768 – L’enfant naît comme liesse des parents

Visuels et textuels >>

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches voire miséreux.

.

L’enfant  nait,  comme  une liesse,

Des  parents, qui  le reconnaissent,

Comme un  être encore prématuré,

Qu’il faudra bien sûr accompagner,

Maintenant et, toute sa vie, durant.

L’enfant nait comme une promesse,

D’une aventure,  et nouvelle adresse

De soins  et  d’amours  à  dispenser,

De craintes  voire  espoirs  à cerner,

Ce n’est pas  qu’une  page  blanche :

Ce  ne  sera  pas, non plus, un  ange.

.

L’enfant nait comme tempérament,

Se transforme au contact de parents

En caractère qui s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont  que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera soutenu et toujours,

Et qu’il est fruit d’un très bel amour

Enfant nait en ayant un beau destin

Que, peu à peu, et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres, son propre chemin,

Et  ce, jusqu’à ce qu’il le sente bien,

Parents  sont  ainsi  récompensés !

 .

Quoi, de plus beau, que  de donner

La vie sinon que de la transformer

En valeurs,  en bonheurs, en arme

Pour se défendre contre vacarme

Du monde lors quittant le cocon

Familial, où  tout  tourne rond.

Enfant, que je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles,  déjà,

Fait rire le frère anguille,

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

.

Extensions

 .

L’enfant nait comme liesse,

Et de parents qui l’ont désiré,

Et qui ne pensent qu’à le choyer

Comme le plus beau des cadeaux

Que la nature a offert pour passer

Le restant de leur vie sur la Terre.

.

L’enfant rendra, toujours, ce qu’on

Lui donne, d’une manière ou autre

En présence, en soins, attachement,

Amusement, bien avant qu’il soit grand,

Et longtemps après avoir quitté ses parents.

.

Il ne le donne pas en argent mais en sentiment,

En attachement, partageant enfants petits-enfants.

.

L’enfant ne saura pas qu’en naissant,

Il fait une  joie immense à ses parents,

Il se contentera  d’être là,  l’air  content,

Comptant  sur eux, mais, cela est animal,

L’un, l’autre comme son seul lien parental,

Qu’il ressent comme comportement normal.

Cette relation, de totale confiance, le grandit.

Il ne le sait pas bien  encore, mais il y souscrit,

Et si on le laisse seul, on l’abandonne, il dépérit.

.

L’enfant est loin d’être une page blanche

Ne serait-ce que par génétique, hérédité !

.

Ensuite il reconnaitrait la voix de sa mère,

Il a déjà quelques expressions, émotions !

.

Ensuite il décode la joie  de ses parents,

Comme un bien être très réconfortant.

.

Ensuite, il criera  quand il aura faim,

Il pleurera en cas de gêne, abandon.

.

Enfin, il observe tout l’entourage,

Sans compter l’environnement.

.

.

768 – Calligramme   

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches, voire miséreux.

.

L’enfant nait, E    comme une liesse,

Des parents,  N   qui  le reconnaissent

Comme un   F   être encore prématuré

Qu’il faudra  A   bien sûr accompagner

Maintenant    N  et toute sa vie durant.

L’enfant nait     T       comme promesse,

D’une aventure      *      nouvelle adresse

De soins et d’amours     N    à dispenser,

De craintes et d’espoirs,   A      à cerner :

Ce n’est pas qu’une page    I      blanche :

Ce ne sera pas non plus,   T      un  ange !

.

L’enfant nait comme   J     tempérament,

Se transforme au     O contact de parents

En caractère qui     I   s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont    E     que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera    *   soutenu et  toujours,

Et qu’il est fruit  D     d’un très bel amour

Enfant nait en    E  ayant un  beau destin

Que, peu à peu  S      et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres  *      son propre chemin,

Et ce, jusqu’à    P   ce qu’il le sente bien,

Parents  sont    A   ainsi  récompensés !

R  ….…..

Quoi, de plus  E     beau que de donner

La vie sinon   N que de la transformer

En valeurs,   T en bonheurs, en arme

Pour se dé  S fendre contre vacarme

Du monde *  lors quittant le cocon

Familial,    où  tout  tourne rond.

Enfant,  que  je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles, déjà,

Fait rire le frère anguille

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

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Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

768 4

.

Une forme étrange

 Comme une bactérie

Longue, et  oblongue,

Une graine, unicité ?

.

Une cellule, fécondée, unique,

qui se divise en deux, plusieurs

donnant naissance au meilleur

la forme épousera bien le fond

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus.

Il y a loin d’une unicité

Cellule à des milliards, pour l’humain !

 

Symbolique 

 

Pour mère nature,

L’essentiel est la graine,

Des graines ou des noyaux.

Du  point  de  vue  symbolique,

La graine, le noyau, c’est l’esprit.

La chair, c’est l’espace  pour  l’âme

Lors la peau, l’enveloppe matérielle,

Le corps physique, qu’on voit, touche.

L’homme  véritable n’est  pas  le corps

Mais ce point imperceptible qui est là,

Quelque part au-dedans et qui pense,

Qui aime, qui crée et qui vit sa vie.

groups.google.com/forum/#!

topic/francom.esoterisme

.

