1108 – La quête du Graal est éternelle et vaine !

Visuels et textuels  >>

.

De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester d’actualité.

.

Sang, dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

.

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

Je cherche, cherche encore et toujours

Le sens  de  ma  vie mes folles amours,

En l’heure qui passe   jours qui s’écoulent,

En ce moment où toute vie s’écroule.

.

Que je me perde, religion art, nature, autrui, extrême,

Quelques soient les modes d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal qui peut dire où elle nous mène.

.

Elle  nous  mène, tambour  battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent connaissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme, sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui  mettent leur âme en vacances.

.

Si la vôtre ne l’est pas  et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel  Graal vous conviendra.

.

Sage, celui qui trouve réponse à cette question,

Elle n’est point folie pas plus que de raison,

Est juste  parcours parfois même poursuite

Pour autant n’est pas  celle de lâche en fuite.

.

Il n’est rien de plus vain, que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

.

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté

.

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

.

.

Extensions

.

Une quête éternelle, cela a-t-il du sens :

S’agit-il de résurrection, ou prolongation,

De la vie corporelle ou de la  vie spirituelle,

De l’éternité d’un homme ou de l’Humanité :

Par définition si cette quête est bien éternelle

C’est qu’elle est, par avance,  des plus vaines.

Homme serait-il à ce point croyant stupide

Pour rechercher cette chose, inaccessible

Pour lui ou qu’il a inventé lui-même.

.

À chacun son Graal,

Quête de vérité et justice,

Pour  les  chevaliers  arthuriens

Pour chacun, de sa réussite suprême !

.

Graal corne d’abondance, nourriture qu’on désire ;

Pierre tombée du front de Lucifer  et creusée en vase ;

Récipient utilisé ; par Jésus, à son dernier repas, la Cène.

.

Lors, pour cette dernière raison, certaines légendes  racontent

Que quiconque boirait dans un tel vase atteindrait l’immortalité !

À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur.

.

.

1108 – Calligramme

.

De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester actualité.

Sang dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

*******************************

***************************************

.

Je cherche, cherche ¤¤¤ L ¤¤¤¤¤¤¤ encore et toujours

Le sens  de  ma  vie ¤¤¤¤ A ¤¤¤¤¤¤¤  mes folles amours,

En l’heure qui passe  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ jours qui s’écoulent,

 En ce moment fatidique  ¤ Q ¤¤¤¤¤¤¤ où toute vie s’écroule.

Que je me perde, religion ¤ U ¤¤ art, nature, autrui, extrême,

 Quelques soient les modes   Ê   ¤¤ d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me  T   déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal   E   qui peut dire où elle nous mène.

Elle  nous  mène, tambour      *    battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent con       D    naissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme,     ‘      sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui      U   mettent leur âme en vacances.

Si la vôtre ne l’est pas         N     et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier      *         chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi    G        et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel    R          Graal vous conviendra.

Sage, celui qui trouve   A     réponse à cette question,

Elle n’est point folie     A       pas plus que de raison,

Est juste  parcours      L     parfois même poursuite

Pour autant n’est pas !     celle d’un lâche en fuite.

ÉTERNELLE

Il n’est rien de plus vain,  *   que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté.

ET VAINE !   

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

 .

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1108 4

.

Un vase,

Ou  bien  calice

La coupe du Graal ?

pour une vie éternelle !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

.

Symbolique

.

Le Graal est une coupe,

Objet mythique de la légende

Arthurienne, et objet de la quête

Des  chevaliers  de la  Table ronde.

.

À partir du XIII e siècle, il est assimilé

Au Saint Calice (utilisée par Jésus-Christ

Et ses douze disciples au cours de la Cène,

Et qui aurait recueilli le sang du Christ)

Et prend alors le nom de Saint Graal.

.

La nature du Graal et le thème

De la quête qui lui est

Associé ont donné lieu

À des interprétations

Type symboliques

Voire ésotériques

Ainsi qu’à multiples

Illustrations artistiques.

