1106 – Le paradis naturel ou paradis artificiel !

Visuels et textuels  >>

.

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

.

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

.

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

.

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

.

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

.

Extensions

 .

L’homme a-t-il, vraiment,

Un vrai moyen de choisir entre

Un trop lent paradis, bien naturel,

À se construire, et un paradis artificiel

Bien plus rapide pour la réalité apportant

La capacité de fuir de sa vie, devenue pour lui

Insupportable, et peut-être même innommable.

Les notions de paradis, comme lieu, d’éternité

Comme temps et de bonheur, comme état,

Se conjuguent ainsi et jusqu’à l’infini.

.

Paradis par ci, paradis par-là,

Le paradis est toujours ailleurs

Qu’autour de soi ou bien en soi,

Sauf évidemment, dans l’alcool,

Voire en une drogue  plus forte,

Et là, c’est tout de suite et vite :

Nul besoin de chercher un coin

Aux antipodes et plus au soleil.

L’artificiel remplace le naturel.

.

Il y a les petits paradis et enfers

Au sens propre et au sens figuré.

Ma maison et mon ile, en seront

Pour moi petit paradis c’est vrai

Un petit enfer  peut être  famille

Qui se déchirera et qui se haïra !

.

Les grands paradis sont fiscaux,

En iles Atlantiques et Pacifiques,

Où l’argent des riches coule à flot,

Sans la moindre taxation impôts.

Les grands enfers sont les guerres,

Qui mettent leurs pays en misère !

.

.

1106 – Calligramme

 .

P A R A D I S      

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

N  A  T  U  R  E L

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

E T   P A R A D I S     

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

A  R  T  I F  I  C I  E L !  

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Une lampe de poche

Piédestal  avec statue,

Ou balayette commune

pour faire grand ménage.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

.

Évocation 

.

1106 4

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous mettre dans la poisse !

.

Symbolique 

.

La balayette est

Un petit balai à main,

Utilisé   pour  rassembler

La poussière  vers  une pelle,

Nettoyer endroit peu accessible.

.

Les balais  sont  autant  un  outil

Qu’un symbole social. En effet,

Les tâches  ménagères sont

Souvent déléguées aux

Classes populaires.

.

Son utilisation peut

Avoir une connotation

Négative pour certains ;

Les balais sont le symbole

De la « femme  au foyer »,

Un stéréotype marquant

Les siècles précédents.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1106

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous enfermer dans le ménage !

.

Symbolique

.

En ménage, on nettoie

Son psychisme,   on remet

Toutes  les choses à leur place.

C’est un écho à la règle feng shui

Qui précise que tout objet cassé

Doit être jeté. Le ménage est

D’ailleurs  un rituel dans

Toutes les religions et,

Dans toutes les cultures,

Un symbole de purification :

D’avant pâques chez les orthodoxes,

Printemps les chrétiens, pessah, les juifs,

L’aïd chez les musulmans, mais aussi au Japon,

En Chine pour le nouvel an. On atteint là, une réalité

Universelle, qui n’a rien à voir avec statistiques, sociologie.

Homme ou femme, nous avons besoin d’ordre et de propreté.

psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Qui veut envoyer quelqu’un … en enfer

Commence par balayer devant sa porte

Afin de faire un grand ménage chez lui.

Voilà une expression qui résumera bien

Côté naturel, artificiel de tout paradis

Que l’on invente, et protège, entre soi

Y compris  dans  son petit chez soi.

Mais je dis cela, je n’aurai rien dit

Paradis des uns… enfer d’autres.

 .

.

Paradis accessible sur Terre

.

Scénario

.

Ici, sous les tropiques, paradis exotique, naturel.

Là, ça ressemble plutôt à un paradis artificiel.

Là, par numériquement, un paradis virtuel.

 .

Visuels et textuels  >>

320 – La montagne est grande, nous, petits

Visuels et textuels  >> 

.

Grimper toujours plus haut,

Voilà bien  une belle devise,

Mais  s’agit-il d’un sommet

Ou se dépasser  soi-même.

 .

Et pourquoi  se fourvoyer,

En des sentiers  extrêmes,

Lors l’argent, coule  à flot,

En rivières, et, en devises.

.

Pourquoi    risquer   glissade,

Sur  une pente,         trop raide,

Si l’avalanche,       en dévalant,

Vous tue, vous    enfouissant.

.

Sur le plateau,   une cloche,

D’une vache,   tintinnabule,

Le berger,   avec  son  chien,

Parfois,   coince   la  …  bulle.

.

Et moi aussi  lors  que j’y suis,

Lors  m’abreuvant aux  torrents,

D’eaux, torrents,  mots ou d’images,

Qu’ils soient de plein air, soient plein vent.

La montagne est immense, ses espaces infinis

Devant elle on se sent désarmé, on se sent petit.

  .

À  perte  de vue, ses sommets, ses crêtes,  ses pics

Nous plongent  dans un désert, de glace, arctique :

Si quelques vagues montent    à l’assaut,  plus haut,

La mer est  toute plate  et  l’horizon, courbe, pareil !

    .

Ici, les glissements de  plaques,  les volcans  chauds,

Ont entassé  les  roches, en un  tohu-bohu, merveille.

Au loin dans la plaine les campagnes restent sereines,

Elles regardent leurs grands frères pleurer du sourcil,

Pour les arroser de leurs torrents  d’alluvions, fertiles

Où hauts bois sont, parfois, rois et les plaines, reines.

  .

Ils sont  plus près du ciel,  exhalant air pur, oxygéné,

Bien que  très froid, réfrigéré,   voire raréfié, des fois,

Ils se moquent des nuages  qu’ils toisent, embrumés,

Encombrant la vallée, aveugle d’un soleil  qui croît !

  .

Combien d’hommes ont flirté avec pic, en virginité,

Taxé d’inaccessible par sa face Est ou sa face Nord,

Combien ont subi tempêtes, combien sont morts

Pour l’amour de grimpette sur ego, escaladé !