Descriptif

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768 – L’enfant nait comme joie des parents 

  Alignement central   /  Titre  serpente  /  Thème  enfant

Forme en ovale /  Rimes égales  / Fond  approché de forme

Symbole de forme : graine / Symbole de fond : unicité

.

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Fond

 .

Évocation 

.

768 6

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus !

Il y a loin d’une unicité

De cellule à des milliards, pour l’humain !

  .

Symbolique 

.

Le problème des rapports

De l’appareil neuropsychique

Avec le tout de tout l’organisme

Serait maintenant clairement posé

Grâce aux progrès ayant été réalisés

Dans recueils des connaissances des

Communication s… intercellulaires.

En dépit de la complexité  des liens

Qui unissent les milliards de cellules

Constituant  le corps de l’être humain.

Les  deux  caractéristiques …  essentielles

Des êtres pluricellulaires sont unité, unicité.

Ces caractéristiques indissociables se retrouvent

À tous les niveaux et de structures  et de fonctions,

Que celles-ci soient ou non qualifiées de psychiques,

Que l’on considère l’organisme simplement comme

Un ensemble intégré ou comme une personne.

cairn.info/l-homme-fou–9782130461623-page-151

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

.

En culture biologie, il n’y aura pas

De bonnes ou de mauvaises graines

Il n’y aura que des graines tout court.

.

C’est l’homme si ce ne sont les animaux,

Qui les séparent et puis les sélectionnent :

L’enfant ne sera pas la graine,  sera est issu

De deux germes des parents, qui ont fusionné

Pour donner troisième germe mâle ou femelle,

C’est la loi de la nature qui prévaut et renouvelle.

 .

.

La joie au rendez-vous !

.

Scénario

.

Il est bien vivant, et curieux de tout, ce bébé,

ses parents sont, pour lui, des plus attentionnés,

et surtout sa mère qui ne tarit d’éloges à son sujet.

 .

Visuels et textuels >>

1084 – L’heure est à la peine, à l’ennui, repos, joie

Visuels et textuels >>

.

Une heure   en joie,

Une heure en peine

 Une heure avec  toi,

 Une heure, déveine.

.

Une heure de repos,

Une heure…d’ennui

Et bien trop fatigué,

Ou bien trop énervé.

.

Une heure  de  repas,

Ou heure  de sommeil

Chacune, lors un cycle

Quotidien sempiternel.

.

L’heure est à la peine ;

L’heure  est   à l’ennui ;

L’heure est … au repos,

L’heure est…   à la joie.

.

C’est  ce  que  je  me  dis

Chaque jour … semaine :

Chaque heure  est crédit,

Cela peut faire rengaine !

.

Heure, de travail,  de repas,

Pour gagner et se restaurer :

De sommeil : ne compte pas,

L’on dira que je n’y suis pas !

.

Si, chacun voit midi à sa porte,

De dormir est ce qui m’inspire,

 Où jours me restituent les nuits,

 Où rêves, ailleurs, m’emportent.

.

L’heure est à quoi…aujourd’hui,

Devinez : à tous ressourcements,

Que me soupirent poids des ans,

Avec, sans vous étonnamment !

.

.

Extensions

 .

Chaque heure du jour, a son action, sa communication, sa tonalité.

Une réunion d’une heure dure des plombes si on s’ennuie à mourir,

Lors un rendez-vous amoureux, un éclair, si passion nous nourrit.

Dans bien des domaines, domestique ou professionnel, l’on fait,

À peu de choses près, les mêmes choses aux mêmes moments.

On appelle cela, les tâches, communément  fort routinières.

.

Les heures  intéressantes, et marquantes, de la journée,

Sont celles  où l’on ferait  quelque chose   de différent

Avec des gens: sport, loisir, repas, soirée, ou sortie,

Nuit n’est pas exempte d’heures de joie ou peine,

Pour peu qu’on ressasse sa journée avec plaisir.

.

Ou que l’on se réveille en plein cauchemar.

Une heure de joie, sauvera une journée,

Une seule heure de peine, la gâchera,

Comme une rencontre, l’illuminer

Mais, dans autre, l’assombrir !

.

Quand on est bien avec quelqu’un,

Au petit matin, dans son lit, on cherche

À gagner une bonne heure de plus avec lui…

Quand on  est bloqué  dans un  embouteillage,

Au même moment … c’est une heure de perdue.

Celui qui a pris le train et aura pu dormir durant

Ce même temps en a gagné une sur son sommeil !

.

Une heure à la peine,

Une heure au repos,

Une heure à l’ennui,

Une heure   à la joie :

Tristesse  ou bonheur,

Sauf à rester passionné

Par une activité préférée,

Apportant le plus de joies.

.

Une heure, ce n’est rien,

Ce n’est pas grand-chose :

Jaune, noire, verte  ou rose,

Nous fait du mal ou du bien.

.

Une heure ne peut être avec toi,

Qu’une heure de grande … félicité,

Une heure en plaisir d’aimer, de joie,

Qui me procure un sentiment d’exister.

.

Une heure par ci, puis  une heure, par-là :

D’ennui, travail, repos, amour se cumulent,

Parfois, se combinent et, parfois, s’annulent

Une avec toi, suffit au bonheur, en tous cas !

.

