1193 – Lors on naît, on pleure, on meurt, on rit

Voir prose et illustrations

.

La naissance   n’est   pas sinécure

Ni pour la mère ni pour l’enfant,

Tant  l’enfant sortira  en  criant,

Sa mère, souffrance, puis joie.

.

À l’autre bout, et, vers  la fin,

Sont telles, nos souffrances

L’on aspire  à  délivrance,

Et de mort, envie, on rit

.

Car, si premier souffle

Fait mal au poumon

Le dernier souffle,

Au corps  entier.

.

Mourir de rire,

Point encore,

Et, pleurer,

Non mort

Pas sort.

.

Lorsqu’on nait, on pleure,

On ressent  parfois douleurs

Alors que tout autour la joie

S’exprime   partout à la fois.

.

Lorsque  l’on  meurt,  l’on rit,

On entre dans toute autre vie

Tandis   qu’autour, les  pleurs,

Font résonnance du  malheur.

.

Naissance, à l’endroit, l’envers

Et l’existence, toute apparence,

Disparaissent juste devant vous

Comme avant  de devenir  nous.

.

Avant, n’est  pas  après   être  né,

Après, n’est pas  avant  d’être né,

De l’inconnu,  il faut se contenter,

Tant notre raison n’est pas invitée

Deux passages voire des deux côtés.

.

Un seul voyage   nous sera accordé,

Or vrai que, si je n’avais pas existé,

Je n’aurais  pas  envie  de regretter

Alors il faut s’y faire en bon vivant.

.

Raison d’en  profiter énormément

Et si possible en nous  aimant ou

Sinon la mort nous rendrait fou.

.

Naitre est  le  début  d’angoisse,

Alors que mourir fin de toutes.

De l’innocence ou l’indécence

Quelle est votre préférence !

.

.

Extension

 .

Lors je nais, je pleure

Et lors je meurs, je rie :

Je parle bien  de moi, car

Entourage fait le contraire.

.

L’instant où  je nais : je crie,

Je n’arrête pas de braire et fort,

Lors prenant mon premier souffle.

.

Lors je meurs, je rie, j’arrête de parler,

Rendant mon dernier souffle.

 .

Mort de rire, dit une expression qui ne croit

Pas  si  bien  dire  que  de rire

De la mort finit par la vexer et elle finit par arriver.

On est loin drame, cauchemar

Autant de fantômes, squelettes, autre représentation

De la Mort qui nous punirait.

 .

Celui qui nait n’aura pas encore conscience de sa vie

Meurt, aura perdu la sienne.

Perdre conscience est une expérience de la mort,

Retrouver, expérience vie.

 .

Enfant naissant, pleure et crie pour prendre l’air, le bon

Adulte mourant porte le masque du sourire, une fois mort.

On aurait pu voir et croire le contraire : un nouveau-né riant,

Ou un adulte faisant sa mauvaise, et dernière, tête d’enterrement

Lors un masque mortuaire qui rit, est quand même une belle ironie.

.

Crier, pleurer à la naissance,

De bonheur, joie, exubérance,

Est de l’ordre  reconnaissance !

.

 Rire, plaisanter, à l’enterrement,

Se souvenant des bons moments,

Est de l’ordre  du bon sentiment !

.

L’enfant pousse son cri héréditaire

Pour rentrer en son nouvel univers,

Message : me voilà enfin sur Terre !

.

Le vieillard se terre dans son silence

Ouvrant toutes portes de l’absence,

Laissant derrière lui, une béance.

.

.

1193 – Calligramme

.

La naissance   n’est   pas sinécure

Ni pour la mère ni pour l’enfant,

Tant  l’enfant sortira  en  criant,

Sa mère, souffrance, puis joie.

À l’autre bout, et, vers  la fin,

Sont telles, nos souffrances

L’on aspire  à  délivrance,

Et de mort, envie, on rit

Car, si premier souffle

Fait mal au poumon

Le dernier souffle,

Au corps  entier.

Mourir de rire,

Point encore,

Et, pleurer,

Non mort

Pas sort.

.

****************

**********************

.

Lorsqu’on nait, on pleure,

On ressent  parfois douleurs

Alors que   tout autour la joie

S’exprime  O  partout à la fois.

Lorsque  l’on  N  meurt,  l’on rit,

On entre dans    *  toute autre vie

Tandis  qu’autour, N    les  pleurs,

Font résonnance  du   A   malheur.

Naissance, à l’endroit   I      l’envers

Et l’existence, toute   T    apparence,

Disparaissent juste   *     devant vous

Comme avant  de   C     devenir  nous.

Avant, n’est  pas    R     après   être  né,

Après, n’est pas    I      avant  d’être né.

De l’inconnu,     E    il faut se contenter,

Tant notre rai    ;     son n’est pas invitée

Deux passages  M    voire des deux côtés.

Un seul voya    E    ge  nous sera accordé,

Or vrai que     U    si je n’avais pas existé,

Je n’aurais     R    pas  envie  de regretter

Alors, il faut    T   s’y faire en bon vivant :

Raison d’en      *     profiter énormément

Et si possible    R     en nous  aimant ou

Sinon la mort   I    nous rendrait fous.

