745 – Je marcherai, sur les chemins, à ta rencontre

Visuels et textuels  >>

.

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui, à l’encontre

Rester, chez soi,  immobile,

N’auraient  rien de   stérile.

.

Au tournant, halte, carrefour,

Seront autant occasions de voir

La vie  sous ses  différents  jours,

Parfois blanc, parfois rose, noir.

.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, la montagne,

En mer, en campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je m’éloignerai,

Bien  au-delà des  frontières,

Je partirai, puis  je  voyagerai

Et,   bravant  tous  les dangers,

Et je volerai et je nagerai mais

Vers toi, toujours,  reviendrai.

.

Et  j’irai, bien  éveillé,  jusqu’au

Plus   lointain de tous mes rêves,

En  traversant  le long  de ma  vie,

Tous les fleuves du  profond  désir

Et dans lesquels me  baignerai nu,

Et  cela, jusqu’au  dernier  soupir !

.

N’est-ce pas ce  que  l’on imagine

Assez  bien, chacun d’entre nous,

Quelque  chose d’autre à ajouter,

Rien pour moi, et quant à vous !

.

.

Extensions

 .

Je marche,

Sur le chemin,

À ta  …  rencontre :

Cri du cœur, idée esprit,

Acte de foi, d’âme, s’il en est !

On pourrait, toujours, en rajouter

Tant que  la passion, l’amour, l’espoir,

Demeurent intacts, revenir vers quelqu’un

Que l’on cherche jusqu’aux confins du monde :

Cela ne vous sera peut-être jamais arrivé mais un

Voyage peut vous fait voir vos amis sous autre angle.

Chapelet des rencontres  ou  de successions de déserts :

À chacun  de privilégier  la formule, qui lui  corresponde.

En tout état de causes, il faut se retrouver soi-même avant

Trouver l’autre, marche est une métaphore du mouvement.

Ce n’est pas tant la forme prise qui compte que le processus

Qui la décide, qui le remplit, qui lui réussit.

J’ajouterai à cela : il n’y a rien à

Rajouter bien que déjà dit.

.

Chacun marche partout, en ville, campagne, montagne,

Jusqu’à ce qu’une rencontre les fasse marcher, de concert

Et qu’ils continueront à le faire sur la voie qu’ils ont tracé.

En montagne, en forêt, on peut marcher  durant des heures

Sans croiser   âme qui vive, et sans échanger, avec personne,

Mais qu’importent les distances et solitudes, si, au bout, il y a

Une rencontre allant en même direction avec le même plaisir !

.

Rester, chez soi, à attendre

Ou marcher à ta rencontre

Ou se croiser… sans se voir

Trois alternatives à prévoir

.

Je n’aurai trouvé personne,

Personne ne m’aura trouvé,

Mais je continue à chercher,

Celui, celle, un jour, je sonne.

.

Me représentant quelqu’un (e)

Je me livre à ma bonne fortune

Lors ma rencontre est différente

Variation sera plus que tentante.

.

Tant, de modèles, je me défendrai,

M’étant suggéré par communauté,

Ce qui compte n’est pas apparence

Mais le fond du cœur en présence !

.

.

745 – Calligramme   

 .

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui …  à l’encontre

De  rester,  chez   soi,  immobile,

N’ont   Ô    rien de    Ô     stérile.

Lors tournant  //   halte,  carrefour,

Seront autant //  d’occasions  de voir

La vie  sous // ses  différents  jours,

Parfois blanc ==== rose, noir.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, montagne,

En mer, campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je      M                      V    m’éloignerai,

Bien  au-delà   A                     E   des  frontières,

Je   partirai,    R                    R   et  je  voyagerai

Et   bravant     C                   S   tous les dangers,

Et je volerai     H                  *   je  nagerai   mais

 Vers toi, tou    E                 T   jours,  reviendrai.

 *                A  …..

 Et j’irai, bien    S                 *    éveillé,     jusqu’au

 Plus   lointain   U               R   de tous   mes rêves

 En  traversant   R               E    le long   de ma  vie

  Tous les fleuves   *              N     du  profond   désir

 Et dans lesquels   C             C    me   baignerai nu,

  Et cela jusqu’au   H             O    dernier …  soupir !

 E              N

N’est-ce pas ce      M               T    que l’on imagine…

 Assez  bien  cha      I                  R   cun  entre nous, ….

Quelque  chose        N                  E  d’autre à ajouter …..

 Rien, pour moi,        *                     *   et quant à vous……..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

745 4

.

Silhouette d’un marcheur

Au pas rapide au pas décidé

 En cours de longue randonnée

Jusqu’à rencontre âme-sœur.

.

Marche, rencontre, vont ensemble

bien mieux que de rester … chez soi,

dès qu’on se met d’humeur vagabonde

toutes ses formes avancent vers le fond.

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Puis  sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

.

Symbolique 

 .

Les schèmes symboliques

Qui manifestent cette marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Se décryptent en expérience spirituelle,

Que celle-ci soit plutôt d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique ou mystique.

.

Le symbole du chemin constitue l’un

Des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Révèle essence humaine «être-en-recherche».

Source : universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

Descriptif

745 – Marche sur le chemin, vers ta rencontre

  Alignement central  /  Titre  dédoublé  / Thème  liberté

Forme anthropo /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur / Symbole de fond : rencontre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

745 6

Changer l’image ici 

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Ou sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

  .

