400 – Changer de lieu, programme, activité

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Changer, c’est énergie de vie

Changer de ci, changer pour ça :

Mobilité   professionnelle, familiale

Pour   poursuivre, ou, recommencer !

.

Changer pour revenir   est parenthèse,

Changer  pour quitter  est  hypothèse,

D’un meilleur sort ou très différent

Limites, avantages précédents.

.

Ça procure …  vies multiples,

Certaines, doubles, triples,

Certaines, gens se perdront

Et  d’autres  se retrouveront.

.

Changer de lieux, programmes, activités,

De temps à autre, il faut se débrancher,

Être quelque autre  ailleurs un temps,

Équilibrer  ses rêves,  ses tourments.

.

Partir, pour ne plus jamais revenir,

Partir pour souffler, mieux devenir,

Partir sans savoir ce qui va…  venir,

Partir pour éclater d’envies d’en rire.

.

Autant de raisons et autant de façons,

De rompre avec son quotidien  ronron,

Prendre recul nécessaire… pour de bon,

Avant d’en arriver à péter  …  les plombs.

.

Partir seul, couple en famille, en amis,

Partir avec d’autres  inconnus, ennemis,

Partir droit devant à l’instinct, l’aventure,

Partir pour se réfugier  en   sauvage nature.

       .

Juge de paix qu’un court qu’un long séjour,

Qui mettrait en une balance, tous nos amours,

Avec des alternances entre retour et non-retour,

Et nombre plaidoyers de jamais contre toujours.

    .

Et  puis,  un  beau  matin,  en  pleine  lumière,

Un destin nous ferait signe pour nous avertir

De rester, aller plus loin et voire de revenir.

Aujourd’hui n’est  pas demain, et fini hier

.

C’est ainsi que liberté choisie, conquiert

Une vie, pour la rendre plus attachante

À nos yeux aux yeux  de  tous  et  fier

D’elle nous  serons comme amante.

.

Extensions

.

La routine est le pire des pièges

Car elle nous enferme bien  dans

La répétition toujours du même

Et sans pouvoir la maîtriser.

.

Rompre la routine permet

De  prendre  du  recul

Par   rapport  à   elle,

Par rapport à soi-même,

À sa dépendance aux autres

Et  à  ses  propres  obsessions.

Partir ailleurs, faire autre chose,

Avec d’autres gens ou seul fait partie

D’une bonne hygiène de vie et de l’esprit ?

.

Partir crée une rupture dans le ronronnement

Du quotidien et laisse des souvenirs, des marques

Sur le calendrier, d’un avant et d’un après.

S’évader est  nécessité, serait-ce que pour respirer,

Se ressourcer : « va-t’en ailleurs prendre l’air,

Ça te fera du bien » et l’on rajoute ; « à moi aussi !»

.

Je ne suis pas pour le changement pour le changement

Sinon ce ne serait rien d’autre qu’une pure fuite en avant

Qui se terminerait par un retour en arrière en l’économie,

Sans compter de cultures diversifiées ou pire, d’humanité.

Le changement est nécessaire et bénéfique, s’il a été pensé

Sinon ce n’est autre que  de l’énergie, argent mal dépensé.

Avant de changer pensez-y et faites-le,  le monde a bougé

Avec ou bien sans vous et il ne vous aura guère attendu,

Rien qu’à le regarder, sans rien faire, vous serez déçus.

.

La vie n’est pas que mouvement

Elle est tout autant changement

Changement de lieu et de temps,

Changement relations, d’amant !

.

Changer pour changer ne fait rien,

Pour quelque chose faisant du bien,

Pour quelque chose vers nouveautés,

Pour s’adapter au monde déstabilisé.

.

Changer est plus facile à dire qu’à faire

Il y a des choses, dont il faut  se défaire :

Si on a le restant de sa vie  pour se refaire,

Il reste que notre vie se doit nous satisfaire.

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

 .

Changer, c’est énergie de vie

Changer de ci, changer pour ça :

Mobilité   professionnelle, familiale

Pour   poursuivre, ou, recommencer !

Changer pour revenir   est parenthèse,

Changer  pour quitter  est  hypothèse,

D’un meilleur sort ou très différent

Limites, avantages précédents :

Ça  procure …  vies multiples,

Certaines,  doubles,  triples,

Certaines, gens se perdront

Et, d’autres, se trouveront.

.

Changer de lieux, programmes, activités,

De temps à autre, il faut se débrancher,

Être quelque autre  ailleurs un temps,

Équilibrer  ses rêves,  ses tourments.

.

Partir, pour ne plus jamais revenir,

Partir pour souffler, mieux devenir,

Partir sans savoir ce qui va…  venir,

Partir pour éclater d’envies d’en rire.

.

Autant de raisons et autant de façons,

De rompre avec son quotidien  ronron,

Prendre recul nécessaire… pour de bon,

Avant d’en arriver à péter  …  les plombs.

.

Partir seul, couple *       P en famille, en amis,

Partir avec d’autres  *      R  inconnus, ennemis,

Partir droit devant à  *      O l’instinct, l’aventure,

Partir pour se réfugier  *     G  en   sauvage nature.

        C     R

Juge de paix qu’un court   H      A      qu’un long séjour,

Qui mettrait en une balan   A       M   ce, tous nos amours,

Avec des alternances entre  N        M   retour et non-retour,

Et nombre plaidoyers de     G          E jamais contre toujours.

    E             *

Et puis, un beau ma         R                A    tin  en  pleine lumière,

Un destin nous ferait      *                   C    signe pour nous avertir

De rester, aller plus       D                     T     loin et voire de revenir.

Aujourd’hui n’est        E                         I    pas demain, et fini hier

*…….                    V    ….

C’est ainsi que         L                               I    liberté choisie, conquiert

Une vie, pour         I                                  T    la rendre plus attachante

À nos yeux            E                                   É   aux yeux  de  tous  et  fier

D’elle nous            U                                   S  serons comme …. amante.

.

Forme

..

Évocation

.

Une tour ou phare maritime

Ou un moulin à sel ou à poivre

Ou une silhouette d’un marcheur

Change en mobilité géographique

.

400 4

.

Changer,  c’est se  mettre

En mouvement, en mobilité

Lors pour différentes raisons,

Ou simplement pour changer !

.

Symbolique

 .

Depuis

Plusieurs années,

Le concept connu

«Génération  Y»

Fait couler

 Beaucoup d’encre.

Cette génération, récemment

Arrivée sur le marché du travail.

Parfois décrite cauchemar des RH

Voire  des managers, semble être

Le symbole des changements

Du monde de l’entreprise.

C’est le point de vue

De B. Chaminade,

Qui préfère parler

De  « Culture  Y  »

Plutôt que se focaliser

Sur un débat générationnel.

blog-emploi.com/la-generation-y

-symbole-du-changement-en-entreprise

.

.

Fond

.

Évocation 

.

400 6

.

.

Changer,  c’est  se  mettre

En mouvement, en mobilité

Lors  pour différentes raisons,

Ou simplement pour changer !

 .

Symbolique 

La mobilité est souvent dépeinte

Comme symbole d’ouverture

Vers l’autre, vers le monde,

D’inclusion sociale,  tandis

Qu’immobilité est associée à

Exclusion, fixité, ancrage, immobilisme.

.

Les mobilités et immobilités

Dans l’espace géographique

Apparaissent ainsi associées,

Dans les représentations et les imaginaires,

À mobilités ou immobilités en l’espace social.

.

Les  déplacements  géographiques

Ont alors l’image  d’être, également,

Des mouvements sociaux, d’ouverture,

D’intégration, voire changement social.

journals.openedition.org/sociologies/La mobilité

 .

.

Fond/forme 

 .

La mobilité contre l’immobilité,

Espace physique/espace social,

Lutter contre une psychorigidité

Qui nous empêche  d’être normal

Qui fait,  peu à peu, perdre  pied,

Qui fait vouloir au monde entier.

.

 Textuels et illustrations  >>  

308 – Paris, ville lumière, avec sa Tour Eiffel

Textuels et illustrations   >> 

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

A perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

.

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

.

Extensions

.

Paris,

Un phare

Tour   Eiffel,

Lors forcément,

L’image   est   belle

Même  bienvenue  mais

Y vivre ne sera pas toujours

Une sinécure, sauf à bénéficier

D’une résidence, assez spacieuse,

Avec une grande terrasse paysagée.

.

La Tour Eiffel par ci, la Tour Eiffel, par là !

Comment ne pas la remarquer,  y échapper !

Dire qu’elle n’était que  provisoire, éphémère !

La voici devenue symbole  de cette ville lumière

Tant que tous souhaitent la toucher et y monter,

Ne serait-ce que pour beau panorama sur Paris,

Qui fait, de cet endroit, comme lieu magique.

J’y suis monté, dans ma douzième année,

Moi le breton, en pleine campagne, né.

.

La tour

 Eiffel  avec

Notre Dame :

Deux monuments,

Dans  la ville de Paris,

Les plus connus et courus

Pas que français : étrangers.

