737 – La traversée du miroir sans le fendre à cœur !

Visuels et textuels  >> 

.

Narcisse se penche

Pour deviner approcher

Son image et  puis il tombe

La brisant puis  la dénaturant.

L’image   spéculaire  est  fidèle

Tant qu’il n’est pas   déformé,

Portrait sera comme  voix,

On  ne la  reconnait  pas.

Miroir   de  la  marâtre

Dans  Blanche  Neige

Lui renvoie  un jour

Son image  qu’elle

Ne supporte pas.

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même spectaculaire

Ce n’est que  diffractions  d’un air,

Plaisant  ou   pas,   révélant votre âge.

 .

Nous la voyons comme étant impossible,

Parfois elle  nous est pourtant profitable,

Bien  qu’il  n’ait  aucun  retour  probable,

À ce point de nous la rendre  souhaitable.

 .

Se regarder dans son miroir aura mystère

Narcisse s’y noie en approchant trop près.

Concave, convexe, nous déforme,  exprès,

À ce point que notre image  nous atterre,

Diffusée, alternée, en autant  d’esquisses,

Deux miroirs, en face à face, se renvoient

Les images multipliées lors indéfiniment.

 .

En fuite en des points d’horizons finissent

Par converger  en une image authentique

Composée   par   des    faisceaux photons

Qui nous semble  être  une unique façon,

Pouvoir   traverser  un  miroir  magique.

 .

Magique car d’une seule image pratique,

On fait plusieurs des illusions d’optiques,

À croire que nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler les idées à foison.

 .

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents  et  amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

 .

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas !

 .

Beau miroir, dis-moi : je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

.

Extensions

 .

La traversée du miroir

Est un des thèmes classiques

Pour passer d’un monde à l’autre

De manière métaphorique ou pour

Communiquer d’avec son double.

.

Peut refléter une autre réalité,

Sans fard et sans tain, une fois

Traversé mais attention au retour

Car il n’est pas sans danger, comme

En la lévitation, sortir de son corps

Physiologique et ne plus pouvoir

Y retourner : de toute façon.

.

Devant le miroir, il n’y a que son reflet

Et  derrière, il n’y a que soi, en rapport

Avec sa face cachée qui peut être mort !

.

Miroir, miroir, les miroirs réfléchissent trop

Ils renversent, prétentieusement, les images,

Et se croient profond, nous dit Jean Cocteau

Quant à vouloir le traverser, dans la réalité,

Serait s’exposer à des déconvenues, blessé.

.

Traverser le miroir signifiera se confronter

À une certaine intimité de son psychisme,

L’opportunité de visiter  son inconscient !

Consciemment et voire inconsciemment

L’on se regarde comme dans un miroir

 Pour ajuster comportement social :

On tente de percevoir son image

Dans le regard  des autres !

.

Ce qui se passe réellement

Quand on se voit dans l’iris,

D’autre : on se voit regardant

L’autre comme dans un miroir,

Or ce n’est qu’artefact physique !

.

.

737 – Calligramme

.

           T

Narcisse se    R   penche

Pour deviner    A   approcher

Son image et     V    puis il tombe

La brisant puis   E    la dénaturant.

L’image  spécu    R     laire  est fidèle

Tant qu’il n’est    S       pas   déformé,

 Portrait sera      E     comme    voix,

On ne la re        *      connait pas.

Miroir  de        M    la marâtre

Dans  Blan     I   che  Neige

Lui renvoie   R    un jour

Son image   O   qu’elle

Ne supporte  I  pas.

                   R

**************

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même  spectaculaire

Ce n’est  que  diffractions   d’un     air,

Plaisant  ou    pas,         révélant  votre   âge !

Nous la voyons,   *        S      *     comme impossible,

Parfois elle  nous    *           A      *    est pourtant profitable,

   Bien qu’il  n’               *           N      *     ait aucun retour probable,

À ce point de                  *           S      *    nous la rendre souhaitable.

Se regarder dans                *          *     *          son miroir, aura mystère :

Narcisse s’y noie                         F   *   R                en approchant trop près.

Concave, convexe,                  E                    U                  nous déforme exprès

À ce point que notre               N                       E                   image nous…atterre.

Diffusée, alternée, en              D                       O                       autant d’esquisses,

Deux miroirs, en face                R                   C                         à face, se renvoient

Les images multipliées                  E   *   À                             lors,  indéfiniment.

En fuite en des points           *                       *     *                d’horizons finissent

Par converger  en une       *      *        *         *         *           image authentique

Composée   par   des     *      *           *              *          *    faisceaux photons

Qui nous semble être      *              *                  *         une unique façon,

Pouvoir traverser un  *                *                    *      miroir magique.

Magique car d’une        *           *           *   seule image pratique,

On fait plusieurs,         *       *    * des illusions d’optiques,

À croire que                nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler des idées à foison.

.

**************************************

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents et amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas.

Beau miroir, dis-moi, je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

La silhouette d’un arbre

En un miroir convexe,

Concave, mais  souvent

Des plus narcissiques.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Le miroir,

Surface réfléchissante,

Couvre symbolisme riche

Complexe   et   ambivalent.

« Symbole   du    symbolisme »,

Et  passerelle  entre   le  monde

Du connaître  et le monde de l’être

Le miroir fascine mais aussi dérange.

Le miroir renvoie  notre propre image :

Elle peut être, fidèle, illusoire,  inattendue.

Le miroir n’est pas qu’un objet ; il est autant

Une parole, une comparaison, une métaphore,

Ou une parabole peuvent jouer le rôle de miroir.

Un journal, une caricature, une œuvre d’art

Sont aussi des miroirs.

jepense.org/symbolisme-du-miroir

.

Descriptif

 .

737 – Traverse miroir sans fendre à cœur

  Alignement central  /  Titre  cercle  / Thème  miroir

Forme courbe / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : miroir / Symbole de fond : narcisse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Pour européens, terme de « narcissisme »

Est très couramment employé pour

Désigner   cette   part  de   libido

Étant tournée vers soi-même,

Constitutive, et, essentielle,

.

Mais  il  est  aussi  porteur

De négativité, de pathologie,

Puisqu’il prend comme référence

Narcisse, être mythique destin tragique.

.

Il n’a visiblement pas réussi à se reconnaître

Dans l’image en miroir que lui renvoyait l’eau.

.

Il ne peut quitter du regard ce reflet

De lui-même, symbolique ou réel,

Qu’il prend pour quelqu’un d’autre

Sous peine de se sentir disparaître.

cairn.info/revue-cahiers-jungiens-

de-psychanalyse-2009-1-page-43

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qu’il soit droit, concave ou convexe

Miroir ne réfléchit pas de lui-même

Il vous envoie toujours votre image

Sans savoir qu’il s’agit de la vôtre !

S’il est fendu, cassé, il peut diviser

Ou bien multiplier votre image !

 .

.

Mythe de Narcisse

.

Scénario

.

Traverser un miroir, sans le fendre, serait de la pure magie,

et derrière le miroir, on ne trouverait que son propre reflet,

des morceaux de glace, fragmentés, et colorés par son sang.

 .

Visuels et textuels  >>

716 – Quand je pense à toi : téléportée, je te vois

Visuels et textuels  >>

.

À chaque  fois,  je pense à toi

Comme téléportée, je te  vois.

Ça rime, assez  bien,   ma  foi,

Avec un grand cœur  qui   bat

.

Pour toi, de  te voir   présente,

Même  si  pour de vrai absente

De cette  image  je me contente,

Tant elle est pour moi, éloquente.

.

Mon cerveau, seul, se représentera

Le fruit de nos rencontres   intimes

Et  je me  dis, lors  tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera des plus  ultimes.

.

Quand je pense à toi,

Téléportée,  je te vois

En pensée,  en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions remontent,

Sensations  abondent

Et  je baise  tes lèvres,

Et ta bouche en fièvre.

.

Plus je descends et plus

Tu t’abandonnes et au vu

De mes caresses, données

Sur tes seins … encapsulés

.

Par mes mains qui dansent,

Et sur ton ventre en cadence

Oserai-je  plus loin, plus bas :

Rideau : l’on n’en parlera pas !

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

.

Extensions

 .

Voir une image virtuelle qui bouge

Devant soi, serait-ce vraiment voir

Ou seulement tromper son cerveau,

Projeter imaginaire en fausse réalité !

.

À vrai dire, la frontière est ténue entre

Ces deux faces d’une seule et même réalité,

La partie virtuelle n’est qu’autre interprétation

Du réel parmi tous les possibles : l’esprit humain

À ceci de particulier sur celui des autres animaux

Sa capacité à se projeter images qu’il fabrique

En son cerveau et qui n’ont aucun support

Physique, aucune substantialité.

.

Peut-être est-ce là l’explication des apparitions

Des fantômes et autres objets en environnement :

Ce ne serait que simple et banal artefact du cerveau.

De toute façon, il me faut bien créer  une telle  image

Intériorisée pour reconnaitre quelqu’un de familier :

Ce que n’ont plus les malades atteints d’Alzheimer

Qui ne reconnaissent plus leurs proches.

.

On peut jouer à transformer cette image

Comme un peintre, un dessinateur, un caricaturiste

Mais il en restera toujours l’esprit, caractère, identité,

Le minimum pour la reconnaitre parmi des milliers.

..

Quand l’on entre dans un virtuel

Que certains nomment métavers

Service en ligne,  donnant accès à

Simulation espaces 3D temps réel,

Restant partagées  et  persistantes,

Pour vivre expériences immersives.

.

Bien, bien,  on est bluffé … d’accord,

Mais ce n’est pas de la téléportation.

Moi je me sens davantage transporté,

Fermant les yeux : je te sens, je te vois,

Devant moi, c’est  comme si tu étais là !

Il n’y aurait rien de magique, là-dedans,

Rien que la force de ma pensée intérieure

Parce que je te connais, me projette en toi.

.

.

716 – Calligramme  

 .

J

À  chaque  fois,      E         je pense à toi

Comme télépor        *         tée, je te  vois.

Ça rime, assez           P         bien,   ma  foi,

Avec un grand           E         cœur  qui   bat

Pour toi, de  te           N         voir   présente,

Même  si  pour            S          de vrai absente

De  cette  image,         E          je me contente,

Tant elle est pour         *          moi,  éloquente.

Mon cerveau seul,       À          se  représentera

Le fruit de nos ren       *          contres   intimes

Et  je me  dis, lors         T         tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera       O        des plus  ultimes.

 I

.

********************

********************

.

Quand je pense à toi,

Téléportée, je te vois

En pensée, en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions   T remontent,

Sensations  É   * abondent.

Et je baise     L       T tes lèvres,

En ta bouche    É             E   en fièvre,

Plus je descends  P                *           et plus,

Tu t’abandonnes   O                V            et au vu

De mes caresses   R              O          données

Sur tes seins        T            I      encapsulés

Par mes mains    É      S   qui dansent

Et sur ton ventre  E  *   en cadence

Oserai-je plus loin  *   plus bas.

Rideau, on n’en parlera pas,

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

716 4

.

Un voile pudique, en haut,

Sur usage d’encrier, en bas.

Ou encore une lampe à pétrole

Ou un sas de téléportation.

.

Aucun lien direct entre encrier, téléporté

l’on peut tremper son doigt dans l’encrier

pour écrire nom sur papier, pas son corps

la forme ne correspondra pas avec le fond.

.

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un

On se téléporte : un peu vrai !

.

Symbolique 

 .

Un encrier est

Un récipient permettant

De contenir de l’encre dans

Un endroit pratique pour la

Personne qui écrit avec

Une plume ou un stylo-.

.

Les encriers sont sans doute

Devenus répandus dès la diffusion

De l’écriture à l’encre, manifestant

Une grande diversité de formes et

De tailles  tout  en  partageant

Comme point commun une

Ouverture réduite pour

Limiter l’évaporation.

wikipedia.org/wiki/Encrier

.

Descriptif

 .

715 – Retrouve ta peau, retrouve tes formes

  Alignement central   /  Titre droit  Thème  perception

Forme  losange  /   Rimes égales   /   Fond éloigné de forme

Symbole de forme : encrier    /   Symbole de fond : téléportation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

 .

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un, 

On se téléporte : un peu vrai !

.

Symbolique 

.

  On nomme téléportation

Le  transfert  d’un corps  dans

L’espace sans parcours physique

Points intermédiaires départ  arrivée.

Le thème a été traité tant en science-fiction

Ainsi qu’en physique ou en parapsychologie.

.

Nous n’avons aucune raison de croire que

La téléportation de tout  être humain

Préserverait  la continuité  de  la

Conscience en nouveau corps.

Wikipédia : téléportation

 .

 .

Corrélations

 .

Liens fond/forme 

On peut se téléporter par télécommunication,

Ses paroles, ses écrits ses images, ses vidéos,

Pas son corps, même si  on peut  le figurer,

Par image 3D projections holographique.

Et si certains  prétendent communiquer,

Par télépathie, transmission de pensées

Ce ne sera que par ondes, non matière

L’esprit en est bien capable d’émettre,

Encore faudra-t-il un bon récepteur.

 .

 .

La téléportation ?

.

Scénario

.

Un moyen simple de se téléporter en espace de réalité virtuelle,

nul besoin de cabine téléportation telle qu’utilisée dans une série,

où il y a les hologrammes comme ersatz numérique de soi-même !

.

Visuels et textuels  >>

1090 – Mille bruits, mille images, sensations !

Visuels et textuels >>

.

Bruits, images  et sensations

Donnent  impression de vivre

Et, à fond,  toutes ses actions,

Et pourtant,  me rendent ivre,

D’être, toujours, à  saturation

Avec l’envie de stop  et encore,

Comme si, d’une  telle drogue,

Je ne pourrais plus me passer

 .

Jusqu’à  la  fin, mon attention

Baisse, tout devient cacophonie

Et kaléidoscope, images, défilant

À toute vitesse ou sans perception

Autre qu’impression que je me noie

En océan de sensations, me broyant,

En tous cas, je suis incapable d’écrire

Pour composer des textes faisant sens.

.

Mille bruits, mille images, sensations,

Des jours, m’assaillent, avec émotions,

Bien dormi, bien réveillé et frais dispo,

J’en capte un peu, beaucoup… de trop.

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Font que, en mon cerveau, se brouillent,

Tous mes programmes d’interprétations

À tel point  que  ma bouche  en bafouille.

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Font chambres d’échos  à mes horizons,

Lors en brumes légères de mes rêveries,

Les transposent, cauchemars ou fééries.

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Comment s’extraire de telle cacophonie

Qui s’impose à moi, lors me déconstruit,

Au point que je ressens une indigestion !

.

Mille bruits, mille images … sensations,

Parfois, évoquent chez moi mille unions

De choses qui se percutent, sans soucis,

Et se fondent toutes comme… joyeuserie.

.

.

Extensions

.

Mille bruits, mille images, sensations :

Trop, c’est trop, d’ailleurs, à quoi bon.

Je préfère les choisir, à mon  rythme,

Plutôt que d’avoir à les subir et trier,

Comme les bruits incessants de rue,

Comme  les images  de  la Publicité.

.

Qu’est-ce que j’ai à faire du passage

D’un camion klaxonnant ou freinant

Puis redémarrant, sec, au feu rouge !

Où,  qu’est-ce que j’ai à faire, du prix

De voiture  dont je n’aurai pas besoin,

Ou que je ne pourrai jamais m’acheter.

.

Lors j’ai besoin, envie, de quelque chose,

Je préfère aller le chercher par moi-même

Les informations le concernant, mais même

En allant sur Internet on vous pollue avec des

Offres tant et si bien qu’on ne peut y échapper.

.

La télé : sur des chaines, aux heures de pointes,

Vingt minutes de programme,  dix de publicité.

À la radio, on vous couperait une chanson, pour

Vous la passer  « temps de cerveau disponible »

Pour approfondir une information, est en nette

Diminution : qui s’en plaint, et qui s’en soucie !

.

Bruits, images, sensations  ou  le  trio  gagnant

Que ce soit en direct, en différé  ou en télévisé,

Comment mon cerveau les filtre, déjà fatigué,

Ne serait-il pas, déjà, en permanence, saturé !

Je ne me pose plus cette question, pas le temps

Tant je zappe d’un chose à l’autre, en les fuyant,

Sans jamais pouvoir leur échapper, et, pourtant :

Bruits se transforment en images, réciproquement,

Si mes sensations ne sont pas vécues : perte de temps.

.

Nous sommes, il faut bien nous l’avouer,

Bombardés de bruits, images, sensations

Par des publicités, séries …  informations,

Dont il y a autant de fausses que de vraies.

.

La lecture d’un livre du début jusqu’à la fin,

S’avèrera être exercice presque marathonien

Voilà bien récit, roman, essai dont on retient

Des choses, pour s’être impliqué, non en vain.

.

Quand j’étais enfant, on me faisait  apprendre,

Des tas de choses, diverses  et utiles, par cœur,

Lors maintenant c’est à peine si je me souviens

De mon numéro de téléphone et de ma femme.

.

.

Épilogue

.

Notre cerveau, notre esprit … voire  notre pensée,

Ne peuvent survivre sans stimulations longtemps,

Pour autant, trop point n’en faut, en même temps,

Entrée cerveau est limitée et traitement est saturé.

