308 – Paris, ville lumière, avec sa Tour Eiffel

Visuels et textuels  >> 

.

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

A perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

.

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

.

.

Extensions

.

Paris,

Un phare

Tour   Eiffel,

Lors forcément,

L’image   est   belle

Même  bienvenue  mais

Y vivre ne sera pas toujours

Une sinécure, sauf à bénéficier

D’une résidence, assez spacieuse,

Avec une grande terrasse paysagée.

.

La Tour Eiffel par ci, la Tour Eiffel, par là !

Comment ne pas la remarquer,  y échapper !

Dire qu’elle n’était que  provisoire, éphémère !

La voici devenue symbole  de cette ville lumière

Tant que tous souhaitent la toucher et y monter,

Ne serait-ce que pour beau panorama sur Paris,

Qui fait, de cet endroit, comme lieu magique.

J’y suis monté, dans ma douzième année,

Moi le breton, en pleine campagne, né.

.

La tour

 Eiffel  avec

Notre Dame :

Deux monuments,

Dans  la ville de Paris,

Les plus connus et courus

Pas que français : étrangers.

.

Y suis monté une fois à douze ans

Deuxième : quarante,  deux enfants.

Enfant : souvenir  de monstre  d’acier,

Adulte : un monument,  pleine  majesté.

.

C’est vrai qu’elle aura failli  être démontée,

S’il n’y avait pas eu cette TSF pour  l’utiliser.

Vrai qu’on la voit, de très loin, pointer son nez

Elle a tout du symbole, et rien d’un gratte-ciel !

.

.

Épilogue

.

La Tour Eiffel serait l’un des monuments

Les plus connus, dans le Monde, et visités :

Rencontre obligée ou presque pour étranger,

J’y suis moi-même monté à l’âge de douze ans.

***

Elle ne ressemble ni au Colysée,  à autre symbole,

Telle la porte de Brandebourg ou la Tower Bridge :

Elle est la seule à être entièrement construite en fer

Avec ses trois étages et tout en haut, phare lumière.

***

Paris  ne se résumera pas, non plus, à sa Tour Eiffel :

Des beaux monuments,  il y en a, à la pelle et partout,

Et il y a les magasins, musées et nombre d’attractions

Pour qui aurait  un peu d’argent, difficile s’y ennuyer !

***

Parfois elle s’illumine, de bas en haut,  parfois clignote,

De la voir dans son champ de vision rappelle où l’on est

Il existerait  de par le vaste monde, quelques imitations

Mais aucune n’a sa prestance, élégance de vieille dame.

***

Elle a connu drame, y a quelques années, en cathédrale,

Qui a brulé comme feu de paille et sauvée grâce à Dieu.

Paris, ville des lumières  et ville de toutes les festivités,

Vit, de nuit comme de jour, une activité débordante.

.

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308 – Calligramme

.

 PARIS

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

À perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

VILLE LUMIÈRE

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

A V E C         L A         T O U R       E I F F E L  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

308 4

.

En bas, clochette sonnette,

En haut,   sort e de  chapeau,

Haute tour, toute en triangle,

Surmontée de faisceau lumière.

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique 

 .

L’ex

Position

Universelle

Datant  1889

Attirera à Paris

50,8         millions

De visiteurs, grands

Scientifiques d’’époque

Nouveauté de matériaux

De la grande Tour Eiffel,

Sa hauteur impressionnante

Pour  le   XIX éme  siècle   et  la

Renommée de son jeune créateur

Nommé  Gustave  Eiffel,  contribue

À développer son image  d’un édifice

Exemplaire, considéré  ultramoderne.

Lors deux millions de visiteurs chiffrent

Première ouverture d’emblème français.

Modifié, source : type-tour-eiffel.e-monsite.

.


..

Fond

.

Évocation de fond

.

308 6

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique de fond

.

L’intensité de lumière

Est grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une

Source ponctuelle de lumière,

Dans    une   direction   donnée.

En  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distingue plus

Les couleurs, et la sensibilité spectrale

Relative est décalée vers le bleu profond.

On parle, en ce cas, de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wikipedia : intensité lumineuse

.