.

Parvenu au sommet

De montagne de solitude

L’homme comprendra mieux

Sa petitesse voire même sa finitude

Qui l’habitent  comme au-delà des défis

Qu’il s’est lancé à lui-même, l’ont conquis !

..

Extensions

.

Quand  la  mer  vous  rend … tout  petit,

Par très large horizontalité,

La montagne le fait, par sa verticalité,

La campagne, par diversité.

 .

Quoique  l’on fasse  et où qu’on  aille,

On n’a que taille humaine

Et allongé par terre, l’on ne s’assoira

Plus haut que son séant.

 .

Philosophie de bas étage, direz-vous !

Pas tant que cela en fait :

Si l’on est  à trois mille mètres, de haut,

Voire à dix mille nautiques,

 

Tout autour de vous, change de dimension.

Grimper en pentes et en lacets

Et louvoyer contre les vents, contre les marées,

Pour avancer pour atteindre son but

Ont en commun : sommes petits, pas grande chose !

.

Montagne est grande, on la dit écrasante,

Bien qu’elle nous élève et qu’on la domine,

La grimper devient  une aventure épatante,

Qui nous réjouit et nous donne bonne mine.

Parvenus  au sommet : un panorama, géant,

Nous tend les bras, captive nos yeux et cœur,

Nous suscite envie d’y rester un long moment

À contempler l’œuvre du mystérieux créateur,

Il faut bien redescendre, il y fait froid, la nuit !

Dans la vallée, la vie bat son plein  hors l’ennui.

.

On n’a jamais fini  de contempler

La montagne de sa base au sommet :

Nombre textes, photos, chants, sonnets,

Auront été publiés, joués, pour la célébrer.

.

Aucun poème, sur elle, ne pourrait être plat :

 Quel que soit la rime, elle sera en dents de scie,

En pente montante, voire en pente descendante,

Quel que soit auteur, grimpeur, il l’incrémentera.

.

C’est un peu l’esprit de poésies d’Éclats d’existence,

Que de suivre, voire créer, des formes montagneuses,

Non pas pour en atteindre pour chacun, des sommets,

Mais pour magnifier à la fois le merveilleux et l’essentiel.

.

Qu’on soit indulgent avec moi, je ne suis pas sûr y parvenir

J’aurai, du moins, tenté de gravir, de mon âme, la montagne.

La montagne m’inspire tout autant que la mer et la campagne

Je me sens si petit, face à ces trois, que j’ai plaisir à … décrire !

.

.

Épilogue

.

Passer rapidement de la mer à la montagne,

Vous donnera comme vertige des hauteurs :

Autant la mer est plate et voire la campagne

Autant sa verticale donne idée de grandeur !

***

Au fin fond d’une profonde vallée encaissée,

Horizon est cerné, parait comme très limité,

Une chaine de monts et de pics la surplombe

De ses versants adret, ubac et de ses combes.

***

Point à l’horizon, lors vous êtes  en haute mer,

Vous vous sentez petit comme en plein désert,

Mais, ici, en montagne, en plus, comme écrasé

Par la magnificence des lieux, tout en majesté.

***

Il ne faut partir en montagne sans lampe, seul,

Le ciel peut s’obscurcir d’un coup sous l’orage :

L’on n’y voit plus goutte, sur certains passages,

L’on sera forcé d’attendre et quoiqu’on veuille !

***

Pourquoi, jusque là-haut, s’acharner à grimper,

Ne suffit-il  de  s’arrêter, à mi pente, au milieu :

Est-ce pour le sport  ou  mieux mériter, profiter

Du panorama unique qui nous mène aux cieux.

***

Je n’ai pas qu’une seule réponse à vous donner,

Chacun a la sienne, tout comme foi en un Dieu.

.

.

320 – Calligramme  

 .

Grimper toujours plus haut,

Voilà bien  une belle devise,

Mais  s’agit-il d’un sommet

Ou se dépasser  soi-même.

 .

Et pourquoi  se fourvoyer,

En des sentiers  extrêmes,

Lors l’argent, coule  à flot,

En rivières,  et,  en devises.

.

Pourquoi    risquer   glissade,

Sur  une pente,       trop raide,

Si l’avalanche,     en dévalant,

Vous tue, vous    enfouissant.

.

Sur le plateau,    une cloche,

D’une vache,   tintinnabule,

Le berger,   avec  son  chien,

Parfois,   coince   la  …  bulle.

.

Et moi aussi  lors    que j’y suis,

Lors  m’abreuvant    M  aux  torrents,

D’eaux, torrents mots   O       ou d’images,

Qu’ils soient de plein air,   N   soient plein vent.

La montagne est immense,  T   ses espaces infinis

Devant elle on se sent désar   A  mé, on se sent petit.

                G

À perte de vue, ses sommets,    N      ses crêtes,  ses pics

Nous plongent dans un désert,  E        de glace, arctique.

Si quelques vagues montent       *     à l’assaut, plus haut,

La mer est toute plate et l’hori    G    zon, courbe, pareil !

                  

Ici, les glissements de plaques,   A      les volcans chauds,

Ont entassé  les  roches, en un    N   tohu-bohu merveille.

Au loin dans la plaine, les cam    D   pagnes  sont sereines,

Elles regardent de grands frères E     à pleurer du sourcil,

Pour les arroser de leur torrent   *        d’alluvions, fertiles

Où hauts bois sont parfois rois   N     et les plaines, reines.

                O

Ils sont plus près du ciel, exha   U    lant air pur, oxygéné,

Bien que très froid, réfrigéré      S     voire raréfié des fois,

Ils se moquent des nuages qu’    *   ils toisent, embrumés,

Encombrant la vallée, aveugle   P    d’un soleil  qui croît !

               E

Combien d’hommes ont flirté    T    avec pic, en virginité,

Taxé d’inaccessible par sa face  I       Est ou sa face Nord

Combien ont subi tempêtes,   T  combien sont morts,

Pour l’amour de grimpette   S   sur ego, escaladé !

