260 – Le palais-musée de Nestor de la Torre

Visuels et textuels >> 

.

Pas comme les autres  son musée,

Comme Manrique  il lui était dédié.

Bel artiste que ce  Nestor de la Torre

De même que  son grand frère adoré,

L’architecte  de cette maison unique,

Qui l’abrite après sa mort, d’ici-bas.

.

Son palais est au centre de la Palmas,

A conservé ses   murs  authentiques !

Un témoignage au Monde, d’un esprit

Original, et vivant,  dans cette belle île,

Comme si temps… n’avait prise sur lui.

.

Tant son art, sa beauté, font ce musée,

Et son architecture en fait son support

Voilà des œuvres familiales en un port

Et qui étonneront  milliers d’étrangers,

Admirant mouvement œuvre immobile.

.

Le musée est consacré pour l’heure

Aux œuvres peintes pour Canaries

Poème Atlantique,  en six tableaux,

Mer haute, basse, calme et tempête.

    .

Surréalismes, en  symboles, couleurs,

Évoquent Monde d’Atlantide, en vie,

Comme autant d’états, d’âmes, d’eau

D’au-delà, peut-être, sinon sa quête !

  .

Grandeur d’âme, famille portraitiste,

Dessins de décors d’opéras, de renom.

Il nous déclame  sa passion naturiste,

Chante les amours,  en  toutes saisons

Couples se lovant, en toutes positions.

  .

Le peuple Canarien…n’est pas oublié,

Vaste fresque  sur le mariage, et fêtes,

Les deux frères étaient deux…esthètes

Fortunés certes mais auront tout légué

Aux Canaries … pour notre bon plaisir.

.

Mis à part quelques tableaux, fresques

Sociétales : nous ne sommes pas,  avec

Cet artiste, dans le domaine de la copie

De la réalité, tant tout y est transfiguré,

Par un système de codes et de symboles,

Auquel on adhère spontanément ou non.

.

.

Extension

.

La nature est présente partout

Comme si Nestor était panthéiste.

Il aimait l’opéra, c’est pourquoi ses décors

Correspondent autant avec la musique que le livret.

Son inspiration tient beaucoup d’ile de Gran Canaria

Mais aussi de ses voyages  sur le continent Européen.

Autant Manrique  est proche  des éléments naturels,

Autant La Torre est plein de symboles imaginaires.

.

Ce qui frappe le plus, est l’alliance des deux frères

L’un pour le contenant,  l’autre pour le contenu,

À croire qu’ils avaient un esprit parfaitement

Complémentaire  dans leur art, qu’ils ont su

Le joindre  dans un même lieu, comme les

Fruits d’une famille aux yeux du monde.

.

On peut bien ne pas aimer la peinture,

Plus difficile, résister à l’architecture

Mais en tout état de cause on aura

Du mal à bien séparer les deux !

.

Belle architecture d’un tel musée, conçu puis construit par un frère,

Pour servir d’écrin, aux œuvres d’art, tableaux, peintures, de  l’autre :

Voilà bien un duo d’artiste, chacun en son genre et qui vaut le détour :

De la peinture de Nestor, j’ai retenu l’expressionnisme de la sensualité,

Des corps nus, entremêlés, et enchâssés, en pleine nature … luxuriante,

On y célèbre, en nudité, un hédonisme certain, au certain goût de vivre

Mais tout cela est affaire d’interprétation personnelle, me concernant.

D’autres pourraient y voir une munificence des sens, les consternant.

Oscillant sans cesse entre le réel et le fantasme, il éblouit de poésie.

.

Peu d’artistes exposent dans un tel écrin,

Conçu par architecte de la famille, un frère

Ici : il faut croire qu’ils se sont bien épaulés,

Pour que l’œuvre de l’un converge sur l’autre.

.

Partout, la nature et l’amour, sont à l’honneur

Dans une grande magnificence et de bon aloi :

Créatures humaines se prélassent tendrement

Le long de quatre saisons, comme abandons.

.

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260Calligramme

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Pas comme les autres     N      son musée,

Comme Manrique     E    il lui était dédié.

Bel artiste que ce   S     Nestor de la Torre

De même que    T   son grand frère adoré,

L’architecte   O   de cette maison unique,

Qui l’abrite   R    après sa mort, d’ici-bas.

.

Son palais est  D  au centre de la Palmas,

A conservé ses    E    murs  authentiques !

Un témoignage au  *    Monde, d’un esprit

Original, et vivant,   L  dans cette belle île,

Comme si temps n’a  A  vait prise, sur lui.

.