.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

 .

Que n’a-t-on dit, écrit ou tirer le portrait

De cette grande vieille Dame qui honorait

Une Exposition Universelle, dite éphémère,

Qui est devenue avec cathédrale Notre dame

Champs  Élysées, Arc de triomphe, Invalides,

Et tant d’autres monuments, places, et jardins

Emblème de la ville de Paris, à l’international.

Elle s’illumine elle-même de sa hauteur, renom.

 .

Scénarios à développer 

.

La Tour Eiffel est une vielle dame, inutile de la présenter davantage.

Son apparence et sa localisation en plein milieu de la ville de Paris.

Photo ancienne de la Tour Eiffel prise avec un beau soleil levant.

 .

.

Paris… la ville des lumières

.

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299 – Visite du phare du Créach

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.

C’est haut,

C’est lumineux.

C’est près de la mer

Pour sécurité bateau

Qui navigue  sur  flots,

Un pinceau de lumière

Fait son tour d’horizon,

Projette son blanc éclat.

Du bateau : on l’aperçoit

À vingt milles  des côtes,

L’identifie, à chaque fois.

Le premier fut Alexandrie

Plus haut est en Bretagne,

Il y en a des cent des mille.

Protéger tout autant guider,

Dans les nuits,  mal éclairées :

Telles sont ses missions dédiées.

.

Des nuits autour de l’île Ouessant, angoissants rochers chantants,

Faisceaux de lumières… pinceaux tournoient du noroît…au suroît,

Sur la mer où poudroie, se noie, en détresse, perdition, un bateau,

Rondes incessantes en tous temps évite le naufrage en leurs eaux.

.

Le phare du Créach serait l’un des plus puissants au Monde,

Il surplombe la tempête, du haut de ses… cinquante mètres

Et il projette ses pinceaux lumineux à autant de kilomètres.

.

Premier, dernier, témoin, du Continent européen, de l’onde,

Strié, de blanc et noir, plateforme surmontée d’une tourelle,

Il brûle sa lanterne, entourée de miroirs, lentilles de Fresnel,

Tantôt amplifiant tantôt occultant ses lumières, ses signaux.

.

Il monte la garde, sur le bois d’épave, récupéré en matériaux,

Matériau pour mobiliers, que l’on peut admirer en écomusée

Ouessantin, faisant côtoyer, couleurs vives  et formes carrées.

.

Concentré d’histoires, des sauvetages, contre vents et marées,

A son pied revivez la survie de marins, dans une mer en furie.

Le courage des gardiens, en a sauvé plus d’un, des péripéties :

Hommage à ces pionniers de la sécurité en mer, en solidarité.

.

Générateurs  courant, lampes, lentilles, maquette, document :

Un musée des techniques et des recherches, inspirant l’antan :

Que d’efforts répétés, risques encourus, pour que phare s’érige

Sur ce rocher balayé par des vagues gigantesques, en prodiges.

.

Imaginez les peurs, responsabilités de leurs gardiens solitaires,

Des semaines entières glissant dans le vide de navette transfert,

Autonome, déserté aujourd’hui : dernier  gardien  de la Jument,

Débarqué, retraité a éteint sa mémoire vivante de trois cent ans.

.

J’aimerais bien être gardien de phare afin d’éclairer ma lanterne

Pour voir plus loin, en la nuit moderne, qui m’étonne, consterne.

Quand dehors, le vent rugit, vague gronde, elle s’effondre, sur lui,

Court instant, énorme gerbe d’écume, fait trembler le fondement :

Jamais, elle ne parvient  à le décrocher, bien ébranlé, il se reprend

Tout éteint, autour, bateau s’accroche à lui : c’est le seul qui luit !

.

.

Extensions

.

.

Rien ici

.

.

Nous nous devions de visiter un phare, le plus grand, sinon

Les enfants en auraient piqué un…  de rage ou de déception :

Ce fut Créach et ce, d’autant qu’il contenait un musée sur lui !

Ils n’ont pas été déçus : ils ont été surpris, parfois, émerveillés,

Notamment par la lentille qu’ils ont pu examiner, de très près.

