773 – Lucy, je t’ai imaginée, en enfant, désirée

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.

Lucy, je t’ai…imaginée,

Non, en fée,  enchantée,

Mais, en  enfant, désiré,

D’un père,  fort charmé,

De t’accueillir dans bras

Et, prendre soin, de toi !

 .

Lucy, je t’ai … imaginée,

Avec  tes yeux, bleus, née,

Dans leur  lumière  irisée,

Miroite, ton âme, pâmée.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

En double de ma pensée,

En guide  de ma féminité

Jusqu’à l’être …   à l’orée.

 .

Lucy, je t’ai  … imaginée,

Lors  union,  consommée,

Entre  mon désir, projeté,

Et ta promesse de réalité.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Pour incarner,  ton père,

Toute sa poésie,  entière,

Encore plus, l’illuminer.

 .

Lucy, je t’ai… imaginée,

Je t’ai même …  réalisée,

Et, je te regarde grandir,

Avant te regarder partir.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Comme   vraie  merveille,

Qui tinte,  à mes oreilles,

T’écoute  sans me lasser.

 .

Lucy, je t’ai… imaginée,

Grain de folie et amorce,

D’un lien et qui me force

A t’aimer …  t’imprimer.

.

Lucy, tu as bien grandie,

Tu ressembles  à ton père,

Autant en grâce à ta mère

Mille fois,  encore : merci.

.

.

Extensions

 .

Lucy, je t’ai imaginée,

Comme une princesse avisée

Qui connait le cœur des hommes

Et sait le faire vibrer d’un sentiment

Véritable à ton endroit.

.

Lucy, je t’ai imaginée comme

Lumière que tu es, éclairant à souhait

Les zones d’ombres cachées pour me révéler

Tel que je suis, tel que j’étais,  tel que je serai.

.

Lucy,  je t’ai imaginée  comme  un rêve  éveillé,

Avec ton sourire amusé et rire à gorge déployée

Par ta frénésie de vie, et ta fraicheur  de cœur.

.

Lucy, je t’ai imaginé, au point  que tu es née,

Non pas de moi, mais d’une amie, à qui tu

Ressembles, mais autant, tu me sembles

Hériter de moi comme esprit commun.

.

Lucy, je t’ai imaginée, jeune fille éplorée

Par  tes échecs amoureux,  puis  illuminée

Par un autre, le vrai, le seul, est-ce le dernier.

.

Lucy, je t’ai imaginée, entouré de trois enfants

Dont une fille, qui reprend tes traits et ton air

D’amabilité, de spontanéité et d’intelligence.

.

Lucy, je t’ai imaginée, en grand- mère avec

Tes sept  petits-enfants et, toujours, aussi

Vivante, pétillante, comme si le temps

N’avait de prise sur toi, ta destinée.

.

Enfant désiré est enfant qui danse

La valse de la vie, qu’il a, devant lui,

Et qui lui parait mouvement… éternel

Tant qu’il ne maîtrise pas bien le temps,

Lors il s’arrête, c’est pour lui d’en sourire.

.

Je me suis dit, parfois, qu’il faut

Laissé Lucie faire ce qu’elle veut,

À part ne pas se rendre en enfer,

Alors qu’elle vit dans un paradis.

.

Je le dis sans hésiter, je la connais

C’est la fille d’une amie … qui sait,

Que son prénom lui portera chance

Comme lumière et non en obscurité.

.

En vérité, grandissante, il  s’est avéré,

Qu’elle porte plus que bien son prénom

C’est à croire  qu’il lui était  prédestiné !

.

.

Épilogue

.

Lucy est, est-elle-même, et en tous points semblable

À des milliers d’autres filles

Elle s’est faite désirer  par ses deux parents, un seul,

Elle dépendra de leurs soins.

***

 Lors je dis  soins, j’inclus  en eux : tendresse, amour

Sans  lesquels  elle  ne  grandira

Faute d’avoir contacts charnels, paroles spirituelles,

Elle ne peut que s’isoler, s’étioler.