Tant son art, sa beauté  T   font ce musée,

Et son architecture en  O  fait son support

Voilà des œuvres fami  R  liales en un port

Et qui étonneront mil    R  liers d’étrangers

Admirant mouvement  E  œuvre immobile.

.

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¤¤¤      Le musée est consacré pour l’heure     ¤¤¤

¤¤¤      Aux œuvres peintes pour Canaries       ¤¤¤

¤¤¤      Poème Atlantique,  en six tableaux,      ¤¤¤

¤¤¤     Mer haute, basse, calme et tempête.     ¤¤¤

¤¤¤     Surréalismes, en  symboles, couleurs,   ¤¤¤

¤¤¤     Évoquent Monde d’Atlantide, en vie,    ¤¤¤

¤¤¤     Comme autant d’états, d’âmes, d’eau    ¤¤¤

¤¤¤     D’au-delà, peut-être, sinon sa quête !    ¤¤¤

¤¤¤     Grandeur d’âme, famille portraitiste,    ¤¤¤

¤¤¤     Dessins de décors d’opéras, de renom.   ¤¤¤

¤¤¤     Il nous déclame  sa passion naturiste,    ¤¤¤

¤¤¤    Chante les amours,  en  toutes saisons    ¤¤¤

¤¤¤    Couples se lovant, en toutes positions.    ¤¤¤

¤¤¤    Le peuple Canarien…n’est pas oublié,     ¤¤¤

¤¤¤    Vaste fresque  sur le mariage, et fêtes,    ¤¤¤

¤¤¤    Les deux frères étaient deux esthètes     ¤¤¤

¤¤¤    Fortunés, certes, mais, ont  tout légué    ¤¤¤

¤¤¤    Aux Canaries … pour notre bon plaisir,  ¤¤¤

¤¤¤    Mis à part quelques tableaux, fresques   ¤¤¤

¤¤¤    Sociétales : nous ne sommes pas,  avec   ¤¤¤

¤¤¤   Cet artiste, dans le domaine de la copie   ¤¤¤

¤¤¤   De la réalité, tant tout y est transfiguré,   ¤¤¤

¤¤¤  Par un système de codes et de symboles,  ¤¤¤

¤¤¤  Auquel on adhère spontanément, ou non. ¤¤¤

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Forme

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Réduction

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260 4

.

Évocation 

.

La porte d’entrée

Entre deux colonnes,

Surmontée d’un fronton

Pour un très beau musée !

.

  (S : forme stylisée, # : rimes mixtes,

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

On hésite entre porte et portail,

tant l’entrée parait monumentale

pourtant en phase avec le musée

si fait que fond épouse la forme.

.

Porte du  palais frères De La Torre,

Architecte, et peintre, est beau

Et son style est particulier, inimitable,

Et proprement canarien.

.

Symbolique 

.

Pour les architectes, la porte

Annonce la nature, la fonction

Et le statut social du bâtiment.

En  effet,  les portes  des  palais

Sont majestueuses, symbolisent

Le pouvoir et parfois l’opulence.

.

En revanche les portes de prisons

Seront des plus austères qui soient.

.

Quant aux portes de vieilles maisons

Pauvres, elles seront, souvent, en bois,

Modestes et parfois toutes déglinguées.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-porte

.

Descriptif

 .

260Palais-musée de Nestor de la Torre

Alignement central / Titre serpente / Thème  monument

Forme droite   / Rimes variées /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : porte  /  Symbole de fond : porte

.

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Fond

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Évocation 

.

260 6

.

Porte du  palais frères De La Torre,

Architecte, et peintre, est beau

Et son style est particulier, inimitable,

Et proprement canarien.

.

Symbolique 

.

La porte symbolise le lieu de passage

Entre deux états, deux mondes,

Entre le connu et  l’inconnu,

La lumière  et   les  ténèbres.

..

Le  trésor  et   le  dénuement.

Elle  ouvre  sur  un   mystère

Du profane au sacré, la porte

Des  cathédrales, des  temples.

.

Les villes  chinoises  étaient  à

Quatre portes, dites cardinales

Avec  symbolisme  des gardiens

De l’entrée interdite dite secrète.

.

En traditions  judéo-chrétiennes,

Elle  donne accès  à la révélation.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La porte  n’est pas qu’ouverture

Devient, parfois, objet  de culture,

Par conséquent pleine de symboles

Certaines même de pures paraboles.

Si ce n’est porte du paradis bucolique

Si ce n’est rêverie de monde aquatique

C’est un imaginaire des plus florissants

Qui nous est donné à voir, en l’instant !

 .

.

Tableau Nestor de la Torre

.

Scénario

.

Architecture extérieure, déco intérieure, Palais, valent déplacement.