Symbolique 

 .

Chaque rencontre

D’amour aura le sentiment

De ne ressembler à aucun autre.

Dans la lignée des philosophes grecs,

Les psys dégagent pourtant trois profils

Types de l’état amoureux, et dans lesquels

Nous pouvons tous nous reconnaître. :

 .

Éros : L’amour passion ;

Agapè : l’amour-amitié :

Philia : l’amour profond

De l’être humain entier.

psychologies.com/Couple/

Vie-de-couple/Amour

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

La marche est le chemin, l’énergie, l’élan

La rencontre est l’opportunité, l’instant,

Où l’on se croise,  se parle, et  s’entend,

.

Pour poursuivre le chemin ensemble,

Ou l’on se quitte et tout fout-le-camp

Tout est à refaire … à recommencer.

.

Irai-je plus loin ou … abandonner :

Je suis fatigué   à force de marcher,

Mais je sais qu’au bout, te trouverai,

C’est ce que j’espère, c’est ma destinée.

 .

.

Chemin de Compostelle

.

Scénario

.

Je marcherai dans les montagnes et les vallées, pour te chercher,

je marcherai en toutes campagnes et toutes forêts pour te trouver :

et, si on se croise, on ira ensemble, dans la même direction, toujours !

 .

Visuels et textuels  >>

333 – A la voile et à pied et à ski et en vélo !

Visuels et textuels  >>

.

Autant de sports,

Autant de bonheurs

Du sud jusqu’au nord,

Autant bonne humeur !

.

En voiles, l’on  s’emporte,

Et en skis,  l’on se déporte,

Par les pieds, l’on se porte,

En vélo,  l’on se  téléporte !

.

Quatre moyens de voyager,

Lentement mais  surement

D’un  point, à l’autre, fixé,

Prenant bien  son  temps

.

Mieux  vaut être  deux,

Trois   pour  partager,

Instants … heureux,

À  se   mémoriser,

Sensations fortes

Qui ressortent,

De paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

.

Extensions

.

Ces poèmes ne sont de trop pour évoquer ces iles,

Terres rassemblées, mis en forme pour communiquer.

Il existe quantité de sports tous aussi attrayants autres

À partir du moment où l’on s’en déclaré un passionné.

Moi, ce sont les quatre sports que je préfère, de loin.

.

On ne parle bien que de ce que l’on connait le mieux.

Sports collectifs, je ne les pratique pas, mais cela ne

N’empêche nullement de les aimer ou les admirer.

Il se trouve que ces quatre sports se pratiquent

Tous en plein air la pleine mer, pleine nature,

La voile, c’est pour mes bras, et  la rando,

C’est pour mes pieds, le vélo, mollets,

Le ski … c’est pour mes … genoux.

.

Mettre sport et nature, en poèmes,

Consomme aussi beaucoup d’énergie,

Pour la bonne cause, oui… cause toujours !

La poésie comme le sport, n’exclut pas l’humour

La tête y participe beaucoup plus qu’on ne le pense ;

La tête et les jambes direz-vous : j’ai entendu cela

Quelque part mais je ne sais plus très bien où !

.

Quel que soit le sport qu’on pratique, préfère, compète,

Il y a toujours un prix, une médaille, un trophée à gagner,

En dépit du fait qu’esprit olympique de Pierre de Coubertin,

Consisterait d’avantage à bien  participer qu’à vouloir gagner

Ce sont les champions qui entraînent autres vers leur sport :

Tous se valent à partir du moment où l’on atteint sommet

Chacun peut, toutefois, à son niveau espérer un trophée.

.

On peut difficilement comparer les sports :

À chacun ses difficultés, plaisirs, méformes,

On peut, en tant qu’individu en pleine forme

Les enchainer comme on le fait au décathlon.

.

Courses de vitesse ne sont pas courses de fond,

À chacun son défi, selon ses passions, capacités.

Moi qui ai pratiqué, la voile, marche, le ski, vélo,

Je ne saurais dire lequel sera resté  mon préféré !

.

Il m’est impossible d’expérimenter tous les sports

Ni même de m’y intéresser, à part, par curiosité :

Ce sont les engagements et plaisirs que j’assume

Qui me font les partager sous forme poétique.

.

.

Épilogue

.

À pied, à cheval, en voiture,

En vélo, en skis…en bateau :

Six  transports  à rajouter  à :

En bus, en train … en voilure,

Trottinette, mobylette, moto :

Pas un moyen qui manquera.

***

On dit qu’à pied,  on peut aller

Partout, en partie  vrai et faux,

Sur la neige : skis ou raquettes.

On ne traverse pas mer, océan :

Pas de pont : avion  ou  bateau :

Je ne me vois pas nager, si loin.

***

Tour du monde, à pied … à vélo,

Voire en bateau, mérite trophée,

Certains l’on fait, autres le feront

Et moi, je leur tire mon chapeau,

Un tour de la France ou traversée

Ça fait déjà une trotte sacré nom !

***

Quoiqu’il en soit, il en fût, en sera,

Bouger et voyager, est destination,

Pour les uns, pour autres, destinée.

On peut en faire et loisir et passion,

Je suis de ceux ayant devise : utiliser

Moyen nécessaire, là  où  il le faudra.

.

.

333 – Calligramme   

 .