***

Mille est un chiffre symbolique pour dire beaucoup,

Ce n’est pas que nombre qui compte, force, violence,

La force des sons, des bruits,  la violence des images,

Qui allument l’arbre de Noël, en cerveau, qui brûlera.

***

Burn-out,  les anglophiles appellent cela : saturation !

Burn-in, faudrait-il dire, en ce cas,  étant hors travail.

Journaliste : trop d’informations, tuent l’information.

***

Bruits,  images s’additionnent, se répercutent en échos

On a comme l’impression de grimper,  vite, un escalier,

Et soudain, de chuter, atterrir et sombrer dans le coma.

***

Il existe des méthodes, garde-fous,  pour ne pas sombrer

Dans une angoisse, voire une panique dont on ne se sort :

Bien respirer, prendre du recul, hiérarchiser ses entrées. !

***

Fatigues : la fatigue physique, bien plus, encore,  nerveuse,

Déclenchent des emballements qu’on ne contrôlerait plus :

Mille bruits, images, sensations : aucune de remise à zéro !

.

.

1090 – Calligramme

.

………..………..………

Bruits,   I   images  et sensations

    Donnent    L   impression de vivre

        Et, à fond,    L    toutes ses actions,

           Et pourtant,    E   me rendent ivre,

               D’être, toujours,    *    à saturation

                    Avec l’envie de stop    B   et encore,

                        Comme si, d’une  telle    R   drogue,

                          Je ne pourrais plus me  U    passer

                                                   I      

                              Jusqu’à  la  fin, mon    T   attention

                                 Baisse, tout devient   S    cacophonie

                                    Et kaléidoscope d’   *  images défilant

                                     À toute vitesse    I   ou sans perception

                                       Autre qu’imp  M  ression que je me noie

                                       En océan de    A    sensations me broyant,

                                    En tous cas    G      suis incapable d’écrire

                                 Pour com     E   poser textes faisant sens.

S

    M ILL E    S E N S A T I O N S 

.

Mille bruits, mille images, sensations,

Des jours, m’assaillent, avec émotions,

Bien dormi, bien réveillé et frais dispo,

J’en capte un peu, beaucoup… de trop.

.

                             Mille bruits, mille images… sensations,

                               Font que, en mon cerveau, se brouillent,

                                Tous mes programmes d’interprétations

                                À tel point  que  ma bouche  en bafouille !

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Font chambres d’échos  à mes horizons,

Lors en brumes légères de mes rêveries,

Les transposent, cauchemars ou fééries.

.

                              Mille bruits, mille images… sensations,

                              Comment s’extraire de telle cacophonie

                               Qui s’impose à moi, lors me déconstruit,

                                Au point que je ressens une indigestion !

.

Mille bruits, mille images … sensations,

Parfois, évoquent chez moi mille unions

De choses qui se percutent, sans soucis,

  Et se fondent toutes comme… joyeuserie.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Symbolique 

.

1090 4

.

En haut, un couloir,

Et en bas, un escalier

Avec des marches alternées

Lors attention à ne pas chuter

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Escalier et chuter  ont peu à voir avec

mille bruits, images et  voire sensations,

même si cela fait chuter la concentration

et ainsi la forme se distinguera du fond.

.

Chacun sait qu’un escalier sert

Autant  à descendre  qu’à monter

Mais faut penser  qu’on peut aussi

Glisser, et chuter, en plein milieu !

.

Symbolique

.

L’escalier a de tous temps une symbolique double :

Il est le symbole de la montée, de la descente aussi

Escalier montant évoque ascension vers le ciel,

Qui correspond aussi à élévation spirituelle.

.

Il peut aussi désigner l’ascension sociale,

C’est-à-dire gravir l’accès à un statut

Supérieur dans toute hiérarchie

Qui structurera notre société.

.

Lors l’escalier descendant

Évoquera l’entrée dans

Le monde souterrain.

source : 1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1090 6

.

Chacun sait qu’un escalier sert

Autant  à descendre  qu’à monter

Mais faut penser  qu’on peut aussi

Glisser, et chuter, en plein milieu !

.

Symbolique de fond

 .

Le plus souvent, la chute

Dans le rêve s’accompagne

D’une peur qui traduirait un

Grand   sentiment  d’insécurité.

.

On se sent seul, et  guère  soutenu

Et ce surtout  lorsque l’on rencontre

De gros problèmes dans notre vie réelle.

.

La chute peut, aussi, indiquer que l’on serait

Sur chemin dangereux, faut revoir son jugement,

Une chute dans le vide, peut refléter un échec auquel

.

On est confronté : tomber dans les escaliers est signe de

Danger qu’il faut craindre : une chute, dans un trou, nous

Prévient que de gros soucis nous attendent prochainement.

madame.lefigaro.fr/bien-etre/signification-des-reves-rever-dune-chute

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chute d’escalier se fait en descendant

Tandis qu’en montant, on dit : butant.

Fait de mettre marches  en quinconce,

N’aident pas à assurer  bonne stabilité.

.

Entre pas assez de bruits, créant ennui,

Et trop allant jusqu’à créer un burn out

Faut trouver, voire rétablir l’équilibre

Qui satisferont et le corps et l’esprit.

 .

.

Cinq sens en éveil

.

Scénario

.

Mille bruits.

Mille  images.

Mille sensations

.

Visuels et textuels >>

1070 – Belle vague d’émotions me soulève

Visuels et textuels  >>

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   mes intérieurs

Et me rend la bouche et les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon contentement,

Quand, son va-et-vient me bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce que vous croyez !

.

Ne fais qu’écouter une rythmique branchée

Qui en un jeune temps m’aurait  bouleversé,

Amour sans doute, doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une vague furieuse d’émotions,

Une nouvelle image me procure la sensation

D’être sur  un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je  ne maitrise ni le sens ni le … temps.

.

Lorsque celui-ci  m’échappe, complétement,

J’ai l’impression qu’il boucle sur … l’instant,

Comme un réveil que l’on remonte et sonne,

Toujours à la même heure, qui vous résonne

D’histoires que vous êtes en train d’imaginer

Pour vous extraire de pesanteur du moment,

Car, en définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent votre être pour vous ré-enchanter.

.

Vague à l’âme, blues au cœur,  fleur  en nez,

Mon errance n’a d’égale que mon… aisance

À passer d’un monde à l’autre,  et  à volonté,

Sans que rien, personne, ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en  être…extradée

Pour faire commerce et pour en faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance  de savoir  voler.

.

Voler, au-dessus des pesanteurs de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et  aussi… souvent

Qu’une imagination fertile lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se dissocie et ne s’endort.

La meilleure stimulation que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit lui-même et à foison,

Quand émotions vagues  vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes chimies éjaculent.

.

.

Extensions

 .

Motion, émotion, émotionné… émotionnable :

On sent celle-ci monter, devenir irraisonnable.

Émotion et amour  peuvent être approchables,

Sans pour autant en sexe, être irréprochables.

Et il faut voir ce dont, l’émotion, rend capable,

Ce dont elle  nous rend innocent, ou coupable.

Lisant cela, aurez-vous une émotion agréable,

Ou vous direz-vous que c’est très désagréable.

.

La musique, le chant, la poésie seront autant

De stimulants puissants pour nous enfermer

Dans une bulle de sensations  et d’émotions

Qui nous transporte en extase, sentiments.

.

On dit parfois que l’émotion est palpable,

Qu’elle nous rendrait presque désirable,

On ne va pas épuiser les mots en  able :

On se contentera de rester … aimable.

.

Jouir de son corps n’est pas coupable

Il est aussi fait pour cela : admirable

Deviendra son pouvoir incomparable

De nous redonner goût à vie pensable.

.

.

1070 – Calligramme

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

********************

***************************

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   V  mes intérieurs

Et me rend la bouche et  A  les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon  G    contentement,

Quand, son va-et-vient me   U     bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, E           où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut   *          retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce        D            que vous croyez !

Ne fais qu’écouter une      ‘              rythmique branchée

Qui en un jeune temps   É                   m’aurait   bouleversé,

Amour sans doute,      M                    doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une    O                       vague furieuse, d’émotions,

Une nouvelle       T                          image me procure la sensation

D’être sur      I                             un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je      O                                 ne maitrise ni le sens ni le … temps.

Lors       N                                que celui-ci m’échappe, complétement,

J’ai       S                                    l’impression qu’il boucle sur…l’instant,

Com    *                                    me un réveil que l’on remonte, et sonne,

Tou      M                                 jours à la même heure, qui vous résonne

D’his     E                               toires que vous êtes en train  d’imaginer

Pour        *                             vous extraire de pesanteur du moment,

Car en       S                              définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent       O                         votre être pour vous ré-enchanter.

Vague à l’âme,     U                           blues au cœur,  fleur en nez,

Mon errance n’a         L                      d’égale que mon…aisance

À passer d’un monde      È                     à l’autre,  et à volonté,

Sans que rien, personne,      V                 ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que       E              je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en       *             être…extradée

Pour faire commerce et pour en   M           faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance de      ‘          savoir voler.

Voler, au-dessus des pesanteurs É        de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et   L      aussi… souvent

Qu’une imagination fertile   È  lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se      V   dissocie, ne s’endort.

La meilleure stimulation E    que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit   *  lui-même et à foison,

Quand émotions vagues   *     vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes     *    chimies éjaculent.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1070 4

.

Verre posé sur tonneau

Pour goûter le contenu 

Avec grande émotion

Ou bien le recracher !

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

Vin va avec verre, bouteille et tonneau,

mais pour ce qui est des émotions : non

à moins de « rire comme un tonneau »

de ce fait la forme divergera du fond.

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas d’émotions 

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

.

Symbolique 

 .

Le tonneau est un grand récipient de bois,

Destiné à conserver des liquides.

Il symbolise la conservation et l’abondance.

.

Dans la mythologie grecque,

Il est associé aux Danaïdes : selon le mythe,

Elles se marièrent le même jour

Avec cinquante autres, lors le soir des noces

Elles assassinèrent leurs maris,

À l’exception d’un seul  qui en fut  le rescapé.

.

Aussi, elles furent condamnées

Par Juges des Morts à remplir éternellement

Des grands tonneaux percés.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-tonneau

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1070 6

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas d’émotions :

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

 .

Symbolique 

.

Il existe une théorie des

«Six émotions de base :

Joie,  Tristesse,  Surprise,

Peur, et Colère,  et Dégoût.

Émotions  dites secondaires,

Comme nostalgie en exemple,

Sont comme  mélanges  de ces

Émotions  considérées de base.

Appelées, également,  émotions

Mixtes au lieu de  secondaires.

D’après Paul Ekman,la honte

Est émotion mixte à la base

Mélange de peur et colère

Et retournée contre soi.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Remplir le tonneau de la Commission Européenne

Serait vu, par certains, comme celui des Danaïdes.

On donne, on donne  et  on n’en recevra jamais rien.

Vrai ou faux, qu’importe ça provoque vague émotion

Pour un oui, pour un non, ça peut changer l’humeur.

Les nerfs à fleur de peau ou les émotions, du visage :

Quand le tonneau ou le verre est plein, qu’il déborde,

Il faut s’arrêter : un moment de calme, on s’accorde.

Quand toutes  sont, positives, excitantes, exaltantes,

On continue jusqu’à plus soif, jusqu’à l’orée du jour.

Ce n’est donc pas le problème  d’en être submergée,

Que de s’y noyer sans pouvoir respirer qui compte.

 .

.

Vague d’émotions fortes

.

Scénario

.

Une vague d’émotions déclenche une spirale d’éléments chimiques,

 qui se propage, en un corps, avec un grand flot d’ondes circulaires,

à en atteindre hauteurs, saturations, pratiquement insoutenables.

 .

.

Visuels et textuels  >>

1069 – D’un flot d’images, ou de chants !

Visuels et textuels  >>

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

 .

Par   flux  d’images,  par   flot  de chants,

Remontent de forts courants de sensations

Qu’éprouvent  les foules  des passants

En autant de canaux  d’irrigations.

.

Les imagine comme un pré, herbes

Qui penchent, se plient, se ploient,

Dans un champ de blé  qui verdoie

Sous l’effet des vents  très acerbes.

Sons ondoyants ou sons chatoyants

Un concert de forts décibels, arrose,

Leurs oreilles  et  leurs cils vibratiles

En les rendant,  plus légers, volatiles,

Ils  provoquent, en eux, comme chant

Issu  d’autres  herbes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur le champ  des choses,

Comme si j’étais sans corps, sans pose.

.

Et en lévitation mon fantôme  dispose,

Des nouvelles libertés de mouvements

Pour me conduire jusqu’au firmament

Où, tout homme aime être, en planant.

Le concert s’achève gens se dispersent,

Et je reprends mes esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol, détrempé de pluie,

Des notes de silences tomberont encore

Lors une larme dans mes yeux,  j’essuie,

Qui, en hallucinations  les  transpercent.

.

L’on me dit arrête de  fumer la moquette

Bien que n’aurais pris qu’ima-gi-na-tions

Qui aura nourri mon cerveau, d’émotions

Et suffisantes, seules,  à me mettre à fête.

Je me souviens, des  parfums  des voisins

Senteurs des foins, de roses, de  benjoins,

Leurs mouvements, avec les bras ballants,

Qui rythmaient flots   d’ondes émouvants.

À chaque concert, cette image, me revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

.

Extensions

 .

D’un flot d’images ou de chants,

On s’en servira comme d’une amorce

Pour gamberger hors des sentiers battus

Et mélanger nos souvenirs réels à de

Nouveaux produits ou inconnus !

Le tohu-bohu de telles images

Enivre, lors, pour un temps,

Mon cerveau et jusqu’à  ce

Que la fatigue l’endorme.

.

En symbolique,

La fleur à un langage.

Coquelicot est : belle fleur,

En robe, d’un  rouge  éclatant,

Et pétales doux comme de la soie,

Il est aussi  appelé : pavot sauvage !

Peut avoir  significations  distinctes :

D’une part, il est le symbole du repos,

De la quiétude ou de la consolation,

D’autre part de beauté éphémère.

.

On vous parlera à raison ou à tort,

De transes musicales

Qui vous emporteront extra dehors,

En nombre festivals !

.

Point besoin de drogues, d’excitants,

La musique… suffira

À galvaniser le cerveau, en le sonnant

 À fond, il ressentira !

.

Sur la vidéo qui vous filmait aux pas

On ne vous reconnaitra

Et vous-même en demeurerez baba

De cet énergumène … là !

.

.

1069 – Calligramme   

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

Par   flux  d’images,       par    flot    de   chants,

Remontent   de  forts   courants   de sensations

Qu’éprouvent  les    F    foules  des passants

En autant de can    L      aux  d’irrigations.

Les imagine com   U       me un pré herbes

Qui penchent, se    X       plient, se ploient,

Dans un champ       *     de blé  qui verdoie

Sous l’effet  des      D    vents  très acerbes.

Sons ondoyants      ‘      ou sons chatoyants

Un concert, forts     I         décibels,  arrose,

Leurs oreilles et     M     leurs cils vibratiles

En les rendant,      A   plus légers, volatiles,

Ils  provoquent      G  en eux comme chant

Issu d’autres her    E   bes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur    S    champs  des choses,

Comme si j’étais,     *    sans corps, ni pose !

En lévitation mon   E     fantôme    dispose,

Des nouvelles liber  T    tés de mouvements

Pour me conduire    *   jusqu’au firmament

Où tout homme ai   F  me être, en planant.

Le concert s’achève  L    gens se dispersent,

Et je reprends mes   O   esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol   T    détrempé de pluie,

Des notes silences,    *      tomberont encore

Lors une larme de     D    mes yeux, j’essuie,

Qui, hallucinations    E     les   transpercent.

On me dit arrête de   *   fumer la moquette

Bien que n’ai  pris     C   qu’ima-gi-na-tions

Qui a   nourri  mon   H  cerveau, d’émotion

Suffisantes, seules,    A  à me mettre à fête.

Je me souviens, des   N parfums des voisins

Senteurs des foins      T   de roses, benjoins,

Leurs mouvements    S      des bras ballants

Qui rythmaient flot    *   d’ondes émouvant.

À chaque concert, cette image, me  revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1069 4

.

Une silhouette humaine

Ou voire  un pot  posé

Sur beau piédestal 

De fleurs, c’est sûr?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique 

 .

Piédestal 

Support assez élevé,

Où l’on place un objet décoratif.

Support sur lequel repose une sculpture,

Mettre quelqu’un sur un piédestal :

Lui vouer une grande admiration.

.

Tomber de son piédestal : perdre tout prestige.

Dans les régions Han de la Chine,

Les piédestaux, posés plein air, sont très variés.

.

Les stèles reposent souvent sur un

Piédestal de pierre parfois en forme de tortue,

Symbole de longévité nommée Bix.

Source : dictionnaire.sensagent.

leparisien.fr/PIEDESTAL

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1069 6

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique

.

Les architectes de l’époque

La Renaissance, d’abord

Italienne, puis française

Et  ensuite,  européenne,

Considéraient piédestal

Faisait  partie  intégrante

Des ordres  d’architecture.