.

Y suis monté une fois à douze ans

Deuxième : quarante,  deux enfants.

Enfant : souvenir  de monstre  d’acier,

Adulte : un monument,  pleine  majesté.

.

C’est vrai qu’elle aura failli  être démontée,

S’il n’y avait pas eu cette TSF pour  l’utiliser.

Vrai qu’on la voit, de très loin, pointer son nez

Elle a tout du symbole, et rien d’un gratte-ciel !

.

Fragments 

.

La Tour Eiffel serait l’un des monuments

Les plus connus, dans le Monde, et visités :

Rencontre obligée ou presque pour étranger,

J’y suis moi-même monté à l’âge de douze ans.

.

Elle ne ressemble ni au Colysée,  à autre symbole,

Telle la porte de Brandebourg ou la Tower Bridge :

Elle est la seule à être entièrement construite en fer

Avec ses trois étages et tout en haut, phare lumière.

.

Paris  ne se résumera pas, non plus, à sa Tour Eiffel :

Des beaux monuments,  il y en a, à la pelle et partout,

Et il y a les magasins, musées et nombre d’attractions

Pour qui aurait  un peu d’argent, difficile s’y ennuyer !

.

Parfois elle s’illumine, de bas en haut,  parfois clignote,

De la voir dans son champ de vision rappelle où l’on est

Il existerait  de par le vaste monde, quelques imitations

Mais aucune n’a sa prestance, élégance de vieille dame.

.

Elle a connu drame, y a quelques années, en cathédrale,

Qui a brulé comme feu de paille et sauvée grâce à Dieu.

Paris, ville des lumières  et ville de toutes les festivités,

Vit, de nuit comme de jour, une activité débordante.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

 PARIS

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

À perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

VILLE LUMIÈRE

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

A V E C         L A         T O U R       E I F F E L  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En bas, clochette sonnette,

En haut,   sort e de  chapeau,

Haute tour, toute en triangle,

Surmontée de faisceau lumière.

.

308 4

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique 

 .

L’ex

Position

Universelle

Datant  1889

Attirera à Paris

50,8         millions

De visiteurs, grands

Scientifiques d’’époque

Nouveauté de matériaux

De la grande Tour Eiffel,

Sa hauteur impressionnante

Pour  le   XIX éme  siècle   et  la

Renommée de son jeune créateur

Nommé  Gustave  Eiffel,  contribue

À développer son image  d’un édifice

Exemplaire, considéré  ultramoderne.

Lors deux millions de visiteurs chiffrent

Première ouverture d’emblème français.

Modifié, source : type-tour-eiffel.e-monsite.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

308 6

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique

.

L’in

Tensité

De lumière

Grandeur  exprime

Capacité à éclairer d’une

Source ponctuelle de lumière

Dans      une    direction    donnée.

 .

Dans un  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distinguerait guère

Les couleurs,   et   toute  sensibilité  spectrale

Relative  serait  décalée  vers  le bleu  profond.

 .

On parlera, dans un tel cas,  de vision scotopique.

Dès lors,  entre ces  deux  domaines   de    luminosité,

On   parlerait  bien   plutôt   d’une   vision  mésopique.

Wikipedia : intensité lumineuse

.

.

Fond/forme 

 .

Que n’a-t-on dit, écrit ou tirer le portrait

De cette grande vieille Dame qui honorait

Une Exposition Universelle, dite éphémère,

Qui est devenue avec cathédrale Notre dame

Champs  Élysées, Arc de triomphe, Invalides,

Et tant d’autres monuments, places, et jardins

Emblème de la ville de Paris, à l’international.

Elle s’illumine elle-même de sa hauteur, renom.

.

Textuels et illustrations   >>

307 – Le magnifique jardin italien, de Clisson

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Il déborde deux côtés

De la Sèvre,  à  Clisson,

Il serpente en méandres,

Encaissés  dans  un  vallon

Garenne d’architecte Lemot.

.

Il invite au voyage,  à côtoyer

Ses rochers des plus  alanguis,

Lors  vous  pousserez  sa porte,

Le monde de la Nature s’ouvre,

En retenues d’eaux bruissantes,

Pour abreuver son vrai moulin.

.

Statues romaines, colonnades,

Qu’on découvre,

Font de ce jardin romantique

Un lieu…orphelin :

Orphelin de la vie moderne,

Trépidante, courante.

.

Ici, nos pas restent calmes,

Mesurés, lents, posés,

Et les arbres se penchent

Sur nous, destinée

De jardin fait de pierre,

Présence murmure.

.

Un sentier suit  le lit de l’eau, les autres, là, plus haut,

S’entrecroisent, se perdent comme en un beau chaos

Chaos qui vous entraine   dans son monde nouveau,

Où votre âme résonne  et où tout vous parait beau.

.

Nous nous sommes perdus dans ce jardin d’Éden

Perdus, en nos pensées et par nos pas, évoquées,

Penchés l’un sur l’autre, face  temple de l’amitié

Pour se trouver amants au pied  de sa fontaine.

.

Le temple circulaire de Diane, en colonnades,

Inscrit sa majesté tourmentée en promenade

En chasseresse n’en est pas moins tendresse

Et sa présence montre qu’ici rien ne presse.

.

Une grande clairière,  elle aussi circulaire,

Nous offre ses bancs et belle opportunité,

Pour apprécier  le panorama  tout entier,

De ces lieux, privés de toutes modernités.

.

Ce jardin, sa villa : maison, temple, sentier,

Est l’œuvre de quatre architectes passionnés

Qui ont donné leur vie, leurs biens à sa beauté

Afin qu’il soi, jusqu’à nos jours intact, préservé.

Nous l’avons découvert juste au détour d’un pont

De la Sèvre au pied du château médiéval de Clisson.

.

Extensions

.

Il est des jardins qui

Vous prennent et vous surprennent,

Bien plus encore que les châteaux ou manoirs

Qu’ils abritent : le jardin de Clisson est de ceux-là.

.

Une pure merveille de la nature, à la fois respectée

Magnifiée par des architectes, dits romantiques,

Qui ont voulu laissé ce témoignage de leur art.

.

Il faut dire en plus qu’il faisait beau et doux

Et que lumière et verdure du mois de juin

Ajoutait encore  comme couleur de plus

À la palette d’humeurs indéfinissables

Qui résonnait de ses harmonies avec

Notre corps, cœur, esprit !

.

Un jardin, sur flanc, de rivière, surplombant château :

Quoi de plus romantique et quoi de plus magnifique.

Jardin comme une demeure des dieux de l’Olympe,

Où demeurent encore les parfums de ses nymphes

Quand on s’y promène, l’esprit et le cœur légers

À la recherche d’un paradis perdu, retrouvé,

Tant on souhaiterait plus jamais le quitter.

Diane, chasseresse y règne, en maîtresse

En son bain de frisottis roches et eau,

Qui nous donne douceur sur peau.

.

Un jardin extraordinaire comme il en existe peu

Avec des colonnades, à son entrée, majestueuses

Et une perspective en pelouses et arbustes taillés

Et le tout, bordé d’arbres, d’essences diversifiées.

.

Rien à voir avec le mien, de six cent mètres carrés

Ici ce sont des hectares avec des zones spécialisées

L’une dans les ruines d’un temple romain statuaire

D’autres en rochers, rocailles, et que sais-je encore.

On s’y plait, on s’y perd, on va  même  à l’aventure,

On peut y passer presque la journée dans sa nature

Avec, comme arrière-plan, la rivière  et le château :

Forcément un tel jardin a besoin de présence d’eau.

.

Fragments

.

Un tel jardin, plein de délices

N’est pas jardin des supplices,

.

C’est un des plus romantiques,

Qui soit bien maintenu en l’état

.

On s’y promène comme chez soi

Tellement il parait authentique !

.

Les statues en moins, ça va de soi

Juché sur un piédestal de bon aloi

.

La cour de l’entrée est magnifique,

Offrant très longue allée, classique.

.

Un temple dédié à la Déesse Diane

Inspiré par sa mythologie profane

.

Ils ne manquent que des nymphes

Pour en faire le Jardin d’Olympe !

.

Ce jardin, sur flanc d’une rivière,

Longe château comme frontière.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.   

Il déborde deux côtés

De la Sèvre,  à  Clisson,

Il serpente en méandres,

Encaissés  dans  un  vallon

Garenne d’architecte Lemot.

Il invite au voyage,  à côtoyer

Ses rochers des plus  alanguis,

Lors  vous  pousserez  sa porte,

Le monde de la Nature s’ouvre,

En retenues d’eaux bruissantes,

Pour abreuver son vrai moulin.

.

Statues romaines, colonnades,

Qu’on découvre,

Font de ce jardin romantique

Un lieu…orphelin :

Orphelin de la vie moderne,

Trépidante, courante.

.

Ici, nos pas restent calmes,

Mesurés, lents, posés,

Et les arbres se penchent

Sur nous, destinée

De jardin fait de pierre,

Présence murmure.