Naitre est le    T    début d’angoisse,

Alors  que mourir : fin de toutes.

De l’innocence ou l’indécence :

Quelle est votre préférence !

.

.

 Forme

 .

 Réduction

.

.Évocation

.

1193 4

.

Boire un grand verre

D’humour au mort, en bas

Et un petit verre, à l’avenir,

D’alcool pour s’en remettre

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

Verre et alcool vont bien ensemble

pour marquer la naissance ou mort

à condition de ne pas se noyer dedans

et ainsi la forme remplit et vide le fond

.

On trinque un verre à la santé du mort

Comme on dit parfois !

Et l’on plaisanterait même en sourdine,

Disant qu’il levait bien le sien.

 .

 Symbolique

 .

Le verre, la coupe, le gobelet, la tasse,

Ne sont en réalité qu’un seul et même

Objet, à  quelques  variantes  près.

Comme nombre de réceptacles,

Symbole des plus féminins,

C’est pourquoi, le verre

Vu en songe figurerait

Une femme jouant un rôle

Qui sera déterminant dans sa vie.

Modifié, source : wikireve.fr/dir/211-verre

 .

.

Fond

.

Évocation

.

1193 6

.

On trinque un verre à la santé du mort

Comme on dit parfois !

Et l’on plaisanterait même en sourdine,

Alcoolique, il levait bien le sien.

 

Symbolique

 

Pour bon nombre de médecins,

La maladie alcoolique est des

Pires  maladies  à    traiter.

La dépendance alcoolique s’apparente,

En  effet, à  une  spirale  infernale  de  laquelle

Il est difficile de sortir. Par le biais du co-alcoolisme,

L’entourage contribue souvent, sans en avoir conscience,

À maintenir  l’alcoolo-dépendant  dans son état.

 

Quand on parle d’alcool et de la dépendance

Qui peut découler de l’abus qui est fait

Des «boissons enivrantes», tirées

Du fruit de la terre et

Du travail des hommes.

 

Il n’est pas inutile de rappeler

Que  la   consommation   d’alcool,

Si elle existe depuis la nuit des temps,

A longtemps  été porteuse  d’un sens sacré

Mais qui se serait perdu tout au fil des siècles.

educationsante.be/mieux-comprendre-lalcoolisme

 

Corrélations

Fond/forme

 

Il y a des naissances un peu tristounettes

Comme j’ai connu des funérailles joyeuses.

On trinque à la santé nouveau-né : normal !

Si on se saoule  à la santé du mort : étrange !

Vous me direz : cela ne les dérangera en rien,

Mais quand même : larmes de joie ou peine !

 .

.

Naitre en pleurant, mourir en riant !

 .

Scénario 

 .

Visage en pleurs d’un enfant  qui vient de naitre.

La mort qui rit : cynisme, ironie, ou autre chose ?

Masque  de  morte, semblant rire, intérieurement !

.

Voir prose et illustrations

1184 – Début et fin de vie passent par un trou !

Voir prose et illustrations

.

Le début et fin de vie comme par un trou :

Formulé ainsi, analogie de mauvais goût,

Et pourtant, elle est sensible et nourrice,

Ventre et tombe sont comme matrices.

Mère pour fœtus,   terre pour défunt :

Le passage, d’un  trou  noir, à l’autre,

Reste troublant,  bien que commun !

Attendant le mien entendant le vôtre

Que dire de plus que : nés  du néant,

Nous y retournerons ….. fatalement.

La vie n’est que passage,   un voyage

D’enfants terribles ou enfants sages.

Pour naitre  au monde,  en remuant,

L’homme sort  d’un trou noir… béant

Pour accéder à, la lumière, sensation,

Pour s’éclairer à, la lumière, réflexion.

Au grand soir, notre monde le quittant

L’homme entre en un grand trou blanc

Qui le mettra à l’ombre de la lumière

Dans le néant, devenant poussière,

Poussière faite d’électrons

Qui gravitent en rond

Autour noyau vital

De matière végétale

Ou d’humain, d’animal

Principe de vie programme :

Pas de quoi crier : grand drame !

L’intelligence se poursuit, d’aventure,

Jusqu’à sa banale et sa finale déconfiture,

Sommes de passage sur Terre pourquoi faire

Alors que notre Univers est fin promise à enfer.

D’un trou à l’autre, moment de grâce nous est offert

Et s’il n’y a ni dieux ni anges, démons, ni même Lucifer,

En dehors de nos fantasmes d’éternité, de notre imaginaire,

Profitons bien des instants : nous sommes tous sœurs ou frères.

Sommes sortis du même moule pour croitre et décroitre en foules,

Comme les mers déchainent avec les vents, tremblements de houles,

Un tsunami, une explosion, une asphyxie, un séisme, nous avalera,

Et le Cosmos, son expansion, récession… sans nous, continuera.

Passage d’un trou noir à l’autre peut nous paraître troublant,

Alors qu’en définitive, à l’échelle du monde… insignifiant,

A peine sommes-nous naissant et nous voici mourant,

L’essentiel n’est pas ne vivre : de mourir content.