Imposent, progressivement,

Sorte de canon … esthétique,

Régentant  les proportions de

Ces  ordres,  comme   pour  les

Corniches  nombre  piédestaux,

Formant  des  seuils  de  fenêtres

Balustrades galeries, ou statues !

wikipedia.org/wiki/Piédestal

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

Piédestal pour mettre en hauteur

Pour en prendre, ou pour donner,

Certains s’y mettent  d’eux-mêmes,

Tellement imbus  de leur personne,

Quand ils profèreront leurs vérités,

Qui n’en sont pas,   qu’on leur prête,

Comme  des caisses de résonnances,

Et puis soudain, déboulonnés, jetés !

Mieux vaut rester les pieds sur terre,

Car plus le piédestal est haut et large

Plus dure sera la chute de son image

Et plus fort sera son chant funèbre !

 .

.

Flot d’images ballon gonflé

.

Scénario

.

Une image d’un grand champ tout  couvert par coquelicots,

dont trois, lors s’approchant,  attirent bien notre attention,

jusqu’à celle-ci, nous susurre, et à l’œil, son propre chant !

 .

Visuels et textuels  >>

672 – Mots pour exprimer ce que ressens pour toi

Visuels et textuels  >> 

.

 

Un mot, deux mots, des mots :

Rien que des mots, selon Dalida,

Lors pourtant sans eux et à propos

De l’amour, rien ne les remplacera !

Une image, dit-on, vaut cent mots

Et un geste, une salve de mots,

Un regard, écrit un chapitre

Un baiser, roman entier.

.

Je ne trouve pas les mots

Prétendait le prétendant

Mot amour ne s’apprend

Pas  en les livres : beaux.

Mots amours, sont justes

Mots d’amours, humbles

Mots  d’amours   simples

Et à deux   se   dégustent.

.

Quels mots pour exprimer

Ce que je ressens, pour toi,

Échappant,  pour qualifier

Ce que  je ressens, avec toi !

.

Mes mots  sont trop pauvres,

Pour  quelqu’un  d’aussi riche,

Mes mots sont trop guimauves

Pour quelqu’un, d’aussi chiche.

.

Je persiste, et, signe, à te le dire,

Je m’applique à bien  te faire rire

Je persiste,  et signe,  à te le dire :

Je te parle d’amour …  pas de rire.

.

Je me mets  à ta place, je les reçois,

Comme autant d’appels, désespérés,

Je me mets à ta place et je le perçois

Comme cris d’amour et, les derniers.

.

Ce ne sont pas  les  mots  qui révèlent

Le fond  de ma pensée, mes émotions

Ce sont eux pourtant, qui ensorcèlent

Mon corps et mon âme…de passions.

.

Si je reçois, faibles, les tiens : dis-toi,

Que je ne suis pas… bonne réception

Si je reçois, forts, les tiens : dis-toi,

C’est pour amorcer un pas vers toi

 

Ainsi vont les choses, et, les roses,

Elles écoutent, parfois… le mâle,

Quand elles le font, se ferment,

À tous autres,   à tous cœurs

Ainsi font les choses roses

S’ouvrant parfois mal

Elles s’enferment

Intérieur

.

.

Extensions

.

Mots, et mots, émotions, émoticons, émotionnables

Mots simples ou plus  complexes ou même à rallonge

Constituent, pour une  grande part, notre vocabulaire,

Quand nous évoquons ou nous parlons de nos émotions

Il faut se méfiez des mots et leurs emplois à double sens,

Un mot doux  peut devenir aigre, selon les circonstances,

Et même selon le ton où il est proféré trop fort ou faible.

Mots des jeux amoureux et amoureux des jeux de mots

Ne se marient pas bien, ne s’accordent pas toujours.

.

Les mots sont faits pour d’abord communiquer ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on voit ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on sait ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on fait !

.

Cela dit il n’est pas toujours aussi facile que cela

De livrer le fin fond de sa pensée ni son émotion,

Soit on n’en trouve pas, on ne sait trop quoi dire

Soit ils ne sont pas adaptés, ne sont appropriés !

.

«Je t’aime, moi non plus» ou l’incompréhension

Je voulais te dire et voilà que j’ai dit le contraire

De mon ressenti, je ne parviens pas à m’extraire

Pour te parler de ton attirance, extraordinaire !

.

.

672 – Calligramme

 .

MES MOTS EXPRIMANT

Un mot, deux mots, des mots :

Rien que des mots, selon Dalida,

Lors pourtant sans eux et à propos

De l’amour, rien ne les remplacera !

Une image, dit-on, vaut cent mots

Et un geste, une salve de mots,

Un regard, écrit un chapitre

Un baiser, roman entier.

.

Je ne trouve pas les mots

Prétendait le prétendant

Mot amour ne s’apprend

Pas  en les livres : beaux.

Mots amours, sont justes

Mots d’amours, humbles

Mots  d’amours   simples

Et à deux   se   dégustent.

.

Quels mots pour exprimer

Ce que je ressens, pour toi,

Échappant,  pour qualifier

Ce que  je ressens, avec toi !

.

Mes mots  sont trop pauvres,

Pour  quelqu’un  d’aussi riche,

Mes mots sont trop guimauves

Pour quelqu’un, d’aussi chiche.

.

Je persiste, et, signe, à te le dire,

Je m’applique à bien  te faire rire

Je persiste,  et signe,  à te le dire :

Je te parle d’amour …  pas de rire.

.

Je me mets  à ta place, je les reçois,

Comme autant d’appels, désespérés,

Je me mets à ta place et je le perçois

Comme cris d’amour et, les derniers.

 .

CE QUE JE RESSENS POUR TOI 

Ce ne sont pas  les  mots  qui révèlent

Le fond  de ma pensée, mes émotions

Ce sont eux pourtant, qui ensorcèlent

Mon corps et mon âme…de passions.

.

Si je reçois, faibles, les tiens : dis-toi,

Que je ne suis pas… bonne réception

Si je reçois, forts, les tiens : dis-toi,

C’est pour amorcer un pas vers toi

.

Ainsi vont les choses, et, les roses,

Elles écoutent, parfois… le mâle,

Quand elles le font, se ferment,

À tous autres,   à tous cœurs

Ainsi font les choses roses

S’ouvrant parfois mal

Elles s’enferment

Intérieur

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

672 4

.

Ben oui, quoi, une chaussette,

Un bas de laine pou économies

Voire une batte pour jeu cricket

Mais aussi bien une cravate ?

.

Le mot cravate, symbolisera l’attention,

Le respect, la noblesse :

Pour preuve : j’en ai bien mis une le jour

De mon propre mariage

.

Symbolique

.

Loin d’être un objet anodin,

La cravate est vue par certains

Comme un lieu de pouvoirs,

Ou un symbole phallique.

.

La cravate avait à l’origine

Une utilité physique :

Permet de maintenir

Le col, de mieux se tenir.

.

Avec le temps, c’est surtout

La fonction symbolique qu’on lui

Prête qui a socialement pris le dessus.

Dans l’entreprise, en politique, elle sert

À montrer une identité de groupe.

.

Si la cravate est objet de pouvoir,

La tomber ne signifierait pas pour autant

À s’affranchir de diktats mode en entreprise.

franceculture.fr/societe/la-cravate-objet-de-pouvoirs

.

Descriptif

.

671 – Ne cesse de partir pour mieux te revenir 

  Alignement central  / Titre analogue   / Thème  langue

Forme losange / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : cravate/ Symbole de fond : cravate

.

.

Fond

.

Évocation 

.

672 6

.

Le mot cravate, symbolisera l’attention,

Le respect, la noblesse :

Pour preuve : j’en ai bien mis une le jour

De mon propre mariage

 .

Symbolique 

.

Symbole d’autorité,

Contrainte    ridicule

Pourquoi  la  cravate

N’est plus dans le coup.

Longtemps   considérée

Comme   un  accessoire

Indispensable dans de

Nombreux      secteurs

Professionnels      afin

D’incarner  le sérieux

Et voire,   l’élégance,

Toute cravate  est de

Plus  en plus  laissée

Au fond de placard

Raison  principale,

Un abandon de  la

Contrainte choix

Plus     l’image

Vi-eil-lot-te

Qui  soit.

francetvinfo.fr/économie/

tendances/symbole-d-autorité-

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le dictionnaire Larousse  n’en dénombre

Pas moins de sept définitions pour cravate

Soit en étoffe, en cuir, en tissu, en fourrure,

En cordage pour ne citer que quelques-unes.

Le tout entre soutien, ornement, distinction !

.

On s’active à s’en mettre  derrière la cravate

Lors d’un repas de famille par trop arrosé !

Mon père disait que sans porter la cravate

Je ne trouverais pas d’emploi respectable

À vrai dire je ne l’ai jamais cru et lui ai

Répondu qu’’habit ne fait pas moine.

 .

.

Ressentir sans mots

.

Scénario

.

Des mots, des mots doux, voire des mots tout doux,

glissés à l’oreille tous bas, comme un secret à garder,

sont-ils pour autant plus sincères, plus authentiques ?

 .

Visuels et textuels  >> 

670 – Si j’étais un poisson, que tu étais papillon !

Visuels et textuels>> 

.

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi  poisson

Qui cherchent

Un oiseau  rare,

Mi-homme-lion !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Extensions

 .

Un poisson peut avoir des ailes,

Un papillon ne peut avoir de nageoires :

L’évolution est faite ainsi qu’il n’y a pas de

Retour en arrière mais la légèreté du papillon

L’emportera toujours sur celle du poisson.

.

Visiblement ces deux-là ne sont pas faits

Pour se rencontrer mais pourquoi pas :

Ils sont faits de même matière vivante,

Ce  ne sont que  leurs développements,

Leurs environnements, leurs fonctions

Qui les  séparent, phylogénétiquement !

.

On cite l’exemple de la carpe et du lapin,

Sans qu’on sache très bien ce que ça signifie

On voit bien que ça ne peut pas coller entre eux :

Ces deux êtres sont incompatibles et bien opposés

Et ne seront donc jamais en harmonie entre eux.

.

Chacun vit dans son monde en ignorant tout

De  l’autre, jusque, parfois, son  existence,

L’harmonie des contraires reste possible

Dans un couple mais de même espèce

 Les apparences changent, mais

Pas les fondamentaux.

.

Combien d’analogies, de métaphores et de chimères

Peuplent nos écrits  et envahissent nos imaginaires,

Et ce n’est pas vous qui prétendriez le …  contraire,

Tant la chair est faible, en un esprit fort, primaire.

Il arrive qu’on parle aussi de la carpe et du lapin.

La femme serait poisson, l’homme, mammifère.

  À l’origine : mariage d’un noble avec roturière !

.

Il était une fois un poisson

Qui aimait un beau papillon

Et il voulait comme lui, voler

Dans l’air, dans l’atmosphère.

.

Et le papillon lui rendait visite

Une fois par heure sauf la nuit

Mais il ne pouvait s’approcher

Sans risquer se noyer en l’eau.

.

Désir était simple : j’aimerais

Bien te connaitre davantage,

Oui mais je vole et tu nages

On ne se mariera jamais.

.

.

670 – Calligramme   

.

SI J’ÉTAIS POISSON,

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi poisson

Qui cherchent

Un oiseau rare,

Mi-homme-lion.

TOI PAPILLON !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

670 4

.

Le corps d’un papillon,

Ça ressemblerait à ça,

Et d’un poisson, non

Un poisson-papillon

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

  .

Symbolique 

.

Le papillon n’est pas recensé dans les

Dictionnaires de mythologie égyptienne

Alors que,  dans  la mythologie  grecque,

Le papillon est  symbole  d’immortalité.  »

.

C’est «l’âme humaine»  comme le souligne

L’étymologie : « psyché » en  grec  désigne

À la fois, l’âme de quelqu’un  et  le papillon.

Symbolisme  Amérindien, le papillon  est le

Symbole de métamorphose et changement.

.

Il nous enseigne qu’il faut laisser les désirs

Se réaliser, de changer nos vies,  de créer

De nouvelles situations  pour améliorer

Notre quotidien pour être plus éthéré.

Source : blogggcollection.wordpress.com/

2014/05/papillon-symbolemetamorphose

.

Descriptif

 .

670 – Si j’étais poisson, et toi… papillon !   

  Alignement central / Titre intercalé  / Thème  rencontre

Forme  losange / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : papillon  / Symbole de fond : poisson

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

.

Symbolique 

.

Le poisson reste l’emblème de l’eau,

Élément avec lequel il partagera

Son aspect le plus symbolique.

Il est symbole de fécondité

Mais tout autant de sagesse.

.

Il est occulte dans les

Profondeurs des eaux,

Domaine d’une force sacrée

De l’abîme dont il est pénétré.

.

Cet espace aquatique

D’une profondeur

Insondable est

Associé aux mystères

De l’inconscient humain,

Aux pulsions les plus cachées de l’esprit.

Source : les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un poisson pour sûr, ne vole pas

Et papillon, pour sûr, ne nage pas

L’un aura pour milieu naturel, l’eau,

L’autre aura pour milieu naturel, l’air.

Ils sont donc aux antipodes, ne peuvent

Communiquer d’aucune manière efficace,

Tout comme la carpe et le lapin, populaires

Quand on les marie entre eux, ils divorcent !

Ce ne sont là que de purs symboles gratuits.

 .

.

Formes des poissons

.

Scénario

.

Mi poisson en bas, mi femme, en haut, ressemble à une chimère.

Vaut-il mieux  être  un poisson, comme celui-ci : multicolore.

Une femme nue comme ici voulant devenir un papillon !

 .

Visuels et textuels>> 

283 – Lumières, paysages, ciels et mers

Visuels et textuels  >>

.

Côte

Sauvage,

Couche nuage

Intense lumière,

La plus contrastée

S’accroche passage,

Colore la profondeur,

De belle nuance, clarté.

.

En pleine mer côté ouest

Émerge un  tas de rochers

Et un phare dit des Triagoz

Esseulé, et,  parfois,  écumé,

En pointant son flot montant,

Contre  sa  barrière,  son flanc,

Comme autant de  points blancs

Et  paraissant tous   évanescents.

.

Et plus au Nord, l’archipel Sept Iles

Et oiseaux plongeant du bord de l’air

Ou, nichant, en terre  protégée  d’asile :

En lumière  crue, faite  de ciel, et de mer !

.

Tableau émouvant où les blancs s’éparpillent

En flashs mouvants, où ses  pointes scintillent,

Où des rochers roses, marrons, jaunes, voire gris

Reflètent leurs présences et par nos yeux, surpris.

Ou par nos yeux éblouis, puis captivés par la danse,

Ou les cadences des vagues, nous  mettant en transe

Ou des kaléidoscopes d’images, frappent nos rétines,

Quand tout le ciel flamboie tout comme on l’imagine.

Ce dernier sans couture tant à l’envers  qu’à l’endroit.

.

Que serait donc, son ciel, sans sa   mer qui poudroie

De projections, sans limites,  en horizons d’infinis :

Que serait une telle mer sans son ciel d’harmonie.

Mar, marée, marin, mer : nous a parfois surpris

.

Offrant ciel de pleine nuit de nuage pleine vie,

Lors sa couleur,  verte et bleue, se transforme

Pourpre soleil couchant.

En toute magie de ses lumières changeantes,

A chaque heure du jour ;

En toute magie de son paysage qui s’éclaire,

S’obscurcit, tour à tour ;

En la magie de sa beauté qui, en nos yeux,

Nous  imprimant  l’amour

De notre mère Nature,  qui nous charme

De terre  et de mer, autour.

Les lumières, les paysages,  couleurs,

Et les formes de l’Ile Grande,

Parviennent mille fois à se répéter,

À se renouveler nous étonner.

Sur sa surface, d’eau verte.

.

.

Extensions

.

La lumière du ciel

Sur la Côte de Granit Rose

Est réputée changeante à chaque heure

Du jour ou presque, et cela aura fait que

Nombreux peintres auront été séduits

Par l’originalité, jusqu’à s’installer

Pour peindre la mer et la terre,

Sous toutes formes, matières.

.

À l’Ile-Grande,   ses tempêtes,

Sont réputées blanchir la mer,

Sur le flanc ouest où les curieux

Viennent la revoir  se déchainer

En s’avançant jusqu’à ses pieds.

.

Ce n’est pas pour rien que nombre de peintres se sont installés

En Côte de Granit Rose : surtout pour la lumière des paysages,

Qui change, selon les saisons, et les conditions météo, d’abord,

Mais aussi plusieurs fois par jour, selon coefficients de marée.

Cela dit, je ne suis pas peintre : la  description ne peut rendre

L’ambiance : aquarelle, impressionniste, réaliste, symboliste

De panoramas procurés par beaux endroits en Ile-Grande,

Mais il suffit parfois d’ouvrir les yeux au soleil couchant

Pour saisir clichés tableau des plus impressionnants.

.

Les couleurs bleues, du ciel  et de la mer,

Se confondent sous certaines conditions

.

Il faudra une mer calme, d’huile, miroir

Si elle est un peu verte, avec des reflets,

Elle se distinguera du ciel sans nuages.

.

Il faudra prolonger sa vue à l’horizon,

Ce dernier constituant leur jonction.

.

Dès que nuages blancs, ou sombres,

Se pointent, toute fusion s’effacera

.

Enfin, la lumière doit  se diffuser,

De manière égale et sans points :

Le moindre et la magie se perd !

.

.

283 – Calligramme  

.

Côte

Sauvage,

Couche nuage

Intense lumière,

La plus contrastée

S’accroche passage,

Colore la  profondeur,

De  belle nuance, clarté.