Autant de  V   sports,

Autant     O  de bonheurs

Du sud    I   jusqu’au nord,

Autant    L   bonne humeur !

E ………..

En voiles,    *     l’on  s’emporte,

Et en skis,      P   l’on se déporte,

Par les pieds,    I     l’on se porte,

En vélo,  l’on se    E    téléporte !

            D

Quatre moyens de  S     voyager,

Lentement mais    *    surement

D‘un  point, à     S  l’autre, fixé,

Prenant bien    K    son temps

    I

Mieux  vaut  *    être   deux,

Trois pour   V    partager,

Instants    E     heureux,

À se       L  mémoriser,

Sensa O tions fortes

Qui  * ressortent,

De   paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

333 4

.

Un trophée sportif,

Oui, très probablement,

Oui d’accord mais lequel 

De voile, ski, marche, vélo ?

.

Trophée par ci, ou trophée par la

chaque sport a les siens, individuels

ou collectifs, tant et si bien que : tous

s’accordent que fond justifie la forme !

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Il n’y a, pour le moment,

Aucune inscription, aucun signe !

.

Symbolique 

 .

Conception, réalisation d’un trophée

Peut être confié à un sculpteur célèbre,

C’est en général une forme sur un socle :

Une allégorie de victoire ou d’honneur,

Empruntée   à    la     mythologie ;

La représentation d’un objet

Ou   d’une   attitude  de

Discipline concernée

Ou encore une

 Forme abstraite.

wikipedia.org/wiki/ Trophée-dans-sport

.

.

Fond

.

Évocation 

.

333 6

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Mais si voyons, de cinéma

Une création de César

.

Symbolique 

.

Le trophée  est  remis

Au vainqueur  et  des titres

Symboliques pour ses seconds

Lors d’une  cérémonie  officielle

Par un  ou des membres éminents

De la discipline  ou de son instance.

 .

Cela dit, l’objet  du trophée  peut être

Symbolique : une coupe, une médaille

Financier : un bon d’achat,  un  chèque,

Ou un contrat : d’édition ou distribution.

 .

La cérémonie est assez souvent enjolivée

D’un discours, d’une remise  de  bouquet

Ou d’une couronne, voire d’une montée

Des couleurs, drapeau,  de l’exécution

D’un  hymne spécifique ou national.

Wikipédia : trophée

.

.

Corrélations

.

Fond/forme

 .

J’en aurai trop fait, ou trophée,

Quel vilain jeu de mots, s’il en est.

Quand je pense trophée, pas sport,

Mais bien plutôt littérature, rature

Prendre les voiles, est ce que j’ai fait

Le plus, durant presque trente années

Et pour les autres, plutôt en pointillés,

Je me retrouve avec un sport cérébral

Qui a pour nom : Éclats d’existences,

Qui ressemble fort à un marathon.

 .

.

L’important, avoir sensations

.

Scénario

.

À la voile, quelque part sur une plage bretonne !

En ski, quelque part dans une station des Alpes !

En vélo, quelque part  dans une ville de France !

 .

Visuels et textuels  >>

331 – Vélo est comme marche accélérée

Visuels et textuels >> 

.

Le vélo c’est comme marcher

En accéléré,

Pour pédaler suffit appuyer léger

Pour démultiplier,

Il vous permet d’aller bien plus loin

En une journée.

De muscle respiration, prendra soin,

En une matinée.

.

Sinon, soin de votre ligne,  ou santé,

Ou embonpoint,

Tant et si bien, qu’en fin de journée,

Ne regrettez point,

Loin des autos, loin de pétarades,

Moteurs, motos,

Vous  aurez  silencieuse  balade,

Circuit cyclos.

.

Pour changer de lieux, endroits,

Vélos dans l’auto,

En Bretagne, cent lieux,  je crois,

Ne seront de trop

Pour cinq sens, stimulés cent fois,

Paysages beaux.

.

Seul, c’est bien, en famille, à deux

C’est mieux,

 Roulant sans souci, tracas, on peut

Etre heureux

Ou descendre  au fond des creux,

Faire curieux

Ou monter, à toucher  les cieux,

Faire envieux.

.

Tant que jambes ne flanchent,

Cœur ne calanche,

Allez au bout carte blanche

Chaque dimanche.

Avoir pignon, sur vélo,

Comme sur rue,

C’est à la fois, beau

Et bienvenu.

.

Bougez jeunesse

Bougez fesses

Pour votre

Santé.

V

.

.

Extensions

.

Le vélo n’est pas comme le voilier,

Synonyme de liberté, grand large, aventure.

C’est un moyen de transport ou loisir, parfaitement

Maitrisé, accessible à tous, petits, grands  jusqu’à cent ans.

.

Synonyme de balades le long des routes, chemins, sentiers,

Le plus souvent il est pratiqué en famille, en pleine nature,

Sauf pour les sportifs, et les fous de VTT, qui pratiquent

Des circuits spécialisés pour s’entrainer régulièrement.

.

Et son dérailleur, joint, de nos jours, à un indexeur,

Est devenue la merveilleuse invention technique

Qui donnerait de la force, voire de la souplesse

Pour adapter votre rythme, à votre parcours !

.

Les suspensions de la roue, avant apporteront

Un certain confort dans des terrains accidentés

Mais ne servent à rien sur routes très  bitumées.

.

