1165 – Grèce, un pays antique, mythologique !

Voir prose et illustrations

.

La Grèce, pays  antique,

Et le berceau d’Humanité

De civilisation occidentale,

Perdure en Europe du  Sud.

Actuellement  en    difficulté

Dernière  roue   de  l’Europe,

De son   système   à  modifier

Bien qu’inventeur démocratie

Plaider pour Grèce, personne

Ne s’y intéresse, pas d’argent

Bien que peuple hospitalier.

 .

Il n’en reste rien :

Grèce … pays des plus antiques

Et mythologiques,

Est berceau de notre civilisation,

De notre raison,

Mais vacille  de nos jours en folie

Des financiers

Qui ne savent plus sur quel…pied,

Il faut danser.

D’accord, ils ont leurs torts  et fort,

Mais, laxistes,

Les autres pays  de la Communauté,

Ont laissé faire :

Maintenant que le malade se meurt,

Qu’on le soigne,

Son coup de grâce est, l’abandonner,

À son destin.

 .

Penser se séparer de ses bras cassés,

Serait plus sain

Que de risquer une contagion … née,

Du même virus

Or, tel système est, si bien orchestré,

Pour…proliférer

Qu’effet domino sur tous, va régner

Pour les manger.

En système libéral, il n’y aurait pas

De place pour faible

Les plus riches doivent l’emporter,

Pas d’autre remède.

 .

L’économie est censée s’équilibrer

De et par elle-même

Et elle oublie qu’il y a de l’humain,

Qui   la   gouverne.

À qui  la faute : au système ou bien

À quelques voyous

Œuvrant pour un monde en guerre

Afin qu’il soit fou :

On se le demande : on y répondra,

Bien après le coup,

Nombre morts sur carreau restera

Un peu, beaucoup.

.

.

Extension

 .

La Grèce est un pays antique, mythologique,

Mais n’aura pas su évoluer en même temps

Et vitesse que d’autres : c’est cela qui pose

Problème retardant «calendes grecques»

Son rattrapage  économique  et social.

.

La Grèce n’a pas dit son dernier mot,

En redémarrage et bien qu’elle veuille

Rester au sein de l’Euro  et de l’Union,

Elle n’entend  pas vivre  les  dix années

Dans l’austérité pour payer les erreurs des

Gouvernements précédents si ce n’est du pays.

Sa marge de manœuvre est étroite, mais existe.

.

La solution est autant politique, qu’économique ;

Y a des guerres ayant mis un pays à feu et à sang

Et d’y avoir injecté des fonds d’ailleurs a permis

De le remettre sur pied : faut dix ans pour ça

Or le temps financier est souvent d’un an !

 .

La Grèce demeure un pays  de culture  méditerranéenne :

Pas seulement  de nature antique, aussi, contemporaine.

Elle a subi au cours des siècles des influences étrangères

Mais est toujours resté, en son fond, fidèle à elle-même !

Même si le berceau de notre civilisation se sera renversé

Un âge d’or, dans tous les domaines, société, art, mythes,

L’aura nourri comme aujourd’hui les plans sur la comète :

Si on ne sait juste où on va, on sait au moins d’où on vient !

.

La Grèce, un antique modèle

De démocratie  et civilisation,

N’est plus celle qu’elle a inspiré

Mais garde son intérêt culturel !

.

Un pays parmi d’autre aujourd’hui

Intégré en un grand bloc européen,

Noyé dans un politique autres blocs

N’a qu’un poids économique, faible.

.

Moi pour l’avoir visité plusieurs fois

Et avoir fait cinq ans de grec ancien

Je garde pour elle, et pour ses iles,

Un intérêt fort pour son peuple.

.

.

Épilogue

.

Les statues grecques, qui nous ont été

Léguées par une ancienne civilisation,

Sont nombreuses, suscite l’admiration

Et dans le monde entier, en les musées.

***

L’influence  de leur mythologie, règnera,

Encore un long temps, tant qu’enracinée,

Non seulement en conscient : inconscient

Inconscient collectif, social  voire culturel.

***

Il faut dire ils ont créé un Olympe parallèle,

D’une grande richesse, d’une grande diversité

Racontant des histoires sur plusieurs époques,

Lors des dieux se succédaient ou s’entretuaient.

***

D’avoir fait cinq ans de grec, ne m’a rien apporté

Sur le plan des échanges : rien que de linguistique,

Mais il se trouve qu’en faisant des séjours en ce pays

Je m’y suis toujours senti comme des leurs, chez moi !

***

La Grèce n’a pas été qu’un modèle d’architecture, statue

Elle a été et demeure encore, de nos jours, de démocratie

Honneur lui soit rendue : après tout, elle l’a bien inventé,

Et l’on constate aujourd’hui, qu’il est fragile : en danger.

.

.

1165 -Calligramme 

.

    G       *

La Grèce    R   pays    E  antique

Et le ber   É  ceau d’Hu     U  manité

 De civili   C    sation occi         Q   dentale,

 Perdure   E      en Europe            I    du  Sud.

Actuelle     *         ment  en             G   difficulté

Dernière   A            roue                   O   d’Europe,

De son      N            système             L   à changer

Bien qu’   T       inventeur dé        O   mocratie.

Plaider     I          la Grèce         H    personne

Ne s’inté  Q        téresse      T      d’argent

Bien que  U   peuple     Y hospitalier.

E     *   M

Il n’en reste rien :

Grèce … pays des plus antiques

Et mythologiques,

Est berceau de notre civilisation,

De notre raison,

Mais vacille  de nos jours en folie

Des financiers

Qui ne savent plus sur quel…pied,

Il faut danser.

D’accord, ils ont leurs torts  et fort,

Mais, laxistes,

Les autres pays  de la Communauté,

Ont laissé faire :

Maintenant que le malade se meurt,

Qu’on le soigne,

Son coup de grâce est, l’abandonner,

À son destin.

Penser se séparer de ses bras cassés,

Serait plus sain

Que de risquer une contagion … née,

Du même virus

Or, tel système est, si bien orchestré,

Pour…proliférer

Qu’effet domino sur tous, va régner

Pour les manger.

En système libéral, il n’y aurait pas

De place pour faible

Les plus riches doivent l’emporter,

Pas d’autre remède.

L’économie est censée s’équilibrer

De et par elle-même

Et elle oublie qu’il y a de l’humain,

Qui   la   gouverne.

À qui  la faute : au système ou bien

À quelques voyous

Œuvrant pour un monde en guerre

Afin qu’il soit fou :

On se le demande : on y répondra,

Bien après le coup,

Nombre morts sur carreau restera

Un peu, beaucoup.

 .

.

 Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1165 4

.

Une colonne du Parthénon

Ou  une  de  ses  statues

Le  supportant  sur  les

Quarante-six en tout.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

 

Un grand nombre de statues

Des dieux, et des hommes,

Nous ont été légué comme

Héritage par la Grèce Antique.

Symbolique    

Auguste Rodin,

Sculpteur ayant abordé

Le néobaroque, le symbolisme

Et le réalisme, est considéré

Comme l’inventeur de

La sculpture de statue moderne.

 

Avec son monument à Balzac,

Il expose son manifeste de

La modernité en sculpture

Et provoque un scandale

Lors de sa présentation publique.

 

Ses disciples Camille Claudel,

Antoine Bourdel  assurent

La transition vers le xxe siècle.

Wikipédia  Sculpture moderne

 .

.

Fond

 .

Évocation

.

1165 6

.

Un grand nombre de statues

Des dieux, et des hommes,

Nous ont été légué comme

Héritage par la Grèce Antique.

 .

Symbolique

 .

Une jeune américaine,

Professeur d’histoire assistante

À  l’Université  Iowa,   spécialisée

Dans   l’art   classique : Sarah Bond

A essayé de démontrer  dans un article

Paru sur Hyperallergic que le marbre blanc

Statues antiques favorise, à tort, l’exaltation

De l’homme blanc, du suprémacisme du mâle blanc.

S’appuyant sur ses recherches, elle dresse un réquisitoire

Contre la prédominance  de  la  statuaire gréco-romaine

En marbre blanc de l’ensemble des musées mondiaux.

Source : medias-presse.info/les-statues-antiques

-symbole-de-discrimination/77592/

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La Grèce n’est certes pas connue

Comme étant le berceau de l’humanité

Mais bien plutôt celui de la pensée, culture

Cela ne veut pas dire qu’il n’y en avait pas ailleurs

En Orient, donc, inconnues mais aussi, en Occident,

Chez les Romains, Celtes, mais aussi chez les Barbares

Simplement, ils n’auront pas su s’organiser aussi bien !

 .

.

La Grèce antique et mythologique

blog01eso.blogspot.com/2018/03/mythologie-grecque

.

Scénario

 .

Grèce antique, mythologique : nos racines culturelles.

Une Grèce divisée pendant la seconde guerre mondiale ?

Grèce actuelle, exsangue économiquement, chute d’enfer !

 .

Voir prose et illustrations

1128 – Devant Dieu, devant les hommes, soi-même

Visuels et textuels  >>

.

Devant Dieu,

Devant homme

Devant soi-même

Sont repères connus,

Qui nous positionnent,

Sur nos jugements, sur

Innocence et culpabilité

Dans notre bel Occident,

Ou sur  l’honneur, honte,

En plein Extrême-Orient.

 .

Certains font plus grand cas de Dieu qu’hommes,

Et, si ce n’est Dieu … d’une conscience externe,

Qui connait tout de leurs actes et de pensées,

Un œil regardait Caïn, de Victor Hugo.

.

Certains font plus grand cas d’eux que de Dieu,

Dès lors qu’ils sont athées «pas vu, pas pris»,

Il n’existe pas de faute, en réalité, que

Prouvée par les hommes

Et incontestable.

.

Certains font grand cas de leur conscience

Et ils se culpabilisent, et pour un rien,

Tant ont peur  de faire du mal

À quelqu’un malgré eux.

.

Tant Dieu  est  grand,

Dieu  est  infaillible,

Dieu est miséricorde

L’Homme  fait Justice

Au-dessous des hommes

Et dépassant   tous les cas,

Individuels   et  particuliers,

Elle ne pourra pas se tromper,

Bien qu’existe erreur judiciaire.

.

La conscience est plus souple et plus lâche

À la fois dans le rôle du juge, et  de  l’assassin.

Elle peut choisir,  les circonstances  atténuantes

Ou, tout au moins, quel  que doute sur l’intention.

.

.

Extensions

 .

Jurer devant Dieu ne

Concernant pas  le  bien

Ou le mal, mais le parjure,

Où   le mensonge   volontaire ;

En Amérique ça revient au même.

On ne peut pas échapper au jugement

En cas de crime, de violence ou faute grave

On fera porter le chapeau à quelqu’un d’autre

En fabriquant même des preuves irréfutables.

.

Engrenage des doutes : plus vous clamer

Votre innocence  et plus l’on s’acharnera à

Vous rendre  coupable. Moralité : dès qu’on

A affaire justice des hommes, coupable ou pas,

On est dans le pétrin, on en sort jamais blanchi,

Par la grande porte. Utile à savoir au moment de

Porter plainte, elle peut se retourner contre vous

Et vous aurez beau  jurer : devant Dieu,  devant,

Les hommes, vous : la machine  vous  écrasera.

.

Dieu voit tout, Dieu juge de tout, Dieu est en tout

Il est le seul à comprendre nos intentions, actions

Justice d’État émane des lois dépassant l’individu

Connue et la même pour tous : simple à appliquer

«En son âme et conscience»,  est point de vue moral

Intériorisé, conditionné, culpabilisant, s’accusant !

Dieu n’a rien vu, Justice n’a de preuve, moi cynique

En somme «un Péché avoué est à moitié pardonné»

 Contre « un péché non avoué, péché non condamné».

.

Quand j’étais enfant …  j’étais très effrayé

Par cette vérité qui n’avait pas d’échappée :

Dieu voit tout, n’oublie, ne laisse rien passer !

.

Je n’avais pourtant pas encore lu Gorge Orwell,

Qui à sa manière, en 1984, défait le communisme

Maintenant je me rends compte que c’est possible.

.

Internet voit tout, lit-tout, et peut analyser tout !

Les informations sur la vie privée  de quelqu’un

Ce n’est pas Dieu qui les interprète : l’homme.

.

Je pense que ce n’est pas mieux, c’est pire :

On aura chassé Dieu et autre le remplace,

Après vous, chaque jour, part en chasse.

.

.

Épilogue

.

Justice divine : divine surprise,

Justice humaine sinon dictatoriale

Justice par soi-même ou immanente !

***

Ces trois formes, trois contenus, de justice,

Tantôt se confondent, se séparent, s’opposent !

Mais si on peut renier celle de Dieu transcendant,

Si on peut échapper à celle sociale en pas vu, pas pris

En aucune manière, l’on se soustrairait à sa conscience.

***

Ce n’est pas tant que l’on mette une justice sociale de coté

Chaque société à ses règles : les oublier, les braver, danger

Que de jouer au chat et à la souris c’est pas moi, monsieur.

Combien de romans policiers seront bâtis sur cette trame

On vous promène ici et là : l’assassin est sous vos yeux !

***

Hygiène de l’assassin, de rien révéler, toujours mentir

Le crime parfait existe mais résolu parfois sur le tard.

Il faut se mettre dans la tête du criminel  pour saisir,

Non par mobiles ou motivations, mais personnalité,

Expliquant le pourquoi  du comment  hors preuves.

***

Bien que justice dise : ne pas commettre d’erreur,

Celles-ci existent bien, c’est  la pire des injustices,

Que de condamner un innocent pour un coupable

Tant cela  ferait  deux victimes, pour le prix d’une,

Et  sans, pour autant, punir,  le  véritable  auteur !

.

.

1128 – Calligramme

.

Devant   D    Dieu,

Devant    E     homme

Devant    V     soi-même

Sont re    A  pères connus,

Qui nous  N     positionnent,

Sur nos    T     jugements, sur

Innocen    *     ce et culpabilité

Dans no   D    tre bel Occident,

Ou sur      I     l’honneur, honte,

En plein   E    Extrême-Orient.

U ………….

Certains font plus grand cas de Dieu qu’hommes,

Et, si ce n’est Dieu … d’une conscience externe,

Qui connait tout de leurs actes et de pensées,

Un œil regardait Caïn, de Victor Hugo.

.

Certains font plus grand cas d’eux que de Dieu,

Dès lors qu’ils sont athées «pas vu, pas pris»,

Il n’existe pas de faute, en réalité, que

Prouvée par les hommes

Et incontestable.

.

Certains font grand cas de leur conscience

Et ils se culpabilisent, et pour un rien,

Tant ont peur    L  de faire du mal

À quelqu’un   E    malgré eux.

Tant Dieu      S     est  grand,

Dieu est         *      infaillible,

Dieu est         H  miséricorde

L’Homme       O    fait Justice

Au-dessous      M   des hommes

Et dépassant     M      tous les cas,

Individuels          E        particuliers,

Elle ne pourra       S    pas se tromper,

Bien qu’existe er     *     reurs judiciaires

*

La conscience est plus  S     souple et plus lâche

À la fois dans le rôle du  O   juge, et  de  l’assassin.