En pleine mer, côté  ouest

Émerge un  tas de P rochers

Et un phare dit des  A Triagoz

Esseulé, et,  parfois,  Y    écumé,

En pointant son flot   S   montant,

Contre  sa  barrière,  A      son flanc,

Comme autant de     G   points blancs

Et paraissant tous    E        évanescents.

Et plus au Nord         *  archipel Sept Iles

Et oiseaux plongeant  E      du bord de l’air

Ou, nichant, en terre    N    protégée  d’asile :

En lumière  crue, faite           de ciel, et de mer !

Tableau émouvant où les   L  blancs s’éparpillent

En flashs mouvants, où ses  U   pointes scintillent,

Où des rochers roses, marrons M  jaunes, voire gris

Reflètent leurs présences et par  I  nos yeux, surpris.

Ou par nos yeux éblouis captivés  È         par la danse,

Ou les cadences des vagues nous   R  mettant en transe

Ou des kaléidoscopes, d’images   E frappent nos rétines

Quand tout le ciel flamboie       *   comme on l’imagine.

Ce dernier sans couture tant à l’envers  qu’à l’endroit.

Que serait donc, son ciel, sans sa   mer qui poudroie

De projections, sans limites,   en horizons d’infinis :

Que serait  telle mer, sans       son ciel d’harmonie.

Mar, marée, marin, mer,    nous a parfois surpris

Offrant ciel de pleine nuit,       nuage, pleine vie,

Sa couleur verte et bleue,         se transformant

Pourpre au soleil couchant.

E  N  T  R  E     C  I  E  L

En toute magie de ses lumières changeantes,

A chaque heure du jour ;

En toute magie de son paysage qui s’éclaire,

S’obscurcit, tour à tour ;

En la magie de sa beauté qui, en nos yeux,

Nous  imprimant  l’amour

De notre mère Nature qui nous charme

De terre  et de mer, autour.

Les lumières, les paysages,  couleurs,

Et les formes de l’Ile Grande,

Parviennent mille fois à se répéter,

À se renouveler nous étonner.

Sur sa surface, d’eau verte.

E   T      M  E  R

.

.

Forme

Réduction

.


.

Évocation 

.

283 4

.

Un sorte d’arbre, genre if,

Une embarcation  légère :

Planche, canoé, kayak,

En couleur du ciel ?

.

S’il s’agit de contraste de couleur

Kayak rouge sur une herbe verte,

est  bien plus fort que ciel et mer,

sa forme se distinguera du fond.

.

Un beau kayak, hors grève,

Magnifie,  fond vert, couleur rouge.

La couleur du ciel se fond,

Parfois se démarque, de celle de mer.

.

Symbolique 

.

La championne du monde

De  descente   sportive  évoque

La possibilité, pour une kayakiste

Ayant  un compagnon  qui ne soit pas

Pratiquant de haut niveau dans ce sport,

De se sentir complexée, par rapport au fait

«D’avoir des bras plus gros que compagnon».

Tant, en effet, la pratique du canoé-kayak,

En compétition, induit une hypertrophie

De tous les muscles du haut du corps

Qui auront fait  symboliquement

Figure d’attributs masculins.

www.cairn.info/revuestaps-2016-3-page-107

.

Descriptif

.

282 – Quelque part entre rêve et réalité   

  Alignement central  / Titre serpente / Thème paysage

Forme en ovale / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : kayak  / Symbole de fond : couleur-ciel

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un beau kayak, hors grève,

Magnifie,  fond vert, couleur rouge.

La couleur du ciel se fond,

Parfois se démarque, de celle de mer.

 .

Symbolique

.

Le bleu du ciel associé

Dans   de    multiples     écrits

Religieux monothéistes, polythéistes

À des divinités ou des pierres précieuses.

Dans l’Exode et dans le Nouveau Testament,

Le saphir est l’emblème du ciel du trône de Dieu.

.

Et pour les Égyptiens, c’est le lapis-lazuli qui est

Associé à Amun le créateur du ciel et de la terre.

.

Dans l’hindouisme  et  le bouddhisme tibétain,

Le bleu du ciel est aussi la couleur de l’âme.

Lors, la plupart des dieux associés au ciel

Étaient supposés porter ornements

Ou vêtements bleus : Mavu,

Dieu du ciel Ewe Odin.

fr.wikipedia.org/wiki/

Couleur_du_ciel#Mythologie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La lumière du ciel est changeante

Selon que le ciel devient très clair,

Chargé de vents, de nuages blancs,

Qui distillent en suspension, goûtes,

D’eau dénommées crachin ou bruine

Faisant comme effet loupe, éclairant

Paysage comme variateur électrique

À heure près, lumière ciel, se modifie.

Pays de peintres, et de photographes,

Qui ne s’en lassent jamais ou presque.

 .

.

On en ferait une aquarelle

.

Scénario

.

Lumières éphémères sur la mer lors d’un superbe soleil couchant,

paysage du rocher du Corbeau entre massif bruyères et fougères,

sous un ciel sans nuage et mer calme, les deux bleus se confondent.

 .

Visuels et textuels  >>

282 – Ile-Grande entre rêve et réalité

Visuels et textuels >> 

.

Ile-Grande, excroissance de terre,

De dunes, de sables et de pierres,

Émerge  d’un découpage  de mer

Entre ses ports, routes, carrières.

 .

Ile-Grande, bouton du continent,

Bien fleurie, à chaque printemps,

Diffuse parfums d’iodes en autant

De paysages, sauvagement vivants.

 .

Ile-Grande : mouvements de houles

Attirent, toujours,  autant, les foules,

Quand  la  tempête, gronde  et  roule,

Et, de ses grands   airs, vous … saoule.

 .

Ses bruyères, maisons, fêtes annuelles,

Autant de raisons  pour poser ses ailes.

Son sentier  GR  34   dit des douaniers,

En fait le tour, marcheurs, par milliers

 .

Ses plages,  bien    à l’abri, lors criques,

Permettent ici des plongées aquatiques,

Où des troupes d’enfants sympathiques,

Viennent s’initier à des sports nautiques.

 .

Ses bateaux  accostant une jetée du port,

Sont contraints de naviguer vers le nord,

et de passer entre gros  cailloux : dehors,

Seront en grands dangers par vents forts.

 .

Ses rochers  et  galets  comme digues

Nettoient pollutions  que prodiguent

Les effluves de nitrates, qu’irriguent

Algues, d’odeurs qui vous fatiguent.

 .

Ses marais, en eaux salées, recèlent

Belles diversités de plantes, patelles,

Voire de planctons qui s’amoncellent

Pour les oiseaux goélands ou sittèles.

 .

Ses dunes herbeuses font le dos rond

Aux marées pleines, en eaux de fonds,

Forces des vents font bruits d’orphéon,

Hantant pins maritimes ou lits bretons.

 .

Son mégalithe celtique en plein milieu,   

Une allée couverte de légende mystique

D’Arthur évoquent son  passé, magique,

Issu de temps, féodaux … préhistoriques.

.

.

Extensions

.

Ile de rêve, peut-être pas,

Une ile sympathique avec bonne

Qualité de vie et climat, déjà plus vrai,

Après l’avoir habité une trentaine d’années,

On ne s’en lasse pas, été, hiver, en toutes saisons,

Par tous temps, à chaque endroit en faisant le tour.

.

Il y a peu d’iles offrant autant de diversité de paysages

Et de points de vue : mer d’un côté, baie de l’autre,

Marais,  champs, étendues  sauvages, camping,

Chahutée par tempêtes de novembre et mars.

.

Caressée par les vents sud-ouest et sud-est,

Abritée de ceux de l’ouest, très dominant

Peu affectée par ceux du nord, nord-est,

Sa situation semble idéale pour profiter

Embruns iodés brume de chaleur en été.

.

La réalité, tout le monde connait, il suffit d’ouvrir les yeux

C’est ce que tout le monde prétend encore que

La moindre des réalités serait plus ou moins interprétée

Par découverte ou connaissance des lieux

Tant l’imaginaire, quel qu’il soit,  fait partie du réel

Il est donc impossible de l’occulter !

Ce serait vouloir croire à un oiseau sans ailes

L’Île-Grande en déploie en elle

Lorsqu’on en faisant le tour

Par ses pieds d’amour.

.

La réalité serait-elle plus ce qu’elle est,

Que ce que l’on en voit, on dit, on sait ?

Le rêve en fait-il partie  lors  on le pense,

Ou, simplement, réel, sans vraie … réalité !

.

Le réel est un concept  ontologique  qui désigne

Ce qui existe en dehors indépendamment de nous.

La réalité serait d’ordre plus empirique, désignant

Ce qui existe pour nous grâce à notre expérience,

.

Et l’imaginaire serait positionné entre les deux !

En tous cas, pour l’Ile-Grande,  cela marchera :

Elle existe en dehors de moi autant qu’en moi.

.

.

Épilogue

.

Il y a tant et tant à dire, sur l’Ile-Grande :

Il faudrait recueil des articles de journaux

Des livres, poèmes, des dessins, peintures,

Sans parler des objets d’arts  et sculptures.

***

Entre autres, que chacun  rajoute  sa pierre,

Normal : Ile-Grande est pleine de carrières,

Abrite une Ligue de Protection des Oiseaux,

Allée couverte, préhistorique, de 4000 ans !

***

Mais c’est surtout son Sentier des Douaniers

Qui attire plus  les randonneurs  et coureurs,

Qui, en cohortes, se croisent … s’interpellent,

Accompagnés parfois de bandes de goélands.

***

Entre rêve et réalité, l’on en ferait tout le tour,

Avec des variations de paysages selon les cotés

Selon la météo, selon l’heure, selon les marées,

Selon mer intérieure, calme, extérieure, agitée.

***

À l’intérieur, maisons en pierre et enchevêtrées,

Donne à ce village de caractère, un beau cachet,

Avec sa place du marché, cafés-restaurant, église

Sans parler cimetière qui s’avère des plus marins.

.

.

282 – Calligramme   

 .

      Ile-Grande,  Q  excroissance de terre,

       De dunes, de  U   sables, de pierres,

            Émerge d’un    L  découpage de mer

                Entre ses ports  Q    routes, carrières.

       U

                 Ile-Grande   E  bouton du continent,

               Bien fleurie, à  *   chaque printemps,

             Diffuse parfums    d’iodes en autant

          De paysages   A  sauvagement vivants.

R ………..

    Ile-Grande :   T mouvements de houles

     Attirent toujours   *   autant, les foules,

      Quand, la tempête, E   gronde et roule,

           Et, de ses grands   N   airs, vous … saoule.

T

           Ses bruyères,   R maisons, fêtes annuelles,

         Autant de raisons   E   pour poser ses ailes.

     Son sentier  GR  34   *   dit des douaniers,

   En fait le tour, mar  L  cheurs par milliers

   E

 Ses plages, bien    à l’abri, en criques,

      Permettent ici plon  R  gées aquatiques,

            Où troupes d’enfants,  Ê    sympathiques,

                Viennent s’initier   V  au sport nautique.

            E

                   Ses bateaux   *    accostant jetée du port,

               Sont contraints  E   de naviguer au nord,

           De passer entre les   T   cailloux : dehors,

         Sont en grand danger      par vents forts.

                L      

    Ses rochers et galets   A comme digues

        Nettoient pollutions    que prodiguent

           Les effluves de nitrates  R qu’irriguent

                 Algues, d’odeurs qui  É  vous fatiguent.

                                        A

                   Ses marais, en eaux  L    salées, recèlent

                  Belles diversités de    I    plantes, patelles,

               Voire de planctons   T  qui s’amoncellent

            Pour les oiseaux   É  goélands ou sittèles.

          *

          Ses dunes herbeuses  I  font le dos rond

             Aux marées pleines   L  en eaux de fonds,

                 Forces des vents font   E   bruit d’orphéon,

                       Hantant pins mariti     mes et lits bretons.

                                 G

                          Son mégalithe celtique  R      en plein milieu,   

                           Une allée couverte de    A  légende mystique

                            D’Arthur évoquent son  N     passé magique

                             Issu de temps, féodaux,    D    préhistoriques.

                                             E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

282 4

.

Dessin qui semble assez proche

Sentier des douaniers côtier,

En un paysage, faisant tour d’ile

 Ou longeant la mer et balisé en GR.

.

Sentier des douaniers, en tour mon ile,

En bord de mer :

Où, quatre paysages, et des plus diversifiés,

Vous sont proposés.

 .

 Symbolique 

 

Au fil des marées, l’Ile Grande

Nous fait découvrir différents visages

Et rend accessible ou non les diverses îles

Qui l’entourent : sentier des douaniers,

Balisé GR,  long de 7 km,  vous permettra

De faire le tour de l’île, en 1 h30 environ.

.

Longeant la mer il vous fera découvrir

Le petit port de Saint-Sauveur,

Les  marais   de   Kervoalant,

Plages de galets, de sable fin,

Près des dunes de Toul Gwenn,

Les légendaires îles Canton et Aval,

L’île Morvil, et le rocher du … Corbeau,

L’allée couverte, fontaine de Saint Sauveur.

bretagne-cotedegranitrose.com… le-tour-de-l-ile-grande

.

Descriptif

.

282 – Quelque part entre rêve et réalité   

  Alignement central  / Titre serpentin  / Thème  Ile

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : sentier  / Symbole de fond : paysage

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Sentier des douaniers, en tour mon ile,

En bord de mer :

Où, quatre paysages, et des plus diversifiés,

Vous sont proposés.

.

Symbolique de fond

.

Le temps d’un long week-end,

Partez à la découverte  de la Côte

De Granit Rose  sur le  …  GR®34.

.

Au départ Lannion,   vous longerez

Les rives du Léguer avant d’arriver

Sur la Côte de Granit Rose, célèbres

Rochers colorés de formes insolites.

.

Le premier «sentier des douaniers»

Avait été créé  après  la Révolution

En  1791  afin  de  lutter  contre  les

Contrebandiers, après être tombé

En  désuétude, il a été  réhabilité

En 1968 sur ce parcours côtier

Nombre paysages à découvrir

cotesdarmor.com/balades-et-randonnees/

a-pied/itinerance/gr-34-lannion-perros-guirec

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le sentier des douaniers  fait  le  tour de l’Ile

Attire grand nombre de marcheurs  de ville,

Se réjouissant de ses diversités de paysages

Sans parler de l’intérieur des plus typiques.

Marées se succédant, décalant chaque jour,

Font apparaitre estran riche de découvertes

Telles que les plages  de sables fins et jaunes,

Des rochers roses  de formes et tailles, variés

Des ilots et des promontoires un peu partout,

Des luminosités changeantes durant journées

Des vallées encaissées  et  diversement boisés !

 .

.

Facile à trouver, bien indiqué.

.

Scénario

.

Les plages de galets qui susurrent lors retrait descente vague, marée,

et dont certaines serviront parfois à divers empilements de cailloux,

surplombés par la tour de garde  des douaniers non loin du sentier.

 . 

Visuels et textuels >> 

662 – Je n’étais rien, devenu tout, à nouveau rien

Visuels et textuels  >>

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

 .

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

 .

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

 .

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Extensions

.

Combien de personnes, pourtant montées sur leur piédestal,

En ont été descendus, de leur vivant,  sinon  après leur décès ?

À un moment, elles sont servies de modèles, guides, prophètes,

Et puis, les temps changeants et les opinions en faisant autant,

Elles ont été reniées, démolies, exclues de la vue, de l’histoire !

Il en est de même en amour, au sujet des célébrités, adorées,

Avant d’être ignorées, ou pires, vilipendées, tels des chiens.

Et il en est de même quand on a été tout, pour quelqu’un,

Et que soudain on devient rien, pas même un souvenir.

 . 

Cela n’est pas vrai qu’on est tout,  ni qu’on est rien,

On demeure, toujours, quelque chose entre les deux,

On bouge comme curseur, entre bonheur et malheur,

Parfois à cause des autres, mais parfois de soi-même.

.

Cela veut dire, en somme, qu’on se sur ou sous-estime.

Quant à savoir pourquoi, et sur quels critères objectifs

Il faudrait que j’en parle à mon docteur  ou à mon psy,

Qui me diraient : vous de juger là où vous vous situez !

.

.

662 – Calligramme 

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

.

J E  N’ÉTAIS  RIEN,

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

DEVENU    TOUT,

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

À   NOUVEAU   RIEN 

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

662 4

.

Un piédestal

Avec  célèbre statue

D’un empereur romain

Qui va être déboulonné !

 .

Symbolique

 

Un piédestal est

Un  support,  isolé

Qui sert à recevoir

Colonne ou statue,

Un buste  et  voire

Grand objet d’art

Voire  d’ornement

Vase, candélabre,

Stèle, ou fontaine.

Lors une personne

Idéalise quelqu’un,

De façon  exagérée,

On utilise l’expression

«Mettre sur un piédestal».

Et,  à l’inverse, « descendre

Quelqu’un  de  son  piédestal »

Est être déçu en regard de l’image

Positive qu’on avait de cette personne.

Modifié, source : Wikipédia

 

Descriptif

 

662 – Étais rien, devenu tout, à nouveau rien 

  Alignement central  /   Titre intercalé    /  Thème  amour

Forme  anthropo / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : piédestal / Symbole de fond : déboulonné

 .

.