.

Parvenu au sommet

De montagne de solitude

L’homme comprendra mieux

Sa petitesse voire même sa finitude

Qui l’habitent  comme au-delà des défis

Qu’il s’est lancé à lui-même, l’ont conquis !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

320 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons peut-être un lampion 

Comme présence de vie en montagne.

.

Lampion ne va pas bien avec montagne,

il y en a partout et pour toutes occasions

certains sont éclairant, autres lumignons

si fait que la forme s’écarte de son fond.

 .

Nous ne sommes qu’un petit lampion

 Face à gigantesque montagne :

Celle–ci  est illuminée de partout alors

Que nous ne sommes que falot !

.

Symbolique 

 .

Un lampion

Est un récipient de terre,

De fer blanc ou verre épais

Dans lequel  on met du suif,

Ou de l’huile avec une mèche,

Pour   faire  des  illuminations.

Quand  son usage  est  décoratif

S’inscrit en tradition particulière,

Abat-jour souvent réalisé en papier,

Parfois creusé  dans une légumineuse.

On trouve lampions  de diverses formes,

Tailles, modes de construction sont variés.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

320 – La montagne est grande : nous, petits  

Alignement central  /  Titre droit  /  Thème  montagne

Forme droite  /  Rimes égales    /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampion / Symbole de fond : montagne

.

Fond

.

Évocation 

.

320 6

.

Nous ne sommes qu’un petit lampion

 Face à gigantesque montagne :

Celle–ci  est illuminée de partout alors

Que nous ne sommes que falot !

.

Symbolique

.

La

Montagne a

Provoqué chez l’homme

Quantité de sentiments contradictoires.

Interdite, promise, refuge des ermites, siège des combats

Entre  les Titans et les Dieux, entre les Archanges et les Dragons,

Lieu de l’immortalité, colline de la pureté, centre et sommet du monde.

.

Génératrice de paniques tout comme d’exaltations, la montagne suscite

Depuis toujours le sentiment d’univers échappant à l’échelle humaine.

.

Proche des cieux, éloignée de l’ordre humain, est point de rencontre

Privilégié entre le Ciel et la Terre,  lieu le plus bas pour les dieux

Et le plus élevé pour les hommes.

le-symbolisme-de-la-montagne

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre petitesse sur une très haute éminence

N’a d’égale que notre profondeur d’esprit,

Pour mesurer  cette grande différence

Qui nous dépasse et jusqu’à l’infini !

.

En plus, là-haut le silence régnant

Qui frise l’oubli et voire le néant

Si ce n’est choses essentielles,

Nous rapprochant  du ciel,

De notre propre existence

D’une poussière cosmique

Lors y prenant conscience.

  .

.

Dieu, que la montagne est grande !

.

Scénario

.

Montagne est impressionnante par majesté, diversité, panoramas,

mêlant ses  verts forêts au blancs des neiges fondantes, éternelles,

chapeauté, parfois, par pic, comme une sorte d’échelle vers cime.

 .

Visuels et textuels  >> 

307 – Le magnifique jardin italien, de Clisson

Visuels et textuels >> 

.

Il déborde deux côtés

De la Sèvre,  à  Clisson,

Il serpente en méandres,

Encaissés  dans  un  vallon

Garenne d’architecte Lemot.

.

Il invite au voyage,  à côtoyer

Ses rochers des plus  alanguis,

Lors  vous  pousserez  sa porte,

Le monde de la Nature s’ouvre,

En retenues d’eaux bruissantes,

Pour abreuver son vrai moulin.

.

Statues romaines, colonnades,

Qu’on découvre,

Font de ce jardin romantique

Un lieu…orphelin :

Orphelin de la vie moderne,

Trépidante, courante.

.

Ici, nos pas restent calmes,

Mesurés, lents, posés,

Et les arbres se penchent

Sur nous, destinée

De jardin fait de pierre,

Présence murmure.

.

Un sentier suit  le lit de l’eau, les autres, là, plus haut,

S’entrecroisent, se perdent comme en un beau chaos

Chaos qui vous entraine   dans son monde nouveau,

Où votre âme résonne  et où tout vous parait beau.

.

Nous nous sommes perdus dans ce jardin d’Éden

Perdus, en nos pensées et par nos pas, évoquées,

Penchés l’un sur l’autre, face  temple de l’amitié

Pour se trouver amants au pied  de sa fontaine.

.

Le temple circulaire de Diane, en colonnades,

Inscrit sa majesté tourmentée en promenade

En chasseresse n’en est pas moins tendresse

Et sa présence montre qu’ici rien ne presse.

.

Une grande clairière,  elle aussi circulaire,

Nous offre ses bancs et belle opportunité,

Pour apprécier  le panorama  tout entier,

De ces lieux, privés de toutes modernités.

.

Ce jardin, sa villa : maison, temple, sentier,

Est l’œuvre de quatre architectes passionnés

Qui ont donné leur vie, leurs biens à sa beauté

Afin qu’il soi, jusqu’à nos jours intact, préservé.

Nous l’avons découvert juste au détour d’un pont

De la Sèvre au pied du château médiéval de Clisson.

.

.

Extensions

.

Il est des jardins qui

Vous prennent et vous surprennent,

Bien plus encore que les châteaux ou manoirs

Qu’ils abritent : le jardin de Clisson est de ceux-là.

.

Une pure merveille de la nature, à la fois respectée

Magnifiée par des architectes, dits romantiques,

Qui ont voulu laissé ce témoignage de leur art.

.

Il faut dire en plus qu’il faisait beau et doux

Et que lumière et verdure du mois de juin

Ajoutait encore  comme couleur de plus

À la palette d’humeurs indéfinissables

Qui résonnait de ses harmonies avec

Notre corps, cœur, esprit !

.