***

Le choix du prénom revêt pour elle son importance

Déjà les sons, puis significations

Lucy comporte, en elle, deux diphtongues… douces

Et signifiera  plus tard : lumière

***

Lumière, d’accord, pour intelligence et Lucie faire,

Mais  aussi  force  de caractère

Tant ne se construit qu’en s’opposant aux parents,

Traitée,  lors ado, de  Lucifer !

***

Forme féminine de Luc, Lucy reste indépendante,

Comptera que sur elle-même.

 Elle assume ses choix, ne restera en ambigu, flou,

Pour parents, c’est déjà ça !

.

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773 – Calligramme    

 .

Lucy, je t’ai…imaginée,

Non, en fée,  enchantée,

Mais, en  enfant, désiré,

D’un père,  fort charmé,

De t’accueillir dans bras

Et, prendre soin, de toi !

.

LUCY,

Lucy, je t’ai … imaginée,

Avec  tes yeux, bleus, née,

Dans leur  lumière  irisée,

Miroite, ton âme, pâmée.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

En double de ma pensée,

En guide  de ma féminité

Jusqu’à l’être …   à l’orée.

JE T’AI

Lucy, je t’ai  … imaginée,

Lors  union,  consommée,

Entre  mon désir, projeté,

Et ta promesse de réalité.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Pour incarner,  ton père,

Toute sa poésie,  entière,

Encore plus, l’illuminer.

IMAGINÉE

Lucy, je t’ai… imaginée,

Je t’ai même …  réalisée,

Et, je te regarde grandir,

Avant te regarder partir.

.

Lucy, je t’ai … imaginée,

Comme   vraie  merveille,

Qui tinte,  à mes oreilles,

T’écoute  sans me lasser.

ENFANT

Lucy, je t’ai… imaginée,

Grain de folie et amorce,

D’un lien et qui me force

A t’aimer …  t’imprimer.

.

Lucy, tu as bien grandie,

Tu ressembles  à ton père,

Autant en grâce à ta mère

Mille fois,  encore : merci.

DÉSIRÉ 

.

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Forme

Réduction

.

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Évocation 

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773 4

.

Chaque enfant fait

Partie  d’une  chaine

Génétique héréditaire,

Mais, imaginé, désiré !

.

Chaque enfant fait

Partie  d’une  chaine

Génétique héréditaire,

Mais, imaginé, désiré !

.

Lucy sera née comme pur fantasme

D’enfant avec sa série de qualités.

Chaque enfant qu’on a ou a été,

Espérons-le imaginé, désiré !

.

Symbolique 

.

Au moment

De la naissance

De l’enfant réel

Une confrontation va s’opérer

Avec l’enfant imaginé.

.

Le baby blues est un état dépressif

Qui va durer quelque jour ;

Il va s’agir de faire le deuil

De l’enfant que l’on a imaginé

Pour que l’enfant réel l’emporte.

.

L’enfant va naître forcément différent

De celui que ses parents avaient imaginé.

À la rencontre entre l’enfant réel et imaginaire,

Les parents vont élaborer tout un processus de deuil

De leur enfant idéal,  qui va leur permettre d’accueillir

Leur enfant réelet de l’aimer tel qu’il est, pour lui-même.

psyparinternet.fr/blog/26-L-enfant-imaginaire-et-l-enfant-reel

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.

Fond

 .

Descriptif

.

773 – Lucy, je t’ai imaginée, enfant désiré  

  Alignement central / Titre  analogue / Thème  projection

Forme anneau /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : imaginé / Symbole de fond : désiré

.

Évocation 

.

773 6

.

Lucy sera née comme pur fantasme

D’enfant avec sa série de qualités.

Chaque enfant qu’on a ou a été,

Espérons-le imaginé, désiré !

.

Symbolique 

 .