Fond

Évocation

 

Manque l’illustration ici 

De rien que j’étais avant je me retrouve

Sur très un haut piédestal :

Lors bien qu’étant haut, je me sens

Déjà prêt à être déboulonné.

.

Symbolique 

 .

« Le déboulonnage de statues,

C’est de la violence symbolique »,

Nous  explique Françoise Vergès,

Même pas de la violence passée »,

Mais guidée par des injustices

Ou discriminations ressenties

Lors au-delà de l’existence

De  certains    monuments,

Ce qui est critiqué dans ces

Actions de déboulonnages,

C’est la prépondérance d’une partie

De l’histoire, par rapport à une autre.

« Nous ne pouvons pas nous sentir français

Dans  un pays  qui  célèbre  l’esclavagisme,

Ce n’est pas possible » dit Louis-Georges Tin.

bfmtv.com/societe/antiracisme-statues

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Rien ne serait pas être considéré

Comme étant à terre, au ras du sol

Mais, carrément, plus bas que terre

Lors tout est être mis sur un piédestal

Et couvert de vertus voire de louanges,

Jusqu’à faire sa représentation stratifiée

Des deux côtés, sûr, y a de l’exagération !

On est souvent quelque chose entre les deux

Ni totalement intelligent, courageux… idéal,

Ni totalement idiot, asocial, peureux, animal.

 .

.

J’étais, je ne suis plus, serai ?

.

Scénario

 .

Rien et tout ne s’opposeraient pas dans la même personne.

Il faut souvent s’apprêter à n’être plus rien tout, d’un coup !

Tout est possible quand on a été tout qu’on est redevenu rien.

 .  

Visuels et textuels  >>

654 – Une blessure profonde d’amour-propre

Visuels et textuels  >>

.

Amour-propre est

Le propre  de l’amour,

Mais amour de soi-même :

Il en faut, un peu mais pas trop

Sinon, sa susceptibilité le pourrira.

.

La blessure est d’autant plus profonde,

Qu’elle sera infligée par être qui est aimé

Sur son point faible, elle est bien frappée

Dans un défaut de son épaisse cuirasse.

.

Concerne prestation sexuelle,

Concerne apparence corporelle,

Concerne présence émotionnelle,

Concerne  passion  intellectuelle.

Concerne conscience spirituelle

.

Blessure profonde d’amour-propre

Comment  se ferait elle,  et par qui,

Au point d’en jeter le vrai opprobre,

Sur tous ceux qu’on aime, jusqu’ici.

 .

Elle peut autant concerner  le sexe,

En  cas  d’impuissance  ou  frigidité,

Qui feraient mal  à amour  complexe

Si belle harmonie, n’est plus trouvée.

 .

Elle peut  autant  concerner le corps,

Si l’un est trop gros, autre trop mince

Ne feront plus  velte,  que tout grince,

En leurs démarches, en corps à corps.

 .

Elle peut  aussi  concerner  le  cœur,

Si en poignardant profonde douleur

Elle mettrait trop de temps, heures,

À retrouver le rythme  du bonheur.

 .

Elle peut aussi concerner … l’esprit,

Si l’autre contesterait tout argument,

Qui pourtant bien, et fort logiquement,

Paraissait d’évidence tout bien compris.

 .

Elle peut,  enfin,  concerner …….….. l’âme

Si elle aura perdu sa couleur, et sa flamme,

Qui dans cette vilaine tromperie, vous damne

Voire, à l’enfer d’un vrai rejet, vous condamne.

.

Mais lors il s’agirait des cinq blessures à la fois,

Il n’y a plus d’espoir : il n’y a plus  qu’une croix,

Qui, plantée en un être écorché, déchiré, blessé,

Vous empêchera, à jamais, de vous réconcilier.

.

.

Extensions

 .

Blessure invisible

Mais pas… anodine,

Elle est imperceptible

Des gens, de l’extérieur,

Ravageuse,  de l’intérieur.

Elle mettra plus longtemps

À se guérir que  nombre de

Blessures physiques, du fait

Que la confiance, perdue, ne

Se restaure, qu’avec le cœur,

Avec sentiment de confiance.

.

Le sexe, le corps, le cœur, l’esprit, l’âme :

Comme nous  avons cinq sens, principaux,

Nos cinq éléments complémentaires, vitaux,

Lors il suffit que l’un d’eux manque, défaille

Pour que nous soyons en état de blessure

Et que l’ensemble vacille ou … déraille

Et pour que l’on se sente diminué.

.

Le sexe, le corps, le cœur, l’esprit, l’âme,

S’il en manque un il y aura  comme fêlure

Qui peut se ressentir sur les quatre autres,

.

S’il y en aura  deux  ou trois : une blessure,

Appelée, communément,   d’amour-propre,

Qui détruit la confiance  en autre  et en soi.

.

On parle de sexe usurpé,   de corps bafoué,

De cœur déchiré, voire d’esprit tourmenté,

Sans compter d’âme totalement souillée !

.

.

Amour-propre est

Le propre  de l’amour,

Mais amour de soi-même :

Il en faut, un peu mais pas trop

Sinon, sa susceptibilité le pourrira.

La blessure est d’autant plus profonde,

Qu’elle est infligée par l’être qui est aimé

Sur son point faible, elle est bien frappée

Dans un défaut de son épaisse cuirasse.

Concerne      prestation          sexuelle,

Concerne     apparence     corporelle,

Concerne  présence  émotionnelle,

Concerne passion intellectuelle,

Voire conscience spirituelle.

.

Blessure profonde   B    d’amour-propre

Comment  se ferait   L     elle,  et par qui,

Au point d’en jeter   E     le vrai opprobre

Sur tous ceux qu’     S  on aime, jusqu’ici.

U

Elle peut autant      R   concerner  le sexe,

En cas d’impuis      E    sance ou frigidité,

Qui feront mal à     *    l’amour  complexe

Lors belle harmo    P   nie est non trouvée.

R  ….

Elle peut autant   O      concerner le corps,

Si l’un est trop      F  gros, autre trop mince

Ne feront plus      O  svelte, que tout grince,

En leurs démar   N   ches, en corps à corps.

D   ………

Elle peut aussi   E        concerner . le cœur,

Si en poignar     *    dant profonde douleur

Elle mettrait     D     trop de temps, heures,

À retrouver        ‘       le rythme du bonheur.

A   …………..

Elle peut aussi   M         concerner … l’esprit,

Si l’autre con       O     testerait tout argument,

Qui, pourtant       U   bien, et fort logiquement,

Paraissait d’évi     R    dence, tout bien compris.

– …………..

Elle peut enfin         P        concerner …….….. l’âme

Si elle aura perdu    R       sa couleur, et sa flamme,

Qui dans cette vilai   O     ne tromperie, vous damne

Voire à l’enfer d’un    P     vrai rejet, vous condamne.

R …………

Mais lors il s’agira     E    des cinq blessures à la fois,

Il n’y a plus d’espoir     !       il n’y a plus qu’une croix

Qui, plantée en un être  *   écorché, déchiré, blessé,

Vous empêchera, à jamais, de vous réconcilier.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

 .

654 4

.

Silhouette  de  femme,

Statique, toute droite,

En pleine tristesse 

D’amour-propre ?

Femme debout, les bras croisés

Qui réfléchit à sa tristesse

D’avoir été déçue, bafouée,

Frustrée, blessée, en elle-même.

 .

 Symbolique 

 

Certaines femmes se plaignent

D’être  considérées, bien  qu’aimées,

Comme des objets par leurs partenaires.

La femme se refuse d’être un objet pour l’autre,

.

Mais simultanément, désire inconsciemment l’être

Elle fait tout, ou voire elle accepte tout pour l’être.

.

Cela ne doit pas être forcément assimilé

Avec le masochisme de structure :

C’est la force, même, de l’amour,

Qui pourra, dans certains cas,

Déclencher fonctionnement

Pervers dans un couple.

cairn.info/revue-clinique

.

Descriptif

 .

654 – Blessure profonde d’amour-propre   

  Alignement central     /    Titre droit    /   Thème  égo

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme /  Symbole de fond : tristesse

.

Fond

 .

Évocation 

.

654 6

.

Femme debout, visage fermé

Qui réfléchit à sa tristesse

D’avoir été : déçue, bafouée,

Frustrée, blessée, en elle-même.

 

Symbolique

La tristesse est une émotion,

Qui traduit une douleur émotionnelle

Associée ou caractérisée par des sentiments

Désespoir, chagrin, impuissance, déception.

Elle peut se manifester par des pleurs,

Une perte d’appétit ou encore

Une perte de vitalité.

.

Dans les cas les plus sévères,

La tristesse peut entrainer une léthargie

Plus ou moins profonde, ou  isolement social.

Souvent, un état passager, bénin, sans risque.

Mais si ce sentiment s’installe, durablement,

Ou s’aggrave, il est important de se confier

Ou consulter un professionnel de santé.

Source : passeportsante.net/fr/Maux/

Symptomes/Fiche.aspx?doc=tristesse

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Manquer d’amour-propre est faire preuve de trop d’humilité

« Vous êtes bien trop modeste, vous mériteriez des félicitations »

En avoir de trop est avoir une haute opinion de sa personne

« Vous êtes bien prétentieux,  et trop imbu  de votre personne »

.

Mots clés : opinion, valeur, jugement, dignité, appréciation,

Mais la blessure d’amour-propre est bien en deçà et au delà

Personne ne la sait ni ne la voit, elle est  comme  un cancer 

Et elle laisse lourdes traces sur la perte de confiance en soi

Blessure à l’âme, dit-on parfois, tellement intime, secrète !

 .

.

Racine «Ariane, ma sœur 

de   quel   amour,  blessée,

vous mourûtes aux bords

où vous fûtes laissée ! « 

.

Scénario

.

On sent cette femme blessée, qui sait humiliée, par qui, pourquoi,

qui se cache derrière son bol de petit déjeuner, timide, apeurée,

tant lors blessure profonde, l’on n’imagine ses répercussions !

 .

Visuels et textuels  >>

651 – Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Visuels et textuels   >>

.

Je ne suis pas ceci,

Ni cela, loin s’en faut,

En bref, ne suis pas celui

Que pour un couple, te faut.

Je suis cheval  et pas taureau,

Je ne suis pas bon, pas salaud,

.

Ne suis qu’homme et pas loup,

Et cela fait un peu … beaucoup.

Étalons, et talons, étalons-nous,

Qualités, et défauts : déclinons.

Tu n’es pas, non plus… déesse :

Juste  enfant  mère,  promesse.

C’est là  surtout, où le bât blesse.

 .

Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas  l’homme qui te vaut,

Je ne suis pas,  cet  homme … beau

Que  tu  souhaites   comme  cadeau

Bien que quelque chose me dira que

J’ai malgré tout, ma place près de toi,

Qu’elle soit : de fait, d’amour, de droit

Essentiel est que, nous deux, heureux.

.

Je ne suis pas l’homme  qu’il te faut !

Je suis : cheval, bouc  ou … taureau,

N’importe lequel,   de ces animaux,

Que tu aimes bien en ton hameau,

Mais quelque chose me dit que, si,

Si je me transforme… homme-loup,

Je pourrai t’approcher, pour le coup,

Pour mieux te dévorer de mes yeux.

 .

 Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas assez bon, ou  salaud,

En restant entre, pas assez, et trop,

Je manque bons gestes, bons mots

Mais  quelque chose me dit que, si

Je deviens un homme imprévisible,

Je cache mon âme dans …l’invisible,

L’offre, cadeau nouveau, merveilleux.

 .

Si je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas, déjà, j’espère, de  trop :

À pied, à cheval, au trot ou au galop,

Te conquérir, je ferai, ce qu’il faut,

Mais quelque chose me dit que si

Nous n’avons pas  épuisé le rêve

Qui  ferait, notre  vie, trop brève,

Tu ne   peux  perdre  l’amoureux.

 .

Ne suis pas l’homme qu’il te faut,

Ne suis pas l’homme qui : à mots

Couverts, t’aura promis berceaux,

Où nos enfants  seraient des faux,

Mais, quelque chose me dit que si

Leur réalité l’emporte, aujourd’hui.

.

.

Extensions

 .

Je ne suis pas l’homme qu’il te faut.

Combien de fois, me le suis-je répété,

L’ai-je, moi-même, vérifié, et pourtant,

Je persévère, et, pourtant, ne désespère,

Que ton choix ne bascule, en ma faveur

Et je profite des tiennes à toute heure.

Je ne suis pas homme, je suis faux.

Est-ce la même chose ou c’est

Parce  que  je  ne  te  vaux.

Je peux me poser mille

Et  une  fois  ces

Questions sans

Trouver   la

Réponse

Il faut.

.

L’homme qu’il faut : sur plus d’un milliard, y a ce qu’il faut

Eh bien, parfois, non, ce n’est pas qu’elle ne trouverait  pas,

Mais celui qui l’approche, qu’elle rencontre ne convient pas

Trop intériorisé, extériorisé, trop intellectuel ou exubérant

Problème de fond est qu’il n’existe pas pour elle autre que

Dans son fantasme, son illusion, son rêve, non en réalité

Qui est finalement régulateur de toute chose sur Terre.

De là à imaginer de manière obsessionnelle et le dire

Que son conjoint n’est pas le bon, qu’un pis-aller !

.

Qu’est-ce ça peut bien vouloir dire :

« Je ne suis pas  l’homme  qu’il te faut »

On dirait presque une erreur de casting,

On ne pourra pas tourner la scène prévue.

.

On peut modifier un tantinet la phrase

« Je ne suis pas  l’homme  qui  te  vaut »

Ça aura au moins le mérite d’être clair,

À chacun de juger si c’est vrai ou faux.

.

On peut même aller plus loin,  jugement

« Je ne suis pas  l’homme  sans   défaut»

Mais qui peut bien l’être, sauf être ange,

On touche à des commentaires abyssaux.

.

.

651 – Calligramme 

.

Je ne suis pas ceci,

 Ni cela, loin s’en faut,

   En bref, ne suis pas celui

      Que pour un couple, te faut.

          Je suis cheval  et pas taureau,

             Je ne suis pas bon, pas salaud,

                Ne suis qu’homme et pas loup,

                   Et cela fait un peu … beaucoup.

                     Étalons, et talons, étalons-nous,

                     Qualités, et défauts : déclinons.

                    Tu n’es pas, non plus… déesse :

                  Juste  enfant  mère,  promesse.

                 C’est là  surtout, où le bât blesse.

JE NE SUIS              

                Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

           Je ne suis pas  l’homme qui te vaut,

       Je ne suis pas,  cet  homme … beau

    Que  tu  souhaites   comme  cadeau

  Bien que quelque chose me dira que

J’ai malgré tout, ma place près de toi,

Qu’elle soit : de fait, d’amour, de droit

Essentiel est que, nous deux, heureux

 PAS L’HOMME          

Je ne suis pas l’homme  qu’il te faut !

 Je suis : cheval, bouc  ou … taureau,

    N’importe lequel,   de ces animaux,

       Que tu aimes bien en ton hameau,

            Mais quelque chose me dit que, si,

                 Si je me transforme… homme-loup,

                      Je pourrai t’approcher, pour le coup,

                        Pour mieux te dévorer de mes yeux.

            QU’IL TE FAUT ! 

                           Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

                            Je ne suis pas assez bon, ou  salaud,

                             En restant entre, pas assez, et trop,

                              Je manque bons gestes, bons mots

                                Mais  quelque chose  me dit que, si

                                 Je deviens un homme imprévisible,

                                Je cache mon âme dans …l’invisible,

                               L’offre, cadeau nouveau, merveilleux.

           .

                          Si je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

                        Je ne suis pas, déjà, j’espère, de  trop :

                    À pied, à cheval, au trot ou au galop,

                   Te conquérir, je ferai, ce qu’il faut,

                    Mais quelque chose me dit que si

                       Nous n’avons pas épuisé le rêve

                          Qui ferait, notre vie, trop brève,

                              Tu ne   peux  perdre  l’amoureux.

           .

                                Ne suis pas l’    homme qu’il te faut,

                                 Je ne suis pas l’    homme qui, à mots

                               Couverts, t’aura        promis berceaux,

                             Où nos enfants         seraient des faux,

                             Mais, quelque          chose me dit que si

                                 Leur réalité l’em              porte, aujourd’hui.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

651 4

.

Un  très bel animal

Se dressant debout :

 Un cheval, surement, 

Mais sans son cavalier

.

En voilà bien un bel étalon,

Avec lequel on peut t’entendre.

 Je ne suis qu’un cheval de trait,

Je n’en ai pas d’un pur-sang.

 .

Symbolique

 .

Une croyance ancrée

En la mémoire des peuples

Associe l’origine du cheval

Aux  ténèbres  d’un  Monde,

Dont il surgit, en  galopant

Comme sang en les veines,

Des entrailles de la terre

Des abysses de la mer.

Comme fils de la nuit

Et   d’un   mystère,

Il  serait  porteur

À la fois de mort

Et de vie,

Destructeur

Et triomphateur.

.

Descriptif

.

651 – Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Alignement central  / Titre intercalé  /  Thème  humeur

Forme animal / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : cheval  /  Symbole de fond : cavalier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

651 6

.

Je ne suis rien qu’un cavalier

Conscient le jour sur cheval aveugle

Aveugle la nuit, sur un cheval voyant

Selon interprétation psychanalyse.

