.

Amour ren    Q   force celui

Qui se donne  U     sans souci

Pour aimer      E        à mourir,

Pour nous aider  L           à en finir.

Finir, ce serait          Q                 une folie,

En monde incertain     U                 aujourd’hui

Que de perdre temps         ‘                        ou argent,

Pour de virtuels ou  faux       U                        sentiments.

Sentiments qui font du bien      N                            ou du mal,

Qui ne durent qu’un temps,          *                           vrai animal,

Que nous sommes autant que        N                          vrai humain

Dès lors il s’agit de quête d’un        E                          Graal divin.

Divin, je ne puis l’être lors je           *                        ne suis rien

Sauf peut-être pour cet autre       S                      quelqu’un

Me considérant comme son     U                   alter ego

En rendant mon visage      I           plus beau.

Beau, non comme        S         Apollon,

Beau non comme     *       vrai lion,

Beau comme un   Q     caméléon,

Avec nature à    U      l’unisson.

Unissons, sans   E     les fondre,

Nos deux cœurs   *     à répondre

L’un à l’autre en voix   M    en chœur,

Sur un chemin, pavé en     O    bonheurs

                             I

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.594 4

.

Ça ressemble à une quille,

Et en tous cas : pas une fille,

Objet d’art  tête ou pied de lit

On peut y voir deux sphères

.

Que ce soit un objet d’art,

voire une ou deux sphères,

ça ne ressemble pas à moi,

forme se dissocie du fond.

.

On se croit comme un objet d’art,

 Comme sphère  alors que

L’on est simplement objet décoratif

Et tout à fait insignifiant.

  .

Symbolique 

 .

L’objet n’a pas

Fini de nous étonner

Par ses transformations ;

Par     ses   réutilisations,   par

Nouvelles affectations d’usages :

Il  peut   devenir   un prétexte  ou

Un support à notre imagination,

En  y  intégrant    ou  non    un

Message concret ou abstrait

Au travers de réalisation

D’un objet d’art.

.

Descriptif

594 – J’aimerais être quelqu’un : suis que moi !

Alignement central   / Titre serpente  /  Thème  pensée

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : objet-art / Symbole de fond : sphère

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

594 6

.

On se croit comme un objet d’art,

 Comme sphère  alors que

L’on est simplement objet décoratif

Et tout à fait insignifiant.

 .

Symbolique

Ces objets ronds sont dotés

D’énergie  dans tout rêve,

Une énergie initiale, qui

Ne vient d’on ne sait où

Oui mais, ils bougent

Ils avancent comme

S’ils étaient vivants.

.

Ces sphères sont

Une matérialisation

D’une énergie nouvelle,

D’une direction à suivre

Proposée par l’inconscient

Source : signification-reves.fr/

Sphere-boule-balle-ballon

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

 J’aimerais bien être carré et ne suis que rond

J’aimerais bien être rond et ne suis que carré :

Tout compte fait, on n’est pas bien comme on est.

C’est le lot des humains  qui se trouvent abscons,

Sinon quelconque, en tous cas pas bien reconnu,

Mais qui pour autant ne font rien pour non plus.

.

Ainsi va la vie, ainsi vont les choses que le succès

Ne tombe que rarement en main, du ciel, jamais.

 .

.

Je ne suis qu’un d’entre eux

 .

Scénario

.

Chanson de Pierre Perret «je suis le vent», tendre et  malicieuse.

Deux célébrités ensemble, il ne s’agit pas de moi : alors  qui c’est ?

Je déménage n’importe où la rue : ça change rien je ne suis que moi.

 .

Visuels et textuels  >>

579 – Semblables ou différents ou contraires !

Visuels et textuels >>  

.

Nous sommes semblables

Et  nous  sommes différents,

Tant distance infranchissable,

Peut vite nous réduire à néant.

.

Apparences sont trompeuses,

Attractions sont amoureuses

Nos attentions aventureuses

Abstinences sont pulpeuses.

.

Tes liens pour toi, fraternels,

Le sont, pour moi, sensuels,

Or  ils ne sont pas  éternels

Si aucune entente sexuelle.

.

Toi, si tu es  plus  manuelle,

Lors moi, plus intellectuel,

Tes mains sur ma pensée

La charge en affectivité.

.

Toi, tu marches  au pas

Et moi au triple galop

Émois … j’en ai  trop

Et toi, tu n’en a pas.

En ai-je pour deux,

Au gré de tes yeux.

.

Semblables, différents ou contraires,

Tout et même le reste, pour se plaire,

Moi, l’intellectuel, toi, nature et belle,

Moi consensuel et toi, pâture, rebelle.

.

L’amitié respecte les conventions,

L’amour y apporte sa révolution,

Il change relations en passions,

Jusqu’à franchir le Rubicond.

.

Différent c’est peu de le dire :

Tout reste à faire, à construire,

Lors d’un bel avenir soyons fier

De ne jamais revenir sur arrières.

.

Or semblable, je ne le suis que trop

De revenir vers toi, au triple galop

Tandis que je minaude tes faveurs,

T’ouvre, en plus grand mon cœur.

.

Contraire, ne l’es-tu pas de braire,

Comme si j’étais né ton petit frère

Ou que je te réclamais l’aumône

D’un amour fou  que  tu prônes.

.

Je suis, à la fois, différent de toi,

Et semblable en élans d’affections

Tu me mets beaucoup plus en émoi,

Que toi qui reste campé sur ta raison.

.

Contraires s’attirent, se repoussent

Me rapprochant de toi, tu tousses,

Accorde-moi une chance douce,

Amitié, faisons pause, pouce.

.

.

Extension

 .

Semblables par

Le faisceau des liens,

D’événements, de valeurs

Qui nous tient, nous convient.

.

Différents par

Notre sexe, notre âge,

Notre parcours, situation.

Par histoire personnelle de vie.

.

Contraires par

Je ne sais quoi de vague,

D’ambiguë, d’imprécis, qui nous

Empêche d’être amants, rien qu’amis.

Encore qu’amis qui regardent le passé

Et ne construit rien pour l’avenir

Mais qu’importe, tant que

Le lien n’est pas brisé.

.

Est-ce notre destin commun

«D’être loin de l’autre qu’on est près,

D’être près de l’autre quand on est loin».

.

Le nombre aspire à la diversité,

Pour se démarquer du voisin,

Foule anonyme n’est pas un

Repère  où on se sent bien.

De fréquenter  les mêmes,

On   s’ennuie  rapidement,

Et jusqu’au point extrême !

De rechercher son semblable

Parait, au début, réconfortant

Mais bien vite tournera en rond

Par manque de renouvellements !

.

.

579 – Calligramme  

 .

Nous sommes……..………S….……………. semblables

Nous sommes  ………….E……………….. différents,

Tant, distance………….M……….infranchissable,

Peut vite nous….……B…….réduire à néant.

Apparences ……..…L… sont trompeuses,

Attractions……..…A  sont amoureuses

Attentions ………B ……aventureuses

Abstinences ……L sont pulpeuses !

Tes liens pour ..E.. toi, fraternels,

Le sont, pour…S..moi, sensuels,

Mais ils ne sont… pas éternels

Si aucune entente… sexuelle.

Toi, si tu es  plus  manuelle,

Lors moi, plus intellectuel,

Tes mains sur ma pensée

La charge en affectivité.

Toi, tu marches  au pas

Et moi au triple galop

Émois … j’en ai  trop

Et toi, tu n’en a pas.

En ai-je pour deux,

Au gré de tes yeux.

.

Semblables, différents   D          ou contraires,

Tout et même le reste  I     et pour se plaire,

Moi, l’intellectuel     F   toi, nature et belle,

Moi consensuel    F  toi, pâture, rebelle.

L’amitié respecte   É    les conventions,

L’amour y apporte  R    sa révolution,

Il change relations  E   en passions,

Jusqu’à franchir le   N    Rubicond.

Différent c’est peu    T    de le dire :

Tout reste à faire, à   S   construire,

Lors d’un bel avenir   *   soyons fier

De ne jamais revenir    * sur arrières.

Or semblable, je ne le     * suis que trop

De revenir vers toi, au       C     triple galop

Tandis que je minaude        O      tes faveurs,

T’ouvre, en plus grand          N       mon cœur.

Contraire, ne l’es-tu pas         T           de braire,

Comme si j’étais né ton          R          petit frère

Ou que je te réclamais            A            l’aumône

D’un amour fou que               I            tu prônes.

Je suis, à la fois                   R     différent de toi

Et semblable, en            E   élans d’affections

Tu me mets beau-   S   coup  plus en émoi,

Que toi qui reste *  campé sur ta raison.

Contraires s’attirent,    se repoussent

Me rapprochant de toi, tu tousses,

Accorde-moi une chance douce,

Amitié, faisons pause, pouce.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

579 4

.

Vases superposés

Ou mieux encore :

Bouquet de fleurs

Dans  un beau vase.

.

Vase  avec  un bouquet  de fleurs

ressemble fort à un autre, avec

quelques  petites différences,

si fait forme approche fond.

.

Un mariage de composition

Bouquet de fleurs dans vase,

Elles ne seront pas semblables,

Toutes différentes, contraires.

 .

Symbolique

 .

Un vase est

Un récipient ouvert

Qui est souvent utilisé

Pour contenir un bouquet

De fleurs, décorer une salle.

.

Il pourrait être  constitué  de

Divers matériaux …   comme

La porcelaine, la céramique

Ou le verre. Nombre vases

Sont décorés dans le but

De mettre en valeur

Leur contenu ou

Eux-mêmes.

Wikipédia : vase

.

Descriptif

.

579 – Semblables, différents, contraires !  

 Alignement central  /  Titre droit/courbe  /  Thème   humains

Forme anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase   /     Symbole de fond : fleurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

579 6

.

Un mariage de composition

Bouquet de fleurs dans vase,

Elles ne seront  pas semblables,

Toutes différentes, contraires.

 .

Symbolique

 .

On appelle symbolisme des fleurs

Le fait d’attribuer à certaines fleurs

Des vertus, ou de servir d’emblème.

.

Et  l’iconographie  de nos cinq sens

Représente l’odorat sous la forme

Diverses compositions florales,

Ou sous l’aspect d’une figure

Qui tient à la main un

Bouquet de fleurs

Ou en hume les parfums.

.

Depuis l’antiquité, l’image

De la fleur  reste  associée à

L’idée de la brièveté de la vie,

De la beauté  et  de ses vertus !

Modifié,  source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il est certain que vase et fleurs

Sont faits pour aller ensemble :

Ce qu’il y ait une seule, plusieurs

Petit ou gros bouquet, me semble

Et naturelle, artificielle, ensemble

 Feront autant plaisirs, bonheurs !

.

Par contre s’ils sont … contraires,

 Cela ne fera pas souvent l’affaire

Les fleurs, comme les humains

S’associent ou se repoussent.

 .

.

Comme son nom l’indique

.

Scénario

 .

Tous différents, tous égaux, un mythe  loin des réalités quotidiennes ;

tous semblables, mais moi, le contraire des autres, les bras en l’air ;

tous contraires, j’ai épousé tout mon inverse et … réciproquement.

Visuels et textuels >>  

572 – Va où le vent te mène, où tes pas t’entraînent

Visuels et textuels  >>

.

Va où tu veux, peux,

Mais vas-y lors tu verras

Si ce chemin te va ou pas,

Ou s’il te rendrait nerveux.

Mais alors je te dis : le vent,

Je pensais aux sentiments

Lors  je te dis que tes pas,

Je pense  à tes bras.

Vent où t’entraine

Et tout autant,

Te  démène.

.

Va où  le vent  te mène, où tes pas t’entrainent,

Où tes rêves parviennent, à cet instant suprême,

Où, en matin, blême, Tu te dis : j’y suis, extrême !

Tu es colère, d’être sous-estimée,  sous-employée,

Soumise, délaissée, par un mari, qui a profité.

.

Lors  tu erres  dans un tel champ de mines

Chacun  de  tes pas  peut  te  faire éclater,

Dans un état morcelé comme au passé.

.

On ne sait jamais, tout à fait, qui on est,

On ne sait jamais, tout à fait, où l’on est,

Ne pas se soucier, de savoir  où l’on va :

Ce serait aller, nulle  part, d’un  bon pas.

.

Car tu veux, et toujours, rester … lucide,

Tout en cherchant à devenir translucide

Pour ceux qui t’aimeront naturellement

Par des mots, des gestes, sentiments.

.

Rester lucide, mais, en tout bien ;

Rester lucide mais en tous points,

Sans renoncer à rien, de suprême,

Réaliser son rêve et au-delà même.

.

Qui tu es peut aussi me dire qui je suis

Où tu vas peut aussi me dire qui je fuis,

Dans quel état, j’erre et ce que je préfère

Et, en tous les cas, partager mes misères.

      .

Qui suis-je, où vais-je,  en quel état j’erre :

Formule  magique, connue, à double sens,

Dont on connaît, que, trop bien, le refrain,

Le monde d’hier n’étant pas celui demain.

.

Voilà, c’est tout, c’est fini, pour aujourd’hui !

Demain est un autre jour, jour chéri ou d’ennui

Mais, il sera ce que j’en ferai : il sera le mystère

De qui suis-je, où vais-je, dans quel état j’erre !

.

.

Extension

.

Se laisser guider par ses rêves,

Se laisser guider par son cœur,

Se laisser guider par sa pensée,

Sont des postures bien adaptées

À son destin  mais qui se doivent

D’être passées  par  le filtre  social

De la raison, l’économie, et réalité,

Sinon  elles iront, sans doute, droit

Dans le mur, malgré détermination.