.

Un sentier suit  le lit de l’eau, les autres, là, plus haut,

S’entrecroisent, se perdent comme en un beau chaos

Chaos qui vous entraine   dans son monde nouveau,

Où votre âme résonne  et où tout vous parait beau.

Nous nous sommes perdus dans ce jardin d’Éden

Perdus, en nos pensées et par nos pas, évoquées,

Penchés l’un sur l’autre, face  temple de l’amitié

Pour se trouver amants  au pied  de sa fontaine.

L E     M  A  G  N  I  F  I  QU  E

Le temple circu  J  laire de Diane, en colonnades,

Inscrit sa majesté  A tourmentée en promenade

En chasseresse n’en  R est pas moins tendresse

Et sa présence montre D qu’ici rien ne presse.

Une grande clairière,   I   elle aussi circulaire

Nous offre ses bancs  N    belle opportunité,

Pour apprécier le pa  *  norama  tout entier

De ces lieux privés   C de toutes modernités.

L      .

Ce jardin, sa villa   I    maison, temple, sentier,

Est l’œuvre de qua S  tre architectes passionnés,

Qui ont donné leur   S  vie, leurs biens à sa beauté

Afin qu’il soit, jusqu’à O nos jours, intact, préservé.

Nous l’avons découvert   N  juste au détour d’un pont

De la Sèvre au pied du château médiéval de Clisson.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En bas, un piédestal très imposant,

En haut, statue d’un homme grand, 

Ou bienfaiteur de la ville de Clisson

Et qui ne manque pas de charme.

.

307 4

.  

Piédestal,  jardin romantique, statue

Quoi de plus classique :

Mais le tout est de savoir de qui il s’agit,

Et pourquoi, et à cet endroit !

Une statue sur un piédestal en grand jardin

N’aura rien de surprenant, bien au contraire

Probablement le  fondateur même du jardin

Ce qui fait que la forme évoque bien le fond.

.

Symbolique 

 .

Les architectes de l’époque

De la Renaissance, d’abord italienne,

Puis française puis ensuite européenne,

Considérant que  piédestal  fait  partie

D’ordonnance des ordres d’architecture.

Imposèrent, progressivement, un canon

Esthétique régentant proportion ordres,

Comme  pour  la  corniche  du   piédestal

Formant  les seuils   de diverses  fenêtres

Ou bien voire la balustrade  de galeries.

wikipedia.org/wiki/Piédestal

.

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

Piédestal,  jardin romantique, statue

Quoi de plus classique :

Mais le tout est de savoir de qui il s’agit,

Et pourquoi, et à cet endroit !

.

Symbolique de fond

.

Une statue

Est un ouvrage

En 3 dimensions

 Représentant

En entier un personnage, animal,

Et  réalisé  dans  divers  matériaux

Pierre, bois, plâtre, métal, plastique.

On parle de statues pour des œuvres

De taille moyenne (égale ou

Supérieure à la moitié de

La taille naturelle, pour

Sculpture être humain,

À grande (a statue de la

Liberté atteint 92 m haut

Une plus petite est statuette.

Wikipedia : statue

.

.

Fond/forme 

.

Un jardin à l’anglaise, à la française.

Vous avez  faux : rien  qu’à  l’italienne.

Romantique, s’il en est, par colonnades

Statues, temples  et autres monuments.

.

On s’y promène, on s’y détend,  délecte,

Comme si soudain,  on effaçait le temps

Qui s’étale en parterres fleurs,  plantes.

.

D’y rester le plus longtemps, vous tente

Le tout le long de sa charmante rivière

Avec, pour proche voisin…un château

Qui ne déméritera  pas d’être visité :

Ainsi s’achève une journée de rêve.

.

Textuels et illustrations  >> 

306 – Château de ma vie est sous mon chapeau

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Mais dites-moi : qui n’aura jamais rêvé,

Et, au moins, une fois dans sa vie,

D’un beau  château, à hériter,

De Bretagne, ou, d’Espagne,

Ou voire en … Cambrésis !

.

Je le vois, grand et large,

Avec belle allée arborée,

Donnant sur cour pavée.

Dites-moi : qui n’a rêvé,

Voire  une fois  en sa vie,

De château même virtuel,

Par une belle âme, habitée.

.

Pour  le  château de  ma vie :

Il réside sous  mon chapeau !

Il se porte bien, se porte haut,

Et c’est bien le seul qui me ravit

Il n’est pas de Bretagne ni Espagne

Tant il est partout, et dans  mon cœur,

Il m’aide, souvent, à trouver le bonheur,

Étant loin, d’une  prison, ou d’un bagne.

Montez le perron puis  essuyez vos pieds

Entrez  dans petit vestibule aux patères

Pied grand escalier, déposez vos gants,

Puis votre manteau et votre chapeau,

Vous y êtes petit salon vous attend.

.

Je n’envie pas châtelain enfermé,

Dans sa tour  par dédain d’autrui.

Mon château à moi, est plus réseau,

De mes amitiés, entretenues à loisir :

Et  il a autant, de chambres, de salons,

De cuisines, qu’il me plait de souscrire.

.

Rien n’est trop beau, rien n’est de trop

En mon château, où l’air est si pur,

Tout le monde  pourra y entrer,

Mais, quant  à  le … visiter,

Et plus encore,  à y rester,

C’est  une  autre  histoire :

Profiteur, par ici  la sortie !

.

Mon château à moi est en moi,

Et il ne se montre ni ne se détruit,

Son unique  porte  d’entrée, de sortie,

Est mon imaginaire à partager avec ceux

Qui ont trouvé la clef et tiennent à  l’habiter.

.

Extensions

.

Chaque espace humain, espace habité

Est de l’imaginaire en temps compressé.

On y a mis  tout ce qui  nous tient  à cœur

Couvrant parfois jusque cinquante années.

.

La mémoire  abrite  des châteaux  n’étant

Ni de Cocagne ni d’Espagne, de Bretagne

Mais le résumé d’une vie bien remplie

Qu’on oriente vers l’avenir pour

L’agrandir ou le rétrécir.

.

Une œuvre est aussi une sorte

De château où on partage les pièces

Avec ses lecteurs/spectateurs/acteurs

Une œuvre  est : un monde,  un univers

Qui  nous  reflète, et, nous  communique

Aux  autres,  et  qui, en  retour,  l’enrichit.

.

Château  virtuel  est  construction d’esprit,

Fait appel à l’imaginaire de chacun  et tous.

Lors mon château à moi est : chacun se doit

De le définir parvenir à le réaliser, l’habiter,

Qu’il soit comme il a souhaité pour évoluer.

.

Château et chapeau sont proches l’un de l’autre,

Un château défend son être, un chapeau, sa tête :

On peut mettre plusieurs chapeaux en un château,

Lors un seul peut prendre place sous votre chapeau

Ce dernier peut être petit ou grand, fort ou fragilisé,

Dans tous les cas, il répond à vos désirs et nécessités.

Il prend la forme que vous voulez car il n’est que rêvé.

.

Château de ma vie, sous mon chapeau :

On est en plein délire y a de quoi en rire

Mais si l’on pense qu’on peut  l’imaginer,

Rien n’empêche de le voir, tel qu’on veut !

.

Sous le chapeau n’est pas jouer du chapeau

Oui je sais, je joue là beaucoup sur les mots,

Mais où est la frontière entre écrire et délire,

Et pourquoi, images fantastiques, s’interdire !

.

Je vous invite en mon château sous mon chapeau.

Tentez de deviner ce qu’il est et à quoi il ressemble.

Je vous le donne en mille, il n’est pas fait en pierres :

Éclats d’existences est une œuvre purement virtuelle !

.

Fragments

.

«La vie de château» est l’expression populaire

Pour signifier qu’une personne semble vivre

 Très à l’aise et plus que bien, matériellement.

.

Elle fait référence au châtelain du Moyen-âge,

Qui ne travaillait  et qui ne se souciait de rien,

D’autre que de protéger ses sujets de la guerre.

.

Mettre château, vie de château, sur un piédestal,

Lors le château de sable et le château en Espagne

Ne sont qu’illusions éphémères ou inaccessibles !

.

En rêver, se projeter vivre en eux, présomptueux,

Le château de ma vie est construction de l’esprit :

La preuve est : je le garde au chaud sous chapeau.

.

On ne peut confondre même si on peut les associer

Château avec chapeau bien qu’ils riment ensemble,

Déjà de quel château et de quel chapeau s’agira-t-il.

.

Mon château à moi reste en moi et il ne se montre

Ni ne se détruit, sa  porte  d’entrée, et de sortie,

Est mon imaginaire, à partager  avec celui

Qui trouve la clef pour m’accompagner.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Mais dites-moi : qui n’aura jamais rêvé,

Et, au moins, une fois dans sa vie,

D’un beau  château, à hériter,

De Bretagne, ou, d’Espagne,

Ou voire en … Cambrésis !