 .

Symbolique 

 .

Psychanalyse du cheval et du cavalier :

En plein midi, entraîné par la puissance de sa course,

Le cheval galope à l’aveugle et le cavalier, les yeux grands ouverts,

Prévient ses paniques et le dirige vers le but qu’il s’est assigné.

.

La nuit, quand le cavalier devient à son tour aveugle,

E cheval peut se faire voyant et guide.

C’est lui alors qui commande car

Lui seul peut franchir impunément

Les portes du mystère

Inaccessible à la raison ?

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

En vrai, il te faudrait un homme qui soit

Comme si, comme ci, et surtout pas comme ça !

Je suis comme ça, pas comme ci, cherchez l’erreur !

.

On peut transformer un poulain en cheval, en étalon,

Mais pas en chat ni en chien  et encore moins en lion.

Aucun déguisement ne suffit  pour la transformation

Ou proverbe : chassez le naturel, il revient au galop

Encore une histoire de cheval qui se cabre  et rue .

.

En fait, il faut rester comme on est et progresser

C’est une question d’histoire, non d’instantané.

Apprécier le potentiel, malléabilité de l’autre

Plutôt que condamner à n’être que ce qu’il est.

 .

.

Confondre ambigu, ambivalent

.

Scénario

.

Je ne suis pas l’homme qu’il vous faut : trop intériorisé !

Je ne suis pas l’homme qu’il vous faut : trop extériorisé !

C’est certain, sauf peut-être en politique, pour le reste …

 .

Visuels et textuels   >>

649 – Je fais rarement ce qu’il faut !

Visuels et textuels >>

.

Je fais

Rarement

Ce qu’il faut,

Quand il le faut,

Comme  il  le faut :

Erreurs  se  cumulant

En une seule, imparfait.

.

Imparfait, je suis et le reste

Quoiqu’on  dise  et conteste !

Faire efforts pour s’améliorer,

D’accord, mais se transformer,

En un  gentil  garçon, obéissant,

À l’autre, comme à  une maman,

Non quand même, ai passé l’âge.

.

Il est certain que je fais rarement

Tout ce  qu’il  faudrait, qu’il faut !

Et  quand bien même, je le  ferais,

Je le ferais pas bien comme il faut.

.

Ce, tant et si bien que, finalement,

Je n’aurais plus, d’envie, ni de vie,

Et qui pourrait pourtant convenir

À quelqu’un comme moi, pour qui

Tout devrait, et, un jour,  advenir,

Tout comme il aime et il le désire.

.

Je fais ce qui  me semble

Et l’essentiel,  à mes yeux :

Vois que je ne te ressemble,

Au point de rendre ennuyeux.

.

Nos contacts ou, nos rapports,

Qu’ils   soient dedans ou dehors

Bien que je me conduise en ange

Ne te poursuis  de ma revanche

Ni du mal que  je  t’aurais fait,

Sans le savoir ou bien exprès.

.

Fais des efforts encore, encore,

Lors, tu réponds : t’y es pas, garçon

J’y serai peut-être, lors je serai mort

Mais attendant être  qui t’ira très fort,

Ne suis par défaut homme qu’il te faut.

.

.

Extensions

 .

Le rejet de l’autre peut devenir tel qu’on ne voit le changement,

de l’autre et on l’enferme en un cadre rigide dont il ne sortira pas.

.

– «  Ton conjoint a bien changé ces temps-ci, il est plus présent,

plus prévenant, plus aimant… »

« Ah bon, tu trouves : c’est juste pour donner le change,

pour un moment, il (elle) reprendra bien vite ses habitudes »

.

– «  Si ça dure, s’il change vraiment, pour de bon, que feras-tu ? »

– « Alors je lui donnerai une seconde chance  mais je ne crois

pas au miracle, changer dans la durée demande de  l’énergie… »

.

– « Tu devrais changer un peu de ton côté, pour l’accompagner »

– « Merci, je vais bien, ce n’est pas moi le problème, c’est l’autre ! »

.

– « Mais enfin, tu sais bien que dans un couple… »

« Laisse tomber, je te vois venir avec ta psychologie

de couple, regardes plutôt le tien, ça pas fort non plus ! »

.

– « Ça va bien mieux maintenant qu’on s’est beaucoup parler.

« Tu pourrais lui dire qu’il s’améliore, rien que pour l’encourager. »

.

« On en reparlera dans trois mois, un feu de paille, je te jure »

– «C’est à désespérer, dans un an vous êtes divorcés. »

« Et vous dans trois, j’aurai juste pris un peu d’avance ! »

.

Le niveau d’exigence, de perfection de l’autre

N’a d’autre miroir que le cadrage de son miroir.

Certains, certaines, demanderaient, au  conjoint,

De satisfaire de suite le moindre de leurs caprices

Quand d‘autres de combler leurs propres défauts,

Par des qualités qu’ils ne leur reconnaissent pas,

Et ainsi, on tourne en rond, en frustrant l’autre

Sans qu’il ne soit de contrat, de projet, récit,

Autre que de dire «ça ne va toujours pas».

.

Les accroches, anicroches et reproches

De l’un sur l’autre, ou réciproquement,

Ne peuvent durer qu’un certain temps

Jusqu’à ce que l’un deux ne … craque

Lors, en colère, enverra tout en l’air.

.

On dit : il faut être souple, tolérant,

Pour vivre en couple, communauté

Il ne suffit donc pas d’être amants,

Pour que paix ménage, s’instaure !

.

S’instaure, cinq torts, qui a raison :

Les deux ou aucun ou à mi-chemin.

On dit que  qui reconnaitra son tort,

Reste ouvert au dialogue  constructif,

Pour  trouver  compromis … accords !

.

.

Épilogue

.

Tempéraments, attitudes, caractères,

S’accordent, se tolèrent, s’indisposent,

Ça peut être par des gestes, mots, actes

Frictions se produisent, rompent pacte !

***

Certains, certaines, prétendent  qu’amour

Change un homme, une femme, en mieux,

Au bout, sur quelques temps : vœux pieux,

Ils retombent en leurs travers de toujours !

***

Quant à moi, il se peut  qu’elle ne m’aies vu,

Avant de se marier,  comme j’étais,  tout nu,

Voire elle exagère, invente, pour me quitter,

Mais imparfaite, ne le serait-elle pas autant.

***

Lorsque je fais quelque chose, me met à parler

Elle me sonne les cloches comme en une église

Et en outre, ces dernières me semblent… fêlées

Tant sa voix m’écorchera les oreilles : non lisse.

***

J’aimerais tant qu’un bel accord, en symphonie

Nous chante les louanges d’un bel amour choisi

J’ai changé, parfois, j’ai fait nombre compromis.

Rien n’y a fait : faudrait-il que je la quitte, pardi !

***

Mais, je reste, je l’aime encore … comme elle est !

Je ne suis pas l’homme qu’il lui faut, peu s’en faut,

Comment faire pour qu’elle me veuille … je la vaux

En faire peu c’est mal ; assez, bien ; trop… parfait !

.

.

649 – Calligramme  

 .

Je fais

Rarement

Ce qu’il faut,

Quand il le faut,

Comme  il  le faut :

Erreurs  se  cumulant

En une seule, imparfait.

.

Imparfait, je suis et le reste

Quoiqu’on  dise  et conteste !

Faire efforts pour s’améliorer,

D’accord, mais se transformer,

En un  gentil  garçon, obéissant,

À l’autre, comme à  une maman,

Non quand même, ai passé l’âge.

.

Il est certain que je fais rarement

Tout ce  qu’il  faudrait, qu’il faut !

Et  quand bien même, je le  ferais,

Je le ferais pas bien comme il faut

Ce, tant et si bien que, finalement,

Je n’aurais plus, d’envie, ni de vie,

Et qui pourrait pourtant convenir

À quelqu’un comme moi, pour qui

Tout devrait, et, un jour,  advenir,

Tout comme il aime et il le désire.

.

Je tente  de  faire    ce qui   me semble

L’essentiel,    F              C      à mes yeux :

Vois que je     A              E  ne te ressemble,

Au point de     I                *   rendre ennuyeux

Nos contacts    S               Q  ou, nos  rapports,

Qu’ils   soient    *                 U   dedans ou dehors

Bien que je me  R                    ‘    conduise en ange

Ne te poursuis   A                      I      de ma revanche

Ni du mal que     R                       L        je t’aurais fait,

Sans  le  savoir     E                         *       ou bien exprès.

Fais des efforts      M                         F       encore,  encore,

Lors, tu réponds     E                           A     t’y es pas, garçon

J’y serai peut-être    N                            U      lors je serai mort

Mais attendant être   T                                  qui t’ira très fort,

Ne suis que par défaut                                   homme qu’il te faut.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

649 4

.

Obus, de la première guerre

Un des  monuments  aux morts,

Ou une tour ronde d’un clocher

D’église avec une base carrée ?

.

Autant un clocher qu’une église

ne convient pour faire ce qu’il faut

on serait ici, entre le rond et le carré,

sans parler de tout autre porte-à-faux.

.

Ce n’est pas le bon fond, la bonne forme,

Ou le bon moment :

Il y a quelque chose qui cloche en église,

Ou qui résonne mal.

 .

 Symbolique 

 

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche  l’assimile au corps féminin,

Tandis que le battant et aussi le manche

Évoquent un  phallus   en   connotations

Sexuelles contribuent    au symbolisme

De la cloche, du dorje (petit sceptre),

Souvent employés simultanément

Dans les rituels bouddhistes,

 Tibétains.

grandrêve1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

649 – Je fais rarement ce qu’il faut !  

Alignement central  / Titre analogue  / Thème  dialogue

Forme conique / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cloche / Symbole de fond : église

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

649 6

.

Ce n’est pas le bon fond, la bonne forme,

Ou le bon moment :

Il y a quelque chose qui cloche en église,

Ou qui résonne mal.

 .

Symbolique 

 .

Il est plusieurs façons de visiter une église.

On peut se munir d’un guide qui va vous donner

Tous les renseignements, historiques et artistiques,

Nécessaires, ou simplement se promener dans le lieu

Et se laisser imprégner  par l’atmosphère, ou encore

S’arrêter longuement, allumer cierge, pour y prier.

Notre parcours débute au clocher, source de la

Convocation du peuple par les cloches.

St-maurand-st-ame.cathocambrai.com/eglise-symboles

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chacun sait qu’il y a des rites, codes, conventions

Des manières de faire, d’exister, de communiquer,

Propres à chaque lieu, tels que silence dans l’église,

Faire la queue à un guichet,  frapper avant d’entrer:

Dans un musée on ne s’approchera trop des tableaux

Et dans certains bars on paie à la commande ou pas !

.

Lors, de faire ce qu’il faut, comme il faut quand il faut

En permanence et quel que soit la situation et fatigue,

Requiert attention de tous les instants et énergie folle

Qui peut conduire à l’abattement voire au burn out.

L’intolérance à moindre imperfection de l’autre

Conduit droit au conflit, séparation, divorce.

 .

.

Mais comment faire ce qu’il faut

.

Scénario

.

Ce qu’il faut pour passer à l’acte, comme aveu de mes sentiments ;

ce qu’il faut pour ôter mon masque, me présenter tel que je suis ;

ce qu’il faut pour inviter celle aimée, à un week-end amoureux !

 .

Visuels et textuels >>

648 – Pour m’aimer, il aurait suffi que je sois

Visuels et textuels  >>

.

Il aurait

Suffit de peu

Pour  que  l’on  soit

L’un de l’autre amoureux

Oui mais voilà : je ne suis pas

Celui que ton cœur te désignera,

Comme l’élu, et qui te comblera !

.

Aurait-il  suffi que je

Amour est autre que jeu

Auquel je ne suis pas mieux

Si un jour, contraire adviendra

Tant pis si ton choix ne me sourira.

Au revoir et adieu car c’est un choix !

.

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Un tantinet plus menteur,

Ou un tantinet plus joueur,

Pour que tu viennes  à  moi.

.

M’aimer, aurait suffi  que je sois

Authentique, transparent

Pour faire, de moi, l’amant

Avec ta belle aura magique.

 .

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Pour toi, un dieu, un roi

À même que, de ton  émoi,

Naisse ta volonté de  choix.

.

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Autre qu’un pauvre  farceur

N’ayant  pas que misères

À partager avec tes airs.

 .

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Amour conçu un enjeu,

Pour un moment heureux,

Même s’il ne dure que peu.

.

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Beau et riche et  célèbre,

Pour,  enfin,  tu me vois

Autre qu’un bon zèbre.

 .

M’aimer, il aurait suffi que je sois,

Je crois, mais ne crois pas,

Qu’entre nous ça changera,

Adieu à la prochaine fois.

.

.

Extensions

.

Il aurait suffi que … c’est ce qu’on se dit,

Après coup, peut-être pour se rassurer

Tant on ne saura pas si on avait été,

Avait agi, différemment, le résultat

N’aurait été le même pour question

De forme ou pour question de fond :

.

«De toute façon, tu ne me convenais pas,

Quoique tu fasses, tu n’étais pas mon genre,

Comme copain, d’accord, et pour un temps,

Comme conjoint, non, même pas en rêve! »

.

Pas assez d’autonomie  ou   de combativité,

Volonté de construire  l’économie du foyer,

Tout le contraire,  faiblesse d’être à charge,

Ou alors, drôle, comme ça, oui, en passant,

Mais ennuyeux à la longue et déstabilisant.

Il aurait suffi que …  mais, pourquoi, l’autre

Qui me ressemble a les faveurs de son choix :

Qu’est-ce qu’il a de plus que moi,  de différent,

Que je ne saisis pas, etc. Ou dont je n’ai pas idée

On dit que ce sont les phéromones,  testostérones,

Bref les éléments chimiques qui sont déterminants.

Si c’est le cas, pourquoi se poser des questions alors

La réponse claire : d’ordre animal, plus qu’humain !

.

Pour m’aimer il aurait suffi …. c’est certain

Qu’avec le conditionnel tout bien en main

Mais tout le monde sait qu’avec des si,

L’amour même en tout nous réussit

Que répondre à cela, rien, sinon

Que  c’est  bien  à  chacun,

De  capter  le   destin

Qui est  le  sien

Et le bon

V

.

Trente-six critères à souscrire

Afin de parvenir à me plaire,

Et pour que l’on construise

Vie commune, ensemble !

.

C’est dire : quels qu’ils soient

Aucun ne les satisfait, je crois.

C’est se contraindre à vivre seul,

Autant déjà préparer son linceul !

.

D’autant qu’entre ce qu’on est et devient

Il y aurait une moitié qui aurait changé.

C’est l’évolution normale de tout couple,

À moins d’être psychorigides patentés.

.

.

648 – Calligramme 

.

Il aurait

Suffit de peu

Pour  que  l’on  soit

L’un de l’autre amoureux

Oui mais voilà : je ne suis pas

Celui que ton cœur te désignera,

Comme l’élu, et qui te comblera !

.

Aurait-il  suffi que je

Amour est autre que jeu

Auquel je ne suis pas mieux

Si un jour, contraire adviendra

Tant pis si ton choix ne me sourira.

Au revoir et adieu car c’est un choix !

.

M’aimer, ….. il aurait suffi  M   que je sois

Un tantinet plus                 ‘  menteur,

Ou un tantinet plus          A    joueur,

Pour que tu viennes          I      à moi.

                            M

M’aimer, ….. il aurait suffi   E   que je sois

Authentique, trans            R     parent

Pour faire, de moi,             *    l’amant

Avec ta belle aura               A  magique.

                           U

M’aimer, ….. il aurait suffi   R    que je sois

Pour toi, un dieu,               A       un roi

À même que, de ton           I        émoi,

Naisse ta volonté de           T       choix.

                            *

M’aimer, ….. il aurait suffi   S    que je sois

Autre qu’un pauvre            U      farceur

N’ayant  pas que                 F     misères

À partager avec                   F     tes airs.

                           I

M’aimer, ….. il aurait suffi   *    que je sois

Amour conçu un                 Q         enjeu,

Pour un moment                U    heureux,

Même s’il ne dure               E     que peu.

                          *

M’aimer, il aurait suffi         J     que je sois

Beau                 et riche et    E       célèbre,

Pour,                  enfin,  tu    *        me vois

Autre                  qu’un bon  S          zèbre.

                           O

M’aimer, il aurait suffi          I    que je sois,

Je crois,      mais ne crois     S              pas,

Qu’entre      nous ça chan      !             gera,

Adieu et      à la prochaine    *              fois.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

648 4

.

Une tour, c’est sûr,

Mais pas un donjon :

Une pagode peut-être,

Et  avec six sept étages !

.

Pour être aimé, il faut empiler

Six ou sept qualités ou vertus :

Comme cette pagode, réelles

Ou pas seulement projetées.

  .

Symbolique de forme

 .

Le mot pagode

Désigne lieu où se

Trouve une relique

Et un  lieu  de culte

Pour    les    adeptes

Du tout bouddhisme,

En   prenant  l’aspect

De  tour  de  plusieurs

Étages, soit circulaire,

Octogonale, voire carrée,

Caractérisée par un toit évasé ou épi.

Venue d’Inde, la pagode s’est propagée

Avec le bouddhisme à partir du IIe siècle

En Chine, puis Corée, et enfin  au Japon.

fr.wikipedia.org/wiki/Pagode

.