Philosopher n’est pas apprendre à mourir

Mais pour apprendre comment mourir

Passant du matin au soir au noir

Sans le moindre désespoir !

Nous sommes raies de lumière,

Brûlant sa chaleur bien éphémère,

Née autre que matière… esprit fossile,

Appelé à rejoindre un Dieu, ainsi soit-il !

.

 .

Extension

 .

Si on ne sort pas de terre en naissant

On y entre en mourant, pourrissant !

Le trou est ailleurs et bien plus grand

Mourant qu’en naissant, évidemment

Mais ce sera le même question néant.

On sort d’un trou en criant, souriant,

On y rentre en pleurant, blêmissant !

.

Synonyme pour trou, excavation, brèche, cavité,

Creux, crevasse, enfoncement, anfractuosité,

Faille, fosse, interstice, orifice, tranchée,

Ouverture, renfoncement, trouée.

.

Ceci comme quoi, chacun ferait d’autant son trou

Qu’il en provient et qu’il y retournera, sûr, un jour,

Sortant pour une durée, y plongeant pour toujours

  Vivant d’autant malheur que bonheur, peu ou prou.

.

Cela, qu’il le veuille ou non, son sort

C’est déjà bien si, dans la vie, il s’en sort

Car s’il la passe, entièrement, à faire le mort

Tout le monde dirait de lui, qu’il avait bien tort.

.

.

1184 – Calligramme

 .

D É B U T    E T    F I N     D E    V I E

Le début et fin de vie comme par un trou :

Formulé ainsi, analogie de mauvais goût,

Et pourtant, elle est sensible et nourrice,

Ventre et tombe sont comme matrices.

Mère pour fœtus,   terre pour défunt :

Le passage, d’un  trou  noir, à l’autre,

Reste troublant,  bien que commun !

Attendant le mien entendant le vôtre

Que dire de plus que : nés  du néant,

Nous y retournerons ….. fatalement.

La vie n’est que passage,   un voyage

D’enfants terribles ou enfants sages.

Pour naitre  au monde,  en remuant,

L’homme sort  d’un trou noir… béant

Pour accéder à, la lumière, sensation,

Pour s’éclairer à, la lumière, réflexion.

Au grand soir, notre monde le quittant

L’homme entre en un grand trou blanc

Qui le mettra à l’ombre de la lumière

Dans le néant, devenant poussière,

Poussière faite d’électrons

Qui gravitent en rond

Autour noyau vital

De matière végétale

Ou d’humain, d’animal

Principe de vie programme :

Pas de quoi crier : grand drame !

L’intelligence se poursuit, d’aventure,

Jusqu’à sa banale et sa finale déconfiture,

Sommes de passage sur Terre pourquoi faire

Alors que notre Univers est fin promise à enfer.

D’un trou à l’autre, moment de grâce nous est offert

Et s’il n’y a ni dieux ni anges, démons, ni même Lucifer,

En dehors de nos fantasmes d’éternité, de notre imaginaire,

Profitons bien des instants : nous sommes tous sœurs ou frères.

Sommes sortis du même moule pour croitre et décroitre en foules,

Comme les mers déchainent avec les vents, tremblements de houles,

Un tsunami, une explosion, une asphyxie, un séisme, nous avalera,

Et le Cosmos, son expansion, récession… sans nous, continuera.

Passage d’un trou noir à l’autre peut nous paraître troublant,

Alors qu’en définitive, à l’échelle du monde… insignifiant,

A peine sommes-nous naissant et nous voici mourant,

L’essentiel n’est pas ne vivre : de mourir content.

Philosopher n’est pas apprendre à mourir

Mais pour apprendre comment mourir

Passant du matin au soir au noir

Sans le moindre désespoir !

Nous sommes raies de lumière,

Brûlant sa chaleur bien éphémère,

Née autre que matière… esprit fossile,

Appelé à rejoindre un Dieu, ainsi soit-il !

P A S S E N T   P A R   U N   T R O U !  

.

Forme

 .

 Réduction

.

.

Évocation

.

1184 4

.

Une amphore originale

Avec un long col ouvert

Une urne funéraire,

Très probablement,

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici de forme)

.

Amphore, urne ont un trou commun

dans laquelle on peut plonger une main

cela est assez commun  en accouchement,

pour répandre cendre comme enterrement

.

A sa naissance, on est comme en amphore,

Ventre de mère :

À sa mort, on est dans une urne funéraire,

Ventre de terre !

.

Symbolique    

.

La  symbolique de l’amphore

Est connectée avec l’origine de la vie

Et est indubitablement liée à la femme

Et à sa qualité génératrice de la vie.

 .

La métaphore reste toujours celle

De la femme  comme conteneur,

Comme dispensatrice de la vie.

 .

De même que  Le graal étant

Lui-même   un     conteneur,

Il possèdera même image

Du vase comme symbole

De la création divine.

.

 .

Fond

.

Évocation

.

1184 6

.

À sa naissance, on est comme en amphore,

Ventre de mère :

À sa mort, on est dans une urne funéraire,

Ventre de terre !

.

Symbolique    

 .

Urne funéraire

Est un vase fermé

En pierre, en bronze,

En marbre, en albâtre,

En céramique, en verre

Ou  même  en  matériaux

Biodégradables dans lequel

Proches du défunt conservent

Ses cendres après  crémation.