Elle peut choisir,  les cir   I  constances  atténuantes

Ou, tout au moins, quel     * que doute sur l’intention.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1128 4

.

Une belle fontaine

Dans certains palais,

Ou en places publiques,

Jaillissement jets d’eau.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

Le jaillissement d‘eau directement su sol

ou l’intermédiaire d’une fontaine à étage

demeure toujours des plus spectaculaires

ce qui fait que sa forme évoque son fond.

.

Fontaine étages : soi, en bas, les hommes,

Et Dieu, tout en haut :

L’eau qui y coule,  y ruisselle, se renouvelle

Comme un jaillissement !

.

Symbolique

.

La fontaine est le symbole

De l’immortalité, la purification

Et de la régénérescence et en continu.

.

La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit, aussi, elle guérit toutes les maladies,

Et les chagrins et rend immortel et plusieurs mythes feront

Références  à cette fontaine : dans la mythologie romaine,

Jupiter transforme la nymphe Jouvence  en une fontaine

Qui a la vertu de rajeunir de manière quasi  perpétuelle

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-fontaine

.

.

Fond

 

Évocation de fond

.

1128 6

.

Fontaine étages : soi, en bas, les hommes,

Et Dieu, tout en haut :

L’eau qui y coule,  y ruisselle, se renouvelle

Comme un jaillissement !

.

Symbolique 

.

Tous les hommes vivent constamment

Au milieu de sentiments plus ou moins profonds

Mais il est difficile de les percevoir avec finesse

Et de les rendre dans la langue humaine,

Car souvent ils se cachent ou nous oppressent.

.

De même qu’il prend dans ses poumons

L’air de l’atmosphère et absorbe dans

Son organisme l’eau des sources

Et les éléments de la terre, l’être

Humain grandit et chemine

Au rythme des sentiments.

.

Alors qu’il invente, crée, pense

Et s’extériorise, l’être humain

Jaillissement sentiments,

 Tantôt sereins

Et tantôt troublés, tantôt

À peine esquissés

Et tantôt débordants.

keulmadang.com/2011/01/13/archives/

essais/le-sentiment-dans-les-poesies

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

On parle de jaillissement d’eaux

Pour une source ou une fontaine :

Jaillissement de la pensée au figuré,

De la justice quand le couperet tombe

Oui mais  comment faire  se rejoindre

Celui des lois et celui de sa conscience

La conscience sourd de terre ou ciel

Justice est construction sociale !

 .

.

Justice d’homme ou de Dieu ?

.

Scénario

.

Devant la justice de Dieu.

Devant la justice des … hommes.

Devant soi-même, justice de conscience.

 .

Visuels et textuels  >>

1127 – Le divin paradis, inaccessible, septième ciel

Visuels et textuels  >>

.

Divin … paradis,

Septième ciel inaccessible

Il n’appartient   à aucune réalité

Du monde visible monde sensible,

Il n’est que projeté par les hommes,

Purement virtuel et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où le temps est :

Espaces, mouvements,  énergies,

Seraient substitués par conception

Incluant l’idée inventée, d’Éternité.

.

Monde du divin, de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on se rend après mort,

La fin du corps d’apparence physique.

 .

Que ce lieu existe ou n’existe pas,

L’homme dans    toutes périodes,

Toutes cultures  ou civilisations,

L’a  promulgué  e n  salut  final :

Il y a, bien entendu, des athées,

 .

Des agnostiques  et des ignorants

Niant la possibilité d’improbable

Ou pour le moins d’in-trou-vable,

Et qui nous échapperait toujours

En dépit de savoir en technologies.

.

Pour autant jour d’aujourd’hui,

Rien ne nous autorise à affirmer

Que ce septième … ne serait  que

Produit de l’inconscient  collectif,

Pour contrer inacceptable destin

.

De notre mort humaine  en fin,

En se projetant sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Extensions

 .

En redescendant sur terre,

Regardant d’autre point de vue

Ce « moi initial », ce « moi total »,

S’il lui manque sa dimension spirituelle,

Se rapprocherait, confondrait monde animal.

.

Si nous sommes animaux, notre destin sera scellé :

Sommes appelés à être remplacés, disparaître sans traces.

S’il s’agit d’une expérience qui a mal tournée, erreur de casting

De la part d’un Maitre du Monde alors la boucle se transforme

En dédale où se nouent, dénouent paradoxes, contradictions.

.

Cercle, monde, paradis, demeurant à jamais indécidables,

Ne peuvent satisfaire les esprits rationnels humains

Fonctionnant selon des logiques différentes

En s’appuyant sur le réel, non le virtuel.

.

Et, toutefois l’imaginaire humain, quel qu’il soit

Et quoiqu’il conçoive fait bien partie d’un certain réel

Et c’est bien avec lui, et grâce à lui, que nous avons fait

Des découvertes et des avancées, et, il y aurait dilemme

Si les choses sont équivalentes conséquences différentes.

.

Les cercles de la connaissance n’ont rien de scientifiques,

Initiatiques, métaphysiques et encore moins mystiques :

Ils ne sont qu’une construction de l’esprit pour mieux

Se situer dans le déjà vaste monde que l’on habite.

.

Le septième ciel : pourquoi pas sixième ou le huitième ?

L’on n’en est pas à un, près, dans un tel lieu, suprême,

Lors d’un voyage sans retour en destination extrême

Dépassant et de loin, sept couches de l’atmosphère,

Aucun astronaute ne s’est senti  près d’un Paradis

Mais, on ne sait pas tout, et on ne voit pas tout :

Certes, nous n’avons pas la preuve  qu’il existe,

Non plus qu’il n’existe pas sauf en La Marelle.

.

Le ciel est le seul lieu que l’Homme

N’a pas encore totalement exploré et compris.

Les humains restent fascinés par cette voûte bleue

Constellée d’étoiles s’exhibant au-dessus de leur tête.

Car depuis l’Antiquité, ils tentent de l’expliquer :

C’est à cette période qu’on l’associe à félicité.

.

L’homme veut toujours aller plus haut.

De surenchère en surenchère, nous sommes

Tous montés jusqu’à se rapprocher du dernier,

 Celui qui nous mettra au plus près des dieux

On rejoint un peu, ici, la quête d’un Graal,

Qui serait proche de l’extase amoureuse

Mais le septième ne sera que spirituel.

.

.

Épilogue

.

Le jeu de La Marelle est des plus pédagogiques,

Pour apprendre cette notion d’un septième ciel.

***

On est censé aller tout droit au ciel après la mort,

Ce n’est pas tant qu’on l’ait mérité…qu’on y croit.

***

Cette croyance s’illustre en action dans La marelle

On n’utilise le pied en sautant, poussant, un palet.

***

Palet empiète  des cases : tout est à recommencer,

L’on passe d’une case à l’autre en un ordre imposé

***

Le Ciel atteint en haut, l’on redescendra sur Terre :

Pourquoi des cases horizontales au milieu, en haut.

***

Je ne suis pas certain d’une interprétation que voilà,

 Comparons un tel chemin à celui de notre propre vie

***

La première étape horizontale  correspond au milieu

De notre vie, c’est-à-dire pas loin de … quarante ans.

***

Première fois pour beaucoup, sens de vie questionne,

On est bien installé, en son métier, son couple, foyer !

***

Seconde fois, on est  au début  de sa retraite d’activité

Dernière étape, en perspective est celle de notre mort.

***

Ces deux périodes seront favorables à toute expérience,

Qui nous mène en recherche de spiritualité à une autre,

***

La deuxième sera  alors  comme une sorte d’achèvement

Dans son choix et de révélation  intime  d’une vraie joie !

***

 Après cela la mort ne sera autre qu’étape supplémentaire,

Qu’on aurait accepté, compris, intégré, sans en avoir peur.

.

.

1127 – Calligramme

.

Divin      *       paradis,

Inaccessible  D   septième ciel

Il n’appartient   I  à aucune réalité

Du monde visible  V  monde sensible,

Il n’est que projeté    I   par les hommes,

Mais purement virtuel  N et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où temps est :

Espace/mouvement/énergie,

P

Seraient substitués         A        par une conception

Incluant cette idée          R       inventée, d’Éternité.

Monde du divin,              A       de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on             D         se rend après mort,

La fin du corps d’            I       apparence physique.

S

Que ce lieu existe    *        ou n’existe pas,

L’homme dans        *       toutes périodes,

Toutes cultures       S       ou civilisations,

L’a promulgué               en salut final :

Il y a, bien enten    P        du, des athées,

T

Des agnostiques      I      et des ignorants

Niant la possibili    È      té d’improbable

Ou pour le moins   M      d’in-trou-vable,

Et qui nous échap   E       perait toujours

En dépit de savoir   *      en technologies.

*

Pour autant jour     C         d’aujourd’hui,

Rien ne nous au       I      torise à affirmer

Que ce septième      E        cercle n’est que

Produit d’incons      L      cient … collectif,

Pour contrer inac     *       ceptable destin.

.

I   N    A   C   C   E   S   S   I   B   L    E

.

De notre mort         *     humaine  en fin,

En se projetant     * sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1127 4

.

Ça ressemble assez fort

À  un jeu  connu, appelé  

La Marelle pour le ciel

Qu’il faut gagner au pied.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

 .

La Marelle n’atteint pas  le ciel

ce jeu étant sur sol, horizontal :

il y en a de différentes structures

mais forme est conforme au fond

.

Et bien même par jeu La Marelle :

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Et puis ceux le trainant  vers l’Oméga.

.

Symbolique 

.

La Marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi,

Dont sont issus le jeu du labyrinthe,

La  pétanque  et  le  jeu  de  l’oie.

 .

La plupart des jeux pour enfants

Jeux de société étaient, à l’origine,

Divinatoires  et  initiatiques.

 .

Dans un monde où la raison,

La logique et la science exacte

Font force  de  lois, les principes

Divinatoires initiatiques des jeux

Ont  été  relégués   aux  oubliettes,

Dans un passé dont  nous pensons

Que l’obscurantisme, superstitions

Régnaient en maîtres absolus

Dans les mentalités.

minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1127 6

.

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Et bien même par jeu Marelle :

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Ceux le trainant vers l’Oméga.

.

Symbolique de fond

.

Comme le remarque Mircea Eliade,

« La prière, la plus populaire, du Monde

S’adresse à notre Père qui est aux Cieux ».

C’est dire l’importance du symbolisme céleste.

.

Certains, tel P. W. Schmidt, ont même voulu voir

Dans ce dernier la matrice archétypique de tout

Le symbolisme religieux. Nombreuses cultures

Confondent l’appellation du Dieu suprême

Avec dénomination du ciel et des cieux.

universalis.fr/encyclopedie/symbolisme-du-ciel

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Tout enfant accèdera peu à peu au ciel

En jouant à ce petit  jeu de La Marelle

En poussant son palet à cloche pied

Sans déborder des cases tracées !

.

Un jeu qui n’a rien de religieux,

Un des plus vieux jeu d’enfant

Défiant les lois de l’équilibre

Sans compter précision

Comme aime enfants

Pour tester adresse

Des déplacements.

.

.

Paradis Walhalla vikings !

.

Scénario

.

Sept étages, en spirales et qui se déroulent jusqu’au septième ciel.

Un astronaute sorti hors station orbitale et qui s’y croit presque.

Ça pourrait être ça le septième ciel, si ce n’était pas photoshopé.

 .

Visuels et textuels  >>

1126 – Quand l’enfer me ment, le paradis dément !

Visuels et textuels >>

.

En jeu de mots,

Enfer me  ment,

Paradis   dé-ment,

Avec force mystère !

.

Lors paradis d’amour

Demeure enfermement

À deux, en  tours  d’ivoire

En ignorant environnement.

.

Enfer dément feu éternel existe

Le paradis ne serait  pas  sexiste,

Du simple fait qu’ange, sans sexe,

Ne s’en font plus  aucun complexe.

 .

Lors enfer me ment, paradis dément,

Que peut vouloir dire cette phrase ci,

Que le paradis pourrait être un enfer

Ou bien  qu’il existe, déjà, sur Terre.

.

Paradis d’amour et d’enfermement,

Ressemblent fort à l’enfer d’autant

Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent

Tant que l’on a des yeux d’amants.

.

Qui souligne comme une évidence

Que tous les contraires se joignent

Avec plus, sinon moins, de poigne.

.

L’enfer dément  qu’un feu … existe

Alors que toutes les visions artistes,

Le met en avant-plan d’avant-scène.

  .

Quelque part entre l’enfer et paradis,

Il y aura la lucidité d’une conscience,

Qui ne se ment pas déjà à…elle-même,

Même quand prise d’émotion extrême.

.

.

Extensions

 .

Prise entre l’enfer et le paradis, l’Église,

En état d’indigence, en besoin d’indulgences,

Dans les deux sens du terme, pardon et argent,

A inventé le purgatoire dont on ne sait ni le lieu,

Ni la fonction exacte  et ressemble un peu à une

«Garde à vue»  dans  une cellule  de  dégrisement,

Où l’on attend, patiemment, son passeport  pour

Le paradis  ou l’acheminement définitif en enfer,

Selon ses actes de contritions, voire d’expiations.

.

Mais si le purgatoire est provisoire, pourquoi pas

Le paradis, l’enfer, ne le seraient-il pas : illogique ?

L’Église aura fait la distinction entre péchés véniels,

Capables d’être expiés purgatoire et péchés mortels,

Conduisant directement en enfer de Jérôme Bosch.

.

Au Moyen-Âge, le purgatoire est symboliquement

Illustré comme étant un lieu de feu purificateur.

Il aurait été redéployé au milieu du XIXe siècle

Face à la montée du spiritisme ou  d’invocation

Des âmes trépassées par des moyens ésotériques,

Non chrétiens. Son évocation s’est depuis raréfiée.

.

Enfermement et enfer me ment : en un ou trois mots,

L’enfer ce serait  toute  privation de liberté et de vérité,

On peut être enfermé seul ou en couple enfer ou paradis

L’enfer si l’un domine l’autre et l’empêche d’être, de sortir

Paradis  si celui qui est sorti  ouvre la porte à l’autre, vérité

Dément en tant que personne et dément en tant que… verbe

S’écrivent et se prononce  de la même façon,  n’ont rien à voir

Et quand l’enfer dément que le paradis est un lieu de bonheur

Le paradis rétorque que l’enfer est réservé à tous les déments !

.

Entre l’enfermement en paradis dément

Ou rester sur Terre, même si purgatoire,

Mon cœur et mon esprit sinon mon âme,

Ont choisi cette dernière pour agrément.

.

Tant si l’enfer, c’est le mensonge, le faux,

Un paradis de vérité, ne sera pas si beau.

Qui décide, vraiment, du vrai et du faux :

L’Église voire le gouvernement d’en haut.

.

