1127 – Le divin paradis, inaccessible, septième ciel

Visuels et textuels  >>

.

Divin … paradis,

Septième ciel inaccessible

Il n’appartient   à aucune réalité

Du monde visible monde sensible,

Il n’est que projeté par les hommes,

Purement virtuel et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où le temps est :

Espaces, mouvements,  énergies,

Seraient substitués par conception

Incluant l’idée inventée, d’Éternité.

.

Monde du divin, de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on se rend après mort,

La fin du corps d’apparence physique.

 .

Que ce lieu existe ou n’existe pas,

L’homme dans    toutes périodes,

Toutes cultures  ou civilisations,

L’a  promulgué  e n  salut  final :

Il y a, bien entendu, des athées,

 .

Des agnostiques  et des ignorants

Niant la possibilité d’improbable

Ou pour le moins d’in-trou-vable,

Et qui nous échapperait toujours

En dépit de savoir en technologies.

.

Pour autant jour d’aujourd’hui,

Rien ne nous autorise à affirmer

Que ce septième … ne serait  que

Produit de l’inconscient  collectif,

Pour contrer inacceptable destin

.

De notre mort humaine  en fin,

En se projetant sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Extensions

 .

En redescendant sur terre,

Regardant d’autre point de vue

Ce « moi initial », ce « moi total »,

S’il lui manque sa dimension spirituelle,

Se rapprocherait, confondrait monde animal.

.

Si nous sommes animaux, notre destin sera scellé :

Sommes appelés à être remplacés, disparaître sans traces.

S’il s’agit d’une expérience qui a mal tournée, erreur de casting

De la part d’un Maitre du Monde alors la boucle se transforme

En dédale où se nouent, dénouent paradoxes, contradictions.

.

Cercle, monde, paradis, demeurant à jamais indécidables,

Ne peuvent satisfaire les esprits rationnels humains

Fonctionnant selon des logiques différentes

En s’appuyant sur le réel, non le virtuel.

.

Et, toutefois l’imaginaire humain, quel qu’il soit

Et quoiqu’il conçoive fait bien partie d’un certain réel

Et c’est bien avec lui, et grâce à lui, que nous avons fait

Des découvertes et des avancées, et, il y aurait dilemme

Si les choses sont équivalentes conséquences différentes.

.

Les cercles de la connaissance n’ont rien de scientifiques,

Initiatiques, métaphysiques et encore moins mystiques :

Ils ne sont qu’une construction de l’esprit pour mieux

Se situer dans le déjà vaste monde que l’on habite.

.

Le septième ciel : pourquoi pas sixième ou le huitième ?

L’on n’en est pas à un, près, dans un tel lieu, suprême,

Lors d’un voyage sans retour en destination extrême

Dépassant et de loin, sept couches de l’atmosphère,

Aucun astronaute ne s’est senti  près d’un Paradis

Mais, on ne sait pas tout, et on ne voit pas tout :

Certes, nous n’avons pas la preuve  qu’il existe,

Non plus qu’il n’existe pas sauf en La Marelle.

.

Le ciel est le seul lieu que l’Homme

N’a pas encore totalement exploré et compris.

Les humains restent fascinés par cette voûte bleue

Constellée d’étoiles s’exhibant au-dessus de leur tête.

Car depuis l’Antiquité, ils tentent de l’expliquer :

C’est à cette période qu’on l’associe à félicité.

.

L’homme veut toujours aller plus haut.

De surenchère en surenchère, nous sommes

Tous montés jusqu’à se rapprocher du dernier,

 Celui qui nous mettra au plus près des dieux

On rejoint un peu, ici, la quête d’un Graal,

Qui serait proche de l’extase amoureuse

Mais le septième ne sera que spirituel.

.

.

Épilogue

.

Le jeu de La Marelle est des plus pédagogiques,

Pour apprendre cette notion d’un septième ciel.

***

On est censé aller tout droit au ciel après la mort,

Ce n’est pas tant qu’on l’ait mérité…qu’on y croit.

***

Cette croyance s’illustre en action dans La marelle

On n’utilise le pied en sautant, poussant, un palet.

***

Palet empiète  des cases : tout est à recommencer,

L’on passe d’une case à l’autre en un ordre imposé

***

Le Ciel atteint en haut, l’on redescendra sur Terre :

Pourquoi des cases horizontales au milieu, en haut.

***

Je ne suis pas certain d’une interprétation que voilà,

 Comparons un tel chemin à celui de notre propre vie

***

La première étape horizontale  correspond au milieu

De notre vie, c’est-à-dire pas loin de … quarante ans.

***

Première fois pour beaucoup, sens de vie questionne,

On est bien installé, en son métier, son couple, foyer !

***

Seconde fois, on est  au début  de sa retraite d’activité

Dernière étape, en perspective est celle de notre mort.

***

Ces deux périodes seront favorables à toute expérience,

Qui nous mène en recherche de spiritualité à une autre,

***

La deuxième sera  alors  comme une sorte d’achèvement

Dans son choix et de révélation  intime  d’une vraie joie !

***

 Après cela la mort ne sera autre qu’étape supplémentaire,

Qu’on aurait accepté, compris, intégré, sans en avoir peur.

.

.

1127 – Calligramme

.

Divin      *       paradis,

Inaccessible  D   septième ciel

Il n’appartient   I  à aucune réalité

Du monde visible  V  monde sensible,

Il n’est que projeté    I   par les hommes,

Mais purement virtuel  N et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où temps est :

Espace/mouvement/énergie,

P

Seraient substitués         A        par une conception

Incluant cette idée          R       inventée, d’Éternité.

Monde du divin,              A       de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on             D         se rend après mort,

La fin du corps d’            I       apparence physique.

S

Que ce lieu existe    *        ou n’existe pas,

L’homme dans        *       toutes périodes,

Toutes cultures       S       ou civilisations,

L’a promulgué               en salut final :

Il y a, bien enten    P        du, des athées,

T

Des agnostiques      I      et des ignorants

Niant la possibili    È      té d’improbable

Ou pour le moins   M      d’in-trou-vable,

Et qui nous échap   E       perait toujours

En dépit de savoir   *      en technologies.

*

Pour autant jour     C         d’aujourd’hui,

Rien ne nous au       I      torise à affirmer

Que ce septième      E        cercle n’est que

Produit d’incons      L      cient … collectif,

Pour contrer inac     *       ceptable destin.

.