Source, modifiée, de Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1108 6

.

Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

.

Symbolique 

 .

« Je crois à la vie éternelle »

Est  un article  du  Credo  selon  la

Formule originelle du Symbole des apôtres,

Prolongeant l’article « je crois à la résurrection de la chair »,

Où le terme « chair » désigne l’homme   dans  sa   condition

Faiblesse, mortalité rachetée par le «Verbe fait chair».

.

Le credo selon le symbole de Nicée-Constantinople

Professe, lui,  la   « résurrection des morts ».

.

Signifiant que  l’état définitif  de l’homme

Ne sera pas seulement l’âme spirituelle

Séparée du corps mais que les corps

Mortels, appelés à reprendre vie,

Au dernier jour, incorruptibles.

fr.wikipedia.org/wiki/Vie-eternelle

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

La coupe du graal a subi de nombreux avatars

Dont le plus connu serait celui de la Table ronde

D’objet mythique et introuvable, il serait devenu

Le symbole de l’élévation suprême dans le sport,

Et toute autre discipline, et  toute autre religion

Atteindre le Graal serait touché le doigt de dieu

Boire dans la coupe, avoir accès vie éternelle !

 .

.

Caché, perdu, enfermé en église

.

Scénario

.

Un secret jalousement gardé en un coffre inaccessible

ou le secret, perdu, des Chevaliers de La Table Ronde

ou le ciboire où l’on met les hosties, corps du Christ.

 .

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316 – Notre descente en skis du mont Aravis

Visuels et textuels  >>  

.

Le ski

Est sport

Est un loisir

Est un marché

Descente  à  pied

Suppose   remontée

Mécanique tire-fesses

Ou en œufs  en cabines.

La descente est pratique,

Qui  ne s’improvise guère,

Ça glissera et ça tournera,

Du côté de la pente, raide

Ou  douce  selon  terrain.

Jambe  cassée, entorse,

Genou tordu sur bosse

Sont au rendez vous

Pour débutant

L’imprudent.

Le ski         |      simple

c’est facile      |     je te montre

hop je chausse     |    et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse  et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |    plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |    et  je  recommence

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite    |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort   |   frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |     ici devient verglas,

le domaine  Aravis    |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend    |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas    |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise   |     bien que un degré,

au-dessous  de zéro   |    les plateaux  gelés,

y a plus  qu’espérer    |   que manteau blanc

en   neige  éternelle    |   fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude    |   chaussures  plomb

les  skis   les bâtons   |   claquent sur béton

ma tête  est  encore   |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite   |  de passage  danger

petit ou plus grand   |   droit, parabolique

tous savent glisser  |   tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse          |       cabosse.

.

.

Extensions

.

On peut apprendre

À skier à tous les âges

En faire jusqu’au plus grand âge,

À condition de respecter les consignes

À la fois  de prudence, et de sécurité,

Et  de ne pas  chercher  à  dépasser

Son niveau et vitesse de croisière.

.

Il m’est arrivé  de perdre un ski,

Qui s’est enfoncé sous la neige

Lors d’un grand vol plané.

.

Il a fallu sonder la neige

Avec le bâton pour au bout

D’une demi-heure le retrouver

Plus en amont que je ne le croyais.

.

Un ski, cela  demeure  quand même

Plus grand qu’une paire de lunettes

Ou un gant et en plus, il était noir,

L’aurais-je retrouvé… si blanc !

.

De la pente, de la pente… encore et toujours de la pente.

Surtout ne pas oublier de tourner  et chasser, en rythme.

Le schuss, tout droit, n’est permis  qu’à certains endroits.

Hormis les compétitions, le chrono n’est pas de la partie :

Faire mieux que la dernière fois, après tout, pourquoi pas

Vite un caillou je glisse, mais le ski n’est pas sur roulettes

Si caillou pourra le faire dévier, pas empêcher de glisser

Dieu merci le ski est souple, il encaisse certains coups,

Sinon je ne vous dis que ça, gare à torsion du genou.

.