L’on dit que toute prison est enfermement,

Qu’il soit physique, psychologique ou moral

Vivre en un paradis peut être insupportable

Pour ceux qui seront inaptes aux bonheurs.

.

.

Épilogue

.

Il se trouve, comme il se doit,

Que tout paradis et tout enfer,

Ont une porte entrée à franchir

Avec des juges pour son sézame.

***

Il faut s’entrainer avec le Sphinx,

À résoudre des énigmes mortelles,

Sinon l’on serait pris  au dépourvu,

En tombant  de paradis  vers l’enfer.

***

Qui dit porte, dit liberté, enfermement :

Religion adopte second en… manipulant

L’humain pour peur de sa mort, en enfer,

Mort deux fois : sur Terre et en l’éternité !

***

Ce n’est pas que  cette croyance  soit inutile,

Il en faut une, de toute façon, mais  pourquoi

L’imposer  comme seule et unique, sans savoir

Ce qui nous attend réellement autre côté miroir.

***

Comme tout ce qui nous importe et fait sens de vie,

Notre libre-arbitre, si tant est qu’il existe, fonctionne

Nous accorde le choix, venant de l’intérieur, personnel

Suite à notre propre et unique expérience individuelle !

***

Qui ment et qui dément, qui dit vérité et qui dit fausseté :

Allez savoir, ce n’est pas qu’affaire de science, connaissances

Mais d’un processus d’individuation basée sur notre intuition

Venant combler les manques de toutes nos croyances erronées.

.

.

1126 – Calligramme

.

     QUAND

     E  *  P  

   En jeu    N       A de mots

Enfer me   F            R      ment

Le paradis  E                A   dément,

Avec force   R                  D     mystère !

Lors para     *                    I   dis d’amour

Demeure     M                   S   enfermement

À deux, en    E                   *    tours   d’ivoire

En ignorant    *                 D   environnement.

Enfer dément  M              É   feu éternel existe

Le paradis ne    E             M   serait pas sexiste

Du simple fait    N             E   qu’ange sans sexe

Ne s’en font plus  T            N   aucun complexe.

                         T

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

 ¤¤¤    Lors enfer me ment, paradis dément,   ¤¤¤

¤¤¤    Que peut vouloir dire cette phrase ci,   ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis pourrait être un enfer   ¤¤¤

¤¤¤    Ou bien  qu’il existe déjà sur Terre !    ¤¤¤

.

¤¤¤     Paradis d’amour et d’enfermement,    ¤¤¤

¤¤¤      Ressemblent fort à l’enfer d’autant     ¤¤¤

¤¤¤      Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent     ¤¤¤

¤¤¤      Tant que l’on a des yeux d’amants.     ¤¤¤

.

¤¤¤      Qui souligne comme une évidence     ¤¤¤

¤¤¤      Que tous les contraires se joignent     ¤¤¤

¤¤¤      Avec plus, sinon moins, de poigne.     ¤¤¤

¤¤¤      L’enfer dément  qu’un feu … existe     ¤¤¤

¤¤¤     Alors que toutes les visions artistes,    ¤¤¤

¤¤¤     Le met en avant-plan d’avant-scène,   ¤¤¤

¤¤¤    Quelque part entre l’enfer et paradis,   ¤¤¤

¤¤¤    Il y aura la lucidité d’une conscience,   ¤¤¤

¤¤¤   Qui ne se ment pas déjà à…elle-même, ¤¤¤

¤¤¤  Même quand prise d’émotion extrême. ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1126 4

.

Cela ressemble à une grande porte

Avec, au dessus, un grand fronton, 

Et sur lequel serait écrit «paradis»,

Tandis qu’en bas, écrit c’est l’enfer.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Pourquoi s’imaginer enfer et paradis

avec une porte, une sirte de sasd’entrée

toutes les religions en parle, et l’adopte

ainsi telle porte évoque bien le fond !

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

Paul Diel interprète l’enfer

Perspective psychologique,

«L’esprit  est  appelé  Zeus ;

Pour l’harmonie  des désirs,

Apollon : l’inspiration intuitive,

Athénée : le refoulement, Hadès».

L’enfer est à l’intérieur de soi-même,

L’enfer de ses démons qui nous possèdent.

.

Dans la tradition chrétienne, l’enfer

Est le péché mortel              lui-même

Dans lequel  les damnés  sont morts.

C’est la perte  de la présence de Dieu,

Malheur absolu, privation radicale.

.

La rédemption du damné n’est plus

Possible, fixé dans sa peine.

Dans une conception moderne

Et existentialiste : « l’enfer c’est les autres »

Selon Jean Paul Sartre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1126 6

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

La porte d’entrée, est un

Passage d’un lieu à un autre,

Un rôle de protection pour être

En totale sécurité, lors chez soi :

Sert autant à entrer qu’à sortir ;

Ou même  à franchir  un obstacle,

Sinon reculer devant un obstacle ;

Porte gérant l’extérieur, l’intérieur.

.

Référence à clé  (solution problème)

L’enfermement  ou emprisonnement

Lumière  de  coté / obscurité, autre ;

La vie  et la mort / jugement dernier

Ou l’entrée  au royaume  des morts ;

Ce qui  est  révélé / ce qui est  caché ;

Bien / mal, limite à ne pas franchir :

Ce qui est sacré / ce qui est profané ;

euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La porte, après vous : fermez-là bien

Car il n’y aura pas de place pour tous

Au paradis où les places sont chères

Entendons-nous bien, pas d’argent

Uniquement vertus don, altérité.

.

L’enfer est immense et sa porte

Serait cent fois plus grande

Tout comme un porche

Non chas d’aiguille

Pour chameau.

 .

.

Paradis, Raphael Toussaint

.

Scénario

.

Sur un côté le paradis trompant mais sur l’autre, l’enfer dément.

Enfermement, oui c’est sûr : où sont les clés d’un vrai paradis ?

Un couple paradisiaque : l’un est enfermé, l’autre, en liberté !

 .

Visuels et textuels >>

1125 – L’éternité ne serait que concept lié au temps

Visuels et textuels  >>

.

L’éternité …

Ça prend du temps

L’éternité  eh,  attendez :

Pourquoi chercher à la définir

Clairement,  et,  définitivement,

Si on a, tout le temps  d’y penser,

Ni interruption   ni  discontinuité.

.

On ne vous dira jamais sauf à la fin

Si toutefois, par  chance, y parvenez,

Tant la moitié de l’infini, c’est l’infini

On se perd avoir tel début … sans fin.

.

S’il n’y avait pas  de temps,  d’espace

Il n’y aurait pas  d’espace, d’éternité.

L’éternité mais  cela, chacun, le sait,

Ne serait que  concept lié au temps

Qui sera une pure  durée humaine,

Afin de pouvoir mieux le compter.

 .

L’éternité,  qui a  un début,

Sans aucune fin … prévue

Est un non-sens logique,

Au sens mathématique.

.

Pourtant faut y croire,

Pour garder  l’espoir,

Sinon le grand soir,

Serait … trou noir.

.

Troublant  miroir,

Pour    s’apercevoir

Que vie est voyage

Passe comme nuage

.

Et, si la brève éternité

Nous attend l’autre côté

Il vaut mieux se préparer

Pour ne pas  se la regretter

.

Instant, et éternité, n’existant

Que dans un esprit fort chagrin

Qui ne voit mort, sans lendemain

Pour ce faire, recrée infini, temps.

.

.

Extensions

 .

 

À quoi bon s’éterniser à écrire et toujours

De vains mots sur l’Éternité

Que personne ne connait et dont personne,

Qui ait vanté ses mérites,

N’en ait revenu pour nous dire à quel point

Elle est désirable,  admirable.

 .

Éternité, assis sur un banc, en pleine solitude,

Et attendant la fin,  s’il y en a une

De quoi d’ailleurs ne me parait pas souhaitable.

Vous vous imaginez mort en pleine

Souffrance  pour une Éternité : c’est déjà  l’enfer.

Mais rassurez-vous, le bonheur même,

Surtout s’il reste intense,  finit par lasser,  énerver.

Il faut donc penser l’Éternité comme une

Sérénité parfaite  que rien ne peut venir perturber,

Que nombre d’agnostiques  appellent ennui.

 .

Et ce dernier peut être pire que douleur le bonheur.

On ne s’en tirerait jamais à si bon compte.

Peut-être est-il préférable de disparaitre et à jamais

Dans le Néant bien que l’esprit y rechigne :

Sa seule mission serait de se projeter dans l’au-delà

De ce qu’il est, dans ce qu’il adviendra

Si on supprime le temps, l’éternité perd son sens

Et son utilité et même l’Homme avec.

L’Éternité nous reste donc des plus nécessaires

Ne serait-ce que pour espérer…

 .

La distinction entre passé, présent et futur ne garde que

La valeur d’une illusion, si tenace soit-elle. » Albert Einstein

Pourquoi lors dire que « nous avons l’Éternité devant nous »,

Alors que nous y sommes déjà, depuis longtemps, toujours,

Si ce n’est que le temps de l’espace, et l’espace du temps,

Se confondent réellement en un seul et même concept.

Et bien que la science de la « relativité restreinte »

 S’opposerait alors à ma philosophie contrainte,

Il n’est pas de mon ressort de les rejoindre

 Dans un artifice jugé métaphysique !

.

Soit une durée qui n’a ni commencement ni fin,

Qui échappe à toute détermination chronologique

Ou durée ayant un commencement, mais pas de fin :

Comme le prône la religion : naissance puis vie future.

.

Dans les deux cas, il y aurait une contradiction interne

Comment concevoir une durée qui est un temps compté,

Puis comment concevoir un début qui n’aurait pas de fin,

Et lors s’il n’y a pas de durée, l’éternité est l’instant présent.

.

.

Épilogue

.

Si l’on admet qu’espace-temps n’existe pas

Ou du moins échappe à notre connaissance

Et plus encore à l’expérience de la physique

Alors l’éternité non plus, n’a plus lieu d’être.

 

***

 

C’est un peu contraire à la raison, je l’admets

Tant comment imaginer, qu’après notre mort

Nous continuerions de vivre : où et comment.

On frise paradoxe, celui quadrature du cercle.

 

***

 

Si on va  au-delà : toute la physique quantique,

Qui dit qu’une particule pourra être paradoxale

En deux états, deux espaces différents et reliés :

Vivant et mort d’un côté, voire affecté de l’autre.

 

***

 

C’est à n’y rien  entendre, comprendre, accepter :

On est loin de dualités cartésienne, einsteinienne,

Moi, qui suis psychologue… je rends mon tablier !

 

***

 

Attendez, non : avant  de mourir, j’aimerais  savoir,

Je ne veux pas  quitter cette Terre, dans un tel noir :

Je suis pris de vertige  et je tombe  dans une spirale !

 

***

 

Une spirale  d’un espace-temps, sans espace ni temps,

Qui me fera sentir, éprouver Dieu, à l’intérieur de moi,

Non mais ce serait vraiment merveilleux, j’y crois pas !

.

.

1125 – Calligramme

.

L’éternité …

Ça prend  *      *    du temps

L’éternité    É                    S  eh, attendez 

 Pourquoi cher  T                       /   P    cher à la définir

Clairement et   E                         /       M    définitivement,

Si on a, tout le   R           \              /            E   temps d’y penser,

Ni interruption    N             \          /                T   ni … discontinuité.

 On ne vous dira    I                  \       /                   *     jamais sauf à la fin

Si toutefois par     T                      o                       T    chance, y parvenez,

Tant la moitié de   É                                            P   l’infini,   c’est l’infini

On se perd avoir   *                                           E   tel début … sans fin.

S’il n’y avait pas   E                                       C    de temps,  d’espace

Il n’y aurait pas   S                                   N   d’espace, d’éternité.

L’éternité mais  T                            O    cela, chacun, le sait,

Ne serait que   *                    C   concept lié au temps

Qui sera pure     U    N         durée … humaine,

Afin de pouvoir   mieux le compter !

 .

L’éternité,  qui a  un début,

Sans aucune fin … prévue

Est un non-sens logique,

Au sens mathématique.

Pourtant faut y croire,

Pour garder  l’espoir,

Sinon le grand soir,

Serait … trou noir.

.

Troublant  miroir,

Pour    s’apercevoir 

Que vie est voyage …

Passe comme nuage …

Et, si la brève éternité ….

Nous attend l’autre côté …..

Il vaut mieux se préparer ……

Pour ne pas  se la regretter …….

Instant, et éternité, n’existant …….

Que dans un esprit fort chagrin ……..

Qui ne voit mort, sans lendemain ………

Pour ce faire, recrée infini, temps  ……….

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1125 4

.

Cette forme représente

Bien  une main, tenant

Au creux une lumière,

brillant pour l’éternité.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Lumière et éternité vont bien ensemble,

à quoi bon une éternité dans l’obscurité,

le principal problème est ailleurs : durée

ainsi la forme évoque un trou sans fond.

.

Cette main nous parle de lumière

Il existe plusieurs représentations

De ce fameux concept de l’Eternité.

Dans laquelle nous fusionnerions !

.

Symbolique 

.

Y a-t-il une vie après la mort ?

Sur cette question que toute personne

Se pose à un moment ou à autre de sa vie,

C’est peu de dire que les opinions divergent.

.

À ce jour, des milliers de livres ont été écrits

Sur ce sujet, les uns affirmant quelque chose

Subsiste, d’autres au contraire postulant

Le retour « au néant de conscience »

Lorsque vie s’achève enfin en

Lumière d’éternité.

Source : belle-emeraude.com/

dans-la-lumiere-de-l-eternite-

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1125 6

.

Cette main nous parle de lumière

Il existe plusieurs représentations

Du fameux concept de l’Eternité.

Dans laquelle nous fusionnerions.

.

Symbolique

.

L’éternité symbolise

Ce qui est privé de limite dans la durée.

C’est l’affirmation de l’existence

Dans la négation du temps.

.

L’Irlande qui ne possédait

Aucun    moyen    de   faire

Comprendre une telle  notion

Aura  brisé le cycle  des  années

À n’en plus finir qui s’additionnent.

.

C’est ainsi que : « Un an et un jour »

Serait devenu le symbole de l’éternité.

Pour  l’homme, le désir  d’Éternité  reflète

Sa lutte incessante contre le temps et plus encore,

Sa lutte pour une vie si intense qu’elle triomphe de la mort.

 .

.

Corrélations

 

Fond/forme 

.

L’éternité serait mise en lumière en religion

Par l’évocation du fameux tunnel de lumière

Que l’on franchirait à l’instant de notre mort.

Passage d’un temps terrestre, mesuré, mortel

À un temps illimité, fondu dans le grand Tout,

Est une affaire de croyance  et de foi religieuse,

Qui n’a aucune preuve pragmatique scientifique

On parle de cinquième dimension… atemporelle

N’ayant aucune connexion possible avec nous !

 .

.

Éternité spirale sans fin

 

Changer l’image ici

.

Scénario

.

Deux anneaux croisés pour l’éternité

tant que le soleil brille, c’est notre éternité

mais, après, qu’adviendra-t-il de nous sur banc ? 