I   N    A   C   C   E   S   S   I   B   L    E

.

De notre mort         *     humaine  en fin,

En se projetant     * sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1127 4

.

Ça ressemble assez fort

À  un jeu  connu, appelé  

La Marelle pour le ciel

Qu’il faut gagner au pied.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

 .

La Marelle n’atteint pas  le ciel

ce jeu étant sur sol, horizontal :

il y en a de différentes structures

mais forme est conforme au fond

.

Et bien même par jeu La Marelle :

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Et puis ceux le trainant  vers l’Oméga.

.

Symbolique 

.

La Marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi,

Dont sont issus le jeu du labyrinthe,

La  pétanque  et  le  jeu  de  l’oie.

 .

La plupart des jeux pour enfants

Jeux de société étaient, à l’origine,

Divinatoires  et  initiatiques.

 .

Dans un monde où la raison,

La logique et la science exacte

Font force  de  lois, les principes

Divinatoires initiatiques des jeux

Ont  été  relégués   aux  oubliettes,

Dans un passé dont  nous pensons

Que l’obscurantisme, superstitions

Régnaient en maîtres absolus

Dans les mentalités.

minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1127 6

.

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Et bien même par jeu Marelle :

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Ceux le trainant vers l’Oméga.

.

Symbolique de fond

.

Comme le remarque Mircea Eliade,

« La prière, la plus populaire, du Monde

S’adresse à notre Père qui est aux Cieux ».

C’est dire l’importance du symbolisme céleste.

.

Certains, tel P. W. Schmidt, ont même voulu voir

Dans ce dernier la matrice archétypique de tout

Le symbolisme religieux. Nombreuses cultures

Confondent l’appellation du Dieu suprême

Avec dénomination du ciel et des cieux.

universalis.fr/encyclopedie/symbolisme-du-ciel

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Tout enfant accèdera peu à peu au ciel

En jouant à ce petit  jeu de La Marelle

En poussant son palet à cloche pied

Sans déborder des cases tracées !

.

Un jeu qui n’a rien de religieux,

Un des plus vieux jeu d’enfant

Défiant les lois de l’équilibre

Sans compter précision

Comme aime enfants

Pour tester adresse

Des déplacements.

.

.

Paradis Walhalla vikings !

.

Scénario

.

Sept étages, en spirales et qui se déroulent jusqu’au septième ciel.

Un astronaute sorti hors station orbitale et qui s’y croit presque.

Ça pourrait être ça le septième ciel, si ce n’était pas photoshopé.

 .

Visuels et textuels  >>

1126 – Quand l’enfer me ment, le paradis dément !

Visuels et textuels >>

.

En jeu de mots,

Enfer me  ment,

Paradis   dé-ment,

Avec force mystère !

.

Lors paradis d’amour

Demeure enfermement

À deux, en  tours  d’ivoire

En ignorant environnement.

.

Enfer dément feu éternel existe

Le paradis ne serait  pas  sexiste,

Du simple fait qu’ange, sans sexe,

Ne s’en font plus  aucun complexe.

 .

Lors enfer me ment, paradis dément,

Que peut vouloir dire cette phrase ci,

Que le paradis pourrait être un enfer

Ou bien  qu’il existe, déjà, sur Terre.

.

Paradis d’amour et d’enfermement,

Ressemblent fort à l’enfer d’autant

Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent

Tant que l’on a des yeux d’amants.

.

Qui souligne comme une évidence

Que tous les contraires se joignent

Avec plus, sinon moins, de poigne.

.

L’enfer dément  qu’un feu … existe

Alors que toutes les visions artistes,

Le met en avant-plan d’avant-scène.

  .

Quelque part entre l’enfer et paradis,

Il y aura la lucidité d’une conscience,

Qui ne se ment pas déjà à…elle-même,

Même quand prise d’émotion extrême.

.

.

Extensions

 .

Prise entre l’enfer et le paradis, l’Église,

En état d’indigence, en besoin d’indulgences,

Dans les deux sens du terme, pardon et argent,

A inventé le purgatoire dont on ne sait ni le lieu,

Ni la fonction exacte  et ressemble un peu à une

«Garde à vue»  dans  une cellule  de  dégrisement,

Où l’on attend, patiemment, son passeport  pour

Le paradis  ou l’acheminement définitif en enfer,

Selon ses actes de contritions, voire d’expiations.

.

Mais si le purgatoire est provisoire, pourquoi pas

Le paradis, l’enfer, ne le seraient-il pas : illogique ?

L’Église aura fait la distinction entre péchés véniels,

Capables d’être expiés purgatoire et péchés mortels,

Conduisant directement en enfer de Jérôme Bosch.

.

Au Moyen-Âge, le purgatoire est symboliquement

Illustré comme étant un lieu de feu purificateur.

Il aurait été redéployé au milieu du XIXe siècle

Face à la montée du spiritisme ou  d’invocation

Des âmes trépassées par des moyens ésotériques,

Non chrétiens. Son évocation s’est depuis raréfiée.

.

Enfermement et enfer me ment : en un ou trois mots,

L’enfer ce serait  toute  privation de liberté et de vérité,

On peut être enfermé seul ou en couple enfer ou paradis

L’enfer si l’un domine l’autre et l’empêche d’être, de sortir

Paradis  si celui qui est sorti  ouvre la porte à l’autre, vérité

Dément en tant que personne et dément en tant que… verbe

S’écrivent et se prononce  de la même façon,  n’ont rien à voir

Et quand l’enfer dément que le paradis est un lieu de bonheur

Le paradis rétorque que l’enfer est réservé à tous les déments !

.

Entre l’enfermement en paradis dément

Ou rester sur Terre, même si purgatoire,

Mon cœur et mon esprit sinon mon âme,

Ont choisi cette dernière pour agrément.

.

Tant si l’enfer, c’est le mensonge, le faux,

Un paradis de vérité, ne sera pas si beau.

Qui décide, vraiment, du vrai et du faux :

L’Église voire le gouvernement d’en haut.

.

L’on dit que toute prison est enfermement,

Qu’il soit physique, psychologique ou moral

Vivre en un paradis peut être insupportable

Pour ceux qui seront inaptes aux bonheurs.

.

.

Épilogue

.

Il se trouve, comme il se doit,

Que tout paradis et tout enfer,

Ont une porte entrée à franchir

Avec des juges pour son sézame.