Descriptif

 .

648 – M’aimer : il aurait suffi que je sois ! 

Alignement central  / Titre droit  / Thème  humeur

Forme droite / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : pagode / Symbole de fond : pagode

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

648 6

.

Pour être aimé, il faut empiler

Six ou sept qualités ou vertus :

Comme cette pagode, réelles

Ou pas seulement projetées.

 .

Symbolique 

 .

Les différents niveaux de pagodes

Ont des significations diverses :

Cinq niveaux représenteront

Le gardien  des cinq  sens

Par les empereurs.

 .

Cela améliore la fortune et la chance

Les sept niveaux  représenteraient

Les sept trésors du bouddhisme.

 .

C’est le symbole de la bénédiction

Des  sept  étoiles  du  Nord  qui

Apportent chance, richesse.

Source : natura-fengshui.fr/les-

differents-niveaux-de-pagode

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

.

Pour m’aimer, il aurait suffi :

Si l’on met tout au conditionnel

Que pourrai-je-je  espérer d’elle !

Que je sois  son choix  d’amoureux,

Sois l’élu de son cœur et de son âme,

Sois des plus authentiques  et sincères,

Sois des plus riches, des plus prometteurs

Sans parler des plus beaux  et charmeurs :

Ce qui ferait cinq vertus  que je n’aurais pas,

Comme les cinq toits d’une pagode bouddhiste.

 .

.

Il aurait suffi que je sois

.

Scénario

 .

Que je sois ton semblable et ton complémentaire, à la fois ;

que je sois ton ami, franc et sincère, et disponible, etc. ;

que je sois un mentor, modèle, ascendant, pour toi.

 .

Visuels et textuels  >>

646 – Si pour m’aimer, il faudrait que je sois

Visuel et textuels  >>

.

Pour m’aimer, faut que je sois

Jeune et beau et riche, intelligent,

Et garant d’un bon potentiel en argent,

Disponible, puis  en quête d’être amant :

Voilà  le profil, d’un bon parti, mariant.

.

On croit rêver mais ça existe vraiment,

Pas que, en contes prince charmant,

Ce n’est pas moi, ne l’étais ni sera

Rapport à cela, fais profil bas.

.

Je fais partie d’une liste prétendants,

Peu souvent : second ou en dernier choix

Pour plaire, et séduire : je ne suis pas le roi !

Pourtant dieu sait que je  peux être  amant.

.

Me marier à tout prix et, à n’importe qui,

N’a jamais été pour moi une obsession

Connais quelques-uns …. paniqués,

Idée être célibataire très rejeté.

 .

Si, pour m’aimer faudrait

Je sois : jeune, riche,  beau

Et en plus, drôle et intelligent,

Disponible pour être ton amant,

Je ne serai pas celui qui  convient :

Dans ta liste je serais bien en trop !

.

Lors retraité,  me  voilà vieillissant

Et même  si je suis encore désirant,

N’ai pas profil de prince charmant

Qui ira d’une à l’autre, comblant

Son manque d’incomplétude.

.

En définitive … seuls comptent

De partager et autant sa… peine,

Que, sa joie, éprouvée  ou  déveine,

Avec quelqu’une   …   dont la passion

Correspond à ce que nous cherchons.

.

Est-ce  une chimère ou  une  raison,

Que  préférer vivre  en célibataire,

Que se marier, de toutes façons,

Par peur être seul sans plaire.

.

.

Extension

 .

Si pour m’aimer il faudrait que je sois

Quelqu’un d’autre, ce ne serait plus moi

Que l’on aime, cela se conçoit, va de soi !

Je ne peux jouer personnage permanent,

Sans me dévoiler en une intimité faussée

Quand la routine prend le pas sur l’amitié.

.

«Ah voilà, je ne te savais pas comme, cela,

Je te découvre, si j’avais su auparavant »

Ainsi certains, déçus, aigris,  soutiennent :

Qu’il y a eu tromperie sur la marchandise.

.

C’est la raison pour laquelle vivre ensemble

Un certain temps, d’expérimenter un certain

Nombre de situations de problèmes à résoudre,

Permet de faire le tri, découvrir l’autre tel qu’il est

Non tel que je l’ai imaginé, aveuglé par mes sentiments.

.

Enfin, personne n’est parfait et si je cherche un conjoint

Qui a toutes les qualités, y compris celle que je n’ai pas,

Je pousse la barre très haut, trop haut, c’est évident.

Il faut voir l’autre en projet, l’autre en devenir,

Autant qu’en son état actuel, en sa réalité.

.

Jeune et beau, drôle et disponible, sérieux et rassurant :

Voilà bien une annonce sur un site de rencontre mariage,

Mais il faut  déjà trouver l’oiseau rare et, sans doute, cher,

Cher à son cœur, mais va-t-il rester,  ne va-t-il pas changer

Tant de critères pour si peu d’hommes et de risques amers !

.

En sites de rencontres sérieux en  vue mariage,

On demandera aux prétendants de citer nombre

De qualités, de défauts, de passions et d’allergies,

Comme s’il s’agissait d’un produit sur le marché.

.

Cette objectivation tient peu compte d’émotions

Qui sont pourtant à la base de fondation couples,

Autant que nombre prétendants mentent un peu

Sur leur âge, apparence, situation, richesse, etc.

.

Qui se ressemblent, s’assemblent,  dit proverbe,

Mais souvent le sujet ne s’accorde pas au verbe

Il faut changer autant le préfixe que le suffixe,

 Se faire plus discret ou, au contraire, prolixe !

.

.

646 – Calligramme  

.

Pour m’aimer       M      faut que je sois

Jeune et beau et               riche, intelligent,

Et garant d’un bon      A     potentiel en argent,

Disponible, puis  en      I      quête d’être amant :

Voilà  le profil, d’un      M       bon parti, mariant.

On croit rêver, mais     E       ça existe vraiment,

Pas que, en contes      R        prince charmant,

Ce n’est pas moi,     *      ne l’étais ni sera

Rapport à cela,     I       fais profil bas.

L

Je fais partie d’une   *      liste prétendants,

Peu souvent : second   F     ou en dernier choix

Pour plaire, et séduire  A     je ne suis pas le roi !

Pourtant dieu sait que   U     je  peux être  amant.

Me marier à tout prix   D       et, à n’importe qui,

N’a jamais été, pour    R      moi une obsession

Connais quelques-     A       uns …. paniqués,

Idée être céliba       I     taire très rejeté.

 T

Si, pour m’ai    *   mer faudrait

Je sois jeune        *         riche,  beau

Et en plus,   Q    drôle   S  et intelligent,

Disponible    U   pour     O être ton amant

Je ne serai      E     pas     I      qui convient :

Dans ta liste     *     je      S    serais en trop !

Lors retraité,   J    me    !   voilà vieillissant

  Et même si je  E  suis  *   encore désirant,

N’ai pas profil    de   prince charmant

Qui ira d’une à l’autre, comblant

Son manque d’incomplétude.

.

En définitive … seuls comptent

De partager et autant sa… peine,

Que, sa joie, éprouvée  ou  déveine,

Avec quelqu’une   …   dont la passion

Correspond à ce que nous cherchons.

Est-ce  une chimère ou  une  raison,

Que  préférer vivre  en célibataire,

Que se marier, de toutes façons,

Par peur être seul sans plaire.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

646 4

.

Des éléments superposés

Formés par des pelotes

De laines en couleurs

Qui peuvent changer

.

On peut changer d’apparences

ou on peut changer de matière,

ou on peut changer de couleurs,

le fond s’accordera à tout forme.

.

Pour aimer, faut-il être de toutes

Les couleurs  ou une seule ?

La bonne et ne jamais en changer

Sous peine de décevoir.

.

Symbolique 

.

La perception des couleurs

N’aurait pas de valeur universelle.

Les croyances, les valeurs et symboles

Attachés aux couleurs, et interprétations,

Varient à travers le monde et apprentissage

La couleur est, demeure, produit très culturel.

.

Si l’occident connaît le jaune, le rouge ou le bleu,

Il ignore  les  couleurs : sèches, humides, rugueuses

Ainsi que les couleurs « dures », tendres ou « tristes »,

Autant de paramètres qui s’associent à couleur, Afrique.

.

De même le Japon connaît pour désigner gamme de blancs,

Une foule de termes  qui correspondront à autant de nuances

Et de désinences lumineuses imperceptibles à l’œil occidental.

.

Descriptif

.

646 – Pour m’aimer, il faudrait que je sois !

Alignement central / Titre analogue / Thème  apparence

Forme ronde   /    Rimes égales   /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : couleurs / Symbole de fond : changer

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

646 6

.

Pour aimer, faut-il être de toutes

Les couleurs  ou une seule ?

La bonne et ne jamais en changer

Sous peine de décevoir.

.

Symbolique 

 .

Depuis plusieurs années,

Le concept : «Génération Y»

Fait couler  beaucoup  d’encre.

.

Nouvelle génération,  récemment

Arrivée  sur le  marché  du travail,

Parfois décrite comme le cauchemar

Des RH  et des managers, et qui emble

N’être, finalement, que  le  symbole  des

Changements du monde de l’entreprise.

.

Un point de vue de Benjamin Chaminade,

Qui préfère parler de : «Culture Y» plutôt

Que se focaliser sur débat générationnel.

blog-emploi.com/la-generation-y-

symbole-du-changement-en-entreprise

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les qualité et défauts des uns

N’étant pas ceux des autres

Il faut qu’ils s’accordent

Car sinon tout ira mal,

En matière de physique

Comme de tempéraments,

Contraires peinent à se marier.

.

Mais ne suffit pas de s’accorder ici,

Plus tard, faut renégocier changement :

Si l’un bouge l’autre reste immobile, rigide,

Au bout d’un temps, on a beau être séduisant,

Ça ne suffira pas à combler un manque béant !

 .

.

Faudrait je sois branché Y

.

Scénario 

.

Pour m’aimer, il faudrait que je sois  jeune et beau !

Pour m’aimer, il faudrait que je sois drôle et disponible !

Et en plus assez riche et plein de promesses d’avenirs radieux !

 .

Visuel et textuels  >>

631 – Trois états de moi-même, d’elle, de nous

Visuels et textuels  >>

.

Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

États, entre ombre et lumière,

Et en tout

Trois couleurs, pour chacun,

Arc en ciel,

Si on les ajoute font qu’un

Seul et même

Rayon qui nous entoure

D’un prisme

Qui le décompose jour

Ou de source

De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états de moi-même, d’elle et de nous.

Oui mais lesquelles, soit dit entre nous

Le premier, c’est moi-même je l’avoue,

Le second, mon ombre  avant tout,

Le troisième,  ma lumière floue.

.

Et pour elle la même chose,

À ceci près qu’elle est rose,

Sa lumière sur toute chose,

Qui me fait voir, bien bleus,

Le fond, de  ses beaux yeux.

.

Univers en devenant le nôtre,

Que nous partageons, apôtres

Éclairé par les ciels des autres,

Qui nous met à l’ombre,  vautre

Deux corps et esprit, patenôtres.

.

Entre  nos deux ombres, lumières,

Nous éclairant demain comme hier,

D’un amour  dont nous sommes fiers

Lors  voyageant sur notre Terre entière

De moi, elle et puis de nous, d’états tiers.

.

Si en la nuit je te vois comme dans le jour,

C’est  que ta présence  m’entoure toujours,

Toute aussi forte que la chaleur de ton four,

Alimentant sans cesse, sincérité de l’amour,

Qui depuis lors éclaire ombre âme, humour.

.

.

Extension

 .

Trois états

De moi-même

D’elle, de nous !

.

Ce nous  n’est pas

Qu’une … addition,

Pas plus soustraction,

Division, multiplication,

Plutôt projection  de ce qui

Nous embrasse, nous tracasse

Voire bien souvent nous dépasse.

.

Ce jeu d’ombres et lumières,  permet

De jouer  sur divers points de vue, pour

Éclairer portrait changeant avec le temps,

Les événements, les rôles et les contextes

Qui constituent la toile de personnalité

Et le sujet, l’histoire du personnage.

Notre vie privée est dans l’ombre

Et vie publique dans sa lumière.

.

Chacun, chacune a sa part d’ombre et donc le couple aussi

Ce n’est pas qu’une addition, un recouvrement, c’est un récit,

Qui met, en lumière, ce qu’il y a, de commun, de clair, partagé,

Tente de masquer ce qui est du non-dit, du déni, du pas permis.

C’est ainsi que la part d’ombre augmente ou diminue sans cesse,

Selon que l’on est clair, transparente, en confiance avec l’autre,

En un couple, même uni, il y a donc bien trois états d’ombre.

.

Trois états de nous : objet, sujet et une part d’ombre.

.

Objets, sommes éclairés  par la lumière extérieure

 Comme tout autre objet de notre environnement,

 Et l’ombre qu’elle projette en est toute  dérivée ;

.

Sujets, sommes éclairés par lumière intérieure,

De par un principe vital et spirituel, immanent

En sus de notre sensibilité et notre intelligence ;

.

Ombres, nous errons comme fantômes sur Terre

Ne sachant, in fine, à quoi  nous sommes destinés,

Sauf à nous inventer des mythes, croyances, religions.

.

.

631- Calligramme

.

                         Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

                                 Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

                                     États, entre ombre et lumière,

     Et en tout

                                     Trois couleurs, pour chacun,

         Arc en ciel,

                                   Si on les ajoute font qu’un

             Seul et même

                              Rayon qui nous entoure

         D’un prisme

                       Qui le décompose jour

    Ou de source

          De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

********************

********************

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états  É  de moi-même, d’elle et     *  de nous.

Oui mais   T     lesquelles, soit dit   * entre nous

Le premier A   c’est moi-même  *   je l’avoue,

Le second   T  mon ombre  *    avant tout,

Le troisième   S    ma  *    lumière floue.

Et pour elle       *   *     la même chose,

À ceci près         D     qu’elle est rose,

Sa lumière        E   sur toute chose,

Qui me fait       *    voir, bien bleus,

Le fond, de       M   ses beaux yeux.

Univers en de   O    venant le nôtre,

Que nous parta I    geons en apôtre

Éclairé par les    *    ciels, des autres,

Qui nous met à   D    l’ombre et vautre

Deux corps et        ‘      esprit, patenôtre.

Entre nos deux   E om *     bres lumières,

Nous éclairant  L demain  *    comme hier,

D’un amour      L dont nous    *  sommes fiers

Lors  voyage    E  ant sur notre   *   Terre entière

De moi, elle     *     et puis de nous   *   d’états tiers.

Si en la nuit     N    je te vois comme    *    dans le jour,

C’est que ta      O   présence m’entoure     *         toujours,

Toute aussi     U    forte que la chaleur de     *        ton four,

Alimentant     S       sans cesse, sincérité de       *        l’amour,

Qui depuis     *      lors éclaire ombre d’âme         *       humour.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

631 4

.

Euh, je ne vois pas trop :

Peut-être bien l’ombre

D’un adepte de l’Aïkido

En plein exercice !

 .

L’ombre ne met pas tout en pleine lumière

mais si l’on apprend à la décoder, elle éclaire

un geste, posture, intention, voire une activité

tant et s bien que sa forme évoquera son fond.

 .

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

  .

Symbolique 

 .

L’ombre est une partie

De la psyché formée de la part

Individuelle qui ne se connaît pas

Elle-même, et dont l’existence même

Est souvent ignorée. Figurée en de

Nombreuses cultures et mythes

Sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais

Néanmoins ayant statut de

Double du héros, représentant le moi,

L’ombre se retrouve également

Dans les rêves, et projections

Psychiques liées souvent

À la peur de l’autre.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

.

631- États de moi-même, d’elle, de nous !

Alignement central / Titre analogue / Thème  le corps

Forme conique / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : ombre  / Symbole de fond : exercice

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

.

Symbolique

 .

L’exercice physique

Modéré et adapté,

Permet de conserver

Des articulations souples et fonctionnelles.

Elle augmente  notre force,  notre souplesse,

Notre endurance, nos capacités d’adaptation

Résistance physique, mentale et immunitaire

Avec large  accroissement de l’énergie vitale.

.

Une activité équilibre le  système hormonal.

La sécrétion de sérotonine et la régulation

Naturelle de la glycémie sont améliorées.

.

Toutes les fonctions du corps peuvent se

«Dé-fragiliser» grâce aux efforts sportifs,

N’outrepassant certaines limites biologiques.

maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/activite physique

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

 L’ombre est doublure d’objet sans sa matière

Reflète, d’un seul côté, le manque de lumière

Autant de de couleur mais évoque sa forme

Qu’on devine et qu’on complète : conforme

À ce que l’on attendait comme une partie

Suggère le tout au risque de se tromper.

 .

.

Trois états qui resteront à décoder

.

Scénario 

.

Trois états de moi-même : explicite, dans l’ombre, en lumière floue,

trois états d’elle : sa lumière rose, ses yeux bleus, ses cheveux noirs,

et de nous : proches, distants, absents selon moments, événements !

 .

Visuels et textuels  >>

630 – Je t’imagine par la pensée … présente

Visuels et textuels  >>

.

La présence d’une amie…chère

N’est pas que physique, en chair,

Elle est aussi dans le cœur, l’esprit

Et dans ce je ne sais quoi, qui ravit.

Plan sur la Comète : n’en avons pas :

Nous n’en auront probablement pas,

Lors si j’insistais, tu ne voudrais pas.