 .

Visuels et textuels  >>

1124 – A part les enfants, qui croit aux contes

Visuels et textuels  >>

.

Enfants croient aux contes

Parce  qu’ils  ont  besoin

En vue  de  se structurer

Leur double imaginaire

Comportant des niveaux

L’un   de compréhension,

Et le second sur la logique,

Et de passer de l’un à l’autre

Les fait grandir dans leurs têtes.

Ils croiront sans y croire vraiment,

Et, si vous dites   qu’ils sont  faux,

Vous les privez de leur jugement.

.

Qui croit  encore aux  contes,

Les jeunes enfants, et  encore,

Si vrai que tout ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

.

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Extensions

 .

Le « compte » y est,

Même si le « conte » y est,

Dans une histoire de «comte»

Telle que  celle de : Dracula !

Un simple jeu sur les mots,

Bien évidemment,

Mais qui en dit long

Sur séries n’en finissant pas.

Le besoin de se projeter, vivre

Par procuration est infini

Dans l’enfance

Où l’imagination est reine.

.

Conte vous raconte,

Et c’est ce qui compte,

Celui d’héros qui affronte

Un roi ou une méchante,

Ou sauve  une héroïne,

Qu’on nomme Prince

Et elle, Princesse

Vous tient en haleine

Par toutes leurs peines,

Ce jusqu’au « happy end »

Vrai ou faux est d’importance

Mais surtout  pour leur morale :

Les gentils vaincront les méchants

Même si c’est pas vrai tout le temps.

.

Psychanalyse des contes de fées est

Un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976.

 «Écrit pour aider les adultes, et plus spécialement

Ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre

 L’importance des contes de fée»

.

Grands thèmes comme le complexe d’Œdipe

Ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants,

Ces contes répondent aux angoisses des enfants

 En les informant sur leurs épreuves à venir,

Efforts à accomplir avant leur maturité.

.

Inspiré de l’article  dans Wikipédia

.

.

1124 –  Calligramme

.

Q              T

Enfants     U   croient   N  aux contes

 Parce qu’ils  I                            A    ont besoin

En vue de se   *                                F      structurer

Leur  double    C                                    N     imaginaire

Com-por-tant   R                                      E     des  niveaux

L’un   de com     O                                      :       pré-hen-sion,

Et  le  second      I                                     S     sur la logique,

Et   de   passer     T                                E    de l’un à l’autre

Les fait grandir   *                            T  dans  leurs  têtes.

Ils croiront sans  A                     N y croire vraiment,

Et si vous dites  U             O  qu’ils sont faux …

Vous les privez X      C  de leur jugement.

.

Qui     croit      encore      aux      contes,

Les     jeunes    enfants   et   encore,

Si vrai que tout  ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1124 4

.

Un long parchemin

Avec une belle histoire

De conte à raconter 

Tel celui de Cendrillon

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

 Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois…

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

 .

Symbolique

 .

Conte est récit court

Qui est destiné à distraire,

Inspiré de faits réels, historiques,

D’aventures purement imaginaires.

.

Le conte principal est de fée, merveilleux,

Mais il en existe d’autres, apparues après.

Le rêve, la fantaisie, l’absurde, l’humour

Élargissent les thèmes en imaginaire

Et irrationnel dans lequel l’enfant

Investit… ses…  propres … rêves.

.

Andersen introduit un merveilleux

Quotidien où objets et nature s’animent

Pour faire vivre une féérie riche d’émotions.

Ainsi, Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

.

.

Fond

 .

Évocation .

1124 6

.

Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois Cendrillon

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

.

Symbolique 

.

Le saviez-vous ?

La première trace écrite

De Cendrillon et ses sœurs jalouses

Apparaît dans un manuscrit chinois

Qui serait vieux de trois mille ans.

Pourquoi des histoires anciennes

Qu’on peut les croire désuètes,

Inadaptées à notre époque,

Nous parlent-elles encore autant ?

.

Elles  reflèteraient  nos   structures

Psychiques les plus fondamentales.

Bien loin de l’esprit  d’une  simple

« Littérature enfantine », contes,

Mettant, en scène, fantasmes,

Apportent, à leur manière,

Solutions de problèmes.

psychologies.com/Culture/Savoirs

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

.

Tous les enfants aiment les contes,

Que parents, amis, leurs racontent

Mais ils savent qu’ils sont inventés

Ils font mine d’y croire lors jouant

Sur les deux tableaux,  vrai et faux

Les romanciers, voire les politiciens,

En raconteront  d’autres  aux adultes,

Auxquels ils adhéreront  en disant non :

L’inconscient prend le pas sur le conscient.

 .

.

Petit côté Walt Disney !

.

Scénario

.

Pour un conte, que l’on raconte,

ça commencera, toujours, comme ça,

et ça finira, souvent, trop bien ou trop mal.

 .

Visuels et textuels  >>

1123 – Croyances d’être dans les bras de Morphée !

Visuels et textuels  >>

.

Sommeil  réparateur,

Régulateur,  producteur,

Ou lors trois rôles  dédiés,

Qui restent indispensables

Pour notre  équilibre… vital.

.

Il faudra aimer son sommeil,

Faut écouter insomniaques,

 Nous dire  ne pas réussir

À dormir : passer nuit

Blanche, deviendra

Un enfer éveillé.

.

Dormir dans les bras de Morphée :

Croyance sur sommeil vous laissant,

Abandonné, endormi parfois hors lit !

Morphée fils d’Hypnos dieu du sommeil

.

Ainsi que de Nyx, cette déesse de la nuit :

Qui, dispersant, en l’air, graines de pavot,

Endormait profondément, en faisait rêver,

Les bons, et, même  les mauvais dormeurs.

.

Jean de La  Fontaine aura de même œuvré

En ses fables, et, pour faire de «Morphée »

Un quasi synonyme  français  du  sommeil

«Dans les bras de» est signe de protection,

D’homme conjuguant sommeil nuit, rêve.

.

Qu’espérer de mieux que la douceur infinie

D’un  laisser-aller, voire,  d’un lâcher-prise,

Qui  nous  transporterait  en  autre  temps

Nulle part ailleurs, voire  pour  un voyage

Plein de surprise voire plein d’inventivité.

.

Image du «lancer  de  graines  de  pavot »

A été reprise dans «Marchand  de sable »

Dans l’émission : «Bonne nuit les petits»

Mais on la retrouve dans tous les livres,

Qui servent pour endormir les enfants.

.

.

Extensions

.

Cette image a ce côté potion magique

Jouant le rôle hypnotique.

Première réduit la lumière dans le jour,

Seconde l’augmente en nuit,

Le cobra hypnotise, la chouette nyctalope.

.

Sommeil pas réservé à la nuit

Et ce que l’on voit dans le jour n’est pas pareil

À ce que l’on voit dans la nuit.

 .

Il arrive que deux réalités, au lieu de se continuer,

De se superposer, se dissocient,

Se scindent en deux, sans liens logiques entre elles :

En état d’éveil et en état de rêve.

Le rêve supprime  toute censure, et permet  de jouer

Tous les rôles toutes les situations.

 .

Le sommeil  aura, longtemps,  été considéré  comme

Un long processus de déconnexion

De la réalité perçue, de reconnexion, en plein éveil :

Il s’agit d’une réalité qui se poursuit

De manière inconsciente, déformée et transformée.

.

Morphée utilise la drogue pour faire

Dormir et rêver, l’écriture, la peinture, la musique,

Les arts sont des drogues à faire rêver

Au réveil, vous en récolte les fruits, ou les oublier.

.

Morphée ou dormir au pays des songes

En un rêve auquel tout le monde songe

Au lieu d’un cauchemar qui vous ronge

Et pour qui, vous serez comme éponge !

C’est un enfant dans les bras d’une mère

Une amoureuse dans ceux de son amant

C’est l’inconscient, en lequel, on se perd !

.

Il fallait bien un  dieu du sommeil

En la panoplie des dieux olympiens

Tout comme dieu/déesse de la nuit :

Hypnos/Nix pour ne pas les nommer

Mais davantage liés aux cauchemars,

.

Phobétor, serait “celui qui épouvante”

Prenant apparence d’animaux féroces.

Lors Thanatos  personnifierait la Mort,

Les Oneiroi (songes) seraient divinités

Qui personnifient les rêves : la totale.

.

.

Épilogue

.

Le sommeil, le rêve, la nuitée

Avaient-ils besoin d’un mage

Afin de se… métamorphoser

En scènes,  plein d’images !

***

Tant, le marchand de sable

A pris la suite aujourd’hui

Vous disant : bonne nuit,

Et vous en serez capable.

***

C’est sûr, l’on dort mieux

Dans des bras bien aimés,

Que seul, voire abandonné,

 Sur un vieux, mauvais pieu !

***

Mais autre  mage  du sommeil,

A pris autant relève : somnifère

Mélatonine, en pilules, merveille,

On ne pourra résister, s’en défaire.

***

Il y a pléthore de mages, divinités,

Pour se couper de toute la réalité :

Morphée,  rêve, Hypnos sommeil,

Nyx, nuit ; Oneroi, pour  songes !

***

Nuits sont aussi utiles ou futiles,

Que nos jours, bien mercantiles,

Nuit  blanche : cauchemar noir,

Lors tueuse  de rêves d’espoirs.

***

J’arrête, je vais vous endormir

De tous mes propos ennuyeux,

Et si je vous racontais Casimir

Ce héros  qu’on dit valeureux !

.

.

1123 – Calligramme

.

Sommeil  réparateur,

Régulateur,    producteur,

Ou trois Ô  rôles   Ô   dédiés,

Qui restent  //    indispensables

Pour notre  //   équilibre …  vital.

Il faudra  //  aimer son sommeil,

Faut écouter des insomniaques,

 Nous dire ===  ne pas réussir

À dormir : passer nuit

Blanche, deviendra

Un enfer éveillé.

.

*************

****************

CROIRE ÊTRE

.

Dormir dans les bras de D  Morphée :

Croyance sur sommeil    A   vous laissant,

Abandonné, endormi    N  parfois hors lit !

Morphée fils d’Hypnos   S   dieu du sommeil

Ainsi que de Nyx, cette    *   déesse de la nuit :

Qui, dispersant, en l’air,     L  graines de pavot,

Endormait profondément,   E   en faisait rêver,

Les bons, et, même  les mau  S  vais dormeurs.

Jean de La  Fontaine aura de  *   même œuvré

En ses fables, et, pour faire de  B   «Morphée »

Un quasi synonyme  français     R du sommeil

«Dans les bras de»  est signe de  A   protection,

D’homme conjuguant sommeil  S  nuit, rêve.

.

***************************************

***************************************

.

Qu’espérer de mieux que la  D  douceur infinie

D’un  laisser-aller, voire,  d’ E  un lâcher-prise,

Qui  nous  transporterait    *     en autre temps

Nulle part ailleurs, voire  M    pour un voyage

Plein de surprise, voire  O  plein d’inventivité.

Image du «lancer de   R     graines de pavot »

A été reprise dans    P «Marchand de sable »

Dans l’émission :   H  «Bonne nuit les petits»

Mais on la ret    É  rouve dans tous les livres,

Qui servent    E     pour endormir les enfants.  

.

.

Forme

 .

Réduction

.

.

Silhouette d’un homme

Aux allures de statue grecque :

C’est peut-être  bien  Morphée, 

Et qui le voit sommeille avec lui.

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

.

Morphée et sommeil font la paire

comme un dieu païen hypnotiseur,

qui régira le monde de l’inconscient,

et ainsi forme et fond ses confondent.

 .

Évocation  

.

1123 4

.

Morphée : on pense à une femme

Lors il s’agit d’un homme :

Suscitant et gardant son  sommeil,

Favorisant les rêves heureux.

 .

Symbolique

 

Dans la mythologie grecque,

Morphée,  dieu des rêves,

Est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx,

Déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par

Un jeune homme tenant un miroir

À la main et des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne  le sommeil en touchant une personne

Avec ses pavots, donne des rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité et de  force,

On comprend  pourquoi  cette image  est restée

Pour désigner personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1123 6

.

Morphée : on pense à une femme

Lors il s’agit d’un homme :

Suscitant et gardant son sommeil,

Favorisant les rêves heureux.

.

Symbolique 

 .

Dans la mythologie grecque,

Morphée,  dieu des rêves,

Est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx,

Déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par

Un jeune homme tenant un miroir

À la main et des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne  le sommeil en touchant une personne

Avec ses pavots, donne des rêves  pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité et de  force,

On comprend  pourquoi  cette image  est restée

Pour désigner personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

.

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Existe-il encore, de nos jours, un lien direct

Entre le mythe de Morphée et les somnifères

Ne cherchez pas, consulter le Réseau Morphée,

En lequel il est mentionné de manière très claire

« À utiliser uniquement de manière occasionnelle,

Sinon il y aura un risque de certaine dépendance.

Pas de prise la veille d’une échéance importante :

 Ils peuvent entraîner une somnolence plus longue

Que prévue, perturber toutes nos performances. »

Alors, à bon entendeur, salut, surtout bon sommeil

.

 .

Sommeil ou extase ?

.

Scénario

.

Morphée endormi, 

Morphée rêvant de nymphe,

Extase, sommeil ou mort : allez savoir ?

 .

Visuels et textuels  >>

1122 – Boite Pandore, mythe fécond et dramatique !

Visuels et textuels  >>

.

La boite de Pandore est

Un mythe grec … d’Hésiode

Selon lequel, Zeus, pour châtier

Impiété des hommes, aurait fait

Forger par le dieu Héphaïstos

Une toute  première  femme,

Qu’il se dépêcha d’envoyer

Toute, nue, sur notre Terre.

.

Sous le nom ironique de Pandore

«Don universel», munie  d’une boite,

Qu’on lui recommanda de ne pas ouvrir

Mais voilà, curiosité féminine ne tint pas.

.

De la boite, jaillirent maux de l’Age de fer,

Seule, l’espérance, sans objet, reste au fond

Comme l’équivalent païen  de la faute d’Ève,

Voire de l’origine biblique du péché originel.

.

Et depuis, et au sens figuré, et par extension,

La boite de Pandore est un bienfait apparent

Qui cache à l’intérieur, ses effets désastreux.

 .

Tentation  féminine ,malsaine, obsessionnelle,

De découvrir un  secret  du Mal,  et  malicieux

Et curiosité masculine, saine, persistante

De découvrir le secret du Bien précieux

Se renvoient, mutuellement, le débat.

.

Entre religions jusqu’à la science

C’est une différence entre lire

En boule de cristal,  l’avenir

Ou instrument scientifique

Pour comprendre le passé.

.

Toute boite, fermée à clé

Avec consigne de ne jamais

L’ouvrir, ne peut que susciter

Une tentation de passer outre ;

.

Il n’y a aucune raison pour que

Ce soit la femme qui prenne

L’initiative . de braver

L’interdit jusqu’à en

Endosser la faute.

.