Je ne suis pas un champion de descente

Cela va sans dire… c’est un sujet glissant.

C’est pas naturel de se pencher en pente,

Je le fais sinon sur fesse ou dos tombant.

.

Prendre de la vitesse est, certes, grisant,

Mais trop, cela devient, vite, angoissant

Si on ne doit pas descendre vitesse lente

Il vaut mieux s’arrêter…  skis en attente !

.

Il m’est arrivé, des fois, dans le brouillard,

De descendre «tout schuss» sans savoir où.

Aveugle n’aura pas fait mieux d’éviter ravin,

Il y a seconde vue, chez skieurs inconscients !

.

.

Épilogue

.

Casse ta gueule en skis : merci  pour lui.

Non ce n’est pas mon nom, de personne

Mais cela peut arriver, à n’importe qui !

***

Moi le premier qui n’est qu’un amateur,

Mal équipé, mal habillé …  mal entrainé,

Sur plaque de neige  glacée, en hauteur !

***

Descente sur noire ne me ferait pas peur

Mais  c’est  certain : pas à cent à l’heure :

Je tiens trop  à rester  en vie, par ailleurs

Je suis accompagné  par famille, entière.

***

Voilà-t-il pas qu’un imprévu me déporte,

Après trois méchantes bosses … un trou :

Un de mes skis se fait la malle,  il percute

Un mont de neige poudreuse et disparait

***

Plat ventre, nez dans la neige, contrebas :

 Je me relève groggy, je me tâte de partout,

Rien de cassé mais … je n’ai plus qu’un ski

C’est grâce à la suite que je le retrouverai.

***

Car, un moment, j’ai cru qu’il avait glissé,

Jusqu’en bas … vous me voyez sur un seul,

L’air d’un homme, avec une jambe de bois,

Moralité, en ski, faites-vous accompagner !

.

.

316 – Calligramme  

 .

U N E

Le pur ski

Est  D  sport

Est un  E    loisir

Est un       S  marché

Descente      C      à pied

Suppose la     E   remontée

Mécanique     N     tire-fesses

Ou en œufs     T      en cabines.

La descente    E       est pratique,

Qui ne s’im      *      provise guère,

Ça glissera      E     et ça tournera,

Du côté de       N    la pente raide

Ou douce se      *      lon terrain.

Jambe cassée    S     entorses,

Genou tordu      K     bosses

Sont au rendez  I   -vous

Pour débu    S  tant

L’imprudent.

D  U     M  O  N  T

Le ski                       simple

c’est facile       |     je te montre

 hop je chausse     |     et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |   plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |  et  je  recommence,

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite   |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort  |  frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |    ici devient verglas,

le domaine  Aravis   |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend   |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas   |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise  |    bien que un degré,

au-dessous  de zéro  |    les plateaux  gelés,

 y a plus  qu’espérer   |    que manteau blanc

en    neige  éternelle  |    fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude   |    chaussures  plomb

les  skis   les bâtons  |   claquent sur béton

 ma tête  est  encore  |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite  |  de passage  danger

petit ou plus grand  |   droit, parabolique

tous savent glisser   |    tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse                cabosse.

A   R   A   V   I    S  

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

316 4

.

Une paire de skis,

Avec un skieur dessus

Et en mode  de plongée

Vers le bas, tout schuss.

.

Ski chausse et s’accorde au skieur

encore qu’il y aura skis et skieurs :

un bon skieur avec de mauvais skis

fera mieux qu’inverse forme égal fond

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

Adaptés aux natures enneigées,

Les skis  permettent  d’y évoluer

Avec aisance, vélocité  et plaisir !

.

La neige représentant les énergies

D’amours gelées : on peut  déduire

Que le  skieur  aura  été  confronté à

Cette difficulté relationnelle affective,

Dans l’enfance, ou une relation actuelle.

.

Ce peut être rejouance aussi, dans le couple.

Comme tous les accessoires qui vont par paire,

Le ski représente un comportement lié au couple.

.