Je ne te reproche rien,  reproche pas,

Je ne peux m’empêcher, malgré moi,

De t’imaginer présente par la pensée

Comme fée bienveillante à mes côtés

Faisant que jeu, me mette en émoi !

.

Je t’imagine           par          la pensée

Je t’imagine,         réelle,         habillée,

Je t’imagine,      présente,   à mon côté,

Je t’imagine, nue, défaite,  abandonnée,

Sans que pas une seule fois  vision de toi,

Ne ternisse aura, ne change, ne me déçoit.

Comme si  c’était toujours la  première fois.

Que je  J   te découvre, que   P   je m’aperçois

Que     E   tu ne  m’es  pas      E      indifférente,

Que             tu me serais          N       une amante

Si         T        un déphasage       S          inconstant

Ne          ‘          contrecarrait        E           mes plans.

Car          I               de plan, tu          E                n’en as,

Sauf         M                celui jouer                         au yo-yo,

Je suis       A                 en bas, tu es        P               en haut,

Près de       G                toi jamais dans      R               tes bras.

Il aurait       I                fallu, suffi, peut-        E              être, que

J’insiste       N             je persiste, avec toi,        S              coexiste,

Ou que        E           nous soyons plus assidus       E             aux jeux

Mais,                     je saisis très bien jusqu’où tu       N            résistes,

Qu’il          P         en faut plus pour partir avec toi       T           en piste,

Que        A          vieux tromblon bramant toute son      E          émotion,

Et,         R          qui plus est, n’entonne pas la bonne                 chanson.

.

Comment               se fait-il que longtemps,                  bien plus tard

J’éprouve              encore, ce même sentiment,             très bizarre,

Que rien,          n’est joué, ni perdu, ni gagné,      n’est  trop tard,

Dès lors que          tout cela ne doit plus         rien…au hasard.

.

.

Extension

 .

Je t’imagine, par la pensée,

Mais aucune de mes pensées

Ne peut et ne pourra jamais

Se substituer  à ta présence,

Et plus encore à ton contact

Réel, sensuel, voire charnel.

.

Amoureux, persévérant, obsédé,

Amoureux, je ne serais que la victime ;

Persévérant, je ne serais que constant

Obsédé, je ne penserais qu’à baiser.

.

À toi de voir, à toi de savoir,

À toi de sursoir ou non,

En fonction du degré de mon

Authenticité, je ne changer rien

Au flot des pensées à chaque marée.

.

Comme elle, ses coefficients varient

Ils augmentent dès que je te quitte

Et dès que je vais te revoir bientôt.

Peut-être que prochaine rencontre

Me ramènerait à plus juste raison,

Mais, toujours, lors je pense à toi,

Je laisse flotter mon imagination.

.

La pensée forme une image mentale au plus près de  réalité

Mais par le fait même de l’absence, elle est parfois déformée :

Souvent embellie par l’amour mais défraichie par le désamour.

Parfois elle se cantonne au visage et parfois au corps tout entier

Et elle ne s’embarrasse pas d’habit, elle se projette sur la nudité

Mais entendons-nous bien du cœur, l’esprit, l’âme en premier

C’est sa lumière, et son regard, qui parviennent à l’animer !

.

Par la pensée on peut simuler nombre de formes :

Habillements différents plus ou moins conformes

Désirs, envies, projections, fantasmes : à souhait,

Je te dénude, et te revêts tout comme il me plait !

.

Encore que  la réalité dépasse, parfois, la fiction :

Je ne t’avais jamais imaginé vêtue de cette façon,

Et lors je me dis que ton choix se doit être le bon,

Qu’il correspond intérieur/extérieur à ta passion.

.

.

630 – Calligramme 

 .

La présence d’une amie…chère

N’est pas que physique, en chair,

Elle est aussi dans le cœur, l’esprit

Et dans ce je ne sais quoi, qui ravit.

Plan sur la Comète : n’en avons pas :

Nous n’en auront probablement pas,

Lors si j’insistais, tu ne voudrais pas.

Je ne te reproche rien,  reproche pas,

Je ne peux m’empêcher, malgré moi,

De t’imaginer présente par la pensée

Comme fée bienveillante à mes côtés

Faisant que jeu, me mette en émoi !

Je t’imagine           par          la pensée

Je t’imagine,         réelle,         habillée,

Je t’imagine,      présente,   à mon côté,

Je t’imagine, nue, défaite,  abandonnée,

Sans que pas une seule fois  vision de toi,

Ne ternisse aura, ne change, ne me déçoit.

Comme si  c’était toujours la  première fois.

Que je  J   te découvre, que   P   je m’aperçois

Que     E   tu ne  m’es  pas      E      indifférente,

Que      *       tu me serais          N       une amante

Si         T        un déphasage       S          inconstant

Ne                   contrecarrait        É           mes plans.

Car          I               de plan, tu          E                n’en as,

Sauf         M                celui jouer          *              au yo-yo,

Je suis       A                 en bas, tu es        P               en haut,

Près de       G                toi jamais dans      R               tes bras.

Il aurait       I                fallu, suffi, peut-        É             être, que

J’insiste       N             je persiste, avec toi,         S              coexiste,

Ou que        E           nous soyons plus assidus       E             aux jeux

Mais,           *         je saisis très bien jusqu’où tu       N            résistes,

Qu’il          P         en faut plus pour partir avec toi       T           en piste,

Que         A         vieux tromblon bramant toute son      E          émotion,

Et,         R          qui plus est, n’entonne pas la bonne      *           chanson.

Comment               se fait-il que longtemps,                  bien plus tard

J’éprouve              encore, ce même sentiment,             très bizarre,

Que rien,          n’est joué, ni perdu, ni gagné,      n’est  trop tard,

Dès lors que          tout cela ne doit plus         rien…au hasard.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

 Évocation 

.

630 4

.

Une robe fuchsia qui affiche

Un encrier peut-être

Poivrier  ou   salière,

Mieux une belle robe

Pour étaler son aura.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde, ici, à la forme)

.

Une robe, à elle seule, peut bien déjà

dégager, d’emblée, une certaine aura,

mais lors elle est bien portée,  elle aura

une plus forte encore en vue fond/forme

.

Une robe fuchsia qui affiche sa présence,

Se fait remarquer :

Son aura féminine serait comme une

Assurance de sérénité !

 .

Symbolique 

 .

Au début, la robe servait

À tout cacher du corps de la femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur :

Plus les tissus sont élaborés

Et plus leur beauté

Peut s’exprimer.

Après la Renaissance,

Le nu, magnifié, s’entoure

De prestige mais au quotidien,

Des parties du corps sont considérées

Comme vulgaires, il est indispensable

De les cacher,  or,  en les dissimulant,

On construit  projections imaginaires

Autour de leur réalité cachée comme

Un mystère demandant à se révéler.

.

.

Fond

Évocation

.

630 6

.

Une robe fuchsia qui affiche sa présence,

Se fait remarquer :

Son aura féminine serait comme une

Assurance de sérénité !

 .

Symbolique

.

L’aura désigne la lumière

Entourant tête êtres solaires,

C’est à dire doué de lumière divine.

Cette lumière est auréole pour la tête,

Auréole  pour  le corps : l’aura  est

Comparable à nuée lumineuse :

Ses colorations sont diverses.

.

La lumière est

Signe de sacralisation.

L’auréole est manifestée par

Rayonnement autour du visage

Parfois  du corps, en  sa  totalité.

L’auréole  est   parmi  procédés

Pour valoriser un personnage

En ce qu’il a de plus noble.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Une robe sert d’interface entre le corps

Qui se nichera parfaitement à l’intérieur

Et qui lui donnera qui sait, certaine aura

Et l’âme ou dans tous cas, son apparence

Qui se diffuse comme lumière extérieure :

On a impression qu’au milieu de la foule,

Sa présence s’impose en halo de couleur

Grisant les autres, inconnus d’ailleurs.

C’est ainsi que magie opère en pensée

Pour rapprocher délire et réalité.

.

 .

.

L’aura, l’auras pas !

.

Scénario 

.

La présence est une aura intérieure qui vous envahira tout entier

elle prendra  la forme que vous désirez,  forme que vous aimez,

elle s’anime, est comme vivante, virevoltante, et à vos côtés.

.

Visuels et textuels  >>

618 – De voir ton image, ton apparence

Visuels et textuels  >>

.

L’image peut être

Fidèle,   brumeuse,

Apparence peut être

Réelle  ou trompeuse,

.

Mais  quoiqu’il en soit,

On y croit,  sans douter

Et dès les première fois,

Avec  le temps : précisé !

.

Sauf à être aveugle sourd,

L’image de son apparence,

Et l’apparence de son image

.

S’éclairerait  et  au grand jour

Devenant même  une évidence,

Entre leurs amours en partages.

.

De voir ton image, en apparence,

Je suis entré  comme  en  évidence,

Qu’il y avait, chez toi, transparence

De l’amour qui me mettra en transe.

.

De voir  tes   yeux  tous en  flammes,

Je suis entré  comme  dans  ton âme

Pour investir  ton regard, qui  clame

De le rejoindre   quand  il se damne.

.

De toucher ton corps,  ses rondeurs,

Je suis entré comme dans ton cœur

Qui m’a mis de suite dans l’humeur

De vaincre  ma timidité,  ma peur.

.

Et de sentir, de ton sexe, ardeur,

Y suis entré comme en chaleur

Jusqu’à me sentir être ailleurs

Ciel même parfait bonheur.

.

De respirer ta joie  à l’infini,

Suis entré en ta compagnie

Pour tisser le fil de nos vies,

Noué par toutes nos envies.

.

.

Extension

 .

Qu’est-ce qu’une image, une apparence,

Par rapport, à la personnalité,  à la réalité.

Quand se rejoignent-elles, se disjoignent-elles

Et comment faire la différence sur seule présence !

.

Quand apparence, transparence, font corps, ensemble,

Leur union n’en sera que plus grande, voire plus attirante.

Lors c’est le contraire, la déception n’en est que plus vexante

L’on ne peut s’en prendre qu’à soi-même : erreur de casting !

.

Le contact physique est souvent révélateur d’une harmonie

Ressentie comme naturelle ou comme une cacophonie

Perçue de manière artificielle, parfois après coup.

L’image et l’apparence prennent soudain  corps,

Passant l’épreuve de réalité et de magie, à la fois,

Partagée, ressentie comme telle d’un côté, l’autre.

.

Quand on se repasse le film, on se dit  alors :

Ah  oui, quand même, ah oui … c’était bien,

Ou de manière plus sournoise, c’était moyen,

Autre fois peut-être, à l’occasion, rien de plus !

.

Une femme dira peu si c’était bien, ou mal, pour elle,

Elle emploiera moyens plus subtils pour faire comprendre :

On arrête là, merci du voyage, moi je vais par ici et toi par-là !

.

Il ne faut pas se fier totalement aux apparences, dit-on !

Mais comment peut-on s’en prémunir, que faut-il en dire :

Toutes les choses, tous les êtres  ont une  ou des apparences,

Et celles des femmes seront plus changeantes que les hommes

Mais s’en plaignent-ils  vraiment et les femmes, en jouent-elles !

On peut gloser à l’infini  sur l’apparence, mais  il faut se rappeler

Que notre propre cerveau corrigerait  les perceptions de la réalité,

Qui ne sont pas  conformes, courantes, acceptables : est-ce piège ?

.

On dit souvent qu’apparence est trompeuse

Qu’il ne faut trop s’y fier : trop mensongère !

.

Tout n’est qu’apparence en première instance

Ce que je vois d’abord, je le vois avec mes yeux.

.

Ce n’est qu’en me référant  à mon interprétation,

Que je constate cohérence ou non avec intériorité.

.

Si les deux  convergent : rassuré, plus en confiance,

Je peux dès lors me livrer davantage sans méfiance !

.

.

Épilogue

.

L’apparence  de quelqu’un, quelqu’une,

Dit beaucoup de choses de lui, ou d’elle,

Mais loin s’en faut, elle ne dira pas tout,

***

Et, parfois, elle oblitère même l’essentiel,

Perdu à travers ses apparences multiples,

À confondre personne, personnage … fou.

***

Lors l’apparence  colle  à son image réelle :

On dit les deux combinent une adéquation

Apparence : transparence et personnalité !

***

Il peut en être  tout autant, de nos amours,

Légers en apparence, et profond en réalité,

Si ce n’est l’inverse, sans reflet, réciprocité.

***

Le sexe, la sexualité, l’attirance, le charme,

Peuvent être basés sur fausses apparences,

Créant l’illusion d’être  ou d’avoir été aimé.

***

D’une rare clarté : rien de tout cela  chez toi,

J’ai cru lire en toi comme en un livre ouvert :

L’expérience, la conclusion me donne raison.

***

S’il se trouve  que  je n’ai pas lu  le mot : «fin»

Est-ce une bonne  ou bien mauvaise aventure :

Je ne peux que croire en elle, pour qu’elle dure.

.

.

618 – Calligramme

 .

L’image peut être

Fidèle,   brumeuse,

Apparence peut être

Réelle  ou trompeuse,

.

Mais quoiqu’il en soit,

On y croit,  sans douter

Et dès les première fois,

Avec le temps : précisé !

.

Sauf à être aveugle sourd,

L’image de son apparence,

Et l’apparence de son image

.

S’éclairerait et au grand jour

Devenant même  une évidence,

Entre leurs amours en partages.

.

De voir ton image  *    en apparence,

Je suis entré   * comme  *   en évidence,

Qu’il y avait    V   chez toi    T  transparence

De l’amour     O  qui me mettra   O   en transe.

De voir tes      I       yeux  tous en        N    flammes,

Je suis entré   R         comme dans          *      ton âme

Pour  investir  *           ton regard              A   qui clame

Le rejoindre    T             quand il                 P  se damne.

De toucher      O           ton corps et              P  rondeurs,

Je suis entré   N         comme dans              A   ton cœur

Qui m’a mis   *         de suite dans            R  l’humeur

De vaincre     I         ma timidité           E  ma peur.

Et de sentir   M      de ton sexe          N    ardeur,

Y suis entré  A      comme en         C    chaleur

Jusqu’à me  G   sentir être      E   ailleurs

Ciel même  E   parfait    !  bonheur.

De respirer ta joie  …   à l’infini,

Je suis entré en ta compagnie

Pour tisser le fil de nos vies,

Noué par toutes nos envies.

.

.

Forme

.

Réduction

.

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Évocation 

.

  618 4

.

Une bouteille de vin Chianti

Objet d’art, vintage, d’avant-hier

Ou apparence de femme sous forme

De lampe à huile avec sa lumière.

 .

L’apparence et la transparence sont sœurs

mais la lumière les distingue en tous contextes

si bien qu’une bouteille vide et pleine d’eau pure,

ne se ressemble bien que s’approchant dans le fond.

.

C’est vrai, les yeux embrumés peuvent

Occulter une apparence :

Oui mais, à ce point-là, tout de même,

Je suis loin d’être une lumière !

 .

Symbolique 

 .

Apparence est ensemble de messages

Que je vais émettre ou capter chez l’autre.

.

Superficiels : les vêtements et les modes,

Les voitures et les maisons, les clubs

De sport et les clubs de vie,

Les  bijoux  et  les  parfums,

Les piercings et les tatouages.

.

Profonds : les métiers, les choix

De groupes et opinions, uniformes

Officiels  et les codes vestimentaires

Qui nous rattacheraient à un groupe.

.

Personnels : les gestes  et les attitudes,

Les façons de marcher, le ton de la voix,

Le choix des mots, les positionnements

À l’intérieur d’un groupe.

Source : lessymboles.com/

les-apparences-utilite-et-pieges

.

Descriptif

 .

618 – Voir ton image : ton apparence !

Alignement central   /    Titre analogue /   Thème désir

Forme en ovale / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : apparence  /   Symbole de fond : lumière

.

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Fond

 .

Évocation 

.

.

C’est vrai, les yeux embrumés peuvent

Occulter une apparence :

Oui mais, à ce point-là, tout de même,

Je suis loin d’être une lumière !

 .

Symbolique 

 .

La lumière est le symbole

De la vérité, la révélation, savoir.

Lumière est indissociable de l’ombre.

Tandis  que l’ombre symbolise les ténèbres

Et la mort, la lumière évoque la clarté et la vie.

.

Par analogie, l’ombre symbolise l’ignorance,

Tandis que la lumière représente la lucidité

Aussi, l’expression Avoir besoin des

Lumières de quelqu’un illustre

Bien idée de connaissance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-lumiere.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

 .

L’apparence est loin d’être une évidence

Et ce n’est pas tant qu’elle soit trompeuse

Qui plus est volontairement faite pour ça,

Qu’elle aura besoin d’être mise en lumière,

Pour nous révéler sa vraie nature/matière.

.

Personne ne pourra échapper à l’attraction

Des apparences qui susciterait des illusions

Mais personne n’en demeurerait prisonnier

S’il s’en méfiera comme d’une part d’ombre.

 .

.

Apparence, apparition

.

Scénario 

.

Dans le flot de mes visions,  de mes envies, imaginaires

je t’ai aperçu, je t’ai reconnu, et je t‘ai longtemps attendu

jusqu’à ce que ton image dépasse, chez moi, ton apparence.

 .

Visuels et textuels  >>