.

Je le vois  C grand et large

Avec belle H  allée arborée

Donnant    A     cour pavée.

Dites-moi   T    qui n’a rêvé,

Une fois      E      dans sa vie,

De château  A  même virtuel,

Par belle      U   âme, habitée.

.

D  E            M A          V  I  E

Pour   le  château  de   ma vie :

Il réside sous  S  mon chapeau !

Il se porte bien   O  se porte haut,

Et c’est bien le seul  U  qui me ravit

Il n’est pas de Bretagne   S ni Espagne

Tant il est partout, et dans *   mon cœur,

Il m’aide, souvent, à trouver C le bonheur,

Étant loin, d’une  prison, ou   H d’un bagne.

Montez le perron puis  essuy   A ez vos pieds

Entrez  dans petit vestibule     P aux patères

Pied grand escalier, déposez   E  vos gants,

Puis votre manteau et votre   A chapeau,

Vous y êtes petit salon vous  U  attend.

.

Je n’envie pas châtelain enfermé,

Dans sa tour  par dédain d’autrui.

Mon château à moi, est plus réseau,

De mes amitiés, entretenues à loisir :

Et  il a autant, de chambres, de salons,

De cuisines, qu’il me plait de souscrire.

.

Rien n’est trop beau, rien n’est de trop

En mon château, où l’air est si pur,

Tout le monde  pourra y entrer,

Mais, quant  à  le … visiter,

Et plus encore,  à y rester,

C’est  une  autre  histoire :

Profiteur, par ici  la sortie !

.

Mon château à moi est en moi,

Et il ne se montre ni ne se détruit,

Son unique  porte  d’entrée, de sortie,

Est mon imaginaire à partager avec ceux

Qui ont trouvé la clef et tiennent à  l’habiter.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un pilier d’un château,

Ou alors un pied de table

Sculpté  en  bois tourné, 

Donjon vieux château

.

306 4

.

C’est juste l’histoire de prendre pied dans

Une romance à rêver !

Apparemment, rien à voir avec un château,

Ni avec un chapeau !

Un pied de table n’est ni un pilier

ni une tour ni donjon de château,

un chapeau encore moins : pointu

et lors forme se distingue du fond.

 .

Symbolique

 .

Le pied de table est un symbole

De force, de résistance et d’éternité.

Il est indestructible : cette force réside

Dans une vérité plutôt fondamentale :

Il soutient la terre et le ciel, il les relie.

Et il réunit le masculin  et le féminin.

Le pied symbolise l’axe  du monde.

Quand  nous  rêvons  d’un pilier,

Nous contemplons un principe

Immuable, une force relative

À nos convictions nouvelles.

Il s’agit d’une construction

Mentale, système cohérent

Qui viendra répondre à nos

Interrogations sur le monde.

Modifié, source : tristan-moir.fr/pilier

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

C’est juste l’histoire de prendre pied dans

Une romance à rêver !

Apparemment, rien à voir avec un château,

Ni avec un chapeau !

.

Symbolique 

 .

En         faisant

Circuler dans son

Château  intérieur

Dans tous  ses espaces

Latéraux et superposés,

Clos   et   ouverts,  décrits

Avec un talent  d’architecte,

Thérèse d’Avila       (1515-1582)

Rend compte de ce que peut l’âme.

 

Au long des trajets qu’elle emprunte,

L’âme mystérieusement accompagnée

De l’hôte qu’elle recherche  et découvre

Ses  propres  secrets, jusqu’à  l’ultime,

L’union mystique. En château intime,

On est libre d’entrer, de  se promener

À toute heure du jour ou de  la  nuit,

Sans que permission soit nécessaire.

.

.

Fond/forme

 .

On ne peut confondre, pied de table,

Et tour de château, même d’escalier.

.

Chapeau et chapeau vont ensemble.

.

Oui mais de quel chapeau s’agit-il,

De clown,  de sorcière,  de curé !

.

De quel château est-il question.

Ici c’est château en Espagne !

.

Textuels et illustrations   >> 

305 – Hutte de l’étang pour pêcher et chasser

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L’étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J’ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J’ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

.

L’eau semble polluée des engrais de veines,

L’homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

.

Extensions

.

Je vous y invite, volontiers,

Pour faire le tour en entier,

Admirer votre reflet en eau

Ou ses chênes, et  bouleaux

Parant  sa nature, sauvage,

De doux parfum de liberté,

Sans entrave,  ramant sur

Un bateau, voire à l’affut,

En hutte où l’eau semble

Polluée  par des engrais

L’homme préserve ilot.

.

Havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau

Et ses méfaits ;

En barque, sur étang,

C’est un bienfait

Hutte garnie, je rame

En  parfait !

 .

Que ce soit pour la pêche ou pour simple promenade,

La barque vous transporte sur un élément liquide, calme,

Propice au repos, à la sieste, à la rêverie, voire romancerie !

Vous serez l’écoute d’une nature humide, limpide et… belle,

À moins de vous perdre, enfoncer en un marais saumâtre.

Bruit des rames, touchant l’eau pour la pousser, diriger,

Vous inspirera sensations d’écoulements de votre vie,

Dont vous maîtrisez ses  étapes ou qui à vau-l’eau.

Dans les deux cas, cette pause sera bénéfique

Comme parenthèse d’activités ludiques.

.

Un plan d’eau quel qu’il soit

Qu’il soit naturel  ou artificiel,

Soit petit ou grand, nu ou boisé,

Attire toujours amoureux de nature

.

Ici, il est souvent tranquille, étant isolé

On y voit des canards, des oiseaux d’eaux

On peut piqueniquer sur ses berges boisées

S’y reposer en regardant peupliers à l’envers.

.

J’ai mis les pieds en une barque, me suis arrêté

Au milieu de l’étang, comme en panne d’énergie

J’y ai cueilli des nénuphars blancs,  tomber failli,

Et je n’étais pas d’humeur à nager ni à m’y noyer.

.

Fragments

.

La chasse et la pêche sont des activités,

Pour ressources de nécessités survivant,

Depuis qu’homme existe et le pratiquant,

Jusqu’à aujourd’hui, en se perfectionnant.

.

Pour autant, l’on ne pourrait plus imaginer,

Voyant un homme pêcher au bord d’un étang

Qu’il le ferait pour assurer son garde-manger :

Il le fait d’abord et avant tout pour son plaisir.

.

Les poissons, au milieu, et au fond, se trouvant

Le pêcheur s’y rend avec sa barque bien équipé

D’une ligne de pêche  qu’il lance, hameçonnée,

 Avec un leurre, entre deux eaux, en frétillant !

.

Par rapport à la rivière, en eau vive, l’étang

Est en eau stagnante, calme, croupissante,

 On n’y trouve pas toutes sortes de poissons

Carpes, gougeons, perches, voire brochets

.

Une barque est symbole de changement :

Elle permettra à franchir, lacs et rivières,

Ici, on embarque ce qui a rapport à l’eau

Espérant qu’elle ne chavire ne nous noie.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

HUTTE D’ÉTANG POUR

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L‘étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J‘ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J‘ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

L‘eau semble polluée des engrais de veines,

L‘homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

PÊCHER, CHASSER  

 

Forme

.


.

Évocation 

.

Menhir qui serait monté  à l’envers,

Une pomme de pin    en plein hiver,

Une forme de barque, à fond plat,

 Pour pouvoir pécher sur un étang.

.

305 4

.

 

Barque, étang, hutte, chasse, pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

.

Symbolique 

 .

Barque est  symbole de changement,

On l’empruntera  pour passer d’une rive

À une autre, donc d’un état … à  un autre.

État est en référence avec état émotionnel,

L’eau traversée est  symbole de sentiments.

Si l’eau  est calme, et, si la balade agréable,

C’est que tu abandonnes un comportement,

Une vieille habitude, émotion désagréable

Que tu t’améliores : mieux dans ta tête,

Tu as comme désir de te débarrasser

De certains comportements et

De découvrir des nouvelles

Facettes personnalité

Comme en rêve

En éveillé.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/barque

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/barque

.

.

Fond

.

Évocation 

.

305 6

.

Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

.

Symbolique 

.

L’étang est une surface d’énergie

Contenue, stagnante, riche de potentiel.

C’est parfois une forme dépressive qui a pu

Être contenue et          devenue une richesse.

Ceci étant : c’est                     donc une nature

De soi connue,                           mais canalisée.

 .

Il faut associer                          à l’étang toute

Symbolique  de                        l’eau : à l’eau

Calme s’oppose                        l’eau rapide

Comme à étang                       la cascade,

À l’eau lustrale                 du baptême.

 .

L’eau épaisse,            croupissante

Limoneuse que        la poétique

D’Edgar Poe a     vite fait de

Confondre  avec  le  sang.

mediations-aquatiques.com/

la-symbolique-de-l-eau-2.html

.

.

Fond/forme 

 .

Qui dit en barque sur un étang

Évoque un fond de romantisme

Sinon de pêche, voire de chasse

À chacun son loisir, après tout !