.

Extensions

 .

Il se pourrait que la boite contienne des bienfaits,

Comme pour Ève avec l’Arbre  de la  Connaissance,

Du bien et mal engageant responsabilité de l’homme

Et comme mettant fin  à une innocence paradisiaque.

C’est le même mythe, la même cause, les mêmes effets.

Son universalité  trouvera son origine  dans la nécessité

D’expliquer les malheurs récurrents de notre humanité.

.

La religion chrétienne prend parti, du fait qu’espérance

Est foi en notre rédemption mais en ajoutant qu’elle est

Impossible en notre Monde terrestre mais Jésus-Christ

Nous l’a prouvé, nous l’a promis pour la fin des temps.

La science aussi s’intéresse à ce mythe en l’inversant,

Les bienfaits  qu’elle aurait dispensés  au premier

Degré peuvent  s’avérer  désastreux au second.

.

L’enfer, on le dit, serait pavé des meilleures

Intentions du monde, un médicament qui

Soigne un organe peut créer dommages

Les plus irrémédiables et à tout autre

Si ce mythe  nous renseigne  peu  sur

Le rôle de l’espérance, il nous mettra

En garde  contre  tout faux-semblant

En nous incitant à critique, prudence.

.

Pandore, une femme encore, et accusée d’avoir été tentée

Comme dans la perte du Paradis, en mangeant la pomme.

On n’en sort pas, sauf en conservation d’espoir, rédemption

Pour dire vrai, c’est l’Humanité qui en est seule responsable.

Ce n’est pas punition divine que le réchauffement climatique

La plupart des maux, dont nous subissons  les désagréments :

Soit nous les avons créés, soit nous en avons éradiqué certains.

.

Pandore est  le nom de la première femme,

Mortelle de l’humanité, envoyée sur Terre,

 Par Zeus, en vue de se venger des hommes.

Elle a apporté, dans ses bagages, une boîte

Mystérieuse que Zeus lui interdit d’ouvrir.

.

Celle-ci contient tous maux de l’humanité :

Vieillesse, maladie, guerre, famine, misère

Ainsi que Folie, Vice, Tromperie, Passion,

 L’orgueil, le tout  avec intrus : l’Espérance.

.

Ouvrir la boite de pandore … nous rappelle

Combien les hommes autant que les femmes

Sont vulnérables et succombent à la tentation,

Quitte à en subir des répercussions inéluctables.

.

.

Épilogue

.

Pandore sera un mythe sacré

Faisant partie des archétypes,

Mis en lumière par C. G. Jung,

Révélant l’origine de tous maux

Sur la Terre, avant  un  paradis !

***

Une métaphore, une symbolique

Pour mieux illustrer  la nécessité

La toute la puissance de l’Espoir,

Appelée,  tout autant, Résilience,

 En qui, on a mis toute confiance.

***

Là où mythe d’Ève et de Morphée

Est sujette  à question, déviation,

Est qu’il s’agit  que d’une femme,

Est sans doute  écrit par homme,

Pour la tenir à distance du sacré.

***

Curiosité masculine serait positive,

Féminine, négative et voire fautive,

C’est tout de même leur faire injure

Moi que les pensait  naïves et pures,

Ou bien sont-elles été instrumentées

Pour mieux justifier … l’injustifiable.

***

De conclusion hâtive à tirer : aucune,

Toutes seraient critiques, opportunes,

Autant rejeter toute faute sur la Lune.

.

.

1122 – Calligramme

.

La boite de Pandore est……

Un mythe grec d’Hésiode……

Selon lequel, Zeus, pour châtier

   Impiété des hommes, aurait fait

       Forger par le dieu Héphaïstos

             Une toute  première  femme,

                Qu’il se dépêcha d’envoyer

                  Toute, nue, sur notre Terre.

        Sous le nom   B    ironique de Pandore

     «Don universel»,  O   munie  d’une boite,

        Qu’on lui recommanda I    de ne pas ouvrir

         Mais voilà, curiosité fémi  T  nine ne tint pas,

       De la boite, jaillirent maux   E de l’Age de fer,

      Seule, l’espérance, sans objet,   *  reste au fond

    Comme l’équivalent païen de la  D  faute d’Ève,

    Voire de l’origine biblique péché E        originel.

    Et depuis, et au sens figuré, et    *   par extension

    La boite de Pandore est un   bienfait apparent,

  Qui cache à l’intérieur,   A   ses effets désastreux.

N

    Tentation  féminine   D    malsaine,  obsessionnelle,

  De découvrir un se   O  cret du Mal, et malicieux…

  Et curiosité mas   R   culine, saine, persistante,…..

 De découvrir     E  secret  du Bien  précieux………

 Se renvoient    :    mutuellement le débat………….

Entre religions M    jusqu’à la science…………….

 C’est une diffé     Y    rence entre lire……………..

En boule de cris   T    tal,  l’avenir………………

  Ou instrument sci  H   entifique………………..

  Pour comprendre   E le passé………………..

 Toute boite, fermée  *  à clé,………………

  Avec consigne de ne  F  jamais…………

  L’ouvrir, ne peut que  É  susciter……..

    Une tentation de passer C outre…….

    Il n’y a aucune raison, O  pour que

  Ce soit la femme N qui prenne

L’initiative         D   de braver

  L’interdit           *      jusqu’à en

   Endosser             *              la faute.

D   R   A   M   A   T   I   Q   U   E  !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1122 4

.

Silhouette de femme

Nue et qui pourrait bien

Ressembler  à   Pandore 

En posture de… curiosité ?

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Pandore et curiosité font la paire

il fallait une femme pour ce faire :

une femme déchue, bannie sur terre

si bien que sa forme épousera le fond.

 .

Pandore serait l’envoyée d’un  dieu  olympien,

En nôtre paradis terrestre,

Avec une boite et sa curiosité poussera à l’ouvrir

 Pour le malheur des  humains.

.

Symbolique 

 .

Georges Charachidzé  met en évidence

Que des  éléments du mythe de Prométhée

Ont été empruntés aux légendes géorgiennes.

.

Tous ces contacts avec le Caucase sont aussi

À la base d’un tel mythe de Pandore,

Fondé sur l’idée reprise par Hésiode

Que la femme est à l’origine

Des maux de l’homme.

.

Néanmoins, sa création

Comme celle du premier

Homme à partir de la terre

Glaise est d’origine mésopotamienne.

wikipedia.org/wiki/Pandore#Interprétation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1122 6

.

Pandore serait l’envoyée d’un  dieu  olympien,

En nôtre paradis terrestre,

Avec une boite et sa curiosité poussera à l’ouvrir

 Pour le malheur des  humains.

.

Symbolique 

 .

La curiosité est une attitude

De disponibilité et/ou d’intérêt

À l’égard  sujet phénomène donné.

Peut être un trait de caractère,

Présente en toutes occasions,

Elle est considérée très positive

Par  la  Science, lorsqu’elle aide

À l’intelligibilité de notre monde.

.

La curiosité est un vilain défaut,

Rappelle, qu’en société, le désir

De connaissance qui nourrit

La curiosité peut heurter

Les sensibilités ou les intérêts

D’autrui et être ressenti gênant.

fr.wikipedia.org/wiki/Curiosite_(faculte)

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme

 .

Il faut bien attribuer les malheurs du Monde

À quelqu’un, mais mieux encore, à quelqu’une

Étrange qu’en monde dominé par la masculin,

Ce soit une femme qui ait le désir de tout savoir

Alors il aura tourné une telle vertu en  un vice

De commérage que, seule, la femme assouvit,

En un tour de passe-passe en quelque sorte,

C’est là, en tous cas, mon interprétation !

 .

.

Pandore de J. P. Cortot

.

Scénario

.

Tel qu’on l’a imaginé pur vous, et curieux : ouvert par une femme,

et qu’est-ce qu’on y voit à l’intérieur : l’espérance… qui y est resté,

tant, pour le reste : tout a explosé et s’est disséminé sur la Terre !

 .

Visuels et textuels  >>

1121 – Nous aurions acquis un sacré sens du sacré !

Visuels et textuels >>

.

Sacré n’est seulement pensées

Il est  aussi en actes  pratiques,

Utilisant nombre de rituels

Comme en exorcise de sa foi.

.

En lui à laquelle ne pas déroger

Et cela, depuis la nuit des temps,

Il n’y a qu’à voir nos enterrements

Avec  pour cérémonial  inhumation :

Les bougies et les hosties, les homélies,

Les lumières et les prières et bréviaires,

Sous une forme et voire sous bien d’autres

Faisant de nous, du sens sacré, bons apôtres

 .

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

.

Extensions

 .

Pas de vrai prophète pour sauver notre Monde

Ni annoncer la fin des temps, ni la délivrance

De l’Humanité, du fardeau, qui est le sien

Pour l’accueillir en une Terre promise,

Racheter son âme égarée, la ressusciter.

 .

On croirait synthèse religions monothéistes.

Je ne suis pas prêt à renoncer à liberté de penser,

De rêver, d’imaginer, ni de créer qui me sont sacrées.

 .

Voilà bien deux croyances, qui te tiendront éveillé mais

Ne donne pas un sens à ta vie, t’aident à la supporter.

 .

Le sacré est un sentiment qui fascine et terrifie,

Quelque chose de surnaturel mais qui ne se

Manifeste pas dans notre vie… réelle !

 .

Serait sacré  tout ce qui se donne

Pour tel  aux yeux  d’un croyant,

Qui pense être dans le vrai mais

Cherche à l’imposer aux autres.

.

Notre sens du sacré nous viendrait de ce rite, établi

Pour enterrer nos morts, que les animaux n’ont pas.

Naissance, mariage, enterrement en sont les témoins

Et ce quel que soit la religion et même chez les athées.

Il s’agit de quelque chose d’humain qui se projette divin

Sens sacré, suite à cela, aura pris  deux voies divergentes,

En relation avec Dieu et avec ce à quoi nul ne peut toucher,

Ainsi on parle de sanctuaire, à propos de la défense de l’État,

Comme si c’était un dieu qui gardait le trésor royal inviolable.

.

Tout d’abord, qu’est-ce que la sacré :

Qui appartient au domaine séparé,

 Intangible, inviolable du religieux

Doit inspirer crainte et respect

Lors on l’opposera à profane

En désignant toute réalité

N’étant pas  consacrée ;

Personne non initiée,

Et voire ignorante.

.

.

1121 – Calligramme

.

Sacré n’est    A  seulement S     pensées

Il est  aussi  V  en actes     E  pratiques,

Utilisant    O      nombre   N   de rituels

Comme     N   en exorcise  S     de sa foi.

En lui à     S      laquelle ne  *  pas déroger

Et cela        *      depuis nuit  D   des temps,

Y a qu’à       A     voir nos en    U   terrements

Avec  pour     C      cérémonial    *   inhumation

Les bougies,    Q    et les hosties   S   les homélies,

Les lumières      U   et les prières   A   et bréviaires,

Sous une forme   I     et voire sous  C   bien d’autres

Faisant de nous,   S   du sens sacré, R   bons apôtres

                                     É

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1121 4

.

Un piédestal pour trois statues

Ou une forme de ciboire religieux

Ou une forme  de  cercueil humain

Voire peut-être, de sarcophage ?

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

.

Symbolique 

 .

Momie est également une machine.

En effet, pour les Égyptiens : la mort

Est la dissociation entre le contenant

Appelé son enveloppe charnelle et

Le contenu impalpable, son âme.

.

Pour assurer  l’Éternité de la vie,

Il faut alors conserver également

Le contenant : le corps. Elle est moyen.

C’est une véritable machine à traverser

Le passage  vie-mort» sans encombre.

.

Selon le point de vue de l’embaumeur,

La momie est un produit et résulte

D’une activité,  d’un long procédé

De fabrication mettant lui-même

En jeu, d’autres objets  et  outils,

Vrai savoir-faire du technicien.

fr.wikipedia.org/wiki/Momi

ficationen_Egypte_antique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1121 6

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

 .

Symbolique 

 .

Le sarcophage est un coffre

Qui est destiné à recueillir le défunt.

Il est associé à la mort : dans l’antiquité,

Égyptiens  utilisaient nombre  de sarcophages

Pour préserver momie qui se trouvait à l’intérieur.

.

Il représente la demeure du défunt en l’au-delà,

Le décor du couvercle représenterait le Ciel,

Tandis que le fond de la cuve : la Terre !

1001symboles.net/symbole/sens-de-sarcophage

.

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Tant que nous sommes vivants

L’on représente un être animé,

Et quand nous sommes morts :

Un objet, une chose,  inanimés.

Pourquoi  alors  vouloir durer,

Dans  un  sarcophage, cercueil

En une tombe, en un cimetière,

Sinon pour croire résurrection

Pas  sous  la même forme, sûr,

Mais un autre principe de vie,

Qui lui, ne serait  plus  soumis

À une mort bien trop charnelle.

 .

.

Un sacré sens du sacré

.

Scénario

.

On pourrait l’acquérir par soi-même pendant années de jeunesse,

à chaque enterrement, célébration nouveau mortel, élu pour le ciel,

chez certains, esprit curieux, critique, scientifique, chamboulant tout.

 .

Visuels et textuels >>

1119 – Dieu aurait-il quelque chose à voir avec nous !

Visuels et textuels  >>

.

Dieu aurait forcément quelque chose

 À voir avec nous,

Et que ce soit lui

Qui nous ait inventé ou le contraire.

.

Quelque chose mais quoi, mystère,

Sur notre Terre,

Dans   les Cieux,

Enfin les nôtres, et qu’on imagine.

.

Or il se peut que j’en fasse partie,

Et  sans  le savoir,

En un grand Tout

Et le découvrirait : mort, fini !

.

Dieu a-t-il à voir avec les hommes !

Ne serait-ce pas plutôt les hommes

Qui auraient à voir avec leur Dieu !

.

Il y a tant de pensées, de paroles,

De comportements, d’actes,

De visions philosophiques,

De morales, et  de religions

Différentes entre les hommes

Que Dieu lui-même s’y perdrait !

.

Homme, Dieu sait ce que c’est, pour cause,

Fait à son image et à sa ressemblance

Dit la Genèse dans la Bible,

Si ce n’est l’inverse :

Dieu en tant que surhomme,

Tellement divin qu’il en devient abstrait.

.

Etre homme est par définition, être imparfait,

Il comportera des manques, des manquements,

À la sacrosainte loi de déité pour immortalité.

 .

Il y en a qui s’en approchent

Qui s’en seront bien approchés :

Les prophètes, rois, les apôtres,

Les saints, les gou rous ou les guides !

 .

Mais moi je ne suis rien de tout cela :

Je ne suis qu’un homme parmi les autres

Je n’ai vocation à me sanctifier outre mesure.

 .

Que Dieu me pardonne de n’être qu’un homme,

Peut-on lui pardonner de nous avoir fait

Ce que nous sommes : tous mortels !

.

.

Extensions

 .