.

Épilogue

 .

On peut passer chaque heure à suivre

En changeant d’état mental, émotion :

De la peine, à l‘ennui, au calme, la joie,

Fonction des contextes  ou événements.

***

Tout comme de sauter d’un pas japonais

À l’autre, pour traverser la pelouse verte,

Chaque élément résonne de sa substance

Indépendamment des autres ou presque.

***

La peine de perdre une heure à s’ennuyer,

Est compensée par la joie de se retrouver,

Le stress provoqué  par  travail harassant,

Sera oublié par l’heure de repos  ou sieste.

***

Cela me laisse à penser qu’aucune émotion

Ne dure longtemps, succédant, combinant,

Tout comme passer, d’un sujet  à  un autre,

Sans lien entre eux, sans aucune transition.

***

Acteurs seront des professionnels pour cela :

Ils parviennent à rire, pleurer sur commande,

Qui plus est avec forte impression de sincérité,

Comme si cela venait de l’intérieur, en illusions.

.

.

1084 – Calligramme

 .

L’HEURE EST À

Une heure   en joie,

Une heure en peine

 Une heure avec  toi,

 Une heure, déveine.

————————————————- Une heure de repos,

————————————————- Une heure…d’ennui

————————————————– Et bien trop fatigué,

————————————————– Ou bien trop énervé.

LA PEINE,

Une heure  de  repas,

Ou heure  de sommeil

Chacune, lors un cycle

Quotidien sempiternel.

L’heure est à la peine ; ——————————————————-

L’heure  est   à l’ennui ; ——————————————————

L’heure est … au repos, ——————————————————

L’heure est…   à la joie. ——————————————————

L’ENNUI,

C’est  ce  que  je  me  dis

Chaque jour … semaine :

Chaque heure  est crédit,

Cela peut faire rengaine !

—————————————————————- Heure, de travail,  de repas,

—————————————————————– Pour gagner et se restaurer :

—————————————————————–  De sommeil : ne compte pas,

——————————————————————  L’on dira que je n’y suis pas !

AU REPOS,

Si, chacun voit midi à sa porte,

De dormir est ce qui m’inspire,

 Où jours me restituent les nuits,

 Où rêves, ailleurs, m’emportent.

L’heure est à quoi…aujourd’hui, ——————————————–

Devinez : à tous ressourcements,  ——————————————-

Que me soupirent poids des ans, ——————————————–

Avec, sans vous étonnamment ! ———————————————

À LA JOIE !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1084 4

.

 Ce sont huit pas japonais,

En  quinconce, sur une

 Pelouse  bien plate

Et à préserver !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Pas japonais et pelouse ignorent

autant peine, ennui, repos, joie

sentiments humains, s’il en est,

aussi la forme n’épouse le fond

Des pas japonais pour avancer à cloche pied,

Quinconce, sur pelouse :

À chaque pas, j’ai le choix  entre être

À la peine, ennui, repos, joie.

.

Symbolique 

 .

Le pas japonais vient

Des jardins ……   japonais

Où il existe  depuis des siècles.

La fonctionnalité de ces structures

Était  de créer  des chemins  d’accès

En des jardins souvent gorgés d’eau.

.

Il a trouvé  une utilisation  en Europe

Car il permet de structurer un jardin

De  façon  naturelle  tout  en créant

Des  courbes  plus  harmonieuses.

.

Contrairement à l’allée en béton 

Ou un dallage serré, il délimite

 Un chemin tout en donnant

Une impression de marcher

Dans la Nature puisque les végétaux

Tapissent l’espace entre chaque pierre.

Greenastic.com/fiche/pas_japonais

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1084 6

.

Des pas japonais pour avancer à cloche pied,

Quinconce, sur la pelouse :

À chaque pas, j’ai le choix  entre être

À la peine, ennui, repos, joie.

.

Symbolique

.

Au fil des ans, les pelouses

Ont une tendance à mal vieillir.

Elles deviennent de moins en moins

Belles et se dégarnissent par endroits.

On aimerait  bien  pouvoir  les rajeunir,

Sans avoir à tout reprendre, tout refaire.

.

Il faudra  ressemer de la pelouse, oui  mais

De quelle manière faire voilà le problème ?

Elles se détériorent pour diverses raisons,

En tous cas, avant de regarnir gazon,

Il va falloir résoudre problème qui

A abîmé votre si  jolie pelouse.

conseils-coaching-jardinage.fr/

2012/08/comment-refaire-pelouse

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Les pas japonais, sur une pelouse,

Forment un sentier pour la traverser

Pour éviter d’écraser ses herbes tendres

Pour améliorer son esthétique, prétendre.

.

On pourrait les sauter à cloche-pied comme

Au jeu de la Marelle jusqu’au septième ciel,

Sans peine, sans ennui et même avec joie,

.

Ou se reposer sur l’un d’eux et méditer

Sur ces ilots, en mer de tranquillité, 

Avec écriteau défense de marcher.

 .

.

Successions : joie, peine

.

Scénario

.

Une heure à la peine, une heure à la fois

Une heure au repos à la peine, ou à la joie.

Une heure  à l’entrain, de la peine à la… joie.

 .

Visuels et textuels >>

1077 – Quand j’ai le sang chaud, mon sang bout

Visuels et textuels >>

.