De là-haut, qu’est-ce qu’on domine le paysage, je vous dis pas :

Au point il a fallu presque les tancer pour qu’ils redescendent. 

.

Ce ne sera pas tous les jours

Qu’on aura l’opportunité de visiter

Un phare avec un musée à l’intérieur,

 Si bien qu’on aurait eu tort de le zapper.

.

Peut-être que de nuit, ce serait tout différent

Mais déjà, de voir et comprendre comment

Il fonctionne, nous a énormément appris

Surtout qu’il y a eu nombre naufrages.

.

Ce fut un vrai régal pour les yeux,

Entre technique et merveilleux :

J’ai compris comment un feu

Pouvait être très salvateur.

.

.

299 – Calligramme 

.

VISITE

C’est    haut,

C’est lumineux.

C’est près de  P la mer

Pour sécurité  H    bateau

Qui navigue      A     sur flots.

Son pinceau      R     de lumière

Fait son tour      E          d’horizon,

Projette son        *          blanc éclat.

Du bateau :       D          on l’aperçoit

À vingt mil        U          les  des côtes,

L’identifie          *           à chaque fois.

Le premier        C          fut Alexandrie

Le plus haut      R         est en Bretagne

Il y en a des       É           cent des mille.

Protéger tout     A           autant guider,

Dans les nuits,   C            mal éclairées :

Telles sont ses    H      missions dédiées.

Des nuits autour de l’île Ouessant, angoissants rochers chantants,

Faisceaux de lumières… pinceaux tournoient du noroît…au suroît,

Sur la mer où poudroie, se noie, en détresse, perdition, un bateau,

Rondes incessantes en tous temps évite le naufrage en leurs eaux.

Le phare du Créach serait l’un des plus puissants au Monde,

Il surplombe la tempête, du haut de ses… cinquante mètres

Et il projette ses pinceaux lumineux à autant de kilomètres.

Premier, dernier, témoin, du Continent européen, de l’onde,

Strié, de blanc et noir, plateforme surmontée d’une tourelle,

Il brûle sa lanterne, entourée de miroirs, lentilles de Fresnel,

Tantôt amplifiant tantôt occultant ses lumières, ses signaux.

Il monte la garde, sur le bois d’épave, récupéré en matériaux,

Matériau pour mobiliers, que l’on peut admirer en écomusée

Ouessantin, faisant côtoyer, couleurs vives  et formes carrées.

Concentré d’histoires, des sauvetages, contre vents et marées,

A son pied revivez la survie de marins, dans une mer en furie.

Le courage des gardiens, en a sauvé plus d’un, des péripéties :

Hommage à ces pionniers de la sécurité en mer, en solidarité.

Générateurs  courant, lampes, lentilles, maquette, document :

Un musée des techniques et des recherches, inspirant l’antan :

Que d’efforts répétés, risques encourus, pour que phare s’érige

Sur ce rocher balayé par des vagues gigantesques, en prodiges.

Imaginez les peurs, responsabilités de leurs gardiens solitaires,

Des semaines entières glissant dans le vide de navette transfert,

Autonome, déserté aujourd’hui : dernier  gardien  de la Jument,

Débarqué, retraité a éteint sa mémoire vivante de trois cent ans.

J’aimerais bien être gardien de phare afin d’éclairer ma lanterne

Pour voir plus loin, en la nuit moderne, qui m’étonne, consterne.

Quand dehors, le vent rugit, vague gronde, elle s’effondre, sur lui,

Court instant, énorme gerbe d’écume, fait trembler le fondement.

Jamais, elle ne parvient  à le décrocher, bien ébranlé, il se reprend

Tout éteint, autour, bateau s’accroche à lui : c’est le seul qui luit !

.

.

Forme

Réduction

.


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Évocation 

.

299 4

.

Un petit clocher d’une chapelle

Un puits profond,  avec  arceau,

Un grand, et haut,  phare  parmi

Panorama des plus spectaculaires

.

Le phare du Créach reste reconnaissable

Entre mille :

Lors on y grimpe, on aura un panorama

 Du haut de l’ile.

.

Symbolique 

 .