Le compteur de kilomètres, variation de vitesses,

Consommation d’énergie, seront des aides utiles,

Mais, non indispensables,  quand ce qui compte,

Est avant tout le plaisir plus que la performance.

.

On peut aussi utiliser le vélo pour aller au boulot

Cela se pratique de plus en plus surtout en ville

Où les voitures n’avanceraient guère plus vite

Que transports en commun, mal desservis.

.

Relax, max, accélère et monte à vélo, pour un max,

Et puis si tu veux des sensations : le country cross,

Se plie à tous terrains avec un VTT, à suspensions,

Y a pas de mal à se faire du bien sur tous chemins

Les VTC sont faits pour ça, et pour la route, aussi.

.

Essayer de faire du vélo, sur le plat,

À côté d’un marcheur du dimanche

Vous tiendrez avec peine l’équilibre,

Et pied à terre au moindre faux pas.

.

Cela ne vous empêche pas de prendre

Un vélo pour gagner temps de marche

Car c’est au moins du simple au triple,

Autant d’énergie, en moins, dépensée !

.

Attention car si vos pieds sont autonomes,

Le vélo, lui ne l’est pas, demande entretien.

Un vélo qui crève  ou qui déraille, c’est vous

Qui écopez des ennuis, retard, réparations !

.

.

331 – Calligramme

 .

LE VÉLO

Le vélo c’est comme marcher

En accéléré,

Pour pédaler suffit appuyer léger

Pour démultiplier,

Il vous permet d’aller bien plus loin

En  une  journée.

De muscle respiration, prendra soin,

En une matinée.

.

EST UNE

Sinon, soin de votre ligne,  ou santé,

Ou embonpoint,

Tant et si bien, qu’en fin de journée

Ne regrettez point,

Loin des autos, loin de pétarades,

Moteurs,   motos,

Vous  aurez  silencieuse  balade,

Circuit cyclos.

.

Pour changer de lieux, endroits,

Vélos dans l’auto,

En Bretagne, cent lieux,  je crois,

Ne seront de trop

Pour cinq sens, stimulés cent fois,

Paysages beaux.

 .

MARCHE EN

Seul, c’est bien, en famille, à deux

C’est mieux,

 Roulant sans souci, tracas, on peut

Être heureux

Ou descendre  au fond des creux,

Faire curieux

Ou monter, à toucher  les cieux,

Faire envieux.

 .

ACCÉLÉRÉ

Tant que jambes ne flanchent,

Cœur ne calanche,

Allez au bout carte blanche

Chaque dimanche.

Avoir pignon, sur vélo,

Comme sur rue,

C’est à la fois, beau

Et bienvenu.

Bougez jeunesse

Bougez fesses

Pour votre

Santé.

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

331 4

.

C’est peut être une simple vis,

Ou c’est peut-être un pendentif,

Ça ressemble plus à une fusée,

Qu’à un vélo, sans aucun doute !

.

A priori, aucun de rapprochement possible

d’une fusée avec un vélo, en cherchant bien

j’en ai trouvé un, spécial, en forme de fusée,

sa forme aérodynamique aura servi au fond

.

 À première vue rien de commun

Avec cette fusée, bien que…

Rien n’empêche d’imaginer un vélo,

Ayant une telle forme !

 .

Symbolique 

 .

Rêve

De fusée

Est un symbole

Que l’on rencontre

Souvent dans des rêves

De garçon, car il représente

L’énergie qui permet de s’élever,

D’aller conquérir de nouveaux horizons.

.

C’est le symbole du courage, de la curiosité,

De l’action, de la rapidité, et de l’efficacité,

De l’ouverture d’esprit  autant que  besoin

De découvrir le monde qui nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-reve/fusee

.

Descriptif

 .

331 – Le vélo est une marche en accéléré     

Alignement central   /  Titre intercalé  /   Thème  vélo

Forme pointe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : fusée / Symbole de fond : homme-fusée

.

Fond

.

Évocation 

.

331 6

.

À première vue rien de commun

Avec cette fusée, bien que…

Rien n’empêche d’imaginer un vélo,

Ayant une telle forme !

.

Symbolique 

.

«L’homme-fusée»

Considéré comme mort.

L’Alsacien  François  Gissy,

Qui avait roulé jusqu’à 333 km/h

Allongé sur son vélo-fusée en 2014,

S’est tué, samedi matin, vers 7h55

Lors d’un de ses entraînements

Avec son vélo à moteur

En plaine d’Alsace.

leparisien.fr/faits-divers/haut-rhin-

il-decede-au-guidon-de-son-velo-fusee

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

J’ai déjà vu les coureurs du Tour de France,

Débouler sur le plat…  à cinquante à l’heure

De moyenne, et soixante contre la montre

Soixante-dix à quatre-vingt, en descente

Mais jamais aussi vite que va le TGV.

Faut-il l’appeler : Très Grand Vélo !

.

Il s’est tué  avec son vélo à moteur :

Comble quand même, pas assez vite

Moi quand j’atteins les 40 km/heure

Je me demande s’il faudrait freiner,

Pour bien assurer ma santé, sécurité

 .

.

Moitié marche et moitié vélo

.

Scénario

.

Cool, cool, si tu veux accélérer ton pas : suffit de monter vite sur vélo.

La marche, la course et le vélo : trois activités, rythmes sportifs.

Moitié marche, moitié vélo, en fonction de l’état du terrain !

 .