.

Moi, j’aime bien en faire le tour

M’y asseoir pour le contempler

Et c’est déjà belle randonnée ! 

.

 Textuels et illustrations  >>

304 – Manoir de Baralle, ancienne abbaye

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Successivement abbaye, hôpital, centre, manoir

Date de la Révolution, agrandi, restauré rénové

Il héberge pan d’histoire aujourd’hui enterrée

Jouxte une église au clocher pointu et sage

Servant de pigeonnier en écrin d’un parc

Où une troupe de chevaux  vont boire.

Sa grande grille  en  fer  ici forgée

Invite à entrer, sur allée  pavée,

Bordée  d’arbres  centenaires,

Menant à une cour entourée

De dépendances,  garages,

Ateliers, écuries, remises.

 .

^

Oh Oui

C’est certain,

Une belle demeure,

Où balcon voisine haute

 Porte, en pignon, gigantesque,

Et sa terrasse avec belle balustrade

Habille parfaitement façade briquesque

Qui, plein sud, se prolonge sur une véranda.

.

À l’ouest, une cuisine, au nord, un salon de jardin,

C’est une ferme, à présent, abritant…quatre habitants,

Au lieu de vingtaine, au moins, il y a un siècle, assurément.

Son grand salon de cent mètres carrés, de quatre mètres élevé,

Reçoit une cinquantaine d’invités, à causer, à manger, à danser

En frôlant les fantômes d’antan, hantant ces lieux, non anodins.

.

À l’étage desservi par un  monumental escalier plein colimaçon,

Deux chambres, un bureau, une salle de bain, dans espace privé,

Deux  chambres  d’hôtes, un couloir, pour les clients, les invités.

Au grenier, des chambres de bonnes en train d’être aménagées,

Places et espaces difficiles à rénover, et, plus encore, à chauffer,

Deux caves voûtées, servent d’assises aux murs et aux plafonds.

Ce qui frappe, le plus est, sans nul doute, son calme, sa verdure.

.

Aucun bruit perturbant, ni habitation, rien que lapins, oiseaux,

Arbres de toutes essences y croissent, l’automne beau manteau.

Coins sauvages, herbages, se partagent sept hectares, d’un parc

Les chambres offrent paysage qui ne s’oublie pas, se remarque.

L’atmosphère se régénère à travers le temps, il dure et perdure.

Il y a tant à en dire et à décrire, que je me contente de rappeler

Qu’il faut une vie, pour transformer, agrémenter, la maisonnée.

.

À y perdre son âme à consacrer tout son temps, tout son argent

Pour léguer l’œuvre, héritée de siècles, où tout était évanescent.

Ses habitants s’y enracinent comme hêtres en leur jardin privé,

On y vient, on s’y sent bien, ne se soucie de rien, on est cocooné,

On se croirait, grande bourgeoisie, s’il n’y avait les propriétaires

Accueillants, cœur sur la main, faisant tout pour vous satisfaire.

.

Extensions

.

À y perdre son âme

D’y consacrer son temps,

Et son argent, et pour léguer

Une œuvre, héritée des siècles

Où tout demeurait évanescent.

.

Ses habitants s’y enracineront,

Comme hêtres en jardin privé.

On y vient et on s’y sent bien,

Et l’on ne se soucie de rien,

Tant l’on est vite cocooné.

.

On serait en bourgeoisie

Si on n’ y trouvait pas les

Propriétaires accueillants,

Cœur sur la main et faisant

Tout pour vous … satisfaire.

.

Baralle est une commune française de 482 habitants, située

En département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France :

Dix kilomètres de Cambrai, trente d’Arras, entre deux autoroutes.

Le manoir de Baralle constitue une étape vers les routes nord et sud,

Sans compter un lieu de résidence pour visiter les cimetières militaires

L’accueil est  sympathique, hébergement, couvert, des plus authentiques,

Et ses deux parcs vous mettent, d’emblée, dans une ambiance romantique.

.

Pas loin d’une sortie d’autoroute,

Hypermarché au coin du champ,

Et Cambrai, à douze Kilomètres,

Il est finalement  très bien placé,

Pour faire une halte, s’y reposer !

.

Sans compter il est isolé du bourg,

Bâti en un grand par  et silencieux,

En terrasse que demander de mieux

On y reste là comme dans du velours

Et on y revient sans cesse, et toujours.

.

Pour y avoir séjourné à maintes reprises

Je vous le conseille même les yeux fermés,

Pas que pour y dormir, autant pour manger

La cuisine vaut le détour et les cuisiniers aussi

On finirait par faire partie de la famille ou amis.

.

Fragments 

.

Le Clos Saint Georges est une construction

Datant de deux siècles voire plus, c’est dire

S’il a dû évoluer, s’adapter, aux contraintes

Aux exigences de chacune des modernités !

.

Aujourd’hui il abrite famille qui en a hérité,

Mais qui l’aura, de bout en bout, transformé

Pour en faire un «havre de paix et d’accueil»

Au cœur, et lui sert d’écrin, d’un parc arboré.

.

Une exploitation agricole à gérer toute l’année

Cinq chambres pour recevoir clients passagers,

Plus activités externes : il y a de quoi s’occuper,

Leurs retraites  s’annoncent  des plus gratinées.

.

Je parle là des deux propriétaires que je connais

Faisant partie de la famille par la sœur, épousée.

Si fait, j’y ai moi-même, plusieurs fois, séjourné,

Pour ce qui est d’accueillir, divin, je dois avouer.

.

Alors, si vous passez par-là, vous cherchez un lit,

Pour passer  une soirée enchantée, nuit paisible :

N’hésitez pas à écrire, ou à téléphoner, réserver :

La plupart reviennent souvent et moi le premier.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

                M                                                A

Successivement  A   abbaye, hôpital, centre,     N manoir

Date de la Révo   N   lution, agrandi, restauré  C    rénové

Il héberge pan   O     d’histoire aujourd’hui   I  enterrée

Jouxte une ég    I   lise, clocher pointu      E    et sage,

Servant de pi   R   geonnier, en écrin   N d’un parc

Où une trou   *    pe de chevaux       * vont boire

Sa grande    B     grille  en  fer    H  ici forgée

Invite à en  A   trer sur allée   Ô       pavée,

Bordée       R d’arbres cen   P    tenaires

Menant à  A  une cour    I   entourée

De dépen  L  dances    T   garages,

Ateliers   L écuries A  remises.

E            L

^

Oh Oui

C’est certain,

Une belle demeure,

Où balcon voisine haute

 Porte, en pignon, gigantesque,

Et sa terrasse avec belle balustrade

Habille parfaitement façade briquesque

Qui, plein sud, se prolonge sur une véranda.

À l’ouest, une cuisine, au nord, un salon de jardin,

C’est une ferme, à présent, abritant…quatre habitants,

Au lieu de vingtaine, au moins, il y a un siècle, assurément.

Son grand salon de cent mètres carrés, de quatre mètres élevé,

Reçoit une cinquantaine d’invités, à causer, à manger, à danser

En frôlant les fantômes d’antan, hantant ces lieux, non anodins.

À l’étage desservi par un  monumental escalier plein colimaçon,

Deux chambres, un bureau, une salle de bain, dans espace privé,

Deux  chambres  d’hôtes, un couloir, pour les clients, les invités.

Au grenier, des chambres de bonnes en train d’être aménagées,

Places et espaces difficiles à rénover, et, plus encore, à chauffer,

Deux caves voûtées, servent d’assises aux murs et aux plafonds.

Ce qui frappe, le plus est, sans nul doute, son calme, sa verdure.

Aucun bruit perturbant, ni habitation, rien que lapins, oiseaux,

Arbres de toutes essences y croissent, l’automne beau manteau.

Coins sauvages, herbages, se partagent sept hectares, d’un parc

Les chambres offrent paysage qui ne s’oublie pas, se remarque.

L’atmosphère se régénère à travers le temps, il dure et perdure.

Il y a tant à en dire et à décrire, que je me contente de rappeler

Qu’il faut une vie, pour transformer, agrémenter, la maisonnée.

À y perdre son âme à consacrer tout son temps, tout son argent

Pour léguer l’œuvre, héritée de siècles, où tout était évanescent.

Ses habitants s’y enracinent comme hêtres en leur jardin privé,

On y vient, on s’y sent bien, ne se soucie de rien, on est cocooné,

On se croirait, grande bourgeoisie, s’il n’y avait les propriétaires

Accueillants, cœur sur la main, faisant tout pour vous satisfaire.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut, une  large  cheminée,

En bas, pignon de haute maison

Un très grand manoir s’il en est 

Élégant,  accueillant  voyageurs !

.

304 4

.

E

Le manoir du «Clos Saint Georges »

De Baralle, est une battisse

Toute en briques rouge et il héberge

Jusqu’à dizaine de voyageurs.