Si le ressenti du déplacement en ski, reste agréable,

Le rêveur prendra du plaisir actuellement et avancera

Facilement, même dans un couple froid ; il sait s’adapter.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Ski

.

Descriptif

.

316 – Une descente en skis du mont Aravis  

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : skis  /  Symbole de fond : alpins

.

.

Fond

.

Évocation 

.

316 6

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

La descente est la discipline

La plus rapide et ses parcours

Sont les plus longs des épreuves

De ski alpin appelées des géants.

.

Descente combine maîtrise technique

Vitesse à l’état pur et un grand courage

Ski hors-piste : skier ou surfer hors-piste

Consiste à arpenter  pentes  non balisées,

Non surveillées et bien sûr non damées.

.

Cette pratique procurera davantage

De sensations que le ski sur piste,

Mais elle restera également

Des plus dangereuses.

skiset.com/lexique/

disciplines-ski-glisse

.

..

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une fois monté là-haut au sommet des pistes

Il n’y a d’autre solution que descendre à skis,

À pied ce sera une telle galère  et telle fatigue,

Qu’on aura plus jamais envie de recommencer,

.

Faut dire que dix minutes pour monter, et deux

Pour descendre, c’est cher payé, en temps perdu

Mais essayez donc de monter avec des skis fartés

Ça prendrait une heure…sinon deux, et voire plus.

 .

.
Piste pour longue descente

.

Scénario 

.

Notre arrivée dans télésiège jusqu’au col du mont Aravis,

prêts pour se jeter en pente afin de faire du hors-piste,

et une fois dans le bain, tout schuss en tournant.

 .

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315 – La balade avec raquettes en La Clusaz

Visuels et textuels  >>  

.

Raquette

N’est pas racket

Pratique, et pas cher,

Pour marcher toute neige

Facile chausser  déchausser

Indispensable, en forte  pente,

Et plus encore rapide, descente.

.

On peut aller partout hors-piste,

Des randonnées, y en a des listes,

Et on ne risque  pas de  se blesser,

En plus, on  aura temps  d’admirer

Des monts, paysages, tout  enneigé.

.

On aura tort de vouloir s’en priver

Et puis il y a chalets, restaurants,

Où on peut se reposer et manger

Avant entamer descente station

Rendre ses raquettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

.

Quand on le voit, et on y marche … c’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays.

.

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

.

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

.

Extensions

.

Au bout d’un temps,

Nous rejoignons, déchaussés,

Le village, assez fatigués, charmés,

Et très impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est un des plaisirs enfantin,

Qui même  après  bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé par

Blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

Sans commentaire

Sauf à en tomber

De ses raquettes !

Dans  des  endroits

Avec un mètre de neige

On ne pourrait s’en passer.

.

Il y a eu un temps où il y avait peu différence

Entre raquette de tennis, et raquette à neige !

Qui s’imagine randonner sur raquette tennis :

Aujourd’hui et bien pire encore pour  l’inverse.

S’enfoncer jusqu’au genou  dans la neige molle,

C’est drôle, enfantin, mais, au bout d’un temps,

Ça lasse, ça fatigue beaucoup, et cela, pour rien,

Tant la petite surface, avec trous sous ses pieds,

Vous maintient au-dessus du manteau neigeux.

.

Des raquettes, mais enfin c’est pour les vieux

Ça n’a rien de sportif, c’est en canard pataud,

Attendez donc d’en faire en neige poudreuse !

.

De toute façon vous n’aurez guère autre choix,

J’ai tenté de faire cent mètres, flanc de colline :

L’effort pour soulever une jambe est trop grand.

.

Tandis qu’avec des raquettes les doigts dans le nez

Disons, pas de pieds s’enfonçant jusqu’aux cuisses.

Enfin quand même, les dix kilomètres… ça fatigue !

.

.

315 – Calligramme  

Raquette

N’est pas  B  racket

Pratique, et  A  pas cher,

Pour marcher  L  toute neige

Facile chausser   A     déchausser

Indispensable, en D     forte  pente,

Et plus encore rap E    ide, descente.