Un jardin, sur flanc, de rivière, surplombant château :

Quoi de plus romantique et quoi de plus magnifique.

Jardin comme une demeure des dieux de l’Olympe,

Où demeurent encore les parfums de ses nymphes

Quand on s’y promène, l’esprit et le cœur légers

À la recherche d’un paradis perdu, retrouvé,

Tant on souhaiterait plus jamais le quitter.

Diane, chasseresse y règne, en maîtresse

En son bain de frisottis roches et eau,

Qui nous donne douceur sur peau.

.

Un jardin extraordinaire comme il en existe peu

Avec des colonnades, à son entrée, majestueuses

Et une perspective en pelouses et arbustes taillés

Et le tout, bordé d’arbres, d’essences diversifiées.

.

Rien à voir avec le mien, de six cent mètres carrés

Ici ce sont des hectares avec des zones spécialisées

L’une dans les ruines d’un temple romain statuaire

D’autres en rochers, rocailles, et que sais-je encore.

On s’y plait, on s’y perd, on va  même  à l’aventure,

On peut y passer presque la journée dans sa nature

Avec, comme arrière-plan, la rivière  et le château :

Forcément un tel jardin a besoin de présence d’eau.

.

.

307 –  Calligramme    

.   

Il déborde deux côtés

De la Sèvre,  à  Clisson,

Il serpente en méandres,

Encaissés  dans  un  vallon

Garenne d’architecte Lemot.

Il invite au voyage,  à côtoyer

Ses rochers des plus  alanguis,

Lors  vous  pousserez  sa porte,

Le monde de la Nature s’ouvre,

En retenues d’eaux bruissantes,

Pour abreuver son vrai moulin.

.

Statues romaines, colonnades,

Qu’on découvre,

Font de ce jardin romantique

Un lieu…orphelin :

Orphelin de la vie moderne,

Trépidante, courante.

.

Ici, nos pas restent calmes,

Mesurés, lents, posés,

Et les arbres se penchent

Sur nous, destinée

De jardin fait de pierre,

Présence murmure.

.

Un sentier suit  le lit de l’eau, les autres, là, plus haut,

S’entrecroisent, se perdent comme en un beau chaos

Chaos qui vous entraine   dans son monde nouveau,

Où votre âme résonne  et où tout vous parait beau.

Nous nous sommes perdus dans ce jardin d’Éden

Perdus, en nos pensées et par nos pas, évoquées,

Penchés l’un sur l’autre, face  temple de l’amitié

Pour se trouver amants  au pied  de sa fontaine.

L E     M  A  G  N  I  F  I  QU  E

Le temple circu  J  laire de Diane, en colonnades,

Inscrit sa majesté  A tourmentée en promenade

En chasseresse n’en  R est pas moins tendresse

Et sa présence montre D qu’ici rien ne presse.

Une grande clairière,   I   elle aussi circulaire

Nous offre ses bancs  N    belle opportunité,

Pour apprécier le pa  *  norama  tout entier

De ces lieux privés   C de toutes modernités.

L      .

Ce jardin, sa villa   I    maison, temple, sentier,

Est l’œuvre de qua S  tre architectes passionnés,

Qui ont donné leur   S  vie, leurs biens à sa beauté

Afin qu’il soit, jusqu’à O nos jours, intact, préservé.

Nous l’avons découvert   N  juste au détour d’un pont

De la Sèvre au pied du château médiéval de Clisson.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

307 4

.  

En bas, un piédestal très imposant,

En haut, statue d’un homme grand 

Ou bienfaiteur de la ville de Clisson

Et qui ne manque pas de charme.

.

Une statue sur un piédestal en grand jardin

n’aura rien de surprenant, bien au contraire

probablement le  fondateur même du jardin

ce qui fait que la forme évoque bien le fond.

.

Piédestal,  jardin romantique, statue

Quoi de plus classique :

Mais le tout est de savoir de qui il s’agit,

Et pourquoi, et à cet endroit !

.

Symbolique 

 .

Les architectes de l’époque

De la Renaissance, d’abord italienne,

Puis française et puis ensuite européenne,

Considéraient que  le piédestal  faisait partie

Intégrante d’ordonnance des ordres d’architecture.

.

Ils imposèrent, progressivement, sorte de canon

Esthétique régentant proportion des ordres,

Comme pour la corniche du piédestal

Formant les seuils des fenêtres

Ou la balustrade de galeries.

wikipedia.org/wiki/Piédestal

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

Piédestal,  jardin romantique, statue

Quoi de plus classique :

Mais le tout est de savoir de qui il s’agit,

Et pourquoi, et à cet endroit !

.

Symbolique de fond

.

Une statue

Est un ouvrage en

3 dimensions représentant

En entier un personnage, animal,

Et  réalisé  dans  divers  matériaux

Pierre, bois, plâtre, métal, plastique.

.

On parle de statues pour des œuvres

De taille moyenne (égale ou

Supérieure à la moitié de

La taille naturelle, pour

Sculpture être humain,

À grande (la statue de la

Liberté atteint 92 m de haut) ;

Une plus petite est appelée statuette.

Wikipedia : statue

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un jardin à l’anglaise, à la française.

Vous avez  faux : rien  qu’à  l’italienne.

Romantique, s’il en est, par colonnades

Statues, temples  et autres monuments.

.

On s’y promène, on s’y détend,  délecte,

Comme si soudain,  on effaçait le temps

Qui s’étale en parterres fleurs,  plantes.

.

D’y rester le plus longtemps, vous tente

Le tout le long de sa charmante rivière

Avec, pour proche voisin…un château

Qui ne déméritera  pas d’être visité :

Ainsi s’achève une journée de rêve.

 .

.

Rocailles et temple ! 

.

Scénario

.

Belle entrée monumentale du jardin italien de Clisson.

Le jardin intérieur  et ses perspectives de verdures.

Le château fort de Clisson et pont sur la rivière.

.

Visuels et textuels >>

305 – Hutte de l’étang pour pêcher et chasser

Visuels et textuels  >>

.