Dans   l’art   funéraire  l’urne

Cinéraire   est   un ornement

Architectural   symbolisant

La mort,  et appelée aussi

Amphore ou urne voilée,

Elle peut être recouverte

De voile de la tristesse.

Wikipédia : urne funéraire

.

Corrélations

.

Fond/forme

 .

Sortir d’un trou pour entrer dans un autre

Excusez l’expression qui n’a rien de sexuelle.

Sortir de nulle part pour entrer dans le néant

Voire inversement, conviendrait mieux, j’avoue

Le mot trou, demeure il est vrai très troublant,

Encore qu’il s’agirait plutôt ici d’un trou noir.

Jeux de syllabes, consonances sémantiques,

Résonnance trou vient de profonde cavité,

Le plus souvent souterrain : grotte, puits

Dans les cimetières, tombeau, caveau

Il n’en sera rien, pour la naissance,

Sauf qu’il s’agit d’une extraction

Lors sortant sa tête d’un trou

Comme renard du terrier.

 .

.

Trou, tunnel de lumière

 .

Scénario

.

La vie, c’est simple : on sort d’un trou de ventre  en naissant,

pour rentrer dans un autre, plus souterrain,  lors mourant :

né et mort : les deux bornes et dates de toute vie humaine.

.

Voir prose et illustrations

1169 – La mort est-elle naissance pour autre vie !

Voir prose et illustrations

.

Avant naissance

Je n’existais pas

Après ma mort,

N’existerai plus.

Avant, j’existais rejeton

D’une famille, héréditaire.

Après, j’existerai en souvenirs,

Survivant en mémoire enfant, ami.

Ce qui fait que mon parcours de vie,

Est bien plus large que ce l’on en dit.

.

La mort est naissance pour autres vies !

Il faut bien que quelque part cela soit dit,

Soit compris, soit  soumis  au libre-arbitre

Pour nous déterminer  à exister tel qu’on est

Non tel qu’on voudrait ailleurs, ne finissant pas.

 .

Avant ma naissance, il  est vrai que je n’existais pas.

Tant mes parents auraient fort bien pu ne pas m’avoir

J’aurais été quelqu’un d’autre mais qui n’a rien à voir

Et lors, j’aurais été le fruit  d’un  hasard avant trépas.

.

J’étais juste un être en puissance  attendant … la vie

Venu du fond des âges et peut-être même du néant,

Pas fini, mais ne cessant, de grandir  par son envie,

Faisant le malheur, et  le bonheur  de mes parents.

 .

La vie passe, hélas, car elle ne dure qu’un temps :

La mort ne serait autre que fâcheux contretemps

Instaurant, à sa naissance  un après et un avant,

Rendant illusionniste imprimant espace-temps.

.

Plus dur que n’être plus, est de perdre un ami :

La mort ne fait problème à celui qui n’est plus

Mille poèmes l’évoquent mais aucun ne suffit

En la vie tout est écrit  mais rien n’est prédit.

 .

Au-delà de soi-même,  croyance de survie,

Un homme  ne peut décider d’apparaître,

Aucun ne peut se résoudre à disparaître

Tous cherchent sens, porte de sortie.

.

Naissant, entrons  en labyrinthe

N’étant de Dédale, Corinthe,

En corps, en prison, à vie,

En esprit en parti pris

D’une     croyance

Fausse,  vraie,

Vo-yan-ce,

Ivraie

Est

 .

.

Extension

 .

Il y a,

Selon peuples

Les  civilisations  et

Les religions, de multiples

Autres vies imaginées possibles.

Loin de moi de réaliser, ici, catalogue

Complet des post-vies : chacun en cultive

L’esprit en fonction de son imagination

Plus que sa raison lors résurrection,

Réincarnation, métempsychose,

Font qu’on revient, tel qu’on

Est  mort, lors  jugement

Dernier dans le corps

D’un autre bébé

Ou  animal

Plante

V

.

Darwin a résolu l’insoluble problème de la poule et de l’œuf

En démontrant que nous venons tous des cellules primaires

Parvenues sur  Terre, de l’Univers, mais sans plus d’indices,

Et ainsi notre vie se perpétue, par cycles naissances-morts.

Si réincarnation il y a, elle ne peut se faire que de manière

Génétique, par des gamètes, non la vertu du Saint-Esprit.

Corps est donc lié à la Terre même si notre esprit au ciel.

.

Je suis unique et multiple, à la fois :

Unique parce que je ne vis qu’une fois

Multiple, tant que  je me reproduirai !

.

En outre il y a toute la lignée génétique,

En moi, qui me précède,  et marquante,

Sans que j’en prenne pleine conscience !

.

La réincarnation me parait improbable

Y compris par l’intermédiaire de l’âme,

Ce serait comme vivre à travers l’autre.

.

.

1169 – Calligramme 

.

 Avant naissance

 Je n’existais pas

Après ma mort,

 N’existerai plus.

Avant, j’existais rejeton

D’une famille, héréditaire.

Après, j’existerai en souvenirs,

Survivant en mémoire enfant, ami.