Allez savoir pourquoi

Sang bout,     chaque fois

Que je vois,       t’aperçois !

Me mets en tous mes états,

Jusqu’à en perdre  ma voix.

.

Je n’ai  même  pas  le choix,

Sinon, je bégaie, aux  abois :

Reviens donc une autre fois,

Je garderai mon sang-froid !

.

Quand  j’ai  le  sang  chaud,

Mon sang bout ;

Quand j’aie  le  sang-froid,

Mon sang tue ;

Quand  j’ai le  sang tiède,

Mon sang sue !

.

Quand j’ai le sang mort,

Mon sang tort ;

Quand je le sens…mal,

J’en conviens ;

Quand je le sens fatal,

Je me retiens ;

Quand je ne sens rien,

Je m’abstiens ;

Quand je le sens bien,

J’y reviens !

.

Quand je le, sans toi,

C’est l’effroi ;

Quand je le sous moi,

C’est l’émoi ;

Quand je le, pour toi,

C’est ma joie ;

Quand je le, pour moi,

T’es ma proie !

.

Quand j’aurai cent franc

Je suis nu ;

Quand j’aurai cent mille,

Suis aux nues ;

Quand j’aurai cent torts,

Le tort tue ;

Quand j’aurai cent blanc,

Blanc battu !

.

Quand je, s’en viendra,

Serai là :

Quand je,  s’entichera,

Baisera ;

Quand je s’entendra,

Restera ;

Quand je s’en ira,

Plus là ! 

.

.

Extensions

 .

Le sang chaud, ou le sang froid

Sont expressions un peu exagérées,

Le sang ne change pas si facilement

Ni soudainement de température.

Même si, sur le coup de forte fièvre,

Il peut augmenter de quelques degrés,

Parler de chaud, froid, est sens figuré !

.

La suite : « sens mort, sans tort, etc. »

N’est qu’une série  de jeux de mots

En recherche de sens et de rimes

Qui vont bien ensemble avec le

«Je» qui répondrait au «jeu»

Pour accentuer son effet de

Répétition ou  de scansion.

.

Au final «je s’en ira, plus là

Ainsi se finirait ma chanson

Mais quel qu’en soit la raison,

L’absence de l’autre est définitive !

L’absence de sens est aussi embêtante,

Sinon plus, car l’absurde n’est pas loin

Et vous guette au premier tournant !

.

Quand j’ai le sang chaud…Sancho,

Sancho Panza, pense  à tout, sauf :

Il s’agit bien, ici, d’un jeu…de mots

Où je ne trouve aucune rime  en auf.

Faut-il que  je m’adresse  au maître :

Don Quichotte, conçu  par Cervantès,

Ou m’en tenir à un quoi, ou qu’est-ce,

En attendre  la réponse  de son cheval,

Mon sang bout : j’entends Monsanto !

.

Le sanguin est un être  optimiste et social :

Une personne chez qui le sang prédomine,

Lié à l’élément air : sens chaud et humide.

.

Colérique est un être coléreux et irritable :

Correspond à la bile, liée à l’élément feu

Et aux caractéristiques du chaud et sec.

.

Mélancolique est être analytique et calme :

Est lié à bile noire, liée à l’élément terre

Et aux caractéristiques du froid et sec.

.

Flegmatique est un être détendu, paisible :

Est lié, essentiellement, à l’élément eau,

Aux caractéristiques froid et humide.

D’après un article dans Wikipédia

.

.

1077 – Calligramme

 .

L O R S   J ’ A  I

Allez savoir pourquoi

Sang bout,     chaque fois

Que je vois,       t’aperçois !

Me mets en tous mes états,

Jusqu’à en perdre  ma voix,

Je n’ai  même  pas  le choix,

Sinon, je bégaie, aux  abois :

Reviens donc une autre fois,

Je garderai mon sang-froid !

.

L E  S  A  N  G  C H A U D,

Quand  j’ai  le  sang  chaud,

Mon sang bout ;

Quand j’aie  le  sang-froid,

Mon sang tue ;

Quand  j’ai le  sang tiède,

Mon sang sue !

Quand j’ai le sang mort,

Mon sang tort ;

Quand je le sens…mal,

J’en conviens ;

Quand je le sens fatal,

Je me retiens ;

Quand je ne sens rien,

Je m’abstiens ;

Quand je le sens bien,

J’y reviens !

Quand je le, sans toi,

C’est l’effroi ;

Quand je le sous moi,

C’est l’émoi ;

Quand je le, pour toi,

C’est ma joie ;

Quand je le, pour moi,

T’es ma proie !

Quand j’aurai cent franc

Je suis nu ;

Quand j’aurai cent mille,

Suis aux nues ;

Quand j’aurai cent torts,

Le tort tue ;

Quand j’aurai cent blanc,

Blanc battu !

Quand je, s’en viendra,

Serai là :

Quand je,  s’entichera,

Baisera ;

Quand je s’entendra,

Restera ;

Quand je s’en ira,

Plus là ! 

MON SANG BOUT  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1077 4

.