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L’étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J’ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J’ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

.

L’eau semble polluée des engrais de veines,

L’homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

.

.

Extensions

.

Je vous y invite, volontiers,

Pour faire le tour en entier,

Admirer votre reflet en eau

Ou ses chênes, et  bouleaux

Parant  sa nature, sauvage,

De doux parfum de liberté,

Sans entrave,  ramant sur

Un bateau, voire à l’affut,

En hutte où l’eau semble

Polluée  par des engrais

L’homme préserve ilot.

.

Havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau

Et ses méfaits ;

En barque, sur étang,

C’est un bienfait

Hutte garnie, je rame

En  parfait !

 .

Que ce soit pour la pêche ou pour simple promenade,

La barque vous transporte sur un élément liquide, calme,

Propice au repos, à la sieste, à la rêverie, voire romancerie !

Vous serez l’écoute d’une nature humide, limpide et… belle,

À moins de vous perdre, enfoncer en un marais saumâtre.

Bruit des rames, touchant l’eau pour la pousser, diriger,

Vous inspirera sensations d’écoulements de votre vie,

Dont vous maîtrisez ses  étapes ou qui à vau-l’eau.

Dans les deux cas, cette pause sera bénéfique

Comme parenthèse d’activités ludiques.

.

Un plan d’eau quel qu’il soit

Qu’il soit naturel  ou artificiel,

Soit petit ou grand, nu ou boisé,

Attire toujours amoureux de nature

.

Ici, il est souvent tranquille, étant isolé

On y voit des canards, des oiseaux d’eaux

On peut piqueniquer sur ses berges boisées

S’y reposer en regardant peupliers à l’envers.

.

J’ai mis les pieds en une barque, me suis arrêté

Au milieu de l’étang, comme en panne d’énergie

J’y ai cueilli des nénuphars blancs,  tomber failli,

Et je n’étais pas d’humeur à nager ni à m’y noyer.

.

.

305 – Calligramme

 .

HUTTE D’ÉTANG POUR

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L‘étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J‘ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J‘ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

L‘eau semble polluée des engrais de veines,

L‘homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

PÊCHER, CHASSER  

 

.

Forme

Réduction

.


.

Évocation 

.

305 4

.

Menhir qui serait monté  à l’envers,

Une pomme de pin    en plein hiver,

Une forme de barque à fond plat,

 pour pouvoir pécher sur un étang.

.

Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

.

Symbolique 

 .

Barque est  symbole de changement,

On l’empruntera  pour passer d’une rive

À une autre, donc d’un état … à  un autre.

État est en référence avec état émotionnel,

L’eau traversée est  symbole de sentiments.

Si l’eau  est calme, et, si la balade agréable,

C’est que tu abandonnes un comportement,

Une vieille habitude, émotion désagréable

Que tu t’améliores : mieux dans ta tête,

Tu as comme désir de te débarrasser

De certains comportements et

De découvrir des nouvelles

Facettes personnalité

Comme en rêve

En éveillé

V

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/barque

.

Descriptif

.

305 – Hutte d’étang pour pêcher, chasser    

Alignement central  / Titre absent / Thème  habitat

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : barque / Symbole de fond : étang

.

.

Fond

.

Évocation 

.

305 6

.

Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

.

Symbolique 

.

L’étang est une surface d’énergie

Contenue, stagnante, riche de potentiel.

C’est parfois une forme dépressive qui a pu

Être contenue et devenue une richesse.

« Ceci étant ». C’est donc une nature

De soi connue, mais canalisée.

.

Il faut associer à l’étang toute

Symbolique de l’eau : à l’eau

Calme s’oppose  l’eau rapide

Comme à l’étang la cascade,

À l’eau  lustrale  du baptême

L’eau épaisse, croupissante,

Limoneuse que la poétique

d’Edgar Poe a vite fait de

Confondre avec le sang.

mediations-aquatiques.com/

la-symbolique-de-l-eau-2.html

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui dit en barque sur un étang

Évoque un fond de romantisme

Sinon de pêche, voire de chasse

À chacun son loisir, après tout !

Moi, j’aime bien en faire le tour

M’y asseoir pour le contempler

Et c’est déjà belle randonnée !

 .

.

Étang entouré zone de chasse

.

Scénario

.

Une hutte en bord d’étang : pêche, chasse ou les deux.

Bords de l’étang : agréables et même pour picnic en barque.

Trois barques, étendue de l’étang, vue sur le village tout au fond.

 .

Visuels et textuels  >>

674 – Amour de la nature, nature de l’amour

Visuels et textuels >>

.

L’amour de la nature préfigure

La nature de l’amour humain

Par sa beauté et générosité :

Don de dieu d’un hasard.

.

De la Nature  on ne se lasse

En amour  humain, on  s’enlace,

Les deux, des fois,  s’entrelacent,

Or nature, toujours nous délasse.

.

Couleur, senteur, toucher,  bruit,

Tous nos sens sont mis en éveil,

Convergeant  vers l’harmonie

Qui en ferait la merveille.

.

Romantique me direz-vous,

N’est-ce pas, un peu, désuet !

Écologique serait l’amour fou

Que, seule, Nature restituerait !

.

Amour de la nature et nature de l’amour,

Seraient-ils une seule, une même chose,

À ce point que l’une entrainerait l’autre

Sans que l’on en soit conscient, ni ose.

.

Nature  se donne à vous entièrement

Comme un amant comme l’amante

Tout aussi vibrante et aussi vivante,

Ne manquant ni d’espace  ni temps.

.

Avec couleurs tantôt tendres  ou vives,

Avec senteurs tantôt …. légère,  lascives,

Avec des bruits tantôt  directs, complexes,

Avec  touchers  tantôt … concaves  convexes,

.

Nous évoquent l’amour de ceux qu’on aime

En ce qu’il a  de plus beau, de plus naturel

Sans être romantique,  confondre  en elle,

Les deux étant : sujet, et objet et poème.