Que l’on se voit bébé,

Père ou mère d’un bébé,

Ou bien encore en train d’assister,

Voire de vivre soi-même un accouchement,

Désirer bébé est un rêve très fréquent.

Mais, il se trouve, plus souvent, chez

Les rêveuses  que  chez  les  rêveurs.

.

Les  raisons  en  sont  évidentes  tant

La maternité a à voir avec la grossesse

Ce rêve  est-il, pour autant, à interpréter

Comme un désir d’enfant, de parentalité ?

Vous pensez cela lié à  l’instinct de maternité,

Parfois très contesté ? Oui, mais pas seulement.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un enfant est, le plus souvent, le fruit d’un rêve

Après un garçon, quoi de plus naturel que fille,

Ce dès la conception, on y pense : alea jacta est

Quelques parents le découvrent, lors naissance

Plus tard, lui procureront attention différente

Sans compter les soins, relations, l’éducation

Une fille n’est pas élevée comme un garçon

Souvent le père lui accorde préférence

Qui demeure parfois toute sa vie !

 .

.

Enfant imaginé, désiré, fusionné, cajolé

.

Scénario

.

Lucy serait une enfant des plus espiègles,

croquant en  la vie, à pleine dent et couettes,

et qui entrera bientôt dans la ronde des grands.

 .

Visuels et textuels >>

384 – Voyager sans jamais partir de chez soi

Visuels et textuels  >> 

.

^

Voyager

Tout en lisant,

Voyager en écrivant,

Voyager, en  écoutant,

Voyager … en regardant,

Sont  quatre  propositions

Possibles, et   de  chez   soi.

On peut voyager,  en sa tête,

Sans bouger ses petits pieds,

Voyager par livres interposés,

Si ce n’est  par cinémas, télés,

En spectateur, non  en acteur

À moins de prendre la plume.

.

Mais, cela plus que certain que l’on n’arrivera pas

Exactement aux mêmes endroits que l’on décrira,

Ni avec les mêmes, ou surprenantes, impressions,

Et, encore moins les mêmes sensations, émotions.

.

Qui dit voyage, dit  déplacement  et dit  action,

Jamais, au  repos,  contemplation : inventions,

Cela peut s’appliquer à l’espace  et au moment,

Mais comment se déplace-t-on  dans le temps !

.

De ma chambre, maison, jardin, voire cabane,

Qui peut m’empêcher  de  feuilleter  les photos

D’albums de famille  où je  serais  le plus beau,

Me rajeunissant en des airs d’enfant diaphane.

.

Tous les amis que j’aurai rencontrés, jusqu’ici,

Lors partis au loin, m’envoient quelques échos

De leurs pays, que, je ne  visiterai pas de sitôt,

Mais que je projette bien à travers leurs écrits.

.

J’aime voyager, à travers les films, ou les livres,

Rester chez moi autant de temps, argent gagné

Bien que, le vrai souvenir  rentre  par les pieds.

A-t-on souvent envie de revenir le contempler !

.

Voyager est, en soi … autant qu’autour  de soi !

Faire le tour de France prendra plus d’un mois,

Faire le tour du monde, presque sa vie, entière,

Ici je voyage à travers l’espace et à travers hier.

.

..

Extensions

.

Il est des écrivains célèbres qui auront écrit

Romans d’aventures sans sortir de bibliothèque !

D’autres, allant vérifier, le moindre  détail, sur place

Avant de le reporter par écrit, inspirés durant le voyage

Et d’autres, prenant des notes pour mieux écrire après.

.

Il est des écrivains, se fiant à leurs propres émotions,

D’autres, qui s’en méfient, voire même, les renient.

Rendre compte de que l’on voie et ce que l’on vit,

De ce qu’on veut transmettre, faire comprendre

Est exercice périlleux en soi, quoiqu’il en soit.

.

Avec talent ou sans,   avec émotion ou sans,

Avec certaines précisions  ou imprécisions,

Il restera témoignage des gens et des lieux

Que l’on a exploré d’une manière ou  autre.