Une longue vis, autoperforante,

Un écouvillon pour une bouteille

Ou un bracelet  pour une montre,

Ou brosse à cheveux de femme.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

La brosse à cheveux et le sang chaud

ne se mêlent pas facilement ensemble

malgré leur longueur, force, couleur,

et ainsi leur forme ignore leur fond.

.

La brosse à cheveux ronde et à picots :

Est-ce le meilleur choix

Pour tous les types de cheveux, surtout

Ceux qui sont longs et raides.

.

Symbolique 

.

La brosse est un

Style de coiffure simple

Pour dresser les cheveux

Verticalement sur la tête.

Cette coiffure  nécessitant

Des cheveux  plutôt lisses,

Un minimum de longueur

La coupe reste réalisable à

L’aide de  bon gel coiffant

Terminée avec un séchoir,

Coiffé arrière plusieurs

Fois en les mouillant.

Wikipédia : brosse

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1077 6

.

La brosse à cheveux ronde et à picots :

Est-ce le meilleur choix

Pour tous les types de cheveux, surtout

Ceux qui sont longs et raides.

.

Symbolique 

 .

L’ennemi  des filles, aux  cheveux  bouclés :

Est sans nul doute la brosse à cheveux.

Cette dernière offre peut-être l’avantage

De démêler votre tignasse, mais, elle a

L’inconvénient de casser vos boucles.

.

Résultat : vous vous retrouvez avec

Une masse  de  cheveux  mousseux

En plus, partant en tous les sens.

.

Pour ça, mieux vaut  privilégier

Une brosse en poil  de sanglier,

Ces dernières sont plus douces

Et abîment moins les cheveux.

Source : www.cosmopolitan.fr/

quelle-brosse-pour-mes-cheveux

 

 

Corrélations

Fond/forme 

 .

À quoi pense-t-on en se brossant les cheveux :

À son, ou ses humeurs : humeur rose, morose,

La tête plein de vide, de rêveries  ou de choses,

Nous tracassant, pouvant nous gâcher la vie,

Mais des fois à quelques sensations sensuelles

Se faire brosser les cheveux ne le serait-il pas

Tant leur soyeux, leur souplesse, leur brillant

Évoquent un mélange de douceur et d’allant.

 .

.

Chaud bouillant comme étalon !

.

Scénario

.

Quand j’ai le sang chaud,  jusqu’au bout des doigts,

et que ma peur s’enfuit, reste loin derrière moi,

mon sang bout, mes iris s’éclatent, je me sens rougir.

 .

Visuels et textuels >>

1028 – A chaque jour, ses joies, ses peines

Visuels et textuels  >>

.

Et si, à chaque jour, suffirait sa peine,

Que dire, alors, de joie, quotidienne :

Qui peut  la compenser, la sublimer,

Lui permettant de se  rééquilibrer !

.

Mais, parfois, trop occupé  à foncer

Dans des activités diverses variées,

On a pas le temps de penser, rêver,

On fait tout trop vite, mal et crevé.

.

Nous sommes mortels et fragilisés,

Par tout ce qui pourra nous arriver

Autant en bien, qu’en mal, certifié :

Un jour de joie est un jour de gagné.

.

À  chaque jour  …. ses joies et peines

En se  levant, travaillant, se couchant,

À ne regarder  que  le temps  qui  passe

Si rien ne vous délasse, ….  il vous lasse.

.

Grande  mode : aujourd’hui, c’est  faire

Plusieurs choses à la fois, hyper-occupé,

Nous sommes pour ne plus avoir à penser

Que nous sommes  êtres mortels, fragilisés.

.

La réussite, avant tout,  avec le prix à payer,

Pour y arriver  et mettre le turbo et le garder,

Y compris pour faire l’amour : temps compté,

D’être  efficace en tout et ne rien se reprocher.

.

Aucune peine  ne dure, aucune joie, non plus :

Parfois elles reviennent, mais l’on en peut plus,

De passer de l’une à l’autre  comme déboussolé

En monde qui va trop vite  sans jamais s’arrêter.

.

À chaque jour,  ses peines, chaque jour, ses joies :

Il n’y a pas que soi à jouir    ni à souffrir, ce jour-là ;

Le bonheur se joue à  deux  et même parfois, à trois.

Le capter reste un art où rien ne serait dû au hasard.

.

.

Extensions

 .

L’imprévu, l’inattendu, le malvenu

Font irruption dans notre vie et qui plus est,

De temps en temps, au mauvais endroit, au mauvais moment.

Par définition, on ne peut les prévoir, les anticiper, les éviter :

Le risque zéro n’existant pas, en dépit d’assurances multiples

Et variées, la sagesse pousserait à les digérer et à s’en relever

Si c’est la peine,  c’est la défaite ; et, si c’est la joie,  la fête !

Et s’il n’y avait pas l’une, l’on n’apprécierait moins l’autre.

Supporter sa peine, à deux, ne la diminue pas de moitié,

Mais d’un peu alors que la partager la double aisément.

Nos  émotions  nous conditionnent  avec  les nouvelles

Que l’on nous serine sur les radios, télés ou journaux

Toujours les mêmes une journée, du matin au soir.

Notre humeur en ferait de même et jusqu’à que

Le sommeil transforme, annule, ou relativise

De même d’une semaine, mois, saison.

.