On peut aller par      *   tout hors-piste,

Des randonnées,       R   y en a des listes,

Et on ne risque pas   A        de  se blesser,

En plus, on  aura      Q  temps  d’admirer

Des monts, paysa     U    ges, tout enneigé

On aura tort de       E  vouloir s’en priver

Et puis il y a cha    T    lets, restaurants,

Où on peut se re  T   poser et manger

Avant entamer  E  descente station

Rendre ses ra  S  quettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

Quand on le voit, et on y marche … C’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays,

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

315 4

.

Une poêle à frire ou flacon,

Deux formes  de raquettes,

À neige, une ancienne, en haut

Actuelle, en bas, à randonner.

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes pentes !

.

Symbolique 

.

Pratiquer

La raquette à neige

Dans les plus beaux décors

Hivernaux procure un bien-être

Immense  pour le corps et l’esprit.

.

Sa simplicité en fait le sport d’hiver

Le plus facile parmi tous les autres

Dès lors, si vous pouvez marcher,

Vous pouvez « raquetter ».

.

De toutes inventions pour se mouvoir dans la neige,

Aucune autre n’est à la fois aussi simple et efficace.

C’est probablement pourquoi il a fallu attendre

8 000 ans avant que s’opère une révolution

Technologique considérable : la venue,

Dans les années 1980, de raquettes

En aluminium et en composites

Munies de crampons.

gvsnowshoes.com/fr/

histoire-de-la-raquette

.

Descriptif

.

315 – Une balade en raquettes à La Clusaz  

Alignement central   /  Titre courbe   /   Thème  ski

Forme en ovale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : raquettes  /  Symbole de fond : rando

.

.

Fond

.

Évocation 

.

315 6

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes … pentes !

.

Symbolique 

.

Station

En plein hiver

Bien des amoureux

De nature et randonnée

Aiment partir à la conquête

Des petits sommets enneigés,

Loin des remontées mécaniques

Et skieurs qui dévalent les pentes,

Lors d’autres feront du ski de rando.

.

Les marcheurs,  quant à eux, opteront

Pour la randonnée avec des raquettes

Vous offrant large surface sous les pieds

Afin de votre poids sur la neige et ainsi

Vous évitez de s’enfoncer à chaque pas

En épaisses couches   de  neige molle.

Modifié, source : auvieuxcampeur.fr/

guide-de-choix-raquettes-neige

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il n’y a de lien commun entre raquettes

De neige et de tennis que : mains et pieds

Et je ne me verrais, point, jouer au tennis,

Avec une raquette de neige, et inversement.

.

Cela dit, il paraitrait difficile  de s’en passer,

Pour plaine de neige   d’un mètre de hauteur,

Sans compter descendre et monter assez à pic

Mais pour bien courir avec,  c’est un vrai défi !

 .

.

Le village de La Clusaz !

.

Scénario

.

Une paire de raquettes modernes, avec ses deux fins bâtons, carbone,

avec la manière de les chausser facile et les tenir, pour toute flexion,

avant d’entamer une très longue randonnée sans le moindre souci.

 .

Visuels et textuels  >>  

313 – En ballon, au-dessus de l’air, l’on peut voir

Visuels et textuels  >> 

.

En ballon

On ne manque

Pas d’air chaud !

C’est sûr et c’est ce

Qui fait l’aspiration,

Vers haut vers le ciel

Mais il faut être gonflé

Pour y aller beau temps,

Faut savoir par avance si

Là-haut vent non turbulent

Paysage assez      loin dégagé

Pour pouvoir en profiter.

Sinon   la nacelle,

Instable vous

En-ver-ra

Promener,

Jusqu’à tomber

Au sol, patatras,

Des plus abîmés.

.

En ballon, au-dessus des airs

On peut voir  les détails de Terre,

Sans bruit sans stress, ni se presser

Comme un oiseau plane pour admirer.

.