Dieu a forcément quelque chose à voir

Avec nous, puisqu’on le nomme,

Puisqu’on l’invoque, bénit,

Et puisqu’on le craint

S’agit-il d’un Dieu vivant,

Qui s’intéressera à notre sort

Un dieu inventé pour compenser

L’idée et réalité même de notre mort,

Inacceptable pour notre esprit humain ?

Là est toute la question, qui reste insoluble,

Depuis origine de l’Univers : ce qui est certain

C’est qu’il a bon dos pour régler des conflits

Proprement humains qu’on transforme

En colères divines et en guerres !

.

Dieu est notre explication d’origine, de vie sur Terre,

Pourquoi alors nous abandonnerait-il, moi, Humanité

Moi, passe encore : je ne sais si je mérite  son attention

L’Humanité passée, présente, et à venir, on en fait quoi

Et pourquoi ceux qui croient, ont cru, seraient sauvés ?

Des milliards de gens ne savaient pas que Dieu existe :

Dieu les a-t-il condamnés pour leur faute de l’ignorer.

.

Que peut-on vraiment dire de Dieu :

Dieu est Amour, disent les chrétiens,

Dieu est Puissant, disaient les païens

Dieu est ceci… cela, n’est rien et tout.

.

Être éternel, unique, créateur et juge.

D’accord mais ce sont là des attributs

Que l’homme aura fort projeté sur lui

Sans lui demander son approbation !

.

Quant à nier …l’existence de Dieu

Ou quant à se prendre pour lui

Cela reviendrait … au même

Comme péché d’orgueil !

.

.

1119 – Calligramme

.

Dieu aurait forcément quelque chose

 À voir avec nous,

Et que ce soit lui

Qui nous ait inventé ou le contraire.

.

Quelque chose mais quoi, mystère,

Sur notre Terre,

Dans   les Cieux,

Enfin les nôtres, et qu’on imagine.

.

Or il se peut que j’en fasse partie,

Et  sans  le savoir,

En un grand Tout

Et le découvrirait : mort, fini !

.

Dieu a-t-il à voir avec les hommes !

Ne serait-ce pas plutôt les hommes

Qui auraient à voir avec leur Dieu !

.

Il y a tant de pensées, de paroles,

De comportements, d’actes,

De visions philosophiques,

De morales, et  de religions

Différentes entre les hommes

Que Dieu lui-même s’y perdrait !

Homme, Dieu sait ce  D  que c’est, pour cause,

Fait à son image et I   à sa ressemblance

Dit la Genèse  E  dans la Bible,

Si ce n’est  U   l’inverse :

Dieu en tant     * que surhomme,

Tellement divin qu’    A il en devient abstrait.

*

Etre homme est par dé   À  finition, être imparfait,

Il comportera des man     *  ques, des manquements,

À la sacrosainte loi de       V    déité pour immortalité.

O

Il y en a qui s’   I   en approchent

Qui s’en seront   R bien approchés :

Les prophètes,     *    rois, les apôtres,

Les saints, les gou   A  rous ou les guides !

V

Mais moi je ne suis   E      rien  de tout cela :

Je ne suis qu’un hom   C      me parmi les autres

Je n’ai vocation à me      *  sanctifier outre mesure.

N

Que Dieu me pardonne   O  de n’être qu’un homme,

Peut-on lui pardon        U   ner de nous avoir fait

    Ce que nous som    S   mes : tous mortels !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1119 4

.

Et comment  donner

Une forme à un Dieu,

Dont on ne perçoit rien, 

Et anthropomorphisé.

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

.

Dieu comme concept, virtualité

ne peut être anthropomorphisé :

dans notre imagination il occupe

toutes les formes et tous les fonds

.

Bon nombre des images de Dieu

Seront  plutôt  anthropomorphes.

Dieu nous aurait fait à son image

Qui sait, et si c’était le contraire !

.

Symbolique 

.

Une vraie image de Dieu :

Qu’est-ce que cela peut signifier ?

Idem,  homme  fait  à l’image  de Dieu?

Et la conception intelligente de l’Univers ?

Quel choix  entre   la Création  ou  l’Évolution?

Pourquoi importance de la musique pour nous ?

Pourquoi avons-nous développé sens artistique ?

Pourquoi y aurait-il de l’amour entre nous ?

.

Voilà autant de questions, lancinantes,

Non tranchées, et qui rapprochent

Ou qui nous éloignent de Dieu.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1119 6

.

Bon nombre des images de Dieu

Sont plutôt anthropomorphes.

Dieu nous aurait fait à son image

Qui sait, et si c’était le contraire !

 .

Symbolique 

 .

L’anthropomorphisme a mauvaise presse ;

On le considère comme une erreur philosophique

Et comme un blasphème religieux. Il rend Dieu

Humain, il ne perçoit pas sa divinité et il oublie

L’altérité, et il nie différence Dieu et l’homme.

.

On l’accuse de tous les maux.

Il serait responsable des superstitions,

Des idolâtries, des déviances religieuses.

.

À mon sens, tout ce que nous disons de Dieu

Est anthropomorphe mais on ne doit pas se taire,

Se réfugier en silence, refuser discours sur Dieu :

L’assumer, ayant conscience des vertus et limites.

.

Il n’est ni entièrement faux,  ni entièrement vrai.

Le rejeter totalement est tout autant une erreur

Qu’utiliser sans critique. Il faut le relativiser.

andregounelle.fr/vocabulaire-

theologique/anthropomorphisme.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Dieu nous aurait conçus à son image

Ou l’homme, anthropomorphisé Dieu

La question métaphysique, vrai enjeu

Qui fait de nous des fous ou des sages,

Comment faire comprendre un concept

À certains, sans illustration, métaphore

De fil en aiguille, toutes représentations

Aura pris le pas sur toute présentation :

 Dieu devenant inséparable de sa barbe !

 .

.

Comment être intime avec Dieu

.

Scénario 

.

Dieu et moi,  y croire en ma vie : Dieu est lumière, Dieu est amour.

Dieu et moi, dilemme, après mort, pourquoi garder forme humaine ?

Tout le monde veut aller en paradis terrestre, peu de monde achète.

 .

Visuels et textuels  >>

1118 – Croire que l’esprit n’habite que mon cerveau !

Visuels et textuels  >>

.

Est-il vrai, à ce qu’il parait

Esprit est tout partout en nous,

L’esprit humain peut être ailleurs

Bien  que situé, majoritairement,

Dans le fond  de  notre cerveau.

.

L’esprit est plus que des mots

Il est fait  autant des gestes,

Est fait, aussi, de réflexes.

Lors le  geste est réalisé

Avant que je le décide.

.

Est-ce   le  cerveau

Ou nerf  reptilien

J’ai mal au bras

Qui n’existe pas

Esprit trompe

Ou le recrée.

.

Croire que l’esprit n’habite   que le cerveau.

Les physiologistes, ont, depuis longtemps,

Prouvé le contraire, expérimentalement :

Que serions-nous en effet … sans mains,

Sans pieds, sans yeux et, sans oreilles.

.

Ce sont, pour large  part, organes,

Perceptifs et sensitifs et moteurs,

Qui façonnent notre esprit, pensée,

À la manière de gros calculateurs

.

Qui ordonneraient tous éléments

En   mémoires,  en   traducteurs

Avec les éléments périphériques

Clavier, écran,   souris, et  micro.

     .

L’esprit  sera mon intelligence,

Et se trouve partout, en corps,

Lors quand l’on me dira : mort,

Mon esprit  quittera mon corps,

.

Mais qu’est-ce que cela veut dire,

S’il n’est pas  indépendant  de lui,

Qui anime l’esprit, anime  le corps,

L’esprit mourrait bien avec le corps,

Ne saurait lui survivre, emprisonné.

.

Or les personnes dites tétraplégiques

Qui n’ont donc plus ni jambes ni bras,

Garderaient esprit, parfaitement intact,

 Et ils ont même l’impression d’avoir mal

Aux membres comme présents en cerveau.

.

Esprit  comme pensée ou idée, vie, principe,

Âmes, humeurs  et  attitudes  et imaginaires,

Tout se mélange  en ondes, chimies en l’esprit,

.

En m’éclairant en fonction des contextes choisis

Esprit ne s’oppose au corps que par commodité,

D’accord… d’accord, mais là, pour le coup :

Je crois bien que l’esprit n’y sera plus !

.

.

Extensions

 .

Encore, encore et encore : je suis d’accord

Mais je crois que l’esprit n’y est plus !

Mais de quel esprit parlez-vous !

De l’esprit du corps ou bien

De l’esprit de l’esprit !

.

Oh là, ça se complique, là,

Un peu, beaucoup, trop même,

Au point de rendre, ici, mon tablier.

Mon esprit est partout et nulle part,

En réflexions autant qu’en actions.

.

C’est dire qu’il ne se cantonne

Pas  qu’au  cerveau, mais en

Notre corps, et tout entier,

Nos mains, nos pieds, etc.

.

Le cerveau est connu pour être le siège de l’esprit

Mais l’esprit ne fonctionnera point sur lui-même

Il lui faut se développer  et pour cela, l’alimenter

Par le système digestif, respiratoire  et sanguin,

De même, par nos cinq sens,  moult sensations.

Un cerveau sans corps, sans visage, sans cœur,

À quoi pourrait-il  bien servir : d’ordinateur !

.

Le corps et le cerveau sont des objets publics,

Accessibles au regard, externalisés et objectifs.

L’esprit est privé, masqué, interne et subjectif,

L’esprit et la pensée sont activités du cerveau !

.

Mythologie : esprit est substance immatérielle.

Philo : âme désincarnée douée de pensée, vie.

Psycho : principe de pensée  et de réflexion !

Lors d’où vient lorsque le corps y participe.

.

Un cerveau  privé sensations, perceptions,

Ne peut alimenter l’esprit très longtemps

Il finirait  par tourner … sur lui-même :

Sans sens, conscience serait non-sens.

.

.

1118 – Calligramme

.

                                         Est-il vrai,   C   à ce qu’il parait

                                      Esprit est tout   R   partout en nous,

                                      L’esprit humain   O      peut être ailleurs

                                     Bien que situé,       I       majoritairement,

                                   Dans le fond         R        de notre cerveau.

                                  L’esprit est        E        plus que des mots

                                 Il est fait         *         autant des gestes,

                                Est fait         Q         aussi de réflexes.

                             Lors le       U        geste est réalisé

                          Avant       E    que je le décide.

.

                   Est-ce   le  cerveau

                Ou nerf  reptilien

           J’ai mal au bras

         Qui n’existe pas

    Esprit trompe

Ou le recrée.

.

Croire que l’esprit *  n’habite   que le cerveau.

Les physiologistes,  L  ont, depuis longtemps,

Prouvé le contraire    ‘    expérimentalement :

Que serions-nous en  E   effet … sans mains,

Sans pieds, sans yeux  S     et, sans oreilles.

  Ce sont, pour large      P       part, organes,

  Perceptifs et sensitifs  R      et moteurs,

      Qui façonnent notre   I  esprit, pensée,

         À la manière de gros T     calculateurs

           Qui ordonneraient   *  tous éléments

             En mémoires, en   N     traducteurs

                Avec les éléments   ‘   périphériques

                    Clavier, écran,    H  souris, et  micro.

                  A

                         L’esprit  sera   B   mon intelligence,

                           Et se trouve    I   partout, en corps,

                             Et quand on  T    me dit que : mort,

                               Mon esprit    E  quittera mon corps,

                                Qu’est-ce        *       que cela veut dire,

                                 S’il n’est pas  Q   indépendant  de lui,

                                L’âme pourra U   être ce mouvement,

                                Qui anime l’es E   prit, anime le corps,

                                L’esprit mour   *  rait bien avec le corps,

                              Ne saurait lui     L   survivre, emprisonné.

                 E

                          Or les personnes   *      dites tétraplégiques

                        Qui n’ont donc     C    plus ni jambes ni bras,

                     Garderaient es    E   prit parfaitement intact,

                  Et ils ont même   R    l’impression d’avoir mal

                Aux membres    V  comme présents en cerveau.

            Esprit  comme   E  pensée ou idée, vie, principe,

       Ames, humeurs   A      et attitudes  et imaginaires,

     Tout se mélange   U     en ondes, chimies en  l’esprit,

   En m’éclairant en  *  fonction des contextes choisis :

  Esprit ne s’oppose au corps que par commodité.

D’accord… d’accord, mais là, pour le coup :

Je crois bien que l’esprit n’y sera plus !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1118 4

.

Une forme humaine

Avec une tête, en laquelle

Un cerveau  surdéveloppé :

Esprit distingue des animaux.

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

Cerveau, tous les mammifères en ont

esprit, seul l’homme prétend en avoir

La forme et la taille du sien le suppose

aussi la forme épousera, ici, le fond.

.

Un cerveau … pour un esprit :

Ça se conçoit, ca se sent, ça se voit :

Que devient le cerveau, sans le corps :

Un esprit qui n’est là qu’en pure survie ?

 .

Symbolique 

 .

La perception inconsciente

Des battements du cœur par

Le cerveau influe sur la qualité de la vue :

Le fonctionnement intrinsèque de l’organisme

Modifie  les sens, et probablement la cognition

Et le comportement. En effet, le cerveau

Reçoit et régule les signaux provenant

Des différents organes du corps.

lessymboles.com/le-cerveau-adapte-

la-vue-en-fonction-du-cœur

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1118 6

.

Un cerveau … pour un esprit :

Ça se conçoit, ca se sent, ça se voit :

Que devient le cerveau, sans le corps :

Un esprit qui n’est là qu’en pure survie ?

 .

Symbolique 

 .

Notre asymétrie céré                  brale aura fait couler

Beaucoup d’encre, elle               aura donné  naissance

À  certains mythes, on              peut citer un exemple :

Selon certains,  nous n’            utiliserions     que faible

Partie des capacités de            notre cerveau,  à savoir

10% de nos neurones, ce         n’est que  pure fantaisie.

Nous en avons besoin de       toute  notre tête car il est

En outre difficile d’imagi       ner que fruit d’évolution

Nous aurait pourvus d’un     organe inutile … à 90% !

Le cerveau n’exprime pas  tout son esprit simultané

Modifié, source : www.180-360.net/cerveau-deux-hemispheres

.

.

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Le cerveau se ramifie, dans notre corps entier,

Qui en retour, nourrit, fait grandir ce dernier.

Au final mon cerveau serait un peu partout

Dans le système nerveux, géré par ma tête

Et s’il ne fonctionne pas à cent pour cent

C’est qu’il n’en a besoin instantanément

Et ce d’autant qu’il délègue des tâches

À nos réflexes peu à peu automatisés.

 .

.

Cerveau, conscience, voire esprit

.

Scénario 

.

Les zones corticales et fonctionnelles de mon cortex cervical.

L’extension physiologique, nerveuse de mon cerveau.

Mon système nerveux de mon corps est comme vrai réseau !

 .

Visuels et textuels  >>

1117 – Et si l’amour n’était qu’un rêve, hallucination !

Visuels et textuels  >>

.