***

Il faut s’entrainer avec le Sphinx,

À résoudre des énigmes mortelles,

Sinon l’on serait pris  au dépourvu,

En tombant  de paradis  vers l’enfer.

***

Qui dit porte, dit liberté, enfermement :

Religion adopte second en… manipulant

L’humain pour peur de sa mort, en enfer,

Mort deux fois : sur Terre et en l’éternité !

***

Ce n’est pas que  cette croyance  soit inutile,

Il en faut une, de toute façon, mais  pourquoi

L’imposer  comme seule et unique, sans savoir

Ce qui nous attend réellement autre côté miroir.

***

Comme tout ce qui nous importe et fait sens de vie,

Notre libre-arbitre, si tant est qu’il existe, fonctionne

Nous accorde le choix, venant de l’intérieur, personnel

Suite à notre propre et unique expérience individuelle !

***

Qui ment et qui dément, qui dit vérité et qui dit fausseté :

Allez savoir, ce n’est pas qu’affaire de science, connaissances

Mais d’un processus d’individuation basée sur notre intuition

Venant combler les manques de toutes nos croyances erronées.

.

.

1126 – Calligramme

.

     QUAND

     E  *  P  

   En jeu    N       A de mots

Enfer me   F            R      ment

Le paradis  E                A   dément,

Avec force   R                  D     mystère !

Lors para     *                    I   dis d’amour

Demeure     M                   S   enfermement

À deux, en    E                   *    tours   d’ivoire

En ignorant    *                 D   environnement.

Enfer dément  M              É   feu éternel existe

Le paradis ne    E             M   serait pas sexiste

Du simple fait    N             E   qu’ange sans sexe

Ne s’en font plus  T            N   aucun complexe.

                         T

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

 ¤¤¤    Lors enfer me ment, paradis dément,   ¤¤¤

¤¤¤    Que peut vouloir dire cette phrase ci,   ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis pourrait être un enfer   ¤¤¤

¤¤¤    Ou bien  qu’il existe déjà sur Terre !    ¤¤¤

.

¤¤¤     Paradis d’amour et d’enfermement,    ¤¤¤

¤¤¤      Ressemblent fort à l’enfer d’autant     ¤¤¤

¤¤¤      Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent     ¤¤¤

¤¤¤      Tant que l’on a des yeux d’amants.     ¤¤¤

.

¤¤¤      Qui souligne comme une évidence     ¤¤¤

¤¤¤      Que tous les contraires se joignent     ¤¤¤

¤¤¤      Avec plus, sinon moins, de poigne.     ¤¤¤

¤¤¤      L’enfer dément  qu’un feu … existe     ¤¤¤

¤¤¤     Alors que toutes les visions artistes,    ¤¤¤

¤¤¤     Le met en avant-plan d’avant-scène,   ¤¤¤

¤¤¤    Quelque part entre l’enfer et paradis,   ¤¤¤

¤¤¤    Il y aura la lucidité d’une conscience,   ¤¤¤

¤¤¤   Qui ne se ment pas déjà à…elle-même, ¤¤¤

¤¤¤  Même quand prise d’émotion extrême. ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1126 4

.

Cela ressemble à une grande porte

Avec, au dessus, un grand fronton, 

Et sur lequel serait écrit «paradis»,

Tandis qu’en bas, écrit c’est l’enfer.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Pourquoi s’imaginer enfer et paradis

avec une porte, une sirte de sasd’entrée

toutes les religions en parle, et l’adopte

ainsi telle porte évoque bien le fond !

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

Paul Diel interprète l’enfer

Perspective psychologique,

«L’esprit  est  appelé  Zeus ;

Pour l’harmonie  des désirs,

Apollon : l’inspiration intuitive,

Athénée : le refoulement, Hadès».

L’enfer est à l’intérieur de soi-même,

L’enfer de ses démons qui nous possèdent.

.

Dans la tradition chrétienne, l’enfer

Est le péché mortel              lui-même

Dans lequel  les damnés  sont morts.

C’est la perte  de la présence de Dieu,

Malheur absolu, privation radicale.

.

La rédemption du damné n’est plus

Possible, fixé dans sa peine.

Dans une conception moderne

Et existentialiste : « l’enfer c’est les autres »

Selon Jean Paul Sartre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1126 6

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

La porte d’entrée, est un

Passage d’un lieu à un autre,

Un rôle de protection pour être

En totale sécurité, lors chez soi :

Sert autant à entrer qu’à sortir ;

Ou même  à franchir  un obstacle,

Sinon reculer devant un obstacle ;

Porte gérant l’extérieur, l’intérieur.

.

Référence à clé  (solution problème)

L’enfermement  ou emprisonnement

Lumière  de  coté / obscurité, autre ;

La vie  et la mort / jugement dernier

Ou l’entrée  au royaume  des morts ;

Ce qui  est  révélé / ce qui est  caché ;

Bien / mal, limite à ne pas franchir :

Ce qui est sacré / ce qui est profané ;

euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La porte, après vous : fermez-là bien

Car il n’y aura pas de place pour tous

Au paradis où les places sont chères

Entendons-nous bien, pas d’argent

Uniquement vertus don, altérité.

.

L’enfer est immense et sa porte

Serait cent fois plus grande

Tout comme un porche

Non chas d’aiguille

Pour chameau.

 .

.

Paradis, Raphael Toussaint

.

Scénario

.

Sur un côté le paradis trompant mais sur l’autre, l’enfer dément.

Enfermement, oui c’est sûr : où sont les clés d’un vrai paradis ?

Un couple paradisiaque : l’un est enfermé, l’autre, en liberté !

 .

Visuels et textuels >>

1113 – Il ne saurait y avoir de paradis, ni d’enfer

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis

Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir  ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir  ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir  ni vérités, erreurs.

.

Ce sont là de fausses relatives valeurs

Constituant des rapports  symboliques,

Départageant les bonheurs malheurs,

Faits pour guider notre sens pratique.

.

Ils existent, mais le long de  curseurs,

Tantôt en distance, tantôt en hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui évoque

Air d’espéranto, jouant sur équivoque.

.

Considérant une même valeur à tous

Certains, autres la trouvent différente

 Il n’y a aura jamais universelle entente,

Valeurs  langues sont histoires de fous.

.

Aspirer au sens, à des valeurs de vie,

Représente la question la plus cruciale

À laquelle on ne peut échapper ou mal,

Tant la mort vous rappelle son  souci.

.