.

Personne n’est là pour vous ramasser

En piteux état : blessé, décontenancé,

Comme après une rupture inattendue.

C‘est donc tantôt vrai et tantôt faux.

.

La liberté : un rêve, une réalité, qu’on ne demande qu’à partager

Elle commence  dès l’enfance  et par l’imitation  de ses parents

Puis son affranchissement, en vue de trouver sa propre voie :

Rien de plus et rien de moins mais c’est tout un programme

L’on se sent mieux libre que de faire de tout accroc, un drame.

La liberté vient de l’intérieur, du passé assumé, du passé dépassé,

D’un avenir construit dans la pleine confiance en soi et dans l’autre.

.

En lieu et place du vent instable

Qui pourra te mener n’importe où,

Et se jouant de toi, comme d’un fou,

Tu peux simplement écouter ton cœur

Surtout si, en outre, accomplit ton rêve.

.

Ce qui parait judicieux pour se  marier

Le serait tout autant pour se divorcer :

Il faut alors aller dans le sens du vent.

S’il est bon, il ne saurait te tromper,

Sinon, facétieux, te faire rebondir.

.

Quoiqu’il en soit,  quoiqu’il en fût

Fais ce que l’air ambiant tu sens

Tu en seras très rarement déçu,

Enfin fais ce tu crois, ressens !

.

.

572 – Calligramme

.

Va où tu veux, peux,

Mais vas-y lors tu verras

Si ce chemin  te va  ou pas,

Ou te Ô  rendra  Ô nerveux.

Mais lors  je   //  te dis : le vent,

Je pensais    //   aux sentiments

Lors  je te  //    dis que tes pas,

Je pense     ==  à tes bras.

Vent où t’entraine mène,

Et tout autant,

Te ….. démène.

****  Va où  le vent  te mène, où tes pas t’entrainent, ****

**** Où tes rêves parviennent, à cet instant suprême, ****

**** Où, en matin, blême, Tu te dis : j’y suis, extrême ! ****

****  Tu es colère, d’être sous-estimée,  sous-employée, ****

****     Soumise, délaissée, par un mari, qui a profité.     ****

*****        Lors tu erres dans un tel champ de mines        *****

*****           Chacun de tes pas peut te faire éclater,          *****

*****            Dans un état morcelé comme au passé.         *****

VA OÙ LE

******          On ne sait jamais, tout à fait, qui on est,       ******

******          On se sait jamais, tout à fait, où l’on est,       ******

******          Ne pas se soucier, de savoir  où l’on va :       ******

******           Ce serait aller, nulle  part, d’un  bon pas.       ******

******          Car tu veux, et toujours, rester … lucide,      ******

******          Tout en cherchant à devenir translucide      ******

******           Pour ceux qui t’aimeront naturellement      ******

******            Par des mots, des gestes, sentiments.        ******

VENT TE MÈNE

******             Rester lucide, mais, en tout bien ;             ******

******             Rester lucide mais en tous points,             ******

******            Sans renoncer à rien, de suprême,             ******

******           Réaliser son rêve et au-delà même.            ******

OÙ TON PAS

******         Qui tu es peut aussi me dire qui je suis         ******

******        Où tu vas peut aussi me dire qui je fuis,        ******

******       Dans quel état, j’erre et ce que je préfère       ******

******      Et en tous les cas, partager mes misères.        ******

******      Qui suis-je, où vais-je,  en quel état j’erre :      ******

******      Formule  magique, connue, à double sens,      ******

******      Dont on connaît, que, trop bien, le refrain,      ******

*****      Le monde d’hier n’étant pas celui demain.       *****

T’ENTRAÎNE

****     Voilà, c’est tout, c’est fini, pour aujourd’hui !     *****

****    Demain est un autre jour, jour chéri ou d’ennui   ****

****    Mais, il sera ce que j’en ferai, il sera le mystère    ****

****   De qui suis-je, où vais-je, dans quel état j’erre ! ****

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

572 6

.

Une tête, un corps et des bras :

Ce serait une silhouette de femme

Ou bien d’un homme, allez savoir 

Tous deux décidés, libres des choix!

 .

Que ce soit silhouette d’homme ou femme

cela ne change rien au fond ni à la forme,

les deux s’accordent comme en un couple !

.

Liberté d’aller et venir là où on le

Désire est fondamentale :

Que l’on soit un homme ou

 Femme libre et sans restriction.

.

Symbolique 

 .

Comment s’autoriser

À être une femme libre ?

On peut être une femme libérée

Avoir  le droit  de vote, un métier,

Un chéquier, la pilule, des amants…

Sans pour autant accéder à la liberté

Celle d’être soi, et cela sans attendre

Autorisation  venue de l’extérieur.

Comment oser vivre, réellement,

Selon ses désirs, pour être libre,

Il faut avoir confiance en soi !

Source : psychologies.com Comment-

s-autoriser-a-être-une-femme-libre

.

Descriptif

 .

572 – Va où le vent te mène, où ton pas t’entraîne

 Alignement central    /    Titre droit     /   Thème  liberté

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme  /  Symbole de fond : homme

.

.

Fond

.

Évocation 

  .

.

Liberté d’aller et venir là où on le

Désire est une liberté fondamentale

Et que l’on soit homme ou femme

Elle demeurerait sans restriction.

 .

Symbolique 

 .

Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,

.Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.

Tu te plais à plonger au sein de ton image,

Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.

wikipedia.org/wiki/L’Homme_et_la_Mer_(poème)

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il faut distinguer la femme libérée

D’une femme, capricieuse, princesse.

La première  chercherait à s’affirmer,

La seconde, par contre, n’aura de cesse

Que de satisfaire ses envies passagères.

Si le principe d’égalité totale  n’est pas

Réalisable ni même voir souhaitable

N’empêche pas de s’en approcher

L’équilibre serait une nécessité

Pour tenir, dans la durée

Un couple… instauré.

 .

.

Le vent te mène couple instauré

.

Scénario 

.

Le vent  s’en vient  et puis  s’en va, quoiqu’il en soit, rien ne l’arrêtera,

lors sur son passage, souffle les aigrettes de fleur de pissenlit au loin,

et qui le sait : vers le pôle Nord, même  s’il y fait un froid de canard !

.

Visuels et textuels  >>

877 – Rentrée des classes d’un retraité

Visuels et textuels  >>

 .

Le jour de la rentrée

N’est jamais une journée

Comme les autres, de l’année

Elle  marque et le début et la fin

D’une aventure ou nouveau projet.

Étant un  retraité  l’été  me permet

De prendre  des grandes vacances :

Deux mois,  au moins,   comme les

Étudiants ou les         enseignants.

Il est, d’abord               en voyage,

En bateau,     ou,       en voiture,

Quelque     part       en Europe,

France     pour      un périple,

Séjour   =====   avec amis

Faire le tour  de la famille.

Tournée   beaux-parents,

Enfants, petits-enfants,

A été vraiment super,

Déroulée sans stress

Et dans l’harmonie

La joie de se voir.

 .

Pontivy n’était pas prévu,

Du moins de cette manière-là :

Pas pour assister aux derniers jours

De ma mère et à son enterrement.

Nous sommes le 13 septembre :

Et elle est morte le 13 août

Et il m’aura fallu un mois

Pour me remettre sur pied

Me remotiver pour reprendre

L’activité liée à mon association.

 .

Elle a repris un peu du poil de la bête

Même si tout n’est pas encore réglé

En tous cas…pour le long terme :

N’a pas mis la clé sous la porte,

C’est quand même l’essentiel !

Ce n’est pas plus mal : le pire,

Est de rester chez soi, s’isoler

Après événement dramatique

Et de ronger son frein, ou de

Désespérer de la vie, ou de

La société sur la planète.

.

C’est la rentrée, suis tout excité

Comme un gamin fin du primaire !

.

.

Extension

 .

Aujourd’hui même, deux réunions de rentrée :

Une sur  Fête de la Science les  11-12-13 Octobre

Au parc du Radome, ArmorScience, organisateur.

L’autre, organisation café-science pour 2012-2013.

Sans compter une série de trois/quatre conférences

Grand public, dont l’une sur la « Pomme de terre »

Au Carré Magique, à Lannion, le Jeudi 11 Octobre,

Et une sur la « Mucoviscidose » le 27 Novembre :

Y a du travail à faire : c’est pas plus mal ainsi

Car le pire est de rester chez soi, de s’isoler

Après un événement dramatique et de

Ronger son frein ou de désespérer de

E la vie et de la société et de la planète.

Je dois avouer que ce n’est pas évident

De reprendre ses activités tant la vie me

Parait dérisoire, inutile à certains moments.

N’étant pas de nature ni pessimiste ni dépressif,

Contact de gens, activité passeur de connaissances

Et de passion pour la science et les autres cultures,

M’enchante : suis tout excité, comme gamin CM2.

.

Ce n’est pas qu’histoire de parler une fois de plus de moi

C’est juste un exemple, parmi d’autres, des occupations

Possibles d’un retraité de la recherche et de la science !

Transmettre n’est pas un choix pour lui, une obligation

Sinon à quoi servira son savoir si on le garde pour soi. 

.

Pour une fois, excusez-moi, je parle, un peu, de moi,

De mes vacances, de ma mère et de mon association,

Focalisée sur le transfert, vulgarisation de la science,

Par l’intermédiaire  d’expositions  et de conférences.

.

C’est vrai je me répète, mais cela se devait d’être dit,

Parler de soi présente peu d’intérêt pour quiconque,

Se mettre au service de la communauté pour un but

Utile, exemplaire, en a bien plus et réjouit le cœur !

.

L’on parlera de la rentrée civile au premier janvier

Mais de la rentrée scolaire au premier septembre,

Éducation, expérience n’ont équilibre budgétaire

Faut tenir compte de rythme, présence des gens.

.

J’aurai passé  dix ans  à transmettre la Science,

Avant de me consacrer pleinement à l’écriture ;

Je ne puis être présent ni bon sur deux fronts ;

Temps passant, je finis ce qui me reste à faire.

.

.

Épilogue

.

Quand je parle de rentrée des classes pour moi,

C’est entamer une nouvelle année de bénévolat,

En  association dont j’ai été membre du bureau

Et aujourd’hui, son président : tout sur les dos !

.

Enfin n’exagérons rien, rien de si extraordinaire

Hors licenciement à faire de 8 employés bientôt,

Ce qui me coûte, non justifié, suite subventions,

Supprimées, pas assez de rentabilité comptable.

.

Le Monde bouge c’est certains, et trente années

De vie, de succès,  d’une association, implantée,

Ce n’est pas rien, qu’importe, elle aura survécu,

Grâce à participation de 12 membres bénévoles

.

Suite à quoi, pardonnez-moi, j’ai démissionné,

Trop c’est trop, le cœur à tout donné pour rien,

Pour me consacrer, enfin, à  nouvelle écriture,

Un rêve qui me tenait depuis années pour sûr.

.

Et de rentrée des classes dans une association,

Je n’en ai plus, mais, avec un peu de nostalgie,

Je mesure parfois je chemin que j’ai parcouru,

J’ai dit nostalgie, pas regret : je me sens bien !

.

.

877 – Calligramme 

.

Le jour de la rentrée

N’est jamais une journée

Comme les autres, de l’année

Elle  marque et le début et la fin

D’une aventure ou nouveau projet :

Retraité   ô    en été   ô    se permet

De prendre  des grandes vacances :

Deux mois,  au moins,   comme les

Étudiants ou les         enseignants.

Il est, d’abord               en voyage,

En bateau,     ou,       en voiture,

Quelque     part       en Europe,

France     pour      un périple,

Séjour   =====   avec amis

Faire le tour  de la famille.

Tournée   beaux-parents,

Enfants, petits-enfants,

A été vraiment super,

Déroulée sans stress

Et dans l’harmonie

La joie de se voir.

LA RENTRÉE DES

Pontivy n’était pas prévu,

Du moins de cette manière-là :

Pas pour assister aux derniers jours

De ma mère et à son enterrement.

Nous sommes le 13 septembre :

Et elle est morte le 13 août

Et il m’aura fallu un mois

Pour me remettre sur pied

Me remotiver pour reprendre

L’activité liée à mon association.

CLASSES D’UN RETRAITÉ 

Elle a repris un peu du poil de la bête

Même si tout n’est pas encore réglé

En tous cas…pour le long terme :

N’a pas mis la clé sous la porte,

C’est quand même l’essentiel !

Ce n’est pas plus mal : le pire,

Est de rester chez soi, s’isoler

Après événement dramatique

Et de ronger son frein, ou de

Désespérer de la vie, ou de

La société sur la planète.

.

C’est la rentrée, suis tout excité

Comme un gamin fin du primaire !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

877 4

.

Évocation

 .

Tête en pain de sucre,

 Manière savant fou,

Comme retraité,

Décontracté !

 .

Impossible de trouver forme représentant

À la fois  un jeune scolaire  et  un retraité,

Qui tiendront  les deux bouts  de la chaîne.

 .

Un vieux retraité parmi d’autres, en cravate

Et lunettes, air sévère :

Suis-je celui-là, sans cravate, en décontraction,

Ou le contraire !

 .

Symbolique

 .

Le départ en retraite constitue

Une étape dans la vie d’un individu,

Quelles qu’aient pu  être  ses  fonctions

Ou responsabilités au sein de l’entreprise

Qui l’emploie, alors quand sonne la retraite.