Ce qui fait que mon     parcours de vie,

Est bien plus large         que ce l’on en dit.

.

La mort est naissance         pour autres vies !

Il faut bien que quelque           part cela soit dit,

Soit compris, soumis    M              au libre-arbitre

Pour nous déterminer   O        à exister tel qu’on est

Non tel qu’on voudrait    R     ailleurs, ne finissant pas.

T ….

Avant ma naissance, il       :   est vrai que je n’existais pas.

Tant mes parents auraient     N  fort bien pu ne pas m’avoir

J’aurais été quelqu’un d’autre     A     mais qui n’a rien à voir

Et lors, j’aurais été le fruit  d’un       I       hasard avant trépas.

J’étais juste un être en puissance       S         attendant … la vie

Venu du fond des âges et peut-être      S          même du néant,

Pas fini, mais ne cessant, de grandir    A             par son envie,

Faisant le malheur, et le bonheur de   N               mes parents.

                        C

La vie passe, hélas, car elle ne         E        dure qu’un temps :

La mort ne serait autre que        *        fâcheux contretemps

Instaurant, à sa naissance    A           un après et un avant,

Rendant illusionniste     U       imprimant espace-temps.

Plus dur que n’être    T       plus, est de perdre un ami :

La mort ne fait    R     problème à celui qui n’est plus

Mille poèmes    E    l’évoquent mais aucun ne suffit

En la vie tout  *     est écrit mais rien n’est prédit.

V ………………………

Au-delà de soi  I    même,  croyance de survie,

Un homme ne  E  peut décider d’apparaître

Aucun ne peut se résoudre à disparaître

Tous cherchent sens, porte de sortie.

Naissant, entrons  en labyrinthe

N’étant de Dédale, Corinthe,

En corps, en prison, à vie,

En esprit en parti pris

D’une     croyance

Fausse vraie,

Voyance,

Ivraie

Est

.

.

 

Forme

 

Réduction

.

.

.

Évocation

.

.

Une toupie, probablement ;

Une toupie, certainement 

Qui tourne à fond, ralentie

Et tombant en fin de vie !

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

La vie tourne comme une toupie,

Et avec même énergie :

Sauf que, lorsqu’elle sera tombée,

 On peut encore la relancer.

.

Symbolique

.

Platon en personne

S’interroge, dans «La République»,

Sur le point de savoir si axe de toupie

En mouvement est immobile ou non.

.

C’est le symbole de l’instabilité,

De l’activité incessante,

De l’imprévisible et,

De la grâce d’un personnage.

 .

Dans certaines îles de l’océan Pacifique,

Elle produit son proche voix humaine,

Qui est utilisé dans des cérémonies

Religieuses ou

Guerrières

Parfois

V.

blog.lesoir.be/jour-apres-jour

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

La vie tourne comme une toupie,

Et avec même énergie :

Sauf que, lorsqu’elle sera tombée,

 On peut encore la relancer.

.

Symbolique

.

Le monde tourne

Comme   une   toupie.

Symbolise  l’axe  du  monde 

Sur lequel tourne globe terrestre

Lors son mouvement rotatif évoque 

L’équilibre en un univers en mouvement.

« Et, comme la vie  d’un Homme, la toupie,

 Lancée cherche son équilibre sur son axe

 Puis très rapidement elle tourbillonne

Avec brio, semble avoir l’éternité

Devant elle, avant de perdre

Petit à petit de la vitesse,

S’épuiser et au final,

S’arrêter au sol,

Terrassée par

Sa course folle contre les forces

Physiques qui régissent notre Univers »

toupie-shop.com/informations-toupie-shop/35

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La toupie tourne et tourne encore

Un certain temps, un temps certain

Elle ralentit, puis titube puis tombe,

Mais il ne s’agira pas là, de sa mort

Il suffit de la relancer autant de fois

Qu’on désire pour la recommencer

Comme si elle s’était réincarnée.

 .

.

Se réincarner en d’autres vies !

.

Scénario

 .

Les statistiques  et  les hasards : des causes, faits, conséquences ?

Croyance en une autre vie, ailleurs : viatique de souffrance mort !

Éternel  problème récurrent de l’œuf et la poule ou réincarnation.

.

Voir prose et illustrations

1167 – Naître, apparaître et puis disparaître !

Voir prose et illustrations

.

Naitre, et apparaitre,

Et finalement… disparaitre :

Trois  petits  tours,  et s’en vont,

Voilà le lot  de  tous les humains :

C’est  aussi, c’est autant, le  mien !

En cela nous sommes  tous égaux

Naitre  serait une réelle chance,

À part cette fatalité… imposée,

Vivant nos folles expériences

Qu’on n’aurait pas vécu

Si l’on n’était

Jamais … né.

 .

J’ai pas demandé à naître

Ma vie, l’on me l’a imposée

Par souci de parent peut-être

Pour se reproduire, s’occuper.

.

Pressentant le jour où je suis né

Un sort fatal  pour  ma destinée

En  criant, me suis  senti extirpé

Du trou noir dont je  suis  tombé

 .

Me  repaître  de biens  je  le peux

Boire  et  faire  fortune si  je veux

Face à tout possédant et méritant

Je préférerais n’être que méditant.