Comme on le voit,

Un phare n’est pas

Qu’une construction

Élevée au-dessus du

Niveau de toute mer.

C’est une construction

Qui porte une lumière

Émettant un signal

De reconnaissance

Pour informer les

Navigateurs de la

Présence de dangers

Proximité de la côte.

Ainsi, par métonymie,

Le mot phare désigne-

La source lumineuse

abp.bzh

.

Descriptif

 .

299 – La visite du phare du Créach 

Alignement central  / Titre courbe  / Thème   iles

Forme droite / Rimes égales / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : phare / Symbole de fond : panorama

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Le phare du Créach reste reconnaissable

Entre mille :

Lors on y grimpe, on aura un panorama

 Du haut de l’ile.

 .

Symbolique 

 .

Un grand  panorama

Mot anglais du  xviiie siècle,

Lui-même formé à partir des mots

De grec ancien pan ou « παν », tout,

Et horama  o u « ραμα »,  spectacle

Est vue en largeur  espace physique.

Dans le langage courant,  cela  veut

Dire vue d’un objectif grand angle

Que ce soit photographie, dessin

Ou peinture ou au cinéma.

wikipedia.org/wiki/Panorama

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Phare ici ; farfadet, là ; far breton,

Et le tout en Bretagne et à la maison

Le plus impressionnant dans un phare

Reste, pour moi, l’escalier en colimaçon

Qu’on monte en ayant presque vertige,

Pour déboucher sur la grosse lentille,

Qui vous fera de l’œil en tournant

Qui vous fera tourner de l’œil,

Si la fixer trop longtemps !

Mais, vue, de l’extérieur,

Son faisceau lumineux

Éclairera toutes routes

Des marins en déroute.

 .

 

.

Escalier phare du Créach !

.

Scénario

.

Le phare du Créach, vu de près, et avec son musée des lanternes.

Le phare du Créach, vu de près, et avec son champ  de rochers.

Phare du Créach vu de loin avec celui de La Jument, en fond !

 .

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277 – Son cœur : un mégalithe de cinq mille ans

Visuels et textuels >>  

.

Plein cœur, sommet,

Sur flanc  ouest  de l’ile

Mégalithe de cinq mille ans

Veille  sur tous ses habitants.

Bien qu’elle ne soit  rien autre

Qu’amas terres roches, landes,

Nos  ancêtres  l’auront  investi

Il y a, de cela, bien longtemps.

.

Sur un côté, arpent plus sauvage

Et, sur l’autre, arpent plus vivant,

Et, aujourd’hui, on en fait le tour,

Ou bien  la traverse  par le milieu

Comme remettant ses pas en leurs

Lors, on se rapproche de nos aïeux,

Sachant dresser leurs pierres hautes

En guise de funéraires  monuments !

.

Alors,  certaines nuits …  l’on imagine,

Sous la pleine Lune,  et dans leur lande,

Apercevoir  quelques êtres préhistoriques

Errants  autour  de  leurs  Allées Couvertes.

Et l’on revit alors, un instant des plus sacrés,

D’une très étonnante, d’une très vieille religion

Et, qui ne nous aura laissé  aucunes autres traces,

Que de hautes pierres dressées, pierres de légendes.

.

Face à la mer les carriers ont creusé sous-sol graniteux

Pour construire leurs maisons en pierres, jaunes, grises :

C’est à peine sis les conditions de vie en ce temps requises

Diffèrent d’inconfort du temps de leur ancêtre caillouteux,

Tant ici sous le vent, la pluie, la vague, le sable, tutti quanti

La lutte des humains  contre éléments naturels, se poursuit.

.

Ses habitants se disent fiers d’être seuls à porter leurs croix.

Aucun d’eux n’a songé, jusqu’à présent, à quitter cet endroit

Où d’autres pierres levées, prétendues avoir poussé …çà et là

Le long des talus, dans les landes, les fougères, les sous-bois,

Se confondent avec les paysages, ou les rochers dans la mer,

Comme existant, depuis toujours comme sorties, de l’enfer !

.