Respect de l’autre comme de soi -même

Constitue la principale règle à observer :

En vie, tout n’est pas du pareil au même

Sinon c’est vite l’anarchie et la brutalité.

.

Il ne saurait y avoir  ni paradis ni enfer,

C’est nous  qui les inventons, projetons,

À force de vivre en misère ou de travers,

Sont fausses réalités, auxquelles croyons.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi s’en faire paradis !

Et pourquoi paradisiaque enfer !

C’est juste qu’il faut  trouver un lieu

Pour y mettre tous les hommes de bien

Et autre, les suppôts du mal : point barre !

.

Un paradis  où l’on serait seul, serait un enfer,

Un enfer où on serait convivial, serait un paradis ;

L’homme n’est pas fait pour vivre seul, ni sur Terre

Ni ailleurs, il communique : l’enfer serait de ne

Pouvoir satisfaire le moindre de ses désirs,

Le paradis, de les avoir tous satisfaits.

.

Mais le Paradis se transformerait

Alors en enfer plus aucune envie.

L’enfer, c’est la lutte et c’est la fuite

Mais c’est surtout l’ennui lors le paradis,

C’est le bien-être, le plaisir, la joie, le bonheur.

.

Chacun a sa propre vision de l’enfer et du paradis.

Distinction entre celui que l’on vit sur Terre  et celui

Projeté après mort : y a que premier qu’on vit, subit !

.

Portes du Paradis sont ouvertes sur une grande lumière

Portes de l’Enfer sont condamnées par une entrée en fer,

Des anges  en  Paradis, des démons en Enfer : est-ce nous,

Ou ceux qui nous accueillent ou bien s’occuperont de nous,

C’est à chacun d’en décider selon le fruit de son imaginaire.

.

L’enfer est cité en toutes les religions

Et il n’est nulle part en même temps :

Ce n’est pas vraiment un lieu, lequel ?

Pas plus vraiment  un temps : lequel ?

.

Quelque paradis terrestre aurait existé

Avec Adam et Ève, sous le nom d’Éden,

Entre Tigre et Euphrate, Mésopotamie,

Parfois ailleurs aussi en lieux inconnus.

.

Le plus curieux, le plus extraordinaire :

Enfer et paradis ont traversé les siècles

Suite à fausses traductions, croyances

Il nous faut croire on a besoin d’eux !

.

.

1113 – Calligramme

.

Le paradis

 Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes ……….

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir I ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir     L    ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir         *       ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir            N       ni vérités, erreurs.

Ce sont là de fausses              ‘        relatives valeurs

Constituant des rapports       Y         symboliques,

Départageant les bonheurs      *          malheurs,

Faits pour guider notre sens    A        pratique.

Ils existent, mais le long de       *     curseurs,

 Tantôt en distance, tantôt en     N    hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui    I    évoque

Air d’espéranto jouant sur équi   *    voque.

Considérant une même valeur     P   à tous

Certains, autres la trouvent dif    A  férente

 Il n’y a aura jamais universelle    R entente,

Valeurs  langues sont histoires     A  de fous.

Aspirer au sens, à des valeurs       D     de vie,

Représente la question la plus      I     cruciale

À laquelle on ne peut échapper      S         ou mal,

Tant la mort vous rappelle son       *               souci.

Respect de l’autre comme de         N         soi -même

Constitue la principale règle        I            à observer :

En vie, tout n’est pas du pa       *            reil au même

Sinon c’est vite l’anarchie    E             et la brutalité.

Il ne saurait y avoir       N        ni paradis ni enfer,

C’est nous qui les      F       inventons, projetons,

À force de vivre    E    en misère ou de travers,

Sont fausses  R  réalités, auxquelles croyons.

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

1113 4

.

Un trophée sportif,

Ou alors  une lampe

 À pétrole, avec ampoule 

Pour bien mieux… s’éclairer.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Que vaudrait une lampe, sans feu,

ni ampoule ni ressources pour durer

en enfer, des lampes sans ampoule ;

en paradis, ampoules sans lampe.

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles  identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique de forme

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

Ou à huile  ou  à pétrole,

Représentera toujours une

Sorte de lumière  intérieure,

Une énergie, et des capacités,

Talents que nous maîtrisons.

L’homme maîtrise lumière,

Avec  un  pouvoir

Allumer, éteindre.

Psycho2rue.fr/dictionnaire-

Des-symboles-de-reve/lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1113 6

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique

 .

Eureka !

L’ampoule,

Symbole de l’idée

Qui jaillit sans que l’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse!

Tant   qu’il s’agisse  d’une lampe  à huile,

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Celle que nous maîtrisons. Dans la bande

Dessinée et le dessin animé, l’apparition

D’une idée est souvent représentée

Par une lampe à incandescence

Qui s’allume au-dessus de la

Tête du personnage.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

La lampe serait éclairée, éclairante,

Au paradis

La lampe serait éteinte, obsurcissante

En  plein  enfer

Sauf que nous n’avons pas de lumières

Ni sur l’un ni l’autre

Et  que  leur obscure clarté, oxymoron,

Brouille bien notre raison

Au point de faire une  totale confiance

Dans notre propre imagination.

 .

.

Il n’y aurait ni paradis ni enfer !

.

Scénario

.

Porte du paradis, corridor tunnel avec, au fond, une lumière.

Dans l’une, des anges blancs ; dans l’autre, des diables rouges.

Porte de l’enfer, elle est comme murée, sans espoir de lumières.

 .

Visuels et textuels  >>

1112 – Chemin du paradis est même pour enfer

Visuels et textuels  >>

.

Des choses pouvant nous faire

Du bien tout comme de se marier,

Peut faire du mal comme de divorcer.

Le bien et le mal, sont autant de valeurs

Tout à fait  relatives et  voire, subjectives !

Personne ne détient sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône parfois, un mal pour un bien !

 .

Tant, s’il n’y  avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,  bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur  vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné, en été  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  à seaux à verse.

 .

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la souffrance se mêlent au désespoir

De ne plus entrevoir : l’avenir, bonheur, assurance,

Remplacé à nouveau par une profonde incertitude

De retrouver, un jour, en  quelqu’un,  la  confiance,

Que  tourments  tristesse du désamour empêchent

De refixer en foyer, accroché comme une idée fixe,

Où la folie et ou  frénésie ne seront plus   prolixes.

.

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

À terre ou, atterrés, d’avoir

Été autant aveuglés.

.

.