.

Problématique deuil qui doit s’opérer se révèle

En un sentiment d’une nécessaire utilité sociale

À transmettre  tout ce  que  l’on aura  mis une

Carrière à bâtir  et prend toute sa dimension

Symbolique au cours du fameux pot d’adieu.

Modifié, source : cairn.info

 .

Descriptif

 .

877 – La rentrée des classes d’un retraité 

Alignement  central  /  Titre  intercalé  / Thème  retraite

Forme anthropo / Rimes variées /  Fond   approché de forme

Symbole de forme : retraité  / Symbole de fond : décontraction

.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

877 6

.

Deux vieux retraités parmi d’autres, sans cravates

Sans lunettes, airs sévères :

Suis-je de ceux-là, en une totale décontraction,

Ou le contraire !

 .

Symbolique 

 .

Chaque degré fondamental

De la relaxation dynamique engage

À un abord singulier de l’univers personnel,

En relation avec les approches orientales

Qui les inspirent :

.

Le 1er degré permet de faire l’expérience,

En vécu sophronique, de pratiques

Venant du yoga hindou ;

.

Le 2e degré est une approche sophrologique

De techniques bouddhistes

Inspirées  du  Tibet ;

.

Le 3e degré emprunte bien au Zen Japonais

Son orientation méditative

Centrée sur le souffle.

cairn.info/grand-manuel-de-sophrologie

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’image du retraité est une caricature

Il s’agit désormais d’une personne active

Dont l’âge et le statut de non travailleur,

Le qualifierait plus que son état de santé

C’est pourquoi on utilise des vers libres.

Il aura le loisir de penser plus qu’agir,

Libre à lui de coller ou non à l’image.

 .

Visuel

.

.

.

Temps de vivre, choisir, écrire

.

Visuels et textuels  >>

876 – L’homme : seul juge de lui-même !

Visuels et textuels >> 

.

Bien étrange animal qu’homme qui

A conscience de toute chose et lui-même

Il  se sait fragile, instable, menacé, mortel

Mais il ne penser  qu’à tirer profit de tout,

Dès lors il demeure seul  juge de lui-même,

Aucune méchanceté et même aucune bonté,

N’est gratuites ans pour autant être calculée

Allant  jusqu’au bout, ou, jusqu’à l’extrême.

.

Son ambition resterait  sans limites,

Et lors il sentira qu’à lui, ça profitera

D’une manière ou  autre en richesse,

Ou célébrité ou  immortalité.

.

L’homme ne sait désigner

Toutes choses, arbitraires,

Sans lui donner noms communs pratiques,

Plusieurs, même polysémiques à cause dictionnaire.

.

L’homme ne fait pas qu’observer processus physique,

Il veut l’expérimenter et le renouveler, en vue de pouvoir

Mieux les maitriser pour établir la cause dite scientifique.

.

L’homme ne sait envisager la Terre que valeur marchande,

Qu’il achète, vend, transporte, commande,

De façon à ce que cela lui rende,

Pour cause économique.

.

L’homme ne veut envisager la vie que sous angle biologique,

Il est dans une chaine, dépend d’autrui,

Doit la respecter pour survivre,

Pour cause écologique.

.

L’homme ne cherche qu’à exercer pression forte, sur autrui,

Chaque guerre se termine, face ennemi,

Par des considérations contraires,

Pour cause humanitaire.

.

L’homme ne se projette dans ses rêves que par ses magies,

Et son inconscient collectif mais inventif,

Lui font découvrir arts bénéfiques,

Pour cause symbolique.

.

L’homme ne veut pas se croire mortel et à jamais enterré,

Créant ses dieux, il se protège de sa folie,

Pousse à tuer ce qui n’est pas lui,

Pour cause de divinité.

.

L’homme si avec tout cela, il poursuit sa ruine, incompris,

Ce n’est que son fait et uniquement le sien,

A moins d’un autre destin chagrin,

Pour cause modèle raté.

.

L’homme, s’il est bien la mesure et le juge de toute chose,

Est animal qui comprend, entreprend, ose,

Qualité qu’on lui demande en vain :

Être simplement humain !

.

Ce n’est pas rien surtout quand certains se montre pires

Que des animaux sauvages et même en rages :

Homme est ce qu’il a de mieux et pire.

.

.

Extension

.

Le juge obéit à toutes lois sociales

Qui régentent une vraie justice voulue,

Promulguée par des députés et sénateurs

Et appliquée ou non, dans, par un tribunal.

Il reste comme un tiers de référence  entre le

Procureur à charge et l’avocat à décharge.

La difficulté est de montrer qu’il est

Neutre et non «juge et partie» !

.

L’homme s’est instauré juge de tout, y compris de lui-même :

C’est comme si un joueur était l’arbitre de ses buts et fautes.

On peut  déléguer  la fonction  à une puissance supérieure,

En prétextant de l’immanence  ou  de  la transcendance :

Des lois sont là pour ça mais qui les écrit, les applique.

.

On ne peut, prétend-t-on être juge et partie

Mais quand il s’agit de soi-même, comment

Faire la part des choses, en toute honnêteté ?

.

L’on rappelle aussi que les lois ne suffiront pas :

Qu’il faut juger en plus en son âme et conscience,

Mais d’un juge à l’autre, sont-elles bien les mêmes.

.

L’homme demeure juge de toute chose tant qu’il s’agit

De choses dont il connaitrait, par ailleurs, bonne mesure

Il pense qu’elles sont, existent, sont vraies selon Protagoras

.

En conséquence, toutes choses qui ne se manifesteraient pas,

Ne pourraient donc être jugées comme vraies, n’existant pas :

De philosophie à la science, on est passé aujourd’hui au droit.

.

Quand il y a litige, et à propos de tout, on en ferait un procès,

On s’adressera au tribunal pour statuer, voire pour trancher,

Dérive du droit comme juge de toute chose et de l’homme ?

.

Épilogue  

.

L’homme est-il, à la fois, «juge et partie»

Ce n’est pas moi qui le dis, c’est son droit,

Avec lequel il tente une pleine objectivité,

Finissant par avouer conscience qui doute

.

Justice et police sont là pour nous protéger

Il arrive qu’elles parviennent  à innocenter,

Or, sans un avocat, difficile de s’en dépêtrer

La justice reste un monde des plus… fermés.

.

Nul n’est censé ignoré la loi, nous dira l’État

Lors il y en a tant et tant, qu’il y en a des tas

Sans parler  toutes interprétations possibles,

Qui nous les rendraient… incompréhensibles.

.

Bien que sans faire appel au droit ou la justice

L’on jugera, non pas ce qui est bien  …  ou mal,

Mais ce qui est permis par la loi ou ne l’est pas,

Autrement dit, on s’en remet à ce que dit l’État.

.

Il y aurait donc ceux qui seront informés et pas

Et l’on porterait défaut sur celui qui ne sait pas

Dès lors quand on dit homme juge de lui-même

Faut-il le prendre au sens propre ou bien figuré.

.

La réponse, bien entendu, je ne l’ai pas ni vous,

Mais je préfère encore vivre en un État de droit

Que laisser à des dictateurs et qui seraient fous

Le droit de juger et de penser comme il se doit.

.

.

876 – Calligramme

.

Bien étrange animal qu’homme qui

A conscience de toute chose et lui-même

Se sachant fragile, instable, menacé, mortel

Ne penser   Ô  qu’à tirer profit    Ô    de tout,

Dès lors     il est  seul   //   juge    de lui-même,

Aucune méchanceté  //   même aucune bonté,

N’est gratuite sans // pour autant, calculée :

Allant  jusqu’au bout, ou, jusqu’à l’extrême.

Son ambition  «=====»  sans limites,

Et lors il sentira qu’à lui, cela profitera

D’une manière ou  autre en richesse,

Ou célébrité ou  immortalité.

L’homme ne sait désigner

Toutes choses, arbitraires,

Sans lui donner noms communs pratiques,

Plusieurs, même polysémiques à cause dictionnaire.

L’homme ne fait pas qu’observer processus physique,

Il veut l’expérimenter et le renouveler, en vue de pouvoir

Mieux les maitriser pour établir la cause dite scientifique.

L’HOMME EST

L’homme ne sait envisager la Terre que valeur marchande,

Qu’il achète, vend, transporte, commande,

De façon à ce que cela lui rende,

Pour cause économique.

L’homme ne veut envisager la vie que sous angle biologique,

Il est dans une chaine, dépend d’autrui,

Doit la respecter pour survivre,

Pour cause écologique.

L’homme ne cherche qu’à exercer pression forte, sur autrui,

Chaque guerre se termine, face ennemi,

Par des considérations contraires,

Pour cause humanitaire.

LE SEUL JUGE

L’homme ne se projette dans ses rêves que par ses magies,

Et son inconscient collectif mais inventif,

Lui font découvrir arts bénéfiques,

Pour cause symbolique.

L’homme ne veut pas se croire mortel et à jamais enterré,

Créant ses dieux, il se protège de sa folie,

Pousse à tuer ce qui n’est pas lui,

Pour cause de divinité.

L’homme si avec tout cela, il poursuit sa ruine, incompris,

Ce n’est que son fait et uniquement le sien,

A moins d’un autre destin chagrin,

Pour cause modèle raté.

DE LUI-MÊME !

L’homme, s’il est bien la mesure et le juge de toute chose,

Est animal qui comprend, entreprend, ose,

Qualité qu’on lui demande en vain :

Être simplement humain !

Ce n’est pas rien surtout quand certains se montre pires

Que des animaux sauvages et même en rages :

Homme est ce qu’il a de mieux et pire.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

876 4

.

Évocation

 .

Une figure humaine

Sur un haut piédestal,

Un juge avec balance

Ou un accusé devant ?

 .

(Être  jugé par les autres, être jugé par soi-même

Est différent :

L’homme est juge, et lors, il se fait le juge de tout,

En balance !

 .

Symbolique

 .

 Juge est celui  qui remplit

Une   fonction  de jugement

Dans  le  domaine  juridique.

Il est donc chargé de trancher

Les litiges opposant des parties,

Ou plaideurs, et qui peuvent être

Des collectivités revêtues par la loi

De la personnalité juridique,

Dite « personnalité morale ».

.

Dans le cadre d’une procédure

Dont la mise en œuvre est procès.

Il existe plusieurs catégories de juges :

Juges pour enfants, juges d’instruction…

wikipedia.org/wiki/Juge

 

Descriptif

 .

876L’homme est le seul juge de lui-même !

Alignement central  /  Titre intercalé  / Thème justice

Forme droite / Rimes variées /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : juge  / Symbole de fond : balance

.

.

Fond

.

Évocation 

.

876 6

.

Être jugé par les autres, être jugé par soi-même

Est différent :

L’homme est juge, et lors, il se fait le juge de tout,

En balance !

 .

Symbolique 

 .

L’instrument de la  balance symbolise

Le travail du juge au cours du délibéré,

Prendre la mesure de chaque argument

Pour parvenir à une décision équilibrée.

.

Elle symbolise, aussi, toute l’impartialité,

Nécessaire au fonctionnement de la justice,

Qui ne doit pencher en faveur d’aucune partie.

.

Thémis l’utilisait pour juger le pour et le contre

Lorsqu’elle s’occupait d’une affaire.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’homme par ci, l’homme par-là : répété neuf fois

Ça pèse quand même en la balance de la justice :

L’homme se jugeant, lui-même, comme au-dessus

De tous les autres, c’est déjà presque un mi-dieu.

.

Mais le tribunal ne sera que le reflet des lois

Promulguées par la société, les députés

Depuis peu, les médiatisations influent

Sur les prétoires et les jugements.

.

Une forme animée, humaine et fantomatique

Surmontée d’une autre auréolée d’un pouvoir,

Le tout mis sur perchoir, balance, de la justice,

Ressemble à la figure du père en commandeur.

De ce fait la forme répond et englobe la forme.

 .

Visuel

.

.

Qui pour me juger ?

.

Visuels et textuels >> 

875 – Petitesse de l’égo, sur sept milliards !

Visuels et textuels  >> 

.

Si on compte toutes choses en milliards,

L’unité de base     ,         ne représenterait

Pas grand-chose,           voire même, rien

En est ainsi          monnaies,          étoiles,

Humains            n’échappent          guère,

Bien que chacun       se perçoive unique.

.

Voilà  qui devrait     nous  faire  accepter

De  rester, ouvert, humble, et,  modeste,

Or, souvent il n’en est rien car l’humain,

Se prend pour maitre du monde certain.

.

Juge et partie, il se dit au-dessus de tout

N’arrivant même pas, à prolonger sa vie,

Il se trouve  toutes les qualités  requises,

Pour imposer, aux  autres,  sa mainmise.

.

Lors son ego, surdimensionné, le pousse

À se croire  admirable, et, indispensable.

Six milliards d’êtres humains sur…Terre

Deux milliards de jeunes, un de retraités,

Deux milliards de nantis ; un, d’affamés,

Et moi, seul, parmi eux pour quoi faire !

.

Faire, de  mes vingt-quatre heures, jour,

Une goutte d’eau, en l’océan, des marées

D’humains, s’activant, pour s’alimenter,

Faudrait un siècle, pour en faire le tour.

.

Je me concentre, me disperse, me perd,

Je me demande souvent, à quoi je sers :

Je suis juste une fourmi, en fourmilière,

Jamais riche et demain, guère plus fier.

.