Je peine à profiter de ma joie, tant elle est passagère

À prendre la distance de ma peine, tant elle est austère :

Changer d’air, changer de manière, changer d’atmosphère

Me fait du bien car quel que soit l’auteur ou la cause, je gère

Et, je ne demande, alors, rien d’autre, ni au ciel, ni à la terre !

 .

L’enfant  passe, facilement, du rire  aux larmes,

L’adulte passe difficilement de la peine à la joie,

Il y a comme un chemin parcouru,  un contrôle,

Qui fait que ses émotions seront moins directes.

.

On n’est pas à l’abri d’une variation d’humeurs,

Pour un oui, un non,   n’importe quelle raison :

Les hypersensibles en sauraient quelque chose

Eux qui sont des écorchés vifs ou  exubérants.

.

Puis il y aura l es cyclothymiques, bipolaires,

Qui seront tout excité, et puis, tout déprimé,

Et les sages ou les stoïciens, dures à la peine

Qui font taire toute émotion, jugée inutile.

.

.

1028 – Calligramme

.

Et si, à chaque jour, suffirait sa peine,

Que dire, alors, de joie, quotidienne :

Qui peut  la compenser, la sublimer,

Lui permettant de se  rééquilibrer !

.

Mais, parfois, trop occupé  à foncer

Dans des activités diverses variées,

On a pas le temps de penser, rêver,

On fait tout trop vite, mal et crevé.

.

Nous sommes mortels et fragilisés,

Par tout ce qui pourra nous arriver

Autant en bien, qu’en mal, certifié :

Un jour de joie est un jour de gagné.

.

À  chaque jour,  …….  ses joies et peines

En se  levant, en travaillant, se couchant,

À ne  C regarder  que  le temps  qui  * passe

Si rien H   ne vous délasse, il vous     R   lasse.

Grande  A    mode aujourd’hui     U    c’est faire

Plusieurs  Q   choses à la fois    O  hyper-occupé,

Nous sommes  U   pour ne  J    plus avoir à penser

Que nous sommes   E      *  êtres mortels, fragilisés.

.

La réussite avant     *    tout,     *    avec le prix à payer,

Pour y arriver   S        et mettre le    S  turbo et le garder,

Y compris     E     pour faire l’amour,    E     temps compté,

D’être          S     efficace en tout et ne rien   N   se reprocher.

Aucune         *     peine ne dure, aucune joie   I           non plus,

Parfois elles   J       reviennent, mais l’on      E        en peut plus,

De passer de     O         l’une à l’autre           P comme déboussolé

En monde qui     I          va trop vite         * sans jamais s’arrêter.

À chaque jour,      E        ses peines    S   chaque jour, ses joies :

Il n’y a pas que soi   S    à jouir    E   ni à souffrir, ce jour-là ;

Le bonheur se joue à  * deux  S    et même parfois, à trois.

Le capter reste un art     *        rien n’est dû au hasard.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1028 4

.

Un vase pour fleurs,

Une tasse à café ou thé,

Ou encore  un encrier

Pour écrire poèmes ?

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de la forme)

.

Un vase ou une tasse s’éloignent,

un encrier s’en rapproche, si fait

qu’on peut écrire  joies et peines,

ainsi la forme évoquera le fond.

.

On ne sait pas, vraiment, ce qu’il y aura

Dans ce petit encrier :

Moitié de joie, moitié peine, chaque jour,

Mais toujours même plume.

 .

Symbolique

 .

Encriers

Se trouvent dès

L’Égypte   Antique

Les scribes spécialisés

Dans  l’écriture  utilisant

Des godets doubles  pour

Couleurs rouge et noire !

Les encriers se sont sans

Doute  répandus  dès la

Diffusion de l’écriture,

À l’encre, manifestant

Une grande diversité

De formes

Et de tailles

Tout en partageant

Comme point commun

Une   ouverture   réduite

Pour limiter l’évaporation.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1028 6

Changer l’image ici

.

On ne sait pas, vraiment, ce qu’il y aura

Dans ce petit encrier :

Moitié de joie, moitié peine, chaque jour,

Mais toujours même plume.

 .

Symbolique 

 .

Tantôt objet d’art,

Tantôt objet de collection,

Stylo plume est l’instrument

D’écriture par excellence.

Qu’il soit utilisé pour l’art

De la calligraphie, ou écriture quotidienne,

Stylo plume envoie un message symbolique fort.

C’est pourquoi il tient une place d’honneur

Dans les professions les plus nobles :

Avocats, docteurs, professeurs.

troisarchers.com/blog/

ecriture/ecrire-stylo-plume

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Tremper ma plume dans l’encrier,

Pour écrire une lettre amourachée

Qui, j’espère, la lisant, te fera  crier

De joie plus que de peine, arrachée.

.

L’on ne saura jamais quand on écrit,

Comment va être lue, reçue, répondue

Ou simplement non ouverte, retournée,

Ou voire perdue et en ce cas, non livrée !

.

.

Jours s’en vont, je demeure

.

Scénario

.

À chaque jour, ses peines, mais que l’on souhaitera éviter.

Si joies et peines se confrontent, lesquels l’emporteront ?

À chaque jour, ses joies, sur lesquels on peut s’appuyer.

 .