L’enfer de l’Ile Grande, nantie de presque un millier de vies

S’est peu à peu transformé puis métamorphosé en paradis

Faisant plein d’envieux, prêts à débourser autant d’argent

Que pour maison parisienne  ou manoir sur le continent.

.

Perchés, sur une pierre d’une allée couverte, périscope :

On peut faire, des yeux, le tour de mon ile : émerveillé

De sa nature sauvage, conservée, intacte : gyroscope,

Dévoile le mystérieux attrait vous tenant prisonnier

Des cinq mille ans de son histoire et de son passé.

.

Un passé qu’il n’est plus nécessaire de raconter :

Son mégalithe force le respect des plus mérités

À vouloir en mourir en son cimetière, enterré.

.

.

Extensions

.

Enterré en mon ile

Où, tout souvenir mort-né

Emprunte chemin, allée d’éternité,

Face à la mer, ou, en débauche de stèles

Tombes en granit, et carrières attenantes

Ont été charriés par le port se situant

Dans son prolongement immédiat.

.

En Bretagne, les menhirs sont érigés seuls ou par alignements

S’ils ne sont pas en cercle comme Stonehenge, ou christianisés

Celui du jardin fait six mètres de long, trouvé derrière maison,

Mais il y a aussi les dolmens ou tables à deux, voire trois pieds,

Enfin les allées couvertes dont deux dans le coin d’Ile -Grande :

Voilà de quoi attester  qu’elle a été habitée il y a 4000 ans AJC

Quant  à leurs fonctions : rites funéraires, ou autres : mystère ?

C’est un plaisir que de les visiter, de convoquer son imaginaire,

Tant on se dit que, pour les lever, il fallait être Dieu ou Lucifer.

.

Mégalithe est un monument

Préhistorique étant formé d’un

Ou  de  plusieurs  blocs  de pierre,

Dont  les  formes les  plus  connues

Sont menhir, dolmen, allée couverte.

.

Ici, une seule et grande… allée couverte

Pas de menhir ni de dolmen, encore que,

On en a trouvé un en creusant fondations

Pour faire l’agrandissement de ma maison.

Lors je l’ai replanté, au fond de mon jardin :

Mes enfants, petits-enfants, grimpent dessus

Dès leurs cinq ans, comme leur premier défi !

.

.

277 – Calligramme  

.

Plein cœur, sommet,

Sur flanc  ouest  de l’ile

Mégalithe de cinq mille ans

Veille sur tous C ses habitants.

Bien qu’elle ne  O  soit rien autre

Qu’amas terres E   roches, landes,

Nos ancêtres    U  l’auront investi

Il y a, de cela    R bien longtemps.

Sur un côté, arpent plus sauvage,

Et, sur l’autre, arpent plus vivant,

Et aujourd’hui  Î on en fait le tour,

Ou on le traverse  L     par le milieu

On remet ses pas    E  dans les leurs

Lors, on se rapproche de nos aïeux,

Sachant dresser leurs pierres hautes

En guise de funéraires  monuments !

Alors, certaines nuits …  l’on imagine,

Sous la pleine Lune,  et dans leur lande,

Apercevoir quelques êtres préhistoriques

Errants autour  de leurs  Allées Couvertes !

Et l’on revit alors, un instant des plus sacrés,

D’une très étonnante, d’une très vieille religion

Et, qui ne nous aura laissé  aucunes autres traces,

Que de hautes pierres dressées : pierres de légendes !

Face à la mer les carriers ont creusé sous-sol graniteux

Pour construire leurs maisons en pierres, jaunes, grises :

C’est à peine sis les conditions de vie en ce temps requises

Diffèrent d’inconfort du temps de leur ancêtre caillouteux,

Tant ici sous le vent, la pluie, la vague, le sable, tutti quanti

La lutte des humains  contre éléments naturels, se poursuit.

Ses habitants se disent fiers être seuls  5  à porter leurs croix.

Aucun d’eux n’a songé, jusqu’à présent 0   à quitter cet endroit

Où autres pierres levées, prétendues    0     avoir poussé çà et là

Le long des talus, dans les landes,      0    ou fougères, sous-bois,

Se confondent, avec les paysages,    *  ou les rochers dans la mer,

Comme existant, depuis toujours  A     comme sorties, de l’enfer !