Si amour n’est qu’hallucination

Alors la vie, même la mort, autant.

Formulée, ainsi, la messe  est dite :

Vérité dont personne  n’en profite.

.

Je ne parle pas  d’amour physique

L’un en l’autre, réciproquement

Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

.

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Ou une hallucination, irréalité : trêve

De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

Quelque part en un ciel…sans misère.

.

Comme je me sens bien, suis heureux,

Pour le dire, faut encore avoir souffert,

L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

L’amour n’est qu’une folie…passagère :

Reviens vite en ce monde … où tu erres,

À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

Amour est une maladie jusqu’à la mort

De soi-même …  quand la vie de l’autre

Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

Est unie en un même temps même sort.

.

Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

Se devrait connaitre un tel état d’amour

Quel que soit la souffrance pour y arriver

Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

Est un cadeau des dieux pour l’humanité

Et entre vous et l’autre cet espace existe,

Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

Par la foudre d’éclair vous rendant habité

Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

.

.

Extensions

 .

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Une hallucination de plus, tout comme

Dans le « mythe de la Caverne »  de Platon

Mais sensations, émotions, passions, déraisons,

Constructions qui en émanent nous occupent bien.

C’est déjà ça, car à quoi me servirait  une montagne

D’argent  si je n’en  retire pas  l’émotion, susceptible

De suffire à mon bonheur ou  si attrait et séduction,

Pour une charmante personne, ne me coutent rien,

Lors si elle est réciproque, elle me rapporte joies.

L’amour est un rêve que l’on concrétise à deux,

L’amour est un rêve qui nous rend heureux ;

L’amour est un rêve qui nous consolerait

D’être seul au monde, malheureux !

.

 «La forme, pas les formes», disent les vendeurs de régime

Les idées sont bonnes, il ne reste qu’à les mettre en forme,

La forme déteint sur le fond autant que fond sur la forme.

En matière de fond, pas de limites ; en forme, des normes

En amour  y-at-il besoin de formes pour exprimer le fond

Et si la forme n’a de fond, c’est qu’il s’agit d’hallucination

Ainsi en déclaration d’amour, il faut y mettre les formes,

Tout en mettant à l’épreuve, rêve, en matière de réalité.

.

L’amour serait un rêve qui se réalise, parfois,

Quand il échoue, il était fruit d’une illusion,

Mais quand il est projeté, sans se réaliser,

Il peut constituer comme hallucination.

Hallucinations visuelles, je l’ai aperçu

En la foule, il ne m’a pas remarqué

Vérification faite, il n’y était pas

Hallucinations … auditives

J’ai entendu sa voix :

Ce n’était pas …  lui.

Non mais  dites-moi,

Je rêve toujours de lui,

L’amour serait-il un rêve,

Ou je rêve, sur lui, d’amour !

.

.

1117 – Calligramme

 .

E T     S  I

Si amour n’est qu’hallucination

             Alors la vie, même la mort, autant.

          Formulée, ainsi, la messe  est dite :

       Vérité dont personne  n’en profite.

     Je ne parle pas  d’amour physique

  L’un en l’autre, réciproquement

 Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

L’A M O U R   N’ É T AI T

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

    Ou une hallucination, irréalité : trêve

       De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

         Quelque part en un ciel…sans misère.

.

               Comme je me sens bien, suis heureux,

                 Pour le dire, faut encore avoir souffert,

                  L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

                     Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

                          Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

                            L’amour n’est qu’une folie…passagère :

                               Reviens vite en ce monde … où tu erres,

                                 À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

                                 Amour est une maladie jusqu’à la mort

                                De soi-même …  quand la vie de l’autre

                                Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

                              Est unie en un même temps même sort.

.

                             Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

                         Se devrait connaitre un tel état d’amour

                        Quel que soit la souffrance pour y arriver

                     Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

                  Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

               Est un cadeau des dieux pour l’humanité

           Et entre vous et l’autre cet espace existe,

        Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

   Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

  Par la foudre d’éclair vous rendant habité

 Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

Q  U ’ H  A  L  L  U  C  I  N  A T  I  O  N ?

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1117 4

.

Une  forme très souple

Ou la fusion est imaginée,

Mais non réelle et en vérité

Et ici double, en couleurs !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Formes et couleurs se complètent

et permettent de jouer sur plastique

changeante selon le focus du regard

ainsi les formes épousent couleurs.

.

Jeu d’ombres de formes d’un théâtre chinois

Derrière un rideau :

L’homme et la femme se doublent, confondent,

Entre sexes et baisers !

 .

Symbolique

 .

Comme les couleurs, les formes

Influenceront  notre perception

Des choses qui nous entourent

Design industriel des meubles

.

Ou  automobiles : le  carré  ou

Le cercle, et voire la ligne droite

La courbe, représentent la féminité,

Harmonie, douceur ; rigidité, masculinité.

.

Idem en design graphique, création d’affiches

Ou de logo, dont nous analysons consciemment

Ou inconsciemment les formes : chaque forme,

Symbole a une signification selon nationalité,

Interprétés de façon similaire ou arbitraire.

Source : multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1117 6

.

Effet de chromatisme de tableau de maitre

Qui juxtapose, superpose

Différentes formes, de différentes couleurs

Pour mieux nous émouvoir.

 .

Symbolique 

 .

La couleur est une

Notion très subjective.

Ce qui évoque une sensation

Pour moi en évoquera une différente

Pour une autre personne, parfois

Pour des raisons de préférences

Personnelles, ou culturelles

Cameron Chapman.

.

Quelle couleur bonheur ?

Orange : Énergie, Bonheur, Vitalité.

Jaune : Bonheur, Espoir, Tromperie.

Vert : Commencement, Abondance, Nature.

Bleu : Calme, Responsabilité, Tristesse.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme

 .

Le rêve a-t-il un fond, une forme, une couleur,

Tout comme  l’amour,  un sexe,  une attraction,

Ou bien les deux participent de la même illusion 

Question mérite  qu’on s’y arrête,  approfondisse,

En rentrant dans le vif du sujet, sans restriction,

Mais voilà qu’une grande partie de l’explication

Nous échappe, étant à la fois, réalité et mystère

 .

.

Confondre réalité, rêve, hallucination

.

Scénario

.

Un complexe d’enfance  plutôt assez halluciné,

avant le contrat de mariage, qui lui, deviendra bien réel,

tant vrai que  notre  rêve  d’amour et amour vrai n’en feraient qu’un !

 .

Visuels et textuels  >>

1116 – Sûr que tout le monde ne pense pas comme moi

Visuels et textuels  >>

.

Pensée universelle, impensable.

Ce serait, d’ailleurs, détestable,

Pensée propre est honorable,

Nous en sommes capables.

.

Des lecteurs, de ce texte,

Vont dire, je suis d’accord,

Lors d’autres le critiqueront,

Prétexte, fonction du contexte.

.

On ne lit  que ce  que  l’on  veut,

On n’entend que ce que l’on peut

Polysémies et ambiguïtés, à foison,

Interpréter autrement est la raison.

.

Monde ne pense pas comme moi.

Il faut me rendre, à l’évidence :

Nombreux ceux qui pensent

À des choses différentes,

Des choses, auxquelles

Je n’ai jamais pensé.

.

La question «à quoi penses-tu»

Se réfère aux  instants présents,

À quelque chose, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,  métier, famille, amour.

.

On ne peut penser,  à tout, en même temps,

Ni même à tout ce que l’on fait, doit faire

Dans les heures, les jours qui viennent,

Et on peut penser successivement

À des choses n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de penser, tout simplement :

Mais  c’est plus facile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête jamais de travailler :

Il se repose différemment la nuit

Structurant pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

.

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

.

Extensions

 .

On en arrive à cette fameuse phrase de Descartes :

«Je pense donc je suis » qui est plutôt contradictoire

Car on aurait pu dire autant : « Je marche donc je suis ».

Mon esprit, autrement dit,  ma conscience, me démontre

Que lors je marche, je pense que je marche, donc je suis.

On appelle cela des métadonnées.

.

Parce que l’animal marche aussi mais n’a conscience

Pour autant qu’il existe en tant qu’individu social

Ni même en tant qu’identité isolée qui dispose

De liberté de dire, faire, d’être.

.

Comment se déroule la pensée en mon cerveau !

Les biochimistes  vous disent : par des synapses,

Des flux d’électricité, atomes : d’accord, mais ça

C’est la plomberie, ça ne dit rien du contenu !

.

Peut-on se penser, ailleurs, dans une autre

Époque, dans une autre tête : oui et non,

En partie, par projection, en partie, par

Fiction mais ce ne seront guère que des

Constructions a priori, pas des réalités.

.

Penser, d’accord, tout le monde pense, mais à quoi ?

Sûr que tout le monde ne pensera pas… comme moi :

Je ne suis en rien une référence  pour tout un chacun,

J’admets que les autres pensent différemment de moi

Je pense que c’est une richesse, et non, une faiblesse !

Je pense de trop, et peut-être même mal, qui le sait !

Peut-être faut-il se contenter, de vivre, simplement,

 En méditant, faire le vide en soi sans autour de soi.

Amour et compassion restent à penser pour tous.

.

Souvent opposée à la volonté et au sentiment,

La pensée est définie par Platon comme un dialogue

De la raison avec elle-même sur  des paroles, événements.

Elle est pour Descartes «tout ce que ce qui se fait en nous

De telle sorte que nous l’apercevons  en nous-mêmes ».

Elle est donc un synonyme possible de la conscience.

.

Avoir conscience de quelque chose est-il : penser

La conscience de la même chose est différente

Pour culture française  et  culture chinoise :

Si on ne s’appuie sur acception commune

On pensera les choses… différemment !

.

.

Épilogue

.

Tout le monde ne pense pas comme moi

Ce sera plutôt une chance en démocratie

Sinon, imaginez que je suis un dictateur,

Déviants de ma pensée en bannissement.

***

Moi-même d’ailleurs, je pourrai très bien

Penser des choses, différentes, contraires,

Comme mal pour bien et réciproquement,

***

La pauvreté de la pensée serait l’uniformité

Je ne veux voir qu’une seule tête : les autres

Comme  confondues, cachées …  disparues !

***

Discussion, confrontation, concluent accord

Sinon  chacun camperait  sur fixes positions,

Et la guerre ne serait plus loin, à raison/tort.

***

Personne ne pourra avoir  entièrement raison,

Donc personne ne peut avoir entièrement tort,

La vérité, si elle existe, est dans un compromis.

***

Enfant, j’ai pensé que les parents avaient raison

Je me suis aperçu qu’ils n’étaient pas infaillibles

Je me suis dès lors mis à penser par moi-même :

Depuis je n’ai cessé de tout remettre en question.

.

.

1116 – Calligramme

.

Pensée universelle     L  impensable.

Ce serait, d’ailleurs  E  détestable,

La pensée propre    *  honorable,

Ce dont  sommes  M  capables.

Des lecteurs, de    O    ce texte,

Vont dire je suis  N  d’accord,

Et d’autres le cri  D  tiqueront,

Prétexte fonction  E du contexte.

On ne lit que ce      *   que l’on veut,

On n’entend que   N  ce que l’on peut

Polysémies et am  E   biguïtés à foison,

Interpréter autre   *   ment est la raison

Monde ne pense  P     pas comme moi.

Il faut me ren   E   dre, à l’évidence :

Nombreux    N  ceux qui pensent

À des cho  S    ses différentes,

Des cho   E  ses, auxquelles

Je n’ai  * jamais pensé.

.

La question   P «à quoi penses-tu»

Se réfère aux    A      instants présents,

À quelque cho    S    se, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on    *      pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,    C    métier, famille, amour.

On ne peut penser,  O    à tout, en même temps,

Ni même à tout ce  M    que l’on fait, doit faire

Dans les heures,   M  les jours qui viennent,

Et on peut pen  E     ser successivement

À des choses   * n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de pen    *       ser, tout simplement :

Mais  c’est plus fa   M       cile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête   O    jamais de travailler :

Il se repose dif    I      féremment la nuit

Structurant      !  pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

 .

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

Forme, avec cire et paraffine

qui ressemblerait à une bougie  

Ou bois sculpté  d’un chandelier,

Empilement de formes diverses.

 .

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Là où, moi, je chandelier pour bougie

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

En segments ronds

.

Symbolique 

.

Un chandelier

Est un objet qui

Sert de support

À des chandelles

Des   cierges   ou

Bien des bougies.

Le chandelier ou

Ménorah   est  un

Emblème biblique,

Devenu également

L’un des symboles

De l’État…d’Israël

Autres institutions.

Pour certains le chandelier

Serait dérivé de l’arbre de

Lumière babylonien.

soued.chez.com/menora

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Là où, moi, je crois voir une bougie,

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

Aux couleurs diverses !

.

Symbolique de fond

Bougie est associée

À la lumière, au temps,

À la prière : autrefois,  la

Bougie  était utilisée comme

Source  de  lumière,  mais aussi

Pour mesurer le temps qui s’écoule.

.

Cette notion de temps  sera  exprimée

Aujourd’hui par bougies d’anniversaire,

Chaque bougie représentant année de vie.

.

La bougie évoque  l’élévation  de la pensée,

Mais aussi la communication avec le divin,

D’ailleurs, elle  est, et souvent, utilisée  dans

Les rituels religieux, notamment pour prier.

Source  1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un chandelier supporte une bougie

Qui éclaire avec flammes vacillantes,

Lumière éclaire aussi symboliquement

Nos lumières, qui elles, sont à l’intérieur

De notre cerveau mais dont les contenus

Demeurent parfois en l’ombre, en retrait,

Ce qui fait que notre histoire, connaissance

Sont différentes de celles de tous les autres !

 .

.

Opinions sur grain de poussière

.

Scénario

.

À quoi pense-t-on quand on est seul et en plein désert ?

Penser autrement : raisonnable, mais  est-ce possible ?

Penser  qu’un autre monde est mieux, est-ce un mythe ?

 .

Visuels et textuels  >>

.

1115 – Dieu est un concept, le Christ est une réalité

Visuels et textuels  >> 

.

Dans la fresque de Michel-Ange,

Peint sur la voûte de la Chapelle

.

Sixtine, situé au Vatican, à Rome, on voit une image de l’homme

D’un côté, et de Dieu de l’autre et entre les deux, le doigt de Dieu

Comme le moyen choisi de la création de l’Homme, à son image.

Mais le contraire est autant vrai, l’homme crée son propre Dieu.

.

Même si ce n’est pas son intention

 Le Christ, juif,   nommé aussi  Jésus,

Est plus réel,  à l’identité  reconnue,

Né d’une femme  comme nous, nu :

Qui contestera son histoire vécue.

.

Et si Dieu reste  un beau concept

Et Jésus-Christ, reste une réalité

Mon égocentrisme est exacerbé,

Nous aimons l’histoire incarnée.

.

Si vous avez des belles pensées

Pensez bien  à les personnifier,

Et  facilitez  une identification

C’est écrit et à votre intention.

.