.

En poème qui s’invite au fond  de l’âme

En une conjonction homme-femme

Et pour y brûler leurs flammes

Et à ce qu’ils se damnent.

.

.

Extensions

 .

Les  arbres  qui  s’enlacent

Ou qui en donne l’impression

Ont souvent fasciné les amants

Peintres, poètes, et  ce,  d’autant

Qu’ils sont rares  et cela  ne serait

Pas dû qu’à  la proximité physique

Mais à un phénomène  très curieux

De la nature et qui n’aura rien à voir

Avec l’amour,  en tous cas, l’humain !

.

Il y a ceux qui mélangent les racines,

Il y a ceux qui vrillent  leurs troncs,

Ceux qui  croisent  leurs branches.

C’est  le  pouvoir  d’attraction  qui

Émerveille  l’œil, mâle  ou  femelle :

Pourquoi ces deux-là et pas les autres :

Qu’ont-ils de spécial pour pousser ainsi.

.

Ce n’est pas le cas des lierres, ou lianes,

Qui ne sont que des plantes parasites

Ni orchidées productrices de vanille

Qui s’en servent comme des tuteurs

Bien plus encore des arbres greffés

Peuvent porter  plusieurs variétés

De bons fruits  ou  de belles fleurs,

Sans compter de feuilles et couleurs.

Amour de la nature, nature de l’amour !

.

Amour et nature, nature et amour : inversion de toujours :

Si la nature est en nous, c’est aussi parce que sommes en elle,

C’est partout et souvent, surtout chez les poètes, une ritournelle

Et c’est celle qui nous console et compense tout manque d’amour.

Il n’y a rien de plus naturel, rien de plus universel  que la sexualité,

N’était-ce que nécessité absolue, inscrite en gènes, de reproduction.

Après, est-il possible d’aimer un arbre ou animal comme un humain

À chacun de répondre à la question en fonction de pulsion, déception

L’un n’empêche pas l’autre, fonctions de degrés ou complémentarités.

.

Rien de plus naturel que l’amour,

Rien de plus amoureux que l’humain,

Pour autant, nature n’aimera l’humain,

Quand bien même on l’invoque toujours !

.

Est-ce qu’humain serait supérieur à nature :

Dès lors il en est intégré,  pas de suprématie :

De statut d’objet, la nature peut devenir sujet,

De sujet, l’amour pourra devenir simple objet.

.

.

Épilogue

.

L’on peut aimer la Nature, ou non,

Elle s’offre à vous, sans résistance,

Mais elle, ne tiendra à vous aimer,

Nature n’a aucune intentionnalité.

***

Or, comme en miroir, nous renvoie

Un reflet de la  nature  de  l’amour :

Sans doute est-ce dû  à ses beautés,

Qu’on ne se lassera de contempler !

***

Une fois qu’on a dit cela … on a tout

Dit et rien : les poètes s’en chargent,

De cet invisible, et, indicible  amour,

S’en feront le chantre, pour toujours.

***

La Nature est bien  notre mère  à tous,

Au sens propre par nos gènes et figuré

Par l’idée qu’on s’en fait, nous nourrit,

Bien que là il ne s’agira que de l’esprit.

***

Je suis né  dans  la campagne profonde,

Près d’une forêt et  de garrigue, marais,

Belle compagne j’ai eu jusqu’à neuf ans,

D’où mon amour pour elle, et, femmes !

.

.

674 – Calligramme 

 .

L’amour de la nature préfigure

La nature de l’amour humain

Par sa beauté et générosité :

Don de dieu      A    d’un hasard.

De la Nature    M       E   on ne se lasse

En amour    O    humain, on    R     s’enlace,

Les deux,     U    des fois s’entre    U        lacent,

Or nature     R    toujours     nous      T      délasse.

Couleurs,       *      senteur, toucher    A         bruits,

Tous nos        D    sens seront mis    N       en éveil,

Convergeant       E                        *         harmonie

Qui en ferait            L          A        la merveille.

Romantique                          me direz-vous,

N’est-ce pas                  un peu désuet !

Écologique          serait l’amour fou

Que, seule, Nature restituerait !

.

********************************

********************************

.

Amour de la nature et… nature de l’amour,

Seraient-ils une seule et une même chose,

À ce point que l’une entrainerait l’autre

Sans que l’on en soit conscient, ni ose.

Nature  se donne à      vous entièrement

Comme un amant      E     comme l’amante

Tout aussi vibrante  T   et     *     aussi vivante,

Ne manquant ni    *  d’espace       R        ni temps.

Avec couleurs     N   tantôt tendres      U       ou vives,

Avec senteurs     A     tantôt …. légères     O        lascives,

Avec des bruits   T      tantôt …… directs     M   complexes,

Avec  touchers    U      tantôt … concaves    A       convexes,

Nous évoquent    R      l’amour  de ceux     ‘     qu’on aime

En ce qu’il a de      E     plus beau, de    L   plus naturel

Sans être romantique   D      E    confondre en elle,

Les deux étant autant : sujet, qu’objet, poème.

En poème, qui s’invite  au fond  de l’âme

En une conjonction homme-femme

Et pour y brûler leurs flammes

Et à ce qu’ils se damnent.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.674 4

.

Deux poteries  différentes

Superposées, tout comme

Un homme, une femme,

De forme et fond !

.

L’amour et la nature ont, tous deux,

de belles formes avec de bons fonds :

peu les sépare, parfois on les confond

aussi la forme épouse bien ici le fond.

.

Poterie avec dessin nature où,  à l’intérieur,

L’on trouverait de l’amour :

C’est ainsi que forme et fond, se fondent, et se

Confondent, et à volonté !

.

Symbolique 

.

Une poterie est un récipient

À ouverture large, sans anses,

Initialement destiné à contenir

Ou à conserver de la nourriture.

.