Portrait-photo, noir et blanc, peintre Canarien, Nestor De La Torre.

Sa peinture exposée : Guia del Ocio, poème de la mer, et de la terre !

 .

Visuels et textuels >>

259 – Maison-musée de César Manrique

Visuels et textuels  >>

.

Un homme extraordinaire,

Le moins qu’on attend d’artiste,

Fait Lanzarote, dont il est originaire,

Une terre de curiosité pour les touristes.

 .

Sa maison-musée  abrite cinq cheminées

Naturelles avec des dômes  de laves noires

Et ils sont grands ouverts à ciel bleu étoilé,

Il les a entoilés, en tableaux  de désespoirs.

 .

L’homme est, comme ici avec  un sol plissé,

Torturé comme le basalte, ici  mis en scène

Et pourtant il ne l’aura et en rien, modifier,

Juste symbiose de la terre avec un mécène.

 .

Dans son genre, son habitation est unique,

Étant moitié jardin-salon et moitié couloir

Où tous les blancs purs  contrastent  noirs

Préservant la couleur  volcan authentique.

.

De l’eau, coulant,  en fontaine, en  piscine,

Est un vrai luxe  pour  cette ile  très aride,

Rafraichissant les yeux, remplissant vides,

On est ailleurs, nulle part tant on hallucine

Ses mobiles tournent et, sans cesse, au vent,

Et qui d’autre, que lui, y a pensé, auparavant :

.

Calder cet autre artiste de l’aérien mouvement

Mais lui il peint la lave  pour bien capter le vent

Grand champ, de laves, ceint  sa  maison-musée,

Venue du fond des âges comme une terre brûlée

Contraste est frappant, d’une ile en plein océan

Qui lui ressemble et a inspiré, formé, ce géant.

.

Manrique, Lanzarote, convoque son nom, ile

Architecte, le volcan, le métier, destination,

.

Là où l’homme sert de repère de création,

Constant, en choix, n’étant jamais futiles

De plus, il  s’efface  derrière  ses œuvres,

On peine à savoir qui il est, son histoire.

.

On appréciera l’artiste à pied d’œuvre,

Tant dans celle-ci circule, sans le voir,

César Manrique destin peu commun

Tant ses œuvres sur volcan, nature,

Nous rendrons bien plus humain !

.

.

Extensions

 .

César Manrique est homme volcanique

Sur une terre ne l’étant pas moins, se refuse

À la couleur pour privilégier du  noir et blanc

Et cela dans la grande majorité de ses œuvres.

Il aura su capté, magnifié, les quatre éléments

L’eau  est présente autour d’ile, autant dessus,

Air dans ses mobiles qui tournent avec le vent.

.

Pour sûr, c’est  le feu et la terre  qui dominent

Mais,  toujours, reliés  aux  autres  éléments.

Et  de faire, de sa propre maison, un musée,

Que faut-il en penser : qu’il a un super ego,

Qu’il reste cohérent avec message délivré,

Qu’il fait corps avec demeure, demeure

Tout entier même après sa mort :

À chacun de se prononcer !

.

De l’extérieur, de la Maison–musée de César Manrique,

 On ne voit que  long mur, tagué, dont on cherche la porte ;

Entré, on passe un couloir, voûté, menant à une autre porte,

Qui débouche sur une pièce vide et donnant sur champ de lave

Et ainsi, par un seul mouvement, on passe  d’un monde à l’autre.

On se dit que l’architecte a raté la réalisation  de la porte fenêtre !

Non, c’est voulu, c’est exprès et c’est provocateur d’émotions brutes

D’un côté, une construction humaine, ex nihilo ; de l’autre, le volcan.

La lave a envahi cet espace, comme si la Nature avait repris ses droits.

.

Ce n’est pas un tableau,

Pas plus un monument :

Quelque chose d’hybride,

Qui fait partie de réalité !

.

Il n’y a que deux couleurs :

Le noir de lave, à l’extérieur

Qui aurait enduit  le plafond,

Blanc immaculé, au plancher.

.

Ce n’est pas une maison, habiter,

Ce n’est pas, non plus, vrai musée :

Ni tableaux, œuvres d’art, aux murs :

C’est la maison, elle-même qui s’expose.

.

.

259 – Calligramme

 .

Un homme extraordinaire,

Le moins qu’on    M   attend d’artiste,

Fait Lanzarote dont   A    il est originaire,

Une terre de curiosité    I   pour les touristes.

  .           S

Sa maison-musée abrite     O   cinq cheminées

Naturelles avec des dômes    N     de lave noire.

Et ils sont grands ouverts  à   *    ciel bleu étoilé

Il les a entoilés, en tableaux    D   de désespoirs.