 .

Avant disparaître  aimerais savoir

Si l’humanité va et court à sa perte

Autant que moi en  son  grand  soir

De fin de la planète   bleue et  verte.

 .

Paraître, n’être rien, trois fois rien

Est le privilège  que je veux  garder,

Si Terre est le Néant de l’Humanité,

En poussière aussi   je  deviendrais.

.

Quel maître, nous  aurait créés,

Pour, après, nous  abandonner

Radeau  de la Méduse, océan,

Des galaxies : fin  des temps.

.

 .

Extensions

Naître, apparaître, puis disparaître,

Comme si l’on n’avait pas existé ou avec

De vagues traces qu’on a quand même été,

Tel est sort commun de totalité des humains,

Dont je fais partie.

 .

Certains  disparaissent, à peine né, et  d’autres,

Enfants, quelque temps  plus tard, autres, jeunes

Entre vingt et quarante ans, mais, la plupart, entre

Soixante et quatre-vingt ans.

 .

Il est des jeunes comme Rimbaud ou d’autres artistes

Qui sont morts jeunes mais qui sont toujours présents

Dans nos esprits, et d’autres, qui mourront plus que

Centenaires et seront vite oubliés.

.

Il est même de certains personnages, nés de l’esprit

Des auteurs qui continueraient à vivre, et dont on

Demande des nouvelles, quand ils ont disparu

En quel cimetière ils ont été enterrés.

 .

Faut avouer : c’est tout de même le monde

À l’envers d’oublier le nom d’un auteur

Mais pas de ses personnages.

Né sans savoir d’où je viens,

Mort sans savoir  où je vais :

Tel est  notre destin, humain.

Il faut avec …  dans la mesure

Où nous n’avons  autre choix :

Né incarné, notre corps vieillit

Et au bout du compte, pourrit,

Mais se renouvelle-t-il ailleurs,

Ou autrement, nul ne le saura.

.

Naitre, apparaitre, disparaitre,

Le lot de notre condition humaine,

Que l’on peut retarder, non modifier,

Et qui marque au cœur, notre fragilité.

Certains ont peu d’impression d’apparaitre

Tant on les ignore, les met de côté : ostracisés,

Tandis que d’autres, disparaissent de leur vivant,

Soit physiquement, socialement, intellectuellement.

Enfin, il y a ceux qui tentent, et parfois réussissent,

À laisser une trace durable d’eux par leurs œuvres

Comme s’ils n’avaient existé que pour faire cela

Pour se payer tel plaisir, ersatz d’éternité.

.

.

1167 – Calligramme

.

Naitre, et apparaitre,

Et finalement… disparaitre :

Trois  petits  tours,  et s’en vont,

Voilà lot  Ô     des     Ô humains :

C’est  aussi, c’est //autant, le  mien !

En cela nous // sommes  tous égaux

Naitre  se //rait  une réelle chance,

Pas fatalité    =====     imposée

Vivant nos folles expériences

Qu’on n’aurait pas vécu

Si l’on n’était

Jamais … né.

                 N

J’ai pas demandé  A  à naître

Ma vie, l’on me l’a   Î    imposée

Par souci de parent  T    peut-être

Pour se reproduire,   E    s’occuper.

             *

Pressentant le jour    A  où je suis né

Un sort fatal  pour      P    ma destinée

En  criant, me suis      P     senti extirpé

Du trou noir dont je     A    suis  tombé ….

         

Me  repaître  de biens   A       je  le  peux   …

Boire  et  faire  fortune  R        si  je  veux  .….

Face à tout possédant    A         et méritant …..

Je préférerai n’être que  Î       un méditant ……

     T

Avant disparaître         R   aimerais savoir …..

Si l’humanité va           E   court à sa perte .…

Autant que moi en       *   son  grand  soir …

De fin de la planète     D   bleue et  verte. ..

        I

  Paraître n’être rien    S      trois fois rien

    Est privilège  que je   P     veux  garder.

     Si Terre  est Néant   A    d’Humanité,

      En poussière aussi   R    deviendrait.

                A

       Quel maître, nous    Î   aurait créés,

       Pour, après, nous    T  abandonner

       Radeau  de la Mé   R duse, océan,

        Des galaxies : fin   E   des temps.

.

 .

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1167 4

.

Image de statue

D’une  jeune femme,

Immortalisée à cette age 

Printanier, exquis, séduisante.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici  de forme)

.

Statue de femme sera faite pour

apparaitre mais non disparaitre

lors figurant une sorte d’éternité

et ainsi la forme évoque le fond

.

Une  statue aura beau représenter

Une femme même identifiée :

Il n’empêche qu’elle n’est qu’un objet,

Qu’elle ne sera pas la personne.

.

Symbolique

.

Auguste Rodin, sculpteur

Ayant abordé le néobaroque,

Le  symbolisme et  le  réalisme,

Est considéré comme l’inventeur

De sculpture statue moderne.

Avec son Monument à Balzac,

Il expose  son  manifeste  de

La modernité en sculpture

Et provoque  un scandale

Lors  de  sa  présentation

Publique mais ses disciples

Camille Claudel, Antoine Bourdel

Assureront la transition vers le xxe siècle.