Extensions

Le chemin du paradis

Est le même que pour l’enfer,

Mais fait en sens inverse, tombant

Ainsi, de pas en pas, jusqu’au plus bas.

Stress, angoisse, dépression en sont étapes.

On ne s’en sort jamais seul, qu’avec l’appui

Des autres, si l’on est à même  de vouloir

Prendre  la main  qu’il nous tend  pour

Nous aider  à nous relever, marcher,

Nous aider non vivre à notre place

Afin de sortir de l’enfer sournois

Où l’on vit  pour  le Paradis

Qu’on espère par ce que

On l’appellera déjà la

«Porte de l’espoir ».

.

Le paradis et l’enfer se croisent, à chaque carrefour

Chacun peut se tromper de route, allez y faire un tour.

Dans aucun des deux, personne n’en reviendra indemne,

Tant le bien et le mal se confondent en un brouillard moral

Qui nous a fait créer les deux pour les distinguer en autre vie.

.

L’enfer est pavé de bonnes intentions :

Est à dire que le ciel est de mauvaises !

Je en sais que penser de ces affirmations.

.

De même : qui veut faire l’ange, fait la bête :

Faut-il alors «faire le bête» pour être un ange.

Je sais, c’est jouer sur les mots : quand même !

.

On pourrait lui donner le bon dieu sans confession

Cela n’engage pas à faire confiance aux apparences

Le diable se cacherait sous le manteau d’un bon dieu.

.

Le bien le mal, qu’est-ce que c’est, comment distinguer

Si nous en sommes les seuls juges, c’est pas très normal,

Comment savoir ce qui est amoral de ce qui est immoral.

.

Le chemin de l’égoïsme et du cynisme, est visible,  balisé,

Celui de la générosité et de la vertu est bien plus hypocrite

Distribue quelques miettes aux pauvres pour être apprécié.

.

.

1112 – Calligramme

          *                        C

Des choses pouvant nous   H    faire

Du bien tout comme de se  E    marier,

Peut faire du mal comme   M  de divorcer.

Le bien et le mal, sont au  I    tant de valeurs

Tout à fait  relatives et  N   voire, subjectives !

Personne ne détient    *    sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône par    D    fois, un mal pour un bien !

U ………………………

Tant, s’il n’y        *    avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,    P   bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est  A    le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur   R   vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  A   ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné en été    D  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  I    à seaux à verse.

                                    S

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la     E souffrance  se mêlent Q  au désespoir

De ne plus entre    S    voir avenir, bonheur   U    assurance,

Remplacé à nou    T    veau par une profonde  ‘   incertitude

De retrouver un     *     jour, en  quelqu’un,  la  E   confiance,

Que  tourments    M    tristesse  du désamour   N empêchent

De refixer en foy  Ê      er accroché comme une  F   idée fixe,

Où la folie et ou  M      frénésie ne seront plus    E   prolixes.

             E                                                      R

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

 À terre ou, atterrés, d’avoir

 Été autant aveuglés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

1112 4

.

Ça ressemble assez fort

 À un jeu pour atteindre ciel

Un jeu  appelé : la Marelle 

Joué à cloche-pied avec palet.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,   étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant le palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

La marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi

Dont  sont issus  le jeu  du labyrinthe,

La pétanque et le jeu de l’oie.

.

Plupart des jeux pour enfants

Et  des jeux  de société  étaient,

À l’origine,  divinatoires,  initiatiques.

.

Dans un monde moderne où la raison,

La logique et plus encore science exacte

Font force de loi, ces principes

Jeux divinatoires et initiatiques

Ont été relégués aux … oubliettes,

Dans un passé, dont  nous pensons

Que l’obscurantisme et superstitions

Régnaient en maîtres dans les mentalités.

Source : minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1112 6

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,      étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant un palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

Le ciel est symbole

Des puissances supérieures à l’homme,

Bienveillantes ou redoutables, l’insondable immensité,

La sphère de rythmes universels, celle des grands luminaires,

Le gardien des secrets de la destinée.  Séjour des divinités,

De toute puissance divine et des bienheureux ?

.

Bouddhisme, Islam, chrétienté distinguent

Sept cieux : autant d’états spirituels gravis

Les langues modernes  distingueront le ciel

Religieux du ciel atmosphérique qui pour

Les Gaulois est voûte d’où leur crainte

Qu’elle ne leur tombe sur la tête.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le chemin d’un paradis

Serait le même que l’enfer

Mais, en miroir,    l’envers,

Si on croit ce qu’on nous dit.

Mais pour le savoir : allez-y !

Et surtout revenez-y, mais vite,

Pour dire  ce que vous avez-vu,

Entendu,  senti, pour qu’enfin

 L’on sache à quoi s’attendre !

 .

.

Chemin paradis et enfer ?

.

Scénario

.

Si c’est bien, par-là, le paradis, y a qu’à y aller comme indiqué,

au risque d’emprunter la route comme pour un véritable enfer,

de terminer seul, à pied, sur des rails qui ne mènent nulle part.

 .

Visuels et textuels  >>

1107 – Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Visuels et textuels  >>

.

L’enfer et le paradis ne seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,  on   prétend  moderne,

On leur a conservé une vie, virtuelle, existence.

.

Sauf  que, par analogie, c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux, le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  chercher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont tous des communautés

Proches de nous, et enfermées dans un huis-clos.

.

Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,

Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,

Tandis que leur paradis serait au firmament de belles

Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.

.

Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,

Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,

Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,

Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !

.

Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral

Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.

Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,

L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.

.

Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,

Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :

Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :

Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !

.

Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit

Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,

Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,

Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.

.

Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,

Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments

J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.

L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !

.

Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu

Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable

J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus

Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.

.

.

Extensions

 .

Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Non là où ils seraient, là où l’homme les a mis :

Paradis d’évasion sens de la vie, paradis d’évasion

Touristique, et voire même, paradis d’évasion fiscale.

Chacun  a  sa vision  d’enfer  et paradis, à  commencer

Par les siens, ceux qu’il voit vivre lui-même sur Terre.

Nous n’avons aucune description ni de témoignage

De ceux qu’ils sont au-delà, si vrai ils existent !

.

Le paradis au ciel ressemble à celui sur terre des croyants :

Une assemble de fidèles méritants, clergé d’autorité et Dieu.

Ça manque un peu d’imagination et c’est  bien trop humain.