Visuels et textuels >> 

330 – Petite randonnée… en sous-bois

Visuels et textuels  >> 

.

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes, parfois.

.

Puis vous longerez deux longs étangs

Pleins de poissons et tous, frétillants

Vous apprécierez le calme de ce lieu

Seul,  en pleine  nature,  et heureux

.

Vous suivrez  le cours de ruisseau

Vous le longerez le long d’un pré,

Sur son sol vert bien gorgé d’eau

Foulerez leurs herbes mouillées.

 .

Vous accosterez village fermier,

Où les  maisons sont anciennes

Faites de pierres  et ardoisées,

Avec cour pavée  et en damier.

 .

Traverserez le marais marin,

Où des oiseaux  vont pécher,

Et savourerez endroit divin,

Par soleil couchant, éclairé.

 .

Tout y est : non …  attendez,

J’allais oublier cette humeur

Vagabonde  dont votre cœur

Restera, long temps, attaché.

 .

Enfin… rentrez dans mon ile,

Chocolat chaud, vous attend,

Comme un viatique reposant

D’une ballade  très tranquille.

.

.

Extensions

.

Il arrive que le retour d’une randonnée

Offre un paysage différent de celui de l’aller

Ou des points de vue qu’on n’a pas découverts.

.

Ile Grande, nombre de gens  se disent surpris,

Agréablement, par les différences, et variétés,

De paysages, de panoramas et lumières selon

Qu’ils ont fait le tour dans un sens, et l’autre.

.

Vous me direz, c’est une ile avec mer autour

Et ça, pour le moins, ça ne changera pas !

Eh, détrompez-vous, elle n’est pas même

Là  où  il  y  a  des  rochers  ou  du  sable,

Là où il y a une baie  ou un promontoire,

Là où il y a fort courant, où il n’y en a pas.

.

Et puis du côté terre, c’est encore plus net,

La végétation, la couleur, la morphologie,

Changent sans cesse : sentier des douaniers,

Comme on l’appelle, et qui longe toute la côte,

Fourmille de merveilles, tant naturelles, culturelles

On peut le pratiquer dix fois, vingt fois, sans s’en lasser.

.

Sous-bois est abrité, procure à la fois une atmosphère

De fraîcheur et un imaginaire propice à rêverie, rêveurs

Au printemps, le vert tendre domine et parfume canopée,

En automne, les couleurs flamboient,  charment le regard,

En été, on joue à cache-cache avec le soleil parfois torride

En hiver, on voit tout à travers et on se préserve du froid,

Chaque saison à son attrait ainsi que chaque sous-bois.

.

Disons-le : franchement, avouons-le, directement :

On ne se ballade longtemps pour se faire les pieds,

Bien plus souvent c’est le paysage, qui nous attire

D’autant qu’on ne le connait pas, on le découvre !

.

Quel plaisir de pénétrer, en sous-bois  ombragé,

De marcher sur un tapis de feuilles, desséchées,

Passer sous tunnel d’arbustes qui se rejoignent,

Marcher en chemin creux, à hauteur d’homme.

.

Et puis après, le retour à la lumière, au paysage

Et suivre les pas de ceux qui ont créé ce passage,

En regardant un ciel complice et sans un nuage :

La Nature nous aura donné tout cela en héritage.

.

.

330 – Calligramme 

 .

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes parfois.

Puis  vous longerez  deux longs étangs

Pleins de poissons, *   tous, frétillants ;

Vous apprécierez   P le calme de ce lieu

Seul, en pleine       E nature et heureux

 T

Vous suivrez  le      I  cours de ruisseau

Vous le longerez    T   le long d’un pré,

Sur son sol vert     E  bien gorgé d’eau

Foulerez leurs      * herbes mouillées.

  R

Vous accosterez    A   village fermier,

Où les  maisons    N   sont anciennes

Faites de pierres  D       et ardoisées,

Avec cour pavée    O       et en damier.

   N

Traverserez le           N       marais marin,

Où des oiseaux          É            vont pécher,

Et savourerez             E           endroit divin,

Par soleil cou               *            chant, éclairé.

 S

Tout y est :                    O               non attendez,

J’allais oublier                U                 cette humeur

  Vagabonde                       S                dont votre cœur

  Restera, long                     –                   temps, attaché.

 B

  Enfin, rentrez                      O                       dans mon ile,

    Chocolat chaud,                   I                             vous attend,

       Comme un via                      S                             tique reposant

         De votre ballade  ………………………………………….. très tranquille.

.

.

Forme

Réduction

.

.

 Évocation 

.

330 4

.

La silhouette d’un marcheur

Avançant, tranquillement

Et bien à son rythme

Long chemin ?

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

 .

 En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Si les pieds sont autant symbole de liberté,

Ce serait peut-être enfin à cause du lien

Entre  le marcheur  et ses pensées.

Un lien dont étaient convaincus

Des personnages aussi divers

Qu’Aristote, Beatriz   Padovan,

Nietzsche  Jean-Jacques Rousseau.

Cheminez à pieds, petits poucets rêveurs,

Et laissez donc vagabonder vos belles pensées !

.

Descriptif

 

330 – Petite randonnée dans les sous-bois     

Alignement central / Titre courbe   / Thème  rando

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur  / Symbole de fond : chemin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

330 6

.

En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Les schèmes symboliques

Qui  manifestent  cette  marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Peuvent se décrypter derrière

Expérience spirituelle,

Que celle-ci soit d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique, mystique.