Wikipédia  Sculpture moderne

 .

 .

Fond

 .

Évocation

.

1167 6

.

Une  statue aura beau représenter

Une femme même identifiée :

Il n’empêche qu’elle n’est qu’un objet,

Qu’elle ne sera pas la personne.

.

Symbolique

 .

Hommage féminin

S’intègre bien  dans    les

Rituels  dits républicains,

Dont il faut de déceler

Le rôle public et politique,

Soit qu’il montre invariablement

La femme en sa spécificité genrée,

Par exemple en tant que mère

Génitrice fort utile à la société,

Soit  annonçant conformément

Au  modèle  universel   français,

La  reconnaissance  de  la femme

Comme  citoyenne  à part  entière.

Tout en rendant compte des valeurs

Libératrices normatives ayant guidé

Ces  femmes,  exceptionnelles,  l’étude

De la  représentation, formes  statues,

Permet d’évaluer   degré d’objectivation

Qu’elles ont pu subir, a pu les assujettir !

cairn.info/revue-societes-et-representations-2008-2-page-153

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Rares sont les statues de femmes

Qui sont des symboles du pouvoir

Et bien plus de grâces et de désirs

Comme si leur forme l’emportait

Sur leur personnalité intérieure

Mais il n’en restera pas moins

Qu’elle influe sur notre idée

De la beauté de la nature.

 

 .

.

juliettebourdier.net/2020/01/21/201-revision-passe-compose

 .

Scénario

.

 Né puis mort : deux mots suffisent pour borner une vie, la résumer.

Deux fleurs, rouge coquelicot, qui se ressemblent, s’attirent en herbe.

Des personnages naissent, meurent sous la lumière de leurs auteurs

.

Voir prose et illustrations

767 – Il n’y avait rien et soudain quelqu’un !

Visuels et textuels  >>

.

Étonnant, fantastique…

Et finalement merveilleux,

De rien, de pas grand-chose,

Quelque  chose  de  minuscule,

Devient spécimen d’être humain,

Développe programme génétique,

Qui sera générique et spécifique,

Et en lequel, chacun s’inscrira

Quel chacun se reconnaitra,

Chacun, sa vie, réussira

Peut-être en tous cas

Rien  n’est  joué.

.

Au        départ,

Il     n’y     avait

Rien  et soudain

Il  y a   quelqu’un.

Quand l’enfant nait,

L’enfant,  rien,  ne sait,

Enfant, sans cesse, renait,

Enfant apprend ce qu’il est !

.

Il  n’a  rien  d’une  page  blanche,

Et quand sa mère vers lui s’épanche,

Il possède déjà ses neuf mois d’existence

Et niché  dans son ventre, où il se balance,

Enfant capte tous mouvements, formes ici,

Qui surgissent  en  nouvel  environnement :

Enfant  réagit  par  ses sourires, pleurs, cris

En créant  émotion, empreinte,  sentiment !

.

Il est faux de penser  qu’enfant  est  bien né,

Une fois pour toutes, un jour  du calendrier,

Il nait chaque jour en lui autant qu’en nous

D’un désir qui ne finirait pas de naitre fou,

Sa pensée se forme peu à peu, en séparant

Ses sensations de l’intérieur,  d’extérieur.

.

Quand il rit, rit-il vraiment  de bonheur,

Ou de celui produit miroir des parents.

Ses pages se remplissent  et s’effacent,

Ce sont essais, premières  sont traces,

Conforte intimes réactions, relations

Avec ses deux parents, progressions.

.

Il faut être fou pour faire un enfant

Et bien plus pour le rester, rebelle,

Notre monde réel bien trop cruel,

Pour faire l’enfant éternellement

À  autres  réactions, froissées,

À  d’autres  pages, raturées,

Enfant, se  crée  et  se fait

Bien   après   qu’il   nait,

Évanescent,    naissant,

Enfant en tous cas, est.

.

.

Extensions

 .

Il n’y avait rien

Et puis soudain

Un très fort lien,

Et qui vous tient

Vingt ans  durant

Très  attaché à lui,

Comme à la prunelle

De vos yeux afin qu’il

Réussisse dans la vie

Et réussisse sa vie.

Si rien n’est écrit,

Rien n’est blanc,

Tout est devant,

Et tout est enfant,

Fruit papa, maman.

.

Conçu, attendu, venu : un peu comme veni, vidi, vici

Pour : je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu, de Jules César.

Sans atteindre de telles hauteurs et rapidités de vues,

L’enfant est déjà une personne à sa conception même

Viable, entière, divine : cela se discute et se dispute.

Je n’entrerai pas, ici, dans un tel débat de survie

À tout prix car c’est à la loi de le déterminer

Cela n’enlève rien au principe de fond :

Enfant nous ferons, est, aimons !

.

J’imagine, moi aussi, avoir été

     Désiré,  conçu,  attendu et choyé :

        Troisième enfant après deux sœurs,

           Beau garçon cette fois, quel bonheur !

.

            Ne me souviens de rien, quel dommage

           Peut-être d’avoir été, longtemps bercé,

         Ou d’avoir entendu voix haut perchée

         De ma mère,  comme dans un nuage.