L’enfer de l’Ile Grande nantie      N  de presque un millier de vies

S’est peu à peu transformé puis  S        métamorphosé en paradis,

Faisant plein d’envieux, prêts      *       à débourser autant d’argent

Que pour maison parisienne ….M ……. ou manoir sur le continent.

Perchés, sur une pierre……..……É …….. d’allée couverte, périscope :

On peut faire, des yeux  …….….G.…….. le tour de mon ile, émerveillé

De sa nature sauvage ……..……A.……….conservée, intacte, gyroscope

Dévoile le mystérieux……………L……… attrait vous tenant prisonnier

Des cinq mille ans de ……………I…………. son histoire et de son passé.

Un passé qu’il n’est .…….…………T….……. plus nécessaire de raconter :

Son mégalithe force……………..…H………….. le respect des plus mérités

À vouloir en mourir ……..….………E…..……..  en son cimetière, enterré.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

277 4

.

Ça ressemble assez bien 

À une pierre levée du genre

«Menhir» :  « pierre   haute »

avec dolmen ou allée couverte.

.

Il y a un menhir de cette taille

Et de cette forme dans mon jardin

Mais il n’est pas le seul dans mon ile,

 Il  y a une allée couverte, un dolmen.

.

Symbolique 

 .

Le menhir est

Une pierre dressée

Vers le ciel, associé à

La dureté et à l’éternité.

Ils ont un sens mystérieux.

Et l’on ne sait pas exactement

Quelle   fonction  ils  occupaient

Dans  toute  civilisation  celtique.

On suppose  qu’ils étaient  associés

À des rites supposés pour la fertilité

Ou encore  à  des cycles  saisonniers,

Et voire même à des rites sacrificiels,

Selon des calendriers,  dits  primitifs.

D’ailleurs,  preuve, ils existaient  déjà

Depuis    plusieurs   milliers   d’années

En tous cas avant l’arrivée des Celtes.

1001symboles.net/symbole/sens-de-menhir.

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Descriptif

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277 – Cœur d’Ile : mégalithe cinq mille ans  

Alignement central  /  Titre  serpente  / Thème  Ile

Forme courbe  /  Rimes égales  /  Fond accordé à  forme

Symbole de forme : menhir / Symbole de fond : allée-couverte

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Fond

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Évocation 

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Il y a un menhir de cette taille

Et de cette forme dans mon jardin

Mais il n’est pas le seul dans mon ile,

 Il  y a une allée couverte, un dolmen.

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Symbolique

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Une allée couverte est un type particulier de dolmen.

Les distinctions entre dolmen long, allée couverte

Et allée sépulcrale sont parfois difficiles du fait

De la continuité d’évolution entre les trois

Formes standard. Les allées couvertes.

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Les plus représentatives se trouvent

En Bretagne, en Île-de-France et en Aquitaine.

Elles ont été, pour une grande majorité, construites

Au Néolithique final, et, tout autant, au Chalcolithique.

fr.wikipedia.org/wiki/Allee_couverte

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Corrélations

Fond/forme 

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Des menhirs on en trouve un peu partout

En Bretagne, notamment le long des côtes.

Des allées couvertes, un peu moins, or il y a

Une à l’entrée de l’Ile Grande et en son milieu

Ce qui témoigne, pour le moins, le peuplement

D’humains qui daterait de fin de la préhistoire,

Et qui nous aurait laissé ce rite comme mémoire.

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Hier, les habitants auront encore honoré la pierre

En y creusant un nombre de carrières, à ciel ouvert,

Qui auront fourni matériaux de construction maisons

Et plus spécialement les pavés en granit de tout le Nord

Fortunément en agrandissant ma maison par l’arrière

J’ai déterré un menhir de cinq mètres de long, gardé.

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Menhir de Saint Uzec

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Scénario

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Deux grandes pierres, soutenues par une quinzaine de plus petites,

voilà une des entrées, donnant sur un long couloir, bien protégé,

il faudra baisser un peu la tête et  le dos pour entrer et sortir !

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