.

Tant le symbole du chemin constitue

L’un des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Il lui révèlerait  l’essence humaine

En tant qu’«être-en-recherche».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Randonnée suppose un circuit balisé

Mais, parfois, un aller-retour, accepté

Vous procure autant surprise et plaisir,

Voire d’un très bon exercice, pour finir !

.

Combien de fois ai-je fait le tour complet

D’Ile-Grande sans jamais un seul regret.

.

On pourrait croire à certaine lassitude

La craindre mais le paysage change

Très souvent et lors on ne marche

Que rarement même paysage.

 .

.

Sous-bois cachant secret

.

Scénario

.

Entre deux bois, passage à pied d’une rivière.

En automne, dans un sous-bois, tapissé de feuilles.

Au printemps, dans un fourré aux abords d’une clairière.

 .

Visuels et textuels  >> 

329 – Grande randonnée, en sous-bois

Visuels et textuels   >>  

.

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

.

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

.

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

.

Cet humus qui, sans cesse, se renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids destructeur de mes pas,

Je suis géant,  au pays des nains  et  réciproquement.

 .

La cime des arbres,  qui accroche les nuages,  sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de couleurs … exfoliées

Tant je sens  leurs odeurs suaves, envelopper mon nez,

Qu’un flot  d’images, en mémoire limbique, me suscite.

.

Quelle chance d’être accompagné  en tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations, vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est en Ouest  de toutes parts.

.

Un temps maussade ne produit pas d’effets sur l’esprit,

À peine un brin de blues nostalgie  et ou  de mélancolie

Que, bien vite, cette présence amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été  chassés de ce paradis ci.

.

.

Extensions

.

Le sous-bois est, souvent, recherché

Pour marcher et autant à cause de

Sa fraicheur que de sa splendeur.

Le soleil est filtré par un voile de

Feuillages, plus ou moins dense,

Si fait qu’il scintille de lumières

Par contraste des zones d’ombre.

.

Quand il pleut, il retient  ou retarde

La tombée des goutes  sur votre tête,

Votre peau, et puis garde  l’humidité,

Si le soleil tape par la suite, très fort.

.

Le sol lui-même exhale des senteurs

D’humus sur tapis feuilles mortes,

En automne, et, parfois, en hiver,

Les oiseaux chantent leurs refrains,

Voire leurs couplets, l’on peut apercevoir

Quelques lapins, renards, faisans ou gibiers.

.

Par contre, il faut savoir se guider car la vue

Porte qu’à une centaine de mètres au plus

Et, les chemins nombreux, mal bornés,

Peuvent vous perdre en pleine forêt.

.

On peut randonner tout seul ou avec un chien,

Mais on peut être à deux ou je ne sais combien,

Essentiel est avancer, régulièrement, sur terrain,

Ne pas se dire, c’est fatiguant, quand  c’est la fin !

Moyennant, le plaisir est, souvent, au rendez-vous.

Il ne faut pas oublier que  l’humain reste un bipède,

Un nomade, ayant besoin de pieds, pour se déplacer.

La pensée se détend et s’exprime mieux en circulant,

Finalement, la marche c’est bon autant pour l’esprit.

.

La meilleure façon de marcher

C’est surement la nôtre

C’est de mettre un pied devant l’autre

Et de recommencer

Extrait, chant scout de Dans la troupe

.

Marche ou crève, me disait-on à l’armée.

Quelle idée d’aller faire service chez paras.

.

Tant que tu peux parler, tu peux marcher :

Restait plus qu’à tomber à terre … inanimé.

.

Voilà deux manières d’envisager une rando,

Je vous dirai pas mot de celle que je préfère.

.

.

Épilogue

.

La marche consiste simplement à mettre

Un pied devant l’autre et à recommencer.

Voilà définition facile, et qui marche bien,

Qui commence à un an, pour ne plus finir.

 

***

 

Et,  tant qu’à se faire plaisir pour marcher,

Autant le faire au bon endroit, en sous-bois

Le sol reste un peu élastique sans être mou,

Plus reposant  pour les pieds, qu’une route !

 

***

 

Puis les paysages sont, souvent, magnifiques

Tunnels de verdure seront plus qu’idylliques,

Lieu vallonné, ciel bleu, soleil, et herbe verte,

Une image carte postale, où  il  fait bon vivre.

 

***

 

On y marche, l’esprit léger,  sans se fatiguer :

On y passe des heures sans se rendre compte

Alors que tout au long chemin,  on se raconte

Des histoires, voire  souvenirs, à se partager !

 

***

 

Sous-bois, parfois sombres, jamais aux abois :

Décidons du sentier à chaque embranchement

Même si, parfois, on s’y perd, on se retrouvera,

Étonné d’avoir trouvé la sortie, et rando : finie.

.

.

329 – Calligramme

 .

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

********************************

**********************************

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

 

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

 

G  R  A  N  D    E

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

 

Cet humus qui, sans cesse, se   R  renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien   A  d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids  des  N  tructeur de mes pas,

Je suis géant, au pays des nains     D    et réciproquement.

                       O          

La cime des arbres, qui accroche     N     les nuages, sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de     É     couleurs … exfoliées

Tant je sens leurs odeurs suaves         E     envelopper mon nez,

Qu’un flot d’images en mémoire          *      limbique me suscite.