Chacun s’organise,  pour remplir sa vie,

Par moments intenses d’heures chéries,

Chacun envisage le monde… à sa façon,

Croit en un plaisir extra…au moins, bon.

.

Difficile de définir  art de vivre universel,

Aucune valeur n’a cours n’est sans pareil,

Peuple estimé ailleurs, en moins que rien,

Décide de ce qui est, pour lui, la merveille.

.

Et les fourmis qui s’activent en fourmilière

Qui sait si elles ne dévoreront Terre entière

Et moi dans mon bain dit Jacques Dutronc,

Tout nu, bronzé, j’ai l’air de quoi : d’un con.

.

Petitesse           si infinie

À naitre,        disparaitre

À devenir        un avatar,

Ou mutants    ou cafards

Ego entre       tous égaux

Aberration     de société,

D’existence,     et bien né,

Que qualité,     pas défaut.

Il aurait le défaut   de ne pas en avoir.

C’est déjà beau      coup et même trop,

La société croi           rait ne rien devoir

Lors serait pur            produit d’un égo.

.

.

Extension

.

On ne peut pas dire que je suis seul sur la terre

Mes cousins  sont  nombreux : sept milliards,

Et l’inflation nous en promet bientôt : neuf.

Cette fois il y aura quelque chose de neuf,

Neuf milliards d’êtres  humains à périr

Sous la chaleur, l’eau, pollution d’air

Et mon égo se dissoudra à jamais.

 .

Cinq, six, sept, bientôt huit ou neuf,

Milliards d’humains sur notre Globe,

Cinq milliards en 1987, et 8, en 2022,

Soit trois milliards, de plus, en 35 ans

Et près de 10 en 2050 : surpopulation.

.

« Et moi,  et moi,  et moi,  je suis

Tout nu, dans mon bain…

Avec ma vie, mon petit chez-moi »

Nous chante jacques Dutronc.

.

Autant dire que je ne suis que numéro

Dans une comptabilité à n’en plus finir :

Faut-il en pleurer ou mieux vaut-il en rire,

De toute façon, plus, moins, tend vers zéro !

.

.

875 – Calligramme

.

Si on compte toutes choses en milliards,

L’unité de base     ,         ne représenterait

Pas grand-chose,           voire même, rien

En est ainsi          monnaies,          étoiles,

Humains            n’échappent          guère,

Bien que chacun       se perçoive unique.

Voilà  qui devrait     nous  faire  accepter

De  rester, ouvert, humble, et,  modeste,

Or, souvent il n’en est rien car l’humain,

Se prend pour maitre du monde certain.

Juge et partie, il se dit au-dessus de tout

N’arrivant même pas, à prolonger sa vie,

Il se trouve  toutes les qualités  requises,

Pour imposer, aux  autres,  sa mainmise.

PETITESSE DE MON ÉGO

Lors son ego, surdimensionné, le pousse

À se croire  admirable, et, indispensable.

Six milliards d’êtres humains sur…Terre

Deux milliards de jeunes, un de retraités,

Deux milliards de nantis ; un, d’affamés,

Et moi, seul, parmi eux pour quoi faire !

Faire, de  mes vingt-quatre heures, jour,

Une goutte d’eau, en l’océan, des marées

D’humains, s’activant, pour s’alimenter,

Faudrait un siècle, pour en faire le tour.

Je me concentre, me disperse, me perd,

Je me demande souvent, à quoi je sers :

Je suis juste une fourmi, en fourmilière,

Jamais riche et demain, guère plus fier.

SUR SEPT MILLIARDS 

Chacun s’organise,  pour remplir sa vie,

Par moments intenses d’heures chéries,

Chacun envisage le monde… à sa façon,

Croit en un plaisir extra…au moins, bon.

Difficile de définir  art de vivre universel,

Aucune valeur n’a cours n’est sans pareil,

Peuple estimé ailleurs, en moins que rien,

Décide de ce qui est, pour lui, la merveille.

Et les fourmis qui s’activent en fourmilière

Qui sait si elles ne dévoreront Terre entière

Et moi dans mon bain dit Jacques Dutronc,

Tout nu, bronzé, j’ai l’air de quoi : d’un con.

Petitesse           si infinie

À naitre,        disparaitre

À devenir        un avatar,

Ou mutants    ou cafards

Ego entre       tous égaux

Aberration     de société,

  D’existence,     et bien né,

   Que qualité,     pas défaut.

Il aurait le défaut   de ne pas en avoir.

C’est déjà beau      coup et même trop,

La société croi           rait ne rien devoir

Lors serait pur            produit d’un égo.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

875 4

.

Évocation

 

Grosse tête avec un gros « égo »

Par rapport  à son corps

Et à  ses membres :

Humain, fourmi !

 .

Je me crois grand, je me crois gros,

Me crois avoir un super « égo »

Or je ne suis qu’une fourmi, parmi

Sept milliards de fourmis !

 .

Symbolique

 .

Les définitions  de   l’ego

Seraient   nombreuses,   selon

Que vous vous adressez à un moine,

À un philosophe  ou  à un psychanalyste.

Parmi    les   définitions   les    plus   connotées,

L’ego,  c’est  la   conscience  que  j’ai  de  moi-même ;

L’ego est ce qui me distingue des autres, du monde extérieur,

L’ego, c’est ce qui me place au centre du monde, du mien et autre).

Ces définitions établissent principe fondamental d’ego qui nous définit.

cairn.info/revue-la-chaine-d-union-2011-4-page-72

 

Descriptif

 .

875Petitesse de mon égo sur sept milliards 

Alignement central  /  Titre intercalé  / Thème  monde

Forme droite / Rimes libres  /   Fond approché de forme

Symbole de forme : égo      /   Symbole de fond : fourmi

.

.

Fond

.

Évocation 

.

875 6

.

Je me crois grand, je me crois gros,

Me crois avoir un super « égo »

Or je ne suis qu’une fourmi, parmi

Sept milliards de fourmis !

 .

Symbolique 

 .

La fourmi est symbole d’activité industrieuse,

De vie organisée  en société, de prévoyance, que

La Fontaine pousse jusqu’à l’égoïsme et l’avarice.

.

La fourmi occupe une place très humble dans la

Tradition celtique et est le symbole du serviteur

Infatigable et appliqué. En Afrique, les rites

De fécondité sont associés à la fourmi .

.

Les femmes stériles vont s’asseoir

Sur une fourmilière pour demander

Au dieu Amma, de les rendre fécondes.

Source:  Dictionnaire des symboles

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui ne connaitrait la fable de La Fontaine

«La cigale et la fourmi» : vies antithétiques.

.

Faut dire que la fourmi  fait moins de bruits,

Mais est plus efficace et bien plus prévoyante

En tout mais n’est pas partageuse pour un sou.

.

La moralité mais s’il y en a une qui tient le coup

Est que l’ego qu’on chante, ne remplira le ventre.

.

Caricature de la  fourmi, anthropomorphisée

À qui il manquerait  deux pattes  et une taille.

D’accord ça parait peu ressemblant humain,

Mais la métaphore fourmi fonctionne bien.

 .

Visuel

.

 .

Prévisions 9, 7 milliards de gens en 2050

.

Visuels et textuels  >> 

874 – Observe le Monde, pas ton nombril !

Visuels et textuels  >>

.

Un nombriliste est un pur, un vrai narcissique,

Il ne regarde rien, et donc il ne fera attention

Qu’à lui-même, il juge  lors il voit les gens,

Par rapport à lui, non rapport au monde,

Alentour et qui, de fait, le   conditionne.

.

«En somme : y a moi et le reste du monde,

Et du moment que j’aille, pour le mieux

Tout chaos ailleurs  où sur ma Planète,

Ne m’empêchera  pas de faire la fête. »

.

Mais c’est oublier que  le Monde et moi

Nous sommes…reliés, tous ensemble,

Ne peux faire ce que bon te semble

Mon nombril est comme le puits

Si  je me penche, trop, sur lui,

J’y  tomberai  et  tout  entier,

Profond  jusqu’à  m’y noyer.

.

Un nombril c’est petit et rond

On en fait vite le tour, pour de bon,

Qu’on soit intelligent ou bête, c’est pareil

Même en le creusant, il n’a rien d’une merveille.

.

Le monde, à côté, tout autour, est vaste et sans limite

Ou presque, en tous cas, s’étend au-delà de mon horizon,

Borné par mes questions  d’égo prisonnier de mes passions

Pour aller le voir,  faut-il que,  mon amour-propre, je quitte !

.

Le monde  ne serait-il pas   un gros nombril   de notre  Univers,

Prise conscience de planètes, amas étoiles à des années lumières,

Pour observer une petitesse de notre nombril, notre égo corporel,

Si l’homme en est la mesure  et démesure de toutes choses réelles

.

Réenchanter le Monde : mission impossible  à mener ferme  mais

Encore qu’il n’est fait que d’images que nous voulons mais jamais

Il ne se donne de lui-même en dépit de catastrophes à désespérer,

Il est peut-être le seul à pouvoir nous supporter et nous aimer.

.

Mon nombril, peu importe ce qui se passe, autour de lui,

La seule chose, importante, est ce qui se trame  en lui

Et  quand le monde s’approche de lui, il le fuit :

Il en a très peur et dans son giron, se blottit.

.

Tant mon nom brille, brille en tous lieux,

Quand  je fais le tour, en son creux,

Voilà un plaisir doux et délicieux

Qui me mènera droit aux cieux

Des cieux,  tournant  en   rond,

Où, l’on s’ennuierait tout au long

D’une vie qui se traine après rien,

Au point d’envier celle de son chien.

.

Monde appartient à celui qui l’embrasse,

Pour peu que l’on aille au-devant, on le trace,

Nous sommes faits de lui tant il est fait de nous,

Nous pouvons l’observer, le voir, comme sage, fou.

.

Le voir, plus sage, que nous, le voir, plus fou, que tout,

Le peindre, le dépeindre, sans  le connaître, sans s’en lasser

En  faire  dix  fois  le  tour, sans  jamais  parvenir jusqu’au  bout,

Tout nombril  est comme un puits,  où on y tombe et jusqu’à s’y noyer.

.

.

Extension

 .

Observe le Monde plutôt que ton nombril, tout le monde le dit,

À moins que quelqu’un se prenne pour le nombril du Monde,

Lors disposant d’un ego et d’une vanité, surdimensionnés.

Au-delà du Monde, il y a notre Galaxie, dans l’Univers

L’humanité, c’est petit et son nombril, plus encore.

Dans très bientôt il sera fait d’un zéro et d’un un

Quand numérique prendra le pouvoir sur lui.

.

Il y a des gens, des familles, des pays,

Qui se croient le nombril du Monde,

Ils ont  la vérité, le pouvoir, savoir,

Pour eux, et, un point, c’est tout !

.

Il y a des artistes ou gens célèbres

Qui pensent avoir réussi, tout seul,

Toute modestie ne les étouffera pas,

Ils sont nés pour cela et rien d’autre.

.

Un nombril a beau être en milieu ventre

Il est tout petit, obsolète, ne sert plus à rien

C’est donc bien tout le contraire de son symbole

Flatter mon nombril devient alors un oxymoron !

.

.

874 – Calligramme

.

Un nombriliste est un pur………P……….….un vrai narcissique,

Il ne regarde rien, et donc……L…….…..… il ne fera attention

Qu’à lui-même, il juge ………U…..……..  lors il voit les gens,

Par rapport à lui et non….. T………..… rapport au monde,

Alentour qui, de fait,…..  Ô ….……..… le   conditionne.

«En somme : y a moi ….T..…….et le reste du monde,

Et du moment que ….. *…….j’aille, pour le mieux

Tout chaos ailleurs .. Q..…. où sur ma Planète,

Ne m’empêchera…..U  pas de faire la fête. »

Mais c’est oublier ..E…que  Monde et moi

Nous sommes…reliés, tous ensemble,

Ne peux faire ce que bon te semble

Mon nombril est comme le puits

Si  je me penche, trop, sur lui,

J’y tomberai et  tout entier,

Profond  jusqu’à  m’y noyer.

Un nombril c’est petit et rond

On en fait vite le tour, pour de bon,

Qu’on soit intelligent ou bête, c’est pareil

Même en le creusant, il n’a rien d’une merveille.

Le monde, à côté, tout autour, est vaste et sans limite

Ou presque, en tous cas, il s’étend, au-delà de mon horizon,

Borné par mes questions  T     *    d’égo prisonnier de mes passions

Pour aller le voir, faut-il   O               L  que mon amour-propre, je quitte.

Le monde ne serait-il pas   N                   I     un gros nombril de notre univers,

Prise conscience   planètes   *                    R   amas étoiles à des années lumières,

Pour observer une petitesse   N              B    de notre nombril notre égo corporel,

Si l’homme en est la mesure    O      M     et démesure de toutes choses réelles.

Réenchanter  le Monde  est  mission  impossible à mener ferme désormais

Encore qu’il n’est fait que d’images que nous voulons bien mais jamais

Il ne se donne de lui-même, en dépit de catastrophes à désespérer,

Il est peut-être le seul à pouvoir nous supporter et nous aimer.

Mon nombril, peu importe ce qui se passe, autour de lui,

La seule chose, importante, est ce qui se trame  en lui

Et quand le monde   O   s’approche de lui, il le fuit,

Il en a très peur et    B dans son giron, se blottit.