Visuels et textuels  >>

1005 – La joie de vivre existe : je l’ai expérimentée

Visuels et  textuels  >>

.

Joie de vivre, je l’ai  connue,

Lors étant enfant, je l’ai reconnu,

Lors adolescent et jusqu’à   présent.

.

La joie est gratuite  spontanée, fortuite,

En enfance elle est en plein mouvement

Intériorisée, lors l’inverse,  vieillissant.

.

Joie de vivre  reste une drogue  douce,

Qui à créer vous  pousse et ce jusqu’à

En devenir ivre  mais non ivre mort,

Ivre vivant, toujours renouvelée.

.

Joie de vivre existe,

Et même, en égoïste,

Maintes fois, désirée

Mais le plus souvent

Elle est contagieuse .

.

Joie sert de stimulant

En journée laborieuse

La joie produit en soi

Un parfum des émois

Qui modifie le temps

Absorbe mouvements.

.

Réenchantez le monde

Et le monde rechantera

En  humeurs  fécondes

Le temps qui  passera.

.

L’œuvre qui réalisera

Votre projet création,

Empreinte de  sa joie,

Fruit de votre passion.

.

Jours, tagués de croix

Inscrits traits   blancs,

Iront en augmentant

Sur l’agenda adéquat.

.

La joie de vivre excite,

La joie de vivre suscite

La joie de vivre profite,

Joie de vivre, se mérite.

.

Se mérite, et, comment,

En jouant,   simplement,

Pas se prendre au sérieux

Et toujours rester curieux.

.

Et  alors, tout irait mieux,

Fin  même   merveilleux :

Inaptes, aux joies, existe,

Si l’on vit en défaitiste.

.

.

Extensions

.

La  joie  de  vivre  existe,

Suffit la cultiver, comment :

Demeurant d’un tempérament

Optimiste  et caractère curieux.

Il y en a qui  ne  parviennent  pas

À gouter  les situations  où tous les

Gens qui les entourent  sont heureux.

Il suffit d’un rien,  un coucher de soleil,

D’un paysage montagneux, chant d’oiseau,

Du passage d’une biche, d’un vol de papillon

Ou de la pose d’une coccinelle sur sa peau.

La joie est l’antichambre du bonheur,

C’est elle qui ouvre la porte pour

Nous inviter à la rejoindre.

Quand la vie devient routinière,

Stressante, pénible, absurde, les souvenirs

Des moments joyeux et l’assurance qu’il y en aura

D’autres prochainement nous aidera à faire le lien,

À prendre le recul nécessaire pour ne pas sombrer

Dans la dépression, la mélancolie et à se réjouir

Par avance des nombreux moments de joie :

Une bonne bière à la terrasse d’un café

Avec des amis, une randonnée

Cadeau d’anniversaire

Est cadeau de vie.

.

Bonheur à la portée de tous,

Pour peu qu’on le veuille simple,

Fait  de  petites  choses, agréables,

Ou  de  sensations, indéfinissables,

Et  pas gourmandes, très humbles,

Mais qui nous rendent un peu fou

Tant en gestes qu’en mouvement

Etre heureux déjà, toute seule,

Etre heureux en compagnie

Etre heureux … à deux.

.

C’est le bonheur que ressent une personne à être en vie,

L’expression de sa confiance en soi, vitalité, optimisme :

Sa créativité et sa réflexion y contribuent… grandement.

.

Pour certains, il en faut beaucoup et pour d’autres, peu,

Or tout dépendra aussi de l’état où on se trouve, se plait

«Carpe diem» est sa devise et optimisme, son crédo !

.

Savoir saisir, pour soi-même ou pour autrui,

Ce qui survient  comme  par une chance,

Hasard heureux serait sa sérendipité !

Entre espérance, action, ouverture

D’esprit, une telle joie de vivre

S’apprend et s’entretient.

.

.

Épilogue

 .

Un bonheur, une joie de vivre, serait comme

L’élégance, faite de nombre détails en somme,

Mais  dont l’addition  ne suffirait, pour autant,

À dire, de quelqu’un, qu’il l’est ou pas, élégant !

 

***

 

Comme pour un texte philosophique ou profond

Il demandera, plus d’une forme d’interprétation :

L’élégance se lit sur les lignes, en plus entre elles !

 

***

Il ne suffit pas d’être beau,  il ne suffit d’être belle,

Faut-il, encore, le dégager, de soi et comme irréel.

 

***

Le bonheur est un parfum de joie qu’on diffusera.

 

***

Il est en soi, il est autour de soi,  il communique,

Et il vous rend, à la fois, élégant et sympathique.

 

***

Quel que soit sa coupe de cheveux, et vêtements,

Son sourire, flamme dans ses yeux les illuminent

Jusque dans ses gestes, grand bonheur  culmine.

 

***

Le bonheur, élégance, ne sont pas qu’apparences,

Tous deux proviennent de l’intérieur, conscience,

Changer de tenues ou se maquiller différemment,

N’étioleront pas lumière brillant en pur diamant.

.

.

1005 – Calligramme

.

Joie de vivre, je      l’ai  connue,

Lors étant enfant              je l’ai reconnu,

Lors adolescent et                      jusqu’à   présent.