Manoir et voyageurs, lors il est transformé

En une maison d’hôtes, vont bien ensemble :

Quand propriétaires charmants, accueillants

Le forme et le fond s’accorderont à merveille.

.

Symbolique

.

Un

Manoir

Avait généralement

L’aspect d’une maison forte

Ou à un château et constitué

Corps de logis, dépendances

Formant les ailes et entouré

De champs, voire de fermes,

Et  de pâturages  et  de bois.

Ce n’était, en aucun cas, un

Édifice à vocation militaire

Donc  pas un château fort,

Puisqu’il  était  interdit au

Vassal maître des lieux de

L’équiper de tour donjon.

manoir.community/node/18

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

304 6

.

Le manoir du «Clos Saint Georges »

De Baralle, est une battisse

Toute en briques rouge et il héberge

Jusqu’à dizaine de voyageurs

.

Symbolique

 .

Hormis le statut de voyageur

Et sur le plan urbain, le concept

De manger  devant des inconnus,

 .

Seul ou en famille hors de son logis

Et en dehors    des moments de fêtes

Est,       pratiquement,     impensable

Avant        les    Temps     modernes.

 .

Ce      point    reste    fondamental

Sur le plan      anthropologique,

Et pas seulement en Occident.

Wikipedia : voyageurs

  .

.

Fond/forme 

 .

On s’y sent, comme en un cocon,

Dans un écrin arboré de verdure,

.

On a envie d’y demeurer pour de bon,

Pour se remettre  d’un travail très dur.

.

On se perd en dédale de portes, couloirs,

Mais on n’y craint ni les fantômes, le noir.

.

Si  un jour, vous passez  par-là, par hasard,

Réservez chambre pour une nuit tôt ou tard !

 .

Textuels et illustrations  >>

303 – Cambrai, une petite cité paisible

Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cambrai, petite cité paisible,

Et somnolente de …  l’Artois,

Ses ruelles étroites   courent,

En dédales, autour de places,

Dont, la plus grande … abrite

Encore  énorme Hôtel de ville.

.

On y découvre,  portes rongées

Par quelques siècles d’Histoire,

Églises, dont l’une a vu prêcher,

Fénelon,  avec  clochers  pesants,

Au milieu d’un fouillis de pignons.

.

Et en plus, une large avenue  mène

À un grand jardin public entretenu,

Qu’orne  monument  à Louis Blériot,

Que  l’on considère  enfant  du pays :

Cité surnommée «des millionnaires»

.

Tant vrai, qu’avant

La Première Guerre,

On y comptait  encore

Près de quarante Crésus !

.

Cambrai, ville d’art et d’histoire

Avec sa cathédrale Notre-Dame de Grâce,

Avec son église de Saint-Géry, plus ancienne,

Sa citadelle,  démantelée, porte Royale, pont-levis.

.

Son beffroi clocher d’église Saint-Martin, était autrefois

Son hôtel de ville avec sa majestueuse façade de style grec,

Sa maison Espagnole, à pans de bois, pignons, style régional,

Son marché couvert avec ses halles animées les jours de marché

Quand on  s’y promène, le cœur  léger, son histoire… nous étonne.

.

Deux fois  détruite, reconstruite, son amalgame, parfois, détonne !

Elle m’apparaît, pavée de constructions, parfois, un peu vieillottes.

Je me suis perdu plusieurs fois, en son dédale de rues, et de ruelles.

Je ne me sens pas  chez moi : étranger, hors ma province bretonne

Ma femme y est née, a vécu, fait ses études : sa famille  y demeure.

.

Je l’ai retiré du froid et son ennui au Nord, pour une ile plus belle.

Moi, jamais, je n’ai songé  à y vivre, entre Bapaume et Cambrai,

Même  après avoir découvert cette ancienne abbaye de Baralle

Demeure merveilleuse de sœur,  beau-frère,  cousin-cousine.

.

Cette ville de Cambrai, petite cité  qui est réputée paisible,

Plantée plein sud du Nord ; n’est pas à un paradoxe près

N’attire pas l’œil par tapage  ni par ramage artificiel

On s’attache, prenant le temps de se perdre en elle.

.

Cambrai est une ville, attachante, finalement,

Elle demeure à dimension humaine

On apprend à la connaitre

Avec le temps.

.

.

Extensions

.

Cambrai,

Petite cité moyenne,

Réputée   paisible,

Plantée en plein

Sud du Nord,

N’est pas à un

Paradoxe près !

.

Elle n’attirera pas

L’œil par son tapage

Ni  par aucun ramage

Artificiel, on s’y attache

Si l’on prend le temps

De se perdre en elle.

.

Cambrai, cité paisible située au bas des Hauts de France,

Bien qu’ayant connu bien des histoires de guerre par le passé

Si elle n’a pas ni l’attrait, ni la richesse, de ses voisines proches,

Elle ne démérite pas, avec ses places, ses églises, ses monuments

Et on y passe de forts agréables moments, à la terrasse d’un café.

Cité de ma femme, elle ne renie pas ses origines, et en est fière,

Mais nos enfants se réclament plus de la Bretagne, y vivant.

.

Cambrai, cambrai … ça ne vous rappelle rien !

Bataille de Cambrai 1918 opposa des troupes

Canadiennes, britanniques, et américaines,

Utilisant  des chars, à l’Empire allemand.

Elle fut menée en un temps très court,

Et se conclut par un succès éclatant.

.

Voilà pour la très grande Histoire

Mais pour ce qui est de la petite

Je la connais lors je la pratique

Et j’aime y flâner, sur sa place

Ou sur son port de plaisance

En son grand jardin public.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Cambrai, petite cité paisible,

Et somnolente de …  l’Artois,

Ses ruelles étroites   courent,

En dédales, autour de places,

Dont, la plus grande … abrite

Encore  énorme Hôtel de ville.

On y découvre, portes rongées

Par quelques siècles d’Histoire,

Églises, dont l’une a vu prêcher,

Fénelon,  avec  clochers  pesants,

Au milieu d’un fouillis de pignons

Et en plus, une large avenue  mène

À un grand jardin public entretenu,

Qu’orne  monument  à Louis Blériot,

Que  l’on considère  enfant  du pays :

Cité surnommée «des millionnaires»

.

Tant vrai, qu’avant

La Première Guerre,

On y comptait encore

Près de quarante Crésus !

Cambrai, ville d’art  C  et d’histoire

Avec sa cathédrale  A   Notre-Dame de Grâce,

Avec son église  M   de Saint-Géry, plus ancienne,

Sa citadelle,    B   démantelée, porte Royale, pont-levis.

Son beffroi     R clocher d’église Saint-Martin, était autrefois

Son hôtel de  A     ville, avec sa majestueuse façade de style grec,

Sa maison     I     Espagnole, à pans de bois, pignons, style régional,

Son marché  *    couvert avec ses halles, animées, les jours de marché.

Quand on     *     s’y promène, le cœur léger, son histoire … nous étonne.

Deux fois    P      détruite, reconstruite, son amalgame, parfois, détonne !

Elle m’ap    E      paraît, pavée de constructions, parfois un peu vieillottes.

Je me suis   T       perdu plusieurs fois, en son dédale de rues, et de ruelles.

Je ne me       I       sens pas chez moi, étranger hors ma province bretonne

Ma femme y    T      est née, a vécu, fait ses études : sa famille y demeure.

Je l’ai retiré du  E     froid et son ennui au Nord, pour une ile plus belle.

Moi, jamais je     *     n’ai songé à y vivre, entre Bapaume et Cambrai,

Même après avoir   C     découvert cette ancienne abbaye de Baralle

Demeure merveilleuse  I     de sœur,  beau-frère,  cousin-cousine.

Cette ville de Cambrai,   T    petite cité qui est réputée paisible,

Plantée plein sud du Nord  É    n’est pas à un paradoxe près

N’attire pas l’œil par tapage  *    ni par ramage artificiel

On s’attache, prenant le temps de se perdre en elle.

Cambrai est une ville, attachante, finalement,

Elle demeure à dimension humaine

On apprend à la connaitre

Avec le temps.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase, une montre à gousset,

Ou encore un beau pendentif,

Avec des pierres précieuses

En remparts de sa citadelle.

.

303 4

.

Du bleu entouré d’une ceinture de jaune

Avec pierres précieuses :

Cambrai est une ville paisible et aussi

 Avec sa citadelle remparts

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme des pierres

Est la capacité à désigner, à signifier,

Exercer une influence en tant que symbole.

 

Elle a son symbolisme : la solidité, la durée,

Sachant que chaque pierre a son symbolisme

Cristal représente pureté : marbre, éternité.

 

Mais sous peine de délire ou d’arbitraire,

La symbolique de la pierre demeure

Dans le cadre du règne minéral ;

 

Matière minérale solide

Qu’on rencontre en

Masses compactes

À la surface et à

L’intérieur du sol.

wikipedia.org/wiki/

Symbolisme_des_pierres

 

.

Fond

.

Évocation 

.

303 6

.