Tant, mon nom       S    brille … en tous lieux,

Quand  je fais le   E    tour, en son creux,

Voilà un plaisir,   R   doux, et délicieux

Qui me mènera   V     droit aux cieux

Des cieux,  tour   E       nant en rond,

Où, l’on s’ennuie  *   rait tout au long

D‘une vie qui se     L  traine après rien,

Au point d’envier     E    celle de son chien.

Monde appartient à     *     celui qui l’embrasse,

Pour peu que l’on aille     M    au-devant, on le trace,

Nous sommes faits de lui   O       tant il est fait de nous,

Nous pouvons l’observer,      N      le voir comme sage, fou.

Le voir, plus sage, que nous    D      le voir, plus fou, que tout,

Le peindre, le dépeindre, sans   E    le connaître, sans s’en lasser

En  faire  dix  fois  le  tour, sans  jamais  parvenir … jusqu’au  bout,

Tout nombril  est comme un puits,  où on y tombe et jusqu’à s’y noyer.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

874 4

.

Évocation 

 .

Ventre et nœuds : résonnances, 

 Enregistrant vibrations du Monde

 Avec un ventre en nombril au milieu

Ou un filet piège pour des poissons.

 .

C’est certain que la vibration du Monde

Et de mon nombril

Ne peuvent, en aucun cas, se superposer,

 S’imiter, s’harmoniser.

 .

Symbolique

.

Vibrations environnement

Ne  stimulent   pas   seulement

Les  tympans   de  nos  oreilles,

Mettent en vibrations  certaines

Parties charnelles de notre corps.

.

Toutes  les parties  de  notre corps

Sont susceptibles d’être mobilisées

Tant  en fonction  des  hauteurs

Que des timbres de ces sons.

.

Apprendre à les ressentir

Et prendre conscience

De ces résonances,

Provoquées  par

Notre voix chantée,

Est une porte essentielle

Pour développer d’autres

Dimensions de notre être !

linequartz.com/node/111

.

Descriptif

 .

874 – Plutôt que nombril, observe le Monde  

Alignement central /  Titre droit rond  / Thème  monde

Forme courbe   /    Rimes égales  /   Fond associé à forme

Symbole de forme : vibrations /  Symbole de fond : nombril

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

874 6

.

C’est certain que  la résonance du Monde

Et de mon nombril

Ne peuvent, en aucun cas, se superposer,

 S’imiter, s’harmoniser.

Symbolique 

 .

Concentré sur votre nombril ou jamais :

Après tout, il est là, il existe mais on l’ignore

Le plus souvent. Mais quand on le redécouvre,

On peut être gêné de     voir ce petit bout de chair

Qui n’est vraiment            un trou, ni une cicatrice.

Est-ce mal alors de        se regarder le nombril :

Il est  considéré   comme   le centre  du corps.

Y  faire attention,   ce serait se concentrer

Sur soi au point  d’en oublier les autres

On oublie le nombril, dénigré rejeté !

Inspiration personnelle sur le site

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

Le nombril à mauvaise presse comme symbole

Il ramène  tout à « soi » ou à son « entre soi »

Alors qu’il n’est que la trace d’un lien étroit

 reliant enfant à mère, celle-ci à humanité

Se prendre pour le nombril du monde

Suppose d’avoir été enfanté par lui

N’avoir été enfanté que pour lui

C’est un comble tout de même

D’ignorer autres à ce point.

.

Difficile de percevoir nombril en la figure

Même en y prêtant  le maximum  d’attention

Il s’agit d’un treillis virtuel, non d’un sujet réel

Et pourtant le tout rimerait assez bien avec lui.

 .

Visuel

.

.

 Je ne suis pas nombril du Monde

.

Visuels et textuels  >>

873 – Chacun vit dans sa propre sphère

Visuels et textuels   >> 

.

Passions

Sont salutaires

Autant    qu’elles

Nous  régénèrent,

Avec    les    autres,

Mais sans  œillères,

Lors  nos   passions

Nous  étoufferont

Et,  avec elles, on

Tourne en rond

À en devenir

Abscons

.

Si chacun vit dans sa propre sphère,

Monde à l’endroit et à l’envers,

En activités et en loisirs divers,

On évite disjonction d’hémisphères.

.

Les gens qui naviguent, en bateaux,

Comparent voilure et monture,

S’échangent tuyaux et cultures,

Bricolent souvent : jamais de repos.

.

Les gens qui se dorent sur la plage,

Plein soleil se parlent en loisirs,

Se baignent et à n’en plus finir,

Restent tard dehors, lors peu sages.

.

Les gens qui randonnent en sentiers

Traquent leur bon point de vue,

Se croisent, en faisant un salut

Et photographient paysages en pied.

.

Les gens qui consomment, achètent,

Nombre objets dont ils raffolent

Quand leurs pulsions flageolent,

Ils font une valse en toutes étiquettes.

.

Les gens qui retraitent et recalculent,

Leur temps, leur argent, restant,

N’avancent plus, ni ne reculent :

Ils demeurent entre eux fort contents.

.

Chacun vivant dans sa propre sphère,

Et cela sur toute la terre entière,

En confondant Dieu et Lucifer,

Il se croira éternel et fort en lumière.

.

Mais si, un jour, sa sphère diminue

Ou, si sa bulle protectrice s’éclate,

Il se retrouvera, et pauvre, et nu,

Lors son âme, de lui, se rétracte.

.

Extension

 .

Chacun vit comme tout le monde

Depuis la nuit des temps et chacun

Pour soi, lors dans son propre temps.

L’humanité est à la fois une et multiple,

L’humanité est à la fois…humble et fière.

Fière de se croire  investie  d’une mission

Considérée parfois d’une origine divine.

Et, si ce n’était pas  le cas,  le néant de

Toute chose l’absorberait … vite fait.

Il faut avoir foi  en quelque chose,

Sinon en soi, survivre avec sens,

Non donné  à la naissance,  ni

Par socialisation, humanité,

Trouvé que par soi-même.

.

Sphère de connaissance, d’information, d’opinion, d’influence, action,

Je fais ce que j’observe avant observer ce que je fais : action-réaction.

Je n’ai qu’un seul endroit, organe où je peux mémoriser mes données

Je ne cesse de les transformer, restructurer, trier, oublier, retrouver

Ma sphère, petite ou immense, ne dispose que d’un canal limité pour

Consulter, traiter, décider, opérationnaliser les actions à programmer

C’est le mystère de notre sphère, un petit trou, une clé pour observer !

.

Sphère est comme chacun sait

Espace fermé plus ou moins grand

Homme ajoute le processus intelligent.

Ma sphère de connaissances est très limitée :

Elle n’est pas comme celle de l’univers : expansé.

Je l’espère bien remplie, bien tassée, bien structurée

Faculté de conceptualisation permet de m’économiser.

.

Capter, stocker, traiter, interpréter, structurer information

Je ferais cela toute la journée sans m’en rendre bien compte

Toute sphère de compréhension se tient en lobes cérébraux,

Je ne pourrai rien appréhender en dehors de mon cerveau.

.

En cette sphère je dispose d’une lumière, de feu intérieur

Pour les uns, une simple bougie, d’autres un projecteur,

On ne voit que de près avec bougie, le bout de son nez,

Avec projecteur, plus loin, plus large, plus profond !

.

Notre capacité mémorielle reste quasi infinie,

Nous ne stockons pas d’information brute,

Nous la transformons, la catégorisons.

.

.

873 – Calligramme

.

Passions

Sont salutaires

Autant            qu’elles

Nous régé              nèrent,

Avec   les                      autres,

Mais sans                    œillères,

Lors  nos                    passions

Nous étou                    feront

Et avec                 elles, on

Tourne         en rond

À en   devenir

Abscons

.

CHACUN

Si chacun vit dans sa propre sphère,

Monde à l’endroit et à l’envers,

En activités et en loisirs divers,

On évite disjonction d’hémisphères.

Les gens qui naviguent, en bateaux,

Comparent voilure et monture,

S’échangent tuyaux et cultures,

Bricolent souvent : jamais de repos.

.

VIT SA VIE

Les gens qui se dorent sur la plage,

Plein soleil se parlent en loisirs,

Se baignent et à n’en plus finir,

Restent tard dehors, lors peu sages.

Les gens qui randonnent en sentiers

Traquent leur bon point de vue,

Se croisent, en faisant un salut

Et photographient paysages en pied.

.

EN SA

Les gens qui consomment, achètent,

Nombre objets dont ils raffolent

Quand leurs pulsions flageolent,

Ils font une valse en toutes étiquettes.

Les gens qui retraitent et recalculent,

Leur temps, leur argent, restant,

N’avancent plus, ni ne reculent :

Ils demeurent entre eux fort contents.

.

PROPRE SPHÈRE 

Chacun vivant dans sa propre sphère,

Et cela sur toute la terre entière,

En confondant Dieu et Lucifer,

Il se croira éternel et fort en lumière.

Mais si, un jour, sa sphère diminue

Ou, si sa bulle protectrice s’éclate,

Il se retrouvera, et pauvre, et nu,

Lors son âme, de lui, se rétracte.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

873 4

.

Évocation

 .

Un long piédestal pour un buste

Un peigne ou  brosse à cheveux,

Ou bien alors une simple bougie 

Allumée autour sphère lumière.

.

Une bougie n’est pas une sphère

Elle en crée une autour de lumière

Qui peut devenir différente selon

Son volume ou son intensité !

 .

Symbolique 

 .

La bougie

Est associée

 À  la  lumière,

Au temps, prière.

Autrefois, la bougie était utilisée

Comme source de lumière, et aussi

Pour mesurer le temps qui d’écoule.

Cette  notion  de temps  est  exprimée

Aujourd’hui en bougies anniversaire,

Chacune  représentant  un an  de vie.

Évoque aussi l’élévation de la pensée,

Et une communication  avec le  divin.

D’ailleurs, elle serait, souvent, utilisée

Dans les rituels religieux, pour prier !

1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

 .

Descriptif

 .

873Chacun vit sa vie en sa propre sphère 

Alignement central /  Titre intercalé  / Thème  monde

Forme droite ovale /  Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bougie /  Symbole de fond : sphère-lumière

.

.

.

.

Fond

.

Évocation

.

 873 6

.

Une bougie n’est pas une sphère

Elle en crée une autour de lumière

Qui peut devenir différente selon

Son volume ou son intensité !

 .

Symbolique

 .

Sphères

Sont  des objets

Avec lumières, dotés

D’énergie  dans   le  rêve,

D’une   énergie   initiale   qui

Nous  vient   d’on  ne  sait  où

Expliquant   qu’ils    bougent

Avancent, comme vivants.

Comme matérialisation

Énergies nouvelle.

Essentielle

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 

Monde sans lumière vivrait en ignorance

Il n’y aurait pas ces feux de connaissances,

Pour lui apporter des bribes de conscience,

De ce qu’il est, qu’il fait ni d’où il vient et va.

La bougie en demeure le symbole universel

Est utilisée, en rituels dans le monde entier,

À ce point que religion ne peut s’en passer.

Entre  sphère  et  bougie : aucun rapport,

Bien qu’elle créera, autour d’elle, ce halo

Qui lui ressemble comme gouttes d’eau

 .

Visuel

.

.

Chacun dans sa bulle avec ses rêves !

.

Visuels et textuels   >>

872 – Je m’inscris en petit monde à moi

Visuels et textuels  >> 

.

Chacun  a sa vision

Du monde,  et il se construit

Son monde,  chacun s’ouvre à lui,

Se ferme sur  certitude, valeur, vérité.

Même si parfois lors  d’un repli sur soi,

L’on oublie,  un peu que le monde existe

Il nous reste l’attention,  qui  se déploie,

Sur tous les  gens qui nous entourent,

Si on ne peut rêver que pour soi

On met, implique des humains

Qui sont des cousins, amis

Ou ennemis et dès lors  ils

Communiquent, agissent

.

Mon petit monde, à moi, semble chaud

Mais je m’y repère, et, je m’y sens bien :

Mon esprit y vagabonde de bas en haut,

Je m’y repose du monde externe, chaos.

.

Je m’inscris  bien, dans le Monde,

Je m’enferme autant en le mien,

Entre  les deux, je vagabonde,

Corps simien  et esprit divin.

.

Pour fausses représentations

D’une  autre vérité, cachée :

Sens procèdent les fractions,

Lors l’esprit par la globalité.

.

Ici,  et maintenant captée,

Mon attention très  focalisée,

Ne peut traiter toutes données

Qui ne lui seront pas présentées.

.

Si images, sons mouvements,

Défilent par flux dans ma tête,

Seuls, sont  analysés, finement,

Ceux qui auront bonne étiquette.

.

Ainsi va la vie va notre survie,

On ne voit, que ce qu’on perçoit,

Ne réagit,  qu’à ce  qu’on a compris,

Ne comprend que ce qu’on entend.

.

Malgré cela, le miracle

De   la communication,

Se produit  en moindre

Terrain, conçu commun

Et qui fait que, chacun

Pense,  comme cousin,

Et de tout autre qui se

Comporte en humain.

.

.

Extension

.

Mon petit monde à moi,  quel qu’il soit,

A forcément quelque chose de commun

Avec celui de tous les autres humains.

Il n’y aura qu’une race humaine,

Il n’y aura qu’une seule planète,

Il n’y a qu’un temps pour vivre

Et il n’y a qu’un seul langage,

Composé de signes et de symboles

Pour bien communiquer entre nous.