                       *           

Quelle chance d’être accompagné          S     dans tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations          O       de vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver                U        et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est                S           en Ouest  de toutes parts.

        –

Le temps maussade ne                         B                produit d’effet sur l’esprit,

À peine un brin de blues                    O                    nostalgie et/ou mélancolie

Que bien vite cette présence            I                          amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été     S                               chassés  de  ce paradis ci.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

329 4

.

Une silhouette d’homme,

En  train  de  marcher

Et même rapidement

  Avec carte, chrono.

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

 .

Symbolique

 .

Les pieds sont notre base.

La base de notre … posture,

De notre stature en verticalité

De notre ancrage dans la Terre.

.

Et ils servent  à notre déplacement.

Avant l’agriculture  durant néolithique

Sédentarisation, l’homme est  un nomade,

Marchait quotidiennement longue distance.

.

Les  pieds  permettent  la marche et sa manière

La plus rapide : la course. Que ce soit en catimini

Ou à toute allure, lors les pieds permettent de fuir.

Ils nous permettent aussi, de sauter et de grimper.

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberté/2016/09

.

.

Fond

.

Évocation 

.

329 6

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

.

Symbolique de fond

.

Les pieds sont notre base.

La base  de notre posture,

De  notre  verticalité  et  de

Notre ancrage dans la Terre.

Ils servent à notre déplacement.

.

Avant  l’agriculture  au  néolithique

Et la sédentarisation, l’homme était nomade.

Il marchait quotidiennement de longues distances.

.

Les pieds permettent la marche et sa façon la plus rapide

La course, et que ce soit en catimini  ou à toute allure,  les pieds

Permettent de fuir, nous permettent aussi, de sauter et grimper. 

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberte/2016/09

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le poids n’aiderait pas à marcher, vite et longtemps

les champions ont des muscles longilignes, densifiés :

à quoi d’autre servent les pieds sinon courir, sauter, nager,

et je n’oublierai pas à danser et sur la pointe des pieds !

.

J’ai souvent été surpris par réserve d’énergie des enfants

ils se disent fatigués, faut les porter, ils courent à l’arrivée

je suis peut-être un peu vieux, lors je récupère moins vite

j’aimerais être encore comme eux, me dépenser pour rien

me dépenser uniquement, pour marcher, me fait du bien.

  .

.

Bois, sous-bois, protecteurs

.

Scénario

.

Au tout départ de notre rando, nous n’étions guère que deux,

puis nous en avons rattrapé quatre autres, dans la forêt,

pour finir notre belle randonnée à une quarantaine !

 .

Visuels et textuels   >>

328 – La marche est un sport non violent

Visuels et textuels  >>  

.

C’est une vraie

Chance que d’avoir

Un pied   …  deux pieds,

Des pointes  et   des talons.

 .

Et, sans cesse, recommencer,

À réussir pas courts et longs,

Marcher, luxe d handicapé

Alors même que valide

N’en aura jamais cure !

.

Marcher il suffirait pour perdre

Des kilos en trop, et bien attachés,

La marche  est un sport  non violent,

Et, épanouissant, le  marcheur, rend.

.

Marcher parait commun voire anodin

En tous cas,  pour un honnête  citadin,

Qui ira, de ses commerces, et bureaux,

Faire ses courses, démarches au…trot.

.

Marcher sur place, planter  ses talons,

Fatigue plus  que  d’allonger  ses pieds,

Même grimper  de très longs  escaliers,

Son rythme  s’accorde à sa respiration.

.

Marcher, pour faire  bonne  randonnée,

Pendant  trois  à six heures sans pauses,

Est le sport non violent à recommander,

Lors santé et endurance  se superposent.

.

Marcher laissera  son esprit  vagabonder

Car chaque pas  fournit  un ersatz d’idée,

Les souvenirs  s’impriment  par les pieds,

Et, la fatigue physique garantit sa nuitée.

.

Marcher,  seul, en compagnie, en groupe :

Trois déclinaisons, plaisirs, même activité,

Démarche, assurée, régulière,  chaloupée :

Le choix sera différent, selon vos affinités.

.

.

Extensions

.

La marche comme en plaine

N’est pas la marche en montagne,

N’est pas non plus la marche en désert,

Lors n’est pas la marche sur des rochers,

Chaque marche  a ses propres  contraintes

Qu’il faut savoir préparer, exécuter, négocier.

.

Marche en montagne avec sac à dos de dix kilos

Vous fait peur, sachez que ce n’est le plus souvent

Qu’une question de souffle, de rythme et de lenteur.

.

Une fois arrivé, au sommet, ou quel qu’autre hauteur,

Vous êtes récompensez  par le paysage qui s’offre à vous

Et par le bénéfique acquis pour votre santé et votre moral.

.

La marche, tout comme le vélo, autres activités de plein air,

Agit sur le moral en dépensant l’énergie, négative, du stress

Accumulé et la remplace par une autre, bien plus positive

Qui vous redonne confiance en vous, autres, en l’avenir.

.

Par contre, de marcher, ne vous fera pas maigrir

Mais vous donnera du muscle, et du tonus,

Pour mieux suivre votre bon régime

Et remplacer vos kilos de graisse

Par des kilos de muscle.

.

Façons de marcher, y en a plusieurs ;

Des chaussures de marches : plusieurs ;

Des surfaces, aspérités de sols : plusieurs ;

Des conditions météo randonnée : plusieurs.