On cherche encore porte de l’enfer puisqu’elle est sous terre

Il y en a forcément une, sinon un gouffre comme trou noir

Et dans lequel, l’on disparaîtrait, et à jamais, sans espoir

Un jour de revoir ni le paradis ni la terre, purgatoire !

.

Pour les religieux, l’enfer est sous Terre

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Pour les religieux, le paradis est au ciel

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Et pour humoriste, paradis est en enfer,

Lors voulant dire, par-là, qu’il est en fer.

Dur, dur, quand même : c’est pas crédit,

Lors faut pas s’en faire d’un tel paradis !

.

.

1107 – Calligramme

.

   *                  P

L’enfer et le paradis ne     O       <>      A    seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne      Ù       <>      R   seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute      *        <>       A    l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,      S       <>       D   on   prétend  moderne,

On leur a conservé une     E       <>       I    vie virtuelle, existence.

Sauf  que, par  analogie,   *        <>       S   c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux    T       <>       /    le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs    R       <>      E    ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  cher    O       <>      N   cher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont    U       <>      F     tous des communautés

Proches de nous, et enfer   V       <>      E   mées dans un huis-clos.

   E  …                 R

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

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¤¤¤   Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,   ¤¤¤

¤¤¤    Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,   ¤¤¤

¤¤¤    Tandis que leur paradis serait au firmament de belles   ¤¤¤

¤¤¤    Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.     ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,    ¤¤¤

¤¤¤    Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,    ¤¤¤

¤¤¤    Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,    ¤¤¤

¤¤¤    Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !   ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral    ¤¤¤

¤¤¤    Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.    ¤¤¤

¤¤¤     Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,    ¤¤¤

¤¤¤     L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.   ¤¤¤

.

¤¤¤     Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,    ¤¤¤

¤¤¤     Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :    ¤¤¤

¤¤¤    Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :     ¤¤¤

¤¤¤    Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !    ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit    ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,     ¤¤¤

¤¤¤     Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,     ¤¤¤

¤¤¤     Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.     ¤¤¤

.

¤¤¤   Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,    ¤¤¤

¤¤¤   Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments     ¤¤¤

¤¤¤   J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.     ¤¤¤

¤¤¤    L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !      ¤¤¤

.

¤¤¤   Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu    ¤¤¤

¤¤¤   Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable    ¤¤¤

¤¤¤   J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus    ¤¤¤

¤¤¤   Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.   ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1107 4

.

Ça ressemble fort à  porte

 D’entrée avec beau fronton

Au-dessus comme un livre

Ou encore comme balance.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

Symbolique

Porte  d’entrée, symbolise  le   passage

D’un lieu à un autre, rôle de protection

Pour être mieux en sécurité chez soi.

Entrer, sortir, franchir un obstacle,

Ou bien reculer devant l’obstacle ;

Dépassement de soi ; sublimation

Ou encore échec devant la porte ;

Passage extérieur  et l’intérieur :

Référence  à la clé ;  la solution à

Enfermement, lumière, obscurité

La vie, la mort  (jugement dernier

Et l’entrée  au royaume des morts ;

Ce qui est révélé et ce qui est caché ;

Bien / mal et limite à ne pas franchir ;

Ce qui est sacré  et ce  qui  sera  profané.

Source : euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1107 6

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire peut être défini sommairement

Comme le fruit de l’imagination d’un individu,

D’un groupe ou d’une société, produisant

Des images, des représentations,

Des récits ou des mythes plus

Ou moins détachés de ce qu’il

Est d’usage de définir comme la réalité.

.

Il s’agit de la capacité d’un groupe

Ou d’un individu à se représenter

Le monde à l’aide d’un réseau

  D’associations        d’images

Qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.


.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Porte du paradis,

Ou porte  de l’enfer

Pourquoi  une  porte,

Là où on n’en sait rien !

.

Une anthropomorphisation non pas

De l’homme, de l’Espace, sauf à penser,

Qu’il ne s’agit là que de pures métaphores

Il s’agit davantage d’ouverture que mobilier,

De passage d’un état à un autre, non d’un lieu

 .

.

Escalier montant, descendant ?

.

Scénario

.

Imagination débordante et un paradis en fonction de ses croyances,

enfer plus sobre, secret, redoutable, derrière une porte mystérieuse,

tandis que sur Terre, on cherche encore le gouffre qui l’abriterait !

 .

Visuels et textuels  >>

1106 – Le paradis naturel ou paradis artificiel !

Visuels et textuels  >>

.

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

.

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

.

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

.

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

.

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

.

Extensions

 .

L’homme a-t-il, vraiment,

Un vrai moyen de choisir entre

Un trop lent paradis, bien naturel,

À se construire, et un paradis artificiel

Bien plus rapide pour la réalité apportant

La capacité de fuir de sa vie, devenue pour lui

Insupportable, et peut-être même innommable.

Les notions de paradis, comme lieu, d’éternité

Comme temps et de bonheur, comme état,

Se conjuguent ainsi et jusqu’à l’infini.

.

Paradis par ci, paradis par-là,

Le paradis est toujours ailleurs

Qu’autour de soi ou bien en soi,

Sauf évidemment, dans l’alcool,

Voire en une drogue  plus forte,

Et là, c’est tout de suite et vite :

Nul besoin de chercher un coin

Aux antipodes et plus au soleil.

L’artificiel remplace le naturel.

.

Il y a les petits paradis et enfers

Au sens propre et au sens figuré.

Ma maison et mon ile, en seront

Pour moi petit paradis c’est vrai

Un petit enfer  peut être  famille

Qui se déchirera et qui se haïra !

.

Les grands paradis sont fiscaux,

En iles Atlantiques et Pacifiques,

Où l’argent des riches coule à flot,

Sans la moindre taxation impôts.

Les grands enfers sont les guerres,

Qui mettent leurs pays en misère !

.

.

1106 – Calligramme

 .

P A R A D I S      

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

N  A  T  U  R  E L

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

E T   P A R A D I S     

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

A  R  T  I F  I  C I  E L !  

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Une lampe de poche

Piédestal  avec statue,

Ou balayette commune

pour faire grand ménage.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

.

Évocation 

.

1106 4

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous mettre dans la poisse !

.

Symbolique 

.

La balayette est

Un petit balai à main,

Utilisé   pour  rassembler

La poussière  vers  une pelle,

Nettoyer endroit peu accessible.

.

Les balais  sont  autant  un  outil

Qu’un symbole social. En effet,

Les tâches  ménagères sont

Souvent déléguées aux

Classes populaires.

.