.

Voyager sans partir de chez soi, est possible

Tout comme de ne rien relater de son voyage

En gardant tout pour soi, voyager pour relater

Est la troisième voie et la seule, que je pratique.

.

Voyager de chez soi, quoi de plus facile, commun, évident,

Par les livres, la télé, internet, téléphone, que sais-je encore.

Voyager, de l’Est  au grand Ouest  et du Sud   au grand Nord !

Notre imaginaire ne connait de limite, elle est extraterritoriale,

Et internalisée tout en même temps, en un point focus central.

Mais, croyez-moi ou pas : voir sur place est beaucoup mieux,

Il y a toute une foule de détails de vie que l’on ne capte pas

Par des fac-similés ne plongeant pas corps-esprit entier.

L’un n’empêchera l’autre, alors, pourquoi s’en priver.

.

Pensez-vous que Hergé soit allé

Dans tous les pays qu’il dessine.

Point, il n’est pas allé  au Congo,

Ni en Russie, ni au Tibet, Pérou !

.

Ça ne l’a pas empêché de devenir

Un des plus célèbres dessinateurs

Et servir de guide ou de référence

À bon  nombre de tintinophiles !

.

Aujourd’hui, avec facilité voyage

Les reporters dits sans frontières

Vont sur place,  se font éponges :

Ils prennent leurs notes/photos,

Et ils ont des articles ou livres

Qui passionnent beaucoup !

Il restera de irréductibles,

Par le roman,  la fiction,

Qui en font tout autant.

.

.

Épilogue

.

Voyager sur place est un oxymoron :

Voyager supposera des déplacements,

Sur place suppose qu’on ne bouge pas :

 L’affaire est close lors en contradiction.

***

Or attendez, sans en avoir l’esprit tordu,

L’humain n’est plus à un paradoxe près :

Sens, double sens, contre sens,  non-sens,

Lui permettent jeux de mots et l’humour !

***

On voyage, de toute façon, faisant un rêve,

Qui nous transporte sur sorte tapis volant :

On s’endort  en regardant une série, fiction,

On voyage en sa tête en permanence en fait.

***

Lewis Caroll qui a peu quitté sa bibliothèque,

Se distrayait de ses mathématiques avec Alice

Et au pays de ses merveilles nous fait voyager !

Il en sera de même d’autres auteurs, casaniers.

***

Pour écrire nombre fictions de voyages, l’endroit

Le plus adéquat, plus productif, voire imaginatif,

Sera le haut d’un phare, en mer, en son isolement

Pas une mouche ne vole, et pas de dérangements !

***

Bruits et dérangements, j’en connais plus qu’un peu

Chacun me perturbe quand j’en suis à mes écritures.

Grâce à dieu, je profite  de moments calmes, solitude,

Pour poursuivre, rechercher,  trouver, avancer, créer !

***

On me posera parfois cette question : c’est quand la fin !

En dehors de ma disparition, pourquoi y en aurait-il une !

Les artistes ne vivront pas tous de leur art mais en meurent,

C’est leur plus belle mort et en tous cas leur plus beau voyage.

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384 – Calligramme

 .

^

Voyager

Tout en lisant,

Voyager en écrivant,

Voyager, en  écoutant,

Voyager … en regardant,

Sont  quatre  propositions

Possibles, et   de  chez   soi.

On peut voyager,  en sa tête,

Sans bouger ses petits pieds,

Voyager par livres interposés,

Si ce n’est  par  cinémas, télés,

En spectateur, non V en acteur

À moins de prendre O la plume.

                     Y

Mais, cela plus que certain que     A  l’on n’arrivera pas

Exactement aux mêmes endroits     G    que l’on décrira,

Ni avec les mêmes, ou surprenantes,    E     impressions,

Et, encore moins les mêmes sensations,  R       émotions.