Aujourd’hui de  simple forme type

De poterie tournée, ou un récipient

En diverses matières telles que grès

Céramiques, faïences, métalliques,

Destiné à recevoir  divers liquides

Plus ou moins visqueux à chaud.

Modifié, source Wikipédia

.

Descriptif

.

674 – Amour de la nature, nature de l’amour 

  Alignement central  /  Titre cercles   /   Thème  nature

Formes rondes / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : poterie / Symbole de fond : forme-fond

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

674 6

.

Poterie avec dessin nature où,  à l’intérieur,

L’on trouverait de l’amour :

C’est ainsi que forme et fond, se fondent,

Et se confondent, à volonté !

.

Symbolique

.

La séparation

Du fond et de la forme

Consiste à séparer le message

D’un document de sa présentation.

On définira d’un côté le corps du document,

, et de l’autre côté la forme, comme la

Présentation titres et paragraphes.

.

Avec l’avènement du numérique

Dans la création documentaire,

Les pratiques d’écriture ont changé.

.

L’informatique apporte une couche abstraite

Supplémentaire à l’écriture et à

La forme documentaire et change

La définition de ce que nous pouvons

Appeler communément un document.

.

Ce domaine propose des techniques clés qui

Montrent que les auteurs sont amenés

À changer leurs pratiques.

fr.wikipedia.org/wiki/Séparation

_du_fond_et_de_la_forme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Une poterie si elle n’est rien dans le fond

Aura toujours une forme, quel qu’elle soit,

Toutefois un contenant suppose un contenu

Amour est rempli de nature, et  inversement.

.

La forme de l’amour implique un fond spécial

Car s’il est platonique, il ne sera pas extatique,

Et s’il est poétique, il ne sera pas pragmatique

Et s’il est authentique, il ne sera pas plastique

Toutes les formes et fonds sont en la nature.

 .

.

Polysémie en contextes

.

Scénario  

.

Un amour poétique, voire lyrique, de nature sauvage,  authentique,

demeure en une fusion totale avec le tronc de l’arbre et le végétal,

et dès lors, la nature de l’amour restera simple comme bonjour.

 .

Visuels et textuels >>

263 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt

Visuels et textuels  >> 

.

La nature nous offre

Son paysage émouvant

Si on va au-devant d’elle,

Se promenant, cheminant

Entre  les bords  de la mer,

Et les routes de campagne

Et sur sentiers forestiers,

Comme  en  montagne,

Elle nous fait oublier,

Ennuis  vie moderne

Qui  nous  stressent,

Nous  la rend  terne.

.

Si j’ai temps à perdre

 Je mets  les chaussures

Pour aller marcher, dur

Sur cailloux, sable, herbe.

Mes souvenirs sont nature

Qui sont rentrées  par pieds,

Tout autant que  par mes yeux.

.

Il est vrai, pour ne pas les reperdre,

Partout où j’aurai longtemps marché,

Je me souviendrai   de  toutes les odeurs

De sous-bois de prés, d’herbes et de fleurs.

Faire une belle randonnée en beau  paysage,

Qui, à chaque virage, présentera  ses visages,

Est comme bon voyage, en soi,  réconciliation

Avec la splendeur de la nature diverse à foison.

.

Nous sommes couronnement en faisons partie,

Mais les uns la chérissent et d’autres, la fuient.

Suivez itinéraire, fléché  jaune ou blanc-rouge,

Pour petits ou grands sentiers de randonnées,

Seul, à deux, à trois, à plusieurs, voire groupé

Marcher sans arrêt sans discuter, vous bouge

Les sangs, idées sont à vos rythmes cadencés,

De pauses, pour consulter la carte des égarés.

.

Ici, une route pavée d’ancienne voie romaine,

Là un chemin creux, sait-on où il nous mène :

C’est ce qui fait le  charme de nos randonnées

Avis sont partagés vers droite on s’est trompé

Comment, à une carte ou son instinct, se fier,

S’il n’y a plus  de  marques  pour nous guider.

.

Arrivé à mi-parcours, moitié des gens fatigués

Demande quand on arrive car  ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants, et cloquants,

À marcher, ils ont des problèmes handicapants.

On ne croise presque personne, sur les sentiers ;

Seraient-ils assis,  en fauteuil,  à regarder la télé !

.

Ma randonnée sur sentier de campagne, en forêts,

Suivie de parcours, sur un chemin en  bord de mer,

Termine sa grande boucle sur le parking du départ !

Bien de belles images ont été stockées, quelque part,

En ma mémoire, qui ne se lasse pas de les distinguer :

J’ai beau les parcourir  je ne finis jamais de m’étonner.

.

.

Extension

.

Les randonnées … en bord de mer,

Sont toujours attrayantes, plaisantes

Tant le contraste avec la forêt où l’œil,

Est prisonnier du sous-bois des arbres

Est saisissant, voire même angoissant

Par le manque d’horizon, ou lumière.

.

Les randonnées différent, tant elles seront variées ou  complémentaires :

Chemin pratiqué vous emporte en pleine nature sauvage ou domestiquée

La Bretagne, en particulier, dispose d’un vrai labyrinthe  de randonnées,

Où l’on peut se perdre sans la moindre crainte de ne point s’y retrouver,

Tant campagnes, forêts, bords de mer, s’y succèdent, sans discontinuer.

.

Mer calme, bleue turquoise,

Plus campagne  vert  tendre,

Traversée de forêts, sous-bois,

Forment programme de rando,

Des plus enviables, plus enviées.

.

Il  y a tant  et tant, de  diversités,

Dans les paysages où l’on marche,

Que l’on ne sent, nullement, fatigue,

C’est juste  une danse, pour les pieds,

Juste régal inoubliable pour les yeux !

.

Et puis à l’arrivée, on est prêt à repartir

À recommencer nouveau périple, même

Mais peut-être aussi  que la compagnie,

Nous aide à déjà ailleurs nous projeter,

Comme si on avait des ailes aux pieds.

.

.