Son utilisation peut

Avoir une connotation

Négative pour certains ;

Les balais sont le symbole

De la « femme  au foyer »,

Un stéréotype marquant

Les siècles précédents.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1106

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous enfermer dans le ménage !

.

Symbolique

.

En ménage, on nettoie

Son psychisme,   on remet

Toutes  les choses à leur place.

C’est un écho à la règle feng shui

Qui précise que tout objet cassé

Doit être jeté. Le ménage est

D’ailleurs  un rituel dans

Toutes les religions et,

Dans toutes les cultures,

Un symbole de purification :

D’avant pâques chez les orthodoxes,

Printemps les chrétiens, pessah, les juifs,

L’aïd chez les musulmans, mais aussi au Japon,

En Chine pour le nouvel an. On atteint là, une réalité

Universelle, qui n’a rien à voir avec statistiques, sociologie.

Homme ou femme, nous avons besoin d’ordre et de propreté.

psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Qui veut envoyer quelqu’un … en enfer

Commence par balayer devant sa porte

Afin de faire un grand ménage chez lui.

Voilà une expression qui résumera bien

Côté naturel, artificiel de tout paradis

Que l’on invente, et protège, entre soi

Y compris  dans  son petit chez soi.

Mais je dis cela, je n’aurai rien dit

Paradis des uns… enfer d’autres.

 .

.

Paradis accessible sur Terre

.

Scénario

.

Ici, sous les tropiques, paradis exotique, naturel.

Là, ça ressemble plutôt à un paradis artificiel.

Là, par numériquement, un paradis virtuel.

 .

Visuels et textuels  >>

1105 – Le paradis, l’enfer, demeurent mystères !

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

.

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

.

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

.

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

.

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Extensions

.

Un paradis peut être  un enfer, pour les uns,

Et réciproquement

«L’enfer, c’est les autres», dira Jean Paul Sartre.

Ça en ferait des milliards

Et pourquoi n’y aurait-il pas des intermédiaires,

Pour intercéder, plaider sa cause

À moins d’acheter sa place avec somme d’argent.

.

À défaut  de découvrir, ou  d’expliquer,

Sinon comprendre la vie après la mort,

On en a fait tout un mystère, comblant

Vide sidéral de notre sens d’existence !

.

Faut avouer que c’est bien vu et moral :

Le bien, tout en haut, et, en bas, le mal !

Et avec les deux incarnations virtualisées

Que son Dieu et son ange, déchu : démon !

.

.

1105  – Calligramme

 .

PARADIS

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

ET ENFER

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

DEMEURENT

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

UN MYSTÈRE 

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1105 4

.

Un beau flacon de parfum

Une bouteille avec bouchon

Forme d’insecte, du genre

Coléoptère, coccinelle.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Dans l’oreille devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1105 6

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

.

Le symbolisme des coccinelles

Plus connu est le fait qu’elles sont

De  formidables   porte-bonheur !

.

Si une coccinelle se pose

Sur votre doigt, faites-la s’envoler

En pensant, très fort, à l’un de vos

Souhaits le plus cher.

.

Si elle s’envole, il y aura de grande

Chance  qu’il se réaliserait dans les

Semaines suivantes.

.

Soyez attentif et  écoutez bien votre

Instinct et mettez alors tous vos sens

En éveil afin de guetter

.

Tous les signes qui vous confirmeront

Ou non que votre vœu va s’exaucer.

wemystic.fr/guides-spirituels/

symbolisme-coccinelles

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ni en paradis ni en enfer

On ne trouva  aucune trace

De coccinelle ni de coléoptère,

Si coccinelle est : bête à bon Dieu

Ce n’est que légende, moyenâgeuse,

Rapportée comme grâce de supplicié !

.

Coléoptère s’avère être symbole religieux.

En Égypte ancienne mais nullement en enfer

Mais peut-être, en serez un, dans un des lieux

Tant ce qui l’y a,  s’y passe, demeurent mystère.

 .

.

Paradis en haut, Enfer en bas

.

Scénario

.

Un paradis, tel qu’imaginé imagé par la peinture naïve.

Une porte de l’enfer  serait  pleine de doutes, d’angoisses.

Comment monter au paradis, ne pas descendre en enfer ?

 .

Visuels et textuels  >>

1102 – Religion catholique nous rend coupable !

Visuels et textuels >>

.

Dans la religion catholique

 Eve serait coupable,

De s’être laissée

Tenter Diable

Et depuis

Chassé

Du

Paradis

Avec   Adam,

Bien qu’ +   innocent,

Depuis il   +    le cherche

Et, depuis    +       est mortel

Etant perdu  +++++    sur la Terre.

.

Et voici qu’il prétendrait que la femme serait

Coupable, de n’être pas devenue, demeurée,

Egale en responsabilité comme  l’homme

Qu’elle ne pouvait,  qu’elle ne pourrait

S’en prendre   rien   qu’à elle-même.

Religion catholique rend coupables

De ne pas devenir l’homme parfait,

Et la faute à qui : à Adam et  à Eve,

Chassés du paradis en éternelle vie.

Je n’y étais pas et je n’y souscris pas.

Faudrait encore qualifier leur faux pas

D’avoir choisi le seul arbre de la science,

Celui du bien et du mal…en connaissance !

Depuis, je suis responsable, même coupable,

Et je n’en serai acquitté qu’en royaume de Sion

Que je ne connais que de nom, sans descriptions,

Comment croire que j’en suis moi-même, capable !

Six milliards de misérables et autant …  d’incapables

Qui ont vécu et avant nous sans rien résoudre du tout,

Pourquoi les mille suivants  en seraient-ils moins fous,

Pour nous fabriquer  une éternité, humaine, agréable !

Faut-il voir la Terre comme seul paradis, seul conquis,

Fonction de quoi : non coupables, mais responsables,

Laissés seuls à nous-mêmes en serons-nous grandis

Si toute croyance repose sur cette Terre de sable !

Angoisse de disparaître, à jamais  insoutenable,

La religion est une réponse en forme d’espoir,

De petite lumière qui nous éclaire en le noir

Univers ne délivrant pas de clef, vérifiable.

Religion n’est  ni coupable, ni détestable :

Elle ne nous fait pas sourd, aveugle en tout,

Chacun a foi en quelque chose … d’impalpable,

Sinon en soi, en l’humanité fait de sages et de fous.

.

.

Extensions

 .