                                            *

Qui dit voyage, dit déplacement et   S   dit  action,

Jamais, au  repos, contemplation   A    l’invention,

Cela peut s’appliquer à l’espace    N     au moment,

Mais comment se déplace-t-on  S     dans le temps.

                  *

De ma chambre, maison,    P jardin, voire cabane,

Qui peut m’empêcher  de    A    feuilleter les photos

D’albums de famille où je     R    serais le plus beau,

Me rajeunissant en des airs    T  d’enfant diaphane.

                        I

Tous les amis que j’aurai rencon  R  trés, jusqu’ici,

Lors partis au loin, m’envoient quel  *    ques échos

De leurs pays, que, je ne  visiterai pas  D    de sitôt,

Mais que je projette bien à travers leurs E    écrits.

                                                   *

J’aime voyager, à travers les films, ou  C   les livres,

Rester chez moi autant de temps, ar  H  gent gagné

Bien que, le vrai souvenir  rentre     E  par les pieds.

A-t-on souvent envie de revenir   Z   le contempler !

                        *

Voyager est, en soi … autant    S    qu’autour  de soi !

Faire le tour de France pren    O   dra plus d’un mois,

Faire le tour du monde, pres    I     que sa vie, entière,

Ici je voyage à travers l’espace  !         et à travers hier.

.

.

Forme

Réduction

.

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Évocation 

.

384 4

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Tour carrée

Belle plateforme

Et lanterne lumière,

 Un phare comme média.

.

Voyager partout, virtuellement

tout en étant gardien de phare :

faut une bibliothèque et médias,

sinon forme n’évoque peu le fond.

.

On peut être enfermé longtemps

Dans un phare isolé de tout

Et voyager partout si l’on dispose

 Rares médias appropriés !

 .

 Symbolique 

 .

Les phares et leur

Fréquente situation isolée

Inspirent  nombre  d’imaginaires.

Ils sont présents dans la culture picturale

L’imaginaire littéraire et cinématographique.

Les phares maritimes ont été le premier moyen

Aux navires de repérer zone dangereuse, port.

Aujourd’hui, avec le système GPS moderne,

L’utilisation se raréfie mais ne disparait.

Il y a encore 1 500 phares maritimes

Encore en service dans le Monde.

Modifié, source : Wikipédia/phare

.

Descriptif

 .

384 – Voyager … sans partir de chez soi ?

Alignement central / Titre serpente / Thème  voyage

Forme droite/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : phare / Symbole de fond : médias

.

Fond

.

Évocation 

.

384 6

.

On peut être enfermé longtemps

Dans un phare isolé de tout

Et voyager partout si l’on dispose

 Rares médias appropriés !

 .

Symbolique 

 .

En première approximation,

Les médias concernent à la fois

Un aspect  technique : la presse,

Les ondes hertziennes,  satellites.

Et un aspect institutionnel (T.F. 1, 

L’ExpressNice-Matin, France Inter.

.

Selon  le  Petit  Larousse, ils  englobent

«Tout support de diffusion de l’information

(Radio, télévision, presse imprimée, livre,

Ordinateur, vidéogramme, satellite

De communication, etc.)

Constituant à la fois un moyen d’expression

Et un intermédiaire transmettant un message

À l’intention d’un groupe ».

universalis.fr/encyclopedie/

medias-sociologie-des-medias

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le mot voyage, a voyagé vers des sens dérivés

Le premier est aller d’un point A à un point B

Second, d’aller dans un lieu lointain, étranger

Troisième, faire une exploration ou découverte

Quatrième, un état halluciné, par des drogues !

À vous de faire le choix qui vous convient bien !

Voyager en ballon et revenir au point de départ

Est tourner en rond, mais pour son bon plaisir.

 .

.

Lecture, vidéo, ordi, virtuelle !

.

Scénario

.

Un voyage imaginaire en un pays imaginaire, en la page d’un livre,

mon canapé, ma bibliothèque, passion de lire, suffisent, contentent,

tout commence : par il était une fois, ailleurs qu’ici, et le reste suit !

 .

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