Pour sûr, les représentations du monde,

Des voisins sont très diverses et… variées

Mais toutes convergent vers cette volonté

De vivre … ou de survivre et le commerce

Est possible dès qu’il y a une règle fixée,

Puis établies, puis  respectées de tous.

Chacun porte attention  à ce à quoi

Il croit, plus encore à quoi il tient

Mais peut aussi s’ouvrir à l’autre

Dans sa différence, sa compétence

Et dans sa performance : l’éducation,

Dialogue, négociation contre domination,

Le problème de leur équilibre, mise en œuvre,

Ne sera jamais réglé tant que certains privilégient

Conflit à entente, guerre à paix, profit à intérêt général.

.

Vivre en sa vie intérieure est parfois synonyme retrait, introverti

Comme dans sa bulle, sa tour d’ivoire, sa forteresse imprenable.

Il en est ainsi de certains êtres, couples,  sectes, communautés

Qui se coupent du monde pour vivre un bonheur illusionné !

Mais même sans en arriver à ces extrémités calamiteuses

En vivant  dans le monde, en lisant  les média informés,

Je peux m’enfermer dans mon « petit monde à moi »

Sélectionnant ce qui me plait, me convient, ou pas

Ce qui conforte mes opinions, visions du monde.

.

Mon petit monde peut se limiter à ce que j’ai ;

Mon petit monde peut se limiter à ce que je vois ;

Mon petit monde peut se limiter  à ce que je pense ;

Mon petit monde peut se limiter à ce qu’on m’impose.

En tous les cas petit par rapport au vaste qui m’entoure !

.

Comme tout le monde je m’informe, je pense, communique.

Pour ce qui est de ma maison, activité, argent : sens pratique

Et je n’envie pas le jardin du voisin, je n’arrose que le mien.

En somme, quand je regarde mes biens …  tout va bien !

.

Mais, parfois, je me suis comme un peu introverti.

Dois-je me contenter du peu que j’ai … je suis :

En m’ouvrant au Monde, aurai-je autre vie ?

.

.

Épilogue

.

Mon petit monde à moi, n’est-il que le mien,

On se croit seul au monde dans sa vie de chien,

Voilà qu’on en trouve autres, à le communiquer,

C’est ainsi que se forment nouvelles communautés.

.

Comme on ne peut jamais tout connaitre du Monde

À ce que l’on connait déjà, certain on se restreindra,

De temps à autre, une révision des croyances on fera,

Tout remettre en cause, à plat, n’est pas de ce monde.

.

Les Créationnistes, les Platistes, les anti-changements

Que ce soit nos Origines, la Planète, voire l’Humanité,

Ne varieront d’un pouce, toutes leurs  vérités héritées

D’on ne sait quelle révélation, issue  d’un firmament.

.

Le Monde n’a pas conscience de vous, votre identité,

Il n’y a que vous qui puissiez avoir conscience de lui

Lors vous mourrez, ce dernier continuera à tourner,

Votre petit monde, disparu, on ne parle plus de lui.

.

Mais nos visions, collectives, nationales du Monde,

Reposent toutefois sur la somme de petits mondes

Qui votent pour la compétition ou la coopération,

Et ainsi ils reposent sur des blocs fermés sur eux.

.

.

872 – Calligramme

.

Chacun    J       a sa vision

Du monde,   E    et il se construit

Son monde,    *    chacun s’ouvre à lui,

Se ferme sur   M   certitude, valeur, vérité.

Même si par    ‘   fois lors  d’un repli sur soi,

L’on oublie,     I    un peu que le monde existe

Il nous reste    N    l’attention,  qui  se déploie,

Sur tous les       S       gens qui nous entourent,

Si on ne peut        C      rêver que pour soi…….

On met, implique      R       des humains…….

Qui sont cousins, amis  I    …………………..

 Ou ennemis, dès lors  ils   S  ……………

Communiquent, agissent…………

.

***************

***************

.

Mon petit monde,   D   à moi, semble chaud

Mais je m’y repère,   A  et, je m’y sens bien :

Mon esprit y vagabon  N   de de bas en haut,

Je m’y repose du monde S      externe, chaos.

.

Je m’inscris bien, dans le Monde,

Je m’enferme, autant, en le mien,

Entre les deux  M    je vagabonde,

Corps simien  O    et esprit divin.

Pour fausses  N   représentations

D’une  autre   *    vérité, cachée :

Sens procè     P    dent fractions,

Lors l’esprit    E  par la globalité.

Ici,  et main     T    tenant captée,

Mon attention   I    très  focalisée,

Ne peut traiter   T  toutes données

Qui ne lui seront  *  pas présentées.

Si images, sons   M     mouvements,

Défilent par flux  O      dans ma tête,

Seuls, sont  ana   N   lysés, finement,

Ceux qui auront  D  bonne étiquette.

Ainsi va la vie      E    va notre survie,

On ne voit, que    *   ce qu’on perçoit,

Ne réagit,  qu’à ce  qu’on a compris,

Ne comprend que ce qu’on entend.

.

Malgré cela, le miracle

De  la communication,

Se produit en moindre

 Terrain conçu commun

Et qui fait que, chacun

Pense,  comme cousin,

Et de tout autre qui se

Comporte en humain.

.

 .

Forme

.

Réduction

.

.

872 4

.

Évocation

 .

Une silhouette de femme

Qui  tente  de  se mettre

 Vaste monde dans sa

Vie intérieure !

 .

Un petit monde face au grand :

Est humain  envers et contre tout

Un pot de terre  contre le pot de fer,

 Mais vie intérieure demeurera riche.

 .

Symbolique

.

L’humain,  en   tant    qu’être    vivant

Doué de raison, fabricant d’objets élaborés,

Doté d’un langage articulé, chez lequel a émergé

La pensée conceptuelle  et  symbolique, se caractérise

Par une aptitude à l’émerveillement, capacité d’espérance,

Accompagnée d’un refus de l’absurde. Avec l’invention de l’outil

Manufacturé et les premiers témoignages d’une pensée symbolique,

Comment l’aventure culturelle, spirituelle de l’Homme a-t-elle débuté ?

cnrseditions.fr/catalogue/arts-et-essais-litteraires/le-symbolique-le-sacre-et-lhomme

 .

Descriptif

 .

872 – Je m’inscris dans mon petit monde à moi !

Alignement central / Titre courbe droit / Thème  monde

Forme anthropo  /     Rimes égales   /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : humain /  Symbole de fond : vie-intérieure

.

.

Fond

.

Évocation 

.

872 6.

.

Symbolique 

 .

« La vie intérieure,

C’est ce flot de pensées,

 De souvenirs et projets,

Ressentis émotionnels

Si ce  n’est  corporels,

Qui se font, se défont,

Et    en    permanence

Au plus profond de nous.

.

Elle peut n’être qu’un lointain murmure,

Mais pour qui sait l’écouter,

Elle demeurera une source inépuisable

D’enseignements extraordinaires

Pour se connaître, se comprendre

 Et bien  mieux conduire son existence »

Source : christopheandre.com

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Une silhouette animée, de sexe féminin

Avec une grande tête mais un petit corps,

Croquée rimes mixtes, contraintes et libres

Symbolisant sa richesse de vie intérieure

Propre à regarder le Monde et bien en face.

 .

Visuel

.

 .

Représentation monde intérieur !

.

.

Monde

.

L’ensemble formé par

La Terre et les astres visibles,

Conçu comme un système organisé.

On parle aussi de : cosmos, d’univers !

.

La Terre, habitat de l’homme, l’humanité.

La surface terrestre, où vivent les hommes.

On parle alors de planète Terre ou de Globe.

.

Le monde réel, extérieur est fait de ce qu’il est

Mais le monde humain est fait de ce qu’on sait

Il y aura ceux qui le déforment à leur avantage.

.

« Selon les gréco-romains, des chemins relient les mondes terrestres et infernaux, ceux des vivants et ceux des morts : cratères volcaniques, crevasses rocheuses. Les montagnes font communiquer avec le ciel. Ténèbres, froids, terreurs, tourments caractérisent les Enfers ; lumière, chaleur, joie, liberté, régent aux Paradis. »

.

Au début, étant enfant, jusqu’à cinq ans, le monde réel et le monde imaginaire se confondent au  point qu’on croit au Père Noël. Une fois rendu adulte le monde s’élargit et se matérialise, on veut sillonner la Terre, connaitre tous les gens, les activités. Vieux, le monde se réduit à l’environnement, préoccupation, entourage immédiat.

.

Le symbolisme du monde, avec ses trois niveaux, céleste, terrestre, infernal, correspond à trois niveaux d’existence ou mode de l’activité spirituelle. Espaces imaginaires qui se définissent les uns par rapport aux autres dans un mouvement, une dialectique ascensionnelle. Monde d’en haut, monde d’en bas, monde du milieu !

.

Conscience,

Réveil de l’intelligence

Vision planétaire en prise directe

Avec l’inconscient collectif et raison d’être.

.

Nous n’avons guère accès à la réalité du monde

Nous nous en forgeons chacun une représentation

Qui peut être différente selon cultures, individus.

.

Et il y a des mondes construits selon un mode

Particulier, et qui ferait preuve d’originalité,

Soit dans le style de création, soit l’action.

.

Si chacun aura son monde, comment

Faire alors pour se communiquer :

Il faut appeler un chat, un chat.

.

Voilà bien un terrain commun

Sur lequel on peut bâtir réalité

Sachant que la vérité n’est autre

Qu’une erreur sans cesse corrigée.

.

.

Visuels et textuels  >>

871 – Touchant à l’argent, portefeuille !

Visuels et textuels  >>

.

On peut forcer quelqu’un à changer

Si l’on s’attaque à son portefeuille

En touchant là où ça lui fait mal :

L’argent est objet communicant

L’information devrait… suffire.

.

Mais on n’est plus, à lui obéir,

On est à la nier, la contourner,

Si portefeuille remplace le cœur

Si votre tête  est près  du bonnet,

Et votre portefeuille, sur le cœur,

Vos pieds traineront pour avancer

Et comment ferez-vous pour régler

Vos affaires intimes, embarrassantes

.

Nonobstant, toutes affaires cessantes,

Quand son honneur est véritable enjeu

Argent, portefeuille, le sauver, ne peut,

Lors on touche à l’argent ou portefeuille

On touche à, son confort, à son aisance,

On touche au respect mutuel, en écueil,

Touche à naissance,  sa reconnaissance.

.

De mettre informations, à leur portée

Est une entreprise de longue haleine,

Qui prendrait une bonne génération :

Comment trouver un  vrai processus,

Qui favorisera  la réelle  accélération.

.

Pas gai, ce nouveau réenchantement

Pas de quoi chanter, ni de  pavoiser,

Mais on peut s’y prendre autrement,

Réduire les distances  entre les gens,

Autour de soi et comme … autrefois

Les gens ont besoin d’être remerciés,

Gratifiés autant que d’être bien payés.

.

L’argent coule, s’amasse, or, il file entre

Les doigts et ne nourrit pas l’affectivité :

Argent d’un côté lors émotion de l’autre,

L’argent s’achète, et la confiance se gagne

Pour réenchanter le Monde, faudrait déjà,

Bien le connaître et avoir confiance en lui,

Confiance, en son énergie,  à se renouveler,

.

Tant, par le haut, que par le bas, ses échecs,

N’étant que des étapes, vers plus de justice,

De bien-être, ou d’égalités, voire de libertés.

.

Réaliste : le monde court     dans l’autre sens

En une folle course suicidaire, en l’abime,

Pessimiste : le monde serait déjà mort,

Plus tôt disparaitra, fin  des victimes,

Optimiste est ,ce que,  l’on ,en fera,

L’homme grimpera  vers sa cime.

.

.

Extensions

 .

On en revient toujours au même :

Monde se divise en deux catégories,

Les possédants et les…possédés, avec

Dans le milieu, le très grand interstice

De ceux qui seraient  plutôt autonomes

Pour  se  gérer, eux-mêmes, et, familles,

Communautés  ou entreprises mais pas

Une société tout entière, une étrangère.

Les deux bouts du monde  s’ignorent :

Tandis que les riches… s’enrichissent

Les pauvres, eux, s’appauvrissent !

.

L’argent, comme chacun sait, est le nerf de la guerre

Quel qu’elle soit : politique, économique ou militaire,

Et ne pas en avoir, est s’exposer  à une grande misère,

Et, il n’y a que les nantis  qui sont à l’aise sur la Terre !

La seule façon de limiter la cupidité de certains riches,

Est des combattre  là où ça leur fait mal : à leur argent.

Et l’argent brule entre nos doigts car on ne le voit plus,

Et fini les tirelires ou l’on entassait ses pièces d’argent,

Il n’existe que sur un compte, par une carte bancaire.

.

Quand j’étais plus jeune, une chose

Qui me sidérait était de voir des gens

Sortir de leur portefeuille… ils osent,

 Une liasse épaisse de billets d’argent

.

Je n’avais que ma monnaie d’argent de poche,

En plus, parfois, pour me punir, on m’en privait

Je me disais alors déjà que le Monde est mal fait,

Depuis il n’ pas changé, c’est ce que je lui reproche.

.

Aujourd’hui, on possédé une simple carte de crédit :

Cachez-moi ce sein que je ne saurais voir dit Molière

L’argent se dématérialise, que dis-je : il se virtualise

Pas question d’y toucher, sinon, y a grand danger !

.

Ne frapper pas le corps, cœur, esprit, réputation :

Frapper là où ça fait le plus mal, au portefeuille.

La Justice l’a bien compris, en bien ou mal !