 D’en haut, le paysage est panoramique,

Où le regard embrasse aire fantastique

Des champs, forêts et villes  et rivières

Constituant le manteau de  la Terre.

.

Plus loin la mer, plus loin le désert :

Un nuage passe  et voile  la Terre,

Je crains instant vent contraire,

Ne plus rien voir sauf  misère.

.

Gonflé à bloc remonte haut,

Air frais saisit le dos,

Si je continue,

Idée venue

Nacelle

Parvenue

En stratosphère,

Manquerai d’air,

Pas de mystère !

.


.

Extensions

.

 « Premiers ballons à air chaud,

Sans pilote, sont très populaires dans

L’histoire  chinoise …   (dès 220-280 AD).

Elles étaient utilisées  en lanternes aéroportées

Pour la signalisation militaire (lanternes célestes).

Il faut attendre le premier vol habité enregistré,

Un ballon à air chaud des  frères Montgolfier

Le 21 novembre 1783. Le vol, à Paris, 

Atteint hauteur de 150 mètres. »

Source : Ballon Wikipédia.

.

Comme ça vous

Savez tout ou presque.

De nos jours on peut effectuer

Des parcours en aéronef mais il faut un brevet pour les piloter

Soumis aux caprices du vent, comme parachutes et planeurs ;

Planeur, au sens figuré, vous le deviendrez  quand vous serez

Statique à une hauteur de quelques centaines de mètres,

En admirant un paysage grandiose à perte d’horizon.

Ce n’est ni un avion qui se déplace rapidement

Ni un parachute qui tombe rapidement :

Vous avez tout le temps devant vous.

.

Une montgolfière rudimentaire est soumise au gré du vent

Elle peut parfois dériver, dans des directions, non souhaitées,

Percuter des obstacles et atterrir en des endroits non protégés,

Bref, c’est l’aventure vécue au premier degré, à l’état, à l’air pur.

Son vol a aussi son charme, son enchantement, par beau temps

Nul ne peut bouder le plaisir d’être contemplatif, en sa nacelle.

Plus d’un consacre gros moyens, fore énergie, pour en faire !

N’allez pas dire après que c’est stupide à l’aire des avions

Ce n’est jamais qu’un gros parachute ascensionnel

Qui comme son nom l’indique, monte au ciel.

.

Un voyage en ballon demeure inoubliable :

Moi qui ai fait du parachute, c’est l’inverse

En parachute, et comme son nom l’indique

On tombe, en vitesse, et on déploie son aile,

En ballon, on le gonfle pour monter au ciel.

.

L’un n’empêchera ni ne surpassera l’autre,

Ils sont différents, ou sont moins courants.

Lorsque le ciel se chargera de cent ballons,

On aura l’impression du voyage sans nom ;

On aura la sensation d’un retour sans fond.

.

.

Épilogue

 .

En    ballon,

En  montgolfière,

En nacelle… montons,

Nous pouvons faire le fier

Nous sommes   dans les airs,

Sans bruits, dans l’atmosphère.

.

L’on dit comme un grand chapeau,

Pour ne pas dire un petit chapiteau,

À défaut du ciel on dominera la terre,

Le vent nous porte en la direction vers

Où l’on veut aller, atterrir et  à l’heure,

Quelle joie, quel moment de bonheur !

.

Comment, dès lors, en montgolfière,

Ne pas s’émerveiller d’un panorama

À trois cent soixante degrés, offert

Et dont longtemps se souviendra

Tant tous les sens sont sollicités

Pour capter leurs instantanés.

.

J’en            rêve

Enc             ore,

Des             flux

D’air           hors

.

De cette sublime nacelle,

Où mes yeux  étincellent,

De milliers de sensations

De ma folle imagination.

.

.

313 – Calligramme

 .

En ballon

On ne manque

Pas  d’air  chaud !

C’est sûr   §     et c’est ce

Qui fait l’  §        §    aspiration,

Vers haut   §                §     vers le ciel

Mais il faut §                      §      être gonflé

Pour y aller   §                    §     beau temps,

Faut savoir   §                §   par avance si

Là-haut vent   §     §   non turbulent

Paysage assez      loin dégagé

Pour pouvoir en profiter.