La joie est gratuite                         spontanée, fortuite,

En enfance elle est                          en plein mouvement

Intériorisée, lors l’                        inverse,  vieillissant.

Joie de vivre reste                      une  drogue  douce,

Qui à créer vous                pousse et ce jusqu’à

En devenir ivre     mais non ivre mort,

Ivre vivant, toujours renouvelée.

*****************

*****************

¤¤¤ Joie de vivre        J                   existe, ¤¤¤

¤¤¤ Et même, en        O                 égoïste, ¤¤¤

¤¤¤  Maintes fois        I               désirée    ¤¤¤

¤¤¤ Mais le plus         E             souvent    ¤¤¤

¤¤¤ Elle est con         *           tagieuse    ¤¤¤

¤¤¤  Joie sert de       D      stimulant     ¤¤¤

¤¤¤  En journée       E     laborieuse    ¤¤¤

¤¤¤  La joie pro      *    duit en soi     ¤¤¤

¤¤¤  Un parfum      V     des émois    ¤¤¤

¤¤¤  Qui modifie     I      le temps     ¤¤¤

¤¤¤  Absorbe mou  V     vements.    ¤¤¤

¤¤¤  Réenchantez    R   le monde     ¤¤¤

¤¤¤  Et le monde     E  chantera      ¤¤¤

¤¤¤  En humeurs     *    fécondes     ¤¤¤

¤¤¤   Le temps qui   E   passera.     ¤¤¤

¤¤¤   L’œuvre qui    X réalisera     ¤¤¤

¤¤¤   Votre projet    I  création,    ¤¤¤

¤¤¤    Empreinte     S    de joie,   ¤¤¤

¤¤¤   Fruit de votre T   passion   ¤¤¤

¤¤    Jours, tagués  E  de croix    ¤¤

 ¤¤    Inscrits traits  *       blancs,   ¤¤

 ¤¤¤  Iront en aug    J    mentant ¤¤¤

¤¤¤  Sur l’agenda     E    adéquat. ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre  *       excite,  ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre   L       suscite  ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre     ‘        profite,  ¤¤¤

 ¤¤¤  Joie de vivre, se    A         mérite.  ¤¤¤

¤¤¤   Se mérite, et,     I      comment,   ¤¤¤

¤¤¤   En jouant,        *     simplement,   ¤¤¤

¤¤¤   Pas se prendre   V     au sérieux   ¤¤¤

¤¤     Et toujours rester  É     curieux.      ¤¤

¤¤     Et alors, tout ira      C   mieux,       ¤¤

¤¤¤    Fin même merveil    U    leux.     ¤¤¤

¤¤¤   Inapte, aux joies,    E   existe,    ¤¤¤

Si l’on vit          *  défaitiste.

.

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Forme

Réduction

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Évocation

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L’élégance d’une belle femme

Avec belle coupe de cheveux 

Qui lui agrandit toute sa tête

Comme un champignon ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

La joie de vivre tient parfois à un détail

l’élégance due à une coupe de cheveux,

qui fait gonfler le cœur, remuer sangs

si fait que forme accroche sentiment.

.

On devine un vrai bonheur :

Celui de la jeunesse, de l’insouciance,

De la beauté et de l’élégance

Rien que par une coupe de cheveux.

 

Symbolique de forme

 

Dans la vie sociale, l’élégance est

La qualité de celle  qui présentera une

Certaine grâce harmonieuse caractérisée

Légèreté, aisance en forme et le mouvement.

Dans le domaine du vêtement, de la mode,

Elle est l’un des objectifs  des couturiers.

.

Ce n’est pas  une question de moyens :

Si une tenue vestimentaire indiquera

Un statut social et un état d’esprit.

Une femme, par ses assortiments

Par compléments ou  retouches,

Est indiscutablement élégante.

wikipedia.org/wiki/elegance

.

.

Fond

 

Évocation

.

1005 6

.

On devine un vrai bonheur :

Celui de la jeunesse, de l’insouciance,

De la beauté et de l’élégance

Rien que par une coupe de cheveux

 .

Symbolique 

 .

Le cheveu exprime une 

 Symbolique très  profonde.

Racine portant nos mémoires,

L’antenne  qui nous relie au ciel.

.

Il est  aussi le « fil de notre âme ».

Le  lavage  du  cheveu  purifie  l’âme

Coiffage la forme, la module, la canalise.

.

Coupe de cheveux, quant à elle, structure

L’âme, sa limite, elle représente la coupure

Des racines de l’être, de ses mémoires,

De ses habitudes, de ses croyances,

De ses idées ou de ses pensées,

La taille de sa personnalité.

annie-masfaraud.com

/symbolisme

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

L’élégance serait faite de choses et d’autres :

Habillement, coiffure, maquillage, chaussure

Tout autant que  port de tête, allure, marche,

Un assemblage, une parure allant au visage

Coupe de cheveux mettant le tout en valeur.

Comme la joie de vivre illumine l’ensemble

Et nous donne un air  qui nous ressemble.

 .

.

Le bonheur explose

.

Scénario

.

 C’est sauter en l’air, les bras grands ouverts et dès le soleil levant,

c’est courir dans la nature et traverser des champs d’herbes folles,

c’est savoir aimer dans tous les sens du terme et pouvoir partager.

 .

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