.

       Rien, soudain quelqu’un, attention :

     C’est au moment de la fécondation

     Et non de la naissance, apparence,

    Qui fonde, socialement, existence.

.

.

767 – Calligramme   

.

  Étonnant, fantastique…

   Et finalement   merveilleux,

    De rien, de pas  *  grand-chose,

    Quelque chose  R  de  minuscule,

         Devient spécimen I    d’être humain,

          Développe program  E  me génétique,

        Qui sera générique et  N  spécifique

        Et en lequel, chacun *  s’inscrira

       Quel chacun se reconnaitra,

   Chacun, sa vie, réussira

  Peut-être en tous cas

 Rien n’est joué

 Au       départ,

   Il     n’y    avait

       Rien  et soudain

           Il  y a   quelqu’un.

               Quand l’enfant nait,

                     L’enfant,  rien,  ne sait,

                          Enfant, sans cesse, renait,

                               Enfant apprend ce qu’il est !

                                    Il n’a rien  d’une page blanche,

                                              Et quand sa mère vers lui s’épanche,

                                                     Il possède déjà ses neuf mois d’existence

                                                           Mais niché dans son ventre où il se balance

                                                          Enfant capte tous mouvements, formes ici

                                                               Qui surgissent en nouvel environnement……

                                                          Enfant réagit par ses sourires pleurs, cris

                                                              En créant émotion, empreinte,  sentiment.

                                                                Il est faux  de penser qu’enfant  est  bien né

                                                                    Une fois  pour toutes,  un  jour  du  calendrier,

                                                                     Il nait chaque jour, en lui, autant   * qu’en nous,

                                                                       D’un désir qui n’en finirait pas E    Q    naitre fou.

                                                                      Sa pensée se forme, peu à peu T       U  en séparant

                                                                      Ses sensations de l’intérieur,  *           E   d’extérieur.

                                                                   Quand il rit, rit-il vraiment  S               L  de bonheur,

                                                                  Ou de celui produit miroir  O                Q des parents.

                                                                   Ses pages se remplissent    U                  U  et s’effacent

                                                                   Ce sont essais, premières     D                       sont traces

                                                               Conforte intimes réactions     A              U     relations

                                                           Avec ses deux parents, pour pro I          N gressions.

                                                    Il nous faut  être fou  pour  faire  N  un  enfant

                                            Bien plus, encore, pour le rester, *  rebelle

                                      Notre monde réel est bien trop cruel

                               Pour faire l’enfant éternellement.

                        À autres réactions, froissées,

                     À d’autres pages, raturées.

                   Enfant, se crée  et se fait

                   Bien  après  qu’il  nait !

                   Évanescent,   naissant.

                      Enfant en tous cas est.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

767 4

.

Une silhouette

de femme avec bébé,

Enceinte huit mois,

Et vue de profil !

.

Tant déjà, en le ventre de sa mère,

Bébé devient quelqu’un !

Enceinte en termes de personne,

Enceinte en termes de bébé.

  .

Symbolique

.

Les rêves où apparaissent

Des bébés sont des rêves positifs.

Présence nouvel être est source de joie.

Le bébé est symbole de vie, d’humanité,

De transmission, d’évolution.

.

Ce bébé, c’est une partie

De votre être qui vient d’apparaître.

Comme toute forme de vie nouvelle,

Elle reste encore  des plus fragiles.

Il faudra donc être très vigilant,

.

Veiller à ce que s’épanouisse

Cette nouvelle facette de

Votre personnalité.

tristan-moir.fr/bebe

.

Descriptif

 

767 – Il n’y avait rien et soudain quelqu’un ! 

  Alignement central   /  Titre  analogue  /  Thème  temps

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : bébé / Symbole de fond : enceinte

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

767 6

Modifier le sens de l’image

.

Tant déjà, en le ventre de sa mère,

Bébé devient quelqu’un !

Enceinte en termes de personne,

Enceinte en termes de bébé.

.

Symbolique

.

Femme enceinte

 Est pure  incarnation

    De la beauté, la féminité

Et surtout de l’élégance

Ce serait encore plus vrai.

    Son ventre n’est pas un défaut

             Qu’elle se doit cacher, au contraire,

               Une partie qui doit être mise en relief.

                Afin de mettre en valeur sa silhouette,

            Et son ventre en alliant harmonie et

       Élégance de la future maman est

   Doit être censée être informée

 En permanence de tendance

De la mode pour sublimer

Sa taille et  se dandiner

Avec une belle aisance.

vetement-grossesse.org/une-femme

-enceinte-est-symbole-de-feminite

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une naissance est bel évènement,

Non seulement pour celui naissant

Mais pour le Monde et les parents,

Qui en prendront soin  longtemps.

Femme enceinte,   quand elle sent

Son bébé, à l’intérieur du ventre,

Prend de plus en plus conscience

Qu’il est déjà là, qu’il est vivant.

Elle a un sentiment ambivalent

Est pressée/voudrait le garder.

 .

.

Premier instant, événement

.

Scénario

.

Il est conçu,

il est attendu,

puis il est venu.

.

Visuels et textuels  >>