 .                         E

L’homme est, comme ici avec  *    un sol plissé,

Torturé comme le basalte, ici  M  mis en scène.

Et pourtant il ne l’aura et en  A    rien modifier.

Juste symbiose de la terre   N  avec un mécène.

.              R

Dans son genre, son habi   I   tation est unique,

Étant moitié jardin-salon   Q  et moitié couloir,

Et tous les blancs purs con  U  trastent les noirs

Préservant une couleur vol   E  can authentique.

.

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**********************************************

.

De l’eau, coulant en       V          fontaine et piscine

Est un vrai luxe pour      I          cette ile, très aride,

Rafraichissant les yeux    S         remplissant les vides

On est ailleurs et nulle       I         part tant on hallucine

Ses mobiles tournent          T          et, sans cesse, au vent,

Et qui d’autre, que lui,         E          y a pensé, auparavant :

.

Calder cet autre artiste          *            de l’aérien mouvement

Mais lui il peint la lave           V           pour bien capter le vent

Grand champ, de laves,          A            ceint sa maison-musée,

Venue du fond des âges          U            comme une terre brûlée

Contraste est frappant            T              d’une ile en plein océan

Qui lui ressemble et a              *             inspiré, formé, ce géant.

.

Manrique, Lanzarote,              L                convoque son nom, ile

Architecte, le volcan,                E                le métier, destination,

.

Là où l’homme sert                   *                  de repère de création,

Constant, en choix,                   D                 n’étant jamais futiles,

De plus, il s’efface                     É                    derrière ses œuvres,

On peine  à savoir                     T                     qui il est, l’histoire :

On appréciera l’ar                     O                   tiste à pied d’œuvre,

Tant dans celle-ci,                     U                   circule,  sans le voir.

César Manrique a                     R                  destin peu commun

Tant ses œuvres sur volcan, nature, nous rendent plus humain.

.

.

Forme

.

Réduction

.

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259 4

.

Évocation 

.

Certainement une porte

Dans un mur comme porche

Mur d’entrée, probablement,

Dans l’imaginaire d’artiste ?

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 Une ouverture de salle sur l’extérieur

comme une sortie d’un tunnel blanc :

l’œuvre de grand artiste, évidemment,

dès lors la forme converge vers le fond.

.

Manrique est un remarquable artiste

 De style simple… épuré :

Peignant toute en blanc et noir, porte

Donnant sur même paysage.

.

Symbolique 

 .

Un artiste est

Un individu faisant

Une œuvre,  cultivant

Ou  maîtrisant  un  art,

Un savoir, une technique,

Et  dont on remarque entre

Autres la créativité, la poésie,

L’originalité de sa production,

De ses actes, voire de ses gestes

Et dont ses œuvres sont source

D’émotions, et de sentiments,

De réflexion, de spiritualité

Ou de transcendances.

fr.wikipedia.org/wiki/Artiste

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Descriptif

 .

259 – Maison-musée de César Manrique

Alignement central  / Titre droit  / Thème  monument

Forme droite   / Rimes égales /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : artiste  /  Symbole de fond : porte

.

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Fond

.

Évocation 

.

259 6

.

Manrique est un remarquable artiste

 De style simple… épuré :

Peignant toute en blanc et noir, porte

Donnant sur même paysage.

.

Symbolique 

.

Portes symbole d’ouverture et de passage.

Elles permettent la bonne communication

Entre nos espaces extérieurs, intérieurs.

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Une porte qui  s’ouvre  vers  l’extérieur

Met en communication avec le monde..

.

Une porte qui s’ouvre  vers l’intérieur

Est un accès  vers une compréhension

Plus grande de votre nature profonde.

.

Tous les rêves de portes qui s’ouvrent,

Sont relatifs à un passage accompli.

Modifié, source : Catharsis.ch

.

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Corrélations

Fond/forme 

 .

Qu’une lave épaisse et noire

 Coule à l’intérieur d’une maison

Donne,  de la folie,  la dimension

D’un volcan,  partout, s’insinuant

La même  où la blancheur s’étend,

En reprenant la possession brute,

De tout artifice comme une hutte,

Où le noir de la voute de passage

Répond au  blanc porte, nuage.

Maison  Manrique est  un lieu.

Où nature sauvage prend vie,

Lui redonne toute sa noblesse.

 .

.

Face mer Lanzarote

.

Scénario

.

L’extérieur est graffité par une fresque colorée sur mur blanc,

l’intérieur est accessible  par un tunnel de lave en noir et blanc,

qui débouche sur la chambre où une coulée de lave s’est invitée !

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