Sinon   la nacelle,

Instable vous

En-ver-ra

Promener,

Jusqu’à tomber

Au sol, patatras,

Des plus abîmés.

.

******************

*********************

.

En ballon,  B   au-dessus  S  des airs

On peut voir A      les détails   U    de Terre,

Sans bruit    L      sans stress, ni  S   se presser

Comme un    L     oiseau plane pour  *     admirer.

 O                                      D

D’en haut,     N          paysage est pa      E   noramique

Où regard      ¤           embrasse aire        S   fantastique

Des champs   A            forêts et villes       *      et rivières

Constituant   U             le manteau         *       de Terre.

.

Plus loin la   D        mer, plus loin      A    le désert :

Un nuage     E        passe et voile     I      la Terre,

Je crains     S     instant vent   R   contraire,

Ne plus     *    rien voir    S     misère.

.

Gonflé à bloc remonte haut,

Air frais saisit le dos,

Si je continue,

Idée venue

Nacelle

Parvenue

En stratosphère,

Manquerai d’air,

Pas de mystère !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

313 4

.

Formes de Montgolfières,

Vues   comme   superposés,

Comme émerveillements

Successifs ou alternés.

.

Pas besoin d’un grand dessin pour

voir que forme épouse fond de l’air

et s’en nourrit comme  champignon

Icelle, en bas, en sa petite nacelle !

.

La Montgolfière a été inventée

 Pour prendre  le  dessus  sur l’air :

Plus on prend de hauteur, on aura

Un point de vue d’émerveillement.

.

Symboliques 

 .

La montgolfière

Représente  moyen transport,

D’évolution, qui est soumis au vent

Qui représente nos pensées, l’agitation mentale,

Le doute, pouvant tourner à n’importe quel moment

Difficile de se fier à cette énergie : elle représente

L’évolution, élévation que nous ne maitrisons

Nous sommes portés  par les évènements,

Surtout par les autres, ce sont proches

Qui nous donnent des conseils,

On avance, on recule,

On change d’avis,

On est soumis

Aux doutes et

Aux hésitations.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/montgolfiere

.

Descriptif

.

313 – En ballon, au-dessus des airs !

Alignement central / Titre cercle / Thème  transport

Forme en rond      /     Rimes égales    /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : montgolfière / Symbole de fond : émerveillement

.

Fond

.

Évocation 

.

313 6

.

La Montgolfière a été inventée

 Pour prendre le dessus sur l’air :

Plus on prend de hauteur, on aura

Un point de vue d’émerveillement.

 

Symbolique

 .

On comprend que l’interprétation symbolique

Est un rapport au monde qui permet à l’homme

De donner sens à tout élément de l’environnement.

Chacun  entretient un rapport  inquiet  et  curieux

À l’environnement naturel, mer, terre et aérien.

De trouver des interprétations rationnelles à

Cet apparent chaos est leur continuel souci.

.

Ils n’ont de cesse de classer observations

Et d’inventer des systèmes cohérents

Qui leur permettent de s’émerveiller

Dans cet univers, en position centrale,

Et d’élaborer des représentations de nature

Différentes selon point de vue où ils se placent.

afc.asso.fr/accueil-aicr2014/1087-

les-larmes-du-ciel-emerveillement-et-symboles

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le ballon est l’équivalent du voilier

Sauf qu’ici, on sera en air et hauteur

Mais il y a une voile, il y a un moteur

On avance, lentement, au gré du vent,

Ce qui laisse le temps pour contempler

Merveilles des paysages sous ses pieds

Qui sont, parfois, au nombre de mille

300 mètres de haut, à 360 degrés !

.

.

Panorama des plus époustouflants

.

Scénario

.

En ballon rouge et bleu dans un ciel tout bleu.

En ballon blanc et vert, on dirait presque un spi.

En ballon jaune et vert, rond comme une toupie.

 .

Visuels et textuels  >>