L’on ne marcherait pas, qu’avec ses deux pieds,

Avec ses chevilles, genoux, hanches, dos, cou, tête

C’est la posture en mouvement qui se place, déplace

Normalement, on ne doit pas forcer d’un côté, l’autre :

Apprendre à marcher droit n’est pas réservé qu’au soldat.

.

Marcher, les poulains le feront dès leur naissance

Tout comme bon nombre d’animaux mammifères

Le bébé, lui prendra un an ou presque, sinon plus,

Pour affirmer, confirmer autonomie déplacement.

.

Mais après cela, fini le quatre, voire le trois pattes,

Il ne cesser de marcher jusqu’à mort, sauf accident

Il  y a même une compétition olympique, de 10 Km

À une vitesse,  variable, autour de 15 Km à l’heure !

.

Un sport  non violent, avez-vous dit ! Pas toujours !

15 km c’est violent alors que moyenne est de 5 ou 6.

La marche nordique  est intermédiaire : entre 8/9.

Il m’arrive de me faire violence, fin de randonnée.

.

.

328 – Calligramme  

 .

C’est une vraie

Chance que d’avoir

Un pied   …  deux pieds,

Des pointes  et   des talons.

Et, sans cesse, recommencer,

À réussir pas courts et longs,

Marcher, luxe d handicapé

Alors même que valide

 N’en aura jamais cure !

 .

L A     M  A R C H E     E S T

Marcher il suffirait pour perdre

Des kilos, en trop, et bien attachés,

La marche  est un sport  non violent,

Et, épanouissant, le  marcheur, rend.

.

Marcher parait commun voire anodin

En tous cas,  pour un honnête  citadin,

Qui ira, de ses commerces, et bureaux,

Faire ses courses, démarches au…trot.

.

U N    S P O R T    L E N T

Marcher sur place, planter  ses talons,

Fatigue plus  que  d’allonger  ses pieds,

Même grimper  de très longs  escaliers,

Son rythme  s’accorde à sa respiration.

.

Marcher, pour faire  bonne  randonnée,

Pendant  trois  à six heures sans pauses,

Est le sport non violent à recommander,

Lors santé et endurance  se superposent.

.

M  A  I   S       N O N     V I O L E N  T  

Marcher laissera son esprit vagabonder

Car chaque pas  fournit  un ersatz d’idée,

Les souvenirs  s’impriment  par les pieds,

Et, la fatigue physique garantit sa nuitée.

.

Marcher,  seul, en compagnie, en groupe :

Trois déclinaisons, plaisirs, même activité,

Démarche, assurée, régulière,  chaloupée :

Le choix sera différent, selon vos affinités.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

328 4

.

Un piédestal pour trophée

Ou borne pour information

Si  ce  n’est  pas  un  pied,

Silhouette qui marche.

 .

Un pied, c’est fait pour se tenir debout,

mais tout autant pour marcher et courir

il y en a même qui y prennent leur pied :

forme et fond, sens propre, sens figuré !

.

L’équilibre et le mouvement

Sont deux maitres mots du pied 

Il suffit, d’y croire, de se lancer,

De marcher un tant soit peu !

 .

Symbolique 

 

Le pied permet de se déplacer.

En outre, c’est lui qui porte le corps.

Symbolise mouvement, impulsion, liberté,

Provoque impulsion permettant d’avancer.

.

Mais le pied permet, également, de bloquer

Ses appuis et de camper sur ses positions.

.

Ainsi, le pied  symbolisera nos attitudes

Est autant représentation symbolique

De tous nos appuis…relationnels,

Et donc du rapport au monde.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-pied.

.

Descriptif

.

328 – La marche : sport lent, non violent  

Alignement central / Titre intercalé / Thème  rando

Forme anthropo  / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : pied  / Symbole de fond : marcher

.

.

Fond

.

Évocation 

.

328 6

.

L’équilibre et le mouvement

Sont deux maitres mots du pied 

Il suffit, d’y croire, de se lancer,

De marcher un tant soit peu !

.

Symbolique 

.

La marche est un exercice physique

Très complet  et  un temps  très  propice

Pour délier sa pensée, rêver, se ressourcer.

.

Elle participe d’un éveil sensoriel au monde,

Les odeurs, les bruits, la lumière, les couleurs

Et d’un retour à l’essentiel qui  permet de se

Désencombrer, de s’alléger de surcharges

Inutiles  afin  de reprendre  son souffle.

.

Il y a une sorte de douceur et d’équilibre

Dans la marche, on peut avancer longtemps

Sans fatigue par tous temps, toutes saisons

Et à chacun son rythme, son endurance.

cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il y a plusieurs façons de marcher,

On ne marche pas qu’avec les pieds,

Avec  les genoux, les hanches, le dos,

Sans compter la tête, mental autant.

Marche ou crève, dit-on, à l’armée :

Mourir par les pieds  sera exagéré.

Toute marche est un déplacement

Petit mouvement de sa liberté

Et  exercice de bonne santé

Sans compter un sport.

 .

.

Marche nordique, sport en soi

.

Scénario

.

Mettre un pied devant l’autre et recommencer,

tout en s’aidant, pour aller  plus vite et bien : de bâtons

 ou en marchant en l’eau de mer, comme le font les «longe-côtes».

 .

Visuels et textuels  >>