Du bleu entouré d’une ceinture de jaune

Avec pierres précieuses :

Cambrai est une ville paisible et aussi

Avec citadelle remparts

.

Symbolique 

.

Malgré démantèlement XIXe siècle,

La citadelle de Charles Quint conserve

Galerie de contre                    mine ensevelie.

 .

La porte Royale                        et  son  pont-levis,

Classée à l’inventaire                      des  monuments

Historiques le 14 avril                        1932,   flanquée

À  l’arrière  de   deux                             corps de garde

Et un arsenal, daté                           du   XVIe siècle.

 .

Parmi les aména                 gements postérieurs,

Un magasin à poudre et des logements

Pour les officiers et une caserne

À l’épreuve de bombes

 xixe siècle.

fr.wikipedia.org/wiki/

Cambrai#Vie_militaire

 .

.

Fond/forme 

.

Peut-être jamais, connu, je n’aurais,

Cambrai

Si ma femme n’y était née, comme fait

Exprès

Tant cette ville de province et paysanne,

N’évoquait

Pour moi, que des bêtises, pour friandises,

Dont je raffolais

Aujourd’hui, pour l’avoir souvent fréquenté,

Je la connais

Et tout compte fait, au fil des ans, plutôt bien,

Je m’y plais.

.

Textuels et illustrations   >>  

302 – Arras et ses places baroques

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Arras, ses célèbres places,

Style baroque flamand

Avec l’Hôtel de Ville

Est construit en

Bien bel écrin.

.

C’était une

Au-then-tique

Cité prospère connue

En fabrication drapière

Avec sa  Citadelle  Vauban

Belle inutile, ou, belle estime.

.

L’architecture de places d’Arras

Demeure encore unique au Monde

Avec ses  belles façades  de maisons,

Que des styles  inimitables  inondent.

.

D’impressions,  remplies  d’harmonies,

Car renforcées par  des colonnes  de grès,

En plus d’originalités pignons de maisons,

D’hauteurs variables… comme si fait exprès.

.

On se promène, flânant sous arcades, tout près

De rues piétonnes, invitant à boire  une cervoise,

On rencontre foule tranquille, jeunesse  arrageoise,

L’histoire de siècles précédents susurrant son secret.

.

Ses souterrains appelés Boves, s’avèrent  surprenants

Camps de base, ralliement  pour des débarquement,s

Avec des puits d’extraction,  boyaux de déplacement,

Avec salles voûtées, escalier à vis, et même à redents.

.

Cathédrale, abbaye Saint-Vaast, édifices prodigieux,

Dix-huitième siècle Français, architectural, religieux

Sur centre place octogonale, Victor Hugo, obélisque,

Attire le regard, provoque notre admiration, épique.

.

J’ai fait mes emplettes en l’immense marché ouvert,

Ses andouillettes sont une vraie découverte culinaire.

Le chef-lieu du Département du Pas-de-Calais : Arras

Est cœur d’une haute Région qui jamais ne vous lasse,

Je suis allé, plusieurs fois, prendre le train pour Paris

J’ai hanté lieux légendaires faits de briques et verre.

.

Belle  ville  du  Nord,  accueillante  et  fort  colorée,

Lieu de séjour, pour dix jours,  pour breton exilé.

Quand on est Arras campagne, on est en plaine

L’on trouve que ce Nord a bien de la veine,

Cité tranquille, bien ancienne cité reine.

.

Extensions

.

Le beffroi d’Arras

Patrimoine   mondial

De l’Unesco témoigne de

Sa richesse architecturale

Et de son art de vivre.

.

Historiquement,

Sous ancien régime,

Capitale province d’Artois

Un grand centre de prières.

.

Arras ne fait pas souvent

Parler d’elle tant vrai

Qu’il n’est nul besoin

D’en faire la publicité

Pour avoir envie d’aller

La visiter, y passer quelques

Jours à flâner autour de ses places,

De ses monuments, musées et cafés.

.

Arras ville  et à rase campagne ou rat des villes et rat des champs.

Ce qui se remarque le plus, ce sont ses grandes places, avec arcades,

Leur donnant air de place du sud complètement transposée, au nord.

Là aussi, là encore, bel ensemble architectural, culturel et commercial

Dans lequel on se sent bien à se promener, d’un pas léger et découvrir

Un pan d’histoire au croisement de plusieurs influences civilisations,

Il y a comme quelque chose d’intemporel, qui persiste en parfum.

.

Ce qui frappe le plus dans le centre d’Arras

Est son architecture de style haut-flamand,

.

La Grand’Place et puis la Place des Héros,

Ne ressemblent à aucune autre, du Nord.

.

C’est un lieu de flâneries, intéressantes,

Où l’on prendra son temps, pour vivre !

.

Que de pavés, de pavés, encore de pavés,

Dont la majorité provient de l’Ile-Grande

.

Sa cathédrale et son beffroi en imposent

Autant que ses commerces et souterrain.

.

Acteur, témoin première guerre mondiale,

Carrière et musées regorgent de souvenirs !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

Arras, ses célèbres places,

Style baroque flamand

Avec l’Hôtel de Ville

Est construit en

Bien bel écrin.

C’était une

Au-then-tique

 Cité prospère connue

En fabrication drapière

Avec sa  Citadelle  Vauban

Belle inutile, ou, belle estime.

.

L’architecture de places d’Arras

Demeure encore unique au Monde

Avec ses  belles façades  de maisons,

Que des styles  inimitables  inondent.

.

D’impressions,  remplies  d’harmonies,

Car renforcées par  des colonnes  de grès,

En plus d’originalités pignons de maisons,

D’hauteurs variables… comme si fait exprès.

On se promène, flânant sous arcades, tout près

De rues piétonnes, invitant à boire  une cervoise,

On rencontre foule tranquille, jeunesse  arrageoise,

L’histoire de siècles précédents susurrant son secret.

.

Ses souterrains appelés Boves, s’avèrent  sur A prenants

Camps de base, ralliement pour des débar   R    quements

Avec des puits d’extraction, boyaux de      R    déplacement,

Avec salles voûtées, escalier à vis, et       A    même à redents.

Cathédrale, abbaye Saint-Vaast,     *    S   édifices prodigieux,

Dix-huitième siècle Français,      *      *  architectural, religieux

Sur centre place octogonale,     *       E     Victor Hugo obélisque,

Attire le regard et provoque   *        T    notre admiration épique.

J’ai fait mes emplettes en      *        *     l’immense marché ouvert,

Ses andouillettes sont une     *        S   vraie découverte culinaire.

Le chef-lieu du Département  *       E     du Pas-de-Calais : Arras

Est cœur  d’une haute Région   *      S  qui jamais ne vous lasse.

Je suis allé plusieurs fois prendre *  *  le train direction Paris

J’ai hanté lieux légendaires faits   *  P    de briques et verre.

Belle ville du Nord, accueillante        L     et fort  colorée,

Lieu de séjour pour dix jours pour     A    breton exilé.

Quand on est Arras campagne, on est  C   en plaine,

L’on trouve que ce Nord a bien de la   E   veine,

Cité tranquille, bien ancienne cité reine. S …

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase, une bouteille,

Une montre à  gousset,

Ou un autre pendentif

Ou un bijou en médaillon.

.

302 4

.

Un pendentif comme un bijou

Faisant comme enluminures dorées.

Deux tons, beaucoup plus de

Couleur jaune que de couleur bleue.

Pendentif et médaillon sont bijoux

Qui peuvent se trouver n’importe où

Et si aucun n’est deux ne figure Arras,

C’est que la forme  est différente du fond

.

Symbolique 

.

La joaillerie

Est l’art de fabriquer

Joyaux,  plus largement

Des objets de parure comme

Des pendentifs mettant en valeur

Principalement  les pierres précieuses,

Les pierres fines, les pierres ornementales

Les perles,  en  utilisant    pour   montures

Métaux précieux suivants : l’or, l’argent,

Le platine.  Depuis   quelques  années,

Certaines des pièces de joaillerie

De haut de gamme réalisées

En titane, céramique,

Ou en acier.

lyn-et-or-bijoux.com/content/22-

la-symbolique-des-bijoux-

.

.

Fond

.

Évocation 

.

302 6

.

Un pendentif comme un bijou

Faisant comme médaillon gravé.

Deux tons, beaucoup plus de

Couleur jaune que de couleur bleue.

.

Symbolique 

.

I

Il arrive d’utiliser le terme

De médaillon pour désigner

Ce qui est en réalité médaille.

Cette  dernière : simple  bijou

Rond ou  voire ovale

Sur lequel     on grave

Des    symboles     ou  des    lettres

Que    l’on offrira    pour     certaines

Occasions    telle : s baptême, mariage.

Le médaillon reste  un bijou  légèrement

Différent. Il s’agit, souvent, de pendentif

 Épais qui est composé  de deux parties

Qui s’ouvrent et se ferment à l’aide

D’un système conçu pour être

 Solide, facile à ouvrir.

medaille.top/autres-bijoux/

porter-un-medaillon

 .