La

Religion

Catholique nous

Rend coupable, c’est nous

Et non Dieu,  qui l’avons décidé

Alors même que les lois de l’évolution

Nous démontrent que nous sommes issus

De la lignée des animaux appelés supérieurs.

Vérité révélée, lot de consolation que ce paradis

Auquel nous aspirons bien après notre disparition :

Qu’importe notre futur, l’essentiel, pour nous, est ce qui

Se passe maintenant et donc le vivre pleinement au mieux

Et non de remettre à plus tard.  D’un autre côté, plus tard ce

Sera trop tard : la religion nous tient dans cet illogisme

Et nous demande de parier à défaut de croire…

.

Des lieux de péché, de confession, rachat, rédemption.

«Faites pénitence, mes frères, tant vous avez tous … péché,

Dieu, en sa grande miséricorde, vous accorde son pardon»

Ainsi parlait Zarathoustra, comme Dieu, du bien  et du mal :

L’homme en ayant conscience s’élève de sa condition animale.

C’est le thème de sermons en chaire, église : «la chair est faible

Mais l’esprit et fort, peut  lutter en  suivant préceptes religions.

Une façon d’excuser les faiblesses humaines face aux tentations

 De la vie : boissons, bonne chère, sexualités, argent…infidélités !

.

Nous sommes tous et toutes responsables

De ce qui nous arrive, sauf de notre mort !

Mais pour autant avons-nous été coupable

D’un péché originel quelconques : curiosité

Et qui daterait d’un pseudo paradis perdu,

La faute à Ève, serpent, arbre, voire Adam.

.

Face à vérité, on a les crocs, on a les dents

L’homme ne serait pas né il y a 2 000 ans

Avant Jésus-Christ mais il a des millions,

Depuis l’évolution naturelle a fait œuvre,

De sélection, maturation, humanisation

Jusqu’à nos jours, issu d’homo habilis.

.

.

1102 – Calligramme

.

En la religion catholique

 Ève serait coupable,

De  s’être  laissée

Tenter Diable

Et depuis

Chassé

Du

Paradis

Avec   Adam,

Bien qu’ +   innocent,

Depuis il   +    le cherche

Et, depuis    +       est mortel

Étant perdu  +++++    sur la Terre.

.

*******************************************

************************************************

.

Et voici qu’il prétendrait que la femme serait

Coupable, de n’être pas devenue, demeurée,

Égale en responsabilité comme  l’homme

Qu’elle ne pouvait,     qu’elle ne pourrait

S’en prendre rien       * qu’à elle-même.

Religion catholique  R    rend coupable

De ne pas devenir   E  l’homme parfait

Et la faute à qui    L   à Adam et  à Ève,

Chassés du para   I   dis en éternelle vie.

Je n’y étais  pas   G  et je n’y souscris pas.

Faudrait encore   I    qualifier leur faux pas

D’avoir choisi     O   seul Arbre  de la Science

Celui du bien     N    et du mal en connaissance.

Depuis, je suis    *     responsable, même coupable

Et je n’en serai    R      acquitté qu’en royaume de Sion

Que je connais      E       que de nom,  et  sans descriptions,

Comment croire    N        que j’en suis, moi-même …capable !

Six milliards de     D          misérables, et, autant … d’incapables

Qui ont vécu et      *           avant nous, sans rien résoudre du tout,

Lors pourquoi     C           mille suivants seraient-ils… moins fous,

Pour nous fab     O          riquer une éternité, humaine, agréable !

Faut-il voir la    U         Terre comme seul paradis, seul conquis,

Fonction   de     P        quoi, non coupables mais responsables,

Laissés seuls    A       à nous-mêmes en serons-nous grandis

Si toute croy   B     ance repose sur cette Terre de sable !

Angoisse de  L  disparaître, à jamais  insoutenable,

La religion  E  est une réponse en forme d’espoir

De petite lumière  qui nous éclaire en le noir.

Univers ne délivrant pas de clef, vérifiable.

Religion n’est  ni coupable, ni détestable :

Elle ne nous fait pas sourd, aveugle en tout,

Chacun a foi en quelque chose … d’impalpable,

Sinon en soi, en l’humanité fait de sages et de fous.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1102 4

.

Un grand vase pour y mettre

Un petit bouquet de fleurs ?

Comme on en voit souvent

En nombreuse églises !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Religion est comme un vase

La culpabilité,   comme fleurs 

Et les fleurs une fois fanées sont

Jetées mais sont vite remplacées.

.

Symbolique 

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir un trésor

Briser  un vase, c’est  anéantir  par  le  mépris,

Le trésor qu’il représente. Le vase alchimique,

Le vase hermétique signifient toujours le lieu

Dans lequel les merveilles s’opèrent ;

C’est le sein maternel, l’utérus dans

Lequel une nouvelle vie se forme.

D’où cette croyance que le vase

Contient le secret des métamorphoses.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1102 6

.

Religion est comme un vase

La culpabilité,   comme fleurs 

Et les fleurs une fois fanées sont

Jetées mais sont vite remplacées.

.

Symbolique

.

Le

Bonheur

Est  une  fleur

Qu’il ne faut cueillir »,

Écrivait   André   Maurois.

S’il ne faut pas  cueillir  la fleur,

Mieux vaudra, sans doute, se mettre

À son école: ne serait-ce pas occasion de

S’en remettre, en toute confiance, aux mains

Du jardinier  qui lui aura donné  de s’épanouir ?

Car d’après le poète lumières Bernard de Fontenelle:

«De mémoire de rose, il n’y a qu’un jardiner au monde»

Modifié, source : www.cathobel.be/2018/03/30/100097

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre religion catholique ne nous a pas fait une fleur

Nous tenant coupable d’avoir mangé le fruit défendu !

De là dépendrait notre sort, notre condition humaine,

Alors qu’elle n’est que résultat  de l’évolution  continue

Des espèces vivantes et ce depuis des millions d’années

Mais on ne pourrait guère opposer religions et fleurs,

Dès lors que tous leurs rites en utilisent un maximum

Et sans pour autant se poser la question du jardinier

Chacun de nous serait son jardinier sans culpabilité

 .

.

Confessionnal culpabilise

.

Scénario

.

C’est le lieu du péché originel, au Paradis et selon la Genèse !

Confessionnal est lieu où l’on confesse, fesse les mauvaises pensées.

L’église est lieu où l’on se rachète d’avoir été faible, voire coupable !

 .

Visuels et textuels >>