Je me  vois  bien, en elle,  lui,

Car c’est moi, je l’ai compris,

Un autre moi et qui pourrait

Bien    penser : si  j’étais lui !

.

Par  projections comparées,

Je dirais, ferais, comme lui,

En virtualités et en réalités,

Par procuration d’intimité.

.

L’histoire d’un homme qui

A, réellement, vécu  ou  qui

Aurait pu vivre ceci ou cela

À en confondre la personne

Et  son personnage, inventé

Faire plus vrai que, réalité !

.

Ainsi, débute  un   synopsis

D’un nouveau film  au ciné,

Ainsi, débute  toute histoire

En un gros roman, raconté :

Pourtant  rien ne se passera

Comme au naturel ou prévu.

.

Pour finir,  on n’en retiendra,

Que  des émotions, incarnées,

Sinon passent  et vents légers,

Se chargeront de les disperser.

.

La poésie et la pensée… feront

Partie  d’histoire  ou ne seront

L’un  n’empêche  pas  l’autre,

Et dieu merci, elle ne se vend,

Que ce qui  est incarné chair

Et si possible  pas trop cher. 

.

.

Extensions

 .

Dieu est un concept, Jésus-Christ est une réalité.

Il faut avouer qu’un concept qui a été incarné

Est bien plus compréhensible et visible

Que concept virtuel, désincarné.

.

Si nous n’avons pas la même image

De Dieu et du Christ, est-ce lors parce

Qu’il est caché, parce qu’il est multiple !

.

Personne ne peut nier que le Christ n’ait existé

Sous le nom de Jésus de Nazareth, a été crucifié

Mais l’Histoire, avec un grand  H,  s’arrêtera là !

.

Le reste est affaire  de croyances, sens religieux !

Il est le seul à mentionner «Dieu» comme vivant

Et à affirmer qu’il  en est  le fils, élu, pour sauver

Une Humanité qui, peut-être, ne le mérite pas !

.

Lui-même ne demande à personne de le croire,

Le libre arbitre de chacun donne seul l’espoir.

 .

Combien d’écrits par les apôtres, en témoins

Dans leurs évangiles ou Nouveau Testament

Et St Paul par la suite et l’Église chrétienne,

Historiens anciens,  romanciers modernes,

Auront relaté  et  confronté, voire enquêté,

Sur une existence d’un Jésus de Nazareth

Pour finir par dire qu’il aura bien existé.

.

.

1115 – Calligramme

.

Dans la fresque de Michel-Ange,

Peint sur la voûte de la Chapelle

.

Sixtine, situé au Vatican, à Rome, on voit une image de l’homme

D’un côté, et de Dieu de l’autre et entre les deux, le doigt de Dieu

Comme le moyen choisi de la création de l’Homme, à son image.

Mais le contraire est autant vrai, l’homme crée son propre Dieu.

.

Même si ce n’est pas son intention

 Le Christ, juif,   nommé aussi  Jésus,

Est plus réel,   *  à l’identité reconnue

Né d’une femme   D  comme nous, nu,

Qui contesterait    I      l’histoire vécue.

Et si Dieu reste    E    un beau concept

Et Jésus-Christ   U     reste une réalité

Mon égocentris   *    me est exacerbé,

Nous aimons l’  E   histoire incarnée.

Si vous avez      S   des belles pensées

Pensez bien      T  à les personnifier,

Et  facilitez       *  une identification

C’est écrit et    U  à votre intention,

Je me  vois       N  bien, en elle, lui,

Car c’est moi    *   je l’ai  compris !

Un autre moi,    C        qui pourrait

Bien     penser :   O     si j’étais lui 

Par projections    N     comparées,

Je dirais, ferais    C     comme lui,

En virtualités et   E    en réalités,

Par procuration  P     d’intimité.

L’histoire d’un    T    homme qui

A réellement       ;     vécu ou qui

Aurait pu vivre   L    ceci ou cela

À en confondre   E    la personne

Et  son person    *  nage, inventé

Faire plus vrai   C   que, réalité !

Ainsi, débute     H   un   synopsis

D’un nouveau    R   film  au ciné,

Ainsi, débute     I    toute histoire

En un gros ro    S  man, raconté :

Pourtant  rien   T   ne se passera,

Comme au na    *  turel ou prévu.

U

Pour finir, on     N      ne  retiendra,

Que des émot     E   ions, incarnées,

Sinon passent    *     et vents légers,

Se chargeront    R   de les disperser

La poésie et la    É   pensée… feront

Partie  d’histoi   A   re  ou ne seront

L’un n’empê       L  che  pas l’autre,

Et dieu merci     I   elle ne se vend,

Que ce qui  est  T   incarné, chair

Et si possible   É  pas trop cher. 

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1115 4

.

Une forme de croix

Comme celle où aura

 Été  crucifié le  Christ :

En incarnation de Dieu

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Croix Jésus, incarnation, et  Dieu :

Tout y est pour qu’histoire suscite

l’intérêt de tous, voire de chacun

et ainsi fond et forme s’épouse.

.

.

Forme

 .

Évocation 

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Symbolique 

 .

La croix, dans son symbole culte,

Représente la crucifixion bien sûr,

Mais avant tout l’abandon de soi,

Le détachement de tout ce qui est

Personnalité : c’est la rupture

Avec toute la mécanique de

La personnalité, toute

La roue de la personnalité,

Et roue des réincarnations donc.

.

Lorsqu’il y a crucifixion d’un initié,

Crucifixion cosmique, l’initié devient

Détaché du plan des réincarnations.

S’il revient, ce sera uniquement pour

Apporter quelque chose, ce n’est plus

Pour expérimenter quelque chose.

Source : conscienceuniverselle.fr/

symbolisme-de-la-croix

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1115 6

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Symbolique 

.

L’Incarnation 

Est le dogme chrétien

Où    le Verbe divin s’est

Fait chair en Jésus-Christ.

Et cette notion reste exprimée

Dans le Prologue de l’évangile selon

Jean : Le Verbe s’est fait chair» (1:14).

.

Elle se situe au centre de la christologie.

La notion d’incarnation a été débattue

Au cours du christianisme primitif.

La controverse la plus vive : le  docétisme.

« Dieu s’est fait homme parce qu’il est plus difficile

D’être un homme que d’être Dieu. » (Voltaire)

« Dieu s’est fait homme pour que l’homme

Devienne Dieu. » (Irénée de Lyon).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Incarnation_(christianisme)

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Les religieux parlent plus du Christ que de Dieu

En domaine de certitudes, le premier l’emporte

Les philosophes ne parleront jamais du Christ,

Il n’y aura pour eux aucun lien entre les deux !

.

Quant à la croix, ce symbole existait bien avant

Notamment d’anciens babyloniens de Bagdad

«Elle aura été  christianisée par  sainte Hélène,

Mère même de l’empereur  Constantin Ier,

Qui aurait découvert la Croix de Jésus

 Ainsi  que  celles  des  deux  larrons,

 Lors d’un pèlerinage en Palestine

Entrepris en 326. Wikipédia.

 .

.

Dieu est un concept ou une réalité ?

.

Scénario

.

Dieu à l’image de l’homme … si ce n’est pas le contraire ?

Le Christ (Jésus historique) … crucifié pour nous sauver.

Visage même de Jésus nous est inconnu : moult images.

 .

 

 Visuels et textuels  >> 

1035 – Mon destin fait-il sens de ma réalité !

Visuels et  textuels >>

.

Mon destin est-il mythe, réalité,

Ce pourrait être titre d’un bouquin,

Tout est prévu mais on fait l’autruche,

Rien n’est prévu : l’on  suit  son chemin.

Destin a bon dos, pour expliquer  l’échec,

Je voulais, je ne serai pas : c’est  le  destin.

.

À ce titre-là, on  n’est  responsable  de rien,

Ni, qui est  derrière : fatalité, hasard, Dieu.

Les histoires tragiques  ont un fatal destin ;

Les comiques, et les banales, n’en ont point

On croit en ce qu’on veut, pour se rassurer,

Que sa vie a un sens, preuve, elle est écrite.

.

Mon destin fait-il  le sens  de ma réalité :

Vrai, certains  y croient, dur comme fer

Mais d’autres, que l’on construit le sien 

En bref rien du tout ne serait déjà écrit

.

Entre plusieurs degrés de libre-arbitre,

Destin est peu ouvert et est peu prédit,

C’est après l’on sait si c’est raté, réussi,

La vie n’est pas faite que d’un chapitre.

.

Changer : saisir une vraie  opportunité,

Prendre des risques,  mieux, les éviter :

Voies restant ouvertes, et pour certains,

Mais  fermées à d’autres,  par  un destin.

.

Destin suppose quelque mission céleste,

D’incarner une volonté supra-individuelle,

Quand on les observe en jumeaux, jumelles

On peut voir destins contraires, ou en reste.

.

Dans une famille,  certains ont même destin,

Alors qu’ils n’ont en  rien le même parcours,

Ils sont  morts, d’accidents, suicides, cancer,

Peut-on pour autant, prédire leur lendemain.

.

Car est-ce le destin ou simplement un terrain

Commun qui les relie, marquant  la même fin,

Et toutes les histoires tragiques  ont un destin,

Je ne connais presque rien du votre… du mien.

.

.

Extensions

 .

Mon destin fait-il le sens

De ma réalité ! Voilà bien,

Une question métaphysique :

Personne ne peut répondre avec

Certitude, y croire véritablement.

«Voilà un  qui aura forcé  le  destin»

Dit-on  d’un suicidé, ou  euthanasié :

Pouvoir décider  de la date de sa mort,

Si le destin existe, est écrit quelque part,

Ne devrait-on pouvoir le faire sans savoir.

Connaitre son destin serait dévoiler

Une part du mystère humain.

 .

Le destin frappe à ma porte, dit-on, au moment de mourir ;

Le destin m’aura oublié, dit un centenaire, en pleine santé !

Quoiqu’il en soit, le destin ne nous laisse pas … indifférents

Mais de là à s’y soumettre, totalement, il y a  libre-arbitre,

Si je ne fais qu’obéir à mon destin, que suis-je vraiment ?

.

Il faut bien distinguer : destin individuel

Destin commun, destin de la planète Terre,

Destin de l’Univers et qui en serait le maitre.

.

Au moins, avec le libre-arbitre, l’on assumera

Pleinement manques, défauts, erreurs, limites

On ne s’en remet à une sorte de main invisible !

.

De ça on peut en parler jusqu’à la fin des temps,

Chacun allant de son couplet, sans aucun refrain.

Peut-être faut-il accepter  tout ce qui nous arrive,

Tout en nous battant, préservant choix hasardeux.

.

.

1035 –  Calligramme

.

Mon destin est-il mythe, réalité,

Ce pourrait être titre d’un bouquin,

Tout est prévu mais on fait l’autruche,

Rien n’est prévu : l’on  suit  son chemin.

Destin a bon dos, pour expliquer  l’échec,

Je voulais, je ne serai pas : c’est  le  destin.

.

À ce titre-là, on  n’est  responsable  de rien,

Ni, qui est  derrière : fatalité, hasard, Dieu.

Les histoires tragiques  ont un fatal destin ;

Les comiques, et les banales, n’en ont point

On croit en ce qu’on veut, pour se rassurer,

Que sa vie a un sens, preuve, elle est écrite.

.

Mon destin fait-il le sens de ma réalité !

Vrai, certains y croient, dur comme fer !

Mais d’autres, que l’on construit le sien 

En bref  rien du tout ne serait déjà écrit.

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M  O   N

Entre plusieurs degrés    D     libre-arbitre,

Destin est peu ouvert   E   et est peu prédit,

C’est après l’on sait     S  si c’est raté, réussi,

La vie n’est pas faite   T    que d’un chapitre.

Changer : saisir une     I    vraie  opportunité,

Prendre des risques,      N     mieux, les éviter :

Voies restant ouvertes,      *       et pour certains,

Mais fermées à d’autres,       F           par un destin.

Un destin suppose quelque    A           mission céleste,

D’incarner une volonté           I         supra-individuelle

Quand on les observe          T         en jumeaux, jumelles

On peut voir destins                     contraires, ou en reste.

Dans une famille,             I        certains ont même destin,

Alors qu’ils n’ont en            L           rien le même parcours.

Ils sont morts, d’accidents,         *               suicides, cancer,

Peut-on pour autant, prédire leur      S                lendemain.

Car est-ce le destin ou simplement        E               un terrain

Commun qui les relie, marquant            N           la même fin,

Et toutes les histoires tragiques             S          ont un destin,

Or je ne connais presque rien                *       du votre, mien.

D  E     M  A    R É A L I T É !

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Forme

 

Réduction

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Évocation

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1035 4

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Silhouette humaine,

Mais d’allure massive :

Un destin  préhistorique 

Ou effet du libre arbitre ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Destin et libre-arbitre s’opposent

on a jamais fini de les rapprocher

croyances et vérités se côtoient,

le fond s’accorde à ses formes.

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Chacun son destin, qu’on dise

 L’avoir choisi, voire l’avoir subi :

Chacun  garderait une marge de

Libre-arbitre pour l’infléchir.

.

Symbolique

.

Le destin désigne,

Au moment présent,

L’histoire future  d’un

Être humain ou société

Telle qu’elle est prédéfinie

Par une instance considérée

Comme supérieure aux hommes

Comme étant éventuellement divine

Dans les conceptions finalistes du Monde,

Soit comme plutôt immanente à l’univers

Éventuellement  Philosophie de l’histoire

 Ou nature en conceptions déterministes

Comme dans sa conception stoïcienne.

Modifié, source : Wikipédia

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Fond

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Évocation 

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1035 6

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Chacun son destin, qu’on dise

 L’avoir choisi, voire l’avoir subi :

Chacun  garderait une marge de

Libre-arbitre pour l’infléchir.

.

Symbolique

.

Le libre arbitre

Décrit  cette  propriété

Qu’aurait volonté humaine

De se déterminer, librement,

Ou alors plus arbitrairement,

À … agir   ainsi   qu’à… penser,

Par opposition  au déterminisme

Ou au fatalisme, qui affirment que

La volonté est déterminée dans chacun

De ses actes par des forces qui l’y nécessitent.

Se déterminer à ou être déterminé par :

Tel est tout l’enjeu de l’antinomie

Du destin et du libre arbitre.

histophilo.com/libre_arbitre

 .

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Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Destin par définition,

Viendrait    d’ailleurs

Et serait irrévocable

Pour les événements

On parle de destinée

Et voire de fatalité

À en être tragique

Contre sa volonté

Ou personnelle,

Ou  collective !

Destin et sens,

Contre réalité,

Et au jeu des dés

Hasard va gagner,

Bien que «non existant»

Et qu’écrit ne soit pas prouvé.

 .

.

Incertitude des dominos 

.

Scénario 

.

Les dés de mon destin, jetés en une fois, et voilà mon sort scellé,

pourquoi pas le Fabuleux destin d’Amélie Poulain, suffit d’y croire,

ou celui d’Œdipe face au sphinx grec qui perça l’énigme de l’homme.

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