.

.

871 – Calligramme

.

On peut forcer quelqu’un à changer……………………………………

Si l’on s’attache à son portefeuille…………………………………….

En touchant là où ça lui fait mal :…………………………………..

L’argent est objet communicant…………………………………..

L’information devrait… suffire,………………………………….

 Mais on n’est plus, à lui obéir,………………………………….

On est à la nier, la contourner,………………………..……

 Si portefeuille remplace cœur……………..…….……….

Si votre tête est près du bonnet,…………..…………

Et votre portefeuille sur le cœur,……….…….…..

Vos pieds traineront pour avancer…………….

Et comment ferez-vous pour régler..………

Vos affaires intimes, embarrassantes…..

.

LORS ON TOUCHE

Nonobstant, toutes affaires cessantes,

   Quand son honneur est véritable enjeu

     Argent, portefeuille, le sauver, ne peut.

     Lors on touche à argent ou portefeuille

     On touche à, son confort, à son aisance,

    On touche au respect mutuel, en écueil,

    Touche à naissance,  sa reconnaissance.

.

À L’ARGENT

De mettre informations, à leur portée…

Est une entreprise de longue haleine,…..

Qui prendrait une bonne génération :……

Comment trouver un  vrai processus,……..

Qui favorisera  la réelle  accélération………..

Pas gai, ce nouveau réenchantement…………

Pas de quoi chanter, ni …  pavoiser, ……………

 Mais on peut s’y prendre autrement, …………….

  Réduire les distances   entre les gens,………………

    Autour de soi et comme … autrefois………………….

  Les gens ont besoin d’être remerciés,………………

   Gratifiés autant que d’être bien payés,……………

      L’argent coule, s’amasse, or, il file entre………….

       Les doigts et ne nourrit pas l’affectivité…………

      Argent d’un côté lors émotion de l’autre……..

          L’argent s’achète, et la confiance se gagne…..

          Pour réenchanter le Monde, faudrait  déjà,..

          Bien le connaître, et avoir confiance en lui,

            Confiance, en son énergie, à se renouveler ;

.

PORTEFEUILLE !

              Tant, par le haut, que par le bas, ses échecs,

             N’étant que des étapes, vers plus de justice,

             De bien-être, ou d’égalités, voire de libertés.

            Réaliste : le monde court     dans l’autre sens

            En une folle course suicidaire         en l’abime,

         Pessimiste : le monde serait           déjà mort,

        Plus tôt disparaitra, fin                des victimes,

   Optimiste est ce que                     l’on en fera,

L’homme grimpera                     vers sa cime.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

871 4

.

Évocation

 .

On peut croire à y voir n’importe quoi.

J’ai vu un portefeuille rempli d’argent

Muni de quelques billets et qui débordent

Dont je ne connais pas la provenance !

 .

Un portefeuille, avec une somme d’argent,

Symbole de richesse : 

Et dire que certains ne vivent que… par lui,

Avec lui… et en lui.

 .

Symbolique   

 .

Contenant énergétique et identitaire,

Plus il est épais, plus le portefeuille

Révèle nos richesses intérieures.

Sinon, il est  le  contenant  identitaire,

Celui où  rangeons  nos  pièces

Identitaires,  les documents  et preuves

Spécifiques de notre identité et

Permis  de  bien nous conduire.

 .

Il est  important de le trouver

Et de ne pas se le faire dérober :

C’est sa fonction et non son apparence

Qui est importante, preuve de l’importance

Du contenu (l’être) non contenant (le paraître).

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Portefeuille

 .

Descriptif

 .

871Lors on touche à l’argent, portefeuille 

Alignement central   /  Titre alterné    /    Thème  valeurs

Forme courbe droite /Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : portefeuille /  Symbole de fond : argent

.

.

Fond

.

Évocation 

.

871 6

.

Un portefeuille, avec une somme d’argent,

Symbole de richesse : 

Et dire que certains ne vivent que… par lui,

Avec lui… et en lui.

 .

Symbolique 

 .

L’argent est le métal blanc

Qui symbolise la pureté,

Et la préservation,

Mais aussi la cupidité.

Lors l’or est associé au soleil

Et symbolise masculinité, l’argent

Associé à la lune, symbolise la féminité.

.

Possession matérielle : aujourd’hui, l’argent

Symbolise surtout la richesse, la cupidité

Et l’attachement aux biens matériels

Ou avilissement et corruption !

Source : 1001 symboles

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Un portefeuille ouvert, c’est long et souple,

Avec argent,  fermé, devient plus compact

Forme se conforme parfaitement au fond.

Qui dit « argent » dit possession de biens

Matériels s’il s’agit d’objet, immobilier,

Immatériels en cas de billet, monnaie.

.

Ce qui ne devrait être qu’un moyen

Pour atteindre un but, un sucés

Sera devenu une «fin en soi»,

À ne plus savoir qu’en faire,

Impression d’être son roi.

 .

Visuel

.

.

  Tout a un prix et s’échange en argent

.

.

Argent

.

D’abord et avant tout un métal précieux,

Se situe entre le cuivre et l’or, inoxydables,

Plus rare que le cuivre mais moins que l’or !

.

On en fait de bijou et des pièces de monnaies,

Puis édition des billets de banque par analogie,

Dominant les marchés, les échanges, l’économie.

.

Un métal, important, malléable, ductile et brillant,

Mais qui a aussi quelques applications industrielles

Sans compter sportives, second : médaille d’argent !

.

On dit que tout s’achète et se vend, avec de l’argent :

Essayez donc m’acheter avec une montagne d’argent,

Je préfère l’amour qui ne coûte rien mais vaut de l’or.

.

 « – Je préfère épargner un bon moment pour faire de gros achats qu’une suite de petits qui comme les ruisseaux finissent par faire une grande rivière qu’on n’a pas vu passer, dont on n’a nul besoin.

– Ah bon, t’es comme cela, fourmi, moi, je suis plutôt cigale, je fais la chasse aux aubaines, aux soldes, et uniquement marques en vue. On ne vit qu’une fois, alors autant dépenser, vite fait, tout ce qu’on a. »

 

Nous consacrons notre argent à ce que nous jugeons important. Il faut comprendre ses valeurs pour prendre les meilleures décisions. Pensez aux cinq derniers articles que vous avez achetés, puis demandez-vous pourquoi vous avez fait ces achats. Ça devrait vous aider à définir les valeurs auxquelles vous accordez de l’importance.

.

 « Bon serviteur mauvais maître » « L’argent de fait pas le bonheur » « L’argent n’a pas d’odeur » Manque, à court d’argent, par faute d’équilibre entre budget et énergie, que ce soit affectif ou financier. Fausse monnaie ; danger de fraude, de mensonge, de spéculation… L’argent sur le plan de l’éthique symbolise aussi l’objet de toutes les cupidités et les malheurs qu’elles provoquent, ainsi que l’avilissement de la conscience, c’est son aspect négatif, la perversion de sa valeur.

.

Je rêve de devenir riche, bien que, pour le moment,

Je le sois mais hélas seulement riche de potentialités.

Si je gagnais à la loterie, que ferais-je de tout l’argent !

Je ne le saurais que quand j’aurai une telle opportunité

.

L’argent, il en faut un peu, mais pas trop, l’on dira assez !

Mais assez veut dire peu pour les uns, beaucoup, d’autres,

Quoiqu’il en soit, dès qu’il y en a trop, il vous pourrit la vie,

Vous prétendus amis ne s’intéressent plus à vous : l’argent !

.

Les bonheurs et les malheurs du Monde sont liés à l’argent,

ONG vous en demande pour sauver pauvres et handicapés,

Lors l’argent gagné d’une main, l’on le redonne de l’autre :

Pour ma part je ne veux être ni son maitre, ni son esclave.

.

Visuels et textuels  >>

870 – Etre qui, être quoi, comment !

Visuels et textuels >>

.

Être ou ne pas être,

D’être ou de ne pas naitre,

Toute  la question d’apparaître

Mais sans réponse d’aucun maître.

.

Être quoi tout d’abord  et être qui,

Et être pourquoi et être comment,

Sont déjà bien problèmes requis,

Pour s’éviter, bien des errements.

.

Être qui, c’est devenir … quelqu’un,

Bon ou cynique, surtout pas commun

Émergeant de ces foules, fort informes,

S’écartant, en somme, tous uniformes.

.

Être quoi serait-ce servir les autres,

Plus encore  s’assurer de l’être votre

Propre décideur en  temps, en heure,

Pour définir, conquérir son bonheur.

.

Être  pourquoi

Belle  équation !

Entre soi,  monde

Belles  re-la-ti-ons,

.

Le sens  des choses

Et le sens  de  la vie,

Ou question  ouverte

Qui ne sera  pas finie.

.

Et puis être comment :

Empathique fanatique.

Tolérance est compassion

Dogmatique  n’a pas raison.

.

Être seul … face à soi-même,

Aux autres, monde extrême,

Grammaire de vie, partagée

Entre ses raisons, passions.

Être qui, quoi, comment,

Pour mon être pensant

Philosophiquement

Serait  aliénant

À  un destin

Humain.

.

Voilà bien trois questions

Et qui n’en feront qu’une,

Et sont toutes opportunes

Pour,  de sa vie,   la raison,

Mieux se la faire connaitre

Mieux la faire… apparaitre

Et  distinguer  le  pourquoi,

Du  quoi,  et  du  comment ?

.

Les animaux  et  les choses,

Temps/espace/mouvement,

Ont-ils un sens indépendant

Du nôtre, de même nature ?

.

.

Extension

.

Qui, que, quoi, donc, où, comment, pourquoi ?

Sept déclinaisons d’éternelle question sur identité.

Car je sais davantage ce que je ne suis pas,

En procédant par comparaisons

Et par approches successives,

Que ce que je serais, réellement,

Faisant le voyage à l’intérieur de moi-même

Reliant les fils de mon histoire à ce que je crois être.

Le sens, et l’essence, se percutent contradictoirement !

L’émergence d’une pensée personnelle et originale

Requiert toute une vie d’action et de réflexion.

Une telle quête … d’équation personnelle

Entre soi et monde n’est jamais finie.

Information, relation, comparaison,

Intégration, équation font partie

Des fondements de l’existence :

Sans eux, ma  conscience  tourne

À vide ou je plonge vers mon néant ;

Avec eux, à plein, vers mon firmament.

.

Une question apporte une autre question… et ainsi de suite

Tant et si bien que tous les questionnements seront sans fin,

C’est une quête perdue d’avance et c’est une quête sans suite.

Que l’on ait affaire, à la magie, ou la logie, n’y changera rien !

Tergiverser, se poser trop de questions, est, ralentir, l’avancée,

Il y a ceux qui pensent et ceux qui font, les diseux et les faiseux

Sans les faiseux, on ne fera rien, sans les diseux, n’importe quoi !

.

Un lièvre…  en son gîte …  songeait

Car que faire en un gîte, à moins que l’on ne songe

Nous relate La Fontaine dans le lièvre et les grenouilles,

Un lièvre qui traque, chasse l’ennui et la crainte de mourir

Mais l’homme n’est-il pas pareil : dès qu’il s’arrête d’agir

Il se met à penser, à réfléchit, à douter sur qui il est,

Il pourrait être différent, il a déjà été : alors ?

.

Tu te poses trop de questions,

Me répétaient mes parents

La vie consiste  à avancer,

À tracer son bon chemin

Et le reste ne sert à rien

.

Sagesse paysanne s’il en est

Car si je les avais bien écouté

Je serai peut-être millionnaire

On aurait dit  que j’aurais réussi,

Ma vie au lieu d’être ce que je suis,

Un homme,  un mari,  voire un père,

Voire un chercheur, un écrivain raté

.

.

Épilogue

.

Qui, quoi, où, comment, pourquoi ?

Cinq questions demeurant comme gravées

Dont je  ne sais, ou ne peux, m’en débarrasser,

Et qui se poseront autant pour vous que pour moi.

.

On ne va pas les détailler, elles constituent un ensemble

Auquel on n’aurait jamais fini de répondre, il me semble

Non pas au jour le jour mais sur le temps de toute sa vie

On peut encore se dire : on est là pour ça puis on oublie.

.

Je disais donc, ah oui : à quoi bon se torturer l’esprit,

On verra bien à la fin,  en toute fin, on aura compris,

Il n’y a rien à comprendre juste profiter au mieux :

L’ignorant est plus heureux qu’un poète anxieux.

.

 Je doute, donc je suis, nous clame Descartes :

Si j’arrête de douter, est-ce que je disparais,

Est-ce je prendrai parfois le faux pour vrai,

Que sais-je : question qui rabat les cartes.

.

Au final, à force de chercher et de creuser,

Plus de questions que de réponses  à trouver

L’on a rien gagné, et pourtant si, l’on a avancé :

On comprend mieux les gens, monde où l’on est !

.

Le quoi rejoint le pourquoi et quand, le comment ?

Quant à être qui, ce serait la société qui nous définit,

Est certain que question  « être où», a son importance

Que le lien de causalité, «donc», a aussi toute la sienne.

.

Un lièvre, en son gîte …  songeait : qui peut bien savoir

Ce que pensent un lièvre ou tortue, même La Fontaine !

.

.

870 – Calligramme

.

Être ou ne pas être,

D’être ou de ne pas naitre,

Toute  la question  d’apparaître

Mais sans réponse   d’aucun maître !

Mais être quoi tout   d’abord et être qui,

Et être pourquoi                 et être comment,

Sont déjà bien                         problèmes requis,

  Pour s’éviter,                             bien des errements !