263 – Calligramme 

 .

La nature nous offre

Son paysage émouvant

Si on va au-devant d’elle,

Se promenant, cheminant

Entre  les bords  de la mer,

Et les routes de campagne

Et sur sentiers forestiers,

Comme  en  montagne,

Elle nous fait oublier,

Ennuis  vie moderne

Qui  nous  stressent,

Nous  la rend  terne.

Si j’ai temps à perdre

 Je mets  les chaussures

Pour aller marcher, dur

Sur cailloux, sable, herbe.

Mes souvenirs  sont natures,

Qui sont rentrées, par mes pieds,

Tout autant que         B     par mes yeux.

Il est vrai, pour ne pas     O       les reperdre,

Partout où j’aurai longtemps       R          marché,

Je me souviendrai de toutes les          D           odeurs

De sous-bois de prés, d’herbes et de      *              fleurs.

Faire une belle randonnée, en beau       M            paysage,

Qui à chaque virage, présentera            E              son visage,

Est comme bon voyage, en soi                         réconciliation

Avec la splendeur de la nature            *               diverse à foison.

Nous sommes couronnement           C                 en faisons partie,

Mais les uns la chérissent et           H                   d’autres, la fuient.

Suivez itinéraire, fléché                E                 jaune ou blanc-rouge,

Pour petits ou grands                 M                 sentiers de randonnées,

Seul, à deux, à trois,                  I                     à plusieurs, voire groupé

Marcher sans arrêt,                N                      sans discuter, vous bouge

Les sangs, idées,                     *                  sont  à vos rythmes cadencés,

De pauses, pour                    T                      consulter la carte des égarés.

Ici, une route                         E                  pavée d’ancienne voie romaine,

Là un chemin                         R                  creux, sait-on où il nous mène :

C’est ce qui fait le                     R                       charme de nos randonnées,

Avis sont partagés                         E                     vers droite on s’est trompé

Comment, à une carte                      *                         ou son instinct, se fier,

S’il n’y a plus de marques                                                pour nous guider.

Arrivé à mi-parcours, moitié                      E                        des gens fatigués

Demande quand on arrive, car                       N                       ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants                        T                       et  cloquants,

À marcher, ils ont des problèmes han                      I                       dicapants.

On ne croise presque personne, sur les                       E                      sentiers ;

Seraient-ils assis,  en fauteuil,  à regarder                  R                         la télé !

Ma randonnée, sur sentier de campagne                   *                      , en forêts,

Suivie de parcours, sur un chemin en                   F                       bord de mer,

Termine sa grande boucle sur le                   O                     parking du départ !

Bien de belles images ont été                  R                      stockées, quelque part,

En ma mémoire, qui ne se                    E                  lasse pas de les distinguer :

J’ai beau les parcourir                       T                je ne finis jamais de m’étonner.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

263 4

.

Évocation

.

Ça peut être une grande gourde d’eau

Tout autant qu’une coupole d’église ?

.

Il n’y en a pas que pour les bouteilles

et de quelques formes qu’elles soient

il y a aussi les dômes et les coupoles,

cela dit, forme se distingue du fond.

.

Une gourde ou bouteille d’eau,

Comporte un intérêt en rando :

Ne négliger la découverte  d’une

Chapelle, d’une coupole d’église.

.

Symbolique 

.

Dans

Les   églises,

Toute    coupole,

Tenue    pour     symbole

Du ciel,    et domine     la nef,

Figure  monde terrestre, visible,

Éclairée, orientée  par  sanctuaire,

Reflet  du  monde  visible, intelligible.

En la Bible, cette coupole reste le trône

De Dieu, c’est vers elle que s’élève Christ

Lors de résurrection après mort en croix.

Atelier-st-andre.net/stgeorges/petit_dictionnaire

.

Descriptif

 

263 – Bord de mer, chemin terre, sentier forêt 

Alignement central  / Titre serpentin / Thème rando

Forme courbe  /  Rimes égales /  Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : coupole / Symbole de fond : coupole

.

.

Fond

.

Évocation 

.

263 6

.

Une gourde ou bouteille d’eau,

Comporte un intérêt en rando :

Ne négliger la découverte  d’une

Chapelle, d’une coupole d’église.

.

Symbolique 

.

Une

Coupole est

Une voûte dont la

Forme   qui se   rapproche

D’un    hémisphère en  évoquant

Une coupe renversée, où sa base peut

Être circulaire, elliptique ou polygonale,

Tandis que le profil peut également varier.

Si la coupole  est  surmontée  d’une toiture,

Cette dernière  est  plutôt  appelée  dôme,

Et  cela  bien que les deux termes soient

Utilisés comme autant de synonymes.

En  astronomie, la coupole  désigne

La partie supérieure du bâtiment

Généralement  en   demi-sphère

 Mais pas toujours qui protège

 Le télescope qu’elle contient.

fr.wikipedia.org/wiki/Coupole

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On peut marcher partout,

Il y a tant à faire  et à voir :

Du chemin,  on trouve le bout,

Quand  il s’agit  de ce  bel espoir,

De communier avec mère Nature.

.

La mer, la campagne, la montagne

Nous offrirons  autant de paysages,

Divers, variés, plaisants,  étonnants,

Qu’on n’aura  qu’embarras  du choix.

.

Parfois, randonnées  courtes, longues,

Souvent en boucles, sinon aller-retour.

La Nature a pour unique couple, le ciel,

Et ce dôme lui fournit ses espaces infinis

Et qu’on prendra le temps de contempler

Lors d’une pause, repas, sous la canopée,

Ou en haut d’un sommet, en bord de mer.

.

.

Le sentier des douaniers du GR 34

.

Scénario   

.

Belle randonnée en bord de mer  sur falaises de Trédrez, en Bretagne.

Échappée de la mer vers les terres entre les rochers  de Ploumanac’h.

 Une marche quelque part au bord d’un lac bordé d’une grande forêt.

.

Visuels et textuels  >>