.

Fond/forme

.

Un médaillon va bien avec un pendentif,

Tout comme beffroi  va bien avec Arras,

.

Et il n’y a, en cela, rien de bien subjectif

Juste rappel de l’histoire des Pays-Bas,

Possession Espagnole : sud et le nord !

.

Lors autrefois il y avait  des remparts,

Pouvant évoquer comme un médaillon,

.

Aujourd’hui elle est comme ville ouverte

À laquelle on aurait ajouté un pendentif !

.

Textuels et illustrations  >>

301 – Lille, capitale du Nord

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

À Lille, capitale du Nord

Florissante,

S’emboîtent, identiques

Demeures

Autour splendides cours

Intérieures,

Où flâneurs croisent

Bouquinistes

Et joueurs d’échecs,

Des touristes.

Beffroi en tour de guet,

Sonnant alarme

Rassembler villes du Nord,

Hommes d’armes,

Se retrouvant dans la citadelle

Construite par Vauban,

Ancienne cité avant de Flandres,

Parlant bien le Roman.

Colonne de la Déesse avec sa fontaine,

Qui occupe   le   centre,

Autour, bâtiment journal La Voix du Nord,

Et sa façade en pente,

Blasons de Région, surmontant  Trois Grâces,

En formes de statues,

Sans compter le Furet du Nord, celui du café Leffe,

L’hôtel de Belle Vue. 

 .

Vieille rue piétonne regorgeant de magasins, restaurants

Café en terrasse où les bières du Nord sont à flots, coulants

Ont vu naître, grandir  Charles de Gaulle,  en maison natale,

Située dans Le Vieux Lille et transformée en musée national.

.

Son renouveau par sa construction Centre Euralille exprimé

Pour devenir  la capitale  européenne  des affaires, culturée,

Contraste fort, avec la Cathédrale de la Treille, l’Université,

Catholique aux bâtiments en brique rouge  ou terre brulée.

.

Je me suis, souvent, promené,  à partir de sa Gare Centrale,

Aux temps des rigueurs de l’hiver, chaleurs étouffantes d’été :

C’est en de brèves incursions que l’on découvre son programme

Et allant à sa rencontre, qu’on se laisse séduire par son charme.

.

Lille  comment  ne pas s’y  attarder, s’y attacher, s’y promener,

Comme lieu magique,  convergence de ses premiers quartiers

Ancienne place  du Marché, d’époque médiévale, renommée,

Sa Grand Place  d’histoire  de sa Vieille Bourse, si chargées.

.

De Lille et de sa région, qu’en dire  et qu’en redire, encore,

Ce n’est  pas l’inverse du Sud même s’il fait froid dehors,

Il fait si chaud dedans qu’on s’y sent accueilli bien fort

Et  la quittant, on verse une larme, de croquemort.

.

N’en croyez rien … Lille, Roubaix, et Tourcoing,

Si, un jour,  ont filé de forts mauvais cotons,

Ils s’en sont relevés … et pour de bon !

.

Extensions

.

Véritable capitale

De la région du Nord,

Lille rayonne de sa culture

Et autant de son architecture

Ville où et il y fait bon vivre.

Lille demeure un point

De passage entre

L’Angleterre,

Belgique.

.

Lille, Lille la grande et non pas l’Ile-Grande,

Une différence de taille, une différence d’aura

 Un carrefour  entre les pays du Sud et du Nord,

Rayonnante par son architecture, et, sa culture.

À force  d’errer, dans  ses ruelles, tout  en flânant

Et déguster bière fraîche, en ses nombreux cafés,

On finit par devenir comme pur esprit, planant,

On la croit froide alors qu’elle est chaude l’été.

Je confirme pour y avoir, plusieurs fois, été.

.

Lille rime avec une  belle ville

Et elle ne reniera pas sa rime.

Une ville, certes, où l’on trime,

Où l’on se distrait : tranquille.

.

À chaque fois que j’y suis allé,

J’ai  toujours été  très  étonné,

Par les places et par les ruelles

De son centre qui m’interpelle.

.

La bière y coule comme fleuve,

Gastronomie n’est pas en reste,

Qu’il fasse du vent, qu’il pleuve,

Soleil est en le cœur, manifeste.

.

Centre  commercial, et  culturel,

Plaque tournante Nord, Flandres,

On peut toujours compter sur elle,

Elle a autant à prendre qu’à rendre. 

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme  

 .

À Lille, capitale du Nord

Florissante,

S’emboîtent, identiques

Demeures

Autour splendides cours

Intérieures,

Où flâneurs croisent

Bouquinistes

Et joueurs d’échecs,

Des touristes.

Beffroi en tour de guet,

Sonnant alarme

Rassembler villes du Nord,

Hommes d’armes,

Se retrouvant dans la citadelle

Construite par Vauban,

Ancienne cité avant de Flandres,

Parlant bien le Roman.

Colonne de la Déesse avec sa fontaine,

Qui occupe   le   centre,

Autour, bâtiment journal La Voix du Nord,

Et sa façade en pente,

Blasons de Région, surmontant  Trois Grâces,

En formes de statues,

Sans compter le Furet du Nord, celui du café Leffe,

L’hôtel de Belle Vue. 

Vieille rue piétonne regorgeant de magasins, restaurants

Café en terrasse où les bières du Nord sont à flots, coulants

Ont vu naître, grandir Charles de Gaulle en maison natale  L

Située dans Le Vieux Lille, et transformée en musée natio I nal.

Son renouveau, par sa construction, Centre Euralille ex  L primé,

Pour devenir la capitale européenne des affaires,       L     culturée,

Contraste fort, avec la Cathédrale de la Treille      E        l’Université,

Catholique aux bâtiments en brique rouge       *         ou terre brulée.

Je me suis souvent promené à partir          C          de sa Gare Centrale,

Aux temps des rigueurs de l’hiver         A      chaleurs étouffantes d’été :

C’est en de brèves incursions que     P       l’on découvre son programme

Et allant à sa rencontre, qu’on     I       se laisse séduire par son charme.

Lille comment ne pas s’y         T       attarder, s’y attacher, s’y promener,

Comme lieu magique,       A       convergence de ses premiers quartiers

Ancienne place du      L      Marché, d’époque médiévale, renommée,

Sa Grand Place    E        d’histoire de sa Vieille Bourse, si chargées.

De Lille et      *   de sa région, qu’en dire et qu’en redire encore,

Ce n’est    D   pas l’inverse du Sud même s’il fait froid dehors,

Il fait  U  si chaud dedans qu’on s’y sent accueilli bien fort

Et  *  la quittant, on verse une larme, de croquemort.

N’en croyez rien … Lille, Roubaix, et Tourcoing,

Si, un jour,  ont filé de forts mauvais cotons,

R Ils s’en sont relevés … et pour de bon !

N   O    R    D

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Forme

Réduction

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Évocation 

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Un vase, une bouteille,

Une  montre  à  gousset,

Ou encore un beau bijou,

Du genre …  pendentif

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Lille est un bijou du Nord de la France

Qui rayonne partout :

Bleu convient, au cœur de ses remparts

Encerclé comme pendentif.

 .

Symbolique 

 .

L

La joaillerie

Est l’art de fabriquer

Joyaux,  plus largement

Des objets de parure comme

Des pendentifs mettant en valeur

Principalement  les pierres précieuses,

Les pierres fines, les pierres ornementales

Les perles,  en  utilisant    pour   montures

Métaux précieux suivants : l’or, l’argent,

Le platine.  Depuis   quelques  années,

Certaines des pièces de joaillerie

De haut de gamme réalisées

En titane, céramique,

Ou en acier.

lyn-et-or-bijoux.com/content/22-

la-symbolique-des-bijoux-

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Fond

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Évocation 

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Lille est un bijou du Nord de la France

Qui rayonne partout :

Bleu convient, au cœur de ses remparts

Encerclé comme pendentif

.

Symbolique

.

Tous les bijoux,

Ont une dimension

Affective et spirituelle,

Marquant très souvent

Histoire personnelle.

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Aussi, les pierres

Les métaux à partir

Desquels ils sont conçus

Sont porteurs de symboles.

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Ainsi serait couronne des rois,

Ainsi sera alliance des mariés,

Ou fonction religieuse sociale

Ou encore sentimentale

Rappelant quelqu’un.

Quelque-chose,

Source : 1001 symbole+ bijoux

demoiselle.com/symbolique-bijoux

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Fond/forme 

Une grande ville, du  Nord

Au  rayonnement  industriel,

Sans compter,  sportif, culturel

Des plus grands et  des plus forts !

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Une grande ville, chargée d’histoire

Dont témoignent, monuments, ruelles

Sans compter  sa grand  place  centrale.

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Une grande ville encore à taille humaine :

232 000 habitants comme Bordeaux, Rennes

Et où il fait bon vivre,  quel que soit la saison,

Dont on apprécie et la bière et les moules frites.

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Textuels et illustrations   >>