Être qui, c’est                               devenir… quelqu’un,

Bon ou cynique,                            surtout  pas  commun

Émergeant de ces                           foules, fort   informes,

S’écartant, en som                          me,  d’uni    Q    formes.

 Être quoi serait-ce                         servir les    U      autres,

Et encore s’assurer                      de l’être,    I        votre

Propre décideur en                    temps,    ?        heure,

                                                  Pour     Q       définir,

                                               Et        U    conquérir

                                           Son      O      bonheur.

                                      Être     I      pourquoi

                                   Belle     ?     équation !

                                Entre   C    soi,  monde

                              Belles     O    re-la-ti-ons,

                           Le sens     M    des choses

                         Et le sens    M      de la vie,

                     Ou question  E       ouverte

                     Qui ne sera    N     pas finie.

                    Et puis être    T   comment :

                  Empathique   ?  fanatique.

                  Tolérance  est   compassion

                   Dogmatique   n’a pas raison.

                    Être seul … face à soi-même,

                    Aux autres, monde extrême,

                     Grammaire de vie, partagée

                     Entre ses raisons, passions.

                   Être qui, quoi, comment,

                  Pour mon être pensant

                 Philosophiquement

               Serait  aliénant

             À  un destin

           Humain.

.

              Voilà bien trois questions

           Et qui n’en feront qu’une,

            Et sont toutes opportunes

             Pour,  de sa vie,   la raison,

             Mieux se la faire connaitre

             Mieux la faire… apparaitre

              Et  distinguer  le  pourquoi,

              Du  quoi,  et  du  comment ?

             Les animaux  et  les choses,

             Temps/espace/mouvement,

              Ont-ils un sens indépendant

             Du nôtre, de même nature ?

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

Point d’interrogation

Et, qui en dira long, sur

 Le fond  et  sur la forme

Questionnement ?

 .

Ce grand point d’interrogation

Pour cet homme sous un parapluie ?

L’assurance, puis le questionnement,

Questions font partie de tout être !

 .

Symbolique    

 .

Nous utilisons tous la ponctuation,

Plus ou moins correcte d’ailleurs.

Mais à quoi sert-elle vraiment ?

 .

Eh bien c’est elle qui va, en fonction

Des différents signes utilisés, permettre

De rythmer une phrase, éclairer le sens,

À savoir  s’il s’agit bien d’interrogation,

D’une  exclamation,  d’un  dialogue,   etc.

 .

Elle aide  à mieux comprendre  un texte,

Facilite lecture indiquant ton et pauses,

Les inflexions et les nuances d’un écrit.

saviezvous.fr/quel-est-lorigine- du-point-dinterrogation

 .

Descriptif

.

870Etre qui et être quoi et être comment !

Alignement central /  Titre oblique  /  Thème identité

Forme courbe droite /Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : interrogation /  Symbole de fond : question

.

.

Fond

.

Évocation 

.

870 6

.

L’assurance, puis le questionnement,

L’inconnu, font partie de tout être :

Qui est-ce … et est-ce que j’en ai envie

Vraiment de vouloir le rencontrer ?

 .

Symbolique 

 .

Questionnement est propre

À  toute démarche animée

Par une quête  du savoir !

.

Une  philosophie  pratique

Le questionnement radical

Avec, pour question ultime,

Soi, le Monde et puis Autrui.

.

Un tel  questionnement  serait

Le point de départ de la pensée :

Quoi de plus premier en la question

Que le questionnement …  lui-même !

Toute autre réponse le présupposerait

D’ailleurs en tant que réponse qui de fait

Reposerait la question sous un autre angle.

Modifié,  franceculture.fr Michel Meyer

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Trois questionnements en point d’interrogation

On ne pourra pas dire que la forme ne se confond

Pas avec le fond tant elle l’épouse complètement

Et le tout en rimes contiguës et voire, alternées.

Lors tout concorde ici comme si c’était naturel.

 .

Visuel

.

 .

Toute réussite commence par un essai

.

Visuels et textuels >>

869 – Serais-je ce que je crois être !

Visuels et textuels  >>

.

Je suis  un miroir à trois faces,

Tant, lorsque je me  regarde

Je vois en face, trois images

De moi … dites spéculaires.

.

Pour sûr, celle que  je suis,

Y a  celle  que je crois être,

Imagine autres me voient.

.

Lors en  de nombreux cas,

Ne se superposeront pas :

La distorsion m’ennuiera

 Selon être,     ou paraitre.

.

L’image du corps  n’est pas de l’esprit,

Caractère, métier, fortune, personnalité

Sans aucun doute, faut traverser miroir

Afin de connaitre qui on est, vraiment !

.

  Suis-je vraiment  ce que je crois être :

 L’autre me dit : oui mais, peut-être :

    Que sais-je, de mon possible, avenir :

     Autre me prie, deux fois, de réfléchir.

.

         Personne ne peut prédire mon avenir.

             Pour l’un, je ne serai que ce que j’ai été,

               Autre, je décide de ce qui va… m’arriver.

               Être pour soi, et pour l’autre, est dualité,

               Personne ne pourrait me dire qui je suis.

               Mon équilibre sera toujours à renouveler.

.

            Sinon, prisonnier d’autre, je reste, je suis,

          Si ce que j’ai à faire, m’est prescrit, par lui.

        Il faut  savoir ce qu’on  veut, ce qu’on  peut,

      Tant c’est le prix à payer pour être heureux,

    Sinon, c’est l’ennui, angoisse de  tous côtés.

.

  Et j’ai la faiblesse de croire que je suis fort.

  En dépit de  tous mes défauts, mes lacunes,

 Principe, ne jamais  s’imposer se défausser,

Je ne cherche pas  ailleurs,  à faire fortune,

Je ne cède pas aux sirènes ni d’argent, d’or.

.

Ma fortune spirituelle n’a rien de matériel

Elle ne suit pas  mêmes  ménages  ni lois.

La plus facile  n’est pas  celle qu’on croit,

Fortune  spirituelle  est plutôt   virtuelle.

.

Je n’ai, jamais, d autre richesse que moi,

Et dur à transmettre  à  qui  que  ce  soit.

Tous mes talents dis paraîtront avec moi

Réponse à question me met au désarroi.

.

Sommes-nous réels au-delà du  paraître,

 Sommes-nous matériel ou  bien spirituel

  Sommes-nous  ce  que nous croyons être,

  Sommes-nous mortel  ou  bien immortel,

    Sommes-nous en  religion  ou philosophie

   Sommes-nous en  peinture, image,  poésie.

.

  Seule réponse est : »En avant  la musique »,

 Toute identité  commune est très pratique.

.

.

Extension

 .

Elle ne résout pas problème

Du sens de ma vie ni de ce que

Je crois, je dois, ni mérite d’être

Tant au premier qu’au deuxième,

Et voir jusqu’au … troisième degré.

Ce que je crois être n’est pas ce que

Je suis, ce que je ne crois pas être

Est assez loin de ce que je suis.

Voyante me dirait peut-être,

Je suis ce que je dois être

Et lors est-ce bien moi

Qui me commande ?

.

«Connais-toi toi-même», disait Socrate

Chose que nous parvenons  rarement

À réussir, tant la tâche est  immense.

Le résultat pourrait être surprenant,

Pourrait être encourageant, décevant

Peut-être vaut-il mieux être ignorant,

Et vivre dans l’illusion tout son temps,

Encore qu’on peut passer à côté de tout

Et le plus important, à côté de soi-même.

.

Une image reste une image

C’est-à-dire  qu’une apparence,

Un reflet avec ou sans importance,

Que l’on donne aux autres, en partage

De soi-même, pour mieux se ressembler.

.

Mon vide intérieur peut paraitre comblé

Par subtilités des paroles, gestes, actions,

Apprises et cent, mille fois et plus répétés

Finissant par faire croire ma consistance

.

Suis-je vraiment ce que je suis, crois être

Est-ce que je trompe autrui, moi-même,

Problème de la sincérité, l’authenticité,

Suis-je quelqu’un autre que moi-même

La société nous porte vers la duplicité.

.

Condition sine qua non de parvenir à briller,

Mais pour l’intérieur, il y aura un prix à payer,

Celui d’avoir perdu son âme en figures imposées !

.

.

869 – Calligramme

.

Je suis  un miroir à trois faces,

Tant,   S  lorsque je  V  me  regarde

Je vois,  E  en face    R trois  images

De moi,  R      dites    A   spéculaires.

 A                  I  …..

Pour sûr,  I    celle     M  que  je suis,

Y a celle,   S     que   E  je crois être

Imagine     autres  N  me voient.

   J            T ..

Lors en  E  nombreux cas,

Ne se superposeront pas :

La distorsion m’ennuiera

 Selon être,     ou paraitre.

L’image du corps  n’est pas de l’esprit,

Caractère, métier, fortune, personnalité

Sans aucun doute, faut traverser miroir

Afin de connaitre qui on est, vraiment !

  Suis-je vraiment  ce que je crois être :

 L’autre me dit : oui mais, peut-être !

    Que sais-je, de mon possible, avenir :

     Autre me prie, deux fois, de réfléchir.

         Personne ne peut prédire mon avenir.

             Pour l’un, je ne serai que ce que j’ai été,

               Autre, je décide de ce qui va… m’arriver.

               Être pour soi, et pour l’autre, est dualité.

               Personne ne pourrait me dire qui je suis.

               Mon équilibre sera toujours à renouveler.

.

            Sinon, prisonnier d’autre, je reste, je suis,

          Si ce que j’ai à faire, m’est prescrit, par lui.

        Il faut  savoir ce qu’on  veut, ce qu’on  peut.

      Tant c’est le prix à payer pour être heureux.

    Sinon, c’est l’ennui, angoisse de *  tous côtés.

  Et j’ai la faiblesse de croire que C  je suis fort.

  En dépit de tous mes défauts,  E  mes lacunes,

 Principe, ne jamais s’imposer  *   se défausser.

Je ne cherche pas ailleurs,   Q  à faire fortune,

Je ne cède pas aux sirènes  U ni d’argent, d’or.

Ma fortune spirituelle n’a  E rien de matérielle

Elle ne suit pas mêmes      *     ménages ni lois.

La plus facile n’est pas      J     celle qu’on croit,

Fortune spirituelle est      E      plutôt   virtuelle.

Je n’ai jamais d’autre       *      richesse que moi,

Et dur à transmettre      C    à  qui  que  ce  soit.

Tous mes talents dis     R     paraîtront avec moi

Réponse à question     O     me met au désarroi :

Sommes-nous réels    I     au-delà   du   paraître,

 Sommes-nous ma     S     tériel   ou  bien spirituel

  Sommes-nous          *       ce que nous croyons être

  Sommes-nous         Ê      mortel  ou bien immortel.

    Sommes-nous        T       en  religion  ou philosophie

   Sommes-nous       R       en  peinture, image,  poésie.

  Seule réponse      E        est : »En avant  la musique ».

 Toute identité     *          commune est très pratique.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

869 4

.

Évocation

.

Une vague silhouette

D’un homme assez mûr

Non marchant, statique,

Figé  comme une image.

Une   vague   silhouette

D’un homme plutôt  mûr,

Vu de dos, méconnaissable

Si ce n’est par  corpulence !

 .

Symbolique    

.

Réflexion sur ce que

Nous voyons de nous,

Ce que nous donnons à voir,

Notre aspect, notre silhouette :

Ce que nous pensons logique, normal,

Ce que  la majorité  des gens  veulent,

Silhouette parfaite, de face et de dos

Plutôt mince,   ce qui  est loin d’être

Une évidence pour notre cerveau.

.

Le  seul régime  qui  marche

Vraiment  et   à  long  terme,

C’est  l’amour  inconditionnel

Que nous devons nous donner.

Plus nous          nous acceptons,

Plus nous            aurons le poids

Convenant           et la silhouette

Que nous                devons avoir.

ladv.biz/la-silhouette-en-decodage

.

Descriptif

.

869Serais-je vraiment ce que je crois être !

Alignement central /  Titre oblique  /  Thème identité

Forme anthropo /Rimes égales / Fond approché à forme

Symbole de forme : silhouette /  Symbole de fond : image

.

.

Fond

.

Evocation 

.

869 6

.

Une silhouette dynamique,

En mouvement, engagé et svelte :

Aujourd’hui, y a beaucoup d’images

Possibles du même être : ou de moi !

 .

Symbolique

 .

Pourquoi

Réinterpréter

Toutes images ?

Pour  rechercher les

Symboles  archétypaux

Qu’elle   contient,  peut-être,

Pour en tirer des enseignements

Sur soi-même ? Sur le monde ? Sur la réalité ?

Sur l’état de notre perception et de notre sensibilité ?

En tous cas, si le besoin d’interprétation se fait sentir,

C’est qu’il y a doute et cela est salutaire de toute façon.

Bloc-notes Antiochus

.

Corrélations

Fond/forme 

Silhouette donne la première impression

De la taille, de la corpulence et du sexe,

De manière statique ou dynamique

Il manque les traits du visage,

Les couleurs des vêtements.

.

Une silhouette animée d’homme, de dos,

Qui ne doute de ce qu’il est, ce qu’il veut,

Les images de soi sont multiples

Les siennes et celle des autres

Ne se superposeraient pas

Aux miroirs fragmentés.

 .

Visuel

 .

.

Vrai ou faut croire ?

.

Visuels et textuels  >>